BULLETIN
DE
d
FNAC FA) A Ga À À t^
L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES
DE
S’-PETERSBOURG.
TOME SEPTIÈME :
(Avec 19 Planches et 2 Suppléments.)
Mo. Bot. Lafen,
1597.
Sr.-PÉTERSBOURG, 1864. ~/ 545
Commissionnaires de PAcadémie Impériale des sciences:
à St.-Petershourg. à Riga. à Leipzig.
M. M. Eggers & Comp, M. Samuel Schmidt, M. Léopold Voss.
Prix du volume: 2 Roub. 70 Kop. d'arg. pour la Russie, 3 Thl. de Prusse pour l'étranger.
dee
TABLES DES MATIÈRES.
A. TABLE SYSTÉMATIQUE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES.
MATHÉMATIQUES ET ASTRONOMIE.
— Th. Solution du E Dans un quadrilatère donné
rire un carré. 177 —
Gyldén, H. Nouveaux calculs "s la parallaxe de Sirius UE ox les
observations du Cap de Bonne-Espérance. 365 — 370.
Savitseh, A. Observations des ber oe à l'Observatoire académique
de St.-Pétersbourg. 372 — 374.
Struve, O. Sur le télescope de M. Lassell à Malte. 113 — 136.
— Observations du satellite de Sirius. 282 — 288
— Observations de quelques nébuleuses. 353 — 36
Wagner, A. Sur la marche de la pendule normale de Poulkova. 557.
568.
Winnecke, A. Sur la nébuleuse d’Orion. Extrait d’une lettre au Se-
crétaire perpétuel de l'Académie. 18 — 20.
— Sur la queue multiple de la grande comète de 1744. (Avec 1
planche). 81 — 90
PHYSIQUE ET CHIMIE.
Borodin, A. Action du sodium sur le valeraldehyde. 463 — 474.
Fritzche et Jacobi. Note sur l’application du bronze d’aluminium à
la confection des alcoomètres. 370 — 372.
— Sur le sel double d’oxalate et de chlorure de calcium. 497
— 510
— Sur le ‘dosage de la chaux. 576 — 580,
— Sur la préparation artificielle du Gay-Lussit. 580 —
Jacobi, M. H. Notice sur quelques expériences faites avec un mesu-
reur de liquides. 320 — 322.
— Recherches sur les alcoomètres du systéme d’Atkins. 438 —
Leuchtenberg, Son Altesse Imperiale le Duc Nicolas de L. en la
composition du pyrite magnétique de Bodenmais. 403 —
-Nósehel, A. Sur un cas intéressant de grêle, observé au Sage?
(Avec 1 planche). 181 — 183.
Savitsch, A. Note sur le nivellement barométrique. 484 — 491.
Sokolof, M. De l'acide 8 ge et de l'action du Six sur 5a
De, reg: "diana
u » Notice sur le na ihe TN e. 515 — 518.
Linine, N. Sur le gute, 61 — 68. f
MINERALOGIE ET GÉOLOGIE.
Baer, K. E. Etudes Caspiennes: Sur une loi générale de la forma-
tion du lit des fleuves. 311 — 320.
Helmersen, G. Lettre au Secrétaire perpétuel sur les recherches
géologiques faites par l’auteur dans le bassin houiller de Do-
nets. 4
— Sur le puits artésien de St.-Pétersbourg. 145 —
— A Notices minéralogiques sur le al et le gra-
4.
_ KE gz? cristal particulièrement regulier de l’anorthite du
Vésuve. 326 — 333.
— Sur le lépolithe. 405 — 407.
Pouzyrefski, P. Le minerai de fer provenant du puits artésien de
St.-Pétersbourg. Lettre à M. Helmersen. 474 — 476.
——À P. et Móller, V. Sur les couches devoniennes supérieures
la Russie centrale. (Avec 4 planches). 227 — 264.
ue H. Rapport sur un voyage au lac Ladoga. 510 — 515.
BOTANIQUE.
Mereklin, C. Sur le periderme et le liège, et particulièrement sur
la reproduction o e du boulau (Betula alba). (Avec 1
planche). 295 — 3
Ruprecht, F. cnim EE pour servir à éclaircir la question
de la durée de temps nécessaire pour la formation de la tourbe.
148 — 158.
— Sur la formation du tchernozem. 416 — 425.
— Sur Te du tchernozem au point de vue de la science.
ZOOLOGIE.
Baer, K. E. Encore un mot sur le soufflement des cétacées. 333—341.
Brandt, J. Rapport sur un voyage fait en 1863 à l'étranger. 1— 10.
— Sur les nouvelles acquisitious du musée zoologique et sur les
travaux scientifiques exécutés avec l’aide de ce musée. 322
— 326
— Découverte de deux mollaires d'élasmotherium au góuverne-
ment de Saratof. 352 — 353.
— Sur les restes trouvés jusqu'à présent de l'élasmotherium. 480
Morawitz, À. Les crabronines des environs de St.-Pétersbourg. 451
— 463.
ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE.
Gruber, W. Sur le Sinus communis et les Valvulae venae cardiacae,
et sur la duplicité de la Vena cava superior chez l'homme et `
les mammifères. (Extrait) 10 — 18. j
1
IV
Ofsiannikof, Ph. Sur le phénomène de la lumière -— par les
larves du ver luisant (Lampyris noctiluca). 55
— Recherches sur la moélle épiniére des aes E des mam-
mifères et résultats des recherches de M. Ko tchine sur la
moëlle épinière de la Lamprète (Petromyzon "duviatilig. 137
145.
— Sur la structure intime du cervelet des poissons. 157 — 166.
PHILOLOGIE ET HISTOIRE.
Baer, K. E. Projet concernant des kc crudis archéologiques et
ethnographiques en Russie. 288
Brosset, M. Activité littéraire des Gäste et des Arméniens en
Russie etc. 45 — 48
— Variétés —À (Avec 1 planche.) 90 — 99.
— Rapport sur diverses inscriptions, recueillies par MM. J. Kást-
ner et Ad. Berger. 275 — 281.
Dorn, B. Une eh de Chirvanchah Minoutcher. 482 — 484.
— et Ad. Goebel. Sur neuf pierres tumulaires avec inscriptions `
hien: nouvellement placées au musée asiatique. 378—391.
ie: Sin) manuscrit grec de la Bibliothèque Impériale de
21
Jäschke, H. Let à M. Schiefner. 183 — 191.
Kunik, E. Rapport sur un mémoire de M. Zachariae von ne
thal touchant l'histoire de l'Eglise Bolgare. 341 —
— Le nom de prince tatare «Tokhtamysch» pouvait - i as en
usage parmis les Hébreux en Crimée au IH* siècle? 391—403.
Nauck, A. Sur l'ouvrage de Philodemus rept evoefieius. 191 — 220.
— Observations additionnelles sur Philodemus mept evoeßeiag. 568
Neubauer, k Collection Firkowitch: I. Pierres tumulaires de la
e. (Avec 8 planches.) 374 — 378.
Kata = Sur les récents travaux de linguistique de M. le ba-
ron Uslar. 99 — 104.
Smitt, Th. Rapport sur l'ouvrage de M. le — Erro
vitch: «Histoire de la guerre de 1813». 519 —
ihr] le baron P. Sur la vp Rcge géographique A la langue
ware. Lettre à M. Schie 73 — 275
Véliaminof- EH PE e € sur un | manuscrit persan du Raouzet-
et-tahizin. 351 —
Woepke, F. ‘Sur un tune arabe, appartenant à la Bibliothèque
Impériale de Paris. (Avec 1 planche.) 220 — 227.
Suppléments.
I. dd sur l'ouvrage de M. Konstantinof: «Sur les fusées
de guerr J
II. enke pour servir à l'histoire des musées de l’Académie
: I. Musée — par M. Ru-
e de Zoologie et
ce bes e
B. TABLE ALPHABÉTIQUE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
Abich adresse un article contenant ses observations préliminaires
sur la constitution géologique des presqu’iles Kertch et Ta-
man. 409.
Académie des sciences de Bavière, v. Stephan
Adlerberg, le comte, transmet une barré de diorite, "taillée à à l’usine
de Iékaterinbourg. 7
— transmet la peau d’un lièvre noir, tué à Minoussinsk. 169.
— demande, si l'Académie désire obtenir neuf pierres tumulaires,
apportées de l'Orient par M. Firkovitch. 171.
ps SE des objets d'histoire naturelle, recueillis à Hako-
dade, au Japon. 74.
— v. Ruprecht et Schrenck.
Album académique de E de Leyde, v. Schiefner.
Astrolabe arabe, v. Woep
Atkins, v. Jacobi.
Avtonomof, v. Spaski- Avtonomof.
Baer et Ruprecht chargés d'examiner des collections, faites en 1863
par les officiers de l'expédition de la levée de la mer Caspienne,
et envoyées par M. Ivachintsof. 70. Rapport
— ie un travail sur le Volga, faisant suite à ses Etudes
iennes.
— Rappoft sur les nouvelles acquisitions du cabinet craniolo-
gique. 167
— charge d'examiner plusieurs s inen trouvées ve des ter-
tres, et envoyées par M. Beckmann. 169. Rapport. 265.
— Projet concernant on Baur archeologiques et: ethnogra-
phiques en Russie. 2
— Etudes caspiennes: em la loi générale de la formation du lit des
fleuves. 311. 409.
— Encore un mot sur le soufflement des cétacées. 333. 409.
— Mémoires publiés à l’occasion de son jubilé. 492.
— Membre de la ern du prix Rklitzki. 492.
Bantych - Kamenski, v. Kun
Barantsof ng un ouvrage de M. Coquilhat. 167.
Bartholomae e au musée asiatique une monnaie. 493.
Batiouchkof rotes un exemplaire d’un atlas, composé de cartes
représentant la répartition de la population des gouvernements
de ouest u les confessions et les nationalites. 168.
3 T, V. Jacobi.
Beckmann, v. "ee et Kokcharof.
Berger, Ad., v. Brosset.
Bezborodko, v.
— obtient une mention honorable au XXXIII* concours des
of.
Bibliothèque uge: de rpm prie de lui envoyer quelques
ublications de l'Académie.
Bielensteln prune son ouvrage res Die lettische Sprache nach
ihren Lauten und Formen. 408.
— Membre de la commission des prix Ouvarof. 170.
mbre de la commission des prix Démidof. 494,
Böhtlingk. Gemen pour un travail de M. Iouchkévitch sur
aire de la langue lithuanienne. 74.
— et Roth. Dictionnaire sanscrit. 167. 411.
— Membre de la commisson pour le projet de nouveaux règle-
ments de l'Académie. 268
— Indische Sprüche. 410.
— et Schiefner ires pasigraphi
eM. Stephanus. 412, or 413. ;
Bogdanovitch , le rye M un prix Démidof. 495.
— v. Vessélofski e itt.
Borodine. Action du dë sur le valeraldehyde. 463.
v. Zinine.
Borstschof obtient un prix Démidof. 495.
Bougaief obtient un prix Démidof. 495.
Bouniakofski, Commissaire pour un planimètre de M. Volodine. 69.
— chargé d'examiner une notice de M. Clausen 4.
— Prösident de la commission pour le projet de nouveaux règle-
ments de l'Académie. 268.
— Commissaire pour une note de M. Sibiri iakof. 408.
Boutkof, qr ren élu membre honoraire. 168. 170.
Brachet, v.
Brandt, eng sur un voyage fait en 1863 à l'étranger.
— présente un compte-rendu sur l'état du musée AC.
265. 322.
— offre, an nom de M. Guérin, une collection de divers insectes
produisant de la soie. 267.
— offre, au nom de M. Brosset, différents objeets pour le musée
minéralogique. 269.
— Découverte de deux mollaires d'élasmotherium au gouvernement
de Saratof. 352. 411.
— recommande un travail de M. Morawitz sur les crabronines
des environs de St.-Pétersbourg. 4
— dépose sur le bureau un Livret à l'usage des visiteurs du mu-
sée — 412. ;
— Sur les restes t "a présent de Vél therium. 480. 492.
— Membre de la commission du prix Rklitzki. 492.
— présente un mémoire intitulé: De acipenserum speciebus hucus-
que in Rossia observatis, et dédié à M. Baer à l'occasion de
son jubilé. 492
— Activité littéraire des Géorgiens et des Arméniens en Russie `
45. 7
— Vir riétés arméniennes. 74. 90.
— prie de Jui obtenir le prêt d’un manuscrit, apparianant à l'é-
glise de Mkhet. 171. :
— annonce que M. A. Berger lui a fait parvenir quelques in-
— annonce qu'il a recu de M. Kästner une copie de l'inscription
cunéiforme d'Armavir et plusieurs dessins des antiquités ar-
méniennes. 266.
VI
t. Rapport sur diverses inscriptions, recueillies par MM. J.
Kästner et A. Berger
— Membre de la commission des prix Démidof. 494.
— v. Brandt.
Bruyn, v. Schiefne
Bureau a v. Kupffer
Cabinet craniologique. Acquisitions nouvelles. 1 67.
es eegend romaines de la collection académique.
Stephan à
aide dus une notice sur la quadrature du cercle. 73. $
Chébiakine obtient une mention honorable au XXXIII® concours de
prix Démidof.
Chevalier, M., adresse un ouvrage.
Clapeyron, membre correspondant, iei 206.
Claus, membre correspondant, décédé.
— v. Fritzsche, Jacobi et Slate
Guo, Th. Solution du problème: Dans un quadrilatere donné in-
crire un carré. 177. 264.
Golh chargée d'examiner un travail de M. Iouchkévitch
sur la grammaire de la Vu lithuanienne: MM. Bóhtlingk,
iedemann et Schiefner
— pour le projet de nouveaux gerens de l'Académie: MM.
Bouniakofski, Lenz, Helmersen, Bóhtlingk, Grot,
Vessélofski et Behrenck. 2 268.
— du prix Rklitzki: MM. Baer, Brandt, Schrenck et Ofsian-
nikof. 492.
— des prix xp du XXXIII* concours: MM. Vessélofski,
Kupífer, Jacobi, Brosset, Dorn, Sreznefski, Ru-
precht, Wiedemann, Sebiefner, Kokcharof, Véliami-
nof-Zernof, Biliarski, Savitsch, Ofsiannikof et Pé-
karski. 444.
— Impériale archéologique, v. Stephani.
Comité des constructions navales, v. Lenz et Jac
— central de statistique prie de lui prêter les listes de lieux ha-
bités du gouvernement de Kharkof. 171.
— central de statistique, v. Troinitski.
Gincvurs; v. Commission.
Conestabile, v. Stephani.
Consul général de Russie à Corfou. Communication concernant deux
en T eg den se d’extraire le venin des plais. 267.
Coquilhat, v sof.
Dahl élu As nn.
Danisie élu membre SEH de la Classe de la langue et de
la littérature russ
Département a +. Livres en langues orientales.
Döllen fait hommage d'un exemplaire de l'ouvrage qu'il a publié à
l'occasion du jubilé de M. W. Struve. 268.
Donaleitis, v. Schleicher
Dorn présente au nom dei M. Khanykof un mémoire. 168,
— et Goebel, Sur re pierres tumulaires avec inscriptions hé-
braique ement placées au musée asiatique, 378. 411.
— présente ut une notice de M. Neubauer. 407.
ie de Chirvanchah-Minoutcher. 482. 492.
— Pounds une notice de M. Woepke. 265.
— membre de la commission des prix Démidof. 494
Edler von bui J., annonce la fondation d'une société de médecins
de la Styr e. 265.
fnasmothorium, v. Brandt.
Engel, v. fer.
"i de A mer * OMDISMNA, v. Baer et Ruprecht,
Firkoviteh, v. Adle X
Fritzsche S Jacobi. Note sur ces du bronze d'aluminium à
ction des alcoométres. 370
— "Deg ue pour un ouvrage de M. Pis 410.
— Sur le sel double d'oxalate et de chlorure de calcium. 493. 495.
— et Zinine recommandent une note de M. Tuttchef. 493.
Fritzsche. Sur le dosage de la chaux. 5
— Sur la préparation aditum du Gay Lssit. 580.
Gerstfeld, v. rate
Girgensohn, v. Rupre
Göbel offre au Musée RE plusieurs objets rapportés de son
voyage à la mer Caspienne
— Rapport sur son voyage à la mer Caspienne. 493.
nes adresse quelques uns de ses articles, publiés dans la ga-
e Breslau. 267
Kaeder, ministre de l'instruction eren remercie l'Académie
es publications qu'elle lui a offert. 169.
Graff, H. E un manuscrit grec de la Bibliothèque Impériale de Pa-
ri
s.
Grimm, v. nee
Grot. Membre de ^ commission des prix Ouvarof. 1
— Membre de la commission pour le projet de aee régle-
ments de l'Académie. 268.
Gruber, W. Sur le Sinus communis et Valvulae venae cardiacae et
sur la duplicité de la Vena cava superior chez l'homme et les
mammifères. 10. 268.
Guédéonof, maitre Ae la Cour Impériale, élu membre honoraire. 168.
Guérin, v. Bran
Gyldén. Nomai calculs de la parallaxe e: ege d'aprés les obser-
vations du Cap de Bonne- Espérance.
Helmersen. Lettre au Secrétaire perpétuel sur ses recherches géolo-
giques dans le bassin howiller de Donets. 49.
— fait hommage d'un exemplaire de son mémoire sur l'état actuel
de la Géologie en Russie. 69.
— recommande un ouvrage de MM. Móller et Sémionof, 74.
— Sur le puits artésien de St. SE 145. 169.
— communique son intention d'exposer 'éten-
écrit t de peu
due tout ce qui se rapporte au terrain houiller de la Russie.
166.
— Membre de la commission pour le projet de nouveaux règle-
ments de l'Académie. 268.
— recommande une notice de feu M. Gerstfeld. 408.
— recommande un travail de M. H. Struve. 413,
— communique une lettre, qu’il a reçue de M. Pouzyrefski. 413.
Henle élu membre correspondant. 168
Hermite, v. Tchébychef.
Heuschling adresse une Wues historique sur l’Académie. 171.
Houilles des monts Karataus, v. Quartier-maitre de l’Etat-Major.
Iouchkéviteh, v. Commission.
lvachintsof, v. Baer et Ruprecht.
Jacobi lit la seconde partie de son rapport sur l'ouvrage de M.
Konstantinof sur les m" de guerre. 73.
— et Lenz, commissair r une question proposé par le Co-
mité des constructions Sedis 73. Rapport. 167.
— Rapport sur une question, adressée par le P. Starynkévitch,
concernant la dorure des objets en fer de fonte. 167.
— Notice Me: quelques expériences faites avec un mesureur de li-
E e Fritzsche, Note sur l'application du bronze d'aluminium à la
confection des alcoomètres. 370. 410.
— et Fritzsche chargés d’examiner un ouvrage de M. Claus. 410.
— Recherches sur les alcoomètres du système d’Atkins. 410. 438:
— Commissaire pour une série d'ouvrage de M. Baumhauer sur
l'aleoométrie. 492.
— Membre de la commission des
Jüsehke. Lettre à M. Schiefner. 1 E ee er
Judeich, A., adresse un ouvrage. Ze
Julien, Stanislas, fait hommage d’un sg Pa de la traduction du
roman chinois « Les deux cousines »
Justi, v. Schiefner.
VII
Kästner, v. Brosset.
Khanykof adresse un exemplaire d'une note, intitulée: Lettre au
rd du Journal asiatique. 408.
— Y.
puso P. illis, décédé. 4
Sa correspondance est placée x ré bibliothèque. 494
Köppen, Th., annonce le décès de son père, Pacadémicien P. Köp-
n. 493.
Körber obtient une mention honorable au XXXIII* concours des
prix Démido
xc Notices minéralogiques sur le paisbergite et le graphite.
— aies. au nom de M. Beckmann, plusieurs antiquités trou-
vées dans des tertres. 169.
— Mesures d’un cristal et épi regulier de l’anorthite de
Vesuve. 326.
— Sur le lépolithe. 405. 411
— Membre de la commission n des prix Démidof. 494.
Konstantinof, le général, v. Jacobi.
Korsakof, v. Lenz et Vessélofski.
Koutchine, v. Ofsiannikof.
Kozlof, le docteur, tient une médaille au XXXIII* concours des
p 496.
Kuhn élu membre correspondant. 169.
Kunik, membre de la EA des prix Ouvarof. 1
— Rapport sur un mémoire de M. Zachariae von Lingenthal
touchant l’histoire de T'Eglise Bolgare. 341. 409. 410.
— Le nom de Tokhtamysch pouvait- d - = en usage parmis les
Hébreux en Crimée au III* siècle? 391. 4
— lit une ue concernant trois ouvrages AEN de Jean Pos-
sochkof. 407.
— chargé Tiet itia anciennes monnaies trouvées dans
le gouvernement de Podolie. 412.
— offre un manuscrit contenant un article de feu M. Bantych-
Kamenski sur le séjour de deux derniers petits enfants du tzar
Ivan Alexéiéwitch en Danemark. 493.
— présente une série de documents, extraits des Archives d'Etat
par M. Poloftsof et qui peuvent servir A une biographie du
prince À. Bezborodko. 493
Kupfer présente, au nom KP ngel, un ouvrage 74.
fait hommage des tables, publiées par lui sous le titre: Ta6au-
wt AR pascuponxu GUNA u cnupma 6s NOAYIAPE.
— Commissaire pour une note de M. A. bir igi 169. Rapport.
E Communication verbale concernant le eje d'établissement
d'un bureau météorologique déstiné à tirer des données pour
la re des tempötes. 266.
— présente un mémoire de M. Müller. 411
— Membre de la commision des prix Démidof. 494.
Lassel, v. Struve.
Lenz et Vessélofski, Commissaires pour une notice de M. Korsakof.
78.
— et.Jacobi. Commissaires pour une u vente par le Co-
mité des constructions navales. = Rapport. 167.
— recommande une note de schel. 24.
— Membre a la commission be de projet de nouveaux règle-
ments de l’Académie. 268.
Leuchtenberg, S. A. I Duc Nicolas de L. cadi composition du
de Bodenmais. 403.
— v.Zin
Listes des ireas habités, v. Comité central de statistique.
Livres en langues orientales qui se trouvaient au Départament asia-
tique placés au musée asiatique de PAcadémie. 413. 494.
Livret à l'usage des egen? “+ musée zoologique. 412.
Lomer adresse un ouvrage.
Marcusen. La famille des Mormyres. 408.
Melgounof obtient une mention honorable au XXXIII* concours des
. prix Démidof. 496.
embres correspondants. Listes des places vacantes déposées sur
e bureau. 71. 73.
— Sur le periderme et le liège, et particulièrement sur la repro-
ion de l'écorce du boulau. 295.
weie v. Ofsiannikof.
Miquel fait mor de trois premières livraisons de son ouvrage:
ei botanici Lugduno-batavi
pres ner rm la suite du manuscrit ‘de son Voyage de Sibé-
Möller, v. Tid Pie et Sémionof.
Monnaies trouvées dans le gouvernement de Podolie. v. Kunik.
Morawitz. Les crabronines des environs de St.-Pétersbourg. 451.
— v. Brandt. ?
Müller, v. Kupffer.
Musées a penser Acquisitions nouvelles. 74. 169. 269. 410. 411.
Musée rare Livret à l'usage de visiteurs. 412.
Nauck. Über Philodemus zer evceßeiag. 191. 407. 498.
— fait Liens de deux volumes de son édition de Sophoc cle. 493
— ey zu den Bemerkungen über Philodemus repi eueräeie:z.
"ëch Collection Firkowitch. I. Pierres tumulaires de la Crimée.
374.
— v. Dorn.
ikitenko lit un exposé des travaux de la Classe de la langue et de
la litterature russe pour l’année 1863. 168
— Membre de la commission des ag Ouvarof. 170.
Nivellement barométrique v. Savit
Nöschel, Sur un cas intéressant ei leo observé au Caucase. 181. 264.
Observatoire de Milan v. Struv
eee Sur le phénomène de la omen Lat par les larves du
er luisant (Lampyris noctiluca). 5
— Recherches sur la moëlle épinière ge Mëtteg et des mammifères,
et resultats des recherches de M. Koutchine sur la moëlle épi-
niére des Lamprètes ge Er 137. 166.
— Sur la structure intime du p 157.
— Commissaire pour une notice de Metchnikof. 408. = aug
410.
— Micslis de la commission du prix Rklitzki. pe
— Membre de la commission des prix Démidof. 4
Ostrofski élu membre er de la Classe de ls langue et de
la littérature russe. 168
Oustrialof, Membre de la commission des prix Ouvarof. 1
— présente le IV® volume de son Histoire du règne ái Pierre le
Ges? 0
Ouvarof, v. Pri
edes emer par l'Académie 73. 74. 75. 167. 169. 170. 266. 268.
. 408. 409. 410. 411. 412. 413
— kéen au XXXIII* Bert Démidof. 494.
Palacky élu membre correspondant. 169.
Pékarski lit un discours sur l'activité de l’Académie dans ses rap-
Russie dans la première moitié du XVIII siècle. 168.
— Membre de la commission des prix Ouvarof. 170.
— Membre de la commission des prix Démidof. 4
€ présente la suite de son travail: La théorie des pla-
411.
Pierres cb iris v. Adlerberg, Neubauer et Dorn.
Piper adresse plusieurs de ses ouvrages. 408.
Plana, membre sauer décédé. 264.
Poloftsof, v
Possochkof, v. Ku
de A segin de fer provenant du puits artésien de St.-Pé-
bourg. 4
— v. ee eier?
VII
Prix Ouvarof, 170.
— Démidof, v. Commission.
— Rklit . Commission.
Puits artésien de St. -Pétersbourg, v. Hel mersen et Pouzyrefski.
Quartier-maitre de l'Etat Major Impérial annonce la découverte de
la houille dans les monts Karataus. 2
Reutern, ministre des d élu membre correspondant. 168. 170.
tzki, v. Commissi
Rose, H., membre eias rs décédé. 264.
h, öhtlingk |
Ruprecht et Baer chargés d’examiner des collections faites en 1863
par les officiers de l’expédition de la levée de la mer Caspienne,
et envoyées par M. Ivachintsof. 70.
— Commissaire pour un herbier, envoyé par M.Girgensohn. 70.
ues données pour servir à éclaircir la question de la durée
de temps sets Los la formation de la tourbe. 71. 148.
— présente un compte-rendu sur l'état du musée botanique. 265.
— et Schrenck tirent attention de l'Académie sur les envois de
M. Albrec "
— sa ie une notice de M. Mares. 268.
— Sur lim du tchernozem au point de vue de la science.
- Sur la formation du tchernozem. 411. 416.
— Membre de la commission des prix D&midof. 494.
Ruscala, v. Veggezi-Ruscala.
Rybnikof obtient un prix Démidof. 495.
Savitsch, Observations des planètes à V Observatoire académique de
411.
— Membre de la commission des prix Dénidof. 491.
Schia; v. 0. Struve
parelli,
Schiefner présente un mémoire, intitulé: Tschetschenzische Studien.
. 409.
— Commissaire pour un travail de M, Iouchkévitch sur la pur
maire de la langue lithuanienne. 74.
— Sur les récents travaux de linguistique de M. le baron Wie.
75. 99.
— présente des extraits, faits par M. Bruyn de l’album acadé-
mique de l’université de Leyde, concernant les Russes qui ont
étudié dans cette université. 75.
— communique une lettre de M. Jäschke. 266.
— donne communication d’une lettre de M. le baron Uslar. 407.
— et Böhtlingk, Commissaires pour les dictionnaires pasigra-
= RE de M. Stephanus. 412. Rapport. rt. 413.
éM E EE 413.
— a une notice sur les cas dans la langue thibétain
— présente des extraits, faites par M. Justi de e 5s l'uni-
pai de postes concernant les Russes qui ont étudié à
cette v
— Membre = ja commission des prix Démidof. 494.
Schlechta, le baron, prie de lui d quelques volumes de la Ga-
zette de St.-Pétersbourg. 2
gaere: dessen critique et SE du poëte lithuanien Dona-
is
— ne le decés de M. Claus, membre correspondant. 409.
v um rvenir un travail manuscrit de feu M. Claus. 410.
n prix Démidof. 495.
ica u pee sp l'attention de l'Académie sur les en-
vois de M. Albrecht. 265.
— Membre de la e pour le projet de nouveaux règle-
ments de l’Académie. 268,
— Membre de la commission des pt a, 492.
Schweizer obtient un prix Démidof. 4
Séance annuelle publique. 1
T SF
za ee e te les couches devoniennes supérieures de la
Russie centrale. 2
Smitt élu membre correspondant de PAcadémie. 169.
— obtient une médaille au XXXIII* concours des prix Démidof.
496.
— Rapport sur l'ouvrage de M. le général Bogdanovitch:
SS Gout 1813 100a, 3a nesasucumnoem» Tepmaniu. 519.
— v. Vessél 5
Smyslof obtient + un prix Démidof. 495.
— balneologique russe adresse un exemplaire de ses statuts,
-= We médecins de la Styrie, v. Edler von Vest
zn pi^ l'acide B Rp et de Paction du gek sur la solu-
moniacale. 476.
Somof présente un mémoire sur les accélérations de divers ordres.
TE “Aftonomof fait don au musée asiatique de trois monnaies:
Sremefi Membre de la commission des prix RU 170,
Membre de la commission des prix Démidof.
Stackelberg renvoie les listes de lieux habités des pr gouverne-
ments.
Starynkeviteh, v. Jacobi.
Stephani présente, de la part de M. C onstabile, un ouvrage. 71.
élu membre DEN de Sien # sciences de ae 75.
— présente, au no M. le e Stro of, le compte-ren-
du de la Commission Impériale a cy be uot l'année
:1862. 408.
-= présente un catalogue des monnaies romaines de la collection
académique, dressé par M. Grimm
Stephanus, v. Böhtlingk et Schiefner.
e v. Stephani.
- Rapport sur un voyage, fait au lac Ladoga. 493. 510.
ys
"E mersen
Sa 0. FRA verbale sur son voyage à l'étranger. 72.
— communique quelques détails sur une nouvelle cométe, décou-
verte par M
— recommande une notice de M. Winnecke, intitulée: Über den
vielfachen Schweif des grossen win von 1744. 71.
— Sur le télescope de M. Lassell. 74.
— propose, au nom de M. 8c MED l'échange des publica-
tions de l'Académie contre celles de l'Observatoire de Milan.
265.
— er du satellite de Sirius. 268. 282.
— enn de quelques nébuleuses. 353. 409.
— re ande une notice de M. Gyldén. 409.
v Seegen une notice de M. Wagner. 498.
Struve, Th. Novae Curae in Quinti Smyrnaei Posthomerica. 407.
Struve, W., v. Döllen.
Svenske, v. Vessélofski.
Tehebychef lit un mémoire sur l'interpolation.
— présente, au nom de l’auteur, 4 ouvrages > M. Hermite. 492.
Tempel, v. Struve.
Tikhménef obtient un prix Démidof. 4
Tikhonravof élu membre correspondant de la Classe de la langue
et de la littérature russe. 168.
E mg une médaille A XXXIII concours des prix Démidof.
"— le général, adresse un ouvrage,
nse de Sébastopol. 170.
Tourte ARE membre correspondant, décédé. 169.
Troinitski, adjoint du ministre de l'intérieur, adresse les tables sta-
intitulé: Description de la
— publique pour la lecture du rapport sur la distribution des
prix Démidof du XXXIII* concours. 494.
tistiques > l'Empire, publiées par le Comité central de sta-
isuque
IX
Tuttchef wf r^ mention honorable au XXXIII* concours des
prix Démi
— Notice sur Le dE Re 515.
v. Fritzche et Zin
Université de Leyde, v. Schiefner.
Université de Marbourg, v. Schiefner.
Uslar, le baron P. Sur la repartition
273.
— obtient un prix Démidof. 495.
— v. Schiefner.
Vassilief obtient un prix Démidof. 495.
Veggezi-Ruscala adresse un ouvrage. 409.
aree présente une serie de documents qui concernent
s lettres de franchise, accordées aux Bachkirs
— Ue de lui obtenir le prét > ge oum neh historiques,
concervés au archives de 69
— Membre de la commission en prix Ouvarof. 1
— Notice sur un manuscrit persan de Raouzet- ^ - tahirin. 362.
— Membre de la commission des prix Démidof. 494.
Vers à sois, v. Brandt.
Yessélago obtient une médaille au XXXIII concours des prix Dé-
midof. 4
vete et Lenz. Commissaires pour un travail de M. Korsakof
ur la direction du vent en Russie. 73.
— Membre de la commission pour le projet de nouveaux règle-
ments de l'Academie. 268.
— présente un travail de M. Svenske. 410.
— propose d’inserer au Bulletin l'analyse, rédigée par M. Smitt,
de l'ouvrage de M. Bogdanovitch «Histoire de la guerre de
1813». 493
— Président de la commission des prix Démidof. 494.
Vest, v. Edler v. Vest
Villarceau, v. Yvon de Villarceau.
| Vogel von nie offre un ouvrage. 409.
| Volborth élu membre correspondant. 168.
Volodine, v. p ere
Vostokof, membre de la commission des prix Ouvarof. 170.
Vrolik, membre Vigo n décédé. 169.
Wagner A. Sur la mar
— v. Struve.
Wagner N., obtient un prix Démidof. 4
Wiedemann présente un E halle: "Versuch über den Werro-
ehstnischen Dialekt.
— Commissaire pour un vs
che de la pendule normale de Poulkova. 557.
val de M.Iouchk&witch sur la gram-
maire de la langue lithuanienne. 7
— Membre de la commission des prix Démidof. 494.
Winnecke, Sur la nébuleuse d — extrait d'une lettre au Secrétaire
erpétuel de l'Académie. 18. 6
— accuse réception des publication de l'Académie, envoyées à
l’Observatoire-Central-Nicolas
— Sur la queue multiple de la were comète de 1744. 81.
— v. Struve.
Woepke. Sur un astrolabe arabe, appartenant à la Bibliothèque Impé-
Wreden gäier? une mention honorable au XXXIII® concours des
prix Dém 5
Wüstenfeld restitue un manuscrit. 69.
Yvon de Villarceau adresse deux mémoires. 73.
Lachariae von Lingenthal, v. Kunik.
Zernof, v. Véliaminof- dee ^
Tinine. Sur le nitrobenzi. 6
— u une notice de € T si le Duc Nicolas de Leuchten-
berg.
— E une notice de M. Borodine. 413
— et Fritsche recommandent une notice de M. Tuttchef. 493.
— présente une notice de M. Sokolof. 413
BULLETIN DES SÉANCES.
Ss Én Pa — ES
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE. CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE. | CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE.
Page. N age.
Séance annuelle publique du 29 dé- Séance du 30 octobre(11 novembre)1863. 69 | Séance du 23 octobre (4 novembre) 1863. 69
cembre 1863 (4 janvier 1864).. 168 » » 18 (25) novembre ........... 71 | - d 6 (18) novembre........... 70 78
du 10 (22) janvier 1864....... 169 » » 27 novembre (9 décembre)....74 | ^» » 20 novembre (2 décembre). 24 T
»...,7:(19) février... sonne: 268 » » 11 (28) décembre........... 166 | » » 4 (16) decembre........ TO 8
publique du 26 juin (8 juillet), » » 8 (20) janvier 1864......... 169 | » » 18 (30) décembre....... ....17 75
pour la distribution des prix » » 22 janvier (3 fevrier)........ 264! » » 15 (27) janvier 1864......... 171
Démidof .. 494 » EECH févrigt., es Kees 266 » » 29 janvier (10 février)... .. .265
» » 11 (23) mars. .408 » o 400 BER nennen . sù s A NE
» » 1 (13) avril 409 » 5- 15.090) WA ar e aire
» a ih EE EE 411 » » 8 (20) aih gisua ar. tas ...410
» » 20 mai (1 juin)....... dn, lul » » 29 avril (11 mai)...... SAMT
» 5 5 DE NIB... o vis bisisc ADD » » 13 (25) mai...... ee che wx ee 212
» . » 17(29)juin..i-..:22,.....:.498 | ^ "^x 97 mal Ban) LU
» » 10 (22) juin . 492
» » 24 juin (6 juillet). ..........498
T. VEE, N" KY.
abs
=
*
DE L’ACADENIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
TOME VII.
(Fewilles 1 — 5.) 6
. CONTENU:
. Page
J. F. Brandt, Rapport sur un voyage fait en 1863 à l'étranger ........ ............. 1 — 10
W. Gruber, Sur le Sinus communis et les Valvulae venae cardiacae, et sur la duplicité de
la Vena cava superior chez l'homme et les mammifères. (Extrait.)............... 10 — 18
A. Winnecke, Sur la nébuleuse d'Orion. Extrait d'une lettre au Secrétaire Perpétuel de
VOISINS an A 18 — 20
H, Graff, Sur un manuscrit grec de la Bibliothèque Impériale de Paris............... 21 — 45
M. Brosset, Activité littéraire des Géorgiens et des Arméniens en Russie etc........... 45 — 48
. G. de Helmersen, Lettre au Secrétaire Perpétuel, sur les recherches géologiques faites par
l'auteur dans le bassin houiller de Donets .................................. 49 — 55
Ph. Ofsiannikof, Sur le phénomène de la lumière produite par les larves du ver luisant
(Lampyris noctiluca)....:..,......,.%:.................,....restesses.e 55 — 61
N. Zinine, Sur le nitro-benzil.............. EE a ee EN 61 — 68
Hals EE EE EE EEN EE nee EELER v 69 — 75
Bulletin bibliographique
Supplément. — v sec dde sur l'ouvrage ~ de M. Konstantinof «Sur les fusées de
guerre». Par M. Jaco
On s’abonne : chez MM. Eggers & Ce, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de
l'Académie (Bounert, IIpagzegis Hwueparopexoi Axazemiu Hays) et chez M. Léopold Voss,
libraire à Leipzig.
Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie,
8 thalers de Prusse pour l'étranger.
BULLETIN
DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
Bericht über eine in den Sommermonaten des
Jahres 1863 unternommene wissenschaftliche
Reise, von Akad. J. F. Brandt. (Lu le 16 octobre
1863.)
Im Mai dieses Jahres ersuchte ich die Conferenz
mir eine wissenschaftliche Mission ins Ausland zu
ertheilen, um meine auf die vergleichende Osteologie
der Sirenien, so wie der Pachydermen bezüglichen
Materialien durch eigene Anschauung der uns fehlen-
den zahlreichen fossilen Formen zu vervollständigen.
Die Conferenz ertheilte diesem Vorschlage ihre Zu-
stimmung und in Folge der Vorstellung Sr. Erlaucht
unseres Herrn Präsidenten an Sr. Excellenz den
Herrn Minister der Volksaufklärung erfolgte die
hohe Kaiserliche Bestätigung.
Die Reise wurde am 18. Juni zu Schiffe nach
Stettin angetreten. Von da begab ich mich über
Neustadt-Eberswalde, wo ich meinen alten Freund
und frühern Mitarbeiter, den durch seine zahlreichen
Werke über Forst-Insekten berühmten Professor
Ratzeburg besuchte und über mehrere entomolo-
gische Gegenstände mich mit ihm besprach, nach
Berlin.
In Berlin sah ich die unter Reichert, Peters,
G. Rose und Beyrich stehenden anatomischen, zoo-
logischen und mineralogischen, sowie paläontologi-
schen, sehr reichen Sammlungen der Universität und
die unter Gurlt stehenden, von ihm geschaffenen
anatomischen Sammlungen der Thierarzneischule ,
nebst dem zoologischen Garten und dem physiologi-
schen Institute Dubois’s. Im anatomischen Museum
fesselten, ausser einigen Resten fossiler Pachydermen,
die bedeutenden Überreste der Zeuglodonten (der Pro-
totypen der Robben) meine besondere Aufmerksam-
keit. Die paläontologische Sammlung bot für meine
Studien ein fast vollständiges Skelet einer fossilen
Sirenie aus der Gattung Halitherium und zahlreiche
Knochen von Mastodonten. Bei Dubois zog ein | zu Darmstadt bot als für
lebender, electrischer Wels (Malapterurus electricus)
mich besonders an, Da nach den Statuten der Berliner
Tome VII.
|
Akademie ihre auswärtigen Mitglieder und Corre-
spondenten aufgefordert sind bei ihrer Anwesenheit in
den Sitzungen derselben zu erscheinen, so benutzte
ich diese Gelegenheit dazu der Akademie Mitthei-
lungen über meine neuesten, wissenschaftlichen Be-
schäftigungen zu geben und hielt einen kleinen Vor-
trag über die Sirenien und den Zahnbau der Ela-
smotherien.
In Halle besichtigte ich, von Professor Giebel ge-
führt, die zoologische Sammlung sowohl als die ana-
tomische, deren Hauptbestandtheil, namentlich in Be-
zug auf vergleichende Anatomie, die berühmte Meckel-
sche ausmacht, während ich durch Professor Volck-
mann’s Güte das unter seiner Leitung stehende phy-
siologische Institut in Augenschein nahm.
In Göttingen, wo ich die Bekanntschaft mit Henle .
erneuerte und den trefflichen Keferstein kennen
lernte (Rud. Wagner war leider schon verreist), zog
die berühmte craniologische Sammlung nebst dem
anatomischen und physiologischen Institute meine Auf-
merksamkeit auf sich.
Ein sehr kurzer Aufenthalt in Marburg verschaffte
mir die Bekanntschaft des Prof. Claudius, der mir
die von ihm gefertigten, ausgezeichneten Abgüsse der
innern Gehörorgane vieler Säugethiere zeigte.
In Giessen verkehrte ich, ausser mit meinem
durch mehrere ausgezeichnete, medizinische Schriften
berühmten, alten Studiengenossen und Freund, Prof.
Phoebus, sehr viel mit Prof. Leuckart und nahm
die dortigen Sammlungen und anatomisch-physiologi-
schen Institute wiederholt in Augenschein. Im ver-
gleichend-anatomischen, unter Leuckart stehenden
Institute, fesselte ein lebender Protopterus meine Auf-
merksamkeit. Herr Prof. Ecker theilte gütigst seine
neuen, merkwürdigen Untersuchungen über erectile
Gewebe mit.
Das unter Prof. Kaup stehende zoologische Museum
mich besonders wichtige
Gegenstände zahlreiche und bedeutende fossile Reste,
wovon mich, ausser dem, das Berliner noch übertreffen-
1
3
Bulletin de l'Académie Impériale
4
den, Skelet vom Halitherium, denen von Mastodon, Rhi-
noceros, Dorcatherium, Hyotherium, Coenotherium ete.,
die des Dinotherium und ein von Kaup dem Elasmo-
therium vindizirtes Schulterblatt, so wie die mit ihm
gepflogenen Discussionen noch spezieller interessiren
mussten.
Im ganz artigen Museum zu Wiesbaden konnte ich,
ausser vielen andern Gegenständen, die Reste vom
vorweltlichen Sus Meisneri betrachten.
Die reiche Frankfurter zoologische und osteolo-
gische Sammlung verschaffte mir Gelegenheit den-
jenigen Schädel des Dugong zu sehen, worauf Rüp-
pel’s Angabe, dass derselbe vollständige Nasenbeine
besitze, gestützt ist. Leider konnte ich aber dem
ausgezeichneten Reisenden hierin nicht beistimmen.
Auch streiten die zahlreichen Schädel, die in Berlin,
Giessen, Paris, Königsberg etc. von mir untersucht
wurden, gegen das constante Vorkommen von Nasen-
beinen bei den erwachsenen, ja selbst bei den jün-
gern Thieren. Nach dem Besuche der Sammlungen
begaben wir uns in den dortigen, schönen zoologischen
Garten.
In Mainz fand ich eine an Säugethieren und Vö-
geln reiche Sammlung, welche auch manche inte-
ressante Reste fossiler Thiere enthielt.
Das von Troschel neu aufgestellte zoologische
Museum der Universität Bonn gehört zu den reichsten
Deutschlands. Die durch Troschel’s Vorgänger, den
durch seine paläontologischen Arbeiten berühmten
Goldfuss, begründete reiche paläontologische Samm-
lung der genannten Universität bot eine Menge höchst
interessanter, zum Theil einzig vorhandener Reste
fossiler Thiere, selbst aus der Abtheilung der Wirbel-
thiere.
Während eines, freilich nur neuntägigen, Aufent-
haltes in Paris wurden die Menagerie und die Samm-
lungen des in der Nähe der von mir genommenen
Wohnung befindlichen Jardin des Plantes täglich
besucht. In der Menagerie zog, ausser mehreren von
mir noch nicht lebend gesehenen Säugethieren und
Vögeln, die von Valéet (ihrem Gardien) trefflich ver-
pflegte, reiche Sammlung von Reptilien und Amphibien
meine Aufmerksamkeit auf sich. Die zoologischen,
vergleichend-anatomischen, botanischen und anthro-
pologischen Sammlungen fesselten zwar gleichfalls
meine Aufmerksamkeit, indessen mussten meinen
wissenschaftlichen Zielen gemäss die paläontologi-
schen, jetzt unter d'Archiac stehenden, für diesmal am
meisten in Betracht kommen, da es galt die von mir
gesammelten Materialien für mehrere Abhandlungen
zu vervollständigen. Es wurden daher darin die fos-
silen Reste der Paläotherien, Lophiodonten, Anthra-
kotherien, Rhinoceroten, Toxodonten, Anisodonten und
Anoplotherien speziell vorgenommen um meine Kennt-
nisse über die Entwickelungsstufen der Hufthiere ver-
schiedener Epochen des Erdlebens zu erweitern. Mit
besonderem Interesse studirte ich unter andern den hin-
tern Schädeltheil (Hirnkapsel) eines rhinocerosartigen
Thieres, welches Duvernoy als Stereoceros beschrie-
ben hat, Kaup aber, dem ich beistimmen möchte, dem
Elasmotherium vindizirt. Die nähere Untersuchung
dieses Fragmentes veranlasste mich der Pariser Aka-
demie in der während meines Aufenthalts fallenden
Sitzung (Compt. rend. N° 10. 7 sept. 1863, p. 489)
eine kurze Mittheilung über Ælasmotherium zu machen
und in einer zweiten über meine vergleichende Oste-
ologie der Sirenien, Pachydermen und Cetaceen, die.
Behufs der genauern Feststellung der Verwandtschaf-
ten der Sirenien, bei Gelegenheit der speziellen Be-
schreibung des Knochengerüstes der Steller’schen
Seekuh, angestellt wurden, einen kurzen Bericht ab-
zustatten; bei welcher Gelegenheit die das genannte
Knochengerüst darstellenden Zeichnungen von den .
Sachkennern (Milne-Edwards, Blanchard, Ser-
res) mit gespannten Interesse betrachtet wurden.
Der treffliche Jardin d’Acelimatation im Bois de
Boulogne und Hrn. Guérin’s beachtenswerthe Pflanz-
schule der Ailanten- und Eichenseidenspinner in Join-
ville bei Vincennes empfingen zweimalige Besuche. -
Im Museum Orfila bewunderte ich eine treffliche
Sammlung anatomischer Prüparate. Auch konnte ich
es nicht unterlassen aus dem reichen Naturalien-
Magazin des Hrn. Verraux eine Anzahl Süugethiere
und Vógel für unsere Sammlungen zu acquiriren.
Gern hütte ich auch den nur in London und Paris
vorhandenen, eine Mittelbildung zwischen Makis und
Nagethieren darstellenden, berühmten, neuerdings von `
Owen ausführlich beschriebenen madagaskarischen'
Chiromys angekauft. Seine Acquisition würde eine
wahre Bereicherung und Zierde unserer Süugethier-
sammlung sein. Sie würde auch aus einem andern
Grunde wünschenswerth erscheinen. Ich habe nàm-
5 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 6
lich nach gedruckten Materialien und den Objecten
des Pariser Museums über das fragliche Thier zwei
Abhandlungen geschrieben, wovon eine sogar in un-
serem Bulletin abgedruckt ist, so dass die Gelehrten
dasselbe in unsern Sammlungen suchen werden.
Zu Strasburg, wohin ich mich von Paris aus begab,
hatte ich das Vergnügen die namhaften zoologischen
und schönen anatomischen Cabinette in Augenschein
zu nehmen.
In Basel zogen die von Rütimeyer gezeigten
Thierreste der Pfahlbauten meine Aufmerksamkeit auf
sich.
Während meines Aufenthaltes in Marseille be-
suchte ich den dortigen, ganz interessanten, mit Ge-
wüchsen wärmerer Himmelsstriche reichlich ausge-
statteten, durch seine geographische Lage die erfolg- jetzigen Beschäftigungen , die eines von Brocchi
reiche Anzucht von Thieren wärmerer Gegenden,
z. B. von Straussen, begünstigenden zoologischen
Garten.
Das unter dem bekannten Naturforscher Verany
stehende Museum der Stadt Nizza, wo ich mich fast
zwei Wochen aufhielt, enthält bis jetzt als besonders
beachtenswerthe Gegenstände nur einige sehr seltene
Fische und eine Zahl Evertebraten des Mittelmeeres
nebst den Originalien zu Verany's schóner Arbeit
über Cephalopoden. Ein grosser Saal desselben ist von
einer Sammlung trefflich in Gyps bossirter Pilze
eingenommen, die in botanischer Hinsicht ein grosses |
. Interesse gewühren. Herr Verany nahm mich sehr
freundlich auf, zeigte seine schönen Zeichnungen zu
einer Monographie der Doriden des Mittelmeeres,
theilte mir mehrere interessante Thiere mit, und unter-
stützte mich mit seinem Rathe bei den zoologischen
Forschungen und Sammlungen. Von Interesse für mich
war es ausser vielen andern Seethieren lebende Exem-
plare von Pelagia und Cassiopea zu beobachten. Der
Fischmarkt wurde natürlich täglich besucht und viele
Seethiere gesammelt.
Das reizende Genua, wohin ich zu Schiffe von
Nizza aus fuhr, besitzt ein ganz hübsches Museum,
worin vorzüglich eine namhafte Zahl von seltenen
Fischen und niedern Thieren des Mittelmeeres Auf-
merksamkeit erregten. Leider war der mir von früher
her bekannte Director desselben (Prof. Lessona)
gerade am Tage meines Aufenthaltes mit Prüfungen
LI
so beschüftigt, dass er nicht selbst alle Merkwür-
digkeiten zeigen konnte.
Das schóne, moderne Turin erfreut sich bei weitem
noch reicherer zoologischer, vergleichend - anatomi-
scher und paläontologischer Sammlungen als Genua,
wovon die erstgenannten unter dem ausgezeichneten,
mir durch seinen vorjährigen Aufenthalt in Peters-
burg bereits bekannten Professor Filippo de Filippi
stehen, der so gütig war mir als Führer zu dienen.
Die ausgestopften Gegenstünde zeichnen sich durch
gelungene Prüparation aus. Ausser vielen seltenen
Bewohnern des Mittelmeeres betrachtete ich die ana-
tomischen Präparate der Weichtheile mit Interesse.
In der palüontologischen Abtheilung zogen die Ske-
lete des Megatheriwm und fossilen Riesengürtelthieres,
ganz besonders aber noch, nach Maassgabe meiner
beschriebenen fossilen sirenenartigen Thieres die Auf-
merksamkeit auf sich. Das fragliche Thier dürfte nàm-
lich nach meiner Ansicht, wenn auch gerade keine be-
sondere Gattung, wie Brocchi meint, doch wenigstens
eine Untergattung der fossilen Gattung Halitherium
bilden. (Siehe meine Symbolae). Es verdient dasselbe
aber, nach meiner Meinung, von Seiten der Paläonto-
logen Russlands eine um so grüssere Beachtung, da die
schmalen, dicken Rippen desselben’ eine täuschende
Ähnlichkeit mit den im südlichen Russland gefun-
denen sogenannten Manati-Rippen bieten. — In den
Sammlungen des neu errichteten dortigen techno-
logischen Institutes, wohin Hr. Prof. Filippi mich
führte, zeigte mir Prof. Gastaldi die von ihm kürz-
lich beschriebenen Reste des Anthracotherium ma-
gnum, worunter ein ganzer Unterkiefer sich befand,
Der letztere bestätigte meine, auch von Gastaldi
getheilte Ansicht, dass die Anthracotherien keine be-
sondere Familie bilden können, sondern als Abtheilung
der Schweine zu betrachten sind. Die Reste von
Schweinen wären also als diejenigen Pachydermen-
reste anzusehen, welche in ältern Schichten als die
anderer Pachydermen bis jetzt in West-Europa ge-
funden wurden. Ausser den Anthracotherien-Resten
sah ich dort auch viele Gegenstände aus den im
Modenesischen aufgefundenen Pfahlbauten. Unter
denselben befanden sich zwei menschliche Schádel
und eine Schádeldecke. Der eine Schädel gehört der
kurzkópfigen Form an und bietet keinen oben stark
jr
7
Bulletin de l'Académie Impériale
vorragenden Oberkiefer, der beim andern, ebenfalls
kurzköpfigen, sehr bedeutend vortritt. Die Schädel-
decke weist entschieden auf einen langköpfigen Schä-
del hin. Endlich zog ein schöner, fossiler Walfisch-
schädel der genannten Sammlung meine Aufmerksam-
keit aufsich. Er zeigt eine täuschende Aehnlichkeit mit
dem von Balaenoptera (Pterobalaena) minor und ge-
hört dem von Cuvier beschriebenen Cortesi’schen
Thiere an, wovon das Mailänder Museum zwei Skelete
besitzt. Das Cortesi’sche Thier ist also, wie ich früher
glaubte, kein Cetotherium; ja könnte der, ehedem viel-
leicht auch im Mittelmeer vorgekommenen, Balaeno-
ptera minor, oder einer ihr sehr nahen Art, angehört
haben. i
Im naturhistorischen Museum der Stadt Mailand,
das sich in einem, im herrlichen Giardino pubblico be-
findlichen, schónen, eigenen, durch Anbau in Vergrós-
serung begriffenen Gebäude befindet, führte mich der
Director desselben, Hr. Prof. Jan, herum. Die zoolo-
gische Sammlung, welche zu den reichern Europa's
gehórt, enthält zahlreiche Repräsentanten aus allen
Thierklassen. Die Amphibien sind ganz besonders
stark vertreten, was namentlich von den Schlangen
gilt, deren Artenzahl die jeder andern Sammlung über-
steigt. Es erklürt sich dies daraus, dass Jan die Am-
phibien, namentfich die Schlangen, wovon er gegen
tausend Arten kennt, zum Gegenstande seiner beson-
dern Studien gemacht hat. Bereits sind von ihm meh-
rere darauf bezügliche Arbeiten erschienen, zu andern
sind zahlreiche Beschreibungen und Zeichnungen, wo-
von ich einen Theil sah, bereits vorhanden. — Die
paläontologische Abtheilung bot mir, ausser anderen
Gegenständen, die bereits oben erwähnten Skelete der
Cortesi'schen Balaenoptera, die ich in Bezug auf Ba-
laenoptera minor nàher betrachtete, wobei sich her-
ausstellte, dass mein Cetotheriwm Rathki ein ganz ver-
schiedenes Thier gewesen ist.
Venedig, wo ich den durch viele naturhistorische
Schriften bekannten Doctor Dominico Nardo kennen
lernte, besitzt bis jetzt eine erst im Werden begrif-
fene Sammlung seines Landesgebietes, die aber doch,
besonders unter den Fischen, manche beachtens-
werthe Stücke enthält. Ich sah dort namentlich die
im adriatischen Meere vorkommenden Stóre durch
grössere, die Artkennzeichen deutlich aussprechende
Exemplare vertreten. Ich bin dadurch zweifelhaft
geworden, ob der dortige Huso und Sturio wirklich
zu diesen Arten gehóren. Die dritte mir gezeigte Art
(Acipenser Nakarii) ist entschieden eine eigenthüm-
liche.
Wien, wohin ich direkt von Venedig aus reiste,
konnte, da die Zeit drängte, nur ein einziger Tag ge-
widmet werden, so dass es sogar nicht einmal móg-
lich wurde das von mir früher schon wiederholentlich
besuchte Hofnaturalien - Cabinet in Augenschein zu
nehmen. Den Vormittag und Abend verbrachte ich
in der geistreichen und lehrreichen Gesellschaft un-
seres dortigen Correspondenten Prof. Hyrtl, der die
Güte hatte, ausser der von ihm begründeten verglei-
chend-anatomischen Sammlung der Universität, auch
seine zum Verkauf ausstehende, viele Seltenheiten
bergende Privatsammlung zu zeigen. Der Nachmittag
wurde dem Besuche des unter Dr. Jäger’s Leitung
stehenden zoologischen Gartens gewidmet. ` `
In Prag sah ich das anatomische Cabinet der
Universität, welches manche schöne, interessante Prä-
parate enthält, sowie das Böhmische National- Mu-
seum. In letzterem konnte ich durch die Güte des
Herrn Conservator Fritsch die vor zehn Jahren
ausgegrabenen, aber noch immer nicht beschriebenen
Skeletreste eines Dinotherium näher betrachten, jenes
merkwürdigen, riesenhaften Thieres, über dessen ver-
wandtschaftliche Stellung die Naturforscher noch jetzt
sehr getheilter Meinung sind. Die Reste bestehen `
aus dem charakteristischen Unterkiefer, dem Atlas,
vielen Fussknochen, dann vielen Fragmenten von
Wirbeln und Bruchstücken der Schulterblätter, sowie
der Schenkelknochen, so dass ein kundiger Osteolog
bald dazu gelangt die Stelle des Thieres im System
zu bestimmen. Sie bestütigten die von mir bereits
aus dem Studium des Schádels nach einem Gypsabgusse
des hiesigen Bergcorps und dem ebendaselbst befind-
lichen Modell des Oberschenkels gewonnene, in einer
der Akademie im vorigen Jahre vorgelegten Abhand-
lung von mir vorgetragene, Ansicht: dass das Dino-
theriwm ein elephantenartiges, den Mastodonten zu-
nüchst stehendes, aber zu den Tapiren neigendes Thier
gewesen sei. Die bis jetzt noch nicht gedruckte, er-
wähnte Abhandlung wird also wesentliche Zusätze er-
halten und dürfte wohl den Abschluss des Streites
über die Stellung des Dinotherium herbeiführen. Ob-
gleich mich die Dinotherienfrage in Prag ernstlich
9 des Sciences de Saint- Petersbourg. 10
beschäftigte,'so verabsäumte ich doch nicht dem aus-
gezeichneten Physiologen Purkinje, den ich seit
mehr als dreissig Jahren nicht gesehen hatte, einen
Besuch abzustatten. Der freundliche Nestor der Phy-
siologen zeigte mir sein trefflich eingerichtetes phy-
siologisches Institut.
Die zoologischen Sammlungen Dresdens, wo ich
leider aus Zeitmangel nur Carus und Reichenbach
sehen konnte, zeichnen sich vor allen anderen durch
die reichste Sammlung von Nestern und Eiern der
Vögel aus, die hauptsächlich‘ durch den Ankauf der
ungemein reichen Sammlung des bekannten verstor-
benen Oologen Thienemann gewonnen wurde. Be-
merkenswerth erscheint mir noch, dass in der zoolo-
gischen Sammlung Dresdens Aquarien eigener Art
aufgestellt sind. Es sind 16 mit Wasser gefüllte, glä-
serne Schüsseln, worin sich aus Glas von Herrn Leop.
Blaschka, unter Reichenbach’s Leitung, angefer-
tigte, die Natur täuschend nachahmende Seeanemo-
nen (Actinien) befinden, die durch ihre blumenähn-
liche Gestalt und oft herrlichen Farben die Augen
der Beschauer wahrhaft zu fesseln und auf den ersten
Blick zu täuschen vermögen. Ich habe einige Pro-
ben davon acquirirt.
Mit Königsberg, wo mich Prof. Zaddach im zoo-
logischen und Prof. Müller im anatomischen Museum
herumführten, enden die anatomisch-zoologischen und
paläontologischen Studien und Wahrnehmungen, da
die Zeit zur Rückkehr ernstlich mahnte. |
Auf meinen Reisen beschränkte ich mich indessen
nicht auf die Beobachtungen von lebenden Thieren
oder Theilen derselben, um meine Kenntnisse zu er-
weitern, sondern ich war auch bestrebt drei andere
Aufträge zu erfüllen, deren Ziel ein praktisches, zum
Theil allgemein nützliches war.
Die medizinische Akademie wünschte, dass ich
Seethiere zur Anfertigung von Präparaten oder zur
Aufstellung für ihr Museum sammeln möchte. Der
Aufenthalt in Nizza und Villafranca begünstigte die
Erfüllung dieses Wunsches, wobei auch manche für
das Museum unserer Akademie geeignete Stücke er-
worben wurden.
Ebenso musste der medizinischen Akademie, wo
jetzt unter meiner Leitung praktische, zootomische
Übungen angestellt werden sollen, daran liegen, dass
ich von den dahin einschlagenden Instituten Kennt-
niss nähme. Durch den Besuch von Halle, Göttingen,
Giessen, Bonn und Prag wurde auch dieser zweite
Wunsch befriedigt.
Endlich fand auch eine praktisch -zoologische und
allgemein industrielle Angelegenheit die öglichst
Erledigung. Der Herr Minister der Reichsdomänen
hatte mich nämlich beauftragt einen ausführlichen
Bericht über den Standpunkt des Seidenbaues, na-
mentlich über die Ergebnisse und Vortheile der Zucht
des von den Blättern der Aüantus glandulosa sich
nährenden Seidenwurmes Bombyx Cynthia abzustatten.
Die in und bei Berlin, dann in Paris und Joinville
desfalls angestellten Nachforschungen verschafiten
mir hinreichende Materialien zur Lösung dieser Auf-
gabe. In Joinville wurde ich namentlich durch Gué-
rin- Méneville's Freundlichkeit wesentlich unter-
stützt. —— Überdies habe ich, obgleich dies nicht zu
meiner eigentlichen Aufgabe gehörte, in Deutschland
mehrfache Notizen über die erspriessliche, weite, in
der neueren Zeit erfolgte Ausbreitung der Cultur der
Maulbeerseidenraupe gewonnen, da die Mittheilung
derselben anregend für Russland wirken könnte.
Über den Sinus communis und die Valvulae der
Venae cardiacae, und über die Duplicitát der
Vena cava superior bei dem Menschen und
den Säugethieren, von Prof. W. Gruber. (Ex-
trait.) (Lu le 16 octobre 1863.)
Die Abhandlung zerfällt in vier Abtheilungen.
In der 1. habe ich den Sinus communis venarum car-
diacarum, in der 2. die Valvulae venarum cardiaca-
rum, in der 3. die Entwickelung und Bedeutung des
Sinus communis mit der Pericardialfalte zur Auf-
nahme des Restes der mittleren Portion der Vena
cava superior sinistra primitiva, in der 4. endlich die
Duplicität der Vena cava superior bei dem Menschen
und den Säugethieren abgehandelt.
Die Abhandlung stützt sich auf eine enorme An-
zahl Untersuchungen, welche ich an 130 Herzen oder
Leichen des Menschen vom viermonatlichen Em-
bryo aufwärts und an mehr als 80 Herzen oder Lei-
chen von 31 Säugethier-Genera, die entweder
Duplicität der Vena cava superior aufweisen oder
Bulletin de l’Académie Impériale
nur eine einfache Vena cava superior besitzen, vor-
genommen habe. In der Unterabtheilung — Dupli-
cität der Vena cava superior beim Menschen —
habe ich der Geschichte aller mir in der Literatur
zugänglichen und seit 1654 von Anderen und mir
veröffentlichten Fälle die ausführliche Beschrei-
bung 3 neuer merkwürdiger Beobachtungen fol-
gen lassen.
John Reid — The Cyclopaedia of anatomy and
physiology. Vol. Il. London 1839. — Heart — p. 597
— hat nachgewiesen, dass im hinteren linken Theile
des Sulcus atrioventricularis des Herzens ein verschie-
den grosser venóser Kanal mit musculósen Wän-
den existire, welcher am Ostium der Vena coronaria
magna auct. in das Atrium dextrum münde. John
Marshall — On the development of the great an-
terior veins in Man and Mammalia etc. Philos. Trans-
act. of the Royal Society. London 1850. Part 1. 4°
p. 133 — entdeckte 11 Jahre später, dass dieser Ka-
nal der offene Rest der Vena cava superior sinistra
primitiva sei, welcher im Sulcus atrioventricularis des
Herzens liegt.
Reid und Marshall behaupten, der Kanal be-
ginne beim Menschen immer, oder doch in der Re-
gel, plótzlich dilatirt. Diese Behauptung ist nach mei-
nen Untersuchungen unrichtig. Ich fand den Sinus
communis beim Menschen überhaupt nur in 7, d. F.
wirklich abgegränzt. Davon habe ei die Abgränzung
von der Vena coronaria magna an '/, d. F. durch eine
plótzlich auftretende Dilatation geringeren Grades,
an 7, d. F. durch eine furchenartige Einschnürung
herbeigeführt gefunden. Bei den Sáugethieren fand
ich die Abgränzung des Sinus communis von der Vena
coronaria magna durch eine Einschnürung allein nur
selten, durch eine plötzlich auftretende Dilatation ge-
ringeren Grades, oder sogar auffallenden Grades,
welche letztere Art beim Menschen nur ausnahms-
weise vorkommt, häufig. Wegen der Dilatation nen-
nen Reid und Marshall den Kanal Sinus und zwar
Sinus venae coronariae magnae. Ich halte diese Be-
nennung für unpassend und schlage dafür: Sinus com-
munis venarum cardiacarum vor, weil dieser der Vena
coronaria magna nicht allein, sondern allen Venae
cardiacae angehórt, die sich nieht unmittelbar in das
Atrium dextrum ergiessen, dann nicht als Dilatation
einer der Venae posteriores ventriculorum cordis,
| ventriculi attri
also auch nicht als eine solche der Vena coronaria
magna zu nehmen ist.
Der Sinus communis ist beim Menschen nicht
genug allseitig und vollständig, bei den Säugethie-
ren, bei welchen er sich in so mancher Hinsicht von
dem des Menschen verschieden verhält, bis jetzt
eigentlich gar nicht näher beschrieben worden. Dies
gilt auch von manchen Venae cardiacae, namentlich
von jenen der Sáugethiere, welche sich in diesen
Sinus münden. Ich fand es deshalb für nóthig den
Sinus bei dem Menschen und den Säugethieren ge-
nauer abzuhandeln und über die Mündungen der Ve-
nae cardiacae in denselben etc. bestimmtere Angaben
zu liefern. Ausnahmsweise fand ich beim Menschen,
Simia sp.?, Equus caballus, namentlich aber bei Phoca
vitulina einen wirklichen Sinus proprius venae me-
diae, ferner beim Menschen und Sus scropha eine Art
Sinus proprius venae coronariae magnae sens. strict.;
und endlich beim Menschen noch eine Art Sinus pro-
prius venae posterioris et marginalis ventriculi sinis-
tri. Der merkwürdige Sinus proprius venae mediae,
den ich in einem Falle bei Phoca vitulina gesehen
habe, mündete durch 8 spaltförmige Ostia in den Bi-
nus communis venarum cardiacarum.
Beim Menschen nimmt der Sinus communis un-
mittelbar auf: constant die Vena coronaria magna;
constant die Vena posterior atrii sinistri, wenn sie
vorhanden ist; fast constant die Vena media; in der
Regel die Vena posterior ventriculi sinistri, biswei-
len die Vena marginalis ventriculi AH. in der.
Mehrzahl der Fälle mit Vorkommen der anomalen Vena
coronaria parva s. dextra diese Vene; endlich eine un-
beständige Anzahl Venae accessoriae und Venae aus
der Tiefe der Herzenssubstanz. Bei den Sáugethie-
ren nimmt der Sinus communis oder der ihm ent-
sprechende venöse Kanal unmittelbar auf: bei allen
die Vena coronaria magna, bei allen die Vena poste- —
rior atrii sinistri, wenn sie zugegen ist; bei den mei- .
sten die Vena hetia! bei einigen die Vena posterior *
ventriculi sinistri; bei einigen die Vena marginalis 5
bei einem die Vena coronaria
parva s. dextra; bei einigen die Vena tere
endlich kleine Bh constante Venen.
Beim Menschen ist die Valvula Thebesii am
Ostium des Sinus communis in das Atrium dextrum,
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
LE)
so wie die Valvula am Ostium der Vena media in
denselben allerdings Jängst bekannt. Auch hat Vieus-
sens — Traité nouveau de la structure et des causes
du mouvement naturel du coeur. Toulouse 1715, 4°
p. 56 — schon vor 148 Jahren eine Valvula be-
schrieben, welche J. Reid— Loc. cit. — vor 24 Jah-
ren wieder entdeckte und an das Ostium der Vena
coronaria magna in seinen Sinus venae coronariae =
unserem Sinus communis venarum cardiacarum ver-
legte. Eben so hat J. B. Morgagni — Epist. anat.
Bassani 1764. Fol., XV, No. 22, p. 292 — vor 99
Jahren der Valvulae an den Ostia noch anderer Ve-
nae cardiacae, welche Marshall — Op. eit. p. 134.
147.— vor 13 Jahren der Vergessenheit entriss, er-
wühnt. Allein die Angaben álterer Zergliederer über
die Valvula Thebesii und die Valvula an der Vena
media sind nicht immer richtig; die Angaben neue-
rer Zergliederer über die Valvula Vieussenii am Os-
tium der Vena coronaria magna in den Sinus com-
munis sind nicht genug allseitig und auch nicht un-
zweifelhaft richtig, weil sie ja mit einander gerade-
zu im Widerspruche stehen. Die Valvulae an den
Ostia der Venae posteriores ventriculi sinistri sind
fast nur obenhin erwühnt. Bei dem Menschen habe
ich die Valvula Thebesii in "5, d. F. und nur ein-
fach; die Valvula der Vena media in 7, d. F. und
viel häufiger einfach als paarig und mehrfach; die
Valvula der Vena coronaria parva s. dextra in %, d.
F. einfach; die Valvula Vieussenii in VÀ der Fälle und
nicht viel häufiger einfach als paarig; die Valvula der
Vena posterior ventriculi sinistri, bei deren Vorkom-
men als grösseres Gefäss und bei ihrer Einmündung
in den Sinus communis, in + /,d. F. und meistens ein-
fach; die Valvula der Vena marginalis ventriculi si-
nistri, bei deren Vorkommen als grösseres Gefäss
und Ihrer Einmündung in den Sinus communis oder
in die Vena coronaria magna, in — '/ d. F. meistens
einfach; und niemals eine Valvula am Ostium der
Vena posterior atrii sinistri gesehen. In den Fällen
des Vorkommens eines Sinus proprius der Vena me-
dia sah ich an ihrer Einmündung in ersteren immer
eine einfache oder paarige oder aus 3 Segmenten be-
stehende Valvula. Im Verlaufe des Sinus communis
und in den Stämmen der Venae cardiacae vermisste
ich wie Andere Valvulae. Bei den Säugethieren
ist über die Valvulae der Venae cardiacae (abgesehen
von der Valvula Thebesii) nur sehr wenig bekannt.
Ich habe ausser den Valvulae, welche an den Ostia
der Venae cardiacae posteriores in das Atrium dex-
trum, oder in den Sinus communis, oder in die Vena
coronaria magna sens. striet., so weit diese im hinte-
ren Theile des Sulcus atrioventricularis liegt, ähnlich
wie beim Menschen vorkommen, auch Valvulae an
den Ostia mancher Äste der noch übrigen Portion
der Vena coronaria magna, der Vena media und so-
gar der Vena posterior atrii sinistri bei Sus scropha,
Equus caballus, Camelus dromedarius, Bos und Phoca
vitulina entdeckt, die beim Menschen fehlen. Aus-
ser den Valvulae terminales giebt es bei den Säuge-
thieren auch Valvulae in den Stämmen der Venae
cardiacae selbst, welche beim Menschen vermisst
werden. Nur Reid — Loc. cit. Note — hat der Exi-
stenz von Valvulae im Stamme der Vena coronaria
magna bei Equus caballus et asinus erwäbnt. Ich
habe dieselben nicht nur bei Equus caballus, sondern
auch bei 5 anderen Genera aus den Ordnungen der
‚arnivora, Bisulca und Pinnipedia d. i. bei Ursus arctos,
Hyaena striata et crocuta, Camelus dromedarius, Au-
chenia Lama und Phoca vitulina und unter den Säu-
gethieren mit einer doppelten Vena cava superior
bei einem Genus aus den Pachydermata d. i. bei Ele-
phas wie Vulpian et Philipeaux vorgefunden. Ich
habe sie nicht nur im Stamme der Vena coronaria
magna, sondern auch im Stamme der Vena media, ja
sogar in den Stämmen der Vena posterior ventriculi
sinistri und in dem Stamme der Vena marginalis ven-
triculi sinistri angetroffen. Ich fand es somit für noth-
wendig, die Anatomie der Valvulae venarum cardia-
carum ebenfalls zu liefern.
Ich habe nach den von Marshall entdeckten offe-
nen und verschlossenen Resten der Vena cava supe-
rior sinistra primitiva bei dem Menschen und den
Süugethieren geforscht. Bei dem Menschen habe
ich sie ungefähr so gefunden, wie sie Marshall be-
schrieben hat, abgesehen von dem offenen Endreste,
d. i. von der Vena posterior atrii sinistri und dem
Sinus communis venarum cardiacarum. Aber ich habe
bei einem 50jährigen Manne die mittlere Portion der
obliterirten Vene sogar als ein wirkliches platt rund-
liches Ligament vorkommen sehen, was bis jetzt
noch nieht beobachtet worden war. Bei den Sáuge-
thieren fand ich besonders Cavia durch die Mannig-
15
Bulletin de l’Académie Impériale
16
om
faltigkeit der regressiven Metamorphose ihrer Vena
cava superior sinistra primitiva ausgezeichnet. Unter
9 Exemplaren von diesem Thiere existirte an einem
diese Vene rudimentär; an einem anderen hatte sich
der Abschnitt der Vene, welcher der Vena jugularis
primitiva angehört, zu einem Faden, und der Ab-
schnitt, welcher dem Ductus Cuvieri sinister entspricht,
zum Endstücke der Vena hemiazyga oder Vena inter-
costalis superior und zum Sinus communis venarum
cardiacarum metamorphosirt; an einem dritten war
die Vene an jenem ersten Abschnitte völlig vergangen,
am anderen Abschnitte wie am zweiten Exemplare be-
schaffen; an anderen vier hatte sich die Vene an ih-
rer der Vena jugularis primitiva zukommenden Portion
in das Endstück der Vena intercostalis superior si-
nistra oder Vena hemiazyga bei deren Einmündung in
die Vena anonyma sinistra, die im Sulcus atrioven-
tricularis liegende Portion in den Sinus communis
venarum cardiacarum, und die mittlere Portion in
einen Faden umgebildet; an noch zwei anderen
hatte sich die obere Portion der Vene so wie bei den
früheren vier Exemplaren metamorphosirt, die am
Herzen liegende Portion aber in die Vena posterior
atrii sinistri und in den Sinus communis venarum car-
diacarum, die noch übrige mittlere Portion in einen
Faden verwandelt.
Die Pericardialfalte, welche den Rest der mitt-
leren Portion der Vena cava superior sinistra primi-
tiva nach Marshall's Entdeckung enthált, durch diese
Beziehung eine Bedeutung erhält und zu jenem Reste
so sich verhält, wie das Ligamentum suspensorium
hepatis zur obliterirten Vena umbilicalis, hat Mar-
shall nicht entdeckt. Sie war schon 9 Jahre vor ihm
von Fr. W. Theile erwähnt worden. Beim Men-
schen kommt die Falte keineswegs ganz so constant
vor, wie Marshall meint. Ich habe sie auch auf eine
Leiste reducirt vorgefunden, oder sogar ganz ver-
misst. Unter den Säugethieren fand ich sie nur bei
Simia ühnlich beschaffen wie beim Menschen und wie
bei diesem zwischen der Theilungsstelle der Arteria
pulmonalis communis und dem Atrium sinistrum aus-
gespannt gelagert. Bei anderen Thieren fand ich sie
bald vor, bald vermisste ich sie. Wo sie vorkam stieg
sie als eine schmale Falte vor der Arteria pulmona-
lis sinistra herab, war aber nicht zwischen die Arte-
ria pulmonalis und das Atrium sinistrum eingescho-
ben. Wo sie mangelte, war sie bald ganz verwischt,
bald an einer Leiste noch erkennbar.
Ich habe von den Fällen der Duplicität der Vena
cava superior beim Menschen 32 sichere und 4
zweifelhafte in der Literatur auffinden und zusammen-
stellen können, abgesehen von jenen, welche bei Dop-
pelmissbildungen vorkamen. Zu diesen bereits ver-
öffentlichten Fällen, wovon zwei mir angehören, ge-
sellte ich noch 3 neue merkwürdige Fälle. Den
einen Fall: «Hygromata cystica congenita occipitis,
cervicis, thoracis; Duplicität der Vena cava superior $
und transversaler Communicationsast zwischen den
Venae cavae superiores —» fand ich bei einem weib-
lichen Embryo im 5. Monate vor; den anderen Fall:
— «Vena cava superior dextra und ihre Äste die Vena `
anonyma dextra und sinistra wie die Vena cava su-
perior und die Venae anonymae normaler Fälle ent-
wickelt; schwache Vena cava superior sinistra» —
traf ich bei einem männlichen neugeborenen Kinde
an; den dritten Fall endlich: — «Duplicität der Vena
cava superior; linkseitige Vena azyga und rechtsei-
tige Vena hemiazyga media» — beobachtete ich be
einem 25 — 30jährigen Manne. Das Individuum des
ersten Falles ist das jüngste aller bis jetzt bekann-
ten Fälle; der zweite Fall ist ein Unicum, in welchem
trotz der Metamorphose des transversalen Astes der
Venae jugulares primitivae zur völlig ausgebildeten —
Vena anonyma sinistra, die Vena cava superior si- M
nistra in Folge der Hemmung ihrer regressiven Me- `
tamorphose in schwachem Zustande persistirte; der
M
dritte Fall endlich ist durch das Verhalten der Ve- —
nae azygae bemerkbar.
a
Aus den bis jetzt bekannten Fällen der Duplicitàt
der Vena cava superior beim Menschen konnte ich.
ausser anderen Schlüssen auch folgende ziehen.
MIS RE
1. DieDuplicitüt der Vena cava superior ist hóchst i |
wahrscheinlich seit mehr als 200 Jahren bekannt. :
Trotzdem und selbst bei Mitrechnung der zweifelhaf- ; |
ten Fälle und bei Zuschlag einer Summe für die in —
der Literatur vielleicht noch verzeichneten, mir aber —
Kai E
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unzugänglichen Fälle, dürfte die Zahl der bis jetzt
vorgekommenen und veröffentlichten doch kaum ein
halbes Hundert überschreiten.
2. Dieselbe kommt häufiger bei wohlgebildeten Hd
als bei monströsen Körpern, wohl auch häufiger bei
A
À
i
17
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
dem männlichen als bei dem weiblichen Geschlechte
vor.
3. Dieselbe tritt öfters mit sehr seltenen oder doch
ungewöhnlichen Bildungen auf.
. 4. Bei derselben persistirt bisweilen der transver-
sale Ast der Venae jugulares primitivae als transver-
saler Communicationsast zwischen den Venae cavae
superiores.
5. Dieselbe tritt mit Duplicität der Vena azyga;
oder mit einer Vena azyga dextra und einer Vena
hemiazyga sinistra; oder mit einer Vena azyga sinis-
tra und Vena hemiazyga dextra; oder mit einer Vena
azyga sinistra und Vena hemiazyga dextra media auf.
6. Die im Sulcus atrioventricularis des Herzens
gelagerte Portiog der Vena cava superior sinistra
entspricht dem Sinus communis venarum cardiacarum
der Fälle mit einfacher Vena cava superior. Erstere
nimmt dieselben Venae cardiacae auf wie letzterer.
Die in die Vena cava superior sinistra mündenden
Venae cardiacae sind an ihren Ostia mit ähnlichen
Valvulae versehen, wie dieselben Venen bei ihrer
Einmündung in den Sinus communis venarum cardia-
carum. ` :
- VondenSäugethieren, welche eine doppelte Vena
cava superior besitzen, habe ich von 30 Exemplaren
aus 11 Genera die bis jetzt fehlende nähere Beschrei-
bung der in die Vena cava superior sinistra mündenden
Venae cardiacae geliefert. Beim Elephanten habe
ich die Venae cardiacae nicht direct in die Vena cava
superior sinistra, sondern zuvor in zwei Sinus pro-
prii münden gesehen. Ebenso habe ich die bis jetzt
unberücksichtigt gebliebenen Valvulae, welche an den
Ostia der Venae cardiacae in die Vena cava superior
sinistra vorkommen, beschrieben. Über den Apparat
der Valvulae an den Ostia der 3 Venae cavae habe
ich das Bekannte zusammengestellt und Neues mit-
getheilt. Unter anderen Valvulae habe ich bei Eri-
naceus eine merkwürdige spiralfórmige Val-
vula entdeckt, die zu den Ostia aller 3 Venae cavae
in Beziehung steht. Dieselbe Valvula habe ich auch
beim Elephanten ausgezeichnet-entwickelt vorge-
funden, aber auf eine andere Weise angeordnet ge-
sehen als sie G. Cuvier, Vulpian et Philipeaux
beschrieben haben. Bei dem von mir untersuchten
25 Jahre alten männlichen Thiere war die Valvula
14 Zoll lang.
Tome VII.
Von den Säugethieren, welche eine einfache
Vena cava superior besitzen, kennt man bis jetzt nur
drei, bei welchen ebenso wie beim Menschen ano-
maler Weise Duplicität dieser Vene vorkommen kann,
d. i. Canis familiaris nach einer Beobachtung von
Bardeleben, Cavia nach einer eigenen Beobach-
tung und vielleicht auch nach Beobachtungen von
Meckel, und Felis domestica nach einer eigenen
Beobachtung.
Die Wände der Vena cava superior sinistra bei
dem Menschen und den Sáugethieren fand ich in
allen jenen Fällen, in welchen ich ihren Bau unter-
suchte, bald an dem ganzen intrapericardialen Ab-
schnitte der Vene, bald nur an der im Sulcus atrio-
ventricularis des Herzens gelagerten Portion dersel-
ben deutlich musculós. Die Muskelhaut dieser
Vene an der letzteren Portion bestand bei Elephas
sogar aus drei Schichten, d. i. aus einer äusseren
longitudinalen, aus einer mittleren ringfórmi-
gen und aus einer inneren longitudinalen Schicht.
Die áussere longitudinale Schicht beschränkte sich
nur auf die hintere Wand des Venenrohres und kam
der Vena cava superior sinistra und beiden Atria des
Herzens gemeinschaftlich zu; die beiden anderen
Schichten aber umgaben den ganzen Umfang des Ve-
nenrohres und waren der Vena cava superior sinistra
eigenthümlich. |
Über den Nebelfleck des Orion. Auszug aus ei-
nem Schreiben an den beständigen Secretair
der Akademie der Wissenschaften, von A.
Winnecke. (Lu le 30 octobre 1863.)
Schon in den Jahren 1852 und 1853 sind von
Lassell mit einem von ihm selbst verfertigten grossen
Spiegeltelescope, dessen Öffnung zwei Fuss beträgt, in
Malta sehr wichtige Beobachtungen über die so
schwierig wahrzunehmenden Satelliten von Uranus
und Neptun, sowie über einige Nebelflecke, ange-
stellt. In neuerer Zeit ist es Lassell gelungen, ein
noch bei weitem grösseres Telescop anzufertigen —
die Öffnung desselben beträgt vier Fuss — mit dem
er im verflossenen Jahre wiederum nach Malta über-
gesiedelt ist, um unter dem schönen dortigen Klima
einige Jahre der Erforschung des gestirnten Himmels
mit diesem Instrumente zu weihen.
2
Bulletin de l'Académie Impériale
Ein Hauptzweck der visseuscka leben Reise O.
Struve's besteht in der Vergleichung der Leistungen | 9
dieses neuen Reflectors mit denen des Pulkowaer Re-
fractors. Um eine solche Vergleichung móglichst sicher
zu machen, habe ich es für angemessen gehalten,
gleichzeitig einige schwierige Objecte am Pulkowaer
Refractor zu beobachten, von denen eine Variabilität
der Helligkeit mehr oder weniger wahrscheinlich ist.
In dem vergangenes Jahr publicirten Memoire:
«Observations de la grande nébuleuse d'Orion» hat O.
Struve pag. 118 ff einen Generalcatalog aller derje-
nigen im Orionnebel von verschiedenen Astronomen
verzeichneten Sterne gegeben, deren Existenz im hie-
sigen Refractor von 15 Zoll Öffnung sicher constatirt
ist. Bei Bestimmung der relativen Helligkeit von
schwachen Sternen in der Nàhe des Trapezes, deren
Variabilitit nach der Beobachtung von O. Struve
kaum einem Zweifel unterliegt, bemerkte ich am 8ten
Oct. einen nicht im Verzeichnisse aufgeführten schwa-
chen Stern in der Nähe von N° (81). Durch eine
Verwechselung, die mich einen Druckfehler auf der
Karte vermuthen liess, beachtete ich in jener Nacht
den Stern nicht weiter. Am 11ten Oct. hingegen,
nachdem ich mich überzeugt hatte, dass der Stern
wirklich nicht im Verzeichnisse vorhanden war, be-
stimmte ich seinen Ort. Durch Anschluss an (81)
fand sich:
Abstand 24"3 1 Beob.
Richtung = 10724 3 »
Bei nun vorgenommener genauer Durchmusterung
der Umgegend des Trapezes entdeckte ich an jenem
Abende noch vier andere, nicht im erwühnten Ver-
zeichnisse enthaltene Sterne. Der eine befindet sich
ganz in der Nähe von (54); seine Helligkeit war etwa
gleich der des am 8ten Oct. bemerkten. Die Lage im
Nebel ist bestimmt durch:
Richtung nach (50) — 29523 2 Beob.
3) u- 499.7. 2
Bei dem Sterne (75), welcher von O. Struve so
háufig als Vergleichstern für die Sterne oberhalb des
Trapezes benutzt ist, zeigte sich ein von ihm nicht
notirter, schwacher Begleiter, dessen Positionswinkel
àn (75) sich aus drei gut übereinstimmenden Messun-
gen zu 3398 ergab. Die Distanz liess sich nicht hin-
reichend sicher messen; ich schátzte sie gleich der
—
» D
Entfernung des Sternes À von B im Trapeze, also zn
9". (Bezeichnung nach W. Struve Mens. micr. pag.
249.) |
In noch grósserer Nähe zum Trapeze wurden zwei
neue Sternchen bemerkt, von denen nur eine Messung
ihrer gegenseitigen Lage gelang, welche den Rich-
tungswinkel zu 91? ergab. Es war wegen ihrer gros-
sen Schwäche nicht möglich, sie micrometrisch an die
helleren Sterne des Trapezes anzuschliessen. Aus den
am llten Oct. gemachten, recht sicheren Schätzun-
gen ihres Ortes, ergeben sich die Coordinaten gegen C:
Au = — 21" A8 = + 24
und Aa = — 15’ A8 — + 281"
Dr. Gyldén, welcher an den m Theil
nahm, sah alle diese Sterne -ebenfalls auf das Be-
stimmteste. Ein von ihm bemerktes Object, welchem
die Coordinaten:
åa = 0: AS = + 40”: Bez
zukommen und das anfänglich für einen Stern gehalten
wurde, erwies sich bei sorgsamer Betrachtung als ein
Nebelknoten. In der Umgegend desselben schienen
übrigens bisweilen sehr schwache Sternchen aufzu-
blitzen, so dass dort móglicher Weise ein Haufen äus-
serst feiner Sterne vorhanden ist.
Dass von O. Struve die oben.erwühnten fünf
Sterne, deren micrometrische Messung mit erleuchte-
ten Fäden am Refractor jetzt móglich ist, und welche
spüter, zum Theil mehrfach, von mir wieder wahrge-
Hos aire
nommen sind, nur TEE wären, wird nach den
vielen Proben. die O. Struve von geg Schärfe seines -
Auges E hat, Niemandem glaublich sein. Die `
Veränderlichkeit es Lichtes dieser Sterne dürfte
nur dadurch etwas zweifelhaft erscheinen, dass sie -
sich auf den von Lassell und Bond gegebenen Zeich- -
nungen des Orionnebels befinden, ein Umstand, der f
mir, als ich dieselben bemerkte, nicht bekannt war.
Der merkwürdige Hind’sche variabele Nebel im —
Stier erschien im Oct. d. J. nicht heller als im Dec. -
1861 und März 1862, war jedoch unzweifelhaft sicht- |
bar. Von dem Chacornac'schen Nebel bei & zn
zeigte sich am 8ten Oct. keine Spur. `
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PORTES PEN VO ORC Tt Zuse REL ERR
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21
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
#
22
Mittheilung aus einer Pariser Handschrift, von
Hermann Graff. (Lu le 28 aoüt 1863.)
In einer Handschrift der Päriser Bibliothek Nr.
2422, welche die Astrologie des sogenannten Astram-
psychus enthält, findet sich am Schlusse pag. 143 —
149 ein astronomisches und physikalisches Fragment
eines Anonymus, das bisher, so viel ich weiss, noch
nicht bekannt gemacht worden.
Ducange hat es benutzt, wie aus einer Anführung
in der Appendix zum Glossarium mediae et infimae
Graccitatis pag. 181 unter ow@Anvapıov hervorgeht:
« Astronomus Ms. ex cod. Reg. 2732. fol. 191. v. èva-
roxkelon Ev coAnvapio ypucoüv, xai pope? efc.» Eine
andere Stelle unseres Anonymus führt Salmasius
Plin. exerc. in Solini Polyh. pag. 64 F an: Sbravög
ASO pias où Alay, AAA UTOXAOPOG, euptomdnevog ev
TÅ Zeg, dc xal nicca xadeitar Ad To rrpoaTaßepe-
yo» autóv copy Topeiv ICONS — TOLOULÉVOS, und
nennt ihn einen incertus auctor de lapidibus nondum
editus.
Die Handschrift ist ziemlich jung, auf Papier durch-
aus leserlich geschrieben, vermuthlich im XVI. Saec.
Die Überschriften und Initialen sind roth, offenbar,
wie gewöhnlich, später ausgefüllt, daher Cap. III Z. 67
das `I vor y5)v vergessen worden. Die beiden Vocale
ı und v sind, wo sie nicht im Doppellaute stehen, mei-
stens, aber doch nicht consequent, mit zwei Puncten
(t und 9) versehen. An drei Stellen, Cap. II Z. 1,
Cap. III Z. 67 und 75, sind Schreibfehler durch un-
tergestellte Puncte kenntlich gemacht und die Correc-
tur von derselben Hand an den Rand geschrieben.
Abkürzungen kommen nur an einigen wenigen Stel-
len vor.
Ich habe die dem Sinne nach zusammenhängenden
Stücke als Capitel bezeichnet und der Bequemlichkeit
wegen die einzelnen Abschnitte innerhalb desselben
Capitels numerirt, davon findet sich natürlich im Ma-
bg nichts.
gen get Cap. 1
IE Ses |
Biereng PA ylvovraı xopfTaL.
1. "leegen zt ars Enpäs ava Suptacsog yivovtat di xo-
pra uno yde ths (Bac Seppörntos Zënsen gung badlos
éx tõv Umoxsinevav olov dxtivaç AYaATÉpTEt mQóg Ta
Cap. I. 1. soptea | 2. 3. xopítat | 3. and tac | éEanrouévns | 4.
xat olov
avo’ TÒ yap Tüp avu méQuxs géocoSat taz 0b axrivag 5
To) ravros aotépos xóa atvar ven eur, 2.018: Muda-
Yopıxol TOUg Ehe TALVOLÉVELS GUYXATNEÉIOUY xata.
WAxods AVAXVXAGGELG yoovov Äere GAY qatvoj.évoue,
Eva todtov Unoridéevor xata TA Bópeta ÉxTOS TOÙ Çw-
BLaxoù Öpwpevov. xal rei aurd Ayrırlzrer ourtz ` 10
rois yàp mAavntars dptopévos Tros Zoch ó Ladung
xüxAog: 6 òè ÉEwSev toù Lwdtaxod patvéueves oux Av tt
ein có» rhavopévov. 3. Oè Ileostöwvuos apynv yevéceus
not "ei XOLNTES ÉXEL, TAV TL TOÙ däers TAJULEDÉGTE-
pov eig Toy aiségu ExSMBEY Ev cÉ red aidépos divy Èv- 15
Scd, elta pos mhelova dÙvoy Erıpgeodang tis SA al-
Eop.evot Enıpalvavraz ` dea xal pelkovaz gies gid
6pdoSat xal Bronge, Og Ay TOTÈ piv Sieten érudTAoU-
ons augen sat, xoti A8 Asınovong auoteiieotar, codcm
yolv xal cot; dro uvlotac Sat Berg TOTO, Eva, 20
nayupi xal erun due dorivo dip’ xad òè Tas pav-
ceis oder xal nahy dradvasız oor de yiveo Zar re aépos
Die TE, xal £x TOY évavctovy Rayôaous om Beeuc xa-
TA gu Brgiuemg aUTOV YÉVEG I, äre 87 Wi TUOTA-
ceog ode Ev dën yevouévne . GmeQ xal ó Apatos 25
Ayet, adyuov aðtoùç oúpßoha rapadBods Umapyovraz,
Ac yav.
Cap. II.
Deel tõv aotépov tà» xaAcupévov Burvtóvcov xal
tis EE auty ogetocsoc.
1: o aito aqóðpa gorl Stdrupos* den SE Uno zë
Zen, virze è tav Enpas AvaSupidgets SeEnras, Engs
Qv xal a) cóc xal TUPON, TUXVOULEVOS ATOTÉPLTELTWES 5
Zensen ontvS ous. Tayraz Unovoodaıv Govépov elvat Šta-
Boop." oùx giel Dé: où yap dotépss Exdpounv motoboty,
add oizée Zeg 6 de otBndóvas Tas Tuportdels
reurov. 80 xal Ce Sradpapoücaı TAVOVTAL QUOTE
ren a.i 5égoe deck ruxvoats. 2." 0Sev di auto al ‚Endpo- 10
pai palvovrat, gien Sel tv auty 680» To mveÿ-
pa éoyópevov ` otov day ano TOY Bogstov TAS "pe TOt-
Grat, Bopéas Tvet, day A ATO TÖV yorioy, votos * OTAV
d& èx — TOTOY XLVOVTAL OÙ per ped
ypovav | &AXov | 9. ToUTwy ÜnrortSémevoy xal xara popeta
10. Sptouévouc | 1. Sptapévoc | 42. 13. avruin To ant 4 d
14. xopirus | Gray va ren eo gépog | Ad. Te eic | Ep | 15. 16. Toû
dépos duvet évôoSein, etre | 89vet | 17. an en | adta | 19. iot-
rovong | 21. XATA TE TAG QUcete | 23. xata Toy &vxvziov |
24. 28. aucracewc zen iy | 25. dopuros | 26. cuj ova
Cap. IL. 1. dtarovu im Texte, am Rande von derselben Hand at-
tóv | 6. Srovooðpev TT. oùx elot 9£ fehlt d ot ydo | 42. 13. toroyrar |
E!
14. xıyoUy rar
2%
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23
Bulletin de l’Académie Impériale
x
15 GVÉLOY XÉVNOLY Bnhcüouw * ei 85 And tv Teocdpwv nEpÖv
xiycüvcat, onpalvougı ravrolous Xeınavas pLÉYOL Boovcov
xal dorparay xal Toy votoUtQy. 036» Araäzenol doté-
Qo» Schal xal ruxval yevópevat, VEOp zc xal Avspoz
dere dvxóg TROY NLEpOY.
Cap. II.
"Ocot zën AGov eig avaxoynv Gains xal Totxumias
Sakasons.
1. AvSoaË xal xapymdovios ano radio popoumevos
vavæynaavtas orcopouytous aux dë yevéc do. 2. Aðdpas
s xal ó Yhaüxos xakoupevos 6 Ev Maxedovix mept tò Dër,
yarov Epos, Ce yahdgy Écuxev, ATOTPOTALOS LEYT TOV XAV-
Imvos xal tupõvos’ Ta pcia 95 duvaraı xal 6 maa, Iv-
Betz cúproxópevoç, 0 TO Elder Tuppos xal apyupoerðns `
xos(ogow òè ó arönpikav. 3. Brovhhos 6 Aaurge xal
10 Aapımpös, ó Sakacodypous * "(AugéoSo Ev avt Ilooe:v
ép aopart drone (QeQnxOc xal tols Ad Goidogne
Gëedeuerg armpoy Ev tais tapayais Zecat, 4. Apucb XC
Sog ie TÒ pécov Aeuxó» Appcker xal autos Toûs cù-
Tota. 5. Kcugatog ouy dépuartt ode eis To xapynar-
15 09 re mÀc(cU HEPLATTOMEVOS AVTITAOYEL Avepoıs xal
xXu000t xal anatactanlars mavrolars bdarav. 6. Ootc-
xorhos A(Sog Yıvansvos Ev volg dosor ts Alyuncou dro
ev Enurö gola; deboomévas, xaSdmso Opsoc xohla
toUTov Zen ttg £y, dxívBuvog Ev garn Sahaogns òta-
20 puhaySyoetar, 7. Opavòs AScs péhas où Aay, dX
ÿréx hugo, euptoxcpevog Ev cp Pouyia xai Taratia, ce
xal nigga xaeîtat dia TÒ Tocutefcuevcy or Cou
Mapeysıy Tloans' Ate dE dert gpolueuee tois XATA
SANATTAY xal KoTAUOUS TÜY. Tropelav Torsup£vers.
25 "Ex zou Aayoo oaov.
8. ge Gong ordap émi popas xat Tree xal
ÉQUaITE A TOY érupehés ` Tj 86 hard yelo avti t Sid
zc waodvrog üroceSeloa beis ergo weg gro:
Seit n 8i dehın arvos Unvov Neen ÉTAYEL" Tapt-
30 eiert òè xal geint TEGL TNV Gë rca pXdyov-
rot: Apıarov dE dreet toüs — TOY yetoOy tT»
Sécu.
TryoSéou.
9. "Oct TO Sépuart the poxng Giäd er dv Coste
35 xepauvós ` dyéAet yoy xal d Mera xapyıara zën vnàvy
19. éxrèc
Cap. Lil. 3. yaıxndwveos | 8. 6. xaytov QUE 0 | 8. Tups | 11. xal
Èv toic | 12. èv fehlt | £oxo | 14. 18. yoXxvjotov | 20. p rage où May |
26. otur Pepas | Ceci | 27. épronekadtov | 30. 31. drnpBAnvovrar |
34. Enısunpn | 35. & Aéyerur
rapextoenet. 11. Ot: el nuxya dLatonous TÒ Séppa The
ano kepguvoð d Gerpoxräe, Réplantov 0b mpg SR "
, H , |
Ti Tode Aëeet vacat TEQIXGAUTTOUOL* xat ahata òè
MR , ` y 5 '
polos oùdéror dy Aurýoar TNY Aprehov, et Bpayum ——
~ ~ , u Jar \
wepos tijg dcoûs aut mepambars. 10. Oe ol c3óveeg M
~ , » [4 7 a , , w ý 3
Tas POXNS AAUTov Té ovcat TOLÔÉOLS CÔCVTOY Expugty ap
` , e 7 r Ow 207 , £
TÒ Ogg. òè otay Y Tepixelnevov, TO AT oupavoð BéAog
, , u r ~ , ` pah
POLNE XPNTALO ATE xooxivo, vy Gmepparcav va, DLEA TOY
TA Tuten TL TEPLOTE APALA xacada Qv, Worte OC
yoy TL ÉÉapxéoot Häre PEYANG xoxAo, XX aa déi 45.
vatoy r éxe(vo mecel» red éautob Exelvou* THY 06 èT
éxe(vQ xà yooío xarioücav yarabav AVLYKN TOUS Yelto-
vas urodéyeo Sat. 12." Oct Ev axıalvn Aldor puovtat duo,
Qv» 6 pèv Bebe tan dat Adysraı ta Berg dySo ToU xe-
Qoi, và, dE aprorepa ó apıorepög. 13." Oct Adloxeral so
REP EE
tig Xoyog dv SahdcoN „erpnens, TÜP | òè xadeltat dy-
Sownou xetol dou, Gros $0901, où "| oap& xaSe-
nseioa, date, xatéyer x6 0009 dvSpurou wett xal po-
vm, xal Jusen xol pavias graiidrcet vocoüvcag.
14. "Oe vo sarpamov TEQIATTOLEVEY yaovol Novamóg si
XUcUG'; QUAÀGGGEL adc "ru eig TOY doaioy Tó-
xov” réiert dE xal Toxov quvauxóg év Gôtotv. 15. Ou —
Ae ébnSeis ÉyTpous eis otAlav ouvanter. 16. Oct xin-
pou aipa yotoSiy Ta vega xai diesen dS o TOV sis
Deco émehapouvetat. 17." Ott xUxvov draiode veot- 60
Tous halo EC dxog veUgotg roroÜvrar Rëm, i
18. Oxtarouy aledoau et Sets, AaBay xAaDous halas
dm ox o£q.agov etc Tv Dages, GOTOV xenpyós doru À al-
yards Sakdoons ergin, xal Zoet dv dot Gun zg:
govtat Tols khadots, où A8 gderde avaoracov. 19. 65
'IxSvag du "agoen deu JEANNE... o els Eva TETOY
CUVAYAYE . . . KUDTNV XUXAEUEL. . Rp NEE Tap-
Toha. 20. 'TyS3v Ev Sakdrrn xetwevov el Seherg dv Bo- |
pat kapein, raßav Kei ode "gie xal beide sen ĝo-
1
TAWN xal Durée pupagov TAYTA CUY digitos xat 0
Bas Der Kg TCU AV Oye TÒ goe AUTO * xai
Qayovteg Gro xpatoŭvta xal rhéovaty ocel vexpot xat `
TÄ xerpt omg autous. 21. Edy «tg xapòlay áhxuó-
vos Tod óovécu cà» TO éen an toO dovícu...... Evaro- —
zeien ev sormvapio Xpuaodv xol popÿ, où BAaprjcevat.
?
36. toraðe | 37. Auro" | 39. raidac | éxpuery | 43. xaraÿanës |
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Waffe à cn Lutin 81 Zu
51. 52, RER | 56. atc | 37. čo | 89. amaddg KA RE
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pol | 73. xa spins Too age tod | rues et |
Eug von derselben Hand am Rande vest
Lë
Een Mech, EA RETRO
hé EENEG Së WEE EL M
25 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 26
và» Efetg, ddv Afen zegoen éneypdbas dun: èv Tij
oixia. apia appvE.
Cap. I.
1. Der erste Satz, die Erklärung der Entstehung
der Kometen enthaltend, findet sich in den sogenann-
ten Theonischen *) Scholien zu Arat. Diosem. v. 359
als Ansicht eines gewissen Iropog. Es heisst dort:
Enégs dé ost» ot 1, Enpa gugzupiagte Enpäs Tis Yis
xal ning: TUYXAVCUCNS; avadıdop£vn, TOLEITAL XO-
pitas aotépas xaAoupévoug ` ur yap re Lige Seppó-
TATOS Gorze bgdios, ex TAY Uroxetuévov otov aG-
Rm N axrivas dvaTépTet meos TÒ AVO * TÒ 1e (ell
Ayo mequxe ofpeosar, Tas 5 dxtivag cet TAVTOS AGTÉ-
005 xópaç elvar vonlkovaıv.
Dieser Sporus lässt sich, so viel ich weiss, nur als
Commentator des Aratus nachweisen, In den Scho-
lien zu den Phaenom. v. 541 tritt er mit einer nicht
ungeschickten physikalischen Erklärung auf, und Leon-
tius mechan. De sphaera Aratea (Lon. I, pg. 258 ed.
Buhle) nennt ihn: nerta 92, öte xal cu TPOS TÒ op:
Bis, Os Qoi Zmépog 6 Umopvmpatto trs, LAAL THOS TÒ
Xo u.c» ots vaurıhlopevors TAŬTA oÙTUS DLAYÉTEAT cau.
Sachlich schliesst sich die Erklärung des Sporus dem
Aristoteles an. Dieser scheidet Meteorol. I, 7 so: Oé
xeta yap quiv—eiva dvaSumiacty Enpav xal Jeppy.
Und de mundo 4 am Anfange: tovtov à (avatunıd-
gewy) n pé» gott Enpa xal xam vos, ATÒ tis VAS
aroppéouca, ý A votepa xal CA QUES ATÒ "ie veas
dva utogévm puaeus. yivayraz Ôn amo piv tege
pihat xal Spocct xal Tayoy Còca, véQm TE xat "ën
xal yıovas xal yaratar, dré òè ths Enpäs avenol ve
xal Tvsupatoy Stapopal, Bpovral Te xat aotourai xol
TONITÜRES xal xepauvol xal taara d Bd toutos dol
guppuXa. Dazu fügt er später die andere Scheidung:
guAANBONY A Toy du a Ger Garson Ta nët ÉGTL XAT
ao, a òè xas Drégtaauv, xa čupas» pèv ot-
ões xat dëi sol Ta zogen, XAS Unooracıy AN CENA
TE XAL ddrrovres xal XOLÑTAL HAL TA -TOUTOS TAPA-
| Tora. Die ganze Ansicht des Aristoteles aber über
die Entstehung. der in Frage stehenden Erscheinun-
gen ist kurz zusammengefasst bei Plutarch. De pla-
cit. phil. III, 2 und Stob. Ecl. phys. I, 28, 1: Agteze-
réhns TÄS Enpäs Ex Vis dvaSuwacsus FLarupov aucta-
16. &xv ët eig Aldov | &ye
*) Im Codex Mosquensis fehlt diese Stelle.
om: xountas òè, otav Ent en eapo xal «9o;
Te (ova, Aan ug Xpovov, toU {Liv AOTÉPOS DALVOILÉVOU xa-
tasey, Tis Aë xung dyoSey TALVE.
Die Übéreinstimmung unseres Anonymus und des
Schol. Arat. ist nur theilweise eine wörtliche; darum
kann ich nicht glauben dass unser Anonymus aus die-
sen Scholien schópfte; wohl aber können beide eine
gemeinsame Quelle benutzt haben. Die Worte tò yap
Tõp avo méQuxe pépeoda finden sich auch bei Aris-
toteles Probl. XXIV, 14: réquxe òè tò rip dwo pé-
pecat, ähnlich wie Meteorol. I, 4, 10: xata quot» ye
TO Seopóv Ava méQuxe pépeodo nv, was Seneca Nat.
quaest. VII, 22 so ausdrückt: ignis — it quo ilum
natura sua ducit, it est, sursum.
Die Änderungen Ad yap rüs — éÉanromévn statt
ano tij; — ééantouévns Z. 3 und die Weglassung des
xal vor otov Z. 4 gründen sich auf die Schol. Arat.
2. Dieser Satz ist fast würtlich wieder zu finden
in dem oben genannten Scholion zu Arat. Diosem. v.
359 (auch ebenso im Cod. Mosq.): seu: xountaz. d
MuSayspıxot vois rAavopevors cu [xatmo(Sycuv, xad
Laxpds dyaxuxkrcsts ypovov dore AAAY Tpopatvopé-
vous, Eva Toûroy UmctiSépevot xata Ta Bierg, ÉXTOS
oo Lodtaxe xal zy parvopévov. ole TO ToÛro AVT-
minter. Tolg yap Thavitars Gptopévos tomo dariv 6
todtaxos XuxAog, outos Ab cUx av ein Tüv gg
éxxôs toutou Tod torov pœvepevos. Ähnlich Plutarch.
Plac. phil. III, 2 und Stob. Ecl. phys. I, 28, 1: Töv
IvSayopstov tivès uiv dovéoa. paoiv elvat Toy Ser
TOV cx del èy qauvogévov, Sui. Dé uge Buwpropévou yoó-
vou r:eotc8tx c avateikcvrav, — der dieses wie das nach-
folgende Lemma über die Ansicht des Anaxagoras
und Democritus aus Aristoteles geschópft zu haben
scheint. Aristot. Meteorol. I, 6, 1: Avafaycpaz piv
cuv xal Anuoxpırös pasty elvat rode KopnTas CUg.QaGty
có» Thavntuy dotipov, Stay Oui To moto» ÉXSE
Ad Buet Seyyavaı aMdmdav. 2. zu à "Iradıxöv rıvas xal
xahoupévov IuSayopelov Eva Aéougt» avtòy eivat TOY
TAAVÝTOY dato», gie Sul ToAhoð TE XQOvcU ei que
raciay mico) elvat xal mv UreoBchny emt puxpov, ense
cop pavet xal reel iv toU Eppoð dotéga ' dia yap Tò
uxo Zravaßatveı mods éxeéret get, wor: da
odvou oafverat moXAcó. Darauf setzt Aristoteles die
den pythagoreischen Ansichten nahe kommende Lehre
des Chiers Hippocrates und seiner Schüler, unter de-
nen besonders Aeschylus genannt wird, auseinander
27
Bulletin de l’Académie Impériale
und fährt fort: 6. zëe 8& toutos Ta Ey Soit Tup-
minter Adem dôvvata, ta DE xol Xwpis. Sp Wy
ein toig héyouatv Gr TÜV Thavopévoy atly ets Aurepwv
Ô XOUNTNS ol yap TÀavOpevot TAVTEÇ dy' «à xUuxAo
ÜncAs(moyrat zé tO» Lodlov, xotta 6 model Opgé-
vor eiolv ko toù xuxhou. eita xal mhstous évóg Apa
yeydvnvrar Todes. Und dann weiter: 8. gg pyy
oudè ToŬTO ana, OTt Ev TO pe Gre TERO here
xopnTng póvov — 6 Te Ya LLÉYAS XOUNTNS o vevopevoc
Tepl tòv Ev Ayala. cetoq.óy x. t. À.
Hieraus ist ersichtlich, dass weder der Schol. Arat.
noch der Anonymus die Ansicht der Pythagoreer
richtig aufgefasst hat, besser schon Stob. Ecl. phys.,
denn die Pythagoreer nahmen, wie aus Aristoteles
deutlich erhellt, an, der Komet sei einer aus der Zahl
der Planeten, wogegen Aristoteles ausdrücklich an-
führt, dass zu derselben Zeit mehrere zugleich wären
zu sehen gewesen.
Z. 8 ist éiere &hhous offenbar falsch; æAdote
dàn boten die Schol. Arat..Z. 9 war éva tovtov in
£va toöroy zu ändern, da nicht nur die Schol. Arat.
so haben, sondern auch aus Aristot. Meteorol. I, 6, 2
Eva Méouct» avtov stat av thawtoy, die richtige
Lesart hervorgeht. Unmittelbar darauf ist UroriSépe-
vov ein Schreibfehler für YrorıIepevor der Schol. Arat.
Nachher ist das xoi, welches die Schol. nicht haben,
auch dem Sinne zuwider und, wenn irgend wo móg-
lich, nach xata 8óoet« zu setzen; statt x nach den
Schol. éxtos (bei Aristot. steht ŝo tod xuxAcv). Z. 12.
13 ovx avrıein offenbar aus ovx av tes ein entstanden,
in den Schol. ous av ein. Z. 13 të thavogéve ver-
dorben aus tv thavoyévov, Schol. tav rAavntov.
3. Die Ansicht des Posidonius ist uns auch beim
Schol. Arat. Diosem. v. 359 aufbewahrt: e òè Moser-
Bovtos apynv "evécsog quot» ioystv ^) ode SH,
Ota» TL TCU déges Tayupepeorepov eis. Toy déga
Ge Muäbn eis Tov depa: Th rei dépas ivn., dyäeng, eita
Toos Thslova divoy Erippsouang Ts GUITEODÈS. Qéoov-
rat: ÉySa,") aire xal ueltovas auty?) doi Su xoi
rouge, Gg Av, WOTÈ pi» Erruöndlovong‘) Th auarpo-
Qj; av: Tat, or òè AsıroVgn; GugréAÄeo IAL. Tac
Yc9» xal eis TOY ŒOKTLKOV cJ cuviorasSat | } panata To-
o
~
TOV, AAA. Evi Ve Se xal ramupeogne ÈST 0 ANP-
5 - ` , N
XATO ài Tas Gage AUTOY xal vd ÕLAAYTELS TEO-
ras ylveosar ounßalver?) Tod d£oog auyuous te, xal
èx Toy évavtloy baydalous uhoous xata Busty yi-
yeda atty, ate Ôn Ev dégt TÄS CUOTAGENS AUTÈV
qwopévas ` Ömep xai 0 Agaros Aéqet, Gu aûtole
cupBoha napmdıdoug Undpyovras.
So der Mosquensis, welcher ungeachtet na
Verderbniss die Spuren des Bessern enthält. Die Ab-
weichungen der sogenannten Theonischen Scholien
sind übrigens nicht bedeutend: ^) toye omoi. P) eig
zòv dépa fehlt an dieser Stelle. ^) 3.6 ouyfaives statt
Sa. $) avrov. *) Bekker Ertdıdovong. N où euvécay-
tar, Bekker où ouvioravrar. 9) oupfatvet yiveoSar. Dass
im Scholion zu Anfange Einiges verderbt ist, liegt auf
der Hand. Zunächst ist nach éxSMBèy das eig Tov dépa
eine falsche Wiederholung des eben Vorhergegange-
nen. Weiter hat schon Bake in seiner Bearbeitung der
reliquiae Posidonii Lugd. Bat. 1810, pag. 79 erkannt,
dass eis toy géng vor éx3Xug£v verändert werden müsse
in eis toy alSeoa, mit Berufung auf Diog. Laert. VII,
152: xepyras òè xol royov{as xal Aauradlas Tuga
civar Vocctôta, rayéos dépos elg v0» aldepWön "Ge
dvevexSévros. Was nun durch unsern Anonymus be-
stätigt wird. Die weiteren Worte aber sowohl der
Scholien als des Anonymus ri toù dépos Bien évdedf]
enthalten jedenfalls etwas Ungereimtes, denn die Aus-
stossungen der dichteren Lufttheile in den Aether
können nicht durch den Wirbel der Luft festgehal-
ten werden; es ist klar, dass dies der Wirbel des
Äthers sein muss, wie such Bake I. 1. pag. 79 tÑ
toU atSepos déyn vermuthet hat. Dass jener Stoff pe-
taku yis xal run Écyartoy aotpov, den Aristoteles Weg
roy aroryeiov nennt (Meteorol. I, 3, 2), der Äther, in
ewiger Bewegung gedacht wurde, ist bekannt. Der- [
selbe Arrian, welcher über Meninrclagie geschrieben
und bei Stob. Ecl. phys. I, 28, 2 die Kometen aeos
mta arodMBópeva genannt hat, redet ebenda-
selbst I, 29, 2 von der 36v aitéoos. I, 28, 1 referirt
Stobaeus, dass über die Kometen. unter den Chaldäern
Einige so gedacht: où à ux dyépoy 1 SuÉAANS- gu: 1
oso Sa tva (0B) eis zën dvo dépa dëi Soco, xal Tab:
Ta Ex rupoSévca, xal eic cr» Bom dureeducg, Toù aidés
pos Eupmeptvooteiv T zoucl éml yoóvov, Zrercg (mm à
vahoSévra Toûs Too muoóg doavi xaS(cragSat: xal `
' , ' 4 V
TOUS XOPNTAS ðn xahoupévous dotépaç TaÛTE eat, Da
haben wir eine ähnliche Auffassung wie die des Po-
sidonius, nur bezweifele ich, dass derselbe gesagt: gie
Toy oda deii vj Ted aidépos Bug eved viele.
mehr möchte es gehiessen haben: ei; zöy aiSéga èx-
HE er de iio
AAA EE "
Mere get
a Madiin
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"Cil e e AE EUG Eu
yit bte ie
SPP ouai Perg
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Y
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NETT Latz > an lune hit up: ën En Kl a nn
29 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 30
SBv Ti toutou Sn dvbcti, und eine das toutou er-
klärende Glosse toð alSepos in den Text übergegan-
gen sein.
An einer anderen Stelle aber noch ist das Fragment
des Posidonius im Schol. Arat. aus unserem Anonymus
zu corrigiren. Im Schol. heisst es: Tauın 09» xal etc
Toy doxcixóv OÙ GUVÉTTAVTEL paota torov. Damit,
meint Bake, stimme die Äusserung Seneca’s Quaest.
nat. VII, 21: «placet ergo nostris, cometas — denso
aere creari, ideo circa sipian ORE frequentissime ap-
parent, quia illic plurimum est aeris pigri», nicht gut
zusammen, und somit scheinen ihm weniger des Scho-
liasten als Seneca’s Worte verdorben. Im Gegentheil,
Seneca hat Recht, und wenn wir nach Anleitung un-
seres Anonymus das ed weglassen, ist die Überein-
stimmung nicht nur zwischen Seneca und Posidonius,
sondern auch zwischen diesen und den nachfolgenden
Worten des letzteren vorhanden. Denn wie würde
dazu sonst passen das èva reriAnpnEvos xal Tayup-
ons Zong ó amp, da doch aus solcher Luft, wie am
Anfange angegeben, sich der Stoff zu den Kometen
schied und die Beobachtung schon zeitig und auch
von den Pythagoreern gemacht war, dass gerade im
Norden Kometen zu erscheinen pflegten. Arrian bei
Stob. Ecl. phys. I, 28, 2: Zëgioce xal Ott Tps dox-
TOG Pay Ti " ai yopa Euvíotavtat TOÙ “cupavoÿ,
xal tosto čte oct pépet Zog rode TE ó dng põ-
Ae x. t. A. Seneca Nat. quaest. VII, 11: lud prae-
sumendum est, cometas non in una parte coeli adspici,
— frequentissime tamen circa septentrionem. Übrigens
ist die Ansicht der Stoiker über die Kometen ausführ-
lich dargelegt von Seneca Nat. quaest. VIT, 19 — 22.
Wenn es bei unserem Anonymus Z. 18 und 19
heisst, ou aç notè pi» mheîoy Emiöndovong oufeozo,
motè Bb hetmouons auor@ideodar, so ist es unmöglich
aus diesen Worten, so wie sie sind, einen Sinn her-
auszubringon. Das zu ézi«Acue"; wie zu Asırouong
fehlende Substantivum geben uns die Schol. Arat.:
ROTÈ piv dëaiheiege Tic ouorpopis adÉec dat, notè òè
Aeurouons cuocéAAecta.. Wir werden also tij; cv-
oTeophs vor au&soSar hinzusetzen müssen, in demsel-
ben Sinne wie Aristot. De mundo 4 sagt: vépos à Earl
ge ATUOE guvectoagqkévov, yovınov Dates, und
Clemens Alexandr. Strom. II, 20, 115: crep yap
al dyaSupudcet al ce YiSev al te zen gro elc ou'yhas
cuv(gcavcat xal vepeA@dets œuatpcpas — Groe X. T. À.
Dann wäre der Gedanke folgender: die Kometen er-
scheinen bald grösser, bald kleiner; sie wachsen, wenn
die verdichtete Masse zunimmt, und schrumpfen zu-
sammen, wenn sie abnimmt. Denn statt értôrhouons
müssen wir ein Verbum erwarten, welches «zuneh-
men» bedeutet und den Gegensatz zu Asırovong bildet.
Das kann kaum etwas anderes sein als das von Bek-
ker in den Schol. Arat. gesetzte értdtBoÿons.
guide — bayôatous uhpous. Die Kometen als
Anzeichen von Trockenheit, weil sie ja aus den ver-
dichteten Aushauchungen, die somit nicht zu Nie-
derschlägen werden konnten, entstanden gedacht
wurden, finden sich -vielfach genannt. So Aristot
Meteorol. I, 7, 9: tav mèv oùv muxvol xal rhsous
patvayrar, xaSanep Aéyopev, Enpoi xal mweupato-
ders yévovtra ot doaurcl énos, und später 10: xal
Tepl tòv péyav dbtépa có» sm Énpôc T © yet-
pov, Ebendaselbst I, 7, 8: anpatvouor yivouevor thctous
rveUpata xal avymous. Dagegen musste andererseits
ihre Zertheilung die Atmosphäre mit Dünsten füllen,
die zu reichlichen Regengüssen Veranlassung gaben.
Seneca Nat. quaest. VII, 28: Aristoteles ait cometas
significare tempestatem et ventorum intemperantiam at-
que imbrium. Und weiter: hoc ut scias ita esse, mon
statim cometes ortus ventos et pluvias minatur, ut Aris-
toteles ait, sed annum totum suspectum facit. So sagt
denn auch Theophr. De sign. aquar. frgm. VI, 4, 57
ed. Wimmer: eg: òè xountas Alyurrıor Aéyouou ou
wóvov cd mQoetompéva (nveumara xal Udara) onpal-
voucty, ETAY oatvoycat, AAAA xai (Uy.
än To dépos nayumepéotepéy te elg tov aiSépa
ëxSauey Z. 14. 15 habe ich nach den Schol. Arat. in
rt TOD dépos mayumepéorepov eis Tov aidépæ Ex SMPEV
verändert, da der Accusativ hier unmöglich eine Stelle
finden konnte. Z. 15. 16 Biver EvdoSstn nach Anleitung
des Schol. in Bun évdsSÿ; ete in efta; mpös meleva
Syver in mpóg mhelova Bivov, wie divog auch in Aristot.
Meteorol. häufig neben Ston gebraucht ist.
Z. 17 aire: «otov» nach den Schol. Arat. für ad-
ode girën, Vielleicht ist indess avrüv ganz zu tilgen.
Z. 21 war xatd te nach den Schol. in xata òè zu
verändern, as post aus derselben Quelle in, täs
œavosts, das auch in den Schol. Zu Arat. Diosem.
v. 1 vorkommt, bei Aristot. Meteorol. paseız. Z. 25
rôv à» déer nach den Schol. in air èv d. Ebenda
ist dsparros, wie leicht erkenntlich, verschrieben für
31
Bulletin de l’Académie Impériale
"Aparos, was die Schol. haben. Z. 27 weist Xéyov da-
rauf hin, dass ursprünglich eine Stelle des Arat. an-
geführt war, und zwar Diosem. 361: moXXd yap
xopóocty dr axyynoó ÉMAUTS.
Cap. II.
In den Scholien zu Arat. Diosem. findet sich zu
v. 194 eine ähnliche Stelle: ô aime opóðpa goti Šta-
TURC ; 656v xai Guchag cat Tapa tÒ aldo. Eorı d& öte
xal dng TOD Alov Enpas dvaSuptacels deysraı ATÒ TÄS
vhs xol Engòs ov xal "uëdëne, TUXVOULEVOS GTOTép-
met TLVAS DOTE cms que, TAUTAS Grererëter ?) doté-
pov civar Bra äecn de" oudÈ yag dotéges P) xuvodvræ, AAAG
ori\Bnècvas rupodets*) Grous ó aishe. 9:0 xal
9A vov Bro ieancäoot mavevrat, Oc xal ci omivëigpee,
Qocte ze a ségos doch page TO cotoUvo dedeya
gv dwetvors gief xal d» vuxrt òè? ré roi TOY uw
Bassız Cora dotéges ?)* erg yap doct TÒ aíccoo:
tapoéa' Zmoëer 8b aU ol Ohxo! opze Zare,
rooTdonäv det avtois tolg darpanı TH adi 686v èp-
enden x00 egen acecl L otov éav à; ét Ta Bees!
tas roude TOLGYTEL, Bopéaç Tvevostar' day 95 oc ènt ta
vera), virge, xata TY TOY Kotpav popay”?. D, Weiter
zu v. 197: éav 32 xal Aor dÉ aov pepy, Tnxadta
qukdooov Tepl“) ravrolwv dvépov, ofrivec us Tveov-
res!) Grace xat a6 pto ot elot, xal TVEougtv CL čv-
Sev xAXEÏSEV, Gore pÅ daxpiveodat.
So-der Mosquensis, die Abweichungen von den an-
ation Scholien sind folgende: ^) oùs 8& Urovoodatv.
D eise elol Ai: où var où aotépes. ^) ox nBóves Tup-
Serg elolv, Qs, Oc fm, anoreprer. 7) TUXVOGIS TO TOL-
oùto. dv vuxtl oùv, protv, xav. *) d dorépec. |) rveu-
prog ohne toù. 9) otov day ano tv Bopeiov. ^) av òè
dai có» vortav. °) an Stelle von qood» haben andere
Codd. xévnow. *) ohne «egi. |) dvanvéovres für ápa
TVEOVTEG.
1. Schon Anaxagoras hatte den Aether für etwas
Feuerähnliches erklärt nach Aristoteles Meteorol. I,
3,4:6 yap Aeóp.evoc atono Trata einge "iv mp00-
nyoplav, nv Auberge: eh TÓ a TAUTOY iroa-
codal por oxe? omnalverv‘ za TE yap dvo den ups
elvat, éisen cr» exet duvanıy ode wadelv Evanıcev,
Vrgl. Plutarch. Plaeit. phil. II, 13. Es sieht so aus
als habe auch Anaxagoras, gleich vielen Späteren,
eine etymologische Verwandschaft zwischen «So und
also angenommen, während Aristoteles mit Plato das
Wort von del Séo herleitet. Nach seiner Überzeu-
gung ist nun die Ansicht des Anaxagoras von der
feuerähnlichen Natur des Aethers bedeutend einzu-
schränken. Meteorol. I, 3, 21: ompeiov à ixavov Ser 6
avo toroç ein dort Seppòç oiä Extenupmp.evog, xal al
Bra Been ol tóv dotépov' éxet pi yap eu yivovtat, xato
ôs. Vrgl. ebenda I, 4, 10. 13
Die Stoiker theilten jene Anschauung des Anaxa- |
goras, wie sie in der Sonne ein oôpa tup@des (Stob.
Ecl. phys. I, 24) oder eiXtxpivesg x90 (Diog. Laert.
VII, 144) sahen, das von den Ausdünstungen des
Oceans genührt werde (Plut. Placit. phil. IT, 23, Stob.
Ecl. phys. I, 25,3: Kieaving duanng vorpov To x Sa-
Adrcge tov jo»). Da nun die Sonne nach Empedocles
zu den &cco« gehörte, welche vUotva. x toù rupudous,
Orco ó aloo Ev éautó mepieyov EEanvekapıbev get eké-
daube xata cn» roc» Brgeptorg, und ähnlich die Stoi-
ker (Posidonius) lehrten (Stob. Ecl. phys. I, 24 init.
et fine), so wäre der Ausdruck im Anonymus © aio
codèoa doc) Buxrcopoc, čott DE doe xov Ttov wohl ver-
ständlich, der Zusatz aber hinzugefügt um das Agen,
eos zu motiviren. Wenn nun aber im Scholion steht:
den 8b Orte xal und Toù dieu Enpas dvaSujıdasız dé-
exa: ano vis äer xal Enpös di xal nupwöng U. S. W.,
und wir dazu vergleichen Aristot. Meteorol. I, 4, 2:
Seppavopiévne yap TÄS vis ÚTÒ Tod 3 on, TAY desolé E:
ow dvayratov ylvoda pi arXiv, de rives olovrar, dM
SX iv *), so ist leicht ersichtlich, dass jenem Scholion
ein diesem ähnlicher Gedankengang zu Grunde gele-
gen haben muss und darnach auch der Anonymus m
verbessern sein móchte.
In dem dya rye: tyds doneo orwSipaç finden wir
eine alte Anschauung wieder. Plut. Placit. phil. IIT, 2
und Stob. Ecl. phys. I, 28, 1: Avaķayópaç roue xa-
Aoupévyoug Štattovtaç gd rod aiSépos arıyanpov Seng
Sëreertec sa, Bé xal tapavtixa opewuoSat, und ähn- -
lich Aristot. örav piv olov arcorıvanpiin dn zë: 4
Deeg,
In Z. 7 war ol ydo in ou yàp, wie in der bal |
chen Phrase der Schol. steht, zu verändern, was schon `
aus dem nachfolgenden Gegensatze dd 6 aino Zem
hervorgeht. Vor où yap aotépss waren die Worte ovx
*) Zwiefach, sofern einerseits eine Ausdünstung des Fenchten in
und auf der Erde Statt findet, andererseits eine Aushauc
trockenen Erde, von der die in Rede stehenden errem
geleitet werden. Eine ühnliche Ansicht über eine doppelte dvadu- :
piaoız hatte nach Seneca Nat. quaest. VII, 4 Epigenes.
daddy EE
Wegener CES
TEEN
era eu AECH
PETITE M SRE
ak ese:
Mën n
ung der
RETRO
33 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 34
tot dé aus den Schol. Arat. einzuschalten; ohne einen
derartigen Zusatz ist yap unmöglich. Statt Unovooöp.ev
Z. 6 war, ebenfalls mit den Schol. Arat., 9rcvocügtv
vorzuziehen.
2."QSszy 85 avrôv ai éxSooual palvovtat, Toocdoxdy
Bet tv auınv 089v To deg épyouevov. Diese verbrei-
tete Ansicht finden wir wieder in Aristot. Probl.
XXVI, 23: dq où dv deu pépuvrat ol aatépes, Zu
route xal TÒ Tyeŭpa yeta. Ebenso Theophrast. De
sign. aq. frgm. VI, 2, 13 ed. Wimmer: aotepeg mohol
Budrrovtes VÕATOG Ü TVEVLATOG, xal CIEV Av DLÉTTOOLV,
évredSev TO reng xal To Oëug, ibid. 37: Szen dv
aortépes Buer moAol, Avepoy évrelSev (eo Sa on-
waivovow), und ähnlich De vent. fragm. V, 6, 36.
Dionys. Uticens. in Geopon. I, 11, 9: aotépes Šat-
Toyrss OTOU Tpemovrat, deet yon TÒ nveüpe Tpoodéye-
cSat. Arat. Diosem. v. 194 sqq.:
`
xal dix voxta pékauvay GT dotépes décowot
tappea, col à Greng buuol Unoheuxaivovrat,
DadéyTat xelvots grut 686v éoyopévoto
TVEULATOS. -
Seneca Nat. quaest. I, 1: argumentum tempestatis nau-
tae putant, cum multae transvolant stellae, und I, 14:
ventum autem significat eiusmodi lapsus et quidem ab
ea parte, qua erumpit. Verg. Georg. I, 365 sqq.:
~ saepe etiam stellas, vente inpendente, videbis
. praecipitis coelo lali, noctisque per umbram `
flammarum longos a tergo albescere tractus.
. Dem otav SL èx Zagcpm ; TÓTOY XLVOVTOL ol ES
KEE Breodeegeg dvépoy xévnatv dnkodcıv unseres Tex-
tes entsprechen. des Aratus Dios. 197 sqq.:
un & Bé xey d'Ae évavréov alsawaıv.
Ev eE alloy pegéov, cote Sm regiAa£o
—Raycoloy dvépov, cic Axpırol tot uto ca.
880p. TOAD xal Getze, So Theophrast. De vent.
frgm. V, 6, 36: xowa òè xal tà tormüra (sc. singen
xal depot) mwAetóvov otov dotégov Te ÖLaTTovrov xal
Tagen ze xal ditopdipavas 7 bts xal el t
rag ies
In Z. 13 und 14 waren die Ween ToLÔVTaL
und xıyövrar herzustellen, Z. 19 war éxrèe offen-
barer Schreibfehler für gege, Über die Construc-
tion Aaen al Toat xal ruxvat yevopevaı statt ta-
Spopöv TohAGY xal Fu geren vgl. unten Cap.
III, 8 13.
Tome VII.
Cap. II.
1. AySoaË, der carbunculus der Römer, unser Ru-
bin. Aus Plin. Hist. nat. XXXVII, 7 (25) geht her-
vor, dass eine Art des carbunculus Carchedonius hiess:
horum genera Indici et Garamantici, quos et Carchedo-
nios vocavere propter opulentiam Carthaginis magnae.
Und später: Carchedonios multo minores esse. — Ar-
chelaus Carchedonios nigrioris aspectus esse, sed igni
vel. sole et inclinatione acrius quam ceteros excitari. Da-
rum war das yæ\xndwvtos der Handschrift in wapymdgveog
zu ändern. Über den &vSpa& vgl. Theophrast. De la-
pid. frgm. II, 3, 18, der von ihm sagt &yeco; 5i
oŭtoç éx Kapynõóvoç, und Psellus De lapid. bei Ideler,
Physici et medici Graeci minores, vol. I, pg. 244.
2. ASapas. Der hier erwähnte Macedonische Dia-
mant, der dem Hagelkorn gleichen soll, wird von
Plin. Hist. nat. XXXVII, 4, (15) so beschrieben:
| alterum Macedonium in Philippico auro repertum, hic
est cucumis semini par. Das Philippicum aurum halte
ich für die Goldgrube bei Philippi, wie Plin. Hist.
nat. XXXIII, 3, (12) auch campi Philippici nennt,
und nicht, wie es gewóhnlich erklärt wird, für ein
Bergwerk, das dem Philipp gehórt habe. Daraus
ist denn auch ersichtlich, was das raytov Goes im
Anonymus sein soll, nichts Anderes als das bekannte
Ilayyarov $oog. Herodot. VII, 112: «o Hayyarv où-
pos — òv péya te xol udjqAóv, Ev TO youcsd te xal
doyúpea Zu étahha, wo die Lage des auch sonst häu-
fig genannten Gebirges genauer beschrieben wird. In
den Worten ddanas xol ó YAndxos xaAcoopsvoc, welche
nur bedeuten kónnen «der Diamant und der soge-
nannte yàaðxoç», liegt offenbar ein Fehler. Ein Stein
vhadxos ist nicht bekannt, und der Zusammenhang
lehrt dass die Worte dëng: — Tupôvos vom Mace-
donischen Diamant zu verstehen sind, dem nachher
der Indische Diamant gegenüber tritt. Vermuthlich
ist xal zu tilgen, yhaôxos aber in yhavxos zu ändern.
Ge qaot Zosen, Derselbe Stein scheint gemeint
zu sein bei Plin. Hist. nat. XXXVII, 11 (73): chala-
zias grandinum et candorem et figuram. habet, adaman-
tinae duritiae, ut narrent in ignis etiam additae manere
suum frigus, und XXXVI, 22 (43), wo er kurz den
chalazius erwähnt. Als magisches Mittel, wenn auch
nicht gegen Seesturm, so doch gegen Hagelschlag,
wird ein Aeg yadaklıng erwähnt in. den Geopon. I,
ëss ET A(Sov yadadirmv; exe“ xal -— dns cx»
35
Bulletin de l’Académie e Séien
iata», xocücow gien peta oräget dré, xal
ATOOTOAPTITETEL.
ó mapa ‘’Ivôcis eüproxöpevos. Diesen nennt Plin.
Hist. nat. XXXVII, 4, (15) zuerst unter den sechs
Arten, die er angiebt: nunc primum genera eius sex
noscuntur: Indici non in auro nascentes et quadam cry-
stalli cognatione, siquidem et colore tralucido non diffe-
runt, cet. Wenn der Anonymus von diesem sagt, er
sei &pyupostöng, so stimmt das nicht mit Plinius, wel-
cher, nachdem er von den beiden ersten Arten, dem
Indischen und Arabischen gesprochen, fortfährt: cete-
ris pallor argenti. Das fehlerhafte rugôs musste Tup-
cóc lauten. “O orönpt&ov ist wohl der, welchen Plinius
am angeführten Orte als den sechsten nennt: post
hunc siderites ferrei splendoris, pondere ante ceteros,
sed natura dissimilis. Mit dem lediglich von der Farbe
zu verstehenden otànotéov lässt sich vergleichen Tog-
ovpttoy, varikov, doYuoitov, youc(;ov und ähnliches:
von einem dapas vr» yporav aeptéwv redet Epipha-
nius De duodecim gemmis T. II, p. 231 A.
3. Vom (mouXAes sagt Plin. Hist. nat. XXXVII,
5, (20) : probatissimi ex iis sunt, qui viriditatem maris
puri imitantur. Das stimmt mit dem SaAasaoypoug
unseres Anonymus, wie mit der Angabe des Psellus
De lapid. 7 bei Ideler Physiei et med. Gr. min. vol. I,
p. 245: «sig Sè tovtov toU A(Scu poppas. xal © uiv
aurov Maodaprs dott TV xpaav , ó òè Sararıy
mpooeotnag, 6 òè Ampırpög Tas auyas xal popunis
xal Ano» noppwSev. Derselbe Psellus redet von der
Anwendung des Beryll gegen Krankheiten; dass man
ihn als Amulet getragen habe, um sich vor Gefahren
zu schützen, erwähnt er aber nicht.
Am Ende dieses Abschnittes ist die Präposition èv
an eine falsche Stelle gerathen; statt èv reis dıa Sa-
Adoons 68sucucty gud tais Tapayais war zu lesen
rois da Doidoogge 6Ocucucty grou Ev tais Tagaynis.
Schliesslich steht durch. einen Schreibfehler £c«o statt
£g tau.
Der Ausdruck arnpov in dem Sinne von «Schaden
verhütend, Nachtheil abwehrend» findet sich schon in
den Homerischen Gedichten: =, 164. e, 268. u, 167.
4. Apvob; über diesen Stein habe ich nichts auffin-
den kónnen. Es scheint, da die Steine nach ihren
Anfangsbuchstaben aufgeführt werden und die Buch-
stabenfolge nur an dieser Stelle unterbrochen ist, ur-
sprünglich ein anderer Name gestanden zu haben.
Welcher Dushtihs statt des durch einen Fehler dés
Rubricators eingedrungenen A gestanden habe, weiss
ich nicht zu sagen. Am nächsten läge, an A zu den- «
ken; Souob aber als Bezeichnung eines Steines ist mir
bisher nicht vorgekommen. Aeutcge findet sich ge-
nannt bei Plin. Hist. nat. XXXVII, 11 (73): dryilis
truncis arborum (similis est), quae et ligni modo ardet.
5. Über den xovoæes vgl. Theophr. De lapid. fr.II,6
und Plin. Hist. nat. XXXII, 2, (11). Letzterer spricht «
von den Fundorten der Korallen und der Art, wie sie
gefischt werden, und fügt hinzu: haruspices eorum
(Indorum) vatesque inprimis religiosum id gestamen —
amoliendis periculis. arbitrantur. Weiter erzühlt er
dass man den Kindern Korallenäste umhing zur Ab 1
wehr von Gefahren.
Das 9£op.o. qox" spielt als Ableiter gegen den Blitz,
an den oberen Theil des Mastbaums gehängt, auch ——
im neunten Stück dieses Cap. eine Rolle; darnach
war hier Z. 14 statt yahenotoy zu lesen xapynatov. -
6. 'Oqtóxonoc. Der Stein ist sonst nicht bekannt,
wenn nicht vielleicht in dem Ophicardelos bei Plin.
Hist. nat. XXXVII, 10, (65): Ophicardelon barbari vo-
cant migrum colorem binis liniis albis intercludentibus,
etwas derartiges steckt. Die Codices geben dazu
keine Variante. Doch möchte das zu beachten sein, —
dass in dem Werke, welches Plinius bei der Stelle `
benutzte, offenbar auch gleich darauf vom obsianus |
lapis die Rede war, da er die nühere Besprechung
desselben an diesem Orte mit den Worten zurück-
weist: de obsiano lapide diximus superiore libro. `
Über qoas vgl. Eust. comment. ad Dionys. Pe-
rieg. 443: Geo A Gt TÒ polis Ent ò psoas Steg, Oé - |
AT do Oder rouegen,
7. Über den édravès XGos giebt eine Stelle aus. pe
Periplus maris Erythraei, der gewöhnlich unter Ar- `
rians Namen geht, cap. 5 (Geogr. min. ed. Müller,
vol. 1, p. 261) Aufschluss: xal ano Craäien ocel òx- —
raxoo (QV XGAT OS Erepos BaSiraros, oi xata ray gif,
Xi» Ev Beet: dppos dort Toiy xeyupévr, xay de ët
Baer xexmopévos eüploxerar ó opravòç ADoc, du exel
vn Torixôs yeworevos. Wenn hier dieser Ort allein
als Fundort angegeben wird, so erweitert sich nach
späteren Nachrichten schon die Zahl der Örtlichkei-
ten. Plin. Hist. nat. XXXVI, 26, (67): Xenocrates l
obsianum lapidem in India et in Faas Italiae et ad
Oceanum in Hispania tradit nasci. Da ist es denn :
S TT f i
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des Sciences de Saint-Pétersbourg.
38
nicht unmöglich, dass man auch in Phrygien und Ga-
latien ihn gefunden. Was bei unserem Anonymus von
seiner Farbe gesagt wird, er sei 9x6yAogoc, hellgrün-
lich, stimmt freilich nicht ganz mit dem, was Plin. 1.1.
sagt: in genere vitri et obsiana mumerantur ad simili-
tudinem lapidis, quem in Aethiopia invenit. Obsius , ni-
gerrimi coloris, aliquando et tralucido, crassiore visu
atque in speculis parietum pro imagine umbras reddente.
Doch giebt er ja selbst zu, die sehr dunkle Farbe sei
nicht immer vorhanden. Weil péyas où Mag, GAY ug:
y^oooc keinen Gegensatz giebt und nach der Beschrei-
bung des Plinius der Obsian meistens schwarz war, so
musste péyas in p.£Aac geändert werden; und paç
findet sich schon bei Salmasius in Solin. p. 64. Was
Plinius von den grossen Stücken des Obsian erzáhlt,
aus denen man ganze Statuen gemacht habe, braucht
gar nicht auf den Stein, sondern kann auf die Nach-
ahmung desselben aus Glasmasse gehen, von der er
ebendaselbst spricht. Die Geschichte vom ersten Fin-
der Obsius, der dem Steine den Namen gegeben, sieht
nach einer etymologischen Erklürung aus. Auch in
den sogenannten Orphischen Lith. 282 kommt der
Obsian vor:
xal T(cuog 8uxoucct Alou pévos Obuavoto
|. xal opupvnv piye eioäeg xal ooXdecotv
|... doyuoéotv Aenıdwrov AnootiiBovra zesin.
Was sich mit dem obigen toootofcpeves dopny rapéyet
"mco; und xícca xaheîrar zusammenstellen lässt.
Diese Stelle aus unserem Anonymus war schon
-früher bekannt durch das Citat des Salmasius zum
Solin. pag. 64. Diesem Citate verdanken wir die rich-
tige Lesart péhas statt péyas, wogegen ropetv statt
nagéyev unzulässig ist und die Auslassung der Worte
xai Doiaczieg vielleicht auf einem blossen Versehen
beim Citiren beruht.
8. "Ex zën Aapootpatov. Esi ist nicht unwahrschein-
ri: hier derselbe Damostratus gemeint ist, von
“dem Suidas s. v. sagt: Aapdorparos locoptxóg dev- |
eg Ev Dä: X, xal reel tç évUdpou payrix Ts xal
Etega oupnmerg éyóyevo, ioropias. Aelian De nat. ani-
mal. XIII, 21 führt ihn an mit den Worten: Xéyer Ab
Anpéoteur oc Ev Aoyors hueurixoïs Ev Tavayoa Seaca-
o Sat «dotyov Titova’ und nun erzählt er, dieser Tri-
ton sei vor Alter ganz unkenntlich gewesen, er habe
abgefallen, ein anderer habe aus Wissbegierde etwas
vom Fett abgenommen und aufs Feuer gelegt, das
habe durch seinen schlimmen Geruch die Nasen der
Umstehenden gar sehr verletzt. Der Untersucher sei
bald darauf umgekommen, indem er in einem kleinen
Fahrzeug ein unansehnliches Wasser überschiflen
wollte. Die Tanagräer hätten erklärt, das sei ihm ge-
schehen da av eis xóv Toftova naéBnsev, und den Be-
weis hätten sie daher genommen, dass aus dem Kör-
per des Verstorbenen eine Flüssigkeit geflossen, von
demselben Geruche, wie ihn das ins Feuer geworfene
Hautstück des Triton verbreitet hatte. Es ist leicht
ersichtlich, dass, wenn in den oyot axteurıxoi solche
Geschichten standen, auch unser Fragment dort hat
Platz finden können. — An einer anderen Stelle De
nat. animal. XV, 4 sagt derselbe Aelian: Arer òè An-
éctoutos, gute d'Meuse COPIAS Emtec» val pa.
Aia xal Eppumvsücaı yonotos, und erzählt nach ihm es
gebe einen Fisch osAnvn geheissen, der dann beschrie-
ben wird; er fügt hinzu Anpoorpoitou D xal oùtos 6
Acyos: wenn Vollmond sei und man diesen Fisch fange,
dann sei er selbst gefüllt und fülle die Bäume, an
welche man ihn hänge (rAnpoupévns piv "fe aernvng
ey (ySUv ToVde Ypnpevov neninpucdal re avtov xal
apen xal Ta JévSpa, Zë TOUT TpOTapTNaNS QéQOY
aurcv), wenn der Mond aber abnehme*), werde er
leer und schmächtig, und die Pflanzen, an welche
man ihn brächte, vertrockneten. Ferner, wenn man
bei zunehmendem Monde diesen Fisch in das Wasser
eines gegrabenen Brunnens werfe, so sei dasselbe
immer fliessend und gehe nimmer aus, thäte man
ein gleiches bei abnehmendem Monde, so werde das
Wasser schwinden, und werfe man den Fisch in
einen fliessenden Quell, so werde dieser in derselben
Weise entweder wasserreich oder leer werden. Auch
dieses Beispiel der aevttxn cogía des Demostratus
lehrt, dass unser Fragment in seinen Adteurixa nicht
geradezu auffällig gewesen sein würde.
In demselben Buche Cap. 9 wird er erwähnt: A7-
pécToatos, coUe cU» xal Gaarde Bahn dree,
Es wird gesagt, er behaupte selbst den yepavos (ySuc
*) Welchen Einfluss dis Alterthum auch in dieser Beziehung
dem wechselnden Monde zuschrieb, dafür noch ein Beispiel. Plin.
Hist. nat. II, 41: miretur hoc qui non observet lunari potestate ostre-
arum ‚onehyliorungue et concharum omnium —— augeri et rursus
ihn angefasst und da seien rauhe und harte Schuppen | minui
3*
wi $
Bulletin de l’Académie Impériale
1
:
i
40
gesehen zu haben, auch habe er ihn zerlegen lassen
und dabei viel Wunderbares gefunden, der Stein so-
gar, auf den die Galle gelegt, sei erweicht worden.
Cap. 19 wird von ihm gesagt: Anndorparos, ane
tÓv éx is Popatov Beuige qevópevog (xal où tÉ Tov
81d. todro NN Texumpiöca: ixavos, Soxst dé por ento]
uns tis Gheutixis Ze dxpov Ékdoat xal coa Eyvo el-
TEIV Mët: el òE ré où ado Édroudaotar ToÙdE co-
Bagoreoov, xal copius ig Tepl gu buynv roocébau-
oey, oùx dy Savpdoant). Darauf wird eine abenteu-
erliche Ansicht dieses Demostratus angeführt über
den Grund, warum die weiblichen Schildkröten sich
ungern zur Begattung verständen. Denselben Demo-
stratus nennt ferner Phot. Bibl. ed. Imm. Bekker,
pg. 104: čt. 85 xal vel yuvarzav PAVTIXÕY dvaypamet,
rives te xal OSev ol xaAcUpevat Zola. xal Tata
piv oz dro tõv PoUgcu: cuyrerrar 8b auto xal éx tõv
Aoaneecggecn aleutixdv Seutépou Adr, Weiter er-
wähnt Plinius Hist. nat. XXXVII, 2, (11) einen De-
mostratus unter den Autoren, die über Bernstein ge-
handelt. Die ihm hier zugeschriebene Ansicht, De-
mostratus Lyncurium vocat et fieri ex urina lyncum be-
stiarum, e maribus fulvom et igneum, e feminis langui-
dius et candidum, trägt dasselbe Geprüge wie die
oben mitgetheilten, darum stehe ich nicht an mit We-
stermann (ad G. I. Vossii De hist. Graec. pg. 428)
den bei Plinius genannten Demostratus mit dem des
Aelian für dieselbe Person zu halten. Noch an einer
anderen Stelle des Plin. H. n. XXXVII, 6, (23) wird
er zwei Mal erwähnt, bei Gelegenheit der Abhandlung
über den Sardonyx: primus autem Romanorum sardo-
nyche usus est Africanus prior, ut tradit Demostratus,
et inde Romanis gemmae huius auctoritas, und später
in Betreff desselben Edelsteins zusammen mit Zeno-
themis und Sotacus. Wobei zu bemerken, dass auch
in jener oben angeführten Stelle des Plinius H. n.
XXXVII, 2, (11) gleich nach der Ansicht des Demo-
stratus die des Zenothemis und dann unmittelbar die
des Sotacus aufgeführt wird.
Der Genetiv dea: xal éprytov xal dpuctreAd cov
(denn so ist statt &orntov xal eptorreidtov zu schrei-
ben) kann wohl nicht von éxoosXé; regiert werden;
daher habe ich Z. 26 ert statt £oco« geschrieben. Z. 30
war ornuddinvovrar in arapBdiyvovrar zu verändern.
9. TıpoSeov. Dass wir es hier mit einem Auszug
aus einem Werke des Timotheus von Gaza zu thun
haben, lehrt die Vergleichung mit den Excerpten aus .
dem Cod. Barocc. 50 fol. 350 in Cramer's Anecdota -
Oxon. vol. IV, pag. 263 sqq. Von ihm sagt Suidas: ;
TrudSeos lataiog ypappatxiç, yeyovas Ent Avastas
clou Baothéos, sig 6v xal toayodlav Zretuges rep! ze `
Innootou toÿ xakoupévou ypugapyupou. čypape 8b xal 1
erınös Tepl (gov terpancdov Snpioy Tôv rap "Ivboig —
xo Apapı xal Aîyurtiots xa ooa toéget AtgUm, xat —
Tepl dpvéov Éévoy te xal dhhox TOY xat Cpewv BEI |
Tzetzes” Chil. IX, 128 erwähnt ihn als Zeitgenossen
des Anastasius, und ausserdem wird er von spätern —
Schriftstellern zuweilen eitirt. Vgl. die Anmerkung
in Bernhardy's Ausgabe des Suidas II, 2 pag. 1142. .
Der Glaube, dass das Fell des Seehundes nicht vom …
Blitz getroffen werde, veranlasste, dass man vielfach. —
dasselbe als arorporarov an verschiedene Gegenstände —
heftete oder mit sich trug. Plin. H. n. II, 55 (56):
ideo pavidi altiores specus tutissimos putant, aut taber- [
nacula pellibus beluarum , quas vitulos appellant, quo- —
niam hoc solum animal ex marinis non percutiat (ul: —
men). Suet. Aug. 90: tonitrua et fulgura paulo mfir-
mius expavescebat, ut semper et ubique pellem vituli ma- |
rini circumferret pro remedio. Theophan. Nonn. Epi- .
tome de morb. curat. 260: caca dmoxgérougt sep:
vovg" xal Boapol ANG UOV XEREVOL, d one 9éopa, m |
yaris ` toutov òè zën gg Tas Sopas repipépouor xat ` A
ta tà» aÿroxpatépov thoix. (Ähnlichen Dienst sollte ` 4
das Fell des Flusspferdes thun, nach Geoponic. I, 16.) $
Plutarch. Symp. EV;:2: Bodge — Suede: TV He à
pauvéy - — &yov iva avrai, xaSdmeo À aux xai à
To Bop tis pozne xal To tie alne, ots TA [7 : à
xà» iocíov oi vaux got xaradınsepoüatw. V, 9: zët
YAE TououTo où Boxcücty émtSryyaverv d xepæuvol, sg
neg oùde Tis puxns Too dépuares UE vij; aive. =
Statt per Z. 36 sollte man depper erwarten; doch —
kommt die Schreibung mit einfachem e auch sonst wer
wie Etym. Gud. p. 136, 59 und Zon. Lex. p. 480.
xal yarata òè — mepuanpare. Entsprechend Philosträß®
tus in Geopon. I, 14: xai and Sépuaros ouxns ipay-
TOS draptyiévtos ex Wës "is TEQLPAVOUS duréhou, o0
yivarar Bag, dré yahaëns, oc ioropet Dudaroutos EN ` Lj
75 'Ioxopuxó. In demselben Capitel werden viele der” —
artige Mittel zur Abwehr des Hagelschlages anem- ` :
pfohlen. Hiermit sind zu vergleichen die ähnlichen `
Stellen des Palladius De re rust. I, 35, 14: SCH
creditur obviare, si quis crocodili pellem vel hyaenae
ER "US
RENTE
d
BC ger e)
4 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 42
marini vituli per spatia possessionis circumferat et in
villae aut cortis suspendat ingressu, cum malum viderit
imminere. Und ebendaselbst 15: item vituli marini pel-
lis in medio vinearum loco uni superiecta viticulae cre-
ditur contra imminens malum totius vineae membra
10. Das ungrammatische raidas cdcvrov Expueıv
Z. 39 habe ich mit leichter Änderung in tatôtous 63ov-
tov éxovoty verwandelt.
11. xaraBalov in Z. 43 musste xaxaaAov heissen.
Z. 46. 47. avayın ele e(covac unodeysoSar. Wie
man durch Zaubersprüche und magische Veranstaltun-
gen die Früchte von den Feldern und Pflanzungen des
Nachbarn auf die eigenen ziehen zu kónnen meinte,
so soll hier der Hagelschlag auf die Felder der Nach-
barn gelenkt werden. Für jenen ersten Aberglauben
erinnere ich an die Formel der XII tabb., qui fruges
excantassit, Plin. H. n. XXVIII, 2, (4), Tibull. I, 8, 19:
cantus vicinis fruges traducit ab agris, und Verg. Ecl.
VIII, 99: atque satas alio vidi traducere messes.
12. Die oxíawa war ein Meerfisch, von dem schon
Aristot.. De anim. hist. VIII, 19 erzählt, er habe ei-
nen Stein im Kopfe: padtora òè Kette ey Tolg Lë
Hogg ol Eyovres Aldov Ev TH eenig, otov XPS, had-
Bpak, oxéaiva, paypos’ Sa yap Tov MSov une. tod Yy-
Xovs xatannyvuvror xol éxmiérrouou. Vgl. Aelian. De
nat. animal. IX, 7. Genannt wird der Name des Fi-
sches noch bei Plin. H. n. XXXII, 11, (53) und bei
Athenaeus VII, 121 aus Epicharmus und Numenius.
-13. no 8b saihefrat avspwrou ystol Zeg: coto
éyoUc'. Das kann wohl nur so zu verstehen sein, dass
die Muschel, welche x99 genannt wurde, einer Men-
schenhand glich , welche eben die Finger so ausein-
anderhielt, dass sie dabei einige Ähnlichkeit mit der
Muschel hatte. Auf die hier gemeinte Muschel bezieht
Sich, wie ich glaube, die Notiz bei Plin. H. n. IX,
61, (87): conchorum e genere sunt dactyli ab humano-
guium similitudine appellati . his natura in te-
nebris remoto lumine alio fulgere claro, et quanto magis
umorem habeant lucere in ore mandentium, lucere in
manibus atque etiam in solo ac veste decidentibus guttis,
ut: gn ocul dubio pateat suci illam naturam esse, quam
miraremur etiam: in corpore. .
2.51.52. où ý ado% xaSedmssiso. (wie zu verändern
war) 93at, giebt uns einen Nominativus absolutus in
der reinsten und unzweideutigsten Form. Wir würden
den Sinn so fassen müssen: wenn deren Fleisch im
Wasser gekocht ist, so lässt dieses Wasser die Kran-
ken nicht in Phantasien und Rasereien verfallen. Die-
selbe Construction in Cap. II, 2, Z. 17: 0%ey dtadpo-
pal aotépoy Toal xal ruxval yavcnevar, VOP TOÀ)
xal avepos Zon, Eine reichliche Ausbeute an Bei-
spielen solcher Construction bietet Pseudo-Callisthe-
nes. II, 33: ER "mg rANolov AUTO vevopévm, Og TE-
oratpamels eldev Tv, xateg Set Nekaro. Und wei-
ter: Où ö& gratta cau erıöpapcvreg, Ux Eppövrıoe TO
guvehoy zeg aurav. Gleich darauf: eig òè «óv otpa-
TWTÖY TE Bear TOŬTOV TEC, XATAMTOV TT XÉENV
muSavi &xosys. III, 21: dzg Ab eig yopay ayplov
avSpurov, étaviotavro ÈT dn TANIN Tod x. T. À.
So noch an vielen andern Stellen, z. B. I, 24 in der
Erzählung, wie Cod. C sie bietet. I, 26 Cod. C. Ei-
niges über den absoluten Nominat. giebt E. Wentzel,
Über die sogenannte absolute Participialconstruction
der griechischen Sprache (Glogau 1857) pg. 31 ff.
14. "Ot: tò dorpaxov reprantönsvov. Diesen Gebrauch
vermag ich nicht anderweitig nachzuweisen, einen
andern medicinischen giebt Plin. H. n. XXXI, 6, (21)
an: testae ostreorum cinis uvam sedat et tonsillas ad-
mixto melle, eodem modo parotidas, panos mammarum-
que duritias, capitumque ulcera ex aqua, cutemque mu-
lierum extendit cet.
15. £j war herzustellen aus £c. Die Schreibung
mit einem à neben Z)àoj ist häufig, an einigen Stel-
len auch durch das Metrum gesichert. Bei Plin. H. n.
XXXII, 11 (54) findet sich helops, aber IX, 54 (79)
und IX, 17, (27) elops. Schol. in Nicandr. Ther. 490:
enge, rouréomiy doSeviis Goetz etc., dagegen Schol.
in Oppian. Halieut. II, 658: iesse Vas . £AXo-
res où nie xal govis ÉAAstmÓQevot" dipovot yap où ix-
Syss xal avandcı etc. cf. Nicand. Alexiph. v. 481. Ein
bestimmter Fisch dagegen so bezeichnet Marcell. Si-
det. Medicina ex pisc. v.,12.
16. xérocv alpa. Dass dieser Vogel ein Bild der
Leichtigkeit war und man so von seinen Eigenschaf-
ten einige auf die menschlichen Glieder übertragen
zu kónnen glaubte, ist nach dem, was wir von ihm
erfahren, nicht zu verwundern. Fc Crameri Anec-
dot. Paris. I, pg. 39: xénpov òè Erapov dpvecv Ex Cf
XOUPOTNTOS d dheis Cochäteug ` zò ydp “dup axpov
rois noolv énerpéyet, xal ebe rois adızöary ertru-
yia. Sıuarpidougt ud dy! dustvous Toy iy Ivo dow ayé-
43
Bulletin de l’Académie Impériale
at, xal piota tolg Suvvors Enrovtat, ott zoue Boa yy-
Tépous eco xatatépvovtes Tois Gëoderg (y Suas, Gage
zıyds, als ol XÉTQUL TOÉPOVTAL, Sorten ev tol;
Zäaet, xal por» xai 8eXoioty dxoAouSoUot, Kik Tò al-
pa TotoUjkevot TÜV (ySUovy, ee Ay doxcetvocty OÙ ðe-
oies. xal army 9b tiy tic Sakaoons Ayvnv ÉcSlou-
et, xal oùx Av tig TOUS Xér.QoUg dpyoüvrag N Soe:
Sovras oUt Ent tc yis badlos oùt En tis Sahaocons
Sjedaauto, AR À Saséom À rérovrat x. t. À. und Schol.
Arati Diosem. v. 184: 6 8E xénpos tò dpveov xà» Atro-
cdoxov Zort: ocpóðpa yap atv éntAsiTet T] odë. xal
doen doxéov póvov oyeðòv xal ntepa. čate A Nov TÒ
Čoveov layvov, del 8b pAnDoOU TO Apps. roürov yap xal
oureitar Tepl ta Vata avaotpepopevov, de xai Nixav-
pos (Alex. 170) «Snpevov dopočo vény xAUd& Acvxai-
veugag, » Über den hier beschriebenen Vogel, dessen
Name auch %apos war, ist zu vergleichen A. Nauck
Aristoph. Byz. frgm. p. 171, Anm. 20.
17. ataiòç war in &maAoUs , xateWnoavtes in xas-
ednoavtes zu ändern.
18. 'Oxtarouv. So benannten die Griechen den Po-
lypen xat’ &£oyyv. Thes. Gr. 1. vol. V pg. 1861. Da-
zu noch ein Beispiel: Oppian. Hal. II, 389 sqq. er-
zählt, wie der roÿkunos dem x&oogoz auflauere und
ihn fange, der Schol. zu v. 406 erklärt: Zyst "de Tó-
pous Aentoug xal otet ó xopafos, 9t O doter ayrov ó
éxramous. Er setzt also den rouluros und éxrarouc
gleich.
Der Polyp war ein Lieblingsgericht der Athener
(Bergk Comment. de rel. com. Att. antiq. pg. 396),
daher für die Fischer eine lohnende méga sie
zu fangen.
In derselben Weise ^ wie hier erzählt Oppian. Ha-
lieut. IV, 300 sqq. den Fang der Polypen, nachdem
er deren Vorliebe für die Zweige des Oelbaums er-
wähnt : ;
‚TO In py xal £goos Dev Scdas, de gs
D Super Salou yap ópoð Onoavres dhame
OTTE bäi ,guéas, pOMBoy pégoy Cordon,
&x 8’ axatou aupouaty 6 8° ein dé NnTE voñca
mouAumoe, oO zë xal Doreen Etatpous
Trop Sous" c08' dr Emerta xal éhxopevós mep dg à ANEY
eapo, Toza Avinaıv, Bu: Évroode yévntat
mas’ 0 9 cUx gue xal SXAUUEVÉS Tep éhainy
"Oxrarous hiess auch der Skorpion, daher das
mentreiben und mit Reusen umgeben, dann kann man
Au
x
Sprüchwort oxopriov òxtamouvy aveyelpets Suid. s, v, H
und Apostol. paroem. XV, 55 (Corp. paroemiogr. Gr, «
ed. Leutsch vol. II pg. 643); dass von dessen Fang
hier nicht die Rede sein kann, ist ersichtlich. Eher
könnte es auf die Krebse gehen, welche auch diesen
Namen führen. Anthol. Gr. VI, 196, 2 wird der ro «
youpos dxrarous genannt, also ein Meerkrebs, bei
Nicand. Ther. v. 605 cxrancôns xapxtvos. Welches
Thier bei Pollux Onom.: II, 195 xai Sénous xal gt
mous xal Ta Epebic, Qv póvov ó xTémous giän
éxpépeta, gemeint sei, ist nicht ersichtlich. I
Z. 63 habe ich ouuniawmoovrar in ouu.riaxnoovra `
verändert: auoér}eËéev gebraucht Oppian an der "me
führten Stelle.
^"
19. ei Eva torov war in etg Eva «orov zu riad ;
und in doxggcmg das Wort xuprn oder suerge, die -
Fischreuse, zu erkennen und herzustellen. Am Schlusse —
könnte man vor gra lan Buerg caqeoXAa. etwa Sum
ergänzen; doch ist damit nicht viel gewonnen, da die —
Worte xuprnv xuxAeJet» offenbar aus dem Zusammen `
hang mehrerer fortgefallener Worte gerissen sind. |
Wie vorher und nachher, war wohl auch in diesem =
Abschnitte ursprünglich nicht eine gewöhnliche Art -
des Fischfanges bezeichnet ,
magische Besonderheit gehabt. Da wäre es denn nicht `
genug aus den übrig gebliebenen Worten einen sol `
chen Gedanken herzustellen: wenn man Fische im
Meere fangen will, muss man sie an einen Ort zusam- `
sehr viele fangen. Vermuthlich sind Weg vor eig fg
trov mehrere Worte ausgefallen. Unter solchen Um- -
ständen eine Restitution zu versuchen scheint miss- —
lich. Aus anderen Stellen, wo von der Anwendung `
der Reusen beim Fischfange gesprochen wird, geht
hervor, dass man in dieselben noch eine Lockspeise |
IV, 221 ff. Hal. DL. 3988 `
legte. (Cep Cyneg.
IV, 374 ff.
20. Din Art des Fischfanges wird auch von.Op- |
pian. Hal. IV, 617—684 beschrieben. Die Fischer,
sagt er, treiben erst, indem sie mit Stangen und Ru
dern das Wasser See die Fische an einen Ort,
sondern eine, die ihre -
*
*
4
EE site
der den Fischen in den Felsen Höhlen und Schlupf- À
winkel zum Verstecken bietet, zusammen undi ziehen 1
rings um die Stelle, wo die zusa tri
der Fische ist, feste Netze. Darauf kneten gie aus 1
Thon und einer Wurzel, welche die Ärzte HG
q Schaar t.
45
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
nennen, Kuchen und ins Wasser springend bestrei-
chen sie damit die Schlupfwinkel der Fische. Das
Wasser wird nun so von dem Gifte erfüllt, dass die
Fische aus ihren Schlupfwinkeln hervorkommen und
vom Geruche betäubt oder getödtet in Masse von den
Fischern aus dem Wasser gezogen werden. Beachten
wir was Theophr. Hist. plant. IX, 11, 5 über das
hier empfohlene Mittel sagt: auvovumor Aë xat of
orpuyvor xal où cSupoDÀot — und weiter 7 có» à tt-
Supd)Ao» Ó pi» rode xoAcUpsvog KOKXOS HTÉ., SO
wird jeder in solchen Sachen nicht ganz Unkundige
leicht erkennen, dass auch heutzutage, wenngleich
verboten, der Fischfang mit diesen Mitteln nicht auf-
gehórt hat.
21. Die Stelle ist am Anfange lückenhaft und, wie
der Sinn zeigt, sind es nicht nur wenige Worte, welche
fehlen. Zeile 74 war oopfj herzustellen. Die Worte
évaroxhe{on — vogei citirt, wie oben bemerkt wurde,
Ducange App. Gloss. pg. 181 aus einem Astronomus
MS. ex cod. Reg. 2732 fol. 191 v.
Z. 75 habe ich reprantwv in reptantoy verändert,
wodurch das Object zu Bet: gewonnen wird; Z. 76
habe ich das 3% eig nach éav getilgt, und de statt
£yst geschrieben.
Der xepavvros Sos scheint die gemma ceraunia zu
sein, von der Plin. H. n. XXXVII, 9,(51. 52) spricht:
est inter candidas et quae ceraunia vocatur — faciunt
et aliam raram admodum magorum studiis expetitam,
quoniam. non aliubi inveniatur quam in loco fulmine
+ Die anempfohlene, sonst meines Wissens nicht
nachweisbare Aufschrift aola gouf scheint gleich an-
deren derartigen voces "een sich der Deutung zu
entziehen.
usas littéraire des Géorgiens et des Armé-
niens, en Russie, en Transcaucasie et dans la
. Crimée, par M. Brosset. (Lule6 novembre 1863.)
Seu Re I $. TK Langue géorgienne,
1. Abécédaire en langues géorgienne et osse, ca-
ractères ecclésiastiques géorgiens; 8°, sans titre ni
date, ni lieu d'impression.
2. Abécédaire géorgien et livre de lecture, par I.
K. (Ioané Kérésélidzé), en caractéres géorgiens vul-
gaires. A la fin on trouve la série compléte de la no-
tation arithmétique particulière à la Géorgie, dont
l'unité est le denier, base du touman persan, qui en
renferme 10,000; v. l'Introd. à l'Hist. de Gé., p.
CLXXXV, et Marsden, Num. or. t. II, p. 454.
3. NN. octobre— décembre 1862 du périodique
mensuel l'Aurore. Janvier — avril 1863, 7* année
du méme.
On remarque, p. 39, dans le N. de janvier, la Lé-
gende du poéte Rousthwel et de sa femme, par Ant.
Phourtzéladzé; p. 57, une piéce intéressante et tex-
tuellement inédite, bien que connue, le Testament de
David-le-Réparateur. Malheureusement cette der-
nière pièce n'est qu'une retraduction du russe, faite
en 1822, comme si l'original n'avait pu étre trouvé
en Géorgie; p. 239, N. de février, une piéce non
moins intéressante pour l'histoire, le Concile tenu
sous David-le-Réparateur, document inédit, mais
connu, qui donne de trés curieuses indications.
Il serait à désirer que l'Aurore imprimát souvent
des articles de ce genre.
4. Ainsi que je l'ai annoncé précédemment, Tiflis
s'est enrichi d'un second périodique, le Nouvelliste
de la Géorgie, rédigé par I. Dchawdchawadzé. `
N.1—4 1863. On y remarque déjà une série
d'articles d'érudition et de critique sur l'histoire de
la Géorgie, par le prince Soulkhan Barathachwili, an-
cien éléve du corps de Paul, qui s'est beaucoup oc-
cupé des antiquités de sa patrie.
Dans le N. de mars, un long article renferme des
matériaux pour servir à la rédaction d'une Grammaire
géorgienne. L'auteur de ces lignes n'y est guère mé-
nagé, p. 85, par M. D. Qiphiani, qui du moins ap-
précie convenablement le mérite de la Grammaire
géorgienne, en russe, de M. D. Tchoubinof. Du reste,
il est permis de douter que les philologues approu-
vent le voeu du rédacteur, concernant la suppression,
dans le riche alphabet géorgien, de certaines lettres
dont la génération actuelle a oublié la valeur, et
surtout que les Géorgiens bien élevés consentent,
suivant son désir et son exemple, à écrire dans le bas
langage du peuple; mais enfin les tendances critiques
de M. Qiphiani méritent d’être encouragées. ;
5. La Quéte, par le tsarévitch Ioané, Tiflis 1862,
8°. Ce sont les pensées dialoguées d’un pére quéteur,
discourant sur toute sorte de dms méme sur la
grammaire. | po
47
Bulletin de l'Académie Impériale
as
Ce livre n’est pas encore parvenu à notre Musée.
6. Calendrier arméno-russo-géorgien pour 1863,
en langue géorgienne, traduit par S. Mdiwanof, d'un
original arménien, dont je vais parler.
$ 2. Langue arménienne.
1. Indicateur des jours, pour l'année 1863, 1312
_ de l'ére arménienne. Ce calendrier donne les fêtes
des saints suivant les rites arménien et russe, quelques
fêtes des saints géorgiens et toutes celles de la famille
Impériale.
En outre, on y rencontre par intervalles des indi-
cations de l'état de la température, dans le genre des
prédictions du double-liégeois, qui semblent dépla-
cées dans un livre sérieux, comme celui-ci, telles que:
7 mars, temps trouble; 15 mars, vent et pluie; 2
aoüt, air pur; 7 octobre, alternatives de beau temps
et de pluie.. On trouve pourtant ici quelques indi-
cations curieuses, telles que celle-ci: l'espace entre
le 25 février et le 4 mars, sept jours et huit nuits,
est désigné sous le nom de «hiver des vieillards.»
Je remarque que la fête de David-le-Réparateur
est marquée ici le 26 janvier, — le 25 dans le calen-
drier à la suite de la Bible. `
La féte de S. Vahan, de Goghthn, est indiquée au
30 juillet; c'est le 28 mars, dans la Vie des SS. ar-
méniens.
Le concile de Nicée, le 7 PRE peN x — d’après le
nouveau style, comme au reste plusieurs autres com-
mémorations, communes aux églises orientale et occi-
dentale; — en effet ce concile dura du 19 juin au 25
août.
La fête de Se. Chouchanie 24 septembre, — 28
aoùt dans le Calendrier géorgien de Tiflis, pour 1841;
25 décembre dans le Dehachots ou liturgie ag
nienne.
À la fin de chaque mois, à la fin du livre, dans le
géorgien, on trouve de bons articles historiques sur
certaines fêtes, rédigés en arménien par G. T. A.,
et traduites, comme on l’a vu plus haut, par M. Mdi-
wanof. Une erreur chronologique a pourtant échappé
au rédacteur, p. 73: là il est dit qu’en l’an 431 il se
rassembla un concile à C. P., au temps de Théodose- |
le-Grand; — lisez en 381. C’est le concile d’Ephöse,
qui sera mentionné plus bas, p. 93, au mois d'août, |
qui eut lieu en 431.
> 82, apparition de la croix (7 mai) 362; is H
=
e la fin du Calendrier arménien, une douzaine de 1
pages sont consacrées à des indications chronologiques, «
statistiques et bibliographiques; notamment on y trouve «
la liste des écrits théologiques du catholicos — 4
actuellement siégeant. «1
2. Nouvel abécédaire arménien-russe, par Geif £
Msériants; Moscou, 1863, in-18°. 1
3. Manuel de langue russe, pour les jeunes Armé-
niens, par Ter Hacobiants; Tiflis, un fort volume gd 1
1863.
4. Examen de la vérité du S. évangile, par le ca-
tholicos Matthéos; Tiflis 1863, 8°. ER
5. Réfutation par l’archevêque Abel de weien
opinions d'Haeob Caréniants, sur un de ses ge t
intitulé Anouchavan; Moscou, 1863, 8°. à :
6. Eghiché, Guerre des mto mis en ar- -
ménien vulgaire, par Martiros Siméoniants; we
WEE
1863, in 18°. |
Dans le précédent article j’ai fait connaître dei 1
nouvelles éditions en arménien littéral de ce De
véritablement classique. F
7. Libretto arm.-russe, du ballet en trois "e ,
de Chouchanic, fille de Nada le-Grand, par Mich. F
Wegen Tiflis, 1863, 8°. E à
.. 8. Guillaume Tell, ou l’affranchissement de la Suisse, ` |
de Florian, trad. du français, par M. rmm 3
Mis 1863, a d
. L'Aurore boréale, 5° a. N. 12, Moscou 1862. | :
^t La Grue de Wee Sen 3° a. ; octobre- dés $
bre, 1862; 4° a. janvier-avril. 3 1 d
11. Le Nouvelliste russe, en arm., journal parais- 1
sant tous les 15 jours, NN. 4 47 — 48, Moscou 186:
12. L'Abeille de l'Arménie, 5* a., un N. par
maine, NN. 45— 52, Tiflis 1862; 6° a. , paraissa
tous les 10 jours, NN. 1— 12, Tiflis 1863. l
13. Le Nord, nouveau journal arménien, rédig
par M. Paiennian, N. 1 — 3, 1863. Aucune annonce.
ne fait connaître les conditions de cette pu |
— le prix, 10 r. a. |
al, dis i d
TET NE ,
r4
ménie, 8° a., deux N. par mois; janvier— vi 183 |
Übel J ournal illustré.
49
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
50
Brief des Akademikers G. v. Helmersen an den
Herrn bestándigen Secretair der Kaiserlichen
Akademie der Wissenschaften. (Lu le 2 octobre
: 1863.) Bachmut den 15. September 1863,
Meine von dem Herrn Finanzminister angeordneten
Untersuchungen im Donezkischen Steinkohlengebirge
und den angrenzenden Gegenden gehn ihrem Ende
entgegen, und ich erlaube mir Ihnen vorläufig über
den Gang derselben Folgendes zur Mittheilung an die
physicalisch - mathematische Classe der Akademie zu
berichten:
Nachdem ich in der zweiten Hälfte des Juni in Lu-
ganskoi Sawod eingetroffen war, besuchte ich die Um-
gegend desselben und die berühmte Steinkohlengrube
' von Lissitschansk, in welcher jetzt keine Kohlenförde-
rung stattfindet, weil der Hauptschacht eine neue
Zimmerung erhält, Mittelst eines instrumental aufge-
nommenen geologischen Detailplanes von Lissitschansk,
den man dem Bergingenieur, Capitain Wagner, ver-
dankt, konnte ich mich über die scheinbar verwickel-
ten, sehr interessanten Lagerungsverhältnisse der
Kohle an diesem Orte schnell und sicher orientiren.
Nach Lugan zurückgekehrt, begab ich mich, von
dem Lieutenant Nossow begleitet, nach den Anthra-
citlagern an der Gruschewka, diesem ebenfalls bekann-
ten Orte im Lande der Donischen Kosaken, dessen
industrielle Wichtigkeit man für gross genug gehalten
hat, um von ihm eine Eisenbahn nach Nowo-Tscherkask
und von hier bis Aksaiskaja Staniza am Don, zu bauen.
Dass diese Bahn bereits befahren worden ist, werden
Sie in den Zeitungen gelesen haben. Ohne mich hier
über die Gegenwart und die Zukunft der Gruschewkaer
Steinkohlengruben und über den Nutzen der Eisen-
bahn auszusprechen, möchte ich nur darauf aufmerk-
sam machen, dass es die höchste Zeit war, hier einen
rationellen Musterbergbau anzulegen, was im Auftrage
der Gesellschaft für Dampfschifffahrt uud Handel auf
dem Schwarzen Meere, durch eben den Bergofficier
Wagner geschieht, dessen ich oben erwähnte. Die
bisherige Gewinnung des Anthracits war grössten-
theils mangelhaft, weil auf die Grundsätze des soge-
nannten Raubbaues begründet, wozu noch eine höchst
schädliche Parcellirung der Anthracitlager kam, auf
denen man jedem dazu berechtigten Kosaken ein Areal
von etwa einer halben Dessätine zum Abbau anwies.
Daher zählt man an der Gruschewka gegen 400
Tome VII.
Mo. Bot. Garden,
Schachte, die alle einzeln abgesenkt sind, ohne unter-
irdisch mit einander verbunden zu sein. Diesem Übel
soll nun durch neue Einrichtungen gründlich abge-
holfen werden, wozu um so mehr Hoffnung da ist, da
man einen, auch der Akademie bekannten, sehr tüch-
tigen Bergofficier, Antipow 2 zum Inspektor sämmt-
licher Kohlengruben im Lande der Donischen Kosa-
ken ernannt hat.
Von der Gruschewka kehrte ich über Nowo-Tscher-
kask nach Lugan zurück, und lernte auf diesem Wege
das angrenzende Tertiärterrain und einen Theil des
kohlenreichen Miusser Bezirkes kennen, und begab
mich sodann nach kurzem Aufenthalt über Iwanowka
nach der neuangelegten Eisenhütte Petrowskoi. Sie
liegt am Westrande des Donezkischen Gebirges, 45
Werst südlich von Bachmut und ist von den schönsten
Steinkohlen- und Eisenerzlagern umgeben. Es giebt
hier Orte, wo man wie in Belgien, England und Schott-
land, Kohle und Erz aus ein und demselben Schachte,
und in geringster Entfernung von ihm auch den als
Zuschlag nöthigen Kalkstein erhalten könnte. Wie
sollte es da nicht möglich werden, Südrussland einst
mit wohlfeilerem Eisen zu versorgen als das Uralsche,
das hier nicht selten mit 2 Rubel 50 Kop., ja sogar
mit 3 Rubeln das Pud bezahlt wird.
Aus Petrowskoi Sawod reiste ich längs einer Gruppe
von Steinkohlengruben an die Südgrenze des Gebir-
ges und von hier nach Mariupolj und Berdänsk, wo
ich die angekündigte Ankunft des Generalgouverneurs
von Neurussland, Generaladjutanten Kotzebue ab-
warten wollte; ich hatte den Auftrag, mich bei ihm
zu melden und ihm über die Resultate meiner Unter-
suchungen Bericht zu erstatten. Da aber die Nach-
richt ankam, dass er auf seiner Reise Berdänsk
nicht berühren werde, ging ich über Melitopolj und
Alexandrowsk nach Jekaterinoslaw, lernte so ein Stück
der Dneprgranitformation kennen, und untersuchte
dann das Land zwischen Jekaterinoslaw und Bachmut,
das, wie ich später zeigen werde, besondere Aufmerk-
samkeit verdient. In Bachmut erhielt ich die tele-
graphische Mittheilung, dass der General Kotzebue
mich in Jalta in der Krymm erwarte. Ich reiste daher
unverzüglich in den letzten Tagen des August nach
Jalta und traf daselbst am 1 September ein. Nach
einem Aufenthalte von wenigen Tagen begab ich mich
über Taganrog zum dritten Male nach Lugan, wo-
4
51
Bulletin de l'Académie Impériale
ei SE
nm
selbst der Director des Bergdepartements, General-
Major Rachette, am 10 September eintreffen sollte.
Als er am 12 September Lugan verlassen hatte, begab
ich mich wieder nach Bachmut.
Wenn ich Ihnen die Hauptresultate meiner Beob-
achtungen mittheilen soll, so würde ungefähr Folgen-
des zu sagen sein:
1) Ich habe in dem Donezkischen Schichtensy-
steme, das bekanntlich der untern Steinkohlenperiode
“oder der Bergkalkformation angehört, nicht zwei bis
drei, dem Alter und der Lagerung nach verschiedene
Abtheilungen erkennen können, wie einige Geologen,
die dasselbe vor mir gesehen haben. Da die Gesteins-
beschaffenheit und die Petrefacten in allen Gegenden
des Gebirges dieselben sind, so kann ich keinen hin-
länglichen Grund zu jener Gliederung finden, und
glaube vielmehr annehmen zu können, dass das Ganze
eine einzige, gleichzeitig entstandene Bildung ist, die
allerdings ihre einzelnen Unterabtheilungen hat. Die
Schichten dieser Bildung sind aber so vielfältig ge-
hoben, gebogen, gefältelt und von Sprüngen durch-
setzt, dass sie scheinbar in viel grösserer Zahl vor-
handen sind, als in der That der Fall ist. Nur eine
detaillirte, geologisch - geodätische Aufnahme und
Kartirung wäre im Stande in dieser auch praktisch
wichtigen Sache klaren und definitiven Aufschluss zu
geben. Eine solche Aufnahme halte ich im Interesse
der industriellen Zukunft dieses Landes für uner-
lässlich.
2) Seit der Demidowschen Expedition und der geo-
logischen Beschreibung des Donezer Gebirges durch
Leplay, sind hier so viele neue Entdeckungen an
Steinkohlenlagern und Eisenerzen gemacht, dass der
Reichthum an beiden Mineralien, besonders an guten
und sogar besten Kohlen, wirklich erstaunlich ist, und
ich glaube nicht zu viel zu sagen, wenn ich behaupte,
dass das Donezer Gebirge weder in der Quantität
noch der Qualität seiner beiden werthvollen Produkte,
Belgien und dem nórdlichen Frankreich nachstehe.
Uralsches Gusseisen, fast 2000 Werst her, nach Im
gan zu bringen, um diese Hütte in Thätigkeit zu er-
halten.
3) Bekanntlich ist das Vorkommen der Steinkohlen
und der sie begleitenden Sandsteine, Schieferthone
und Kalksteine nicht auf das Gebirge allein beschränkt,
| lenlagern vollkommen gesichert, deren ich schon obet —
am Westrande des Donezer Gebirges erwähnte. Sie .
skoi, setzt sich aber dann nach Süd Südwe
Jedenfalls wird man fortan nicht mehr nóthig haben, ruinas
sondern erscheinen dieselben auch noch westlich und `
nordwestlich vom Westrande desselben, namentlich —
in der Richtung von Bachmut nach Pawlograd und `
Poltawa bis zu einer Entfernung von 90 Werst von «
Bachmut. Sie kommen aber hier nur inselartig, auf spo- | ]
radisch vertheilten Punkten, unter einer Bedeckung 1
von Sandsteinen der untern Kreideformation vor. Ich 1
habe auf zwei solchen Inseln zwischen Bachmut und $
Pawlograd schöne, ergiebige Steinkohlenlager gesehn, |
von denen eins, bei dem Domainendorfe Nowoekono-
mitscheskoje, abgebaut wird. Das andere liegt wei-
ter im Westen bei Sawidowo, einem Besitz des Für- -
sten Kudaschew, und ist auf eine Länge von drei `
Werst bereits erschürft. Die bedeckenden Sandsteipe -
der Kreideperiode fand ich so. wenig mächtig, dass
ich vollkommen überzeugt bin, man kënne hier mit
Bohrlóchern in geringer Tiefe unter der Erdober —
fläche, etwa 100 bis 200 Fuss, unter jenen jünger i
Gaiideteas die Schichten der Kohlenperiode, und
im glücklichen Falle Kohlenlager erbohren. Wenn man
bedenkt, dass die Gegenden, von denen ich rede, nur ;
140 bis 150 Werst von der bereits durch die Regie- |
rung bestätigten Sewastopoler Eisenbahnlinie liegen, 1
so wird man die Wichtigkeit solcher Bohrarbeiten | 1
begreifen, wie ich sie der Oberbehórde des Bergwe- |
sens bereits vorgeschlagen habe. Es müsste aber den- :
selben eine geologisch- geodätische Specialaufnahme À
aller in jener Gegend vorkommenden Inseln der Koh- Lj
lenperiode den Bohrungen vorangehn, um letztern
eine mathematisch sichere Grundlage zu geben. amm ; :
4) Sollten aber diese Bemühungen ohne günstigen
Erfolg bleiben, so ist der Betrieb der Sewastopolet ` 1
Bahn durch jene ausgedehnte Gruppe von Steinkoh- —
beginnt 20 Werst südwestlich von Bachmut, T
Schtscherbinowka und zieht sich von hier zuerst
Werst nach Südost bis zu der neuen Eisenhütte weie" 1
über 35 Werst weit fort bis über die Besitzung |
Fürsten Paul Lieven, Alexandrowka, hinaus. ' Man `
wird vor dieser Grippe Respekt bekeegg wenn ich T
sage, dass mehrere Steinkohlenlager derselben dé
von Schtscherbinowka über Saizowo, Schelesnoje `
Petrowskoi Sawod über 35 Werst weit von geriet:
nach Südost, wie ich sicher annehmen kann, — de
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
54
Unterbrechung, d. h. kontinuirlich erstrecken. Schon
Leplay gab dieser Zone eine Länge von 20 Werst;
ich kann derselben noch mindestens 15 hinzufügen,
die erst in neuerer Zeit bekannt geworden sind.
Die in eben dieser Gegend so häufig vorkommenden
Erze, Brauneisenstein und Thoneisenstein, bilden,
wie ich mich bald überzeugen konnte, bedeutende
Lager, die dasselbe Streichen und Fallen haben wie
die übrigen Glieder der Formation, und in denen das
Erz nesterweise in einer Umhüllung von Sand und Thon
vorkommt. Es ist mithin ein ähnliches Vorkommen wie
das der Olonezschen Eisenerze in den ‘dortigen Berg-
kalke, das ich in den Schriften der Akademie beschrie-
ben habe; es erinnert aber noch mehr an die Verhält-
nisse, unter denen dieselben Erze und in derselben
Formation in Belgien und im französischen Hennegau
auftreten.
Aus dieser Gegend könnte nicht nur die zu erbau-
ende Sewastopoler Bahn einst ihren Vorrath an Kohle
und Eisen beziehen, sondern es könnte auch im Falle
der Noth Odessa und seine bereits entstehende Bahn
mit Kohle versorgt werden. Ich sage im Falle der Noth,
denn Odessa erhält bisjetzt Steinkohle aus England
zu billigeren Preisen als aus dem Donezer Gebirge,
weil die britannischen Segler und Dampfer sie als Bal-
last nach den Häfen des Schwarzen Meeres bringen.
Die Noth in Odessa würde aber, wie es 1855 geschah,
mit einer erneuerten Blokade, und mit dieser die
Nothwendigkeit eintreten, einheimische Kohle zu brau-
chen. Um dieses möglich zu machen, müsste die
Odessa-Kijewer Bahn an geeigneter Stelle mit der
Sewastopoler verbunden werden.
5) In Berdänsk und Taganrog hatte ich Gelegen-
heit einige Beobachtungen zu machen, die zu der so
lebhaft angeregten Frage über ein Seichterwerden
des Asowschen Meeres in naher Beziehung stehn. Zu
meinem Bedauern mangelte esmir an Zeit, diese Beob-
achtungen auch auf andere Küstenpunkte auszudeh-
nen. Indessen glaube ich zwei Dinge mit Sicherheit
erkannt zu haben: |
Erstens, dass die schnelle Versandung des Meeres
bei Taganrog ihren Grund mehr in dem Abspülen und
Herabstürzen der benachbarten aus lockerem Lehm
bestehenden Steilufer, als in dem Niedersinken des
durch den Don herbeigeschwemmten feinen Detritus
hat. Es besteht nämlich das 250 Fuss hohe Ufer bei
Taganrog, wie fast am ganzen nördlichen Gestade,
nicht aus Steppenkalk, wie man gewöhnlich glaubt,
sondern aus einem über ihm liegenden Lehm, dessen
steile, oft senkrechte dem Meere zugewendete Abfälle
von denWellen gewaltig benagt werden. Der Steppen-
kalk liegt bei Taganrog 6 Fuss dick, ganz unten am
Ufer, im Niveau des Meeres, und kann also zur Ver-
schlàmmung des letztern nur wenig Material liefern.
Erdstürze sind hier daher sehr häufig und bei Ta-
ganrog ist erst von drei Jahren ein gar gewaltiger
unweit des alten Hafens geschehen. Die herabgestürz-
ten Massen werden von der Brandung vollends zer-
stórt und der Detritus bleibt an geschützten Stellen,
wie z. B. in der seichten Bucht von Taganrog, liegen,
ohne von Strómungen weitergeführt zu werden.
Ferner habe ich mich davon überzeugt, dass die
merkwürdigen, alle nach einer Richtung gehenden
Landzungen des nördlichen Ufers, die Kocw, rein ma-
ritimen Ursprungs sind, und dass die in ihrer Nähe
mündenden Steppenflüsse sich an deren Bildung gar
nicht betheiligt haben, oder doch nur in einem ver-
schwindend kleinen Maasse. Die Asowschen Kossy
bestehn aus Meeressand und Schalen von Meeres-
muscheln, und sind nichts weiter als lange Dünen auf
thonigem Untergrunde, zunächst durch die Meeres-
wellen aufgeworfen, und sodann durch die hier so
häufig eintretende starke Ostwestströmung allmählich
in ihre gegenwärtige Gestalt gebracht. Wo diese durch
die hier vorherrschenden Ostwinde veranlasste Strö-
mung am Nordufer einen bedeutenden Vorsprung,
ein Cap antrifft, drängt sie mit vermehrter Kraft an
die Südostseite desselben, nimmt einen Theil des
lockern Ufersandes und der Muschelschalen mit und
bildet im Verein mit den Wellen aus ihnen einen lan-
gen, nach Südwest gebogenen Schweif, der an der
Südspitze des Cap zu beginnen pflegt. Ein flüchtiger
Blick auf eine Specialkarte des Asowschen Meeres
zeigt deutlich, dass jede der Landzungen an ein sol-
ches Promontorium angeknüpft ist. Ich habe über diese
Verhältnisse dem Vicepräsidenten der Geographischen
Gesellschaft, Admiral Lütke, ausführlicher geschrie-
ben, und ihm mitgetheilt, dass ein in Berdänsk mit
dem Bau eines Dammes beschäftigter, sehr kenntniss-
reicher Officier der Wegekommunikation, Van Desen,
sich erboten hat, auf der Berdänsker Landzunge Ver-
messungen über deren gegenwärtige Länge und Breite,
4*
55
Bulletin de l'Académie Impériale
so wie über die Häufigkeit und Stärke der Meeres-
strömungen anzustellen, um dadurch für künftige Zeit
sichere Anhaltspunkte für die Beurtheilung der erfolg-
ten Veränderungen zu erhalten. Ich werde sowohl
der Akademie als auch der Geographischen Gesell-
schaft über diese Dinge später specielle Berichte vor-
legen. Gegenwärtig nimmt die Abfassung eines aus-
führlichen Berichts über meine Reise und deren Re-
sultate an den Herrn Finanzminister meine Zeit in
Anspruch.
Über das Leuchten der Larven der Lampyris
noctiluca, von Ph. Ofsiannikof. (Lu le 30
octobre 1863.)
Das Leuchten der Thiere hat von jeher die grösste
Aufmerksamkeit der Physiologen auf sich gezogen.
Die Ursachen einer so interessanten Erscheinung zu
ermitteln, ist aber höchst schwierig; daher besitzen
wir bis jetzt nur sehr vereinzelte Untersuchungen über
diesen Gegenstand. Man findet selbst Widersprüche
in Beziehung darauf, wie sich das Leuchten zu den
verschiedenen Stoffen und Gasen verhält. So sagen
Einige, dass dasJohanniswürmchen in Öl nicht leuchte,
Andere behaupten das Gegentheil. Manche Förscher
meinen, die Kohlensäure habe einen nachtheiligen Ein-
fluss auf das Leuchten, was wieder Andere vernei-
nen. Um auf den Grund dieser Widersprüche zu kom-
men, stellte ich einige Untersuchungen an den Larven
der Lampyris noctiluca an. Ich fand dieselben in gros-
ser Anzahl in der Nähe von Kasan in den Monaten
August und September. Den ganzen Winter über be-
wahrte ich sie in grossen anatomischen Gläsern auf,
die bis zu einem Fünftel mit trocknen Blättern ge-
füllt waren. Auf die Gläser legte ich einen Deckel, um
das Trockenwerden der Blätter zu verhüten; von Zeit
zu Zeit nahm ich ihn jedoch ab, um den Zutritt der
freien Luft zu gestatten. Waren Se Blätter zu trocken,
so besprengte ich sie mit Wasser. Zu grosse Nässe
bringt Schimmel hervor und ist den Thieren nach-
theilig. Bei einer solchen Behandlung lebten die Lar-
ven den ganzen Winter über, ohne dass auch nur
eine umgekommen wäre. Einigen schnitt ich den Theil
des Hinterleibes, in welchem sich die Leuchtorgane
befinden, ab; die Schnittwunde heilte, und die Lar-
ven blieben ebenfalls den ganzen Winter hindurch am
Leben.
men ausgebildeten Insect, corn vas das Licht nur am «
Die Beobachtungen, die ich hier mitzutheilen beab- «
sichtige, habe ich im August des Jahres 1859 ange- —
fangen, und seit der Zeit ist es mir nicht gelungen,
dieselben wieder aufzunehmen. So sehe ich mich denn |
genöthigt, die Resultate so weit zu veröffentlichen,
als die Untersuchungen damals gediehen sind. pit |
Gegenstand ist von allgemeinem und hohem Interesse
und kónnte vielleicht von Anderen wieder e | i
men werden. |
Alle Larven, welche ich damals bekam, so va i
sie auch waren, besassen das Vermögen des Leuch- |
tens. Die kleinsten, die ich fand, waren 5 mm. fe:
grössten 10 — 15 mm. lang.
Die grösseren Larven gaben ein intensiveres Licht |
von sich als die kleinen. Das rührt davon her, dass f
mit dem Wachsen der Larven auch die einzelnen 1
Theile derselben, ebenso wie die Leuchtorgane, sich
mehr entwickeln. Das Leuchten ist nicht fortdauernd.
Man sieht dasselbe bald im vollen Glanze, bald schei, |
cher werden, bald ganz verschwinden; auch ist es.
von der de des. Kórpers Rees Wenn die E
Larve sich bewegt und ihren Körper möglichst aus-
streckt, so ist das Leuchten hell und schön; zieht. sie i
sich zusammen, so erlischt das Licht. s. i
Ferner ist zu bemerken, dass bei der Larve nieht. i
der ganze Unterleib leuchtet, wie bei dem vollkom- E]
3ten Gliede des Abdomens, von hinten gerechnet,
erscheint. Und zwar tritt es an der unteren seitlichen ”
Fläche des Hinterleibes in Form von zwei gesonder-
ten hellleuchtenden Punkten hervor. Die Farbe. we
Lichtes ist eine bläuliche.
Forschen wir nach der Ursache des Intermiti E)
des Lichtes, warum das Insect zuweilen leuchtet und …
zuweilen nicht, so ergiebt sich Folgendes. e
Das Leuchten rührt von zwei kleinen Sückchen -
her, welche im Innern des Thieres symmetrisch auf |
beiden Werth des Kórpers liegen. Diese Sückche
nähern sich der äusseren, unteren Fläche, wenn das
Thier seinen Körper ausstreckt, und wir sehen sie als —
dann leuchten. Zieht sich ZS das Insect zusammel, -
so werden auch die Säckchen in das Innere des Thie- |
res zurückgezogen und durch die Eingeweide un!
andere Theile bedeckt, wodurch das Leuchten natür-
licher Weise unseren Augen sich entziehen muss. l |
57 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 58
Dieses erklärt auch, warum Peters!) bei der Lam-
pyris italica das Leuchten nach Enthauptung des Thie-
res sogleich hat verschwinden sehen. Der Umstand,
dass die Thiere die Leuchtsäcke bald der unteren
Fläche nähern und bald nach innen zurückziehen, ver-
dient die grösste Beachtung. Fast alle Versuche, welche
mit der Lampyris noctiluca gemacht worden sind, um
z. B. ihr Leuchtvermögen in verschiedenen Gasen und
zu verschiedenen Flüssigkeiten festzustellen, wurden
an ausgebildeten, unversehrten Thieren angestellt.
Zu meinen Versuchen haben, wie ich schon oben er-
wähnte, ausschliesslich Larven gedient, weil ich in
Kasan zu selten Gelegenheit hatte, vollkommene
Thiere zu bekommen. Dennoch habe ich auch an die-
sen Thieren das Verschwinden des Leuchtens auf eine
Zeit lang gesehen, was mich veranlasst zu glauben,
dass die an Larven gewonnenen Resultate auch auf
das entwickelte Insect anzuwenden sind. Bringen wir
eine Larve von der Lampyris noctiluca oder ein aus-
gebildetes Insect in irgend ein Gas oder eine Flüssig-
keit und das Insect verbirgt seine Leuchtorgane, so
könnten wir, wie es mit manchen Beobachtern ge-
schehen ist, zu dem irrigen Schlusse kommen, das
Insect leuchte nicht, weil die Stoffe, in die wir es
gethan haben, dem Leuchten nachtheilig seien.
Um von dieser Seite jedem Fehler auszuweichen,
zergliederte ich das Insect mit feinen Nadeln, nahm
die leuchtenden Säckchen heraus, um mit denselben
die Versuche anzustellen. Es war hóchst interessant
zu sehen, dass die Säckchen, aus dem lebenden Orga-
nismus entfernt, làngere Zeit sehr intensiv zu leuch-
ten fortfuhren. Ihr Leuchtvermögen hing hauptsäch-
lich von dem Grade der Feuchtigkeit ab. Da sie sehr
klein sind, so trocknen sie an der freien Luft ziem-
lich schnell ein, und dann verschwindet das Leuch-
ten. Wurden sie aber etwas mit Wasser angefeuch-
tet, so dauerte das Licht 2, 3, ja zuweilen auch
4 Stunden und mehr fort.
Alle Versuche wurden natürlich in einem vollkom-
men dunklen Zimmer angestellt.
Ein solches Säckchen legte ich auf ein Objectiv-
glas, zerriss es mit feinen Nadeln in kleine Theile
und bedeckte es mit einem Glasplättchen. Darauf un-
tersuchte ich es mit dem Microscop in einem dun-
1) Archiv für Anatomie und aen herausgeg. von Johan-
nes Müller. Jahrgang 1841, p.
klen Zimmer. Die einzelnen Stückchen gaben noch
so viel Licht, dass sie mit dem Instrumente deutlich
gesehen werden konnten. Bei dieser Untersuchung
bemerkte ich, dass die Säckchen aus einer Haut und
einer in derselben sich befindenden Flüssigkeit be-
standen. Die Flüssigkeit presste ich zuweilen aus
dem Säckchen heraus: das Licht haftete nicht an ihr,
sondern an der Haut des Säckchens. Einige leuch-
tende Säckchen legte ich in Oel, andere in Wasser:
beide Flüssigkeiten hatten keine nachtheilige Wir-
kung auf das Leuchten.
Bei Behandlung der oben beschriebenen Leuchtor-
gane mit starken Säuren oder Alcalien hörte das Leuch-
ten augenblicklich auf.
Merkwürdig war es, dass durch die Einwirkung
eines Tropfens Glycerins das Leuchten aufhörte. Allein
bei Behandlung desselben Organes mit Wasser, wo-
durch das Glycerin entfernt wurde, begann das Leuch-
ten von neuem. Blieb aber das Sückchen einige Mi-
nuten lang in Glycerin, so konnte das Leuchten nicht
mehr hervorgerufen werden.
Nun unternahm ich eine Reihe von Versuchen,
um die Einwirkung der Gase auf die Leuchtorgane
zu prüfen. Um zu zeigen, wie vorsichtig man bei
solchen Versuchen sein und wie sehr man dabei auf
alle Nebenverhültnisse achten muss, führe ich hier an,
dass auch meine ersten Versuche die gróssten Wider-
sprüche lieferten. Bald zeigte sich, dass die Leucht-
organe in Kohlensáure eben so hell leuchteten wie in
Sauerstoff, bald leuchteten sie in Wasserstoff recht
hell, bald hórte das Leuchten auf u. s. w. Bei strenger
Durchmusterung der Methoden, deren ich mich bei
meinen Experimenten bediente, stieg mir die Vermu-
thung auf, erstens dass die bereiteten Gase nicht voll-
kommen chemisch rein seien, und zweitens dass ich,
indem ich die Baurhsäckchen in die Gase brachte, zu-
gleich auch den Zutritt der atmosphärischen Luft ge-
stattete. Diese Vermuthung hat sich bestätigt.
Die folgenden Versuche stellte ich gemeinschaft-
lich mit Hrn. Prof. Bolzani in seinem physikalischen
Cabinet an, wo er mir zugleich seine Instrumente mit
der grössten Bereitwilligkeit zur Verfügung stellte.
Auch suchten wirjeden Fehler móglichst zu vermeiden.
Zunächst war es von hóchstem Interesse, zu beob-
achten, wie sich das Leuchten der genannten Sück-
chen in einem Inftleeren Raume verhalten dürfte. Ein
59
Bulletin de l’Académie Impériale
paar Bauchsäckchen wurden herauspräparirt, mit
einem Tropfen Wasser angefeuchtet, um ihr Eintrock-
nen zu verhüten, und unter die Glasglocke einer sehr
guten Luftpumpe gebracht. Alle Vorsichtsmaassre-
geln wurden getroffen, um das Eindringen der atmo-
sphärischen Luft unter die Glasglocke zu verhüten.
Die Luft wurde alsdann aus der Glasglocke allmäh-
lich ausgepumpt. Anfangs blieb das Leuchten eben so
hell wie an der Luft. Allmählich aber, je mehr man
die Luft auspumpte, verschwand das Licht, bis es
endlich nach einiger Zeit so matt wurde, dass es bei-
nahe ganz verlosch. Wenn aber der Hahn geöffnet
wurde und eine auch nur sehr geringe Quantität at-
mosphärischer Luft hineindrang, so glühte das Bläs-
chen augenblicklich wieder mit sehr hellem Lichte
auf. Diesen Versuch wiederholten wir einige mal und
er ergab immer dieselben Resultate.
Aus dem Angeführten können wir zwei Schlüsse
ziehen: erstens, dass das Leuchten ohne atmosphäri-
sche Luft durchaus nicht bestehen kann; und zwei-
tens, dass die Intensität des Lichtes in einem gewis-
sen Verhältnisse zur Dichtigkeit der Luft steht. Je
dünner die atmosphärische Luft, desto matter das
Licht y
Alsdann prüften wir den Einfluss der Kohlensäure
auf die Leuchtorgane. Diesen Versuch führten wir
mit möglichster Sorgfalt aus. Die Kohlensäure be-
reiteten wir, indem wir in einem Glasgefässe Kreide
mit Schwefelsäure übergossen. Anfangs wurde die
Luft verdrängt, dann endlich, als reine Kohlensäure
ausgeschieden war, wurde sie durch eine Kautschuk-
röhre in ein ziemlich grosses Gasometer geleitet. Das
Gasometer setzten wir mit der Glasglocke einer Luft-
pumpe in Verbindung. Aus dieser pumpten wir die
Luft langsam, aber anhaltend aus. Während ein Theil
der Kohlensäure durch Pumpen aus der Glocke ent-
fernt wurde, wurde dieselbe sogleich durch neue aus
dem Gasometer ersetzt. Auf diese Weise befanden
sich die Leuchtorgane fortwährend in reiner Kohlen-
säure.
Es zeigte sich bei diesen Versuchen, dass das
Leuchten der Bläschen in reiner Kohlensäure sehr
matt wurde, jedoch niemals bis zu dem Grade wie
beim vorigen Versuche, als wir die Luft aus der Glocke
entfernten. Wurde aber zu der Kohlensäure auch nur
eine sehr unbeträchtliche Quantität atmosphärische
Luft zugelassen, so leuchteten die Bläschen augen-
blicklich wieder hell und normal auf.
Diesen Versuch wiederholten wir einige mal und
immer mit denselben Resultaten. Versuche mit an-
deren Gasen anzustellen, verhinderte uns leider der
Mangel an Material. Aus demselben Grunde war es
uns ferner unmöglich, die Ursache des Leuchtens ge-
nauer zu studiren. Einige Forscher schreiben die Ur-
sache des Leuchtens dem Phosphor zu, andere gal-
vano-electrischen Processen. Beide Ansichten sind nur
Vermuthungen, welche keineswegs auf streng wissen-
schaftlichen Experimenten beruhen. Diese letztere.
Ansicht ist aus Versuchen hervorgegangen, die man
mit einem empfindlichen Multiplicator an den Johan-
niswürmchen anstellte; eine oberflàchliche Betrach-
tung dieser Versuche zeigt jedoch hinlänglich, dass
dieselben nieht exact genug ausgeführt worden sind.
Wer sich mit Versuchen am Multiplicator beschäftigt
hat, wird gewiss unsere Ansicht theilen.
Es ist möglich, dass bei verschiedenen Thieren
auch verschiedene Ursachen dem Leuchten zu Grunde
liegen. Ich habe in Kasan Gelegenheit gehabt, das
Leuchten der kleinen Annelide Enchytraeus albidus’)
zu untersuchen. Ihr Licht ist sehr schwach. Es ist
nicht an bestimmte Organe gebunden, sondern flackert
hin und her. Bald leuchtet der ganze Wurm, bald
nur der Kopf, bald nur der Schwanz. An den Fin-
gern, mit denen man den Wurm hält, bleibt zuweilen
ein sehwaches, blaues Licht zurück. Noch ganz an-
ders nimmt sich das Licht bei der Miliaria noctiluc
aus, die ich auf der Insel Fóhr untersucht habe. Die-
ses Thierchen ist bekanntlich sehr klein, durchsich-
tig und besitzt die Form eines Blüschens, an dem ein
Ich habe dort oft Seewasser genommen, in welchem
in der Dunkelheit leuchtende Punkte wahrgenommen
werden konnten. Jedesmal wenn ich die Punkte iso-
lirte, war die Ursache des Leuchtens die Miliaria no-
ctiluca. Ich will übrigens damit nicht gesagt haben, dass
2) Dieses Thierchen hat Henle als eine neue Anneliden-Gat-
tung in Müller's Archiv, 1837, p. 74, recht genau beschrieben,
ohne jedoch des Leuchtens zu erwähnen. Bei anderen Forschern,
die diesem Thiere einen andern Namen geben, finden wir ebenfalls
einige Notizen über dasselbe; so bei Eversmann, in den Gelehrten
Nachrichten der Kasan’schen Universität vom J. 1838, unter dem
"amen Lumbricus noctilucus: ferner in Lich i
vom J. 1781. z n Lic tenhargy Magazin
fadenfórmiger, quergestreifter Fortsatz sich befindet.
Le id ni i Spr
ms
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
dort nicht auch andere leuchtende Thiere vorkom-
men, sondern nur darauf aufmerksam machen, dass
die Zahl der leuchtenden Infusorien geringer ist, als
man gewöhnlich anzunehmen geneigt ist. Die Unter-
suchung mit dem Microscope wies öfters eine Ver-
schiedenheit der inneren Structur in den einzelnen
Exemplaren der Miliaria noctiluca nach. Es konnte
aber in keinem ein besonderes Leuchtorgan entdeckt
werden, trotz dem dass alle Thiere ohne Ausnahme
leuchteten. Es leuchtete das ganze Thier. Merkwür-
- dig ist aber die Erscheinung, dass die Miliaria no-
ctiluca, nachdem sie geleuchtet hat, für eine Zeit lang
ihr Licht verliert. Man kann sich davon auf folgende
Weise überzeugen. Man thut 10— 20 Exemplare der
Miliaria noctiluca in eine Schale mit Wasser, bringt
sie in ein dunkles Zimmer und setzt das Wasser, nach-
dem es etwas gestanden hat, auf irgend eine Weise
in Bewegung. Augenblicklich sieht man so viel leuch-
tende Punkte, als da Thiere waren. Nachdem diese
aber einmal geleuchtet haben; kann man das Wasser
umrühren, so viel man will, und wird keine Licht-
erscheinung mehr sehen. Hat es aber wieder eine
Zeit lang, etwa 10 — 20 Minuten, gestanden und
setzt man es dann wieder in Bewegung, so sieht man
die früheren Lichtpunkte von neuem. Es ist jeden-
falls ein hóchst interessantes Phünomen, welches von
dem bei den Larven der Johanniswürmchen sehr ab-
weicht.
— Fragen wir schliesslich nach dem Zwecke des
Leuchtens bei den Johanniswürmchen, so müssen wir
gestehen, dass diese Frage in der letzten Zeit keines-
wegs ihrer Lósung näher gerückt ist. Früher hat
man vermuthet, dass das Leuchten die Annäherung
der Geschlechter zur Zeit der Begattung begünstige.
Jetzt glaube ich, nachdem ich die Leuchtorgane auch
bei sehr kleinen Larven gesehen habe, dass eine sol-
che Vermuthung nicht mehr stichhaltig ist.
Über das Nitrobenzil von N. Zinin. (Lu le 27 no-
.. vembre 1863.)
— Wenn man auf einen Gewichttheil Desoxybenzoin
acht Gewichttheile Salpetersäure von ungefähr 1,2
sp. Gew. einwirken lässt, so schmilzt dasselbe bei
schwachem Erwärmen zu einer ólartigen Flüssigkeit,
welche beim Kochen bald zu Boden sinkt, es entwi-
ckeln sich viel rothe Dämpfe, und wenn das Kochen
lange fortgesetzt wird, bis ungeführ die Hülfte ver-
dampft ist, so lóst sich alles auf, Giesst man nun den
Rückstand in sein 20 faches Volumen Wasser, kocht
ihn damit und giesst die Auflösung vom Bodensatze ab,
so bleibt ein gelber schmelzbarer, aber in der kochen-
den Auflösung unlöslicher Körper zurück. Wir wissen,
dass die Auflösung eine der Nitrobenzoesäuren ent-
hält; von dem gelben Körper erhielt ich jederzeit
fast zwei Theile aus drei Thelen Desoxybenzoin.
Zugleich mit ihm und der Nitrobenzoesäure bildet
sich gewöhnlich etwas Benzil.
Denselben gelben Körper erhält man durch Ein-
wirkung von Salpetersäure von 1,5 sp. Gew. auf Ben-
zoin. Am vortheilhaftesten ist es 1 Theil Benzoin auf
3 Theile Säure zu nehmen und nicht mehr als 10
Grm. Benzoin auf einmal in Arbeit zu nehmen. Wenn
man das Benzoin in die auf 0°C. erkältete Säure ein-
trügt, so schmilzt es sogleich und lóst sich beim Um-
schütteln ohne Entwickelung rother Dümpfe zu einer
braungelben Flüssigkeit auf; bald aber füngt diese an
sich zu erwürmen und rothe Dümpfe auszustossen,
worauf eine heftige Reaction eintritt, begleitet von
heftiger Erwärmung, Kochen und Entwickelung einer
grossen Menge rother Dämpfe. Bis zu dieser Reaction
darf man es nicht kommen lassen, sondern die Flüssig-
keit, sobald das Benzoin sich aufgelóst hat, schon
nach wenigen Secunden in kaltes Wasser giessen,
welches man stark umschüttelt. Man erhält nun auf
dem Boden des Gefässes eine dicke ölartige Flüs-
sigkeit, welche nach dem Auswaschen, zuerst mit kal-
tem und dann mit heissem Wasser, in der Külte und
sogar bei einer Temperatur von ungefähr 10°C., ziem-
lich hart und fast farblos ist, und sich leicht in der
gleichen Gewichtsmenge Aether auflöst. 4 Theile
Benzoin geben ungefähr 6 Theile des ölartigen Kör-
pers. Aus der aetherischen Lösung setzt sich bald
eine grosse Menge eines schwefelgelben Körpers in
Form von Kórnern ab, welche aus Blättchien oder
flachen Nadeln bestehen. Einmal ausgeschieden löst
sich der Körper nicht mehr, sogar in einer viel grösse-
ren Menge kochenden Aethers, er ist jedoch immer
in Aether noch leicht löslicher als in Weingeist. In
72%, Weingeist schmilzt er nicht beim Kochen und
aus der Lösung darin krystallisirt er beim Erkalten
in sehr kleinen flachen Nadeln oder Blättchen, wobei
Bulletin de l'Académie Impériale
die Flüssigkeit, selbst wenn sie nur wenig aufgelöst
enthält, ganz gesteht; in Wasser ist er unlöslich.
Man erhält von dem gelben Körper gewöhnlich etwas
mehr als die Hälfte des angewandten Benzoins; neben
ihm bildet sich noch ein anderer, ölartiger Nitrokörper,
welcher in der aetherischen oder alkoholischen Lö-
sung zurückbleibt. Um den gelben Körper, vollständiger
aus der aetherischen Lösung auszuscheiden, ist es gut,
dieser Lösung ihr gleiches Volum 85 bis 907 Alkohol
zuzusetzen. Umkrystallisiren kann man ihn entweder
aus Alkohol oder auch aus starker Salpetersäure, in
welcher er sich beim Kochen ohne Veränderung auf-
löst; Aether anzuwenden ist deshalb nicht vortheil-
haft, weil in ihm selbst in der Kälte noch viel gelöst
bleibt. Auch in starker, kochender Essigsäure löst
sich der gelbe Körper, aber nicht so leicht als in Sal-
petersäure. Der durch wiederholtes Umkrystallisi-
ren zuerst aus Aether und Alkohol, dann aus Salpe-
tersäure und endlich aus reinem Alkohol gereinigte
Körper schmilzt in dünnen Schichten bei +110°C.;
bei stärkerem Erhitzen destillirt er zwar grössten-
theils über, aber nicht ganz ohne Zersetzung und er
kann daher durch Destillation nicht gereinigt werden.
Ein Theil des reinen Körpers erfordert zu seiner Auf-
lösung 30 Theile kochenden Alkohols von 85° und
27 Theile von 92°,,, aus letzterer Lösung scheidet
sich beim Erkalten 85°, des gelösten Körpers aus. —
Der Körper enthält Stickstoff und ist ein Nitrokörper;
seine Analysen haben folgende Resultate gegeben:
0,407 gaben 0,981 Kohlensäure und 0,138 Was-
ser, folglich 65,67%, Kohlenstoff und 3,76°/, Wasser-
stoff.
0,430 gaben 1,040 Kohlensäure und 0,145 Was-
ser, folglich 65,96%, Kohlenstoff und 3,74%, Wasser-
stoff.
0,485 Grm. gaben beim Verbrennen nach der Me-
thode von Dumas 25CC. Stickstoff bei --20°C. und
0”,748 B. St., folglich 5,79%, Stickstoff.
0,531 Grm. gaben nach demselben Verfahren 27CC.
Stickstoff bei + 23°C und 0",748 B St., folglich
5,63°/, Stickstoff.
Diese Resultate entsprechen der Formel C; H,NO..
berechnet gefunden
Cia 65,88 65,67 96
H, 9,58 3,76 3.74
N 5,49 5,79 5,63
Der Körper ist also seiner Zusammensetzung nach
Nitrobenzil, ich bemerke aber, dass ich durch die
Einwirkung von Salpetersäure von 1,51 sp. Gew.
auf Benzil nicht diesen Körper, sondern einen ande-
ren erhalten habe, welchen ich später beschreiben
werde.
Beachtung verdient das Zerfallen des Nitrobenzils
bei der Einwirkung von Aetzkali in alkoholischer Lö-
sung. Wenn man einer gesättigten heissen Lösung
des Körpers in 85 bis 907, Alkohol eine alkoholische
Aetzkalilösung zusetzt, so fängt das Gemisch an zu
kochen, nimmt eine blau- oder schmutzig- grüne Farbe:
an, welche bald verschwindet und in eine braungelbe
übergeht, und die Flüssigkeit trübt sich durch Aus-
scheidung sehr feiner, nadelförmiger Krystalle. Wenn
man mit dem Zusetzen der Kalilösung aufhört, sobald
eine bleibende, schwache, alkalische Reaktion einge-
treten ist, und nun erkalten lässt, so wird die über
den Krystallen stehende Flüssigkeit nur schwach ge-
färbt erscheinen, der init starkem Alkohol ausgewa-
schene Niederschlag aber ganz farblos sein. —
10 Grm. des gelben Kórpers in 400 Grm. 90 pro-
centigen Alkohols durch Kochen gelóst und bis zur
anfangenden Krystallisation erkaltet bedurften bis
zum Eintreten einer schwachen, aber nicht mehr ver-
schwindenden alkalischen Reaction 90CC. Kalilósung,
welche 4,5 Grm. KHO enthielt, und daraus wurden
6,4 bis 6,6 Grm. der feinen nadelfórmigen Krystalle
erhalten. Diese Krystalle sind ein Kalisalz, welches
sich leicht in kochendem Wasser löst (1 Theil in 2%
Theil; — beim Erkalten erfüllt sich diese Lüsung
mit seidenglänzenden, nadelfórmigen Krystallen, beim
Kochen aber, besonders wenn sie alkalisch ist, bräunt
sie sich leicht an der Luft *). In starkem Alkohol ist
das Salz ganz unlóslich und aus seiner wüssrigen Ló-
sung wird es durch Alkohol gefällt; aus der heissen
Lósung in schwachem Weingeiste krystallisirt es beim
Erkalten in mit unbewaffnetem Auge erkennbaren Na-
deln. Es enthält kein Krystallwasser. Durch Zusatz
von Säuren wird aus dem Salze die Säure in gelati-
nósen Flocken ausgeschieden, welche in Aether, Al-
kohol und sowohl kaltem als kochendem Wasser gánz- `
lich unlóslich sind; beim Kochen mit Wasser fällt
der gelatinôse Niederschlag gleichsam zusammen und
*) In starker Kalilósung ist das Salz fast unlóslich. -
|
65 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 66
setzt sich nun leichter zu Boden. In den wässrigen
Lösungen der Alkalien löst sich die Säure leicht
auf. Das Ammoniaksalz ist dem Kalisalze ähnlich,
aber es krystallisirt besser aus der wässrigen Lösung,
man erhält es immer gelblich gefärbt, und es ist in
Alkohol ziemlich leicht löslich. Beim Vermischen ei-
ner verdünnten heissen Lösung des Kalisalzes mit
einer heissen Lösung von Chlorbaryum in stöchio-
metrischen Verhältnissen oder mit einem kleinen Über-
schusse des letzteren, trübt sich die Flüssigkeit bald
durch das sich als krystallinischer Niederschlag aus-
scheidende Baryumsalz. — Das Silbersalz, welches in
Wasser unlöslich ^ scheidet sich beim Vermischen
der Lósung des Kalisalzes mit einer Silberlósung als
pulverfórmiger Niederschlag aus; in Ammoniak ist es
sehr leicht lóslich. Bei der trockenen Destillation giebt
das Kalisalz ein Destillat, welches Anilin enthält und
beim Erhitzen bis zur Verkohlung blähet es sich sehr
stark auf, so dass man zum Verbrennen des Salzes
verhültnissmüssig grosse Tiegel anwenden muss; die
sehr poróse kohlige Masse brennt sich leicht weiss.
Das Baryumsalz brennt wie Zunder und verpufit nur
wenig. Das Silbersalz fängt beim Erhitzen an der Luft
mit einer leichten Verpuffung an zu glimmen, ent-
wickelt viel gelbbraune Dämpfe, welche nach Azoben-
zid und Anilin riechen und sich an kalten Körpern
als Flocken verdichten, und es bleibt mit dem Silber
viel Kohle zurück, welche jedoch leicht wegbrennt.
0,355 Grm. vollkommen reinen, bei + 120°C. ge-
trockneten Kalisalzes gaben beim Verbrennen, Be-
feuchten des Rückstandes mit Schwefelsäure und Glü-
hen 0,177 Grm. Kaliumsalz der Schwefelsäure, also
22,35%, Kalium.
0,604 Grm. desselben Salzes gaben 1,002 Kohlen-
säure und 0,132 Wasser, folglich 45,24%, Kohlen-
stoff und 2,42'/, Wasserstoff.
0,507 Grm. des Salzes gaben nach der Methode
von Dumas 35CC. Stickstoff bei + 20°C. und
07,7545 B. St., folglich 7,867, Stickstoff.
Diese Resultate entsprechen der Formel: C, H;NKO,
berechnet gefunden
C, 45,08 45,24
H, 2,81 2,42
8,09 7,86
K 22,54 22,85
0, _— —
Das Baryumsalz erhielt ich immer von schwach
Tome VII.
gelblicher Farbe. Aus der Lösung des reinen Kali-
salzes, welche durch einen Tropfen Ammoniak kaum
alkalisch gemacht war, niedergeschlagen, gut ausge-
waschen und bei +- 120°C. getrocknet, gab es folgende
Resultate:
0,344 Grm. gaben 0,166 Baryumsalz der Kohlen-
säure, folglich 33,55°/, Baryum.
0,378 Grm. von einer anderen Bereitung hinter-
liessen nach der Verbrennung 0,182 Baryumsalz der
Kohlensäure, folglich 33,497, Baryum.
0,690 Grm. gaben 0,971 Kohlensäure und 0,135
Wasser, folglich 38,87%, Kohlenstoff und 2,17%, Was-
serstoff.
0,821 Grm. gaben nach der Methode von Dumas
52 CC. Stickstoff bei + 20°C. und 0",756 B. St., folg-
lich 7,20%, Stickstoff.
Diese Resultate entsprechen der Formel: CCH;NB,O,
berechnet gefunden
C, 88,51 88,87
H, 1,97 2,17
N 6,91 7,20
Ba 83,82 33,55 — 33,49
0, — -
Das Baryumsalz bildet sich auch bei der Einwir-
kung von Barytwasser auf eine weingeistige Lósung
von Nitrobenzil, allein wegen der ungünstigen Löslich-
keitsverhältnisse der in dieser-Reaktion theilnehmen-
den Körper kann auf sie keine bequeme und vortheil-
hafte Darstellungsmethode basirt werden.
Das Silbersalz bietet sowohl wegen seiner eigenen
als auch wegen der Eigenschaften der Säure keine
hinreichende Garantie der Reinheit dar; ich habe
aber doch bei zwei Portionen von verschiedener Be-
reitung, welche aus möglichst neutralen Lösungen er-
halten waren, den Silbergehalt bestimmt und zufrie-
denstellende Resultate erhalten:
0,317 Grm. Silbersalz gaben bei der Verbrennung
0,139 Grm. oder 44,16, Silber.
0,412 Grm. gaben 0,181 Grm. oder 43,93%, Silber.
Die Formel C, H, N A, O, verlangt 44,62, Silber.
Die aus einer erwürmten verdünnten Lösung des
Kaliumsalzes durch verdünnte Salpetersüure gefüllte,
mit kaltem Wasser gut ausgewaschene und zuerst un-
ter der Luftpumpe über Schwefelsüure, dann aber bei
+ 120°C. getrocknete Säure hatte das Ansehen einer
zusammengebackenen, gelblichen Masse, welche ein
fast farbloses Pulver gab; in trockenem — ver-
67
Bulletin de l'Académie Impériale
ändert sie sich beim Aufbewahren nicht. Die frisch-
gefällte Säure nimmt nach dem Trocknen ein viel
kleineres Volumen ein, ähnlich wie dies bei allen ge-
latinösen Niederschlägen geschieht. Bei der Analyse
gab die Säure folgende Resultate:
0,312 Grm. gaben 0,709 Kohlensäure und 0,108
Grm. Wasser, folglich 61,97, Kohlenstoff und 3,847,
Wasserstoff.
0,411 Grm. gaben nach der Methode von Dumas
40 CC. Stickstoff bei + 19°C. und 0",748 B. St., fol-
glich 11,00%, Stickstoff.
Daraus berechnet sich die Formel C,H, N O, wel-
che verlangt.
berechnet gefunden
E 62,22 61,97
H; 3,70 3,84
N 10,37 11,00
0, 23,70 s
Die neue Säure, welche man ihrer Zusammensetzung
nach Azobenzoesäure nennen kann, zeichnet sich durch
ihre Unlöslichkeit aus. Nur starke Salpetersäure löst
sie beim Kochen auf und giebt damit eine neue Säure,
welche in Wasser unlöslich, in heissem Alkohol See
leicht löslich ist und daraus beim Erkalten gut kry-
stallisirt.
Die gelbe oder bräunliche alkoholische Flüssigkeit,
welche bei der Bereitung des Kaliumsalzes der Azo-
benzoesäure aus Nitrobenzil von diesem Salze abge-
gossen worden war, enthält ein in Wasser und Alko-
hol leicht lösliches Kaliumsalz einer besonderen Säure.
Die Auflösung dieses Salzes bräunt sich leicht und
schnell beim Abdampfen; selbst wenn man bei seiner
Bereitung einen Überschuss von Aetzkali so sehr ver-
mieden hat, dass nach dem Verdampfen des Wein-
geistes und dem Vermischen mit Wasser noch etwas
unverändertes Nitrobenzil sich absetzt, so ist dennoch
der salzige Rückstand sowohl, als auch seine Auflö-
sung in Wasser sehr braun. Aus der letzteren schei- |
den Säuren beim vorsichtigen Zusetzen zuerst braune
Flocken aus, wodurch die Farbe der Flüssigkeit hel-
ler wird und nun bei neuem Zusatze von Säure einen
weniger gefärbten Niederschlag giebt. Durch fractio-
nirtes Fällen mit verdünnter Salpetersäure kann man
eine ziemlich reine Säure erhalten, welche bei Um-
krystallisiren aus der heissen wässrigen, mit Thier-
kohle behandelten Lösung sich in vollkommen farb-
losen, aus feinen sternfórmig zusammengewachsen
Nadeln bestehenden Kórnern ausscheidet. Die Sáure
ist ziemlich leicht in kaltem, viel leichter aber noch
in heissem Wasser lóslich; sie enthält keinen Stickstoff.
Das Ammoniaksalz, so wie auch das Kaliumsalz sind
| sehr leicht löslich; auch das Baryumsalz ist in Alkohol _
und Wasser leicht löslich, und krystallisirt aus letzte-
rem bei der Verdampfung in Schuppen. Das Silber-
salz erhält man beim Vermischen einer Lösung eines
der drei eben genannten Salze mit einer Silberlósung
als weissen pulverfórmigen Niederschlag; es ist in
kaltem Wasser unlóslich oder doch sehr schwer lös-
lich, in kochendem brüunt es sich, der grósste Theil
davon löst sich auf und aus det Lösung setzen sich
beim Erkalten blüttrige Krystalle in erheblicher Menge
ab. Wegen der Schwierigkeit der Reinigung habe ich
noch nicht hinreichendes Material zur genaueren Un-
tersuchung dieser Sáure bereiten kónnen, aber die
Analyse des Silbersalzes gab folgende Resultate:
0,284 Grm. des bei + 110°C. getrockneten Sal-
zes liessen bei der Verbrennung 0,126 Grm. oder
44,367, Silber zurück.
0 953 Grm. desselben Salzes gaben ferner beim
WEE 0,322 Kohlensäure und 0,053 Wasser, E
folglich 34,715, Kohlenstoff und 2,32*/ Wasserstoff.
berechnet gefunden ^
C, ^ 84928 34,71
H, 2,04 2,82
Ae 4408 44,36
0, mx —
Dieses Resultat lässt den Schluss zu, dass die bei der
Einwirkung von Aetzkali auf das Et auftre-
tende zweite Säure gleiche Zusammensetzung mit der
Oxybenzoesäure hat, und giebt die Möglichkeit das
Zerfallen des Nitiobensils in dieser Reaktion durch
folgende Gleichung auszudrücken
C, H, N 0,+2KH0—C, H,NKO, Ko H, KO, "T 1
Und in der That, die mentionnent :
der bei der Reaktion gebildeten Körper, die Menge
des in die Reaktion eintretenden Kali und die Menge
des dabei erhaltenen Kaliumsalzes der Azobenzoesäure
entsprechen der aufgestellten Klee,
EE EK rU etn
69 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 70
BULLETIN DES SÉANCES.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 23 OCTOBRE (4 NOVEMBRE) 1863.
. M. Véliaminof-Zernof présente une série de docu-
ments qu'il a extrait des archives et qui concernent les
lettres de franchise, accordées aux Bachkirs par les sou-
verains russes. Ces documents, ainsi qu'une notice rédigée
par M. Véliaminof-Zernof, pour leur servir de préface,
seront publiés dans le recueil russe.de l'Académie.
M. Troinitski, adjoint du Ministre de l'Intérieur,
- adresse pour la bibliothèque de l'Académie les Tables sta-
tistiques de T Empire de Russie, publiées par ordre de M.
le Ministre de l'Intérieur par le Comité central de statis-
tique. La réception en sera accusée avec remerciments.
M. Albört Judeich, employé du gouvernement du
Royaume de Saxe, à Dresde, fait hommage à l'Académie de
l'ouvrage qu'il vient de publier sous le titre: Die Grund-
entlastung in Deutschland. — La réception en sera accusée
avec remerciments.
M. Véliaminof-Zernof, ayant besoin pour ses travaux
sur le khanat de Kassimof de quelques documents histo-
riques, conservés aux archives de Moscou, ressortissant au
Ministère de la Justice, prie d'en demander l'envoi pour
un terme de quatre mois. — Approuvé.
Le Département des relations intérieures, renvoie le
manuscrit de Mossoul de Yakout, appartenant à l'Académie
et qui avait été mis à la disposition de M. Wüstenfeld.
— Le manuscrit est remis à M. Dorn.
M. Stackelberg renvoie les listes de lieux habités des
gouvernements de Livonie, de Courlande, d'Esthonie, de
lékatérinoslaf et d'Olonets, et prie de lui communiquer
pour un court délai des listes pareilles du Pays des Co-
saques du Don. — Accordé.
,
- CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 30 OCTOBRE (11 NOVEMBRE) 1863.
ML Ofsiannikof présente et lit un mémoire, intitulé:
en der Larven der Lampyris noctiluca; on
l'imprimera dans le Bulletin. |
- M. Winnecke, dans une lettre au Secrétaire perpétuel,
communique quelques observations qu'il a faites sur la né-
buleuse d'Orion. Cette lettre sera insérée dans le Bulletin.
M. Helmersen dépose sur le bureau un exemplaire du
mémoire qu'il a publié en langue russe, dans le Journal
des Mines Sur l'état actuel de la Géologie ew Russie. (Co-
Bpewennoe cocTosnie l'eo30riu BB Pocciu. Hat 6-it kumkn
. lopraro ;Kypsaza).
M. Bouniakofski, chargé das la séance précédente
d'examiner un planimétre inventé par M. Volodine pré-
sente un rapport, dans lequel il conclu que l'appareil
de M. Volodine, sans être un planimètre dans l'acception
propre du mot, peut cependant étre utile entre les mains
des arpenteurs, privés des moyens de se procurer des ap-
pareils plus couteux. Le Département des Manufactures
recevra communication du rapport de M. Bouniakofski.
M. le comte Adlerberg, ministre de la Cour Impériale,
transmet une barre de diorite, taillée à l'usine de Iékaté-
rinbourg, et complétant la série de barres pareilles, envoyées
antérieurement et destinées aux recherches sur la con-
ductibilité des différentes roches pour la chaleur, — La
barre sera remise à M. Helmersen, pour les recherches
projetées, et M. le comte Adlerberg recevra les remer-
ciments de l’Académie.
M. Girgensohn, maître-supérieur émérite à Dorpat,
adresse une lettre, accompagnant l'envoi d'un herbier,
composé de 320 espèces de mousses trouvées dans les
provinces baltiques.—Renvoi à l'examen de M. Ruprecht.
M. Ivachintsof, chef de l'expédition de la levée de la
mer Caspienne, adresse à l'Académie des collections, faites en
1863 par les officiers de l'expédition: 1° de spécimens d'eau
pris dans différentes parties de la mer; 2" de substances re-
tirées du fond de la mer; 3? de divers objets du regne orga-
nique, pouvant servir à faire connaître la vie animale de la
mer Caspienne. Enfin un herbier de plantes recueillies sur la
cóte orientale de cette mer par M. le fieutenant Mikhai-
lof, compléte ces collections variées et intéressantes. —
Les collections susmentionnées, ainsi qu'un catalogue qui
les accompagne, seront renvoyés à l'examen de M. Daer, et
l'herbier sera remis à M. Ruprecht qui en fera l'objet
d'un rapport. Le Secrétaire perpétuel est chargé de faire
parvenir à M. Ivachintsof les remerciments de l'Aca-
mie.
La Société balnéologique russe, récemment établie à Pia-
tigorsk, adresse un exemplaire de ses statuts, et prie l'Aca-
démie de lui accorder son appui. — On portera cette So-
ciété sur la liste des institutions qui reçoivent le recueil
russe de l'Académie (3annckn).
Le Directeur de l'Observatoire-Central-Nicolas ayant
signalé des lacunes qui existaient dans la série des publi-
cations de l'Académie appartenant à la Bibliothèque de
l'Observatoire, le Secrétaire perpétuel s'est empressé de
faire des dispositions pour combler ces lacunes. M. Win-
necke, vice-directeur de l'Observatoire, accuse réception
des publications qui ont été recu par suite de cela à l'Ob-
servatoire, et exprime des remerciments.
pm
CD
CLASSE HISTORICO- PHILOLOGIQUE. — ——
SÉANCE DU 6 (18) NOVEMBRE 1863.
M. Schiefner présente et lit un mémoire intitulé Tsche-
tschengische Studien. Ce travail paraîtra dans le recueil des
Mémoires de l'Académie. O
71
Bulletin de l'Académie Impériale
M. Stanislas Julien, membre correspondant, fait hom-
mage à l'Académie de l'ouvrage qu'il vient de publier sous
le titre: Les deux cousines. Roman Chinois, traduction nou-
velle accompagnée d'un commentaire philologique et historique.
Paris 2 vol.
M. Stephani présente, au nom de M. Conestabile,
conservateur des antiques au Musée de Pérouse, l'ouvrage
publié par lüi sous le titre: Second spieilegium de quelques
monuments écrits ow épigraphes des Etrusques. Paris. 1863.
M. Brosset présente une note, destinée au Bulletin, sur
l'activité littéraire des géorgiens et des arméniens en Russie,
en Transcaucasie et dans la Crimée.
La Direction de la bibliothèque publique de Hambourg
signale quelques lacunes dans l'envoi qui lui a été fait des
publications de l'Académie. — Le Secrétaire perpétuel est
chargé de prendre des mesures afin de combler ces lacunes.
Le Secrétaire perpétuel dépose sur le bureau une liste
des membres correspondants de l'Académie, avec indication
du nombre des places vacantes. Les sections de la Classe
sont invitées à se constituer en commissions, pour propo-
ser, s’il y a lieu, des candidäts à ces Places,
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 13 (25) NOVEMBRE 1863.
M. Ruprecht présente et lit un mémoire intitulé: Ein
Beitrag zur Frage über die Zeitdauer, welche zur Sumpf-
und Torfbildung nothwendig ist. On l'imprimera dans le
Bulletin.
M. Tchébychef présente et lit un mémoire sur Vinter-
polation; conformément au désir de l’auteur, ce travail
sera publié dans le recueil russe de l'Académie (3anucku).
M. Struve présente et recommande pour le Bulletin
une notice de M. Winnecke, intitulée: Über den vielfa-
chen Schweif des grossen Cometen von 1744. — On sait que
la cométe de 1744 a fait époque dans les annales de l'as-
tronomie, par les phénoménes extraordinaires offerts par
son noyau; ces phénomènes ont été le plus soigneusement
observés et décrits par Heinsius, ancien membre de
notre Académie. Au commencement du mois de mars
1744 le noyau en était si brillant qu'on pouvait l'aperce-
voir en plein jour à une petite distance du soleil, dont
l'éclat effacait cependant toutes les traces de la queue.
Mais un astronome de Lausanne, Loys de Chéseaux, a
cru apercevoir, le 7 et le 8 mars, quelque temps avant le
lever presque simultané du soleil et de la cométe, à une
petite élévation au dessus de l'horizon, la queue qui se
composait de six rayons différents, séparés entre eux par
des intervalles obscurs. Ces observations isolées, pour
lesquelles la science n’offrait rien d'analogue, ont été ré-
voquées en doute par plusieurs astronomes distingués, qui
les ont attribuées soit à une illusion de la part de De Ché-
seaux, soit à une méprise qui lui aurait fait prendre une
aurore boréale pour des extremités d'une queue de cométe,
Mais déjà en 1859 M. Winnecke, ayant fait une étude
attentive de l'ouvrage de De Chéseaux, avait émis l'opi-
nion que cette explication n'était pas admissible et qu'il
n'y avait point lieu de supposer aucune méprise de la part de
l'astronome de Lausanne. Cette opinion reçoit maintenant `
une confirmation éclatante. En étudiant, à la bibliothèque
de Poulkova, les manuscrits inédits de Joseph De l'Isle,
premier astronome de l'Académie de St.-Pétersbourg, M.
Winnecke y a trouvé un cahier contenant des observa-
tions sur cette comète, faites à l'Observatoire de l'Acadé-
mie: ces observations prouvent que la queue multiple de
la comète a été aperçue par De l'Isle et ses collabora-
teurs le 5 et le 6 mars. En tenant compte du mouvement
de la cométe et des effets produits par la différence des
horizons des deux villes, M. Winnecke s'est assuré de
l'accord parfait qui existe entre les observatiens des as-
tronomes de St.-Pétersbourg et celles de De Chéseaux,
et cet accord est tel, qu'il met hors de doute Ja multipli-
cité de la queue de la cométe.
La notice de M. Winnecke sur cet objet sera publiée
dans le Bulletin, ainsi qu'un extrait du journal des obser-
vations de De l'Isle.
M. Struve communique quelques détails sur une nou- —
velle cométe, découverte le 4 novembre (23 octobre) par
M. Tempel, à Marseille, et qui a été vue ces jours der-
niers à l'oeil nu, à Poulkova, un peu avant le lever du
soleil. D'aprés les élémens de son orbite, calculés par M. 1
Victor Fuss, à Poulkova, la cométe a passé par son pé
rihélie le 9 novembre (28 octobre) et depuis quelques jours |
s'éloigner de la terre. Son éclat qui -
égalait le 6 (18) MAX celui d'une étoile de troisième —
grandeur, diminuera donc rapidement et dans peu de jours «
la comète ne sera probablement visible qu'à l'aide de lu- |
À
commence aussi
nettes assez fortes. Les élémens paraboliques, calculés par
M. Fuss, ne permettent pas de conclure,à l'identité de |
cette comète avec l'une des cométes antérieures.
M. Struve fait à la Classe une communication verbale
sur le voyage qu'il a fait cette année à l'étranger. Etant ——
à la fin du mois d'août à Heidelberg, il y a assisté aux —
Sacs du congrès des astronomes, et a été élu un des —
membres-directeurs de la Société astronomique qui s'est |
nouvellement constituée. M. Struve donne des détails sur, -
l'organisation de cette société et sur le but qu'elle s'est pro — |
posé. — A la fin de septembre, il s'est rendu à Malte pour
examiner le télescope gigantesque, nouvellement établi par
M. Lassell prés de Valetta. Le beau climat de l'île ayant — |
permis à M. Struve de faire un nombre suffisant d'ob-
servations pour formuler un jugement sur les qualités de
l'instrument, il se réserve de soumettre à la Classe, dans —
une des séances prochaines, une notice détaillée sur cet |
objet. — En se rendant À Malte, M. Struve a eu occasion —
de visiter les observatoires de Milan, de Turin, de Palèrme,
EE
Temm j
rc
ae eg
73 des Sciences de Saint - Petersbourg. 74
de Naples, de Rome, de Florence, de Bologne, de Modène
et de Padoue, et sur son retour il a encore visité l’obser-
vatoire de Vienne et le nouvel observatoire de Leipsic.
M. Baer lit un rapport sur les différentes collections
faites en 1863 sur la mer Caspienne par les officiers de
la marine, et envoyées à l’Académie par M. Ivachintsof
(v. la séance du 30 octobre 1863). — On donnera com-
munication de ce rapport à M. Ivachintsof et on l'im-
primera dans le recueil russe de l'Académie.
M. Jacobi lit la seconde partie de son rapport sur
louvrage de M. Konstantinof sur les fusées de guerre
(v. la séance du 16 octobre 1863). — Ce rapport sera im-
primé séparément, sous forme de supplément au Bulletin,
et sera communiqué à l'auteur.
M. le Général Rode, président du Comité des Construc-
tions navales, adresse au Secrétaire perpétuel une lettre
pour le prier de soumettre à l'Académie la question de
savoir s'il y a lieu d'établir des paratonnerres au dessus
d'un magazin à poudre, construit dans le port de St.-Pé-
tersbourg. Deux feuilles de dessins, représentant les dé-
tails de cette construction, sont annexées à la lettre de M.
Rode. — Renvoi à l'examen de MM. Lenz et Jacobi.
M. Lenz présente au nom de M. Korsakof un travail
sur la direction du vent en Russie. — MM. Lenz et Ves-
sélofski sont chargés de l'examen.
Le Secrétaire perpétuel annonce que depuis la derniere
séance les ouvrages suivants ont été mis en vente et en
distribution: Mémoires de l'Académie VII* série, tom. VI,
. N° 10: Über die feinere Structur des Kopfganglions bei den
Krebsen; von P. Ofsiannikof; — N° 11: Opposition des
Mars im Jahre 1862; von A. Sawitsch.
. Le Département de l'Instruction publique, par un office
du 30 octobre, transmet les trois premiéres livraisons
parues du tome 1' de l'ouvrage publié par le Profes-
seur Miquel, sous le titre Annales Musei botanici , Lug-
duno-batavi. Cet ouvrage, envoyé par M. l'Envoyé Extra-
ordinaire et Ministre Plénipotentiaire de Russie à la Cour
de la Haye, est offert à l'Académie par l'auteur. — La ré-
ception en sera accusée avec des remerciments.
M. Yvon Villarceau, membre correspondant, fait hom-
mage à l'Académie de deux mémoires qu'il a publiés dans
le tom. VII des Annales de l'Observatoire Impérial de Pa-
ris, savoir: 1° Etude du mouvement de rotation de la lunette
méridienne et 2° Recherches sur le mouvement et la compen-
sation des Chronométres.
M. Charoubine assesseur de collège, domicilié à Peter-
hof, adresse une notice sur la quadrature du cercle; elle
sera considérée comme non avenue.
Le Secrétaire perpétuel dépose sur le bureau une liste
des membres correspondants de l'Académie, avec indication
du nombre des places vacantes. Les sections de la Classe
sont invitées à se constituer en commissions pour proposer,
s'il y a lieu, des candidats à ces places.
M. Albrecht adresse à l'Académie deux caisses et un
paquet, contenant des objets zoologiques, minéralogiques
et botaniques recueillis par lui à Hakodade, au Japon.
Ces objets seront remis aux Directeurs des Musées res-
pectifs.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 20 NOVEMBRE (2 DÉCEMBRE) 1863.
M. Brosset présente et lit une note intitulée: Variétés
arméniennes, et dans laquelle il a réuni des renseigne-
ments relatifs à divers objets, tels que: 1° Cryptographie
arménienne; 2° Quelques inscriptions; 3° Examen et cri-
tique de deux ouvrages dont: s'est enrichie, cette année,
la littérature arménienne: a) histoire synoptique des Sas-
sanides, par M. Patkanian, et 5) Cartulaire de la Chancel-
lerie royale des Roupéniens, par V. Langlois. — Cette
note sera publiée dans le Bulletin.
Le Secrétaire perpétuel annonce que depuis la dernière
séance ont été publiées et mises en vente et en distribu-
tion les livraisons 5 et 6 du tom. IV des Mélanges asia-
tiques.
La Commission, composée de MM. Bühtlingk, Wiede-
mann et Schiefner et chargée d'examiner un travail
de M. Iouchkévitch sur la grammaire de la langue li-
thuanienne (v. la séance du 9 octobre 1863), présente un
rapport, dans lequel elle porte un jugement général sur
la valeur de l'ouvrage et fait des remarques de détails
sur différents points. — Le rapport de la Commission sera
communiqué à l'auteur.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 27 NOVEMBRE (9 DÉCEMBRE) 1863.
M. Pérévostchikof présente et lit la seconde partie
de son travail sur la théorie des planétes; elle sera publiée
dans le recueil russe de l'Académie.
M. Zinine présente et lit un mémoire sur le mitrobenzil,
qui sera inséré dans le Bulletin.
M. Struve présente et lit une notice destinée au Bulle-
tin, sur le télescope établi par M. Lassell à Malta (Über
das von Herrn W. Lassell in Malta aufgestellte Spiegelte-
lescop). l P
Ve T re présente et recommande pour le Bul-
letin un travail de MM. Möller et Sémionof sur les pé-
trifications des couches devoniennes des gouvernements, de
Toula et de Riasan. t E
M. Kupffer fait hommage à l'Académie des tables qu'il
vient de publier sous le titre: Taga das pascmponru
suna u cnupma 6» nompap». CH6. 8°, — Il présente en méme
75
Bulletin de l’Académie Impériale
temps au nom de M. Engel, directeur du Bureau royal de
Statistique à Berlin, la publication officielle faite par lui
en français et en allemand, sous le titre: Le Congrès inter-
national de Statistique à Berlin. Avant-projet adressé à la
Commission préparatoire de la V° session du Congrès sur
les matières à l'ordre du jour. Berlin 1863.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 4 (16) DÉCEMBRE 1863.
M. Wiedemapn présente et lit un travail intitulé:
Versuch über den werro-ehstnischen Dialekt. Erste Hälfte.
— On le publiera, dans le recueil des Mémoires de l'Académie.
M. Schiefner présente et lit une notice sur les récentes
recherches de M. le Baron Uslar concernant les langues
du Daghestan (Über Baron Uslar's mewere linguistische
Forschungen). — Cette notice sera imprimée dans le Bulletin.
Le Secrétaire perpétuel annonce que depuis la dernière
séance les ouvrages suivants ont été imprimés et mis en
vente et en distribution: 1? M. Schiefner, Ausführlicher
Bericht über des Generals Baron Peter von U slar Abchasische
Studien, N° 12 et dernier du tome VI des Mém. de D Acad.;
et 2? liv. 3 du tome IV des Mélanges russes.
M. Schiefner met sous les yeux de la Classe des ex-
traits faits par- M. Bruyn, de l'Album académique de
l'Université de Leyde, concernant les Russes qui ont étu-
dié dans cette Université depuis sa fondation.
. Stephani annonce qu'il a été élu membre étran-
ger de l'Académie des sciences de Baviere.
*
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a reçu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voie) les titres:
Moulart, Ferd. Jos. De sepultura et coemeteriis. Lova-
nii 1862. 8
Justi, Karl Nic. Heinr. Die aesthetischen Elemente in der
= Platonisehen Philosophie. Marburg 1859. 8
Newton et Leibnitz. Pau 1863. Fol.
be M Annales de l'électrothérapie. 1863 N° 1. 2,
Pari
Gazette médicale d'Orient publiée par la Société Impé-
ə riale de Médecine de Constantinople. VI"* année
1861 N° 2, 8. VII” année 1863 N° 1 — 6.
Bulletin de l'Académie royale de médecine de Belgique
- année 1861. 1862. Deuxième série T. IV N° 2 T. V
N'1— 7. Bruxelles. 8.
Mémoires de l'Académie Impériale de Médecine. T. XXIV,
1. 2. XXV, 1. Paris 1860 — 61. 4
— des concours et des savants étrangers publiés par Aca- `
démie royale de Médecine de Belgique. 3° et 4° fasci-
cules du tome V. Bruxelles 1862 — 63. 4.
Irroxparng. IIegtobuxó» Gn YEAR a TOY larpınav. èn-
Grau, Suyrasgönevov xol éxBübóp.evov xata piya
Aa? IL. KaXMBoÿpoov. "En Aäouac 1862. Teöxog y.
Boeck, W. Recherches sur la syphilis appuyées de ta-
bleaux de statistique tirés des archives des hôpitaux
de Christiania. Christiania 1862. Fol.
Faye, F. C. Sygdomme forekomne paa det kliniske Børne-
hospital i Christiania i 4 Aars Tidsrummet 1858 —
1862. Christiania 1862. 8. e
Jahresbericht über die Verwaltung des Medicinalwesens,
die Krankenanstalten und die öffentlichen Gesund-
heitsverhältnisse der freien Stadt Frankfurt. IV. Jahr-
gang. 1860. Frankfurt a. M. 1863. 8.
Haughton, Sam. On the use of Nicotine in Tetanus, am
cases of poisoning by Strychnin. Dublin 1862. 8.
Demarquay. De la glycérine, de ses applications à la
Chirurgie et à la Médecine. Paris 1863. 8.
Unterberger, Alex. Historische Zusammenstellung der
in der Veterinair-Chirurgie bei Fracturen gebreaer
ten Verbandmethoden. Dorpat 1862. 8.
Desprès, Armand. Traité de l'Erysipéle. Paris 1862. 8.
Tróltsch, Dr. v. Die Anatomie des Ohres in ihrer An |
wendung auf die Praxis und die Krankheiten des -
hórorganes. Würzburg 1860. 8.
Leuckart, Rud. Die menschlichen Parasiten und die von
ihnen herrührenden Krankheiten. Band I Lief. 1. 2.
Leipzig und Heidelberg 1862. 8.
Rover Nosocomii PONDUS urbani.
1862.
|J Mee ame v. Über die môgliche Anwendung. des
caustischen Ammoniaks zu chirurgischen Zwecken.
Leipzig 1862. 8.
Bruns, Victor v. Die erste M. eines Folypen, in E
À
der Kehlkopfshöhle. Tübingen 186
Lallemand. Examens officiels de Kos de médecine de ;
Caire, en février 1849. Paris 1862, 8.
Clot-Bey, A. B. Compte-rendu de l'état de l'enseigne-
ment médical et du service de santé civil et militaire. dE
de l'Egypte au commencement de mars 1849. Mar- 4
seille 1862. 8. z
-- Réorganisation du service médical civil et militaire
d'Egypte en 1856 sous le gouvernement de Said-
Pacha. Règlements. Paris 1862, 4. |
— Leçon sur la peste d'Egypte. Marseille 1862. 8.
Bibliothèque de M. le Baron de Stassart, léguée à l'Aca-
+ démie royale de Belgique. Bruxelles 1863. 8.
Aleuni scritti inediti di Michelangiolo Poggioli, voie
per cura di Giuseppe Avv. Poggioli. Roma 1862. 8
E
"Masque à
bod
KA PS SAUT en
77 des Sclences de Saint - Pétersbourg. : 7*
Det kongelige Frederiks Universitets Halvhundredaars-fest.
September 1861. Christiania 1862.
Det kongelige Norske Frederiks Universitets Aarsberet-
ning for Aaret 1861. Christiania 1862. 8.
Monatsbericht der k. preuss. Akademie der Wissenschaf-
ten in Berlin 1862 Nov., Dec., 1863 Jan. — Juli 8.
Ferdinandeum. Rechnungs-Ausweis und Personalstand am
1. Jänner 1863. Innsbruck 1863. 8.
Zeitschrift des Ferdinandeums für Tirol und Marie nid
2te Folge, 11tes Heft. Innsbruck 1863.
Annuaire de l'Académie royale des sciences, e lettres et
des beaux-arts de Belgique. 1863. Bruxelles. 12.
Mémoires couronnés et autres mémoires, publiés par l'Aca-
démie royale des sciences, des lettres et des beaux-
arts de Belgique. Collection in-8', T. XIII. XIV. Bru-
xelles 1862.
Bulletins de l'Académie royale des sciences, des lettres et
des beaux-arts de Belgique. 31" année, T. XIII. XIV.
Bruxelles 1862. 8.
E a Se royal Society of London. Vol. XII.
N°
Kongl. Vitterhets Historie och Antiqvitets Akademiens
Handlingar. Tjugondetredje delen. Ny följd. Tredje
delen. Stockholm 1863. 8.
Forhandlinger i Videnskabs-Selskabet i Christiania aar
1862. Christiania 1863. 8.
. Proceedings of the See GE, arts and sciences.
Vol. V. f. 49 — 57.. . f. 1— 10.
Memoirs of the American EE ot arts and sciences.
New series. Vol. VIII. p. II. Cambridge and Boston
| 1863. 4.
l La science pour tous. Journal illustré paraissant tous les
jeudis. Red. J. Collonge. 8° année N° 1 — 8. 1862. 4.
| Europaeus, D. E. D. Der Urstamm der indoeuropäi-
; schen Sprachenfamilie und seine vor-indoeuropäischen
` Abzweigungen, namentlich die finnisch-ungarische.
Helsingfors 1863.
Maerlant, Jac. van. Alexanders geesten. Tweede deel.
. Brussel 1861. 8.
Öffentliche Versammlung der gelehrten estnischen Gesell-
| schaft zur Feier ihres 25jährigen Bestehens am 18.
| Januar 1863. 8.
Schriften der er estnischen Gesellschaft N°2, 8.
- Dorpat 1863.
Sitzungsberichte SN gelehrten estnischen Gesellschaft zu
. Dorpat, 1861. October — December, 1862, 1863 Ja-
nuar — Juni.
Cpö6ckiä J'éronncer 1861. 1. niae marana cpôcxa, l'oxuna
XXXV. kabura 103. Comp XXXVI. Kkabura 104,
. 105. 1282. 1. Y Byaywy 1862. 1863.
: Zeitschrift der deutschen a ge Gesellschaft
ed Liter Band. 3tes u. 4tes Heft. `
il of the royal asiatic Society of Great Britain and |
reg Vol XIX p. 4 Vol. XX p. 1. 2. London 1862
J onrnal or de asiatic society of tn. er CCLXXXVIIT.
CCXC. 1862. Calcutta 1862 — 63.
Indische Studien, vt p von A. Weber. "ier Band
tes Heft. Berlin 1863.
Revue africaine. Journal des Ae de la société histo-
rg u VII” année. N’ 37 — 39. Alger
1863
Grunert. e der Mathematik und Physik. 40ster
Theil, 2tes Heft. Greifswald 1863. 8,
Jaenisch, C. F. de. Traité des applications de l'analyse
mathématique au jeu des échecs. Tome III". St..Pé-
tersbourg 1863. 8.
Hind, J. R. Errata in Hansen's lunar tables. 1862, 8.
Libros del saber de Astronomía del Rey D. Alfonso X de
Castilla, copilados, anotados y comentados por Don
Manuel Rico y Sinobas. Tomo I. Madrid 1863. Fol.
Annales de l'Observatoire royal de Bruxelles, publiées par
le Directeur A. Quetelet. Tome XV. Bruxelles 1862. 4.
Annuaire de l'Observatoire royal de Bruxelles. 30* année.
Bruxelles 1832. 12.
Jahresbericht am 14 Juni 1863 dem Comité der Nicolai-
Hauptsternwarte abgestattet vom Director der Stern-
warte. St. Petersburg 1863. 8.
18ter u. 19ter Jahresbericht der Pollichia, eines naturwis-
senschaftlichen Vereins der Rheinpfalz. Neustadt a. d.
H. 1861. 8.
Jahresbericht der Naturforschenden Gesellschaft Grau-
bündens. Neue Folge VIII Jahrgang. Chur 1863.
Proceedings of the Natural History Society of Dublin for,
the sessions 1860 — 62. Vol. III p. I. IL.
Correspondenzblatt = Naturforschenden Vereins zu Riga.
XIV Jahrga
Bulletin de la tr Impériale des Naturalistes de Mos-
cou. Année 1863. N° 1
Nyt magazin for ci ss li 1 ai Tolvte Binde, første
andet og tredie Hefte. Christiania 1863. 8.
Roch Constant. Mémoire sur l'histoire de la création au
sein de notre sphère universelle. Paris 1863. 8.
Colnet d'Huart. Détermination de la relation qui existe
entre la chaleur rayonnante, la chaleur de conducti-
bilité et la chaleur latente. Luxembourg 1863. 8. `
Berthelot et Péan de Saint-Gilles, Recherches sur les
. affini De s formation et dee découpsiti SE
. - éthers. 3° et 4° parties. Paris 1863. 8. me
Herschel, John. Sur les nébuleuses. Sur l'bygrométtie
Sur les variations périodiques de l'atmosphère. (Extr.
des Bull. de l'Acad. r. de Belg. XIT.) `
Resultate magnetischer, astronomischer und meteorolo-
gischer Beobachtungen auf einer Reise. nach dem óst-
lichen Sibirien in den Jahren 1828 — 30 von Prof.
Christoph Hansteen und wood Due Christia-
nia 1863. 4
Bulletin de l'Académie Impériale
so
EN D FETTE TEEN ` Wee a
Abbott, Francis. Abstract of meteorological observations Worsaae, J. J. A. Om en ny Deling af Steen-og Bronceal-
taken in Tasmania during the six mouths ending
June 1862. Fol. unic.
Neues Jahrbuch für Mineralogie, Geologie und Palaeon-
tologie. Jahrg. 1869, Heft 4. Stuttgart 1863.
Zeitschrift der deutschen geologischen Gesellschaft. XV.
Band. Heft 2. Berlin 1863. 8.
Jahrbuch der k. k. geologischen Reichsanstalt. 1863. XIII.
Band. N° 1. 2. 3. Wien. 8.
The quarterly Journal of the geological Society. Vol. XIX.
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Gartenflora. Herausgegeben und redigirt von Dr. Ed. Regel.
Juni — August 1863. Erlangen. 8.
Swinhoe, Robert. List of plants from the Island of For-
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List of vertebrated animals living in the gardens of the
zoological Society of London 1862. London. 8.
Gill, Theod. Catalogue of the fishes of the eastern coast
of North America, from Greenland to Georgia. Ja-
nuary 1861. 8.
Transactions of the zoological Society of London. Vol. IV
p. 7, Vol. V p. 1. 2. London 1862 —63. 4. ,
Proceedings of the scientific meetings of the zoological
Society of London for the year 1861. part III. 1862
part I — III. London 1861 — 62.
Lovén, S$. Om några i Vettern och Venern funna Crusta-
Geer, 8.
The anthropological review, and Journal of the anthropo-
. logical Society of London. N° 1. 2. London. 8.
The journal of the royal geographical Society. Vol. XXXI.
1861. London. .
Proceedings of the royal geographical Society of London.
Vol. VI N° III— V, VII N° I—II. Lond. 1862— 63.
— of the American Geographical and Statistical Society
of New York. 1862— 63. Vol. I N° 1— 4. 8.
Diplomatarium Norvegicum. Samlede og udgivne af C. R.
Unger og H. J. Huitfeldt. Sjette samling. Første
halvdel. Christiania 1863. 8. ;
Svenska Sigiller från medeltiden. Utgifna af Bror Emil
Hildebrand. Förste Häftet. Stockholm 1862. 4.
Minnespenningar öfver enskilda svenska män och qvinnor,
beskrifna af Bror Emil Hildebrand. Stockh. 1860. 8.
Worsaae, J. J. A. Minder fra Valdemar den Stores Tid,
især i Ringsted — og Sorë-Egnen. Kjöbenhavn 1856. 8.
— Gjensvar paa Hr. Prof. Steenstrups yderligere Bemærk-
ninger imod Tvedelingen af Steenalderen. Kjöbenhavn.
2-548602. E
— Om Jernalderen i Danmark. Kjöbenhavn 1858. 8.
— Kong Christian den Vtes Testamenter som tillaeg til
Kongeloven. Kjöbenhavn 1860. 8.
— Fund af en metalarbeiders forraad fra broncealderen,
tilhörende Hans Majestæt Kongen. Kjöbenhavn 1854.8.
deren. Kjöbenhavn 1860. 8.
— Om Danmarks tidligste Bebyggelse. Kjöbenhavn 1861 8.
— Beretning om Udgravningen af en Jættestue paa Hjelm
Mark ved Stege. 8.
— Zur Alterthumskunde des Nordens. Leipzig 1847. 4.
— Om Tvedelingen af Steenalderen. Kjöbenhavn 1862. 8,
Kongegravene i Ringsted kirke. Kjöbenhavn 1858. Fol.
Erman, A. Archiv für wissenschaftliche Kunde von Russ-
land. 22ster Band 3tes Heft. Berlin. 1863. 8.
Baltische Monatschrift.7ter Bd. Heft 4 — 6. 8ter Bd. Heft
1. 2. 1863. Riga. 8.
Das Inland. 1863 N° 21 — 33. 35 — 42.
United States exploring expedition during the years 1838
— 1842 under the command of Ch. Wilkes. U. S. N.
Atlas. Mollusca and shells by Aug. A. Gould. Phila-
delphia 1856. Fol.
Traforo delle Alpi tra Bardonné che e Modane. Relazione
della direzione technica alla direzione generale delle
strade ferrate dello stato. Torino 1863. 4.
Rougé, Vicomte E. de. Inscription historique du roi Pi-
anchi-Mériamoun. Paris 8. .
Franck, Car. Herm. Henr. De Bodmeria secundum jus
per se nec non secundum jus germanicum, hanseati-
cum, suecicum, italicum, hispanicum, lusitanicum, bra-
silicum romanumque. Lubecae 1862. 8.
Delesse. Carte agronomique des environs de Paris. (Ex-
trait) 8. $ LS
Mittheilungen der k. k. Mährisch-Schlesischen Gesellschaft
zur Beförderung des Ackerbaues, der Natur- und
Landeskunde in Brünn. 1862. Brünn. 4
Kae 0 aiiin emeng RN nn
vcri
cm
Como BREUI
KAAL MR
ER
EN ehe
Mittheilungen der Kais. freien ókonomischen Gesellschaft
zu St. Petersbourg. 1863. 3tes Heft. 8.
Vita Vicmanni Episcopi Magdeburgensis diplomatibus, num- |
misque rarioribus illustrata. Manuscript.
Bóhme, Jacob. Beschreibung der drey Principien
ches Wesens. Amsterd. 1682. 8.
— Hohe u. tieffe Gründe von dem dreyfachen Leben de
Menschen, nach dem Geheimniss der dreyen Princi-
pien göttlicher Offenbahrung. Amsterd. 1862. —
Schmidt, Eduard. Über das Absolute und das Bedingte.
Parchim 1833. 8. "
Mémoires de l'Académie Impériale de Médecine. Tome
XXV. 2° partie. Paris 1862. 4. nire
Storer, Hor. R. On artificial dilatation of the os and cer-
vix uteri by fluid pressure from above. Boston 1863. 8.
Leuckart, Rud. Die menschlichen Parasiten und die vol
ihnen herrührenden Krankheiten 1ster Bd. 3te Lt
Leipzig 1863. 8.
Göttli
Paru le 4 janvier 1864.
Bulletin de l Académie.
Supplément.
| RAPPORT
FAIT À LA CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE DE L'ACADÉMIE IMPERIALE DES SCIENCES
DE ST.-PÉTERSBOURG
LE 16 OCTOBRE ET LE 13 NOVEMBRE 1863
SUR
L’OUVRAGE DE M. LE GÉNÉRAL KONSTANTINOFF
SUR LES FUSEES DE GUERRE
PAR ME. H. JACOBI.
Quoique d'aprés ses réglements l'Académie ne soit
pas tenue d'examiner les ouvrages imprimés présen-
tés à elle par leurs auteurs, l'intérét particulier qu'of-
fre l'ouvrage de M. Konstantinoff sur «les Fusées
de Guerre,» décida le sous-signé de prendre à táche
de faire un rapport sur le dit ouvrage.. Il s'y décida
d'autant plus volontiers que des occupations aux-
quelles il avait eu jadis l'occasion de se livrer, l'avai-
ent mis en contact avec l'objet traité dans l'ouvrage
en question. Cependant il ne s'en cache pas qu'il
risque par ce rapport d'entrer en lice avec tous les
organes de publicité tant littéraires que plus ou
moins scientifiques et spéciaux, qui se sont empres-
sés de réclamer l'attention du public et des autori-
tés en faveur de cet ouvrage. Il est à regretter, que
les nombreuses commissions scientifiques militaires,
chargées dans tous les pays de contribuer par leurs
lumières au perfectionnement des armes et du ma-
tériel de guerre, et qui certainement ont jugé l'ou-
vrage de M. Konstantinoff digne d'étre soumis à un
examen sérieux, que ces commissions — dis-je —
n'aient pas encore pris l'habitude de publier leurs
jugements sur les objets sur lesquels elles sont ap-
pelées de se prononcer. On aurait pu alors apprécier
plus facilement le véritable succés de cet ouvrage
et son influence sur le perfectionnement de l'arme
en question dans les autres pays. Il est probable que
les puissances d'une certaine importance militaire
sont entrées à l'heure qu'il est, ou entreront tôt ou
tard dans la voie ouverte par notre auteur, toutefois
en tant que leurs moyens leur auraient permis de
s'imposer les sacrifices considérables, mais indispen-
sables pour parvenir à ce but. De maintenir à tout
prix les préjugés d'une ancienne pratique, et de ne
considérer les fusées de guerre que comme une arme
accessoire, sans aucune justesse daus le tir et ne
produisant que des effets accidentels et faibles, ceci
ne peut appartenir qu'à des idées arriérées, devenues
impossibles par des expériences récentes, et ajoutons,
par l'ouvrage de M. Konstantinoff.
Cet ouvrage présenté à l'Académie dans un volume
accompagné d’un atlas de 32 feuilles —
— 2
tes gravures, contient plusieurs piéces détachées, éc-
rites et publiées à différentes époques. La première
pièce a pour titre «Mémoire sur les Fusées de Guerre
présénté en 1857 à LL. AA. II. le Grand-Duc Con-
stantin et le Grand-Duc Michel». Ce Mémoire, im-
primé en 1858, a pour épigraphe le passage suivant
tiré d'un ouvrage de l'empereur Napoléon III.
«Les inventions trop au dessus de leur époque restent
inutiles jusqu'au moment où le niveau des connaissances
générales est parvenu à les atteindre.»
Dans les sciences pures et appliquées nous avons
mainte fois occasion de reconnaitre la justesse de ces
paroles. Appliquées aux fusées de guerre, elles man-
quent d’äpropos. En effect, les fusées, comme beau-
coup d'autres choses inventées depuis longtemps, sont
susceptibles d'étre perfectionnées et ne sont nullement
trop au dessus de leur époque; elles sont devenues
au contraire utiles dés à présent et élargiront, comme
beaucoup d'autres choses, le cadre de leur emploi, en
tant que dans leur confection on saura profiter de
tous les progrés faits dans le domaine des sciences et
de la technique.
Le Mémoire en question parait avoir été provoqué
par un article imprimé par M. leGénéralKrijanowsky
dans le cinquième numéro du Journal de P Artillerie,
année 1861, sons le titre: «Visite au camp des alliés
sur les hauteurs de Feduchine». Dans cet article Vau-
teur développe entre autres quelques considérations
sur les effets des fusées tirées contre Sébastopol et ex-
pose ses convictions concernant les fusées à la Con-
gréve, convictions basées sur des résultats qu'il a per-
sonnellement constatés pendant la dernière guerre et au
Caucase. Le jugement porté par cet officier-général
n'est pas favorableà ce projectile. Dans son entretien
avec les officiers français, ces derniers lui avouèrent
qu'ils ne s'étaient servis des fusées pendant le siège
de Sébastopol que pour en utiliser le trés grand
nombre qu'on leur avait expédié de France, et que
dans cette occasion de jeu n'en valait pas la chan-
delle.» L'officier russe apprit à son grand étonnement
que la plupart des fusées tombées pendant si long-
temps sur le côté du nord, étaient destinées au fort
du Nord.
En effet M. Krijanowsky constate que «le jeu
wen valait pas la chandelle.» Sur le très grand nombre
de fusées lancées presque journellement par les alliés,
une seule contusionna un officier et deux commis
d'administration, une autre tua une femme et en
outre deux ou trois soldats furent aussi blessés. Plus
tard à la suite de leur occupation du cóté du sud,
les alliés se servirent de fusées avec plus de succès
en les dirigeant contre les dépôts de vivres occu- —
pant un grand espace sur le côté nord et ils réus- `
sirent à incendier quelques-uns d'entre eux: «De
«tout ce que j'ai vu, dit M. Krijanowsky, dans le
«courant de la dernière guerre et au Caucase, j'en
«suis venu à l'égard des fusées de guerre de toute
«espèce à la conviction suivante: Les fusées de cam- —
«pagne peuvent étre employées avec avantage dans
«a guerre de montagne, mais non pas en bataille
«rangée dans les rencontres des troupes européennes.
«En conséquence on ne saurait avoir avec profit dans
«une armée européenne plus de deux batteries de fu-
«sées organisées ep batteries à cheval, pas autrement
«et surtout avec d'autres báts que ceux qu'on a in-
«troduits chez nous. Ces batteries peuvent étre don-
«nées aux détachements de partisans et convens
«meut utilisées dans les montagnes.»
Avouons que dans cet article il y a bien de quoi
contrarier celui qui consacre tant d’études à cette
arme, qui s’identifie avec elle, qui connait le mieux
ses avantages et ses faiblesses et qui enfin sait par-
faitement apprécier la sphère et les limites de son —
emploi utile. Aux raisonnements de M. Krijanowsky, |
M.Konstantinoff oppose des faits soigneusement re- —
cueillis où ce projectile a rendu de véritables servi-
ces, mais surtout il lui oppose une communication du
Colonel Pestitch, de l’Artillerie de la Marine, sur
les effets des fosées: contre Sébastopol, communication
annexée au Mémoire et qu'on lira avec le plus grand
intérêt, quoiqu'elle n'ait aucun caractère officiel. Je
regrette de ne pas pouvoir donner cette note i» extens0,
mais je ne puis me passer de lire un passage conte-
nant le récit (p. 83) d'un accident rempli de péripé-
ties, et qui rend un témoignage des plus honorables,
non seulement à la justesse du tir des fusées francai-
ses, mais surtout au sang-froid, au dévouement et à
l'intrépidité de cet officier et de ses subordonnés:
«Au dernier bombardement les fusées reparurent; la
«journée du 26 août (7 septembre) et la nuit qui précéda
«le dernier assaut furent surtout remarquables par le
«nombre prodigieux de projectiles tirés contre les bat-
-—-—Àm—————"""-——"'---—-—-—-—--"-——-—m— — TTT TT TEEN
noce Mid TSN REECH a ee ET TT e NEP ENS
«teries et la ville. Cette date du 26 août (7 septembre)
«reste aussi particulièrement mémorable pour moi: j'é-
«tais ce jour-là de service au port de Grafskoi au prin-
«cipal dépôt de l'artillerie de la marine, pour veiller à
da distribution des munitions, que réclamaient con-
«stamment les batteries, et malgré le tir renforcé di-
«rigé vers ce point, tout se passa d’abord assez heu-
«reusement. À cent cinquante pas au plus de cet en-
«droit, dans la partie arrondie du fort Nicolas se trou-
«vait le magasin à poudre le plus important à Séba-
sstopol; devant son entrée principale était construite
«une bonnette en pierre d'une grande solidité, blindée
«par le haut, et dont l'issue était tournée selon une
«direction qui permettait de la croire à l'abri des
«projectiles ennemis; le magasin à poudre paraissait
«done hors de toute atteinte; mais à six heures du
«soir, comme je quittais le magasin à poudre pour
«regagner le port de Grafskoi, aprés avoir donné les
«ordres nécessaires pour une distribution de poudre
«au quatrième bastion, j'entendis tout-à-coup un sif-
lement au dessus de ma tête: je, me retourne et j'aper-
«çois de l'agitation et du désordre autour du maga-
«sin à poudre. J'y reviens en toute hâte; l'incendie
«y avait déjà éclaté, une fusée incendiaire en donnant
«sous un angle aigu contre le pourtour intérieur du
dort Nicolas, avait fait ricochet, était revenue en
«arrière, et était entrée dans la bonnette, où elle
«avait enfoncé la porte de la galerie qui servait de
«sortie au magasin. Le plancher en bois de cette ga-
derie et les tonneaux à poudre vides qui y étaient
«rangés commençaient à brûler. Le lieu de l'incendie
«étant séparé de la porte de la casemate qui renfer-
«nait la poudre, par toute une portion de galerie que
«la flamme n'avait pas encore atteinte, le danger n'au-
«rait pas été trés imminent, si l'entrée de la casemate
«eüt été fermée; mais au moment oü la fusée arrivait,
«des hommes transportaient précisément dans des
«caisses, du magasin dans la cour; la poudre destinée
«au quatrième bastion. Il y avait à choisir entre deux
«partis, présentant l'un et l'autre les plus grands pé-
«rils: fermer au plus vite la porte du magasin, mais
«on laissait alors la poudre déjà sortie auprés de la
«fusée en ignition; ou rentrer d'abord la poudre, mais
«pour cela il fallait que la porte du magasin en fut
«ouverte. Tout ce qui brülait autour de la fusée füt
«d'abord éteint au moyen de l'eau; mais pour celle-ci
«l'eau fut inutile; il y a plus, elle augmentait la fumée
«à un tel point qu'on ne voyait plus rien. J'ordonnai
«d'apporter de la boue; il y en avait en quantité au-
«tour du magasiu; oü l'on arrosait constamment par
«mesure de précaution; ce moyen réussit sinon à étein-
«dre complétement le feu, du moins à l'étouffer, la
«fusée en effet recouverte d'une couche épaisse de
«boue, continua bien à bruler sourdement, mais elle
»ne jeta plus ni flammes ni étincelles.
«Pendant qu'elle se consumait ainsi, les tonneaux
«de poudre les plus rapprochés sont rentrés dans le
«magasin, dont la porte fut fermée; quelques caisses
«de poudre dürent cependant étre transportées par-
«dessus les flammes. Le magasin contenait environ
«deux mille pouds de poudre (32,000 kilogrammes),
«l'explosion aurait détruit non seulement le magasin,
«mais encore le fort Nicolas, oü était installée l'am-
«bulance, et qui renfermait en outre un grand nombre
«de personnes, parmi lesquelles on comptait plusieurs
«chefs de garnison. Sans insister sur ce fait qui m'é-
«carte du but principal de mon recit, je ne puis ce-
«pendant m'empécher d'ajouter que si le danger a été
«éloigné, nous en sommes redevables au dévouement
«et à l'intrépidité des hommes qui se trouvaient dans
«le magasin; plusieurs d'entre eux, en couvrant la
«fusée de boue se brülaient les mains et n'y prenaient
«méme pas garde. Je dois surtout signaler l'enseigne
«Jamnitchenko de l'artillerie de la marine, qui fut
«le premier à porter une partie de la poudre à travers
des flammes, et à faire rentrer tranquillement le reste
«dans le magasin, sans s'inquiéter ni du feu ni des
«étincelles.
«Il est à remarquer que les fusées dont je viens de
«signaler les effets désastreux avaient une justesse
«étonnante. Aprés un trajet de 1500 sagénes, avec
«un vent trés fort qui ce jour-là soufflait de cóté en
«venant de la mer, les déviations latérales et longitu-
«dinales étaient insignifiantes. Une partie de ces fusées
«étaient incendiaires, les autres étaient armées de gre-
«nades.
«En revenant au port Grafskoi, je trouyai égale-
«ment plusieurs hommes blessés par une des fusées
«tirées de la méme batterie. Mais ce n’est pas tout;
«aprés ce qui venait de se passer, et dans la crainte
«de la reproduction du méme fait, j'avais suspendu la
«distribution de la poudre au magasin, et Leg deux
«barques au côté du Nord, afin d’y faire l’approvi-
«sionnement nécessaire à la consommation des batte-
«ries. Ces barques étaient revenues chargées, et avaient
«abordé au quai de Grafskoi, quelques caisses de
«poudre étaient méme déjà placées sur des chariots
«pour étre conduites au cinquiéme bastion, quand à
«onze heures de la nuit, une fusée de cette batterie
«française qui s'était si particulièrement signalée pour
«ous, tomba sur une barque contenant 180 pouds
«de poudre. L’explosion fut terrible; le quai du port
«de Grafskoï fut littéralement détruit, des canons de
«36, déposés sur le quai, fürent jétés sur la troisième
«terrasse et quelques-uns d’entre eux brisés en trois
«parties; des boutons de culasse et des tourillons ar-
«rachés de ces canons volèrent sur la place Nicolas.
«La perte d'hommes causée par cette explosion fut
«considérable: les barques et plusieurs chaloupes ré-
«pandues dans la baie portaient des troupes et des
«ouvriers militaires; les uns fürent tués, d’autres,
«parmi lesquels le lieutenant de vaisseau prince Ke-
«quatoff furent mis en pièces et un grand nombre
«fut blessé plus ou moins grièvement. L'explosion fit
«écrouler deux corps de garde dont les pièrres et les
«débris atteignirent beaucoup de monde. J'étais dans
«l'un d'eux, et quand je parvins à sortir du milieu des
«décombres du plafond sous lesquels j'étais enseveli,
«je vis encore la fusée tombée sur la barque et qui
«avait été également rejetée par l'explosion, achever
«de brûler derrière la collonade du quai, d’où je con-
, «Clus que c'était une fusée à chapiteau incendiaire.»
IX.
Dans les choses militaires l'initiative étant res-
treinte dans les limites trés-étroites et la responsabi-
lité y étant plus sérieuse, la routine et les préjugés
se font valoir plus qu'ailleurs et tout ce qu'y porte
atteinte n'est pas regardé d'un oeil favorable. En
effet tant que la confection des fusées avait souffert
de beaucoup d'imperfections, leur service n'était rien
moins que recherché, d'autant plus que l'administra-
tion supérieure de l'artillerie considérait ce projectile
comme n'ayant pas d'avenir pour des perfectionne-
ments ultérieurs et par conséquent inutile à cause sur-
tout de son peu de justesse dans le tir. Cependant
dit M. Konstantinoff (pag. 64): «tandis que l'ad-
«ministration supérieure et centrale avait presqu'en-
E an.
«tièrement retiré sa confiance aux fusées, les de-
«mandes pour en avoir de la part des chefs des trou-
«pes aux prises avec l'ennemi allaient toujours en
»augmentant. On n'en refusait à personne pour ne
«pas s'engager dans la responsabilité d'un refus. J'ai
«bien présent à l'esprit, continue M. Konstantinoff,
«que ces demandes s'expliquaient de toutes maniéres,
«mais jamais par la supposition d'une utilité réelle,
«on en concluait que les chefs des armées actives
diniraient par se lasser de ce projectile, que les de-
«mandes pour en avoir cesseraient ainsi et qu'alors
«ce projectile mourrait de sa propre mort.»
Votre rapporteur souscrit en toute sincerité à ces
paroles. Lui aussi a présent à l'esprit d'avoir entendu
porter des plaintes pareilles par un des fauteurs les
plus ardents des fusées et qui n'avait pas peu contri-
bué à les arracher de leur prostration, à une époque où
ce projectile ne comptait que des détracteurs. — Il
y a encore d'autres faits de cette nature rapportés
par l'auteur, qui seraient incroyables, s'ils n'étaient
pas vrais. Le récit des succés obtenus par les fusées
en mainte occasions aussi bien chez nous qu'a l'étran-
ger est une lecture des plus attrayantes. L'énuméra-
tion des succés qu'elles auraient pu avoir et les occa-
sions qui ne leur auraient pas manquées, si elles
n'avaient pas manqué aux occasions, implique une
lecon qui certainement ne sera pas perdue, quelque
grandes que soient les forces de l'inértie, des préju-
gés du métier, des partis pris d'avance. vp TERM
Fric
Le Mémoire de M. Konstantinoff a pour but non
seulement de réfuter et de rectifier le jugement porté
par M. Krijanowsky, mais encore de faire valoir
son projectile de prédilection aux yeux du Gouverne-
ment. Rendons justice à l'auteur qu'il le fait avec dis-
crétion, qu'il est loin d'exagérer l'utilité des fussées de
guerre, qu'il n'en est pas le ‘partisan fanatique, et
qu'il restreint judicieusement le cadre de leur appli-
cation utile"). S'il rapporte des faits qui servent plu-
1) Voir Lectures p. 44, . . ., «Quoiqu'il en soit, on pense que la
«fusée de guerre est un artifice non pas indispensable, ni qui puisse
«Jamais remplacer le canon, mais on la considère comme un acces-
«soire utile, qu'on regrettera toujours de n'avoir pas à sa disposi-
«tion.» Eh bien, dit l'auteur, quelle que soit la sévérité du jugement
que nous venons de reproduire, nous n'en repoussons aucunement
la conclusion; tout au contraire nous serions entièrement satisfaits,
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BESSE ET D EECH M
tôt d’affaiblissement que de corroboration à ses opi-
nions, cela s’excuse par la chaleur de son plaidoyer.
Du reste les choses militaires de tous les pays ont un
type particulier, incompatible avec la manière de rai-
sonner dans les sciences exactes. Dans la guerre les
moyens qu’on emploie et les effets qu’on produit sont
en grande partie des quantités incommensurables.
Effectivement, une planche du vaisseau «le Grand Duc
Constantin», pénétrée par une des nombreuses fusées
lancées à Sebastopol par l’ennemi contre nos vais-
seaux placés en position à travers la rade; la petite
ville de Lovisa en Finlande, ouverte et sans aucune
défense et par rapport à la quelle il y a incertitude,
si elle est devenue la proie d’un incendie par les fusées
à la Congrève lancées contre elle, ou par les 100 An-
glais débarqués en même temps et exercés à l’emploi
des tourteaux goudronnés; des paysannes finoises fuyant
vers une forêt voisine et atteintes, d’après le Journal de
St-Pétersbourg, par les deux uniques fusées anglaises
lancées contre elles et dont une blessa une des fugitives
au-dessus du genou, et dont la seconde broya le pied
à une autre de ces malheureuses; deux chevaux d’un
canon français de trente, effrayés par une fusée russe
et tournant brusquement en brisant le timon du pre-
mier porte-corps ?) etc. etc.
"Tout ca et bien d'autres faits encore sont des ré-
sultats qu'en termes vulgaires on signalerait comme
insignifiants, mais qui, sous le point de vue militaire,
ont une certaine importance. Décompter sur des pro-
jectiles égarés, ceci n'entrerait pas dans notre calcul.
Du reste ce n'est pas dit seulement à l'endroit des fusées
de Congréve. Dans la mise en scène de tous les engins
de guerre, quelque formidables qu'ils paraissent et
quelque précis qu'ils soient, les effets accidentels en-
trent pour beaucoup en ligne de compte. Quelle im-
mense disproportion existe entre les moyens employés
que notre artillerie et surtout notre armée eüssent accepté cette
maniére de voir, que les fusées sont un accessoire utile qu'on re-
grettera toujours de n'avoir pas à sa disposition.
2) L'auteur observe à cette occasion (Lectures p. 45): «Ainsi une
«fusée égarée arréta le convoi, dont le cheminement ne pouvait étre
«interrompu, ni par les projectiles explosifs, ni par les balles des
armes à main. Les Frangais durent dételer leurs chevaux, les abri-
«ter dans la tranchée la plus proche et s'en retourner au parc pour
«y chercher des chevaux de renfort, un eric et un autre avant-train,
«ce qui demanda plus d'une heure, de telle sorte que les piéces ne
«purent étre aménées à destination la nuit méme, ainsi qu'il en avait
«été décidé et que ce n'est que la nuit suivante qu'elles purent étre
"placées en batterie.» i
navan
et les effets produits ! Et si dans les effets des projectiles
on tenait seulement compte des effets voulus, des buts
atteints, la disproportion deviendrait assez prodigieuse
pour pouvoir prouver par le caleul des probabilités,
qu'il y a des dangers dont nous sommes entourés jour-
nellement et dont les chances de péril ne le cèdent guère
à celles des combats, toutefois en ne tenant pas compte,
comme nous l'avons dit, des balles et des fusées égarées,
des accidents de toute espèce, des fatigues, des priva-
tions, des maladies et des hópitaux. L'invention récente
des armes de précision et de longue portée semble étre
destinée à diminuer cette disproportion et à établir
le sort des batailles sur des bases plus solides. Il va
sans dire qu'avant tout il s'agit de rendre la partie
égale en ce qui concerne les armes et de ne laisser
sous ce rapport aucun avantage à l'ennemi. Ilest sou-
vent difficile et bien coüteux d'y parvenir, surtout
dans des conditions d'une industrie technique trop
peu développée; mais il n'y a pas moyen d'échapper
à cette «conditio sine qua non», elle doit être rem-
plie coûte que coûte. Il serait curieux, non pas d'exa-
miner si les armes perfectionnées ont rendu les ba-
tailles plus sanglantes ou plus décisives, parce qu'un
pareil examen dépend des circonstances trés compli-
quées; mais de comparer le nombre d'hommes mis
hors de combat, avec le nombre et le poids des pro-
jectiles employés, avant et aprés l'introduction de ces
armes. Quant aux résultats obtenus dans les exer-
cices du tir au polygone avec les anciennes armes et
avec les armes perfectionnées, il est probable que la
proportion entre ces deux résultats est bien moins
avantageuse pour les armes de précision, lorsqu'il
s’agit de leur emploi sérieux dans les batailles. En
effet personne ne pourra affirmer que le moral des
combattants et leur sang-froid — éléments essentiels
de la justesse du,tir — augmente dans les mémes
proportions que la précision des armes. On atteindra
donc bientót une certaine limite dans la proportion
entre le nombre des tués et blessés et la quantité de
projectiles lancés, limite qui ne pourra pas étre dépas-
sée, quelque précision qu'on donne aux armes et quel-
que soit l'aceroissement que l'on donne à leur portée.
Quoiqu'il en soit, il parait que déjà en decà de cette
limite, les fusils et les canons rayés, les balles et les
boulets coniques ou cylindriques, les mires de toutes
espèces, enfin les dimensions prodigieuses des projec-
tiles, l'emportent sur le prestige militaire. Le sort
‘des batailles se décide dans les laboratoires, les ate-
liers, les usines. Le forgeron reprend sa place sur le
piédestal qu’il avait occupé dans les temps mythiques
des anciens Normands.
H serait d’un grand intérêt de pouvoir exprimer
les éléments dont nous avons parlé plus haut par des
grandeurs géométriques, ou par une équation dans
laquelle l'inconnue: le sang-froid ou le moral de la
troupe, pourrait étre déterminée, en connaissant le
nombre des tués et blessés, le nombre des projectiles
lancés et la justesse du tir au polygone. Dans la der-
nière guerre de Crimée, l'avantage des armes ayant
été tout à fait du cóté de l'ennemi, il aurait été né-
cessaire d'introduire encore cette circonstance comme
élément dans notre équation. On aurait obtenu de
cette maniére une juste appréciation du sang-froid
de nos troupes et du moral auquel elles se sont éle-
vées et maintenues. Il viendra un jour où de pareils
calculs se feront; op le pouvoir de la science sera
düment reconnu; oü tout acte humain se subor-
donnera à ses arrêts; où on ne laissera passer aucune
occasion pour explorer le vaste domaine de la réalité,
tant morale que physique, afin d'y recueillir les don-
nées indispensables à la science pour accomplir sa
tâche, en agrandissant le module de l'intelligence
humaine. i
IV. u
Mais revenons à nos fusées dont la trajectoire se
dessine dans les airs par des trainées de fumée ou des
gerbes de feu. C’est cette trajectoire dont il est un des
problèmes les plus difficiles et compliqués de la Méca-
nique analytique appliquée aux phénomènes physiques,
de déterminer la loi. L'importance de cette loi et la
conpaissance de toutes les circonstances dont elle dé-
pend, est assez grande pour avoir donné lieu à la créa-
tion d'une science à-part, la Balistique. A part l'in-
fluence que la disposition de l’atmosphère exerce sur
la forme de cette trajectoire et sur la justesse du tir,
la détermination de cette courbe devient infiniment plus
compliquée encore, quand il s’agit du vol des fusées.
Dans les bouches à feu de toute espèce la force mo-
trice de la poudre à canon s’exerce sur le projectile
pendant tout le temps qu’ih se trouve enfermé dans
l'âme du canon. Une fois libre, le projectile poursuit son
chemin dans une courbe, par rapport à laquelle il est
connu queda direction et la vitesse initiale sont les élé-
ments principaux. La fusée au contraire porte avec elle
sa force motrice’, qui commence à se développer dès
| l'ignition de la charge et continue son action pendant
que la fusée parcourt une partie de sa trajectoire. La
force motrice et le centre de gravité de la fusée chan-
geant à chaque instant, et en outre sa vitesse initiale
c.-à-d. sa vitesse au moment de quitter son point
d'appui, étant trés petite et sa vitesse maximum étant
loin d'atteindre celle des projectiles lancés par des
bouches à feu à pleine charge, les influences exté-
rieures se font valoir d'autant plus que la forme de
ce projectile est compliquée et donne lieu à une ré-
sistance de l'air trés considérable. Si les considéra-
tions théoriques ont peut-être quelque chance de par-
venir un jour à se rendre véritablement utiles dans la
solution des problèmes de balistiqne, toutes les finesses
de l'analyse s'émoussent devant les complications
qui se présentent dans le tir des fusées. Aussi ne :
pouvons-nous qu'approuver la voie poursuivie par M.
Konstantinoff pour donner à l'arme en question
la plus haute. perfection. possible. Les circonstances
dont nous venons de parler rendent difficile aux fu-
sées de rivaliser, dans le tir au polygone, avec les
bouches à feu de précision. La différence entre ces
deux armes deviendra moins signifiante dans leur em-
ploi sérieux, oü il faut tenir compte, comme nous
l'avons développé plus haut, d'un élément moral et oü
les fusées peuvent se prévaloir des avantages qu'elles
possèdent incontestablement par leurs qualités incen-
diaires et leur pouvoir éclairant, par leur grande por-
tée, par la facilité de leur transport, par leur utilité
dans les terrains coupés, enfin parce que ce projectile,
n'étant géné par aucun attirail dans l'angle du tir,
admet le tir perpendiculaire plongeant, aussi bien que
le tir rasant ou à fleur d'eau, et le tir vertical. Voilà
comment, à l'occasion de sa note sur les fortifications
de Paris, notre illustre confrére défunt, M. Arago
s'exprime sur les fusées à la Congréve: «Cette arme,
«dit il (T. VI. p. 246), quand les Anglais s'en servi-
«rent pour incendier Copenhague, quand ils Pem-
«ployérent à Leipsic, était encore imparfaite. Depuis
«qu'on place la baguette de direction sur le prolon-
«gement mathématique de l'axe de la cartouche de
«tóle laminé, le tir de la fusée dans les circonstances
«ordinaires, le cède à peine en justesse à celui du
«canon. Or les fusées que nos voisins d’outre mer
«appellent carcas rockets, ces fusées qui répandent
«chacune, dans le bâtiment où elles pénètrent, 18 li-
«vres de matière incendiaire, portent à plus de 3500
«yards (3 verstes)» etc. etc.
V.
En terminant le Mémoire dont nous avons donné
plus haut le titre et une analyse succincte et qui con-
tient avec les notes et le supplément 145 pages im-
primées, M. Konstantinoff reproduit un article
imprimé dans le Moniteur de l'Armée du 8 Juillet
.1858. L'auteur de cet article fait un éloge et une
juste appréciation des mérites du Mémoire de M.
Konstantinoff, «aussi riche de faits qu'élégamment
écrit» et dont il recommande la lecture aux militaires
sérieux. En méme temps cet auteur reléve «le goüt
et le tact parfaits» de l'épigraphe dont nous avons
parlé plus haut, et sous lequel M. Konstantinoff
a placé son Mémoire.
Dans l’article mentionné, on lit entre autres un
passage curieux, duquel il résulte: qu'encore dans la
deuxième moitié du 16. siècle, trois cents ans aprés
l'apparition des premières armes à feu, Montaigne
dans «ses Essais» conteste tout avenir aux armes à
feu. De ce que Montaigne s'est trompé à l'égard des
armes à feu, l'auteur de l'article conclut implicite-
ment, que les personnes qui actuellement encore ré-
voquent en doute l'avenir des fusées de guerre, se
trompent aussi, Nous n'acceptons pas la responsabi-
lité d'une pareille logique, en nous rapelant que tout
inventeur qui ne se croit pas düment apprécié, se
console avec Foulton, dont la proposition de construire
des bateanx à vapeur n'avait pas été acceptée par
l'Empereur Napoléon I., en suite, dit-on, d'un juge-
ment défavorable, prononcé sur cette invention par
l'Académie Impériale des Sciences de France.
— Le Mémoire de M. Konstantinoff est suivi de ses
« Lectures sur les Fusées de Guerre faites au commence-
«ment de l'année 1860 à l'Académie Impériale Michel
«d Artillerie, devant les officiers d’Artillerie à St.-Péters-
«bourg». C’est sans contredit la partie la plus essen-
tielle de l'ouvrage: «Ces lectures, dit l’auteur dans
«sa préface, n'étaient pas un traité complet sur la
«matière; elles eurent pour principal objet de réunir
«quelques faits à l'appui de l'utilité des fusées de .
«guerre; d'exposer l'ensemble des procédés de fabri-
«cation des fusées actuellement en usage en Russie
«et des procédés employés en Autriche et en France
«d’après ce que nous pümes en apprendre en Autriche
«en 1852 et en France en 1858, afin de justifier le
«projet de l'outillage d'une nouvelle fabrique de fu-
«sées en Russie, basée en majeure partie sur des
«principes qui nous sont personnels; d'exposer les
«progrés dans la construction des fusées de guerre
«que nous a révelés la guerre d'Orient, — et enfin
«de communiquer quelques perfectionnements réalisés
«dans ces derniers temps en matière de fusées, à la
«fabrique de St. Pétersbourg.»
VI.
Les lectures de M.Konstantinoff sont inaugurées
par un article sur «l'opportunité des fusées comme arme
de guerre». Nous y trouvons d’abord des discussions
analogues à celles contenues dans le Mémoire, mais
dont le terrain est cette fois transporté de Crimée en
Italie. Ici deux armées se trouvent en présence qui
dans les derniers temps ont fait faire le plus de pro-
grès à cette arme. Un vaste champ à l'emploi des
fusées étant donné, on s’attendait à obtenir à cette
occasion des résultats décisifs. Cependant d’après les
rélations françaises cette épreuve n’a fourni qu’un
résultat nul, ou plütot de nature à compromettre l’ave-
nir des fusées. M. Konstantinoff ne peut pas se
rendre à cet arrêt; mais son apologie devient d’autant
plus difficile que les Autrichiens sont restés muets et
n’ont rien publié sur le profit qu’ils ont tiré de leurs
nombreuses batteries de fusées. Disons que la portée
extrême de ces fusées n'étant que de 900 mètres et le
tir de leur artillerie de campagne ne dépassant pas
alors 1000 mètres, ces deux armes ont également été
frappées d'impuissance vis-à-vis de l'artillerie fran-
caise avec la prépondérance de portée et de justesse
dans le tir que leur assuraient le canon de l’Empe-
reur et le canon rayé. De la part des Francais il est
constaté que leurs fusées n'ont pas été employées du
tout, leur arrivée d'Afrique n'ayant eu lieu que trois
jours après la bataille de Solferino. Il y avait cepen-
dant, dit l'auteur, des occasions quoique rares où les
distances sont devenues plus accessibles aux projec-
tiles autrichiens. Voilà ce qu'a pu se produire à ces
occasions: Les fusées autrichiennes sont armées d’obus
sphériques qui s’en détachent au moment où la fusée
a atteint son maximum de vitesse. Munie d’une espo-
lette en ignition, l’obus poursuit sa route comme tout
autre projectile laucé d’un canon et devance même sa
fusée qui reste en arrière à cause d'une plus grande
résistance de l'air qu'elle éprouve. Cette fusée cepen-
dant frappe le plus l'attention du spectateur par sa
trainée de fumée ou sa gerbe de feu qui se prolonge
jusqu’à ce que la composition incendiaire qui forme
son massif soit entièrement consumée. Les obus de
leur côté arrivant à leur but par des ricochets, les
ennemis peuvent se croire victimes du canon: «sans
se douter que les obus qui éclatent au milieu d'eux étaient
les émissaires de ces mêmes fusées dont le vol ne leur
avait inspiré que de minimes préoccupations.» Cette
hypothèse par laquelle l’auteur appuie sa réclame en
faveur des fusées, ne peut être ni rejettée ni prouvée,
d'autant plus qu'elle a trouvé auprès des militaires
français beaucoup d'incertitude (disons plutôt d'incré-
dulité), comme le dit l'auteur lui-même dans une note
(p. 7). D'aprés notre sentiment, on aurait du en rester
là, d'autant plus que faute de moyens d'expérimen-
tation la décision de cette question parait, au moins
pour le moment, impossible. Nous n'approuvons pas
l'auteur qui, ne pouvant pas apporter de preuve di-
recte que les Francais aient été blessés par des éclats
d'obus de provenance fuséenne, s'attaque aux obus de
l'artillerie dont il cherche à constater le peu d’effica-
cité. Nous ne suivrons pas l'auteur sur ce terrain épi- |
neux et tout spécial. Si (p. 9) dans la campagne de
Lombardie la plupart des projectiles tirés des canons
rayés n'ont point éclaté, ça n'a pas été seulement au
profit des vendeurs de souvenirs de Magenta et de
Solferino, comme dit l'auteur, mais aussi, ajouterons-
nous, au profit de l'humanité qui en tire la consola-
lation, qu'il y a encore parfois des balles et des bou-
lets, voire méme des fusées, qui ne frappent que dans
le vide, malgré toute la perfection des armes à feu et
les sacrifices inouis que les états modernes s'imposent
pour la porter encore plus loin. x |
VII.
Tout le monde sait que presque dans tous les js
la fabrication des fusées est tenue très secrète.. et
que méme les personnes chargées de leur fabrication
8
-
RR
——
sont liées par des serments solennels de ne pas e
divulguer le secret. Nous-mêmes nous avons comm
un Anglais qui pour avoir révélé le secret des ste
de Congrève, n’a jamais voulu retourner dans Sa pè
trie de peur d’être pendu pour sa trahison, M. Kon-
stantinoff dans une discussion assaisonnée d'anecis.
tes intérressantes et qui se lit fort bien, proteste contre
toute cachotterie concernant les objets de guerre d
contre ces mystérieuses recettes que presque touts
les artilleries ont au fond de leur sac. L'auteur vent
à cet égard une publicité complète et développe sa pro:
fession de foi depuis la p. 25 jusqu'à la p. 31. Now
n’y souscrivons qu’en faisant nos reserves. Nous ne
pouvons ne pas être partisan zélé du principe de lape, |
blicité. Nous nous réjouissons qt par la publication
de l'ouvrage de M. Konstantinoff, les autorités mili: M
taires aient fourni la preuve qu'elles sont décidéesh.
persévérer dans la voie ouverte à ce principe et dot «
le Recueil de la Marine et le Journal de D Artillerie où |
été les premiers organes. Dans le cas actuel, ménes ”
M. Konstantinoff, par la publicité donnée à ses tri
vaux, n'avait, voulu que s'acquitter en partie en
l'étranger de l'instruction qu'il y a puisée p
partie, à l'occasion des fréquentes missions que.
Gouvernement lui avait confiées et qui avai
buts militaires, méme dans ce cas, dis-je, la
tion du présent ouvrage doit être signalée co
progrès dont on ne manquera certainement
recueillir les fruits.
Votre rapporteur ne peut pas laisser pass
occasion sans exprimer ses regrets. De pare
cipes de publicité adoptés une dixaine op un
taine d'années plus-tót, il n'aurait pas été fra
mutisme à l'égard de beaucoup de travaux quel
démie ne connait pas et d'autres que l'Académie t: 7
nait, mais qui par le développement rapide des 07 7
ces appliquées ont déjà perdu le mérite de l'à p!
Nous avons dit plus haut que nous faisons !
serves. Il nous semble que les choses militai
mettent pas cette publicité illimitée que Te
développement des sciences pures et appliquées F
lesquelles la publicité est une condition vitale: ^*
la technologie militaire, il suffit dans beaucoup €^
des traditions de bouche à bouche. Les décoU
faites dans ce domaine ne sont pas de nature
mettre, par le secret dont elles s'enveloppent, 4%
je bien-être public, d’un autre le développement des
sciences. Il n'y a done pas de raison pour que les
artilleries ne gardent pas pour elles quelque petit
secret ou quelque procédé perfectionné qu'elles se
sont apropriés et qui en effet pourrait assurer à leur
arme une certaine supériorité sur l'arme de l'ennemi,
ne füt-elle que passagère. Si p. e. M. Konstantinoff
perfectionnait un jour ses fusées d'une maniére inat-
tendue, serait-ce prudent de mettre le plus grand em-
pressement à communiquer ces perfectionnements aux
autres puissances, qui demain l'emploieraient à notre
détriment? M. Konstantinoff serait certainement
un des premiers à faire tout son possible pour dé-
jouer «/es reconnaissances de la paix» dont ces per-
fectionnements seraient le but. — Dans les choses
pratiques il faut s’accommoder aux circonstances; les
principes abstraits n'y sont pas toujours à leur place.
S'il y a des abus sous ce rapport et si le charla-
tanisme réussit à exploiter à son profit la prédilec-
tion des administrations, non seulement militaires,
pour les secrets de cette nature, cela tient pour la
plupart à la légéreté blämable avec laquelle on choisit
sans aucun discernement des juges dans ces affaires,
des juges incapables d'apprécier ces questions à leur
juste valeur, ou trop accessibles à des illusions, ou
manquant d'indépendance et d'impartialité ou peut-
être de probité. Si notre auteur écrit un jour le cha-
pitre curieux «sur les secrets destinés à la guerre» dont
il parle (p. 24), il saura trouver sans indication ulté-
Neure où faire la plus riche récolte des faits ser-
vant à cette histoire. ; o :
VIKI.
Nous passons sur le reste de l’article «sur loppor-
unité des fusées comme arme de guerre», où l’auteur, ne
nous fait grâce d'aucune fusée lancée dont il ait pu
Prendre connaissance, d'aucune discussion sur le pour
etle contre, d'aucune opinion prononcée sur cette arme
Par quelqu'autorité que ce fut. Ces pages sont certaine-
Dent d'un grand intérêt pour les militaires de profes-
“ion, et nous donnent occasion, d'admirer la mémoire
et la lecture de M. Konstantinoff et d'exprimer le
Sinis wg l'avenir voudra justifier ce plaidoyer dont
. .comprenons parfaitement l'opiniátreté, mais dont
nous-ne reconnaitrions l'opportunité que dans le cas
oü l'utilité des fusées de guerre füt encore révoquée
en doute. i
Le second chapitre des «Lectures» traite de la «Fa-
brication des fusées de guerre». Des considérations gé-
nérales servent d'introduction à ce chapitre, L'auteur
en essayant d'expliquer les raisons pour lesquelles les
fusées sont encore si peu perfectionnées dans notre ar-
tillerie, nous donne un abrégé historique, non pas de leur
fabrication, mais des circonstances administratives qui
se sont fait valoir à cette occasion. Nous connaissons
nous-méme, nous ne disons pas l'état déplorable, mais
certainement peu satisfaisant dans lequel cette arme
s'est trouvée jusqu'à la fin de la premiére moitié de
ce siécle et méme, comme dit l'auteur, jusqu'à 1856.
Nous rencontrons dans cette partie historique beau-
coup de personnes avec lesquelles nous étions jadis
en relation de service, et nous n'avons pas oublié la
maniére dont alors on faisait les expériences sur cette
arme. Il s'agissait un jour de tirer avec des fusées
contre une assez grande cible représentant un navire
de ligne, établie dans le chenal du nord de Cronstadt. .
Votre rapporteur avait assisté en 1840 au tir des fusées
à Woolwich et avait été trés satisfait non seulement de
la justesse du tir, mais aussi du mode d'expérimen-
tation. Dans nos expériences la première fusée n'ayant
pas atteint le but, on en lanca une seconde en changeant
en méme temps la direction, l'élevation et méme le
calibre, et ainsi de suite à chaque nouvel essai, toutes
les conditions du tir furent changées. Si toutefois
parmi les fusées lancées il y en avait qui atteignaient
le but, le nombre en était fort-petit. Cependant la
conclusion du rapport officiel sur ces expériences fut:
que les fusées peuvent étre appliquées avec grand
avantage contre une ville ou contre un port de mer,
c'est-à-dire qu'une cible de trés grandes dimensions
étant donnée, les fusées l'atteindront quelque part.
Je m'applaudis aujourd'hui encore de n'avoir pas suivi
mon premier mouvement qui fut de protester contre
une conclusion aussi vague; les fusées présentées alors
sous un jour trop peu favorable, on aurait saisi cette
Occasion avec empressement pour donner à ses pré-
jugés une nouvelle légitimation en l'appuyant sur le
jugement d'une Commission. Dans cette pensée nous
ne pouvons que féliciter M. Konstantinoff de
ce que les fusées aussi participeront à la nouvelle
. a T i AET WT
ère qui s’est ouverte pour les progrès en général et
.9
ac AR e
dont les perfectionnements de la technologie militaire
ne manqueront pas de profiter. En effet nous appre-
nons avec bonheur que déjà Sa Majesté 'Empereur
a daigné ordonner l'établissement d'une fabrique de
fusées de guerre oü doivent étre réunis tous les
moyens pour confectionner les fusées avec la plus
grande perfection possible.
IX.
En quoi consiste done le secret de la fabrication
des fusées de guerre?
«Le plus souvent, dit M. Konstantinoff, ceux qui
«nous posent cette question ne le font que pour étre
«confirmés dans l'idée préconçue que c'est la recette
«de la composition motrice des fusées qui constitue
«tout le secret.»
—«Qontrairement à cette opinion généralement re-
«pandue, il faut dire que le secret de la fabrication
«des fusées de guerre git d'abord dans la possession
«des procédés de fabrication donnant des résultats
«identiques, et cela non seulement pour les mesures
«des differentes parties des fusées, mais aussi pour
«les propriétés physiques et chimiques des matériaux
«dont ces parties sont formées, et ensuite dans la fa-
«cilité de faire de nombreuses expériences, dans le
«courant de la fabrication; ‘sans perte de — à
«mesure que le besoin s'en présente.»
` «Quand on peut aujourd'hui fabriquer une fusée
«rigoureusement pareille à celle qui a été fabriquée
«hier, et qu'on a un champ d'épreuves suffisant à sa
«disposition, on n'éprouve plus de difficultés à déter-
«miner, par Ja voie de l'expérience, la meilleure di-
«mension des différentes parties des fusées, le meilleur
«dosage de la composition, et l'on arrive facilement
«à fixer ainsi tous les détails de la meilleure con-
«struction des fusées.» En pyrotechnie, pour que les
procédés de fabrication produisent des résultats iden-
tiques, il faut un outillage convenable, en majeure
partie automatique, et un personnel d'ouvriers habiles
et consciencieux. Ceci conduit l'auteur à examiner,
quel genre de travail est préférable pour les travaux
de pyrotechnie: celui des ouvriers libres travaillant
àlatáche ou à la journée, ou bien le travail obligatoire
fourni par les hommes au service militaire. L'auteur
se décide, comme de raison, en faveur de ce dernier
genre, mais il propose de ne former le personnel des
établissements de pyrotechnie que de militaires de
bonne volonté, auxquels il ne serait que trop juste
de prodiguer des encouragements pour les dangers
imminents que l'on court dans ces établissements et
qu'on ne peut jamais en écarter complètement. i
Pour attirer à ce service, dit l’auteur, des vo-
lontaires, une simple augmentation de salaité ou de
bien-être ne suffirait pas; il faudrait assimiler le tra-
vail dans les établissements de pyrotechnie et dans
les fabriques de fusées de guerre pour les avantages
matériels et honorifiques, au service effective en cam-
pagne.
Le premier besoin de la fabrication des wee
l'outillage et le personnel convenables étant donnés,
il faut encore deux conditions, dont l'une est, d'a-
voir à proximité de la fabrique, un. polygone suf
fisamment vaste et se trouvant dans des conditions de
comfort et de salubrité convenables pour y pouvoir
faire, pendant la maiore partie de l'année, des essais `
indispensables. "oe
La seconde condition consiste dans le We
multané des hommes techniques qui fabriquent les
fusées et des hommes de guerre qui les emploient,
d
"
C'est de cette manière seulement qu'on pourra fixerle `
matériel et le calibre les plus convenables pour en
tirer parti dans les différentes occasions. «Pour
«guerre; afin de recueillir les données qui puiss
«guider dans les confections ultérieures.» `
X.
réintégré cette arme dans les armées européennes 6$
h de C L
meux b
en 1807 où les
glais lancèrent sous la direction de Congrève Jui mène
40,000 fusées, étaient principalement incendiaires,
Les Danois, à la suite de ce triste événement, TP d
connurent la nécessité d'introduire les fusées dans ^ m
du célèbre astronome, fut chargé de ce sin
armée. Schumacher, aide-de-camp du roi
lisa à cette occasion pour ce projectile un
| me
vn Weiten dn ce ER ne permi des
gnaler que les faits principaux relatifs à l'invention des e
fusées de guerre. Il est connu que l'honneur d'avoir À
dû au célèbre Congrève. Les fusées mises en "m
par les Anglais contre Boulogne en 1803 (?) et au ie d
NS
u des sbb dagegen, ferdeg Age A al in u Lan Sigg TRE bn CU EE dd à
e
«que les fusées soient inoffensives à l'encontre de ceux 1 |
«qui s'en servent, il faut tacher de les employer H :
"WESTER, ET S
"TE
RAS LS BT T- AT
—— nie
tionnement très important dont nous avons déjà parlé
plus haut à l'occasion des fusées autrichiennes em-
ployées comme moyen de jet d’un projectile d’artil-
Jerie qui s’en détache au moment où la fusée a acquis
sa plus grande vitesse. L'idée de Schumacher a
servi de point de départ au système des fusées autri-
chiennes que l’auteur propose de nommer «fusées
Schumacher - Augustin» d’après le nom du premier
inventeur du principe et de celui qui en a développé
l'application. Jusque là les fusées n'avaient que des
baguettes latérales. En 1819 Congréve inventa les
fusées à baguettes centrales, dans lesquelles la ba-
guette est soutenue dans le prolongement de l’axe du
cartouche au moyen d'un culot en fer soudé dans le
cartouche et munie d'évents à sa circonférence.
Ces deux systèmes, le système autrichien à ba-
guettes latérales et le systéme anglais à baguettes
centrales sont bien différents quant à leur effet. Pour
les fusées du premier systéme, grande vitesse initiale,
courte durée de la force motrice, grande justesse de
tir, qui pour le tir élevé peut méme rivaliser avec le
tir élevé des projectiles d'artillerie spheriques non
centrés, et lancés au moyen de pièces à âme lisse —
pour les fusées du second système, faible vitesse ini-
tiale, action de la force motrice plus prolongée, réali-
sation des portées qui jusqu'aux derniers temps étaient
Mmaccessibles à l'artillerie ordinaire et le sont encore
aux projectiles sphèriques tirés par des pièces sans
Tayure, ; |
—. Un troisième système, le système prussien occupe
le milieu entre les deux systèmes nommés. La ba-
Suette se trouvant de méme dans le prolongement
e 3 " D P
de l'axe, est fixée au cartouche au moyen de trois
branches en fer de la longueur de deux calibres.
Système permet pour l'écoulement du gaz une
| Ouverture presque égale à la section transversale
: 1 cartouche. et convient également aux maxima de
Justesse et de portée, — |
Ca
-— avoir donné la description illustrée par
xcellentes gravures des fusées autrichiennes et
a , l'auteur, faute d'autres données précises,
Tassemble dans un tableau les résultats authentiques
du tir de 120 fusées prussiennes de deux pouces de
étre, lancées à différentes élévations de 10° à 45°.
Il construit d’après ces données une espèce de tra-
jectoire par des coordonnées polaires, dont les rayons
vecteurs expriment la portée correspondante aux élé-
vations ou plütot correspondant à l'angle de 45°—-«;
a. étant l'élévation. Cette courbe est assez régulière
pour justifier l’espoir de parvenir un jour à trou-
ver des règles ou des formules empiriques pour dé-
terminer le mouvement des fusées aussi approxima-
tivement, qu'on le fait à l'heure qu'il est à l'égard
des projectiles lancés par des pièces d'artillerie.
Les fusées du système anglais sont employées en
France, en Russie et en Prusse: celles du système
autrichien sont employées en Bavière, dansle Wurtem-
berg et en Suisse, outre les pays qui donnèrent lieu à
la création de ces systèmes. Chacun de ces systèmes
offrant des avantages particuliers, l’auteur est d'avis que
l’on ne doit pas s’assujettir à l’usage exclusif d’un seul
de ces systèmes et que dans une organisation complète-
ment développée de cette arme, il serait utile d’in-
troduire les deux systèmes. Les faits cités par l’au-
teur et qui se rapportent aux propriétés balistiques
de ces deux systèmes ne sont que les résultats de
l'observation, nous dirons plutôt d'un aperçu, mais
ils dénotent, dit-il, la possibilité d’une théorie mathé-
matique de la construction et du tir des fusées, en un
mot d'une balistique des fusées. Cependant il ajoute
qu'on se tromperait fort en supposant qu’une pareille
théorie soit l'unique chemin à prendre ou le plus .
avantageux pour parvenir au perfectionnement de ce
projeetile. C'est plutót, dit l'auteur, par la voie expé-
rimentale étayée par le caleul comme d'un moyen auxi-
liaire qu'il faut s'astreindre de perfectionner les fusées
de guerre. Quant à cette voie expérimentale, votre
rapporteur croit qu'il ne faut non plus se faire des
illusions sur son efficacité. Cette voie est parsemée de
tant de difficultés que la vie d'un homme, quelqu'ac-
tif qu'il soit et quelques moyens qu'il ait à sa dis-
position, ne suffit pas pour parvenir, nous ne disons
pas, au but, mais à des progrés essentiels. Dans cet
ordre d'idées il faut faire abstraction. de toute intui-
tion heureuse,.de toute idée nouvelle qui pourrait
bouleverser un jour de fond en comble le systéme des
fusées actuellement en usage. Ce que nous entendons
par perfectionnement c'est, d'abord, de faire cesser
toute incertitude sur la construction en général, sur
Ja composition de la charge, sur la disposition, les
9* |
n ` a
dimensions, le poids de toutes les parties consti-
tuahtes d'une fusée destinée à produire un effet donné
ou à parcourir une trajectoire déterminée. Cette con-
dition remplie, il s'agit ensuite d'une fabrication iden-
tique de toutes ces parties. Quant aux influences
extérieures et accidentelles, elles n'entrent pas en
ligne de compte.
Le probléme étant défini de cette maniére, les dif-
ficultés qu'il présente sont beaucoup plus grandes que
celles qu'on rencontre dans la Mécanique industrielle.
Dans les machines de cette nature, pourvu qu'elles
soient établies dans de bonnes conditions, il est rare-
ment urgent que tous les détails de leur organisation
soient fixés rigoureusement; il peut méme exister sous
ce rapport une latitude assez grande, sans que l'effet
*utile et moins encore l'effet industriel en souffre sensi-
blement. Avec les problémes de balistique on n'en est
pas quitte à si bon marché, par la raison qu'il s'y agit de
mouvements libres dans l'espace et de forces motrices
dont il est d'autant plus difficile de déterminer les
lois, que ces forces se développent presqu'instantané-
ment. Dans les machines industrielles au contraire, les
mouvements se font sur des chemins prescrits et les
forces se laissent plus facilement mesurer et sou-
mettre au calcul.
Quelque désespérant que soient les he de
balistique, par les difficultés dont ils sont entourés,
ces problèmes sont cependant dignes des plus üoblés
efforts. Leur solution compléte entrainera indubita-
blement avec elle la cessation des applications pra-
tiques de ces problémes. L'humanité ne faisant que
des progrés insensibles sous le rapport du moral, ce
n'est que par la science que l'utopie d'une paix uni-
verselle pourra se réaliser un jour.
XE —
La composition motrice des fusées est formée des
mêmes ingrédients que la poudre. Le dosage en varie
d'aprés l'emploi auquel les fusées sont destinées. Une
plus grande proportion de charbon donne plus de gaz
et accélére la combustion; une plus grande proportion
de soufre la ralentit. La fabrication de la composition
est analogue à celle de la poudre jusqu'à la produe-
tion de la galette. Le salpétre et le souffre peuvent
facilement être obtenus chimiquement purs, c'est la
fabrication du charbon qui exige les plus grands soins.
Dans nos poudreries on se livre actuellement aux re:
cherches pour perfectionner cette fabrication.
Lors de la construction d'une nouvelle fabrique de
fusées, M, Konstantinoff se propose de profiter de
ces recherches et de préparer le charbon dans la
fabrique méme où la compositien motrice sera pré-
parée par le mélange direct de ses éléments. Actuel. -
lement l'établissement des fusées de St. Pétersbourg
emploie à cet effet le pulverin fourni tout préparé à
la fabrique d'Ochta en y ajoutant 10% de charbon:
Ce mélange, travail dangereux comme on sait, se -
faisait dans des tonneaux, dans des conditions très
défavorables pour les ouvriers occupés à les tourner,
Aprés son entrée dans la fabrique des fusées, M.
Konstantinoff recut l'autorisation. de placer ces
ouvriers dans une construction chauffée et éloignée
des tonneaux, dans laquelle ils ont eu à tourner des
volants, dont le mouvement fut communiqué aux ton-
neaux par des organes de transmission. Pour plus de
sûreté encore on a établi un parapet de terre entre la.
baraque contenant les tonneaux et l’édifice abritant,
les ouvriers. M. Konstantinoff ne s'en est pas tenu
là. Homme de moyens, comme nous le connaissons, il -
a muni les tonneaux de compteurs, en transportant `
l'indication des nombres des tours accomplis par les. |
tonueaux, dans la salle des ouvriers méme. lla
placé là sous leurs yeux une pendule qui conjointe- `
ment avec les compteurs les guident pour ne pas donner -
aux tonneaux une trop grande vitesse de rotation `
Ces mesures de précaution n'ont cependant pas pu `
empécher l'explosion presque simultanée des. tone
neaux au nombre de quatre, qui se fit en 1854 pres-
qu'à la fin de l'ouvrage au bout de plusieurs milliers `
de tours accomplis. C'était à une époque où ces OCH
neaux avaient travaillé sans relâche. Quant aux ot- `
vriers qui mettaient les tonneaux en mouvement,
l'explosion ne leur a pas fait le moindre mal. En suite `
de cet accident M. Konstantinoff fit construire des -
tonneaux mélangeoires, dont l'axe géometrique forme
un angle avec l'axe de rotation. Dans ces tonnes
le mélange se fait plutót par le déplacement des balls `
d'un fond à l'autre, que par la chûte et le choc fé
quent des balles. m elles, comme cela a lieu dam -—
des tonneaux dont l'axe de rotation coincide avec l'axe
géometrique. L’expérience ayant montré qu'avec les —
nouveaux tonneaux inclinés, il ne faut que Ia moitié
w
cr: `
du temps pour produire le même travail, ces tonneaux
ont été introduits dans nos trois poudreries de l'état,
pendant la guerre d'Orient, pour accélérer la fabrica-
tion de la poudre.
Dans la nouvelle fabrique des fusées il y aura deux
espéces de ces tonneaux inclinés, les uns en cuivre
pour pulvériser les matières, les autres en bois, dou-
blés intérieurement de peaux épaisses pour en opérer
le mélange. Comme il y aura dans cette fabrique une
machine à vapeur comme moteur, le compteur dont
chaque tonneau sera muni, servira en méme temps pour
mettre en mouvement un levier d'embrayage, destiné
à arréter la rotation du tonneau, au moment oü le
nombre de tours déterminé d'avance sera accompli.
Üette disposition ingénieuse est reproduite sur la
planche XXIII de l'atlas.
XIII.
Aprés nous avoir fait connaitre le dosage de la
composition des fusées autrichiennes, russes et fran-
çaises et aprés avoir discuté l'influence du dosage
sur les diverses modifications de la force motrice,
quant à son intensité et sa durée, M. Konstantinoff
arrive au chapitre de la fabrication des pièces mé-
talliques des fusées de guerre.
Le cartouche, cylindre en tôle de fer, et le culot en
fer forgé avec la douille pour fixer la baguette cen-
trale, sont les pièces métalliques les plus importantes
des fusées. Ces pièces doivent être confectionnées
avec une précision, égale à celle qui est employée
dans les instruments de physique et d'astronomie.
Bien que l’industrie privée ait fait des progrès im-
menses dans la confection des outils automatiques,
destinés à augmenter la précision et la rapidité d’exé-
cution des travaux, la technologie militaire n'a com-
-— que dans les derniers temps à profiter de ces
us Il y a bien dans la fabrique des fusées de
: -Pétersbourg quelques machines- outils pour faci-
liter le travail manuel, mais elles sont bien loin de con-
Mr um outillage automatique complet. Parmi ces
twin ends y en avait une, qui était destinée à
petz vets, servant à réunir les deux bords de la
e
on machine un ouvrier ne pouvait
gange n; = | S es rivets en 12 heures. id ^
notre auteur remplaca ce procédé primi-
de tôle de fer roulée préalablement en cylindre.
tif par une machine à rivets, au moyen de laquelle trois
hommes produisent 3800 rivets dans le même temps.
Nous avons insisté sur la précision nécessaire à la con-
fection des cartouches, mais un tuyeau de tôle de fer,
dont les deux bords sont rivés l’un sur l'autre, n'est
pas un cylindre et l'enveloppe n'est pas en équilibre
autour de son axe géometrique. Aussi n'emploie-t-on
les cartouches rivés que dans les fusées à baguettes
latérales où ce manque d'équilibre ne présente pas d'in-
convenients. Dans les fusées à baguettes centrales les
bords du tuyeau sont soudés à la soudure forte, mais
limés d'abord en chanfrein de maniére que l'épaisseur
des parois n'en est pas sensiblement augmentée. Dans
les chaudières tubulaires on emploie des tubes sou-
dés et étirés, dont les dimensions ne différent pas trop
de celles des cartouches des fusées.. Nous avons été
étonnés d'apprendre que des essais faits en France
et en Russie pour se servir de ces tubes comme car-
touches, n'ont pas donné de bons résultats, mais nous
avouons que l'explication de cet insuccés ne nous a
guére satisfait. : |
Dans la nouvelle fabrique des fusées, les cartouche
aussi bien que les culots, seront confectionnés, par
des machines et des outils automatiques, qui seront
au niveau des progrés les plus récents. Nous sommes
convaincus que l'auteur ne fera pas seulement le
meilleur-choix de ces outiles automatiques, mais que
son esprit inventif lui suggérera l'idée de bien d'au-
tres encore.
XIV, i
Le chargement des fusées se faisait au commence-
ment de ce siécle, au moyen du mouton.. Ce procédé
bien que simple et primitif, fut bientót abandonné à
cause de son irrégularité et de ses dangers, pour étre
remplacé par le chargement àu moyen d'une pression
graduelle. Pour charger les fusées d'une composition
séche, il faut que cette pression s'éléve au moins à
1500 pouds par pouce carré. Les presses actuelles.
ne donnent au maximum que 80 pouds. -
Outre la condition que la pression soit puissante,
le chargement des fusées exige encore, que la com-
pression de chaque charge soitde méme durée et
constante, que l'effet de la pression soit indépendant
des ouvriers dont le nombre doit étre aussi restreint
que possible, par prévision des accidents. Br pee
Les fusées de guerre se chargent de deux manières:
ic `" aa \
sur une broche pour produire l’âme de la fusée, ainsi
qu'on le fait dans les fusées d'artifice, ou sans âme,
c'est à dire massif. Dans ce dernier cas, qui est pré-
ferable à cause de son plus de régularité, on obtient
le vide de l'àme par le forage. Quant aux détails de ces
procédés et aux descriptions trés instructives des
presses employées en Autriche et de celles employées
en France que l'auteur nous fait connaitre, nous sommes
obligés de renvoyer à l'ouvrage méme. Disons seule-
ment que comme de raison, presque partout, l'humec-
tage de la composition dont l'auteur signale les incon-
venients est supprimé, quoique le chargement d'une
composition humide n'exige que des pressions moins
fortes. Dans la nouvelle fabrique, le chargement des
fusées se fera avec la composition séche et des pres-
ses suffisamment.puissantes. M. Konstantinoff aprés
avoir soigneusement étudié la "construction des pres-
ses en usage en Russie, en Autriche en France, est
parvenu à réaliser une nouvellle presse hydraulique
exempte autant que possible, des défauts particuliers
aux autres systèmes. Ces presses sont susceptibles
d'exercer une pression de 24000 pouds, mesurée
sur la section transversale du piston de la presse.
Sous la direction de l'auteur trois de ces presses ont
été exécutées dans l'établissement de M. F arcot et fils.
Ces presses, par leur parfaite exécution, ont réalisé
les prévisions de l'auteur, et ontété essayées au maxi-
mum de pression de 400,000 kilogrammes, pression
invariablement maintenue pendant une heure de suite.
- Nous regrettons de ne pas pouvoir donner, sans
recourir aux dessins, la description de ces presses et
des dispositions ingénieuses par lesquelles l'auteur a
réussi d’accomplir la tâche qu'il s'était proposée. Il
s'agissait de résoudre le difficile probléme de rendre
la compression de chaque lanterne de composition,
non seulement constante, mais toujours d'égale durée,
et de pouvoir régler cette compression à volonté, dans
de certaines limites, tant sous le rapport de son in-
tensité que de sa durée. Il s'agissait en outre d'ac-
célérer par des dispositions particulières, les opé-
rations du chargement et de diminuer en même temps
le nombre d'ouvriews auprès de la presse. Nous ren-
voyons donc à l’ouvrage même et nous ne doutons
pas que parmi ses lecteurs, il y en aura qui profite-
ront des dispositions de cette presse, aen les —
en d'autres industries encore.
-
XV.
Il n'est pas avantageux de procéder à l’achèvement
des fusées immédiatement après leur chargement. En
Autriche on les laisse reposer un mois entier, temps
indiqué par l'expérience, pour que la composition
comprimée se mette en équilibre par rapport à la
tension du cartouche et cesse d'augmenter de volume,
En effet au bout de quelques heures, aprés quela `
compression a cessé, le diamètre du cartouche est |
augmenté à ne plus être replacé dans le moule; aussi
la composition présentant d'abord une surface plane,
prend une forme sensiblement convexe. Nous citons
ce fait curieux, qui du reste se produit dans tous les `
cas de forte compression; méme Jes monnaies ou mé-
dailles de différents métaux frappées au même coin, -
sont de dimensions différentes, comme l'a prouvé M.
Dove, à Berlin, par une expérience fort Bëchtee `
faite au moyen du stéréoscope.
L'ancienne machine destinée à forer l’äme dans
les fusées ayant été défectueuse, M. Konstantinoff
a établi une nouvelle machine à forer (voir pl. Xx) -
dans laquelle la fusée se fixe verticalement dans un
châssis en fonte, auquel un mouvement de rotation
est imprimé au moyen d'un volant à manivelle
deux hommes font tourner. Au-dessous de la fus
trouve le foret qui recoit un mouvement ascensio
au moyen d'une roue tournée par un homme.
mouvement circulaire continu de cette roue est trans
formé en mouvement rectiligne par me: e
coniques et par un vis vertical. 4
Pour guider les hommes dans la vitesse de ol SR
qu’ils doivent imprimer au volant, M. Konstantinoll
a eu recours à un régulateur acoustisque muni de
deux sonnettes de timbre différent. L'une de ces sr
neries se fait entendre, quand la vitesse de rotation
est insuffisante, et l'autre quand elle est trop grande
il faut done que le volant se meuve, sans qu'on
tende la sonnerie. Le dispositif de ce régulateur est!
présenté de même sur la pl. xxx. L'auteur dit |
ouvriers acquièrent bientôt l'habitude de modifier
tement leurs efforts, conformément aux indicatio
sonnettes, de manière qu’on peut rapprocher les
tes des vitesses à tel point que les différences
elles ne sont guère TUA un perunt de M ar
de volant. +. d cac) c AR ad
en
C'est un x
ur aci memen asco dé
de 5 p d eti le foret — des | tio
affütáge gtt Risus en are : rl lont pmi
réce en aurait alté e refaire à e forage e. Du re pas voul
ge mment un Marion altéré les di à neuf, car u le fait, la fus ste on ne peut u négliger cett
yé avec succè er de Genè imensio an | faire ée auc pas pla e cire
Bag for uccès le di enève M. L ns. Tout la correcti entre d'osci cer, com cons-
ures d amant noi .Lech fusée ection à oscillati me laut
dans le ans les grè noir du Brési ot a em- au cen mentionné ion du eur
percem grès très résil po de cet tre ‚de: mae? née. L pendule, s
ee; ent des tun durs qu’ ur faire | d EE gravité, di e placem ‚sans
wu iamant noi nels. S'il étai on renc e tenir ction dd Ispense ent de ]
are OS crevé Me tr da ren seulement
les pne sam de-cette — fusées I bustion de 1 BS iere? Gang nécessité
Il pites assent parait [us er une en | Pour la : composition. occasionné | popu
yés T s encore bien nn dé de E connaitre ae ar geg vg par la com-
int s la fabricati autres outi ven rapport a éveloppem scopo, diio
érét trop : tion des f x ls spécia comb u temps ent de l st essenti
u entrer Rives en. mais er emplo- | effet ustion de la Á depuis le e force nn "
ns le cad e r que le sont d M. K usée jusqu’ mmence e par
re des d description en pendule à AEE = a son ne dé da
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Seng mesurage de ] * gé Gé vitesse miifon e tournant win EN
un intérêt : a forc ment osci e trace at me conn ur de s
moyens éng général. Eo. des fusé nelle EE du es en d’un vin sur la e i
A utriche et " ométriques uteur n'emploi sées est | pant la s intéresse le ule, dont la 3 et, le mouve-
au fusil-p n France. Il employés i oie pas surfac plus. On partie ascensi
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en co que le poi poids P dimi ou à "7 un travail éqni mbustion it dans
lt poids de la com très | résistan corps flottan s piede gue en
mposi- calm ce de 15 pied t présentant > conde. ; Sup-
ee ane section de
e de 2 pieds par s dans une e
ds par seconde. L au
. Le tra-
vail de la résistance de ce corps étant égal à 13 livres- |
pieds par seconde, le travail moteur d'une fusée sera |
suffisant pour faire parcourir au corps flottant un.
chemin de * — 163 pieds ou de 23, 3 sagènes
avec une paie de 2 pieds par seconde. Il faudra donc |
employer -e — 42 fusées pour produire une lo-
comotion de deux verstes par heure. Ce résultat se
modifie cependant considérablement par la circon-
stance que la combustion de ces 42 fusées sera ache-
vée en moins de deux minutes, tandis que le corps
flottant mettera une heure à parcourir le chemin
de 2 verstes. Pour se mettre dans de bonnes condi-
tions, il faudrait avoir des organes mécaniques pour em-
magasiner la force motrice de la fusée, ou des moyens
chimiques pour étendre sur un temps 30 fois plus
grand la combustion de la composition. Ce sont encore
des inventions à faire, et jusque-là il faudra renoncer
à de pareils projets. En employant les fusées direc-
tement, il en faudra 1334 pièces, brulées l’une après
l'autre pour produire un travail moteur de 60,702
pouds-pieds par heure. Or, nous avons calculé que
ce travail moteur ne fera parcourir à notre corps
flottant, de 15 pieds carrés de section, qu'un chemin
de 8 vertes dans le même temps. Cette espèce de lo-
comotion ne se recommenderait donc pas par son
éçonomie.
Pour fixer les idées sur cette question, nous nous
sommes permis de la traiter d’une autre manière que
ue l’a fait l’auteur dans ses lectures p. 191—194.
XVIII.
Nous avons déjà eu occasion de parler de l'arme-
ment des fusées avec des obus. Ces fusées sont destinées
au tir rasant. Pour le tir élevé les fusées se garnis-
sent souvent de projectiles sphériques d'artillerie, qui
ne quittent pas ces fusées pendant leur vol. Aux dis-
tances rapprochées, on les garnit aussi d’un obus à
balles ou d’un paquet de mitraille; il y a dans ces
cas une petite charge, qui au moment opportun brise
l'enveloppe et dégage ainsi les balles.
Une applicatien trés essentielle des fusées est de
s'en servir comme moyen incendiaire. C'est par leur
propre gerbe de feu ou par l'explosion du projectile
qu'elles portent, que cette application des fusées se
réalise fort souvent d'elle-méme. Outre cela il y a
| in fusées incendiaires spéciales, construites de diffé-
rentes manières et dont la garniture est remplie d'une
| composition incendiaire. M. Konstantinoff parleà
cette occasion des avantages qu'on pourrait tirer à
cet effet des propriétés incendiaires de la dissolu-
tion connue du phosphore dans du sulfure de carbone,
Notamment à la défense des places fortes, l'emploi
| de ce liquide donnerait bien d'ennuis à l'ennemi, Il
suffirait d'enfermer ce liquide dans des bouteilles à
champagne bouchées par des bouchons de liége et de —
les fixer à l'extrémité des cartouches des fusées. Les
matières servant à la préparation de ce liquide ne
sont pas bien coüteuses et se trouvent à chaque fa-
brique de produits chimiques, et il n'y aura non plus
manque de bouteilles à champagne méme dans ii
places assiégées.
Dans l'application de ce lande il ne s’agit pas e
lement de ses propriétés incendiaires, on aurait encore
le bénéfice d'un effet trés meurtrier contre les hommes.
Des éclaboussures de phosphore tombées sur les par.
ties découvertes du corps et méme sur les habits, pro-
duiraient de terribles brûlures pour la plupart mortelles, i
A la question, s'il n’y a pas félonie ou cruauté à se ser
vir de pareils moyens à la guerre, M. Konstantinoff s
répond: «que la guerre par elle-même est une des plus.
«grandes calamités , qu'elle est contraire à tout sels
«timent d'humanité, mais une fois inévitable, elle ne
«peut être ni un jugement de Dieu, un duel d’après
«les traditions du point d'honneur, S une lutte cour- `
«toise, un tournoi avec des armes de convention.. I lle
ed Une fois que l’on est à ce moyen extrême ei
«faut en subir toutes les conséquences , et on s
«trouve dans la nécessité de chercher à Ka
«par tous les moyens les forces de son ennemi ( i el E
«annuler les moyens d'attaque et de résistance. avec
«le moins de perte et de frais possibles pour soi.
«Dans ces conditions l’on ne peut faire la part aus S
«sentiments d'humanité, qu’ en éloignant autant ju an
«se peut de ceux qui ne participent pas à la lutte, 188 `
«conséquences des calamités de la guerre, et en. allé E
«gant autant que possible le sort des victimes, gt `
«core malheureusement, ne peut-on laisser un. entier E
«cours à ces sentiments d'humanité que tant que ^
«ne compromettra pas les succès des opération
Dans des circonstances entourées de toute espè -
Te SC
de difficultés, votre rapporteur avait établi, lors du
blocus de Cronstadt en 1854 et 1855, des mines gal-
vaniques sous-marines pour la défense de cette place
i n'était alors que trés faiblement armée. Ce qui
avait transpiré dans le public de ce nouveau moyen
de défense, a fourni à la presse étrangére l'oceasion
delancer d'odieuses insinuations contre notre Gouver-
nement pour avoir employé de pareils moyens, con-
traires, a-t-on dit, à tout droit des gens. Votre rap-
porteur en particulier a été accusé d'abuser de sa
science en se faisant l'instrument de cette félonie.
Les circonstances d'alors ne lui ont permis aucune
réplique de sa part. Cependant le temps s'est chargé de
sa justification; son exemple a trouvé des imitateurs;
à l'heure qu'il est des mines galvaniques sous-marines
sont employées avec succés, dit-on, à la défense de
Charlestown, bien que le systéme de ces mines soit
beaucoup inférieur au systéme inauguré par votre rap-
porteur à l'occasion mentionnée.
XIX,
On a reconnu que les fusées sont infiniment pré-
férables à toute autre pièce d'artillerie, quand il s’agit de
lancer des projectiles éclairants. Aussi est-il admis en
ie, de ne lancer les projectiles éclairants de l’ar-
tillerie, emmagasinés en grande quantité dans les
places fortes, qu’au moyen des fusées, et une fois ces
projectiles épuisés, de n'en préparer que du système
Spécialement destiné aux fusées.
Il y a encore une application des fusées où elle
Peuvent incontestablement rendre de très grands
Services. O’
tirer à plein fouet ou à grande élévation, selon les
Mrconstances, contre les batteries de brêche et en
&énéral contre les constructions défensives et les tra-
vaux rapprochés de l'attaque. L'auteur cite à cette
: n les beaux résultats obtenus à Coblentz en
1856 RES det eäpfetencen faites avec les fusées à
"FTS: lancées à 100 jusqu'à 150 mètres avec
Une charge de 20 livres de poudre et à 160 à 200
mètres avec une charge de 14 livres, les fougasses
agissant dans ces deux cas comme des mines.
TS ne voulons pas à cette occasion nous rendre
Sea d'un oubli commis par l'auteur. Outre
. - rapporteur, il y a encore bien de personnes en
"ie, qui ont été témoins des expériences faites par feu
est de les munir de fougasses et de les:
le général Schilder, avec des fusées à fougasses, ex-
périences couronnées d’un plein succès et qui plus tard
encore ont été continuées sans lui, pendant les travaux
d'instruction du génie militaire exécutés annuellement
à Krasnoé-Selo et à Babygone. Des rapports officiels
sur ces travaux doivent se trouver sans aucun doute
dans les archives. Nous sommes trop peu initiés à l’his-
toire militaire pour pouvoir insister afin que l’honneur
de cette application soit dévolu à l’homme de génie
que nous venons de nommer et dont le souvenir ne
s’effacera pas de sitôt des traditions du génie militaire.
Quoiqu'il en soit, nous saisissons cette occasion pour
rendre à la mémoire du général Schilder les hom-
mages mérités. Ceux de ses contemporains qui l'ont
intimement connu, ne lui refuseront certainement
ipas le témoignage d'avoir été, jusqu'à sa fin glo-
rieuse, un homme plein d’initiative et un guerrier
plein de courage; qui dans les difficultés puisait
l'énergie et les moyens de les vaincre et qui possédait
également ce courage moral bien rare de nos temps
qui ne recule devant aucune responsabilité.
XX.
Dans le courant de ses lectures, M. Konstantinoff,
en exposant la fabrication des fusées de guerre, fait
plusieurs propositions, qu'il ne tardera pas à mettre
düment à l'étude expérimentale, dés que les circon-
stances le lui permettront. Nous nous contentons d'é-
numérer ces propositions qui sont: l'emploi de l'élec-
tricité pour régulariser l'effet des presses, destinées
à charger les fusées, un liquide incendiaire pour être
projeté par les fusées, le coton-poudre pour remplacer
les charges d'explosions des fougasses, l'application de
la galvanoplastie à la fabrication des fusées, enfin l'em-
ploi de la tóle cannelée pour la confection des ba-
guettes des fusées.
Le chapitre sur le matériel de tir et de transport est
divisé en deux sections, dont l'une traite des batteries
de fusées et l'autre contieut quelques données sur
le transport des chevalets et des fusées dans les
batteries de campagne. Nous ne méconnaissons pas
l'importance de cette partie qui regarde de plus prés
l'organisation militaire et qui est à considérer comme
une question vitale, dés qu'il s'agit des applications
pratiques et sérieuses des fusées. Cependant il n'entre
pas dans le cadre de notre relation sur l'ouvrage de
3
mE ` de
M. Konstantinoff de nous occuper de cette partie,
dont nous recommandons la lecture aux militaires de
profession qui y trouveront une foule de renseigne-
ments utiles, illustrés par d'excellents desseins.
Nous renvoyons également à l’ouvrage pour ce qui
concerne la description des fusées, employées dans
la guerre d'Orient par les Anglais et les Français.
Ce sont particulièrement les fusées françaises dont
l’auteur a donné la description la plus circonstanciée
et dont il a discuté les avantages et les inconvénients
avec le plus de détail.
Nous nous sommes souvent demandés, pourquoi ne
cherche-t-on pas à donner aux fusées un mouvement
rotatif, à l'instar des balles de fusil et des boulets de
canon. L'introduction des rayures qui donnent à ces
projectiles un mouvement de rotation leur a valu un
beau succès quant à la justesse du tir et à la portée.
En analysant toutes les tentatives faites à cet égard
en différents temps et dans différents pays, l’auteur sig-
pale les inconvénients d’une application aux fusées
d’un système de rotation, tant au point de vue théo-
rique que sous le rapport pratique. Il est d'avis qu’à
l'exception peut-être de quelques cas particuliers, les
systèmes de baguettes de direction méritent sous tous
les rapports d'étre conservés.
XXI.
Nous touchons à la fin de l'ouvrage. Mais au risque
de fatiguer l'attention de notre auditoire, nous ne pou-
vons nous dispenser d'ajouter encore quelques mots
sur les perfectionnements réalisés par l'auteur dans
la fabrique des fusées à St. Pétersbourg. Nous pas-
sons sur la fabrication et le placement des culots et
sur les espolettes de süreté, inventées par l'auteur,
pour nous arréter un moment au moyen indiqué par
lui pour donner au tir des fusées une plus grande
précision. Ce n'est pas un fait nouveau qu'une fusée
dont le cartouche est rempli d'un cylindre massif de
composition, ne produit presqu'aucune force motrice.
Une pareille force est engendrée uniquement par la
tension des gaz, qui se dégagent dans les fusées, à la
surface de l'ame, instantanémeut aprés qu'on y a mis
le feu. Cette force motrice continue à se développer
jusqu'à la combustion compléte de la section transver-
sale de l'ame et de la partie du massif, égale en épais-
seur aux parois de l'ame. La combustion ultérieure de
#
ce massif, qui sert de bouchon à l'ouverture opposée à
la sortie des gaz, n'ajoute non seulement plus rien à
l'effet utile, mais c'est justement au moment où cette
combustion commence, que les irrégularités dans ]g
trajectoire des fusées se produisent. Si on remplace …
une partie du combustible par un bouchon en matière
incombustible, la trajectoire prend la forme d'une
courbe continue dont la courbure varie trés graduel-
lement et les zig-zags qui auparavant se produisaient
souvent dans le vol des fusées, disparaissent entière:
ment. De plus, on ne remarque pas de diminution
sensible de portée. La matiére incombustible dont on
forme le bouchon consiste en terre glaise séche en
poudre trés fine, mêlée de 4 de colophone en poudre.
Pour donner plus de solidité:à ce bourrage, les lan-
ternes de terre glaise, aprés leur compression sont hu-
mectées au pinceau, d'huile volatile de térébinthe dont
on enduit aussi l'intérieur du cartouche. L’auta
dit qu'à l'étranger on paraît avoir reconnu que la
composition fusante n'augmente pas sensiblement la
portée. Nous trouvons en effet que dans son excel-
lent ouvrage sur la Pyrotechnie (Berlin 1840), Mo-
ritz Meyer, capitaine d'artillerie de Prusse, dit pos
tivément $ 445: que la combustion du massif n
doit pas durer plus longtemps que celle des parois d 1
lame, puisqu'une combustion ultérieure donne 1 |
à des irrégularités dans la trajectoire, sans ajouter
quelque chose à la force motrice. Et 8 448 le net
auteur parle d'un bouchon en terre glaise m
donne une hauteur égale au diamétre du cartouch
L'introduction d'un bouchon incombustible donn
l'auteur occasion de proposer un bouchon de plot mo
égal en poids au massif de composition ou au bou :
chon de terre glaise. En augmentant en méme temps
la profondeur de l'ame, l'auteur est parvenu à]
duire dans nos fusées une augmentation de la jus
tesse et de la portée, sans ajouter quelque chose à
leurs dimensions ou à leur poids. Les expé rien
faites par l’auteur, bien qu Jusufnsantes, ont pie
ment confirmé ses rrisibiis E
Dans le même chapitre sur les perfectionne enis
etc, nous apprenons un fait bien digne d'attentio 5
C'est que sur 4020 fusées de 2 pouces et de 2/, char
gées de la composition reglömentaire, tirées dans 1
dix dernières années sur le polygone du comité dar
tillerie, il n'y a eu que 6 fusées qui ont éclaté ge
sS.
|
B Fus
core dans des conditions de tir qui ne furent pas
normales. Outre cela 1955 fusées de 2, de 2'/ et de
4 pouces furent lancées dans le méme laps de temps
pour concourir aux travaux d'instruction du génie
militaire, et pas une seule d'entre elles n'a éclatée.
Ces faits constatent bien positivement que les fu-
sées confectionnées actuellement à la fabrique de
St. Pétersbourg pour l’usage du service, si elles sont
fraichement préparées et tirées d’après les procédés
habituels, n’éclatent pas. Mais conservent elles indé-
finiment cette propriété? M.Konstantinoff y répond,
qu'il n'en est pas ainsi, et que toutes les fusées de
quelque systéme qu'elles soient, en vieillisant perdent
deleurs qualités et deviennent surtout d'un usage moins
sür. Le réglement russe admet, qu'aprés quatre ans
d'existence, nos fusées sont au début de leur declin.
M. Konstantinoff espère qu'après l'introduction
d'une fabrication plus soignée que celle d'aujourd'hui,
nos fusées pourront atteindre la longevité des fusées
autrichiennes, qui aprés avoir été gardées 15 ans dans
les dépôts sont encore aussi bonnes — dit-on — que
lles qui sont sorties la veille des ateliers.
En revanche du dédain avec lequel les artilleurs
regardent souvent les fusées, M. Konstantinoff
Jette un coup d'oeil sur ce qui s'est passé en fait d'é-
datement des canons en fonte et méme des piéces
en fer forgé depuis 1854 au polygone du comité
d'Artillerie de St. Pétersbourg. Dans l'énumération
des éclatements il ne parle que des pièces réglémen-
taires servant d'étude au tir et non des éclatements
qu'il ne connait pas et qui avaient eu lieu pendant
essais. de réception des piéces. En prenant en
considération tous les faits authentiques parvenus
pi Connaissance sur le peu de garantie de durée
Qu ofrent les pièces en fonte, l’auteur affirme, que le
ür au moyen des fusées des plus gros projectiles à
poa munies d’espolettes de sûreté, offre moins
1 dangers, méme avec des fusées avariées, que le tir
es pièces en fonte de fer des plus savants tracés et
Provenances les plus renommées.
eii reproduisons les paroles suivantes adressées
- Te autres par l'auteur à ses auditeurs à la clotüre
| ses lectures: «Ce n’est donc pas une vaine espé-
«rance que j'émets lorsque je manifeste ma conviction,
«qu'il nous est possible d'augmenter la justesse de
«nos fusées; aussi, messieurs, je réclame de vous de
d’impartialité et un peu de patience: vous admettrez,
«d'accord avec nous que la fusée, cette artillerie por-
«tative, si toutefois vous voulez accepter pour elle
«cette dénomination, est une arme qui peut-étre utile
«à la guerre, méme dans son état actuel et, en outre,
«qu'elle est susceptible de perfectionnements qui l'ap-
«pelleront à rendre des services importants à la force
«militairé de notre pays».
L'étendue de ce rapport vous présente déjà une
certaine garantie que l'ouvrage de M. Konstanti-
noff n'est pas sans valeur. Votre rapporteur ne se
serait pas imposé le sacrifice de son temps, s'il ne
s'était pas trouvé en présence d'un ouvrage auquel
il reconnaissait des mérites incontestables; d'un ou-
vrage qui fait autant d'honneur aux officiers d'ar-
tillerie russes, qu'il contribue à maintenir la con-
sidération et la bonne opinion que ces officiers ont
acquises par leurs connaissances et leur éducation
scientifique, non seulement dans leur pays mais aussi
à l'étranger. Cet ouvrage n'est cependant pas tout-
à-fait exempt de défauts. Son étude ne nous à pas
été facile, d'abord parce que la vivacité d'esprit de
l’auteur ne lui a pas permis de suivre dans ses lec-
tures la marche méthodique à laquelle nous sommes
habitués dans les ouvrages purement scientifiques , et
ensuite, parce qu'en plusieurs endroits nous nous
sommes trouvés dans un certain état d'hésitation.
Nous n'avions ni le loisir, ni la vocation de nous
occuper de la littérature militaire sur cette matière;
nous laissons à l'auteur la responsabilité des faits spé-
ciaux allégués par lui et nous nous tenons en déhors
de toute question de priorité qui pourrait surgir à
l’occassion de cet ouvrage. Nous avions désiré déjà
l'année passée de présenter l'ouvrage de M. Kon-
stantinoff au concours pour les prix de Démidoff,
unique moyen dont l’Académie dispose pour ex-
primer son approbation aux ouvrages imprimés. Il
est à regretter que cet ouvrage étant écrit en francais,
les termes précis du réglement des prix de Démidoff
se sont opposés à son admission.
EE
RS
T. VII, N° 2.
^
#
#
ON" - SENSU
V GESELLSCHAFT
BULLETIN <==
DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
TOME VII.
(Feuilles 6 — 11.)
CONTENU:
Page
A, Winnecke, Sur la queue multiple de la grande comète de 1744. (Avec une Planche.) 81 — 90
M. Brosset, Variétés arméniennes. (Avec une Planche)............................ 90 — 99
A, Schiefner, Sur les récents travaux de linguistique, de M. le baron Uslar......... 99 — 104
N. Kokcharof, Notices minéralogiques sur le paisbergit et le graphit................ 104 — 114
0. Struve, Sur le telescope de M. Lassell à Malte............................., 113 — 136
Ph. Ofsiannikof, Recherches sur la moëlle épinière des poissons et des mammifères et
résultats des recherches de M. Koutchine sur la moélle épinière de la Lam-
prote (Petromyzon fluviatilis). ve e dee 08. GE ee cd 137 — 145
6. de Helmersen, Sur le puit artésien de St. Gét EE 145 — 148
F. Ruprecht, Quelques données pour servir à éclaircir la question de la durée de temps
nécessaire pour la formation de la tourbe.........:,.....,,..sssceesuse e 148 — 158
Ph. OfSiannikof, Sur la structure intime du cervelet des poissons .................. 157 — 166
nenn naeh ee 166 — 171
nn uu ouo teet hne 171 — 176
On ue: chez MM. Eggers & Cie, libraires à St-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de
l'Académie (Komurers Ipasrenia Hnnueparopckoü Axaxemiu HayK) et E M. Léopold Voss,
libraire à Leipzig.
Le prix RER, par volume compos& de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie,
8 thalers de Prusse pour l'étranger.
BULLETIN
DE L’ACADENIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
Über den vielfachen Schweif des grossen Co-
meten von 1744, von A. Winnecke. (Lu le 13
novembre 1863.)
(Mit einer lithogr. Karte.)
Nach der Erzählung von Loys de Chéseaux hat
der Comet von 1744, dem an Helligkeit und Pracht
der Erscheinung kaum ein anderer der registrirten
Cometen gleichkommt, in den Nächten des 7ten und
8ten Mürz 1744 einen sechsfachen Schweif gezeigt.
Aber keiner der Astronomen, welche in Deutschland,
England, Frankreich und Italien den Cometen damals
verfolgten, erwähnt dieses höchst wichtigen Umstandes.
Hierin liegt wohl hauptsächlich der Grund, weshalb
gegen die Erzählung des Lausanner Astronomen Zwei-
fel erhoben sind: Zweifel, deren Berechtigung von
mir in der Schrift über den Cometen von 1858 aus
Gründen in Abrede gestellt wird, welche mehr subjec-
liver Natur sind, als es bei dem Interesse, welches eine
sümerkwürdige Thatsache für sich in Anspruch nimmt,
wWünschenswerth ist.
Ich bin jetzt im Stande durch das unabhängige
Zeugniss eines Beobachters in Russland meine Mei-
"ung von der völligen Glaubwürdigkeit des Lau-
Sanner Berichtes zu bekräftigen. Das reiche, von
del’Isle in den Jahren 1726— 1747 auf der Peters-
burger Sternwarte gesammelte, jetzt in Pulkowa auf-
bewahrte Material, dessen nicht rechtzeitige Veröf-
fentlichung als ein grosser Verlust für die Wissen-
schaft anzusehen ist, enthält auch Beobachtungen
dieses Cometen und darunter die Wahrnehmung des
vielfachen Schweifes am 5ten und 6ten März 1744.
Da Chéseaux's vortreffliche Schrift: «Traité de la Co-
Eis qui a paru en décembre 1743 et en janvier, fé-
SCH et mars 1744 etc.» selten ist, so führe ich hier
qu den vielfachen Schweif bezügliche Stelle (pag.
qq.) vollständig an:
- "Le ciel fut extrêmement couvert depuis le 1 mars
SES au 7. Ce jour là il se découvrit et nous donna
à espérance de voir la queué. Je me pröparois
à vo , x s; ; $
T IT sous l'apparence que j'avois conjecturée
ome VIT,
le 14. Je descendis avec un ami sur les 4 heures du
matin dans un jardin, d'op on découvroit l'orient.
Cet ami marchoit le prémier et me suprit fort en me
disant, qu'au lieu de deux queués il en voyoit cinq.
Je ne pouvois le croire, lorsqu'aprés avoir passé
quelques bátimens qui m'avoient caché l'orient, je
découvris en effet cinq grandes queués, en forme de
rayons blanchátres, qui s'élevoient les unes plus, les
autres moins obliquement sur l'horison jusques à la
hauteur de 22° et en occupant autant en amplitude.
Ces rayons avoient environ 4? de largeur, mais ils
s'étrécissoient un peu parle bas. Leurs bords étoient
assez distincts et rectilignes: chacun d'eux étoit com-
posé de trois bandes; celle du milieu étoit plus obs-
cure et le double plus large que celles des bords.
Celles-ci étoient précisément de la couleur des en-
droits les plus brillants de la voye lactée, qui sont
entre Antinous et le Sagittaire et le Serpentaire et le
Scorpion. L’entre-deux des rayons étoit sombre
comme le reste du ciel: Cependant dans le bas il y
avoit une lumière semblable à celle de l'extrémité de
ces Rayons, comme si elle eût été l'extrémité d'autres
Rayons plus courts. Outre ces cinq queués bordées de
bandes blanches, il y en avoit une sixième fort courte,
dans laquelle on ne remarquoit point de bandes, peut-
être parcequ'elle étoit fort basse. Cette sixieme, jointe
aux dix bandes plus éclatantes des autres, formoit
l'apparence d'onze rayons. Le bord méridional de la
queué plus courte et plus méridionale se terminoit à
l'étoile e d'Aquarius et son milieu passoit par l'étoile
x, en allant un peu au delà; ce qui donne sa Longi-
tude 7^ 55' zs et sa Latitude 9° 0 Bor. La quatrième
queué se terminoit à une ligne qui passoit par a Aqui-
lae et Delphini. Son milieu ou son axe passoit préci-
sément par celui d'Equuleus: ce qui donne la Longitude
de son extrémité 19° 55' z et sa Latitude 34° 15' Bor.
L'extrémité supérieure de la bande gauche de cette
queué paraissoit un peu détachée du reste dela bande
et plus large, ayant la forme d'un lozange. La Lon-
gitude de l'extrémité de la dernière SS était envi-
s3
Bulletin de l'Académie Impériale
SO
ron 5° 45’ X et sa Latitude de 34° 0. Ce Phéno-
mène suivoit parfaitement le mouvement des étoiles
fixes, à l'égard desquelles il me parut parfaitement
immobile; car je l’observais non seulement cette pre-
mière nuit de 7 au 8 Mars, depuis 4 jusques à 5a,
mais encore la suivante du 8 au 9 depuis les 27;
quelle commencoit de se lever jusques à 4'/; sans
aucun changement. Son plus grand éclat étoit sur les
An, Il a été và ici à Lausanne de 18 personnes et à
Berne par M. Kónig et quelques uns de ses amis:
mais on ne l'a vu ni à Geneve ni à Paris, à cause
du mauvais tems, qui depuis ce jour là m'a empéché
aussi d'en revoir rien d'avantage.
Que les astronomes jugent aprés cela si ce Phéno-
mène n'apartient pas au système des corps célestes et
s’il eût été possible qu’un Phénomène aërien eut gardé
si constamment pendant vingt-quatre heures la même
disposition dans toutes ses parties, la même gran-
deur, la méme couleur, la même position apparente
à l'égard des Etoiles fixes et eût participé exactement
à leur mouvement diurne, comme il le fit trés sen-
siblement depuis les 21/^ jusques à Ah de la nuit du
8 au 9, ayant monté avec elles parallelement à l'Equa-
teur de plus de 30°. NB. que pendant les deux nuits
que ce Phénoméne a paru, le ciel étoit trés serein et
qu'il n'y avoit pas le moindre nuage ni le moindre
brouillard et que le Soleil et la Lune auxquels seuls
on pourrait attribuer la cause d'un pareil phéno-
mène par la réflexion de leurs rayons, étoient fort
éloignés du point de convergence de ces queués et
du point opposé. Mais si ce Phénoméne est un Phé-
nomène céleste, quoi de plus vraisemblable que de
le prendre pour la queué d'une Cométe qui avoit
commencé dés le milieu de Février à se diviser et
depuis plus longtemps encore, à dériver de la direction
des rayons du Soleil, et qui par les mêmes causes phy-
siques devoit le faire de plus en plus en s'aprochant
de cet Astre. Il est surtout remarquable que ces
rayons étaient dirigés à un point sous l'horison, tel
à peu prés, que celui où devoit être la Cométe à ces
heures là, selon la Théorie de son Cours.»
Man ersieht aus Vorstehendem, dass Loys de Ché-
seaux seine Ansicht über die von ihm am 7. und
8. März beobachteten weisslichen Streifen nicht mit
vólliger Bestimmtheit auszusprechen wagt, sondern,
nach umständlicher Erzählung des Thatbestandes,
dem Leser das Urtheil über die Erscheinung ugs |
giebt. Dass er übrigens selbst der Ueberzeugung g
wesen, es gehörten wirklich die Streifen zum Schweiß à
des grossen, damals mehrfach am hellen Tage ni |
blossen Augen wahrgenommenen Cometen, zeigen diẹ
seinem Werke beigegebenen Kupfertafeln, auf dee à
die unter dem Horizonte liegenden Partien des Schwei-
fes ebenfalls gezeichnet sind, ein Umstand, de,
wie man befürchten kann, der Exactheit in der Ud.
lieferung der Erscheinung nicht eben förderlich gewe
sen ist. Aus diesem Grunde habe ich für die gegen-
würtigem Aufsatze beigelegte Figur, welche die Ché ©
seaux'schen Streifen ihrer Lage nach wiedergeben
soll, mich möglichst an den Text gehalten, da derselbe
auch sonst von der Zeichnung an mehreren Stelle
abweicht. So ist, Beispiels halber, auf Tafel V de
«Traité sur la Cométe etc.» der sechste kurze Schwäl £
gleich den übrigen fünf, mit einem dunklern Streits
in der Mitte gezeichnet, was den ausdrücklichen Wor- €
ten des Textes widerspricht. E
Ich wende mich jetzt zu den Petersburger Wahr
nehmungen. Die Beobachtungen, welche Heinsi
angestellt hat über diesen Cometen mit einem vo
trefflichen Short'schen Spiegeltelescope, welches iha t
durch den Petersburger Kaufmann Wolf zur Vars
gung gestellt wurde, sind damals von der Abde:
veröffentlicht und gehören zu dem Besten, was Hex
die physische Beschaffenheit der Cometen vorhana”
ist. Der letzte Tag, an welchem Heinsius nach dtt
st
Cometen, der am Morgenhimmel verschwand,
schaute, war der 25. Febr. st. vet. Seine Wat:
ten: «Nachdem der bisher trübe gewesene Him
sich gestern Abends aufgeklärt hatte, s0 sahen # |
uns heute Morgen nicht lange nach 4 Uhr (also Min t
6 16^) nach dem Cometen um, an dessen Statt wir” |
der östlichen Gegend des Horizontes bei schon de i
merklicher Dämmerung ein Stück eines Modert":
mit häufig aufsteigenden kurzen Säulen erblickte» `
Folgendes ist der Wortlaut der Aufzeichnung? |
von de l'Isle. ge
La nuit du 6 au 7 Mars. p |
Les nuées m'avoient empéché d'observer e j
mète au matin depuis le 29 février, mais le ^ *. |
été découvert pour la première fois le SCH)
à l'heure et à l'endroit du lever de là Comite een |
Soleil; c'est-à-dire à l'Est j'ay regardé depuis E
Ss
$5
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
86
jusqu'à 5 h. passées si je ne verrois pas la Comète
ce que je n'ay pu faire, mais j'ay remarqué plusieurs
traits lumineux en forme de queues de Comète qui
se levoient au dessus de l'horison, dirigés de la bouche
du Pegase et du petit Cheval vers le Cigne, ils avoient
15 à 20 degrez de longueur. Je n'y ay pas fait grande
attention ce matin (du 6) à cause de quelques nuées
qui étaient aux environs: ayant regardé ces appa-
rences comme des Phaenoménes aériens composant
une espèce d'aurore Boreale; mais aujourd' huy 7
mars au matin ces apparences s'étant encore fait voir
par un ciel fort serein j'ay cru y devoir faire plus d'at-
tention; j'en ay remarqué 4: dont la plus marquée s'est
conservée pendant plus d'une heure dans la situation
marquée sur la figure à l'égard de l'étoile e de la
bouche du Pegase et la petite étoile e informe qui est
entre là bouche de Pegase et l'aisle meridionale du
Cigne. Ce Phaenoméne a duré depuis 4 heures que
je me suis levé et que j'ay commencé à l'apercevoir
jusqu'à ce que la grande lumière. du crepuscule la
fait disparoitre un peu aprés 5 heures du matin.
Le 8 Mars.
Le ciel couvert ce matin m'a empéché de verifier
la réalité du Phaenoméne observé les deux matins
precedents à l’occasion de la Cométe.
Le 9 Mars.
Le ciel a encore été couvert ce matin ce qui m'a
empêché d'examiner si le Phaenomène observé le 6
*t 7 au matin subsiste encore.
Le 18 Mars. |
Au matin. Le ciel ayant été fort serein toute cette
aut; jay regardé à différents temps depuis trois
ures du matin jusqu'au lever du © si je n'aperce-
"rols pas le Phaenoméne que j'avois remarqué le 6
wël de ce mois, mais je n'ay pü rien voir aujourdhuy
qui y ait du rapport, ni teste de Cométe.
Auf der dieser Notiz beigegebenen Tafel habe ich
à Figur, auf welche de l'Isle sich bezieht, so getreu
möglich, wiedergegeben. Die von ihm wahrgenom-
u Streifen sind dieihrer Lüngenaxe parallel schraf-
= während die Schraffirung bei den Chéseaux-
senkrecht zur Längenaxe steht. Ich muss aber
M. Mtem machen, dass de l'Isle nur die
€ € Pegasi und 9 Flamst. Peg. (sein Stern
seh
d
» So dass also nur die Einzeichnung für |
den westlichsten Strahl Anspruch auf einige Genauig-
keit hat.
Die Lage des Horizontes für St. Petersburg ist
durch die ausgezogene, die für Lausanne gültige, durch
die punktirte Linie für 47, Uhr Morgens angegeben.
Wie man sieht, fallen zwei der von Chéseaux und
de l'Isle beobachteten Streifen zusammen. Dass die
Coincidenz nicht schärfer ist, findet seine Erklärung
in dem Umstande, dass de l'Isle am 6., Chéseaux
aber am 7. und 8. März beobachtete und dass ferner,
wie zur Genüge aus dem vorstehenden Wortlaute der
Beobachtungen erhellt, die Schätzung der Lage dieser
Streifen nur sehr beiläufig gemacht ist.
Die beiden óstlicheren Petersburger Streifen finden
sich bei Chéseaux nicht; sie waren für ihn dem Ho-
rizonte sehr nahe und der östlichste beim Anfange
seiner Beobachtungen noch nicht aufgegangen.
Aus analogem Grunde hat del'Isle die beiden west-
lichsten Lausanner nicht wahrnehmen können. Die
anderen beiden aber hätte er wohl kaum übersehen
können, falls sie am 6. März schon so auffällig waren,
wie in den beiden folgenden Nächten, es sei denn,
dass seine Aussicht nach Südost beschränkt gewesen
wäre.
Die Uebereinstimmung der Lage der von den bei-
den so weit von einander entfernten Beobachtern
bemerkten Streifen beweist, in Verbindung mit den
übrigen Umständen, die kosmische Natur des Phaeno-
mens, und die in neuerer Zeit bemerkten wunderbaren
Schichtungen und Zerspaltungen im oberen Theile des
Schweifes vom Donati’schen Cometen, zusammenge-
halten mit der Lage der Streifen zum Kopfe des Co-
meten von 1744 (vergl. die Tafel, wo die Lage des
Kopfes unterhalb der Sternkarte angegeben ist), lässt
keinen Zweifel übrig, dass damals wirklich der in viele
einzelne Bündel getrennte Schweif des Cometen beob-
achtet ist. Der Schweif ist also zufolge der Beobach-
tung in Lausanne und Petersburg mindestens ein acht-
facher gewesen und hat die bislang unerhörte Breite
von 25° bis 30° am obern Ende gehabt.
Was die Heinsius'sche Beobachtung anbetrifft, so
wird von «häufig aufsteigenden kurzen Säulen» ge-
sprochen und die Erscheinung für ein Nordlicht «in
der östlichen Gegend» des Himmels gehalten. Weder
Chéseaux noch de l'Isle, deren letzterer mit Nord-
lichterscheinungen sehr vertraut war, nennen aber das
S 6*
s7
Bulletin de l’Académie Impériale
Phänomen ein Nordlicht und doch wandten beide der
Erscheinung, wie ihre Berichte zeigen, eine weit
grössere Anfnierksamiteit zu, als Heinsius, der sie
nur an einem Tage «bei Ka? etwas merklicher Däm-
merung» sah.. Ich muss dabei noch erinnern, dass
vorüberziehende Dünste der Luft, welche dem Auge
gänzlich entgehen, nicht selten bei Cometenschweifen
ein nordlichtartiges Verlängern und Verkürzen her-
vorbringen, worüber z. B. die Wahrnehmungeu von
Schröter verglichen werden können.
Es dürfte nicht unangemessen sein, bei dieser Ge-
legenheit im Auszuge das Wesentlichste desjenigen
mitzutheilen, was de l'Isle über die Grösse und das
Aussehen des Cometen, sowie über die Entwickelung
seines Schweifes notirt hat.
Le 16 Janvier.
J'ay commencé à apercevoir ce soir une Cométe as-
sez considérable et située assez exactement dans la ligne
de l'extremité de l'aisle du Pegase, nommé Algenib et
de la teste d’Andromède. Ces deux étoiles sont de la
deuxiéme grandeur, quoyque celle d'Androméde soit
un peu plus lumineuse. La Comete paroissoit aussi
à peu prés de la méme lumiére, mais plus grosse à
cause de sa Chevelure, qui étoit assez lumineuse de
méme qu'une partie de sa queue, la plus voisine de la
tête ... La direction de la queue de la Cométe étoit
presque parallèle à celle des étoiles y # (marquez sur
les Cartes de Mr. Flamsted). La Longueur étoit égale
à la distance y u des mêmes étoiles, qui est de deux
degrés 22' environ.
Die hinzugefügte Skizze giebt die Nuit des
Schweifes gegen die Verbindungslinie beider Sterne
159, Südost, also Positionswinkel des Schweifes
25:49;
Le 24 Janvier.
. Elle m'a paru plus lumineuse que l'extremité
de l'aisle du Pegase et méme que la téte d'Andro-
mède de sorte qu'elle approchoit de la lumière d'une
étoile de la première grandeur, mais elle était plus
large.
Le 4 Févr.
Au soir.... Elle était encore plus grosse que les
étoiles de première grandeur, mais pas si éclatante
que Sirius et la Lyre. La queue étoit dirigée aux 2
Etoiles ò, e d'Androméde, elle se terminoit en pointe,
environ vers un point oü se formoit l'angle droit d'un
triangle isocéle rectangle fait aux étoiles de la tête `
(a) d'Andromède et d du Pegase, de sorte qu'elle
était longue de 10 Degrez.
Positionswinkel des Schweifes hiernach 50°,
Le 5 Févr.
Par le reste des observations faites ce soir sur la
Cométe l'on a remarqué que la queue étoit dirigée de
méme qu'hier aux deux étoiles ò et e d'Androméde et
qu'elle s'étendoit presque jusqu'à ces étoiles de sorte
qu'elle avait environ 17° de longueur, mais il étoit
bien difficile de juger de son terme à cause qu'à son
extremité sa lumière étoit extrémement foible. Je ge
lavois hier estimé que 10^, mais je crois que cela
vient de ce que le ciel étoit aujourdhuy plus serein
qu'hier.
Le 6 Févr.
La queue de la Cométe paroissoit de méme lon-
gueur qu'hier dirigée aux mêmes étoiles à et e d'An
droméde.
Le 7 Févr.
La queue étoit dirigée entre la tête et l'étoile à `
d'Androméde et elle s'étendoit jusqu'à l'étoile e d'An- `
droméde (ou vis à vis) de sorte qu'elle étoit longum 5
d'environ 177,°. 3
Hieraus Positionswinkel des Schweifes 46°, u
sicher.
Le 9 Févr. j
La Cométe paroissoit àla vue un peu diminuée D
ce qu’elle étoit les deux jours précedents et la queue
ne s'étendoit que d'un degré environ au delà de hc ;
tête d'Androméde de sorte que cette queue n'avoit
qu'environ .... degrez de longueur.
Die — der Grade, welche diese Schätzung für
die Schweiflänge ergiebt, ist nicht angegeben; ich
finde 15°, so dass also eine bedeutende Verminderung
gegen die früheren Tage eingetreten ist, wie man
folge des Textes vermuthen sollte. ;
Le 10 Févr E
. nous l'avons trouvé aujourd'hui encore un pe -
ER elle paroissoit à la vue simple presque
à la luisante de la Lyre et à Rigel, mais moindre qi
Sirius en éclat. Sa queue qui étoit fort large à
extremité paroissoit se terminer en 2 pointes fort ite
égales en longueur. La plus septentrionale et la pus |
longue s'étendoit au delà de l'Etoile d vers la tes
d'Androméde et paroissoit aller un peu au delà A
SE
——
d \
MU
E SE
= PY d Le Wa Kei 2%
Ba a Eer SE
E o
des Sciences de Saint- Petersbourg.
90
l'Etoile 85 Flamst. de sorte qu’elle avoit au plus 12°
de longueur. L’autre extremité de cette queue étoit
beaucoup plus petite, sçavoir d'environ 7 degrez ne
s'étendant que jusqu'à l'étoile v. La largeur de la
queue vis à vis de cette étoile était d'environ 17/9.
Le 11 Févr.
Ce soir la Cométe paroissoit encore fort brillante
et méme plus que la veille; elle égaloit et méme sur-
passoit la Luisante de la Lyre, mais elle étoit inférieure
à Sirius en vivacité de lumiére, quoique beaucoup
plus grosse. La queue était aussi beaucoup plus lon-
gne qu'hier et assez large. Sa pointe septentrionale
s'étendoit à la vue simple (quoique trés foiblement)
presque vis-à-vis de e d'Androméde de sorte qu'elle
avoit encore 17'/, de longueur; je dis vis à vis parce
que cette queue n'étoit plus dirigée à ces étoiles
comme ei devant; mais beaucoup plus prés de la teste
d'Androméde, qu'elle rasoit par son bord septen-
trional.
Positionswinkel des làngeren Schweifes 40°.
ce 18 Févr.
La queue de la Cométe paroissoit exactement diri-
gée à la teste d'Androméde au moins dans sa plus
longue direction, l'Extremité paroissoit à la vue sim-
ple s'etendre jusques vis à vis l'Etoile e d'Androméde
et par consequence elle avoit environ .... dans sa
plus grande longueur. La Lumiére de la Cométe pa-
roissoit à la vue simple entre celle de la Luisante de
la Lyre et Sirius.
Positionswinkel des Schweifes 43°.
Le 15 Févr.
Pour ce qui est de la queue elle étoit dirigée un
peu à l’occident de la teste d'Androméde et la pas-
Soit un peu, de sorte qu'elle avoit environ 17 à 18
degrez de longueur. La lumière de la Comète étoit
plus grande que celle de la Luisante de la Lyre, mais
moindre que de Sirius.
Le 18 Févr.
ve Bei de la Cométe paroissoit s'etendre par
We. "ës Jusqu'aux petites étoiles c, o, c qui
int sa e bras gauche d'Androméde de sorte qu'elle
sess "em ce sens là prés de 26 Degrez de Longueur;
N "mg étoit moins longue à gauche ou du
ER en où elle paroissoit se courber à peu
, Je on voit dans la figure ci contre.
e Figur I der beigefügten Tafel enthält eine Co-
pie der Zeichnung, auf welche sich de l'Isle bezieht.
Die Sternpositionen sind aus Argelanders Uranome-
tria nova eingetragen und der Ort des Cometenkopfes
nach einer Beobachtung desselben Tages von Maraldi
angenommen. Auf dem Originale ist der Cometen-
kopf ziemlich fehlerhaft eingetragen, wodurch, in Ver-
bindung mit dem Umstande, dass die Zeichnung so
wenig Sterne enthält, das Gewicht der Figur sich be-
deutend verringert.
Le 20 Fevr.
J’ay oublié de marquer que les jours précédents la
teste de la comète paroissoit aux lunettes entourée
d’un espace marqué sur la figure ci jointe (vergl.
Fig. II der Tafel) par les lettres A, B, C, lequel étoit
plus claire que le reste de la queue ce qui approche
assez de la figure que Mr. de la Hyre a observé dans
la Comète de 1682.
Le 28 Févr.
J’oubliois de dire que dans le temps du passage de
la Comète par les verticaux susdits la queue de la
Comète étoit presque verticale.
Die Beobachtungen an den Verticalen gehen von
1643" bis 16450" Sternz. Der Ort des Cometen
für das Mittel dieser Zeiten (Febr. 27 18^17" Mtl.
Zt. Pet.) ist ag = 22^14" 5 % = + 0? 49", wo-
nach also der Positionswinkel des Schweifes (ohne
Zweifel in dem Kerne sehr nahe gelegenen Punkten)
330? betragen hat. Diese Beobachtung bestátigt eine
Schützung der Anfangsrichtung des Schweifes, welche
Chéseaux an jenem Tage gemacht hat, vollkommen.
Die von jenem Astronomen bestimmte Endrichtung
des Schweifes ist aber 25?, so dass eine ungeheuere
Rückbeugung des Schweifes sich ergiebt.
Variétés arméniennes, par M. Brosset. (Lu le 20
novembre 1863.)
(Avec une planche.)
Je me propose de réunir dans là présente note des
renseignements relatifs à divers objets, tels que: 1° la
cryptographie arménienne; 2° quelques inscriptions;
3? l'examen et la critique de deux bons ouvrages dont
s'est enrichie, cette année, la littérature arménienne;
a) Ouvre mcropiu aunacrin CaccaHmAoBb, TO cBbab-
ning, COOÖINEHHLIMb APMAHCKEMN NUCATCIAMH; COCTA-
Bulletin de l'Académie Impériale
eus K. Hareantagt., histoire synoptique des Sassa- | Bosopawpo. Kanra 3Ta mpmHaAJezuTP CTAPOMY Moeny
nides, d’après les matériaux arméniens; b) Le Tré-
sor des chartes d'Arménie, ou Cartulaire de la chan-
cellerie royale des Roupéniens..., par V. Langlois.
8 1.
Les Géorgiens avaient autrefois leur cryptogra-
phie, consistant, pour la plupart, autant que nous la
connaissons, en des renversements d'alphabets, dont
nous possédons jusqu'à 19 spécimens, copiés dans
un manuscrit de la Bibl. Imp. de Paris; c'étaient en
outre des signes de convention, dont une seule série
compléte nous est connue, avec la clé, ainsi que
quelques mots, inscrits en marge d'un ancien Nomo-
canon géorgien manuscrit, du Musée asiatique, et du
manuscrit des Annales, appartenant au Musée Rou-
miantzof. De ces dernières notes, composées seule-
ment de quelques mots, je n'ai pu rien tirer de sa-
tisfaisant.
Quant aux Arméniens, différents journaux, de Con-
stantinople et de Venise, ont publié, dans ces der-
nières années, un spécimen d'écriture secrète, que
j'ai reproduit dans les Ruines d'Ani p. 39, avec le
déchiffrement, par deux vartabieds; ce travail, s’il
n'est pas entièrement exact, a du moins exigé de la |
part des auteurs une énorme dépense d'esprit divi-
natoire, et de la Table des lettres numérales-armé-
niennes, Op. cit., p. 40, avec les diverses valeurs qui
peuvent leur étre attribuées, il résulte la possibilité
de combinaisons curieuses, qui paraissent avoir eu
cours autrefois en Arménie. Je rappelle également
ici au lecteur les énigmes chronologiques et litté-
, raires citées dans mon Voyage archéologique, 3*
Rapp., p. 31,56. M. Patcanian croit avoir découvert
la clé du second, qui serait HS
C'est là un des motifs qui m'ont engagé à donner
quelque attention à un nouveau spécimen d'écriture
secréte arménienne, remontant, comme celui d'Ani,
au AT" s., mais infiniment plus compliqué. A ce sujet
l'honorable M. Berger, employé dans la Transcauca-
sie, à qui nous devons la présente communication,
exprime comme il suit, dans une lettre du 5 juillet,
M. l'académicien Schiefner:
«Ha npomermeä gebak mub nonag0cb BB pykui Apes-
nee Esanreuie, mucauHoe B» 1561 roay mbkiuws 3a-
xapiews m3» Dama, Ha APMAHCKOME s3bIKb, nogepkoMb
g?
d,
auakowny Daer DllupwasagisHy, CR KOTOPHIME g
Bcrpbrmgces eme Bb 1853 rogy B» Terepant. Uap-
Ma3AHİAND OITO WAID BB Ilepciu u npioopturp ynows-
uyroe Egauredie, pp qucxB Apyraxt pykonmceii, po
Bpema myremecrBis CB0ero Hat, Menarann pt Xamaya.
«IlepeuuerbmBas Esanrenie A HATKHYICA BD HEMD Ha
kakie TO OcOoÓeHHble 3HAKH, CB NOACTPOYRBIMH APMAH-
ckumnu caopamn. Iloago6Hbix» 3HAKOBB MH nurab me
npuxoauaocs Berpbuarb. 3abmmie o6pasoBaHHble Ap-
MAHE, Mexz1y Koropprui IIupwasamismp 3AHNMACT 010
got, nepBbIXb Mert, CTAPAINCE Menn YOPBAUTE, YTO
JTO YAuUHCKie 3HAKH, M MTO OHH COXDAHHJHCb TOJbKO BB
Apesuuxs apuasckux? PYKonncaxt. He pbmanch onpe-
EINTE CreneHb CnpaBeJjJHBOCTH TAKHX'b HOK332Hiil, A
rm? ge wembe cnbmy 3aasıtp Bamp o nacronmews
COMHUMENHOMS Omupwmw MOEMB KOTOPOE, ÖbITb M0-
ETD, OKAKETCA HPOCTOI CHIOTe3010.
«YHOMSHyTbIe 3HAKU OKà3àJHCb Bb Tpexb pası-
HBIXb MbcTaxp Esanrenia. JL Ooubmeit BÉpHOCTE, A
Donan, cusrie nxb axbmueñ eororpaeim npu Tene-
paubHows INTAOË KABKA3CKOË apwim. CHUMEN yb
KaKB HeJb34 Jyune. Tloacrpoyusıa aPMAHCKIA Op)
qHTAIOTC4 Get, BCAKATO 3aTpyAHeHis.»
Quand M. Schiefner m'eut communiqué la lettre
ci-dessus et les fac-similés qu'elle renfermait, je me
trouvai fort embarrassé. Ne croyant pas à une écri-
ture propre à la province arménienne d'Outi et voyant
dans les trois fac-similés des signes bizarres, avec ul
grand nombre de variantes, je désespérais d'obtenir
des résultats de quelque valeur. Je montrai cepen-
ant les photographies à M. Patcanian, professeur
d'arménien à l'Université de S.-Pétersbourg, qui, avec
une incroyable vivacité et netteté de conception, par
vint en une demi-heure à se rendre maître des mé
thodes eryptographiques imaginées par l'écrivain.
Les piéces du procés sont sous les yeux du lec-
teur, dans la Planche ci-jointe, sous les lettres A, B,
C, avec le déchiffrement interlinéaire, probablement
contemporain, les lignes du chiffre ou caractère SÉ `
cret étant seules numérotées.
Comme les mots sont séparés par des zéros, Ol
faciles à isoler mentalement, puisqu'ils sont écrits `
dans des systèmes particuliers, je commence, $35
autre préambule. itd
"TS
—
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
94
ass
1" ligne, 1" mot, qu.pwpuy Zakarie; en chiffres,
6, 1, 9000, 1,5000, 1,300.
A. Les sept lettres de ce nom sont représentées
par les chiffres arabes, plus ou moins défigurés, qui
en expriment la valeur numérale: 6, 1, 9 avec trois
points, 1, 5 avec trois points, 1, 3 avec deux points.
En effet 4 vaut 6, w vaut 1, .p 9000, p 5000, y 300;
d’où nous concluons que les trois points sur un chiffre
arabe signifient 1000, les deux points 100; plus bas
nous verrons que le simple point est l'indicateur des
dixaines. Cf. Journ. as. VI^ ser. t. I, p. 245, 509.
B, C. Le méme systéme de points est employé
dans les deux autres photographies, mais sur des
chiffres d'autres formes, dont les analogues n'ont pas
été retrouvés.
9° mot, génge, moi l'écrivain; en chiffres: 3, 50,
600, 90, 2000.
A. Les cinq lettres sont représentées par des
chiffres arabes de formes semblables à celles des fi-
gures B, C, du mot précédent: 3, 5 avec un point,
6 avec deux points, 9 (par erreur) sans le point qui
marque les dixaines, car 4 vaut 90; 2 avec trois
points.
B, C; 3, 5 avec un point, 6 arabe avec deux points,
9 avec un point, 2 avec trois points.
2° ligne, 3° et 4° mots, Jh pkpwt unanimement,
continuellement; en chiffres, 200, 20, 2, 5, 5000, 1,
400, sept lettres, représentées par des chiffres arabes.
A. 2 avec deux points, 2 avec un point, 2, 5, 5
avec deux points, au lieu de trois, 1, 4 avec deux
points.
B. Le chiffre de la lettre %, laquelle vaüt 400,
porte à tort trois points au lieu de deux seulement,
comme on le voit en A.
C. La méme lettre ? est figurée par 4 3,au lieu de
t 4, avec deux points.
3° ligne, 5° mot; ykekuy souviens-toi; en chiffres,
300, 20, 500, 5, 1, 300. Ces lettres sont représen-
tées d’après un nouveau systéme.
A, B, C, trois lignes perpendiculaires, avec deux
a 300; deux lignes et un point, 20; trois lignes
br s 500; une ligne et quatre points, 5;
ep "im l; trois lignes et deux points, 300. Dans
"Th eh etdans les suivants le signe numéral compte
make une unité de l’espèce voulue, chaque point
une unité de la même catégorie.
6° mot, L et; en chiffres, 5, 7000.
A. op, deux lettres numérales arméniennes, 3, 2,
soit 5, valeur de k; £5, 7000, valeur de x.
B, C. La lettre w 1, avec quatre points, soit 5;
1000 et six points, 7000.
A partir de ce mot, nous aurons deux rédactions
différentes du texte chiffré.
4° ligne, 7° mot 4»-, toi; en chiffres, 4, 600, 7000.
A. pg, 2 et 2, 4; qX, 600; Ee, 7000.
8°, 9°, et 10° mots, "basket jbühu b, tu seras men-
tionné par.
Ici commence un 4^ systéme de transcription, oü
chaque lettre est remplacée par une de celles qui la
suit ou la précède, dans l'ordre de l’alphabet.
X et deux points, soit y, qui vient la seconde après 2.
d, soit Kb qui vient immédiatement après.
X et quatre points, soit >, la 5° lettre aprés celle-là.
w et quatre points, soit & la 4° » » » »
w, au naturel, à ce qu'il semble, car l'écrivain a
hésité.
d et deux points, soit |, la 2° lettre après à.
f pour , , qui suit immédiatement, dans l'alphabet.
L pour h, qui le précède immédiatement.
J pour 2, » » » »
L pour b. » X » »
d pour u, » » » D
L pour b, » »
Ce système mélangé et inconséquent est le moins
‘rationnel et offre le plus de difficultés au déchiffre-
ment. S
6° ligne, 11° mot, p5 abrégé, par le Christ; en
chiffres, 9000, 2000, 7.
A. Quatre ronds, valant 1000, suivis de huit points,
soit 9000.
Quatre ronds, valant 1000, suivis d’un point, 2000.
Un rond, valant une unité, avec six points, 7.
Autre rédaction, à partir du 6° mot, ainsi qu'il a
été dit précédemment.
B, C. Après le 6° mot, wë, Dieu; deux lettres, fi-
gurées par = au naturel, à et quatre points, dont un
superflu, soit la 3° lettre aprés 2, qui est à.
8° et 9° mots, q.pFq ybekuy (sic), se souviendra
de toi; en chiffres, 6, 9000, 5, 6, 300, 20, 500, 5,
1, 300.
B. œ et cinq points, 6, 4.
a. et huit points, 9000, p.
95
Bulletin de l'Académie Impériale 96
piste, et Dieu se souviendra de toi — lors de sa se-
conde venue; amen.»
C. La même chose, jusqu'à —
w et cinq points, au lieu de quatre, 5, 5.
m et cinq points, 6, 4:
44, 300, y.
dd, 20. Cette phrase est notée: |
EX, 500, 2- 1. En chiffres arabes, plus ou moins exacts, choisis
bg, 5, b. d'aprés la valeur numérale de la lettre arménienne
in, qu'ils représentent, et exprimant les dixaines et les
43, 300, J- mille, par un, deux, trois points placés en-dessus,
C. 4, 6, t 9. En chiffres arabes, d'une forme tout-à-fait in-
P#, 9000, .p. connue, ponctués comme i.d.
p, 5, b. 3. En signes de fantaisie, avec points latéraux.
qu 6, 4: 4. En lettres arméniennes: non ponctuées, expri-
$ pour y, qui le précède immédiatement dans | mant la valeur numérale de la lettre à représenter; .
Valphabet. ponctuées, pour indiquer & combien de places au-
dessus du chiffre il faut chercher celle qui est néces-
saire.
5. En lettres mises l’une pour l’autre.
6. En signes de fantaisie, ponctués, un rond repré-
sentant les unités, .... quatre ronds les mille.
7. Enfin par un rond avec un appendice pour les
unités, deux appendices pour les dixaines, trois pour -
les centaines, 4 pour les mille, et ponctués comme |
N° 4. )
La trés légére valeur intrinséque des pièces que
je viens d'analyser, n’a rien à voir dans la phrase gt: |
ménienne chiffrée par notre Zakara ni dans la puérile `
complication des énigmes de son invention; mais l'im- -
portance réelle est dans la date 1060, combinée avet `
l'emploi de chiffres arabes, de formes primitives, dont
quelques-unes peu ou point connues. SEN
Les plus récentes recherches sur les chiffres ara
bes ont démontré que les formes en ont passé de
l'Inde chez les néoplatoniciens d' Alexandrie, aux Dé.
d pour h, qui le suit.
» pour e, qui le précède.
q pour E, CAM »
ppoure, » » »
$poury, » » »
6° ligne, 10°, 11° et 12° mots, $ dpru wiquul pour
la seconde fois. !
B. Chaque lettre est représentée par celle qui la
suit ou la précède immédiatement dans l’ordre de
l'alphabet: (34 54 ey re? Ce système mêlé et in-
conséquent est fort sujet à erreur.
Ici la pièce B seule se termine par une 7° ligne,
formée par un autre système de figures de fantaisie:
` Je mot guter seh, la venue (en chiffres, 3, 1, 50, 600,
7000, 2000, 4000, 400), suivi d’amen, est rendu par:
un signe d'unité suivi de deux points, 3, 4.
même signe, seul, 1, w.
sigue de dixaine, avec deux points, 30, 4.
» «centaines, » cing » 600, =.
» » mille, » Six » 7000, x. miers siècles de notre ère; puis au VIII’ s., en 773,00
ee SS » un » . 2000, ». les Arabes et notamment chez les musulmans d'Espagne -
» Jia » trois » 4000, m. de qui Gerbert et Fibonacchi ont pu les apprendre,
» » centaine, » » » ..400,% X° et au XIII? s. Mais on ne trouve ces €
arabes, sur aucun monument musulman antérieur H
ut s., et la première monnaie connue, avec date
chiffrée, est d’un prince ortokide d’Amid, datée 6r
H.— 1218; v. Reinaud, Cabinet de Blacas,
E
La date, placée seulement en A, tout à la fin:
gpkgun b (ht PUES, ceci à été écrit en l’année
1060. Suivent les trois lettres qp , annulées par un
signe de convention, placé en-dessus.
En résumé, tout le texte arménien signifie:
A. «Souviens-toi assidüment de moi Zakara, le co-
piste, et tu seras en mémoire auprés du Christ. Ecrit
en 1060.»
B. «Souviens-toi assidüment de moi Zakara, le co-
Phakhr-ed-din, postérieur d'au moins 62 ans que
ov leg 000 596 000% h oo x ; ww i ui dh 9049 à. UN
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|
97 des Sciences de Saint- Pétersbourg.
98
ME
Cependant un fait a échappé aux savants qui s'oc-
cupent de ces matières, et dernièrement à M. Wöpke,
auteur d'un remarquable travail, inséré dans le Journ.
asiat. de Paris, VI^ sér., t. I, p.442.., 1863: ce sont trois
inscriptions géorgiennes, dont deux laissent encore
quelque doute, à Wéré et à Tswimoeth, soit 221 et
992 du cycle pascal, 1001, 1002 de J.-C.'), la der-
nière incontestable, sur la cathédrale de Kouthaïs,
l'an 223 du cycle, 1003 de J.-C.)
Ces trois inscriptions, qui prouvent d'une maniére
palpable que les Géorgiens ont fait usage des chiffres
arabes dès l'origine du XI^ s., sous le règne mémo-
rable de Bagrat III, ont été perdues de vue par les
érudits. Chez les Géorgiens la forme des chiffres dont
il s’agit approche fort de celle usitée dans l'Inde, 333,
comme le prouve le fac-similé de M. Dubois de Mont-
péreux, que j'ai vérifié moi-méme sur place.
Pour les chiffres employés dans notre Mit. armé-
nien, le copiste se rapproche plus de la forme euro-
péenne vulgaire; tels sont notamment le I, le 2, le
5,le 9; quelques-uns aussi, comme le 2, le 3, sont
arabo-indiens; un 5 a la forme népalaise;.un 9 est
dévanagari-népalais; le mille, rendu par quatre pe-
tits ronds rapprochés en carré, se retrouve dans le
tableau des anciennes formes indiennes, chez Prin-
sep, Indian antiquities, t. II, p. 72, PI. XL (v. la
Planche ci-jointe, lettre D).
Le point marquant les dixaines, les deux points
pour les centaines, les trois points pour les mille sont
Xn procédé usité dans les plus anciens Mts. arabes.
Üutre cela les musulmans ont leurs chiffres secrets,
nommés diwanis, coptes et syaks, mais dont les for-
mes n'ont rien de commun avec ceux dont nous par-
lons iei. Enfin, dans la série des apices numéraux
de Boèce, vivant au vr s., série tirée d'un Mit. du
XI e, de la Bibliothèque de Chartres, et dans le Ta-
u des plus anciennes formes des chiffres indiens
et arabes, on trouve de nombreuses analogies avec
les chifires employés par notre Zakara.
- Ainsi les spécimens de cryptographie et de chiffres
arabes connus en Arménie au XI° s. offrent un véri-
table intérêt, non-seulement comme curiosité paléo-
Sraphique, mais surtout comme nouveaux éléments
xiij ul LR
ull. histor.-philol. t. VI, p. 79, 167.
DB
mm PAc. VIe s. Se. Hist. et Pol. t. IV, p. 346, et PI. I,
Tome VII.
pour la solution du probléme de l'introduction des
chiffres indiens parmi les nations de l'Asie occiden-
tale et de l'Europe.
Les lecteurs attentifs, ceux surtout qui connaissent
la notation chronologique arménienne, trouveront
peut-étre que j'ai été trop hardi en prenant la date
1060 pour une date chrétienne, au lieu d'une année
du comput arménien, qui répondrait à 1611. A cela
je réponds que je n'ai pas vu le Mit. d'oà sont tirées
les photographies, objet de ce travail; que suivant
M. Berger lui- méme le Mit. serait de l'année 1561;
que d'ailleurs, si méme le Mit. n'est pas du XP s.,
mes remarques perdront de leur valeur seulement en
ce qui concerne l'usage des chiffres arabes en Armé-
nie à une époque reculée, mais la conservent tout
entiére à l'égard des formes de ces chiffres et du pro-
cédé de la ponctuation pour les élever à la puissance
décuple, centuple et millénaire.
Comme la question de l'introduction des chiffres.
arabes en Europe pourrait intéresser quelques lec-
teurs curieux, je joins ici l'indieation de plusieurs
sources, dont j'ai pris note depuis une vingtaine d'an-
nées.
Montfaucon, Paléographie grecque, p. 122, 132,
tableau des chiffres; Nouv. traité de diplomatique,
t. III, p. 511 — 537, sur les chiffres arabes et leurs
origines: on commence à s'en servir en 1549 sur les
monnaies de France; Richer, moine de S.-Rémy, his-
toire de Gerbert, à la fin du X* s., dans les Hist. Germ.
monumenta, de Pertz, 1839, t. III, p. 57 1; Renaud, Cabi-
net de Blacas, t. I, p. 87; Revue archéol. 13°a., 1856,
p. 509, 588, Recherches nouvelles sur notre systéme
de numération écrite, par T. H. Martin; Institut 1"
Pie., 1860, t. XXVIII, p. 244 suiv., sur la machine
à compter chinoise, sur l'abacus, sur les sources et
systémes de numératien, origine grecque et non in-
doue des chiffres..; Pihan, Exposé des signes de numé-
ration..., Paris, 1860; Revué germ.-francaise, 1862,
t. XX, p. 357, Travaux modernes, et particuliére-
ment d'Al de Humboldt, sur l'histoire de la numé-
ration; Magasin pittor. 1849, p. 142, 144, 191, en-
tretien sur l'origine des chiffres, tableau des apices
de Boèce et des chiffres arabes; Paléographie par N.
7
Bulletin de l’Académie Impériale
de Wailly, t. II, Pl. VII, chiffres arabes et apices;
Journal asiat., mai 1837, p. 471, sur les chiffres in-
diens en Géorgie; 1863, janvier — avril, Mémoire
sur la propogation des chiffres indiens, par M. Wöpke;
p. 442, 472, 527. Les chiffres indiens ont été trans-
mis aux néoplatoniciens, puis connus des Arabes vers
l'an 773, des Byzantins et des autres chrétiens en
Europe, au XIV* s.; Prinsep Indian antiquities, t. II,
p. 72, Tableau des formes indiennes des chiffres.
Über Baron Uslar’s neuere linguistische For-
schungen, von A. Schiefner. (Lu le 4 décem-
bre 1863.)
In meinem soeben erschienenen ausführlichen Be-
richt über des Generals Baron Peter v. Uslar Ab-
chasische Studien habe ich auf die Verdienstlichkeit und
Wichtigkeit der Bemühungen des eben so talentvollen
als unverdrossenen Sprachforschers aufmerksam ge-
macht und zugleich angedeutet, dass er sich wiederum
nach Daghestan begeben habe, um die daselbst nur
noch von geringen Völker Sprach
kennen zu lernen. Wie ein mir vor wenigen Tagen
zugekommener Brief aus Derbent vom 19. October
meldet, hat Baron Uslar den Sommer in Gunib, dem
Centralpunkte des mittleren Daghestan, zugebracht
und daselbst Gelegenheit gehabt mit Repräsentanten
der verschiedensten Stämme der Ma’arul, d. h. Berg-
bewohner, zu verkehren. Diesen Namen móchte Ba-
ron Uslar auf den Sprachencomplex angewandt wis-
sen, als dessen Repräsentanten wir das Awarische
kennen, welches an Ort und Stelle unter dem Namen
Hunderil mac bekannt ist. In den Sprachen von Dargo
heisst awar oder auar «unruhig, streitsüchtig», und es
scheint, dass daher der Name zu den Kumüken und
Tataren gelangt ist; die Kasikumüken nennen alle mit
den Awaren verwandte Stämme, d. h. alle Ma'arul,
mit dem noch unerklürten Namen Jarusa.
Baron Uslar hat die Zeit seines Aufenthalts be-
nutzt, um dasjenige, was ich in meinem Versuch über
das Awarische angefangen habe, weiter zu führen.
Er ist dabei zu dem Resultat gekommen, dass in mei-
nem Material manche Beimischung der Mundart der
Andalal anzutreffen ist, ausserdem aber manche laut-
liche Verschiedenheiten unaufgezeichnet geblieben
sind. Ich habe schon in dem obengenannten Bericht
S. IV mein Bedauern darüber ausgesprochen, dass
ich, während ich hieselbst mit den Awaren verkehrte,
noch nicht mit der höchst zweckmässigen Methode
Baron Uslar's, d. h. nicht das eigne Ohr, sondern das
der Eingeborenen als Kriterium zu benutzen, bekannt
war. So behauptet Baron Uslar jetzt ausser den von
mir aufgestellten beiden Zischlauten 6 und 6 noch
zwei zwischen denselben fallende gefunden zu haben,
so wie auch noch zwei andere zwischen e und c; von
den Mischlauten aus 1 und t konnte ich nur + und 1
unterscheiden, während Baron Uslar nun auch hier
noch zwei neue Nüancen aufgefunden hat. Wir wol-
len hoffen, dass Baron Uslar bald Zeit finden werde,
seine zu einer genaueren Erforschung dieser inte-
ressanten Sprache führenden Untersuchungen zu ver-
öffentlichen. Nachdem die Kälte Baron Uslar aus
dem Gebirge verscheucht hat, ist er gesonnen den
ganzen Winter in Derbent zuzubringen, um dorthin
geeignete Dolmetscher der einzelnen Sprachen kom-
men zu lassen. Zunächst will er sich dem Kasiku-
mükischen zuwenden, dann einige Wochen der Ar-
tschi-Sprache widmen, und sich endlich mit den Dargo-
Sprachen beschäftigen. Unter diesen steht das Ura-
klinsche als die reinste Mundart da, ausserdem nennt
man das Ususchinsche, das Aquscha oder Tsudachar-
sche, das Gebirgs-Kaitagsche und das Kubatschin-
sche, von dessen Hierhergehörigkeit Baron Uslar je-
doch nicht überzeugt ist. Im südlichen Daghestan
herrschen die Kürä-Sprachen, und wie man versichert,
sollen die Sprachen des Kubinschen Kreises ebenda-
hin gehören, namentlich das Budug, Chinalug u.s.w.
Seinem Briefe vom 19ten October hat Baron Us-
lar einige Notizen über das Dorf Artschi und die
Sprache seiner Bewohner beigefügt, welche ich, da
man bisher ausserhalb Daghestans davon gar nichts
gewusst hat, den Freunden der kaukasischen For-
schung nicht vorenthalten will. |
«Im Kasikumükschen Bezirk, etwa 30 Werst süd-
westlich von Kumuch, liegt das Dorf Artschi, dessen
Bewohner eine den Nachbarn unverständliche Sprache
haben. Ich theile hier einige Aufzeichnungen mit,
welche ich im Laufe eines Morgens, den ich mit den
Bewohnern von Artschi zubrachte, gemacht habe».
«Es sind diese Bewohner eifrige Muselmanen;
durch ihre Lebensweise, ihre Kleidung, Sitten si
sie durchaus nicht von den ihnen benachbarten Ka-
101 des Sciences de Sainí- Pétersbourg.
nen
Lymüken zu unterscheiden, treten aber nie in ver-
wandtschaftliche Beziehungen zu letzteren so wenig
wie zu den Ma’arul. Es soll im Ganzen nur einmal
eine solche Ehe vorgekommen sein und diese einen
ungeheuren Anstossin Artschi verursacht haben. Diese
Isolirung trägt zur Erhaltung der Artschi-Sprache
bei. Über ihren Ursprung wissen die Artschi-Bewoh-
ner nichts, sind aber stolz auf ihre Isolirung, und be-
haupten, dass ihre Sprache nie die Gränzen ihres
Dorfes überschritten habe. Über den Ursprung der
Sprache haben sie eine sonderbare Sage. Als Gott
die Völker und Sprachen schuf, schuf er weit weni-
ger Sprachen als Völker, so dass mehrere Völker zu-
sammen nur eine Sprache erhielten, alle aber sagten
sich los von der allerschwersten Sprache, welche dem
kleinsten Volke auf Erden, den Bewohnern von Ar-
tschi, zu Theil wurde».
«Diejenigen Individuen, mit welchen ich bekannt
wurde, waren grossen Wuchses, sehr ansehnlich, blond,
mit Adlernasen und länglichen Gesichtern. Sie schie-
nen unter sich Familienähnlichkeit zu haben, was sich
leicht durch ihre Zurückgezogenheit von den Nach-
barn erklären lässt. Die Zahl der Bewohner beider- |
lei Geschlechts beläuft sich auf 500 Seelen; übri-
gens sind hierüber noch genauere Nachrichten ein-
zuholen».
«Es versteht sich von selbst, dass ich kein einiger-
maassen genügendes Bild von den Lautverhältnissen
der Sprache geben kann. Wie es mir vorkommt, nä-
hert sie sich sehr den Ma’arul-Sprachen, oder gehört
vielleicht zu denselben. Man hört mehrere k-Laute,
so auch verschiedene t, é, c u. s. w. Da ich meinem
eigenen Ohr nicht traue, habe ich diese Nüancen aufs
Gerathewohl ausgedrückt, später hoffe ich darüber in’s
Reine zu kommen».
«dia, Vater, bua, Mutter, lo, Sohn, tenetur-lo, Toch-
Ier (wohl — Weibchen-Sohn), noq, Haus, nos, Pferd,
usdu, Bruder, dosdur, Schwester, cahan, Baum».
«Die Declination scheint nach den beifolgenden
Beispielen sehr mannigfaltig zu sein:
Singular.
Nom. A Zare Schwesterdia, Vaterbua Mutter
Ablat. us dosmi iamu — buamu
Dat. nd dosmis dias buas
Gen. usmun dosmin dian buan
Loc. usmudix dosmidix diadix buadix
-=
102
Plural.
Nom. osob doérul od. dosow diattu buattu
Ablat. osobcai dosruléai diattai buattai
Dat. o$obées dosrulées diattes — buattes
Gen. osobéen dosruléen diatten buatten
Loc. osobéedix dosruléedix diattedix buattedix
e
Sing. Plur. Sing. Plur.
Nom. nos Pferd nosor cahan Baum eahanmur
Ablat. nesi no$oréai cahani cahanmuréai
Dat. nesis no$orées cahanis cahanmurées
Genit. ne$in no$oréen cahanin cahanmuréen
Loc. nesidix no$oréedix cahanidix cahanmuréedix»
«Man unterscheidet vier Geschlechter oder Katego-
rien: 1) das Masculinum vernünftiger Wesen; 2) das
Femininum vernünftiger Wesen; 3) belebte aber un-
vernünftige, 4) leblose Gegenstände, z. B. dia ui der
Vater ist, bua di die Mutter ist, nos bi das Pferd ist,
cahan i der Baum ist; im Plural ist bi für vernünf-
tige Wesen, i für unvernünftige und leblose; z. B.
diattu bi die Väter sind, buattu bi die Mütter sind, no-
$or i die Pferde sind, cahanmur i die Bäume sind».
«Die Adjective verändern ihre Endungen nach dem
Geschlecht der Substantive, erleiden aber keine De-
clination: z. B. dia ui haibattu, der Vater ist gut; bua
di haibattu, die Mutter ist gut; nos bi haibattub, das Pferd
ist gut; cahan i haibattui(d), der Baum ist gut; diattu bi
haibattib, die Väter sind gut; buattu bi haibattib, die Müt-
ter sind gut; nosor i haibattib, die Pferde sind gut; ca-
hanmur i haibattib, die Bäume sind gut; dozuu usdu, der
grosse Bruder; dazysdib osob, die grossen Brüder; do-
zur dosdur, die grosse Schwester; dazysdib dosrul, die
grossen Schwestern; dazub nos, das grosse Pferd; da-
zysdib nosor, die grossen Pferde; dozui(d) cahan, der
grosse Baum; dazysdib cahanmur, die grossen Bäume.
Der Genitiv lautet dozuu usmun, des grossen Bruders
u. 8. W.»
«Die Personalpronomina sind:
Nom. zonich un du tau er iorsie*) nen wir zuenihr tebsie
Ablat.zaris un iaumu tormi nen uen teimai
Dat. ez uas iaumusiormis el gei taimes
Gen. is uit iaumuntormin olo uis iaimen
Loc. zadix uadix taumu-tormidix ladix — £oadix taime-
dix »
dix
+) Für belebte unvernünfüge Wesen tob, für leblose Gegeu-
T
Bulletin de l'Académie Impériale
«Possessivpronomina bildet man, indem man vor den
Genitiv des Personalpronomens den Geschlechtscha-
rakter treten lässt: uis lo, mein Sohn; dis teneturlo,
meine Tochter; bis nos, mein Pferd; is cahan, mein |
Baum; bis lobur, meine Söhne; bis tenedib lobur, meine
Töchter; is nosor, meine Pferde; is cahanmur, meine
Bäume; aber im Rlural lawu dia, unser Vater; uis la-
han teneturlo, meines Sohnes Tochter; dis tenetur lahan
lo, meiner Tochter Sohn; uis dian noq, meines Vaters
Haus; uit dian noq, deines Vaters Haus».
«Die Zahlen haben entfernte Verwandtschaft mit
den Ma'arulschen, werden aber sehr unregelmässig
gebildet. Gewöhnlich haben die Cardinalzahlen die
Endung tu, welche aber beim Zählen fortfällt. Nach-
stehende Liste dürfte nicht ganz ohne Fehler sein,
da ich nicht Zeit genug hatte, die richtige Ausspra-
che zu ermitteln.
1 os, 2 Kue (Kuelu), 3 tew (tewetu, tibatu), 4 ewq (eb-
qatu), 5 ho (hueitu), 6 dit (diitatu), 7 uik (uiktatu), 8 mege
(meqleilu), 9 ué (uéatu), 10 uie (uicatu), 11 mocor seitu,
12 mocor Kuelu, 20 gailu, 21 qottor seitu, 30 tibiitu, 40
bugiitu, 50 bubiilu, 60 ditiitu, 70 Kuitu, 80 tiimiitu, 90
çuiitu, 100 besattu, 1000 izarattu».
«Vom Zeitwort sein konnte ich den Infinitiv nicht
ermitteln.
Praes. 1 zon ui ich (der Mann) bin ; zon di ich (die Frau)bin
unuidu » » bistundi du » » bist
iauuier » » jet tordi » » ist
iob bi, tot i
dia ewdi, der Vater war; bua erdi, die Mutter
war; noś ebdi, das Pferd war; cahan edi, der
Baum war; diattu ebdi, die Váter waren; bu-
attu ebdi, die Mütter waren; nosor edi, die
Pferde waren; cahanmur edi, die Bäume waren.
dia ewdaki, der Vater wird sein; bua erdaki,
die Mutter wird sein; no$ ebdaki, das Pferd
wird sein; eahan edaki, der Baum wird sein;
diattu ebdaki, buattu ebdaki, nosor edaki, cahan-
mur edaki».
Praet.
Futur.
«Wie es scheint, haben die Verba dieselbe Natur
wie im Awarischen und Tschetschenzischen, wie nach-
stehende Beispiele vermuthen lassen:
stände lot, die obliquen Casus sind durch Versehen nicht notirt |
den.
worden
zaris xor, ich gebe; un xor, du giebst; taumu xor, er
giebt; nen xor, wir geben; uen xor, ihr gebet; ieimai
xor, sie geben; zaris xo, ich gab».
«diamu no$ boxo bez, mein Vater gab das Pferd mir
(man bemerke hier das nach abchasischer Art präfi-
girte b, das auch vor das Pronomen ez mir tritt); dia-
mu no$ boxo lahas, der Vater gab das Pferd dem Sohne;
laha no$ boxo dias, der Sohn gab das Pferd dem Vater;
diamu no$ boxo teneturlahas, der Vater gab das Pferd
der Tochter; diattai nosor xo lowurées, die Väter gaben
die Pferde den Sóhnen; diattai no$ boxo lowurées, die
Väter gaben das Pferd den Sóhnen; laha no$ boxo buas,
der Sohn gab das Pferd der Mutter; zari$ teneturlo do-
xor, ich gebe die Tochter; zari$ nosor xor, ich gebe die
Pferde; zaris dosow boxor, ich gebe die Tóchter; usmu
dosdur doxor, der Bruder giebt die Schwester; dosmi
usdu xur(?), die Schwester giebt den Bruder: osobéai
dosrul boxor, die Brüder geben die Schwestern; zaris
noś boxor taumus, ich gebe das Pferd ihm; zaris no$ bo-
xor tormis, ich gebe das Pferd ihr».
Mineralogische Notizen über den Pajsbergit und
Graphit, von N. v. Kokscharow. (Lu le 11 dé-
cembre 1863.)
: 1) Pajsbergit.
Die Pajsbergitkrystalle aus der Eisengrube Pajs-
berg bei Fillipstadt in Schweden wurden zum ersten
Mal, wie es bekannt ist, mit grösster Sorgfalt und Ge-
nauigkeit von dem leider so früh durch den Tod ent-
rissenen Dauber untersucht und gemessen ‘). In Folge
hat auch R. P. Greg die Resultate seiner Untersu-
chungen und Messungen der Pajsbergitkrystalle gege-
ben *); dieselben stimmen jedoch nicht ganz mit denen
von Dauber überein, was Kenngott Veranlassung
gegeben hat unter anderem zu sagen:» wahrscheinlich
werden weitere Messungen diese Differenzen lösen °)».
Es wird daher vielleicht nicht überflüssig sein, hier
die Resultate meiner eigenen Untersuchungen mi
Messungen zu veröffentlichen.
Ich habe nämlich 5 Krystalle ziemlich genau ge-
messen va noch einige andere annäherungsweise un-
1) Poggendorff’s D 1855, Bd. XCIV. 8. 398.
2) Philos. Mag. XI, S. 1
3) A. Kenngott. Übersicht ew ee PARAT
in den Jahren 1856 und 1857. S. 1
Y =
RE ER RUE e ce te ll en E
105
des Sciences de Saint- Petersbourg.
106
tersucht, und bin vollkommen zu denselben Resulta-
ten, wie Dauber gelangt. Der an Flächen reichste
Pajsbergitkrystall aus meiner Sammlung ist hier in
schiefer und horizontaler Projection dargestellt.
Die Formen, die in diesem Krystalle in Combina-
tion treten, sind folgende:
In den Figuren. Nach Weiss. Nach Naumann.
Basopinakoid.
ES Ania (2-a:cb:ec). ...... oP
Brachypinakoid
E (a : + b:€)....... wPo
Makropinakoid.
E. (9a:eb:--60)....... es Poo
Verticales Hemiprisma.
ee Babe sr: œP
Makrodiagonale Hemidomen.
ees (+ a:xb:+0c). ...... Po
Eo (4-ma:eb:--6)...... m’P’»
Ns (—a:xb:+c)....... Dee
Brachydiagonales Hemidoma
E. (4-a:4-b:e). ...... Pss
Unter diesen Formen ist das makrodiagonale He-
midoma t —m'P'» für das Mineral neu; leider konnte
ich es aber nicht nüher bestimmen, denn ungeachtet
dass es am Krystalle sehr deutlich ausgebildet ist, so
besitzt es doch eine ganz matte Oberfläche, welche
jede Messung unmóglich macht. Die Flüchen des Ma-
kropinakoids b—P erscheinen in diesem Krystalle,
so wie in einigen anderen (aus der Sammlung des
Herrn Fródman) wie ziemlich schmale Abstum-
pfungsflächen der Kante Ze Dagegen erscheinen die-
selben Flächen im grössten Theil der anderen Krys-
talle, die in der Richtung der Kante = sehr ausge-
dehnt sind, wie ziemlich breite Abstumpfungsflächen
der Kanten s wie dies auf den zwei hier beigefüg-
ten Figuren, die einen Pajsbergitkrystall aus der Samm-
lung des Herrn P. v. Kotschubey darstellen, ge-
zeigt ist.
Die Flächen c — oP sind in dem oben angeführten
Krystalle sehr eben und sehr glünzend; die Flüchen
k Da sind ebenso glänzend, aber etwas parallel
der Combinationskante © gestreift; die Flüchen s —
Bulletin de l'Académie Impériale
— P sind glänzend, aber parallel der Combina-
tionskante + sehr schwach gestreift; die Flächen a =
xPx,b—»P» und o = P'» sind sehr eben und ob-
gleich ziemlich glänzend, so doch etwas weniger, als
die Flächen c; endlich sind die Flächen n = ~P" und
t = mP'> ganz matt, und dabei erstere etwas paral-
lel mit der Combinationskante + gestreift. Die sehr
vollkommene Spaltbarkeit ist bemerkbar in allen Kry-
stallen nach c = oP und b = »P»; Dauber hat auch
die kaum bemerkbare Spaltbarkeit nach o = P'œ und
s= P » beobachtet. Die gemessenen Krystalle werde
ich durch N° 1, 2, 3, 4, 5 und 6 bezeichnen. Die
Messungen wurden mit Hilfe des Mitscherlich'schen
Reflexionsgoniometers ausgeführt, welches mit eimem
Fernrohre versehen war; folgendes sind die erhalte-
nen Resultate: b: o (über o).
N°4—87°39 0”
» 6—87 38 30
Mittel = 87° 38' 45"
Dauber hat, als Mittel aus 8 an verschiedenen
Krystallen oder verschiedenen Kanten eines und des-
selben Krystalls angestellten Messungen *) gefunden
"ESST SES
Greg hat erhalten = 87? 20' 0".
b': c (über s).
N* 1 — 92? 22' 40"
„2932219
Mittel — 92° 21 50"
Dauber hat, aus 10 Messungen, gefunden = 92°
22 0°
o
a : c (oder a :c/).
N° 1 = 93° 27’ 15"
» 4== 03 27.30
Mittel — 93°27 28"
Dauber hat, aus 18 Messungen, gefunden — 93°
28° 30”.
4) Weiter unten werden wir, der Kürze wegen; bloss die
Anzahl der von Dauber ausgeführten Messungen geben, ohne wei-
tere Erklárung; man muss dabei jedoch nimmer vergessen, dass diese
Zahlen den Messungen angehóren, die an verschiedenen Krystallen
oder an verschiedenen Kanten eines und desselben Krystalls ausge-
wurden.
a’.c (über k).
N*1—86?31'30"
a : b (über n’).
N° 1 = 68? 54' 30"
» 4—68 40 0
Mittel = 68? 47' 15"
Dauber hat, aus 16 Messungen, gefunden = 68°
51' 30
kic:
N° 1 = 148° 47' 0
Andere Kante — 148 46 0
Andere Kante = 148 45 0
N'2=1})148:47: 0
p4—148 44: 0
Mittel = 148° 45’ 48"
Dauber hat, aus 26 Messungen, gefunden — 148°
47' 30".
Greg hat erhalten = 148° 42’ 0".
KM.
N° 1-117 4635.
Andere Kante — 117 47 0
N'4=117 47 30
Mittel — 117° 46’ 55"
Dauber hat, aus 17 Messungen, gefunden = 117°
45' 30".
k:b (auf der Figur, die oben rechts liegende Fläche
k zur vorderen Flüche b).
N°1=76 56 0
Dauber hat aus 5 Messungen gefunden = 77° 2 0.
k:b’ (auf der Figur, die oben rechts liegende Fläche
k zur hinteren Fläche b’).
N* 4 2- 103? 0-0"
Dauber hat, aus 13 Messungen, gefunden = 103°
1 0
k: o (auf der Figur, die oben rechts liegende Fläche
k zur vorderen oberen Fläche o).
N° 1= 119? 6' 20"
Andere Kante — 119 4 90
Mittel = 119? 5/20”
Dauber hat, aus 5 Messungen, gefunden — 118
8' 0”.
des Sciences de Saint- Petersbourg.
0:C.
N° L= 136° 18’ 15”
» 2—136 14 0
Mittel = 136° 16’ 8"
Dauber hat, aus 16 Messungen, gefunden — 136°
8" 20.
Greg hat erhalten = 136° 20 0".
o:a (auf der Figur, die obere vordere Fläche o
zur links liegenden Fläche a, d. h. die unmittelbare
Kante 2).
N° 1 = 107° 17’ 10"
Dauber hat, aus 9 Messungen, gefunden — 107°
16° 0” x
o:b.
NsiI 5181? 19- 0”
» 2— 131 30 30
Mittel — 131? 24 45"
Dauber hat, aus 12 Messungen, gefunden — 131°
' 9.
s’: o (über b).
N° 2 — 85° 36 0"
Wenn wir nun die von Dauber gegebenen Constan-
ten als Data für die Berechnungen annehmen wollen,
d.h.
Verticalaxe al
Makrodiagonalaxe b — 1,8291
Brachydiagonalaxe e — 1,1579
A = cojos : Po (a : b) — 68? BU 30"
B= ses ` of (b:c)— 87 38 0
C — ~p~: oP (d:c)= 86 31 30
80 bekommen wir durch Rechnung:
a — 68° 38' 40" (Winkel zwischen den Axen b und c).
8—86 6 40 (Winkel zwischen den Axen a und c).
Y=85 21 12 (Winkel zwischen den Axen a und b).
Wenn wir weiter bezeichnen wollen in der trikli-
noëdrischen Grond. Viertelpyramide = P’ (vergl. die
beigefügte Figur): die basische Kante durch X, die |
brachydiagonale Kante durch Y, und die makrodia-
gonale Kante durch Z, so
bekommen wir für diese Grund- Viertelpyramide fol
gende ebene Winkel:
ıt = Z :a = 6457 22"
t=Z:b= 29 41 26
>s :8— 91 2531
ges Yi:c=42 27 59
$ —X:c—783 53 46
E
3%: =37 21-94
d. h. die Winkel der Kanten X, Y und Z der trikli-
noödrischen Grund-Viertelpyramide — P’ zu den Axen
a, b und c.
Für die Neigungen der Flüchen der verschiedenen
Formen zu den drei Hauptschnitten in den Kanten
X, Y und Z, erhált man folgende Werthe:
Füro='Px,
X= 43°50 4"
Y=107 11 5
Z = 48 31 56
Für s= Po,
X= 41°39 10"
Y=101 19 15
Z= 45 58 50
Für k Pi.
X= 31°13’14”
Y= 62 15 16
Z —102 56 19
Für n=x~P.
X= 94°42'12”
Y= 73 41 8
Z= 37 2722
Für die gegenseitige Neigung der verschiedenen
Flächen an den Krystallen, die auf den Seiten 105 und
Bulletin de l’Académie Impériale
106 abgebildet sind°), erhält man endlich folgende
Winkel:
à :
durch Rechnung.
c = 93° 28,5 . .
durch Messung ®).
93? 28 30"D.
. LJ 3
28 OK.
; Me 117 45 30 D.
vk 117° 45 e . Hn 46 55 K.
148 47 30 D.
c :k 148947... . 218 46 48 E.
148 42 06.
SS 111 8 30 D.
aha 111 8,5 CCR] ES 19 45 K.
s:nam1060719 . . . . 106 8 50 D.
b:n'—142?32/5. . . . 142 39 30 D.
| 87 38 OD.
b'e-87*98 5 ES 87 38 45 K.
87 20 0G.
ARS E 92 22 OD.
D:ezs92*7929-. v ss | 99 21 50 K.
b S luo Tos 136 8 30 D.
0:€c2136?10' . . . wee REN
E 131 27 0D.
o :b— 131728 vene 24 45 K.
Eccc 198994 10 ir 188.41 30 D,
s:bD—134:1:.:%.184,: 0:90 D.
n:c— 94 42. . . . . 94 36 OD.
ness Bere, 85 94 OD.
a E 27 3 0D.
kibat D TS 76 b6 OK
CURE [o] t 103 1 0 D.
k:b'—102?56;5. . Ka 0 0X
k:s—139?51/5. . . . 139 48 OD.
n:8—125?57... .. 126 11 0D.
Pas 118 58 0 D.
kros 11751, 20m. i 590K
EE 107 16 OD.
en ER md ai 17 10 K.
0:8 o H
MARET agi E 85 36 OK.
Aus allem dem oben Angeführten ist ersichtlich,
dass meine Beobachtungen mit denen von Dauber
5) In den Figuren ist die Parallele einer jeden Fläche mit einem
Accent bezeichnet. Die mit Accenten bezeichneten Flächen sind
dieselben, welche Dauber auf seinen Figuren eben so bezeichnet
t.
a
6) Hier sind durch die Buchstaben D. K. und G. die Messungen
bezeichnet, die von Dauber, von mir und von Greg ausgeführt
wurden.
vollkommen übereinstimmen. Es ist auch zu bemer-
ken, dass der Krystall N° 1 aus der Sammlung des
Herrn P. v. Kotschubey so vollkommen ausgebildet
war, dass er allein fast dieselben Zahlen gegeben hat,
die Dauber als Mittel aus sehr zahlreichen Messun-
gen ableitet.
Was Greg’s Beschreibung anbelangt, so ist es of-
fenbar, dass er mehr eine Entwickelung der Combi-
nationsverhältnisse, als eine genaue Bestimmung der
Winkel im Auge gehabt hat. Die Flächen m, e, t, y,
s und c der Greg’schen Figur entsprechen den Fli-
chen c, o, b, s, k und n der Dauber'schen. Die FR.
che aber, welche Greg durch p bezeichnet, muss der
Fläche a von Dauber entsprechen. In Hinsicht der
Winkel hat sich offenbar in Greg’s Abhandlung ein
kleiner Druckfehler eingeschlichen, denn er giebt für
p (a):m (c) — 110? 40; während dieser Winkel in den
Pajsbergitkrystallen — 93° 28' 30” ist; und ebenso
giebt Greg für p(a):t(b) — 86° 10; während dieser
Winkel in den Pajsbergitkrystallen — 111° 8'30" ist.
Endlich um eine anschaulichere Vergleichung der
Pajsbergitkrystalle mit den Pyroxenkrystallen herzu-
stellen (es versteht sich von selbst, eine solche Verglei-
chung, wie die, die man zwischen den Albit- und Ortho-
klaskrystallen finden kann), wäre es vielleicht besser,wie —
Dana es schon gethan hat, eine andere Stellung den …
Pajsbergitkrystallen zu geben, und zwar eine solche, -
bei welcher die Flüchen c, t, o, b und s die Vertical
zone bildeten; doch ich meinerseits wollte in nichts
die vortreffliche Arbeit von Dauber ändern. Dabei `
ist zu erwähnen, dass die Pajsbergitkrystalle ihrer `
Symmetrie nach fast gar keine Ähnlichkeit mit den
Pyroxenkrystallen darbieten. Bloss die sehr vollkom-
mene Spaltbarkeit der Pajsbergitkrystalle erinnert
etwas an die der Pyroxenkrystalle, denn in den —
ersteren schneiden sich die Flächen der vollkom- :
menen Spaltbarkeit unter einem Winkel = 87°88 —
und in den letzteren, wie es bekannt ist, unter einem `
Winkel = 87° 6'. E
| 2) Graphit, Ee
In der wohlbekannten dem Herrn Alibert gehö-
renden Graphitgrube Mariinskoi (im Gouvernemel
Irkutsk, in Batugolskoi-Golez, zwischen den Flüssen `
Besimiannaia und Batugol, im Tunkinsker Gebirge `
begegnet man ziemlich oft einer sehr merkwürdigen -
Graphitvarietát. Die Stücke derselben haben ein fase" `
MADERA
Mw
— vm
113 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 114
o A—
artiges Ansehen und gleichen nämlich einem in Gra- | schnitt veranschaulicht ein solches Exemplar aus mei-
phit verwandelten Holzstücke. Der hier gegebene Holz- | ner Sammlung.
Dieser Holzschkitt ist nach einer photographischen Abbildung ausgeführt.
Über das von Herrn W. Lassell in Malta auf-
gestellte Spiegelteleskop, von O. Struve. (Lu
le 27 novembre 1863.)
Schon vor einem Jahre schrieb mir mein hochge-
ehrter Freund, Herr W. Lassell, dass er sich wie-
derum nach Malta begeben habe, um unter dem dor-
tigen herrlichen Klima, dessen Vorzüge für astrono-
mische Zwecke er bei seinem früheren Aufenthalte
auf dieser Insel 1851 und 1852 erprobt hatte, eine
Reihe von Beobachtungen mit dem von ihm neuer-
dings construirten 40füssigen Spiegelteleskope anzu-
stellen. Er forderte mich zugleich auf, ihn dort zu
besuchen, um mich durch eigene Beobachtung davon
zu überzeugen, um wie viel dieses neue Instrument
seinem älteren zwanzigfüssigen Teleskope, dessen Lei-
stungen mir durch frühere Besuche in Liverpool
bekannt waren, in optischer Beziehung überlegen sei.
Natürlich musste es mein Wunsch sein, dieser Auf-
forderung nachzukommen, besonders ài es mir ver-
günnt gewesen ist, auf Jashidi Reisen nach
und nach nahezu alle gegenwärtig existirenden grös-
seren Spiegelteleskope und Refractoren Europas zu
prüfen, ein Umstand der für die Vergleichung der
Leistungen dieses Instruments ein besonderes Inter-
esse versprach. Zur Erfüllung dieses Wunsches bot
meine, in den letzten Monaten vornehmlich für den
Zweck der Herstellung meiner angegriffenen Gesund-
heit unternommene Reise, die mich ohnehin ins nörd-
liche Italien führen sollte, eine vortreffliche Gelegen-
heit, und ich freue mich somit über das Ergebniss |
meiner Beobachtungen : amL assell'schen Instrumente
der Akademie be T
erichten zu können.
Der Tassen hat sich bereits im — 1861
nach Malta begeben; seine Beobachtungen beginnen
aber erst im folgenden Frühjahre. Seit einigen Mo-
naten hat er sich Herrn Dr. Marth, der sich durch
seine Arbeiten in Durham und früher in London und
Königsberg bereits einen ausgebreiteten Ruf erworben
hat, als Gehülfen adjungirt. Letzterem sind jetzt vor-
wiegend die eigentlichen astronomischen Beobachtun-
gen übertragen, wührend Lassell selbst, der bei vor-
gerückten Jahren wohl schon Veranlassung hat, die
grossen Strapazen der Beobachtungen, die Erkältun-
gen, denen man bei denselben so leicht ausgesetzt ist,
und das Nachtwachen zu vermeiden, seine Bemühun-
gen besonders darauf richtet, dass das Instrument
immer, sowohl in optischer wie in mechanischer
Beziehung, soweit es dessen Dauart gestattet, das
môglichst Vollkommene leiste. Er hat sich zu dem
Zweck neben seinem Instrumente ein besonderes Ge-
bäude zur mechanischen Werkstatt eingerichtet, wo
auch zugleich die Polirmaschine aufgestellt ist. Hier
ist er unermüdlich thätig. Zur Zeit meiner Anwesen-
heit war es besonders die Aufrichtung seines ültesten
Reflectors, von 9 Zoll Öffnung, den er für später an-
zugebende Zwecke neben seinem grossen Teleskope
aufstellen will, welehe ihn in Anspruch nahm.
Die Rüumlichkeiten für die Aufstellung seines gros-
sen Teleskops nebst Zubehör, hat ihm die britische
Verwaltung der Insel Malta Werciieiffust zur Dis-
position gestellt. Lassell’s Wahl ist auf ein hervor-
springendes Terrain gefallen, das : zu dem Flecken
Sliemma,
auf die men Gebiet: fällt pecia sehon i in weiter
115
Bulletin de l'Académie Impériale
116
iaio innen
Entfernung vom Meere aus in die Augen, besonders
seitdem das Lassell’sche Instrument nebst zugehöri-
gem Thurme, welche entschieden zu den augenfällig-
sten Objecten auf der Insel gehören, dort errichtet ist.
Die Aufstellung des Instruments ist gans analog der
des älteren Lassell’schen Teleskops. Eine massive
conische Polarachse von beiläufig 10 Fuss Länge,
trägt an ihrem oberen Ende einen Vollkreis von gegen
8 Fuss Durchmesser, der getheilt ist und als Stunden-
kreis dient. Auf diesem Kreise sind unter rechtem
Winkel, so dass sie also gewissermaassen eine Verlän-
gerung der Polarachse bilden, zwei gleichfalls sehr
solide Stützen von gegen 10 Fuss Höhe in 6 Fuss
Abstand von einander angebracht. Zwischen diesen
Stützen bewegt sich das Teleskop in Lagern auf und
nieder und beschreibt bei dieser Bewegung in allen
Richtungen Theile von Declinationskreisen.
Das Teleskop ist dabei in seinem Schwerpunkte
unterstützt, welcher natürlich wegen des grossen Ge-
wichts des Spiegels (2700 Pfund), viel näher zu die-
sem als zum Oculare hin fällt. In der That ist das Ver-
hältniss der beiden Rohrtheile, von den Lagern an ge-
rechnet, nahezu wie 1: 5. Zur Vergrösserung dieses
Verhältnisses hat auch der Umstand mit beigetragen,
dass das Rohr, dessen wesentlichste Bestimmung be-
kanntlich nur die ist, eine feste Verbindung des klei-
nen Spiegels mit dem grossen herzustellen, nicht wie
sonst gewöhnlich vollständig umkleidet ist, sondern
aus 16, durch erhebliche Intervalle von einander ge-
trennten, eisernen Rippen besteht, die durch mehrere
Querreifen unter sich verbunden sind. Diese Construc-
tion des Rohrs bietet noch den Vortheil dass, indem
die Luft frei durch die Rippen hindurchstreichen
kann, alle diejenigen Störungen der Bilder vermieden
werden, welche sich durch ungleiche Erwärmung der
Luft im Innern des Rohrs und daraus hervorgehende
Luftströmungen erzeugen könnten. Andrerseits wird
dabei freilich nicht alles Seitenlicht vom Spiegel ab-
gehalten, aber dieser Umstand fällt nur wenig ins
Gewicht, besonders da das Instrument meist nur bei
voller Nacht angewandt wird.
Der vorstehend erwähnte Stundenkreis ist an sei-
nem Umfange gezahnt und mit einem Räderwerk
in Verbindung gesetzt, wodurch die Möglichkeit ge-
boten wäre, das Teleskop mittelst Uhrwerks der Be-
wegung der Sterne folgen zu lassen. Es hätte jedoch
ein solches Uhrwerk, bei dem ungeheuren Gewichte
der zu bewegenden Theile, entsprechend enorme Di-
mensionen und namentlich auch sehr grosse Treib-
gewichte haben müssen, wodurch die Ausführung
nieht bloss sehr kostspielig geworden wäre, sondern
auch nicht unbedeutende räumliche Schwierigkeiten
zu überwinden gehabt hätte. Herr Lassell hat es
daher vorgezogen, sich des Uhrwerks ganz zu bege-
ben und statt dessen die entsprechende Bewegung des
Instruments durch einen Gehülfen hervorbringen zu
lassen, welcher, auf eine Secundón-Uhr schauend, einer
mit jenem Kreise durch das erwähnte ‘Triebwerk in
Verbindung gesetzten Kurbel in jeder Secunde eine
Umdrehung gibt, wodurch gerade die gewünschte
Fortrückung des Instruments erzeugt wird. Wie die
Erfahrung lehrt, erfüllt dieses Auskunftsmittel, das
freilich die Thätigkeit eines speciell darauf eingeüb-
ten Gehülfen während der Beobachtungen ganz in
Anspruch nimmt, seine Aufgabe in befriedigender
Weise. |
An eine Beschirmung oder Bedachung des ganzen
Instruments war nicht wohl zu denken. Es hätte ja
das dazu erforderliche Gebäude gegen 60 Fuss Höhe
und 80 Fuss Durchmesser haben, also etwa zwölf
Mal so viel Raum enthalten müssen, wie der grösste
Drehthurm der Pulkowaer Sternwarte. Es ist daher
das Instrument ganz im Freien aufgestellt und nur in
einiger Entfernung mit einer Mauer umgeben, um u-
gebetenen Besuch abzuhalten. Der grosse Spiege
wird jedoch jedesmal nach der Beobachtung mit ei-
nem Blechdeckel, der sich zusammenschlagen und
durch die Rippen bequem in das Rohr hineinführen
und auch wieder aus demselben entfernen lässt, geget
äussere Einflüsse geschützt.
In dem Vorstehenden ist bereits angedeutet, dass
auch dieses Spiegelteleskop gleich dem älteren Las-
sell’schen, Newtonischer Construction ist. Der grosse
Spiegel hat 4 Fuss Durchmesser und eine Brennweite
von 37 Fuss. Herr Lassell, unter dessen persónli-
cher Leitung das Instrument in all seinen eiuzelnt?
Theilen gearbeitet ist, hat gleich zwei nahezu iden-
tische Spiegel angefertigt, welche abwechselnd gê-
braucht werden können, damit keine Unterbrechung
der Arbeit eintritt, falls etwa der eine durch à hal-
tenden Gebrauch an Politur etwas gelitten haben
sollte. Bei dem angewandten Spiegelmetalle, einer au
nt
in
27
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
een
zwei Gewichtstheilen Kupfer auf einen Gewichtstheil
Zion bestehenden Legirung, und bei den günstigen
Bedingungen, unter denen das Instrument in Malta
aufgestellt ist, tritt ein Wechsel des Spiegels nur
nach sehr langen Intervallen, gewöhnlich erst nach
mehrmonatlichem Gebrauche ein. Was die relative
optische Vollkommenheit der beiden Spiegel betrifft,
so meint Lassell, dass zwischen denselben kein irgend
merklicher Unterschied stattfinde. Hievon mich selbst
zu überzeugen, reichte die kurze Dauer meines Auf-
enthalts in Malta nicht aus.
Wenn das Fernrohr gegen das Zenith gerichtet ist,
wird der grosse Spiegel durch ein System dreiarmi-
ger Hebel, wie sie Lassell bereits 1850 angegeben
hat, an einer grossen Menge von Puncien unterstützt.
Da aber diese Unterstützung, bei geneigter Lage des
Spiegels, einer Formveränderung desselben durch
die eigene Schwere nicht vorbeugen würde, hat Las-
sell noch ein zweites System von Gegengewichten
angebracht, welche in mehreren parallel laufenden
Reihen in die Rückseite des Spiegels eingreifen. Letz-
terer nimmt seine regelrechte Form an, sobald die
sämmtlichen Achsen jener Gegengewichte horizontal
stehen. Um dieses für alle Richtungen des Instru-
ments zu erzielen ist es nothwendig, dass der Spiegel
im Rohre oder vielmehr das Rohr sammt Spiegel um
seine eigene Achse gedreht werden kann. Diese Ope-
ration muss bei jeder einzelnen Beobachtung, wenn
es sich um scharfes Sehen handelt, vorgenommen wer-
den, und für ihre Ausführung ist das erforderliche
Räderwerk an dem in den Lagern ruhenden Mittel-
stück, das der Mulde an unsren Refractoren entspricht,
angebracht. Jene Drehung bringt zu gleicher Zeit
hervor, dass der Ocularansatz, durch welchen der
Beobachter in den kleinen Spiegel hineinschaut, eine
nahezu horizontale Stellung annimmt, wodurch an-
drerseits dem Beobachter die Möglichkeit geboten ist,
einigermaassen von seinem Standpuncte aus die rich-
tige Stellung des grossen Spiegels zu controlliren.
Der kleine Spiegel befindet sich wie bei allen New-
tonischen Spiegelteleskopen nahezu im Focus des
Srossen und ist unter 45° gegen die Achse des letz-
tern geneigt, so dass also der Beobachter senkrecht
Segen jene Achse nahezu am obern Rohrende in das
Ocular hineinzuschauen hat. Ihm hiebei einen in allen
Lagen des Fernrohrs geeigneten Sitz zu verschaffen, ist
keine leichte Aufgabe. Scheinbar hätte diess am bequem-
sten durch einen am obern Ende des Rohres selbst ange-
brachten Sessel geschehn können, der in den massiven
Rippen des Rohres gewiss hinlänglich sichere Stütz-
puncte gefunden hätte. Indessen stellten sich der Aus-
führung dieser Idee doch grosse Bedenken dagegen.
Abgesehen davon dass bei einem solchen hoch in der
Luft schwebenden Sessel das Ein- und Aussteigen sehr
umständlich gewesen wäre, und der Beobachter nicht
nach Belieben seinen Sitz hätte verlassen können, würde
auch jedesmal das Gleichgewicht des ganzen Instru-
ments gestört gewesen sein, sobald etwa der Beobach-
ter sich nicht auf seinem Sitze befand, oder auch falls,
wie es bisweilen gewünscht werden muss, zwei Beob-
achter gleichzeitig in den Stand gesetzt sein sollten,
ins Fernrohr hineinzuschauen. Herr Lassell gab da-
her jene Idee auf und entschloss sich einen besonderen
beweglichen Thurm für den Beobachter aufzuführen.
Dieser Thurm ist auf einem aus starken Balken
zusammengefügten Kreise von gegen 50 Fuss Durch-
messer errichtet, welcher das Stativ in geringer Höhe
über dem Erdboden umgibt und sich um dasselbe auf
Rollen herumbewegen lässt. Auf diesen Kreis ist zu-
nächst ein anderes festes Balkenwerk aufgeführt, wel-
ches in einer Höhe von beiläufig 15 Fuss eine zweite
Plateforme trägt, auf der sich der eigentliche Thurm,
ein viereckiger Kasten von 6 Fuss Seite und 30 Fuss
Höhe, sowohl zum Centro des Kreises hin, wie auch
um seine eigene Verticalachse bewegen lässt. Um
bei jeder Lage des Instruments den Thurm in
die geeignetste Stellung zu demselben zn bringen,
sind also in der Regel mit demselben drei verschie-
dene Operationen vorzunehmen, und das muss, wegen
des dadurch entstehenden Zeitverlustes, als ein nicht
unwesentlicher Übelstand bezeichnet werden. Aber
ich gestehe gern, dass ich keine geeigneten Mittel an-
zugeben wüsste, durch welche diesem Übelstande bei
einem Reflector von solchen Dimensionen abgeholfen
werden könnte. | |
Nachdem der Thurm in die gewünschte Stellung
zum Fernrohre gebracht ist, hat dann noch der Beob-
achter sich auf demselben zu etabliren. Zu dem
Zweck ist der Thurm in mehrere, mit den nöthigen
Treppen versehene Etagen getheilt, und in jeder ein-
zelnen Etage schlägt sich die dem Instrumente zuge-
kehrte Wand wie eine Flügelthür nach zwei Seiten
BE
Bulletin de l'Académie Impériale
120
hin auf. Die beiden vorstehenden Wandhälften bie-
ten dann in verschiedenen Absätzen Stützpuncte für
Bretter, auf welche der Beobachter aus dem Thurme
heraus an das Ocular tritt. Für ein Herunterfallen
von diesem luftigen Standpunkte ist zwar nur noth-
dürftig durch ein Paar Ketten gesorgt, welche vorge-
zogen werden können, aber allerdings könnte auch
nöthigenfalls das Fernrohr selbst als Anhaltspunkt
dienen. Am meisten wirkt aber auch hier die Macht
der Gewohnheit. Ich will nicht verhehlen, dass mir in
der ersten Nacht auf diesem Standpuncte ein wenig
unbehaglich zu Muthe war, indessen verlor sich die-
ses Gefühl doch schon in den nächsten Nächten. Auch
Herr Marth erzählt, dass er in den ersten Beobach-
tungsnächten Mühe gehabt habe, das ängstliche Gefühi
zu bemeistern, und dass er einmal sogar einem so hef-
tigen Schwindelanfalle unterworfen gewesen sei, dass
er nur, indem er sich mit ausserordentlicher Willens-
kraft rücklings in den Thurm hineinwarf, sich vor dem
Hinunterstürzen rettete. Jetzt jedoch hat die mehr-
monatliche Gewohnheit auch bei ihm alles Gefühl der
Unsicherheit verbannt.
Nur hin und wieder, wenn ein heftigerer Wind das
Gebäude erschüttert, wird dieses Gefühl wieder ange-
regt. Überhaupt ist hier der Wind der schlimmste
Feind der Beobachtungen, indem er zugleich den
Standpunct des Beobachters und das Fernrohr in
ein Zittern versetzt und dadurch nicht bloss dem
scharfen Sehen Abbruch thut, sondern auch genau-
ere Messungen in hohem Grade erschwert und zu
iten ganz unmöglich macht. Hiebei ist es noch als
ein günstiger Umstand anzusehn, dass das Rohr aus
getrennten Rippen besteht, indem so dem Winde we-
niger Fläche geboten ist.
In wie weit das Instrument seit seiner Aufstellung
seine Stellung gegen den Weltpol unverändert erhal-
ten hat, darüber liegen, wie es scheint, nur wenig Data
vor. Indessen meinten die Herren Lassell und Marth,
dass zu gegenwärtiger Zeit in dieser Beziehung noch
die nöthige Schärfe der Berichtigung existire. Dage-
gen klagten sie wohl über den Umstand, dass in er-
heblich verschiedenen Stellungen des Instruments die
Indexcorrectionen für Stundenkreis und Deelination
sehr bedeutend variiren, was sie der verschiedenen
Einwirkung der Schwere auf die einzelnen Theile zu-
zuschreiben geneigt waren. Hiedurch wird natürlich
DEW
das Auffinden der zu beobachtenden Objecte sehr er.
schwert und noch mehr deren genäherte Ortsbestim-
mung. Das letztere kommt namentlich in Frage bei
den Vergleichsternen für lichtschwache Nebelflecke,
Häufig freilich bietet sich in diesen Fällen ein Aus-
kunftsmittel durch Schátzung ihrer Lage gegen Sterne,
die in dem neuen Argelander’schen Atlas des nörd-
lichen Himmels verzeichnet sind und die sich durch
ihre Configuration erkennen lassen; aber es erstreckt
sich jener Atlas nur bis 2^ südlicher Declination,
wührend die Beobachtungen in Malta, dessen Polhühe
nicht voll 36° beträgt, sich günstig bis wenigstens
40? südlicher Declination ausdehnen lassen, und an-
drerseits sind auch in nórdlichen Zonen einige Ge-
genden so sternarm, dass es fast unmöglich ist, in
dem kleineren Felde des Lassell'schen Teleskops sich
über die Identität der in demselben sichtbaren Stern-
chen bloss aus der Configuration vollkommene Sicher-
heit zu verschaffen. Leider ist der Sucher des Fern-
rohrs für diesen Zweck nicht kräftig genug. Diese
Umstánde sind es, die Herrn Lassell neuerdings be-
wogen haben, auch seinen älteren 9 zölligen Reflector
ganz in der Nähe aufzustellen, wodurch hoffentlich
| dem gefühlten Mangel abgeholfen werden wird.
Aus dem hier über die Construction und Dimensio-
nen des [Instruments Mitgetheilten ist ersichtlich, dass
wührend der Beobachtungen dem Astronomen min-
destens zwei Gehülfen stets zur Hand gehn müssen.
Aber auch bei solcher Hülfe sind doch der mit dem
Instrumente und dem Beobachtungsthurme vorzuneh-
menden Operationen so viel, dass bei etwas beträcht-
lich veränderter Richtung, in der die nächste Beob-
achtung vorgenommen werden soll, namentlich be
erheblich verschiedenem Stundenwinkel, in der Regel
eine halbe Stunde und selbst mehr auf die Vorberei-
tungen zur Beobachtung gerechnet werden muss. Des
halb werden dann auch, unter Vermeidung grössere!
Stunden winkel, die Beobachtungen so viel als thunlich
in der Nähe des Meridians angestellt und selbst Beob-
achtungen nördlich vom Scheitel gern vermieden. —
Diese Regel konnte in Bezug auf diejenigen 0b i
jecte, welche ich zur Beurtheilung der optischen BF
genschaften des Instruments zu betrachten wünschte,
nicht wohl eingehalten werden, weil einige derselben
bereits vor Dunkelwerden, andere erst nach einge
N
tener Morgendämmerung culminirten, und es
121 des Sciences de Saint- Pétersbourg.
122
wesentlich darauf ankam, sie.bei ganz dunkler Nacht
zu betrachten. Hierdurch erklärt sich zum Theil wes-
halb. trotz des fast anhaltend heiteren Himmels, die
Anzahl der von mir in den vier Nächten, die ich in
Malta zugebracht habe, (Oct. 7— 11), betrachteten
Objecte doch nur eine verhältnissmässig geringe war.
Zu diesen Objecten gehórten zunächst die Planeten
Uranus und Neptun. Letzteren betrachteten wir an
zwei Abenden. An einem derselben war der Satellit
nahezu in seiner Elongation, am andern nur in etwa
9" Entfernung vom Planeten. Beide Mal waren die
Luftzustánde, etwas Wind abgerechnet, sehr günstig,
und ich gestehe gern, dass ich kaum je in Pulkowa
den Satelliten in der Elongation so deutlich gesehen
habe, wie er in Malta bei halbem Abstande erschien,
und dass gleicherweise die Deutlichkeit der Erschei-
nung der innern Trabanten des Uranus mir eine sehr
hohe Meinung von der Vortrefflichkeit des Teleskops
gab. Indessen ist hierbei zu berücksichtigen, dass,
abgesehn von der allgemein grósseren Durchsichtig-
keit der Luft in Malta *), diese Planeten hier in einer
Höhe von respective 54° und 77° culminirten, wäh-
rend die hóchste Hóhe, unter der ich sie in Pulkowa
beobachtet habe (meine Pulkowaer Beobachtungen
des Uranus datiren aus den Jahren 1847 und 1848),
sich kaum auf 30° beläuft, folglich also die Extinction
des Lichts in der Atmosphäre für die hiesigen Beob-
achtungen eine viel bedeutendere gewesen sein muss.
Mit richtigem Scharfblick hat Lassell mikrome-
trische Messungen jener Satelliten als eine sehr wün-
schenswerthe Aufgabe für die Thätigkeit seines Te-
leskops in Malta hingestellt, um deren Bahnen ge-
nauer zu bestimmen und dadurch die Unsicherheiten,
die gegenwärtig noch in Betreff der Massen der bei-
den Planeten obwalten, zu entfernen. Bei voller Aner-
kennung dieses Bestrebens kann ich nicht umhin zu
*) Als Beleg für die Durchsichtigkeit der Luft in Malta kann ich
anführen, dass ich dort in jeder Nacht deutlich 8 und zweimal sogar
9 Sterne in den Plejaden mit blossem Auge habe erkennen kónnen,
d de ich in Pulkowa in der Regel nur 7 und nur ausnahmsweise
Sehen kann. — Bei dieser Durchsichtigkeit der Luft ist mir auf-
gefallen, das
vor a dort die Milchstrasse durchaus nicht den grossartigen
ee we ich mich dessen von unserem Aufenthalte auf der
iie ene Spaniens um die Zeit der Sonnenfinsterniss xon 1860 erin-
a und dass selbst trotz der dort hoch am Himmel culminirenden
Cem rm derselben in den Sternbildern des Schützen und Stein-
nö lichen pr amteindruck der Milchstrasse kaum dem in unsern
Klärung n reiten gewühnlichen gleich kam. Eine befriedigende Er-
eses scheinbare Paradoxon wüsste ich nicht geb
| rat geben.
bedauern, dass, wie es mir scheint, der Mikrometer-
apparat, dessen er sich zu jenen Messungen bedient,
nicht den optischen Leistungen des Instruments ad-
aequat ist. Es ist diess derselbe Apparat, den Lassell
bei seinen früheren Malteser Beobachtungen, so wie
in Liverpool gebraucht hat. Im Focus des Oculars sind
zwei metallene Lamellen angebracht, deren einander
zugekehrte Kanten parallel sind und in der Mitte
halbkreisfórmige Ausschnitte haben. Diese Lamellen,
welehe auch bei dunklem Felde sichtbar sind und
deren Entfernung von einander mittelst einer Mikro-
meterschraube verändert werden kann, sind ausser-
dem um die Achse des Fernrohrs drehbar und er-
füllen somit in der That die zur Messung nothwendi-
gen Bedingungen. Aber ich zweifle, dass die für die
Distanzbestimmung nothwendige Einstellung der bei-
den zu messenden Objecte in die Mitte der erwühnten
Ausschnitte, oder vielmehr auf die Mitte der durch
jene Ausschnitte fortgesetzt gedachten Lamellenkan-
ten, von constanten Fehlern frei sein würde, und
es steht wohl zu erwarten, dass dabei zugleich die
zufälligen Fehler eine nicht unbedeutende Rolle spie-
len werden: Für die Genauigkeit in der Bestimmung
der Positionswinkel, die durch Parallelstellung der
Lamellenkanten mit den beiden Objecten erzielt wird,
scheint mir im allgemeinen weniger zu fürchten zu
sein, wenn nur alle Theile des Apparats ihrem Zweck
entsprechend functioniren. Sollen daher die gegenwär-
tig in Malta angestellten Messungen ihren Zweck er-
reichen und wirklich tadelfreie Resultate für die Mas-
sen der genannten Planeten liefern, so muss gewünscht
werden, dass jenes Mikrometer einer strengen Unter-
suchung unterworfen werde. Ich zweifle nicht, dass
Herr Marth auf dieses Desideratum seine besondere
Aufmerksamkeit richten wird. — Herr Lassell be-
sitzt, ausser jenem Mikrometer, auch noch ein gutes
Filarmikrometer, benutzt dasselbe aber nicht, theils
weil ihn die Beleuchtung der Faden nicht befriedigt,
theils auch aus Furcht, dass die Faden, weil das Rohr
nicht geschlossen ist, leicht durch äussere Einflüsse
zerrissen werden könnten. Gewiss würde es interes-
sant sein zu erfahren, ob Messungen, mit diesem Fa-
denmikrometer an den schwachen Satelliten ange-
stellt, genau dieselben Resultate wie der andere Appa-
Mehrere Doppelsterne, die wir in Malta betrachtet
haben, überzeugten mich, dass, in Bezug auf Präcision
der Bilder, Herr Lassell an diesem Instrument ein
ausgezeichnet günstiges Resultat erreicht hat. Es
genügt hiefür anzuführen, dass der von mir 1842 ent-
deckte Doppelstern x Aquilae, der aus Sternen 6ter
und 7ter Grösse von 056 Distanz besteht, sich hier
in dunkler Nacht deutlich getrennt zeigte. Wenn ich
auch die Schárfe der Bilder nicht vollkommen derje-
nigen gleich schätze, welche dem Pulkowaer Refrac-
tor einen so hohen Vorzug gibt, so freut es mich doch
bezeugen zu kónnen, dass der Lassell’sche neue Re-
fector in erheblich hóherem Grade, wie jedes andere
mir bekannte grössere Spiegelteleskop, unserem Fern-
rohre in dieser Beziehung nahe kommt, und dass er
auch dieselbe Güte der Bilder in allen Neigungen
des Spiegels gegen den Horizont beibehält, was offen-
bar von einer sehr vollkommenen Equilibrirung Zeug-
niss ablegt. Ich bemerke hiebei ausdrücklich, dass
ich mich von den Leistungen des grossen von Fou-
cault vor ein Paar Jahren construirten Spiegelte-
leskops nicht persönlich zu überzeugen Gelegenheit
gehabt habe, indem dasselbe auch noch bei meiner
letzten Anwesenheit auf der Pariser Sternwarte, im
Mai dieses Jahrs, nicht in vollständigem Beobachtungs-
zustande war, dass also meine Vergleichung auf dieses
Instrument zunächst keine Anwendung findet.
Wie Herr Lassell meint, gewinnt die Präcision
der Bilder an seinem Instrumente noch erheblich,
wenn die Peripherie des grossen Spiegels bis auf
einen Abstand von 6 Zoll bedeckt wird, natürlich
wird dann aber auch entsprechend die Lichtquantität
vermindert.
. In gleicher Weise befriedigend war der Anblick,
den uns helle Sterne, namentlich auch Sirius, gewähr-
ten. Ich muss gestehn, dass die Abwesenheit aller
farbigen Ringe, der secundären Farben und jedes fal-
schen Bildes, diesem Instrumente für solche Objecte
selbst vor den Refractoren einen Vorzug einzuräumen
mich geneigt machen. Auch wenn das Ocular auf er-
heblich nach einer oder der andern Seite vom Focus
entfernte Durchschnitte des Lichtkegels eingestellt
war, blieben die Bilder ausnehmend regelmässig ge-
staltet. Indessen war doch bei den hellsten Sternen
bemerkbar, dass der Himmelsgrund in ihrer Nachbar-
schaft nicht ganz so dunkel wie in andern Himmelsge-
genden, sondern in einem gewissen milchigen Lichte er-
Bulletin de l'Académie Impériale
‘unter solchen Bedingungen, trotz seiner bei uns kaum `
14° betragenden Meridianhöhe, Sirius durchaus nicht `
zu den schwierigen Doppelsternen gehöre. Er erwar- `
124
schien, und Herr Lassell meinte, dass diese Erschei-
nung wohl ihren Grund in kleinen Unregelmässig-
keiten der Spiegeloberfläche haben könne.
Bekanntlich ist von Alvan Clark vor anderthalb
Jahren ein kleines Sternchen in 10 Secunden Abstand
vom Sirius entdeckt. Ich war erstaunt dasselbe hier,
in der ausnehmend günstigen Nacht des 8ten October,
obgleich ganz deutlich, doch nicht so hell zu sehn, wie
es mir im März dieses Jahrs in Pulkowa erschienen
war. Diese unerwartete Schwäche in der Erscheinung
des Begleiters darf aber doch wohl nicht einer opti-
schen Unvollkommenheit des Instruments zugeschrie-
ben werden, sondern ich sehe darin vielmehr eine
Bestätigung der bereits im Frühjahre in Pulkowa ent-
standenen Vermuthung, dass dieser Begleiter einem
Lichtwechsel unterworien sei. Als ich nämlich am
19ten März zum ersten Male in diesem Jahre den Sirius
durch unsern Refractor betrachtete, konnte ich den Be-
gleiter nur mit grösster Mühe auf Augenblicke erken-
nen, so dass ich es aufgeben musste ihn mit einiger
Sicherheit mikrometrisch zu messen. Am 16ten März -
war er erheblich besser sichtbar, und ich erhielt eine
Reihe guter Messungen; noch heller aber erschien er
zwei Tage später am 18ten März, an dem ich ihn sogar -
Ster Grösse schätzte. Dr. Winnecke, den ich an `
dem letztgenannten Abende herbeirief, um ihm diese :
auffallende Erscheinung zu zeigen, meinte, dass selbst
diese Schätzung der Helligkeit noch zu schwach sei, `
und stimmte darin vollkommen mit mir überein, dass `
tete sogar, er würde damals den Begleiter selbst in
dem Fernrohre des Meridiankreises, das nicht voll 6
Zoll Öffnung hat, erkennen können; eine Bestätigung `
dieser Vermuthung wurde jedoch im vergangenen `
Frühjahre bei der rasch zunehmenden Tageslänge
nicht mehr erreicht. dut
Die durch jene Beobachtungen indicirte Variabil- `
tät im Lichte des Begleiters hat, wie erwähnt, durch `
die Schwäche, in der derselbe im Lassell’schen Fern- `
rohre bei 35° Höhe erschien, bedeutend an Wahr
scheinlichkeit gewonnen, obgleich dabei angenomm^ -
werden müsste, dass seit dem Frühjahre die Verände —
rung in entgegengesetztem Sinne erfolgt sei wie ;
während der kurzen Periode der Pulkowaer Beobat `
sitit
125
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
126
tungen. Bestätigt sich diese Variabilität, so haben
wir in derselben eine vollkommen befriedigende Er-
klärung für den sonst allerdings fast etwas räthsel-
haften Umstand, dass dieser Begleiter nicht schon viel
früher durch eines der kräftigen Fernröhre, die im-
mer von Zeit zu Zeit auf Sirius gerichtet gewesen
sind, erkannt worden ist.
Die auffallende Schwäche dieses Begleiters be-
schäftigte am 8ten October noch ganz meine Gedan-
ken, als ich plótzlich iu denselbeu durch Herrn Marth
unterbrochen wurde, der nach mir an das Fernrohr
getreten war und mich nun aufforderte, wieder hinein-
zuschauen, um zu constatiren, dass ein zweiter Beglei-
ter noch nüher zum Sirius hiu zu erkennen sei. In
der That erblickte ich jetzt auch ein solches Object,
das nur wenig schwächer erschien wie der Alvan
Clark’sche Begleiter. Um uns von der Identität des
Gesehenen zu überzeugen, zeichneten wir sogleich
unabhängig von einander die relative Lage des Si-
rius und der beiden Trabanten auf. Die Vergleichung
unserer Zeichnungen erwies eine ganz befriedigende
Übereinstimmung. Nach denselben musste die Di-
stanz des zweiten Begleiters auf beiläufig 8" und sein
Positionswinkel um 15° kleiner als der des ersten
Irabanten oder zu ungefähr 65? geschützt werden.
Ein Versuch einer mikrometrischen Bestimmung ge-
lang nicht mehr wegen inzwischen zu sehr vorgeschrit-
tener Morgendämmerung.
Herr Lassell war bei dieser Beobachtung nicht
zugegen gewesen. Natürlich musste es ihm sowohl
wie uns sehr daran liegen, diesen neuen Erfolg seines
Instruments durch wiederholte Beobachtung bestätigt
zu finden. Mit Ungeduld erwarteten wir daher die
nächste Nacht; aber obgleich der Abend wieder heiter
war, wurde doch unsere Hoffnung durch ein nach
Mitternacht losbrechendes heftiges Gewitter vereitelt.
Die Nacht vom 10ten auf den 11ten October war aber
Wieder vollkommen heiter, und auch die Qualität der
Bilder liess nur wenig zu wünschen übrig. Dessenunge-
achtet gelang es in dieser Nacht weder Herrn Las-
vire mir den zweiten Begleiter, welchen Herr
ii oea Augenblicke zu erkennen vermeinte,
en u se en. In Bezug auf jenes Object blieb daher
IE der Hand die Alternative, dass dasselbe entweder
wirklich ein Begleiter von rasch variablem Lichte sei,
er
aber dass wir uns in der Nacht des 8ten October
durch ein secundäres Bild hatten täuschen lassen, von
dem es jedoch entschieden war, dass es sich nicht im
Oculare erzeugt hatte. Fernere Beobachtungen müs-
sen hierin Entscheidung bringen. Inzwischen hat bei
mir die zweite Annahme durch eine Bemerkung, die
wir in der letzten Nacht in Malta machten, etwas an
Wahrscheinlichkeit gewonnen. Es zeigten sich näm-
lich äbnliche falsche Bilder auch bei andern Sternen,
wenn die Stellung des Spiegels rasch bedeutend ver-
ändert worden war, verschwanden jedoch nach eini-
ger Zeit. Es scheint danach, dass jedes Mal ein ge-
wisser Zeitraum erforderlich ist, bis, bei veränderter
Lage, der grosse Spiegel sich vollkommen ins Gleichge-
wicht gesetzt hat, und ich halte es für sehr wohl mög-
lich, dass in der ersten Nacht dieser Gleichgewichts-
zustand für die Siriusbeobachtung noch nicht einge-
treten war.
Ganz besonders wünschte ich auch in dem Lassell-
schen Teleskope einige Nebelflecke zu beobachten,
indem zu erwarten stand, dass sich bei diesen die er-
wartete grössere Lichtstärke deutlich geltend machen
würde. Ausser mehreren neuerdings von Herrn Marth
entdeckten lichtschwachen Objecten dieser Kategorie
betrachteten wir den Ringnebel in der Leier, den pla-
netarischen Nebel im Wassermann, den variablen
Hind’schen Nebel im Stier und ganz besonders den
grossen Nebelfleck im Orion. Über die Beobachtun-
gen dieser Objecte werde ich hier einzeln berichten.
Der Ringnebel in der Leier erschien mir wohl hel-
ler wie in Pulkowa, indem er sich namentlich bei
dem grósseren Gesichtsfelde noch besser auf dem dun-
klen Himmelsgrunde hervorhob. Neue mir zuvor
unbekannte Gestaltungen habe ich jedoch an dem-
selben nicht bemerkt, mit Ausnahme etwa dass die
Enden der grossen Axe seiner Ellipse hier noch etwas
mehr verwaschen erschienen wie in Pulkowa, und dass
sich an dieselben noch ein schwacher sich erheblich
weiter in den Himmelsraum erstreckender Nebelschim-
mer anschloss, wodurch natürlich diesem Himmelskór-
per etwas von der symmetrischen Gestalt, in der er in
schwücheren Teleskopen erscheint, benommen wurde.
Von einer Auflösbarkeit dieses Nebels habe ich nichts
bemerken können, und selbst das bekannte Sternchen
im Centro war nur mit Mühe zu erkennen. `
Der planetarische Nebel im Wassermann (/R —
20^ 56", Decl. = — 11? 56") wurde von meinem Va-
127
Bulletin de l'Académie Impériale
128
ter 1824 im Dorpater Refractor beobachtet und als
«regelmässig elliptischer Gestalt mit gleichförmigem
Lichte» beschrieben. Die Durchmesser der Ellipse
gab er zu 25 und 17” an. Hiemit stimmen die An-
gaben J. Herschel’s, nach Beobachtungen aus den
Jahren 1825 — 1833 im allgemeinen überein, nur
meint letzterer, dass die Ellipticitàt nicht so bedeutend
sei, wie sie von meinem Vater gemessen ist. Auch
zur Zeit der Entdeckung des Nebels durch W. Her-
schel 1782, wird er von diesem als nahezu rund,
planetarisch, aber mit nicht gut begränztem Rande
beschrieben. — Auf dieses Object hat Lassell vor
einem Jahre von neuem die Aufmerksamkeit der Astro-
momen durch einen Aufsatz gerichtet, der sowohl in
den Monthly Notices der Londoner Astronomical
Society, wie in mehreren anderen wissenschaftlichen
Zeitschriften abgedruckt ist. Er beschreibt darin das-
selbe als einen stark elliptischen Nebelring mit Cen-
tralstern, der viel Ähnlichkeit mit dem in der Leier
habe. Dieser Charakter trete aber nur bei Anwendung
stärkerer Vergrösserungen hervor, bei schwächeren
Vergrösserungen habe dies Object mehr Ähnlichkeit
mit Saturn. Als wir jetzt diesen Nebel mit schwäche-
rer Vergrösserung betrachteten, war die Ähnlichkeit
mit Saturn höchst frappant; es war geradezu ein mattes
Bild dieses Planeten bei sehr wenig geöffnetem Ringe.
Ein fast kreisrunder matt glänzender Central-Körper
trägt an beiden Seiten ovale Ansätze von gleichförmi-
gem, aber schwächerem Lichte, die einander genau ge-
genüber stehen, so dass sie Theile einer einzigen Ellipse
zu sein scheinen. Das Merkwürdige dieser Erscheinung
wird noch erhóht durch den Umstand, dass sowohl
die äussersten Spitzen der Ansen, wie auch, unter.
rechtem Winkel zu der dieselben verbindenden Linie,
die Peripherie des Mittelkórpers auf beiden Seiten
lichte Pünctchen zeigen, die wie Sternchen glünzen.
Nur der auf der Südseite des Mittelkórpers stehende
Punct hat ein etwas verwaschenes Aussehen , so
dass er mehr einem Nebelknötchen ähnelte. Das Ver-
hältniss des Durchmessers des Mittelkörpers zu der
Ansenaxe schätze ich nahezu wie 1:3. Bei Anwen- |
dung stärkerer Vergrösserung verlor freilich das Bild
ein wenig an Schärfe der Umrisse, aber die allge- |
meine Gestaltung blieb doch dieselbe. Wie hiermit
zu vereinigen, dass mein Vater dieses Object als von
gleichfórmigem Lichte beschrieben hat, ist ganz un-
erklärlich, und eben so sehr auch die Darstellung, die
Lassell im vergangenen Jahre von demselben gege-
ben hat. In der That, wenn man nicht ganz enorme
und rapide Veränderungen in der Structur zugeben
will, wird man zu der Vermuthung geführt, dass hier
irgend welche Verwechslungen obgewaltet haben.
In Betreff des variabeln Hind’schen Nebelflecks
(JR = 413”, Decl. + 19? 10") hat Lassell bekannt-
lich erklärt, dass er ihn im Frühjahre 1862 nicht
habe erkennen können, während derselbe im Pulko-
waer Refractor bei einigermaassen günstiger Luft be-
stándig sichtbar blieb. Ich vermuthete damals, dass
vielleicht die Position des Nebelflecks Hrn. Lassell
nicht genau genug bekannt gewesen sein müchte, und
diese Vermuthung hat jetzt einige Bestätigung ge-
funden, indem wir am 10ten Oct. den Nebel sehr
wohl erkannt haben. Auch Lassell sah ihn jetzt
und ward dadurch, wie es schien, von seiner Idée,
dass er nicht mehr die frühere Schärfe des Auges,
der er so viele schóne Entdeckungen verdankt, in
vollem Maasse besitze, etwas zurückgebracht. Ob-
gleich ich nicht den Eindruck hatte, dass hier der Ne:
bel im,Ganzen mit mehr Leichtigkeit gesehen wurde,
als wie er uns im März dieses Jahres in Pulkowa er-
schienen war, so muss ich doch zugeben, dass wir
hier Particularitäten an demselben wahrnehmen konn- `
ten, die in unserem Refractor nicht in gleicher Weise
erkannt worden sind. Während er nämlich in Pul-
kowa das Ansehen zweier sich unter einem spitzen
Winkel vereinigenden matten Nebelstreifen hatte,
konnten wir ihn hier deutlich als aus drei oder viet `
einzelnen, von einander durch schwarzen Himmels-
grund getrennten, oder höchstens durch äusserst
schwache Nebelspuren unter einander verb uie
| Massen bestehend erkennen. |
Auf die Betrachtung des grossen Orionnebels vat
ich natürlich am meisten gespannt. Es ging jedoch
meine Erwartung, hier an demselben allerhand. nene
Formen und Details zu sehen, die ich in Pak
nicht erkannt hätte, nicht in Erfüllung: wi wie dem
überhaupt der Qusammteindrück des Bildes, der Chr
rakter der Erscheinung, hier genau derjenige war D mit
dem ich durch die vielfachen Beobachtungen p un
serem Refractor vertraut geworden bin, nur
mit dem Unterschiede, dass hier einzelne ae et
129
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
was heller erschienen und dadurch bestimmter her-
vortraten, als wie bei uns.
Von einer Auflösbarkeit des Nebels war hier in
den herrlichen Nächten des 8. und 10. Octobers, die
selbst für Malta sich durch Ruhe der Bilder und
Durchsichtigkeit der Luft auszeichneten, kein Indi-
cium vorhanden, und auch Lassell erklärte, dass er
nie etwas bemerkt habe, was ihm als Anzeichen da-
für hätte gelten können. Dass hier aber einige ein-
zelne Sternchen mehr im Nebel erkannt werden könn-
ten wie in Pulkowa, musste unter solchen atmosphä-
rischen Bedingungen, bei der.grossen optischen Kraft
des Fernrohrs und dem um 24° höheren Stande des
Gestirnes wohl erwartet werden. Es überraschte mich
daher nicht, dass ich in der Centralgegend, der regio
Huygheniana, welche der spezielle Gegenstand mei-
ner Pulkowaer Beobachtungen gewesen war, hier mit
Sicherheit 5 Sternchen mehr erkennen konnte, wie
durch unsern Refractor. `
Mit Ausschluss der bekannten 6 Sterne, die ge-
wöhnlich als das Trapez bildend bezeichnet werden,
sind von mir in Pulkowa folgende neun der regio
Huygheniana angehörige Sterne beobachtet:
Num. Grösse Aa. Aë
51 12. 13 — 8555 da Qd
57 13 AE, — 90,0
II 12 ss yir Ps — 27,6
70 9. 10 + 6,8 -- 98,3
III 13 + 7,5 + 107,2
75 12. 13 + 21,3 + 39,2
78 13 + 34,5 w 97
88 12 + 69,2 -— 940
91 13. 14 + 97,5 — 57,2
Den letzten von diesen Sternen (91) habe ich in
Malta nicht erkennen kónnen, wohl aber war an der
Stelle, welche ihm die Herschel'sche Bestimmung
anweist, eine Verdichtung des Nebels wahrzunehmen. |
Auch in Pulkowa habe ich diesen Stern nur ganz
ausnahmsweise in einzelnen Nächten mit Sicherheit
Zu erkennen geglaubt, zu anderen Zeiten aber ent-
schieden nicht gesehen.
Für jene 5 Sterne nun, die ich in Malta mehr sah,
lassen sich nach einer rohen, an Ort und Stelle rasch
hingeworfenen Zeichnung, folgende genäherte Coor-
dinaten angeben:
Tome VII.
130
Aa Aë
i — 18° + 22"
h — 12 + 23
ad II — G —81
ad 75 + 97 + 43
ad 88 Ax 15 — 27
Die ersten beiden Sterne habe ich hier mit den
Buchstaben bezeichnet, welche sie in der von Lassell
seiner 1854 publicirten Notiz über seine früheren Mal-
teser Beobachtungen des Orionnebels, beigegebenen
Indexkarte tragen; für die andern drei aber die Be-
zeichnung nach Sternen meines Catalogue général
gewählt, denen sie so nahe stehen, dass sie gewisser-
maassen als mit ihnen Doppelsterne bildend anzuse-
hen sind. Auch diese letzteren finden sich in der er-
wühnten Indexkarte angegeben, aber nur der letzte
ist in derselben mit einem besonderen Buchstaben X
bezeichnet. Ich bemerke hiebei, dass ich jener In-
dexkarte früher nicht die Aufmerksamkeit zugewandt
habe, welche sie nach diesen neueren Erfahrungen wohl
verdient. Es sind in derselben noch einige Sternchen
mehr angegeben, welche ich weder früher in Pulkowa,
noch jetzt in Malta erkannt habe. Ob alle diese Sterne
gleichzeitig gesehen wurden, oder ob bald die einen
bald die andern von ihnen an verschiedenen Abenden
notirt wurden, ist in der betreffenden Lassell'schen
Schrift nicht gesagt.
Über die Reihenfolge der Helligkeit der Sterne in
der regio Huygheniana finde ich in meinen am 8. Oct.
gemachten Notizen folgende Angaben: 88 — 51,75,
II — 78, 57, ad 88, und dann folgen die andern 4
oben bezeichneten Sterne, die so nahe der Gränze
der Sichtbarkeit standen, dass ein Unterschied in ih-
rer Helligkeit schwer anzugeben war.
Am 10ten Oct. dagegen war die Reihenfolge der
Helligkeiten 51, 88, 75, II, ad 88, 57, ad 75, i=
h, 78.
Aus der Vergleichung dieser nur durch zwei Tage
von einander getrennten Beobachtungen, ergiebt sich
somit eine vollkommene Bestütigung der durch die
früheren Pulkowaer Beobachtungen bereits. nachge-
| wiesenen raschen Veründerlichkeit des Sterns 78.
Dass ich den Stern ad 88 nie in Pulkowa erkannt
habe, ist gewiss sehr auffallend, da derselbe mir am
10ten Oct. entschieden heller erschien als 57, und
letzterer mir in Pulkowa nie ganz verschwunden ge-
9
Bulletin de l'Académie Impériale
wesen ist. Es spricht sich daher hier wiederum eine
Veränderlichkeit sehr deutlich aus.
In Bezug auf Veränderungen in der Nebelmaterie
boten die beiden Nächte in Malta nur eine einzige
aber sehr entschieden dastehende Thatsache. Am Sten
Oct. erstreckte sich nämlich pons Schroeteri kaum bis
auf die Hälfte des sinus magnus und zeigte nirgends
mehr concentrirtes Licht, während er am 10ten Oct.
bis nahe an die südliche Begränzung der Bucht
reichte und die gewöhnliche Verdichtung von Nebel-
materie nahezu auf der Mitte deutlich hervortrat. In
dieser Wahrnehmung stimmte Herrn Marth’s Urtheil
vollkommen mit dem meinigen überein. Hiebei ver-
dient noch besonders hervorgehoben zu werden, dass,
falls eine der beiden Nächte vor der andern einen
Vorzug an Güte der Bilder und Durchsichtigkeit der
Luft hatte, derselbe gewiss der ersten Nacht zukommt.
Der Stern 126, über dessen successiv veränderter
Stellung zum promontorium Herschelianum mein Mé-
moire über den Orionnebel Andeutungen enthält, stand
jetzt erheblich auf dem nördlichen Abhange jenes
Vorgebirges, und war um mehrere Secunden von
dichter Nebelmaterie überragt. Hierin scheint sich
ein continuirliches Fortschreiten der angedeuteten
Veränderungen in diesem Theile der proboscis suot
auszusprechen.
Ich hatte mir in Pulkowa ı nie recht klar machen
können, was Herr G. P. Bond, der sich in den letz-
ten Jahren wiederum viel mit dem Orionnebel beschäf-
tigt hat, unter den Spiralformationen verstanden wis-
sen wollte, die er an demselben bemerkt zu haben
glaubt. Deshalb war es mir lieb, am 10ten Oct. durch
Herrn Lassell darauf aufmerksam gemacht zu wer-
den, wo nach seiner Meinung jene Bond’schen Spi-
rallinien existiren. Namentlich richtete er meine Auf
merksamkeit auf eine Lichtcurve, die von der voran-
gehenden Spitze der regio Huygheniana ausgehend,
sich weit in die regio Gentiliana hinein erstreckt. Das
Bestehen dieser Linie war mir auch schon in Pul-
kowa bekannt geworden, weshalb dieselbe aber mit
dem Namen Spirallinie bezeichnet werden soll, sehe
ich wirklich nicht ein. Jener Ausdruck soll wohl in
diesem Falle nichts anderes bedeuten, als dass im
Orionnebel auch einzelne auffallende Lichteurven, von
denen scheinbar mehrere von einem gemeinsamen Cen-
tro ausgehen, zu bemerken sind, und damit bin ich
vollkommen einverstanden. Bemerkenswerth ist bei
der erwühnten helleren Curve, dass dieselbe nicht
ganz continuirlich ist, sondern, wie wir das in Malta
wahrnahmen, durch den engen Canal, welcher den
palus Bondii mit dem sinus Gentil verbindet, durch-
brochen wird.
Um möglichst correspondirende Beobachtungen zu
liefern, hat Dr. Winnecke um die Zeit herum,
welche für meinen Besuch in Malta bestimmt war, in
zwei günstigen Nächten, am 8ten und 11ten Oct., den
Orionnebel mit dem Pulkowaer Refractor betrachtet,
und namentlich auch den kleinen Sternen in der regio
Huygheniana seine Aufmerksamkeit zugewandt. Über
das Ergebniss seiner Wahrnehmungen hat derselbe
in einem an den beständigen Secretär gerichteten
Schreiben der Akademie berichtet, ehe ihm irgend
eine Nachricht über meine Malteser Beobachtungen
zugekommen war.
Die Vergleichung dieser Winnecke’schen Beob-
achtungen ist vom höchsten Interesse. Sie lehrt uns
nämlich, dass von jenen fünf Sternen, welche ich in
Malta sah, und die sich in dem von mir publicirten
Catalogue général nicht vorfinden, mindestens drei,
nämlich i, h und ad 75, gleichzeitig durch unsern Re-
fractor haben erkannt und sogar gemessen werden
können. Nach Winnecke’s Messungen haben wir
nämlich für jene drei Sterne die Coordinaten:
An Aë
i 94" A4
h vs LB ` + 23,5
ad75 +26 ici 7 6
welche, mit meinen oben angeführten Schätzungen
verglichen, folgende Differenzen zeigen:
S. —
E Bine Les
i +3 —2
h ; SE 3 — 0,5 (wr
ET 75 SEA — 4 4
so dass also die Identität de Gesehenen Seier
Auch unterliegt es keinem Zweifel, dass ad 88,
welcher der hellste unter den 5 neuen Sternen war,
und den ich am 10ten Oct. selbst für heller schätzte
als 57, in Pulkowa erkannt worden wäre, wenn die
Autres des Beobachters nicht vorwiegend
auf andere Stellen des Nebels gerichtet gewesen wäre.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
131
E
Somit bliebe also nur etwa ad II als einziges Stern-
ehen nach, das in Malta mit Sicherheit gesehen, und
vielleicht in Pulkowa nicht hat erkannt werden kön-
nen. Aber auch dieser Umstand ist noch sehr zwei-
felhaft, denn, abgesehen davon dass Winnecke vor-
wiegend den nördlichen Theil der regio Huygheniana
in's Auge gefasst hat, finde ich auch in meinen in
Malta während der Beobachtungen selbst aufgenom-
menen Notizen jenes Sternchen nur am 8ten Oct. auf-
geführt, aber nicht mehr den 10ten Oct., wodurch
wenigstens eine Andeutung von Veränderlichkeit ge-
boten ist, welehe es vollkommen erklären dürfte, dass
in der günstigeren Nacht vom 11ten Oct. dasselbe
in Pulkowa nicht wahrgenommen ist.
Mit der von Winnecke in seinem erwäbnten
Schreiben ausgesprochenen Vermuthung, dass das
Sichtbarwerden der genannten drei Sterne im Pulko-
waer Refractor seinen Grund in Lichtveränderungen
habe, muss ich mich vollkommen einverstanden er-
klären. Namentlich darf diess in Betreff des Sterns
ad 75 mit grósster Sicherheit angenommen werden.
Ich habe nämlich auf den Ort dieses Sterns, dessen
Existenz durch die früheren Arbeiten von Lassell
und Bond sehr wahrscheinlich gemacht war, in den
vergangenen Jahren stets mit Aufmerksamkeit, und
besonders wenn die atmosphärischen Bedingungen
günstig waren, vigilirt, ohne ihn je erkennen zu kónnen,
uud doch haben vielfache Erfahrungen gelehrt, dass
mein Auge an Schärfe dem von Winnecke nicht
nachsteht. Auf die Gegend, wo jetzt die Sterne i und
h erkannt sind, habe ich vielleicht nicht in gleichem
Maasse geachtet. Es verdient jedoch bemerkt zu
werden, dass ich 1857 im September die Existenz
wenigstens eines Sternchens in dieser Gegend ver-
muthet und dessen Position beiläufig geschätzt habe.
Später habe ich dort nichts Sternartiges mehr erken-
nen kónnen, und deshalb ist jenes Object nicht in
den Catalogue général aufgenommen, der nur solche
Sterne enthalten sollte, über deren Sichtbarkeit im
—— Beirsetbridurähank- mini Zweifähsohwah-
ve die Nachbarschaft der Sterne 54 aen? 81, wo
Winnecke ein Paar Objecte gesehen und gemessen
hat, die in meinem Catalogue général nicht aufge-
führt sind, habe ich in Malta nicht geachtet, weil
jene Gegend nicht mehr zur regio Huygheniana ge-
hört. Ich bemerke nur, dass, wie mein betreffendes
Mémoire erweist, jene Gegend auch schon früher
als der besonderen Beachtung würdig von mir be-
zeichnet ist, indem dort zu Zeiten Objecte erkannt
wurden, die nicht im Herschel’schen Cataloge vor-
RER und andererseits über die Identität des von
Herschel mit 81 bezeichneten Sterns Zweifel nach-
blieben.
Vorstehende Vergleichung der nahezu gleichzeitig
in Malta und Pulkowa angestellten Beobachtungen
erweist offenbar, dass die raumdurchdringende Kraft
des neuen Lassell’schen Instrumentes kaum höher
als die unseres grossen Refractors anzuschlagen ist,
besonders wenn man dabei berücksichtigt, dass hier
in Pulkowa der Orionnebel nur in 25°, in Malta aber
in 49° Erhebung über dem Horizonte beobachtet ist.
Ich muss gestehen, dieses Resultat war mir in hohem
Grade unerwartet, denn gewiss kam auch Lassell’s
älterer 20füssiger Reflector, von 2 Fuss Öffuung, mit
dem derselbe seine bekannten Entdeckungen der Pla-
netensatelliten gemacht hat, unserem Refractor an
Lichtstärke nahezu gleich. Eine Bestätigung dafür,
dass die beiden Lassell’schen Teleskope, trotz ihrer
erheblich verschiedenen Dimensionen, an Lichtstärke
sich nicht wesentlich von einander unterscheiden, lie-
fert auch die vorhin erwähnte Indexkarte. In letzte-
rer sind nämlich mehrere Sterne eingetragen, die wir
jetzt nicht haben erkennen können, und keiner von
denen ist ausgelassen, die wir wirklich erkannt haben.
Es liegt daher nahe, die Vermuthung aufzustellen,
dass das Metall, aus dem die neueren Spiegel ange-
fertigt sind, nicht so vollkommen das Licht reflectirt,
wie das für die älteren Spiegel angewandte. Nach
Lassell’s eigenen Mittheilungen ist er in der That
jetzt in Bezug auf die Metallmischung von seinem
früheren Verfahren etwas abgewichen. Wührend er
nümlich bei den älteren Spiegeln zu der Mischung von
Kupfer und Zinn (nahezu 2 Gewichtstheile Kupfer
auf 1 Gewichtstheil Zinn) noch ein wenig Arsenik
hinzugethan hat, ist letzteres jetzt: von ihm, nach
Lord Rosse's Vorgange, weggelassen. Vorliegende
Erfahrungen sprechen also dafür, dass die Zuthat an
Arsenik die Bofmstionsfäbigkeit der Masse erhöht
at, v Asca: Zu haidon NH&sllen
die S Spiegel cédant gleichen Grad
Lab oi bag wäre: es hol
"notürl lich,
=
PR p E HU ——— Re
Interesse durch
, D
9
Bulletin de l'Académie Impériale
136
directe Vergleichungen über diesen Punkt entschei-
dende Auskunft zu erhalten.
Wenn aber auch in Bezug auf Lichtstärke durch
die Construction dieses grösseren Teleskops nicht
ganz das gewonnen ist, was gehofft werden durfte, so
ist doch nicht zu verkennen, dass in anderer Bezie-
hung sich an demselben ein ganz bedeutender Fort-
schritt geltend macht, ich meine nämlich in Bezug
auf Präcision der Bilder und die ausgezeichnete Equi-
librirung des Spiegels, die den Bildern in allen La-
gen des Instruments die gleiche Vollkommenheit er-
hält. .
Dass der mechanische Theil des Instruments und
die bequeme Handhabung desselben noch einiges zu
wünschen übrig lässt, ist bereits vorstehend ange-
deutet. Aber wir dürfen bei dieser Beurtheilung nicht
ausser Acht lassen, welche ungeheure Schwierigkei-
ten die grossen Dimensionen und das Gewicht des
Instruments in dieser Beziehung erzeugen. Was Las-
sell in Überwindung dieser Schwierigkeiten geleistet
hat, verdient gewiss die vollste Anerkennung. Er
hat in der That den Beweis geliefert, dass man auch
einem Spiegelteleskope von solchen Dimensionen eine
parallaktische Aufstellung geben kann, die ihre Be-
stimmung, alle Theile des Himmels erreichen und der
täglichen Bewegung der Gestirne bequem e zu
kónnen, ganz befriedigend erfüllt. 4
Besonders aber wird gewiss dew Tonina als
hohes Verdienst sein Entschluss angerechnet werden,
sich auf Jahre wiederum aus seiner Heimath zu
entfernen, um unter dem so sehr viel günstigeren |
Klima von Malta das mächtige Fernrohr zum Nutzen
der Wissenschaft arbeiten zu lassen; und wenn dieses
Verdienst noch einer Vermehrung bedürfte, so ist
diese durch die umsichtige Wahl des Arbeitsfeldes
geboten. Herr Lassell hat sich nämlich entschlos-
sen, in Malta eine Durchmusterung des Himmels in
Bezug auf Nebelflecke vorzunehmen, welche, in Zo-
nen von geringer Breite ausgeführt, in Hates Nacht.
nur eine allmäliche Änderung in der Stellung des In-
struments und entsprechend auch ‚des Beeinchien
erheischt, folglich "FETT" MONS
rigkeiten fast ganz ausschliesst, und andererseits dis
gewaltige optische Kraft des Fernrohrs möglichst zur
Geltung bringt. Bereits der Anfang der Arbeit zeigt;
welche reiche Früchte wir von derselben an erwarten! .
———
haben. Nach Herrn Marthe Mittheilung hat er näm-
lich auf gleichem Himmelsraume doppelt so viel Ne-
belflecke registrirt und annäherungsweise bestimmt,
als wie sich in den Herschel'schen Catalogen auf.
geführt finden. Dass eine solche Arbeit, besonders
bei so reicher Erndte, selbst bei einem so anhaltend
heiteren Himmel wie der von Malta, nicht in een.
gen Monaten ausgeführt werden kann, übersieht sich
leicht. Lassell hat deshalb seinen Aufenthalt auf je-
ner Insel vorläufig bis zum Frühjahre 1865 anberaumt;
aber selbst in dieser Frist, meint Herr Marth, würde
es ihm, nach seinen bisherigen Erfahrungen, bei
grüsster Kraftanstrengung kaum gelingen, in der be-
gonnenen Weise auch nur denjenigen Theil des Himmels
zu durchmustern, der dort südlich vom Scheitel culmi-
nirt. Gewiss wäre es sehr zu bedauern, wenn die be-
gonnene Arbeit nicht vollständig durchgeführt würde,
und es steht daher zu hoffen, dass Lassell der Wis-
senschaft noch das fernere Opfer bringen wird, ent-
weder seinen Aufenthalt in Malta zu verlüngern,
oder wenigstens sein Teleskop noch länger in Herrn
Marth's geschickten Händen zu lassen, bis die Ar-
beit über die ganze dort sichtbare Himmelsoberläche
ausgedehnt sein wird.
Schliesslich freue ich mich der Akademie berich-
ten zu können, dass die Herren Lassell und Marth `
mir zugesagt haben, so oft die anderweitigen Arbei-
ten es gestatten, dem Orionnebel ihre besondere Auf-
merksamkeit während ihres Aufenthalts in Malta zu-
wenden zu wollen. Gewiss ist hier in gegenwärtiger
Zeit, besser als irgend wo sonst auf Erden, durch die —
Kraft des Instruments und das anhaltend heitere Wet-
ter bei guten Bildern, Gelegenheit geboten, den ráth-
selhaften Veränderungen in diesem Nebel, an deren
Realität jetzt billigerweise nicht mehr gezweifelt wer-
den darf, näher auf die Spur zu kommen, und n3-
mentlich zu erfahren, ob irgend eine Gesetzlichkeit
in dem Helligkeitswechsel der kleinen über den Ne-
bel vertheilten Sternchen, und eine Abhängigkeit zwi-
schen der Variabilität jener Sterne und der Nebel:
materie selbst besteht.
w—
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
138
, E
Über die Inauguraldissertation des Herrn Dr.
Kutschin das Rückenmark der Neunaugen
betreffend, nebst einigen eigenen Beobach-
tungen über das Rückenmark der Knochen-
fische und anderer Thiere, von Ph. Ofsian-
nikof. (Lu le 11 décembre 1863.)
Vor Kurzem erschien in den «Gelehrten Nachrich-
ten der Universität von Kasan» eine Abhandlung von
Dr. Kutschin über die microscopische Structur des
Rückenmarks unserer Flussneunauge. Diese Arbeit ist
mit grosser Sorgfalt und Sachkenntniss ausgeführt und
sind namentlich die Zeichnungen sehr naturgetreu.
Überhaupt gehören die Präparate des Hrn. Dr. Kut-
schin zu den besten, die ich bis jetzt gesehen.
Dieses Alles veranlasst mich, die Hauptresultate,
welche Hr. Dr. Kutschin gewonnen, hier mitzutheilen:
In der grauen Substanz des Rückenmarks der Fluss-
neunauge findet man drei Arten Nervenzellen:
1) Grosse Nervenzellen, welche in der Nähe des
Centralcanals liegen und die Dr. Kutschin zu der in-
nern Zellengruppe rechnet.
2) Grosse Nervenzellen, die mehr nach aussen lie-
gen, und 3) kleine Nervenzellen.
Auch fand Dr. Kutschin Nervenzellen in der weissen
Substanz, was bei andern Thieren ihm nie gelungen ist.
Das Bindegewebe findet sich reichlich im Rücken-
marke.
Es existirt bei der Neunauge sowohl die untere als
auch die obere Commissur. Die Axencylinder, durch
welche diese Commissuren gebildet werden, kann man
von der einen Hälfte des Rückenmarks bis zu den
Wurzeln der Spiralnerven der anderen Hälfte verfol-
gen. Es ist möglich, dass sie selbst zum grossen Gehirn
emporsteigen und so zur Bildung der weissen Masse
beitragen. | |
Die Nervenzellen aus der centralen Gruppe geben
Fortsätze von sich, die zu den Wurzeln der oberen
Spinalnerven derselben Seite hinlaufen.
Die Fortsätze der äussern Nervenzellen tragen zur
Bildung der Seitenstränge der weissen Masse bei, in-
dem sie bald nach unten, bald aber auch nach oben
ihren Verlauf nehmen. Die Fortsätze der grossen Ner-
venzellen der centralen Gruppe gehen nach unten und
oben; in ihrem: Verlaufe theilen sie sich und tragen
zur Bildung der unteren und oberen Seitenstränge bei.
Die Moller schen Fasern stehen in keiner Verbindung
mit den Zellen der centralen Gruppe.
Die Fortsätze der kleinen Nervenzellen gehen in
die Wurzeln der oberen Spinalnerven über. An den
Wurzeln der vordern und hintern Spinalnerven finden
sich in der Nervenscheide Kerne, welche an den Ner-
venfasern im Innern des Rückenmarks nicht vorkom-
men.
Im Centralcanal fand Kutschin den Strang, welchen
Reissner entdeckt hat; dieser Strang hat keine Aehn-
lickeit mit einem Axencylinder.
Ueber (hinter) dem Centralcanal, wo wir die obere
(hintere) Fissur finden, liegen Bindegewebskórperchen;
ihre Fortsátze gehen nach oben und senken sich in die
pia mater ein, wodurch sie eine Art Scheidewand bil-
den, welche die beiden obern (hintern) Stränge von
einander abgrenzt. Unter dem Centralcanal liegen in
der grauen Substanz ebenfalls Bindegewebskórperchen,
deren Fortsátze die untere Fläche des Rückenmarks
erreichen, wo sie fächerförmig auseinander gehen.
In allem Uebrigen muss ich auf die Arbeit selbst
verweisen.
Was den von Reissner gefundenen Strang im Rük-
kenmarkscanale anbetrifft, so halte ich ihn für ein
Kunstprodukt.
Dr. Kutschin bestütigt die Existenz der von
Reissner gefundenen Nervenzellen. Diese kleinen
Nervenzellen sind bei der jetzigen Untersuchungsme-
thode, namentlich seitdem man die Präparate färbt,
sehr leicht sichtbar, während sie früher, als man mit
schwacher Vergrösserung und meistens mit einem
Schiek’schen Microscope untersuchte, sehr leicht der
Beobachtung entgehen konnten. !
Die Zellen der innern Gruppe würde ich besser als
grosse Zellen bezeichnen, und die der áussern als
mittelgrosse, da die ersteren gewöhnlich grösser sind
als die letzt erwähnten. |
Der Ursprung der Müller’schen Fasern bleibt
noch immer räthselhaft. ‘Ueber dieselben habe ich
mich schon früher in meiner ersten Abhandlung aus-
gesprochen, doch wurde meine Ansicht von keinem
Forscher durch direete Beobachtungen bestätigt.
Kutschin ist davon vollkommen überzeugt, dass diese
Fasern in der medulla oblongata mit den ‚grossen, sich
dort befindenden Nervenzellen zusammenhängen. Ich
habe über diese Fasern Unt hungen ange-
HUUU U muva
=
Bulletin de l'Académie Impériale
140
stellt und habe noch mehr die Ueberzeugung gewon-
nen, dass diese Fasern im Rückenmarke entspringen
und in der medulla oblongata enden.
Ueber das Rückenmark der Knochenfische und der
andern -hôhern Wirbelthiere kann ich von meinen
neueren Untersuchungen Folgendes mittheilen :
Zu meinen Arbeiten bediente ich mich des Rücken-
marks des Hechts, des Brachsen, des Sanders, des
Barsches, der Katze, des Hundes und des Menschen.
Vergleichen wir die graue Substanz des Rücken-
marks der Säugethiere, wie sie sich auf einem Quer-
schnitt zeigt, mit derjenigen der Fische, so finden wir
trotz grosser Aehnlichkeit doch manchen wesentlichen
Unterschied. Die graue Substanz der Säugethiere bil-
det die vordern und hintern Hörner, welche vorzüg-
lich die Nervenzellen beherbergen. In der weissen
Substanz habe ich bei diesen Thieren die Nervenzel-
len nie mit Sicherheit sehen können, während Stil-
ling angiebt, sie dort gefunden zu haben. Die weisse
Substanz umgiebt bei den Säugethieren die graue Sub-
stanz mit Einschluss der vordern und hintern Hörner
von allen Seiten. Anders ist es bei den Knochen-
fischen. Betrachtet man hier einen Querschnitt des
Rückenmarks, so sieht man oft nach vorn (unten) zu
eine Zellengruppe, an die sich die vordere Commissur
anschliesst. Diese kleine inselförmige Gruppe liegt in
einer Bindegewebslage und wird von der weissen
Masse von allen Seiten umgeben. Untersuchen wir
einen etwas weiter nach hinten befindlichen Theil
eines solchen Querschnittes, so sehen wir, wie die
‚graue Substanz den Centralcanal umgiebt und sich
nach vorn (unten) und hinten (oben) erstreckt. Nach
vorn (unten) bildet sie häufig gerundete oder flügel-
förmige Vorsprünge, nach oben (hinten) werden die
Vorsprünge schmal und lang und haben wirklich eine
gewisse Aehnlichkeit mit den hintern Hörnern der
grauen Substanz der Säugethiere. Diese hintern Hör-
ner sind nicht selten von der, den Centralcanal um-
gebenden, grauen Masse durch weisse Masse getrennt.
Die Nervenzellen liegen zuweilen ganz in der grauen
Masse oder am Rande derselben. Die letzt erwähnte
Lage wurde von einigen Forschern in Zweifel gezo-
gen, doch glaube ich nach wiederholten Untersuchun-
gen, mich von einer solchen überzeugt zu haben.
Die graue Substanz besteht bei den Knochenfischen
aus Bindegewebe, in welches Blutgefässe, Nervenzellen
sind gross,
na:
und Nervenfasern eingebettet sind. Der Umriss der-
selben ist nicht auf allen Querschnitten derselbe, son-
dern wechselt je nach dem Theile des Rückenmarks,
aus dem wir die Schnitte machen. Vergleichen wir
die graue Substanz der Fische mit der grauen Sub-
stanz der Säugethiere, so finden wir, dass erstere be-
deutend ärmer an Nervenelementen ist.
Man kann die Nervenzellen, welche in der grauen
Substanz des Rückenmarks der Säugethiere vorkom-
men, in drei Gruppen theilen:
Die erste Gruppe umfasst diejenigen Nervenzellen,
welehe in den vordern Hörnern liegen. Diese Zellen
sternförmig und mit einer grossen Anzahl
Fortsätze versehen, welche sich theilen. |
Die zweite Gruppe enthält die am Centralcanal
vorkommenden Nervenzellen, welche denen der ersten
Gruppe ähnlich sind, häufig aber kleiner und rund-
licher erscheinen. Der Unterschied dieser Zellen von
denen der vordern Hörner muss durch fernere Unter-
suchungen sicherer festgestellt werden.
Zur dritten Gruppe gehören die in den hinter»
Hörnern vorhandenen kleinen Zellen, welche eine
spindelförmige, drei- oder viereckige Form besitzen,
und sich sehr auffällig von den Zellen der ersten
Gruppe unterscheiden. Nur ausnahmsweise kommen
solche Zellen in der Gegend des Centralcanals oder |
in den vordern Hörnern vor. |
Bei den Neunaugen kann man, wie mir We: A
im Rückenmark sich vorfindenden Nervenzellen je
nach ihrer Grösse und ihrer Lage auch in drei be `
pen theilen.
Wenn wir es versuchen diese Eintheilung si die
Knochenfische zu übertragen, so stossen wir auf einige
schwer zu überwindende Schwierigkeiten. Man findet
nämlich bei den Knochenfischen keinen grossen Un-
terschied in der Grösse der Nervenzellen, und eben
so wenig in ihrer Form und in der Zahl ihrer Fort-
sätze. Gewöhnlich sind Nervenzellen im Rückenmarke `
der Knochenfische nur an 2 Stellen vorhanden: — |
1} in dem inselfórmigen Raume der grauen SU
stanz, die vor den vordern Hörnern liegt, und — `
2) an der vordern Seite der vordern oder unterm
Hörner. Die Lage der Zellen dieser zweiten Grup `
ist weniger constant. Zuweilen rücken nämlich -— E
Zellen dem Centralcanal näher oder es befinden 2
einzelne von ihnen sogar hinter demselben, '
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
142
ET
andre dagegen mehr nach aussen gerückt sind und
an der Grenze der weissen Masse liegen.
Stieda hat kleine spindelförmige Zellen in den
hintern Hörnern gesehen. Betrachten wir aber seine
Abbildung, so finden wir nur zwei spindelförmige Zel-
len, die nur etwas hinter dem Centralcanal liegen,
also nicht eigentlich an der Stelle, die den hintern
Hörnern der Säugethiere analog ist. Ich habe auch
kleine spindelförmige und viereckige kleine Zellen noch
viel mehr nach hinten vom Centralcanal beobachtet,
jedoch ist die Zahl derselben so gering, dass ich bei
den Knochenfischen den Zusammenhang aller sensiblen
Fasern mit solchen kleinen Zellen für sehr unwahr-
scheinlich halten muss.
Im obern Theile des Rückenmarks und in der me-
dulla oblongata tritt bei Fischen, wie Mauthner rich-
tig bemerkt, dicht am Centralcanal eine besondere
Gruppe Nervenzellen auf. Das äussere Ansehen, die
Zahl und die Richtung ihrer Fortsätze lassen vermu-
then, dass diese Zellen eine besondere physiologische
Bedeutung haben.
Schon in meiner ersten Arbeit habe ich erwähnt,
dass bei den Fischen die meisten Nervenzellen des
Rückenmarks eine dreieckige Form haben.‘ Dieser
Ausspruch wurde von einigen Forschern nur zum
Theil bestätigt, von andern dagegen für unrichtig er- |
klärt. Runde Zellen, kolbenförmige, spindelförmige,
viereckige u.s. w. habe ich zwar auch gesehen, allein
bei guten mitteldicken Schnitten war doch die Form
der Zellen vorherrschend eine dreieckige. Sind die
Schnitte aber zu dünn, so haben die Zellen eine runde
oder kolbenförmige Contour, während bei zu dicken
Schnitten diese Zellen viereckig oder sternförmig er-
scheinen. An solehen mitteldicken Querschnitten des
Fischrückenmarks habe ich drei Fortsätze von den
Zellen abgehen sehen: der eine ging in die vor-
dere Commissur, der zweite nach hinten, der dritte
endlich in die Wurzel des vordern Spinalnerven.
Ausser diesen drei Fortsätzen sah ich zuweilen noch
einen vierten, der die Richtung nach aussen zu den
Seitensträngen nahm; auch nahm ich zuweilen einen
fünften wahr, der zu den vordern Wurzeln der Spinal-
habe ich von einer Zelle der vordern Hörner sehr oft
Fasern der vordern Spinalnerv ren Iranrmne nah
ihwan
LVUR v virop ugo v
ging. Bei Säugethieren und beim Menschen
men sehen. Mauthner') giebt an, er habe beim
Hecht sehr oft in einer Ebene 7 Fortsütze von den
Zellen abgehen sehen. Eine solche Zahl ist mir in-
dessen nie vorgekommen. Stieda?) hat selten 3 oder
4 bis 5 Fortsätze gesehen.
Alle Zellen ohne Ausnahme hatten einen Kern, ein
Kernkórperchen und eine Membran. Die Membran
geht von der Zelle auf den Fortsatz über, so dass der-
selbe schon an seinem Ursprung als ein mit der Ner-
venscheide ausgerüsteter Nerv zu betrachten ist.
Eine Verbindung zwischen einzelnen Zellen einer
Rückenmarkshälfte habe ich weder bei Knochenfischen
noch bei andern Thieren gefunden. Prüparate von
Lenhossek habe ich nicht Gelegenheit gehabt zu
sehen, und andere Präparate, an denen man diese
Verhältnisse zu sehen glaubte, waren nicht geeignet,
solches mit Evidenz darzuthun.
Mauthner beschreibt bei den Fischen drei Com-
missuren: eine obere, eine untere und eine accessoria.
Stieda hat sich von der Existenz der obern Commis-
sur nicht mit Sicherheit überzeugen kónnen, obgleich
er die Möglichkeit des Vorhandenseins einer solchen
nicht in Abrede stellen will. Bei Säugethieren und
beim Menschen habe ich eine Commissur vor dem
Centraleanal und eine hinter demselben, aus doppelt
contourirten Fasern bestehend, oft beobachtet. `
Wenn man viele Querschnitte aus verschiedenen
Theilen des Rückenmarks macht, so erkennt man
leicht die Ursache der erwühnten Meinungsverschie-
denheiten. In zu dünnen Schnitten sieht man nämlich
oft keine einzige Commissur. In denjenigen Schnitten
dagegen, welche mittlere Dicke haben und auf wel-
chen eine besondere Zellengruppe vor den untern Hör-
nern vorkommt, sehen wir eine deutliche Commissur
aus doppelt contourirten Fasern; diese Commissur
verbindet die erwähnte Zellengruppe der einen Seite
mit der Zellengruppe der andern Seite. Ich nannte
diese Commissur die «untere», Mauthner nennt sie
«accessoria». Finden wir aber auf einem Querschnitte
diese Zellengruppen nicht, sondern nur die Gruppe
in den vordern Hörnern und liegt diese mehr nach
hinten zum Centrum des Rückenmarks, so verlaufen in
1) Mauthner, Beiträge zur nähern Kenntniss der morphologi-
schen Elemente des Nervensystems p. 19. Denkschriften der Wie-
ner Akademie der Wissenschaften. Band XXI. Jahr 1863. `
2) Ludwig Stieda, Ueber das Rückenmark und einzelne Theile
d
| des Gehirns von Esoz Lucius. Dorpat 1861. p. 14.
143
Bulletin de l'Académie Impériale
144
diesem Falle die Verbindungsfasern zwischen den Zel-
len der rechten und der linken Gruppe unterhalb des
Centralcanals in der grauen Substanz, während die
früher beschriebene Commissur in der weissen Sub-
stanz lag. Auch diese Fasern haben doppelte Gon-
touren. Die doppelten Contouren sieht man aber nur
auf guten Schnitten mit starker Vergrösserung und
einem guten Microscope. Stellt man aber seine Un-
tersuchungen mit einem mittelmässigen Instrumente
an und mittelstarker Vergrösserung, so kann man
leicht die doppelten Contouren übersehen und zu dem
falschen Schlusse veranlasst werden, dass die Com-
missur nur aus Axencylindern bestehe. Auch die
Fortsätze dieser Zellen habe ich nach vorn und innen
weit verfolgen können und in die vordere Wurzel der
Spinalnerven übergehen sehen.
Liegt bei einzelnen Querschnitten die zuletzt be-
schriebene Gruppe nicht in der Mitte der vordern
Hórner, sondern mehr in der innern Spitze derselben,
dann sieht man von vielen Zellen die. Fasern in die
zuerst beschriebene Commissur eintreten und also
durch die weisse Substanz auf die andere Seite des
Rückenmarks hinübergehen.
Bilden die Zellen endlich auf einem Querschnitte
nur eine dicht am Centralcanal liegende Gruppe oder
befinden sich einige von den Zellen sogar hinter dem-
selben, so schicken diese Zellen ihre Fasern zur an-
dern Hälfte des Rückenmarks theils vor dem Cen-
traleanal, theils hinter demselben. Auf diese Weise
haben wir noch eine dritte hintere oder obere Com-
missur, die auch aus doppelt contourirten Fasern be-
steht. Es war mir möglich, auch die so weit nach
hinten gelegenen Zellen im Zusammenhange mit den
vordern Wurzeln der Spinalnerven zu sehen. Die Fa-
sern liegen in den Commissuren theils parallel, theils
scheinen sie sich zu kreuzen. Ob es eine wirkliche
Kreuzung ist oder nur eine scheinbare, ist schwer zu
entscheiden, weil die Fasern hier in verschiedenen
Ebenen verlaufen. Endlich muss ich noch hinzufügen,
dass diese letzte Commissur, die hintere nämlich, in |
wenigen Fällen nur beobachtet werden kann. Wenn
auch einige Forscher die drei Commissuren als be-
sondere beschreiben, so finde ich keine Veranlassung,
irgend eine specielle Bedeutung jeder von ihnen zu-
zuschreiben; vielmehr hángt ihr Vorkommen eng von
"reem,
der Oertlichkeit ab, welche die Nervenzellen in-den
vordern Hörnern oder vor denselben einnehmen,
Mauthner macht uns auf zwei colossale Fasern
aufmerksam, die er in der weissen Substanz des Hecht-
rückenmarks beobachtet hat.. Solche Fasern kommen
auch bei andern Fischen vor. Betrachtet man auf-
merksam einen Querschnitt aus dem oberen Theile
des Fischrückenmarks bei starker Vergrösserung, so
wird man überrascht von der colossalen Dicke vieler
an dem untern (vordern) Theil der weissen Substanz
sich befindenden Fasern. Untersucht man nun die
Fasern der Wurzeln der vordern Spinalnerven, so
findet man, dass sie bedeutend dünner sind als diese,
Bei einer solchen Untersuchung drängt sich unwill-
kürlich die Vermuthung auf, dass diese Fasern der
weissen Substanz eine gleiche physiologische Bedeu-
tung haben mit den colossalen Fasern, welche im Cen.
tralnervensystem der Neunaugen und anderer niederer
Thiere, z.B. der Krebse, beobachtet werden. Es sind
Fasern, die im Rückenmarke selbst ihren Ursprung
haben und zur Verbindung der Zellen des Rückenmar-
kes mit den Zellen der medulla oblongata, oder wo
diese nicht existirt, mit den Zellen des Gehirns dienen.
Meine Untersuchungen an den Hummern lassen mich
vermuthen, dass diese Fasern aus der Vereinigung
‚mehrerer entstanden sind. Diese Vermuthung durch
directe Beobachtung an den Wirbelthieren zu bestäti-
gen ist mir trotz vieler Mühe nicht gelungen. Nicht
allein bei Fischen, sondern auch beim Frosche und
bei Säugethieren kommen solche breite Fasern vor.
. Fassen wir nun die Hauptresultate zusammen, die
sich aus den Untersuchungen des Rückenmarks erge-
| ben, welche in den letzten 7 bis 8 Jahren in verschie-
denen Ländern nach vervollkommneteren Methoden
und mit besseren Instrumenten angestellt worden, 89
lässt sich nicht làugnen, dass manche wichtige neue
Thatsache aufgedeckt worden, dass aber das Haupt-
schema der Rückenmarksstructur dasselbe geblieben,
wie es zuerst von Bidder und der Dorpater Seha
angegeben worden: |
Die Nervenzellen d des Rücl
mit den Fasern der Wurzeln der — |
| - ga "e?
men. Die Nervenzellen haben mehrere Fortsätze: der
eine geht als Commissurfaden zu der andern Seite,
der zweite geht in die vordere Wurzel der Spinalner-
ven, der dritte geht in die weisse Substanz über, Ul
145
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
146
o o RESEO
dort nach oben emporzusteigen und der vierte hat die
Richtung zu den Wurzeln der hintern Spinalnerven.
Dass aber in die vordern Wurzeln nicht ein Fortsatz,
sondern mehrere gehen, und dass zwischen den Zel-
len der vordern Hörner und den Wurzeln der hintern
Spinalnerven bei einigen Thieren noch Nervenele-
mente vorkommen, stürzt das von der Dorpater Schule
Ausgesprochene nicht um, sondern modificirt es nur
in nicht erheblicher Weise.
Der Artesische Brunnen zu St. Petersburg, von
G. von Helmersen. (Lu le 8 janvier 1864.)
Im Februar 1862, im December desselben Jahres
und im Februar 1863 habe ich in der St. Petersbur-
ger Zeitung Nachrichten über den Verlauf der im Nar-
waschen Stadttheile unternommenen Bohrarbeit mit-
getheilt. In einer Tiefe von 80 Fuss ward unter dem
Diluviallehm des Newadeltas eine wasserhaltige Sand-
schicht erbohrt, aus welcher ein klares, wohlschmek-
kendes Wasser aufstieg, dessen chemische von Herrn
v. Struve gemachte Analyse, und zum Vergleich die
Analyse des Newawassers und der Pulkowaer Quelle,
in einem der vorhergehenden Artikel bekannt gemacht
wurde.
Mit einer Tiefe von 88 Fuss war der grünliche
Thon erreicht, der das unterste der bisher bekannten
Glieder unserer untersilurischen Formation bildet. Als
diese 300 Fuss dicke Schicht durchbohrt war, folgte
in 388 Fuss Tiefe ein feinkörniger Sandstein, aus
welchem ein zweites Wasser noch höher als das erste
aufstieg, so dass es die Oberfläche der Erde erreichte,
mithin 3 Fuss engl. höher stand als das Grundwasser.
Es hat eine Temperatur von 7 Grad Reaumur, ist
auch krystallhell, enthält aber eine, wenn auch nur
sehr geringe Beimengung von Salz, das ihm einen lei-
sen Beigeschmack giebt.
Bei fortgesetzter Bohrarbeit zeigte dieser Sandstein
eine bedeutende Härte und Festigkeit. Der gewöhn-
liche Bohrer ward in Folge dessen durch den Frei-
fallbohrer ersetzt, und der durch seine geologischen
Arbeiten und seine Bohrungen im Moskauer Bassin
bekannte Berg-Ingenieur Romanowsky, der im Som-
mer dieses Jahres nach dem Lieutenant Nikolsky
‘die Arbeit am hiesigen Brunnen leitet, gebraucht statt
des schweren eisernen Gestänges ein hölzernes, wo-
Tome VII.
durch eine bedeutende Verminderung des Gewichts
und ein rascherer Gang erzielt wird.
In dem zuletzt erwähnten Sandsteine, in welchem
tiefer gebohrt ward, traten von Zeit zu Zeit dünne Thon-
schichten auf, so z. B. in 400 Fuss Tiefe, in 485 Fuss,
508 Fuss 9 Zoll. |
Unter dieser Schicht folgte ein lockerer Sandstein,
und kaum war der Bohrer in ihn eingedrungen, als
eine reiche Wasserquelle emporstieg, die bald den
ganzen Bohrschacht anfüllte, in welchem das Wasser
durch Pumpen niedergehalten werden musste. Alsaber
nach ein Paar Tagen das Bohrloch noch um einige
Fuss vertieft wurde, stieg das Wasser mit vermehr-
ter Gewalt und in grösserer Menge auf, war mit Pum-
pen nicht mehr zu bewältigen und überschwemmte in
Folge dessen einen Theil des Bohrplatzes, obgleich es
aus dem Schachte auch seitlich unter der Erde abfloss.
Man war genöthigt, aus dem Bohrschachte eine
Röhre nach dem nächsten unterirdischen Abzugsgra-
ben im Rigaschen Prospekt zu legen.
Das Wasser hat eine Temperatur von 9 Grad Reau-
mur, war anfangs durch das beigemengte Bohrmehl
trübe, hat sich aber jetzt vollständig abgeklärt. Sein
Geschmack verräth einen freilich sehr geringen Ge-
halt an Salz, der davon herrühren mag, dass es sich
mit dem Wasser aus 380 Fuss Tiefe vermischt. Um
über seine Beschaffenheit Aufschluss zu erhalten, wird
mit einem Batometer aus 520 Fuss Tiefe geschöpft
und die so erhaltenen Proben analysirt werden.
Als der Capitain Romanowsky am 14. December
noch einige Fuss tiefer hatte bohren lassen, erreichte
man einen grobkörnigen lockern Sandstein, der haupt-
sächlich aus weissem Quarz besteht, mit beigemeng-
ten eckigen Stückchen rothen Feldspaths und Blätt-
chen weissen Glimmers, offenbar ein zerstörter Gra-
nit. Aus dieser Schicht stieg sogleich mit grosser Ge-
walt eine noch viel bedeutendere Wassermenge auf,
die den Bohrschacht wieder fast bis oben anfüllt und
etwa 1 Kubikfuss in der Sekunde betragen mag. Die-
se Schätzung ist eine vorläufige, die genauere soll
nächstens vorgenommen werden. É
Die Bohrarbeiter trinken dieses Wasser obne die
geringsten Beschwerden zu fühlen, und sollte auch
einigen Personen der leise Beigeschmack widerlich
sein, so bleibt dem Wasser doch derjenige Gebrauch
gesichert, der die grossen Quantitäten verlangt, nàm-
10
147
Bulletin de l’Académie Impériale
lich Waschen, Baden, Speisenbereiten, Feuerlöschen,
Pferde und Vieh tränken u. s. w. Die grosse Menge,
die der Brunnen giebt, genügt aber dem täglichen Be-
dürfnisse von vielen Tausenden von Menschen, und
wir können daher den Erfolg unserer Arbeit als einen
guten bezeichnen.
Als in 388 Fuss Tiefe die zweite Wasserschicht er-
bohrtworden war, und nach dem Durchsinken der tiefer
unten folgenden Thonlager kein reichlicheres Wasser
aufstieg, war ich einen Augenblick zweifelhaft, ob die
Arbeit fortzusetzen sei oder nicht, um so mehr als die
angewiesenen Geldmittel zu Ende gingen. Aber das
wissenschaftliche Interesse des Gegenstandes behaup-
tete sein Recht. Man konnte nämlich mit Sicherheit
voraussetzen, dass das Bohrloch bei fortgesetztem Ab-
tiefen etwa in 500 bis 600 Fuss Tiefe auf den Gra-
nit stossen werde, der als südliche Fortsetzung der
finnnländischen Granite wohl ohne Zweifel den Unter-
grund des Meeresbodens im finnländischen Meerbu-
sen und der silurischen Schichten Estlands und In-
germannlands bildet.
War diese Voraussetzung richtig, so war es die
Annahme nicht minder, dass zwischen der untersten
silurischen Schicht und dem unter ihr liegenden Gra-
nit eine lockere Schicht zerstörten Granits sich befin-
den werde, wie man das an den Flussprofilen des
Dnjestr sehen kann, wo auch silurische Gesteine auf
Granit und Gneiss aufliegen.
Da nun solche lockere Gruslager sich zum Ansam-
meln unterirdischer Wasser gut eignen, so durfte man
beim Vertiefen des Petersburger Brunnens auf eine
dritte, über dem Granite liegende Wasserschicht hof-
fen. Ich bin geneigt zu glauben, dass wir sie wirklich
erbohrt und nicht sehr weit mehr bis zum Granite
haben.
Als diese Gründe zur Fortsetzung der Arbeit dem
Herrn Finanzminister vorgelegt wurden, genehmigte
er das Gesuch sogleich und befahl die Geldmittel zur
Ausführung anzuweisen. Der Erfolg hat dieses Ver-
trauen zur Wissenschaft gerechtfertigt.
Die ganze Arbeit hat von ihrem Beginn im Mai
1861 bis jetzt, ungefähr 17,000 Rubel gekostet. Will
man aber ein zweites Bohrloch an einer beliebigen
andern Stelle unserer Hauptstadt anlegen, so würde
der Erfolg ein vollkommen sicherer, die Ausgabe je-
doch eine viel geringere sein, da man sowohl den Bohr-
thurm als die übrigen hölzernen Gebäude abtragen
und auf dem neuen Bohrplatze wieder aufrichten kön-
dies diesämmtlichen Bohrinstrumen-
te und Vorrichtungen als bereits vorhandene, nicht
anzuschaffen hätte. Die Ausgaben würden sich auf
die Gehalte, auf die Bohrröhren, den "E der
Gebäude beschränken.
16. December 1863.
+ 1 À sh
Nachschrift. Ich kann dieser Nachricht hinzufügen,
dass der Brunnen, der bereits bis 540 Fuss vertieft
ist, eine noch grössere Wassermenge giebt als früher,
nämlich, nach einer genauen Messung 1'/,, Cubik-
Fuss in der Secunde, und dass es 21 Fuss hoch über
den Boden springt, wenn man eine engere Röhre auf
die Mündung setzt.
25. Januar 1864.
Ein Beitrag zur Frage über die Zeitdauer, wel-
che zur Sumpf- und Torfbildung nothwendig
ist. Von F. Ruprecht. (Lu le 13 novembre 1863.)
Ein blosser Blick auf die speziellen Karten des Pe-
tersburger Gouvernements zeigt, dass die hier so zahl-
reichen und ausgedehnten Moossümpfe in einer noch
unbestimmten früheren Zeit Seen gewesen sind, die
zum Theil noch jetzt nicht vollständig zugewachsen
sind. Andererseits sind unsere grösseren Torfmoore aus
Moossümpfen entstanden, an deren Bildung ursprüng-
lich und hauptsächlich Sphagnum gearbeitet hat. Um
sich hiervon zu überzeugen, wähle man die Mitte der
zuweilen schon gangbaren Moossümpfe, in Sicht der
noch offenen Stellen (hier Fensterchen genannt). Hier
kann man in dem einförmigen Filz von Sphagnum nur
äusserst wenige Pflanzenarten anderer Ordnungen zäh-
len. Mit dem Maasse der Entfernung gegen den Rand
des Sumpfes vervielfältigen sich die Arten und Indi-
viduen; der Rasen wird immer mannigfaltiger und
dichter durch Cyperaceen, Oxycoccos, Vaccinium uli-
ginosum, Andromeda, Chamaedaphne, Ledum, Cha-
maemorus, kleine Baliées ant Betufla nana; wührend
aus dem Wäldinne Birken und Kiefern ihre Vorposten
in den Sumpf hineinschicken, in welchem sie weiter
vordringend immer weniger und weniger Bedingun-
gen zu ihrer Entwicklung finden. Die Kiefer "i
immer kleiner, krüppliger, mit Bartmoos bedeckt, Sie
hat auffallend kleine Zapfen und kurze Nadeln u
149
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
150
een
heisst bei Pallas Pinus sylvestris nana), bei den Forst-
beamten humoristisch «Pomeranzenbaum.» Auf diese
Weise wird der Moossumpf sogar in Wald umgewan-
delt; Alle diese Umbildungen geschehen so zu sagen
unter unseren Augen, und dennoch haben wir dafür
kein, wenn auch nur annäherndes Zeitmaass.
Im westlichen Europa hat man Beobachtungen über
das Wachsthum gewisser Torfmoore gemacht, welche
aber sehr abweichende Resultate gaben. Hoffmann
fand für 50 Jahre 8 Fuss, De Luc für 30 Jahre 6
Fuss ?), Lesquereux °) für 70 Jahre 6 Fuss, in an-
deren Fällen als Minimum 2 Fuss in 100 Jahren.
Bewiesen ist, dass abgebranntes Knieholz in 40 Jah-
ren so überwachsen wurde, dass keine Spur vom Brande
mehr zu sehen war. Bei Kempten fand man eine alte
beschotterte Strasse 1'; Fuss tief unter Torf ‘), im
Bourtanger Moor bei Gröningen liegt 2—3 Fuss tief
ein Holzdamm von 2 Wegestunden Länge; beide Fälle
wurden auf die Römerzeit bezogen °). Ein solcher
Maassstab, der aber anderen Beobachtungen wider-
spricht, würde dem Menschengeschlechte ein ausser
ordentliches Alter vindiciren, denn man fand am Grunde
solcher Moore Werkzeuge der Steinperiode: Aexte,
behauene und angebrannte Pfähle. Andrerseits würde
man für das mächtigste Torfmoor von 40 ") oder 50
Fuss’) nur 200— 250 Jahre Alter berechnen müssen.
Augenscheinlich hängt hier alles ab von localen und
nicht i tanten Bedingungen, von Unregelmäs-
sigkeiten im Wachsthume, von Verhältnissen, die erst
noch genauer zu erforschen sind.
Diese Beispiele sind aber für unsere Moossümpfe,
welche es an vielen Orten noch zu gar keiner wahren
Torfbildung gebracht haben, nicht recht anwendbar.
Unsere Ingrischen. Sümpfe sind jünger. Sie bildeten
sich erst dann, als durch die geologische Hebung des
Bodens das Wasser bis auf eine gewisse Tiefe abgeflos-
sen war. Die seichtesten unserer Sphagnum-Moore, die
bereits in Torf umgewandelt sind, haben nur 1 Fuss
I) Rupr. Symb. 1846 p. 224.
2) De Luc Briefe 134. Lesq. p. 43. Lasius Kritik in Lesq. 134.
3) In den Mooren von Ponts. Lesq. Unters. Torfm. 1847, S. 78.
4) Sendtner Vegetations-Verh. Bayerns S. 648.
5) Grisebach, Bildg. Torf. 1846. S. 69.
6) In Litthauen: Lesquer. Recherch. s. l. marais tourbeux 1844
P- 18. 118. In den Emsmooren nur bis 30 Fuss, nach Griseb. 1. c.
sl Unger Gesch. Pflanz. 1852. S. 130. Bezieht sich vielleicht auf
x MEUM bei Amsterdam, die aber mit Sandschichten ge-
und weniger Mächtigkeit und lagern auf einer thonigen
Schicht. Torfe von 10' Dicke sind hier keine Selten-
heit. Sondirungen der grósseren Sümpfe sind nicht ge-
macht worden; man weiss nur beiläufig, dass man mit
«langen» Stangen keinen Grund erreichen konnte. Den-
noch scheint es nicht, dass die Tiefe derselben be-
deutend sei.
. So viel mir bekannt ist, hat noch Niemand das fol-
gende Beispiel besprochen, welches, vollständig ge-
sichert, von grosser Wichtigkeit wàre für die Bestim-
mung des Zeitmaasses, innerhalb welchem gróssere
Seen bei uns vollständig verwachsen. Im SO Theile
des Petersburger Gouvernements, bei Tossna, nördlich
von dem praktischen Forst Institute Lissino und SW
von Staroe Lissino befinden sich 2 grosse Moossümpfe,
von welchen der SO schon seit vielen Jahren durch
eine unmittelbar aufliegende Brücke aus Querbalken
passirbar gemacht ist. Diese 2 Sümpfe sind nun auf
alten schwedischen Karten als 2 Seen dargestellt, und
als solche eingetragen in die Karte Ingermannlands,
herausgegeben 1827 von Schubert und Bergen-
heim, nach den in schwedischen Archiven aufbewahr-
ten Materialien von 1676. Ist diess nicht durch ein
Missverständniss geschehen oder ist die ursprüngliche
Aufnahme wahr? — das ist wohl die erste und na-
türlichste Frage. Ich habe desshalb mit Bewilligung
des H. General L. Blaremberg im Archive des To-
pographischen Depot Nachforschungen angestellt, die
zu folgenden Resultaten geführt haben: 1) Das Brou-
illon der unmittelbaren Aufnahme dieser Gegend im
17-ten Jahrhunderte scheint nicht mehr vorhanden
zu sein, ist aber in allgemeinere Karten dieser Zeit
eingetragen. 2) Eine Karte vom Jahre 1676 mit deut-
scher Schrift zeigt diese zwei Seen. 3) Eine alte Karte
in kleinem Maassstabe ohne Jahreszahl, mit lateini-
scher Schrift, hat zwar diese Seen nicht, aber auch
die sonstige hydrographische Ausführung steht im
Allgemeinen gegen die übrigen Karten dieser Zeit zu-
rück. 4) Eine Generalkarte zusammengestellt im Jahre
1682, mit lateinischer Schrift, zeigt die 2 Seen. 5) Eine
alte noch nicht benützte Generalkarte, im Ganzen über-
einstimmend mit jener vom Jahre 1682, aber in man-
chen Einzelnheiten correcter als alle vorigen, ohne
Jahreszahl, mit deutscher Schrift, illuminirt, zeigt
ebenfalls die fraglichen 2 Seen in scharfen Conturen,
grün gefürbt, wie die Newa und die jetzt bestehen-
10*
151
Bulletin de l’Académie Impériale
152
den Seen. Die Sümpfe haben auf dieser Karte keine Con-
turen und sind nur grün bespritzt, wie z. B. der nahe
Moossumpf zwischen dem Dorfe Kauschta (welches
auf allen älteren Karten fehlt) und dem Ursprung der
Lustowka, dessen grosse Ausdehnung von N nach S die
Aufschrift führt „Alt Kiar Morag”. Grosse Räume
sind gleichförmig mit einer Figur bedeckt die entweder
Wald oder wahrscheinlicher Sumpf bezeichnen sollte
und dieses Zeichen ist auch wiederholt in die fragli-
chen 2 Seen hineingezeichnet. Dass diess nicht durch
Unachtsamkeit geschah, beweist der Umstand, dass
alle übrigen Seen dieses Sumpfzeichen nicht haben.
Nur ein einziger See ist ähnlich jenen von Lissino
dargestellt, und da er auf den übrigen schwedischen
Karten nicht angegeben ist, so fehlt er auch auf der
1827 copirten Karte. Dieser Sumpfsee lag unweit
der jetzigen Narwa’schen Chaussee, östlich von der
Poststation Tschirkowitzy, reichte von Negoditzy über
Briskowa, erreichte fast Olchowa; nach Süd erstreckte
er sich fast bis Wärnitzy und Koskowitzy. Die neue-
sten Aufnahmen geben ihn fast eben so, aber als Sumpf.
Es ist als wenn diese Karte einen Mittelzustand oder
eine Übergangsstufe °) besagter 3 Seen in Sümpfe,
also Sumpfseen ausdrücken wollte; denn gesetzt, die
frühere Aufnahme wäre als Irrthum erkannt worden,
so war gar keine Veranlassung da, ausser der neuer-
dings erkannten sumpfartigen Beschaffenheit, noch
die Zeichnung als See beizubehalten. Nicht zu über-
sehen ist, dass zur Herstellung dieser Karte Verhält-
nisse aus den Jahren 1634 bis 1654, also unter der
Königin Christine, Tochter Gustav Adolph’s, benützt
wurden, wie eine Notiz an der Ecke der Karte be-
sagt. Ich erwähnte oben, dass diese Karte correcter
als die übrigen sei; diess zeigt sich durch die zum
ersten Mal erfolgte Angabe des Dorfes Peri (Peris)
und zwar in der richtigen Lage; ferner durch das
Weglassen des Dorfes «Lentaka», statt dessen ‚‚Neni-
fala by‘ näher zur Lustowka gezeichnet ist, auf dem-
selben Fleck wie das elende finnische Dorf gegenüber
dem Forstinstitute Lissino, welches mir noch vor 10
Jahren als Nenikolowa genannt wurde (Hunuxe der
8) Eine weit vorgeschrittene Umwandlung mehrerer Seen in Torf-
Morast, Waldmoor, schwimmende Insel, mit trügerischer Decke, 15
Werst südlich von Tula, beschrieb Abich 1854 im Bulletin XIII,
946. Ludwig (Reise Russ. 1862) fand an der Okka bei N. Nowgorod
die Moosdecke eines Tiefmoores nur 1!/ Fuss dick, darunter Wasser
und im schwarzen Moder bei 10 Fuss noch keinen festen Grund.
Russ. Karte 1834). Und dennoch ist diese colorirte
Karte früher als 1685 gezeichnet, wie sich diess wei.
ter unten erweisen wird. Bei diesen treffenden Ein.
zelnheiten würe es daher sehr gewagt, zu vermuthen,
dass die damalige Aufnahme nach blossen Hürensagen
gemacht sei. Diese Gegend spielte im 17 Jahrhun-
dert eine gewisse Rolle, denn Lissino Pogost war ein
bekannter Theil des Koporie Län und die Umgebung
dieser 2 Seen hatte damals mehr Dörfer als jetzt,
Ein schwedischer Landmesser, wenn er auch der fin-
nischen Sprache nicht mächtig war, konnte wohl die
Namen der Dörfer nach seiner Art geben, aber dass
er einen Moossumpf von der heutigen Beschaffenheit
für einen reinen See ansah, dazu gehört die Annahme,
dass der Topograph seine Aufnahmen nach falschen
Angaben im Lissina Hof oder Pastorate machte und
nie eines dieser vielen am See gelegenen Dörfer auch
nur gesehen habe und dass auch der Gutsherr, Pastor
und andere daselbst lebenden Personen nie ihre näch-
sten Dörfer (auch nur auf 5 Werst Entfernung, in einer
vorzüglichen Jagdgegend) jemals besucht hätten oder
dass die Aufnahme im Winter gemacht sei, ohne Je-
manden zu befragen. Alles möglich, aber nicht wahr-
scheinlich. Es konnte aber auch, gegen die herge-
brachte Ordnung, die Gränze des Sumpfes mit schar-
fen Conturen gezeichnet sein und bei der Zusammen-
stellung in die Generalkarte die ursprüngliche ord-
nungswidrige Darstellung Veranlassung zur Zeich-
nung 2 Seen gegeben haben. Aber der 3te See?
Nach weiteren Nachforschungen im Archive fand
sich eine ebenfalls noch unbenützte sehr genaue
und spezielle schwedische Karte vom Jahre 1685.
Leider war sie aber für die vorliegende Frage un-
brauchbar, denn sie zeigte nirgends Flüsse, Seen, Süm-
pfe oder Wälder, sondern nur nutzbares trockenes
Land, Ansiedlungen und juridische Gränzen ganzer
Bezirke, so wie einzelner Dörfer, besonders an die-
sen fraglichen Seen. Es war diese Karte augenschein-
lich für den Kataster unter König Karl XI aufgenommen.
Über die älteren russischen Karten wäre besser Zt
schweigen. Die Karten von 1764 und 1772 haben
nicht einmal Lissino und stellen diese Gegend so un-
richtig dar, dass man sich kaum orientiren kann. Von
den wenigen Ortschaften sind bloss zu erklären ee
‚coaona (Nenekolowa), Pax6yaono westlich von Ihpu
(Peri?); auf der Karte von 1772 ist deutlich zu leset —
he... éd 5: 5 té
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geet A
153
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
154
Hepu und Kaiboaosa; Seen sind nicht da. Man sieht,
dass den Verfertigern die schwedischen Karten Inger-
mannlands, die sich damals in Stockholm befanden,
vollkommen unbekannt waren.
Vielleicht gibt es noch andere schwedische Karten,
Revisionen, Berichte u. d., welche ein weiteres Licht
auf diesen Gegenstand werfen könnten.
Ein Bedenken könnte noch sein, warum der angrän-
zende Moossumpf von Kauschta zu derselben Zeit
nicht auch ein See gewesen und doch als Sumpf dar-
gestellt sei? Es ist völlig unwahrscheinlich, dass ein
Landmesser vor 180 Jahren von Peri, Nenikala oder
Gorki aus, weit auf einem unbewohnten Sumpfe ein-
gedrungen sei, der nicht das geringste Interesse für
ihn darbot und der auch jetzt noch zum grössten Theile
unzugänglich ist, ausser etwa im Winter. Warum
konnte damals nicht die Mitte stellenweise offene
Seen gehabt haben? Offene Stellen sah ich selbst noch
im Jahre 1846 bis 1851, und Reste davon sind in
die neuste Aufnahme von 1853 übergegangen. Übri-
gens hat der Sumpf von Kauschta seinen Abfluss nach
Süd, jener von Staroje Lissino nach Nord; letzterer
ist fast ringförmig geschlossen durch trockenes ge-
hobenes Land; es sind also hier verschiedene Bedin-
gungen.
Aus Allen ergiebt sich als Resultat, dass es wohl
wahrscheinlich, aber nicht streng zu beweisen ist, dass die
fraglichen 2 Moossümpfe noch vor 300 Jahren Seen
waren”). Aber mitSichexheit kann man annehmen, dass
zu dieser Umbildung mehr als 180 Jahre nothwendig
waren. Die colorirte Karte, welche ein Alter von
180—200 Jahren hat, gibt schon die erste Andeutung
des Sumpfes. Möglich dass auch die Tradition der
dort angesiedelten Finnen auf die Zeichnung als See
von Einfluss gewesen ist. Dass aber diese Tradition
weit hinauf reichte, ist sehr zweifelhaft, aus folgen-
dem Umstande,
Die jetzt in dieser Gegend wohnenden Finnen sind
allem Anscheine nach vor 178 bis 188 Jahren ein-
a "Aë im J. 1320 von dem übrigen Holstein durch einen schiff-
aber Die an (die Brockau) getrennt und eine Insel war, jetzt
münd 2) Oldenburg keine Seestadt mehr sei, weil die West-
med gänzlich geschlossen und die Ostmündung nur schwer zu
“le passirt werden könne.
gewandert. Diess beweist die erwähnte Karte von
1685. Es traten fast plötzlich andere Ortsnamen auf,
von welchen ein Theil mit den heutigen Namen über-
einstimmen, wie Runigala (KynsrozoBo), Raibala (Kaii-
BO.10BO), Päräfyle (Tleperıo1o), Sompä (IIHyu6a), die
sämmtlich auf den älteren schwedischen Karten feh-
len (etwa mit Ausnahme von Kaipala, dass eine an-
dere Lage hatte). Es war aber noch nicht aller Zu-
sammenhang mit den alten Dorfnamen von 1676 ver-
loren gegangen, denn Osmola, Golsina, Krinila, Wa-
namoiso, Sillanpä und Sosari sind noch da als
OfBmola, Güsina, Grinila, Wangamoifto, Selianpä und
Soofari, lauter Dorfnamen, die jetzt nicht mehr exi-
stiren, so wie eine Menge anderer in diesen Karten
aufgezeichneter. Es ist, als wären in dem Zeitraume
von 1676 und 1685 (welche Jahre der 1 und 2 Revision
entsprachen, wie ich auf einem aufgeklebten Stück
Papier auf der Rückseite dieser alten Karten las), die
alten Bewohner grósstentheils weggezogen oder aus-
gestorben an Blattern oder anderen Epidemien, wie
bekanntlich auch später eine bösartige Epidemie um
das Jahr 1710 unter der finnischen Bevölkerung Inger-
mannlands starke Verheerungen anrichtete. Die Fin-
nen liebten auch, bis ins vorige Jahrhundert nachweis-
lich, sich überzusiedeln, so dass z. B. das Dorf Soänpä,
welches 1676 am östlichen Ende des 2-ten Sees lag,
auf die Stelle kommen konnte, wo Sompä 1685 an-
gezeigt ist. Aber im Ganzen hat es den Anschein,
als ob ein anderer finnischer Stamm, oder wenigstens
Familie die verlassenen Gegenden, in zahlreicher
Menge in Besitz nahm, da nicht einmal der Name der
früheren Ortschaften durch Tradition sich erhalten
hatte und die Veränderungen der Ortsnamen in dieser
kurzen Zeit zu gross ist. Und wie die früheren Orts-
namen bis 1685 untergingen, ebenso wiederholt sich diese
Erscheinung seit dieser Zeit, denn von 30 Dörfern ist
jetzt kaum mehr die Hälfte übrig, und von dieser .
Hälfte nur noch 5 unter den früheren alten Namen.
Nach Köppen’s ethnographischer Karte wohnen jetzt
dort nur Finnen des Stanimes Äürämöiset und nicht
Woten (Tschuden). Der Moossumpf bei Lissino, um
welchen sie rings herum wohnen, heisst Walassu, rus-
sisch Bomuunckoe 6010m0, Namen die erst durch die
neueste Aufnahme von 1853 bekannt geworden sind.
Von Woten (Boð oder Bomz) ist das nicht abzuleiten,
denn es müsste Bomexoe heissen; Bomuuna ein erbli-
156
Frage unumgänglich nothwendig ist. Die Naturge.
schichte der Erdoberfläche wird aber zuweilen dure
| Archaeologie, Ethnographie und Linguistik erläutert
155 Bulletin de l’Académie Impériale
ches unbewegliches Eigenthum, macht somuunnoe ; viel-
leicht von eomwa (Wotscha) finnisch-syrjänischen Ur- |
sprunges (Sjögren, Gesamm. Schrift. I, Verzeichniss
geographischer Namen, S. 677). Es kann nicht in | Vielleicht werden Kenner der finnischen Sprache au
meinem Plane liegen, der Geschichte dieser Bevölke- dem hier mittgetheilten Materiale weitere Schlüsse
rung weiter nachzuforschen, als es für die vorliegende | machen.
Historische Vergleichung der Wohnorte um den Sumpf Walassu (Wotschinskoje boloto), ehemals
See im Caporie Län, Lissina Pogost (Ingermannland).
Russ. Aufnahme Schubert’s Schwedische Original- Karte Schwed. Karte Schwed. Karten Schwed. Original-Karten
1834. 1685. copirt 1682. 1676, copirt 1827. 1676 und Mice Jahreszahl,
RENTEN (BE, "TEE Osmola.. eens i A TA E ES Ofmola, Ofmala.
x SANS 2. (Gtigina............. elsinoa ....... is; 2. Golsina.......... Gelfinoa, Golfina,
Vira wo bars 3. Tori (Deri?)........ O0 Perola...........,,, — 9. Perola........... Perola, Paugila,
1, Ioraesu Gogiesi PS 0 4 %gola.............. Ligala........... Ke WT TEE ER S
2. Ilonosra (Popowka)... 0 5. INL ERLITTEN ROMA TAM Neel TS BEENDEN Se din.
Pro
3. Crapoe neng, 27 xym. 7 yina Cr ZER Lisila ua Ve SR TT EE ET Lifila,
Alt-Lissino, 27 m. Seel. > 5. Mgauuft e Ke Lisila Hof........ 5. A Lisa Hoff....... Lifille Hof.
4.Kymsroz080 (Kungolowo) 9. Runigala........... E Ze egen Et ORTE kaum «Kaugila» (welches
hart bei Lissino). `
5. Cape (Chalikowo). 0 10. Simofea............ 0 Iwana m DT ` T SE Iwanna (2 mal deutlich).
A PET PR 11. Qilla Karöfu ........ ee IET
d IER EOS TEE in 8 Ofkona..... sabre ken, sis. ENN (uechter `
6. KañsozoBo Ensio; 19 ANNE. ee Kenia, ... ees Ls ow a SERIE
7 Iloru, 22
ss.
ayurp (Pogi).. 13. Poinos
8. JopsuxoB0 (orvilowo) 0 14. Sonagmeitg er ger `
0 rinila Krinila,
9. EE 15. G A EC M BET à mé on PSN
ss. 16. R Ritala o. ee eee ss... BS. REN: . ss... S
(e Anke 17; Pita (bei Rifala).... O Pistola (zwischen Of- SR Pool à ren ‚ice |
kona und Kaipala rinila}
10. ITepu(PeriamSW.-Ende) 18. Perowo bp... Denn TS hd. pers Ke Br der colo-
11. IIepexioao (Perekülo).. 19. Püräfple........... O O.....-. EN IE Hoe c.i de : |
Re sue ce à 0 ss... m... . Kori ande CRW e LI i i
12. Ilyu6a (Schumba)..... 20. Sompé — SE Beemche Soul
Bak, uk ro ON: 0 RT bg LE et 0
` Oe > zus bb c to EEN : NEE 0
PD. „UST Selianpâ..........: ^ Sillanpe........-.,. i NE
Se Paufoaone CO np mm 18. — EE Ve "m Gillanpe. e
Tee 4 4 TT Te EE, e BR Re A ERST Usadiss Se a i CH REN i T
$$ oos: 24. Sanguis un : oh EE E e
BS ET PP À ep bison 15. Gorenits......... kengen À rit ES
Dossier 25. Cdi 09.12... Selgora ana 16. Sel] pr m
14. Ms Pazoonnuruna peen des Hrn. Radofinikin) liegt air von Tonon Candle) BE
En A 26. mfi. LTE Ger orti diet Col. E:
15. buio (Kirpolowo) 0 at RAN CENE TOI. ` de So 87 M esl DESEN
Auf der Ost-Seite des 2ten Sees von S. nach N. lagen folgende Orte:
1834. 1685. 1682. 1676 (1827 edirt). 1676, s.
28. Spötds o |
; a bp
SECHS sac £M. Cuir eai " RER 0
31. Kyrfowa Me MER? 0 ss
o 82. Sefenabi
re ee a ASQ AR I eg 19. anpeh. E
D eege n et a T Bio Sara V Saet
Südlich von dieser Gegend befinden sich auf der Karte d Said
Kawschta (n. 17), Ninike (n. 19) und Lustowka (n. 20) am Beete, eu e PAPA m, ES
157 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 158
EEE
Ausserdem bestehen
jetzt nicht mehr mehrere
Orte östlich von Saresilka,
wie z. B. Tersowa (n. 21),
Seseiva (n.22). Einige Na-
mender Karte vom Jahre
1685 waren nicht mit Si-
cherheit zu entziffern und
bedürfen einer paläogra-
phischen Revision, auch
waren einige Punktirun-
gen und Ortszeichen in
Folge des Alters oder Be-
nützung der Karte ver-
wischt; zwischen Lissino E
und Sesenabi liegt (n. 33,
33) die Gegend «Timofa
öde», vielleicht Tumoæes
IIyCTOIIl'b ?;« by»—schwe-
disches Wort für Dorf.
Auf der Karte von 1827
sind folgende alte Wege
angegeben: Von Ranamoi-
sio (n. 10) ein (Winter?)
Weg über den Kauschta-
Sumpf nach SW bis zum
Dorfe Kunanowa hart bei
Gorka an der Suida. Von
Osmola (n. 1) nach N bis
zum Dorfe Uskina an der
Tosna. Von Soänpe (n. 19)
3 Wege: SSW über Len-
taka nach Neinkala an der
Lustowka;— SO zum Dor-
fe Martinowa an der Toss-
a — und O zum Dorfe
Alakilla by an der Tossna,
von da führte auch ein ge-
rader Weg zum Dorfe Se-
seiva (n. 22).
Nach schwed. Karten vom J. 1676, copirt 1897.
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28
:
Uber die fei De Zem
eine Structur des Kleinhirns der Fi-
sche, von Ph. Ofsjannikof. (Lu le 11 décembre
1863.)
Es wäre überflüssig bei der Beschreibung der Me-
thode mich aufzuhalten, derer ich mich bei Anferti-
sung der Präparate bediente. Es ist die bekannte
Methode, die in der letzten Zeit bei hystologischen
Untersuchungen des centralen Nervensystems fast
Allgemein angewendet wurde. Härtung der Präpa-
rate in Chromsäure, Färbung der feinen Schnitte
mit carminsaurem Ammoniak. Nur füge ich noch
Folgendes hinzu. Nachdem die Schnitte sich gut ge-
färbt haben, spüle ich sie ein paar Mal mit Spiritus
aus, trockne denselben ab und benetze dann die Prä-
parate mit Creosot. Sie werden dann in einigen Mi-
nuten durchsichtiger. Das Creosot ist besonders von
Kutschin, Prosector des Physiologischen Instituts in
Kasan, mit grossem Erfolge angewendet worden. Ich
159
Bulletin de l'Académie Impériale
muss gestehen, dass das Creosot viele Vorzüge vor
andern zu diesem Zwecke angewendeten Mitteln be-
sitzt. Sind die Präparate durchsichtig, so legt man
auf dieselben einen Tropfen Damarlack oder Canada-
balsam und bedeckt sie mit einem Deckgläschen. Zur
Erforschung einiger besonderer Verhältnisse des Cen-
tralnervensystems leistet die verdünnte Schwefelsäure
sehr gute Dienste.
Schon an dem Querschnitte des frischen kleinen
Gehirns kann man mit blossem Auge die wesentlichen
Theile desselben erkennen. In der Mitte sehen wir ei-
nen grauen Punkt, den Centralcanal, von beiden Seiten
desselben röthliche Streifen, Gefässe; dann die weiss-
liche Masse, Nervenfasern nebst Kernen; sie wird be-
grenzt durch einen Ring von schwachgrauer Farbe,
die Rindenschicht. Zwischen der Rindenschicht und
der weisslichen Masse bemerkt man einen mehr tief-
grau gefürbten Strich, es ist die Grenzschicht, wo sich
zuweilen eine einfache, zuweilen aber auch eine
mehrfache Lage von Nervenzellen befindet. Um aber
eine tiefere Kenntniss in die Struckturverhältnisse
zu erlangen, muss man schon zu Chromsäurepräpa-
raten seine Zuflucht nehmen. An einem solchen fei-
nen gut zubereiteten Querdurchschnitte sieht man Fol-
gendes. In der Mitte oder etwas mehr nach unten
d. h. zur untern Fläche, bemerkt man den Centralcanal
oder die Centralhóhle. Das Epithel hat zuweilen Flim-
merhaare und zuweilen keine. Es ist mir selbst nicht
selten begegnet, dass im kleinen Gehirn, besonders
bei grossen Fischen, die Centralhöhle gar nicht exis-
tirte. In der Nähe der Centralhóhle finden wir Binde-
gewebe, grössere Stämme von Blutgefässen, Nerven-
fasern theils in grósseren, theils in kleineren Bündeln
zusammenliegend. Diese Bündel haben ihre Richtung
von innen nach aussen. Je mehr sie sich der Peri-
pherie nähern, zerfallen sie in kleinere Bündel nnd
schliesslich in einzelne Fasern. Diese Nervenfasern
sind sehr dünn, gehören zu den feinsten, die wir über-
haupt im thierischen Organismus vorfinden. Frisch
untersucht bemerkt man an ihnen perlschnurartige
Anschwellungen, dieauch an allen andern feinen Ner-
venfasern leicht zu sehen sind. Hier haben die Fasern
deutlich ihre drei Bestandtheile Cylinderaxis, Nerven-
mark und die Nervenhülle. Die Cylinderaxis ist nur
an Chromsäurepräparaten gut zu sehen, jedoch selten
so schön wie im Kleinhirn der Säugethiere. Die Ner- |
venfasern färben sich mit carminsaurem Ammoniak
roth, aber viel langsamer als das übrige Gewebe des
kleinen Gehirns. Legen wir einen Querschnitt mur
auf kurze Zeit in Wasser, zu dem einige Tropfen car-
minsauren Ammoniaks beigefügt sind, so färbt sich al-
les roth, während die Bündel gelblich erscheinen,
Auf diese Weise kann man ihre Lage genauer studie
ren. Sie erscheinen als rundliche oder längliche In-
sein von verschiedener Grösse, umgeben von röthlicd
gefärbten Elementen der sogenannten Körnerschicht
An der Grenze der Kórnerschicht und der Rinder
schicht, im Raume, wo die Nervenzellen liegen, finde
man auch Nervenbündel, die sich durch ihre gelbe
Farbe leicht unterscheiden lassen. Diese Bündel h-
ben eine der Oberfläche parallele Richtung, also eir
andere wie die übrigen, und ihre Dicke ist nie sehr
betrüchtlich. .
Verfolgen wir die Fasern der früher beschriebene
Bündel, wo sie schon einzeln zu 2, 3, 4 oder 5 lie
gen, so wird es uns bei sergfältiger Untersuchung uni
starker Vergrösserung möglich werden, den Zusam-
menhang der Fasern mit den sogenannten Kernen m
sehen. Die Nervenfaser giebt feine, kaum messbar
Seitenzweige, die mit den Kernen zusammenhängen
Auf diese Weise geschieht es, dass jede Nerven
ser, bevor sie zu der Nervenzellenschicht gelangt ist,
eine vielfache Verbindung mit den Kernen eingenet
muss. Mit wie vielen Kernen eine Nervenfaser sit
verbindet, ist schwer zu sagen, jedoch muss ihre Zall
recht gross sein, wenn man berücksichtigt dass 2
weilen ein kleiner Theil der Faser mit 15—20 Kent
zusammenhängt. Natürlich gelingt es fast nie, ett
Faserin ihrem ganzen Verlaufe zu untersuchen.
Die Verbindung der Nervenfasern mit den Ker?
ist làngere Zeit bezweifelt worden. Dieses hat sene
Grund in der Schwierigkeit des zu untersuchenit
Objeetes. Gerlach, welcher das Kleinhirn des Mer
schen untersuchte, will die Verbindung der Kerne Bi
doppelt contourirten Nerven beobachtet haben. Seine
Ansichtistauch Hess, welcher seine Untersuchung
am Cerebellum des Menschen, der Säugethiere E
Fische angestellt hat; dagegen spricht sich aber K |
liker, einer der tüchtigsten und vorsichtigst
scher, sehr zurückhaltend aus. Eines Theils h P
Kerne für indifferentes Stroma der Bindesabstm
Stütze des zarten Nervenplexus, anderem The ^
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
eamm tiia
er für wahrscheinlich, dass alle Nervenfasern mit den
Kernen verbunden sind. Diese letzteren ist er nicht
abgeneigt als Zellen zu bezeichnen.
Stieda') endlich, der uns eine sehr schöne und
werthvolle Abhandlung über das Centralnervensystem
der Fische gegeben hat, erklärt sich gegen Hess und
Gerlach und glaubt, dass unsre gegenwärtigen Hülfs-
mittel zur gültigen Entscheidung dieser Frage nicht
hinreichend sind. Stieda hat keinen Zusammenhang
der dunkelrandigen Nervenfasern mit Kernen gesehen,
obgleich er sich, wie er selbst sagt, anhaltend mit der
Frage beschäftigt hat. Er sah zuweilen kurze Fädchen
an den Kernen, jedoch konnte er sich nicht überzeu-
gen, ob sie nervöser Natur seien oder etwa ein durch
Chromsäure hervovgerufenes Gerinselproduct.
Meine Untersuchungen schliessen sich an die von
Hess und Gerlach.
Ausserdem dass ich direet den Zusammenhang der
doppelt contourirten Fasern mit den Kernen vermit-
telst feiner Zweige gesehen habe, so habe ich auch an
den gesonderten Kernen sehr oft ziemlich lange Fort-
sätze beobachtet. Sie waren zwar sehr fein und blass,
es konnte aber doch an ihnen, bei 700— 1000 Ver-
grösserung, eine Varicosität entdeckt werden. Dort wo
die Fortsätze von den Kernen abgingen, waren sie et-
was dicker als in ihren übrigen Theilen. Es muss nun
die Frage beantwortet werden, ob diese Elemente als
Kerne oder Zellen zu bezeichnen sind, und ob diesel-
ben zu Bindegewebe zu rechnen sind, oder ob sie nervö-
ser Natur sind. Schon der Zusammenhang dieser Ele-
mente mit den Nervenfasern ist ein hinlänglicher Grund
sie für Nervenelemente zu erklären. Diese Ansicht
wird noch unterstützt durch Behandlung dieser Elemen-
te mit Reagentien, welche das Bindegewebe zerstören.
Es lässt sich überhaupt kein besonderer Grund anfüh-
ren, zu welchem Zweck ein solches Bindegewebestroma
im thierischen Organismus sich an einer solchen
Stelle befinden sollte. Vielmehr muss das häufige Vor-
kommen solcher Kerne an Nerven, im Centralsystem
und in den Sinnesorganen in uns die Vermuthung er-
wecken, dass diese Gebilde eine wichtige Rolle in der
Function des Nervensystems zu spielen bestimmt sind.
Warum Stieda den Zusammenhang der Fasern
ee ce,
A Über das Rückenmark und einzelne Theile des Gehirns von
e I sr Inaugural- Abhandlung von Ludwig Stieda p. 23.
Tome VII. ;
mit den Zellen nicht gesehen hat, erkläre ich mir durch
die Methode, die er bei seinen Untersuchungen ange-
wendet hat. Er hat die Marksubstanz mit Nadeln zer-
rupft, um die Kerne zu isoliren. Die Nadeln sind aber
gar zu grobe Instrumente, um nicht mit ihnen eine
grosse Zerrüttung in dem zu untersuchenden Präpa-
rate anzurichten und die Kerne wirklich isoliren zu
kónnen. Besser ist es, wenn man ganz dünne Schnitte
aus dem in Chromsäure oder Spiritus halberhürteten
Gehirne macht, den Schnitt auf eine Glasplatte legt, mit
einem Deckgläschen bedeckt undauf dasselbe einen klei-
nen Druck ausübt. Das zu untersuchende Object wird
comprimirt, das ganze Gewebe rückt auseinander, und
nun kann man das Verhältniss genauer studieren. Um
übrigens in diesem Punkte ins Klare zu kommen, kann
man auch vollkommen erhártetes Gehirn und auch
ganz frisches benutzen.
Untersucht man die genannten Gebilde bei starker
Vergrösserung 700— 1000 (ocul. 3 und 4. Obj. 9 u.
10 à immersion Hartnack), so findet man in ihrem
innern Bau, in der fein granulirten Masse, die ihren
Inhalt bildet, und ihrer mattgrauen Farbe viel Aehn-
lichkeit mit dem Inhalte der Nervenzellen. Noch ein
Grund mehr, sie für Gebilde nervóser Natur zu halten.
Die Zahl der Fortsätze, welche man an ihnen fin-
det, ist verschieden, selten über 4. Diese Fortsätze
sind so zart, dass sie oft abreissen, und dann findet
man die Kerne, namentlich in frischen Präparaten,
häufig umherschwimmend. Chromsäure färbt die Kerne
gelb, Carmin-roth.
In den Kernen habe ich nicht selten an frischen
Prüparaten centrale, rundliche, hellere Kórperchen
gesehen. An andern Prüparaten (z. B. beim Adler) sah
ich einen schwachen Ring um den Kern, der aus grau-
er fein granulirter Masse bestand.
Einige von den Kernen waren deshalb den kleinen
| Nervenzellen in höchstem Grade ähnlich. Beide Bil-
der sprachen dafür, dass wir es hier mit kleinen Nerven-
zellen zu thun haben. Weil wir aber häufig Elemente
antreffen, in denen der Kern nicht zu sehen ist, so
würde ich diese Gebilde als Kerne bezeichnen.
Die Grenzschicht. Zwischen den Kernen und
der Rindensubstanz ist eine feine Schicht, welche dem
blossen Auge als Linie erscheint, wie ich schon oben
erwähnt habe. Diese Schicht ist bei Fischen breiter,
als bei Säugethieren, da man hier ausser den Nerven-
11
163
zellen auch ganze Bündel von Nervenfasern antrifft,
deren Verlauf der Gehirnoberfläche parallel ist. Die
Nervenzellen liegen auch weniger regelmässig, als bei
höhern Thieren und weichen auch in der äusseren
Form etwas von diesen ab.
Die Form der Zellen auf den Präparaten ist ver-
schieden, bald sind sie rund, bald dreieckig, bald spin-
delförmig. Die runde Form ist eine zufällige und ent-
steht, wenn die Zelle quer durchschnitten wird. Die
häufigste Form, der man auf guten Schnitten begeg-
net, ist eine spindelförmige. Die dreieckige Form,
wo die Zelle auch 3 Fortsätze ausschickt, kommt
gar nicht sehr selten vor. Auch habe ich Zellen mit 4 |
Fortsätzen gefunden.
Jede Zelle besitzt einen Kern und ein Kernkürper-
chen. In denen mit Carmin gefärbten Präparaten färbt
sich das Kernkörperchen nicht selten roth, der Kern
bleibt weiss; der Zelleninhalt färbt sich immer roth.
Man hat, wie ich glaube, bis jetzt dem Umstande we-
nig Aufmerksamkeit geschenkt, ob die Zellen eine
Membran besitzen. Die Untersuchung, die ich früher an
den Zellen des Rückenmarks beim Petromyzon und an
den Ganglien der Krebse angestellt habe, zeigten mir,
dass alle Nervenzellen eine Membran besitzen, ob-
gleich dieselbe so fein ist und so eng an den Zellenin-
halt sich anlegt, dass man mit grösster Schwierigkeit
ihre Existenz nachweisen kann. Hier ist die Sache
nicht leichter. Um sich darüber eine Gewissheit zu
verschaffen, ist man genöthigt, Tausende von Zellen
und zwar in verschiedenem Zustande, frisch, aus Chrom-
säure, mit Carmin gefärbt u. s. w. durchzusehen.
Nach meinen Untersuchungen denke ich die Ueber-
zeugung gewonnen zu haben, dass die genannten Ner-
venzellen alle eine Membran besitzen, die sich auch in
die Rindenschicht erstreckt, und den Zellenfortsatz
überzieht.
Indem ich hier auf die Zellenmembran aufmerksam
mache, bin ich keienswegs der Meinung, dass eine
Nervenzelle durchaus eine Membran haben müsse, wie
man früher von jeder Zelle es angenommen hat, son-
dern ich glaube, dass eine specielle Untersuchuug
nichts aus den Augen lassen darf, und es wäre wün-
schenswerth, dass die späteren Forscher sich über die- |
sen Gegenstand genauer aussprächen.
Die Grundform der Zelle ist eine spindelförmige;
der eine Fortsatz, der auch immer am deutlichsten
Bulletin de PAcademie Imperiale
164
WE
und häufigsten zu sehen ist, geht fast immer in gera-
der Richtung in die Rindenschicht, während der an-
dere, diesem entgegengesetzte, der nur an einigen we-
nigen Zellen verfolgt werden kann, in die Kernschicht
hinläuft und dort eine vielfache Verbindung mit den
Kernen eingeht.
Häufig sieht man die Zellen in ihrem Längsdurchmes-
ser der Oberfläche parallel gelagert. Dann kann man
auch die Fortsätze ziemlich weit verfolgen. Nachdemsie
eine Zeitlang in gerader Richtung verlaufen, sieht man
den einen doch in die Rindensubstanz eingehen, wäh-
rend der andere sich unsern Blicken entzieht.
In den Fällen wo man eine Zelle mit 3 Fortsätzen
sieht, geht der eine in die Rindenschicht, der andere
geht eine Zeitlang zur Grenzschicht, verschwindet
dann, während der dritte sich in die Kernschicht be-
giebt. Die Frage, ob der zweite Fortsatz noch in die
Rindenschicht eintritt, oder dazu bestimmt ist, aus dem
Kleinhirn auszutreten, mag ich nicht entscheiden.
Die Rindensubstanz besteht aus den dicht an |
einander, meist g nFortsátzen der Grenz-
zellenschicht, die in bindegewebiger Grundmasse ein-
gebettet sind. Diese Substanz hat auf Längs- und
Querschnitten ein radieres Ansehn. Ihre ganze Masse
besteht fast nur aus Zellenfortsätzen, und ein sehr
geringer Theil kommt dem Bindegewebe zu. Aus die-
151 1
sem Grunde haben wir ein volles Recht, dieselben mit
den Platten der electrischen Organe zu vergleichen,
wie schon einige Forscher es gethan haben. Bekannt
lich ist in den Blättchen jener Organe der Fische die
Verbreitung der Nerven eine sehr reiche; die Bl
chen bestehen fast aus Nerven allein. Die Rindensub- `
stanz bildet eine so fest zusammenhängende Masse,
dass es nur mit der grössten Mühe und zwar mit Be-
nutzung einiger Reagentien und besonderer Map:
lationen gelingt, kleine Stücke der Zellenfortsätze ab
zusondern. Die Zellenfortsätze haben an ihrem Ür
sprunge eine ziemlich bedeutende Dicke, ja sie sind
selbst dicker als die Nervenfasern der weissen Sub
stanz des Kleinhirns. Verfolgt man sie zur Peripherie
so sieht man sie an Dicke zwar abnehmen, aber seht
allmählich,
Während man die Theilungen der Fortsätze in dé |
Rindenschicht bei höhern Thieren in jedem DE"
leicht sehen und ebenso an den getheilten Ast?
noch immer feinere und feinere Theilungen `
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
166
NO erum
achten kann, findet man solche Verhältnisse bei
den Fischen nicht. Hier kann man die Fortsátze von
ihrem Ursprunge, von der Zelle bis zu der Peripherie
verfolgen. Nur ausnahmsweise selten gelingt es, die
Theilung des Fortsatzes zu sehen, und dann nur an
seinem peripherischen Ende.
Gelingt es uns zuweilen, einen Fortsatz von den
übrigen zu trennen, was nur in Bruchstücken gesche-
hen kann, so erscheinen die Contouren desselben nie
eben und gerade, sondern man bemerkt an den Fort-
sëtzen feine kurze kleine Härchen, mit welchen der-
selbe dicht von allen Seiten in seinem ganzen Verlaufe
besetzt ist.
An dem peripherischen Ende des Fortsatzes, wo
derselbe dünner wird, werden die Härchen etwas län-
ger. Eine genauere Untersuchung derselben führt mich
zu der Annahme, dass diese Hárchen feine Äste der Fort-
sëtze sind. Es ist höchst wahrscheinlich, dass die ein-
zelnen Fortsätze durch diese feinen Âste mit einander
zusammenhüngen, denn sonst liesse es sich schwer er-
klären, warum es so selten gelingt, die Fortsätze von
einander zu trennen. Es bleibt noch eine Frage zu
beantworten, ob diese Fortsätze nackte Axencylinder
sind, oderobsie eine sieumkleidende Membranbesitzen.
Es gelang mir in den feinen Schnitten der halb erhär-
teten Rindensubstanz aus dem Kleinhirn der Fische,
durch Druck auf das Deckglüschen, Risse hervorzu-
bringen, in denen ich bei starker Vergrósserung meh-
rere feine Spinngeweben ähnliche Faden bemerkte, wel-
che das Aussehn feiner Nerven hatten. In einigen
vereinzelten Fällen glaubte ich an ihnen eine Varico-
sität zu bemerken. |
Übrigens wenn wir an den Zellen der Grenzschicht
die Existenz einer Membran zulassen, so hat es für
uns nichts Befremdendes, wenn dieselbe sich auch auf
den Zellenfortsatz erstreckt.
Ausser der radieren Streifung in der Rindensub-
stanz bemerkte ich sehr oft, besonders an der Basis
des Kleinhirns, eine Lüngsstreifung. Stieda”) hàlt
diese Streifung für eine Eigenthümlichkeit der Grund-
substanz. Ich will nicht in Abrede stellen, dass die
Grundsubstanz zuweilen die Ursache einer solchen
Querstreifung ist, finde aber dass eine solche auch
hüufig einerseits von den, an den Fortsätzen sich be-
2) Stieda p. 25.
findenden, feinen Hürchen bedingt wird, andererseits
habe ich mich überzengt, dass zuweilen dieselbe durch
wirkliche Nerven hervorgebracht wird.
Die Rindensubstanz umgiebt das Kleinhirn der Fi-
sche nicht vollkommen regelmässig von allen Seiten,
sondern fehlt in der Mittellinie desselben, an der obern
und untern Flüche, und anstatt der radieren finden
wir dort eine Längsstreifung.
Ausser dem Kleinhirne der Fische (Brachsen, San-
der, Hecht, Barsch u. s. w.) untersuchte ich dasselbe
beim Frosch, Adler, Huhn, Ochsen und beim Men-
schen; überall sah ich einestheils den Zusammenhang
der Fasern der weissen Substanz mit den Kernen der
Kernschicht, anderntheils den Zusammenhang der
Grenzschicht mit denselben Kernen, die ich zu den
Nervenelementen und nicht zu Bindegewebe zähle.
Das Verhalten der Zellenfortsütze in der Rindensub-
stanz scheint aber bei verschiedenen Thierclassen ver-
schieden zu sein.
— ac i — —
BULLETIN DES SÉANCES.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 11 (23) DÉCEMBRE 1863.
M. Somof présente et lit un mémoire: swr les accéléra-
tions de divers ordres. — Ce travail sera publié dans le re-
cueil des Mémoires de l’Académie, ainsi que dans le re-
cueil russe (3anuckn).
M. Baer présente et lit un travail sur le Volga, faisant
suite à ses «Etudes Caspiennes» (Kaspische Studien. IX.
Die Wolga).— On l'imprimera dans le Bulletin.
M. Ofsiannikof présente et lit deux mémoires, desti-
nés au Bulletin et intitulés: 1° Über die Inauguraldisser-
lation des H. Dr. Kutschin das Rückenmark der Neunau-
gen betreffend, nebst einigen eigenen Beobachtungen über das
Rückenmark der Knochenfische und anderer Thiere; et 2°
Über die feinere Structur des Kleinhirns der Fische.
M. Helmersen porte à la connaissance de la Classe
que pour venir au-devant d'un besoin qui se fait généra-
lement sentir et pour répondre aux nombreuses demandes
qui lui vietnent de toutes parts, il a cru utile d'exposer
dans un écrit de peu d'étendue tout ce qui se rapporte au
terrain houiller de la Russie, et d'y annexer une petite
carte, représentant d'un cóté la distribution géographique
de ce terrain, et d'un autre le réseau des. chemins de fer
tant achevés, que projetés en Russie. — M. Helmersen
met sous les yeux de la Classe cette carte et l'article
11*
167
Bulletin de l'Académie Impériale
168
qu’elle est destinée à accompagner, et exprime son désir
de pouvoir les publier à ses propres frais.
M. Kokcharof présente et lit une notice destinée pour
le Bulletin et intitulée: Mineralogische Notizen über den
Pajsbergit und Graphit.
Le Secrétaire perpétuel annonce que la livr. 3 du tome
IV. des Mélanges biologiques a été imprimée et mise en
vente et en distribution. |
M. Baer lit un rapport sur les nouvelles acquisitions
dont s’est enrichi le Cabinet Craniologique de l’Académie
durant les années 1862 et 1863. Il y marque surtout un
envoi précieux que M. le Comte Stroganof, Président de
la Commission Impériale archéologique, lui a fait parve-
nir pour le Musée de l'Académie et qui se compose d'en-
viron 40 eránes, trouvés dans des tertres, dans lesquels
on a fait des fouilles, dans le district de I&katerinoslaf,
et en Sibérie aux environs de Kopal, de Barnaoul et sur les
bords des rivières Tersakon et Kiya. Ces crânes ont d'au-
tant plus de prix, que la provenance de chacun d'eux est
exactement marquée.— Le rapport de M. Baer sera inséré
au Bulletin et M. le Comte Stroganof sera remercié au
nom de l'Académie.
MM. Lenz (rapporteur) et Jacobi, chargés dans la sé-
ance du 13 novembre d'examiner un projet de l'établisse-
ment de plusieurs paratonnerres au-dessus d'un magazin à
poudre construit dans le port de St.-Pétersbourg, présen-
tent leur rapport, dans lequel ils proposent différentes
modifications dans le projet, dressé par le Comité des Con-
structions navales. — Le rapport étant approuvé par la
Classe, on en donnera communication à M. le Général Rode.
M. Jacobi, ayant pris sur lui, dans la séance précé-
dente, de coucher par écrit une réponse à la question ad-
ressée à l'Académie concernant la dorure des objets en fer
de fonte, présente un rapport qui est approuvé. — On en
donnera communication au révérend P. Starynkévitch.
M. le Général-aide-de-camp Barantsof, par une lettre
du 30 novembre, transmet l'ouvrage de M. Coquil-
hat, Percussions initiales produites sur les affáts dans le
tir des bouches-à-feu. Liège. 1863, offert à l'Académie par
son auteur, et envoyé ici par l'Ambassadeur russe à Bru-
xelles M. le Général-aide-de-camp Prince Orlof. — La ré-
ception en sera accusée avec des remerciments.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 18 (30) DÉCEMBRE 1863.
M. Wiedemann présente et lit la seconde et dernière
partie de son travail intitulé: Versuch über den Werro-
ehstnischen Dialekt, et destiné à paraître dans le recueil
des Mémoires de l'Académie.
séance une nouvelle livraison (feuilles 41 — 50) du t. IV
du Dictionnaire Sanscrit a été imprimée et mise en vente
et en distribution.
v Bëtong.
M. le conseiller d'état actuel Batiouchkof, employé ag
Ministèrede l’intérieur, adresse pour la bibliothèque de l'Aca-
démie un exemplaire du bel atlas, publié au Ministère de
l'intérieur, et composé de cartes représentant la réparti-
tion de la population des gouvernements de l'ouest de la
Russie, d’après les confessions et les nationalités, — La
réception en sera accusée avec remerciments.
M. Dorn présente au nom de M. Khanykof, membre
correspondant, le Mémoire qu'il a publié sur la partie mé:
ridionale de l'Asie Centrale. Paris. 1862. in-4°,
SÉANCE ANNUELLE PUBLIQUE DU 29 DÉCEMBRE 1863
(10 JANVIER 1864).
L'Académie a tenu, sous la présidence de M. le Comte
Bloudof, la séance publique annuelle, par laquelle elle
a coutume de célébrer l'anniversaire de sa fondation. La
séance fut ouverte par la lecture d'un compte-rendu, ré-
digé par M. le Secrétaire perpétuel, des travaux de la
Classe physico - mathématique et de la Classe historico-
philologique de l'Académie pour l'année 1863. M. Pe-
karski, étant monté aprés lui à la tribune, a lu un
iscours sur l'activité de l'Académie dans ses rapports à la
Russie, dans la première moitié du XVIII siècle. En suite, `
M. Nikitenko a présenté un exposé des travaux dela `
Classe de la langue et de la littérature russe pour l'année
1863. CS
Membres honoraires.
M. le Conseiller intime Reutern, Secrétaire d'état, Mi :
nistre des Finances.
M. le Conseiller intime Boutkof, Secrétaire d'état. Hr 3
M. Guédéonof, maitre de la Cour Impériale.
M. le Conseiller d'état actuel Dahl.
Membres correspondants.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
Section physique.
M. le Conseiller d'état actuel le D" Alexandre Volborth
à St.-Pétersbourg. i
Section biologique.
M. le Professeur Henle à Góttingue.
$
y
CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITTÉRATURE RUSSE —
: ! | M. Nicolas Tik i l'Université de
Le Secrétaire perpétuel annonce que depuis la dernière Moscou hënn, brofeeseur, à SECH es
M. Alexandre Ostrofski, auteur dramatique.
M. Dani&ié, membre et Secrétaire de la Société debo
-raire à Belgrad.
A la clôture de la séance M. le Secrétaire perpétuel —
a proclamé les noms des membres honoraires et membres à
correspondants nouvellement élus par l'Académie, qui sont: —
ARE:
rs
—— gegen eg geg, age Ap
169 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 170
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE. -
Section historico-politique.
M. le Conseiller d'état Smitt à St.-Pétersbourg.
M. Palacky à Prague.
Section de linguistique.
M. Adalbert Kuhn, Professeur à Berlin.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 8 (20) JANVIER 1864.
Le Secrétaire perpétuel annonce la douloureuse nou-
velle de la mort de deux membres correspondants de
l'Académie, de M. Tourtchaninof, décédé à Kharkof, le
26 décembre dernier, et de M. Vrolik, Secrétaire de
l'Académie des sciences à Amsterdam.
Le Secrétaire perpétuel présente au nom de M. Hel-
mersen qui se trouve en congé à Narva, une notice sur
le puits artésien à St.-Pétersbourg; cette notice sera in-
sérée dans le recueil russe de l'Académie.
Le Secrétaire perpétuel annonce que depuis la dernière
séance les ouvrages suivants ont été imprimés et mis en
vente et en distribution: 1' Mélanges physiques et chimiques
tome V, livr. 5°; et 2° Mémoires de l'Académie VII série,
tome VII, N° 1: M. Ruprecht, Barometrische Hóhenmes-
sungen im Caucasus, ausgeführt in den Jahren 1860 und
1961 für pflanzen-geographische Zwecke.
M. le Ministre de la Cour Impériale informe M. le Pré-
sident que le Gouverneur général de la Sibérie orientale,
lui ayant fait parvenir la peau d'un lievre noir, tué par
un habitant de Minoussinsk, Sa Majesté Impériale a
daigné ordonner de la placer au Musée zoologique de
l'Académie. Par suite de cela, la peau annexée à l'office
de M. le Comte Adlerberg est remise à M. Brandt
qui la déposera au Musée. VT
M. Achille Brachet, physicien et homme de lettres, à
Paris, adresse une note sur le moyen de chauffer les
wagons de chemins de fer. Renvoi à l'examen de M.
Kupffer. `
M. Kokcharof communique une lettre qwil a reçue de
M. le Général Beckmann, et qui accompagne l'envoi de
plusieurs antiquités, trouvées dans des tertres en diffé-
rentes parties de la Russie, et que M. Beckmann met à
la disposition de l'Académie. Le donateur en sera remer-
ils les objets seront remis à M. Baer, pour étre exa-
minés,
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE L'ACADÉMIE.
SÉANCE DU 10 (22) JANVIER 1864.
Le Secrétaire perpétuel porte à la connaissance de la
SE qu'il a eu l'honneur d'offrir à M. le Ministre
e FInstruction publique, au nom de l'Académie, les publi-
cations les plus importantes de celle-ci parues dans le
ernier temps; et que M. le Conseiller intime Golovnine
l'a chargé d'en témoigner sa reconnaissance à l'Académie.
MM. les Secrétaires d'Etat Reutern et Boutkof et
M. le Conseiller d'Etat actuel Dahl, élus membres hono-
raires de l'Académie, accusent réception des diplomes et
en expriment leurs remerciments.
Le Secrétaire perpétuel annonce que depuis la derniere
séance le Rapport sur le XXXII* concours des prix Dé-
midof a été imprimé et mis en vente et en distribution.
M. le Général aide de camp Totleben adresse pour la
| Bibliothèque de l'Académie l'ouvrage publié sous sa di-
rection sous le titre: Description de la défense de Séba-
stopol. — On fera agréer à M. Totleben les remerciments
de l'Académie.
Le Secrétaire perpétuel communique la liste des ou-
vrages, reçus par l'Académie jusqu'au 1 janvier 1864
pour le concours des prix Ouvarof. Conformément aux
règlements, on procède à l'élection, par billets pliés, de
deux commissions, chargées de l'examen des pièces de
concours. La Commission historique se composera de MM.
Oustrialof, Pekarski, Sreznefski, Kunik, Biliar-
ski, Grot et Véliaminof-Zernof: les membres désignés
pour former la Commission dramatique sont: MM. Srez-
nefski, Nikitenko, Grot, Biliarski, Pekarski, Vélia-
minof-Zernof et Vostokof.
Les Sociétés et Institutions savantes nommées ci-après
adressent des remerciments pour des envois qu'ils ont reçus
des publications de l'Académie: 1° la Société Impériale
russe de géographie (20 novembre et 16 décembre 1863);
2° l'Académie Stanislas à Nancy (9 janvier 1864); 3° PA-
cadémie royale des sciences à Turin (10 aoüt 1863);
4" l'Académie Californienne des sciences naturelles à San
Francisco (1 novembre 1862); 5° l’Institution Smithso-
nienne à Washington (4 février 1863); 6" les éditeurs du
Journal américain des sciences et des arts à New Haven
(6 novembre 1862); 7° la Société royale des sciences de
Liège (15 mai 1863); 8° la Société des naturalistes à
Bern; 9" la Société suisse des sciences naturelles, à
Bern; 10° la Société royale des sciences de Saxe à Leipzig
(22 et 28 août 1863); 11° le Lycée de l’histoire naturelle
à New York (17 mars 1863); 12" la Société Linnéenne à
Londres (28 juillet 1863); 13° la Société des sciences na-
turelles à Hambourg (10 février 1863); 14° la Société
royale des sciences de Bohème à Prague (10 avril 1863);
15° la Société royale de Londres (10 juillet et 6 août
1863); et 16° la Société des antiquaires de Londres (15
janvier 1863).
Le Secrétaire perpétuel présente les livres offerts à
l'Académie par les Sociétés et Institutions nommées ci-
après: 1° l'Université royale de Norvège à Christiania (17
novembre 1863); 2° l’Université royale à Upsala; 3° la
Société royale des sciences de Bohème (5 avril 1863);
4° la Bibliothèque du Jardin Impérial botanique (13 dé-
cembre 1863); et 5° l'Observatoire physique central (30
novembre 1863). | |
Bulletin de l'Académie Impériale
172
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 15 (27) JANVIER 1864.
M. Brosset, ayant sous la main un travail qui a trait
à la Chronographie géorgienne et trouvant utile d& con-
sulter à cette occasion un manuscrit appartenant à l'église
de Mkhet, prie de lui obtenir l'envoi de ce manuscrit pour
un court délai. Approuvé.
M. le Ministre de la Cour Impériale informe M. le
Président que le karaite Abraham Firkovitch, engagé
dans un voyage en Orient, lui a fait parvenir neuf pierres
tumulaires avec d'anciennes inscriptions, enlevées à un
cimetière karaite dans la vallée de Josaphat, prés de Djou-
foute-Kale. M. le Comte Adlerberg y joint la remarque
que l'on a d'abord eu l'idée de placer ces pierres au Mu-
sée de l'Ermitage; mais on a trouvé ensuite qu'elles n'of-
fraient aucun intérêt ni au point de vue archéologique,
ni sous le rapport historique, et qu'elles n'avaient en outre
rien de remarquable sous le rapport artistique; par suite
de quoi on n'a pas cru nécessaire de les placer à l'Ermi-
tage. Jugeant cependant que les inscriptions qui s'y trou-
vent peuvent avoir de la valeur pour des recherches de
paléographie hébraique, M. le Comte Adlerberg demande,
si l'Académie désire obtenir ces monuments pour son Mu-
sée asiatique. — Audition faite de cet office, M. Dorn
déclare qu'il a examiné les dites pierres, et que d’après
son avis, les inscriptions qui s'y trouvent, offrent un in-
térêt particulier. — On informera donc M. le Ministre de
la Cour Impériale que l'Académie serait bien aise de re-
cevoir ces antiquités dans son Musée asiatique.
Le Secrétaire perpétuel présente au nom de M. Heusch-
ling la Notice historique quil a publiée dans Annuaire
de l'Observatoire royale de Bruxelles pour 1864, sur l'Aca-
démie Impériale de Russie. |
Le Comité centrale de Statistique prie de mettre à sa
disposition pour un court délai, les listes de lieux habités |
du gouvernement de Kkarkof. Approuvé.
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a reçu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Cebxbuia o noxoxeHin Zb, CyxeOHaro BFAOMCTBA BB ry-
Gepaiaxr Mockonckoii, TBepckoii, Apocrasckoï, Bıa-
Amwipckoii, Pasauckoü, Tyıpckoü m Kaayskckoit. 4. I.
OGFACHNTEIPHAA SANMCKA MOCKOBCKATO TYOEPHCKATO
npokypopa Posunckaro. CIl6. 1863. in 4.
3ambyania o PasBUTIN OCHOBHLIXB noJoxeniii mpeoópaao- |
panis cyye6OnHoit yacrı BB Poccin. Y. 1 — 6. CIIG. in 4.
— M —
JKypHarb COGJHHeHHbIXP JACNAPTAMCHTOBE SAKOHOBS ig
rpaxyrauckux p bat, l'ocyxapersenaro Corbra o mpe-
o6pasoganin cyxe6moï sacra BB Poccim. in fol,
OCHOBHBLIA noAoxenis mpeo6paaonaHis CYLCOHOË ACTE BP
Pocciu. in fol.
Ilpexnosoxenia 06% yerpolcersb m o633ammocrsxs Mupo-
BbIXB Ceäefl, BB pasBnTie OCHOBHBIX'b II03oxkeniii, Bpr-
couaiime ogo6penmupix'b 29 cexrAa6pa 1862 r. CII6, 1863,
Im: A
n'4.
Dpaxjramekoe cyxonponsBozcrBo. N° 1. IIpoekr» geg
KHHTH yCTaBa TPAKIAHCKATO CY/XONPOM3BOJCTBA. N° 2,
Ipoerrs Bropoü kunrin. N° 3. IIpoekr# rperbeit kg.
N° 4. IIpoexts uergeproü kmuru. N° 5. IIpoekrs ma-
rot rumm, in fol.
Pasmorzacis, nocrb1oBaBntIA BB TPAXKJMAHCKOME OTAbaenir
KOMMHEIM "mn o6cyxrenim mpoekra BTOpOÍi KHITII yC-
TABA rpaxyramekaro cygompomnaBo/terBa. in fol. — Tome
mpm oócysxregim mpoexra Tperbeii, ueTBepTOi m Ia-
Toit kaura. in fol. e
Pasnorıacia gor zbuopapmta BB opttewt, coópamim KOMMNCN
mpm paacworpbuiu I-i KHUTH mpoekrà TpasK,laHckaro
cyaompomamojersa. in fol.— Toxe mpm pascworpbuim
mpoekra N° 2. in fol.
[poexrs gopoft pexarnin crareï 131 — 176, 548 — 550
IIpoekTa TPasKı, yaonp A N° 2 ch 00%-
acHeHiann C. 3BapyınHaro. in fol.
IIpoerr% HoBoii pexakmim cr. 122 — 183, 2-ü KHurm IpO- d
EKTA TPAKIAHCKATO CYAONPOHSBOACTBA, COCTABICEHE `
K. Ho6& 10moceneBsIm®. in fol.
Ropenekrt, yeraba TPAKIAHCKATO CyJLOLPOH3BOACTBA, in fo. `
Kparkas wexopis 3achaaniii o6maro coópamis pont `
HO IIDoeKTy TPAKIAHCKATO CYAONPOU3BOACTBA NA
Gummnet, 25 m 28 imma 1863 roga. in fol.
liapnckamia 0 amauemim mucpwemnod muerpykmiu Abu Bb `
TpaxjraHekow cyxonponaBogcrBb HA oCHOn IT `
uiii UHOCTPAHHLIXT, 10pneros. (Coerap1egmbi C. 3apyk —
HBIMB BB jrono1HeHie Kb OÖBACHEHIAMB eTO Kb Irpoek1y
HOBOlt pegakmiu crareit 131 — 176 mpoekra TpaXJaHF-
CKATO cyJompomaBOucrBa N° 2). |
Delesse. Matériaux de construction. Paris 1863. 8.
L'Estacade flottante. Essai théorique et pratique par 6.
de S. 1'^ partie. Paris 1863. 8. i
Manuscript eines ehstnischen Wörterbuchs in-4°.
Liebig, Just. Freih. v. Francis Bacon von Verulam mi
die Geschichte der Naturwissenschaften. München £
863. 4. D
Martius, Carl Fr. Phil. v. Denkrede auf Joh. Andreas :
Wagner. München 1862. 4.
14 Dissertations de l'Université de Tübingen de l'année 1862
16 Dissertations de l'Université de Jéna. | Ge
7 Dissertations de l'Université de Rostock de l'année 1862
— 63. - e
8 Dissertations de l'Université de Bâle.
39 Dissertations de l'Université de Breslau.
ubl
MAS
173
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
174
Mémoires de l'Académie Impériale des sciences, belles
lettres et arts. Classe des lettres. Nouvelle série,
tome 8 — 10.. Paris 1859 — 62. Classe des sciences,
tome 9 — 12. Paris 1859 — 62. 8.
Mémoires de l'Académie Impériale des sciences, arts et
belles lettres de Dijon. Deuxième série, Tome X.
Année 1862. Dijon et Paris 1863. 8.
Atti dell’ Imp. reg. Istituto Veneto di scienze, Lë ed
arti. T. VIII. Disp. 3. 4. Venezia 1862 — 63. 8.
Societa reale di Napoli. Rendiconto dell ee delle
scienze fisiche e matematiche. Anno I fasc. 5 — 8.,
II fase. 1 — 3. Napoli 1862 — 63. 4.
Rendiconto delle tornate e dei lavori della reale Accade-
mia di scienze morali e politiche. Anno 1862 e Anno
secondo, Quaderno di Gennaio, Febbraio.e Marzo. Na-
poli 1863. 4.
Monatsberichte der k. preuss. Akademie der Wissenschaf-
ten zu Berlin. Aus dem Jahre 1862. Berlin 1863. 8.
Sitzungsberichte der k. Bayerischen Akademie der Wissen-
schaften zu München 1862, Heft 3. 4, 1863 Heft 1—
3. München 1862 — 63. 8
Abhandlungen der mathematisch-physikalischen Classe der
k. Bayerischen Akademie der Wissenschaften. 9ten
Bandes 3te Abtheilung. München 1863. 4.
Abhandlungen der philosophisch-philologischen Classe der
k. Bayerischen Akademie der Wissenschaften. 9ten
Bandes 3te Abtheil. München 1863. 4.
Berichte über die Verhandlungen der k. sáchsischen Ge-
sellschaft der Wissenschaften zu Leipzig. Mathema-
tisch-physikalische Classe. 14ter Band u. Philologisch-
historische Classe 14ter Band. Leipzig 1863. 8.
Droysen, Joh. Gust. Die Schlacht von Warschau, 1656.
(Abhandlungen der k. sächs. Ges. d. Wiss. Band X
Bog. 24 — 33.) 8.
Mettenius, G. Über den Bau von Angiopteris. (Abhandl.
d. k. sächs. Ges. d. Wiss. Band IX Bog. 34—38.) 8.
Nouveaux mémoires de l'Académie royale des sciences et
belles lettres de Bruxelles. Tome VI et VIIL Bru-
xelles 1830, 1834. 4.
Mémoires de la Société ense des sciences de Liège. T.
XVII. Liege 1863.
Transactions of the efus philosophical society, held
at Philadelphia, for promoting useful knowledge. Vol.
XII, part II. III. Philadelphia 1862 — 63. 4.
Proceedings of the American philosophical society, held
x Philadelphia for promoting useful knowledge. Vol.
1 — 124.
Annual MI of the board of regents of the Smithsonian
Institution, for the year 1861. Washington 1862. 8.
The transactions of the Academy of science of St. Louis.
Vol. II. N° 1. St. Louis 1863. 8.
The home and foreign review. July 1863. London 8
The American journal of science and arts. Second : series.
Vol. XXXIV N° 100 — 102, zi XXXV. N° 103 —
105. New Haven 1869 — 63.
Das Shreiben des Aion: L Sie Deubners Buchhand-
lung 1862.
Casopis Musea ia egen 1863 XXXVII roënik,
svazek I. II. V Praze.
Zap, Karel Vladislav. Sege Casopis Musea krälovstvi
Cesk&ho pro "ex hlavně éesky. Dil V. sešit 5. 6.
. V Praze 1863.
Ziva. Casopis ën i. Redaktorové Prof. Dr. Jan Pur-
kyné a prof. Jan Krejëi. Roënik jedenact y svazek 1.2.
V Praze 1863. 8.
Zikmunda, Václava. Skladba jazyka Ceského VII. VIII
Sesit. V Litomysli a v Praze 1863.
Journal of the asiatic society of Bengal. eer haıy
number (Vol. XXXII) and N° 289 — N° 1. 1863.
Bibliotheca indica. A collection of oriental ER publi-
shed under the superintendence of the asiatic society
of Bengal. N° 186 — 195 and New series N° 31 —
37. Calcutta 1862 — 63.
Le Mahabharata. Onze épisodes tirés de ce poeme épique,
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urg, Adam Ritter von. Compendium der höheren Ma-
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Minding, Ferd. De curvatura superficierum quaestiones.
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Report of the Committee of the overseers of Harvard Col-
lege appointed to visit the observatory in the year 1862.
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Annals of the astronomical observatory of Harvard college.
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Pechmann, Ed. Die Abweichung der Lothlinie bei astro-
nomischen Beobachtungstationen und ihre Berech-
nung als Erforderniss einer Gradmessung. Wien 1863.4.
Annales des sciences physiques et naturelles, d'agriculture
et d'industrie, publiées par la Société Impériale d'A-
griculture etc. de Lyon. Det série, t. II — VI.
Lyon et Paris 1858 — 62.
Annales de la Société E phia de Lyon. Année 1861.
Tome VIII®. Lyon et Paris 1862. 8.
5ter bis 13ter Jahresbericht über die Thätigkeit des Ver-
eins für Naturkunde in Cassel, abgestattet am 18
April 1846 von Dr. R. A. Philippi. 4.
Zehnter Bericht der Oberhessischen Gesellschaft für Na-
tur- u. Heilkunde. Giessen 1863. 8.
Mittheilungen aus dem Osterlande. Gemeinschaftlieh her-
ausgegeben vom Kunst- und Handwerks-Vereine und
von der Naturforschenden Gesellschaft zu Altenburg.
15ter Band. Heft 1— 4, 16ter Band. Heft 1 —3. Alten-
burg 1860 — 63. 8.
175
Bulletin de l’Académie Impériale
176
Schriften der k. physikalisch-ökonomischen Gesellschaft zu
Königsberg. ve? Jahrgang 1862. Abtheil. 1. 2. Kö-
nigsberg 1862.
Verhandlungen der Kee Gesellschaft in Ba-
sel. 3ter Theil 4tes Heft. Basel 1863. 8.
Mittheilungen der Naturforschenden Gesellschaft in Bern
aus dem Jahre 1862 N° 497 — 530. Bern. 1862. 8
Bulletin de la Société Vaudoise des sciences naturelles.
Tome VIL Bulletin N° 50. Lausanne 1863. 8.
Annals of the Lyceum of + history of New York.
Vol. VII. N° 13 — 16.
Boston Journal of Natural teg Vol. VII N° 2. 3. Bo-
ston 1861 — 62. 8.
porem of the Sen Society of Natural History.
X. f. 4—11.
ZE e of the E of natural sciences of Phila-
delphia. 1862 N° 5— 12. Philadelphia 1862. 8.
Journal of the Academy of natural sciences of Philadel-
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Resultats météorologiques obtenus à Tiflis en 1856, 1857
et 1858. 4. ;
Recueil des observations météorologiques faites pendant
lascension du Grand-Ararat en 1850. Rédigé par A.
Moritz. 4
Schlagintweit, Herm. von. Über die mittlere Tempera-
RM 5
tur des Jahres und der Jahreszeiten und den allge-
meinen Charakter der Isothermen in Indien u. Hoch-
asien. 8.
Bache, A. D. Discussion of the magnetic and meteorolo-
gical observations made at the Girard College Obser-
vatory, Philadelphia, in 1840 — 1845. T. II. III. Wa.
shington City 1862 — 63. 4.
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vations made at the Girard College Observatory
Philadelphia, in 1840 — 1845. Second section. Wa-
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Memoirs of the geological survey of India. Palaeontologia
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Stabile, Abbé Jos. Fossiles des environs dn lac de Lu-
gano. Lugan 1861. 8.
Otto, Ed. Index seminum in horto botanico Hamburgensi -
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Bóhm, Jos. Beitráge zur nüheren Kenntniss des 2
Zengrüns. 8.
— Über die Ursache des Saftsteigens in den Pflanzen. 8. j
Annual report of the Trustees of the Museum of compa-
rative Zoology, together with the report of the Direc-
tor, 1862. Boston 1863. 8.
Beiträge zur Statistik der freien Stadt Frankfurt, heraus-
gegeben von der statistischen Abtheilung des Frank- —
furter Vereins für Geographie und Statistik. Ister Bd. 3
Dtes Heft. Frankfurt a. M. 1863.
Stein, Friedr. Über die Hauptergebtisse der Infnsoridt- 3
forschungen. Wien 1863. 8.
Stabile. Gius. Prospetto sistematico-statistico dei mollu-
schi terrestri e fluviali viventi nel territorio di Le
gano. Milano 1859. 8.
Osten-Sacken, Baron R. v. New genera et species D
North American Tipulidae with short palpi, with an
attempt at a new classification of the tribe. 8. |
— Description of some larvae of North American cole =
ptera. 8.
— Contributions to the Natural history of the Cynipidae —
of the United States and their galls. Article 3 rd. 9
Paru le 15 fevrier 1864.
Tem a m
DE TNR
te cea td d
T. VIE, N° 3.
BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
TOME VII.
(Feuilles 12 — 17.)
+
CONTENU.
Page
Th. Clausen, Solution du problème: Dans un quadrilatère donné, inscrire un carré.
(Dc ine 9IaBOIA). ln NEEN tht tttm press ena 177 — 181
A. Nöschel, Sur un cas intéressant de grêle, observé au Caucase. (Avec une planche). 181 — 183
H. A. Jäschke, Lettre à M. Schiefner............ e KH 183 — 191
A. Nauck, Sur l'ouvrage de Philodemus zeQ* UU Lf a DTE 191 — 220
F. Woepke, Sur un astrolabe arabe appartenant à la Bibliothèque Impériale de Paris.
Oc ub pianche).....e ponen Rhone KEE EE EE 220 — 227
P. Sémionof et V. Müller, Sur les couches devoniennes supérieures de la Russie centrale.
(Avec quatre planches).........-. een n m enmt 227 — 264
MEE D BN NEE EE EE 264 — 269
Bulletin bibliographique ...... Bee Rena EE ao 269 — 272
——— — deg
On s’abonne : chez MM. Eggers & Cie, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de
l'Académie (Kowurers Ilpassenia Huneparopexoñ Akaxewiu Haus) et chez M. Léopold Voss,
libraire à Leipzig.
Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie,
3 thalers de Prusse pour Pune
BULLETIN
DE L’ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSPOURG.
Auflösung der Aufgabe: Ein Quadrat zu beschrei-
ben, dessen Ecken auf vier gegebenen Graden
liegen, von Thomas Clausen. (Lu le 22 janvier
1864.)
(Mit 1 Tafel.)
1) Eine analytische Auflösung dieser Aufgabe fin-
det sich in dem Werke von Carnot: Géométrie de Po-
sition p. 374. Indem ich die Aufgabe auf eine etwas
verschiedene Art zu lösen suchte, fand ich, dass vier
gegebene Grade im Allgemeinen sechs verschiedene
Lösungen gestatten: statt dreier, wie Carnot p. 376
angiebt. Meine Auflösung ist folgende: Siehe Fig. I.
Es seien die gegebenen Graden AB, A'B; 4’B}
A"B". Die Durchschnitte: von AB und A/B’ sei D
von AB und JD sei D"; von AB und A" B" sei D".
Sei A ein beliebig angenommener Punkt auf der Graden
4B; AD — «à ; AD" = a; AD" = a". Die Senkrechte
I$, von einem beliebigen Puncte der Graden AB zwi-
schen À und D; auf A'B' gefällt, bilde mit AB den
Winkel $, wenn man den Winkel in der durch den
Pfeil angedeuteten Richtung wachsend annimmt; ebenso
de Senkrechte auf der Graden A”B” den Winkel a
nit AB; und die Senkrechte auf der Graden A" B"
den Winkel o".
Das eingeschriebene Quadrat sei PSRQ, AP — z,
und der Winkel, den die Seite PS mit AP bildet, € (hier
negativ), so ist der Winkel, den die Diagonale PR mit
AB bildet: 45? + ¢, und der Winkel, den PQ mit der-
selben Graden bildet: 90? 4- €. Setzt man PS = PQ
=y, so ist PR — y y 2.
Man sieht leicht, dass die Grösse der drei Senk-
rechten: P8, u. s. w. (die beiden anderen sind in der
. Figur nicht gezeichnet, um sie nicht zu überladen)
.. lésp. sind:
| ZE
(a — d Cos o^ =y V2 cos (£ +- 45° — 9) oO
Ca SH 2) cos p” = y cos (t n 90° SEN 9") |
(à —2) cos o" = ycos
Und nach einer leichten Reduction:
Tome VII.
Es ETT v :
à — z = y (cosķ + tng o' sin t) |
a — z = y |cost(1 + tng o") a- sinz(tng o — 1)! $ (2)
a” — 2 = y(costtng o" — sint)
Multiplicirt man diese Gleichungen resp. mit (a" — a"),
(a. — a), (à — a"), und addirt die Producte, so findet
man:
o = cost ((a" —a )tngg"+ (a —a") (tng e" —1)) +
—+ sin Cie — a^) (tng o A 1) + (a" — a) tug el
Setzt man nun
(a^ — a) tngo + (à — a) (tng 9" — 1) — ksin K
(a^ — a”) (tng o' + 1) + (a" — a^) tng o" = k cos K
o = ksin (5 + K)
Es sind zwei Fälle möglich: 1) k= o, in welchem
Falle & unbestimmt bleibt, und also unendlich viele
Lösungen möglich sind; und 2) £ — 180? — K oder
— K. Diese beiden geben für y denselben Werth,
aber den einen negativ, und den andern positiv, von
denen nur der positive brauchbar ist.
Substituirt man in zweien der Gleichungen (2) den
gefundenen Werth von &; so findet man leicht aus
ihnen die Werthe von y und z. -
Da die drei Graden A'B; A"B; A” B" sich auf sechs
verschiedene Arten verwechseln lassen; so giebt es
sechs verschiedene Auflósungen, die ich, um die Sa-
che deutlicher zu machen, in den sechs Figuren I— VI
gezeichnet habe, worin die vierseitige Figur, auf de-
ren Seiten die vier Ecken der Quadrate liegen, in
allen dieselbe ist. 3
2) Um eine geometrische Auflösung dieser Aufgabe
zu finden, suchte ich die Gleichung für den Ort des
Punctes R, wenn die Ecken P, Q, S, wie oben auf
denselben drei Graden liegen, und AP = verschie-
dene Werthe annimmt. Es sein die rechtwinkligen
Coordinaten von R....&,v und AB die Axe der €;
A Anfangspunct der Coordinaten; so ist
E — 2 + yV2 cos (t2 45°); v = yV2 sin (+ 45°)
so wird:
12
179
Bulletin de l’Académie Impériale
Wenn man den ersten Werth in die erste und dritte
Gleichung (1) substituirt, so ergiebt sich:
(£— 2)cos(£— 9) .
cos p'Y2 cos (£ + 45°)?
m ` (Ẹ— 2) cos ( + 90° — 9")
Nr ` ` o" V2 cos (45° +6) "
Es sei tng (£ + 45°) =t, so wird:
, cos (p’ -+ 45?) + sin (p’ + 45°) t),
y SEET cos 9' V2 ?
,
d — 2 =
) (cos (o — 45°) + sin (9 — 45°) t)
cos 9" V2 >
D == (E— 2
Eliminirt man £, so ergiebt sich eine Gleichung von
folgender Form:
Et Grs H=0......:.... (3)
in welcher F, G und H constant sind.
Auf ähnliche Weise erhält man, wenn man den
zweiten der obigen Werthe von y substituirt:
y cos (£ — el
= cos xs sin (5 + 45°) ,
E cx
a" di 0s (£ + 90 oe"
cos S V2 sin (£ + 45°)
Wenn man diese Gleichungen entwickelt und
cotng (£ + 45°) =?
setzt, und nachher € eliminirt; so findet man eine ähn-
liche Ginichung wie (3):
Fo4-0'$- H 291.2, (4
in der F, G’ und H’ Constanten sind. Durch Elimi-
nation von z aus (3) und (4) folgt:
FOE — F'Go + HG' — H'G — o... .. (5)
die Gleichung einer Graden. Eine ähnliche Gleichung
ergiebt sich für den Mittelpunkt des Quadrats; so
dass man folgenden Satz hat:
Der vierte Eckpunct und der Mittelpunct, aller Qua-
drate, deren drei Eckpuncte in derselben Aufeinander-
folge af dreien gegebenen Graden liegen, liegen beide,
jede auf einer bestimmten Graden.
3) Durch Hülfe dieses Satzes ist es nun leicht,
das gesuchte Quadrat zu construiren. Wenn man näm-
lich von jeder der beiden letztgenannten Graden zwei
Puncte hat, kann man unmittelbar beide ziehn. Sol-
che zwei Puncte findet man aber leicht für jede der
beiden Graden auf folgende Weise. (Siehe Fig. vo
mit Vergleichung von Fig. III.) Wenn die Ecke P im
Puncte D ist, so fällt die Seite DO des Quadrats in
"emm
Graden für diesen Eckpunct nehmen.
ren Eckpuncte auf vier gegebenen Graden li
die Grade A'B; und die Grösse der Seiten des Q =
drats erhält man, wenn man auf diese Seite ei
Senkrechte D'a sicht bis zum Durchschnitte mit n
Macht man nun Da = Da, und aa” senkrecht a
Da, aa” senkrecht auf D'a’; so ist der Durch
punct æ” dieser beiden Senkrechten einer der gesuch-
ten Eckpuncte. Ze Durchschnitt e der beiden] m
gonalen D'a, aa ist einer der Mittelpuncte. 73
Ist zweitens der Punct P in D; so fällt die Seite
PS in die Grade A"B'7 und die Seite PQ ergi
sich durch die auf A” B" Senkrechte D", verlängert
bis zum Durchschnitte y mit A’B’; macht man ak
D^ = D" Y, und zieht die beiden übrigen Seiten de
ar yy” und yy”; so giebt der Durchschnitt de
selben den Eckpunct T des zweiten Quadrats.
so findet man den Mittelpunct o dieses Quad
dem Durchschnitte der beiden Diagonalen yy’ und
Die obenerwähnte Grade, auf welcher die vierte
Eckpuncte aller dieser Quadrate liegen, enthält à
die beiden Puncte a” und y”; und der Durchschnit t
einer durch diese beiden gezogenen Graden "i
vierten gegebenen JP ist ein Eckpunct des geg
ten Quadrats. Wenn o" und y” beide auf der Grade
JP liegen, kann man jeden beliebigen Punct diese
Die durch = und & gezogene Grade enthäl
Mittelpunete der erwähnten Quadrate. Der dem
puncte À gegenüberstehende P des gesuchten
drats liegt auf der Graden AB, so dass die Au
sich jetzt darauf reducirt, eine Grade PR zu
die durch die Grade ee’ halbirt wird. Diese
man leicht, wenn man durch R eine mit AB
Hw zieht, die die Grade ze in v schneidet,
Distanz Rv auf der Graden AB von ihrem
schnitte f mit der Graden ee’ auf der von 4
gengesetzten Seite in fP aufträgt. P ist d
dem R gegenüberstehende Eckpunct des ge
Quadrats DO RS, das ohne weitere p
struirt werden kann.
4) Die eben gelóste Aufgabe und eine and
ren Lósung ich in Grunert's Archiv Bd. 15 p.
gegeben habe, stehen in merkwürdigen Bezi
zu einander:
1. a) Es sind im Allgemeinen sechs Quadr:
b) Es sind im Allgemeinen sechs Q
Se
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Seiten oder deren Verlängerungen durch vier gege-
bene Puncte gehn.
2. a) Der vierte Eckpunct von jedem Quadrat, des-
sen drei Eckpuncte in derselben Aufeinanderfolge auf
dreien gegebenen Graden liegen, liegt auf einer be-
stimmten Graden.
b) Die vierten Seiten aller Quadrate, deren drei
Seiten oder deren Verlüngerungen in derselben Auf-
einanderfolge durch drei gegebene Puncte gehn, schnei-
den sich alle in einem Puncte.
3. a) Wenn die in 2. a) erwähnte Grade mit der
vierten gegebenen zusammenfällt, so giebt es statt
der einen Auflósung eine. unendliehe Anzahl Aufló-
sungen.
b) Wenn der in 2. b) erwähnte Durchschnittspunct
mit dem vierten gegebenen Puncte zusammenfällt, so
giebt es statt der einen Auflósung eine unendliche |
Anzahl Auflósungen.
Es zeigt sich also in diesen beiden Aufgaben ein
vollständiger Dualism, indem die Graden in der einen,
den Punkten in der andern entsprechen, und umgekehrt.
Ein ganz ähnlicher Dualism, wie in der von Gergonne
und Poncelet aufgestellten Theorie der Pole und Po-
laren, deren Principien sich aber, wie mir scheint,
nicht auf den eben behandelten Fall anwenden lassen.
Über einen interessanten Hagelfall im Kaukasus,
esten von A. Nóschel (Lu le 22 janvier
(Mit einer lithographischen Tafel.)
Am 12, September 1863, Nachmittags 2 Uhr, stieg
36 Werst SO. von Tiflis, in der deutschen Kolonie
Marienfeld ein Gewitter in SO. auf mit dunkelen, fast
schwarzen, scharf begränzten Wolken. Es donnerte,
blitzte und rauschte in der Luft — bald regnete es
denn auch, anfangs mit ^ Zoll grossen kalten Tropfen,
Später mit kleineren Tropfen, welche mit gewühnlichen
Hagelkörnern untermischt waren. Plötzlich hörte der
Regen auf, und die Hagelkörner fingen an dichter und
grösser zu fallen. Endlich fielen mit brausendem Ge-
Täusche scheinbar wahre Eisstücke bis zur Grósse von
Taubeneiern mit solcher Heftigkeit vom Himmel her-
ab, dass dieselben 3 — 5.Fuss hoch am Erdboden
zurückprallten.
Nach Verlauf von 15 Minuten war die ganze über-
sehbare Fläche stellweise bis 5 Zoll hoch mit eisigen
Hagelkörnern bedeckt; dabei war die Temperatur der
Luft von 20,2? R. bis auf 9,8? R. gefallen. Nachdem
man, ohne Gefahr beschädigt zu werden, sich wieder
ins Freie hinauswagen durfte, untersuchte ich die
Hagelkórner und Folgendes war das Resultat:
Die Hagelkörner bestanden grüsstentheils aus ely-
psoidischen, linsenartigen Eismassen, deren eine grós-
sere Hälfte durchscheinend, deren andere kleinere
Hälfte schneeartig war. Die grössten Stücke waren
5 — 6 Lin. hoch, 10 — 12 Lin. lang und 8 — 10
Lin. breit. Viele waren aber auch eben so lang als
breit (Fig. 1 und Fig. 2). Nur wenige bestanden aus
einer glashellen, sechsseitigen, abgestumpften Pyra-
mide, welche auf einer schneeartigen Unterlage ruhte
(Fig. 6 in natürlicher Grósse).
Die durchsichtige Hälfte war bei den linsenartigen
Kórnern auf ihrer Oberfläche gewöhnlich rauh, und
oft fanden sich ausserdem noch an der Grünze zwischen
beiden Hälften rauhe, scharfe, 1 — 1, Lin. lange Eis-
spitzen, 4 — 5 Stück, zuweilen in zwei Reihen (Fig.
1. 2. 3. 4). Gewóhnlich war die Mitte der durchsich-
tigen Hálfte etwas vertieft (Fig. 2) und bestand aus
einer schneeartigen, undurchsichtigen Masse.
Die rauhe Oberfläche der durchscheinenden Hälfte
zeigte, mit der Lupe betrachtet, dass dieselbe aus ei-
nem kryst hen, sechsseitigen Netze, einem Schild-
kröten-Panzer ähnlich, bestand. Die sechsseitigen
Maschen dieses Netzes bestanden aus konzentrisch
auf einander gelagerten sechsseitigen Scheibchen, ge-
wöhnlich 3 an der Zahl, deren Mitte aus einem klei-
nen Schneepunkt gebildet war, von welchem 6 Radien
ausgingen. Die Scheibchen selbst waren aber nicht
glatt, sondern rauh (Fig. 7 in vergrössertem Maass-
stabe). Hiedurch schien es, als ob die elypsoidischen,
linsenartigen Hagelkörner ein Konglomerat seien aus
sechsseitigen Eismassen, welche sich regelmässig um
einen scheinbar abgerundeten schneeartigen Kern an-
gesetzt hätten, und als ob die einzelnen sechsseitigen
Eismassen, jede für sich, wiederum ein Konglomerat
aus sechsseitigen Scheibchen seien. Beim Zerschlagen
dieser Körner zeigte sich aber im Innern derselben
keine Spur einer solchen vermutheten krystallinische
Bildung. Jedoch war der weisse, schneeartige mitt-
lere Kern der Hagellinse durch und durch erkennbar.
Hiernach schon müsste —— dass diese
33* e A
Bulletin de l'Académie Imperiale
krystallinische Bildung nur auf der Oberfläche ihren
Sitz hatte. Diese Meinung möchte sich nun auch noch
durch folgende Beobachtung rechtfertigen:
Während dieser Untersuchung fingen natürlich die
Hagelkörner nach und nach an ihrer Oberfläche zu
schmelzen. Es war mir nun in der That eine inter-
essante Erscheinung, als ich die im Schmelzen be-
griffenen Hagelkörner plötzlich in ganz anderer Ge-
stalt sah. Es zeigten sich dieselben jetzt als klare,
durchsichtige, glasartige, elypsoidische Linsen, die wie
gläserne Augen mit einer weissen, 471 Lin. grossen,
Pupille mich anglotzten. Einige derselben hatten dazu
noch einen weissen, undurchsichtigen Rand bis // Lin.
breit (Fig. 3. 4. 5. 6). Diese linsenartigen Massen wa-
ren so durchsichtig und regelmässig, dass sie als Lu-
. pen wirken konnten. Nur einige wenige zeigten spal-
tenartige Strahlen, vom weissen Kern ausgehend
(Fig. 4). Der weisse Kern lag gewöhnlich in der Mitte,
selten nur excentrisch. Die sechsseitige, abgestumpfte
Pyramide hatte hierbei ihre Schneeunterlage vollstän-
dig eingebüsst, und zeigte sich dadurch in ihrer schón-
sten Gestalt.
Tiflis, den 12. September 1863.
Brief des Missionärs H. A. Jàáschke an den Akade-
miker A. Schiefner. (Lu le 29 janvier 1864.)
Kyelang in Lahul 21. November 1863.
Ihre Anfrage wegen des Gesar habe ich vor 6 Wo-
chen schon richtig erhalten, und sogleich Anstalten
getroffen ihn herbeizuschaffen. Der erste native Be-
amte des Landes nümlich, Tara Tsehand (die Vorneh-
men unserer Provinz führen, obgleich ächt tibetischen
Ursprungs und buddhistischer Religion, dennoch im-
mer auch hindustanische Namen) sagte mir, dass er
hier in Lahul nicht vorhanden sei, versprach ihn aber
von Ladak oder Zangskar her zu verschaffen, und
sandte einen Mann dahin ab. Da ich hofite Ihnen das
Buch noch vor dem Winter zuschicken zu können, so
schrieb ich nicht sogleich; nun ist aber inzwischen in
den letzten Tagen des vorigen Monats ein in dieser
Jahreszeit sonst ganz ungewóhnlicher starker Schnee-
fall eingetreten, welcher ausser bedeutendem Unglück
an Menschen und Thieren, welche auf den Pässen von
-gutem Wetter und Weg in 1/, Tag überschreiten kann, à
en. de
ee
demselben überfallen wurden D, auch das zur Folge
hatte, dass der abgeschickte Bote zurückkehren musste
und erst nach Verlauf von mindestens zwei Wochen sich
wieder auf den Weg machen konnte, so dass jetzt die
Erlangung des gewünschten Werkes vor dem völligen
Einwintern und Aufhören aller Communication, wel-
ches in der Regel um Neujahr herum eintritt, höchst
zweifelhaft zu werden beginnt — wenn es dem Manne
überhaupt gelingt desselben habhaft zu werden. Die
nämlich, — die Erlangung eines, wo möglich gedruck-
ten, und zwar gut und deutlich gedruckten Exemplars
wäre dem Abschreibenlassen entschieden vorzuziehen,
und Tara Tschand (welcher der Schwiegervater des
Sohnes des durch Gulab Singh vor etwa 30 Jahren
entthronten und mit einem kleinen Gebiete abgespei-
sten Königs von Ladak ist) schien keinen Zweifel zu
hegen, dass er es bekommen werde. Beim Abschrei-
benlassen ist es reine Sache des Zufalls, ob man ein
gut und correct hergestelltes Exemplar erhält, wenn
man nicht selbst einen Lama, den man kennt und als
zuverlässig weiss, damit beauftragen kann, was mir
in gegenwärtigem Falle unmöglich ist. Ich suchte im
vorigen Jahre auf diese Weise zu mehreren tibeti-
schen Schriften zu gelangen, allein völlig vergebens.
Dass die Holzdrucke, wenn sie nur überhaupt lesbar
sind, in der Regel einen weit correcteren Text als
die Handschriften,jaich möchte sagen, weniger Druck `
fehler als viele europäische Bücher darbieten, wird
Ihnen aus eigener Erfahrung hinlänglich bekannt sen.
Sollte die Herbeischaffung des Werkes vor dem
Winter misslingen, so müssen Sie sich freilich noch
2 Jahr lànger gedulden. Unsere Communication nach
Süden, d. h. mit der europäischen Civilisation, hört
in der Regel mit Anfang Januar auf, um Anfang April
wieder aufgenommen zu werden: die nach dem Nor-
den führenden Pässe bleiben gewöhnlich noch 1 bis
14 Monat länger geschlossen. Dies könnte aber Ge-
legenheit geben, dass Sie mir möglichst bald ‚nach
Empfang dieser Zeilen noch eine nähere Anweisung
zukommen lassen könnten über die Art der Zusel-
dung, von der Sie nichts erwähnen. Sollte es nieht
der sicherste Weg sein, wenn ich dies Werk, und viel
1) Auf dem Rotang, zwischen hier und der südlicher en
provinz Kullu, einem Passe von 13,000 Fuss Höhe, den DT.
70 bis 80 Hindus erfror:
eren Hindu-
Bulletin ded Head. Imp.d. sc ZE
A Neschel uber eum Hagelfall um Hu kasus
AMA ES TIC.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Lora E +
leicht künftig noch mehrere, dem russischen Consul
in Calcutta zur Weiterbeförderung überschickte? In
diesem Falle würde ich Sie aber um dessen Namen
und Adresse ersuchen, die Sie ohne Zweifel in Pe-
tersburg mit grösserer Leichtigkeit in Erfahrung brin-
gen können, als ich hier im Himalaja.
Wörter der Volksprache haben wir natürlich seit
unserem Hiersein fortwährend gesammelt, und eine
kleine Grammatik "1 mit durchgehender Beifügung der
im Sprechen gebräuchlichen Vereinfachungen, wel-
cher eine Anzahl Redensarten des praktischen Lebens,
und vielleicht auch allerlei Übungen zum leichteren
Erlernen angehängt werden sollen, habe ich bereits
beendet, bin aber gegenwärtig noch ungewiss wegen
des Druckes, da ich noch keine Nachrichten habe
über den Ausfall eines Versuchs mit Autographie,
welchen ich wegen der Geschwindigkeit und Sicher-
heit der Ausführung, so wie der dadurch möglichen
Wohlfeilheit, vorzog. Wenn Sie jedoch schreiben,
| dass es Ihnen sehr wünschenswerth scheine, neuere
Texte in deutscher Transcription mit buchstäblicher
Übersetzung zu erhalten um aus denselben eine Gram-
. matik der neueren Sprache zu abstrahiren, so gehen
. Sie dabei wohl von der Voraussetzung aus, dass die
j gesprochene Sprache auch in der Literatur reprä-
` sentirt werde. Dies ist jedoch meines Wissens durch-
. àms nicht der Fall: vielmehr bleibt auch jetzt noch
= die in den ersten Zeiten der Erhebung der Sprache
las AL Te
r A ann c ll. .754".,7 aidbult A a0 tés
ig sind — und für solche
TOME" Ee SC des
müssten ` Schriften bestimmt sein — machen |
Mur Es kommt hier zu der den ungebildeten Völ- |
ee rim
stitiöse Verehrung vor allem, was Zu ist, von wel-
cher alle Schichten und Classen des Volkes durch-
drungen sind, und die sie alles in S3 ese Schrift Ge-
schriebene oder gar Gedruckte als heilig betrachten
lässt. Obgleich im Sprechen der gelehrteste Abt sich
genau derselben grammatischen Formen bedient wie
der ungebildeste Bauer, und, wenigstens hier in West-
Tibet, unter den Schaaren der des Lesens und allen-
falls auch des Schreibens kundigen Lama's nur einzelne
Wenige wirklich ihre Bücher verstehen, so werden
doch jene Formen der Umgangsprache (z. B. das Fu-
tarum sif Om statt As azar) in Büchern nie an-
erkannt; die vulgäre Infinitivendung tsche (dsche) statt
4 oder 2, welche Jedermann kennt und anwendet,
während man das = oder 3 niemals hört, ist so durch-
aus unautorisirt, dass ich noch von keinem Lama,
selbst solchen aus Lhasa, eine plausibel erscheinende
Orthographie derselben bekommen konnte; noch viel
weniger ist sie mir je im Drock vor die Augen gekom-
men. West-Tibeter, die des Schreibens kundig, und
nicht gelehrt genug sind um in ihren etwaigen Brie-
fen u. dgl. Schreibereien die Form der heiligen Sprache
anzuwenden, schreiben zët 24, aq Zu statt SÉ
und z4jj2, allein ich kann noch nicht glauben, dass
dies wirklich das Richtige sein sollte, Was den lexi-
Abweichung der jetzt gesprochenen Sprache, je mehr
man dieselbe kennen lernt, von der der Bücher immer
weniger bedeutend, als es im ersten Anfang der Stu-
dien erschien, indem einerseits immer von Zeit zu
Zeit einmal wieder ein bisher nur gehörtes Wort sich
doch endlich in einem Buche findet, andererseits die
lehrt, Jors ois je Sachen ai
187
Bulletin de l’Académie Impériale
zen aber scheint mir der tibetischen Sprache ein ge-
wisser puristischer Instinct eigen zu sein, der sie vor
solchem Einströmen von Fremdwörtern sehr frei erhal-
ten hat, wenn man so manche andere Sprache in die-
ser Hinsicht mit ihr vergleicht. Die ganze Quantität
des Unterschiedes zwischen der feststehenden Schrift-
und gegenwärtigen Umgangssprache bin ich geneigt
um ein Bedeutendes geringer auszuschlagen als z. B.
der Unterschied des alemannischen Volksdialectes,
der durch Hebels Gedichte so allgemein bekannt ge-
worden ist, von der gewöhnlichen hochdeutschen
Schriftsprache beträgt.
Über die verschiedenen Mundarten des Tibetischen
habe ich schon vor 6 Jahren in einem Briefe an Prof.
Lepsius in Berlin, welchen derselbe in dem Monats-
berichte der Königl. Akademie der Wissenschaften
1860 p. 257 ff. abdrucken liess, einiges bemerkt,
wiewohl nur beiläufig und an verschiedenen Stellen
zerstreut. Wiewohl ich seitdem die Dialektverschie-
denheiten noch mehr kennen gelernt habe, so bin ich
doch noch lange nicht in den Stand gesetzt, eine
Übersicht oder Charakteristik auch nur der westtibe-
tischen zu geben, da ‚ich selbst ausser meiner damali-
gen Reise nach Ladak noch keinen weiteren Ausflug
in die umliegenden Provinzen gemacht habe, also
meine Kenntniss auf vereinzelte Beobachtungen an
natives aus andern Theilen des Landes, und auf die
Notizen meiner Collegen, welche. Ladak, Zangskar,
Spiti und Kunawar öfters besucht haben, sich be-
schränkt. Was ich in jenem Briefe an Hrn. Lepsius
darüber gesagt habe, hat sich mir jedoch seitdem,
mit wenigen Áusnshueh, nur bestätigt, und ich kënnte
jetzt Manches stürker ausdrücken und mit mehr Bei-
spielen erhürten, — so die das Verstündniss auf's
Höchste erschwerende Nivellirungs- oder Verwi-
schungssucht des Lhasaer Dialects auf der einen ?),
3) z. B. 3], welches in Ladak ete. schra lautet, in Lhasa — sa,
SR sinmo, SZ singmo ete; $ und 3, welches hier in West.
tibet überall scharf unterschieden wird, ganz gleich, — wenigsteng
konnte ich keine Verschiedenheit wahrnehmen; in À Sons: EN
und 5^ nach Lhasaer Pas ce beides Ss tin; A = LCI
= RS etc. = drul oder dul ete.; Assimilation des ` 3 in 3] vor
s UTERINE
und die im Volksbewusstsein erhaltene distinete Aus.
sprache vieler übergeschriebener oder sonst nach de
Grammatiken und dem Lhasaer Dialect gewöhnlich
| verschwiegener Consonanten in Nordwest- Lu an-
dererseits ^).
Vielleicht ist es Ihnen nicht unlieb, wenn ich hier
noch einige Bemerkungen zu Ihren «Erlàuterungen
und Berichtigungen zu Schmidt's Dsanglun» hinzu-
füge. Zu Ds. S. 99 Z. 6 kónnte vielleicht die Notiz
der Beachtung werth sein, dass in Ladak DNK (oder
vulg.: yog tsche) awegschütten » heisst, und synonym mit
Ga 3 gebraucht wird. Ich würde daher vorschlagen:
«ich habe (nur) den vom Gelong nicht weggeschütte-
ten, (sondern) mir geschenkten Rest genossen», nach
der Ken eines in unserem Besitz befindlichen, mei-
stentheils recht guten Manuscripts: eil 3^ "afp
E à A] A BES A REA. Zu 8.101, Z. 17 nodi
2 Beispiele: 35 e Kei S Zj quum in eo esset ut cape-
HE
retur; (die Nebenform E zi für q EN oa von Ke GË
kennt Schmidt zwar im Wörterb. nicht an, $ sieista aber
ausser Zweifel), Gyalrabs fol. 98, ES FPFF ge CU?
nahe an die Ferse reichen (von einem langen Gewand) |
Gur "bum f: 125. Zu S. 117, Z. 16 scheint mir die
Lesart unseres Manuscripts die Schwierigkeit Y
zu heben: zr FANS S AUS (cf. 119, 8) LEO
Z. 2 bietet dasselbe Sul zısı statt EN A, wat 8 |
Bei, was. s noch leichten. ist als die sehr E :
Bedeutung bei Schröter. — $..138, Z. 12. gibt ur
ser Manuscript statt des Ger a Š sehr eine!
| [qua
ER als... . sich näherten. — Gët 150, d 1 bei |
Xutri sr TE RELI
einem 1 folgenden Er Sp Hi in West- Tibet. dii:
Alim
pas in Lu ange, = 5 M rp des
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= ME r4] und Ähnliches. * En
wie
4 d Sr M L.
is ER hais, E hörte des von yn einem Y £u :
e dé y
| iliterajen Bauer aus Purig rdzong K ug, und so ‚Vieles andere
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
——— Ihre Vermuthung des H. — 5. 150,
7.12 lässt unser Manuscript à weg und schreibt a 2
statt à, wodurch die Schwierigkeit wegfällt.—S.217,
Z. 16 Ms.: #37) — S. 219, Z..7 37 kann füglich
eine Nebenform von 9" WË oder vielleicht nur Druck-
fehler statt 9° 3 oder, wie die hiesige Volkssprache
hat, da sein. — S. 222, S. 6 fehlen wohl nur die
Tseg's in Handschrift und Holzdruck; unser Manu-
script: FINTRSN etc. Ein zweiter Druckfehler
hat dann das 2 in Schmidt’s Ausg. in E verwandelt.
— 5.223, 14 gibt das Manuscript die einfache Les-
art TARZAN JANSA ete,
Sie erwähnen in Ihren Anfragen auch «anderer in-
nerhalb Tibets gesprochener Sprachen». Hier können
wir natürlich, wenn man das «innerhalb» streng neh-
men will, zunächst nichts beitragen, da es uns so
wenig als andern Europäern, incl. englische obrigkeit-
liche Beamte, welche wegen officieller Verhandlungen
sich an die tibetischen Behörden wandten, gestattet
worden ist, tiefer ins eigentliche Tibet einzudringen,
und der von Lord Elgin abgeschlossene: Vertrag von
Tientsin noch nicht bis an die westliche. Gränze der
Besitzungen des himmlischen Reichs seine Wirkung
ausgedehnt hat. Allein ein interessantes Factum hat
sich mir ganz unerwarteter Weise neuerlichst in mei-
ner allernächsten Nähe gezeigt, welches mir Hoffnung
zu geben scheint, der Lösung des linguistischen Pro-
blems, welches das Verhältniss der tibetischen Ortho-
graphie zur Aussprache darbietet, näher zu treten.
Hier in Lahul herrscht nämlich in einem kleinen Di-
stricte eine Sprache, Bu-nan genannt, die ich früher
als eine allmählich aussterbende und ganz uncultivirte
völlig vernachlässigt hatte, welche mr aber, als ich
endlich etwas näher
Erscheinung zeigte, dass sie in einer Menge tibeti-
scher. Wörter, die sie aufgenommen, die alte Aus-
Sprache erhalten hat, die in keinem Theile Tibets
selbst, Sogar nicht in Nord- Ladak, soviel ich weiss,
darauf einging, die interessante.
mehr am Leben ist. Die Sprache selbst ist, wie sich
beim ersten Blicke zeigt, ein Dialect der von Cun-
ningham unter dem Namen Tibar skad, als in Kuna-
war gesprochen, aufgeführten; und schon dies würde
auf eine frühere weitere Ausdehnung ihres Gebietes
schliessen lassen, von der sich gegenwürtig nur noch
gleichsam zwei Inseln, durch einen grossen Zwischen-
raum hindustanischen (in Kullu) und tibetischen (in
Spiti) Gebiets getrennt, erhalten hätten. Bestätigt
wird dies aber auch durch die Volkstradition, indem
die Leute hier versichern, dass die genannte Sprache
beständig im Abnehmen begriffen sei und seit Anfang
der jetzt lebenden Generation an Gebiet verloren
habe. Cunningham rechnet sie zu den tibetischen
Dialecten, wozu ihn die grosse Anzahl tibetischer
Wörter, welche sich in derselben finden, bewogen
haben mag. Untersucht man aber sowohl den Wort-
schatz als die grammaticalische Bildung derselben ge-
nauer, so kann man diese Meinung wohl nicht länger
beibehalten. Die Sprache besitzt Endungen und Flexion
in wenigstens demselben Grade wie die hindustani-
sche, wührend der tibetischen dies alles nicht nur
jetzt fehlt, sondern niemals eigen gewesen zu sein
scheint. Was den Wortschatz betrifft, so sind bei wei-
tem die meisten der «words of primary necessity »°),
Kórpertheile, Benennungen der umgebenden Natur-
gegenstände und Landeserzeugnisse, der natürlichsten
Handlungen und Zustünde des Lebens, offenbar ori-
ginell, oder wenigstens weder tibetisch noch sanskri-
tisch. Dagegen fanden sich zwei verschiedene Classen
tibetischer Wörter: a) solche, die die alte tibetische
Aussprache beibehalten haben: (371 Steuer, Kral, sonst
überall, auch in Ladak tal; gq Rreich, p yugpo, sonst
in der jetzigen tibetischen Sprache überall Z'schugpo,
ENK Bergbach, grogpo, sonst drogpo; 8^ (3) schmek-
ken, myang (tschum), sonst nyang(wa) n. S. w.; b) sol-
che, die der neueren Aussprache folgen: 2 a Ver-
leumdung, tama; (33/5 Gericht, tim; Ex Weltgegend,
e 5 TT hein-
gt, n6. w Dien TE DEER
5) Ein Ausdruck, welchen Latham (Ele en S of e RR á
hilology, 1862), ich weiss nicht warum? pen Ee vd? daten
fechten scheint. e
Bulletin de l’Académie Impériale 192
lich auf zwei zu verschiedenen Zeiten stattgehabte
Einströmungen tibetischer Ideen und Wörter hin: eine
uralte, und eine spätere, zum Theil noch fortgehende;
die Wörter der ersteren passen auch grossentheils
vortrefflich zu dem, was man sich als die ersten Fol-
gezustände der Invasion eines tibetischen kleinen Ero-
berers in das Gebiet eines noch fast ganz im Natur-
zustande befindlichen, einfachen Nachbarvölkchens
denken müsste, die der zweiten, welcher die meisten,
oder alle Wörter, welche höhere geistige und religiöse
Begriffe bezeichnen, angehören, auf eine mit dem Auf-
drängen der buddhistischen Religion und eines gewis-
sen Grades geistiger Cultur verbundene Bewegung.
Ich beabsichtige wo möglich diese Forschungen im
Winter fortzusetzen und eine vollständigere Sammlung
charakteristischer Wörter anzulegen; auch Andere,
die vielleicht Gelegenheit Haben könnten andere Nach-
bardialecte und Sprachen in dieser Hinsicht zu unter-
suchen, darauf aufmerksam zu machen; und wenn sich
daran archäologische und historische Entdeckungen
schliessen könnten, so wäre es vielleicht möglich die
dunkle Geschichte des Lebens der tibetischen
Sprache ein wenig aufzuhellen. |
Damit will ich für jetzt schliessen, um Ihnen zu-
nächst nur Nachricht zukommen zu lassen, dass ich
wenigstens das Meine gethan habe in Betreff auf die
Erfüllung Ihres nächsten Wunsches in Betreff des
Gesar; ob es gelingt, kann freilich erst die Zeit lehren.
Über Philodemus repli evoeßelas, von A. Nauck.
(Lu le 4 (16) mars 1864.)
Im Jahre 1833 wurde durch Chr. Petersen der
so genannte Phaedrus de natura deorum in die Lit-
teratur eingeführt. Vor Petersens Bearbeitung ( Phae-
dri Epicurei, vulgo anonymi Herculanensis, de natura
deorum fragmentum, instauratum et illustratum, im In-
dex scholarum in gymnasio Hamburgensium academico
a die festo Michaelis 1833 usque ad pascha 1834 ha-
bendarum) war der auf einen sehr kleinen Umfang
beschrünkte Griechische Text ohne Nennung eines
Verfassers aus den Herculanischen Papyrusrollen
bekannt gemacht worden von W. Drummond, Her-
culanensia or archeological and philological dissertations,
containing a manuscript found among the ruins of Her- |
culanum, London 1810. Fragen wir nach den Grund- |
Dee
lagen, auf denen die vermeintliche Autorschäft de
Phaedrus beruht, so finden wir dass Petersen bei sej-
ner Betitelung der anonymen Schrift sich durch Chr.
G. v. Murr leiten liess, der im J. 1806, also vier
Jahre vor dem Erscheinen der Drummondschen Ar-
beit, in der Übersetzung von Philodemus reet povot-
xij; p. 22 folgende Notiz gab: «Andere Rollen enthal.
ten: eines Ungenannten Abhandlung über den Zo;
$AIAPOY TTEPI $YCEWC OEWN, von der Natur
der Götter. Er war ein Freund des Cicero, welcher
vieles daraus in semen Büchern de Natura Deorum
übersetzte. Diese und eine logische Schrift Philodems
liegen zum Drucke bereit.» Hätte Murr den vermeint-
lichen Phaedrus publicirt, wie es seine Absicht ge-
wesen zu sein scheint, so würde man schon längst
über die Berechtigung des gewählten Titels ein siche-
res Urtheil gewonnen haben. Da die Publication nicht
erfolgt ist, so blieb es zweifelhaft, ob Murr sich auf
positive Zeugnisse gestützt oder eine blosse Combina-
tion als Thatsache hingestellt habe. Das letztere war
deshalb weniger wahrscheinlich, weil eine Schrift des
Phaedrus rept ouosws Scóv meines Wissens von kei-
nem Griechischen oder Römischen Autor erwähnt
wird. Allerdings heisst es bei Cicero ad Att. XIII,
39: libros mihi, de quibus ad te antea scripsi, velim
es dürfte nicht wohl möglich sein für das unverständ-
liche restocôv eine leichtere Verbesserung ausfindig
zu machen als rep Sev, wie bereits Victorius und
Manutius vermuthet haben; aber wenn Murr dies
Stelle im Sinne hatte (und wir werden bald sehen
dass dies wirklich der Fall war), so ist doch damit
noch nicht erklärt, was ihn bewog repi puasog 3
statt eol Seöv zu substituiren. Durch den Titel der
Ciceronischen Bücher de matura deorum war jeder
falls eine derartige Substitution weder motivirt noch
auch nur nahe gelegt, und man konnte ehemals ver
muthen, was jetzt mit grósster Entschiedenheit sich
behaupten lässt, dass Murr den Titel Paidpeu SÉ `
QUcsoc Seó» nicht rein willkürlich erfunden IW
Wenn daher auch hie und da die Ansicht ausgespr"
chen wurde, dass man lediglich nach Murrs Vern
thung den Epicureer Phaedrus als Verfasser des Y? ;
Petersen behandelten Bruchstückes ansehe '), sot
Eg
T in
1) So sagt L. Preller in der Ersch-Gruberschen Encyklopst j
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
194
doch der Name Phaedrus unangefochten stehen, ohne
dass jemand den misslichen Versuch gewagt hätte
der Murrschen Hypothese eine andere gegenüber zu
stellen.
Erst jetzt ist es möglich den Verfasser und den
wahren Titel der oben bezeichneten Schrift anzugeben:
statt Daldpov repi qUcso; Seöy bekommen wir Pro-
Ain mepl eUcege(m;. So nämlich lautet der Titel
eines umfangreicheren Werkes, das im zweiten Bande
der neuen Sammlung der Hercul. Volum. (Neapel
1862 und 1863) zum Vorschein gekommen ist. Die
von Drummond herausgegebenen zwölf Columnen (bei
Petersen p. 16 — 27) stehen hier auf Tafel 11 —22;
die Tafeln 1 —10 und 23 — 147 enthalten von eben
diesem Werke diejenigen Stücke, welche man zu ent-
ziffern vermocht hat. Der Titel des Werkes erscheint
auf Tafel 1 in folgender Gestalt:
QIAOAHMOY
NEP: €YCEBEIAC
Von dem Namen des Autors ist also nur der erste
Buchstabe vollkommen deutlich erhalten, und daraus
erklärt es sich dass Murr auf Patdoov rieth, wo Puo-
duo zu lesen war. Murr wusste, wie er in den oben
angeführten Worten selbst sagt, dass Cicero in dem
Werke de natura deorum den in Herculanum aufge-
fundenen Schriftsteller, dessen Name mit dem Buch-
staben ® anhob, benutzt hatte; er glaubte bei Cicero
selbst den Namen dieses Schriftstellers auffinden zu
müssen, und so verfiel er auf Phaedrus, weil Cic. N.
D. 1, 33, 93 diesen neben anderen Epicureern mit
besonderer Anerkennung erwähnt: nam Phaedro nihil
elegantius, nihil humanius. Für die Bestimmung des
Titels der Schrift hielt sich Murr an die früher mit-
getheilte Stelle des Cicero ad Att. XIII, 39. Dass
er tepl oUecoc Sev statt repl Ge setzte, erklärt
sich aus der jetzt bekannt gewordenen widibei Auf-
schrift des Philodemschen Werkes. Statt MEPI
ec -. las er oder sein Gewährsmann °) MEPI
T_e
eg III Th. 21 p. 362: «daher denn auch jene Ueberschrift bei
at ji die Autorität einer Conjectur hat.»
der vielger mum im Augenblick nicht móglich zu entscheiden, ob
selbst o iste Murr die betreffende Herculanische Papyrusrolle
i "eng oder nur nach fremden Mittheilungen über dieselbe
Tome VII.
Somit erscheint die bisher gangbare Betitelung
Patdpou Tepl quosos Seûv als eine irrige Hypothese,
die nunmehr, da wir ihren Ursprung darzulegen im
Stande sind, des früher allerdings erklärlichen Nimbus
entkleidet ist und einfach der Vergessenheit anheim
gegeben zu werden verdient. Der neue Titel Pio-
Ap cu mpl evcefeias trägt in sich den Stempel der
Wahrheit so vollständig, dass es überflüssig scheint
zu seiner Bestätigung noch ein Wort hinzuzufügen.
Da indess verjáhrte Vorurtheile bekanntlich überall
schwer auszurotten sind, so deute ich die wesentlich-
sten Gründe, welche für diesen neuen Titel sprechen,
kurz an. Eine Schrift des Philodemus rept euoeßeins
war bisher völlig unbekannt; schon darum ist es un-
denkbar, dass der neue Titel willkürlich erfunden
sei. Für die Glaubwürdigkeit der Neapolitanischen
Herausgeber spricht obenein der Umstand, dass wir
erst jetzt verstehen, wie Murr zu dem von ihm be-
liebten Titel kam. Von Philodemus sind zahlreiche
andere Werke in Herculanum aufgefunden worden,
von Phaedrus kein einziges. Nach dem Zeugniss des
Cicero war Phaedrus ein geschmackvoller Schrift-
steller, Phaedro nihil elegantius. Das Drummondsche
Fragment ist in einer auffallend nachlässigen Form
abgefasst, ganz entsprechend dem salopen Stile des
Philodemus, wie wir ihn durch andere Papyrusrollen
kennen lernen, und es würde nicht schwierig sein die
Identitàt des vermeintlichen Phaedrus mit dem an-
derweitig bekannten Philodemus durch eine Verglei-
chung ihrer stilistischen ig höchst
wahrscheinlich zu machen. `
Dem Drummondschen Bruchstücke des Philodemus
repl suoeßelag verdanken wir mehrere nicht unwich-
tige Citate aus älteren Autoren, unter andern folgende
auf Diagoras und Aristoxenus bezügliche Stelle, die
ich hier mittheile, weil die Erwähnung des Aristoxe-
nus von Müller in den Fragm. Hist. II p. 269 — 292
übersehen worden ist und weil der von Drummond
p. 152 und Petersen p. 23 gegebene Text aus der
neuen Neapolitanischen Sammlung der Vol. Herc.
(Tafel 18 des zweiten Bandes) um eine Zeile vervoll- `
stándigt wird: got’ čyoye xay Tedappnörag einant
reiege Atayópou prev TAn. ô da vio nen
einep dea xal tovtov Zezmg, AAN our À =
greng d» toig Mavrivéov ESeotv "Aotocótevog geg ev
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9i cf monast ie porn Sono xat am on.
Bulletin de l’Académie Impériale
196
auto) yeypapsar totg Ghots oiäën goeëie Weg der Seet,
dÀX doct» eiemgge ge ronis el To Satówov, xaSa-
rt AAAA TE paptupet xal To yeypapnevov eis Apıavdnv
KA Agysiov" S60; 3606 Wi RAVTOS Epyov Beotetou voy.
geéva vreptatavt xal và eig Nuxóbogcy xo» Mayctvéa.:
Xa Salgovo xal cya» xd. mer Booroiary éxtehet-
gar, TO Agen M aurör reguéyer xal tò Mavti-
veov ÉvxOpLOV.
Wenn wir das aus zwölf Columnen bestehende
Bruchstück sich zu einem Umfange von fast anderthalb
hundert Tafeln erweitern shes; $0 haben wir allerdings
Grund üb en Zuwachs uns zu freuen;
aber leider wird diese Freude wesentlich beeinträchtigt
durch die Wahrnehmung, dass die Schrift des Philo-
demus zum grössten Theile in einer überaus trostlo-
sen Verfassung vorliegt. Drummond hat sich auf die
wenigen lesbaren Columnen beschränkt, die einen leid-
lich zusammenhängenden Test gaben; die erst jetzt
veröffentlichten Stücke sind vielfach so stark beschä-
digt, dass jeder Herstellungsversuch nothwendig schei-
tern muss. Au einem Scribenten wie Philodemus kann
uns nun freilich nicht viel gelegen sein; wohl aber
dürfen wir die Missgunst des Schicksals oder vielmehr
die unvorsichtige Behandlung der in Herculanum zu
Tage geförderten Papyrusrollen in dem Fall ankla-
gen, wo die von Philodemus eingeflochtenen Citate
aus älteren Schriftstellern gelitten haben. In der
Schrift vegl} eucsge(az ist dieser Fall überaus häufig,
und der Ertrag derselben bleibt darum hinter unse-
ren Erwartungen weit zurück. Gleichwohl lassen sich
auch aus den fragmentarischen Stücken manche in-
teressante Notizen und mehrere Bereicherungen un-
serer Kenntniss der älteren Litteratur gewinnen, wenn
jemand die Geduld besitzt mit den ihm entgegentre-
tenden Hieroglyphen sich eingehender zu beschäfti-
gen. Allerdings müssen die einzelnen Kórnchen dem
übel zugerichteten Exemplare mehrentheils mit Mühe
abgerungen werden, und vielfach werden die Resul-
3 at,
desen
tate dem Aufwand an Zeit und Kraft nicht entspre- |
chen; aber wie ich die Erfahrung gemacht habe dass
diese und jene zunächst ganz unverständliche Stelle |
durch wiederholte Lesung mir verständlich‘ würde,
so kann es keinem Zweifel unterliegen dass ändeteifn.
der Deutung der verstümmelten Columnen um vieles |
weiter kommen werden als es Bei à
Buchstaben nicht so scharf festgehalten wird als l
Ausserdem dürfte es nicht überflüssig sein der 1 1
Lesung der verkohlten Du RS dc, Jig
2: cet rim rab ik
"-
ist. Es "aU is
Gelehrter entschliessen würde die Schriftdes Philode.
mus zeg evoefeias einer speciellen Behandlung zu
unterwerfen und sie, so weit es die Gesetze einer be-
sonnenen Kritik gestatten, lesbarer zu machen, zumal
da die Neapolitanische Ausgabe schon um ihres ho-
hen Preises willen nur wenigen Philologen zugänglich
sein wird. Die nachfolgenden Blätter können vielleicht
einem künftigen Herausgeber hie und da nützlich sein;
ihr eigentlicher Zweck ist jedoch dieser, zu zeigen
dass das neue Werk des Epicureischen Philosophen
eine nicht unerhebliche Ausbeute an Citationen aus
alteren Dichtern und Prosaikern liefert, und durch
diesen Zweck war die Auswahl der hier besprochenen
Stellen wesentlich bedingt.
Um über die Wahrscheinlichkeit der von.mir ver-
suchten Herstellungen dem Leser das Urtheil zu er-
leichtern, habe ich den in der Neapolitanischen Aus-
gabe publicirten Text móglichst genau wiedergegeben;
freilich sind geschnittene Typen nicht ausreichend ein
Facsimile der Papyrusrollen zu Nos oder auch
nur gewisse gangbare Buchstal lungen zu
erklären. Wer also wissen will, wie es e zugeht diss
z.B. À und A oder H und II in Folge hóchst verzeih-
licher Lesefehler öfters mit einander vertauscht ur
den, braucht nur einen flüchtigen Blick in die à KC
politanische. Ausgabe zu werfen, um die Charak e
der Herculanischen Rollen ungefähr kennen E) ler:
nen und sich zu überzeugen dass bei der Praxis H
Schreibens die eigenthümliche Form der ein nen
als bei
der unerbittlichen Regelmässigkeit unseres Druckes,
heuern Schwierigkeiten zu gedenken, mit enen | E.
Weise zu ringen hat. Wenn man also auf
unseres Philodemus ECYTAZWN statt. SA i
gelesen hat, so kann freilich ein derartiges: Versehen,
zumal bei lückenhaften Stellen, uns viel zu T
machen; gleichwohl wäre es unbillig, wenn. wir dr
um die Neapolitanischen Herausgeber der . Na
sigkeit anklagen wollten. Dagegen ist es Lee
hóchst befremdlich, wenn wir bei zwei un
auf einander folgenden Tafeln (143. nnd, e
total verschiedenen Anfang und ein fast. j
wahrnehmen. xis MODE I De jetzt so: 3; ie
197 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 198
143. 144.
ENECHAE ICTANAEKAI
INEYCINA AETOYCTTPOC
AHPACKAI NA9IKNOYME
CTHNKAI PKHOHPIOIAI
AACAME i€ IPHNECAI
PEYETAKAI CINTOYCHA
OYCATHNTHC \NTACAYTAIC
TONOYKEANC AIAKWNTHN
AbPOAITHC AYTOICAN
OYTONHNT OYAIOCYTTO
TOCOTTOCEI —OCOTTOCEI
ENIOWCEKAI EAIOWCEKAI
AINOP HTTEPI NNOPEITTEP
NOTITOYC . NOTITOY
TACETT NTACENTAC
EIKAITWN EIKAKL
Wie sollen wir uns die fast durchgängige Überein-
stimmung der sechs letzten Zeilen der beiden Colum-
nen erklären? Falls nicht von Neapel aus durch ein
bestimmtes, auf nochmaliger Vergleichung der be-
treffenden Papyrusrolle beruhendes Zeugniss die ge-
gebene Fassung constatirt wird, müssen wir hier noth-
gedrungen eine den Herausgebern zur Last fallende
Confusion voraussetzen. Hoffentlich werden die Her-
ausgeber selbst sich beeilen die nöthigen Aufklärun-
gen zu geben. Gewiss wäre auch zu wünschen dass
sie sich darüber üusserten, inwieweit die - jetzige
Reihenfolge der einzelnen Blätter zuverlässig oder
problematisch ist: mindestens werden wir in Betreff
"T auf den ersten Tafeln mitgetheilten Fragmente
Vermuthen. dürfen dass bei ihrer Anordnung die Laune
des Zufalls hie und da gewaltet habe. _ gs
i „Doch genug der einleitenden Vorbemerkungen:
Vie ich schon andentete, will ich nicht sowohl dem
n ze als vielmehr den aus der neu edirten
. . 7" gewinnenden, besonders litterar-histori-
Wi i Notizen meine Aufmerksamkeit zuwenden. Die
ae Senden Stellen bezeichne ich mit den am
ke: Bande der Neapolitanischen Ausgabe stehen-
le IDE
Tafel 2. Vom dritten Bruchstücke
STORE
OYCIKAIA
HNAYTHT
AICKAIT
CINAEPAT
EINEMTTO
OICYMNOICAO
APAPIAOXOPWITHN
AIAHMHTPATHN
sind nur die beiden letzten Zeilen verständlich: laps
Prroxspa: Ley [xjat ANNT my Joie gy. Dass Ti
und Amwnrne identificirt werden ist nicht neu; aus
Philochorus aber war diese Gleichsetzung meines
Wissens nicht bekannt; Cicero N. D. 1, 15, 40, der
dem Philodemus folgt, hat die von diesem angeführte
Autorität verschwiegen. |
3. AWPOCOTATT
EIKOCINKAIT
DACYNTAZACKAITA
NTACXEAONEIC |
YTANAAWCACEIKAI
AXETAITTOYTOIC
NOIKEIOYCINOYAI
So lautet das fünfte Bruchstück. Die fehlenden Buch-
staben lassen sich mit ziemlicher Sicherheit wieder ge-
winnen ` Aeeiidläugee o xa, n{ept Seüv]eixoouv xat dér:
talpai ourdëae xal ra [xo ]vca oxsöcv eis [a]ó* avaro-
cas, et xal [playetai seu rois [au ]vorxstoüatv ...... Mag
auch im Einzelnen manches zweifelhaft sein (nament-
lich kann ich «à vavta nicht vertreten), so glaube ich
doch den Namen des Apollodorus richtig erkannt zu
haben. In Betreff der Umfangs der verloren gegange-
nen Schrift. negt Seöy (Heyne p. 387 — 403. Müller `
Fragm. Hist. I p. 428—435. IV p. 649) hatten wir
bisher nur das weniger bestimmte Zeugniss des Pho-
tius Bibl. Cod. 161 p. 103 a 26,. wo es vom ersten
Buche der Eclogae des Sopater heisst: guvelfewrar ex
rôv AnoMdodwpou zeg Jedy Tplrou Aen — 1 ou ie
zoo roérou. 8b pévor d Sadoyi aus mega, aa
Sé xal ée D xal &' xal S, 100 Te ta/ TAAN xal if. te TE
xal us’ peyot vo) x3. Danach war die beliebte Zahl von
24 Büchern (vgl. A. Hecker.im Philol. V p. 433) für
das, Werk des Apollodorus zeg) Ssóv allerdings wahr-
scheinlich, aber nicht erwiesen.. In welchem. Sinne
Philoder ü cüccv angewendet habe, lässt
oi =
"otc.
TT. ET WEN "E
2
T 3
Bulletin de l'Académie Impériale
sich aus den von Petersen p. 39 angeführten Stellen
entnehmen.
4. Das zehnte Fragment erscheint in folgender
Gestalt:
OEWPEITA
YAOYNTO
NACKEYAZ
OAFOPOYAAYTOYl
OYAENDACIFINE
EINAITWUNANAS
OMENWNTTAPA
Was in den ersten drei Zeilen enthalten sein mag,
wissen vielleicht andere zu errathen. Nachher ist zu
lesen: Hu]Sæyégou Saito ^(. cud&y pact dude! Stat
tüv dvalosplouévoy Tapdı.... [eis aen, Offenbar ist
FINE ein Lesefehler statt FIHC oder vielmehr FNH C.
Zur Sache vgl. Diog. L. 8,.6: čvor pèv oùv [IuSayépa»
KC: ouyypapja pasiv,
6. Fragm. 18: |
F€NY |
SAGA SIR RED, e -0
NHCETTIN TONO
` MHPONWCL 1YOIK
AAAAAHOWC TTEPT ||
| OEIOYAIEIAE MENON ` `
~ TONAEPATAPAYTON ` `
^ AIANOMIZEIN®HCIN
ÉTIÉIAHTTANEIAE |
NAITONAIAAEFEIKA —
Abgesehen von den ersten Buchstaben, die ans dem
Zu hange h gerissen sind, ist alles ziem-
lich klar. (Ae zg uge delomef) xv "Opmpov ws [ou] pu-
Seas SAN dns Loalie del Seéou Aehelz ]uévov: tov
dén yap airëu Al vouie ato, ered zën alöcvar
roy Alu Arer xal...... Dass ich éxatvet (nicht érvost)
x6» "Opmoov geschrieben habe, ist durch den Sinn,
wie ich denke, hinreichend gerechtfertigt. Der Name:
Auoyévns scheint durch die Buchstaben NHC in Ver-
bindung mit den gegen Ende der vorhergehenden
Zeile stehenden Elementen ..O indieirt. zu : sein.
Cic. de N. D. 1, 12, 29: aer, quo Diogenes
ët ABEE
> “1. d i
ales utitur deo. Vgl. Philem. Com. 4 p. 31: ov oùdè
el; AéAnSev oùdè Ev goën — oute Seóg et Avipwmag,
| anal Xdguov tò» Zugaxcotow eurpentosar OTY!
Tr , F Se. Y , ,
QUTOS eip yo, Amp, 0v du oe Gvopdoete xal Ai, `
7. In einer fast unversehrt erhaltenen Stelle Fragm,
91 heisst es: Lee AvruaSéver 8° èv pèv Leo ena
AÉYETAL TÒ XATA VOJLOV etat t{onlhous Seous, xata 3
bo Ea). Bisher kannte man die Ansicht des An-
tisthenes (Winckelmann Antisth. fragm. Turici 1842
p. 22) dureh Ciceros Übersetzung der vorliegenden
Stelle, de N. D. 1, 13, 32: Antisthenes in eo libro qui
Physicus inscribitur, populares deos multos , naturalem
unum esse dicens tollit vim et naturam deorum.
30. T AHNTTOAYCEN
TOICOXAOICCWKPA
THCAEONKAITOIC
ETTATOYCINTONOY
KATTEMOYCKE A
CEICALFONTTPOXEI
PONEXEINKAITT
AOY AIHPEOIZE
KAITTOAEITI EI
ETTANHPEITOT
MENEIACE=UWN
"A PONWITOM
C CYNHOPOICO
TTACHTTPO#ACEI
AN AMENO H
^OAIKAIAITOTITO!I
| Die Worte mögen etwa so gelautet haben: Ae 9
y a ra y 1 E H
T» noAUg du toig OyAot; Zoxparns, dEov xal vois èra-
„| youow tòv «oûx am pen cxe[jdoets;» Le
Jegen Zem, mat sie Melle) Smoke xal more [raont)
|éravngeiro zë: Suoluevetas, dÉ av [mux]póv [el T
plüloloc] cuvmsoeoS[m], geg Tpopaseı Bud vlgpeng?
gulëlebar xal ótt xré. Die Ergänzung Tag ÔVOpE"
véas ist mir selbst höchst zweifelhaft; der Artikel
würde besser fehlen. Eben so wenig mag ich behaup-
ten mit dem Vorschlage rıxgev d tò pigog die ur-
sprüngliche Lesart getroffen zu haben. Die Worte
ein dr po axeddest; verrathen sich durch den
Rhythmus und die Art wie sie hier in die Rede ein-
geführt werden als eine poetische Reminiscenz. Phi- ;
lodemus hat jenen Hexameter im Sinn, auf den au
Clearchus bei Ath. I p. 4 B sich bezieht: KAéagyos
dia xa
ragouéus elc Exaarev av. Ev toig deinvols rapatt-
Wvov* siç pv Toy (ad axo umov Alyalov eur!
Baddog» — eig A cà du rois école lmpaiov
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
oUx ar” duc axeddoeıg Ge:
and Bion bei Diog. L. 2, 117: Blova épurnSévra et
seol sieft, einelv
cix de" duet oxcddioets Steg, Taateli TpÉGBU;
Aus der Stelle des Philodemus scheint hervorzugehen
dass Sokrates eben diesen Hexameter angewendet hat-
te, um den Andrang von Zuhörern abzuwehren.
33. AFIAUıM
NIOIAETHNE
ANTTAAAAAA
AIPACINOTITIA
AATHNITAAAM
NOCEAYTH COIT
AONOYCANAKC
CAA EPOEIPEN
TOYC ETAPTA
Lassen wir die erste und die letzte Zeile dieses Bruch-
stücks bei Seite, so: bekommen wir. etwa folgenden
Text: £]wot 8$ Tyv Alönv]äv Maida [xexAñaS Jar pa-
ei» Get Hal AiAdSo Tv Horaplao]vos Éauris on[a]dov
Dean dxc[u]co. öltJepSerpev, Die hier gegebene Her-
leitung des Namens IIo22«2 scheint nirgends weiter
` Vorzukommen ; andere Erklärungsversuche finden sich
Schol. Il. A, 200. (Etym M. p. 649, 52. Eust. Il. p. 84,
39. Od. p. 1742, 35.
29. YNEPMH
€ ObHCINOM
.. … YKWAEAUW
THNAIA9$€POY
OPWTTWNATTAI
KAETTTOCYNHI
TTIOPKIANOTIAY
IXAPICMENAM
€ CP HAEP 3
Die See lässt sich aus Od. «, 394 ff, ohne Schwierig-
‚ergänzen: ó yo]üv "Konz: autos xas] ô engl
Was Autol |Uxo 8£8o[xc] c1» Pro.akgoulany ày|Soo-
D tav]. xhertoouvn[v xal éfrtopxiav, oct ail edy
— He Liege) «Jplvöv] A8 Zel Zeen.
LJ
bii AAPOCAE
m aik --— HOAIOCO T
Be GOMBTINETO:
e. CUN OTRA Car:
CUPSOTTON A CRAN
xai Teréor{ns. & Ac artt. .
TTOAIOCK/
OHNAITEFP
CIOAOCKA
APOCKAIDC
OAOHNAIOC
AOCICKAIA?
KAIAKOYC
EYPITTIA
NETEIZ
AKTACTA
EMONKAIOT
TTAKTIATTOI
KAITEAECT
KAHTTIWIA
AEKAIENTC
TOICKAIXC
Worauf die in der ersten Zeile enthaltene Erwähnung
des Pindar sich beziehe, habe ich nicht ermitteln kön-
nen. Zwar scheint es klar zu sein dass wir Z. 2 ùro
Arös ooBnSévros ergänzen müssen; aber damit ist we-
nig gewonnen. Erst von Z. 5 an bekommen wir einen
fortlaufenden Text, der durch die eingelegten Citate
unser lebhaftes ER in Anspruch nimmt. Ich
glaube mit folgenden Ergänzungen dem Originale nahe
zu kommen: có» AoxAnrısv Uno Auge x[cpauvo]S Tiva
veyolaoev ‘H]oioos sall Ilvdnjpos xai Pfepexusng] 6
Asnvaios [xai Ilavualors xai Alvöpov] xal Axouo[iiaog.
xao] Rdesiän à Anda) Are «Zeus yap xaz]a-
xras na|lda 6v] épov.» xat 6 za Naujmaxtıa ro[nous]
. Die letzten Zei-
len muss ich dem Scharfblick adore: anheimgeben.
Wenn ich Z. 6 und 7 xepauvoSÿva geschrieben
habe, wührend die Neapolitanische Ausgabe nach dem
Kappa ein unvollständiges Alpha bietet, so glaube ich
nicht ohne Grund von dem gedruckten Texte abge-
wichen zu sein: xacaxsomuvoST»a. wird durch den
Raum verboten, und für das Simplex spricht eine
spütere Stelle unserer Schrift, wo derselbe Mythus
berührt. wird; emm 131: — "" —
vwwolev. ` ;
Die gege des Hesiod bezieht sich auf fr. 49
bei Athenagoras Suppl. pro Christ. e. p» — e
Fog: psi “Hotodos pv"
Ape n DEE sage vi
pent
LOTAT ar’ BTS
Extavs, Anrotèao pavor Grp, épée A
Bulletin de l'Académie Impériale
204
So hat Göttling den letzten Vers zu schreiben vorge-
schlagen; die Handschriften bieten &xtavs Anrotön»,
piov adv Sugóv Splvov, wonach Köchly een in Ghoëv
ändern wollte.
Nachher scheint APOC ı ein Irrthum der Heraus-
geber statt APOC zu sein; ich habe kein Bedenken
getragen xat Illvdapos zu ergänzen, da Pindar Pyth.
3,55 ff. die Tödtung des Asklepius erwähnt.
Eben so glaube ich das von mir hergestellte Pepe-
xußns ó ASnvaios vertreten zu können. Vgl. Schol.
Pind. Pyth. 3, 96: Muscat Ak ó Aoxinrıöz xouco ðe-
Aenoselg dvacriaat "Immörurov redvnxota" ol òè Tuv-
8dosov, Erepcı Karavéa, d òè DAaüxov, ci Ak "Oppixol
"Yudvarov, Zrnoiyopos A del Karavei xai Auxoupyo'
ol A Ae tò tas [loottidas lamaudat, ol òè Ya toy
"Dplova, Duhagyos ott tove Diveldas ixoato, Pepexv-
dns òè Zo toU; dv Aehpois Ivjoxovras avaßıcuv Zorn,
cev. Schol. Eur. Alc. 1: Depsxvôns Ab ou engl tovs
Kuxloras und Arcidovog. dvgpiio sat, dd toug vious
&)t6v, "dun ot ‚map avtov av Adumrov č soxerar
Archhov "reem Ste Zoaureg, Auge neheugavras, OTL
XTELVEL TOUV Beovreo, xai Aotepönew xat Aereo Tatag.
wrelver òè avtos Arshov Au peppSels ott xreiver| |
Zeie AoxAnrıöv zöv raid auto xepauvS dv [uw
dviorn yap lamevos rois TES VEUT. — Pepsxuns ev
tjj aydsn TOY ieccptóv voie Ev-AcApois gel Svýoxov-
taç ayrev dvafiooxetv. Die Citation Depexuöns 6 ASn-
vaio; werden wir bei Philodemus zept ebceBetas noch
an einigen Stellen wiederfinden, verstümmelt auf Ta-
fel 86, vollständig und unversehrt auf Tafel 92.
. Was in den Elementen AOCICKAIAP (Z. 11) ent-
halten sei, wird sich vielleicht, niemals mit völliger
Sicherheit ermitteln lassen; aber für die ersten Buch-
staben wäre eine nochmalige Vergleichung der Papy-
rusrolle w h thlich ist AOCIC ein
Irrthum der Herausgeber ‚statt. YACIC. Den Namen
IIavjac:; hier zu erwarten sind wir jedenfalls voll- ut |
ständig berechtigt. Vgl. Apollod. 3, 10, 3: eUpcy dé
TOS Xeyopévous ayasrivar vr’ giereg, Karava xol
Auxoÿpyoy, óc Zrnoiyopos pnolv àv "Rain, ‘Irrékue
tov Og 0 ré Navraxtixd suyypaibas Aeyer, Tuvdapeov
ús pnoi ‚Havsaoız, "Yuéyatoy ge ci "Oppixol Alyousı,
TAaöxov có» Mívoo; ge Myncaycpas (vielmehr Apen-
cayópas, wie schon Meursius gesehen) Xéye. Sextus
Empir. ed. Bekk. p. 658, 10: AoxAnrıöv xexegauvóaSa:
Méyouotv, oùx apxounsvor To beugparı, àv d xal roxi-
—
hog «ucc peTamAarreug!, Zrnaéyopes pé» Ey’ Egeqüy
siray Gt ug: TOY nl Ono; TETOVTOY gugrg, —
Ilavsaoız DE Aë To verpov Tuvóaocov avacticou. Schol
Eur. Alc. 1: AtohAcdopos òè onol xegauvoSivat t
Aaxinmıöv del To Toy ‘Irrokutov dvactioa, Ausinoa-
vera; òè Bet Dhaüxov, Doudogte oct Tuvdapeov; d i
’Ogorxol ct ' Ygévatov, Zrnatycpos SE dnl Kazoef sei
Auxoupyo.
Weniger sicher ist dagegen das von mir gesetzte
xal Avdpov. Das Neapolitanische Facsimile lässt es
ungewiss ob nach dem Alpha ein My oder ein Ny ge:
standen habe. ‘Apsknowycons würde für den auszufil:
lenden Raum zu viel Buchstaben enthalten; darum
habe ich mich für Avàoov entschieden, zumal da diese
Verbesserung durch Philodemus selbst wenn nicht er-
wiesen, so doch hóchst wahrscheinlich gemacht wird.
Tafel 63 lesen wir nämlich Folgendes:
APWNAEN
CYNFENIKOICA
TWIAEFEITONA -
AWOHTEYCAIA
EFKTAZANTOC
CICAOCAEKAIAKO ibi
VeTAROCNEANEHM 200080
CEICTONTAPTAPON MEE
TTOTOYAIOCE M:
OHNAITHCA bis
IKETEOYCA
APIOHTu.ı
^ OMHPOCAET
P TETÉ C $
TOYM
KAIT
MIPPHT
AONTIM
AWNOCO”
MICOONA
| OHCAN ` e
Die. Durs. neun Zeilen dieser Ee beziehen sid
wie ich glaube, auf den Betrug des Laomedon, we
cher destituit deos mercede pacta, vgl. Il. 9, 443—451.
Aber der erhaltene Text ist zu lückenhaft, um. pit
einiger Sicherheit, ergänzt werden zu können. od
gen glaube ich in allen wesentlichen Punkten. iet Bei-
stimmung rechnen zu dürfen, wenn ich die erste
"PT THREE TE TEE STEEN H On
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
206
so lese: Av]8pav à Ev Zuvyevixois A[Spr]ro Aéyer Tôv
Afro Snreôoat Afc] é[ne]raéavros, [ HJot[o]dos òè
xal Axe[uc haos ac o]vTe ets xov Taprapov [u] ro Too
Ads depëiagläug ris [Aptéwdocs] ixereuca[ons du lëel
Syefeöone. Über Androns Zvyyewxavgl. Müller Fragm.
Hist. II p. 349—352, wo die vorstehende Notiz nach-
zutragen ist. Das Zeugniss des Philodemus ist auch
insofern von Wichtigkeit, als es den ursprünglichen
Titel von Androns Werk uns kennen lehrt; denn ohne
Frage müssen wir diesem Zeugnisse so viel Gewicht
beilegen um bei Harpocr. v. PopBavreïov p. 182, 11
und Schol. Apoll. Rhod. 1, 45 p. 305, 23 «óv Xuvyeve-
xà» statt des überlieferten «àv ouyyeveıöv herzustel-
len. Wenn nun Andron in den XZvyyewx& von der
Dienstbarkeit des Apollon bei Admet gehandelt hat,
so werden wir kaum zweifeln konnen dass er eben da
auch der Tódtung des Asklepius gedacht habe; denn
beides stand im engsten Zusammenhange. Was Tafel
63 aus Hesiod und Akusilaus mittheilt, scheint neu
zu sein. Wenn ich Z. 10 aus den Elementen THCA
^, Worin offenbar der Name einer Göttin zu su-
chen ist, «i; AocéguBoz gemacht, also eine Verwechs-
lung von A und A angenommen habe, so stützte ich
mich auf eine andere Stelle, des Werkes TEPL euge-
fías, von der unten die Rede sein wird (Tafel 131). |
Indess gebe ich zu dass diese Ergänzung keineswegs
evident ist; nach Apollod, 3, 10, 4 scheint es fast
rathsamer «i Antoüs zn schreiben, Die in Tafel 63 |
gegebene Verbindung der Namen Avdpav, ‘Hotoÿoc
und Axouothacs dürfte, übrigens ebenfalls geeignet
sein unserem Vorschlage Avdpov xai 'Axcuc(Aaog für
Tafel 45 das Wort zu rédenao o y
Das sich anschliessende Euripideische Citat ist ent-
lehnt aus Ale. 3: Zeus gp xaraxras raida tày dpóv
altos, Die Vermuthung map” Bien 5 Asien Aé-
Fr macht natürlich keine Ansprüche auf Unfehlbar-
keit; andere werden vielleicht xai Evorréônc Ze Met
viti So lange indess. die ‚beiden letzten Zei-
en der Columne nicht gedeutet sind, fehlt es an einem
ren Anhalt, um sich nach dieser oder nach jener
En hin zu entscheiden; darum habe ich vorgezogen
Re rte und angemessener zu sein schien.
„das Naupaktische Epos beruft sich in Betreff
Pris NUN Asklepius auch Apollod. 3, 10,3, des-
"Orte wir oben anführten; ihn mag Philodenus
haben hier wie an einer späteren Stelle (Taf.
131), wo © «à Navraxtxa cuvypabas, Ev AcxAnt:S
Tekéorns und Ketvnoas 6 pehorose verbunden werden.
Die Doppelformen Nauraxtın und Nauraxtıxd, sind
auch anderweitig bezeugt.
Endlich gewinnen wir aus der auf Tafel 131 wieder-
kehrenden Citation Tekéorns &v Aoxinrıör einen klei-
nen Nachtrag zu den spärlichen Fragmenten des Te-
lestes (Bergk Lyr. p. 1006 — 1008). Für das Ge-
dicht AoxAnrıös war bisher ein einziges Zeugniss be-
kannt, Ath. XIV p. 617 B (denn Suidas v. Tehéorns
hat lediglich aus Athenaeus geschöpft). Eben dieser
Telestes wird auch Tafel 46 erwähnt neben Aeschylus
und Ibykus:
| PEN O
TTOHCA
AHCOA
XYAOCA `
KAIEIBY
AECTHC
TACAPTI
OYCACYF
AWN
Aus Z. 7 scheint hervorzugehen dass Aeschylus,
Ibykus. und. Telestes in Betreff der Harpyien citirt
wurden, und Z. 3 ist wohl Pegexúsns o ASnvaios ge-
meint; alles übrige aber entzieht sich unserem Ver-
ständniss. . not d i x BOTE "TER EI LA
PARTIEN SED ON AMMWNA ` ge kd ad
) VA - CIMBPOTOC SE,
E
Gë
i Mainz?
| i
Bulletin de l'Académie Impériale
AENHAIA
AIAKAIAI0€
<AITHNKAIA
NKAITATTAN
TEPTATTAN
AHCAENMY
TONAIAKAI
NHAIWTTON
AIFICOWI
ONONENOI
ONAIAOM
\AHAIONA
AANTAAC
Die in den ersten Zeilen der Columne enthaltene
Notiz aus Stesimbrotus (über ihn vgl. Müller Fragm.
Hist. II p. 52 — 58) werden vielleicht andere zu deu-
ten wissen. Zeile 5 — 9 sind insofern von Wichtig- |
keit, als sie zwei unter dem Namen des Aeschylus
überlieferte Trimeter einem bestimmten Drama zuwei-
sen und damit zugleich darthun dass es ein Irrthum
war, wenn ich diese Trimeter dem Aeschylus absprach.
Bei Clemens Alex. Strom. V p. 718 (welchen Eusebius
P. E. XIII p. 681 B ausschreibt) lesen wir: 6 te Eugo--
péuvos Alayudag enl e Zerf oeuvas opóðpa ouai:
Zeug dor aii, Zeie 8b ag, Zeug 8’ oùpavoç,
Zei: xot ta ravræ "rt TOY) Umeprepov.
Eine derartige Sentenz schien mir, wie ich im Philol.
IV p. 535 f. ausgesprochen habe, mit dem religiösen
Glauben des Aeschylus unverträglich zu sein. Der |
Aeschyleische Zeus ersch im
Prometheus als eine so concrete Persönlichkeit, dass
ich eine pantheistische Verflüchtigung seines Wesens,
wie sie hier vorliegt, bei Aeschylus für unmöglich hielt.
Dagegen hat bekanntlich Euripides gegen die Naivetät
der alten Mythologie sich vielfach aufgelehnt; wie ihm
die Verse zugeschrieben werden:
Öpdis ën Ode oda Graser aiségn;
äre vot% Ziva, KW
so hielt ich es für höchst wahrscheinlich dass ihm auch
das von Clemens erhaltene Fragment gehöre. Dieser
meiner Vermuthung traten Dindorf in der zweiten
Oxforder Ausgabe des Aeschylus p. 327 und Wagner
Trag. Graec. Fragm. I p. 139 vollständig bei. In-
zwischen fand ich später (Observ. crit. de trag. Graec.
fragm. p. 9 f.) dass mein Bedenken gegen Aeschylus
| weil er die Geheimlehren der Mysterien auf
gebracht habe, vor dem Areopag verklagt
als Autor der obigen Trimeter auf eine andere Weise
erledigt werden könnte. Die gangbare Lesart 5 x:
Evpoptovos Aloyurog beruht auf Eusebius, wogegen
die Handschriften des Clemens o Te Eóocpíoy E I %
AlcyuXos zu bieten scheinen; freilich wird eine brauch-
bare, auch nur den mässigsten Anforderungen geni-
gende Ausgabe des Clemens leider noch immer vermisst,
Hiernach vermuthete ich bei Clemens 5 te Kieceion
ó cet Aloyudov (nach dem Vorgange von Wagner in
den Didotschen Tragiei Gr. min. p. 63, der übrigens
durch einen nichtigen Grund zu diesem Vorschlage
bewogen wurde), und es schien mir erlaubt das dem
Aeschylus abgesprochene Fragment auf seinen Sohn
Euphorion zu übertragen. Allerdings wissen wir von
dessen Dogmatik ganz und gar nichts; aber es war wohl
denkbar dass ein Skepticismus, den wir dem Aeschy-
lus nicht zutrauen konnten, einige Decennien später
dem Bewusstsein der gebildeten Bewohner Athens
durchaus nicht mehr fern lag. Jetzt muss ich alle
diese Combinationen als unhaltbar verwerfen: die oben
mitgetheilten Worte des Philodemus bezeugen trotz
| ihrer fragmentarischen Gestalt dass wir an dem Na-
men des Aeschylus nicht rütteln durften. In den Buch-
staben ENHAIA ist nichts anderes zu suchen als à
‘Hhdot, d. h. jene obigen Verse, deren. Inhalt Philo-
demus wiedergibt, sind entlehnt aus den Heliaden des
Aeschylus. Die lückenhafte Stelle muss $0
eom xal yiv xai [odpavo]y xal và zëdzë xal Zeit
in den Heliaden sich zu einer Freigeisterei erh
hat, für die wir in den erhaltenen Tragoedien (
aus nichts analoges finden, so muss uns diese
rung behutsam machen, wenn es sich um die Bor
|theilung anderer Nachrichten über die
| des Aeschylus handelt. Bekanntlich soll A
BS
sein. Bei dem Mangel an genauen und zuy |
Nachrichten ist es uns nicht möglich die pe”
jener Anklage zu ermitteln; dass aber Äusserung :
wie die hier besprochene den gege" aer v
ters anstössig gewesen, lässt sich wohl gla
Tn der drittletzten Zeile mag «à» Ale für Le
zu lesen sein: den lückenhaften Text der letzten
| Zeilen zu ergänzen ist mir jedoch nicht a
werden: Atoyuhos] d Ay Huafa Met] Ma, xat am d
Tà zl eg. Ist hiernach anzuerkennen dass GC |
d
ec I
ie ME.
PERITO AN A
209 des Sciences de Saint- Petersbourg. 210
SL AYTHNECTIN KNYCOAICTH
KAICOPOKAHCE CAENOPECTEI
XWITHNTHNM AKOAOYOHCAC
PATWNEEWNEH TWTHNAFTAME
ENTPITTTOAEMC PIFENEIANEI
KAIECTIANEIN NEKATHNNYN
KAEIAHMOCAE OMENHN €PI
nnn m Zu Anfang vermuthe ich: rıysg 3b oucly [Scöv] xal
^ rapov [£]viov [deilevuoSer. Nachher folgt eine über-
TOICTINECEZ=ZHN aus interessante Notiz: Z«w[otyopo]; 8 àv Oeeezei or
XACINMEAANM xatJaxohouSnoas ["Hord]o Thv Aan d'nueng: ’Tloryé-
AHCAEAHMHTE way st[vat mv Exec» vov Iewen at enzeg, Wie der
MHTEPAOEWNE Name des Stesichorus keinem Zweifel unterliegen
CINMIANYTTAPX kann, so halte ich auch die übrigen Ergänzungen für
KAITENEC sicher. Zur Sache vgl. Paus. 1, 43, 1: &yo A8 nxovoæ
Cl'ONACTI ui» xal aen de ’Ipryéveuuv Adyoy Und Apxadoy Xeyo-
AIPEANCT mévoy, otóa, òè “Hotodoy nomouvta Ev xatahóyo yuvar-
Der grösste Theil dieser Columne lässt sich ziemlich
sicher herstellen: xai _Zopoxdüs dy "valxoı mv Tüv
Kine ha tav [Sleoy pnlativ], Ev Tornrorsplor A8 xoi
Boriav eivfar]. Kislönpos òè pntépa Seûv, 0 xdv vois
pol; Lët: tivès éÉcynvolyactv. Meillavlınnt]öns
3% Anpnre[pr] unrepa Seôv [o ]olv péav unapylev], xoà.
Tekéc[cnc...... Wenn die Ge oder Demeter als Götter-
mutter bezeichnet wird, so beruht dies auf einer auch |
sonst häufig genug vorkommenden Verwechslung mit
der Rhea, vgl. L. Preller Griech. Mythol. I p. 512
der zweiten Aufl. Eben so wenig kann es befremden
Ge und Hestia als identisch betrachtet zu sehen; ganz
entsprechend sagt Eur. fr. 938: xai Taia Piteo:
Lost dé 0 ci gopol Bporöy xaAcüct) pevny Ev al-
sept. Die Erwähnungen des Sophokles, Klidemus und
Melanippides (diesen Namen glaube ich richtig er-
kannt zu haben) liefern einen Nachtrag zu den be-
Den Fragmentsammlungen. Nach den Worten
mes ài scheinen einige Buchstaben zu fehlen;
bewegt ist Péay hinzuzufügen. Allerdings würde
NR ode Auch statt ô etwas mehr erwarten, etwa
eg SCH Nach TOICIEPOIC Zeile 9 steht in
en ein unvollstàndiges My; ob meine Ver-
In der. j uns haltbar ‚sei, lasse ich dahingestellt.
e "euten Zeile ist xal ‘Péav unverkennbar; die
à "ege ergehenden Worte weiss ich nicht zu entziffern.
39? | TINECAEHACIN -
| | KAITAPONONI
Tome VI
xöy "Ipeyeverav oun amodaveiv, "ng 9b Apréudos
“Exatnv stuet ^). Danach trage ich kein Bedenken
anzunehmen dass der erste Buchstabe in Zeile 6 auf
falscher Lesung beruht. |
55. INON OMHPOC
EIATATTEIPA
KAITTONTOI
TETOCTE
EHMENOIOY
TTEPEIONOC
TEPTIONTOY
CIBAOYCAE i
` . APOCAMeIC |
| OTTOYKPO
TAZEYCTAI
KAOEICEKAI
OIOOANAC
OCAEKATA
HCACZ MEP
‚AENTATTOIC
TATECTY .
TTEPA vd
Musset 4 * $ %
Philodemus hat hier, abweichend. von seiner Gewohn-
Einl. zu Eur. Iphig.
vera verehrt
ber die Be-
2 E
Bulletin de l'Académie Impériale
heit, zwei längere Citate aus Homer eingelegt, deren
Verknüpfung sich nicht mehr nachweisen lässt. Il. ©,
478—481: oUd’ el xe Ta vjeiata teipa[S Deen vaine]
xai siele, 0v "Iajmerös te [Kpövog ze never ou[T’
anyes "Y]repstoves [ Heiouel réprovr” eX avepor]or,
gGazde dé [re raprlapos api. E, 203: orou Red aen
&Ugvó |a. Zeus [ylui[ns vepSe] xaSeioe xal [dtpuyér]oo
Sadäo{ons. Nachher vermuthe ich:"Hatoëlos A xata-
[xohouS|ious Dsg So £996 kara, ost relata), ta
re atu[yéouot Sso(] seg, Bei Hesiod lesen wir Theog.
739 (oder 810): Kein Tavtoy "ml xal melpar
dog dead zUpWevte, Ta Te grutgoug Seot meg.
Möglich dass Philodemus hier eine Variante oucpdaé”
eupaevra vor Augen hatte, möglich auch dass ihm
eine Homerische Stelle vorschwebte, auf die er sich
richtiger berufen haben würde, Il. Y, 65: olxia A
Syyroisı xal dInvarout paveln anepdade supwevre,
ra ve aruydovor Seot ep. Die Schreibung Cpe9923éoc
ist bezeugt durch Eust. Il. p. 217, 24: 6x d «6
onödıE xad. xol TO apepõahéov 9 TÒ Gytx gov Oui
100 A ef» Tiv OG oy» Ta) Sech RE?
TAQEOÔS T0) Eu, Zaieëon d d raiaet, du y Ion:
xoig Aebuet: Tois xata bech xeta xal Tata Ev
16 Z ororgeio* EutvÜn, oxi TÒ oxapelov, tè aıyaRpLoV,
d Ak déxehhav xal Béga TÒ TAŬGA., Wigan xopioar
xal EBevvunevaov aly, Anyouaðv: xa Coca To
mardgar. Aios 9b Auoviatog qol ot 6px oóy xal
pixoov of Artıxal,. ptxxóy ‚2 Toves. outo 8i yod-
qouct xal ro Guy xal rg Lpevumv, gu xal autis
dvdgioy Ate, pépuv nal ypfou Aptoropavous tasty
AAN Inaivra por dög xal Euevunv, eyo yap cip: del Eure.
Ähnliches finden wir bei anderen Grammatikern,
deren Zeugnisse durch die auf Inschriften vorkömmen-
den Formen Zaan und Porte bestätigt werden.
59. | | \OZEC
N THN Keg
NY- OH9AI CTOY
$44 LV
.JAIPEITAIKATA
OCENIOIAY&€PMOY C
TTAPAAEAWKACAN
KAITWNAPXAIWNTI
NECAHMICYPTWN
TOYTONTTACEC
TATUIAHTTC
TIEAEKYNEXON
OATTEPENTUITE
XAAKIOIKOYKAITON
OMHPON €KATA:x
TTOAAOYC PEOEI
. NAYTWITPEPOI
ION
TONAYCONKAITOKE
$AAAIONCAPKINOYC
TOTI €NTAITC
Die ersten Zeilen handeln von der Geburt der Athene.
Die Góttin geht aus dem Haupte des Zeus hervor;
in Betreff des dabei thätigen Geburtshelfers schwan-
ken die Angaben: — mv sel o», 9] del -Hoaíecoo
Sarpeitar, xata [8E dën Eop[o]An(ov n vov cuv]Sévea
[tà EdgóA]me[o črn] ui IloXapa[cv]og: čvor 8° vo’
"Egpoüc "1 rapoësädsaclch, Damit vgl. man Schol.
Pind. Ol. 7, 66: & «ei; Mouoalou Ioa doy Mera.
Wee toU Arös uU Ego, ote civ ASnvay Eve
čvor A8 xov Doepazéo, Mwouct* Zucifros 3b "Egi
qnoty. Nee a Ka Gu [xexoc0o SEL (1. kdd cos
xougSat) tiv Seóv, tov òè Alm Tikavta zo vépos
xiva tiy Sedv. Die Ein ierg Zen wurden von
einigen dem Musaeus beigelegt mach Paus. 10, 5,6.
Weiter heisst es in unserem Texte: xai tõv apyaiur
vole Sepdelugngn toötov (den Hermes) zajp]eofröke
tôt. Aft}: me[o0ct] méAexuv Exovfra, xaDarep Ev 8t
z[üs] Xadxroixev. Mit Ausnahme etwa des vorletzten
Wortes vis ist die Fassung der Stelle gegen jeden
Zweifel gesichert°). Dass im Tempel der Athena Xo
xtoxoc in Sparta die Geburt der Göttin dargestellt war,
bezeugt Pausanias 3,17, 3: éredpyaoras, 8 xal ra à
THY ASnväs yevaoıy xat Aportotrn xai Iloosıdöv, a à
paliota Ou duot Soxeiy Seas dgra: Die von Philodemus -
, "X qu
gegebene Notiz scheint neu zu sein.
‚Am Schlusse der obigen Columne stehen die Worte:
xal zo xepaharov agxísous, [ölrerifa]evrar Bee
—
4)] Eine auffallende Form, die jedoch acht anzutasten i TL
Genetive Aere? und ‘Epuoôs ausdrücklich getadelt
so genannten Herodian bei Cramer Anecd. Oxon. pe? 3 p. 251 2
5) Der Fehler AH statt Art erinnert an Eur. Phoen. 572: i55
P
T me PAL Errn ng dvasraaue Ki A $
PU TE:
dë ki ES Dicht a EH Vip * ses
ergoe Aegde Die
oi n
3:3 214
Was mit dem vorhergehenden Satze xal zou "Opnpov —
enden TOY Arcvuooyv, anzufangen sei, möchte ich von
anderen erfahren: obwohl der Text fast vollständig
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
om Gëuagoie: Ans uiv Und tie ASnvdc Aooodirn xata
TOY auTov Xatoóv, Ap[reule 8’ der tis" Hoo[c x Ja del
AltJenèolus plévrofi] zat Appodtcn sel
zu sein scheint, so entzieht er sich doch durchaus
dem Verständniss, so. dass wir kaum umhin können
einen Irrthum der Italienischen Copisten voraus-
zusetzen.
86. Nachdem gesagt ist dass die Leiden der Sterb-
lichen ihre Gränzen haben, d ô’ gel Lövres atovtcugz
avadéyovreu Tas au. popais, folgt Nachstehendes:
AMA HKAI
. NOCOYNTATIETTOI
KACIT. HPAKAE
<AITHN, W
ATAC -JAC
ANAK WI
EINON AITON
_MATON =PAME
AKAIMA AKATA
..X€TON CObO
..KAHC YPITII
AHCK NAIONY
CONW. . AIOCENE
PIAEICAT , OICKAI
EK AOH
OCK OICOE
Aus dem unvollständigen Texte vermag ich nur dies
‚rauszulesen: d'Ae [3h xai vocoüvca. eo élsger
Kal Heaxéa x]ai «ij» Antlo .........[x]al rev Al
TOV oscar pa] axaca[o]yecov, [os] Zopoxiñs [xal
ElieriBne, x[at ro]v Atóvucov, d: Ay]atóg Ev EftlJprder
Patio ec xat [Peplexfuäng 6] ASw[vai]oz. Hier ist d»
Elder caripas soviel als dy "Tori, Gourmet, wie es
bei Athenaeus X D. 451 C heisst: Der Pluralis c. cupot
+ P zur Bézeichnung eines Satyrdrama ange-
endet: ev Oppaan catipors sagt Strabo I p. 60. &
Zadpavet oarupcıs Galen. XVII, 1 p. 879. ypäpaç
bini Mevednpov Ath. X p. 420 A. An «ci; TE TOY
py "Zens avt, oi: Maud Setz éréyeubev Diog.
“4, 140. Unmôglich ist in diesem Sinne der Singu-
ide Sec der bei Demetrius de eloc. 169 nicht
& werden durfte. so NA
ud Auch diese zum grössten Theil ziemlich gut
€ ‚handelt von den Leiden der Göt-
ler: tinte. e
"royal xat TA ayerilo]|raraıg repuréinrou-
APHCOA
TIPOTEPN
KAECYCK
OYCATWNOEWN
KAICTOYAIOCA
POCAAHC OAE
OOCYTTOH 9AICT .
TIOAEITAITTA
AOIKATATHNTITA
NOMAXIANKPATH
OENTECHTPAYMA
CINHTTAHTAICAHAO
CITEPICTTECON OC
ETTPOMHOEYCOYAA
^ZAAAAMYPIAAAC
| CH
d. h. Apne ô Servos] «[6] xoétege[v, Uno 8’ 'Hoa]xXé-
[o]us ["Hpa 1 apx]ouca tóv Seóv... xal [6] zeg Ave DC
pòs Asye: 6 3b [Eavlsos Uns "Hoatez[cu suclschefeet,
ra|vres] è ol xatd nv Teravenaylav xpurnSévrec 1
tapant d rAnylais Sëch Ai: xepi[é]mecow. Zela
AS IpopmSeug 038’ Altale, dia pupradag [érôv
In den letzten Worten, deren Fortsetzung aus Tafel
| 90 sich vielleicht noch herstellen lässt, wird auf den
gefesselten Prometheus des Aeschylus Rücksicht ge-
nommen, während die meisten Beispiele der hier an-
geführten Verwundungen der Götter aus Homer ent-
lehnt sind. i
90. Die zweite Hälfte der Columne lautet:
NAITTOTE#H
AHPOCYTIOTHC
KAITOYTTOCEI
ICKAITATTON
NOCHTHCAOH
* CCYNAEOHNAITOY
AITAIWNOCAXOEN `
OCYHOTH en
OCHPOBHOENTACH
HAHZAITHCETTI
AHC .KAICTHCIM `
TOCTEKOYCAN ' -
| ATHN. HNAPTEM `
14*
215 Bulletin de l'Académie Impériale 216
Es wird zu lesen sein: rèv Ala] rotè n|oiv "Op ege EPATION €c
Und tig ('Haacl xai toù Hcaer[dov]os xai cdxoxDo|voc PHTEC CTHC
d The ASnlvals ouwdsdriivar" ze [à | Alyatovos aylS\ev- TOCAEAPTEM
fes Ale tils @lerı[dlos popndévras A5 ën rie THCKAIAOHN
ged Bou s. Diese Stelle bezieht sich augenscheinlich OTTAAOY TT
auf Il. A, 396 ff. Der Ausdruck tanróhkovos "| TÄS
ASnväs erklärt sich aus einer alten Variante in A, |
400, wo Zenodot las:
"Hon T’ Nòt Iloosıdawv xat Pothos AT 0ÀÀQY,
wührend in unseren Ausgaben die Aristarchische Les-
art herrscht:
"Hen + nd: Iloostddoy xai Maridse ASnyn
Wie man sieht, kannte und beachtete Philodemus die-
ses Schwanken. Für Poißos Arckhov entscheidet sich
mit triftigen Gründen Lobeck Aglaoph. p. 287 Anm.,
vgl. Düntzer de Zenod. p. 101 f. — Die letzten Worte,
xal Xcqo(p[8oo]vog xexoücav [aölenv [z]1» Aezenln.
lassen vermuthen dass Stesimbrotus irgend welche
Mythen angeführt hatte, die mit der Jungfräulichkeit
der Artemis sich nicht vereinigen liessen: wir müssen
bedauern dass der — Text weitere Auf-
schlüsse uns versagt.
91. Nach vier Zeilen, für deci Ergänzung es an |
sicheren Sech a qu fehlt, lesen wir:
sh "éi NEFOYCIN
|. NECOYCKAIME
? APOCTTAPAI I
. TAIKA. HNE
OTTAAO TE
EINAIAHMH
AEAATPINEYPI
OMHPOCAEN ^
NOICTIPOF
KAI TAONA
HCAETPO®
"BWIAETH `
ANA®POAEIT ::
TTAPOMHPWAC `
EYCEC. TTOC
NocYr .
PAAETWITTOH
TITHNAANA
.MHTPOCTUNO .
Die ersten Worte sind, wie es scheint, so zu ver-
vollständigen ` Aéycuctv Loes, oùs xai Mé[vay]èpec
rapamilove]rar, xaft th». Efxatny] era v Apjté-
[pedo] elver. Statt o9; sollte man vielmehr óc erwar-
ten: der Komiker Menander kann wohl angedeutet
haben dass Artemis und Hekate in engem Verkehr
mit einander stehen; undenkbar dagegen ist es dass
er habe andeuten wollen, welche Schriftsteller von
diesem engen Verkehre handeln. Vermuthlich beruht
OYC auf einem Irrthum der Herausgeber. Wie wir
aus den angeführten Worten einen kleinen Nachtrag
zu den Fragmenten des Menander bekommen, so ist
die folgende Notiz, Anpm[tpos] 8% Aarpıv Eup ning
(nämlich «7j» "Exec Xéya), unter die Euripideischen
Bruchstücke aufzunehmen. Weiter heisst es: "Ops
8° dv [rois Opere moë[rohov] xoi [öraova. Das Citat
bezieht sich auf den Hymnus in Cer. 440: ,
tow à épris) ipe "Exam Magos 1
r S EE :
Tod Ò ap dpgayannoe KOPNV AnperiTep0s div $
ex rop où zpechee xal Ordo» érAev (34000. ———
In den sich anschliessenden Worten hat Philole-
mus, wenn ich nicht irre, sich auf das Zeugniss € Si
ger Lyriker, etwa des Telestes und der Sappho, b
rufen. Man könnte vielleicht ergänzen: Texdorjng | à
Tooplovéu, Zarjpur òè .... youcopañ zl deen
Agpodeit[ng. Aber eine Ae Vermuthung ist
viel zu unsicher als dass wir r darauf irgend welches
Gewicht legen möchten. '
| Klar ist dagegen der nächste Satz, rap Our
djè Iporleus dote Hoo[sc3ia vos Ge wo Od. »
| ^o [1386 benutzt wird. `
IXPVCOPAHOEP SE edm
Eine interessante Bereicherung unserer Fragme»
|tenlitteratur gewinnen wir aus dem folgenden Satz;
| tajpa òè tôt xov[cav]ct "ijv Aavalida rie] ptos iu
Zen Ieparovfres do Kovlpftes. Die bisher m
kannten, überaus dürftigen Reste der Danais Y
net Welcker im epischen Cyclus II p. 568,05 ES
Endlich wird wiede E
| leicht besagt unsere Stelle, dass er- die Kureten
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
217
Begleitern der Artemis, Hekate und Athena gemacht
em Nur die zweite Hälfte der Columne ist lesbar:
TON €PMHA
F€AON9HCINEINA!
KAITHNIPINENIOIA€
TA HNKAITHCTT
PACAKOYCIAACA€
KAIO €CONTTANTCON
$€PEKYAHCAOAOH
NAIOCKAITONEPMH
KAITACAPTTYIACTA
MH YAATTEIN
AKO NAOCETTIMEN
IAHCAEKAITOYTE
KAITACAYTACEINAI
TAICECTTEPICINOA€
THNTITANOMAXIAN
MENMHAADYAAT
Die fast unversehrt erhaltenen Worte des Philo-
demus lauten: tov. [ò] Rang Ale æylyshov onoiv |
(nämlich "Oympos) civar xo tyy Ipv: doc 85 tafty
xai tis | H]oac, Axouc(Aag BE xal Seóv gu,
Pepexvöng 3 ó Adnvalos xal cov “Epp. xal tas Ap-
Size ta pia pluhatrew Axo[uoéx]acc. "Ereviöng |
3 xal veëclel xal tas atas elvat vai; Eoneptow: 6
À civ Tiravopayiav pèy pda quhar(reuw. . . ... Unter
den hier gegebenen Citaten ist das letzte und zugleich
wichtigste leider unvollständig: über die elliptische
Redeweise 6 Tv Teravop.aytav vgl. Bulletin III p.334 |
oder Mélanges Gréco-Rom. II p. 363.
130. IKPONOYZW
AAIMONECTA
CHCOCEF PAY
- . OAOCKAIOTHC
< EWNIAATTOH `
CObOKAHC
^v NECOITOTE _
EIHWN |
NECAA
THT
Mag
| NT te
leger Zeilen möchte ich vorschlagen: de)
kolis- Slam one rel tne oulon, os eypalıpav
“Hoéloëos xal 6 tfv AXxp]eov(3a, nonfoas xol] Zopo-
xkÿs. Die Änderung ó «3» Adrusovida ronoac ist
leichter und darum wahrscheinlicher als das an sich
mögliche ó ris Adxpeovidos ronns. Welche Worte
des Sophokles unser Autor vor sich hatte, vermag
ich nicht anzugeben; möglicher Weise ist fr. 258 ge-
meint: AR
euðaipoves OÙ TOTE yéwaç
apSitou Amyovres Selou *),
ein Bruchstück, das kaum anders als vom goldenen
Zeitalter verstanden werden kann. Die nach COBO
KAHC folgenden Buchstabenreste
NECOITOTE
können sehr wohl zu evdatolves oi tóte [yévvag er-
gänzt werden, und das nachfolgende EIHWN scheint
nichts anderes als ei[r]ov zu sein.
131. ANTECOAYM
AWMAXONTEC
ONEAWPHCAN
APACINECOME
IN ACKAHTTIC
SYCEKEPAYNWC
ENOTANAYTTA
KACYNFPAYAC
CACKAHTTIW
ECTHCKAIKEINH
OMEAOTTOIOCO
NIHTTOAY TON
KAHOEICYTIAP
AOCANECZ CC
^NEPIS9YAHIC
OCOTIKAI
KOYP
ACT
EWN
FO.
‘In den ersten Zeilen ist ein poetisches Citat unver-
kennbär; vielleicht. wissen andere die Worte herzu-
ovwinnon
Stud. II p. 90 f. Herwerden Exerc. crit. p. 27), und leider lässt sich
73)1.31..3 fas o3 ST UT 68e; RE a ichts g
x
>
Bulletin de l’Académie Impériale
mörurov [rapalkanSels op Ao[tépe]dos dvéc[vm]o|ev,
de A dj» "KEeeiäm Z[riciycplos, Ze Kafravé® xal
Ausstel ven, Eine Ergänzung der letzten drei Zeilen
wird niemand uns zumuthen. Die Herstellung Kara-
vea xal Auxoöpyov gründet sich auf Apollod. 3, 10, 3:
&Upov dé tivas Aevopévoug dvaarivar Am œutod (nüm-
lich AcxAnrtoù), Karavéa xai Auxoüpyov, oc Irmatyo-
pos omatv Ev Fein, Vgl. Schol. Pind. Pyth. 3, 96.
Schol. Eur. Ale. 1. Neu und überraschend ist die Er-
wühnung des selten genannten Kinesias.
137. AITATFHIC
TAKAITA
€CAETOY `
OYMTTANTA
MKEINEMMEN
NEKIOYKTOCKAI
TAPOYAEFETAI
ANTAENAETI
KAIAOY KAIAI
MOAETHNTI
MAXIANFPA
AIGEPOCHH.
AKOYCI AOC
XAOYCTTPWTOY
MAENAETOIC
PEPOMENWCEIC
KAIONFEFPATTTAI
TAPONTTPWTON
Y K T A KAI
Von Z. 6 an glanbe ich: wenigstens einiges are
herstellen zu können: &x [N]ux«oc xoi [Tap]rapev M-
yetar [ra njavre, Ev 8 éx[épotz] Auen xal [Ali[Seoos].
6 A ci» Traveuayiav vealyas El AîSépos elei:
ee E [8° ex] Xaous mpacov .... Ev òè toi; [ta]
pepopés[or]e eis [Meuc]atov yeyparrar [Taprjapov zé.
tov [nv N]uxza...... Über das hier behandelte Thema
genügt es auf Prellers Griech. Mythol. I p. 26 ff. zu
verweisen. In Betreff des Verfassers der Titanomachie
vgl. Epim. Hom. in Aneed. Oxon. vol. 1 p. 75, 12:
Ai3épog 8° vios Oupavés, we 6 ci» Trcavopay(ny ypo-
Vas. Die Ansicht des Akusilaus, welcher nach dem
Vorgange anderer alles aus dem Chaos ableitete, wird |
von mehreren Schriftstellern erwähnt, vgl. Acusil. ~ 1|
bei Müller Fragm. Hist. Gr. I p. 100.
länglich gezeigt zu haben glaube, dass die Schrift des
Philodemus regt svoeßetas eine sorgfältige und ein-
dringende Behandlung verdient.
Aus den vorjährigen Sitzungsberichten der K. Baye-
rischen Akademie der Wissenschaften (1863, II p. 40)
erfahren wir, dass von L. Spengel, der schon früher
um Philodemus und andere Texte der Herculanensia
Volumina sich verdient gemacht hat, auch über das
hier besprochene Werk eine Abhandlung zu erwarten
ist. Im Interesse der Sache kann ich nur wünschen,
dass es ihm gelungen sein möge eine Reihe von Räth-
seln zu lösen, an denen ich mich ohne Erfolg versucht
habe. |
Über ein in der Kaiserlichen Bibliothek zu Paris
befindliches arabisches Astrolabium, von F.
Woepcke'). (Lu le 29 janvier 1864.)
(Mit einer Tafel.) |
Es besteht dieses Astrolabium aus einer iise
kreisfórmigen Messingscheibe, welche an einem kleinen
Theile des Randes in der gewühnlichen Weise mit einem
Ansatze, Bügel und Ringe zum Aufhüngen versehen ist.
A
| Auf dem Rücken der Scheibe drehet sich, aufliegend —
| eine Alhidade mit zwei Absehen, welche, auch in der —
gewöhnlichen Weise, mittelst eines durch die Mitte
der Scheibe gehenden Bolzens festgehalten wird. Der
| Durchmesser des kreisformigen Theils der Scheibe
(abgesehen von dem Ansatze, der den Bügel und den v
Ring trägt) beträgt 22°, Centimeter. |... um 1
Dem Inventare nach hat Schultz das Instrument
zu Constantinopel Wielt und sollte zu We `
1) In meiner Beschreibung von drei der Kaiserl. ofen. B pi
thek zu St. Petersburg zugehörigen astronomischen Instrum
mit arabischen Inschriften war eg mir aufgefallen, dass zwei
labien in Paris (S. 3, N° 13 u. 15) eine und dieselbe er
Verfertigung 1218 tragen. Das erstere wird in L sedi DA
Mémoire sur les inst s astr ues des ye en.
sentés par divers savants etc. T. I. Paris 1854) als. aus der hos
ung des Hrn. Schultz herrührend angegeben, das zweite. E e
demselben Eigenthum des Baron Larrey. Da ich gla
möglicher Weise eine Verwechselung vorgegangen s$ sein könnte,
wandte ich mich um gefällige Auskunft an Hrn. Dr. Wo epet 1
Paris. Dieser Gelehrte hob in seiner Antwort meine wer?
in der Nachschrift zu meiner Abhandlung näber ang
| und hatte die Güte mir zugleich die höchst a E
lehrte Beschreibung des Astrolabiums aus der Sammlung des
Schultz mitzutheilen, welche hier eben als «Auszug aus ©
| m.) | Briefe» an mich erscheint. Sie muss als ein sehr mu dag
Hiermit breche ich für jetzt ab, nachdem ich wel
zur Das der Astronomie — es Arne M me?
werden. Dorn t eg
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
noch eine andere kleinere Scheibe gehóren, welche je-
doch jetzt nicht mehr vorhanden ist. Auch ist es mir
zweifelhaft, ob, wenn früher eine solche andere klei-
nere Scheibe vorhanden war, diese wirklich als inte-
grirender Theil des Instruments zu der grósseren ge-
Was zunächst die Vorderseite der Scheibe anbe-
trifft, so enthält dieselbe die Zeichnung eines dop-
pelten Netzes von Polarcoordinaten, bezogen auf die
Grundebenen des Âquators und der Ecliptik, in wel-
chem die Positionen und Namen einer gewissen An-
zahl von Hauptsternen eingetragen sind.
Bei einiger Überlegung erkennt man leicht, dass
dies eine stereographisehe Projection des Äquators,
der Ecliptik, der diesen beiden parallelen (klei-
nen) Kreise, und der auf beiden senkrechten, durch
ihre respectiven Pole gehenden grüssten Kreise ist,
bei welcher zum Augenpunkt einer der Äquinoctial-
punkte (gleichviel welcher), und zur Projectionsebne
eine die Sphäre in dem andern Äquinoctialpunkte be-
rührende, dem Solstitialkolur parallele, Ebne genom-
men ist. Da die Projection stereographisch ist, so
sind die Projectionen der Kreise wiederum Kreise
oder (Wie für Âquator und Ecliptik) gerade Linien.
Die Principien der Construction sind ganz diejenigen,
die ich pag. 7 — 10 der Ihnen bekannten Abhandlung
entwiekelt habe. Was dort die dem Horizont parallelen
Kreise sind, sind hier die dem À quator und der Ecliptik
Parallelen Kreise, Was dort die auf dem Horizont
senkrecht stehenden Verticalkreise sind, sind hier die
auf Aquator und Ecliptik senkrecht stehenden Decli-
nations- und Breitenkreise. Das graphische Verfahren
zur Zeichnung der Projection ergiebt sich daher un-
mittelbar, nur dass es hier noch einfacher ist, als dort.
Dieses graphische Verfahren ist in dem lateinischen
Auszuge, p. 187, lin. 1-31 des Sédillot'schen Mé-
noire; richtig, obwohl etwas dunkel, beschrieben °).
Dot Scheinen einige Lesefehler in dem Auszuge zu
ie muss es z. B. p. 187, lin. 11 u. 20 statt
17 lin, rg IG lineae offenbar heissen 17 lineas und
a ch welches in der That die zwischen Äquator
"Det zwischen zwei Kolure, von 5 zu 5 Gra-
j
dem. dem lateinischen Manuscript beschriebene Verfah-
nenden Kra; 1 H 59 fern zu wünschen übrig, als es die zu zeich-
faut direct en tel8t dreier Punkte ihrer Peripherie bestimmt,
en Radius und Mittelpunkt zu geben nativen |
den, fallende Anzahl von Kreisen ist. Die Art wie die
Grade der Rectascension, die Zeichen der Ecliptik
und die Sterne eingeschrieben werden, und wie man
sich einrichtet um mit der Projection einer (durch
den Solstitialkolur abgeschnittenen) Hemisphäre für
die ganze Sphäre auszureichen, ist in dem weiteren
lateinischen Auszuge, ibid. pag. 189, lin. 5 («longitu-
dines») bis pag. 190, lin. 1 («partem») beschrieben.
Von dem äussern Anblick des Projectionsnetzes giebt
die Fig. 95 desselben Mémoire eine ziemlich getreue
Darstellung. Nur muss man sich die Sterne mit ihren
Namen noch hineingeschrieben denken.
Die Vorderseite des Instruments bildet demnach
einen Sternkatalog für die Hauptsterne, aus welchem
sofort deren Länge, Breite, Rectascension und Dech.
nation abgelesen werden können.
So giebt z. B. das Instrument für AL en] und
Jall GAA
a Coronae Länge = 2107 Breite — 45? Rectascension
= 225? Declination — 30?
B Persei Länge — 45° Breite = 23° Rectascension
— 35; Declination — 38°
Hierbei bemerke ich, dass auf dem Instrumente die
Längen in Wirklichkeit abgelesen werden als Scor-
pion, 0? u. Stier 15° was auf 210? + 0? u. 30°+ 15?
hinauskommt; und die Rectascensionen als 315? und
1257 weil die Araber den Anfangspunkt der Recta-
scensionen um 90? weiter zurück legen, als wir.
Die Rückseite des Instrumentes enthält zunüchst,
auf dem Ansatze unter dem Ringe, die Inschrift, welche
den Namen des Künstlers und Ort und Zeit der Ver-
Für das Jahr 1218:
| fertigung angiebt; sie lautet:
cell 93 GR Je Zeie) olo :
sel as A Al lal eid inue
Verfertigt hat dieseScheibeMuh edibnFatuh
el-Chamairi, in der Stadt Sevilla, Gott nehme sie in
seinen Schutz, im Jahre 615 der Hedschra — 1218, 9.
Die von Sédillot(pag. 184 Note 2) angegebene Le-
sung ist also richtig, mit Ausnahme des le,.c, welches
irrig ist. Es steht ganz deutlich da: kel. Das gye)
. | hat vielleicht in den Zeitverhältnissen, kurz nach der
grossen Niederlage der Almohaden bei Tolosa, seinen
Grund. (615 Hedschra — 1218 März 30 — 1219
März 18). TU IUBE dá isd At iuc fu gd
TION ISI TEN.
Bulletin de l’Académie Impériale
221
Der kreisfórmige Theil der Rückseite (Taf. N° 1)
enthält, in concentrischen Ringen, von der Peripherie
nach der Mitte zu gehend, der Reihe nach Folgendes:
1) In den Theilen ac und bc zwei Höhenquadranten,
mit den Zahlbuchstaben 5 bis 90, von 5 zu 5
Graden, versehen. In den Theilen da und db
zwei (mit einander identische) Tangenten-Ta-
feln, welche, in Zwölftheilen des Radius aus-
gedrückt, folgende Werthe geben:
1. 4°815..22°7| 9..36°9/14.49°4/22..61°4/33..70°0 48..76°0
2.. 9,5/6..26,6/10..39,9/16..53,2/24..63,0/36..71 ,8160..78,9
3. m 07. 30, 811.42, +18 56, 3127..66,2,40..73,3
4.18,518..33,8112..45 ‚0120 59,1130 68, 24424 A
Die Zehntheile T: Grade sind hierbei nach dem
Augenmaasse geschützt.
2) Eine Theilung der Peripherie in 360 Grade.
3) Zahlbuchstaben von 5 bis 30, von fünf zu fünf
Theilen; 12mal wiederholt.
4) Die Namen der zwülf Zeichen der Ecliptik.
5) Eine Theilung der Peripherie in 365 (Tage).
6) Zahlbuchstaben, von fünf zu fünf Theilen, von 5
bis respective 28, oder 30, oder 31; 12mal.
(Die Tage der Monate).
7) Die Namen der zwólf Monate des julianischen
Jahres. | |
Die Ringe 4? 5; 6° 7° zeigen, dass der Verfer-
tiger des Instruments die Âquinoctien und Sol-
stitien auf folgende Zeitpunkte legte:
März 13,3; Juni 14,8; September 16,0; Decem- |
ber 14,5 wo wiederum die Zehntheile der Tage
mittelst des Augenmaasses geschäzt sind. Diese
Data geben eine ganz vortheilhafte Meinung von
damaligen Beobachtungen der Äquinoctien und
Solstitien; denn mittelst der kleinen Largeteau'
schen Tafeln finde ich dieselben für das Jahr
1218 und für den Meridian von Sevilla folgender-
maassen: |
1218 März 13, 6 Uhr 9 Minuten Abends.
Juni 15, 1 Uhr 32 Minuten Morgens.
Sept. 16, 8 Uhr 5 Minuten Morgens.
Dec. 14, 3 Uhr 37 Minuten Nachmitt,
1219 März 13, 11 Uhr 58 Minuten Nachts.
| Diese mittelst der Largeteau’schen Tafeln |
. berechneten Werthe darf man nur als bis a auf
men hinlänglich mit dem Instrument überein, wenn
man bei diesem den Tagesanfang, nach dem Ge-
brauche der meisten arabischen Astronomen, auf
den Mittag gelegt annimmt.
8) Zahlbuchstaben von fünf zu fünf, in dem Halb-
kreise dac von 5 bis 180, in jedem der Quadran-
ten cb und db von 5 bis 90 gehend.
9) Noch eine Theilung der Peripherie in 360 Grade,
10) Den ganzen noch übrigen innern Raum in der
Mitte der Rückseite des Instruments nimmt eine
Projection ein, von welcher Sie eine Zeichnung in
natürlicher Grösse auf der Tafel N° II finden; wobei
ich nur noch hinzufüge, dass auf dem von dem
Mittelpunckte nach c gehenden Halbmesser die
Zahlen 5, 10, 15 etc. in Zahlbuchstaben bei den
Theilpunkten angeschrieben sind, und ebenso längs
des von dem Mittelpunkte nach d gehenden Halb-
messers, so dass bei c und d die Zahl 60 steht.
Es kommt darauf an die Bedeutung und den Ge-
brauch dieser Zeichnung zu erklären.
Die 60 in dem Quadranten bd gezogenen Parallelli
nien bilden eine graphische Tafel, welche für beliebige
Bügen die Sinus, Cosinus und Sinus versus in Sech-
zigtheilen des Radius ausgedrückt giebt, und umge-
kehrt für gegebene, in Sechzigtheilen des Radius aus-
gedrückte Sinus, Cosinus oder Sinus versus die ei
sprechenden Bögen. ` Mail
In der die drei andern Quadranten einnehmenden
Zeichnung sehe ich eine Projection des Äquators (cd),
der Parallelkreise und der Stundenkreise auf die Ebene
des Meridians. Die Projection ist hier nicht stereo-
graphisch, sondern orthogonal, wie augenblicklich da-
raus ersichtlich ist, dass die Parallelkreise sich sämnt-
lich als gerade Linien, und die Stundenkreise. nicht
als Kreise, sondern als ‚Eilipsen projieiren. 0°
Hierbei ist zu bemerken, dass die Parallelkreise,
welche sich in ungleichen, von dem Äquator nach dem
h A auf der Sphäre
äquidistant sind, also den ne 5°10, 15; 20
etc. entsprechen; dagegen die projicirten *
kreise, welche den projicirten Äquator in gleiche
Serihenie theilen, ebendeshalb nicht gleichen »
denvinkelintervallen me doch. Mn man
Pola
ungefähr 1 Stunde genau betrachten; sie stim-
welchen Stundenwinkeln die ; mit ihnen, andi des na
PANASS AEA ud Zu lem, EROR al u ZZ ii Ai. ag
4
|
|
|
E
|
`
1
3
:
|
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
à gehenden Halbmessers, zusammenstossenden proji-
cirten Stundenkreise entsprechen.
Die vorstehende Erklärung wird durch eine Thei-
lung bestätigt, welche auf der ‚Schärfe der Alhidade
eingravirt ist, und von welcher eine Zeichnung in
natürlicher Grösse sich auf der Tafel N° III findet.
Diese Theilung stimmt genau mit der des Durchmes-
sers ab überein, bedeutet aber auf der Alhidade die
Projection der Theilpunkte eines in gleiche Azimutal-
bögen von je fünf Graden getheilten Horizontes auf
die Ebene des Meridians ?).
Legt man nun die Alhidade auf die Projection, so
dass die Pfeilspitze auf den Mittelpunkt des Kreises
acid DI), und die Schärfe der Alhidade ef mit dem
Durchmesser ab einen Winkel bildet, welcher der
Breite irgend eines gegebenen terrestrischen Ortes
gleich ist, so zeigt das Instrument unmittelbar: unter
welchen Azimuten sowohl die Parallelkreise als auch
die Stundenkreise den Horizont treffen; wie gross für
den gegebenen Horizont die irgend welchen gegebe-
nen Declinationen entsprechenden Tagebögen sind,
sei es für die Sonne, sei es für die Sterne, deren De-
clination man auf der Vorderseite des Instruments
findet ; welche Sterne für den gegebenen Horizont
Cireumpolarsterne sind, etc. etc.
- Es ist schliesslich nur noch der kleine Kreis zu
erklären, welcher über einem Theile des von dem
Mittelpunkte der Projection nach d gehenden Halb-
messers beschrieben ist, und welcher eine ganz inge-
möse Vorrichtung bildet, um mittelst einer leichten
Hülfsconstruction die Declination der Sonne aus deren
Länge (welche der in den Ringen 2° 3? 4? 5° 6° 7°
enthaltene Kalender giebt) zu finden.
m recht zunächst, dass die Peripherie des
-. reises in gleiche Theile von je 15 Graden
ama Sus Denkt man sich nun in demselben éinen
ae war es ‚ welcher den Theilpunkten
ikinen o, . emm und dem Durchmesser ab
Ben, 10n parallel ist, und zieht man dann
>) Die beiden letzten S
Voce Theilstrich
Striche der Theilune :
Schieden Moden ungind
triche bei e und f sind jeder als aus
eilstrichen bestehend zu denken, Bei
assstabe der Projection kann der 85°
von dem 90° entsprechenden Grenz-
er Zeichnung nicht mehr deutlich unter-
y. Dies ist in.
die Art SA dem Instrumente schon von selbst der Fall, durch
braucht Bi a mittelst des Bolzens befestigt ist; man
Tome YII esen zu drehen.
aus dem Mittelpunkte m der letzteren durch o und 8
zwei Radien maA und mßB, so findet sich, dass diese
auf dem Halbkreise adb, von d nach a und b hin,
zwei Bögen dA und dB abschneiden, deren jeder ge-
rade gleich der Schiefe der Ecliptik s ist. Daher Win-
kel amy — (siehe die Figur N° IV der Tafel).
Will man nun für irgend eine gegebene Lünge der
Sonne z. B. / — 20° die Declination 3 finden, so wird
man den Bogen } auf dem kleinen Kreise von dem
Punkte à an nehmen, z. B. als 5), hierauf aus mit
dem Halbmesser ën eine Parallele ziehen, die man bis
zu der Peripherie eines aus dem Mittelpunkte m mit
dem Halbmesser ma beschriebenen Bogens «x8 ver-
längert, und hierauf durch den Schneidungspunkt x
einen Radius mrp ziehen; dieser Radius schneidet
dann auf der Peripherie dA einen der gesuchten De-
clination à gleichen Bogen dp ab, dessen Betrag in
Graden man auf der Theilung des Ringes 9? abliest,
während die Parallelen des Halbkreises dac der Pro-
jection zugleich unmittelbar angeben, auf welchem
Parallele die Sonne sich dann befindet.
Beweis. (Taf. N° V.) Bezeichnet man den Radius
des kleinen Kreises durch r und fällt aus À und + auf
md die Senkrechten àX und xz; so ist in dem Drei-
ecke Ay. die Seite 22' — r.sin l, weil Winkel Xp) =
der Länge l. Ferner in dem Dreiecke mzz’ der Sinus
e ` T AN r.sin] r.sin?
1 — 0 0L gange, _— nd-
des Winkels zz = m Foren -= E
lich in dem Dreiecke may. die Seite am =
——, und dies in den gefundenen Werth von sin zmz'
eingesetzt giebt sin zmr' =" = sin l. sin e. In
dem sphärischen Dreiecke (Taf. N° VI) dessen Seiten
die Lünge, Declination und Rectascension der Sonne
sind, hat man aber (wie bekannt) sin 9 — sin l. sin E,
somit sin zmr’ = sind, oder Winkel zm — à, was
zu beweisen war. Die Operation erscheint übrigens
in der vorstehenden Auseinandersetzung und Demon-
stration weit complicirter, als sie in Wirklichkeit ist;
sie ist in der That höchst einfach, und eigentlich sieht
man alles dies auf einen Blick, obwohl es etwas um-
ständlich zu beschreiben ist.
Die sọ eben angegebene Construction, bei der man
aus dem Punkte des kleinen Kreises, welcher der
Länge der Sonne entspricht, eine mit md parallele
gerade nach dem mit dem Radius ma beschriebenen
Kreisbogen zieht, um auf diesem den Etc
1
—
——
ap.
sin amp.
227
Bulletin de l'Académie Impériale
Punkt z zu bestimmen, giebt, wie man sieht, die De-
clination à in aller Strenge.
Verlangt man aber nur eine grobe Annäherung, so
genügt es, den aus m nach dem Bogen dA oder d.B
zu ziehenden Radius, statt durch den so bestimmten
Punkt des mit dem Radius ma beschriebenen Kreis-
bogens, einfach durch den Punkt des kleinen Kreises
zu legen, welcher der Länge der Sonne entspricht,
eine Operation, welche die Schärfe der Alhidade un-
mittelbar ausführt. Es ist in diesem Falle vortheil-
hafter, die Länge der Sonne, statt auf der ganzen Pe-
ripherie des kleinen Kreises herum, nur auf dem nach
d hin liegenden Halbkreise, zuerst von à nach a, dann
zurück von æ nach 8, und dann wieder von 8 nach à
zu zühlen. Bezeichnet man eine auf diese Weise be-
stimmte, angenüherte Declination mit à, so ist der
Irrthum à — 3! den man begeht, und dessen Maximum
für 1 — 50212/ stattfindet, stets kleiner als 312545;
in der Nähe von / — 0° und / — 90° aber sehr unbe-
deutend.
Herr Sédillot hat in diesem kleinen Kreise den
Epicykel erblickt, in welchem Arzachel annahm, dass
der Mittelpunkt des excentrischen Kreises der Sonne
sich bewegte (siehe Mémoire, p. 36, lin. 23 — 28 und
pag. 191, lin. 11 — 15). Ich kann dieser Ansicht nicht
beistimmen, da ich keinen hinreichenden Grund sehe,
weshalb dieses ganz specielle Detail der theorischen
Astronomie isolirt in das Astrolabium kommen sollte,
und weshalb gerade an diese Stelle. Was die beiden
Citate aus Delambre's Hist. de l'astr. au moyen áge,
in der Note 2 zu p. 191 betrifft, so findet man auf
pag. 286 durchaus nichts Näheres über die Natur des
fraglichen Epicykels, und auf pag. 213 überhaupt gar
nichts ;. vielleicht soll es statt 213 heissen 176, wo von
dem erwühnten Epicykel die Rede ist, aber auch ohne
jede nühere Angabe, nur ganz im Allgemeinen. Pur-
bach III, prop. 13. habe ich nicht nachsehen kónnen.
Über die oberen devonischen Schichten des
mittleren Russlands von P. Semenow und
V. v. Möller. (Lu le 27 novembre 1863.)
(Mit 4 Tafeln ) |
Die sämmtlichen Fundstellen der Steinkohle in
Central-Russland liegen zerstreut am südlichen Rande
IS
5) Wenn die Schiefe der Ecliptik gleich 23° 35’ gesetzt wird.
wie sie der Astronom Abûl Hassan Ali von Mae ein Gg
nosse des hier besprochenen Astrolabiums, anni d
des sogenannten Moskauer Kohlenkalk-Beckens, in
einer breiten Zone, welche sich durch die südlichen
Theile der Gouvernements Rjasan, Tula und Kaluga
erstreckt. Die nördliche Grenze dieser Zone glauben
wir durch eine über die Städte Rjashk, Skopin, Ale-
xin, Kaluga und Peremischl geführte Linie bezeichnen
zu können; die südliche kann dagegen durch die
Städte Ranenburg, Dankow, Bjelew und Shisdra gezo-
gen werden. Zahlreiche, wenn auch zuweilen recht
unbedeutende Kohlenlager, erscheinen im Bereiche
dieser Zone ganz sporadisch vertheilt und sind haupt-
\sächlich längs den Flüssen Shisdra, Okka, Upa, Ne-
prjadwa und deren Zuflüssen Ranowa, Jagodnaja-
Rjassa ete. verfolgt worden. Die Steinkohle kommt
hier meistentheils den Schichten eines dunkelgrauen
oder schwarzen Schieferthons eingelagert vor, der ei-
nem zuweilen festen, oft aber auch losen und eisen-
haltigen Sandsteine untergeordnet erscheint; das
Ganze bildet eine durch ihre lithologischen und pa-
laeontologischen Charaktere, so wie auch durch ihre
Lagerungsverhültnisse sehr constante Schicht, wel-
che wir unter dem Namen der central-russischen
kohlenführenden Etage auffassen. Diese Etage
ist nicht nur durch Pflanzen-Reste, wie z. B. Stig-
maria ficoides Br., Lepidodendron tenerrimum und u- `
datum, Auerb. und Trautsch., Lep. Olivieri, Eichw. 3
zu unterscheiden, sondern sie wird auch durch einige
| Conchylien charakterisirt, von denen wir weiter aus-
führlicher sprechen werden. Die Beständigkeit des
Niveau's dieser Etage tritt noch mehr hervor, wen
wir deren Dach-und Sohlengestein in Betracht nehmen.
Überall, wo man bis jetzt in Central-Russland die den
kohlenführenden Schichten aufliegenden Kalksteine
beobachtet hat, gehörten dieselben den Schichten
des für die unteren Kohlenkalk - Regionen bezeich-
nenden Productus giganteus an. Dagegen in
Gegenden Mittel-Russlands, wo uns nur die Gelegen-
heit bevorstand, Beobachtungen über das Liegende
der Kohle anzustellen, fanden wir dasselbe aus 5C
ten eines Kalksteins zusammengesetzt, welcher der
Steinkohle näher merglig wird und in der Sohle
der flötzführenden Thone und Sandsteine in einzel
nen dünnen, einem hellbläulichen Thone eingelagerteh
chichten erscheint. Obwohl diese Kalksteine,
wir nach den von uns am gründlichsten er
Localitäten als Malówka -Murajewna- Kalksteine
y Astrolabium..
bische:
|,
H öncke, Ueber ein ara
EE ENEE, 7
HH =
FE 2t 7
pes BEFFE | x
KEE LIT TTIPELT =
VE E WRESE NEE =
KKK EISE Se:
AA AAA RRE e ET xg
AAA AYET LIL] | J oU m
NAAA AAKALA TSA e d
D plain de LAcad. Jan da T. -
a TEEN ERR E, ET EE
des Sciences de Saint- Petersbourg.
U
zeichnen werden, bist jetzt verschieden gedeutet wur-
den,und bald zum Kohlenkalk (Auerbach und Traut-
schold’), bald zu der devonischen Formation (v. Hel-
mersen?, Murchison, Verneuil und Gr. Keyser-
ling), Jeremejeff ^, Barbot-de-Marny °), Ro-
manowsky °) hingezogen waren, so bilden sie doch
eine offenbar selbständige und unzweifelhaft constante
Etage, indem ihre Schichten bei ihrer weiten Ver-
breitung doch eine merkwürdige Beständigkeit der
lithologischen und palaeontologischen Merkmale zei-
gen und sich durch eine eigenthümliche Fauna leicht
unterscheiden lassen. Jedenfalls bilden diese Kalk-
steine ein Übergangsglied zwischen den normalen de-
vonischen Schichten des Orel schen Gouvernements
(mit der Rhynchonella livonica, Spirigera concentrica,
Spirifer disjunctus, Productus subaculeatus und Pr.
productoides) und den unzweifelhaften Gebilden der
Steinkohlenformation in den nördlichen Theilen der
Provinzen Rjasan und Tula. — Die vorliegende Ab-
handlung ist bestimmt, die palaeontologische Bedeu-
tung der Malöwka-Murajewna-Kalksteine festzustel-
len. Einer von uns hatte die Gelegenheit, während
einer langen Reihe von Jahren, Petrefacten in der
genannten Kalkstein-Etage, hauptsächlich an den
Ufern der Ranowa, in den Dankow’schen und Ra-
nenburgschen Kreisen des Rjasan'schen Gouverne-
ments, in der Umgegend des Kirchdorfes Murajewna,
zu sammeln; beide hatten auch die Gelegenheit,
dieselben Kalksteine beim Kirchdorfe Malöwka im
Bogorodizki’schen Kreise sorgfältig zu beobachten und
daselbst deren Versteinerungen in grosser Anzahl
7! sammeln. Ausserdem sind uns theils aus eige-
nung theils durch die von anderen Beo-
“rn gesammelten Versteinerungen, viele andere
ee ane geworden, wo auch Sedimente
Sitala eman Fossilien unserer Etage
iie = : le Kenntniss solcher Localitüten
os e g die Verbreitung der Malówka-
Jewna-Kalksteine von den südlichen Grenzen
Hs. RE Mech und Trautsch., «Über die Kohlen von Central-
1m Bulletin de la soc. des natur. ` "3
EE
ournal (russ.) 1853. N° 9.
5) Verhandl
6) Yerhandl. d der russ. Kais. miner. Gesellsch. 1853.
. 1855
Jahrgang s Sd russ. Kais. miner. Gesellsch. zu St. Petersburg.
i
des Rjashsk’schen Kreises im Osten, bis zur Grenze
des Odojew’schen Kreises, mit der Provinz Kaluga
im Westen, zu verfolgen. Was nun die Verbreitung
unserer Kalksteine von Süden nach Norden anbetrifft,
so keilen sich diese Gebilde in der Parallele der Stadt
Dankow aus, von welcher Grenze südlicher schon die
typischen devonischen Schichten, mit Spirifer disjunc-
tus, Rhynchonella livonica und anderen Versteinerun-
gen anstehen; nach Norden aber werden unsere
Kalksteine von den Schichten der Steinkohlenforma-
tion überlagert, unter welcher Bedeckung sie weiter
nördlicher bis zum Dorfe Jerino, im Podolsk’schen
Kreise, durch die hier ausgeführten Bohrversuche
verfolgt worden sind.
Im südlichen Theile des Gouvernements Rjäsan
befinden sich die ausgedehntesten Entblössungen un-
serer Kalksteine, im Quellgebiete des Ranowa-Flusses,
wo diese Schichten von dem Kirchdorfe Ranowskie-
Werchi über Murajewna und bis zum Kirchdorfe
Urussowa verfolgt werden können. Hier stehen un-
sere Schichten in den Ufergehängen des hübschen
Ranowa-Thales, ebenso wie in allen Schluchten und
Rissen, welche in dieses Thal einmünden, an. In
einigen von diesen Schluchten, wie z. B. in dem Ore-
schnik (bei Murajewna) und Sierkala (in der Nähe
des Dorfes Babinka), lässt sich die Auflagerung der
kohlenführenden Sandsteine und schwarzen Schiefer-
thone auf den mergeligen Kalksteinen der Malöwka-
Murajewna Etage recht gut beobachten. In der
Schlucht Oreschnik enthalten diese Schieferthone
ziemlich starke Kohlenflötze; dagegen in Sierkala
finden wir nur Abdrücke von Stigmaria ficoides, Lepi-
dodendron tenerrimum und einigen anderen Pflanzen.
Östlich von den Entblössungen des Ranowa-Thales,
kommen die Kalksteine unserer Etage bei dem Dorfe
Tutschewo (in der Nähe des Kirchdorfes Likharew-
schina, im Ranenburg’schen Kreise) und bei dem Dorfe
Samarino (im südlichen Theile des Rjashsk’schen
Kreises) wiederum zu Tage. Im Süden des Ranowa-
Quellgebietes sind dieselben Schichten an den Ufern
des Flusses Jagodnaja-Rjassa und seinen kleinen Zu-
flüssen bei den Kirchdörfern Karpowka (Archangel-
skoje), Topky und Swinuschky blossgelegt; in Kar-
powka und Swinuschky werden unsere Kalksteine
von den kohlenführenden Schichten überlagert.
Nach SW. vom Ranowa-Quellgebiete stehen diesel-
15*
Bulletin de l’Académie Impériale
ben Kalksteine beim Dorfe Kamenka, (unweit des
Kirchdorfes Jagodnoje) und bei den Kirchdörfern
Chonejewka, Ostry-Kamen, Chruschtschowo, Annin-
Werch (oder Sauwdurowka, am Don-Ufer) und Balav-
newo, jenseits des Don’s, an. Endlich im Westen von
der Ranowa-Gegend bilden die Malöwka-Murajewna
Kalksteine die Ufer des tiefeingeschnittenen Don-
Thales, vom Kirchdorfe Strjeschnewo stromaufwärts
über Chitrowo, und bis nach Miledino. — Von hier
aus, nach W., überschreiten unsere Kalksteine die
Grenze des Tulaschen Gouvernements und sind wei-
a.
, Schwarze Erde.
Diluvialer Sand.
- "me ts cms c M Án m,
Loser Sandstein.
Schwarzer Schieferthon mit
Productus car arbosoriii, Cho-
netes Laguesskana u . Pflan-
—' a. eine Koh-
lenschich
Harter kieseliger Sandstein.
BlauerThon; b. dünneSchieht
el ecten
nii und Helodus-Zähnen.
Kalkstein mit Rhynchonella
| | | ` Panderi, Spirifer inflatus,
, Productus fallax, Retzia
marem ee wee
Dickgeschichteter Kalkstein, Ţ
arm an Versteinerungen. -
Niveau des Flüsschens. | &
ter in folgenden Localitäten bekannt: Im Epifan’-
schen Kreise: bei dem Kirchdorfe Butschalky (an
dem Fl. Mokraja Tabola) und Kamenzy (auf dem
Wege von Epifan nach Tula); im Bogorodizker Kreise:
bei den Kirchdörfern Malöwka und Tawarkowa, an
beiden Localitäten von den kohlenführenden Schichten
überlagert; im Krapiwna-Kreise: bei den Kirchdór-
fern Panina (an der Grenze des Bogorodizki’schen
Kreises, von kohlenführenden Schichten überlagert),
Dolgoje an dem F1. Upa, bei den Dörfern Kurowa,
Milenino, Tschernezowa (in beiden letzteren von
LA
i Schwarze Erde.
Diluvialer Sand ki Olonetzki-
schen Geschieben (rothen
Quarziten, pre
Loser weisser Sandstein.
DunkelgrauerSchief:
erthonmit
eng (Sti
ment
Compacter aber sorbet |
eisenhaltiger esi F
stein mit undeutlichen wer
fer-Abdrücken. m
Hellbläuliche Thone mit Me.
geln und Platten-Kalksteinen d
alternirend, mit denselben
Versteinerungen wie der u
terliegende Kalkstein.
CT. Kalkstein mit Rhynchonds
Panderi, Produetus Panieri
Pr. fallar, Chonetes na
Spirifer inflatus, Sch pr
minala ete. Kalkstein arm #4
Versteinerungen.
5 Mee, Niveau des Flüsschens e
Ca E
Tt d aie
de
des Sciences de Saint- Pétersbourg. 234
teklenführenden $ Schichten bedeckt), an der Chaussee
von der Stadt Tula nach Orel, bei Oserki (ebenfalls
von kohlenführenden Schichten überlagert), und end-
lich an der Oka bei Jerdejewo, unweit Krapiwna; im
Odojew'schen Kreise, an dem Flüsschen Ulabje (auf
der Hülfte des Weges von Krapiwna nach Odojew
und im NW. von Odojew gegen Tula, bei den Kirch-
dürfern Philimonowa, Wjalina und Sloboda); an allen
drei Localitäten von kohlenführenden Schichten über-
lagert. Endlich im Tula'schen Kreise scheinen unsere
Kalksteine noch im Süden und Süd- Westen von der
Stadt Tula entblösst zu sein, nämlich beim Dorfe Pri-
ljepy an der Upa und in der Nähe der Kirchdörfer
Wyssokoje, Tschastoje, Meschtscherkoje und Kura-
kino.
Was die weitere Ausdehnung nach Westen der
Malówka-Murajewna-Etage anbetrifft und namentlich
im Kaluga'schen Gouvernement, so ist uns darüber
nichts Näheres bekannt. -
Die auf der vorangehenden Seite gegebenen Profile
von Malöwka (a)”) und Murajewna (b) zeigen deutlich
die Aufeinanderfolge der verschiedenen Schichten un-
serer Etage.
Nachdem wir die Beständigkeit des Niveau’s der
Malöwka-Murajewna-Kalksteine in ihren Lagerungs-
verhältnissen und in ihren lithologischen und palae-
ontologischen Merkmalen hervorgehoben haben, ge-
hen wir zu der ausführlichen Beschreibung der in
diesen Kalksteinen vorkommenden Versteinerungen
über, so wie auch einer kleinen Anzahl von Petrefac-
ten, die von dem Bergingenieur H. Leo, in den koh-
lenführenden Schieferthonen aufgefunden worden sind,
wd welche General v. Helm T
getheilt hat. ersen uns gütigst mit-
A, Versteinerungen der Malöwka - Mura-
ewna-Kalksteine.,
® l, Klasse Pisces,
ir à ;
haben eine Suite von schön erhaltenen Fisch-
us Schicht uns, die alle aus den die kohlenführen-
d er en In den Gouvernements Tula und Rja-
WE eufenden, gelblichen, mergeligen Kalkstei-
men. Unter ihnen sind drei Sippen zu unter-
7) Die im p,
von tis, in Gess å angegebenen Schichten wurden von einem
Maldıka, sorgfältig 2 desH. Leo, Verwalters der Kohlengrube
Jahre 1862, ele. en Ufergehängen des Malôwka-Baches, im
scheiden, auf deren Arten wir nicht näher eingehen
können, da deren Aufstellung allein nach den Zähnen
uns unpassend und zwecklos erscheint. Deshalb be-
schränken wir uns auch nur auf einen näheren Ver-
gleich derjenigen Formen, die früher schon abgebildet
und beschrieben worden sind.
1. Orodus, Agass.
Zu dieser Sippe gehört offenbar der auf Taf. I und
Taf. IV, F. 1 abgebildete Zahn. Er ist klein und in
die Länge gezogen. Seine Krone besteht aus einem
grösseren mittleren und zwei kleineren seitlichen
Kegeln. Der Längskeil, mit den zum unteren Rande
der Krone unregelmässig verlaufenden Querfurchen,
ist sehr gut ausgesprochen (Taf. IV. F. 1). Die Óff-
nungen der Medullarkanäle sind unregelmässig auf
der ganzen hellgrauen Oberfläche als schwarze Pünkt-
chen zerstreut. Die Basis ist ungefähr halb so hoch
wie die Krone, aussen convex und der Hóhe nach
gefurcht; innen concav.
Die Orodus-Zähne waren bis jetzt nur in Schich-
ten des Steinkohlensystems bekannt; unter den be-
schriebenen Arten finden wir aber keinen einzigen
Zahn, der mit unserem kleinen Exemplare identisch
wäre.
Fundort: Murajewna.
| 2. Helodus, Agass.
Zu dieser Sippe rechnen wir alle Zähne, die in den
Zeichnungen unserer Taf. I F. 2—11. vorliegen.
Darunter erblicken wir eine Anzahl solcher Exemplare,
die an Psammodus errinnernd sich von derselben
durch die grössere Convexität ihrer Kauflächen unter-
scheiden und einen wahren Übergang der einfach con-
vexen Oberfläche in die kegelförmige darstellen. Alle
diese Zähne bestehen aus einer deutlich begrenzten
Krone und Basis. Man könnte unterscheiden:
a) Helodus-Zähne mit der kegelförmigen Oberfläche
(Taf. I..Ff. 2— 5.), deren Krone unten von einem
erhabenen Rand umgeben und aus einem oder drei
Kegeln zusammengesetzt ist; im letzteren Falle wird
sie aus einem mittleren grösseren und zwei seitlichen
kleineren Kegeln gebildet. Die braune oder graue
Oberfläche ist mit feinen, unregelmässig zerstreuten
Öffnungen der Medullarkanäle bedeckt. Die Basis ist,
wie bei dem oben beschriebenen Orodus-Zahn, aussen
convex und gefurcht, innen concav.
235 Bulletin de l’Académie Impériale 236
Diese kegelfórmigen Helodus-Zähne scheinen von
den bis jetzt nur im Kohlenkalke aufgefundenen,
durch den breiten und zugleich erhabenen unteren
Kronenrand ganz verschieden zu sein.
b) Helodus-Zähne mit einfach convexer Oberfläche
(Taf. I. Ff. 6— 11) sind meist viereckig. Ihre zu-
weilen dreihóckerige Krone (Taf. I. Ff. 7, 10) er-
reicht die grösste Höhe auf dem inneren Rande des
Zahnes; seltener in der Mitte der Kaufläche (Taf.
I, F. 9), und noch seltener ist die Oberfläche des
Zahnes zn einer stumpfen diagonalen Lüngskante er-
hoben (Taf. I. F. II). Die Seitenränder der Krone
sind deutlich gezühnt; an einigen Exemplaren ist die
Zühnung verwischt, scheint aber allen einfach con-
vexen Formen eigen zu sein. Die oft abgebrochene
Basis ist an ihrer untern Flüche concav, meist halb
oder ebenso hoch wie die Krone und der Hóhe nach
gefurcht. Die graue oder braune Zahnoberflüche ist
von Medullaróffnungen bedeckt. Was die innere Struc-
tur der von uns abgebildeten Zähne anbetrifft, so
verweisen wir auf einen von Pander (Über die Cteno-
dipterinen 1858. S. 46. Taf. VII, F. 12) beschriebe-
nen und abgebildeten Helodus-Zahn, aus den oberen
devonischen Schichten des Tula'schen Gouvernements,
der dem unsrigen (Taf. I. F. 6) überaus ühnlich ist.
Was sonst die Helodus-Zähne mit einfach conve-
xer Oberflüche anbetrifft, so bildet M'Coy (British
paleoz. Fossils. S. 631. Taf. A. F. 12), unter der
Benennung Helodus planus, eine mit der unserigen
übereinstimmende Form aus dem Kohlenkalke ab.
Fundorte: Malówka (s. das Exemplar F. 6, Taf. I)
und Murajewna.
3. Cladodus, Agass.
Das Bruchstück (Taf I. F. 12) ist vom Agassiz’-
schen Cladodus simpler °) nicht zu unterscheiden.
Wie bei dem letzteren besteht seine Krone nur aus
einem etwas gekrümmten Höcker, dessen Oberfläche
mit feinen, abstehenden Lüngsstreifen verziert ist. Die
Basis niedrig, doch von der Krone deutlich geschieden.
Cladodus simplex wurde von Agassiz aus den de-
vonischen Schichten des Petersburg'schen Gouverne-
ments beschrieben.
Fundort: Murajewna.
8) Agassiz, Moore des poissons fossiles. 1844 S. 124.
Taf. XXXIII, Ff. 2
in die Mitte der ganzen Schale; auf ihr, dem Dorsal-
sp. aufgewachsen bei Tawarkowa vor.
IL Klasse. Crustacea,
Fig. 1. Fig 2.
=
Tl
1. Leperditia, Rouault.
Leperditia nigrescens, Eichw. (Holzschnitt F. 1).
Eichwald, Lethaea Rossica. Anc. période. S. 1343.
Die Schale klein, länglich oval. Die rechte Klappe
trägt einen grossen fast mittelständigen Augenhöcker
und wird von der linken, grösseren am Vorder,-
Unter,- und Hinterrande umfasst. Der Oberrand ist
fast gerade; der Vorder- und Hinterrand gerundet.
Die Schaale schwarz gefärbt.
Länge 1,5, Breite 1 Mm.
Fundorte: Mit Chonetes nanain einer dünnen Schicht
eines harten Kalksteins, bei den Dörfern Tawarkowa
und Filimonowa.
2. Cythere, Müll.
Cythere tulensis, n. sp. (Holzschnitt F. 2).
Die Schale sehr klein, länglich oval; hinten breiter
als vorn. Der Rückenrand stumpfeckig; Bauchrand
— etwas gerundet. Die Klappen fast gleich gewölbt;
die linke umfasst die gegenseitige auf dem Unter,
Vorder- und Hinterrande. Die grösste Breite fill
Rande näher, kommt auf jeder Klappe ilh vertieftes
Grübchen zu liegen; sonst ist die Oberfläche glatt.
Länge 1, Breite ”, Mm.
Fundorte: Malówka und Murajewna.
lil, Klasse, Vermes.
Spirorbis, Lamk.
Spirorbis siluricus, Eichw. `
Eichwald, Lethaea Rossica. Anc. période s. 668.
Taf. XXXIV. F. 22.1.
Kleine, den von Eichwald abgebildeten volue
men ähnliche Gehäuse kommen häufig auf Schal
weiter unten beschriebenen Spirigera subpyrifi -— j
des Sciences de Saint- Pétersbourg. 238
IV. Klasse, Cephalopoda,
Orthoceras, Breyn.
Orthoceras Helmersenii Pacht. Taf. I, F. 18 a, b.
R. Pacht, Geognost. Untersuch. in den mittleren
Gouvern. Russlands (Baer und Helmersen, Beiträge
zur Kenntn. des Russischen Reiches. 21 Bändchen.
1858) S. 88. Taf. III. F. 3, 3.
Wir besitzen nur Steinkerne dieser Art, die konisch
und im Querschnitte oval sind. Der Sipho excentrisch
und liegt auf der kürzern Axe des Querschnittes, vom
Rande bedeutend entfernt. Die Scheidewände an den
Rändern — etwas gebogen, besonders auf den brei-
ten Seiten des Steinkernes. Taf. I, F. 13. a, zeigt
bei 12 Mm. in grösserer und 10 Mm. in kleinerer
Axe des Querschnittes 4 Kammern auf eine Länge
von 12 Mm. und eine Wohnkammer von 22 Mm.
Länge,
Fundorte: Murajewna. Nach R. Pacht kommt
diese Art in den devonischen Schichten bei Jeletz,
Sadonsk, Kon-Kolodes, J endowischtsche, Lipezk, Orel
etc, vor.
V. Klasse Gastropoda.
l. Twrritella, Lin.
Turritella spiculum, Eichw. Taf. IV. F. 10.
Eichwald, Lethaea Rossica. Anc. période. S. 1120.
Taf. XLII, F. 5.
Zu dieser Art rechnen wir ohne Zweifel die abge-
bildeten, kleinen, konischen und aus 5 — 6 gewülbten
Umgängen bestehenden Steinkerne, an denen aber
die die Oberfläche der Schale bedeckenden Streifen
vollkommen fehlen.
Fundorte: Malöwka, Sloboda, (nach Eichwald). .
2. Chemnitzia, d’Orb.
kid ‚Chemnitzia laevigata, Eichw, Tat. IV, F. 9.
ıchwald, Lethaea Rossica. Anc. pér. S. 1
. XLII, F. 6. per..5..1117.
Gehäuse klein, konisch und aus 8 — 9 flachen und
P n Umgängen zusammengesetzt.
à i ind Mit Cythere tulensis bei Malöwka und
Go n Thone des Dorfes Sloboda (nach Eich-
3. Natica, Adans.
Di s atica sp. indeterm. Taf. IV, F. 6 a, b.
gebildeten und aus zwei, rasch an Dicke
zunehmenden, glatten Umgängen zusammengesetzten
Steinkerne gehören offenbar einer Natica-Art an, de-
ren nähere Bestimmung aber wegen der mangelhaften
Erhaltung der vorhandenen Exemplare nicht statt
finden konnte. Der allgemeinen Form nach sind diese
Steinkerne der Natica nana, Eichw. (Leth. Rossica,
Anc. per. S. 1114, Taf. XLIV, F. 10) von Sloboda
ähnlich.
Fundort: Murajewna.
4. Euomphalus, Sow.
Euomphalus serpens, Phill. Taf. IV, F.4a, b.
Phillips, Britisch palaeoz. fossils. 1841. S. 94.
Taf. XXXVI, F. 172.
Gehäuse klein, scheibenförmig, aus ungefähr 6 — 7,
etwas flachen und im Querschnitte ovalen Umgüngen
zusammengesetzt, die fast in einer Ebene liegen. Der
weite Nabel lässt alle Umgünge erkennen; diese be-
rühren sich meistens; doch an vielen Exemplaren ver-
laufen dieselben in einiger Entfernung von einander.
Die Oberfläche. ist mit feinen Anwachsringen bedeckt.
Unsere Abbildung stellt ein, aus den vier ersten
Umgängen zusammengesetztes Bruchstück des Gehäu-
ses dieser Art vor.
Fundorte: Malówka und Murajewna.
Euomphalus cochleatus, n. sp. Taf. IV, Ff. 5 a, b, 8 a, b.
Gehüuse klein, konisch und aus 4, oben flachen,
unten gewölbten, im Querschnitte fast viereckigen
Umgängen zusammengesetzt, die sich entweder be-
rühren, oder im unteren Theile der Schale getrennt
erscheinen, seltener aber auf der ganzen Lünge von
einander entfernt verlaufen. Der Nabel breit, doch
bedeutend enger als bei der vorhergenannten Art.
Die Oberfläche mit feinen Anwachsringen bedeckt.
Fundort: Murajewna.
5. Bellerophon, Montf.
Bellerophon striatus, de Feruss. Taf. IV, Ff. 2 a, b, c; 3.
Roemer, Lethaea Geognostica, 3 Aufl. 1851— 56.
Oter Band. S. 443. Taf. III, F. 19; Taf. I, F. 11.
Bellerophon striatus, Phill. , Britisch palaeoz. fossils.
1841, S. 106. Taf. XL, F. 198. Bellerophon costatus,
Auerb. Bull. de la soc. des natur. de Moscou. 1862.
N° III. S. 216. Taf. VIII. F. 15. Bam
Wir besitzen nur junge Exemplare dieser Art,
Bulletin de l'Académie Impériale
welche aus vollständig umhüllten Umgängen zusam-
mengesetzt sind und daher einen sehr engen Nabel
zeigen. Die Rückenseite der Umgänge ist hochge-
wölbt und mit einem ziemlich breiten Kiele versehen.
Die Oberfläche — mit feinen Streifen bedeckt, die am
Kiele nach hinten gebogen erscheinen.
Taf. IV, F. 3. stellt einen aus etwas flacheren
Umgängen als gewöhnlich zusammengesetzten Stein-
kern dar, der aber wahrscheinlich auch zu derselben
Art gehört.
Fundort: Murajewna.
VI. Klasse, Elatobranchia,
1. Megalodus , Gldf.
Megalodus suboblongus, Vern. Taf. IV, F. 15.
Megalodus suboblongus, V erneuil, Geology of Rus-
sia. T. II. S 305. Taf. XX, F. 4.
Schale klein, lünglich oval; der Schlossrand ge-
rade. Die Wirbel hervorstehend und dem vorderen
Ende der Muschel genühert. Eine stumpfe, diagonale
Längskante zieht sich von den Wirbeln gegen das
hintere Ende der Muschel. Die Oberfläche ist mit
concentrischen Anwachslinien bedeckt.
Länge 18, Breite 11,5, Dicke 9 Mm.
ES. Lu E. 65, » "e
Fundort: Murajewna.
2. Astarte, Sow.
Astarte (?) socialis, Eichw. Taf. IV, F. 7 a, b.
Eichwald, Lethaea Rossica. Anc. période. S. 1005.
Taf. XXXIX, F. 1.
Die Schale sehr klein, länglich oval und anschei-
nend gleichklappig und gleichseitig. Die Wirbel mit-
telständig, hervorstehend und mit einer niedrigen
Wand versehen, die fast bis zur Mitte der Schale ver-
läuft und sehr gut auf den Steinkernen zu sehen ist.
Die glatte Oberfläche mit einer kleinen Anzahl von
weit abstehenden concentrischen Linien bedeckt.
Kaum 1 Mm. lang.
Diese kleine Muschel, deren Stellung in der Sippe
Astarte durchaus noch zweifelhaft ist, kommt in gros-
ser Menge in den Kalksteinen beim Dorfe Murajewna
vor. Das Museum des Berg-Instituts zu St. Peters-
burg besitzt grosse Kalksteinstücke, von H. v. Hel-
mersen aus der Umgegend von Sadonsk mitgebracht,
die voll von Schalen derselben Art sind, welche von
dem genannten Geologen bei Jeletz, Otrada und
Jefremow beobachtet wurden °); auch H. Eichwald
hat sie aus dem Kohlenkalke in der Nähe des Dor-
fes Makowaja, am Flusse Ratofka, im Kreise Nowos-
silsk des Tula’schen Gouvernements, beschrieben,
Doch glauben wir berechtigt zu sein, die Schichten
von Makowaja für devonische zu erklären, da der eben
genannte Zweischaler von H. v. Helmersen in den
Kalksteinen der devonischen Formation gefunden wor-
den ist.
3. Nucula, Lmk.
Nucula lineata, Phill. Taf. IV, F. 11.
Phillips, British palaeoz. fossils. 1841. 8. 39.
Taf. XVIII, F. 64 a, p.
Wir besitzen eine Anzahl von Steinkernen, die mit
den von Phillips als Nucula lineata beschriebenen
vollkommen übereinstimmen. Unsere Exemplare sind
fast dreieckig, vorn abgestutzt, nach hinten verlän-
gert und mit einem aus einer Reihe kleiner Zähne
bestehenden Schloss versehen.
Länge 6, Breite 4, Dicke 3,5 Mm.
Fundort: Murajewna.
Nucula sp. indeterm. P
In den Kalksteinen bei Murajewna kommen kleine
Steinkerne einer Nucula- Art vor (Taf. IV, F. 12),
die durch ihre mittelständigen Wirbel und durch ds —
schnabelförmig verlängerte hintere Ende der Iede
Form sehr nahe stehen. Doch tritt die mange"
Erhaltung unserer Exemplare der näheren Bestin-
mung derselben entgegen. Ausser diesen N
Steinkernen kommen bei Murajewna auch noch al-
dere vor (Taf. IV, F. 13), die der Nucula CH
Eichw. (Lethaea Rossica. Anc. per. 5. 994. Til
XXXVIII, F. 13. am nüchsten zu stehen scheinen.
4. Arca, Lmk.
Arca Oreliana, Vern. a
Verneuil, Géologie de la Russie. T. II. $. 314
Taf. XX, F. 3. |
Zu der von Verneuil aufgestellten
d
Diagnose de
g
+98. Baer und Helmersen, Beiträge zur Kenntniss eg
Reiches. 21 Bändchen, 1858, S. 50. — | ;
TE NERONI S EENEG OPET EE TC Te ROI
GE
NL Klasse, Brachionacephala. -
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
241
ser Art haben wir nur hinzuzufügen,
ED dass der Schlossrand der Arca Oreliana
hinter den Wirbeln, durchaus nicht
gerade verlüuft, wie er in «Géologie de la Russie»
gezeichnet ist, sondern immer etwas gebogen erscheint.
Der beigefügte Holzschnitt stellt ein Exemplar der
Arca Oreliana aus den Kalksteinen bei Malówka vor.
Fundorte: Ausser Malówka, noch bei Tawarkawa
und Murajewna.
| 5. Pecten, Müller.
-Pecten Helmersenii, n. sp. Taf. IV, F. 14 a, b.
Schale klein, gleichseitig, flach gewólbt und eben
so lang wie breit; Schlossrand gerade. Die Ohren—
von fast gleicher Grüsse und von der übrigen Schale
scharf getrennt; das spitzere, vordere Ohr der rech-
ten Klappe ist mit einem tiefen Byssusausschnitte
versehen. Die Oberfläche ist mit feinen, dicht an ein-
ander stehenden Radial-Streifen (gegen 50 am unte-
ren Rande) bedeckt, die sich durch Einsetzen von
einzelnen oder doppelten Streifen vermehren. Die
Ohren sind nur von den Anwachslinien bedeckt.
Länge und Breite — 8 Mm.
Diese in Gesellschaft von Chonetes nana, Rhyncho-
nella Panderiana, Arca Oreliana, Cythere tulensis auf-
tretende Art widmen wir dem geehrten Geologen,
dem wir einen Theil unseres Materials verdanken.
D
ge Fundorte : Malöwka und Murajewna.
j nn miii.
De: da ie
| 1. Terebratula, Lihwyd.
` Terebratula bursa, Eichw. Taf. I, F. 14 a, b, c.
Eichwald, Lethaea Rossica, Anc. pé
, Anc. per. T. I. 8. 692,
Taf. XXXIV, F. 15. Terebratula Puschiana, Auerb.,
Le de la soc. Imp. des natur. de Moscou. 1862,
| HN: 8. 234, Taf. VIII, F. 11. |
2 Schale gs länglich - pentagonalem Umrisse;
ge Stirnrand stellt die kürzeste Seite
wi Pentagons dar. Die Bauchklappe ist mässig ge-
b Iu erreicht die grósste Hóhe in der Mitte.
' Schna bel ist sehr klein und fein, aber stark ge-
iag und mit emer kleinen |
en ep giebt) rundlich ovalen Öffnung versehen.
weg Del T Sinus fängt nur von der Mitte der
e an, breitet sich rasch aus und nimmt
Tone FL
(nicht grossen, wie es |
die Art von Verneuil
| identisch; sie besitze
den ganzen Stirnrand ein, welchen er zuweilen etwas
ausbiegt. Die Rückenklappe ist fast gänzlich flach;
an der Stelle der Wulst ist auf ihr eine sehr flache
Vertiefung sichtbar. Die Oberflüche der Schale —
ganz glatt.
Länge der grüssten Exemplare 7, Breite 6, und
Dicke 3 Mm.
Diese Art ist mit der Terebrat. sacculus, Sow. und
Phill., Ter. virgo, Phill., Atrypa lachryma und. juve-
nis, Sow., verwandt. Die letzte Art steht der unseren
wie durch den Umriss der Schale, so auch durch
den feinen und gebogenen Schnabel und ihre gerin-
gere Dicke sehr nahe, doch unterscheiden sich unsere
Exemplare durch ungleiche Wölbung beider Klappen
und durch die fast ganz flache Rückenklappe.
Fundort: Murajewna, Sloboda; selten.
2. Spirifer , Sow.
Spirifer Anossoffi, Vern. Taf. I, F. 15 a, b, c.
Verneuil, Geology of Russia. T. II, S. 153, Taf.
Yu.
Die Schale breiter. als lang (in der Proportion
10: 9 oder 3: 2), an den Seiten gerundet; die grösste
Breite fällt in die Mitte der Schale. Die Bauchklappe
ist stark gewölbt; der Sinus am Stirnrande deutlich
ausgesprochen, doch weder tief, noch scharf begrenzt
und in der Mitte mit einer Furche versehen, die bis
zum Schnabel reicht. Die Area ist concav, niedrig
(Verhältniss der Höhe zur Breite wie 1: 3) und durch
gerundete Kanten begrenzt; ihre Breite steht zu der
Länge des Schlossrandes im Verhältniss wie 2: 3;
die Deltidium-Öffnung bildet ein hohes Dreieck, des-
sen Spitze durch den stark eingebogenen Schnabel
verdeckt erscheint. Die Rückenklappe ist mässig ge-
wölbt und mit einer undeutlich begrenzten und wenig
erhabenen Wulst versehen, die den meisten Exem-
plaren vollständig fehlt. Die Oberfläche ist mit flachen,
gerundeten Falten verziert, die auch den Sinus (in
ki
Zahl von 6—8) und die Wulst bedecken; die Anzahl
Dr
der Falten reicht auf der .
und auf der Rückenklappe bis 30—4
Unsere Exemplare sind mit denen, nach welchen
rJ Kelt. nib: Harn
1
TES
5
Fundorte: Moura
243 Bullétin de l’Académie Impériale 24
Spirifer aculeatus, Schn. Taf. U, F. 6. a, b. c. Fundorte: Murajewna, Malówka; selten.
Schnur, in Dunker und Meyer Palaeontogr. IIT, ` 'gpirifer inflatus, Schn. Taf. II, F. 2 a, bye.
$. 203, Taf. XXXIV, F. 2. Spirifer squamosus, F.
Rómer, in Dunker und Meyer Palaeontogr. III, Schnur, in Dunker und Meyer. Palaeontogra-
S. 10, Taf. II, F. 8. Sp.crispus einiger Autoren, wie | phica, T. III, S. 211, Taf. XXXVII, F. 2. Sp. ungui-
z.B. K. Römer, D. Rhein, Übergangsgebirge, S. 69. | culus: F. Róm., Versteinerungen des Harzgebirges,
Die Länge der Schale kaum weniger als ihre Breite. | S. 15, Taf. IV, F. 23. Sp. Urii, Flem. Brit. anim,
Die grösste Breite in der Nähe des Schlossrandes, | S- 397, Afrypa wungwiculus Sow. Geol. Trans, 2
dessen Seitenecken etwas gerundet erscheinen. Die | ries, vol. V, Taf. LIV, F. 8. Sp. unguicula, Phillips,
grössere oder die Bauchklappe etwas stärker gewölbt | Brit. palaozoie fossils. 5. 69, Taf. XXVIII, F. 119.
als die kleinere; ihre nicht scharf begrenzte, concave | Martinia Urii, M’Coy, Sinopsis of the british carbo-
Area ist ziemlich hoch (Verhältniss der Hóhe zur|nif. fossils. S. 377.
Breite 2:5) und mit einer grossen, nicht gedeckten, | Die Schale meistens von quer-ovalem Until
dreieckigen Öffnung versehen, deren Basis mehr als | doch zuweilen ist ihre Länge der Breite gleich. Die
den 4ten Theil des Schlossrandes einnimmt. Der Si- | Bauchklappe stark gewölbt und in der Schlossnähe
nus der Bauchklappe ist scharf begrenzt, ziemlich | aufgebläht; ihre ziemlich hohe, concave Area ist et-
breit, tief, in der Mitte flach und, wie die Wulst der | was kürzer als der geradlinige Schlossrand. Die drei-
Rückenklappe ungefaltet, glatt. Dagegen ist die übrige | eckige Öffnung der Area ist gross und offen; ihre
Oberfläche der Klappen mit 8— 12 einfachen, ge- | Basis nimmt ein Drittel der ganzen Breite der Area
rundeten und ziemlich breiten Falten und ausserdem | ein. Der Schnabel gross und etwas über die Area
noch mit groben, concentrischen, schuppig überein- | übergebogen. Der Sinus ist durch eine
ander liegenden Anwachsstreifen bedeckt, die über den | Längsfurche vertreten, die nur in seltenem Falle
Sinus und die Wulst ununterbrochen fortsetzen. eine Ausbuchtung des Stirüritides hervorbringt. Die
Länge 12, Breite 13, Dicke 11 Mm. | Rückenklappe ist im Vergleiche mit der grösseren |
U ER ee" | wenig gewölbt; die mittlere Wulst fehlt ihr vollstät- =
2 |
»
Unsere Exemplare sind von der devonischen Form dig; zuweilen tritt sogar an ihrer ‚Stelle eine
des Spirifer crispus aus der Eifel, welche als eine | che Längsfurche hervor. Die Area der Rücken Wis
selbständige Art von den beiden Römer und Schnur | ist niedrig, doch deutlich ausgesprochen. Die Obe
(von dem letzten unter den Namen Sp. aculeatus) an- | fläche der Schale glatt und nur von feinen, concen-
gesehen wird, nicht zu unterscheiden. Die echte si- trischen Anwachsstreifen bedeckt. `
lurische Form des Sp. crispus ist entschieden eine an- , ini 8, Breite 10, Dicke 6 Mm.
dere, wenn auch analoge Art und unterscheidet sich 6, ee,
durch engere und weniger gerundete Falten, so wie Diese Art huteischeiföt sich von den übrigen
auch durch den Mangel der groben, (tönbehtriskhen glatten Spiriferen durch den aufgeblähten Schnabel
Anwáchsstreifen. Was nun den Sp. crispus aus dem die sehr verschiedene Wölbung der Klappen,. ge
Kohlenkalke anbelangt, so ist diese Art von den silu- | ringe Wölbung der Rückenklappe, den fast fehler
rischen und devonischen Formen noch mehr, als die | den Sinus und die. völlige Abwesenheit der `
beiden letzten unter einander, verschieden. Der Un-| Wir haben nicht den geringsten Zweifel über die
terschied zwischen dem Sp. crispus des Kohlenkalkes | Identität unsrer Exemplare mit dem Spirifer à -—
und dem devonischen Sp. aculeatus besteht nämlich | Schn., aus dem rheinischen Gebirge, wie auch mit
darin, dass der erste eine geringere Anzahl von Fal- | dem "Werejilischeiy Sp. unguiculus, F. À. Rom. D
ten besitzt, welehe fachfórmig und fast eben so breit | englische Atrypa unguiculus, Sow. oder Sp
wie die Wulst erscheinen und endlich darin, dass der quicula, Phill: ist zwar schlecht abgebildet
Sinus in den Schalen des Sp. crispus viel enger; tiefer | beschrieben, doch scht gie offenbar zu dirae
und kaum breiter Wi als "s Furchen, welche ‚die l'Art, Art, da das Vorkäridensein der mittleren Ger
Falten trennen. PORTE in. Tin en beiden Klappen und der schwachen rh
eu Hg qom
De
Gef
245 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 246
Ing des Cardinalrandes, welche Merkmale Sowerby
hervorhebt, sich, nach Phillips Beschreibung, nur
auf eine Varietät der englischen Form beziehen.
Unter Hunderten von unseren Exemplaren stimmen
einige, wenn auch wenige, mit der Sowerby'schen
Varietät überein. Der Spirifer cicer, Eichw. aus den
Kalksteinen von Gerichow im Altai-Gebirge, dessen
zahlreiche Exemplare, wir an Ort und Stelle gesam-
melt haben, unterscheidet sich von unserer Art nur
durch seine beträchtlichere Grösse und kann kaum
von dem Spirifer inflatus getrennt werden. Der von
M'Coy aus dem Kohlenkalke Irland's beschriebene
Spirifer Martinia). stringocephaloides ist mit dem Sp.
inflatus. sehr- verwandt; doch unterscheidet er sich
durch einen feineren Schnabel, hóhere Area und über-
haupt rundlichere Form. ;
Fundorte: Murajewna, Malöwka; sehr häufig.
Spirifer glaber, Sow. Taf. II, F. 5 a, b, c.
Roemer, Lethaea Geognostica. 1851 —56. S. 525.
Taf. IL, F. 16. Auerbach, Bull. des natur. de Moscou.
1862. N° III, S. 213, Taf. VIII, F. 6.
Die Schale im Umrisse quer-oval. Die beiden
Klappen sind ziemlich gleich gewólbt. Die Bauch-
klappe mit einem grossen und stark gekrümmten Schna-
bel versehen ; ihre Area ist niedrig und gut begrenzt,
nimmt aber nicht die ganze Länge des Schlossrandes
ein; der Sinus ist ziemlich breit und tief, beginnt
schon am Schnabel und buchtet den Stirnrand stark
aus. Die Rückenklappe ist mit einer gut ausgespro-
chenen Wulst versehen. Die Oberfliche der Schale
glatt und mit feinen, concentrischen Anwachsstreifen
bedeckt.
Länge 20, Breite 22, Dicke 15 Mm.
11, » 13, » 8 »
GS 135 $1. 1 Katie, ` :
SR URT RE FR GEN 2s Spirigera, d'Orb.
vete „Spirigera Puschiana, Vern. Tat. II. F. 3 a, b, c.
Ural m Puschiana, Verneuil, Russia and the
somni; T-IT,. 8.69. Taf. IX. E 10. . Spirigera
TE zapen Eichw.,Lethaea Rossica. Anc. per. S. 737.
reite. fast. gleich; die grösste Breite in der
d pe Bauchklappe ist etwas stärker als die
PY und besitzt, einen kleinen durchbohr-
„Fundort: Murajewna, Malówka , Oserki; nicht;
ten Schnabel, ohne Deltidium; der Sinus ist schwach
angedeutet und zum Schnabel in Gestalt einer kaum
bemerkbaren Furche verlaufend; der Stirnrand ist
durch den Sinus ein wenig gehoben. Die Rücken-
klappe — ohne Wulst. Die Oberfläche der Schale
ist mit ziemlich abstehenden, nicht zahlreichen, con-
centrischen Anwachsstreifen bedeckt. Im Inneren ist
die Schale mit den Spiren versehen.
Lànge 13, Breite 12, Dicke 7 Mm.
Diese Art ist mit der Sp. concentrica, so auch mit
einigen anderen Spirigeren verwandt; von der con-
centrica unterscheidet sie sich durch die geringere
Grösse, schwächere Wölbung der Klappen, völlige Ab-
wesenheit der Wulst, kleinere Öffnung des Schnabels,
den weniger deutlichen und engeren Sinus, fast gera-
den Stirnrand und endlich durch die Abwesenheit
einer regelmässigen, concentrischen Streifung.
Diese Art wurde von Verneuil nach Exemplaren
aufgestellt, die bei Ulabje, zwischen Krapiwna und
Odojew gefunden worden sind und aus Schichten des-
selben Alters wie die von Malöwka und Murajewna
stammen. i
Fundorte: Murajewna, Malówka, Ulabje, Kipet,
Oserki, Philimonowa; häufig. |
Spirigera subpyriformis, n. sp. Taf II, F. 4 a, b, c.
Umriss fast dreieckig, so dass die Schale bei der
betrüchtlichen Dicke eine birnfórmige Gestalt annimmt.
Die grósste Breite füllt dem Stirnrande näher, welcher
fast geradlinig ist. Die Bauchklappe. stark und gleich-
mässig gewölbt; der Schnabel gross, ziemlich gebogen
und mit einer. grossen, runden Öffnung, ohne Delti-
dium, versehen; der Sinus flach, doch ziemlich breit,
zuweilen kaum bemerkbar und in einigen Exemplaren
mit einer obsoleten Falte in der Mitte versehen. Die
Rückenklappe zeigt keine Spur der mittleren Wulst;
an deren Stelle sieht man zuweilen sogar eine flache
Vertiefung. Die Oberfläche der Schale glatt und mit
sehr feinen concentrischen Anwachsstreifen bedeckt,
die beim Stirnrande am deutlichsten zu sehen sind;
die regelmässige, concentrische Streifung fehlt ihr
i E | gänzlich. Die Spiral-Kegel sind sehr entwickelt. .
ist der B "P Im Umrisse subpentagonal; ihre Lànge |
‚Länge 16, Breite 16, Dicke 10 Mm. © . = >
.. Unsere Art steht der Sp. Puschiana am nächsten;
ist aber von derselben schon wegen der birniürmigen
Gestalt ganz verschieden. Es ohio, dass die
247
von Eichwald aus dem gelben Thone bei Sloboda
als Terebratula sacculus beschriebene Muschel zu un-
serer Art gestellt werden muss.
Fundort: Tawarkowa.
Spirigera pectinata, n. sp. Taf. IT, F. 1 a, b, o.
Spirifer lineatus, (Mart.) Auerb., Bull. des natur.
de Moscou, 1862 N' III. Taf. VIII, F. 8.
Die Schale von kreisfórmigem Umrisse; ihre Länge
ist der Breite gleich; die grösste Breite dem Schloss-
rande genühert. Die Bauchklappe ist in der Nähe des
Schnabels stark gewölbt und erreicht die grösste Höhe
zwischen dem Schlossrande und der Mitte der Schale;
zum Stirnrande und zu den Seitenründern aber fällt
die Klappe seicht herunter; keine Spur von Sinus.
Die Rückenklappe ist ebenso wie die Bauchklappe ge-
wülbt, weshalb die Ründer der Schale schneidend
erscheinen. Die Oberflüche ist mit feinen, regelmässi-
gen Anwachsstreifen bedeckt, welche mit haarfórmi-
gen Röhren besetzt sind; diese Röhren sind am deut-
lichsten bei dem Stirnrande und. den Seitenründern
zu sehen. Die Spiral-Kegel werden durch das Schleifen
sichtbar. !
ge 11, Breite 11, Dicke 7. Mm.
» WO E x. 4
Unsere Art steht der Sp. Royssü des Kohlenkalkes
und der permischen Sp. pectinifera am nächsten: von
der ersten unterscheidet sie sich durch die vollkom-
mene Abwesenheit des Sinus und von beiden zugleich
durch ihren Umriss, indem nämlich die grösste Breite |
der Schale dem fast geradlinigen Schlossrande genä-
hert ist. Mit der Sp. concentrica und Sp. Puschiana ist
unsere Art jedenfalls nicht zu. verwechseln.
Fundorte: Murajewna, Malöwka, Ulabje, Oserky 3
nicht selten.
4, Retzia, King.
Retzia prominula, C. F. Römer. Taf. II, F. 8 a, b, c, d, e.
Terchratula- gramimuda, CF Römer, D: Rhein,
Übergangsgebirge. S. 66, Taf. V, F- 1. Schnur,
Brachiopoden der Eifel, in Meyer und Dunker, Pa-
laeontographica. III, S. 184, Taf. XXV, F. 3. Tere-
bratulina serpentina var. tulensis, (Pander), Roma-
nowsky, Verhandl. der russ. Kais. miner. Gesellsch.
zu St. Petersburg. 1855 — 56. 8.87 u. 88, F „7. Tere-
bratulina tulensis, Auerbach, Bull. de la S0C. Imp.
Bulletin de l'Académie Impériale
des natural. de Moscou. 1862. N° III, S. 234, Taf,
VIII, F. 10.
Die Schale länglich, eifórmig; ihre grósste Breite
ist dem Stirnrande genähert; die beiden Klappen fast
gleich gewölbt. Die Bauchklappe mit einem grossen,
hervorstehenden, mässig gebogenen und seitlich ge-
rundeten Schnabel, dessen Spitze mit einer grossen
runden Öffnung versehen ist; die Öffnung wird von
unten durch ein deutliches Deltidium begrenzt, wel-
ches die Mitte einer kleinen dreieckigen Area ein-
nimmt; am Schlossrande, jederseits der Area, bildet
die Schale kleine, deutliche und etwas zugerundete
Ohren. Der Sinus fehlt ihr gänzlich, oder er ist kaum
angedeutet. Keine Wulst vorhanden. Jede Klappe ist
mit 17— 20 gerundeten und immer einfachen Falten
bedeckt. Im Inneren ist die Schale mit der spiralen
Brachial- Vorrichtung versehen (s. den Querschlif
F. 8 c).
Länge 18, Breite 15, Dicke 10 Mm.
12, 9, »
Unsere Exemplare sind von den rheinischen nicht
zu unterscheiden. Eine sehr verwandte Art ist die
spanische R. Adrieni, Vern., die sich aber von der
CR. prominula durch den kleineren Schnabel und die
mehr rundliche Form unterscheidet. Von der nahe
» » »
weichen unsere Exemplare durch die Ohren am
Schlossrande und durch die einfachen, stärkeren und
vollkommen ab. de "^r
Fundorte: Murajewna, Malówka, Oserki, Ulabje;
nicht sehr häufig. — | | ke
5. Rhynchonella, Fischer.
Rhynchonella Panderi, n. sp. Taf. II, F. 7 a, b, c d
Rhynchonella pleurodon, Auerb., Bulletin des
| tur. de Moscou. 1862. N*III, S. 233. Taf. VIII, ai
Die Schale im Umrisse subpentagonal und zeigt
die grösste Breite in der Mitte. Ihre mittelmässig
gewölbte Rückenklappe hat eine wenig erhabene, doch
deutlich abgesonderte Wulst und erreicht die £97
Hóhe in der Mitte. Die weniger gewülbte Bauch
klappe senkt sich in der Mitte zu einem breiten
gut begrenzten Sinus ein, der von hier aus sich zum
Stirnrande erstreckt und auf demselben eine zungo
fürmige, zuweilen sehr starke Einbiegung TT
stehenden R. serpentina, de Kon. des Kohlenkalkes, —
in geringerer Zahl vorhandenen Falten der Oberfläche
Pa
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
250
bringt: der spitze und vorragende Schnabel mit ei-
nem linglichen Spalt versehen, der bis zum Buckel
der Rückenklappe reicht und mit einem Deltidium be-
grenzt ist. Die Oberfläche ist mit breiten, scharfen
Falten bedeckt, die sich zum Schlosse verflachen und
undeutlich werden; die Anzahl der Falten reicht im
Ganzen von 9— 11— 14 (selten),von denen 2, selten
3 den Sinus und 3, selten 4 die Wulst einnehmen.
Länge 10, Breite 12, Dicke 7 Mm.
pL S, Mos.
Diese Art hat viel Ähnlichkeit mit der Rh. livonica,
Buch und Rh. Huotina, Vern., welche beide unserer
Ansicht nach, vereinigt werden müssen; von diesen
Arten unterscheiden sich unsere Exemplare durch
die geringere Grösse und kleinere Anzahl von Falten,
welche bei Rh. livonica zu 4—6 im Sinus und zu
8—10 jederseits des letzten vorhanden sind.
Fundorte: Malöwka, Murajewna, Oserki, Philimo-
nowa; sehr häufig.
er 6. Orthis, Dalm.
, Orthis striatula, Schloth. Taf. IL, F. 11 a, b, c.
Römer, Lethaea Geognostica, 1851 — 56, S. 359.
Taf. II, F. 10 a, b. |
Unsere Exemplare dieser gut bekannten Art zeigen
eme sehr breite und flache Vertiefung in der Mitte
der Bauchklappe, welche zugleich die minder gewölbte.
st; die Area dieser Klappe ist klein und mittelmässig
hoch; der Schnabel ist kaum eingekrümmt und steht
nur selten weiter hervor als der Buckel der Rücken-
ppe: Die letzte ist regelmässig und ziemlich stark
gewölbt. Die Oberfläche von feinen, erhabenen, ra-
en Linien (bis 7 2) und concentrischen Anwachs-
Streifen bedeckt.
Länge 13, Breite 17, Dicke 8 Mm.
jery IL, H 13, » SEN
ü en wee c. stellt eine junge Orthisschale vor,
i Yd DU Form der Orthis striatula
Mag s der Weise e i
breitere Area e Nklappe, feinere Streifung und
e xu o. unterscheidet; doch scheint sie zu der-
zu gehören, |
rte: Murajewna, Malüwka.
ses Pa “T. Orthisina, d’Orb.
Die gan a Seene dp Taf, IL. F: 9 a, b, c.
sförmig, eben so breit wie
Me
n
Fudo
e
lang; die grösste Breite auf dem geradlinigen Schloss-
rande. Die Bauchklappe ist ein wenig gewölbt; ihre
flache und ziemlich hohe Area nimmt den ganzen
Schlossrand zur Basis ein (Verhältniss der Höhe zur
Breite der Area wie 1. 3); die spitze, dreieckige Öff-
nung ist von einem erhabenen Pseudo-Deltidium ge-
schlossen; der Schnabel gerade, nicht gekrümmt. Die
Rückenklappe ganz flach; ihre Area ist kaum ent-
wickelt. Die Oberfläche ist mit fadenförmigen und
sich durch Einsetzen vermehrenden radialen Linien
und feinen, concentrischen Anwachsstreifen bedeckt;
die Anzahl der Radial-Linien reicht bis 50 auf jeder
Klappe.
Länge 7, Breite 7, Dicke 2 Mm.
Unter den bekannten Orthisinen finden wir keine
der beschriebenen Art identische Form.
Fundort: Murajewna; höchst selten.
8. Chonetes, Fischer.
Chonetes nana, Vern. Taf, III, F. 3 a, b, c.
Verneuil, Geology of Russia. 1845, 11. S. 245,
Taf. XV, F. 12. DeKoninck, Description des animaux
foss. 1847, S. 213, Taf. XX, F. 9. Chonetes sarcinu-
lata, Auerbach, Bullet. des natur. de Moscou. 1862,
N° III, S. 231. |
Die Schale fast halbkreisfórmig, doch breiter als.
lang; die Länge des geraden Schlossrands ist der
grössten Breite der Schale gleich. Die wenig, doch
gleichmässig gewülbte Bauchklappe ist mit einer sehr
niedrigen Area versehen, deren dreieckige Öffnung
durch ein convexes Pseudo-Deltidium geschlossen ist ;
| der obere Rand der Area ist, jederseits des kaum
hervortretenden Schnabels, mit drei bis vier langen,
dünnen Róhrchen besetzt, die in schiefer Richtung
nach aussen ragen. Die Rückenklappe concav und
folgt genau der Biegung der Bauchklappe; ihre Area
ist etwas niedriger als die der letzten und zeigt auch
eine mittlere dreieckige Öffnung, die durch den Schloss-
fortsatz ganz ausgefüllt ist. Die beiden Area liegen
nicht in einer Ebene, sondern stossen unter einem
stumpfen Winkel zusammen. Die Oberfläche ist mit
35—45 feinen, doch ziemlich scharfen, dichotomi-
| renden Streifen bedeckt; die concentrischen Anwachs-
| ringe sind kaum zu erkennen. `
Länge 7, Breite 6, Hohe der Bauchklappe 2 Mm.
Unseré zahlreichen Exemplare stimmen mit der
251
Beschreibung von Verneuil ganz überein. Die Scha-
len, welche wir aus den unteren devonischen Schichten
von Russky-Brod (Prov. Orel, Kreis Liwni) besitzen,
sind von denen der Malöwka- und Murajewna-Schich-
ten nicht zu unterscheiden.
Fundorte: Mälöwka, Tawarkowa, Murajewna, Oser-
ki; sehr häufig.
9. Productus, Sowerby.
Productus Panderi, Auerb. Taf. III, F. 1 a, b, c.
- Auerbach, Bulletin de la soc. des natur. de Mos-
cou. 1862, N° III. S. 232, Taf. VIII, F. 5.
Die Schale verlängert; die Länge ihres geradlinigen
Schlossrands ist der gróssten Breite fast gleich. Die
Bauchklappe in ülteren Exemplaren stark und regel-
mässig gewölbt; ihre Oberfläche ist ausserordentlich
fein und zierlich längsgestreift; die zahlreichen Strei-
fen sind zuweilen undulirt. Ausserdem bemerkt man
auf der Oberfläche der Bauchklappe noch viele kleine, |
unregelmässig zerstreute Röhren, von denen einige
feinere in der Nähe des Schlossrandes stehen. Die
kleinen, deutlichen Ohren sind mit ziemlich starken
Querfalten (wie in Prod. Cora) bedeckt, welche zur
Mitte der Schale verschwinden. Die Rückenklappe
concav, ebenso wie die andere gestreift ‚und quer-
gefaltet; die Querfalten sind am deutlichsten auf den
Ohren entwickelt. Im Inneren der Rückenklappe er-
blickt man einen ziemlich hervorragenden und zwei-
theiligen Schlossfortsatz, von welchem eine niedrige
"Wand nach vorn bis zur Mitte der Klappe verläuft;
jederseits der Wand sind zwei ovale Eindrücke zu
sehen, |
Länge 20, Breite 16, Höhe der Bauchklappe 10 Mm.
Diese Art steht in der nächsten Verwandschaft
mit den längsgestreiften Productus-Arten des Kohlen-
kalkes und namentlich mit Productus Cora, d’Orb.,
von welchem sie sich aber durch die bei weitem ge-
ringere Grösse, feinere Streifung, gleichmässigere
Wölbung und grössere Anzahl von Röhren unterschei-
det. Von dem gestreiften devonischen Productus prae-
longus, M’Coy (Leptaena praelonga, Sow.) ist die rus-
sische Art durch die völlige Abwesenheit der media-
len Längsfalte verschieden. > . ^ o
. Fundorte: Malöwka und Murajewna; häufig. ——
© Productus fallax, Pand. Taf. III, F. 2 a, b, e, d, e.-
^ Helmersen, Noch ein Wort über die Tulaer Stein-
Bulletin de l'Académie Impériale
252
kohle 1861, S. 83. Productus Flemingi, Auerb,
Über die Kohlen von Central-Russland. 1860, 3. t
Productus aculeatus, Auerb., Bulletin des natur. de
Moscou. 1862, N° III, S. 231, Taf. VIII, F. 3.
Umriss der Schale halbkreisförmig. Der gerade
Schlossrand ist der gróssten Breite fast gleich. Die
Bauchklappe an jungen Exemplaren flach, in älteren
dagegen ziemlich stark gewölbt. Ihre Oberflüche ist
glatt und mit sehr feinen, concentrischen Anwachs-
streifen und Querfalten bedeckt, welche letztere aber
nur auf den kleinen Ohren der Schale entwickelt sind.
Die älteren Exemplare zeigen oft und besonders in
der Nähe des Stirnrandes mehr oder minder deutliche
und ziemlich breite Längsfalten. Zahlreiche, feine
und aufrecht gestellte Röhrchen sind auf der ganzen
Oberfläche der Schale zerstreut und zeigen oft eine
Neigung zur regelmässigen, concentrischen Reihen-
folge. Die Rückenklappe ist concav, ausser den klei-
nen Ohren, die ganz flach erscheinen; ihre Oberfläche .
ist mit feinen concentrischen Anwachsstreifen bedeckt;
die Querfalten sind am deutlichsten auf den Ohren
sichtbar. Die Schlossfelder der beiden Klappen sind
ganz verdeckt. | ! Hee `
Länge 17, Breite 17, Höhe der Bauchklappe 9 Mn.
` Diese Art ist mit den Pr. Murchisonianus, Pa `
aculeatus und Pr. membranaceus, hauptsächlich abe —
mit den beiden ersten verwandt. Von dem Pr. Mur
chisonianus unterscheidet sie sich durch die constan
verdeckten Schlossfelder, gróssere Wolbung der Schale,
die aufrecht gestellten und weniger zahlreichen bit —
chen und durch die regelmässigere Vertheilung dé
selben. Von dem Pr. subaculeatus ist die beschriebene
Art durch die geringere Wölbung der Bauchklappe
kleinere Ohren und. durch die in grósserer Zahl vor-
handenen, feineren und regelmässiger gestellten DI —
chen ganz verschieden. Endlich von dem Pr. memor?
naceus unterscheidet sich der Pr. fallas durch ù |
Abwesenheit der charakteristischen winkelig-sinuosel
'concentrisehen Faltung und durch die
| Róhrchen. ell d a. ape m
— Fundorte: Murajewna, Malöwka, PhilimonoW®
sehr häufig. eno dl E
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des Sciences de Saint- Pétersbourg.
254
VII. Klasse, Bryozoa.
Fenestella, Lourd.
Fenestella devonica, n. sp. Taf. III, F. 16, a. b.
Der Stock besteht aus feinen, fast geraden Stäbchen,
die durch kurze und ziemlich dicke Bälkchen verbun-
den werden. Die Maschen lünglich-oval und eng. Die
Stäbehen tragen von einer Seite zwei Zellenreihen,
die dureh eine stumpfe Längsrippe ohne Zellenmün-
dungen getrennt erscheinen. Die alternirenden Zellen-
öffnungen stehen zu 6 — 8 in jeder Masche, d. h.
3—4 jederseits der Rippe. Auf 3 Mm. Hóhe 3—4
Bälkchen. Die zellenlose Fläche ist glatt.
Diese Art steht am nächsten der Fenestella prisca,
Goldf. (Petref. Germ. Taf. XXXVI, F. 10.), von der
sie sich aber durch die verhältnissmässig längeren
Maschen, dickeren Stäbchen und weiter von einander
abstehenden Mündungen der Zellen unterscheidet.
Fundort: Murajewna.
Fenestela sp. indeterm., Taf. IIT, F. 17 a, b.
Der Stock netzfórmig, aus dünnen und von einander
ziemlich abstehenden, dichotomirenden Stäbchen zu-
sammengesetzt, die dors feine, runde Bülkchen ver-
bunden werden; dadurch bildet der Stock viereckige,
mehr oder weniger längliche uud breite Maschen, Die
Oberfläche — von Längsstreifen bedeckt. Auf 3 Mm.
Breite kommen 6 Stäbchen, auf dieselbe Höhe 4— 5
Bälkchen.
Wir besitzen nur ein einziges Exemplar dieser Art,
das mit seiner Zellenseite dem Gesteine aufgewachsen
ist und daher der näheren Bestimmung entgeht.
Fundort: Murajewna. |
IX. Klasse, Polypi.
1. Michelinia, Kon.
Dini roei, ^. sp. Taf. TIL, F. 8 a b, c, d, e.
äre rund und regelmässig gewölbt. Die
ët umgekehrte, mit ihren Aussenseiten
Ae sve unregelmässig hexagonale Pyramiden
en * aus einem Mittelpunkte ausgehen und
e Ben von einer gemeinschaftlichen, sehr dicken
qus chfaltigen Epithek ohne wurzelförmige
I" eidet sind. Die Zellen — mit flach ge-
sien Böden erfüllt. Die die Sternleisten
à Lüngsstreifen sind sehr undeutlich ent-
wickelt. Der Endbecher nicht tief; sein Durchmesser
variirt zwischen 8 — 10 Mm.
Taf. III, F. 8 a, b stellt einen dee Corallen-
Stock mit einem jüngeren, daraus sprossenden vor.
Der Durchmesser des ersteren — fast 6,5 Ctm; seine
Hóhe — fast 3 Ctm. Der Durchmesser des zweiten
— 5 und die Hóhe 2 Ctm.
Taf. III. F. 8 c, d stellt einen jugendlichen Stock
vor, dessen Basis von einer ganz feinen Epithek be-
deckt ist.
Diese der Michelinia favosa , Gldf. (Petref. Germ.
Taf. I, F. 11.) nahe stehende Art unterscheidet sich
von derselben durch die bei weitem gróssere Conve-
xität der Oberfläche und durch die fast ebene Basis-
fläche ihres Stockes, so wie auch durch den Mangel
der wurzelfürmigen Anhänge der Epithek und der
Längsstreifen in den Kelchen; ausserdem scheint
unsere Art kleinere Stöcke, als Michelinia favosa
gebildet zu haben.
Fundort: Murajewna.
2. Syringopora, Gldf.
Syringopora caespitosa, Gldf. Taf, II, F, 7 a,b.
Goldfuss, dai Germ. 2te Auflage. T. I. n
76. Taf. XXV, F.
Die 1%, Mm. geet Röhrchen stehen nur auf 1 Mm.
von éivdiides entfernt und werden durch kurze, dünne
und etwas schief nach oben gerichtete Querbälkchen
verbunden. Auf dem Längsschliffe der Röhren (F. 7
b.) sieht man gebogene, nach unten trichterförmig
verlaufende Scheidewände. Die Epithek ist querge-
ringelt.
Unsere Exemplare stimmen mit den von Gold-
fuss beschriebenen Stöcken JUNE Art tolikopimen
überein. l
Fundort: Murajewna.
3. Zaphrentis, Rfg. |
Zaphrentis Noeggerathi, Edw. H. Taf. III, F. Lab o
Milne- Edwards et Haime, Monographie des
polypiers fossiles des terrains palaeozoïques (Archives
du Mus. d'histoire natur. Tome V.) S. iis
Polypenstock einfach, umgekehrt k gelförmi
(12 Mm. lang) und etwas gel Der Endbecher
(12 Mm. im Durchmesser) flach, fast kreisrund. Der
Querschliff (F. 4 b) zeigt von. der Seite der grösseren
UGI ind
255
Bulletin de l'Académie Impériale
Krümmung des Stockes eine zweitheilige Septalgrube
und 26 Sternleisten. Die Epithek—längsstreifig und
geringelt.
Fundort: Murajewna.
4. Cyathophyllum, Edw. H.
Cyathophyllum caespitosum, Gldf. Taf. III. F. 5 a, b.
Milne-Edwards et Haime, British fossil Corals
from the devonian Formation S. 229. Taf. LI, F. 2.
Die oft einzeln vorkommenden cylindrischen Kelche
des zusammengesetzten Stockes dieser Art sind mehr
oder weniger gekrümmt und im Querschnitte kreis-
förmig oder oval. Die schmalen Sternleisten, an Zahl
von 60 — 66, dringen in die Bauchhóhle der Kelche
nicht tiefer als auf zwei Drittheile des halben Durch-
messers ein. Die Bóden sind flach; in der Mitte glatt.
Die Kammern mit Blasen ausgefüllt. Die Epithek ist
geringelt und mit Lüngsstreifen bedeckt. — Der Durch-
messer der Kelche variirt zwischen 14—15 Mm.
Taf. III, F. 5 stellt einen Kelch dieser Coralle
aus dem gelben Kalksteine von Murajewna vor. Zum
Vergleiche geben wir auf derselben Tafel, F. 6. ein
ebensolches Exemplar aus den devonischen Schichten
von Kynowsk an der Tschussowaja, auf dem westli-
chen Abhange des Urals.
Ausser den beschriebenen Arten scheint es uns,
dass auch die von H. Eichwald in der «Lethaea
Rossica» aus dem gelben Thone bei Sloboda, als aus
einem Gliede der Steinkohlenformation, beschriebenen
Petrefacten auch unserer Etage angehóren. Bei Slo-
boda werden die stark aufgerichteten Schichten der
Steinkohlenformation von dem unteren Kohlenkalke
mit den kohlenführenden Schichten und mit den un-
terliegenden Kalksteinen und Thonen der Malówka-
Murajewna- Etage in nicht weiter Entfernung von
einander anstehend angetroffen "), und wir sind voll-
kommen überzeugt, dass die hier angeführten Arten
nicht dem Kohlenkalke angehören, sondern aus unse-
ren die Kohle bei Sloboda unterteufenden Schichten
stammen, indem nämlich alle diese Arten im Kohlen-
10) S. das von H. Jeremejew (Berg-Journal, 1853, N°9) gege-
bene Profil der Schichten bei Sloboda. Die in diesem Profile unter
der Steinkohle angezeigten Thone sind es eben, aus denen die
von H. Eichwald beschriebenen und meistentheils von H. Roma-
nowsky gesammelten Petrefacten stammen.
kalke anderer gründlich erforschten Gegenden bis
jetzt vollständig unbekannt sind, dagegen aber wurden,
wie es aus Obigem zu ersehen ist, viele von den von
Eichwald beschriebenen Petrefacten mit anderen
für das Devonische charakteristischen Versteinerun-
gen in den Malöwka-Murajewna Kalksteinen von uns
schon aufgefunden "). Ausser den oben citirten Ver-
steinerungen gehören hieher:
Nonionina rotula, Lethaea Ross. S. 349, Taf. XXII,
, 18i
Textilaria eximia, ibid. S. 355, Taf. XXII, F. 19.
Vincularia muricata, ibid. S. 399, Taf. XXIV, F. 3.
Vinc. ornata, ibid. S. 400, Taf. XXIV, F. 14.
Vinc. approximata, ibid. S. 400, Taf. XXIV, F. 5.
Vinc. tenella, ibid. S. 401, Taf. XXIV, F. 7.
Vinc. raripora, ibid. S. 401, Taf. XXIV, F. 6.
Stenopora approximata, ibid. S. 415, Taf. XXXIII, F. 5.
Lonsdaleia carbonaria, ibid. S. 567, Taf. XXX, F. 7.
Poteriocrinus impressus, ibid. S. 587. Taf. XXXI, F. 43.
P. tenuissimus, ibid. S. 590. Taf. XXXI, F. 41.
P. varians, ibid. S. 591, Taf. XXXI, F. 30,31, 34,40.
Rhynchonella sphex, ibid. S. 773, Taf. XXXIV, F. 24.
(scheint ein junges Exemplar der Retzia prominula
zu sein). :
Rh. acies, ibid. S. 774, Taf. XXXIV, F. 20. SZ
Orthis avicularis, ibid. 8. 809. Taf. XXXV, F. 28. —
Orthis sthenorhyncha, ibid. S. 810, Taf. XXXV, F- 24.
Orthis tunicata, ibid. S. 812, Taf. XXXIII, F. ET
Chonetes cribrosus, ibid. S. 880, Taf. XXXV, F. %5; `
Taf. XXXVI, F. 1. j
Avicula nana, ibid. S. 954, Taf. XXXVII, F. 23.
Dentalium rugosum, ibid. S. 1063, Taf. XL, F. 8.
11) Was die von H. v. Auerbach im «Bulletin de Ja soc. des
natur. de Moscou.» 1862, N° III abgebildeten und beschriebene?
Versteinerungen anbelangt, so darf nicht ausser Acht eere"
den, dass sie von dem genannten Verfasser selbst an Ort und $i alle
nicht gesammelt waren; folglich ist es unsicher, ob sie auch Vis
unseren Schichten entnommen sind. Viele von diesen Te?
rungen wurden schon oben von uns als wirklich aus den 77
Schichten stammende citirt; was nun die unerwähnt Sc
Petrefacten anbetrifft, so bestehen sie zum Theil aus weer"
plaren; die wegen der mangelhaften Erhaltung nicht genau Mn
werden können (die Orthoceren und Nautilen), zum Theil ELA,
solchen, welche vielleicht aus den so oft in der Malówka- "pie?
vorkommenden Bergkalk-Geschieben gesammelt worden sind. Pi
von uns ausgesprochene Ansicht gründet sich auf eine Sammlung
und während eines langen Zeitraums zusammengebrachte Verstei
der in den Malöwka-Murajewna-Schichten vorkommenden „
nerungen, unter denen Exemplare wie Auerbach's 4 a) wi
moides (Taf. YIII, F. 2), Productus Cora (Taf, VII, F.n
a. 7 e
(Taf. VIII, F. 18) nicht zu finden sind
257 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 258
quur .. "
Bellerophon dorsualis, ibid. S. 1090, Taf. XL, F. 29. | F. 2, 3. Spirifer cristatus, de K on., Description des
(wird auch in den devon. Schichten von Staraja- | anim. foss. S. 240, Taf. XV, F. 5. Spirifer octoplica-
Russa und ein. and. Localit. angez.) tus, de Kon. id. Suppl. 1851. S. 8.
Bell. pusio, ibid. S. 1091 Taf. XL, F. 30 a, b. Wir haben nur einen Abdruck der kleinen, 6 Mm.
Bell. granulum, ibid. S. 1091, Taf. XL. F. 31. langen und 9 Mm. breiten Klappe dieser Art vor uns,
Tornatella nana, ibid. S. 1115, Taf. XLII, F. 12. auf welcher man, jederseits der einfachen, glatten und
Macrochilus laevis, ibid. S. 1118, Taf. XLII, F. 7. |ziemlich engen, doch erhabenen Wulst, 6 Lüngsfalten
Turritella acus, ibid. S. 1121, Taf. XLII, F. 4. zählen kann; die Falten sind in der Nähe der Wulst
Paludina exaltata, ibid. S. 1125, Taf. XLII. F. 11. |hoch und stark; gegen den Cardinalrand aber werden
Pal. basalis, ibid. S. 1125, Taf. XLIV, F. 21. sie allmälich niedriger und undeutlicher.
Turbo ferrugineus (?), ibid. S. 1137, Taf. XLII, F. 18. 3. Orthis resupinata, Mart.
Turbo nanus, ibid. S. 1138, Taf. XLIV, F. 20. d |
Enomphalus manus, ibid. S. 1635, Taf. XL, F. 26. Zu dieser bekannten Art gehören Zwei vor uns lie-
Vies nai: ibid: a 1114, Taf. XLIV, F. 10. gende Orthis-Steinkerne aus dem Schieferthone von
Pleurotomaria microcosmus, ibid. S. 1178, Taf. XLIII, | Malöwka.
F. 4. t 4. Chonetes Laguessiana, de Kon. Taf. IV, F. A.
Pleur. nitida, ibid. S. 1179, Taf. XLIII, F. 8. De Koninck, Descript. des animaux foss. S. 211,
Pirula exilis, ibid. 8. 1186, Taf. XLII, F. 19. Taf. XII, bis F. 4. De Kon., Monographie des Pro-
‚ Bullina carbonaria, ibid. S. 1188, Taf. XLII, F. 18. ductus. S. 198, Taf. XX, F. 6.
Gomphoceras lagena, ibid. S. 1269, Taf. XLIII, F. 11. Das einzig vorhandene Exemplar dieser Art stimmt
Bairdia aequalis, ibid. S. 1340, Taf. LII, F. 6. nicht nur in den äusseren Umrissen der Schale, son-
B. ezcisa; ibid. S. 1342, Taf. LII, F. 8. dern auch in der gleichen Anzahl und im Character
B. laevigata, ibid. S. 1342, Taf. LII, F. 5. der Streifen mit der Beschreibung von de Koninck
"ee Nangis, ibid. S. 1347, Taf. XII, F. 10. vollkommen überein. Unser Exemplar ist 10 Mm.
B ep, e) S PAR Pu 2s F. 14. lang und 16 Mm. breit.
: gibberosa, ibid. S. 1349, Taf. LII, F. 11. :
à b de Kon. Taf. IV, F. B.
» Versteinerungen der Schieferthone von : Sie eg ent : ,
Malöwka d De Koninck, Descript. des animaux foss. S. 181,
1. Pecten Leonis, n sp. Taf. IV. F.C Taf. XII bis F. 1; de Koninck, Monographie des
Di CR Ph eu re Productus. S. 90, Taf. XX, F. 4.
G kan pl fast ebenso lang wie breit und re ae wohlbekann-
durch OH udin R ur feinen, scharfen, Sich | ten Pr. semireticulatus , von dem sie sich aber durch
under Beet eg, und ziemlich weit von | die geringere Grösse, feinere Streifung und Röhren
leckt: die dan haar Cp EE (20 bis 30) be- | und weniger ausgeprägte concentrische Faltung un-
bemerkbar. Die Doe sn sind -— terscheidet. Die Länge unserer Exemplare betrügt
ren hren sind ungleich; : i
kleinere Ohr trägt 3 — 4 e nig ies Bee? 15 Mm., die Breite 18 Millim. :
das hintere, grössere. ung ial-Linien );| Die von uns in den Malöwka-Murajewna-Kalkstei-
dagegen * © und etwas. zugespitzte -Ohr ist nen aufgefundenen Arten vertheilen sich unter den
glatt und nur mit Anwachsstreif Vu 28 | i
- Linge und Breite 12 Mm. Fe) bedeckt. | Klassen des Thierreichs folgendermaassen:
-. Unsere Se BC EE err auis 3 Elatobranchia.... 6
ML hu kónnen mit keiner bekannten Art avt 2.0.2 Brachionacephala .15
. o „enkalkes identificirt werden. Er tg d 1 Crinoidea. . . . -.- wl
Ces 7 Bpirifer octoplicatus, Sow. Cephalopoda...... 1 Bryozoa. ....... 2
= 'erby, Miner. conch. VI, S. 119, Taf. 562,| Gasteropoda...... 6 Polypi.. Ges
u c. s im Gan $14
ien vorderen Que Men ist die Zahl der Radial- Linien auf er E A?
Tone YIT, Aus Versehen vermehrt worden. " 13) Die Überreste dieser Klasse
259 Bulletin de l'Académie Impériale 260
Wenn man diese kleine Fauna vom Standpunkte
ihrer Analogien und Eigenthümlichkeiten betrachtet,
so ergiebt sich Folgendes.
1) Zwei Arten sind von einer Formation zu einer
anderen durchgehende, nämlich vom Devonischen
zum Kohlenkalke und sind folglich für die Bestim-
mung des palaeontologischen Charakters unserer
Schichten von keinem Werthe. Es sind nämlich: Spi-
rifer glaber und Orthis striatula, deren einige Varie-
täten von der Orthis resupinata des Kohlenkalkes
kaum zu unterscheiden sind.
2) Viele Arten (18) können mit keinen bekannten
devonischen und Kohlenkalk-Arten identifieirt werden
und müssen folglich als für unsere Etage bezeichnende
anerkannt werden. Einige von diesen Arten waren
schon früher von verschiedenen Autoren, doch immer
aus unserer Malöwka-Murajewna-Etage, beschrieben;
andere dagegen entweder unbeobachtet geblieben,
oder mit solchen Arten verwechselt, mit denen sie
nicht im Mindesten identificirt werden können. Diese
18 Arten, welche wir als eigenthümliche für die
Malöwka-Murajewna-Etage betrachten, sind folgende:
Orodus, sp. ind. Euomphalus cochleatus,n.sp.
Helodus, sp. ind. = Pecten Helmersenü, n. sp.
Leperd. nigrescens, Eichw. Terebratula bursa, Eichw.
Cythere tulensis, n. sp. Spirig. Puschiana, Vern.
Turritella spiculum, Eichw. Orthisina planiuscula, n.$p.
Spirig. subpyriformis, n. sp. Productus Panderi, Auerb.
Spirigera pectinata, n. sp. Prod. fallaz, n. ip.
RhynchonellaPanderii,n.sp. Fenestella devonica, n. sp.
Chemnitzialaevigata,Eichw. Michelinia rossica, n. sp.
Unter diesen, obgleich eigenthümlichen Petrefacten,
zeigen einige entschiedene Affinität nach unten zu den
devonischen, — andere wiederum nach oben zu den
Kohlenkalk-Arten. Zu den ersteren gehören: 1) Spi-
rigera Puschiana, Vern., welche von einigen Varietü-
ten der Sp. concentrica schwer zu unterscheiden ist
und oft für diese gehalten wurde; 2) Spirigera subpy-
riformis, welche auch der Sp. concentrica nahe steht;
3) Rhynchonella Panderi, n..sp., welche selbständige
Art jedenfalls als Aequivalent der Rh. livonica be-
trachtet werden kann, und mit welcher sie oft. ver-
‚wechselt worden ist; A Productus fallaz, n. Sp, der
Erhaltung von uns läbesthrieben geblieben. Die Üncribiten-Stiele | ist, da
K | wenn devi Tie yere
kommen häufig i in den Malówka-Murajewna-Kalksteinen vor,
"`" IEEE
eine grosse Verwandtschaft mit dem Pr. subaculeatus
zeigt, für welche Form unsere Art recht oft gehalten
wurde; 5) Fenestella devonica, n. sp. ist auch mit den
bekannten devonischen Fenestella- Arten sehr verwandt
Zu den Petrefacten, die dagegen grosse Analogien mit
den Kohlenkalk-Arten zeigen, gehören: 1) die Fisch-
zühne, welche, wenn auch von den bekannten Arten
der Steinkohlenformation specifisch verschieden zu
sein scheinen, doch, ausser der beschriebenen Clade-
dus-Form, solchen Sippen angehören, deren Stell-
vertreter bis jetzt nur im Kohlenkalke beobachtet
worden sind; 2) die Spirigera pectinata, n. sp., welche
der Sp. Hoyssii nahe steht, und endlich 3) der hübsche
Productus Panderi, Auerb., welcher den gestreiften
und für den Kohlenkalk so bezeichnenden Productus:
Arten angehórend entschiedene Analogien mit den
Pr. Cora und Pr. striatus zeigt; doch wurden die ge
streiften Producten schon auch in den devonischen
Schichten Englands und Amerikas, obgleich in ww.
nigen Arten beobachtet.
3) 17 Arten aus den Malöwka- Murajewnekae `
steinen sind mit den devonischen epum ider `
tisch, nämlich folgende: db o
Cladodus simpler, Ag. Sp. aculeatus Schn.
Spirorbis siluricus, Eichw. Sp. inflatus, Schn. 3
Orthoc. Helmersenii, Pacht. Retzia prominula, Sch. ` i
Euomphalus serpens, Phill. Chonetes nana, Vern. -
Bellerophon striatus, Phill. Syringopora Lenin.
Megalod. vabobl ons; Vern. Goldf. ;
Astarte socialis, Eichw. Oyathophyllum caespitosum, `
Arca Oreliana, Vern. M. Edw. H.
Nucula lineata, Phill. Zaphrentis Noel
Spirifer Wlan. Vern. Edw. H.
Es ist bemerkenswerth, dass von den genanntes
Arten nur 7 in den benachbarten devonischen gen
ten zu finden sind, deshalb aber müssen sie als Y
lich durchgehende angesehen werden; es sind ni EI.
|lich: Cladodus simplex, Ag Orthoceras Helmerstmh `
Pacht, Megalodus suboblongus, V ern., Arca Orem ud
Vern., Astarte praes Eichw."), spirifer T
14) Die Art war von dem General v. Helmersen in aen dar E
schen Schichten der Umgegend von Sadonsk, Jeletz, VT BK
Jefremow nee Doch sind wir im Zweifel, ob ge n | w E
si. . "
ke = AS
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
262
Vern., Chonetes nana, Vern. Die übrigen sind mit
den devonischen Arten aus verschiedenen und mitun-
ter weit entfernten Localitäten Deutschlands und
Englands identisch und folglich hier, in Central-
Russland, für unsere Malówka-Murajewna-Kalksteine
sehr bezeichnend.
Was die Identification unserer Arten mit den devo-
nischen der Eifel und Devonshire's anbetrifft, so scheint
uns dieselbe vollständig durch unsere Beschreibungen
und Abbildungen bewiesen und und um so sicherer
festgestellt, als einige von diesen Arten, wie z. B.
Spirifer inflatus, Schn., Sp. aculeatus, Schn. und Retzia
prominula, Römer, solche charakteristische Merk-
male darbieten, dass sie kaum mit irgend anderen
Arten zu verwechseln sind.
Was die Häufigkeit der beschriebenen Arten in
der Malöwka-Murajewna-Etage anbetrifft, so kommt
vor Allem die Rhynchonella Panderi am häufigsten
und mitunter in zahllosen Exemplaren vor; ihr folgen:
Chonetes nana, Productus fallax, Productus Panderi,
Arca Oreliana, Astarte socialis, Spirifer inflatus, Spi-
rigera Puschiana, Retzia prominula, Spirigera pecti-
nata, Cyathophyllum caespitosum. Die genannten Arten
müssen somit als Leit-Fossilien unserer Etage betrach-
tet werden; die übrigen gehören zu den Seltenheiten.
Wenn nun alles Gesagte recht ins Auge gefasst
mrd, so kommt man auf ungezwungene Weise zu
folgenden Schlüssen:
1) Die Malöwka-Muraj ewna-Kalksteine, deren obere
Schichten mit Mergeln und bläulichen Thonen alter-
L een einen constanten Schichten-Complex,
Thonen ETE den Sandsteinen und schwarzen
schen Steinkohl a hrenden Etage des central-russi-
Me ki ia assin s liegt und die typischen de-
KEN Kalksteine überlagert,
ds, pra Murajewna- Schichten in ihrer
m. a Verbreitung von dem Quellgebiete der
Ranowa, Chupta und a D :
hen ms nupta und Jagodnaja Rjassa (im
südliche: The e des Rjasan’schen
Gouvernements)
" ` m a E constanten und eigenthümlichen litho-
anus Palaeontologischen Merkmale und bilden
T Charakteristische Etage in der allge-
meinen Reihenfolge der palaeozoischen ` Schichten
Central-Russlands.
3) Diese Etage muss ihrer Fauna nach als eine
der devonischen Formation gehörige und offenbar als
die jüngste dieses Alters in Central-Russland angese-
hen werden.
4) Die kohlenführenden Schichten Mittel-Russlands
bilden auch ein sehr constantes Niveau und sind von
uns nie anders als den Malöwka-Murajewna-Kalk-
steinen aufgelagert und dem Kohlenkalke mit. Pro-
ductus giganteus unterliegend beobachtet worden.
Andere Angaben über die Lagerung der kohlenfüh-
renden Schichten, scheinen uns hóchst zweifelhaft zu
sein und beruhen, unserer Meinung nach, entweder
auf fehlerhaften Beobachtungen über die Lagerungs-
verhältnisse dieser Schichten, oder auf Verwechse-
lung der Leit-Fossilien unserer Etage mit anderen
Petrefacten, welche Verwechselung bei der entschie-
denen Kohlenkalk-Facies einiger von diesen Fossilien
leicht statt finden konnte.
5) Die kohlenführende Etage nach ihren palaeon-
tologischen Merkmalen gehört unzweifelhaft der Stein-
kohlenperiode an und muss jedenfalls als ein ültestes
Glied derselben betrachtet werden.
Ercheinen diese Schlüsse unserer Arbeit als logi-
sche Folgerungen des genauen Studiums eines von
uns mit Sorgfalt gesammelten Materials, so brauchen
wir in keine Polemik über die verschiedenartige Deu-
tung der bis jetzt sehr unvollstindig bekannten Ver-
steinerungen unserer Malöwka-Murajewna-Etage ein-
zugehen. Die Richtigkeit unserer Bestimmungen und
Vergleichungen zu bestátigen, bleibt einem jeden Beo-
bachter móglich, da wir unsere Versteinerungen in
zahlreichen Exemplaren gesammelt und eine vollstün-
dige Suite derselben im Museum des Berg-Instituts
zu St. Petersburg deponirt haben.
Erklürung der Tafeln.
Tafel I.
1. Orodus-Zahn, von Murajewna.
2—5. Helodus-Zähne, von Murajewna. .
6. Helodus-Zahn, von Malówka. poo
7— 11. Helodus Zähne, von Murajewna. `
12. Bruchstück eines Cladodus-Zahnes. ( C]. simplez
Agass), von Murajewna. `
T
Bulletin de l'Académie Imperiale
13. Orthoceras Helmersenii, Pacht, von Murajewna.
14. Terebratula bursa, Eichw., von Murajewna.
15. Spirifer Anossoffi, Vern., von Murajewna.
Tafel Il.
1. Spirigera pectinata, n. sp., von Murajewna.
2. Spirifer inflatus, Schn., von Murajewna.
3. Spirigera Puschiana, Vern., von Murajewna.
4. Spirigera subpyriformis, n. sp., von Tawarkowa.
5 Spirifer glaber, Mart., von Tawarkowa.
6. Spirifer aculeatus, Schn., von Murajewna.
7. Rhynchonella Panderi, n. sp., von Murajewna.
8. Retzia prominula, Röm. (8e ein Querschliff) von
` Muwrajewna.
9. Orthisina planiuscula, n. sp., von Murajewna.
10. Eine Varietät der Orthis striatula (?), von Mura-
jewna.
11. Orthis striatula, Schloth. (11a stellt einen Stein-
kern mit den Muskeleindrücken (occlusores,
Hanck, der Bauchklappe dar), von Murajewna.
Tafel II.
1. Productus Panderi, Auerb., von Murajewna.
2. Productus fallar, Pand., von Murajewna.
3. Chonetes nana, V ern., von Murajewna.
4. Zaphrentis Noeggerathi, M. E. H., von Murajewna.
5. Einzelner Kelch des Cyathophyllum caespitosum,
Goldf., von Murajewna.
6. Cyathophyllum caespitosum, Goldf., von Kinowsk
an der Tschussowaja. i
7. Syringopora caespitosa, Goldf. (F. 7 b, Längs-
schliff eines Röhrchens), von Murajewna.
8. Michelinia rossica, n. sp. (8e, d, ein junges Exem-
plar), von Murajewna.
Tafel IV.
1. Orodus-Zahn (s. T. I, F. 1), von oben gesehen
und vergrössert, von Murajewna.
2. Bellerophon striatus, de Ferr. (junges Exemplar),
von Murajewna.
3. Steinkern einer breiteren Varietät des Bell. stria-
tus, von Murajewna.
4. Bruchstück des Euomphalus serpens, Phill., von
Murajewna. |
5. Euomphalus cochleatus, n. sp., von Murajewna.
6. Natica indeterminata, von Murajewna.
7. Astarte (?) socialis, Eichw., (7 b. ein Steinkern),
von Murajewna. | |
nn...
8. Euomphalus cochleatus, n. sp., von Murajewna,
9. Chemnitzia laevigata, Eichw., von Malówka. — .
10. Steinkern der Turritella spiculum, Eichw., von
Malówka.
11. Steinkern der Nucula lineata, Phill., von Mura-
jewna.
12. Nucula indeterminata, von Murajewna.
13. Nucula indeterminata, von Murajewna.
14. Pecten Helmersenüi, n. sp., von Malówka.
15. Megalodus suboblongus, V ern., von Murajewna.
16. Fenestella devonica, n. sp. von Murajewna.
17. Fenestella indeterminata, von Murajewna.
A. Chonetes Laguessiana, de Kon., aus dem kohlen-
führenden Thone von Malówka.
B. Productus carbonarius, de Kon., aus dem kohlen-
führenden Thone von Malówka.
C. Pecten Leonis, n. sp., aus dem kohlenführenden
Thone von Malówka.
BULLETIN DES SÉANCES.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 22 JANVIER (3 FÉVRIER) 1864..
Le Secrétaire perpétuel annonce la perte que l'Acadé
mie vient de faire dans la personne de deux de ses mem
bres correspondants, de M. Heinrich Rose, décédé i
Berlin le 27 janvier, et de M. le baron Plana, mort lè
20 janvier à Turin. RB i:
M. Clausen, membre correspondant, adresse une n
tice intitulée: Auflösung der Aufgabe: ein Quadrat zu be
schreiben, dessen Ecken auf vier gegebenen Graden liegt
L'auteur fait observer que Carnot, dans sa Géometrie de
Position, a donné trois solutions de ce problème, consi- S
déré dans sa plus grande généralité, tandis que Jui, pr
une méthode différente de celle dont s'est servi le 8
mètre français, est arrivé à obtenir six solutions. Sur la 7
proposition de M. Bouniakofski qui a pris conna
de ce travail, la notice de M. Clausen sera. publiée dam `
le Bulletin. Zn.
M. Lenz présente et recommande pour le Bulletin =
note de M. Nöschel sur un cas particulier de grele, We
bee le 12 septembre 1863 près de Tiflis (U men
TER
teressanten Hagelfall im Caucasus)
M. Kupffer, ayant examiné la notice de M. Sie)
sur une méthode de chauffer les vagons des che da : S
fer (v. la séance du 8 janvier), fait un rapport ve
dans lequel il montre que l’auteur ayant négligé TT S
Balletn de Lead Imp da IW Semenow u.Moller über diober devon Schichten d.mittl. Russl TT
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Bulletin del Acad. Jmp.d.se.T VI Semenow u. Meller: über d.oher deeen. Schichten des mitt! Russ! TV
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1
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|
O ptice de M. Wöpcke intitulée: Über ein in der k
E di pa n Bibliothek zu Paris befindliches arabisches Astro-
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
266
poser dans sa note les détails nécessaires, il est impos-
sible de juger, si sa méthode est applicable en Russie.
M. Baer annonce à la Classe que les antiquités, en-
voyées au Musée de l'Académie par M. le général Beck-
mann (v. la séance précédente), offrent un grand intérêt;
il y a dans le nombre des objets, trouvés en Sibérie,
parfaitement semblables à ceux que l'on a trouvés en
Suisse dans les habitations lacustres. Mais plus ces ob-
jets sont intéressants, et plus on doit désirer d'avoir, s'il
se peut, des descriptions exactes des tertres, dont ils ont
été extraits, de leur forme extérieure, de leurs dimen-
sions et de l'arrangement intérieur.
M. leQuartier-maitre de l'Etat Major Impérial transmet,
par ordre de M. le Ministre de la Guerre, un rapport du
Commandant du Corps d'armée d'Orenbourg, sur la dé-
couverte de la houille dans les monts Karataus.
MM. Ruprecht et Schrenck attirent l'attention de la
Classe sur les envois aussi nombreux qu'importants d'ob-
jets d'histoire naturelle, dont M. Albrecht, médecin at-
taché au consulat russe à Hakodade, a enrichi les Musées
de l'Académie. La Classe vote des remerciments à M. Al-
brecht et charge le Secrétaire perpétuel d'en faire l'ob-
jet d'un rapport à M. le Président.
Conformément à une décision du Plenum du 1 novembre,
MM. Brandt et Ruprecht présentent des comptes-ren-
dus sur l'état du Musée zoologique et du Musée botanique
de l'Académie. Le Secrétaire perpétuel est chargé de leur
publication.
M. Struve propose au nom de M. Schiaparelli, di-
recteur de l'observatoire Brera à Milan, de comprendre
cet observatoire sur la liste des institutions auxquelles
l'Académie adresse son Bulletin; et M. Schiaparelli offre
de faire parvenir pour la Bibliothéque de l'Académie, les
Ephémérides publiés par cet observatoire.
M. le D' Julien Edler v. Vest, par une lettre datée
de Graz, le 1 janvier 1864, annonce la fondation dans
tette ville d'une Société des médecins de la Styrie (Ver-
Di eg Ärzte in Steiermark), et adresse les statuts de cette
M. Brandt porte à la connaissance de la conférence,
que M. Göbel, conservateur du Musée minéralogique de
l'Académie, a rapporté de son premier voyage à la mer
Caspienne plusieurs objets intéressants qu'il a offerts au
Musée zoologique. — Le Secrétaire perpétuel est chargé
d'exprimer à M. Göbel les remerciments de l'Académie.
| CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
Séance DU 29 JANVIER (10 FÉVRIER) 1864.
M. Dorn présente et recommande pour le Bulletin
D D ai-
M. Brosset porte à la connaissance de la Classe que
M. Kästner auquel l’Académie a confié la mission de
faire un voyage d’Alexandrapol à Erivan afin d'y copier
la grande inscription cunéiforme d’Armavir, s'est acquitté
de cette tâche, et lui a fait parvenir par l'entremise de
M. Gille, une copie de cette inscription ainsi que plu-
sieurs dessins faits par lui de divers monuments histo-
riques et des copies d'inscriptions arméniennes. En les
plaçant sous les yeux de la Classe, M. Brosset y joint
la remarque qu'il a encore recu de M. Adolph Berger,
de Tiflis, quelques inscriptions arméniennes et quelques
beaux dessins, représentant divers monuments de la ville
d'Ani et de quelques couvents des environs du lac Gok-
tcha. Ces dessins et inscriptions seront placés, sur la pro-
position de M. Brosset, au Musée asiatique; la notice de
M. Brosset sur ces objets sera insérée au Bulletin, et
M. Kästner sera remercié au nom de l'Académie.
M. Schiefner donne communication d'une lettre du
21 novembre 1863, qu'il a recue de M. Jüschke, mis-
sionnaire allemand au Thibet. En témoignant l'espoir de
proeurer pour l'Académie des sciences un exemplaire de
la rédaction tibétaine du récit héroique du Gesser-khan,
M. Jäschke communique en méme temps plusieurs re-
marques intéressantes sur les dialectes de la langue ti-
bétaine et quelques remarques critiques sur l'ouvrage ti-
bétain «Dsangloun», publié par feu l'Académicien Schmidt.
— La lettre de M. Jäschke sera publiée dans le Bulletin.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 5 (17) FÉVRIER 1864.
A l'ouverture de la séance le Secrétaire perpétuel an-
nonce la nouvelle, apportée par les journaux, de la mort
de M. Clapeyron, membre correspondant de l'Académie
depuis 1830.
En rendant compte de l'état où se trouve la publica-
tion des divers recueils de l'Académie, le Secrétaire per-
pétuel informe la Classe que la livr. 4 du tome IV des
Mélanges biologiques a été imprimée et mise en vente et
en distribution.
M. Kupffer annonce que le Département hydrogra-
phique du Ministere de la Marine s'est adressé à lui
pour lui demander le concours de l'Observatoire phy-
sique central dans une entreprise aussi intéressante pour
le développement de la météorologie qu'utile pour la na-
vigation. Depuis longtemps en Angleterre et en France
les télégrammes météorologiques, qui arrivent chaque
jour à Londres au Département du commerce, dirigé par
Lord Fitzroy, et à Paris à l'Observatoire impérial di-
rigé par M. Leverrier, sont utilisés pour la navigation
en tirant de ces données des prévisions sur le temps qu'il
va faire dans les 24 heures qui les suivent, et surtout
sur les tempêtes qui doivent éclater prochainement. Ces
prévisions sont communiquées immédiatement, par les té-
267
Bulletin de l’Académie Impériale
légraphes, à tous les ports, dans lesquels on a soin de les
afficher ou de les faire connaître par des signaux, non
seulement aux capitaines des vaisseaux et aux, maîtres
des embarcations pour la pêche, qui sont en rade, mais
même à ceux (par des sémaphores) qui sont en mer à
une petite distance de la côte. Plusieurs tempêtes ont
déjà été prévues et annoncées à temps, et bien des nau-
frages évités.
Grâce à la sollieitude des Ministères de la Marine et
des Finances, un bureau spécial consacré à l'étude et à la
distribution quotidienne des télégrammes météorologiques
arrivant de Paris, de plusieurs points de l'Europe occi-
dentale et de nos ports de la mer Baltique et de la mer
Noire, sera établi à l'Observatoire physique central, des
cartes, sur lesquelles la marche quotidienne des ondes
athmosphériques sera consignée, paraitront chaque jour
dans un bulletin publié dans les deux langues, en russe
et en frangais, et distribué non seulement à tous nos
ports, mais aussi à toutes les personnes qui s'intéressent
à ce genre d'études.
Le bureau météorologique de l'Observatoire physique
central prendra aussi soin de recueillir tous les renseigne-
ments sur les vents et les courants des mers de Russie,
fournis par les officiers de la marine Impériale dans les
cours des expéditions maritimes ordonnées de temps en |
temps par le gouvernement.
- Le Département des relations intérieures transmet co-
pie d'un office du consul général de Russie à Corfou, en
date du 24 décembre 1863, concernant deux pierres ap-
partenant à un gentilhomne de Corfou, qui ont la pro-
priété d'extraire le venin des plaies provenant de la mor-
sure d'une béte vénimeuse. On fera savoir au Départe-
ment que les données fournies par M. le consul ne sont
pas de nature à engager l'Académie à en faire l'objet
d'une publication.
M, Brandt met sous les yeux de la Classe une collec-
tion offerte au Musée zoologique de l'Académie par M.
Guérin de divers insectes produisant de la soie. La
Classe charge le Secrétaire perpétuel de faire parvenir à
M. Guérin les remerciments de l'Académie.
M. Góppert, membre correspondant, adresse des ex-
traits, tirés de la Gazette de Breslau, de divers articles
qu'il a lus aux séances de la Société savante de Silesie;
ce sont: 1) Skizzen zur paläontologischen Literatur, ins-
besondere der Tertiärflora Italiens; 2) Über die Tertiär-
flora von Java; 3) Über lebende und. fossile Cycadeen;
4) Über das Vorkommen von echten Monokotyledonen in |
der Kohlenperiode; 5) Über die Verbreitung der Conife-
ren in der Schweiz mit ESCH KANAN
unseres Riesengebirges.
ASSEMBLÉE GENERALE DE L'ACADÉMIE,
SÉANCE DU 7 (19) FÉVRIER 1864.
M. le Ministre de l'Instruction publique, par un office
du 31 décembre, fait savoir à M. le Président que Sa
Majesté Impériale a bien voulu ordonner que PAca-
démie fut engagée à préparer un projet de nouveaux rè-
glements, dressés de manière à donner à l’activité scien-
tifique de l’Académie un plus grand développement. M. le
Président a chargé une commission composée de MM.
Bouniakofski, Vice-Président, Lenz, Helmersen, Böht-
lingk, Grot, Vessélofski et Schrenck de dresser un
tel projet.
Le Département des Relations Intérieures informe l'Aca-
démie que M. le ehargé d'affaires de l'Autriche lui a fait
parvenir la prière de M. le baron Schlechta qui ayant
entrepris décrire une histoire de la Perse, a exprimé le
désir de pouvoir consulter à cette effet la Gazette de St.-
Pétersbourg pour les années 1811, 1812, 1813, 1826, 1827
et 1828, qui contiennent des articles sur les opérations
militaires en Perse. — On mettra à la disposition de M. le
baron Schlechta pour le terme d'une année les volumes
demandés.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 26 FÉVRIER (9 MARS) 1864.
M. Struve présente et lit une notice Sur les observa-
tions de Sirius; cette notice paraitra dans le Bulletin.
M. Middendorff dépose sur le bureau la suite du ma-
nuscrit de son Voyage de Sibérie, savoir la fin de la li-
vraison, consacrée aux considérations générales sur la
végétation de cette contrée, et la première partie de la
derniére livraison qui devra terminer tout l'onvrage et à
trait au regne animal de la Sibérie. Le manuscrit sera
mis sous presse.
M. Ruprecht présente et recommande pour le Bulle-
tin une notiee de M. Mercklin, intitulée: Über Periderma
und Kork, insbesondere die Reproduction des Lederkorks
unserer erano Birke.
Le Secrétaire perpétuel porte à la connaissance de là
Classe que depuis la dernière séance les ouvrages Sui-
vants ont été imprimés et mis en vente et en distribution:
1) Dr. W. Gruber, Über den Sinus communis und die
Valvulaé der. Vende cardiacae ete., formant le N° 2 du
tome VII des Mém. de l'Acad.; et 9) H. Onte
Seel xponomempn u a ET s
9 100a.
H
g^ prie fait hommage à l'Académie de l'ouvrage
qu'il a publié sous le titre: Die Zeitbestimmung v
des tragbaren Durchgangsinstruments im Verticale des Po-
larsterns, et qui a été dédié à M. W. Struve à Poccasion
| du cinquantième anniversaire du jour où il a été pon
ie grade de docteur à l'Université de Dorpat.
|
269
des Sciences de Saint- Petersbourg.
270
OÁA,S—
M. Brandt présente au nom de M. Brosset: 1° des
photographies d'ossements de mamouth, trouvés prés du
Puy-en-Vélay (Haute-Loire); 2° des fragments de roche
voleanique, provenant de la méme localité; et 3? une pe-
tite collection de pierres fines, trouvées dans le lit de la
Borne, petite rivière qui coule prés de ladite ville. Les
objets seront placés au Musée minéralogique, et M. Bros-
get sera remercié.
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
——
L'Académie a recu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
DlpawoTHOCTb BB J[epeBHsHX'b TOCy/[ApCTBeHHBIX'b KPecTbAHb
` TlekomBckoit ry6epain B» 1863 roxy. M. Cewesckaro.
CII6. 1864. 8.
JaropoBCkiii MOHACTBIPB, ero OmOxioreka m coxpamimruiiics
Bb gef 3amaAdHO-pycckiii, amTepaTypHblii HAMATHUKE
OO XVII-ro crorbria. Crarba AmBpocia /LoópoTBop-
ckaro. Hat, Bere. IOro-3anagmgoii u S3anax. Pocciä,
3a Im, ABTYCTB m CEHTAOPE 1863 roga. (2 akaewr.)
Osten-Sacken, Baron R. v. Additions and corrections
to the paper entitled: «on the Cynipidae of the North
American oaks and their galls». 8.
— Characters of the larvae of Mycetophilidae. 8.
Horae entomologicae rossicae variis sermonibus in Rossia
. usitatis editae. Fasciculus secundus, effigie Cl. Méné- |
— triés lapidi exarata tabulisque XVII illustratus. Pe-
tropoli 1863. 8.
Ménétriés, E. Descriptions des nouvelles espèces de Lé- |
. Pidoptéres de la collection de l'Académie Impériale
— des sciences. 3° et dernière partie. St.-Pétersbourg
1863. 8.
Haughton, Sam. On the form of the cells made by va-
. Hops wasps, and by the honey bee. Dublin 1863. 8.
Swinhoe, Rob. Catalogue ofthe birds of China with remarks
. principally on their geographical distribution. 8.
Bidder, Ernst. Beitrüge zur Lehre von der Function der
.. Nieren. Dorpat 1862. 8.
Stieda, Ludw. Über das Capillarsystem der Milz. Dor-
.. pat 1862. 8.
Schmid, Alex. Über Ozon im Blute. Dorpat 1862. 8.
agner,
Bu Im menschlichen Gehirn. Dorpat 1862. 4.
TSy, Hugo. Über den Einfluss einiger Salze auf die
. Krystallisation des Blutes. Dorpat 1863. 8.
T Höppener, Joh. Über die Zersetzung einiger Schwefel- |
+ Lane] Chlorverbindungen im Organismus. Dorpat 1863.8.
E V &loïs, Victor. Lettre sur des médailles inédites ou peu |
Ee: on des dynastes de la Mésène. Bruxelles 1862. 8.
Re: 9lomaei, Général J. de. Troisième lettre à M. F.
Joh. Über den Ursprung der Sehnervenfasern |
Soret sur des monnaies Koufiques inédites, trouvées
en Géorgie. Bruxelles 1862. 8.
Bulletin de la Société de Géographie, rédigé sous la di-
rection de la section de publication par M. V. A.
Malte-Brun et M. V. A. Barbié du Bocage V° série.
Tome V. Paris 1863. 8.
Compte-rendu de la Société Impériale géographique de
Russie, pour l'année 1862. Rédigé par M. V. Béso-
brasoff, (Trad. du russe.) St.-Pétersbourg 1863. 8.
Ullrich. Der Kampf um Amphilochien. Hamburg 1863. 4.
Graff, Herm. De Romanorum laudationibus commentatio.
Dorpati 1862. 8.
Bulletin de la Société des antiquaires de Picardie. T. VII.
VIII. 1859 — 61. Paris 1861. 8.
Langlois, Victor. Mémoire sur les relations de la répu-
blique de Génes avec le royaume chrétien de la Pe-
tite-Arménie pendant les XIII et XIV siècles. Turin
1861. 4.
Neues Lausitzisches Magazin. Im Auftrage der Oberlau-
sitzischen Gesellschaft der Wissenschaften herausg.
von Gottl. Traug. Leber. Hirche. 40ster Band. 2te
Hälfte. Görlitz 1863. 8.
Judeich, Alb. Die Grundentlastung in Deutschland. Leip-
zig 1863. 8.
Cornelius. Über die deutschen Einheitsbestrebungen im
16ten Jahrh. Rede. München 1862. 4.
Verhandlungen zwischen Senat und Bürgerschaft im Jahre
1862. Hamburg 1863. 4.
Statistische Mittheilungen über den Civilstand der freien
Stadt Frankfurt und ihrer Landgemeinden im Jahre
1861. 4.
Mittheilungen aus dem Gebiete der Geschichte Liv- Ehst-
und Kurlands herausgegeben von der Gesellschaft für
Geschichte und Alterthumskunde der Ostsee-Provin-
zen Russlands. 10ten Bandes 2tes Heft. Riga 1863. 8.
Reinaud, M. Mémoire sur le commencement et la fin du
royaume de la Mésène et de la Kharacene. Paris 1861.
Preliminary report on the eighth census. 1860. By Jos.
C. G. Kennedy. Washington 1862. 8.
Report of the commissioner of patents for the year 1860.
Arts and manufactures. Vol. I. II. j
— for the year 1861. Agriculture. Washington 1861 —
1862: 8 à: | dé.
Report of the Superintendent of the coast survey showing
the progress of the survey during the years 1859 and
1860. Washington 1860 — 61. 2 vol. 4. |.
Address of His Excellency John A. Andrew, to the two bran-
ches of the legislature of Massachusetts, January
1863. Boston 1863. 8. brun CES
Messages from the governors of Maryland and Pennsylva-
nia transmitting the reports of the joint commissioners
and of Lieut. Col. Graham in relating to the inter-
section of the boundary lines of the states of Mary-
Bulletin de l'Académie Impériale
272
land, — and Delaware. With a map. Chi-
cago 1862.
Libri V. et VI. della Politica del Dottor Cavaliere e Com-
mendatore Fenicia. Napoli 1863. 8.
Béshncinter Jahresbericht der Ohio-Staats-Ackerbau-Be-
hórde. Für das Jahr 1861. Columbus, Ohio 1862. 8
Novum testamentum Sinaiticum sive Novum testamentum
cum epistola Barnabae et fragmentis Pastoris. Ex cod.
Sinaitico auspiciis Alexandri II omnium Russiarum
Imperatoris ex tenebris protracto orbique litterarum
tradito accurate descripsit Ainotheus Fridericus Con-
stantinus Tischendorf. Lipsiae 1863. 4.
Attelmayer, Alphons. Ein Beitrag zur Kenntniss der
Geschwülste des Rückenmarks und seiner Hüllen.
Dorpat 1863. 8.
Haughton, Sam. On the phenomena of Diabetes mellitus.
Dublin 1863. 8.
Bergmann, Ernst Benj. Zur Lehre von der Fettembolie.
Dorpat 1863. 8.
Holst, Val v. Zur Lehre von den Selbstamputationen.
Dorpat 1863. 8.
Wulff, Heinr. Über Tracheotomie bei Croup. Dorpat
1862. 8.
Boletin bibliográfico Espanol. Ano V. N^ 1 — 8. 8.
Fórteckning ófver Finska Vetenskaps-Societetens Boksam-
ling. D 1862. Helsingfors 1862. 8.
30 dissertations de l'université de Marbourg pour 1862
et 1863.
Wegele, Dr. Frz. X. Die Reformation der Universitàt |
Würzburg. Würzburg 1863. 4
33 dissertations de l'université de Würzbourg pour 1862
et 1863.
13 dissertations de l'université de Freibourg pour 1861
— 1863.
Upsala Universitets Ársskrift. 1862. Upsala 1862. 8.
42 dissertations de l'université d'Upsala pour 1862 et 1863.
7 dissertations de l'université de Helsingfors pour 1863.
Hergenrótter, J. Trauerrede auf we Anselm Georg
Joseph Debes. Würzburg 1863.
Weitenweber. Zum Andenken an aan Hanka in
Prag., 8.
Morgan, Aug. de. Contents of the correspondence of
scientific men of the 17th century. Oxford 1862. 8.
Memoir of Robert Troup Paine. iiis his parents. New
York 1852. 4.
Mémoires de l'Académie Impériale des sciences, inscriptions
et belles-lettres de Toulouse. 6* série. Tome I. Tou-
louse 1863. 8.
Memorie della reale Accademia delle scienze di Torino.
Serie seconda. Tomo XX. Torino 1863. 4
Atti dell’ Imp. Reg. Istituto Veneto di scienze, lettere ed
arti. Tomo VIII, dispensa 5 — 9. Venezia 1862—63. 8.
Memorie dell' I. R. Istituto Veneto di scienze, lettere ed
arti. Vol. XI p. 1. Venezia 1862, 4.
Abhandlungen der k. Akademie der Wissenschaften zu
Berlin. Aus dem Jahre 1862. Berlin 1863. 4.
— der k. bóhmischen Gesellschaft der Wissenschaften.
5ter Folge 12ter Band. Prag 1863. 4.
Sitzungsberichte der k. bóhmischen Gesellschaft der Wis-
senschaften in Prag. Jahrg.1862. Prag 1862. 2 Hefte. 8.
40ster Jahresbericht der Schlesischen Gesellschaft für va-
terländische Cultur. Breslau 1863. 8.
Abhandlungen der Schlesischen Gesellschaft für vaterlün-
dische Cultur. Abtheilung für Naturwissenschaften und
Medicin. 1862. Heft II. Breslau 1862. 8
Sitzungsberichte der k. bayer. Akademie der Wissenschaf-
ten zu München. Jahrg. 1863. I. Heft IV, II. Heft I.
IL München 1863. 8.
Philosophical transactions of the royal Society of London.
IL III, Vol. 152 p. L IL Vol. 153 p. I.
London 1862—1863. 4.
SS of the royal Society. Vol. J N° 48 — 50,
II N° 56. London 1862 — 63.
Tr denen of the royal Society of Së Vol. XXIII
p. IL. For the session 1862—63. 4.
Proceedings of the royal Society of SENSE Session
1862—63. Vol. V. N° 59—61.
Nova acta regiae Societatis dech Upsaliensis. Se-
riei tertiae vol. IV. fasc. posterior. Upsaliae 1863. 4.
Kongliga Svenska Vetenskaps-Akademiens handlingar. Ny
följd. Fjerde bandet, första häftet. 1861. 4.
Öfversigt af kongl. Vetenskaps-Akademiens förhandlingar.
Nittonde Ärgängen 1862. Stockholm 1863. 8.
Det Kong. Norske Videnskabers - Selskabs Skrifter i det
19de Aarhundrede. 4de Binds 2det Hefte. Trondhjem
1859. 8.
Forhandlinger i Videnskabs - Selskabet i Christiania. Aar
1859. Christiania 1860. 8.
Acta Societatis Scientiarum Fennicae. Tomus VII. Hel-
. Singforsiae 1863. 4.
Öfversigt af Finska Vetenskaps-Societetens Fórhandlingar.
V. 1857—1863. Helsingfors 1863. 8.
Bidrag till kännedom af Finlands natur och folk, utgifna
af Finska Vetenskaps-Societeten. Femte och sjette
häftet. Helsingfors 1863. 8
— till Finlands Naturkünnedom , Etnografi och Statistik,
utgifna af Finska Vetenskape Socieeten Ättonde och
nionde háftet. Helsingfors 1863.
Revue africaine. VII* année N° 41. Se N° 42. No-
vembre 1863. Alger. 8.
Verhandelingen van het Bat tschap van Kun-
sten en Wetenschappen. Deel XXIX. Batavia 1862. À.
Tijdschrift voor indische Taal-, Land- en Volkenkunde. Deel
XI. Aflevering 1—6. XII. Afl. 1—6. Batavia 1861—
1862. 8.
1 CH
Pr mar a ESTEPONA AT E
Paru le 31 mars 1864.
e EEE
T. VIE, N° 4.
| BULLETIN
DE L ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
EL DL DE ie a ei di
TOME VII.
(Feuilles 18 — 26.)
CONTENU:
Page
P. Baron Uslar, Sur „= répartition géographique de la langue aware. Lettre à M. Schiefner.......... 273—275
M. Brosset, Rapport sur wier? inscriptions, recueillies par MM. Jules Kästner et Ad. Berg 04553 275—281
0. Struve, Ote vitione du satellite de Säin Gees EN EEN KEEN EE ENEE EE KEE ER KREE EEN EE E EE ERR 282—988
K. E. v. Baer, Projet ben des expéditions archéologiques et ethnographiques en Russie. ........ 288—295
_ Dr. C. E. v. Mereklin , Sur le periderme et le liège, et particulièrement sur la reproduction de l'écorce
du boulau. (Betula alba.) (Avec une Planche ) bae sva ci EN E LR IA ILE Vi Ves Ep 295—811
K. E. v. Baer, Etudes Caspiennes: Sur une loi générale de la formation du lit des eme a Le 811—320
M. H. Jacobi, "Notice sur quelques expériences faites avec un mesureur de liquides............ u... 920—322
F. Ben Sur les a acquisitions du Musée zoologique et sur les avant “scientifiques ‘exécutés
ade de ce Musbb, is sos EELER EE EEN nn eos EES ET TER EES e . 922—926
A Kokeharof, Manus Pun cristal particuliérement regulier de l’anorthit du Vesuve........ («6e En den 326—333
K. E, v. Baer, Encore un mot sur le soufflement des cétacées..............e.sssses..ssssssesressee 333—341
E. Kunik, M sur un mémoire de M. Zachariae von Tin genthal touchant dne de l'Eglise Le
SEENEN Ee V 5
M. Véliaminof-Ze rnof , "Notice sur un manuscrit persan du Raouset-et-tahirin.......................... 351—352
JF. Brandt, ne de deux mollaires — au gouvernement de Saratof...... Kreis 852—353
; ruve, Observatio s de quéiques nébuleuses .......ss.sessssmsessssereesesseseseneresreesseeee 353—265
* H. Ee, Nouveaux pt de la DRE de Sirius d'après les observations du Cap de Bonne- Espé- Mai d
(o MM. Pritzsche et Jacobi, Note sur e l'application du bronze SE la confection des alcoomètres.. 370—372
= A. Saviteh, Observations des planètes à l'observatoire académique de St.-Pétersbourg en 1863.......... 72—374
|. M cepe cer pm Firkowitch: I. Pierres tumulaires de la Crimée. (Avec 8 Planches.)........... 374—978
3 B. Dorn et Ad, Goebel, Sur neuf pierres tumulaires avec end que — nouvellement placées au
l Ee a ge ido cts 78391
| E. Kunik, Zeg GE de * xia tatare « Tokhtamysch » pouvait-il étre en ‘usage parmis les Hébreux en Cri- EST
bore MEME QUO en EE DE DT PT TT LT a dd GEN —
| Son Altesse Impériale le Due Nicolas de ‘Leuchtenberg, Sur la composition d ‘du | pyrite magnétique de "Bo- an
J Kkcharot, Sur le Löpoliihe... : A cT EE geed
en tin des séan MEERE E PPT TT LIT I LILI LITE .. 407—418
a Bulletin re oer E EE Sat s.. 418—416
be Supplément IL
| Matériaux pour servir à l’histoire des Musée de l'Académie Impériale des sciences: I. Musée botanique, par
p Rup recht, directeur de ce musée. II. Musée de Zoologie et d’Anatomie comparée, par M. B Brandt,
cteur de ce musée. III. Musée minéralogique, par M. Goebel, conservateur de ce musée.
— au a — —
bé ug chez MM. Eggers & Ce, libraires à St.-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Admi
+ l'Académie (Komurers IHpasgzenis Umneparopcroä Arazenin Hayk») et chez M. Léopold Voss,
libraire à Leipzig.
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3 thalers de Prusse pour l'étranger.
inistratif de
BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
—
Über die geographische Verbreitung der awari-
schen Sprache; aus einem Briefe des Baron
Uslar an Akad. Schiefner. (Lu le 4 mars 1864.)
Unter Anderm arbeite ich jetzt an einer linguisti-
schen Karte Daghestan's. Zu diesem Behuf habe ich
durch die einzelnen Bezirksvorstände Verzeichnisse
simmtlicher Dorfschaften Daghestans mit Angabe der
in jeder derselben befindlichen Anzahl von Höfen
sammeln lassen. Über die Sprache jeder Dorfschaft
schaffe ich mir durch Ausfragung von Individuen aus
derselben Nachricht und bezeichne dann die einzel-
nen Dorfschaften mit einer bestimmten Farbe. Obwohl
trotz aller meiner Bemühungen Fehler nicht ganz zu
vermeiden sind, so halte ich diese Arbeit doch für
sehr nützlich. Diese Karte veranschaulicht Vieles, was
man sonst nur umständlich beschreiben könnte. Einst-
weilen will ich Ihnen nur meine Bemerkungen über
die geographische Verbreitung der awarischen Spra-
che (Hunz, Hunderil, Ma’arul) mittheilen.
. Die äusserste Gränze der Verbreitung dieser Spra-
che nach Norden hin bildet die Dorfschaft Tschir-
durt, bei dem gleichnamigen Fort, an der Stelle, wo
der Sulak aus der Gebirgsschlucht in die Kumükische
Ebene tritt. Ziehen wir von Tschir-Jurt eine meri-
dionale Linie 160 Werst südwärts, so stossen wir auf
das Fort Neu-Zakataly. Diese astronomische Linie
i er sprachlicher Hinsicht dadurch merkwürdig, dass
Wir in ihrer ganzen Ausdehnung keine andere Spra-
che als die awarische antreffen. An beiden Endpunk-
ten hört das Awarische da auf, wo die Berge aufhö-
e Diese Linie bildet fast mathematisch eine der
Diagonalen, welche man innerhalb der Gränzen Da-
: see ziehen kann. Hieraus ersieht man, dass das
n sche ganz Daghestan in der Richtung von Nor-
SIE Süden durchschneidet. Die Breite dieses
out ist sehr verschieden: am grössten ist
| E Mitte der Linie, parallel mit Chunzach,
: 0 Werst von W. naeh O. Sowohl lüngs des
— Nestli :
stlichen als auch des östlichen Saumes steht diese
Tome vm.
meridionale Sprachschicht des Awarischen mit ver-
schiedenen Sprachen, welche sich vorzugsweise in
der Richtung der Parallelen d. h. von W. nach O. oder
von O. nach W. erstrecken, in Berührung. Am west-
lichen Saume gränzt die awarische Sprachschicht an
das Tschetschenzische, Andische und Didoische, am
östlichen an das Kumükische, Aquscha, das Kasyku-
mükische, an die Artschi-Sprache und das Tsachur-
sche, das offenbar mit dem Kürenschen nahverwandt
ist. Wie wir schon bemerkten, reicht das Awarische
nicht über Tschir-Jurt nördlich hinaus; am südlichen
Abhange des kaukasischen Gebirgsstocks berührt sich
diese Sprache mit dem Georgischen und Türkisch-
Aderbeidschanischen. In Technutsal und Unkratl fin-
den wir sie als kleine Sprachinseln, welche vom An-
dischen und Didoischen umschlossen werden. Aus dem
Gesagten erhellt, dass das Awarische in ununterbro-
chener Schicht von grösserer oder geringerer Breite
das ganze Daghestan von N. nach 8. durchsetzt, die
Sprachen der östlichen Hälfte von denen der westli-
chen trennt, selbst aber mit denselben in Berührung
steht. So ist es leicht zu begreifen, wie das Awarische
im ganzen Daghestan Hauptsprache bei dem Verkehr
der einzelnen Völkerschaften untereinander geworden
ist. Das Ossetische und Awarische sind die einzigen
Sprachen, welche das Hauptgebirge des Kaukasus in
seiner ganzen Ausdehnung von der nördlichen bis zur
südlichen Ebene durchsetzen. Hier haben wir es nur
mit dem Awarischen zu thun. Hat die ganze Schicht
immer in dieser Ausdehnung bestanden oder ist die
Ausbreitung von einem Endpunkt zum andern hin
vor sich gegangen? Es unterliegt keinem Zweifel,
dass die Sprache von Norden nach Süden vorgedrun-
gen ist: vor nicht gar langer Zeit eroberten die Awa-
ren den Zakatalschen Bezirk. Nach der im Volke er-
haltenen Überlieferung waren vor der Bekehrung zum
Islam die ältesten awarischen Niederlassungen: Gel-
bax (Tschir-Jurt), Rihuni (Irganai) und Tanus (Ta-
nus). In jeder derselben war ein besonderer Fürst
(nuc'al). Alle diese Punkte liegen am N pT des
mo S
CO
D
Se
275
Bulletin de l’Académie Impériale
276
Kaukasus. Über jene Epoche reichen die Erinnerun-
gen des Volks nicht hinaus, wir dürfen aber auneh-
men, dass die Awaren vormals noch nördlicher: als
Tschir-Jurt wohnten d.h. auf der Kumükischen Ebene
ein Nomadenleben führten. Über letzteres haben sich
keine Traditionen erhalten, mir scheint jedoch die
Sprache selbst einige Hinweisungen auf dasselbe zu
enthalten. Das Wort ruq, Haus, leite ich von ru-
qize, nähen, ab, so dass es ursprünglich etwas Ge-
nähtes, Zusammengenähtes bedeutete; wird es
mit baze, streuen, hängen, verbunden, so bedeutet
es «ein Haus bauen», buchstäblich aber «Genähtes
aufhängen», was uns augenscheinlich ein Bild des
Nomadenlebens, das Aufschlagen der Zelte, die An-
fertigung der Kibitken darbietet. So scheint mir auch
roso, das Dorf, mit rosize «übersiedeln, fortziehen»
zusammenzuhängen. Mir fällt der griechische Name
der Wolga oder des Ural "Oagog (Herodot IV, 123)
ein, da er an das awarische’or, Fluss, erinnert. Noch
jetzt werden an der untern Wolga und am Nordwest-
ufer des Kaspischen Meeres kleine Flussarme epuks
d. h. Jerik genannt. Dies will freilich noch nichts
beweisen, allein sicher werden die Ortsnamen des süd-
lichen Russlands vermittelst der kaukasischen Spra-
chen unerwartete Aufschlüsse erhalten.
Rapport sur diversesi ipti illi
MM. Jules Kästner et Ad. Berger, par vi
Brosset. (Lu le 29 janvier 1864.)
J'ai recu de S. E. M. Gille un envoi de dessins et
d'inscriptions arméniennes, le tout recueilli par M.
Kästner, durant le voyage qu'il a exécuté d’après Pin-
vitation ét aux frais de l'Académie, pour se procurer
la copie de l'inscription cunéiforme dite d’ ee
Cet envoi se compose des pièces suivantes:
1) Vue de la façade orientale de l'église arménienne
de Mastara, localité située environ à mi-chemin d’A-
lexandrapol à Erivan. Cette église, qui n'est pas
postérieure à la seconde moitié du VII? s., renferme
plusieurs inscriptions, dont une grecque, très fruste,
en partie publiées par le P. Jean Chahkhathounof,
Descr. d’Edchmiadzin . ., t. IT, p. 46.
2) Façade septentrionale de la magnifique ruine
de l'église de l'Ancien-Thalin, à une heure au S. de
Mastara. Trois inscriptions, des VIP, VIII et XI:
s.: la première au nom de Nerseh apohypate (ex-
consul) patrice, prince d'Archarounik; la dernière de
l'an 1040 «sous le patriarcat du cathalicos (sic) Déos-
coros.» La seconde, de l'an 783, remarquable pour
la forme carrée des lettres; Chahkhathounof, ibid. p.
50, 51.
3) Vue du fort dit le Nouveau-Thalin. Inscription
arménienne du VIII’ s., 716 — 1267? au nom d’Agh-
bougha Mkhargrdzel, fils d'Ivané II; inscription arabe
de l'année de l'Hégyre 507 — 1113 ou 509 — 1115?
Chahkhathounof, ibid. p. 53. M. Khanykof, qui en a
tiré copie, en 1848, a eu l'obligeance de me commu-
niquer la traduction suivante du peu qu'il est possible
de déchiffrer sürement.
«Que Dieu le glorifie! Au commencement du mois
de Safar le béni, de l'an 507 — 1113 ou 509 — 1115,
le maitre de cet édifice *) .... l'émir, le grand spasalar
Izz-ed-Din.....,»personnage inconnu pour le moment,
probablement un Seldjoukide.
4) Facades méridionale et orientale de l'église de
Khizil- Kilisa, située sur la gauche de l'Arpa-Tchai,
un peu au N. d'Àui. Magnifique inscription arménienne,
mentionnant la construction de l'église, au temps du
roi Sembat-Tézéracal, à une époque caractérisée par
les trois dates 6286 du monde, 684 de J.-C., 434 —
985 (?) de la conversion des Arméniens. Cette in-
scription, tracée sous la figure d'un lion allant à
gauche et fortement endommagée par le temps, don-
nera lieu à de nouvelles recherches sur les systémes
chronologiques des Arméniens: le P. Chahkhathounof
ne la rapporte pas, mais il en existe un essai très
imparfait de restitution et de déchiffrement, que M.
Kästner a trouvé dans un Evangile imprimé, conservé
dans la localité, et dont on lui a donné copie. Le E
Sargis Bclialalianés,; qui mentionne cette localité dans
son Voyage, t. I, p. 221, ne donne qu'une partie de
l'inscription et omet prudostinent les deux premières
caractéristiqnes chronologiques.
5) Vue d'une ruine que l'on croit appartenir à
l'ancienne ville d'Erovandachat, datant du 1" siécle
*) Il s’agit d'une tour ronde.
ER LEE TERN ty Te, E? EE See © TI Dre ns ES
des Sciences de Saint- Petersbourg.
27$
de notre ère et située sur l'emplacement de Hadji-
Bairam moderne, sur la gauche de l’Arpa-Tchai, au
S. d'An, Inscription de l'an 1218, en l'honneur de
Chahancha 1”, fils de Zakaré, généralissime de la
reine Thamar; Chahkhathounof, ibid. p. 39, 40. Une
autre inscription est de l'année 1299; d'une troisiéme
on n'a que la date, 659 — 1210, plus un fragment:
— ees dernières sont inédites.
6) Facades méridionale et orientale de la trés belle
église ruinée de Khizil-Khoul, localité que je crois
étre la méme oii la carte place le poste Khizil-Kalski,
à une trés faible distance au S. d'Ani, sur la gauche
de l'Arpa-Tchai. Inscription de l'année 487 — 1038,
au nom d'une certaine Thagoui (peut-étre Thagouhi
«la reine»), fille d'Abas, femme inconnue jusqu'à pré-
sent du roi Jean-Sembat et mère d'un Achot, dont
l'histoire ne dit rien non plus. Les lettres sont de la
méme forme carrée dont il a été parlé au N. 2; Chah-
khatounof, ibid. p. 44.
7) Vue de Qara - Qala, que je crois être le lieu
ainsi nommé, au SE. de Thalin, non loin de la route
de poste d’Erivan.
8) Vue de la localité où l'on pense qu'existait
l'ancienne ville d’Armavir, sur la gauche de l’Araxe,
non loin de sa jonction avec la Medzamor, au S.
d’Edchmiadzin; Chahkhatounof, ibid. p. 29.
9) Vue de la pierre sur laquelle sont tracés les
restes de l'inscription cunéiforme, but principal du
Voyage de M. Kästner, située sur la droite de l’A-
Taxe, à l'opposite d'Armavir. Suivant la notice de M.
Kästner, la pierre dont il s’agit, nommée par les mu-
sulmans Iazli-Tach «le rocher écrit,» est auprès du
Sros village de Qaragoin, qui est marqué sur les
Cartes: il sera donc facile de la retrouver.
,,10) Copie de l'inscription eunéiforme dont il s'agit,
qui est du même système de lettres que la précé-
dente, déjà publiée dans le Bulletin de l'Académie,
t. V p. 430, que nous placons ici de nouveau, pour
l'agrément des lecteurs.
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A tous ces dessins et copies sont joints six feuillets
de légendes, contenant des notices sur les localités
explorées: les premiers, remarquablement élégants,
sont signés du nom de Peter Kästner; les secondes,
ainsi que les notices, sont sans doute l’oeuvre de M.
Jules Kästner, son père.
Ainsi notre voyageur a rempli largement ses de-
voirs envers l’Académie: au lieu de la seule inscription
d’Armavir, il a, sur l’invitation du Secrétaire perpé-
tuel, visité les couvents d’Haghbat et de Sanahin, et
ceux des environs, qui lui ont fourni 104 feuilles de
plans, de dessins, d’inscriptions et de légendes, pré-
sentés à la Conférence le 24 avril de l’année 1863,
et cette fois 25 nouvelles feuilles. J’ai déjà parlé des
dessins; les plans ont été reconnus fort exacts, par
une personne qui eonnaît les localités. Quant aux in-
scriptions, les lettres sont copiées correctement, mais
je dois dire qu’elles seraient fort difficiles à déchiffrer,
si la plupart n’étaient déjà publiées, auquel cas elles
fournissent un excellent contrôle et souvent de bonnes
variantes. Celles inédites devront être l’objet d’un
examen approfondi, que je suis obligé de renvoyer à
une autre époque.
J'ai l'honneur de proposer à la Classe d’adresser
ses remerciments à M. Küstner, et de m'autoriser à
faire exécuter une photographie réduite de l'inscription
d'Armavir, comme on l’a déjà fait pour la précédente,
à la faire graver sur bois et, après l'avoir publiée
dans le Bulletin, à en envoyer des exemplaires aux
savants qui s'occupent de ce genre de recherches.
V. la gravure ci-jointe, exécutée par un artiste
habile, M. Hohenfelden.
279 Bulletin de l'Académie Impériale 280
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des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Je crois aussi de mon devoir d'informer la Classe
que j'ai recu, il y a quelques mois, de l'honorable
M. Berger, 11 magnifiques dessins et feuilles d’in-
seriptions, dont voici le détail:
1) Inscription grecque sémicirculaire, gravée sur la
porte occidentale de l'église Grecque d'Ani. Le com-
mencement et la fin en sont restés indéchiffrables
jusquà ce jour: le milieu, qui est un verset d'un
psaume, a été seul publié par moi dans les Ruines
d'Ani, p. 14.
2) Vue de la porte dite Triomphale, à Ani, mais
qui se trouve réellement entre les ruines de cette
ville et le couvent de Gocha- Vank: Ruines d'Ani,
PI. XXIX.
3, 4) Plans et coupes du pont d'Ani, sur l'Arpa-
Tchai; ib. Pl. II. Les différences entre ces Planches
et celle que j'ai publiée, me paraissent de nature à
intéresser les architectes.
5) Plan et inscription trés fruste de l'église armé-
nienne de Solak, village situé sur la gauche de la
haute Zanga, non loin de la route de poste d'Erivan;
y. Chahkhath. t. II, p. 205.
6) Plan et facade de l'église dite Giourdji - Kilisa
«d'église géorgienne,» dans le défilé de Miskhana, à
12 verstes de Randamal; Chahkhath. pag. 201.
7,8) Deux feuilles contenant une inscription géor-
gienne, non encore déchiffrée, de l'église précédente.
Tout ce que jai pu y lire, c’est le mot roi et le nom
de famille Mkhargrdzel: ainsi l'inscription doit être
de l'époque où toute la contrée formait l'apanage du
Sénéralissime Zakaré et de son frère Ivané, dans le
Premier quart du XIII s.
9, 10) Plan et profil des ruines de l'église de Bach-
Abaran, village situé sur la Kassagh, au N. d'Edch-
miadzin; v. Chahkhath. t. IT, p. 166.
. H) Croix monumentale en pierre, élevée par le
Yartabied Vetsic? à Daratchitchag, lieu de plaisance
m mémes contrées. |
| J'ai l'honneur, en offrant ces belles Planches à l’A-
Paie, de proposer qu'elles soient déposées au Mu-
“e asiatique, avec la lettre explicative de M. Berger.
29 janvier 1864.
A
US
Observations du satellite de Sirius, par O.
Struve. (Lu le 26 février 1864.)
Il est connu qu'en printemps 1862 M. Alvan Clark,
de Boston, a découvert une petite étoile dans le voi-
sinage immédiat de Sirius. La direction de cette pe-
tite étoile par rapport à l'étoile principale s'accordait
de trés prés avec celle que, d'aprés les recherches de
M. Peters, devait occuper le corps opaque qui, selon
Bessel, a produit les irrégularités apparentes dans le
mouvement propre de Sirius, et par conséquent il y
avait lieu de supposer que l'astre découvert par M.
Clark était identique avec ce corps obscur. A cóté
de cette supposition on pouvait encore émettre l'hy-
pothése que la petite étoile formait avec l'étoile prin-
cipale un systéme d'étoile double, analogue aux nom-
breux autres que nous connaissons, sans accepter en
méme temps que c'était exactement le corps obscur
de Bessel, doué d'une masse prépondérante. Enfin
une troisiéme hypothése admissible voulait que la pe-
tite étoile qu'on n'avait pas remarquée auparavant,
parce qu'elle avait était cachée dans les rayons de
l'étoile principale, venait de sortir de ces rayons et
formait à l'époque actuelle avec Sirius une étoile
double optique. Il restait à l'observation de décider
entre ces trois hypothéses.
Un astronome américain M. Safford, de l'Obser-
vatoire de Harvard College, Cambridge U. S., a dis-
cuté cette question dans une note présentée à l'Aca-
démie de Boston au mois de mai de l'année passée.
En partant d'un angle de position de 8455, que,
d'aprés ses propres recherches sur le mouvement
propre de Sirius, devait occuper en 1862,2 le corps
troublant, et en adoptant pour la méme époque une
distance de 10719, M. Safford déduit:
pour 1863,0 la direction du corps troublant — 8256
» 1864,0 » » » cul.
en ajoutant, sans indiquer les valeurs numériques; que,
dans le méme intervalle, la distance devait avoir dimi-
nué un peu.
La troisième hypothèse donnerait pour les mêmes
époques:
1863,0 distance — 10/80, position — 7971
1864,0 nr -11,69, » 793
Comparons maintenant avec ces valeurs les données
fournies par l'observation directe. En 1862 la nou-
Bulletin de l'Académie Impériale
284
velle de la découverte faite par M. Clark-nous était
parvenue trop tard pour admettre encore des obser-
vations au printemps de la même année. C’est pour-
quoi pour cette époque nous empruntons les valeurs
suivantes d’une série étendue d’observations faites par
M. G. Bond à l’aide du grand réfracteur de l'Obser-
vatoire de Harvard College, qui, pour ainsi dire, n'est
qu'une autre édition de notre grande lunette:
1862,20 e= 10,07, P= 8476
L'année suivante mes propres observations ont donné:
1863, mars 16 e= 10,30, P= 7978
63, mars 18 9,99, 81,2
Moyenne 1863,21 10,15, 80,5
Enfin une observation obtenue dimanche dernier donne:
1864, mars 6 e= 11,22, P — 7592
Il y a donc en deux ans un accroissement de la dis-
tance de 1715 et une diminution de l'angle de posi-
tion de 994, ce qui, eu égard aux incertitudes des
observations exécutées en petites élévations au-dessus
de l'horizon, s'accorde trés bien avec les changements,
+ 1550 et — 1152, exigés par l’hypothöse III, tan-
dis que l'hypothése I, indique une faible diminution
de la distance et aussi une diminution, mais de 353
seulement, pour l'angle de position. Il parait donc
que l'hypothése I doit être abandonnée, et que fog
pothése III qui veut que la petite étoile ne soit qu'un
satellite optique de Sirius soit la plus probable.
Quant à l'hypothése II, elle ne peut guères, à Pé-
poque actuelle, étre l'objet d'une discussion, car a
priori nous ne pouvons rien avancer de positif sur les
mouvements dans un système d'étoiles doubles, mais
au moins l'analogie avec de nombreux autres systèmes
stellaires et l'accord surprenant des changements ob-
servés avec les changements exigés par l’hypothöse III,
assignent une trés forte probabilité à la supposition
qu'aussi l'hypothése II doit être abandonnée. En effet
il serait une coincidence des plus extraordinaires, si,
dans ce cas, le mouvement dans l'orbite produisait
exactement, en quantité et en direction, des change-
ments de la position respective, comme si l'étoile prin-
cipale seule se mouvait dans l'espace.
Dans notre latitude, Sirius n'atteint au méridien
qu'une élévation de 1374, d’où il résulte que chez
nous son image est toujours trés ondulante et diffuse,
Cette circonstance exerce naturellement une influence
défavorable sur l'exactitude des mesures qui, sans cela,
sont des plus difficiles à cause de l'énorme différence
de l'éclat des deux astres. Mais malgré ces conditions
désavantageuses je ne crois pas que mes mesures
peuvent étre sujettes à des erreurs aussi fortes qu'elles
nous obligeront de revenir sur l'opinion précédem-
ment énoncée. |
L'année passée il m'a paru que la petite étoile soit
d'un éclat variable. Le 12 mars 1863 ce ne fut qu'à
grande peine que je pouvais la reconnaitre, de sorte
que ce jour-là il était impossible de faire des mesures
de quelque exactitude. Le 16 mars elle était déjà
beaucoup mieux visible, et le 18 mars elle se présen-
tait avec tant de facilité que nous devions bien nous
étonner qu'elle n'a jamais été aperçue avant M. Clark.
Ce dernier jour je l'estimais de 8™° grandeur, et M.
Winnecke qui assistait à ces observations jugeait
méme cette estimation trop petite. A Malte au con-
traire, par un temps excellent, la petite étoile parais-
sait si faible au mois d'octobre dans le télescope co-
lossal de M. Lassell, qu'à peine je lui aurais assigné
la dixiéme grandeur et dans notre observation de di-
manche dernier elle ne surpassait non plus cette classe
de grandeur. Il y a donc sans doute des indices de
variabilité dans cette étoile, mais si nous considé-
rons, combien, dans la petite élévation, son appari-
tion peut étre influencée par les conditions atmosphé-
riques, il serait téméraire de regarder la variabilité
comme parfaitement constatée.
Poulkova 7 mars (24 févr.) 1864.
Addition.
(Lue le 1 avril 1864.)
Aprés avoir écrit la note précédente, j'ai tâché à
chaque occasion d'attraper une seconde observation
du satellite de Sirius afin d'obtenir la conviction que
les mesures du 6 mars n "avaient pas été sujettes à
des erreurs accid ment fortes 0U
peut-être même à une illusion optique. Mais quoique
après cette date le ciel eût été plusieurs fois assez
clair, les images étaient toujours tellement ondulantes,
que ce ne fut qu’à peine que par moments je pouvais
reconnaitre la petite étoile, et la sûreté des positions
| mesurées dans ces moments fugitifs laissait toujours
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
o
beaucoup à désirer. Enfin le 28 mars l’état du ciel
était plus promettant, et réellement un quart d’heure
après le coucher du soleil, nous pouvions déjà distinc-
tement reconnaître la petite étoile. Ce soir j'ai ob-
tenu deux séries de mesures, séparées entre elles par
un intervalle d'une vingtaine de minutes. Entre les
deux séries le grossissement de 309 fois, que j'ai em-
ployé ordinairement, fut échangé contre celui de 412
fois et le foyer soumis à une nouvelle rectification.
Je donnerai maintenant la liste compléte des me-
sures obtenues depuis le 6 mars.
Temps sid. e P
1864 mars 19 7* 29” 7656 mes. incerte.
2i 1 o9 Ud re i trés ond.
s f 74,1/ étoile très faib.
29.7.18 74, d obs.assez bonne
nuages.
28 7 11 10/80 75,6 obs. bonne.
7 33 10,73 74,3 obs. très sûre.
— On voit de cette liste que l'accord des mesures,
méme de celles qui ont été obtenues dans des circon-
stances atmosphériques moins favorables, avec les ré-
sultats du 6 mars est trés satisfaisant. Quoique de
cette maniére nous ayons gagné en apparence la con-
firmation la plus complète en faveur des conclusions
énoncées dans la note précédente, je crois néanmoins
devoir élever moi- méme encore quelques objections
contre leur validité.
En premier lieu la considération m'a frappé que la
petite étoile, si elle ne participe pas dans le mouve-
ment propre de Sirius, a dü se trouver, à la fin du
| siècle passé, à une distance d'environ 100" dans la
direction sud-ouest de l'étoile principale. A cette
époque Sirius a été fréquemment regardé par W. Her-
Schel qui, entre autres, se servait de cette étoile bril-
tante pour examiner les qualités de ses miroirs, et il
ki a pas de doute qu’il aurait noté la petite étoile
comme formant avec Sirius une étoile double de VI"*
Casse, si elle avait occupé alors la position indiquée.
Jan examiné sous ce rapport les catalogues de
Herschel et quelques autres de ses écrits où il traite
"" ses observations de Sirius, je n'ai trouvé nulle
= E" trace de l'existence de la petite étoile. Il y
; lin. dans cette circonstance une objection trés
= Contre la justesse du résultat déduit précédem-
ment de la comparaison de mes propres observations
avec cells de M. Bond, objection qui gagne encore
du poids, si nous considérons que l'année passée nous
avons estimé la petite étoile de 8"* grandeur et que
le dernier soir nous l'avons reconnue peu de minutes
aprés le coucher du soleil, ce qui, eu égard à la pe-
tite élévation de l'astre, lui assigne au moins la 9"*
grandeur. Or, pour maintenir encore la troisième hy-
pothése, il faudrait admettre que l'éclat de la petite
étoile soit variable.
Une autre objection pas moins grave résulte des
mesures exécutées sur mon invitation par M. Win-
necke le 28 mars. Aprés avoir arrangé le foyer pour
son oeil, il trouve:
Temps sid. œ É
1864 mars 28 7^28" 10,08 7939
7 45 79,5
Nous voyons ici que les mesures de M. Winnecke,
faites le méme jour, à l'aide du méme instrument et
dans des conditions identiques de l'atmosphére, diffé-
rent des miennes en moyenne de — 0768 en distance
et de + 477 en position, tandis que l'accord des mesures
isolées n’accuse des erreurs probables que de 0716
pour les distances et de 074 pour les angles de posi-
tion, mesurés par chaque observateur. Une partie de
la différence en position s'explique par l'existence,
dans mes mesures micrométriques, des erreurs systé-
matiques, sur lesquelles j'ai eu l'honneur de rappor-
ter à l'Académie en 1857. Aprés avoir appliqué à
mes mesures les corrections exigées par la formule
(Mél. math. et astron. T. II pag. 590), nous avons les
positions corrigées que voici:
1863 mars 16 - P'—8250
» 18 83,0
1864 » 6 76,8
»::19 78,5
» 21 77,2
| ».: 21 76,5
» 22 16,94.5
n 28 77,4.
» 28 75,8
^ La différence en angle de position entre mes me-
sures et celles de M. Winnecke se trouve ainsi ré-
duite de -+ 427 à + 393, mais ce reste est encore
Bulletin de l’Académie Impériale
à des erreurs accidentelles. Il faut donc supposer ou
que les mesures de M. Winnecke soient également,
mais en sens opposé, affectées d'erreurs systématiques
très considérables, ou, ce qui est plus probable et in-
diqué aussi par les distances, que nous avons observé
de différents points comme centre de l'image formée
par la grande étoile. La possibilité d'une pareille dif-
férence de jugement me parait d'autant plus admis-
sible que, dans la petite élévation de Sirius, son image
offre déjà un spectre prismatique assez étendu, pour
lequel le jugement sur le centre dépendrait du degré
de sensibilité des yeux pour les différentes couleurs. Si
cette explication est juste, la différence doit se pro-
noncer, dans notre cas, par préférence dans les angles
de position, et cela s’accorde parfaitement avec l'expé-
rience. Quoiqu'il en soit, il est évident qu'à l'époque
actuelle, oi il ne s'agit que d'un petit nombre de degrés,
nous n'avons pas le droit de fonder des conclusions sur
les différences entre les valeurs obtenues à différentes
époques par différents observateurs. En rejetant donc
aussi les observations de M. Bond, nous n'avons pour
le moment que mes propres observations de 1863,
comparées à celles de l'année courante pour nous
guider dans le jugement entre les trois hypothéses
indiquées.
Scis
^e yt 21°
des observations notées
comme bonnes donnent: :
1863,21 e—1015 P—8055
1864,22 10,92 75,0
ou un changement annuel de + 0,76 pour la distance
et de — 525 pour l'angle de position. La dernière
valeur serait de — 6570, si nous introduisons les an-
gles corrigés P’. Les calculs de M. Safford indiquent
pour le méme intervalle dans l'hypothése I un accrois-
sement de la distance de 0,90 et une diminution de
l'angle de position de 559, tandis que la troisième hy-
pothése demanderait une petite diminution de la di-
stance et un changement de — 154 seulement dans
l'angle de position.
Mes propres observations à elles seules se pronon-
cent donc trés distinctement en faveur du repos de
la petite étoile, mais eu égard aux circonstances in-
diquées et particuliérement à la possibilité de juger
à différentes époques d'une maniére un peu différente
sur le centre de l'image de la grande étoile, il parait
Russischen Reiche unternehmen könnte,
qu'il faut suspendre le jugement définitif encore pour
un an. M. Bond en possédant probablement des me-
sures de trois années consécutives, pourra peut-étre se
prononcer déjà dans ces mois.
Je saisis cette occasion pour diriger l'attention sur
lexistence d'une erreur dans le Bedford Catalogue,
concernant les petites étoiles voisines de Sirius. L’a-
miral Smyth y donne la mesure d'une étoile de 10”
grandeur, qui, selon lui, en 1835 s'est trouvée à une
distance de 150" de Sirius dans la direction 4530.
A l'époque actuelle il n'y a pas d'étoile dans la po-
sition indiquée, et également elle ne parait pas avoir
existé en 1827, lorsque mon pére a comparé Sirius
avec plusieurs petites étoiles environnantes. Aussi la
mesure de l'amiral Smyth ne s’accorde-t-elle pas avec
le texte de son livre oü il dit que la ligne qui joint
cette étoile avec Sirius, passe de trés prés par l'étoile
mentionnée par Piazzi dans une note «alia 8" magn.
praecedit 3" temp., 3' ad Boream». Il est difficile d'in-
diquer la nature de l'erreur commise par M. Smyth
et cette difficulté est augmentée encore par la circon-
stance que la note de Piazzi parait aussi erronée. Elle
se trouve dans l'édition de 1814 de son catalogue, mais
ni l'ancienne édition de 1803, ni les «corsi», publiés
par M. de Littrow ne la contiennent. Aujourd'hui il
n'y a pas d'étoile assez brillante dans la direction indi-
quée, et aucun autre astronome ne mentionne son .
existence. M. Wagner, ayant fait des recherches plus
étendues dans les ouvrages de Piazzi, pense que par
inadvertance bon nombre de notes relatives à diffé-
rentes étoiles ont été transposées dans le catalogue
de 1814.
1864 mars 21.
Vorschlag zur Ausrüstung von archaeologisch-
ethnographischen Expeditionen innerhalb des
. Russischen Reiches, von K. E. von Baer. (Lu
le 18 avril 1862.) er
.Keine wissenschaftliche Expedition, die man im
würde wohl
so allgemeine Anerkennung in Europa finden
hätte zugleich so viel Ansprüche auf die Anerken-
nung im Vaterlande, als ein Unternehmen; die Spu-
ren der früheren Einwanderungen der Vülker
der verschiedenen Culturzustünde, so weit Sie
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
im Boden sich erhalten haben, aufzusuchen und, wo
möglich, geographisch zu verzeichnen. Es handelt
sich nicht darum, die durch geschriebene Urkunden
beglaubigte Geschichte durch Auffindung neuer Ur-
kunden oder erneuerte Vergleichung der bekannten
zu bereichern. Für diesen Zweck ist schon unter der
Regierung des in Gott ruhenden Kaisers Nicolai viel
geschehen und die Arbeiten werden fortgesetzt. Es
handelt sich viel mehr um die vorhistorische Zeit des
Menschen-Geschlechtes, für welche es keine andern
Urkunden giebt als einige im Boden aufbewahrte un-
verweste Reste des Menschen selbst, seine Utensi-
lien, oder sonstigen Cultur-Producte. Man hat für
diese ganz alten Zustände in neuester Zeit sehr be-
lehrende Funde in verschiedenen Ländern West-Eu-
ropas gemacht. Man hat, um für jetzt nur einige der
wichtigsten Ergebnisse zu berühren, in der östlichen
Schweiz, neuerlich auch in andern Ländern, Reste
von menschlichen Wohnungen in dem Schlamme der
Seen gefunden, und mit diesen Reste von drei Korn-
arten, von einigen Hausthieren (von Rindern, Schwei-
nen, Schaafen, Hunden) und von vielen Arten ver-
zehrter Jagdthiere, von Geweben, von Utensilien
m verschiedenen Zwecken, doch nur aus Stein und
Knochen bereitet. In der westlichen Schweiz haben
die Seen auch mancherlei Werkzeuge aus Bronze
aufbewahrt, die in den östlicheren Cantonen fehlen,
und einen spätern Cultur - Zustand andeuten. Man
hat ferner in Dänemark in grossen Haufen von Au-
stern und andern Muscheln, die an den Ufern zer-
Streut liegen, und von denen man längere Zeit hin-
durch annahm, dass sie vom Meere ausgeworfen sein
müssten, Reste von Stein- Werkzeugen, aber gar keine
von Metall, künstlich von Menschenhand aufgespal-
tene Knochen von Jagdthieren gefunden, aber keine
von Hausthieren, den Hund vielleicht ausgenommen.
Man t, mit einem Worte, in diesen zum Theil sehr
ausgedehnten Haufen die weggeworfenen Reste von
oft wiederholten Mahlzeiten gefunden, und sie deshalb
"Ien-Reste genannt. Man kann hierin nur die Spu-
ren eines sehr frühen und uncultivirten Zustandes des
a Chen erkennen, eines Zustandes, in welchem er
* Metalle noch gar nicht zu benutzen verstand,
D ie, den Hund vielleicht ausgenommen,
Lo. nur von der Jagd und dem Fange der See-
lebte. Auch Gewebe und Reste von Wohnun-
Tome vm.
gen haben sieh aus dieser Zeit nicht nachweisen
lassen. Man hat ferner in Frankreich in manchen
Gegenden, neuerlich auch in England in Erdschich-
ten, welche nicht den neuesten Bildungen angehóren,
im Diluvium der Geologen, Feuersteine und Quarze
gefunden, welche durchaus das Ansehen haben, von
Menschenhünden in ganz rohe Formen behauen zu
sein. Es haben sich darunter aber noch gar keine
Reste von Menschenknochen gefunden*), und noch we-
niger etwas vervollkommnete Kunstproducte. Man
ist daher geneigt zu glauben, dass die Feuersteine
zwar von Menschen behauen sind, da durch die Wir-
kungen der Natur solche Formen nicht hervorge-
bracht werden, dass aber ihre Bearbeitung in eine
so ferne Vergangenheit füllt, dass auch die hürtesten
Theile der verschütteten menschlichen Leichen von
der Zeit völlig zerstört sind. Man hat ferner sehr ein-
zeln, aber in verschiedenen Gegenden, in Hóhlen,
welche später durch geologische Vorgünge geschlos-
sen worden waren, so dass der Einfluss der Luft ab-
gesperrt war, Menschenknochen zugleich mit Knochen
vorweltlicher Thiere gefunden, z. B. von Mammuthen
und äbnlichen Riesenthieren, von denen man bisdahin
geglaubt hatte, dass sie von der Erde ganz verschwun-
den waren, bevor Menschen auf derselben erschienen.
So ist, mit einem Worte, die Geschichte des Men-
schengeschlechtes länger geworden. Man hat erkannt,
dass auch in solehen Ländern von Europa, die man
jetzt die cultivirtesten nennen kann, lange Zeit hin-
durch die Menschen auf den tiefsten Stufen der Cul-
tur standen, wie jetzt in Neu-Holland, Neu -Guinea,
im Innern von Nord- und Süd- America zur Zeit der
Entdeckung durch die Europäer. Allein diese ein-
zelnen, dem Raume und der Zeit nach von einander
getrennten Ergebnisse reichen nicht hin, um darnach
eine allgemeine Geschichte der Europäischen Mensch-
heit vor Einführung der Schreibekunst zu entwerfen.
Vor allen Dingen sehnt man sich zu erfahren, welche
Beiträge für das Studium der vorhistorischen Zeit
Russland liefern kann. Der berühmte Alterthumsfor-
scher Worsaae, der an den Untersuchungen über
die Dänische früheste Vorzeit den lebhaftesten An-
theil genommen hat, war vor einigen Jahren schon
entschlossen, für diesen Zweck das Russische Reich
*) Das galt für 1862. Im Jahr 1863 sind einige Zähne und ein
halber Unterkiefer von Menschen in diesen Schichten gefunden.
19
Bulletin de l’Académie Impériale
zu bereisen, als eine im Vaterlande ihm angebotene
ehrenvolle Stellung ihn davon abhielt.
Um näher zu bezeichnen, was man vom Russischen
Reiche erwarten kann und erwartet, sei es erlaubt,
aus der Ankündigung, welche die Akademie der Rus-
sischen Übersetzung von Worsaae’s Werk über die
Nordischen Alterthümer vorgesetzt hat, ein Paar Ab-
schnitte hier aufzunehmen.
«Zufällige Funde hatten nur einzelne, nicht zusam-
menhängende Winke gegeben. Eine mehr zusammen-
hängende Einsicht in die Urzustände der Europäi-
schen Völker hat man erst zu gewinnen angefangen,
als man sehr viele Funde aus den vorhistorischen Zei-
ten an einzelnen Orten vereinigte, und indem man
nicht allein die gefundenen Gegenstände, und selbst
die menschlichen Knochen, aufhob, sondern auch alle
Verhältnisse, unter denen sie gefunden waren, genau
beobachtete und aufzeichnete. Nur dadurch wurde
man in den Stand gesetzt, die einzelnen Arten von
Gräbern zu unterscheiden, und zu erkennen, dass sie
verschiedenen Völker angehört haben, die einander
gefolgt sind, denn die Form der Schädel ist oft sehr
verschieden. Jetzt erst konnte man sich auch die Fra-
gen stellen: Durch welche Mittel haben die Bewoh-
Europas, und namentlich des nördlichen, sich erhal-
ten? In welchen Zuständen hat man sich bloss von
den Producten der Natur genährt und in welchen Vieh-
zucht.und Ackerbau gekannt? Welche Völker brach-
ten die Kunst leicht schmelzbare Metalle, und welche
die Kunst das Eisen zu bearbeiten mit? Man wird
sich leicht denken, dass man in Beantwortung dieser
Fragen nur sehr langsam fortschreiten konnte, da
man nur stumme Zeugen zu vernehmen hatte, und
auch diese nur abgebrochene Aussagen geben konn-
ten, denn alles, was nicht sehr fest war, hat die Zeit
zerstört».
«Am eifrigsten und unter Theilnahme sehr vieler
Gebildeten hat man diese Unternehmung in Däne-
mark und Schweden, nächstdem auch in Mecklen-
burg, betrieben. In Kopenhagen hat man unter der
eifrigen Leitung des Conferenz-Rathes Thomson und
unter Theilnahme fast aller Gebildeten ein grosses
Museum einheimischer Alterthümer gesammelt, wo
man die Geschichte dieser Gegenden gleichsam an sich
vorübergehen lässt, wenn man die zahlreichen Räume
durchwandert, in denen alles aufgehoben ist, was von
tur-Zustände aus Asien einwanderten,
Werkzeugen und Lebensbedürfnissen oder Resten des
Haushaltes von den frühesten Zeiten bis an die Kunst-
werke des Mittelalters sich erhalten hat. In Däne-
mark sowohl, als in Schweden hat man sich überzeugt,
dass die vorhistorische Zeit dieser Länder in drei
Hauptperioden zerfällt, welche man das Stein-Alter,
das Bronze-Alter und das Eisen-Alter genannt hat,
weil man in der ersten nur Werkzeuge von Stein und
Knochen, mit Zuthaten von Holz oder Bast oder Rie-
men anwenden konnte, in der zweiten die leichter zu
bearbeitenden Metalle, namentlich Gold, das aber im-
mer selten und kostbar war, und Kupfer mit einer Zu-
that von andern Metallen, in Dänemark namentlich
von Zinn, was man insbesondere Bronze nennt (in an-
dern Gegenden von Zink), in der dritten Hauptperiode
aber Eisen, das bald seiner Härte wegen in Waffen,
Messern, Beilen und ähnlichen Gegenständendi
verdrängt hat. Diese schon vor mehr als einem Vier-
tel-Jahrhundert aufgestellten Perioden gelten auch
jetzt noch, obgleich man später sich überzeugt hat,
dass sie nicht so scharf von einander getrennt waren,
wie man Anfangs zu glauben geneigt war, da natür-
lich in der ersten Zeit der Metalle diese noch selten
und kostbar waren, und man die Steinwerkzeuge nicht
sogleich bei Seite legte. Von der andern Seite hat
man sich aber auch überzeugt, dass die grössern Pe-
rioden in Unterabtheilungen sich bringen lassen. 80
kamen zugeschliffene Steinwerkzeuge viel später in
Gebrauch als roh behauene, wozu man in den frû-
hesten Zeiten besonders den Feuerstein benutzte». -
«Von wo aber die Künste, die verschiedenen Me-
tlle zu bearbeiten, eingewandert sind, von wo die
verschiedenen Kornarten, die gezähmten Thiere ein-
geführt sind, darüber lässt sich in einzelnen Ländern
nicht viel entscheiden. Die vorsichtigen Dänen und
Schweden sind nicht geneigt, diese Fortschritte den
ersten Bewohnern ihres Landes zuzuschreiben , son-
dern spätern Einwanderungen. Dass die spätern |
| ist auch das
Ergebniss linguistischer und historischer Forschung
und wird von den Gräber-Funden durchaus | d
Von wo aber und wie die Einwanderungnn kamen,
wird sich erst bestimmen lassen, wenn man me
ren Gegenden die Reste der Vergangenheit eben 5
vollständig und sorgfältig untersucht haben wird, als
im Skandivanischen Norden. Man hat daher auch in
miss ae nn jee:
: Et TEN RGCT A TERRI SIRE
e "`" MMMMMnEu—————————
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
294
andern Gegenden dieselben Aufgaben eifrig zu ver-
folgen angefangen, besonders in Grossbritanien, in der
Schweiz, in Frankreich, Italien und Deutschland. Russ-
land, wo man seit Karamsin so eifrig und unter all-
gemeiner Theilnahme mit der documentirten Geschichte
des Vaterlandes sich beschäftigt, stand bisher noch
sehr zurück in Bezug auf das Interesse für die früheste
Zeit, welche von schriftlichen Urkunden nicht erreicht
wird. Obgleich man viele Kurgane im Russischen
Reiche geöffnet und auch vielfache Berichte darüber
publicirt hat, so sind doch diese Berichte noch nicht
unter gemeinschaftliche Gesichtspuncte gebracht, und
es besteht noch kein grösserer allgemeiner Sam-
melpunct für alle Arten der aufgefundenen vorhisto-
rischen Gegenstände. Solche Gegenstände, wenn sie
nicht aus edlen Metallen bestehen, werden auch häu-
fig gar nicht aufgehoben oder wenigstens nicht einer
öffentlichen Sammlung einverleibt. Vor allen Dingen
weiss man aber die einzelnen Gegenstände nicht zu
benennen. Doch sehnen sich die Ausländer, welche
sich ernstlich mit der Aufgabe beschäftigen, die frü-
heste Geschichte des menschlichen Geschlechtes auf-
zuhellen, grade sehr nach recht vollständigen Nach-
richten aus Russland, weil sich hier viele Strassen
der Einwanderung der frühesten Cultur-Zustände fin-
den müssen. Es leuchtet ein, dass alle Einwanderun-
gen aus Asien nach Europa, die nicht über den Griechi-
schen Archipel oder über den Hellespont und die
Dardanellen gingen, was nur auf Böten geschehen
konnte, durch die Ländermasse gehen mussten, wel-
che jetzt zum Russischen Reiche gehört. Auch ist
Man ja bei uns, um nur Eins zu erwähnen, seit lange
darauf aufmerksam, dass in den alten sogenannten
Tschuden -Schürfen und Tschuden-Gräbern Sibiriens
Metall-Arbeiten aus einer frühen Zeit sich erhalten
„Den; aber wie diese mit der Einführung der Me-
Wh in West- Europa zusammenhängen, so wie die
Zeit der Tschuden-Schürfe wird sich erst bestimmen
E "Ny E
"7 Wenn man Reihen von Funden dieser Art zu-
“anmenstellen kann. Wie sehr die Beobachtungen
m weiten Gebiete des Russischen Reiches die West-
Europäischen belehren können, davon nur ein Bei-
> Man hat häufig in keltischen Gräbern ein Werk-
1,5 aus Bronze gefunden, das die Form eines ganz
ET MT hat, und über dessen Gebrauch man
. t Meinungen ausgesprochen hat, ohne sich ei-
nigen zu können. Man hat dieses zweifelhafte Werk-
zeug «Kelt» genannt. Solche Kelte kommen auch in
den Tschuden-Grüberu vor, sind hier aber oft nicht
aus gegossener Bronze, sondern aus Kupfer, Wir erfah-
ren jetzt von unserm eifrigen Reisenden, Herrn Radd e,
dass weit im Osten Sibiriens dasselbe Werkzeug noch
jetzt gebraucht wird, um Lilien-Zwiebeln damit aus-
zugraben ».
«Es ist daher eine Ehrenschuld, welche Russland
abzutragen hat, seit dem es zu den Staaten wissen-
schaftlicher Kultur gehört, dass es seinen ältesten
Alterthümern ein gründliches Studium widmet. Es
wird aber auch das Interesse an seiner ältesten Ver-
gangenheit, obgleich dieses nicht mehr ein nationales
ist, sondern ein allgemein menschliches, sicher ge-
weckt und allgemein werden, wenn nur die Resultate
der Unternehmungen anderer Völker auf demselben
Felde mehr bekannt und die Classificirung und Be-
nennung der Gegenstände, die sich im Lande finden,
erleichtert wird».
Um ein werthvolles Material für die Beurtheilung
der alten Einwanderungen der Völkerstämme und
der Cultur-Zustände zu gewinnen, dürften wohl drei
Jahre hindurch verzweigte Expeditionen erforderlich
sein. |
Zuvörderst müssten die Mitglieder dieser Expedi-
tionen sich vollständig mit den Resultaten der West-
Europäischen Untersuchungen über die vorhistorische
Geschichte der Menschheit bekannt machen, dann die
Berichte über die Öffnung der Kurgane in Russland
studiren, um, so dürftig diese auch sind, zu erkennen,
welche Winke sie für die ferneren Untersuchungen
geben könnten, dann die Kurgane selbst bereisen,
von denen man nur im Allgemeinen weiss, dass sie
verschiedener Art sind und höchst wahrscheinlich aus
sehr verschiedenen Zeiten stammen, vielleicht auch
einige der verschiedensten öffnen. Auf dieser ersten
Reise, die wir uns als vorläufige Inspection denken,
könnten Nachfragen nach kürzlich vorgenommenen
Ausgrabungen, nach bestehenden kleinen Sammlun-
gen und Besichtigungen derselben vorgenommen wer-
den. Zugleich hätte man nachzufragen, wo sich etwa
an den Rändern der Seen Spuren von menschlichen
Ansiedelungen oder andere Reste von der ältesten
Thätigkeit des Menschen finden. dr: re ciel
295
Bulletin de l’Académie Impériale
296
nen müssten bis an die letzte Gränze der sogenann-
ten Tschuden-Gräber geführt werden.
Erst nachdem diese vorläufige Exploration be-
stimmte Richtungen und Gesichtspunkte gegeben ha-
ben wird, dürfte es räthlich sein, speciellere Pläne zu
entwerfen, um z. B. eine Expedition gegen das Flach-
land südlich vom Ural und die andere gegen die Ein-
senkung dieses Gebirges bei Jekatherinenburg, eine
dritte vielleicht über die Krym nach Taman und wei-
ter in die Pontisch-Kaspische Steppe zu richten, denn
diese drei Wege werden sich wohl als die Hauptthore
für die Einwanderungen ergeben. In allen Richtungen
wären dann Kurgane, aber auch flache Gräber, wel-
che das Volk kennt, zu öffnen, das Gefundene aufzu-
heben, die Beschaffenheit der Gräber aber genau zu
beschreiben und zu zeichnen.
Die spätere Vergleichung dieser Funde kann nicht
ohne Resultat bleiben.
Es scheint aber auch dringend nothwendig, dass
diese Untersuchung bald und nach einem zusammen- |
hängenden Plane unternommen werde, denn jührlich
werden in den verschiedensten Gegenden Kurgane
und andere Gräber geöffnet, ohne die gehörige Um-
sicht und ohne die Funde im Detail bekannt zu ma-
chen, was durchaus nothwendig ist, um zu bestimm-
ten Resultaten zu gelangen.
Sehr natürlich liessen sich mit diesen Expeditionen
auch ethnographische Beobachtungen für die Gegen-
wart verbinden, sei es auch nur zur Prüfung und Er-
gänzung der kürzlich erschienenen Werke von Pauly.
Über Periderma und Kork, insbesondere die Re-
produktion des Lederkorks unserer einheimi-
schen Birke (Betula alba), von Dr. C. E. v.
Mercklin. (Lu le 26 février 1864.)
(Hierzu eine lithographische Tafel.)
Die gewissen Parenchym-Zellen und ganzen Lagen
dünnwandigen lebenskräftigen Parenchyms zukom-
mende Eigenschaft, in sich neue Zellen zu erzeugen
und gleichsam eine Reproduktion regelmässig abster-
bender oder zufällig zu Grunde gerichteter Zellen-
schichten zu Stande zu bringen, hat die Aufmerksam-
keit der Botaniker schon wiederholt auf sich gezogen.
Sowohl in Axen- als Blattorganen, und durch fast alle
Abtheilungen des Pflanzenreichs, die niedrigen nicht
ausgenommen, sind bestimmte Parenchymzellen vor-
handen, die eine lange Zeit hindurch das Vermögen
besitzen, sich aus sich selbst wiederzuerzeugen, gleich-
viel, ob sie durch Verwundungen, klimatische Einflüsse
oder andere Eingriffe, der sie schützenden Oberschicht
beraubt wurden. Ich erinnere nur an die verschiede-
nen Arten der Vernarbungen, welche an krautigen
Theilen vorkommen, und wo sich unter der abster-
benden Wundfläche eine Lage eigenthümlichen, meist
korkartigen Gewebes aus dem darunter liegenden Pa-
renchym hervorbildet, das sich zum natürlichen Ver-
bande für die Wunde gestaltet. Hierdurch schon wird
das Parenchym zu einem nicht minder wichtigen Ge-
webe für die Pflanze, als das Cambium, dem eigent-
lich nur ein periodisches Wachsthum in bestimmten
vorgeschriebenen Richtungen zukömmt. Nirgends je-
doch im Pflanzenreiche wird diese reproducirende
Thätigkeit des Parenchyms in so grossem Maassstabe
zur Erscheinung gebracht, als in dem Rindensysteme
unserer dicotylen Holzgewächse.
Ich beabsichtige hier zu den vielen in dieser Be-
ziehung nachgewiesenen Eigenthümlichkeiten noch ei-
nige, unserer einheimischen Birke (Betula alba) zu-
kommende, hervorzuheben, die auch in technischer
Hinsicht der Beachtung nicht unwerth erscheinen
dürften. M
Nach den für alle Zeit musterhaften Untersuchun-
gen Hugo von Mohl’s über die Rinde der baumarti-
gen Dicotylen '), denen die Arbeiten Schacht’s, Han-
stein's u. A. "1. sowie meine eignen *), an Holzgewäch-
sen unserer Flora gefolgt sind, lässt sich im Allgemei-
nen die Rinde derselben im entwickelteren Alter als aus
dreien histiologisch verschiedenen Schichten bestehend
betrachten, wenn wir dem allgemeinen Sprachgebrauch
folgend, zur Rinde alle diejenigen Schichten und Fa-
serbündel rechnen, welche ausserhalb des Gesammt-
Cambiums liegen und sich so leicht vom Holzkörper
abtrennen lassen. Es sind also mit einbegriffen die
Bastbündel mit ihrem Parenchyme und die sie durch-
1) Untersuchungen über die Entwicklung des Korks und der
Borke auf der Rinde der baumartigen Dicotylen. 1836. Vermischte
Schriften. 1845, XIV — XVII.
2) Die Untersuchungen von Sanio über den Bau und die Ent-
wicklung des Korkes (in Pringsheim’s Jahrbücher der wiss. Bo-
tanik) sind mir noch nicht bekannt.
3) Palaeodendrologikon rossicum. St. Petersburg 1855. — Ant:
TOMIA KOPEI H ZpeBecHHHi cTeÓus PASHBIXE JbcHbIXb AepeBb M KJ
CTapHHKOB'T Poccin. C. Ilerep6ypr» 1857.
| az
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
298
setzenden Markstrahlen, wie wohl, ihrer Entstehung
nach, diese Bildungen einen Bestandtheil des Gefäss-
bündels mit ausmachen, und die Rinde in strengerer
Begrenzung, nur Gebilde umfasst, welche aus dem ur-
sprünglichen Rindenparenchyme hervorgegangen sind
und stets parenchymatischer Natur bleiben. Diese drei
Rindenschichten in ihrer Reihenfolge von Aussen nach
` Innen sind: die Rindenhaut (periderma), das daran
grenzende häufig grüne, lebenskräftige Parenchym
(integumentum parenchymatosum, 3a3e1enp der Russen)
und die Bastlagen (strata libri), oder statt ihrer nur
Knorpelzellen, untermischt mit Parenchym- und Git-
terzellen (cellulae clathratae), welche von Markstrahl-
Theilen durchsetzt werden.
—Bei der Birke erhalten sich diese drei Schichten,
wenn auch modificirt und in ihrer regelmässigen Grup-
pirung stellweise gestórt, bis in das hóchste Alter,
welehes dieser Baum erreicht, das jedoch in unseren
Wäldern selten das 150ste Lebensjahr übersteigt.
Ausser jenen drei Schichten finden sich noch zuwei-
len bis in das 6te Lebensjahr hinein auf dem Peri-
derma Spuren der abschülfernden Epidermis, und
nicht selten schon vom 10ten Jahre an beginnt eine
in den untern Parenchy mschichten überhandnehmende
Wacherung, welche Veranlassung zur Borkenbildung
wird, und in Verbindung mit den sich nach Verlauf
der ersten Lebensjahre an Stelle der Bastzellen bil-
denden Knorpelzellen zur Folge hat, dass das Peri-
'erma sich in Lüngsrissen auseinandergiebt, und der
mm seine so weisse, glatte Oberfläche verliert.
Dennoch tritt dieser Zustand, je nach dem Standorte
Verschieden, gewöhnlich nicht vor dem 60sten Le-
sjahre ein, und auch selbst später kömmt es nicht
Zum Abwerfen der sehr festen, durch dünne Periderma-
Schichten isolirten Borkentheile, wie solches andern
"Mimarten eigenthümlich ist. i
` Noch einer Bildung in der Rinde der Birke ist zu
< wannen, die an ihr so sehr in die Augen fällt, schon
Sion, im spätern Alter aber allmälich unter-
ER die Lenticellen. Schon an dem einjäh-
Zweige machen sich hellere Pünktchen, unre-
in 8 und spärlich auf seiner bräunlichen glatten
Oberfläche vertheilt, bemerkbar, welche aus einer
gt kugliger oder stellweise polyedrischer Paren-
x ellen bestehen, welche die Epidermis in Form
s elliptischen Hockers , der mit seinen beiden
E. ech
rigen 1
aL
Wa
spitzen Enden in der Längsrichtung des Zweiges liegt,
durchbrochen haben. Später geht die elliptische Form,
sich vergrössernd, in eine ovale über, und noch spä-
ter wird daraus die für die Birke so charakteristische,
horizontal gestellte, strichförmige braune Lenticelle,
welche das ganze Periderma vom darunterliegenden
Parenchym aus durchwachsen hat. Über die Ursache
der lokalen Entstehung dieser korkartigen Bildungen
habe ich nichts ermitteln können, jedenfalls stehen
sie nicht mit Spaltóffnungen (stomata) der Epidermis
in Beziehung, indem solche dieser Oberhaut der Birke
ganz zu fehlen scheinen, auch lassen sie sich nicht
als Spuren abortirter Blattansätze deuten. Am zahl-
reichsten sah ich die ersten Anfänge der Lenticellen-
bildung in der Nähe der durch Verkümmern der ei-
gentlichen Terminalknospe ihre Stelle einnehmenden
obersten Blattknospe des einjährigen Zweiges auf-
treten. |
Von den genannten drei Rindenschichten ist die
äusserste, die Rindenhaut (periderma), die für die
Birke am meisen bezeichnende und wird selbst vom
Volke mit einem ihr allein zukommenden Namen —
Gepecra — belegt. Abgesehen davon, dass diese Schicht,
gewöhnlich schlechtweg Birkenrinde genannt, in der
Wissenschaft unter dem Namen Lederkork (periderma
coriaceo-suberosum) bekannt, dem Stamme der Birke
und den dickeren Ästen das schneeweisse Aussehen
etwa vom 15ten Lebensjahre an ertheilt, ausschliess-
lich die zur Bereitung des Birkentheers (aérorb) be-
nutzten harzigen Bestandtheile enthält, und vom Volke
zu sehr vielfältigen Zwecken benutzt wird, zeichnet
sich dieses Periderma der Birke durch einen eigen-
thümlichen Bau aus und ist der bisher an der Birken-
rinde genauer untersuchte Theil. Ich habe daher, auf
die Untersuchungen von Mohl’s verweisend, nichts
über dasselbe im Allgemeinen hinzuzufügen.
Im Einzelnen würe zu bemerken, dass dieses Peri-
derma die Bezeichnung Lederkork (periderma coriaceo-
suberosum) nicht von Anfang an, d. h. nicht schon im
ersten Jahre seiner Entstehung verdient, indem es an
2 — 6jührigen Stämmen oder Zweigen ausschliesslich
nur aus dickwandigen, schmalen, mit einem braunen
oder kirschrothen, harzigen Stoffe erfüllten Zellen be-
steht, weshalb auch die junge Rinde der weissen Fär-
bung noch entbehrt, und dass ihre Zusammensetzung
aus zweierlei Zellenschichten, von denen die eine die
Bulletin de l’Académie
Impériale 300
eben beschriebene Beschaffenheit, die andere aber
Zellen besitzt, welche dünnwandig, breiter und oft
ganz frei von harziger Substanz sind, oft erst später
zu Stande kómmt, sich jedoch schwerlich genau für
ein bestimmtes Lebensjahr vorausbestimmen lässt. So
z. B. fand ich an einem Zweige, dass sich das peri-
derma coriaceo-suberosum schon im dritten Lebensjahre
zu bilden bogonnen hatte, während es an anderen,
ülteren, noch nicht vorhanden war. Es kómmt vor,
dass das Periderma der Birke, allerdings einer ande-
ren ausgezeichneten Species, der Betula Ermani, die-
ser dünnwandigen, breiteren, harzarmen Zellen ganz
entbehrt, oder mindestens in vielen auf einander fol-
genden Jahren, dieselben gar nicht zur Bildung kom-
men, und dessen ungeachtet eine weissliche Färbung
besitzt, und, wenn auch nicht so leicht und fein wie
Betula alba, in dünnen Lamellen abblättert. Es ist
daher die weisse Färbung der Birkenrinde und ihre
so grosse und zarte Schichtung nicht allein auf Kosten
der dünnwandigen, echten Periderma-Zellen, welche
mit dickwandigen, harzerfüllten regelmässig Pen
seln, zu setzen, sondern hat auch seinen Grund in ei-
der Shinichi Veränderung der harzigen Substanz
in den der äussern Luft zunächst ausgesetzten Schich-
tungen, sowie in dem periodischen Zuwachs derselben.
Keine Bestätigung boten mir meine Beobachtungen
für die Angabe Hartig’s‘), dass je eine dünnwandige
und eine dickwandige Zellenschicht des Lederkorks
von Betula alba zusammen als eine Jahresproduktion
zu betrachten seien, und somit in dem Periderma die
Zahl der Schichten, eine jede aus zwei Zonen beste-
hend, den Jahresschichten im Holzkórper entsprechen.
Hiermit fällt auch eine andere Angabe Hartig’s bei
Seite (a. a. O. pag. 326), dass sogar eine jede Zone
der als Jahresproduktion von ihm betrachteten Peri-
derma-Schichten analog sei einer jeden Zone (der des |
sogenannten Frühlings- und der des Herbstholzes) in
den Jahresschichten des Holzes, und Hartig wider-
spricht sich selbst, indem er die relative Stellung die-
ser beiden Periderma-Zonen, in ihrer Aufeinanderfol-
ge, in der Richtung vom Centrum des Stammes zur
Peripherie, auf pag. 326 in gerade umgekehrter Ord-
nung angiebt, als wie es auf pag. 306 von ihm be-
schrieben worden ist.
4) Vollständige Naturgeschichte der forstlichen Culturpflanzen
Deutschlands. Berlin 1840
So leicht es auch ist, namentlich an jüngern Stäm-
men der Birke, wo man sicherer sein kann, dass keine
der Periderma - Schichten sich schon abgelóst hat,
nachzuweisen, dass die Schichten des Lederkorks in
keine directe Analogie zu stellen sind mit den Jah-
resschichten im Holze desselben Baumes, indem jene
an Zahl diese meist sehr bedeutend übertreffen, in
welchem Falle sie sich auch nicht als Multiplum die-
ser letzteren herausstellen, und so sehr das ganze
Rindensystem mit seinen heterogenen Schichten man-
nichfaltigeren Variationen unterworfen ist als das
Wachsthum des mehr homogenen Holzkörpers, na-
mentlich in Folge äusserer Einflüsse und allmälicher
Erschöpfung seiner Reproduktionskraft, so lässt sich
doch die Annahme, dass die Schichten des Periderma
überhaupt einem periodischen Wachsthum mit be-
stimmten Rhythmos ihre Entstehung verdanken, noch
nicht von der Hand weisen und muss noch ferneren
Untersuchungen zugewiesen werden. In hóhern Le-
bensjahren erführt die Bildung des Periderma der
Birke manche Unregelmässigkeiten, erstreckt sich
meistens auf gewisse Partieen des Stammes und ge-
räth zuletzt ganz in Stocken, während die Holzbil-
dung ihren normalen Gang bis zum Absterben des
Baumes beibehält.
Einige, wenn zwar auch nur sehr geringe, Andeu-
tungen, welche zu Gunsten obiger Annahme sprechen
und sogar auch auf eine Übereinstimmung in den
Zonen des Periderma mit denen in jeder Jahresschicht
des Holzkörpers vorkommenden hinweisen, scheinen
sich in dem echten Kork-Periderma des Korkbaumes
aus dem Amurlande (Phellodendron amurense Rupr.)
anzutreffen. In dem mir vorliegenden von Herrn R.
Maack gefälligst mitgetheilten Astabschnitte dieser
neuen Baumgattung °) beträgt die Dicke der Kork-
schicht auf einem 17jährigen Holzkörper von 5 Cen-
timétre Durchmesser etwa 4 — 4'/, Millimètre, doch
sah ich unter den von Herrn Maximowicz eingesam-
melten Exemplaren höhern Alters die Korkschicht bis
2 Centimètre Dicke erreichen, und es soll dieselbe
noch um ein Bedeutendes mas können. Von den
Eingebornen wird dieser Kork vorzüglich zu Schwim-
mern für Fischernetze gebraucht. Ein regelrechtes
5) Ruprecht: die ersten botanischen Nachrichten über das
Amurland. Zweite Abtheilung, 16. 2) Januar 1857. — Maximo-
wiez: primitiae florae amurensis, 185
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
EE —
Entrinden dieses Korkbaumes dürfte vielleicht, eben-
so wie bei der Korkeiche, bessere Produkte lie-
fern). Der Kork von Phellodendron amurense hat im
Allgemeinen, nach den jetzt vorliegenden Stücken
zu urtheilen, weniger Risse als der Eichenkork, ein
helleres Aussehen, ist jedoch weniger compakt. Er
besteht aus echten, ein wenig comprimirten, radial
gruppirten, 4 — 6eckigen (auf dem Horizontalschnitt),
buchtigen Korkzellen, die, Schichtungen, parallel der
Peripherie des Holzkórpers, nicht verkennen lassen,
welehe sich durch ihre stellweise dunklere Färbung
schon dem unbewaffnetem Auge sichtbar machen. Die
Anzahl dieser Schichtungen entspricht aber auch bei
diesem Korke nicht der Anzahl der unter ihm befind-
lichen Jahresschichten des Holzkörpers, doch lässt
sich in einigen Schichtungen schärfer, in andern, wie
mir schien, kaum nachweisbar, eine graduelle Abnahme
in der Grüsse der radial auf einander folgenden Zel-
len wahrnehmen, und zwar befinden sich an der zur
Peripherie gekehrten Grenze der Schicht die gróss-
ten Zellen, an der dem Centrum náher liegenden, be-
deutend kleinere und mehr ausgebuchte Zellen, wel-
die einen meist gelblich braun gefürbten Inhalt ha-
` ben während die geräumigern Zellen derselben Schicht
— fast farblos und inhaltsleer erscheinen. Aus dieser
Anordnung der Zellen in radialer Richtung und ihrer
- Grüssenunterschiede in jedweder für sich betrachte-
ten Korkschicht ergiebt sich, dass sich hier wirklich,
wenn auch viel weniger scharf, und zuweilen gar nicht
erkennbar, zwei Zonen gebildet haben, analog denen
in der Jahresschicht des Holzes, nur mit dem Unter-
Schiede, dass sie aufeinander in umgekehrter Rich-
‚fung, in Bezug zu Peripherie und Centrum des Stam-
| mes, folgen, als die des Holzes. Es ist nämlich in die-
sen Korke die breitzellige Zone die ältere, aber mehr
= lach Aussen liegende, die engzellige, zwar auch wie
bein Holze die jüngere, doch die dem Centrum mehr
„segengesetzte Anordnung der Zonen in der Kork-
‚steht jedoch im Einklang mit allen Bildungen,
"e ausserhalb des Gesammt-Cambiums zu Stande
(s M n, indem bei ihnen gewóhnlich die jüngsten Zu-
am weitesten von der Peripherie des Stammes
= aegen, so namentlich die jüngsten Periderma-
D Ruprecht; Bericht über Maximowicz Primit. Fl. Amur. S. 52. | mi
und Bastschichten. Die letzteren sind bei dem Kork-
baume aus dem Amurlande ziemlich regelmässig con-
centrisch gruppirt, bestehen aus vielen einzelnen klei-
nen Dündeln, deren gelbliche, stark verdickte, lang-
gestreckte Zellen mit zugespitzten Enden den Typus
wahrer Bastzellen nicht verkennen lassen. Zunüchst
um diese Bündel findet sich lockeres Parenchym, in
welchem in Längsreihen angeordnete krystallführende
Zellen und die von Mohl in ihrer Structur und Function
so bedeutungsvoll erkannten Gitterzellen vorkommen.
Hin und wieder im Kork zerstreut, namentlich in sei-
nen tiefern Schichten, kommen ähnliche, viel kleinere
Bündel vor, welche seine Güte in technischer Bezie-
hung verringern ’).
In Bezug auf Schichtungen ini Kork und seine Zu-
sammensetzung aus, in irgend welcher Beziehung,
verschiedenartigen Zellen ist nach Vergleichung des
Korks von v j Baumg gen zu bemerken,
dass bei der Korkeiche (Quercus Suber) awar ähnliche
bräunliche Streifungen wie bei Phellodendron vorkom-
men, doch sich eine Abnahme in der Grösse der Zel-
len in derselben Schicht nicht wahrnehmen lässt. Im
Allgemeinen sind die Zellen des Eichenkorks kleiner
und mehr comprimirt, ihre schmalen Seiten mehr
buchtig oder ganz eingeknickt. Bastzellen fehlen ihm
gänzlich; an ihrer Stelle kommen vereinzelte Gruppen
von Knorpelzellen vor. Der an Ulmus suberosa nur
zu geringer Dicke anwachsende Kork besteht aus nicht
regelmässig diametral angeordneten Zellen von un-
gleicher Grösse, nicht sehr gleichförmiger Gestalt, mit
bräunlichem Inhalte versehen. Schichtungen sind nicht
deutlich, Bast und Knorpelzellen kommen im Kork-
gewebe nicht vor. An jungen Zweigen erscheinen
die Korkzellen zu pyramidalen Gruppen vereinigt,
24
grosse, zu
chicht, deren
Be weder sich auch in den Markstrahlen, welche 1-lagerig,
8 — Dstóckig, häufiger j
sind, desgleichen auch im H
Gefüsse spärlich vorkómmt. Markfl mache
wieder bemerkbar. Das Mark besteht aus weiträumigen Parenchym-
zellen mit unregelmässig punktirten Wandungen. Im Allgemeinen
zeigt dieses Holz viel mehr Ähnlichkeit mit dem von Aulanthus als
it Zanthoxylon, zu deren Familie gezählt wird.
Bulletin de l'Académie Impériale
deren Spitze nach aussen zur Peripherie hin gerich-
tet ist. — An Acer campestre, bei welchem nicht auf
allen Standorten eine Korkschicht zur Ausbildung
kommt, ist der Kork dem von Ulmus suberosa sehr
ähnlich, nur dass seine Zellen mehr in die Queere ge-
streckt sind und auf dem Horizontalschnitt fast recht-
eckig erscheinen. — Das Korkgewebe von Berberis
heteropoda Schrenk (kaum 3 Millimètre im Durchmesser) | 4
besteht aus unregelmässig geformten Zellen, die grös-
ser als bei allen früher genannten und nicht deutlich
diametral sich gruppirt haben. Es wird von dunklern
Streifen durchzogen, welche aus sehr kleinen gelbli-
chen Bastzellen und Parenchym mit braunem Inhalte
zusammengesetzt sind. — Der Kork von Viburnum
Lantana besteht aus sehr unregelmässigen, ungleich
grossen, nicht diametral gruppirten Zellen, die einer
Zone von dichten an einander gedrängten, daher
schmäleren Zellen von gelblicher Färbung aufgelagert
sind.
Nach Berücksichtigung dieser mit einem echten
periderma suberosum versehenen Gewächse der russi-
scher Flora, kehren wir wieder zur Birke zurück,
deren Fähigkeit, das ihr eigenthümliche Periderma
zu reproduciren, der Hauptgegenstand unserer Mit-
theilung ist.
Nur in den ersten Lebensjahren besitzen die hol-
zigen Axentheile der Birke (Betula alba) ein homoge-
nes, aus dünnwandigen, diametral gruppirten Paren-
chymzellen bestehendes Periderma, d. h. echtes Kork-
gewebe. Dasselbe wird nach Absterben der Epidermis
an die Oberflüche gesetzt, seine Zellen füllen sich,
wie die der entwickelten Epidermis, mit einem brau-
nen oder kirschrothen harzigen Stoffe, erscheinen in
der Radialrichtung stürker comprimirt und schülfern
später, etwa vom 5— 10ten Lebensjahre, ebenfalls ab
wie die Oberhaut. Alsdann bestehen bereits unter
diesem Korkgewebe abwechselnde Lagen von dick-
wandigen, in der Radialrichtung sehr engen, allmählich
sich mit demselben bräunlichen Stoffe anfüllenden,
diametral gruppirten Zellen und von dünnwandigen,
geräumigen, fast farblosen echten Korkzellen, doch
treten die ersteren gewóhnlich in viel bedeutenderer
Müchtigkeit auf und bilden daher die Hauptmasse des
nun als periderma coriaceo-suberosum zu bezeichnen- |
den Gewebes. Allmählich werden die obern Lagen
dieses Periderma zusammengedrüngt, indem die unter
ihnen, der Innenfläche der Rinde mehr genäherten,
neu entstandenen, analogen Schichten sich auszudeh-
nen beginnen. Es verdickt sich daher das Periderma
bis zu einem gewissen Alter fortwührend durch Zu-
wachs an der Innenseite und verliert nur sehr feine
Lamellen an seiner Oberfläche, welche sich spärlich
ablösen. Sein grösster Durchmesser steigt selten über
4 Millimètre in Folge regelmässigen concentrischen
Zuwachses. Dagegen entstehen fortwührend zwischen
seinen Schichtungen korkartige Wucherungen von
dunkler Färbung und verdicken dasselbe stellenweise
knotenartig, oder es bilden sich im tiefer liegenden
Rindenparenchyme einzelne, nicht concentrische Pe-
riderma-Schichten aus, die zur Borkenbildung bei-
tragen. Das regelmässige continuirliche Anwachsen
des Periderma hat um diese Zeit schon sehr nachge-
lassen oder ist schon ganz erloschen. Das Lebensjahr,
in welchem der regelmässige concentrische Zuwachs
des Periderma gänzlich aufhört, lässt sich nicht für
alle Individuen desselben Standorts und noch weniger
für verschiedene Standörter gleich giltig bestimmen.
An den Birken des Petersburger Gouvernements fällt
diese Zeit etwa in das 60— 80ste Lebensjahr des
Baumes.
Aus dem Obigen ergiebt sich, dass der Lederkork
unserer Birke nur an seiner Innenseite regelmässigen
Zuwachs erhält, also dort, wo er an das grünliche,
lebenskräftige (bis zu einer gewissen Zeit) Rinden-
parenchym (integumentum parenchymatosum, sasexenb)
grenzt, welches, wie vielfache Beobachtungen bereits
nachgewiesen haben, auch bei andern Pflanzen die
Erzeugerin des Periderma überhaupt ist, da in den
Zellen des Korkes wohl nur ausnahmsweise und nur
auf einzelne Punkte beschränkt, ein ZEHNTE
process zu Stande kömmt.
Wie nun aber, wenn diese rastlose Erzeugerin selbst
an die Oberfläche gesetzt wird, und allen Einwir-
kungen der Aussenwelt preisgegeben, allmählich ver-
trocknet und zuletzt abstirbt? — was doch jedes Mal
zu geschehen pflegt, wenn die Birke ihres Lederkorks
zu technischen Zwecken oder anderweitig beraubt
wird. Diese Entrindung (oder richtiger Entkorkung "
der Birke wird in den mediche Gouvernements in
Der in grossen Stücken tante Lederkork der Birke,
hauptsächlich zur Bereitung des Birkentheers im Gebrauch, wird
GepesoBaa cKaıa genannt. Circa 40 Bäume liefern 1 Pud cxaza.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
hr bedeutendem Umfange ausgeführt, indem man
dabei auf ähnliche Weise wie bei Abnahme des Korks
von der Korkeiche, nur noch mit weniger Kraftauf-
vand zu Werke geht. Dem jungen, etwa e —1 Fuss
im Durchmesser dicken Birkenstamme wird nach zwei,
in Entfernung von 6 — 10 Fussen ausgeführten, Rin-
gelschuitten, welche durch die ganze Dicke des Leder-
korks hindurchgehen, und nach 2—3 senkrechten
Schnitten, welche jene miteinander verbinden, der
Lederkork in seiner ganzen Mächtigkeit entnommen,
wodurch das darunter befindliche Rindenparenchym
(sasexems) ganz frei gelegt wird, eine braunrothe Farbe
annimmt, und einige Tage nach der Operation wie
ein rostfarbiger Eisencylinder den Stamm umkleidet °).
In diesem Zustande wird der Baum, wenn er nicht
etwa auch gleichzeitig zur Fällung bestimmt war,
seinem Schicksale überlassen, über welches in den
Schriften über Waldbau und technische Benutzung
der verschiedenen Baumarten, auch selbst aus dem
Munde unserer Förster, keine sichere Kunde zu er-
halten ist. Ja, es scheint die Frage, die doch uns so
nahe liest, ob die entrindete Birke sich wieder mit
uuem Lederkork bekleidet, noch gar nicht einmal
aufgeworfen zu sein, und selbst Hartig, welcher der
Siten O. ein grosses Capitel widmet, giebt keine
ndeutung, dass er darauf bezügliche Erfahrungen
gemacht hätte. Dass bei uns, im Lande der Birken,
diser Gegenstand unter dem Volke und bei den Forst-
Männern noch nicht zur Sprache gekommen, hat zum
Theil seinen Grund darin, dass bei uns der Mangel
u Wald überhaupt noch wicht fühlbar genug gewor-
den, namentlich i in den Gouvernements, wo die Birke
Mause, und dass diejenigen Personen, welche einen
Bikenbestand entrindet haben, falls er auch nicht
bald darauf zur Fällung gekommen, nicht genöthigt
wieder zu ähnlichem Zwecke nach demselben
+, seven. Sollten uns jedoch Angaben über die
be 1 dieser Entrindung der Birke entgangen sein,
“ten immerhin darauf bezügliche anatomisch-
E ce Erörterungen nicht am unrechten Orte
D ET
: Se welcher bei der Korkeiche (Quercus
pum Piu: Stattgefundener Entrindung, regel-
mässig sich einstellt, und die Wiedererzeugung des
Korks zur Folge bad beschreibt H. von Mohl nach
eignen Beobachtungen im Korkeichen-Walde des so-
genannten Val Inferno in der Nühe von Rom (Bot.
Zeitung 1848). Wir haben somit einen Anhaltspunkt
zum Vergleich analoger Vorgänge bei der Birke.
Nachdem die ihres Lederkorks beraubte Birke zu
vegetiren nicht aufgehôrt hat, erscheint ihre entrin-
dete Oberfläche, etwa nach Ablauf von 2—3 Jahren,
wie mit einem dunkelaschgrauen, borkenartigen Schup-
penpanzer bekleidet, dessen einzelne, meist quadra-
tische Schuppen sich als Theile der vóllig eingetrock-
neten, abgestorbenen Rindenparenchymschicht (sase-
Aen) noch deutlich zu erkennen geben. Zwischen
den Schuppen verlaufen tiefe Risse und Furchen, aus
deren Tiefe, namentlich zur Sommerzeit, ein grünli-
cher Schimmer noch Spuren von Leben in der schein-
bar todten Unterhälfte des Baumes verräth, während
derselbe aufwärts, vom obersten Ringelschnitte an,
in seinem weissen Rindenkleide prangt und auf das
Freudigste grünt.
Allmählich fallen die ganz eingetrockneten, abgestor-
benen Schuppen des Rindenpanzers ab und unter ihnen
tritt eine grauweissliche oder hellbráunliche Ober-
fläche deutlicher zum Vorschein, welche einer conti-
nuirlichen, unter jenem Panzer allmählich entstande-
nen, neuen Rindenhaut angehört, die sich ganz ohne
Unterbrechung an diejenigen Schichten der Rindenhaut
anschliesst, welche sich unter der Rindenhaut der
nicht entrindeten Oberhälfte des Birkenstammes wie
gewöhnlich zu bilden nicht aufgehört haben. Es ent-
steht also bei der Birke, ebenso wie bei der Kork-
eiche, nach der Entrindung eine ganz neue Binden.
haut, beidieser aus Korkparenchym zusammengesetzt,
bei jener aus Lederkork. Die Analogie zwischen den
genannten beiden Baumgattungen ist aber noch be-
deutender. Wie bei der Korkeiche, nach der Entrin-
dung und während des Absterbens der auf der ent-
rindeten Stelle stehengebliebenen Parenchym - und
Bastschichten "), auch diese Schichten wiedererzeugt
h Casimir Decandolle noch eine zweite, Quercus occi
er zu gleichen Zwecken vorzüglich im südwestlichen Piedi:
d Portugal cultivirt
"Wm uter EE Schichten der entrindeten Korkeiche
CS? wie Casimir Decandolle angiebt, von den Korkcultiva-
toren «Mutter». genannt, und es soll die gehörige Austrocknung der-
selben für die neue Korkbildung von Wichtigkeit sein, weshalb um
' 90
Bulletin de l’Académie Impériale
werden, ebenso ist die ihres Lederkorks gänzlich be-
raubte Portion des Birkenstammes, nach Verlauf ei-
niger Jahre, wieder vollständig mit ebenso vielen
Schichten neuen Lederkorks versehen, als sich auf der
nicht entrindeten Portion, nach stattgefundener Ent-
rindung zu bilden fortfuhren, desgl. mit neuem Rinden-
parenchym und die Bastbündel vertretenden Knorpel-
zellgruppen, an Stelle der, als Rindenpanzer von uns
bezeichneten, zu Grunde gegangenen. Die Reproduk-
tion des Lederkorks und der genannten Schichten
beginnt, wie aus dem Folgenden zu ersehen ist, gleich
nach der Entrindung, wenn nicht etwa die Entrindung
während der Vegetationsruhe ausgeführt worden ist.
In den nördlichen Gouvernements wird dieselbe, wenn
sie forstlich betrieben wird, in den Monaten Mai und
Juni vollzogen.
Indem somit eine regelmässig nach der Entrindung
der Birke vor sich gehende Reproduktion ihres Leder-
korks, was zunächst von Wichtigkeit ist, sich nach-
weisen lässt, verdient noch in Betracht gezogen zu
werden, wie dieselbe zu Stande kömmt, und von wel-
cher Beschaffenheit das neue Produkt ist.
Da bei der Korkeiche und unserer Birke das unter
der entrindeten Oberfläche stehengebliebene Rinden-
parenchym so wie die Bast- und Knorpelzellgruppen
vollständig zu Grunde gehen '*), was namentlich an
der Birke bei Vergleichung der neu berindeten Por-
tion mit der unentrindeten in die Augen springend
ist, so steht wohl der Annahme nichts entgegen, dass
die erste Anlage zu der neuen Rinde vom Cambium
herrührt, welches unter der allmählich absterbenden
Rinde seine Produktionskraft beibehalten hat und
sogar zu erhöhter Lebensthätigkeit, wie ich nach den
mir vorliegenden Exemplaren anzunehmen veranlasst
bin, erwacht ist. Damit ist aber auch zugleich die
normale Erzeugerin der Rindenhaut (des Korks der
Eiche und des Lederkorks der Birke), das Rinden-
jene zu befórdern, Feuer um die entrindeten Eichen angelegt wird,
Ferner wird angegeben, dass der in der Jugend des Baumes zum
ersten Male gebildete Kork, ein wenig geschätzter, als männlicher,
der später, nach der Entfernung (d&masclage) dieses aus der ë Müt-
ter» entstandene als weiblicher Kork bezeichnet wi
12) In einigen Fällen, was von der Jahreszeit, iu welcher die
Entrindung vorgenommen wird, abzuhängen scheint, erhalten sich
die untersten Schichten des Rindenparenchyms le ebenskräftig, und
dann bildet sich der reproducirte Lederkork zwischen der abge-
storbenen Portion und der ihn erzeugenden Schicht des Rinden- '
parenchyms.
parenchym, dem entrindeten Theile des Baumes wie-
dergegeben, und dieses beginnt nun wieder den ihr
eigenthümlichen Process der Lederkorkbildung. Es
entsteht daher der Lederkork der Birke auch in die-
sen abnormen Fällen immer wieder zunächst, wie bei
nicht stattgehabter Entrindung, aus dem Rinden-
parenchyme.
Verfolgt man die Grenzlinien zwischen dem unter
der nicht entrindeten und dem, der ihr dicht an-
grenzenden entrindeten Oberfläche, erzeugten Leder-
korke, und diese Linie ist, wenigstens in den ersten
Jahren nach der Entrindung, noch sehr deutlich zu
erkennen, so zeigt sich längs derselben ein auf der
Innenseite des reproducirten Lederkorks vorsprin-
gender Wulst oder ringsumlaufender callus, welcher
auf dem drunterliegenden Parenchyme eine tiefe
Furche bildet. Auch ist die ganze Innenfläche der
reproducirten Lederkorkschicht mit vielen Knötchen,
Protuberanzen und Zäpfchen bedeckt, welche in ent-
sprechende Vertiefungen des ebenfalls neu reprodu-
eirten Rindenparenchyms eingreifen und dadurch die
Ablösung der Schicht in ihrer ganzen Mächtigkeit
etwas erschweren. Es ist auch häufig die reprodu-
eirte Lederkorkschichte um ein geringes mächtiger
als der mit ihr gleichzeitig unter der nicht entrinde-
ten Oberfläche entstandene Zuwachs an Lederkork.
Dies Alles deutet darauf hin, dass unter der entrin-
deten Oberfläche ein regerer Wachsthumsprocess
stattgefunden hat. Und ein Gleiches wird auch an
den entrindeten Korkeichen wahrgenommen, in Folge
dessen der durch Beihülfe von Menschenhand zur
Reproduktion gekommene Kork, an technischer Güte
und namentlich an Mächtigkeit, den ursprünglichen,
normalen übertrifft.
Verfolgt man dagegen die Innenfläche der nach der
Entrindung reproducirten Rindenparenchymschich t
so lässt sich an ihr auch nicht eine Spur einer Grenz-
linie wahrnehmen, welche andeutete, wo ausserhalb
an der Oberfläche die entrindete Portion an die nicht
entrindete angrenzt. Es ist somit das Cambium in
Folge der Entrindung nicht in seiner Thätigkeit ge-
stört worden und hat in seiner ganzen Erstreckung
um den Stamm gleiche Produkte hervorgebracht.
Bei genauerer Vergleichung dieser Produkte erge-
ben sich jedoch einige Differenzen, die weniger in
physiologischer , als in anatomischer, und namentlich
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
— Beziehung erwàhnt zu werden verdienen.
Während bei der Korkeiche der reproducirte Kork,
der sogenannte weibliche, sich von dem urspünglichen
durch grössere Mächtigkeit, Elastieität und Gleichför-
migkeit unterscheidet, hat der an der entrindeten
Birke entstandene Lederkork, einen gewissen Grad
seiner lederartigen Beschaffenheit verloren, und ist
dadurch dem Eichenkork einigermaassen ähnlicher
geworden. Er erscheint elastischer, tiefer nach innen
hellbräunlich, blättert nicht so fein und dünn ausein-
ander und besitzt weniger Lenticellen. Dies beruht,
mit Ausnahme der Lenticellenbildung, auf der Be-
: nheit der ihn zusammensetzenden Zellen. Es
herrschen nämlich in ihm die Schichten echten Kork-
peridermas durch ihre Mächtigkeit vor, dessen Zellen
an und für sich breiter oder weiträumiger sind, wo-
durch sie mehr Ähnlichkeit bekommen mit da in
senkrechter Richtung durchschnittenen, entsprechen-
den Zellen des ursprünglichen Lederkorks. Mit ihnen
wechseln zwar regelmüssig ab Schichten aus dick-
wandigen, schmálern, mit rothbraunem, harzartigem
fe erfüllten Zellen, die in der Radialrichtung nur
s 3—4 Zellenlagen bestehen, während in dem ur-
sprünglichen Lederkorke deren 7—8 und mehr hin-
ter einander liegen und ihm namentlich die lederartige,
SH pi zähe, als elastische Beschaffenheit verleihen.
Es erscheint somit der reproducirte Lederkork der
Birke i in seiner Färbung und physikalischen Beschaf-
fenheit von dem sich normal bildenden verschieden,
wodurch er jedoch zu seiner Hauptverwendung und
anderen Zwecken keineswegs an Werth verloren hat.
Jedenfalls würde sich eine zweite Entrindung der
js noch verlohnen, wodurch nicht nur von dem-
selben Baume ein Hopper Gewinn aus seiner Rinde
gezogen werden könnte, sondern auch, indem er nicht
enr, wie gewöhnlich nach der ersten Entrindung,
zum ‚Fällen bestimmt, einen grösseren Ertrag an Holz-
Substanz liefern würde. Leider fehlt es uns auch noch
ES ns z an Erfahrungen, ob nicht auch bei der Birke, so
m > bei der Korkeiche, durch frühzeitiger begonnene
Wd regelmässig wiederholte Entrindungen, für die
men Benutzung vortheilhaftere Produkte erzielt
d 2 ihrer ' weiteren Verfolgung KSC war der
Na. dieser Mittheilung.
Zur Veranschaulichung der an der Birke beschrie-
benen Bildungen mógen die beiliegenden, der Natur
entnommenen Zeichnungen, dienen.
Fig. 1. Horizontaler Durchschnitt von einem 1 jühri-
gen, im Winter abgeschnittenen Zweige von Betula
alba, um die Anordnung der ihn zusammensetzen-
den Theile zu veranschaulichen. 9999 Epidermis,
f ff echtes dünnwandiges Periderma, eee darunter
befindliches Parenchym (integumendu parenchy-
matosum), die Erzeugerin des Lederkorks, d d d d
in diesem Parenchyme zerstreute Bastbündel, aus
echten Bastzellen bestehend, c ccc Cambialschicht,
bb bb einjährige Holzschicht, bei H auffallend ver-
schmälert, Æ Mark. Vergr. 7/. In dem Aus-
schnitte ABC sind die Elementartheile der den
Zweig zusammensetzenden Gewebe bei derselben
Vergrósserung ausgezeichnet worden. Die Buch-
staben bedeuten dasselbe wie im nicht ausgezeich-
neten Theile. In den Bastbündeln zerstreut einige
Gitterzellen (cellulae clathratae), die schon bei
dieser Vergrösserung durch ihr weites Lumen in
die Augen fallen.
Fig. 2. Horizontalschnitt durch das Periderma und
grünliche Rindenparenchym des in Fig. 1 darge-
stellen Zweiges, aa Cuticularschicht, bb Epider-
mis, welche aus nach aussen hin dickwandigen
Zellen zusammengesetzt ist, die einen kirsch-
rothen, harzigen Stoff cc enthalten, d.d unmittel-
bar darunter liegende Zellenschicht, aus unregel-
mässigen, kleinen, mit demselben Stoffe erfüllten
Zellen bestehend. An einigen Stellen scheint diese
Schicht zu fehlen; ee echtes dünnwandiges Peri-
derma, ff Zellen des grünlichen Rindenparen-
chyms. Vergr. ?*/.
Fig. 3. Horizontalschnitt durch die entsprechenden
(wie in Fig. 2) Theile eines 5 jährigen Zweiges,
aa Reste der abschülfernden Oberfläche, bei d
aufliegende Pilzsporen, bb, dd ff dickwandige
Zellen, cc, ee dünnwandige, echte Peridermzellen,
mit den ersteren abwechselnd den Lederkork zu-
sammensetzend, gg eine Portion des grünen Rin-
denparenchyms. Tiefer liegend befanden sich die
ersten chien Bastbündel, hin and wieder auch
Jelzeller ,schon
Bulletin de lAcadémie Impériale
Noch tiefer, d. h. näher zum Holzkörper hin, hat-
ten sich statt der Bastzellen nur Knorpelzellen, in
grösseren Gruppen beisammen liegend, gebildet.
Vergr. */
Fig. 4. Horizontalschnitt durch den Lederkork, wel-
cher sich auf einem nicht entrindeten, alt PNIS.
nen Baume gebildet hatte, aa, a ^d, go, a a”
Schichten aus echtem, dünnwandigem re
bestehend, regelmässig abwechselnd mit dickwan-
digen Zellen bb, ER, NK, gemeinschaftlich den
Lederkork der Birke darstellend. In den Zellen
der dickwandigen Schicht ist eine homogene dick-
flüssige, kirschrothe, harzige Substanz enthalten,
das Material für die Darstellung des Birkentheers
(aërors); in den dünnwandigen Zellen bb, AN, bb.
ein fein granulöser, trüber, hellbräunlicher Stoff,
der sich auch durch Alkohol zum Theil extrahiren
lässt. Vergr. "71.
Fig. 5. Entsprechender (dem in Fig. 4) Schnitt aus
einem 3 Millimétre dicken reproducirten Leder-
korke. Die Buchstaben bezeichnen dasselbe wie
in der vorhergehenden Figur. Die Stoffe in den
Zellen von derselben Becher wie in Fig. 4.
Verer, T/g
Neuer Nachtrag zu N VIII der Kaspischen Stu-
dien: Über ein allgemeines Gesetz in der Ge-
staltung von Flussbetten, von K. E. v. Baer.
(Lu le 1 avril 1864.)
Meine Beobachtungen tiber das Andrängen des stró-
menden Wassers gegen das rechte Ufer mit der Zu-
sammenstellung von Nachrichten aus andern Gegen-
den haben hie und da Interesse und Beachtung ge-
funden, zuweilen zweifelnde, ófter zustimmende. Mit-
unter meint man, der Druck nach der rechten Seite
sei zu schwach, um eine Wirkung hervorzubringen.
Ich fühle mich nicht veranlasst hierauf einzugehen,
da die Wirkung dieses Druckes in unserem Steppen-
boden so wie im nordischen Sumpfboden nur zu sehr
in die Augen springt. Auf Felsboden kann die Wir-
kung nur unter besondern Umständen bedeutend sein,
z. B. wenn Felsblócke fortgerollt werden und als
Schleifapparate wirken, besonders wo die Strümung
eingeengt ist. Dass für die gesammte Thalbildung in
harten Gestein die grössere oder geringere Zerstör-
barkeit des Gesteins von grösserem Einfluss ist, als
der Druck nach der rechten Seite, glaube ich hinläng-
lich bemerkt und an dem Beispiel des obern Kur ge-
zeigt zu haben.
Nur dreierlei Verhältnisse sind es, die ich noch
einmal zu besprechen mich Kee fühle.
Zuvôrderst habe ich auf meinen verschiedenen Rei-
sen in Russland nie Gelegenheit gehabt, einen Fluss
zu sehen, der an mehreren Stellen durch Felsenthore
dringt, in den Zwischenräumen aber durch leicht zer-
störbaren Boden fliesst. Es war mir daher gar nicht
eingefallen, dass solche Verhältnisse die entscheiden-
den Beweise liefern müssen. Darauf hat der ausge-
zeichnete Geolog und Palaeontolog Ed. Süss, der voll-
ständig meine Anschauungen theilt, wiederholt auf-
merksam gemacht, und an der Donau nachgewiesen,
dass überall in den Zwischenräumen zwischen den so-
genannten Durchbrüchen durch feste Felsmassen der
Fluss stark nach der rechten Seite drängt. Ich kann
mich nicht enthalten vorübergehend hier gegen den
Ausdruck des «Durchbrechens» mich zu erklären, der
häufig für den Durchgang eines Flusses angewendet
wird, als ob ein Fluss aus eigener Kraft sich einen
Durchgang durch Gestein erzwingen könnte. Solche
Thore müssen sich entweder unabhängig vom Flusse
durch Aufspalten des Gesteins gebildet haben, oder
sie sind durch den Fluss von obenher mit der Zeit
eingesägt, wenn oberhalb des Felsen-Dammes ein an-
sehnlicher See sich befunden hat. Dieser Ausdruck
gehört zu denen, welche der treffliche Ritter liebte,
weil er, wie er selbst sagt, einen Fluss gern als ein
organisches Individuum betrachtete, die aber doch
bei oberflächlicher Betrachtung zu falschen Ansichten
verleiten. Alle scheinbare Individualität eines Flus-
ses hängt ja nur von der Beschaffenheit seiner Umge-
bung ab. Der Fluss ist nur Wasser, das nach dem
Gesetze der Schwere mit Nothwendigkeit strömt. Wo
die Schwere grössere Wirkung hat, wie etwa in einem
Wasserfalle, ist doch von Individualität oder organi-
scher Selbstständigkeit eben so wenig als bei einer ab-
geschossenen oder rollenden Kanonenkugel die Rede.
Hr. Süss bemerkt nun sehr richtig, dass, wie ein
Seil, das an einzelnen Punkten unterstützt ist, zwi-
schen ihnen, durch sein eigenes Gewicht herabgezo-
gen, einen Bogen gegen die Oberfläche der Erde bil-
den muss, ein Fluss in den Zwischenrüumen zwischen
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des Sciences de Saint-Pétersbourg.
314
EE ia
wei Felsspalten nach rechts drängen muss, wenn der
Druck nach rechts eine Einwirkung auf die Uferbildung
ausübt. Er findet dieses Verhältniss sehr augenschein-
lich an der Donau und hat den Nachweis am voll-
stindigsten in einem Werke: «Der Boden der Stadt
Wien,.... Wien 1862» gegeben, wo man nicht leicht
grade diese Frage so entscheidend behandelt erwar-
ten sollte. Ich halte es daher nicht für unpassend,
einen Auszug aus seiner Darstellung zu geben ').
«Nachdem der (Donau-) Fluss durch felsige Engen
«sich bis nach Krems und Mautern gewunden, tritt
«derselbe zum ersten Male (im Österreichischen Ge-
«biete) in flacheres, leichter zerstörbares Land heraus.
«Bei Klosterneuburg und Korneuburg ist er wieder ein-
«geengt; oberhalb Wien tritt er zum zweiten Male
«in flacheres Land. Bei Haimburg und Theben sieht
«er sich neuerdings zwischen Felsen eingeengt; bei
«Pressburg tritt er zum dritten Male in eine Ebene.
«Unterhalb Komorn treten neuerdings Gebirge an ihn
«heran und bedingen den scharfen Bug bei Waitzen;
«erst unterhalb Ofen sehen wir ihn zum vierten
«Male in leichter zerstórbarem Boden fliessen».
«Diese Einengungen durch Felsen bilden eben so
«viele Fixpunkte im Laufe des Stromes, und nur
«zwischen je zweien derselben dürfen wir hoffen, die
«Spuren der Rotationskraft zu finden.»
«Zwischen der Enge, von Krems und jener von
«Klosterneuburg entfernen sich die Steilränder (Ufer-
«gehänge) beider Seiten gegen die Mitte hin mehr und
«mehr von einander, so dass sie an mehreren Stellen
«mehr als 2 Meilen von einander entfernt sind. Der
“nördliche, linke, höchst deutliche Steilrand läuft über
«Fels, Kirchberg am Wagram, Stetteldorf, gegen Stocke-
“rau, der südliche (rechte) von Hollenburg über Trais-
«mauer und Judenau nach Königstetten. Der Strom
«iesst bei Hollenburg deutlich rechts, von da bis un-
"terhalb Tullu nahezu in der Mitte zwischen beiden
‘Steilrändern und erst gegen Zeiselmauer hin scheint
‘sich neuerdings eine Bevorzugung des rechten Ufers
“zu verrathen. »
*Nirgends in dem zu betrachtenden Gebiete fällt
"lie Richtung des Stromes nüher mit der Ost-West-
“Wine zusammen als hier; hier.ist also die geringste
“Selegenheit zu einer Äusserung der Rotations-Kraft.
1) Süss: Der Boden der Stadt Wien, S. 80 u. 81.
«Der Strom, sehen wir, hat zwischen beiden Engen
«ein Gebiet von über 2 Meilen Breite allmählich inne
«gehabt, und ist wahrscheinlich bald mehr rechts,
«bald mehr links geflossen. »
Es wird nun umständlich nachgewiesen, dass zwar
ausser dem nördlichen Alluvium auch auf der Süd-
seite des Flussbettes Alluvialboden sich findet, der
Fluss aber vor alter Zeit am südlichen Steilrande ge-
flossen sein muss, da sich in der Tiefe «Donau-Schot-
ter» findet, dass dann der Fluss durch irgend einen
Grund mehr nach Norden geworfen sein muss und seit
längerer Zeit wieder mehr nach Süden drängt, wie
eine in Krems aufbewahrte «Delineation der Schwe-
dischen Belagerung von 1646» im Archive von Krems
und einige Steinplatten mit Inschriften bezeugen.
«Viel auffallender ist das Streben nach rechts zwi-
«schen den Engen von Klosterneuburg und Hamburg.
«Auch hier entfernen sich die Steilränder gegen die
«Mitte der Niederung mehr und mehr von einander,
«und ihre grósste Entfernung übersteigt auch hier
«zwei Meilen, aber der ganze Strom liegt hier rechts
«und ich habe bereits erwähnt wie rüstig er daran
«arbeitet noch weiter rechts zu kommen.» (S. 84 des
oben genannten Werkes.) Die Stelle, auf welche der
Verfasser sich zuletzt bezieht, findet sich früher (S.
77) und lautet so: «Die Donau strebt in der Nähe un-
«serer Stadt (Wien) unausgesetzt ihrem rechten Ufer
«zu. Mit Mühe sehen wir sie im Lichtenthal, in der
«Rossau und in Erdberg durch Menschenhand von ih-
«rem rechten Steilrande abgelenkt, aber von Fischa-
«ment bis Deutsch- Altenburg nagt sie noch fortwührend
«an dem Fusse desselben und reisst sie noch fort-
«wührend von Zeit zu Zeit so grosse Erdstücke ab,
«dass im Laufe der letzten Decennien die Poststrasse
«nach Pressburg zu wiederholten Malen landeinwärts
«verlegt werden musste. Das tiefere Fahrwasser für
«die Dampfboote liegt rechts und man kann daher
«bei einer Fahrt nach Pressburg nicht nur diese Ab-
«risse in ziemlicher Nähe beobachten, sondern sich
«auch davon überzeugen, wie eben durch den starken
«Wellenschlag der Dampfboote die Bemühungen des
«Stromes nicht wenig unterstützt werden. Der ganze
«Lauf der Donau von der Felsenenge bei Klosterneu-
«burg bis zu jener bei Haimburg bildet einen stark
«nach rechts convexen Bogen, der sich nirgends weit
«vom Steilrande der rechten Seite entfernt, während
315
Bulletin de l’Académie Impériale
«ein bis 2 Meilen breiter, ebener Alluvial- Boden die
«concave linke Seite von dem andern Steilrande trennt,
«welcher, nicht minder deutlich als der in Wien sicht-
«bare, sich jenseit Kagran und Leopoldsdorf durch
«das Marchfeld zieht.»
So viel von den beiden ersten Ebenen, die oberhalb
und unterhalb Felsenpässe für den Fluss haben.
Von der dritten Niederung sagt Hr. Süss nur:
«Ein Vergleich der Umrisse der Insel Schütt mit der
«Gestalt des Raumes, welchen die Steilränder zwischen
«Krems und der Enge von Klosterneuburg, oder zwi-
«schen dieser und jener von Zaimburg umschliessen,
«zeigt so grosse Übereinstimmung und der linke Arm
«der Donau ist so viel schwächer als der rechte, dass
«man hierin wohl auch eine Äusserung derselben Er-
«scheinung sehen darf.»
Und von der vierten: «Unterhalb Ofen, namentlich
«unterhalb Promontor tritt der grosse Strom neuer-
«dings in die Ebene, hier in einer nahezu mit dem
«Meridian zusammenfallenden, und daher für die Ab-
«lenkung sehr günstigen Richtung. In der That ge-
«nügt auch ein Blick auf die schóne Generalkarte
«Ungarns, um zu zeigen, dass er hier rechts von Ab-
«hängen, links von Alluvialboden begränzt ist. Eine
«weitere Ausführung und Verfolgung dieser Erschei-
«nungen scheint mir an dieser Stelle kaum nóthig.»
Bei einer andern Gelegenheit aber spricht Hr. Süss
die Überzeugung aus, dass der in der Ungarischen
Ebene nach Süden ng N Theil der Donau viel
bedeutender nach rechts abgewichen ist als die übrigen,
da wenigstens im Süden das weit abstehende ursprüng-
liche linke Ufer noch sichtbar ist.
Man ersieht schon aus den hier wiederholten Stel-
len, dass dieser kenntnissreiche Geologe ebenfalls die
Überzeugung hat, wie auch die angeführten Beob-
achtungen bestätigen, dass der Druck des Wassers um
so stärker wirkt, je mehr die Stromrichtung sich dem
Meridian nähert. Meine ersten Aufsätze über diesen
Gegenstand, in Russischer Sprache publieirt, bevor
Hr. Babinet oder sonst ein Physiker oder Mathema-
tiker diesem Gegenstande, so viel mir bekannt, seine
Aufmerksamkeit geschenkt hatte, nahm ich allerdings
wenig darauf Rücksicht, dass auch bei der Bewegung
in der Richtung eines Parallelkreises der bewegte
Körper nicht in der WO.-Richtung bleiben könne.
Allein man überzeugt sich leicht davon, wenn man
einen Globus zur Hand nimmt, dass eine Wurfbewe-
gung in der Ebene eines Parallelkreises, mis Aus-
nahme des Aequators, gar nicht möglich ist, weil je-
der andere Parallelkreis von dem Mittelpunkt der Erde
EE
absteht, um diesen aber die Bewegung geschieht, oder
mit anderen Worten, weil die Ebene der Curve, in
weicher ein geworfener Körper sich bewegt, durch
den Mittelpunkt der Erde gehen muss. Wenn ich also
aus a einen Körper gerade nach Osten (b) werfen will,
so wird er schon deshalb nach dem Aequator abge-
lenkt, weil er in der Ebene des Parallels nicht seinen
Anziehungspunkt hat, sondern im Mittelpunkte der
Erde (c). Diese Ablenkung, welche die geographische
Breite bestimmt, würde jeder Körper erfahren, der
aus dem Weltraume käme und irgend eine Richtung
und Geschwindigkeit der Bewegung mitbrächte, z. B.
ein Aerolith. Bei einem Körper, der von der Erd-
oberfläche geworfen wird, kommt noch der Unterschied
der Rotationsgeschwindigkeit der Abgangs- und An-
kunftspunkte in Betracht.
Es beunruhigte mich daher bei der Abfassung des
Aufsatzes für die kaspischen Studien, dass viele Ma-
thematiker und Physiker die Überzeugung ausspra-
chen, die Abweichung müsse bei allen Richtungen der
Strömung gleich sein?). Die Beobachtungen an F lüs-
sen scheinen nicht dafür zu sprechen, so schwierig
auch bei so mannigfaltigen Nebenverhältnissen, dass
kein Flussthal einem anderen gleich ist, die Verglei-
chung wird. Ich bin den Embachfluss, der im Allgemei-
2) Der ausgezeichnete Mathematiker Hr. Braschmann in Mos-
au hatte in zwei kleinen Aufsätzen den Seitendruck des Wassers
durch eine mathematische Formel entwickelt, welche den Winkel,
den die Stromesrichtung mit dem Meridian macht, als glei tig
erscheinen lässt. Kürzlich hat er mir jedoch eine Note mittheilen
in der er erklärt, dass er sich von dem Gg
Winkels überzeugt habe.
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
pen nach der Richtung des Parallels fliesst, hinauf
md hinab gefahren, meine Aufmerksamkeit nur auf
die Uferbildung richtend. Mir schien allerdings das
rechte Ufer mehr angegriffen als das linke, aber so
. wenig entschieden, dass ich nicht den Gegenbeweis
5
:
führen kónnte, wenn Jemand behauptete, es sei kein
Unterschied wahrnehmbar. So vielen Einfluss haben
die geringsten Krümmungen. Auf jeder guten Karte
des Donaulaufes, z. B. auch auf N° 25 des Kiepert-
schen Atlasses sieht man dagegen deutlich, was Hr.
Süss hier lehrt, dass, je mehr der Flusslauf sich dem
Meridiane zuwendet, er um so stärker zwischen zwei
Felsengen nach rechts ausweicht. Noch jetzt kann ich
nicht umhin, die Differenz der Rotations-Geschwindig-
keit nach der grösseren oder geringeren geogr. Breite in
Anschlag zu bringen, sowie die Breite des strömenden
Wassers. Diese letztere ist es besonders, welche sich
schwer in eine Formel bringen zu lassen scheint. Es
hilft nicht, die Compressibilität des Wassers mit einem
x oder einer anderen unbestimmten Zahl in die For-
mel zu bringen, so lange nicht durch directe Versuche
ermittelt ist, wie der Druck einer Wasserbreite auf
die Nebenbreiten wirkt. Wenn dieser Druck nicht be-
deutend wirkte, und auf das rechte Ufer sich fort-
pflanzte, würden die schwach strömenden Meerengen
schwerlich den Unterschied der rechten und linken
Ufer zeigen. In Folge dieses Druckes ist in breiten
Flüssen bei starker Strömung die Oberfläche dersel-
ben über der Stromlinie sichtbar erhoben. Am augen-
age wird das, wenn der Fluss mit Eis bedeckt
Ist, Die Eisdecke wird um mehrere Fuss aufgewölbt.
“an wird die Behauptung von mehreren Fussen viel-
leicht übertrieben finden. Deswegen will ich noch
einige specielle Angaben hinzufügen. Wenn im unter-
sten Theil der Wolga im Frühlinge das Eis noch steht
und überall fest an den Ufern hält, von dem früher
müblisten Lande aber das Schneewasser auf das
m abfliesst, so sammelt sich dieses Wasser
^ Dasselbe gilt von allen nordischen Flüssen, z. B.
auch von der Newa, wo wir es im ersten Frühlinge
"S"U sehen. Hier ist aber das Phaenomen nicht so
fallend, wie an der mehre Werst breiten unteren
oi in fuhr einmal am Ende des Februar mit
,. "Mitten am Ufer der Wolga und sah die Was-
— riche so breit, dass ich den Postknecht, der mei-
:
^ oden Rändern, die Mitte der Eisfläche ist aber |
nen Schlitten auf die Wolga lenkte, am Arme fasste,
um ihn abzuhalten, da das Wasser zu breit sei. «Hat
nichts zu sagen», meinte er und fuhr darauf los. Das
Wasser muss am Rande 1'/, Fuss tief gewesen sein,
da es über den Boden meines hohen Schlittens ging,
dann nahm die Tiefe ganz allmählich ab, bis wir auf
die unbedeckte Eisfläche kamen, wo ich deutlich er-
kannte, dass diese sich noch aufwölbte, nach der rech-
ten Seite aber rascher abfiel, auf der ebenfalls ein
Wasserstreifen, aber ein bedeutend schmälerer sich
fand. Über der Stromlinie muss das Eis wohl 3, viel-
leicht 3 / bis 4 Fuss höher gestanden haben als an
den Rändern. An einzelnen Stellen hatte die Wolga
schon das Frühlingswasser aufgenommen und war da-
her wasserreicher geworden.
Noch móchte ich ein Verhältniss besprechen. Ich
habe schon in der Abhandlung selbst, besonders im
sechsten Abschnitte hervorgehoben, dass das Fluss-
thal und das Flussbette genau zu unterscheiden sind,
wenn man die Wirkung der strömenden Wasser beur-
theilen will, und die Benennung Erosionsthäler nicht
allein auf die Benagungen fester Felsmassen, sondern
vorzüglich auf die Aushóhlungen in lockerem Boden
bezogen, die durch Wasser-Ergüsse erzeugt sind. Es
würde bemerkt, dass solche Erosionsthüler viel gera-
der verlaufen, den Unterschied der Gehänge deutlicher.
zeigen, und von grüsseren Wassermassen erzeugt sein
müssen als die viel mehr geschlüngelten jetzigen Fluss-
betten. Diesen Unterschied habe ich auf einer späte-
ren Reise nach der Insel Sylt an der Westküste von
Schleswig im kolossalsten Maassstabe ausgeprägt ge-
funden, und ich glaube die Bedingungen des Unter-
schiedes dadurch genauer erkannt zu haben. Es ist
bekannt, dass zwischen der Westküste der Schleswig-
schen Festlande nnd den Inseln Sylt, Föhr, Amrum,
Pelworm ein sehr flacher Seeboden sich ausdebnt und
zum Theil nach Westen über die Inseln hinausgeht.
Man nennt die ausgedehnte Untiefe «die Walten» und
weiss, dass sie durch Verwaschung eines Theiles der
Inseln entstanden ist, wahrscheinlich weil sich diese
ganze Gegend, das ehemalige Nord-Friesland, gesenkt
hat und dadurch den Meereswogen mehr Preis gege-
ben wurde. Noch jetzt muss die Westküste Schleswi’s
durch Deiche geschützt werden, damit das Meer nicht
weiter greift. Die Tiefe der Watten ist so gering,
dass zur Zeit der Ebbe bei weitem der grösste Theil
Bulletin de l'Académie Impériale
derselben von Wasser entblösst ist und nur schmale
Canäle zwischen den entblössten, aber noch nassen Flä-
chen übrig bleiben. Zur Zeit der Fluth aber sieht man
ein ausgedehntes Binnenmeer, an dessen Horizont In-
seln und Küsten sichtbar sind. Die zurückbleibenden
Kanäle nun sind auffallend gerade, steif könnte man sa-
gen, ganz ohne Serpentinen. Dagegen sind ganz kleine
Rinnsale, durch welche, wenn die Watten vom Meere
verlassen sind, das letzte Wasser aus dem nassen Bo-
den abfliesst, geschlängelt und Äste aufnehmend, wie
gewöhnliche Flüsse im kleinsten Maassstabe. Es sind
gleichsam gewundene Reiser, die an einem starken
Stamme sitzen, wie die unten stehende Abbildung
eines sehr schmalen Theiles der Watten, nach dem
Gedächtnisse gezeichnet, darstellt.
Be py uy
Ein schmaler Theil des Wattenbodens zur Zeit der Ebbe.
Woher nun dieser Unterschied in der Bildung der
ganz kleinen und der grossen bleibenden Rinnsale? Ich
erkläre ihn mir einfach aus folgenden Verhältnissen.
Der Boden der Watten ist überhaupt durch das Was-
ser selbst gebildet. Es steigt von jedem bleibenden
Abzugsgraben sehr allmählich gegen die bleibenden
Theile der Inseln und der Küste an. Wenn nun bei
eintretender Ebbe das Wasser sich senkt, so fliesst es
nothwendig aus der weit gedehnten Flüche von beiden
Seiten gegen eine mittlere Linie und wüscht diese in
ziemlich geradem Laufe oder in sehr allmühlicher
Krümmung ohne Serpentinen aus. Für Serpentinen
ist gar kein Grund da. Das Zusammenfliessen aus
zwei Richtungen, die aber nur Modificátionen einer
allgemeinen Richtung waren, muss eine gemeinschaft-
liche herstellen, welehe den Boden tiefer ausfurcht.
Es ist in der weiten Wasserflüche gar kein Hinder-
niss. Ganz anders ist es, wenn der Boden entblösst
und noch nass ist und zwischen den Bestandtheilen
desselben das Wasser zusammenläuft. Es findet über-
all Hindernisse und diese bilden seine Ufer. Es kann
nur in Serpentinen abfliessen, die nur 1. bis einige
Zoll Tiefe haben. Hier liegen also Verhältnisse neben
einander, die bei unseren gewóhnlichen Flüssen über
einander liegen, bei solchen besonders, die iu Step-
penboden verlaufen.
Ich móchte die Geologen auf diese Verhältnisse
aufmerksam machen, weil es mir scheint, dass man
der Form der Erosionsthäler ansehen kann, wie die
Wassermasse begrünzt war, welche ein Flussthal durch
Erosion bildete. Kam die Wassermasse von beiden
Seiten, so werden die Abhànge sehr wenig geneigt
und sehr gleichmässig sein, nur in der Mitte ein Fluss-
thal bildend. Anders ist es, wo eine von oben kom-
mende Wassermasse einen lockeren Boden ausfurcht.
So scheint mir das mit hohen, steilen Rändern ver-
sehene Flussthal des oberen Kwr, einige Werst unter-
halb Tiflis, den Beweis zu liefern, dass eine seeartige
Erweiterung bei Saganlug, ihre Ufer durchbrechend,
sich eine tiefe Schlucht in der Steppe ausriss. Wir
werden in einer nächstfolgenden Schilderung der Wolga
sehen, wie solche seeartige Erweiterungen bei ihrem
Abflusse auf die nachfolgende Uferbildung wirken.
Notice sur quelques expériences faites sur un
mesureur de liquides, par M. H. Jacobi. (Lu
le 1 avril 1864.)
Dans la séance de la Classe du 5 juin 1863 j'eus
Fhonneur de mettre sous les yeux de l'Académie un
appareil inventé par moi et destiné à mesurer les
esprits de vin s'écoulant du réfrigérant, d'aprés leurs
quantités et leurs forces. J'en ai fait construire depuis
quatre exemplaires sur le méme modèle, et dont chaque
auge contient un demi-védro. Ces appareils sont suf-
fisants pour fonctionner dans les distilleries produi-
sant 60 à 75 védros par heure. J'ai fait également
construire un appareil de moindre dimension, dont
chaque auge ne contient que 1 védro, et qui pourra
servir à mesurer une production de 25 à 30 védros
par heure. Les nombreux essais faits avec tous ces
appareils ont donné des résultats parfaitement accor-
dants entre eux. En outre on a bien voulu me per-
mettre d'établir un de ces appareils à la fabrique des
papiers d'état, où la grande quantité d'eau continuel-
lement en usage, a donné occasion de faire des essais
de plus longue durée, afin de se convaincre que l'ap-
pareil est assez Së construit emu — ar
sujet à se déranger facilement. `
321
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
lÍ|cn-—
Cependant il convient d'observer, que jusque - là
mes expériences ont dü se borner à faire passer de
l'eau à différentes vitesses à travers les appareils et
de déterminer le volume de cette eau par son poids
mesuré au moyen d'une balance décimale trés - sen-
sible. Bien que mon appareil fût construit de manière
àce que les volumes des liquides mesurés, dussent
être exactement égaux, quel que fût le poids spéci-
fique de ces liquides, je n'avais pas encore eu occa-
sion d'éprouver la justesse de mon appareil dans les
circonstances mentionnées. Des expériences récem-
ment faites en présence de témoins compétents m'ont
parfaitement rassuré sous ce rapport.
- Voici le tableau de ces expériences faites le 28 fé-
vrier et le 24 mars a. c.
Be, gd aan 4 S B ET
RAS Ter ess |^ Rz 1380865
Ess P Š Sa EET
Q( 19 [098972 | 543,56 1887 10011) 60
È 19 uge" 49919 18,78" — | 6
mL. 08m) ma wn so 12
hm 0,92990 | 524,94 4888. . 40046, 41
i| 19 | 095820 | 54125 18,83 99,90! A
sl 19 1088400 | 49962 1884 — |9995| a
duin Moyenne 18,85
Le védro d’eau distillée pesant légalement 30 li-
vres, on a obtenu les chiffres de la cinquième colonne
en divisant les chiffres de Ja quatrième colonne par
les poids spécifiques des liquides multipliés par 30. Le
poids spécifique de la seconde observation, marqué d’nu
astérisque, ayant offert quelque incertitude, il n’en
à pas été tenu compte en calculant la moyenne 18,85.
la sixième colonne contient les quotients obtenus en
divisant les chiffres de la cinquième colonne par la
moyenne 18,85 ; ce quotient multiplié par cent indique
les erreurs ep pour cents, dont les mesures faites au
Myen de l'appareil sont affectées. On voit que ces
«IS D'atteignent pas méme */, de pour cent.
NS ces expériences il ne s'agissait que de con-
3 Witte l'accord des mesures entre elles. Quant au
_ "wi 8e exact, il sera fait avant l'établissement de
. , el dans une usine. En augmentant le volume
pr WU, is ] qui est fa-
Sram SP de trois pouces cubes, ce qui es
cile à faire, on aurait eu, au lieu de 19 védros indiqués
par le compteur, les chiffres: 19,02, 18,99, 19,03,
18,98, 18,99. Si l’on considère que la norme adoptée
actuellement pour la perception des impots sur les
eaux de vie, est établie sur une base fictive qui com-
porte une incertitude jusqu'à 40%, à 60*/ au préju-
dice du fisc, les différences entre les chiffres ci-dessus
donnés, insignifiantes comme elles sont, sont les avo-
cats les plus éloquents, s’il s’agit de faire ressortir
l’importance de ce mode de contrôle de la production
effective des usines d’eau de vie.
Quant à la force moyenne des eaux de vie mesu-
rées par l’appareil, l’erreur commise n’a pas dépassé
les 0,5%, de tolérance admis par le gouvernement.
Bericht über die neuen Acquisitionen der zoolo-
gischen Sammlungen während des 1863sten
Jahres und die darin ausgeführten wissen-
schaftlichen Arbeiten, von F. Brandt. (Lu le
22 janvier 1864.)
Die Sammlungen der Akademie sind auch im Ver-
laufe des 1863sten Jahres theils durch Geschenke,
theils durch Tausch, theils durch Ankäufe vielfach
vermehrt worden. Die Ankäufe waren weniger be-
deutend, weil noch fast die Hälfte der Etatssumme
-| zur Tilgung des Betrages einer frühern Acquisition
verausgabt werden musste. Dagegen lieferten die von
mehreren Personen gemachten, zum Theil sehr ansehn-
lichen Geschenke nebst dem Tauschverkehr einen
nieht unerheblichen Zuwachs an theilweis seltenen
oder nicht vorhandenen Gegenständen. Hr. Flügel-
Adjutant Birilew und Hr. Pawin schenkten eine
sehr ansehnliche Sammlung von Thieren, besonders
von Krebsen und Conchylien des südlichen Japan und
japanischen Meeres. Hrn. Collegienrath Danilewski
verdanken wir eine nicht unbedeutende Zahl nordeu-
ropäischer Meeresprodukte. Hr. Magister Göbel über-
gab dem zoologischen Museum eine Menge von Ge-
genständen, die er während seiner Reise auf dem caspi-
schen Meere gesammelt hatte Hrn. Dr. Albrecht,
früheren Arzt in Hakodade, sind wir für eine neue Mit-
theilung japanischer Gegenständ verbunden. Hr. Graf
E. v. Keyserling schenkte dem Museum Exemplare
der von ihm in Persien gesammelten Amphibien, da-
mit Hr. Dr. Strauch sie bestimme und bearbeite.
21
Bulletin de l'Académie Impériale
Hr. Magister v. Seidlitz in Nucha sandte dem Mu-
seum mehrere caucasiche Gegenstände. Hr. Magister
Schmidt hatte die Güte der zoologischen Sammlung
mehrere von ihm vom Amur mitgebrachte zoologi-
sche Gegenstände zu übergeben. Hr. Kaufmann Ha-
mel überlieferte dem Museum eine Reihe interessan-
ter Objecte aus dem Nachlasse seines Onkels, des ver-
storbenen Akademikers Hamel.
Aus der Classe der Säugethiere erhielt das zoolo-
gische Museum 21 nicht vorhandene Arten, im Gan-
zen 30 Exemplare. Die Vögelsammlung wurde um 88
Arten in 175 Exemplaren bereichert, die der Amphi-
bien um 4 Arten in 50 Exemplaren, der Fische um
40 Exemplare, der Krebse um 30 Arten in 200 Exem-
plaren, der Insekten um 100 Arten in 300 Exempla-
ren, der Spinnen um 25 Arten in 80 Exemplaren, der
Anneliden um 10 Arten in 20 Exemplaren, der Hel-
minthen um 14 Arten in 30 Exemplaren, der Mol-
lusken um 200 Arten in 1000 Exemplaren, der Echi-
nodermen um 25 Exemplare, der Polypen um 10
Exemplare und der Spongien um 7 Exemplare. Aus-
serdem wurden 20 Eier und 6 Skelete, das Gypsmo-
dell eines Dodo, Abgüsse von Fussknochen des riesi-
gen Epiornis, 4 Exemplare von Überresten des Ma-
mont und mehrere Fragmente von Knochen des Bos
urus fossilis der Sammlung einverleibt.
Den grössten Zuwachs erhielt durch die. genann-
ten Materialien die Classe der Mollusken, Krebse und
Vögel. Auch die Sáugethiere und Insekten genannin
manche Bereicherungen.
Dass die zoologische Ha im Frühlinge je
ses Jahres zwei neue Säle erhielt, aus denen die ver-
gleichend-anatomische Sammlung in ein anderes, un-
ter dem zoologischen Museum gelegenes, Local über-
geführt wurde, haben wir in dem in einer Beilage
zum Bulletin mitgetheilten Abriss der Reset der
Sammlung umständlicher angeführt. ` bas
Wie in den frühern Jahren wurden auch. im ver-
flossenen, 1863sten, sehr verschiedenartige wissen-
schaftliche Arbeiten und Untersuchungen theils von
Akademikern, theils von den Conservatoren Mora-
witz und Radde, so wie von einigen fremden Perso-
nen ausgeführt.
Der Akademiker Brandt fuhr fort ng ver-
gleichend - osteologische Studien über die Sirenien,
Pachydermen und Cetaceen anzustellen, om nach | e
Maassgabe ihrer inneren Organisation die Beziehun-
gen dieser Gruppen und ihrer einzelnen Gattungen
zu einander näher zu ermitteln. Besonders nahmen
neuerdings die untergegangenen Formen der Pachy-
dermen seine Aufmerksamkeit in Anspruch. Auch hat
er bereits zwei kleinere, auf den letztgenannten Ge-
genstand bezügliche Arbeiten (über das Dinotherium
und Elasmotherium) veröffentlicht. In den Museen von
Paris und Prag konnte er übrigens im verflossenen
Sommer seine über fossile Pachydermen angestellten
Untersuchungen mannigfach vervollständigen. Ausser-
dem leitete er die Angelegenheiten des Museums, be-
sorgte die Ankäufe und den Tauschverkehr und erwarb
während seiner Sommerreise für dasselbe mehrere in-
teressante Gegenstände.
Hr. Akademiker v. Schrenck setzte seine asii-
liche Bearbeitung der Mollusken des nordjapanischen
Meeres, des Meerbusens der Tatarei und des Amur-
landes fort; eine Bearbeitung, die sich keineswegs
auf die Beschreibung neuer Arten beschränkt, son-
dern auch die bekannten in systematischer und zoolo-
gisch-geographischer Beziehung beleuchtet. Die ge-
nannten, sehr umfassenden Untersuchungen werden
den zweiten Band seines Reisewerkes bilden, der sich
bereits unter der Presse befindet. Hr. Akademiker v.
Schrenck versah auch während Brandt’s viermo-
natlicher Abwesenheit die Stelle des Directors der
zoologischen Sammlungen.
Der Conservator. der entomologischen Abtheilung
des zoologischen Museums, Hr. Morawitz, veröffent-
lichte in den Memoiren der Akademie in Folge, einer
von Hrn. Dr. Albrecht aus Hakodade gemachten
Käfersendung eine Übersicht der auf Jesso bis jetzt
gefundenen Raubkäfer aus der Abtheilung der Ciein-
delen und Carabicinen. Ferner. beschäftigte. ihn. die
Herausgabe der Descriptions des nouvelles espèces des
| Lepidoptères des verstorbenen Conservators Méné-
triés, sowie die Publikation der von O. Bremer ver-
fassten Beschreibung der von Maack und Radde ge
sammelten Schmetterlinge Ostsibiriens. und des Amur-
landes. Die beiden letzt t ünden sich
ebenfalls auf Materialien. des akademischen Museums.
Neben den eben genannten Arbeiten Morawitz’s neh-
men die theils von ihm bei Petersburg und Würzburg
ÀA rhei teng
| re theil le aus. mehreren Som wer
rflügler. seine wissens
4 7 arn a
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
326
tigkeit in Anspruch. Ausserdem brachte er die der
Sammlung noch nicht einverleibten Materialien in bes-
sere Ordnung , bestimmte die aus Ostsibirien einge-
sandten Insekten, ferner die von Hrn. Dr. Albrecht
geschenkten japanischen Schmetterlinge und begann
die Revision und genauere Catalogisirung der als be-
sondere Abtheilung aufgestellten speciellen entomolo-
gischen Werke.
Der früher als supernumerärer Conservator, jetzt
in Tiflis angestellte, bekannte Amur-Reisende, Dr. G.
Radde, vollendete im zoologischen Museum den zwei-
ten Theil seines Reisewerkes, welcher die umständ-
liche Beschreibung der von ihm in Ostsibirien und im
Amurgebiete beobachteten Vögel enthält und kürzlich
erschienen ist.
Die vom Museum der Akademie ausgehende För-
derung der zoologischen Wissenschaften beschränkte
sich überdies auch in diesem Jahre nicht auf die bei
der Akademie angestellten, ebengenannten Personen,
sondern es wurden in demselben, wie zuvor, auch von
mehreren Fremden wissenschaftliche Untersuchungen
und Arbeiten darin ausgeführt. |
Hr. Magister Sewerzow machte in den Sammlun-
gen ornithologische Studien.
Br. Dr. Strauch beschäftigte sich mit der Bestim-
mung der Amphibien des Museums, besonders mit
den Seincoiden und der Bearbeitung der vom Hrn.
Grafen E. Keyserling ihm zugeschickten, bereits er-
Wähnten persischen Reptilien, worunter er zwei neue
Gattungen auffand, die er im Bulletin der Akademie
‚beschrieb. |
. In der entomologischen Abtheilung des Museums
bearbeitete Hr. Magister Blessig die langhörnigen
Käfer Südostsibiriens, während Hr. v. Solsky dieselbe
für eine Übersicht der Staphylinen Petersburgs be-
Die zoologische Bibliothek, welche auch im Jahre
1863 manchen Zuwachs erhielt, wurde durch die
- We des Hrn. Dr. Strauch vollständig revidirt.
Die rein entomologischen Werke wurden bei dieser
| heit zum bequemeren Gebrauch und aus Man-
Über die anderen zoologischen Werke verfer-
i an Raum im entomologischen Cabinet unterge-
rselbe einen Zettelcatalog und ausserdem noch
|. adere Cataloge, wovon drei die grösseren Werke
“rem Formate aufführen, die beiden anderen
aber Verzeichnisse der Broschüren und Separatab-
drücke (welche in einem besonderen Schranke in Map-
pen aufgestellt sind) enthalten.
Der bis jetzt, mit Ausschluss der speciell entomo-
logischen Schriften neu aufgestellte und catalogisirte
Theil der zoologischen Bibliothek enthält 1366 Werke
in 3011 Bänden und 1711 Brochüren oder Separat-
abdrücke.
Im Verlaufe dieses Jahres wurde das zoologische
Museum ohne vorher ausgetheilte Eintrittsbillete dem
Publicum an jedem Montag geöffnet. Durch den Weg-
fall derselben hat sich die Zahl der Besucher im
Vergleiche zu früher nicht vermehrt, sondern ver-
ringert.
Männer der Wissenschaft, Fremde und Studirende
fanden, wie immer, täglich Zutritt.
Das zoologische Museum erfüllte also nach Maass-
gabe seiner Mittel seine Aufgabe auch im Verlaufe
des Jahres 1863 in den verschiedensten Richtungen,
sowohl als wissenschaftliche Anstalt, als auch als Ge-
genstand von allgemeinerem Interesse.
Messungen eines besonders vollkommen ausge-
bildeten Anorthitkrystalls vom Vesuv. Von
Nicolai v. Kokscharow. (Lu le 1 avril 1864.)
Wenn man in der Natur, vielleicht auch zu oft,
Krystallen begegnet, deren Winkel unter einander
nicht ganz gut stimmen, so giebt es doch auch solche,
welche so vollkommen ausgebildet sind, dass ihre Win-
kel fast genau mit denen zusammenfallen, die man aus
abgeleiteten Axenverbültnissen berechnet hat, Ich
habe schon vor langer Zeit die Aufmerksamkeit der
Mineralogen auf mehrere dergleichen Fälle zu lenken
gesucht (wie z. B. bei dem Rutil, Bleivitriol, Apatit,
Pajsbergit u. a. m.); jetzt will ich noch ein Beispiel
soleher Art erwähnen. Mein hochverehrter Freund,
Sr. Ex. Dr. v. Rauch, Ehrenmitglied der Akademie,
hat mir zwei kleine Anorthitkrystalle vom Vesuv ge-
geben, von welchen der eine (Krystall N° 1) durch
die Vollkommenheit seiner Ausbildung gewiss sebr
merkwürdig ist: er giebt allein ganz dieselben Zahlen,
die sich aus Marignac's genauen Messungen berech-
nen. Meine eigenen Messungen wurden mit Bülfe des
Mitscherlich’schen Reflexions Goniometers. welches
327 Bulletin de l'Académie Impériale
mit einem Fernrohre versehen war, vollzogen, und
man kann dieselben als sehr genau betrachten.
Um sich die Resultate meiner Messungen anschau-
lich zu machen, füge ich hier noch folgende Figur
(eine horizontale Projection) bei, auf welcher alle bis
jetzt bekannten Formen der Anorthitkrystalle zusam-
mengestellt sind.)
Für die Grundform des Anorthits nehme ich eine
triklinoëdrische Pyramide an, nach Marignac’s und
meinen Messungen mit folgenden Axenverhältnissen :
a:b:c= 0,86663:1,57548:1
a = 88? 48/20", B= 64° 430”, y — 86° 46' 38"
=87 6 0, B= 63°87 0", C—85°50 o".
Hier sind: a die Verticalaxe, b die Makrodiagonal-
axe, und c die Brachydiagonalaxe; « der Winkel, den
die Makrodiagonalaxe b mit der Brachydiagonalaxe c
bildet, 8 der Winkel, den die Verticalaxe a mit der
Brachydiagonalaxe c bildet, und y der Winkel, den die
Verticalaxe a mit der Makrodiagonalaxe b bildet; A
der Winkel, der zwischen dem makrodiagonalen und
dem brachydiagonalen Hauptschnitt liegt, B der Win-
kel, der zwischen dem makrodiagonalen und dem ba-
sischen Hauptschnitt liegt, und C der Winkel, der |
zwischen dem brachydiagonalen und dem basischen
Hauptschnitt liegt.
Die Krystallformen, welche in der oben angeführ-
ten Figur gegeben sind, erhalten folgende krystallo-
graphische Zeichen:
1) Auf dieser Figur gebe ich auch die Formen a, B, 3 und 9, die | :
ich in Lepolithkrystallen bestimmt habe, und die bis jetzt in den
Anorthitkrystallen vom Vesuv noch nicht bestimmt waren.
In der Figur. Nach Weiss. Nach Naumann.
Pinakoide.
Per: . “.(a:æb:oc)...... e oP
Biss (sa : D: c)....:.. Po
JTE (wa: b:c)....... Po
Makrodiagonale Hemidomen.
dn (a:b:—3c)...... 3,P,»
EEE (a 209b :4—6).. ee ‚P,»
ZS (a:eb:—16c)...... 2,P,»
tuées G'ech:Äei 2 Da
Brachydiagonale Hemidomen.
RE (ai Stef vit 3,P'eo
Wr. CURA (a:1b:e)...... . . 2, P^
sr er 4,P'~
EE (a:4b:00€).. . . ....6,P'o
Masini à (a: —3b:e)....... YP,»
On... Be EN
bate. (à: —1b:o2)....... 2 Dee
te (a:—1b:s0c).. .... .6'P,o
TTEA (a: 4b: — 10). COLS PTS
des smtp (œa: b: c). œP
has sx Di Del sa leg JP
5 un (98 :db:6). 2... coP'3
EN... (ai —1b:c)...... x P3
Viertelpyramiden.
s den Ng (a:b:c). pup.
Sek ag bit)... P
i) s. (a:—b:—26)..... P,
boss, did (a:b:—c)...... vo
g..... (a:—1b:— 410)... .. 2P,
U ......(a:ib:—3c)......2,
€ copus (a:2b:— 20)... ... LP
RUE 28:10 095775 3,P3
Bera PUE E TO Eer us
B......(a:—1b:1c)...... £P3. um
CHE DEEN apanita
329 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 330
In der Figur. Nach Weiss. Nach Naumann. P : c (über k und n).
ES. (a: —2b:—30)..... 4P,2 N° 2= 104° 51’ 0"
E (a:3b:— äei, £p2 Marignac— 104 30
= N adi o ! gn
EL. (a: ib;— 19) 4P,2 (Nach Rechnung = 104? 50° 3")
Po. cht en 4,P2 ee
er N° 1 = 110° 38’ 50"
Folgendes sind die Resultate meiner Messungen’): G.Rose — 110 57
P:M (über k, n und c). Marignac=110 40
N° 1— 85° 50' 0° (Nach Rechnung = 110° A0 6.)
Andere Kante — 85 49 0 M:n (über c).
Mittel = 85° 49° 30" | Nr == 180°37 50"
G. Rose = 85° A8 : Andere Kante — 132 36 0
Marignac —85 50 Mittel = 132? 36’ 30”
Scacchi =85 37 N°2 — 139° 39’ 40"
(Nach Rechnung = 85° 50° 0”, also der Krystall (Nach Rechnung — 132° 35’ 48”. DerKrystall N°1
N° 1 giebt fast dieselbe Zahl.)
P:M (über 6, e und r).
N° 1 — 94° 10' 10"
Andere Kante — 94 9 50
Mittel = 94° 10° 0"
(Nach Rechnung — 94° 10’ 0”.)
P:n (über k).
N: 1 = 133° 13" 0’
ds 13319: D
Andere Kante — 133. 11 30
Mittel = 133° 14 30"
G. Rose = 133° 13'
Marignac — 133 14
(Nach Rechnung = 133° 14° 12".
N° 1 kommt wieder sehr nahe.)
e e (über 6).
B 1= 137° 20° 0"
Andere Kante — 137 19 0
E 197: 9200
Mittel = 137? 20’ 30”
G: Rose — 137 22
Marignac — 137 20
(Nach Rechnung — 137° 21’ 35")
(MM EL LI
Der Krystall
2) Zum Vergleich habe ich auch zu meinen Zahlen die Winkel
oe, die von G. Rose abgeleitet wurden, und die welche Ma-
Sp durch unmittelbare Messungen erhalten hat. Die ersteren
ich aus Gilbert's Annalen 1823, Bd. LXXIII, S. 175, und die
E aus Descloizeaux's « Manuel de Minéralogie » 1862,
Premier p. 294 entlehnt.
giebt wieder fast dieselbe Zahl.)
M’: e (über r).
N'1— 136? 49' 0
(Nach Rechnung = 136° 48' 25")
Min.
N° 1= 117? 48' 40"
Marignac — 117 44
(Nach Rechnung = 117?47' 0.)
M: o' (über x”).
N°1—115° 5’ 30"
G.Rose =115 20
Marignac=115 0
(Nach Rechnung — 115° 6’ 52^)
per,
N° 1 = 125° 43' 0”
G Rose —125 38
Marignac=125 42
(Nach Rechnung = 125° 43’ 0”)
p': o' (über x’.)
N° 1= 127° 6° 30°
(Nach Rechnung = 127? 6' 8^.)
p' : T’ (über g’).
N° 1 = 123° 39' 30"
(Nach Rechnung = 123° 36° 54^)
p’: e (unliegende).
N° 1= 135° 51 0°. Se
(Nach Rechnung = E ETE à
331 Bulletin de l’Académie Impériale
E
o' : P (über a)
N° 1= 122° 6' 50"
G. Rose “= 121? 50
Marignac=122 16
(Nach Rechnung = 122° 8' 15°.)
o' : T (über n).
N? 1= 81° 23’ 30”
Marignac —81 34
(Nach Rechnung = 81° 24' 6^)
o' : T (über y’).
N° 1 = 98° 36' 0"
Marignac — 98° 26
(Nach Rechnung = 98° 35° 54°.)
1:P (über m).
N° 1— 114° 6 10"
| Marignac—114 3
(Nach Rechnung — 114° 6' 36".)
U : o' (über u‘).
N 1 = 123° 45’ 0
(Nach Rechnung = 123° 45 9.)
1: M' (über f).
N°1—121° 55 30" —
G: Rost 192 7: |
Marignac=122 0
(Nach Rechnung = 121? 55’ 44^)
1: p' (über e).
N° 1= 85° 35’ A0
. (Nach Rechnung = 85° 24 44^)
l': y (über d’).
N12 134° 35' 0^
Marignac = 134 36
(Nach Rechnung = 134° 36’ 30”.)
` l:e (über $).
N° 1 = 129° 43 0"
Marignac — 129 52 -
(Nach Rechnung = 129° 45' 24")
y’: y (über s'.)
N° 1= 139° 48" 0 ..
(Nach Rechnung = 139? 48 34^) |...
y:e (über 1). :.
N° 1 = 84° 17’ 30°
(Nach Rechnung = 84° 21! 545) EE
y:n (über T).
N° lz 83° 7 30
N2=833 8 0
Mittel — 83° 6° 15"
(Nach Rechnung = 83° 8 26". Wieder kommt N' 1
sehr nahe.) y :T (über M).
N° 1 — 136? 21' 30"
N'2-2139- 17 20
Marignac — 136 20
(Nach Rechnung — 136? 22' 56". Der Krystall N°1
kommt also wieder sehr nahe.)
y’: 0’ (über i’).
N° 1-142? LA 0"
(Nach Rechnung = 142? 13' 6^.)
y:c (untere y zum oberen c).
N° 2 = 86° 34° 30"
(Nach Rechnung = 86° 37° 10^)
y’: M’ (über g’).
N° 2 = 89° 26’ 45"
Marignac — 89 27
(Nach Rechnung — 89° 27’ 26".)
n:T (über b). `
N°1—126° 45’ 0"
N°2: 120 47 30
Mittel — 126° 46’ 15"
Marignac — 126 47
(Nach Rechnung = 126° 45' 32”)
DE >
N° 2 — 138° 16’ 10"
(Nach Rechnung — 138° 14" 32^)
z:T. i
N° 2 — 148° 31' 40"
| G. Róse es 148 : 97 11/095:
(Nach Rechnung — 148? 31° 8) |
e : z: y'. iE DR, TS a
N°9 = 114° 25° 30” | |.
‚(Nach Rechnung — 114° 29.22") , sisi
ee er ; E rers į Ra ciet E
| N°2 16990":
(Nach Rechnung = 152° 7’ 52”)
ADERAT E hen ad u un
333
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
RP.
N°2 — 146° AA 30"
(Nach Rechnung — 146° 42' 58")
T :1 (über h).
N° 1 = 120° 29° 45"
G. Rose — 120 30
Marignac — 120 30
Scacchi =120 32
(Nach Rechnung = 120° 20 50”.)
T : M' (über D
NEE 62? 25.0"
G. Rose — 62 32
Marignac — 62. 26
Scacchi .:== 62 :27
(Nach Rechnung = 62° 26’ 34^.)
y: P (über h).
N°1 = 81° 12° 50"
Marignac— 81 14
| noise —81 31
(Nach Rechnung = 81° 13’ 52”)
BL y : M (über u).
N' 1-90? 3140
Marignac — 90. 33
- (Nach Rechnung — 90° 32' 34.)
Noch ein Wort über das Blasen der Cetaceen,
mit bildlichen Darstellungen, von dem Akad.
. V. Baer. (Lu le 1 avril 1864.)
Die Zoologen unter unseren Collegen werden sich
erinnern, dass ich zweimal die bis dahin gangbaren
Vorstellungen vom Ausstossen von Wassersäulen durch
die Cetaceen einer Kritik unterworfen habe. Dieses
geschah zuerst in Königsberg im Jahre 1826, nach-
dem die anatomische Untersuchung an Delphinus Pho-
Dog mich gelehrt hatte, dass das hintere Gaumensegel
(der Arcus pharyngopalatinus) fast horizontal liegt,
derb ulös ist und mit nur geringer Öffnung die
Spitze des sehr verlängerten Kehlkopfes umschliesst,
der sich oberhalb. dieses Gaumensegels in einem Raum
Të, welcher entschieden schon zum Bereiche des
` Mungsapparates gehört'). Es schien mir unleugbar,
dass beim Schlucken die museuli pharyngopalatini den
Kehlkopf eng umschliessen und gar kein Wasser hin-
aufdringen lassen. Ich kann noch hinzufügen, dass
schon bei grossen Vierfüssern, z. B. dem Elen, sehr
auffallend, handgreiflich könnte man sagen, die Textur
und Bekleidung der Schleimhaut oberhalb des hinte-
ren Gaumensegels eine ganz andere ist als unterhalb
desselben, und dass schon bei diesen Thieren jene
obere Hälfte der Rachenhöhle entschieden dem Ath-
mungsapparat angehört, und nur die untere Hälfte
der Athmung und Deglutition gemeinschaftlich dient,
aber viel mehr dem verdauenden Apparate gemäss
organisirt ist. Da in den Delphinen der langgezogene
Kehlkopf bleibend bis über das hintere Gaumensegel
reicht, und von ihm kräftig umschlossen werden kann,
der Athmungsapparat also geschlossen durch den Ver-
dauungskanal hindurch geleitet ist, konnte ich nicht
umhin, für Scoresby’s Ausspruch mich zu erklären,
dass nicht Wasser, sondern Athem von den Cetaceen
ausgestossen werde. Ich konnte noch hinzufügen,
dass, wenn dennoch etwas Wasser hervorgespritzt
werden sollte, dieses nicht aus dem Schlundkopf kom-
men könne, sondern etwa vorher in den äussersten
Theil der Nase eingedrungen sein müsse.
Eine zweite Note publicirte ich in St. Petersburg’),
nachdem durch Vermittlung des Admirals Lütke,
unseres jetzigen verehrten Herrn Präsidenten, eine
Anzahl von Personen, welche das Beringsmeer, zum
Theil viele Jahre hindurch, befahren hatten, von mir
befragt worden waren. Alle versicherten nicht nur,
dass sie nie Wasser beim Blasen gesehen hätten, son-
dern nur Luft, aus der höchstens Tröpfehen nieder-
fielen, und dass überhaupt die Meinung, es würden
Quantitäten von Wasser ausgeworfen, in jenen’ Ge-
genden völlig unbekannt sei. Ich überzeugte mich nun,
dass die von den Zoologen so lange festgehaltene An-
sicht von Wasserstrahlen nur auf den eben so be-
stimmten, als irrigen Angaben von Plinius beruhe,
dass eine Orca ein Boot versenkt habe, indem sie ihre
Wassersäulen in dasselbe ergoss. Ich publicirte diesen
zweiten Aufsatz in französischer Sprache, weil die
Franzosen fest an der früheren Ansicht hielten und
einen Widerspruch aus dem fond du nord nicht be-
fchten wollten. Der grosse G. Cuvier gab noch in
2) Bulletin de l'Acad. de St.-Pétersbourg, Vol. I, p. 87.
Bulletin de l'Académie Impériale
der zweiten Auflage seines Règne animal (1829) ganz
dieselbe Darstellung wie in der ersten, und wie in einer
früheren besonderen Abhandlung. Sein Bruder F. Cu-
vier erklärte in seinem ausführlichen Werke über die
Cetaceen, noch im Jahre 1836, wie die Delphine das
verschluckte Wasser in die Nase treiben und durch
die Spritzlöcher auswerfen. An einer anderen Stelle
sagt er, dass zwar Scoresby daran zweifele, dass die
Wallfische Wasser auswerfen und nur Dampf gesehen
habe, dass man aber auch die entgegengesetzten An-
gaben nicht weniger glaubwürdiger Beobachter nicht
für lügenhaft erklären kënne"), Von Lügen ist nie die
Rede gewesen, sondern nur von Vorurtheilen, veran-
lasst durch Plinius und eine fehlerhafte Übersetzung
von Martens Spitzbergischer Reise. Fr. Cuvier
liess aber doch in allen Abbildungen die Zier der Fon-
tainen weg.
Es ist meine Absicht nicht, diese Frage noch ein-
mal vollständig zu erörtern. Es scheint mir, dass nach
dem von Eschricht in seinem grossen Werke über
die nordischen Wallfische die sehr bestimmten, dem
Wasserauswerfen entschieden widersprechenden An-
gaben des Capt. Holbóll, der achtzehn Sommer in
den Grönländischen Meeren zugebracht hatte, mitge-
theilt sind, ein Festhalten der früheren Ansicht nur
auf Eigensinn beruhen kann, der sich nicht belehren
lassen will, und den man daher nicht stören sollte.
Holböll erklärt, dass er aus der Nähe und aus der
Ferne nur Athem erkennen konnte, nicht Wasser ‘).
Nur aus dem Grunde nehme ich diese Frage wie-
der auf, weil mir keine naturgetreue Abbildung des
Phaenomens bekannt ist. Nun habe ich ein Paar sol-
cher Abbildungen schon im Jahre 1840 im Eismeere
unmittelbar bei der Beobachtung entworfen. Ich hoffte
sie gelegentlich vermehren zu können, aber da wohl
wenig Aussicht bleibt, dass ich noch einmal in den
hohen Norden komme, und diese Abbildungen nach
24 Jahren mir wieder in die Hände fallen, halte ich
es nicht für überflüssig, sie zu publiciren. Sie zeigen
wie ich glaube, unwiderleglich, dass das Ausgestos-
sene wesentlich aus feuchter Luft (Athem) besteht;
die zweite lehrt aber auch, dass unter ege Um-
3) Fr. Cuvier, Histoire naturelle des Cétacés, p. 89, 37
4) Eschricht, Zool.-anat.- Ant hand ut über die
nordischen Wallfsche. Bd. I. 1849. Fol. Anhang.
ständen etwas mehr Wasser — doch nur in Tropfen
— gesehen werden kann, selbst von Beobachtern,
welche die Überzeugung mitbringen, dass das soge-
nannte Blasen der Cetaceen*) im A usstossen des Athems
besteht.
Am Bestimmtesten sieht man diesen Vorgang bei
vollkommenster Windstille und vóllig durchsichtiger
Luft. In solchen Zeiten lieben die Wallfische (in den
Gegenden um Lappland herum, in denen ich war, sieht
man nur Finnfische, Balaenopteren,) in kleinen Trupps
an der Oberfläche sich zu halten. Man sieht dann hie
und da aus einer solchen Gegend plótzlich eine Sáule
ganz senkrecht sich erheben. Diese Sáulen unterschei-
den sich von der umgebenden Luft nur durch ihre
geringere Durchsichtigkeit und haben daher einige
Ähnlichkeit mit Rauchsäulen, die aus Schornsteinen
aufsteigen. Indessen sind sie weniger dunkel gefärbt
und schiessen ganz plôtzlich und bei vülliger Wind-
stille senkrecht in die Hóhe, weil sie durch einen
Stoss ausgetrieben werden. Gleich nach dem Auf-
schiessen breitet sich die Sáule am oberen Ende etwas
aus, ohne Zweifel, weil die Wirkung des Stosses hier
aufhórt. In einem zweiten Moment, d. h. in weniger
als einer Secunde nach dem Ausstossen, ist der un-
terste Theil der Säule undeutlich oder auch schon
ganz unsichtbar, dagegen hat die obere Ausdehnung
zugenommen und sich flacher ausgebreitet. Sie gleicht
einem kleinen Nebel. Noch etwas später, doch noch
innerhalb der ersten Sekunde, oder am Schlusse der-
selben, ist die Sàule ganz geschwunden, dagegen hat
sich der Nebel noch mehr ausgedehnt. Dieser erhält
sich noch einige Secunden in der Luft schwebend,
wie ich viele Male sehr deutlich gesehen habe, doch
wird er allmählich kleiner und zarter, indem er sich,
wie jeder kleine Nebel, der nicht wüchst, auflóst. Das
Ausgestossene ist also mit Dampf erfüllte Luft, denn
Wasser könnte sich ja nicht schwebend erhalten, Mit
einem guten Fernglase glaubte ich auch eine Anzahl
kleiner Trüpfchen innerhalb der Säule zu erkennen,
doch nie ganz deutlich. Dass von dem ausgestossenen
Dampfe ein Theil zu Tröpfchen sich condensirt, ist
bei der hohen Temperatur des Thieres und der Kälte
der Luft über dem Eismeere sehr natürlich. Dicht
neben dem Schiffe des Capt. Kotzebue stieg einmal
5) Isis 1848, S. 278.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
ein Wallfisch auf, der sogleich blies, als er die Ober-
fläche erreichte. Die benachbarte Stelle des Decks
wurde wie mit Tropfen besprengt, aber nirgends war
so viel Wasser, dass es zusammengeflossen wäre.
Auf einander folgende Formen einer von einem Finnfisch ausgestos-
T senen Dampfsäule.
- Dass die ausgestossene Dampfsäule am untersten
Ende einen gedoppelten Ursprung haben müsse, be-
zweifele ich nicht, doch ist es mir nicht geglückt, die-
sen zu sehen, ohne Zweifel, weil er nur gesehen wer-
den kann, wenn die Mittellinie des Wallfisches ganz
in der Gesichtslinie des Beobachters liegt.
- Dass dieser Dampf oder der Athem mit lautem
Behalle ausgestossen wird, erklärt sich leicht aus der
Grüsse und Derbheit der Lungen, die sich viel fester
anfühlen, als die Lungen der Landsäugethiere, und
sich also wohl auch kräftiger zusammenziehen, aus
dem mächtigen Muskelapparate, der den Brustkasten
zusammendrückt, und aus der Enge des Kehlkopfes.
Der Athem wird hervorgeschossen wie aus einer Wind-
büchse und die tiefen Hautfurchen der Finnfische
pressionen des Thorax zu folgen, wogegen bei dem
eigentlichen Wallfische das sehr lockere und dickere
Fe eitgewebe unter der Haut ein langsameres Nachfol-
gen der eigentlichen Haut gestattet.
| . Wenn die Luft bewegt ist, so steigt die Dampfsäule
ticht gerade auf, sondern neigt sich nach der Rich-
Be Windes. Ist dieser heftig und kalt, die See
| auch in starkem Wogen, so werden auch wohl
Pr und grössere Wassertropfen in die Höhe gewor-
mue nicht mehr zweifelhaft, sondern sehr
E Ee grósseren Delphinen. Ich habe auch da-
eg ein Bild gezeichnet und will es mittheilen. Es
e EN Heerde einer grósseren Delphin-Art, wahr-
- a m h Delph. Orca, welche ziemlich nahe auf stür-
‘en Wogen sich hob und senkte.
Tome VIL —
müssen es der Haut erleichtern, den plótzlichen Com- |
Delph, Orca(?), auf stürmischen Wasserwogen sich tummelnd und
mit dem Athem zugleich Wassertropfen aufwerfend.
Ein solcher Anblick mag der Sage vom Ausstossen
des Wassers einige Nahrung gegeben haben. Allein
wie ein kalter Wind einen Nebel in Tropfen zusam-
menpeitscht, was man an jeder Gebirgszacke sehen
kann, so muss es auch hier sein, und weil die Del-
phine im bewegten Wasser immer auf und nieder
steigen, so muss Wasser ihren glatten Rücken hinab
auf das Spritzloch fliessen und beim Ausstossen des
Athems mit in die Hóhe gerissen werden. Dazu kommt
noch, dass bei den Delphinen das Spritzloch nicht auf
der Hóhe eines Buckels steht, wie bei den Wallfischen,
sondern in der allgemeinen gekrümmten Fläche des
Scheitels, und dass es selbst im geschlossenen Zu-
stande ein kleines Grübchen bildet, in welchem sich
etwas Wasser sammeln muss. Das Spritzloch hat be-
kanntlich eine halbmondförmige Gestalt. Der convexe
Rand dieses Halbmonds ist nach hinten gerichtet und
liegt in der Fläche der übrigen Kopfdecken; die Con-
cavität ist aber von einem sehr weichen Polster (tem-
pon) ausgefüllt, das wenigstens im todten Thiere im-
mer etwas abfällt gegen den mondförmigen Rand.
Eine ganz kleine Quantität Wasser wird
à sich also hier immer ansammeln können.
Man sieht nämlich bei einem Ausstossen
durch Delphine, wie es in der vorherge-
henden Zeichnung abgebildet ist, in der Mitte auch
eine Dampfsäule, die nur bei dem heftigen Winde
sogleich verweht wird, im Umfange aber mehrere
Reihen von grossen Tropfen, die gar nicht mehr zwei-
felhaft, sondern sehr deutlich sind. Aber diese bilden
zusammen doch nur eine sehr geringe Masse und schei-
nen mir am zahlreichsten am hinteren Rande der
hervorgestossenen Garbe, wie ich die ganze Ejacula-
tion nennen móchte, da sie-etwas umherspritzt. Mir
schien es unzweifelhaft, dass der SteẸ zu diesen gros-
sen Tropfen nicht aus den Lungen kam, sondern
von der äusseren Fläche des Thieres. So spritzen ja
auch Seehunde, wenn sie den Kopf einige Zeit unter
| 22
Bulletin de l’Académie Impériale
Wasser gehalten haben, beim ersten Ausathmen im-
mer Wassertropfen umher. Diese kommen aber weder
aus der Lunge, noch aus der Nase, denn wenn die-
selben Thiere auf dem Trocknen liegen, oder auch
nur den Kopf einige Zeit über dem Wasser gehalten
haben, ist von diesem Spritzen nichts zu bemerken.
Bei grösseren Robben ist es beim Auftauchen aus dem
Wasser ziemlich bedeutend. Ich habe eine Mönchs-
robbe (Phoca Monachus) gesehen, die in einem gros-
sen Kübel dem Publikum gezeigt wurde. Nach jedem
Auftauchen aus dem Wasser, in dem sie gehalten
wurde, spritzte sie so stark umher, dass den Zu-
schauern, welche sie über den Rand des Kübels be-
trachteten, einzelne Tropfen ins Gesicht flogen.
Eschricht hatte in der Versammlung der skandi-
navischen Naturforscher im J. 1840 einen Vortrag
über Wallüsche gehalten und darin gesagt, die grosse
Menge Wasserdampf, welche der Athem der Cetaceen
enthält, müsse in der kalten Luft in Tropfen wie ein
Regen niederfallen. Dazu macht der Übersetzer die-
ses Berichtes in der Isis eine Anmerkung folgenden
Inhalts: «Nothwendig muss der Wallfisch, wenn er
«nümlich unter dem Wasserspiegel ausathmet, einen
«Theil Seewasser mit hinaufblasen; dies scheint mir
«doch eher einen solchen Regen bewirken zu kónnen,
«als die blosse ausgeathmete feuchte Luft, welche sich
«wohl in der Atmosphüre verliert, ohne dass in dem
«Augenblicke ihre Wasserdämpfe zu Tropfen verdich-
«tet würden.» Sonderbar, dass wenn ein Forscher
nach Jahre langer Bescháftigung mit einem Gegen-
stande, seine Überzeugung ausspricht, ein anderer so
schwer einen momentan aufstossenden Zweifel zurück-
halten kann! Ich habe in Bezug auf diesen Streitpunct
auch einige Erfahrungen gemacht, eine zufällige und
eine absichtliche. — Ich machte vor einer Reihe von
Jahren und zwar vor dem Bau der Nikolai-Brücke
einen Geschäftsgang am Englischen Quai, und dachte
an nichts weniger als an Cetaceen, als mir plötzlich
ein paar Wassertropfen auf das Gesicht fielen. Er-
schreckt warf ich den Blick in die Höhe, da ich kurz
vorher den Himmel schön blau gesehen hatte. Ich fand
ihn auch ganz eben so rein, allein ich sah nun auch
wenige Klafter von mir in der Newa, nicht etwa einen
Wallfisch, sondern ein kleines Dampfboot, das schon
seine Passagiere und die Bemannung abgegeben hatte.
Der Schornstein hatte aufgehört zu rauchen, auch sah |
man keine Dampfsäule aufsteigen. Dennoch musste
noch ein Rest von Dampf aufsteigen und in Tröpfchen
sich sammeln. Und wird nicht der Athem der Men-
schen und noch mehr der Pferde in kalter Luft sicht-
bar? Er bildet also Dampfbläschen und wenn man
gegen eine kalte Scheibe haucht, kann man Tröpf-
chen haben. Wenn ein Pferd prustet, so weiss jeder
Stallknecht, dass man nass wird, wenn man vor dem-
selben steht. Das plötzliche Ausathmen der Wallfische
ist aber diesem Prusten sehr ähnlich. — Was das
Ausathmen der Wallfische unter der Oberfläche des
Wassers betrifft, so habe ich mit einer gebogenen
Spritze, allerdings nur in kleinem Maassstabe, Ver-
suche angestellt. Wenn ich das Ausstossen der Luft
etwas tief unter dem Wasser vornahm, so wallte die-
ses nur etwas auf und glitt zur Seite nieder. Nur
wenn das Ausstossen der Luft ganz nahe von der
Oberfläche vorgenommen wurde, riss es einige Trop-
fen mit sich, die aber stark auf die Seite geworfen
wurden. Etwas tief unter der Wasserfläche wird wohl
der Wallfisch wenig Neigung haben zu blasen, da er
ohne Zweifel gleich darauf Luft einzuziehen das Be-
dürfniss hat. |
Noch möchte ich einer Beobachtung im hohen Nor-
den erwähnen, bei der ich zwar nichts sehen, aber
desto besser hören konnte. Unser Schiff lag still bei
der Insel Kildin, da Windstille eingetreten war. Es
fiel dort einem Wallfische ein, in der Nacht nahe an
unser Schiff heranzuschwimmen und sich über eine
Viertelstunde bei demselben aufzuhalten. Er stiess
die Luft bald ganz nahe am Schiffe aus, bald, wie es
schien, ein paar hundert Schritt von demselben. Se-
hen konnte ich das Thier nicht, da der Herbst schon
weit vorgeschritten und die Nächte dunkel waren,
desto besser aber konnte ich hören, indem auf dem
Schiffe alle Leute schliefen und auch in der Luft Alles
ruhig war. Ich passte genau auf, ob ich nach dem
Ausblasen ein Niederfallen von Wasser hören könnte.
Es war aber nicht einmal ein solches Plätschern zu
vernehmen, wie man es gehört hätte, wenn ein Glas
Wasser ausgegossen, oder grosse Regentropfen in die
ruhige See gefallen wären, über deren Spiegel das
‚Deck des kleinen Schiffes kaum eine Klafter erhoben
sein mochte. Das Ausstossen war allerdings recht
‚laut, hatte aber durchaus nicht Ähnlichkeit mit einem
Kanonenschuss, wie Lacepède meint, sondern den
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
342
Ton, als wenn wir aus der Mundhóhle comprimirte Luft
durch den wenig geöffneten Mund plötzlich ausstos-
sen, nur viel lauter. Der Ausdruck «Blasen» ist also
ganz charakteristisch. Es ist aber ein ausgestossenes
Blasen, nicht ein andauerndes, denn die Dampfsäule
erhebt sich in einem Augenblicke. Hr. Admiral Lütke
theilte mir mit, dass der Athem der Wallfische übel-
riechend empfunden wird, wenn er in der Nähe bläst
md man unter dem Winde ist. Ich erinnere mich,
Ähnliches in älteren Berichten gelesen zu haben.
Bericht über die „Beiträge zur Geschichte der
bulgarischen Kirche“ von Hrn. Zachariae von
Lingenthal Von E. Kunik. (Lu le 8 avril 1864.)
Die Geschichte der bulgarischen Kirche beginnt
nicht mit der Bekehrung eines Fürsten und seines Ge-
folges, sondern um 852 mit der Erfindung des slawi-
schen Alphabets durch den h. Cyrill und der von ihm
Miletalteten Übersetzung liturgischer Schriften in
undart der macedonischen Slawen, oder, um eine
geläufigere Bezeichnung zu gebrauchen, in die südli-
che Mundart des Bulgarischen. Schauplatz der ersten
Nissionsthätigkeit des h. Cyrill war aber die nur we-
an der Bregalniza (Boayadıvizta, Bpkraapunna, Bpé-
ranana), welche sich in den Wardar (A&ıös) ergiesst').
H Näher lässt sich einstweilen jene Gegend nicht bezeichnen,
1 ‚selbst nach einem neueren, durch seine albanesischen Studien
"ekaunten Reisenden (Reise von Belgrad nach Salonik, Von J. G.
Hä Besonders abgedruckt aus dem XI. Bande der Denkschrif-
der K. K. Akad. der Wissenschaften. Wien 1861 in-4e, p. 176,
ra «das Thal der Bregalniza fast noch unbekannt»
it - Kiepert — um von der im J. 1842 erschienenen ethno-
schen Karte von Schafarik nicht zu sprechen — auf seinen
en Karten die Mündung dieses Flusses nicht ganz genau an-
geben haben soll. Neuerdings hat Kiepert den Lauf der Bregal-
2.5 angedeutet auf Kay Kärtchen zur «Reise durch das Innere
europäischen Türkei im Herbst 1862. Von H. Barth. Berlin
en der Zeitschrift. für allgemeine Erdkunde).
die obige nnabme von der Erfindung des slawischen Alpha-
>= zunächst für die Slawen an der Bregalniza manchen
i bier nur versichert, dass jenes Factum au
griechischen Quellen beruht, die sich gegenseitig
Sestàtigen. Ob die Stadt Rawin an der Bregalniza
a?), in der Cyrill zuerst — um 852 — als Mis-
eren sein soll, mit der Eparchialstadt Bregalniza, für
lichael später eine so grosse Verehrung zeigte, iden-
nicht, lässt sich einstweilen noch nicht entscheiden.
SE icherung eines griechischen Mönchs existirte um
t noch e ein Dorf Bragarniza. Demnach würde die Stadt Istib
und
nige Tagereisen von Thessalonich entfernte Gegend |
Es unterliegt kaum noch einem Zweifel, dass schon da-
mals das sog. macedonische Bulgarie (n BevAyapımm
Maxsdcvia; slaw. Kaıokia; byz. Kotoxtoy anstatt Ka-
toxtov?) zum Reiche des Bulgarenchagan gehórte, der
um 850 oder bald darauf seine Herrschaft in Preslawa
(Hpscaasa, südwestlich von Warna) angetreten hatte
und neben seinem bulgaro-türkischen Namen Bogoris
(Boris) nach der Sitte seiner Dynastie auch einen
heidnisch-slawischen, Radiwoj (Paxuson, kneap npt-
caasckn), führte. Wenige Jahre später — im J. 861 —
nahm Boris selbst, nicht ohne Mitwirkung des ältern
Bruders von Cyrill, die christliche Religion an, zu
der sich nach und nach auch seine bulgarischen Un-
terthanen bekehren mussten. Nachdem darauf — seit
863 — den beiden Slawenaposteln in Mähren und Pan-
nonien ein noch grösseres Feld für ihre segensreiche
Thätigkeit eröffnet war, im J. 865 in Kiew die ersten
Keime christlicher Gesittung gelegt und um dieselbe
Zeit auch die heidnischen Serben ihrem alten Glauben
entfremdet wurden, musste das Bedürfniss nach bibli-
schen und kirchlichen Schriften in slawonischer Spra-
che immer stärker hervortreten. Der von den beiden
Slawenaposteln gegebene Anstoss blieb nicht ohne
Wirkung, da sich um sie ein Kreis von eifrigen Schü-
lern bildete. Zwar wurden diese nach dem Tode ihres
grossen Lehrers Methodius (+ 885) durch die Miss-
gunst und nationale Intoleranz der deutsch - katholi-
schen Priester aus den Ländern des tschechischen
Stammes und aus Pannonien theils vertrieben, theils
verschwanden die slawischen Kirchen in jenen Ge-
genden während der Einfälle der ungarischen Reiter-
schwärme, allein die Bulgarei bot den Vertriebenen ein
sicheres Asyl und unter dem aufmunternden Schutze
von Boris (t 907, als Mönch) und seines Sohnes Sy-
meon (f 927) setzten dieselben ihr Bekehrungswerk
und ihre literarische Thátigkeit in Nordbulgarien, wie
im bulgarischen Niederlande fort.
Obgleich-durch das Medium der aus dem Griechi-
schen gemachten bulgarischen Übersetzungen auch
&
(Uiru6®, nicht das alte Stobi, sondern eher das pe der Tab.
Pent.) an der Bregalniza, wo Victor G (Oue
nyremecrsis, pag. 141) eine Episcopalkirche fand pic wo in der
Schule slawisch unterrichtet wurde, davon ganz verschieden sein.
Jetzt gehört das Thal der Bregalnisa wahrscheinlich zum Sprengel
des griechischen Metropoliten von Strumiza (Tiberiopolis), der auch
den ofüeiellen Titel «é&apyoc Boukyaptxne Maxedoviag» führt, ge-
wiss aber kein Freund des slawischen Gottesdienstes ist.
29%
343
Bulletin de l’Académie Impériale
311
byzantinische Weltchroniken in Russland und Serbien
bekannt wurden, so bestanden doch die bulgarischen
Schriftdenkmäl ise aus Übersetzungen und
Bearbeitungen von Schriften theologischen Inhalts, mit
Einschluss der Sammlungen des canonischen Rechts.
Wir sind gewohnt, die zahlreichen slawischen Über-
setzungen, Bearbeitungen und Nachahmungen griechi-
scher und byzantinischer Schriften unter dem Namen
der kirchenslawischen Literatur zusammenzufas-
sen. Da aber den Grundbestandtheil derselben altbul-
garische und mittelbulgarische Handschriften bilden,
so sind wir von selbst darauf angewiesen, die Ge-
schichte der bulgarischen Kirche eine Reihe von fünf
Jahrhunderten hindurch nach verschiedenen Richtun-
gen zu erforschen. Leider sind manche Quellen, die
darüber Aufschluss geben könnten und einst vorhan-
den waren, nicht auf uns gekommen. Desto eifriger
aber haben wir die verhältnissmässig sehr dürftigen
Nachrichten zusammenzutragen, die in kirchenslawi-
schen Manuscripten, in der byzantinischen Literatur
und in päpstlichen Schriftstücken über das wechsel-
volle Geschick der bulgarischen Kirche vorkommen.
Die bulgarische Kirche erregt aber noch ein beson-
deres Interesse dadurch dass sie von Anfang an ein
Zankapfel zwischen den Patriarchen des alten und
neuen Roms wurde und nicht wenig dazu beitrug, dass
das sogen. Schisma zwischen der orientalisch- und
identalisch-katholischen Kirche zum Ausbruch kam
Die Päpste des 9ten und der folgenden Jahrhunderte
liessen es an Anstrengungen nicht fehlen, um dem
byzantinischen Stuhl die Jurisdiction über einen zahl-
reichen und Byzanz zunächst benachbarten Slawen-
stamm zu entreissen, und suchten denselben zu ver-
schiedenen Zeiten durch das Band einer sog. kirch-
lichen Union an sich zu ketten. Um die von den bei-
den Slawenaposteln bekehrten Mähren und Böhmen
von jedem Gedanken an eine Annäherung an Byzanz
abzuziehen, hatten bekanntlich schon die Päpste des
9ten Jahrhunderts, wenn auch nicht ohne Strüuben
und unter stetem Widerspruch der deutsch - katholi-
schen Geistlichkeit, die von Cyrill und Methodius ein-
geführte slawische Liturgie anerkannt. Den bulgari-
schen Slawen war dieselbe von Anfang an von dem
Patriarchen Photius, der in dieser Frage von keiner
engherzigen Ansicht geleitet worden zu sein scheint,
zugestanden, so dass die Päpste sich wohl hüteten,
VIDUSNNY
bei ihren Unionsversuchen der Einführung des Got-
tesdienstes in lateinischer Sprache ausdrücklich zu ge-
denken. Auch verlangte der erste christliche Fürst
der Bulgaren einen viel höheren Preis für die Aner-
kennung des Papstes, als geistlichen Oberherrn. Bo-
ris- Michael, bald Freund bald Feind des byzantini-
schen Hofes, besass politische Einsicht genug, um
sich Roms im Interesse seines Staates und Volkes zu
bedienen. Ihm kam es darauf an, sein Land ganz von
der Vormundschaft herrschsüchtiger Hierarchen des
alten wie des neuen Roms zu emancipiren und daher
suchte er schon im J. 866 den Papst Nicolaus für die
Gründung eines autonomen bulgarischen Patriar-
chats zu gewinnen. Die dem päpstlichen Stuhle ge-
machte Zumuthung war stark genug und Papst Nico-
laus, so wie seine nächsten Nachfolger suchten, so gut
sie konnten, diesen kitzlichen Punct durch Ausflüchte
verschiedener Art in den Verhandlungen mit den
Bulgaren zu umgehen. Allein diese gaben die einmal
gefasste Idee einer völligen Emancipation der Bulga-
rei in kirchlicher Hinsicht nicht auf, und erreichten
mehr als Ein Mal ihren Zweck. Indessen es blieb ih-
nen zuletzt nur der Ruhm, auch in dieser Hinsicht
für Serbien und Russland ein Vorbild gewesen zu sein.
Schon seit dem 10ten, besonders aber seit dem 14ten
Jahrhundert waren einzelne bulgarische Kirchenspren-
gel wieder unter die Botmässigkeit der griechischen
Patriarchen gekommen, die es durch Ränke aller Art
dahin zu bringen wussten, dass die Bulgaren endlich
auch den letzten Rest einer kirchlichen Autonomie
verloren: im J. 1767 wurde das bulgarische Erzbis-
thum von Ochrida und gleichzeitig auch das im J. 1346
von Stephan Duschan gestiftete serbische Patriarchat
gänzlich aufgehoben. Nur die rücksichtslosen Bemü-
hungen der griechischen Geistlichkeit, besonders im
bulgarischen Macedonien den slawischen Gottesdienst
im Interesse der griechischen Nationalität auszurot-
ten, haben aufs Neue den Gedanken an eine Wieder-
aufrichtung des bulgarischen Patriarchats ins Leben
gerufen und namentlich seit dem letzten orientalischen
Kriege zu einer heftigen Polemik in griechischen und
bulgarischen Zeitschriften geführt.
Die Abhandlung unsres correspondirenden Mitglie-
des hat vorzugsweise die Geschichte der kirchlichen
Organisation der Bulgarei im Auge und man wird es
| déni Hrn. Verfasser besonders Dank wissen, dass ET,
\
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
346
als ausgezeichneter Kenner der byzantinischen Rechts-
quellen, jenem Gegenstande seine Thätigkeit gewid-
met hat. Zwar ist davon in der slawischen Literatur
mehr, als man vielleicht im Occident glaubt, die Rede
gewesen , allein gewisse Hauptfragen, wie namentlich
die über die Justiniana prima (d. h. dem Geburtsorte
des Kaisers Justinian, in welchem er einen autoke-
phalen Metropoliten einsetzte), sind in den «Beiträ-
gen» mit einer solchen Umsicht behandelt worden,
dass schon aus diesem Grunde eine Übersetzung der-
selben ins Russische überaus wünschenswerth ist.
Es würde unbillig sein von dem Hrn. Verfasser der
«Beiträge», der seine ganze Kraft dem Studium der
Geschichte des byzantinischen Rechts gewidmet und
auf diesem Gebiete durch Herausgabe und Bearbei-
tung von Quellen so grosse und so bleibende Ver-
dienste sich erworben hat, zu verlangen, dass er auch
die slawischen Quellen, soweit sie über die Geschichte
der bulgarischen Hierarchie Aufschluss geben, in den
Bereich seiner Forschungen zöge. In der That könn-
ten die «Beiträge» schon jetzt durch slawische Quel-
lm hin und wieder bereichert oder ergänzt werden,
_ Was indessen bei der Zerstreutheit und Beschaffenheit
der letzteren nicht ohne Aufwand von Zeit und Mühe
glich wäre. Einstweilen haben wir dem gelehrten
| Tra tinisten dafür unsern Dank auszudrücken, dass
t durch seine mühsamen und erfolgreichen Untersu-
- Chungen Andere zu weiterer Aufhellung eines Gegen-
Mes anregt, der schon wegen seines innigen Zu-
ienhangs mit der Wirksamkeit der beiden Slawen-
el und ihrer unmittelbaren Schüler ein allgemein
ches Interesse hat. Noch ist gegründete Hoff-
8 vorhanden, dass unsere Kenntniss von den
salen der bulgarischen Kirche durch unedirte
MA lisehe und slawische Quellen und Fragmente
Quellen erweitert werden wird. Der Hr. Verfas-
"er «Beiträge» kommt auch in dieser Hinsicht
Wünschen der Freunde der byzantinisch - slawi-
dien entgegen, indem er sich erbietet, die
e von unedirten Schriften des griechisch-
en Erzbischofs Demetrius Chomatianus ln:
Marans, Jf. Xowarianckiii) zu besorgen. Wir
u Vorschlag unseres correspondirenden Mit-
Hierarchen von Ochrida oder der sogenannten
80 mehr mit Dank annehmen, als Jener |
! nicht nur eine hervorragende Stellung un-
Justiniana prima einnimmt, sondern auch durch seine
Schriften die Aufmerksamkeit der Bearbeiter des in
Russland eingeführten slawischen Noyoxavóv oder der
Hopwuas Kunra erregt hat. Jedoch sind wir bis jetzt
über ihn nicht genau unterrichtet. Hier sei bemerkt,
dass die Synodalbibliothek in Moskau nur ein Manu-
script exegetischen Inhalts von dem Erzbischof De-
metrius Chomatianus (Anpnteros © Noparıyds, 6 Xo-
patıavós) zu besitzen scheint. Vgl. Matthaei, Notitia I,
p. 47 u. 249 mit Fabricius, ed. Harl. XI, 605 und
O6o3pGnie Kopmyeü Kunru. Cou. 6apoua Posenramnæa.
2 u34. Cn6. 1839, p. 38, 64. (1ste Ausg. p. 41, 76).
Es sei hier noch in aller Kürze der Inhalt der ein-
zelnen Abschnitte der «Beiträge» angegeben.
I. Die kirchlichen Zustände im illyrischen
Dreieck bis zum J. 535.
II. Der Archiepiscopus primae Justinianae,
seit 535.
Bekanntlich war der Kaiser Justinian I. slawischen
Ursprungs und aus einem Orte, Namens Bedeprava
gebürtig, den er spáter in Justiniana prima umnannte.
Dem in Justiniana prima eingesetzten Erzbischofe ver-
lieh er eine von Rom unabhängige Stellung, was in
den folgenden Jahrhunderten Veranlassung dazu gab,
dass die bulgarischen Erzbischófe von Ochrida —
selbst die heutigen Bischófe von Ochrida sollen von
den Bulgaren noch bis jetzt gewóhnlich Patriarchen
genannt werden — sich für die legitimen Nachfolger
der autonomen Erzbischöfe von Justiniana prima an-
sahen und dass Ochrida (Aypıda, im Alterthum Av-
yw3e; am See Lychnitis in der Epirus nova oder
Iupee Ilagaéa) geradezu für identisch mit dem
älteren Justiniana prima genommen wurde. Letztere
Ansicht ist so volksthümlich geworden, dass sie jetzt
noch sogar von Bulgaren festgehalten wird, die vom
Baume der wissenschaftlichen Erkenntniss in Europa
gekostet haben. Gewöhnlich nimmt man an, dass Justi-
niana prima an der Stelle des heutigen Köstendil (süd-
lich von Sofia) lag, was indessen auch bestritten wird.
In den «Beitrügen» wird davon ausgegangen, dass
Justiniana prima (nach dem Text der Nov. XI) in der
Provinz Dacia mediterranea lag, deren Metropolis
Sardica (später Triadiza, Sophia) hiess’).
2) Damit werden gewisse Bemerkungen erledigt im l'racaure
ApyRCTBA epócke CI0BECHOCTH. Cresxa VII. Y Beorpaxy 1856, p.
347
Bulletin de l’Académie Impériale
IH. Die bulgarische Kirche, 866 — 1017.
Auf den ersten Seiten dieses Abschnitts handelt der
Verfasser der «Beiträge» von Personen und Verhält-
nissen, die in den slawischen Literaturen schon öfters
besprochen, jedoch sehr verschieden aufgefasst wor-
den sind. Da dem Zwecke der «Beiträge» gemäss
darin die Geschichte der beiden Slawenapostel und
ihrer unmittelbaren Schüler nur berührt werden sollte,
so enthält sich Schreiber dieser Zeilen Einzelnes her-
vorzuheben, was zu einer Discussion Veranlassung
geben könnte, um so mehr, als dies nicht ohne Rück-
sicht auf slawische Quellen geschehen könnte. Aus
ihnen z. B. kennen wir die Namen von vier bulgari-
schen Patriarchen (Leontius, Demetrius, Sergius,
Gregorius) von Preslawa, denen noch im 15ten Jahr-
hundert nach der Anordnung der Kirche von Ochrida
ein «ewiges Andenken» geweiht, d.h. gesungen wurde.
Aller Wahrscheinlichkeit nach gehören diese Patriar-
chen der ersten Hälfte des 10ten Jahrhunderts an.
Noch sei es mir erlaubt, im Interesse der histori-
schen Wahrheit zwei Sätze des Hrn. Verfassers kurz
zu besprechen, in Betreff deren er sich, gleich An-
dern, auf die Autorität von Du Cange beruft. Letz-
terer lässt bald nach Bogoris-Boris, dem ersten christ-
lichen Fürsten der Bulgaren, einen zweiten Namens
«Michael, Borises oder Burichius» regieren und die-
sen einen Schüler des Methodius, den h. Clemens
(T 916) in Südbulgarien zum Bischof einsetzen. Da
die Geschichte des «Bogoris» bis jetzt nicht gründlich
genug bearbeitet war, so habe ich dieselbe vor eini-
ger Zeit zum Gegenstande einer besondern Abhand-
Jung gemacht und dabei alle bis jetzt aufgefundenen
Quellen über ihn einer sorgfältigen Prüfung unter-
worfen. Ich theile hier in aller Kürze das Resultat
meiner Untersuchungen mit. Fürst Bogoris (Boris),
der meiner Annahme mach zugleich den heidnisch-
slawischen Namen Radiwoj führte und bekanntlich in
der Taufe den christlichen Namen Michael nach sei-
nem kaiserlichen Taufpathen erhielt, hat nach einer
120, 121 und in den Bx»rapeker Kunxunpt. Hacrs II. Hapurpazp.
1858, p. 148. — Über den Glauben der Bewohner des heutigen
Ochrida von der Identität desselben mit Justiniana prima s. Ouepre
myremrecrBia no Esponeñckoñ Typuiu. Bukropa l'paroposuua. Ka-
sans (Mam Ya. 3amucok 3a 1848 rox), p. 121. — Eine genauere
Durchsicht der in der Vaticana befindlichen Vita Justiniani von
Theophilus (s. Schafarik's slaw. Alterth. II, 29. $ 2. Note) dürfte in
als einer Hinsicht wünschenswerth sein.
bulgarisch-griechischen Quelle 36 Jahre regiert, ging
dann, wie fränkische Chronisten berichten, ins Kloster
— um 890 oder kurz vorher —, griff aber bisweilen
noch unter seinen beiden Sóhnen Wladimir und Sy-
meon in die politischen und kirchlichen Verhältnisse
seines Landes ein, bis er hochbetagt «Sonnabends, am
2. Mai des J. 907» starb.
Den im J. 870 vom Kaiser Basilius und dem Pa-
triarchen Ignatius zu den Bolgaren geschickten Erz-
bischof nennt Du Cange «ohne eine Quelle anzufüh-
ren», Theophylactus. Der Verf. der «Beitrüge» meint,
dass hier wahrscheinlich ein Versehen obwalte. Al-
lerdings nennen eine Menge von modernen Autoren
jenen Theophylactus, ohne irgend eine mittelalterliche
Quelle dabei zu citiren. Ungeachtet aller Bemühungen
ist es mir nur gelungen, ausfindig zu machen, dass
Du Cange seine Nachricht aus den Annalen des Car-
dinals Baronius (a. 870) entlehnt hat, wo wir lesen:
«... Ignatius... misit... creatum a se episcopum una
cum aliis clericis, quem nominatum fuisse Theophy-
lactum affirmant». Baronius kannte sehr gut den weit
spáter lebenden Erzbischof Theophylact von Ochrida
(f um 1109). Vielleicht wird es Andern gelingen,
nachzuweisen, aus welcher Quelle Baronius seine Nach-
richt entlehnt hat.
IV. Das griechisch-bulgarische Erzbisthum
zu Achrida, 1017 — 1767.
Dieser Abschnitt ist offenbar der lehrreichste der
ganzen Abhandlung und bringt in eine Partie Licht,
deren Wichtigkeit wohl von Manchen erkannt wurde,
die man aber nicht genug aufzuhellen verstand.
Der Bulgarenfürst Samuel hatte um 980 seine Re-
sidenz in Ochrida aufgeschlagen, wodurch dasselbe
natürlich auch in kirchlicher Hinsicht an Bedeutung
gewann. Als der Kaiser Basilius II, der Schwager des
Gf. Wladimir von Kiew, im J. 1017 auch den süd-
westlichen Theil des ale Bulgarenreichs unter by-
zantinische Oberhoheit brachte, verfuhr er gegen die
Bevölkerung milder, als man, seinem Beinamen nach
zu urtheilen, erwarten sollte. Auch die Geistlichkeit
erfreute mu seines Wohlwollens, wie wir aus einer
leider fragmentarisch auf uns gekommenen Verord-
nung des Kaisers ersehen. Der Verf. der «Beitrüge»
hat gegen die Echtheit dieser Verordnung früher
einige Zweifel geäussert. die er aber jetzt 2 zurück-
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
350
nimmt?). In ihr wird der Mönch Johannes als «Erzbi-
schof der Bulgarei» vom Kaiser bestätigt, so dass die
Südbulgaren in kirchlicher Hinsicht von nun an sich
längere Zeit einer völligen Unabhängigkeit von dem
griechischen Patriarchenstuhl erfreuten. Der Spren-
gel des neubestätigten Erzbisthums reichte fast bis
Thessalonich und umfasste also das Gebiet, wo der
h. Cyrill seine Slawenmission begonnen und wo die-
selbe in grösserem Umfange die Schüler seines Bru-
ders etwa vom J. 890 an fortgesetzt hatten.
Bisher wurde das Räthsel, wie und wann die Erz-
bischöfe von Ochrida dazu kamen, sich den Titel
eines Archiepiscopus Justinianae primae beizulegen,
als ungelöst betrachtet. Diese Frage ist nun Dank
den Bemühungen des Hrn. Verfassers, wesentlich auf-
gehellt worden. Die Clerisei von Ochrida hatte, wie
es scheint, besonders seit dem 13. Jahrhundert, nicht
versäumt, ihre Prätensionen auch auf verfälschte Ur-
kunden zu begründen. In den «Beiträgen» wird un-
entschieden gelassen, ob nicht gewisse Einschiebsel,
welche in einer im 13. Jahrh. verfertigten bilechlächen
Übersetzung der (lateinischen) Novelle XI. Justinians
vorkommen, «veranlasst worden sind durch einen Wett-
eifer mit Wë Rechten, welche vom Papst Innocenz III.
dem neuen bulgarischen Patriarchen in Ternowo ver-
liehen waren». Die Motive, welche zu jenen Fälschun-
gen Veranlassung gaben, mochten verschiedener Art
sein, Das Verhältniss des Erzbisthums von Ochrida
zum bulgarischen Patriarchate von Ternowo und zu
dem im J. 1346 gestifteten — 1340 fiel Ochrida in
e Hände der Serben — serbischen Patriarchat ver-
P gewiss näher untersucht zu werden. Nach einem
iciellen kirchlichen Documente, das in Ternowo im
5. Jahrhundert niedergeschrieben wurde, hingen zur
eines «Assan» die Metropoliten von Ochrida,
Dannicius und Sergins, von Ternowo ab. Ähnliches
ese di, über ein temporäres Abhängigkeitsverhält-
de
us litio princeps des russischen Nomokanon und in
: einem russischen officiellen Documente von 1618. Es
) scheint fast, . dass man damals in Moskau besser von
tt Ges ichte der bulgarischen Patriarchate unter-
Greg War, als wir es vor etwa zehn Jahren waren.
i» CEN Pars III. Novellae constitutiones. Edi-
Zachariae a Lingenthal. Lipsiae 1857. (No. XXX, p. 319).
V. Das Patriarchat des zweiten bulgarischen
Reichs.
Die Wied Igarischen Reichs
(mit der Hauptstadt Ternowo, Tprao8o) um 1186 hatte
auch eine dreimalige Erneuerung des alten nordbul-
garischen Patriarchats zur Folge. Die byzantinischen
Nachrichten darüber werden bedeutend durch slawi-
sche Quellen ergänzt. Längeren Bestand hatte nur
das im J. 1234 mit Genehmigung des Kaisers von
Nicäa und vier ócumenischen Patriarchen vom Zaren
Johann II. Assan gegründete bulgarische Patriarchat,
deren Inhaber uns in ununterbrochener Reihe bis ge-
gen Ende des 14ten Jahrhunderts nach slawischen
Quellen bekannt sind. Die Griechen sahen bald mit
scheelen Augen auf den neuen Rivalen. Wann die Me-
tropole Ternowo wieder unter die Oberhoheit des
griechischen Patriarchen gerieth, ist noch nicht sicher
nachgewiesen. In den «Beiträgen» wird der Untergang
des Patriarchats von Ternowo mit der türkischen Er-
oberung der Bulgarei gegen Ende des 14ten Jahrhun-
derts in Verbindung gebracht.
VI. Schluss.
Hier wird nachgewiesen, wie an die Stelle der Pa-
triarchen von Ternowo die Metropoliten von Ternowo
traten und dabei werden einige Urkunden angeführt,
die auf ein näheres Verhältniss der Kirche in den
romänischen Fürstenthümern zur Bulgarei hinweisen.
Hier liessen sich einige slawische Quellen beibringen,
allein genauere Aufschlüsse über das ehemalige Ver-
hältniss der Donaufürstenthümer zu den Metropolen
von Ternowo und Ochrida muss von Kennern der ro-
mänischen Geschichtsquellen erwartet werden. Ohne
Zweifel werden die «Beiträge» auch in dieser Bezie-
hung anregend wirken ‘).
Im April 1864.
ung eines
4) Nachschrift vom 15. Mai. Da anderweitige Arbeiten mir nicht
estatten, umständliche Untersuchungen über den obigen Gegen-
stand nach slawischen Quellen anzustellen, so beschränke ich mich
darauf in diesen Blättern wenigstens einige Materialien zur Ge-
Meth des bulgarischen Patriarchats mitzutheilen.
351
Bulletin de l’Académie Impériale
Notice sur un manuscrit persan du Raouzet-et-
tahirin, par M. Véliaminof-Zernof. (Lu le
8 avril 1864.)
J'ai l'honneur de présenter ci-joint un manuscrit
persan qui m’appartient, et que je prie l’Académie
d'accepter pour son Musée Asiatique.
Le manuscrit contient le Raouzet-et-tahirin
(Go ell is, A — Histoire générale de l'Asie, com-
posée en 1011 (1602,3) — 1015 SEA" par Ta-
hir Mouhammed Lu js» (y Qi Je ell
sole yes Jet (ab CH ). Le contenu
de l’ouvrage a été expliqué en détail par M. Elliot,
dans son Bibliographical index to the historians of
Muhammedan India, Vol. I, Calcutta, 1849, N°XX VI,
p. 298 — 304. M. Stewart en a fait également men-
tion dans son livre: A descriptive catalogue of the
oriental library of the late Tippoo Sultan of Mysore
Cambridge, 1809, N° IX, p. 6.
Le Raouzet-et-tahirin, oeuvre de mérite au point de
vue littéraire, forme une grande rareté bibliographique.
Le nombre des exemplaires connus, d’après M. Elliot,
est très restreint. M. Fraehn cite le Raouzet-et-tahi-
rin parmi les desiderata dans ses Indications biblio-
graphiques, relatives pour la plupart à la littérature
historico-géographique des Arabes, des Persans et des
Tures, St.-Pétersbourg, 1845, N° 216, pag. 68, 69.
J’ai acquis le manuscrit dont il s’agit en 1854, pen-
dant mon séjour à Orenbourg. Le faux titre d’Akber-
schahi, qui est inscrit sur le dos, m'a longtemps tenu
dans l'incertitude sur la valeur véritable de mon acqui-
sition.
Mon manuscrit est un in-folio de 966 pages. Deux
ou trois feuillets manquent au commencement. La fin
de l’ouvrage (une partie du cinquième livre) manque
de même. Mais en revanche, tout le quatrième livre,
à l'exception seulement de la conclusion — azl;, s'y
trouve. Cette circonstance rehausse considérablement
la valeur du manuscrit. Le quatrième livre, qui con-
tient l’histoire ancienne de l'Inde, manquait dans tous
les exemplaires que M. Elliot a eus entre les mains,
de sorte qu'à la p. 300 il a méme émis la supposition
que ce livre n'a jamais été écrit par l’auteur. Mon
manuscrit remplit donc une grande lacune et se trouve
être par-là un exemplaire si non unique, du moins l’un
des plus remarquables du Raouzet-et-tahirin.
Une courte notice sur le manuscrit que j'ai l'hon-
neur de présenter à l'Académie a été insérée par moi,
en russe, dans le deuxiéme volume de mon Histoire
de Kassimof (p. 265 — 267), qui est sous presse et
va paraître prochainement.
7 Avril 1864.
Auffindung zweier Backenzähne des Elasmothe-
rium im Gouvernement Saratow, von J. F.
Brandt. (Lu le 6 mai 1864.)
Während meiner Krankheit im März des vorigen
Jahres gelangte an das Verwaltungs-Comité ein Schrei-
ben des Heiligen Synods vom 5. März unter N° 1698,
das von einem Päckchen begleitet war, worin sich an-
geblich zwei Zähne von Mamont befanden. Die spä-
ter von mir selbst angestellte Besichtigung derselben
'|ergab indessen sogleich, dass es Backenzähne des
Elasmotherium waren. Die Zähne der dem Moskauer
Museum angehörigen Unterkieferhälfte des Elasmo-
therium und der in unserem Museum aufbewahrte,
vom Hrn. Grafen v. Keyserling geschenkte Ober-
kieferzahn desselben Thieres bestätigten diese That-
sache. Sie müssen daher als eine grosse Seltenheit und
ausgezeichnete Acquisition betrachtet werden. Der eine
von ihnen ist nach meiner Ansicht der hinterste obere,
der andere der hinterste untere Backenzahn der linken
Seite. Dieselben wurden im Petrowskischen Kreise
(y53xs) des Saratowschen Gouvernements vom Bauer
Agaphon Nicolai Kosinin bei Serdoba auf dem Berge
Monaschewaja gefunden, und vom Geistlichen Wassili
Wedenski dem Heiligen Synod eingesandt, der sie
dem Verwaltungs- Comité der Akademie zuschickte.
Die genannten Zähne sind so gut erhalten, dass sie
einen interessanten Beitrag zur Kenntniss des Zahn-
baues des Elasmotherium liefern. Sie sollen daher in
meiner auf diese so merkwürdige, untergegangene
Thiergattung bezüglichen Abhandlung, welche ich
nächstens der Akademie vorzulegen die Ehre ti]
werde, besprochen werden.
Vom Elasmotherium waren, bis zur Acquisition die-
ser Zähne, als ihm mit Sicherheit angehörige Theile,
nur eine ii Moskauer Museum aufbewahrte linke,
von Fischer beschriebene Unterkieferhälfte, der hin-
tere obere, bereits erwähnte Backenzahn unserer
Sammlung und ein vorletzter unterer Backenzahn der
353
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
354
Ij—
Charkower Sammlung, so viel ich weiss, bekannt. Es
scheint mir daher hóchst wünschenswerth, dass die
Classe an den erwühnten Geistlichen ein Schreiben
richte mit der Anfrage, ob nicht noch andere Zähne
und Knochen des fraglichen Thieres dort aufgefunden
worden sind oder aufgefunden werden kónnten. Das
Museum der Akademie würde vielleicht auf diesem
Wege zu Materialien gelangen, welche die Kenntniss
der Formverháltnisse dieses so merkwürdigen, nur
durch wenige Reste bekannten Thieres, von dem Cu-
vier sagt: «Quel étonnant animal ne devait-ce donc
pas être que cet Elasmotherium!,» wesentlich fördern
kónnten.
Observations de quelques nébuleuses, par O.
Struve. (Lu le 1 avril 1864.) |
En préparant, pour la publication, les mesures mi-
crométriques des étoiles doubles, exécutées par moi
depuis 25 ans à l'aide du grand réfracteur de Poul-
kova, j'ai extrait aussi de mes journaux les observa-
lions occasionnelles d'un petit nombre de nébuleuses.
Ces observations portent en général le caractère d'é-
tudes. En effet elles ont été instituées en grande partie
dans le but de me préparer à un travail plus étendu,
que depuis longtemps j'avais le désir d'entreprendre
sur ces corps célestes. D'autres travaux plus urgents
m'ont empéché jusqu'à présent de donner suite à cette
idée, et ce n'est que dans des occasions trés rares
que j'ai réussi à faire quelques observations isolées
Sur les nébuleuses, dont le but direct a été celui de
me familiariser avec les objets et de fournir des don-
nées pour former un jugement sur les différentes mé-
thodes d'observation qu'il y aurait lieu d'appliquer et
sur le degré d'exactitude qu'on pourrait espérer d'at-
teindre,
- Nouvellement plusieurs astronomes distingués, MM.
D'Arrest, Schönfeld, Lassell, Auwers et autres,
QC entrepris, en différentes directions, des recherches
_ Wematiques: et étendues sur les nébuleuses. Les
| ‘travaux qu’ils ont déjà exécutés et qu'ils préparent,
Momettent de fournir une base solide à l'étude de
| 88 astres énigmatiques, mais pour la période princi-
E Me de mes observations, 1840 — 1855, il n'y
5 Wait presque pas d'entreprise analogue que de la
Ee * de Lord Rosse qui, pourtant, s'est appliqué
: T aael description graphique qu'aux mesures
micrométriques. C’est pourquoi la comparaison de
mes mesures, quelque peu nombreuses qu’elles soient,
avec les observations de nouvelle date ne pourra
guère manquer d’avoir quelque intérêt. Peut-être
aussi cette publication pourra-t-elle servir à d’autres
astronomes d'indication utile dans le choix de la mé-
thode d'observation.
Pour ne pas reproduire ce qui a été publié autre
part, je ne répéterai pas dans cette note les observa-
tions sur la grande nébuleuse d'Orion. Également
jomettrai iei les mesures micrométriques faites, sur
l'invitation de Lord Rosse, pour la détermination des
lieux relatifs des étoiles situées dans la nébuleuse spi-
rale des Chiens de chasse (h. 1622, 1623) et dans la
nébuleuse connue sous le nom de la cloche de plon-
geur (dumb-bell nebula — h. 2060), mesures aux-
quelles Sa Seigneurie a fait l'honneur de les incorpo-
rer dans son dernier mémoire (Phil. Trans. for the
year 1861, part III). Aprés cette déduction il n'y a
que neuf objets dont je traiterai dans cette note, mais
qui tous appartiennent au nombre des plus intéres-
sants de la voüte céleste. ;
Comme remarque générale je dois avancer encore,
que les positions moyennes des objets observés, indi-
quées à la téte de chaque série d'observations, cor-
respondent à l'époque de 1850 et sont toutes em-
pruntées aux catalogues de MM. D'Arrest et Schón-
feld. Les grossissements employés sont indiqués par
les chiffres romains I à IV, qui correspondent succes-
sivement à 138, 207, 309 et 412 fois, ayant respec-
tivement des champs de 11,3, 8,7, 6,9 et 3,9. La
température est indiquée en degrés de Röaumur.
Nébuleuse d'Androméde, h. 50 = M.31
a — 0" 3476, 8 — + 40°27.
L'étoile de comparaison, de grandeur (10.11), pré-
céde le noyau de la nébuleuse. Toutes les mesures
sont exécutées à l'aide de fils illuminés dans le
champ obscur.
Époque de l’obs. um Temps sid. Tempér. Dist. Posit.
1847Sept. 10 II 22'43" +1050 25,1 8151
» » 11 H 2137 <+11,0 5,2 81,3
» Nov. 1 HI 22 56 + 1,1 3,8 81,0
éco a Sul. 29.90 70955; 31,8
»^ » 28 dl 90:06 3,0 81,4
28
355 Bulletin de l'Académie Impériale 356
Époque de l'obs. peo Temps sid. Tempér. Dist. Posit. — ger Ai Tempér. Distance Position
1849 Oct. 6 II 20 47. + 4,4 . 4,5 81,5 II 732" —5°3 1'40714 182°49’
1850 Déc. 27 Il 120 — 3,7 5,4 82,0 | 1849 Mars21. II 8 34 —6,1 40,25 182 12
1852 Sept. 10 I O 41 + 9,0 5,4 81,4|1850 Mars12. II 8 29 —8,4 40,20 182 52
1853Févr. 7 H 5 1 —105 6, 81,9|1864Mars 6. II 8 0 —6,0 39,89 182 40
1864 Mars 6 II 7 28 — 6,2 6,5 81,0
L'effet de la réfraction est tout à fait insignifiant.
Ce n’est que pour la dernière observation qu'il s'élève
à + 0,09 en distance, et à — 2/5 en angle de posi-
tion; pour les autres observations, il reste au-dessous
de 0,05 en distance et 1/0 en position. La moyenne
arithmétique des observations précédentes, eu égard
à la réfraction, donne:
1850,97e = 2' 5,13P = 81?26'
L'accord des observations isolées de 1847 suffit pour
prouver que le noyau est, de forme assez précise pour
justifier une entreprise de déterminer la parallaxe re-
lative qui, certainement, si elle s'éléve à une demi-se-
conde, devrait ressortir distinctement d'une série plus
étendue d'observations. Le méme accord pourrait
éveiller le soupçon qu'il y ait eu un petit accroisse-
ment de distance entre les époques extrémes de mes
observations, mais, pour le moment, ce soupcon ne me
parait pas encore suffisamment fondé, surtout parce que
la dernière observation a été faite dans des conditions
atmosphériques peu favorables. D'autres mesures de
ces deux astres, qu'on pourrait comparer avec les nó-
ires, n'existent pas.
Étoile nébuleuse, h. 450
a = 7^ 2073, 8 = 21? 13".
1849 Mars 11. Etoile de (8.9)"* grandeur, entourée
d'une atmosphére nébuleuse de figure elliptique.
La direction du grand axe = 190°, L’éclat n'est
pas uniforme; à partir de l'étoile, le plus grand
éclat est dans la direction du grand axe, au bout
duquel la lumiére s'est condensée et forme un
objet plus luisant qui ressemble beaucoup à une
petite étoile. Les deux diamètres de l'ellipse sont
estimés respectivement à 30" et 25”. L'étoile de
comparaison (de 8"^ gr.) se trouve au nord ae
la nébuleuse un peu du côté suivant,
La nébuleuse est oblongue dans la direction
200°. L'étoile occupe une position excentrique
sur le grand axe qui, du côté sud, a une éten-
due de 207 au nord de 10”. Le diamètre du pe-
tit axe estimé de 20” à 25”. Au bout sud du
grand axe se trouve un petit objet stellaire.
Toutes les mesures précédentes ont été exécutées
dans le champ éclairé. Évidemment elles admettent
le plus haut degré d’exactitude. L’effet de la réfrac-
tion est tout à fait insensible. En la négligeant, nous
avons la moyenne arithmétique des mesures:
1853,20 e—1'40712 P= 182°38'
En quinze ans il ne s’est donc pas opéré aucun
changement perceptible dans la position relative des
deux astres comparés, ce qui prouve que la direction
85° n. p., estimée par Sir John Herschel, est erronée.
Probablement il faut lire n. f. au lieu de n. p. — Ce-
pendant il est bien curieux que la méme erreur soit
commise par l'amiral Smyth dans son Bedford Cata-
logue, où nous lisons pag. 176, Position = 3557 Dis-
tance — 95/0. Cinq observations de M. Schönfeld
donnent en moyenne, pour 1862,19, ^ «— — 0:204,
A è = — 140,40 ou e= 140745, P — 181? 55; en
accord parfait avec nos propres mesures.
.Nébuleuse double, h. 692. 693.
(692)a = 10^ 98 8 — + 22035
.(698)«— 10,1 3—-+ 22 39
1851 Mars 4. h. 692 est une iilis oblongue de
20" de largeur, avec de longues trainées de lu-
mière très faible, dans les directions SE. et NO.
qui s'étendent jusqu'à 8° de distance du centre.
h. 693 est également une nébuleuse un peu ovale,
de 15” de grand axe, un peu plus intensive que
h. 692, mais sans trainées lumineuses. — Obser-
-vations faites dans le 3 ch ei avec eran fils :
^ dluminés
»
B
———————
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
358
Jonction micrométrique des deux nébuleuses.
Grossiss. Temps sid. Temper. Distance Position
pug sa" 7— 199» "$487. 5047
h. 693 et étoile de (8)"* grandeur.
II 10 1 —13,2 120,8 174. 0
Pour l'effet de la réfraction, la distance entre les
deux noyaux reçoit une correction de + 0/12 et
l'angle de position de — 0,3. Des coordonnées po-
laires tellement corrigées, nous déduisons:
Aa + 4' 5277 =+ 19:51
i Ad — + 3 4055
& la relation observée entre h. 693 et l’étoile boré-
ale donne:
p JR 693— ÆR*+ 061
Decl. » = Decl.*— U 2070
Les mesures précédentes ont été motivées par le
soupçon exprimé envers moi par M. Johnston Stoney,
que, depuis les observations de Sir John Herschel
(825 — 33), les deux têtes de la nébuleuse avaient
augmenté leur distance. Ce soupçon qui se trouve
répété dans le dernier mémoire de Lord Rosse (Phil.
Trans. for 1861, part IIT), n'est pas confirmé par mes
observations, car en moyenne les observations de Sir
John Herschel donnent pour l'époque 1830,0 »
iur s Aa + 18:33 AS — 2-3 45"
M. Stoney lui-même a mesuré en 1850: e =
550) P— 51^, ce qui donne, A a= 4-19565, Ad=
+ 940,3, en accord parfait avec mes mesures, et en
woffrant que des différences de + 1:32 et de — 477
avec les observations de Sir John Herschel, diffé-
Tencés qui certainement n’excèdent pas l'incertitude
de l'ancienne détermination. En outre nous avons
par les observations de M. D'Arrest, pour 1856,3,
As + 19:59 et A8 — + 35053, enfin, par celles
de M. Schönfeld, pour 1861,1, Aa = -+ 18/93 et
d= 2-133973, valeurs qui, comparées aux déter-
quations antérieures prouvent que tout soupcon d'un
Sement perceptible entre les positions relatives
deux têtes doit être définitivement abandonné.
nn. À 1294 —— M. 49. —
ia. Bes i22 | em + 8° 50!
Avr. 28. La nébuleuse observée par Sir John
~ Herschel est suivie sur le parallèle, à la distance
de 4; d'une étoile de 11"* grandeur. Une autre
étoile un peu plus faible précède la nébuleuse,
également sur le paralléle, à la distance de 177.
Près de cette dernière étoile, du côté suivant, il
y à encore une autre nébuleuse plus faible à la
distance de 2° à 3°, située sur la ligne droite qui
joint l'étoile avec la nébuleuse principale. Les
quatre objets, nommément les deux étoiles et les
deux nébuleuses, se trouvent ainsi disposés en
ligne droite qui, en même temps, correspond de
très près avec le parallèle,
La petite nébuleuse n'a pas été remarquée par au-
cun autre astronome. Mes estimations lui assig-
nent l’ascension droite de 14° à 15° plus petite que
celle de h. 1294 et la même déclinaison. De cette
manière son endroit s'accorde, à une fraction de mi-
nute prés, avec la position assignée à la nébuleuse
principale par les observations sensiblement concor-
dantes de Messier et Oriani, faites respectivement
en 1771 et 1779, position qui, par sa différence de
celle de Sir John Herschel, avait éveillé le soupcon
d'un mouvement propre trés considérable. (Voyez l'ou-
vrage de M. D'Arrest: Resultate aus Beobachtungen
der Nebelflecken und Sternhaufen. Leipzig 1856).
L’accord du lieu trouvé par M. D'Arrest, en 1856,
avec la position Herschelienne de 1830, a prouvé que
ce soupcon n'était pas fondé; en revanche mon obser-
vation, en assignant à la petite nébuleuse exactement
la position observée par Messier et Oriani, ne pou-
vait manquer de suggérer d'abord le soupçon que peut-
étre les deux nébuleuses juxtaposées avaient échangé
leur éclatdepuis 1779. Un tel changement d'éclat aurait
quelque analogie dans les phénoménes observés nou-
vellement dans la grande nébuleuse d'Orion et dans
la disparition ou plutót affaiblissement extraordinaire
de celle du Taureau, découverte par M. Hind. Mais
un examen ultérieur m'a fait abandonner aussi ce
dernier soupcon. Évidemment M. D'Arrest s'est servi
de la position indiquée par Messier pour 1771 dans
la Connaissance des Temps et cette position est trés
défectueuse. Nous possédons encore une autre déter-
mination du lieu, obtenue par Messier en 1779 à l'oc-
casion de l'apparition d'une cométe dans le voisi-
nage, et qui parait être plus exacte (Mémoires de
l'Académie de Paris pour 1779, p. 334). Cette der-
nière observation réduite à 1850 donne R = 185°
29*
Bulletin de l’Académie Impériale
32'42" — 12*2272 Décl. = + 8° 50 59; valeurs qui
s’accordent à des fractions de minute en arc près avec
les positions de M. D'Arrest. Quant à l'observation
d'Oriani, je n'ai point trouvé d'autre indication que
la position donnée en Bode's Jahrbuch pour 1784,
qui ne nous offre aucune donnée pour juger de son
exactitude.
Quoique, par la seconde observation de Messier, le
soupcon indiqué soit détruit, la coincidence extraor-
dinaire du lieu de la petite nébuleuse avec la position
fournie par la première observation de Messier et par
celle d'Oriani, ne peut manquer d'attirer notre atten-
tion. Ayant de nouveau regardé la nébuleuse le 12
Mars 1864, j'ai trouvé que la description de 1851
satisfait encore trés bien à l'époque actuelle. J'ai
ajouté seulement la remarque que maintenant les
noyaux des deux nébuleuses ne me paraissent plus
exactement sur la ligne des deux étoiles mentionnées,
mais un peu du cóté nord de cette ligne. En outre
il m'a frappé encore plus que la petite nébuleuse n'a
pas été remarquée par aucun autre observateur, car
elle se présente dans notre lunette avec beaucoup
de facilité, méme par un faible clair de lune.
h. 1357 = H. V. 24.
a— 122973 3— 4-26? 48'
Grossiss. Temps sid. Distance Position
1840 Avr; 29 IE. d. 55* GANT 7799777
1864 Mars 12 Il. 1125 98,3 ‘2216
L'étoile de comparaison est de (11.12)"* gran-
deur. Une autre étoile de (10. 11)"* gr. précède
la nébuleuse sous l'angle de 20758, en 4' de dis-
tance. Le noyau de la nébuleuse est de figure
trés oblongue, mais avec concentration trés pro-
noncée de lumiére, ce qui fait qu'on la peut ob-
server avec beaucoup d'exactitude. Deux lon-
gues trainées de lumiére partent en forme de
. queues droites des deux extrémités du noyau.
La direction mesurée de la queue boréale est de
31650, celle de la queue australe de 13192, d’où
il suit qu'elles sont de trés prés, mais pas exa-
ctement opposées l'une à l'autre.
Chacune des distances indiquées est le résultat
moyen d'au moins trois mesures isolées, dont l'accord,
pour chaque jour à part, n’accuse qu'une erreur pro-
bable d'une petite fraction de seconde, et le méme
accord se manifeste également dans les directions me-
surées. Par cette raison on pourrait étre conduit à la
supposition que, dans l'intervalle de 24 ans écoulés
entre nos deux observations, la distance entre les deux
objets a augmenté de 3 à 4”. Cependant je pense
qu'une pareille conclusion serait, pour le moment,
prématurée. Il parait bien possible que, dans ce cas,
malgré la condensation assez rapide de la matière né-
buleuse, l'accord des mesures isolées de chaque soir,
peut bien consister avec une différence trés sensible
dans le jugement sur le point à accepter comme noyau.
Si des observations futures décideront que l'incerti-
tude concernant le noyau est effectivement trés petite,
un changement de position relative est süre, mais avant
de prétendre que ce changement soit provenu d'un
mouvement de la nébuleuse, il faudra examiner en-
core, si la petite étoile de comparaison est restée ab-
solument immobile ou non. Pour le moment nous ne
possédons aucune donnée pour porter un jugement
dans cette question.
Étoile nébuleuse, h. 1456 — M. 94.
&—192'43"8. 8— 41°57'.
1848 Mai 5. L'étoile de comparaison, de 10"* gran-
deur, précède sur le parallèle, un peu vers le nord.
Aa = + 30:492. Aò — — 17508
1848 Mai 10. —+ 90,317 — 17,30
1864 Mars 28 + 30,425 _— 14,92.
Nébuleuse oblongue de 5’ à 6’ de diamètre. La
plus grande étendue dans la direction de 118°.
Très forte concentration de lumière, mais point
de noyau stellaire.
Cette nébuleuse n’a pas été observée, ni par M.
Schönfeld, ni par M. D’Arrest. Eu égard à l'accord
distingué qui se prononce dans les mesures isolées
de:chaque soir, la différence de 2" entre les A trou-
vés en 1848 et 1864, pourait éveiller le soupçon d'un
changement dans la position relative des deux astres
comparés. Cependant il me paraît bien probable que,
dans ce cas, en différentes nuits on puisse juger dif-
férement sur le point accepté comme noyau. C'est
ee? le Sea gem me antes encore sus-
pect. `
|
|
S
|
|
E
E
E i
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Nébuleuse double spirale,
h. 1622, 1623 — M. 51.
(1622) a= 132371. 8— +480
(1623) 23,7 4-48 2
- Les observations des étoiles dispersées sur les deux
tébuleuses étant publiées par Lord Rosse, je ne ré-
pète ici que les jonctions micrométriques des centres
des deux tétes. La structure, en forme de spirale, de
la grande nébuleuse se voit avec facilité dans notre
lunette; la petite nébuleuse m'a paru ovale et de dif-
férent éclat en différentes directions. A partir du
noyau le plus grand éclat de la petite nébuleuse pa-
rait étre dirigé vers le centre de la grande.
Temps sid. Gross. Distance Position
AS T. 1620 1: 427,0) 1409
Mai 3 16 0 I 24,2 14 49
1864 Mars 28 11 13 I 25,7 . 15.22
Le noyau de la petite nébuleuse est beaucoup
` plus précis, que celui de la grande. Ayant un
aspect presque stellaire, il admet une observa-
tion de la plus haute exactitude, tandis que le
point à fixer comme noyau de la grande nébu-
leuse peut facilement varier de plusieurs secondes.
Nos observations n’accusent donc aucun chan-
. gement dans la position relative des deux tétes dans
l'intervalle de 13 ans. La moyenne arithmétique des
trois mesures, convertie en coordonnées rectangulaires
donne: `
. 1885,62 Aa = + 0^ 6:87 — A8 — +4 1636.
Es Étoile nébuleuse, H. IV. 37.
|o&-—17 5876 8—--66 38.
11 Sept. 27. Nébuleuse planétaire avec une petite
. étoile au centre. Dans le chercheur, la nébuleuse |
ressemble à une étoile de 7"* grandeur. La figure |
n la nébuleuse est elliptique; les deux axes
y
Jes. sont estimés respectivement de 20" et de 15". Le
m CH occupe exactement le centre de l'ellipse.
. — L'étoile de comparaison, de 9"* grandeur,
zf Précède la nébuleuse un peu vers le nord.
AR 55 517, Position 115 19°
-9); Péclat de la nébuleuse égale au
i «27. Grandeur de l'étoile de comparaison |
e ` nie (8
chercheur celui d'une étoile de 8"* grandeur.
Dans la grande lunette, le noyau a l'éclat d'une
étoile de 9"* grandeur. La nébuleuse est oblon-
gue, la direction du grand axe étant de 211°.
Diamétre du grand axe mesuré 25/1.
» du petit axe » ` 19,7
Distance 164; ‚40, Position 112° 587.
Ces deux mesures, converties en différences en AR
et en Décl., donnent
1841,74 Aa=-+25i17 A—=— 1'355
1848,74 + 25,44 4,1
| M. Schönfeld a pour
1861,64 + 24,94 3,4
Il n’y a donc encore aucun indice d'un changement
dans la position relative des deux astres par un in-
tervalle de 20 ans.
Nébuleuse annulaire, h. 2241 — H. IV. 18.
ess Hä 18"7 .8— 2-412438.
Cette nébuleuse est désignée comme planétaire par
MM. Herschel, D’Arrest et Schönfeld, tandis que
je l’ai va toujours annulaire, avec des contours circu-
]aires de formes trés précises. Quelquefois seulement il
m'a semblé, comme si de faibles traces de lumière ir-
régulière entouraient encore l'anneau. En général, de
toutes les représentations ou descriptions de cette né-
buleuse, le dessin donné par Lord Rosse dans son mé-
moire de 1850 correspond le mieux avec mes propres
impressions. Le centre est d'une lumiére considéra-
blement plus faible que les bords; mais elle n'est pas
tout à fait obscure. Sur ce point je me trouve en
contradiction directe avec M. Schönfeld qui dit ex-
pressément que le centre est beaucoup plus lumineux
que les bords. Aussi je n'ai jamais reconnu l'étoile
qui, d'aprés le dessin donné par Lord Rosse dans
son mémoire de 1861, doit se trouver au centre de
la nébuleuse, mais qui n'est pas indiqué dans sa gra-
vure de 1850. Il y a lieu de supposer que l'éclat de
cette étoile, tel qu'il est donné dans la représenta-
tion de 1861, est beaucoup trop fort. — Dans le
chercheur, la nébuleuse ressemble à une faible étoile
de (8)"^ grandeur.
La nébuleuse a été comparée avec deux étoiles A
de (8)"* et B de (1 1)"* grandeur. Toutes les deux pré-
Bulletin de l'Académie Impériale
364
cèdent la nébuleuse vers le nord. A est la même étoile
qui a servi à M. Schönfeld dans ses observations et
B celle qui a été indiquée par Sir John Herschel en
4,0 de distance. Trois fois j’ai cru apercevoir, dans
le voisinage de B, encore une autre étoile considéra-
blement plus faible, mais en d’autres occasions je n’en
ai reconnu aucune trace. Les deux étoiles de com-
paraison suivent la nébuleuse vers le nord.
A et Néb.
La relation de la nébuleuse à l'étoile A a été dé-
termitée par l'observation, à l'aide de fils faiblement
illuminés, des différences en Æ et en Décl, Ordinai-
rement j'ai observé, pour les différences en AR, alter-
nativement les passages des deux bords, dont les va-
leurs moyennes ont été indiquées dans le tableau sui-
vant, en y ajoutant sous l'inscription «diamètre» le
temps écoulé entre les passages des deux bords. Là
oü cette valeur n'est pas donnée, j'ai observé directe-
ment le centre. Pour les différences en Décl. j'ai ob-
servé toujours le centre de la nébuleuse.
Nombre Nombre
Époque Temps sid. Gross, AA des comp. ` ^ Déc. ` Ae comp. Diamètre
1847 Févr. 15. 410" IV —44:200 4 —]1 238 4
> -20; 5 10 H 44,402 16 23,0 8 15987
hu een TERN € 44,334 8 22,4 8 2,068
Sept. 8. 2120 II 44,170 10 229 8 2,020
5. 0,.: 21:46 05 : Ml 44975 8 3331. 8. 21132
Nov: “4° ng Voodoo 44060 12 23,99 8 . 2,021
1848 Oct. 16. 21 10 IV 44,181 8 22,7: 54 2,162
1853 Févr. 7. 4 22 Il 44,334 8 22,4 8
B. et Néb. tif de cette nébuleuse peut être déterminé, par les dif-
Pour la jonction de ces deux astres, j’ai mesuré tou-
jours les distances de l'étoile alternativement de l'un
et de l'autre bord de la nébuleuse. La valeur moyenne
c.-à-d. la distance du centre est donnée dans la colonne
inscrite «distance»; dans la colonne suivante j ài ajouté
le diamétre déduit des distances des deux bords.
D'une maniére analogue, pour obtenir la direction du
centre, j'ai mesuré les directions des deux tangentes
tirées de l'étoile à la périphérie de la nébuleuse. La
derniére colonne indique l'angle compris entre les
directions des deux tangentes.
Gros- Temps
Epoque. diss. ta
sid,
1847Févr.15. IV 5" 0" 05174 2279 24026. 2095
Sept. 9. IV 22 20 51,7 22,4 241,6 22,3
Nov. 4. II 220 53,1 20,7 240,0. 15,0
18480ct. 16. IV 20 40 51,2 24,6 243,0 18,3
1853Févr. 7. I 4 40 . 241,2 16,3
En outre j'ai mesuré directement le diamétre
i Dia- Posi- Angle
Distance mètre tion d.
1847 Févr. 15 d— 239 `
its Sept. CR C 25,1. basi
Les tableaux précédents prouvent que le lieu rela-
de? SS
férentes méthodes d'observation, avec un degré trés
satisfaisant d'exactitude. En prenant la moyenne des
relations observées entre A et la nébuleuse, nous
&YODS3 sc Sas] ^" ^ad
..1848,31 Aa — — 445245. A8 — — 1/22/78
M. Schónfeld fait
1861,61. — 44,256 — 1 23,32
Il n'y a donc pas la moindre trace de changement
dans la position relative de ces deux astres, ce qui
est confirmé par M. D’Arrest qui, de deux observa-
tions de Lalande, faites en 1793 et 1799, déduit
d. tang. | Pour l'époque moyenne 1796: Ag — — 44535, et en
entre 1850 et 1856: Aa = — 44:519. —
Pour les relations à l'étoile B, nous ne possédons
point d’autres données de comparaison, que les me-
sures et estimations, en partie apparemment assez Và-
gues, de Sir John Herschel. dr de Gu
En excluant de nos déterminations la dernière me-
sure incomplète, nous avons en moyenne pour 1847,86
la distance — 051,85 et la direction — 241° 18^
d'où nous déduisons Aa = — 4:062, A'S —— 24/90.
moyenne de plusieurs observations faites par lui-même
S
j^
S
365 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 366
uns
Sir John Herschel donne pour l'époque de ses | rücksichtigung aller systematischen Einflüsse, welche
observations 1827 — 1830: A'a = — 450 et l'angle | die aus den Beobachtungen abzuleitenden Resultate
de position — 24428, valeurs qui s'accordent assez
près avec les nôtres pour exclure tout soupçon de
changement. Quant à la supposition énoncée par M.
Herschel dans une note, que le défaut d'accord satis-
faisant dans les positions mesurées par lui, aurait eu
peut-être son origine dans la circonstance qu'il y ait
eu méprise entre l'étoile B et une autre petite étoile
dans son voisinage, je ne puis la partager, car cette
autre étoile, si elle existe, est certainement en gran-
deur de beaucoup inférieure à B. ‘La distance de B
à la nébuleuse, estimée par M. Herschel de 30; est
sans doute trop petite. En admettant méme que cette
distance se rapporte au bord plus rapproché de la
nébuleuse, elle reste encore de 10” au-dessous du ré-
sultat moyen de nos mesures. an !
En combinant les mesures directes du diamétre de
la nébuleuse avec les valeurs déduites des distances
mesurées entre B et les deux bords, nous avons en
moyenne: d — 2373, valeur qui s'accorde trés bien
avec la quantité 2371, qui résulte des différences en
R observées entre A et les deux bords. En revanche
les mesures des angles compris entre les deux tan-
gentes tirées de B à la circonférence de la nébuleuse,
combinées avec la distance moyenne des deux astres,
donnent le résultat bien différent: d — 16,7. Comme le
but principal de ces derniéres mesures a été celui de
déterminer la direction du centre par rapport à B, il
yalieu de supposer qu’en général, au lieu de tangen-
tes, j'ai tiré, de B à la nébuleuse, des lignes imagi-
naires qui coupaient d’égales quantités de la périphé-
Ne. En tout cas, ayant expressément noté que la né-
buleuse m'a paru parfaitement circulaire, il n'y a pas
de raison de supposer que dans une direction le dia-
mètre soit d'autant plus petit, que l’accuserait la der-
nière valeur de d, comparée avec les mesures directes
Plus exactes.
Neue Berechnung der Siriusparallaxe aus den
&n Capder guten Hoffnung angestellten Beob-
Achtungen. Von H, Gyldèn. (Lu le 1 avril 1864).
Je grös ser die G . e l KC h
e. enauigkeit der astronomischen
dns htungen geworden ist, desto mehr ist man be-
ting ewesen, den zwischen Beobachtung und Rech-
Noch übrigbleibenden Unterschieden durch Be-
entstellen können — wenn auch diese Einflüsse be-
trächtlich kleiner als die wahrscheinlichen Fehler der
Beobachtungen selbst sind — einen rein zufälligen Cha-
rakter zuzuschreiben. In diesem Sinne habe ich es für
angemessen erachtet, bei der Ableitung der Thermome-
terverbesserung der Refraction aus den von Dr. Pe-
ters am hiesigen Verticalkreise angestellten Beob-
achtungen, den Einfluss der jährlichen Parallaxe der-
jenigen Sterne, für welche eine solche mit einiger
Wahrscheinlichkeit ermittelt ist, zu berücksichtigen,
besonders wenn die Maxima und Minima der Tempe-
ratur in Zeiten fallen, wo die Parallaxe ihren gröss-
ten und kleinsten Einfluss auf die Declination ausübt,
wie es z. B. bei den Beobachtungen des Sirius der
Fall ist.
Die Beobachtungen dieses Gestirns sind sehr zahl-
reich, so dass dieselben bei der Bestimmung der
Thermometercoefficienten sehr ins Gewicht fallen. Es
war deshalb hier besonders nöthig, den Einfluss der
| Veränderlichkeit der Eigenbewegung, sowie den der
Parallaxe, obgleich beide Quantitäten, und besonders
die letztere, noch nicht mit genüg Sicherheit fest-
gesetzt sind, nach unseren jetzigen Kenntnissen in
Rechnung zu bringen, denn das Resultat wird dadurch
wahrscheinlich richtiger, als ohne Berücksichtigung
dieser Grössen.
Unsere jetzige Kenntniss der veränderlichen Eigen-
bewegung von Sirius in Declination beruht hauptsäch-
lich auf der Untersuchung von Auwers. Die Ermitte-
lung der Parallaxe desselben ist auch Gegenstand der
Bemühungen mehrerer Astronomen gewesen, nur ist
der Erfolg in den meisten Fällen kein sicherer zu nen-
nen, wozu am meisten wohl der Umstand beigetragen
hat, dass die grosse Zenithdistanz dieses Sterns in Eu-
ropa und seine grosse Helligkeit die genauen Messun-
gen, besonders bei zitternder Luft, beeinträchtigt. Es ist
deshalb am vortheilhaftesten, derartige Untersuchun-
gen auf der südlichen Halbkugel der Erde vorzuneh-
men. In der That ist auch die einzige Bestimmung
der Parallaxe des Sirius, unter den vielen, die ange-
stellt sind, welche auf einige Sicherheit Anspruch
machen darf, diejenige, welche aus den Beobachtungen
am Cap, und zwar hauptsächlich aus den von Mac-
367
Bulletin de l’Académie Impériale
lear dort angestellten, abgeleitet ist. Die Beobachtun-
gen von Henderson empfehlen sich weniger zur Un-
tersuchung in Bezug auf Parallaxe, weil der Zenith-
punkt des Kreises aus den Beobachtungen der Fun-
damentalsterne abgeleitet wurde; dagegen mass Mac-
lear die-doppelte Höhe dadurch, dass er bei jeder
Culmination sowohl das directe, als auch das reflec-
tirte Bild beobachtete. Bei der Ableitung der Paral-
laxe aus diesen Beobachtungen hat Henderson (man
sehe hierüber dessen Abhandlung in den Memoirs of
the R. Astr. Soc. Vol. XI: On the Parallax of Sirius)
dieselben vermittelst der jährlichen Veränderung —
Praecession +- Eigenbewegung — wie sie in den Tabu-
lis Regiomontanis angegeben ist, reducirt, und bei der
Bildung der Bedingungsgleichungen keine Unbekannte
als Verbesserung der angewandten Eigenbewegung ein-
geführt. Jetzt aber wissen wir, dass die Eigenbewegung
des Sirius veränderlich ist: die Vernachlässigung die-
ser Veränderlichkeit musste folglich wie eine continuir-
liche Fehlerquelle wirken, die das Resultat mehr oder
weniger entstellen konnte, je nachdem die Beobach-
tungen vertheilt waren. In Betracht dessen, dass die
Maclear’schen Beobachtungen bis jetzt die wichtig-
ste Quelle für unsere Kenntniss der Parallaxe des Si-
rius ausmachen, habe ich die Henderson’schen Glei-
chungen mit Anbringung der veränderlichen Eigenbe-
wegung neu aufgelöst. Die veränderliche Eigenbewe-
gung wurde erhalten durch Ausgleichung, mittelst ei-
ner Curve, der beobachteten Abweichungen von den
Angaben der Tabulae Regiomontanae. Jene Abwei-
chungen aber wurden so angenommen, wie sie aus ei-
ner Verbindung der von Auwers gegebenen Werthe
mit denjenigen, welche von Safford in Brünnow’s
Astr. Notices N° 26 gegeben sind, folgen, und wobei
die Auwers’schen Angaben das doppelte Gewicht er-
hielten. Die Ausgleichung durch eine Curve wurde
vorgenommen, weil die Reihenfolge der übrigbleiben-
den Fehler in der Auwers’schen Zusammenstellung,
wie er selbst auch bemerkt, auf Correctionen der Ele-
mente hinzudeuten scheint.
Die Maclear’schen Beobachtungen sind von Hen-
derson, wie schon erwähnt, wurde, unter Anwendung
der jährlichen Veränderung der Tabulae Regiomonta-
nae reducirt worden; dem haben als Red
elemente gedient: die Aberrationsconstante 20/36, $0- S
wie die Nutationsconstante 9, 25. Demzufolge sind die
neuen Bedingungsgleichungen nach der folgenden For-
mel gebildet:
2H — 2h -- 245 + 2 = 0
wo 2H die, vermittelst der oben erwühnten Reductions-
elemente auf die Epoche 1837,0 gebrachten doppel-
ten beobachteten Höhen des Sirius,
2h — y= 145?6'40" — x
die doppelte mittlere Höhe für 1837,0 und
A8 — r — x R (9,8064) sin (© + 175?48,4) +
da (9,8064) cos (© + 175?48,4) — 0503 cos Q
ist. In dem letzten Ausdrucke bedeutet » die Correc-
tion der Tabulae Regiomontanae wegen der veränder-
lichen Eigenbewegung und x die jährliche Parallaxe,
da die Verbesserung der angenommenen Aberrations-
constante, sowie R den Erdradius, und © die Länge
der Sonne. Eigentlich hätten an AS noch einige von der
Nutation abhängige Glieder hinzugefügt werden sollen;
sie sind aber nicht berücksichtigt, einmal, weil die be-
deutendsten davon in den, bei Sirius, kleinen Factor
cosa multiplicirt sind, und dann weil sie, wie man
in den «Recherches sur la Parallaxe des Etoiles fixes
par C. A. F. Peters» pag. 66 sehen kann, kaum das
Resultat um eine Einheit in der zweiten Decimalstelle
ündern. Henderson findet nämlich:
1 (9,8064) = 0510, oder x = 0,156
und Peters giebt in dem genannten Werke z = 0715.
In den nun folgenden Gleichungen sind die Coeffi-
cienten der Parallaxe und der Verbesserung der Aber-
rationsconstante aus der Henderson'schen Abhand-
lung unverändert genommen, nachdem mehrere der
Sicherheit wegen nachgerechnet waren; die Grósse
2 (r — 0/03 Cos Q)
ist unmittelbar an die von Henderson gegebenen
2 (H — h) angebracht. Schliesslich ist zu bemerken,
dass (9,8064) x: — y und (9,8064) da — z gesetzt sind.
1836.
Aug. 31 0=+0/67 +g 0,86 y-- 1,812, 0 = 0761
Sept. 6 0—--2,47--2-- 0,67. +1,89 +1,15
» 19 0=+3,08+2%+0,25 +1,98. ,+1,71
» 20 0—--0,08--2--0,20 +1,98 — 1,30
».23 0—2-0,97--z--0,11 +2,00 — 0,40
» 25 0— —0,20--2--0,03. +2,00 — 1,60
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
370
—
Sept.27 0— a 1240 +7 — 0,03 y 4-2,00 z, v — — 0500
Oct. 4 0—--0,20--2—0,27 +1,98 —1,21
».97 0—--1,53--2—1,02 +1,72 + 0,01
Dec. 5 "EEN + 0,69 — 0,11
wv 13 0=+1,08+x- 1,92 +0,42 — 0,51
1837.
Febr. 9 0=+ 1566 +% 1,36 y — 1,45 2,0=+ 0:23
sil 0=+0,56+2—- 1,91 —1,50 — 0,86
» 91 0---0,98--2—1,03 — 1,72 — 0,40 |
2» 95 02—0,52--2—0,91 —1,78 —1,88
» 28 0—--0,99--2— 0,81 — 1,83 — 0,37
Mrz. 20—--1,00--2—0,75 — 1,86 — 0,33
17 0=+1,00 4-2 — 0,59..—1,91 -0,31
310 0=+0,71+2- 0,49 - 1,94 — 0,59
».13.0- —0,09--2—0,39 — 1,97 —1,43
2»18.02--0,72--2—0,22 — 1,98. | ..—0,55
» 21 0—--3,52--2—0,11 —2,00 +2,27.
2:24 0—--2,03--2— 0,02 — 2,00 +0,79
Apr. 8 0—--0,85--2--0,50 — 1,94 — 0,33
um 18 0—-- 1,77 +x 0,83 — 1,83 +0,62
.» 21 0=+0,08+2+0,92 — 1,78 — 1,07
nr 26 0—--2,68--2--1,06 — 1,70 + 1,56
2».980---0,29--2--1,12 — 1,66 — 0,82
Mai 10=+2,89+2-+1,20 — 1,59 +1,78
—» 40---0,89--2--1,30 —1,55 —0,21
:».30 0—--2,13--2-2-1,83 — 0,86 4- 1,07
Iu. 8 0— iiw 125 — 0,58 -- 0,28
(29 200=+1,16+%+2,03 —0,19 +0,10
GE £048 22-2, 03 +0,22 — 0,60
19 0—--0,39--2--1,97 +0,47 — 0,71
o Pd oz + 0,69 -z-- 1,97 +0,50 — 0,41
> 110=+0,10+%+1,97 +0,53 — 1,00
» 12 0=+1,20+2+1,95 +0,58 +0,10
> 130—--1,60--2--1,94 +0,61 +0,50
` Gë 00 1,92 +0,67 +1,09
…_ 160=+1,90+7+1,91 +070 +0,79
… #19 0- =+1,01+2-+1,88 +0,78 5044.
4 0=+0,41+2+1,80 +094 ^ —0,73
Es "25 0= +0,62 + 7+ 1,78 +0,97 —0,52
E 0—2-0,32 4-z- 1,75 +1,03 — 0,82
reg ENEE 1,73 41,05. +0,27
a 00532161 122 Dë
he rh 0=+1. ,89 -- z4- ] ,44 + 1,42 +0,63
Ki 0=+103+%+1 Al +1,44 - 0,18
Boe 20421, 38 +1,47 +0,83
Aug. 31 0 = +1,46 +s+ 0,87 y 4- 1,80 2, v = + 0718
Sept. 40=-+0 ‚17+2+0,75 +1,86 — 0,54
» 10 0=+ 1,78 420,55 + 1,92 +0,45
» 22 0=+3,30+2+0,14 +2,00 +1,92
Nov. 16 0=+2,59+2—1,53 +1,28 +1,03
» 20 0=+2,39+2-1,61 +1,16 +0,83
» 21 0=+1,19+2—1,62 +1,14 — 0,38
» 24 0—--2,10--z— 1,69 +1,05 +0,53
Dec. 4 0=+1,52+%-1,83 +0,73 — 0,06
» 7 0=+0,42+x—-1,88 +0,64 — 1,16
» 11 0=+0,53+%—1,91 +0,50 — 1,05
» 22 0=+2,44+7—1,97 +0,11 +0,88
» 23 0---1,15--2—1,97 +0,08 — 0,41
» 26 0=+4,45 +g- 1,97 — 0,03 4-2,89
» 29 0=+2,35+7—1,97 —0,14 4- 0,80
» 30 0-—--1,96--7— 1,97 —0,17 + 0,41
» 31 0—--1,06--2—1,97 —0,20 — 0,49
Hieraus wurden nun folgende Endgleichungen ab-
geleitet:
0 = = 87742 + 67,002 -— 10,66y-- 11,182
0=— DEE 10,66 x= 136,58 E 17,482
0= + 18,00 + 11,182 17,48y<+ 132,552
welche folgende Werthe der Unbekannten geben:
z= — 132 mit dem wahrsch. Fehler 07080
y = + 0,1236 » » » » 0,056
z = — 0,0409 » » » » 0,057
oder t = +0,193 » » » » 0,087
da = — 0,064 » » » » 0,088
Die Summe der Fehlerquadrate wurde, in genügen-
der Übereinstimmung mit (nn. 3) — 57,86, zu 58,12
gefunden, woraus folgt, dass der wahrscheinliche Feh-
ler einer Gleichung 20,641 ist.
Note sur Papplication du bronze d'aluminium à
la confection des alcoomètres, par M. M. Fritz-
sche et Jacobi. (Lu le 1 avril 1864.)
Nous avons l'honneur de présenter à l'Académie
un aleoométre que nous sommes parvenus à faire con-
fectionner en bronze d'aluminium, alliage contenant
10%, d'aluminium sur 90%, de cuivre. Nous avons
été portés à entreprendre cet essai, convaincus qu'en
cas de réussite, les qualités distinguées de l'alliage
mentionné lui assureraient la préférence sur tous les
24
Bulletin de l'Académie Impériale
autres métaux employés jusqu'ici à la fabrication des
alcoométres.
Au debut de nos expériences le travail du bronze
d'aluminium n'a pas été sans offrir des difficultés. Nous
décrirons plus bas le procédé tout particulier, employé
par l'un de nous, M. Jacobi, et qui a contribué le
plus à faire disparaitre ces difficultés.
Nous ne parlerons des propriétés de l'alliage en
question, qu'en tant que ces propriétés entrent parti-
culiérement en considération dans la fabrication des
alcoomètres :
Le poids spécifique du bronze d'aluminium laminé
étant de 8,0, tandis que celui du laiton est de 8,5,
il est possible d'employer pour les alcoométres des
feuilles de bronze en proportion plus fortes que celles
de laiton, sans augmenter le poids absolu de ces in-
struments.
A cause de sa dureté et de sa tenacité, le bronze
d'alumini t actuellement employé dans la construc-
tion des machines, particuliérement dans les cas oü le
laiton et méme le bronze à canon s'usent trop rapide-
ment. D'aprés les expériences de Simms, la résis-
tance du bronze d'aluminium est trois fois celle du
bronze à canon et méme quarante-quatre fois celle du
laiton, chiffre pour lequel nous n'acceptons cepen-
dant pas la responsabilité. Les propriétés mécaniques
de l'alliage d'aluminium dont nous venons de parler
sont d'autant plus précieuses, que dans la plupart des
cas il n'est permis de donner aux feuilles métal-
liques qui servent à la confection des carènes d'alcoo-
mètres, qu'une très faible épaisseur.
DS
Le bronze d’aluminium a une belle couleur d’or et
accepte un très beau poli qui conserve son éclat dans
des circonstances où le laiton se ternit rapidement.
Les alcoomètres en alliage d'aluminium sont donc |
| Observations des planètes à Pobservatoire aca-
plus inaltérables que ceux confectionnés en laiton et
même que les alcoomètres dorés dont la couche d’or
s’use bien vite, surtout si ces instruments sont traités
avec une certaine rudesse. La dorure a en outre l'in-
convénient d’avoir une trop grande affinité avec le
mercure. Il n'arrive que trop souvent qu'un thermo-
métre cassé dont le contenu vient en contact avec un
alcoométre doré, le met hors de service. Le bronze d'a-
luminium a cet inconvénient à un bien moindre degré;
le mercure n'y adhére que difficilement et quelques.
expériences faites à cet égard, nous ont fait voir qu'il.
ne faut qu'une élevation de température peu considé-
rable, pour chasser le mercure de quelques endroits
qui auraient éprouvés l'influence nuisible de ce li-
quide. à
Quoique le bronze d'aluminium se laisse souder
à la soudure forte, sans grandes difficultés, cette
espéce de soudure a l'inconvénient d'exiger une forte
chaleur qui non seulement fait perdre aux métaux une
partie de leur résistance et de leur élasticité, mais qui
produit encore souvent une altération de leur forme.
Quant à la soudure tendre, tous les essais faits pour
l'appliquer directement au bronze d'aluminium ont
échoué. La soudure tendre n'adhére aux surfaces de
cet alliage qu'en gouttellettes détachées, sans les
mouiller et sans y produire un étamage régulier.
L'application du bronze d'aluminium à la confection
des alcoométres aurait donc été presqu'impossible, si
l'un de nous n'avait pas conçu l'idée de déposer préa-
lablement sur les endroits à souder, une couche trés
mince de cuivre galvanique. Le cuivrage de cet alliage
ne présentant aucune difficulté, notammant si l'on se
sert d'une solution alcaline de cuivre, cet expédient a
eu un plein succés. En effet on a réussi réunir en-
semble les parties des alcoométres confectionnés en
bronze d'aluminium, au moyen de la soudure à Pétain,
avec toute la facilité et la solidité désirables. Il ne
parait pas douteux que les couches de cuivre galvanique
puissent étre remplacées par des couches de quelque
autre métal p. e. de zinc ou d'étaih. Le cuivre ayant
rempli complètement son but, il n'y avait préalable-
ment aucune nécessité d'entreprendre encore d'autres
essais sous ce rapport.
démique de St-Pétersbourg en 1863, par A.
Sawitsch. (Lu le 6 mai 1864.)
Les positions apparentes des planétes ont été obte-
nues à l'aide d'un cercle méridional, construit par M.
Ertel; elles se rapportent aux temps des passages
de ces astres par le méridien de St.-Pétersbourg. Les
corrections à cause de la réfraction et de la parallaxe
ont été appliquées aux déclinaisons; pour obtenir les
réfractions, correspondantes aux indications des instru-
ments météorologiques lors des observations, j'ai fait
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
374
usage des tables de Gauss (Sammlung von Hülfstafeln,
herausgegeben von H. C. Schumacher, 1822).
Sous le titre: Obs. N. A. sont données les diffé-
rences entre les ascensions droites ou déclinaisons
observées et celles que l’on trouve dans le Nautical
Almanac anglais pour l'an 1863.
Jupiter (opposition).
Date, 1863. ^ Asc. droite app. ds Décl. app. e i
Avril 9..... 43^26 56517, 4- 1505 1— 7226/4155 | — A56
a 2277 2627,600 1,14 23 52,0! — 4,5
Bi: 25 58,83; 1,08 21 1,4 — 3,3
pr 42i 25 30,16, 4,44 | =; 18143, — 5,6
Ma ues 25 1,44, 1,48 15 25,8, — 6,4
B ds. 24 32,76, 1,25 12 37,1) — 6,4
Bub. e 23 35,16, ... 1,03 658,5| — 4,4.
ad... 13 22 10,02! 4,36 |— 6°58 37,7| — 2,8
Différence moyenne + 1,154. |Diff. moyenne — 4,75.
Etoiles de comparaison n, v, Ó et a de la Vierge
" d'après le Nautical Almanac.
Ona en terme moyen le 13 Avril, 1863, à 11591”
! t. m. de B. F.
- lasc. droite apparente
diu la déclinaison app. . ..
—
——
13^25' 1740
= — 7°1524/1
Neptune (opposition).
à VAR
RN
Etoiles olles de com
~ Sautical Almanac.
Y SS (ER +
Es
PRE eh
- droite apparente —
vite ap) 0419/11/09
Séclnaison apparente = + 07263950
- Date 1863, ^ Asc. droite app. M ev Décl. app. 2.
- 89.23... ga 2565| — 1778 +0032 2078| — 454
LEE 4956,71 — 4,05 31 39,5| — 5,4
MB un 1932,24 —1,75 28 58,6! — 6,5
E I... 19 13,92| — 1,78 26 58,4| — 7,3
BY... 19. 8,36| — 1,36 26 19,6| — 6,5
E. 18 50,00| — 4,41 24 20,8| — 7,4
lu Gb... 1843,90] — 1,48 23 40,0 — 8,7
RN. 4837,74) — 1,62 23 3,6! — 6,2
CORB. ess 018 32,04! — 1,33 22 21,8| — 9,4
à Différence moyenne — 1757. |Diff. moyenne — 6,87.
paraison : o et e des Poissons d’après
nis. A ainsi en terme moyen le 1 Octobre, 1863, à
97959 t. m. de St, P.
7e l'opposition, la planéte Neptune a été aussi
observée dans le voisinage de sa quadrature, ainsi qu'il
suit :
Neptune.
Date 1868. ^ Asc. droite app. a en Décl. app. d "
ka BEI 04429560, —1751 |— 015026 | — 0
Péri sde 27,90! — 1,00 1 541 | — 3,6
ee 1 Aa 29,93, — 1,14 153,0 | — 9,9
Différence moyenne — 1522. | Diff. moyenne — 4,5.
Etoiles de comparaison: o de Poissons, 12 de la
Baleine d'aprés le Nautical Almanac.
On a en terme moyen le 14 Déc. 1863, à 6^43'33"
du temps moyen de St.-Pétersbourg.
lasc. droite appar. = —— 0^14'27768,
la déclinaison app. — — 0? 15550
Die Firkowitz’sche Sammlung von Ad. Neu-
bauer. (Lu le 4 mars 1864.)
L Die jüdischen Grabsteine in der Krim.
(Mit 8 lithogr. Tafeln.)
In der bedeutenden für die Kaiserliche öffentliche
Bibliothek in St. Petersburg erworbenen Firkowitz'-
schen Sammlung findet man als älteste Documente
Abdrücke von alten hebräischen Grabinschriften in der
Krim. Die älteste datirt, nach Berechnung des Hrn.
Firkowitz, aus dem Jahre 6 n. Ch. und lautet im Ori-
ginale folgendermaassen: i
eg np ny yjjmo pn» j.p ma nw
umo owe aun nx
«Dies ist der Grabstein des Buki Sohn Isaks Kohen,
dessen Seele bis zur Befreiung Israels im Paradies
verweilen möge (?), vom Jahre 702 unseres Exils»
(von Samaria). | bac
Schon vor 20 Jahren erschien ein hóchst interes-
santer Aufsatz (Kerem Chemed B. V. S. 197 et pass.),
welcher die Echtheit dieser in der Krim aufgefunde-
nen Epitaphe bezweifelt; wir haben es auch nicht an-
ders thun können, so lange nur die Abdrücke uns
als Quelle dienten. Jetzt aber befinden sich neun die-
ser Steine hier in St. Petersburg in dem asiatischen
Museum der Akademie der Wissenschaften), uud es
375
Bulletin de l’Académie Impériale
376
wäre sehr gewagt, deren Inhalt als blosses Mach-
werk und mögliche Verfälschung zu bezeichnen.
Bevor wir den Inhalt dieser Documente mittheilen,
finden wir es nothwendig, einige in genanntem Auf-
satze gerügten Zweifel zu widerlegen.
Die Juden, meint der gelehrte Verfasser des Auf-
satzes, haben zu jener Zeit (767 n. Ch.)") die Aera
der Schöpfung noch nicht gekannt, da diese zum
ersten Male in dem Yecirah - Commentar des Sabtai
Donolo (950) gefunden wird. Seitdem wurde der astro-
nomische Tractat von Samuel hakaton veröffentlicht,
ein Werk, welches, wenn sehr spät, im IX. Jahrhun-
dert verfasst war, und die Aera der Schópfung ist da
in Anwendung gebracht^). Wenn in den Talmudischen
Büchern keine Spur von dieser Aera vorhanden ist,
so ist dies noch immer kein Beweis, dass sie noch
nicht gekannt war, und wenn der Talmud debattirt,
ob die Welt im Tischri oder im Nissan) erschaffen
wurde, so ist es auch hóchst wahrscheinlich, dass
auch über die Anzahl der Jahre seit der Schópfung
gestritten wurde. Es wird wohl der Zweifel noch
stärker bei dem Verfasser angeregt werden, wenn er
weiter sieht, dass 89 n. Ch. schon die Aera der
Schópfung angewendet wird. Was in dem genannten
Aufsatze über die Unwahrscheinlichkeit, dass Jizhak
Sangari, der die Chasaren zum Judenthum bekehrt
haben und so weit von der Chasaren-Hauptstadt be-
graben sein soll, gesagt wird, wollen wir für den Augen-
blick dahin gestellt sein lassen, da wir erstens den
Stein selbst nicht einsehen kónnen und es hier mit
ältern als dieser ist, zu thun haben. Der Vorwurf da-
selbst, dass die Karaiten die Data ihrer Entstehung
weit vorrücken, hat hier gar keine Anwendung, denn
wenn wir von Steinen von 6 — 300 n. Ch. sprechen,
so wird es wahrlich Niemand einfallen zu behaupten,
dass man es mit Karaiten, die noch nicht vorhanden
waren, zu thun hätte.
Etwas fabelhaft in der That erscheint die Aera des
Samaritanischen Exils. Was ist aber dagegen einzu-
wenden, wenn die Juden im Kaukasus und. in Persien
sich noch heute Abkómmlinge der 10 Stümme nen-
nen? Wir wollen durchaus nicht behaupten, dass
2) In jenem Aufsatze wird nur der Grabschrift Sangari’s Er-
wühnung gethan.
3) Cf. upm Saz ana Solonich 1861 p. 14.
4) Cf. Babyl. Talmud Trac. Rosch. haschana p. 10 u. 11.
ihre Tradition, von den zehn Stümmen abzustam-
men, richtig sei, aber unmüglich ist es wohl nicht,
wenn man in Betracht zieht, dass die Juden im
Kaukasus weder rabbanitische noch karaeische Saz-
zungen haben. Es ist wohl gar nicht lange her,
als man behauptete, dass das jüdische Chasaren-.
reich eine Fabel sei, und die Briefe von und an
Chasdat eine blosse Erdichtung wären! Scheint es
denn wirklich so unmóglich, dass die Juden aus Hama-
dan und Nehavend") in den Kaukasus durch irgend `
welche Ursachen in Massen ausgewandert wären?
Um auch nur im Allgemeinen über den Werth dieser
Grabinschriften ein Wort zu verlieren, müssen wir
vor allem darauf aufmerksam machen, dass aus den
wenigen Documenten, die wir besitzen, schon die
Aera des Exils der zehn Stämme, die so oft in Ver-
bindung mit der Aera der Schöpfung ê) zu stehen
kommt, genau bestimmt werden kann; ferner kónnen
wir aus den tatarischen Namen, die in diesen Epi-
taphen vorkommen, wohl urtheilen, dass im zweiten
Jahrhundert gew. Z. schon Tataren-Stümme da ge-
lebt haben.
Die Texte der acht von uns gesehenen Grabsteine
sind folgende:
Abdruck II (s. Taf. I).
dns On mw no "5 men”)
Moses levi starb im Jahr 726 unseres Exils (30
n. Chr). Auf der linken Seitenflüche oben bemerkt
man eine zweizeilige Inschrift, wovon leider ein Theil
abgesägt ist. Die noch vorhandenen Buchstaben sind
aan
ORT Abdruck HI (s. Taf. I)
um» rwn mb e no man ja "53 pris
5) So erklärt der Babyl. Talmud (Tract. Kiduschin 72") das Wort
a 273 (II Kön. XVII, 6), wohin die zehn Stämme von den Assyrern
versetzt wurden, durch mam Hamadan und andere geben es für
52372 Nehavend und Umgegend *
*) Mir ist es wahrscheinlich, dass ein Theil der in den kaukasischen Gegenden
lebenden Juden wirklich aus Persien ei
Ich
eingewandert ist und von den zehn Stämmen
e an einem andern Orte mich näher darüber auszusprechen
Gelegenheit haben. Dorn. i
6) Diese Aera kommt auch nach der Berechnung der Matarkier
(a""2^225 cf. weiter Abdruck XXXV) vor; wir haben bei diesen
Berechnungen die synchronistische Tabelle des Hrn. Abr. Firko-
witz, der sich die Mühe gegeben, die Berechnung durch die Ab-
ücke und verschiedene Epigraphe der alten Pentateuchrollen und
Bibelfragmente genau zu bewerkstelligen, benutzt.
7) Undeutlich, ob oder's. à;
(e RITES
CES
PER
A
4 Bulletin de Lead Imp d sc. T VII
2
j
-Jeubuuer, jüdische Grabsteine T. V.
Bulletin de l'Acad Jup d sc. T VII
Bulletin de l'Acad. Jmp. d. sc. T VI
Neubauer, jüdische Grabsteine T. VI
377
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
378
Zadok halevi Sohn Mosis starb 4000 d. Sch., 785
unseres Exils (89 n. Ch.).
Abdruck VIII (s. Taf. III).
TNRY ? wn DDR 57 poss nap 9 n2xb m
Dies ist der Grabstein von Farlak (?) 4091 (180
n. Ch.). Gottes Friede sei mit ihm (ihr?).
Abdruck XXI (s. Taf. IV).
Va na 9) ND y3 neo 3 ;2 55n bw nasen nem
"Wm wn ns Dot gi mms Ww») un
"122 nno
Dies ist der Grabstein Hilels Sohn Mosis, gestor-
ben 4216 d. Sch. (305 n. Ch.). Möge dessen Seele
festgebunden sein im Lebensbunde bei Gott und möge
er in Herrlichkeit ruhen.
Abdruck XXXV (s. Taf. V).
now opp "be na "now nop »w nio m
ns ness won (EE nau NAS (0) mew
to) ep nem wo "gh nma wma
- Dies ist der Grabstein der Esther Tochter Salo-
mo's, welchen ich zu ihrem Haupte gestellt; sie starb
4536 d. Sch., welches 4385 nach der Berechnung
von Matarca macht (625 n. Ch.).
| Abdruck XLVIII (s. Taf. VI).
"mem "5 9 na poxwo ND NM NS "
Poyren nsd swpn mea
Dies ist der Grabstein der Frau Severgelin Toch-
ter Levi's, gestorben 4581 d. Sch. (670). Der Friede
Gottes sei mit ihr.
Abdruck LII (s. Taf. VII).
WOHIN uym ipn ^» bat crises aid
nu» | vepn mwa
Meg dp ue Der alte und bescheidene Tochtamisch
(gestorben) im Jahre 4589 d. Sch. (678 n. Ch.).
8) Dieses Epitaph ist in manchen Buchstaben schwer leserlich
9) Der Abdruck hat hier falsch >»
10) Die letzten 3 Wörter, glaubt Hr. Akad. Kunik (cf. Bulletin
T. V, col. 357), wàren von einer andern Hand gemeisselt, welches,
wenn dies auch der Fall gewesen würe, unsern Resultaten keinen
` Abbruch thut.
11) Die ersten zwei Zeilen des Grabsteines sind ganz verwischt.
Abdruck LVII (s. Taf. VII).
wo pn Han Che ga vy 5e naxen m
Dies ist der Grabstein des Aini Sohnes Eliasaph,
gestorben 4630 (719 n. Ch.). Móge dessen Seele fest-
gebunden sein im Lebensbunde.
Das Wort 5) kommt schon Abdruck V (97 n. Ch.)
vor. Ausserdem findet man in Abdruck X (197 n. Ch.)
den Namen Gulaf 2233 Rose‘). Abdruck XIV (262
n. Ch. die Namen *$22 72 go ") Toktamisch
Sohn Baeschi's.
Den neunten Stein berücksichtigen wir hier nicht,
weil er zu jung ist, und in einem nächsten Artikel
eher passen kann. Wir geben hier noch den Text
des Abdrucks XXIII wegen der beiden Aeren, die
darin vorkommen:
73 pp à "ap by PMR "nov vw en m
nb bs nw 5*5 87 NID nal cw
na)
Dies ist der Stein den ich auf dem Grabe des Jo-
seph Sohnes Eliah zu dessen Haupte gesetzt habe,
gestorben 4280 d. Sch., 1065 unseres Exils (369 n.
Ch.). Seine Seele ruhe im Paradiese.
Die Steine scheinen Kalksteine zu sein; kein Wun-
der also, dass sie sich in jenen warmen Gegenden so
gut erhalten haben ^. Hr. Firkowitz hat mit den we-
nigen Mitteln, die ihm zu Gebote standen, über 300
Abdrücke anfertigen können; wer weiss welche wich-
tigen Documente die Erde hier noch verbirgt, und es
wäre daher sehr wünschenswerth, dass weitere Nach-
forschungen angestellt würden. Es wäre nicht un-
möglich, dass vielleicht auch Grabschriften von Cha-
saren aufgefunden würden.
Über neun dem asiatischen Museum zugekom-
mene Grabsteine mit hebräischen
von B. Dorn und Ad. Goebel. (Lu le 29 avril
1864.) |
Schon vor einer Reihe von Jahren waren ausländi-
sche Gelehrte von dem Dasein sehr alter hebräischer
12) In einem Epigraphe durch myw SES
13) Dieses Wort kommt auch in folgender Form Ch
14) Vergl. Hrn. M. Goebel’s Bemerkungen,
-
379
Bulletin de l'Académie Impériale
Grabinschriften in der Krim in Kenntniss gesetzt wor-
den. Sie erhoben gegen die Echtheit derselben über-
wiegende Zweifel’), während man hier zu Lande die
Echtheit entweder als unbestritten annahm, oder vor-
züglich gegen die frühen Jahrzahlen und die unter ih-
nen vorkommenden kaum móglichen Eigennamen, also
eigentlich gegen die Richtigkeit der Berechnung der
Aeren sich aussprach. Im Jahre 1859 und später hatte
ich wiederholt Gelegenheit und Veranlassung mich mit
der ganzen Sammlung der Firkowitsche und nament-
lich auch den hebräischen Grabinschriften näher be-
kannt zu machen. In einem Berichte darüber hatte ich
nicht unterlassen, auf die archäologische Wichtigkeit
dieser Grabinschriften hinzuweisen”). Nur besondere
a. 0. O. angegebene Umstände verhinderten schon da-
mals die Herausgabe sowohl dieser Inschriften als an-
derer Bestandtheile der Sammlung von Seiten der
Akademie.
Die Art und Weise, wie sich die Abdrücke der
Grabinschriften dem Auge darstellten, liess trotz ih-
res so mannichfache Bedenken erregenden Inhaltes,
z. B. schon des Nameus Toktamysch im dritten und
selbst im siebenten Jahrhundert n. Ch., um so weniger
eine entschiedene und unbedingte Zurückweisung zu,
als die beiden Karaiten, gegen welche ich wiederholt
geäussert hatte, dass vor Allem eine nochmalige Ver-
gleichung der Abdrücke mit den Originalen durch Sach-
kundige wünschenswerth sei, dieses ohne Weiteres mit
der unumwundenen Versicherung zugaben, dass eine
solche Vergleichung nur zu ihrem und der Wissenschaft
Vortheil ausfallen könne, ja dass sie es sogar selbst
wünschten. Sie zeigten zu diesem Behufe einen aus-
1) S. Hrn. Neubauer's Aufsatz S. 374 — 378. Die erste Nach-
richt von diesen Grabinschriften findet sich in den Abhandlungen
der Odessaer Gesellschaft für Geschichte und Alterthümer (Jamucxu
er he pe Heropin u /Ipesnocreit). Odessa 1844, S. 640
flgde. Es i. J. 1839, als die Gesellschaft erfuhr, dass Hr. Fir-
koii i in à Tschufut-Kale, Karassu-Basar, Theodosia
sehr alte hebräische Denkmäler, d.i. 58 Grabinschriften und 51
Handschriften aus den Jahren 640 — 1679 entdeckt habe. Hr.
Stern, mit der Durchsicht und Erklürung der aufgefundenen wis-
senschaftlichen Gegenstände beauftragt, begab sich i. J. 1842 zum
Behufe einer Vergleichung der Abschriften und Abdrücke an Ort
on Stelle. Er nahm namentlich von den Grabinschriften — welche
s hier allein beschäftigen — diplomatisch genaue Abdrücke und
fand überdiess auf dem Gottesacker von Tschufut- Kale noch sie-
ben dergleichen Inschriften aus den Jahren 598, 818, 877, 992,
1027 und 1509. Die siebente ohne Jahrzahl sah man als dem ach-
ten Jahrh. angehórig und als einen Beweis für die, Echtheit der
Inschrift mit dem Namen Isak Sangari vom
2) Bullet. hist.-phil. T. XVI, S. 222.
ia u. s. w. viele :
führlichen Plan des jüdischen Gottesackers vor, auf
welchem die Stellen genau bezeichnet waren, wo die
betreffenden Grabsteine unter der Erde lagen und nach
ihrer Aussage zum Theil nur mit Mühe an das Tages-
licht gebracht werden konnten, wodurch eben ihre
Erhaltung bedingt und möglich geworden war. Die
Örtlichkeit ist aber so leicht zu erreichen und zugäng-
lich, dass man nicht annehmen konnte, dass die dama-
ligen Besitzer der Abdrücke sich in einer Angelegen-
heit, welche schon die Aufmerksamkeit der Hebraisten
und anderer Gelehrten auf sich gezogen hatte, einer
Widerlėgung ihrer Angaben in Folge einer Untersu-
chung durch Sachverständige hätten aussetzen wollen.
War ja doch die schon i. J. 1842 an Ort und Stelle
unternommene Vergleichung nicht zu ihrem Nachtheil
ausgefallen; s. Anm. 1). Zu der Annahme aber, dass
die Steine schon in früherer Zeit gefälscht und aus ir-
gend einer Absicht an die Stellen, wo sie gefunden
wurden, niedergelegt oder hingesetzt worden seien, lag
fürs Erste keine nachweisbare Veranlassung vor.
Unterdessen wurde die erwähnte Sammlung für
die Kaiserliche öffentliche Bibliothek erworben und
mit ihr also auch eine bedeutende Anzahl von Ab-
drücken von jüdischen Grabinschriften in der Krim.
Hr. Neubauer, welcher im Auftrage des französischen
Ministeriums des öffentlichen Unterrichts seit längerer
Zeit die Sammlung untersucht und ausgebeutet hat,
hatte bereits über die in Rede stehenden Grabinschrif-
ten nach Paris berichtet, wo sie das grösste Interesse
erregten. Da geschah es, dass Hr. Abrah. Firkowitsch
auf seiner Reise nach dem Orient von dem karaiti-
schen Gottesacker im Josaphat-Thal bei Tschufut-Kale
‘in der Krim neun der Grabsteine hierher nach St
Petersburg schickte und Sr. Exc. dem Hrn. Minister
des Kaiserlichen Hofes zur Verfügung stellte. Da de-
ren Aufnahme in die Eremitage aus mehreren Grün-
den nicht genehm gefunden ward, so wurden sie dem
asiatischen Museum der Akademie überlassen °), WO
sie seit dem 14. März den andern Steinen mit asia-
tischen Inschriften ebenbürtig zur Seite stehen. Hr.
eubauer also hat in seinem Aufsatze nach den Ori-
ginalen selbst gearbeitet. Wir können nur bedauern,
dass nicht auch der von ihm unter N° 1 beschriebene
Stein MEA vom J. 6 n. Ch. unter IhnaB- ist. Mh
3) Bullet. SKIL 8.121 a sd nie as GARE
-
351
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
34?
muss auch die Meinung des Hrn. Verfassers des Auf-
satzes unbedingt theilen, dass eine weitere Nachfor-
schung nach ähnlichen Denkmälern an Ort und Stelle
höchst wünschenswerth sei, damit nicht Andere uns
zuvorkommen.
Das ganze Aussehen der Steine lässt in archäolo-
gischer Hinsicht über ihre Echtheit kaum einen Zwei-
fel zu. Und wenn, was freilich noch einer eingehen-
den Untersuchung und Beweisführung bedarf, die auf
ihnen vorkommenden Aeren so und nicht anders er-
klärt und gedeutet werden müssen, als wie das schon
früher von Hrn. Firkowitsch und jetzt vorläufig von
Hrn. Neubauer geschehen ist, so steigt der Werth
der Steine in einem solchen Maasse, dass man sie als
einzig in ihrer Art und als in verschiedener Hinsicht
höchst wichtig für die Wissenschaft betrachten muss.
Auf jeden Fall wird die Veröffentlichung der Inschrif-
ten mit den getreuen Nachbildungen eine endliche
Entscheidung wesentlich erleichtern. Es blieb nach
meiner Meinung noch die Frage übrig, was die Geo-
logie über die Steine zu sagen hätte. Hr. Goebel hat
auf meine Bitte die Güte gehabt sich einer sorgfälti-
gen geologischen Untersuchung derselben zu unter-
ziehen, deren Ergebnisse in den noch folgenden Zeilen
niedergelegt sind. Dorn.
Das Material einer mit eingemeisselter hebräischer
Inschrift versehenen Steinplatte, deren eine Hälfte
von Hrn. Academiker Dorn mir zur geognostischen
Bestimmung übergeben war, bestand aus einem etwas
porösen weichen Kalksteine von rein weisser Farbe,
erdig krystallinischem Bruch, der in Säuren vollstän-
dig und leicht löslich war, und sich schon mit dem
Fingernagel ritzen und schrammen liess. Er zeigte
sich von zahlreichen Resten petrifieirter, aber meist
sehr schlecht erhaltener Zoophyten, Mollusken und
vielleicht Trümmern von Crinoiden erfüllt, die, durch
ein Kalkcäment mit einander verkittet, ein rein zoo-
genes Gestein darstellten. Ein Dentalium und eine
Species von Zschara bilden bei weitem die Haupt-
masse der erkennbaren Einschlüsse, selten fanden sich
schlecht erhaltene und kaum bestimmbare Abdrücke
einer kleinen Trochus-ähnlichen Schnecke und einer
Bivalve. Auf der erdig ‚porösen Bruchfläche des Ge-
steines traten zahl die Spaltungs-
v
flächen des Kalkspathes darbietende Körper hervor,
die 6 bis 8 Millimètres Durchmesser erreichten und
nach ihrer fünfeckigen Gestalt an der Bruchfläche, als
Ausfüllungsmasse von Orinoidengliedern zu deuten sein
dürften.
Das vorliegende Gestein + » seiner morphologi-
schen und physisch Il iden-
tisch mit den Felsmassen, die bei Berg" östlich
von Sewastopol zu Tage E wie solches sich
sofort herausstellte, als ich dasselbe mit ähnlichen
Gesteinen verglich, die auf der Reise des Hrn. Ana-
tole Demidoff in der Krym gesammelt wurden, von
welchen die geognostische Sammlung im Besitze der
Akademie sich befindet. Sechs Handstücke mit der
Bezeichnung «Inkerman» boten hinreichendes Mate-
rial dar. Sie enthielten dieselben organisirten Ein-
schlüsse. Vier derselben waren durch Fleckchen von
Eisenoxydhydrat gesprenkelt, und mussten somit einer
den Atmosphärilien ausgesetzten äusseren Gesteins-
lage angehört haben; die beiden andern aber, rein
weiss, schienen gleichsam aus einer Masse mit der
vorliegenden Steinplatte zu sein. In dem, von Huot
verfassten, Cataloge waren sie unter der Rubrik «Ter-
rain cretacé» bezeichnet als «Craie remplie de debris
organiques d’Inkerman».
Zu dieser Bestimmung als Kreidekalkstein haben
wohl weniger die so schlecht erhaltenen Petrefacten,
als die Lagerung zwischen Schichten geleitet, welche
durch ihre wohlerhaltenen und characteristischen Ein-
schlüsse geognostisch gut bestimmt worden sind. Die
während der Belagerung Sewastopols von mehreren
englischen Artillerieofficieren auch in der Gegend von
Inkerman gesammelten und vom Prof. Baily‘) und
dem Capitain Cockburn ?) bearbeiteten Petrefacten
geben indess keine nähern Aufschlüsse über die in
obigem Gesteine vorliegenden.
Die Betrachtung der anderen Steinplatten ergab
eine der beschriebenen ähnliche Beschaffenheit. Sie
bieten sämmtlich in ihren Umrissen der Fläche nach,
die Gestalt eines Fünfecks dar, wie man es erhält,
wenn man der einen langen Seite eines rechtwinkligen
Parallelogramm's, ein gleichschenkliges stumpfwink-
liges Dreieck aufgesetzt sich denkt. Die vordere oder
4) Quarterly Journal of the Geol. SHE: ot London T. XIV.
1858. p
5) Tb id. p- 161.
a
des Sciences de Salnt- Pötersboneg,
Zadok halevi Sohn Mosis starb 4000 d. Sch., 785
unseres Exils (89 n. Ch.).
Abdruck VIII (s. Taf. IM).
"gor: ? wu Dab 57 poss nap 9 nzxb m
Dies ist der Grabstein von Farlak (?) 4091 (180
n. Ch.). Gottes Friede sei mit ihm (ihr?).
Abdruck XXI (s. Taf. IV).
ri mua ?) ro y3 man à 92 Son 5v mason nsn
"mm N D DR Det O33 mns Wwe cun
122 nnb
Dies ist der Grabstein Hilels Sohn Mosis, gestor-
ben 4216 d. Sch. (305 n. Ch.) Möge dessen Seele
. festgebunden sein im Lebensbunde bei Gott und möge
er in Herrlichkeit ruhen.
Abdruck XXXV (s. Taf. V).
pp Son tbe na now nop bw maso m
mms nue won VD Eu AE (60) mew
t0) 59:55 mat wn "nein Gap Tns
- Dies ist der Grabstein der Esther Tochter Salo-
mo’s, welchen ich zu ihrem Haupte gestellt; sie starb
4536 d. Sch., welches 4385 nach der Berechnung
von Matarca macht (625 n. Ch.).
| Abdruck XLVIII (s. Taf. VI).
masse "> 9 n2 poxvo nb mp NL "
sait ny swpn mea
Dies ist der Grabstein der Frau Severgelin Toch-
ter Levi's, gestorben 4581 d. Sch. (670). Der Friede
Gottes sei mit ihr.
Abdruck LII (s. Taf. VII).
D'UN uym jm Meet aisi uua
ms» | napin mw
eg ei Der alte und bescheidene Tochtamisch
(gestorben) im Jahre 4589 d. Sch. (678 n. Ch.).
8) Dieses Epitaph ist in gran Buchstaben schwer leserlich
9) Der Abdruck hat hier falsch
10) Die letzten 3 Wörter, pec Hr. Akad. Kunik (cf. Bulletin
T. V, col. 357), wàren von einer andern Hand gemeisselt, welches,
wenn dies Ke der Fall gewesen wäre, unsern Resultaten keinen
Abbruch thu
11) Die re zwei Zeilen des Grabsteines sind ganz verwischt.
Abdruck LVII (s. Taf. VIII).
nrw» pr in eps ya sy Le nan m
Dies ist der Grabstein des Aini Sohnes Eliasaph,
gestorben 4630 (719 n. Ch.). Móge dessen Seele fest-
gebunden sein im Lebensbunde.
Das Wort "263 kommt schon Abdruck V (97 n. Ch.)
vor. Ausserdem findet man in Abdruck X (197 n. Ch.)
den Namen Gulaf Era Rose"). Abdruck XIV (262
n. Ch. die Namen 232 72 GO ") Toktamisch
Sohn Baeschi's.
Den neunten Stein berücksichtigen wir hier nicht,
weil er zu jung ist, und in einem nächsten Artikel
eher passen kann. Wir geben hier noch den Text
des Abdrucks XXIII wegen der beiden Aeren, die
darin vorkommen:
+2 Dt D map by PERD ^no ww wn m
wmbab now nw en w* mue "eg Dow
na)
Dies ist der Stein den ich auf dem Grabe des Jo-
seph Sohnes Eliah zu dessen Haupte gesetzt habe,
gestorben 4280 d. Sch., 1065 unseres Exils (369 n.
Ch.). Seine Seele ruhe im Paradiese.
Die Steine scheinen Kalksteine zu sein; kein Wun-
der also, dass sie sich in jenen warmen Gegenden so
gut erhalten haben '^. Hr. Firkowitz hat mit den we-
nigen Mitteln, die ihm zu Gebote standen, über 300
Abdrücke anfertigen können; wer weiss welche wich-
tigen Documente die Erde hier noch verbirgt, und es
wäre daher sehr wünschenswerth, dass weitere Nach-
forschungen angestellt würden. Es wäre nicht un-
möglich, dass vielleicht auch Grabschriften von Cha-
saren aufgefunden würden.
Über neun dem asiatischen Museum zugekom-
mene Grabsteine mit hebräischen Inschriften,
von B. Dorn und Ad. Goebel. (Lu le 29 avril
1864.)
Schon vor einer Reihe von Jahren waren ausländi-
sche maichzie von dem Dasein sehr alter hebräischer
12) In einem Epigraphe durch es gegeben.
13) Dieses Wort kommt auch in folgender Form nuai vor.
14) Vergl. Hrn. M. Goebel’s Bemerkungen.
379 Bulletin de l’Académie Impériale 380
Grabinschriften in der Krim in Kenntniss gesetzt wor-
den. Sie erhoben gegen die Echtheit derselben über-
wiegende Zweifel'), wührend man hier zu Lande die
Echtheit entweder als unbestritten annahm, oder vor-
züglich gegen die frühen Jahrzahlen und die unter ih-
nen vorkommenden kaum möglichen Eigennamen, also
eigentlich gegen die Richtigkeit der Berechnung der
Aeren sich aussprach. Im Jahre 1859 und später hatte
ich wiederholt Gelegenheit und Veranlassung mich mit
der ganzen Sammlung der Firkowitsche und nament-
lich auch den hebräischen Grabinschriften näher be-
kannt zu machen. In einem Berichte darüber hatte ich
nicht unterlassen, auf die archäologische Wichtigkeit
dieser Grabinschriften hinzuweisen"). Nur besondere
a. 0. O. angegebene Umstände verhinderten schon da-
mals die Herausgabe sowohl dieser Inschriften als an-
derer Bestandtheile der Sammlung von Seiten der
Akademie.
Die Art und Weise, wie sich die Abdrücke der
Grabinschriften dem Auge darstellten, liess trotz ih-
res so mannichfache Bedenken erregenden Inhaltes,
z. B. schon des Namens Toktamysch im dritten und
selbst im siebenten Jahrhundert n. Ch., um so weniger
eine entschiedene und unbedingte Zurückweisung zu,
als die beiden Karaiten, gegen welche ich wiederholt
geäussert hatte, dass vor Allem eine nochmalige Ver-
gleichung der Abdrücke mit den Originalen durch Sach-
kundige wünschenswerth sei, dieses ohne Weiteres mit
der unumwundenen Versicherung zugaben, dass eine
solche Vergleichung nur zu ihrem und der Wissenschaft
Vortheil ausfallen könne, ja dass sie es sogar selbst
wünschten. Sie zeigten zu diesem Behufe einen aus-
1) S. Hrn. Neubaner’s Aufsatz S. 374 — 378. Die erste Nach-
richt von diesen Grabinschriften findet sich in den Abhandlungen
der Odessaer Gesellschaft für Geschichte und Alterthümer (3anuexm
Ozecexaro Oémecrsa Meropin u /Ipesnmocrei) Odessa 1844, S. 640
figde. Es war i. J. 1839, als die Gesellschaft erfuhr, dass Hr. Fir-
kowitsch in Tschufut-Kale, Karassu-Basar, The odosia sia u. 8. w. viele:
sehr alte hebräische Denkmäler, d. i. 58 Grabinschriften und 51
Handschriften aus den Jahren 640 — 1679 entdeckt habe. Hr.
Stern, mit der Durchsicht und Erklärung der aufgefundenen wi
senschaftlichen Gegenstände ue D begab sich i. J. 1842 zum
Behufe einer Vergleichung der Abschriften und Abdrücke an Ort
und Stelle. Er nahm namentlich von den Grabinschriften — welche
uns hier allein beschäftigen — diplomatisch genaue Abdrücke und
fand überdiess auf dem Gottesacker von Tschufut- Kale noch sie-
un
eichen Inschriften aus den Jahren 598, 818, 877, 992,
1027 und 1509. Die siebente den Jahrzahl sah man als dem ach-
ten Jahrh. angehórig und als einen Beweis für die ee der
Inschrift mit dem Namen Isak Sangari vom J. 707 n :
2) Bullet. hist.-phil. T. XVI, S. 222.
'führlichen Plan des jüdischen Gottesackers vor, auf
welchem die Stellen genau bezeichnet waren, wo die
betreffenden Grabsteine unter der Erde lagen und nach
ihrer Aussage zum Theil nur mit Mühe an das Tages-
licht gebracht werden konnten, wodurch eben ihre
Erhaltung bedingt und möglich geworden war. Die
Órtlichkeit ist aber so leicht zu erreichen und zugüng-
lich, dass man nicht annehmen konnte, dass die dama-
ligen Besitzer der Abdrücke sich in einer Angelegen-
heit, welche schon die Aufmerksamkeit der Hebraisten
und anderer Gelehrten auf sich gezogen hatte, einer
Widerlegung ihrer Angaben in Folge einer Untersu-
chung durch Sachverständige hätten aussetzen wollen.
War ja doch die schon i. J. 1842 an Ort und Stelle
| unternommene Vergleichung nicht zu ihrem Nachtheil
ausgefallen; s. Anm. 1). Zu der Annahme aber, dass
die Steine schon in früherer Zeit gefälscht und aus ir-
gend einer Absicht an die Stellen, wo sie gefunden
wurden, niedergelegt oder hingesetzt worden seien, lag
fürs Erste keine nachweisbare Veranlassung vor.
Unterdessen wurde die erwähnte Sammlung für
die Kaiserliche öffentliche Bibliothek erworben und
mit ihr also auch eine bedeutende Anzahl von Ab-
drücken von jüdischen Grabinschriften in der Krim.
Hr. Neubauer, welcher im Auftrage des französischen
Ministeriums des öffentlichen Unterrichts seit längerer
Zeit die Sammlung untersucht und ausgebeutet hat,
hatte bereits über die in Rede stehenden Grabinschrif-
ten nach Paris berichtet, wo sie das grósste Interesse
erregten. Da geschah es, dais Hr. Abrah. Firkowitsch
auf seiner Reise nach dem Orient von dem karaiti-
schen Gottesacker im Josaphat-Thal bei Tschufut-Kale
in der Krim neun der Grabsteine hierher nach St
Petersburg schickte und Sr. Exc. dem Hrn. Minister
des Kaiserlichen Hofes zur Verfügung stellte. Da de-
ren Aufnahme in die Eremitage aus mehreren Grün-
den nicht genehm gefunden ward, so wurden sie dem
asiatischen Museum der Akademie überlassen), WO
sie seit dem 14. März den andern Steinen mit asia-
tischen Inschriften ebenbürtig zur Seite stehen. Hr.
Neubauer also hat in seinem Aufsatze nach den Ori-
ginalen selbst gearbeitet. Wir kónnen nur bedauern,
dass nicht auch der von ihm unter N° 1 beschriebene
Bag WE EA vom J. 6 n. Ch. unter iban. ist. ge
3) Bullet. T. VII, $. ine aM ya
-
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
392
muss auch die Meinung des Hrn. Verfassers des Auf-
satzes unbedingt theilen, dass eine weitere Nachfor-
schung nach ähnlichen Denkmälern an Ort und Stelle
hóchst wünschenswerth sei, damit nicht Andere uns
zuvorkommen.
Das ganze Aussehen der Steine lässt in archäolo-
gischer Hinsicht über ihre Echtheit kaum einen Zwei-
fel zu. Und wenn, was freilich noch einer eingehen-
den Untersuchung und Beweisführung bedarf, die auf
ihnen vorkommenden Aeren so und nicht anders er-
klärt und gedeutet werden müssen, als wie das schon
früher von Hrn. Firkowitsch und jetzt vorläufig von
Hrn. Neubauer geschehen ist, so steigt der Werth
der Steine in einem solchen Maasse, dass man sie als
einzig in ihrer Art und als in verschiedener Hinsicht
höchst wichtig für die Wissenschaft betrachten muss.
Auf jeden Fall wird die Veröffentlichung der Inschrif-
ten mit den getreuen Nachbildungen eine endliche
Entscheidung wesentlich erleichtern. Es blieb nach
meiner Meinung noch die Frage übrig, was die Geo-
logie über die Steine zu sagen hätte. Hr. Goebel hat
auf meine Bitte die Güte gehabt sich einer sorgfälti-
gen geologischen Untersuchung derselben zu unter-
ziehen, deren Ergebnisse in den noch folgenden Zeilen
niedergelegt sind. Dorn,
Das Material einer mit eingemeisselter hebräischer
Inschrift versehenen Steinplatte, deren eine Hälfte
von Hrn. Academiker Dorn mir zur geognostischen
Bestimmung übergeben war, bestand aus einem etwas
porösen weichen Kalksteine von rein weisser Farbe,
erdig krystallinischem Bruch, der in Säuren vollstän-
dig und leicht löslich war, und sich schon mit dem
Fingernagel ritzen und schrammen liess. Er zeigte
sich von zahlreichen Resten petrificirter, aber meist
sehr schlecht erhaltener Zoophyten, Mollusken und
vielleicht Trümmern von Crinoiden erfüllt, die, durch
ein Kalkcäment mit einander verkittet, ein rein zoo-
genes Gestein darstellten. Ein Dentalium und eine
Species von Zschara bilden bei weitem die Haupt-
masse der erkennbaren Einschlüsse, selten fanden sich
schlecht erhaltene und kaum bestimmbare Abdrücke |
einer kleinen Trochus-ähnlichen Schnecke und einer |
Bivalve. Auf der erdig porósen Bruchflüche des Ge- P
steines traten zahire , p 8
flächen des Kalkspathes darbietende Körper hervor,
die 6 bis 8 Millimétres Durchmesser erreichten und
nach ihrer fünfeckigen Gestalt an der Bruchfläche, als
Ausfüllungsmasse von Orinoidengliedern zu deuten sein
dürften.
Das vorliegende Gestein ist in seiner morphologi-
schen und physisch iden-
tisch mit den Felsmassen, die bei Tiker östlich
von Sewastopol zu Tage gelidi wie E sich
sofort herausstellte, als ich dasselbe mit ähnlichen
Gesteinen verglich, die auf der Reise des Hrn. Ana-
tole Demidoff in der Krym gesammelt wurden, von
welchen die geognostische Sammlung im Besitze der
Akademie sich befindet. Sechs Handstücke mit der
Bezeichnung «Inkerman» boten hinreichendes Mate-
rial dar. Sie enthielten dieselben organisirten Ein-
schlüsse. Vier derselben waren durch Fleckchen von
Eisenoxydhydrat gesprenkelt, und mussten somit einer
den Atmosphärilien ausgesetzten äusseren Gesteins-
lage angehört haben; die beiden andern aber, rein
weiss, schienen gleichsam aus einer Masse mit der
vorliegenden Steinplatte zu sein. In dem, von Huot
verfassten, Cataloge waren sie unter der Rubrik «Ter-
rain cretacé» bezeichnet als «Craie remplie de debris
organiques d Inkerman».
Zu dieser Bestimmung als Kreidekalkstein haben
wohl weniger die so schlecht erhaltenen Petrefacten,
als die Lagerung zwischen Schichten geleitet, welche
durch ihre wohlerhaltenen und characteristischen Ein-
schlüsse geognostisch gut bestimmt worden sind. Die
während der Belagerung Sewastopols von mehreren
englischen Artillerieofficieren auch in der Gegend von
Inkerman gesammelten und vom Prof. Baily * und
dem Capitain Cockburn *) bearbeiteten Petrefacten
geben indess keine nähern Aufschlüsse über die in
obigem Gesteine vorliegenden.
Die Betrachtung der anderen Steinplatten ergab
eine der beschriebenen ähnliche Beschaffenheit. Sie
bieten sämmtlich in ihren Umrissen der Fläche nach,
die Gestalt eines Fünfecks dar, wie man es erhält,
wenn man der einen langen Seite eines rechtwinkligen
Parallelogramm’s, ein gleichschenkliges stumpfwink-
liges Dreieck aufgesetzt sich "En Die Seier
Quarter Journal of de Ge . Soc E rs dk :
133. Se
Logg gan e
. P-
5) Ib id. p. 161.
Bulletin de l’Académie Impériale
obere Fläche trägt eine oblonge, dem Parallelogramm
entsprechende Vertiefung, auf deren Boden die ein-
gemeisselten Inschriften sich befinden. Allen gemein-
sam war die frische Beschaffenheit der eine Ebene
darstellenden Unterfläche, welche das Ansehen trug,
als ob sie entweder durch den Schnitt einer Säge her-
vorgebracht worden, oder aber durch das Rutschen
und Schieben der schweren, bis 12 Centimètre dicken
Steinplatten auf einer rauhen und harten Unterlage
entstanden seie. Dass aber das Erstere der Fall ge-
wesen, wird dadurch bewiesen, dass bei zweien Plat-
ten noch deutliche frische Einschnitte einer Steinsäge
vorhanden sind, welche näher zur obern Fläche an-
gesetzt gewesen war. Man hatte offenbar die Absicht,
durch Wegschneiden des überflüssig Scheinenden, die
Kosten und Schwierigkeiten des Transportes zu ver-
ringern. Platte IV, welche an den Seiten Inschrif-
ten trägt, ist demzufolge auch am dicksten. Ferner
waren die Platten sämmtlich an den übrigen Aussen-
flächen durch anhaftende staubähnliche Unreinigkei-
ten dunkel gefärbt, und nur das concave Becken, wel-
ches die Inschriften eingemeisselt trug, war offenbar
durch Waschen und Scheuern heller geworden. Die
lithologische Beschaffenheit konnte nur an kleinen
frisch hervorgebrachten Bruchflüchen wie an der Un-
terfläche deutlich erkannt werden, und war bei einigen:
Platten identisch mit der bereits beschriebenen, bei den
andern aber traten die oben genannten Fossilien; zurück,
das Gestein nahm eine noch weichere, zerreibliche,
erdig abfärbende Beschaffenheit an, — es liessen
sich in demselben Foramiferen wiem Auch zu
dieser Varietät fanden sich in der Demidoff’schen
Sammlung vollkommen gleichbeschaffene Belegstücke
unter der Benennung « Kreidemergel aus der Umgegend
von Karassu-Bazar». Wenn auch noch an andern Stel-
len längs der am Nordabhange des Krymschen Küsten-
gebirges sich hinziehenden schmalen Kreidezone die
hier geschilderten Gesteinschichten zu Tage ausgehen
dürften, so mag es doch nicht unwahrscheinlich: ‚sein,
dass da Material vorliegender, - ‚hebräischen In-
schriften h hen von
Karassu- Bazar und Inkerman entnommen sei, welche
an der grossen Strasse und in der Nähe bedeutender
Culturorte und Hafenplätze gelegen, seit Altersher !
das Material zu Bauten und Ornamenten j yrs ge
geliefert haben.
Die oberen Seitenränder sämmtlicher Platten wa-
ren mehr oder weniger zertrümmert, und zwar sicht-
lich durch Abstossung, nicht durch Auswaschung bloss
erodirt. Hinsichtlich der äussern Beschaffenheit und
des damit verbundenen alterthümlichen Ansehens va-
riiren die Platten etwas, und bringen den Eindruck
hervor, dass sie entweder verschiedenen Alters seien,
oder aber verschieden günstigen Bedingungen den un-
gleichen Zustand ihrer Erhaltung verdanken.
Eine kurze vergleichende Betrachtung aller acht
Steinmonumente wird solches deutlich machen.
Platte I. Ist die bereits im Eingange beschriebene;
ihre obern äussern Ränder sind zertrümmert. Spuren
schwärzlicher Flechtenvegetation zeigen sich auf der
obern Fläche, desgleichen auch ein beginnender Wuchs
grünen Mooses von 3 bis 5 Millim. hohen Faser-
Büscheln an einzelnen Punkten. Die Ränder der In-
schriften sind meist scharf, bröckeln aber schon durch
den Druck der Finger etwas.
Platte II, Lithologisch der vorigen jaink mit
vielen hohlen Dentalien. Bruch kreideartig, erdig.
Die äussere Oberfläche ist eben, von parallelen, etwa
durch gleitenden Druck eines Sipita hervor-
gebrachten Riffeln bedeckt, die auch auf den Seiten-
flächen vollständig erhalten sind. Spuren schwärzli-
cher Flechten zeigen sich auf der oberen Fläche, die
sonst reiner ist, und Reste vermoderter Wurzelfasern,
welche der xm Steinfläche adhäriren. Die Inschrif-
ten sind gut erhalten. `
‚Platte UL Weiche, erdig N Kreidemes-
gel, mit wenigen Dentalien, enthält Foraminiferen,
und keine Kalkspatheinschlüsse. Durch fest adhäri-
renden Staub sind die Seiten- und Oberfläche schwärz-
lich gefärbt. Der vordere obere Rand ist abgestossen
und zertrümmert, von schmutzigem und zerfressenem
Ansehen. Der hintere obere Rand ist von einer feinen
schon vermoderten Flechtenlage von schwärzlicher
Farbe deckenartig überzogen, auf welcher stellen-
weise eine dünnere, neuere Lichenenvegetation von
strohgelber, grünlicher, bräunlicher und grauer Farbe
warzenartig sich angesiedelt hat. An einer Stelle be-
fand sich ein Büschelchen von vertrocknetem Laub-
Moose. Der Stein muss also in seiner oberen Parthie
längere Zeit dem Licht und der Luft ausgesetzt ge-
wesen sein. Das Inschriftbecken hat durch Waschen
und Reini Igen í ei Färbung erhalten, hier-
CR 5%
wiU
385 des Sciences de Saint - Petersbourg. 386
bei mögen durch Reibung wohl die Flechten entfernt
worden sein, wie vom vorderen, oberen Rande. Die
Inschriften sind sehr abgeschliffen und ziemlich zer-
stört.
Platte IV (die grösste). Lithologisch der vorigen
ähnlich, trägt aber ein scheinbar neueres Gepräge,
da die Ränder der eingemeisselten Buchstaben scharf
und deutlich, ohne Zeichen von Erosionswirkung sind.
Auf den Seitenflächen befinden sich gleichfalls In-
schriften. Die rechte Seite der Oberfläche ist parallel
geriffelt wie bei Platte II. Keine Spur von Flechten
ist sichtbar.
Platte V. Diese hat offenbar in der Erde gelegen,
sie ist aussen schmutzig, die Ränder zertrümmert; die
Inschriften sind sehr zerstört und verwaschen. Auf
dem Grunde des Inschriftbeckens sind noch fest ad-
härirende feine Pflanzénwurzeln vorhanden, die dem
Reinigungsprocess entgangen sind.
Platte VI. Diese und die folgenden sind durch Den-
talien und Kalkspatheinschlüsse characterisirt wie die
Platte I. Die Riffeln sind an den Seitenflächen erhal-
ten, an der Oberfläche dagegen sind keine wahrnehm-
bar. Die Inschriften mit wohlerhaltenen Rändern,
aber sehr abgeschliffen. Ein schwärzlicher dünner Li-
chenenüberzug ist nur auf der Spitze sichtbar.
Platte VII. Diese trägt ein entschieden sehr altes
Gepräge; sie ist aussen sowohl durch Abstossung als
durch deutliche Erosion von Wasser sehr mitgenom-
men. Das Inschriftbecken ganz zerschlissen, nur dig
beiden untersten Reihen der Buchstaben sind, obwol
auch in sehr abgeschliffenem Zustande, erhalten ge-
blieben. Eine mehr als zolltiefe Höhlung, an der Seite
war zum Theil von humoser schwarzer Gartenerde
erfüllt, die Pflanzen- und Blattreste, wie eine kleine
leere Käferlarve enthielt. Auf der unteren Hälfte,
gleichwie auch bei Pl. VI und VIII, ist die Oberflä-
che von begonnenen Kalksinterbildungen mit kleinen,
warzenförmig aufgetriebenen Höhlungen bedeckt.
Platte VIII. Die ganze Oberfläche ist mit Riffeln
versehen, dieselben sind aber etwas erodirt. Auch die
Inschrift ist verwaschen und die obere Buchstaben-
reihe grösstentheils zerstört. Reste vermoderter fei-
ner Pflanzenwurzeln befinden sich auf der unteren
Hälfte der Platte, eine dünne schwarze Flechtenlage |
längs der Spitze nnd einige zwerghafte vertrocknete
Moosbüschel längs Steinritzen auf derselben.
Tome VII.
In Bezug auf die von Hrn. Akad. Dorn mir vorge-
legte Frage, inwiefern die Beschaffenheit der Gesteins-
masse und der Inschriften im Einklange stände mit dem
supponirten Alter der letzteren von circa 1600 bis
1800 Jahren, muss ich zunächst bemerken, dass eine
annähernd genügende Beantwortung kaum möglich
sein dürfte, da einerseits zwei oder mehrere Monu-
mente aus derselben Steinmasse schon in kurzer hi-
storischer Zeit einer sehr verschiedenen Alteration
unterliegen und daher ein verschiedenes Aussehen be-
kommen können, wenn sie unter ungleichen Umstän-
den aufbewahrt oder der Einwirkung äusserer Agen-
tien in verschiedenem Grade ausgesetzt worden wa-
ren, und andrerseits, durch Beobachtung gewonnene,
zur Vergleichung dienende Zeitangaben über die Art
und den Grad der Alteration anderer, ähnlicher Stein-
monumente uns nicht vorliegen und auch, meines Wis-
sens, nicht gesammelt worden sind. Es kommt in die-
sem Falle daraufan, von einigermaassen sicheren Halt-
puncten auszugehen. Hier würe es vor Allem wichtig
zu wissen, unter welchen Umstünden die Steinplatten
seit der Einmeisselung der Inschriften aufbewahrt und
endlich aufgefunden worden sind. Sie sollen, nach der
Mittheilung des Hrn. Akad. Dorn, in der Krym aus
der Erde gegraben sein. Dies ist alles, was wir wis-
sen. Inschriften auf Steinen aber, welche zu dem
Zweck gemacht sind, dass deren Inhalt zur Kenntniss
der Mit- und Nachwelt komme, pflegen Jedermann
zugünglich, entweder in freier Luft, oder in geschütz-
ter Lage (öffentlichen Gebäuden, Hallen u. dgl.) aus-
gestellt, und erst im Laufe historischer oder (wenn
auch seltener) geologischer Ereignisse unter die obe-
ren Erdschichten gekommen zu sein.
Darum drängen sich hier nun die Fragen auf, wie
lange sie solchergestalt der Luft ausgesetzt, wie lange
und in welcher Tiefe sie im Boden gelegen haben,
ferner von welcher Beschaffenheit der letztere war,
weil alle diese Umstände auf das äussere Ansehen der
Steinplatten von Einfluss sein mussten. Wir dürfen
aber auch von dem Letzteren auf einige jener im
Causalzusammenhange stehenden allgemeinen Um-
stände selbst wieder zurückschliessen, wenn auch
nur in mehr negativer Beweisführung, und da zeigt
es sich denn, dass die zum Theil gut erhaltenen In-
schriften, die scharfen Ränder derselben auf einigên
Platten, die Abwesenheit oder nur spurenweise vor-
25
Bulletin de l’Académie Impériale
handenen Kryptogamen auf ihrer Oberfläche, die so
weiche und zerreibliche Beschaffenheit des durch At-
mosphärilien wie durch mechanische Ursachen leicht
zerstörbaren und doch chemisch sichtlich nicht alte-
rirten Gesteines entschieden für eine lange Aufbewah-
rung dieser Platten in geschützter, nach Aussen be-
deckter Lage reden. Einige sich hier anschliessende
Betrachtungen werden solches noch klarer begründen.
Zunächst erscheint es befremdend, dass man ein
so weiches, in kleinen Stücken mit den Fingern schon
etwas zerreibliches Material zu Denkmälern genom-
men hat, die doch auf längere Dauer berechnet wa-
ren. Die in der Nachbarschaft der Kreidezone der
Krym befindlichen, weit mächtiger entwickelten Num-
muliten- und Jurakalke boten hierzu schon ein weit
festeres und geeigneteres Material dar. Schichten der
beiden letzteren Formationen finden sich gleichfalls
bei Karassu - Bazar und Inkerman anstehend, wie sol-
ches aus der Demidow’schen Sammlung als auch aus
den von Baylie und Cockburn mitgetheilten Petre-
factenverzeichnissen hervorgeht. Ja sogar manche
Varietäten des Steppenkalkes, wie deséaralo - caspi-
schen Muschelkalkes, welche der Nummulitenzone
auflagern, sind weit härter. Wie sehr bald aber auch
diese der Zerstörung durch Reibung anheimgegeben
sind, sieht man z. B. aus dem ausgehöhlten Ansehen
viel betretener Treppenstufen und Trottoirs aus dem
Muschelkalk von halbkrystallinischer Struktur zu Ba-
ku. Nach einer nicht langen Reihe von Jahren müssen
dieselben stets wieder erneuert werden. Einige unse-
rer Steinplatten müssen aber gegen äussere Reibung
sehr geschützt gelegen haben, da die, offenbar mit ei-
nem spitzen Eisen hervorgebrachten parallelen Riefen,
mit denen die Oberfläche von vier Plätten bedeckt
ist, noch unverändert erhalten sind.
Die Oberfläche sämmtlicher Steine ist mit grau-
schwarzem Staube imprägnirt. Solches ist sehr ge-
wöhnlich bei porösen weissen Kalksteinen, welche
lange Zeit in Gewölben oder staubigen Kammern lie-
gen. Von der beckenartig ausgehöhlten Inschriftseite
scheint der Staub offenbar durch Waschen theilweise
entfernt worden zu sein, wenn sie nicht etwa durch
ein hineingepasstes Brett vor dem Zutritt von Staub
u. dgl. zum Theil bewahrt blieb. Das Vorhandensein
efkennbarer Wurzelfasern auf der Oberflüche mehre-
rer Platten spricht, wie auch die Erdreste in den Ver-
tiefungen und ihr sonstiges verwaschenes Ansehen,
für deren zeitliches Verweilen im Erdboden.
Fossilienreiche poróse Kalke, wie die der Tertiär-
und Kreideformation, pflegen gewöhnlich an den der
Luft ausgesetzten oder zugänglichen Schichten durch
Oxydation des in ihnen befindlichen Eisenoxyduls von
reichlichen Flecken von Eisenoydhydrat gelbroth ge-
sprenkelt oder auch mehr gleichfórmig und zonenweis
von aussen nach innen zu gefürbt zu sein, wie solches
alle Steinbrüche und viele der an der Luft frei lie-
genden Blócke und Schichten jener Gesteine uns zei-
gen. Auf den Bruch- und unteren Schnittflächen un-
serer Steinplatten aber ist eine solche partielle Eisen-
oxydfärbung nicht wahrnehmbar, obwohl das Gestein
etwas kohlensaures Eisenoxydul enthält. Auch von
dieser Seite wird es daher wahrscheinlich, dass sie
vor der unmittelbaren Einwirktng der Atmosphárilien
meist geschützt lagen, und wenn sie etwa Jahrhun-
derte lang in der Erde sich befanden, so musste sol-
ches unter Umstünden geschehen, wo sie vor der Ein-
wirkung lufthaltigen Wassers bewahrt blieben, sei es
nun, dass sie sich unter einer natürlichen oder künst-
lichen, das Wasser nicht durchlassenden Schicht be-
fanden. Nur auf Pl. V und VII, den äusserlich auch `
am meisten zerstórten, vermochte man mit Hülfe der
Loupe auch auf den der Oberfläche zunächst gelege-
nen innern Theilen Fleckchen von Eisenoxydhydrat
wahrzunehmen. Es genügt ferner, sich zu erinnern,
‚welche Zerstörungen das Wasser in Felsblöcken her-
vorbringt, die in losen Sand- oder Erdschichten frei
liegend, eingebettet sind. Jeder Durchschnitt hoher
Flussufer oder sogenannter Sandgruben, z. B. des di-
luvialen Terrains der Ostseeprovinzen liefert uns viele
Beispiele davon. In den oft mächtigen Sandalluvio-
nen liegen zahlreiche der meist so harten devonischen
und silurischen Kalk- und Dolomitgeschiebe, wie
Blöcke verschiedener Granitarten eingeschlossen. Die
ersteren sind meist zerklüftet, gelb gefärbt auf den
Kluftflächen mit Dendriten von Eisen- und Mangan-
oxyden bedeckt, die letzteren aber unter Beibehal-
tung ihrer äusseren Contourform bisweilen gänzlich
in Grus verwandelt, und zwar ist es nicht immer der
sogenannte Rappakiwi, der diesen Wandlungen un-
terliegt. Blöcke des so wenig cohärenten Kreidege-
steins der Krym würden unter solchen Verhältnis-
sen nicht lange ihre innere und äussere Beschaffen-
389
des Sciences de Saint -Petersbourg.
390
heit beibehalten, namentlich wenn man die leichte
Löslichkeit des Kalkcarbonats, dessen Wegführung
durch die so poröse Beschaffenheit des Gesteins be-
günstigt wird, im Auge behält.
Man könnte hier einwenden, dass eine solche Pa-
rallele unstatthaft sei, weil die klimatischen Verhält-
nisse der westlichen Krym andere sind, als die der
Ostseeprovinzen. Für unsere Zwecke kommt es aber
auf die Regenmenge an, welche den Boden jährlich
benetzt und durchtränkt, und da findet ein verhältniss-
mässig nur geringer Unterschied statt. Die mittlere
Regenmenge von Sympheropol beträgt 16,25 Zoll (nach
18jährigen Beobachtungen), steht also nur wenig hin-
ter der unseres regenreichen Petersburg zurück, für
welche Hr. v. Wesselowsky 17,91 Zoll angiebt°).
Schliesslich spricht noch ein wichtiger Umstand
dafür, dass unsere Steinplatten auch nicht ausschliess-
lich der andauernd vereinten Wirkung der Luft,
des Lichts und des Wassers ausgesetzt waren. Es ist
dies der völlige Mangel an Flechten auf der Oberflä-
che derselben mit Ausnahme des obern, in eine Spitze
auslaufenden Theiles der meisten Steinplatten. Es be-
darf keiner langen Zeit um schon auf polirten Stein-
flächen unter geeigneten Umständen Lichenen entste-
hen zu sehen. Auf der Oberfläche der aus finnischem
Rappakiwi-Granit bestehenden Alexandersäule hier-
selbst sah ich vor zwei Jahren mehrere Stellen, na-
mentlich auf den glimmerreichen Partieen, im obern
Drittheil der Säule, welche von schwärzlichen Flech-
ten eingenommen waren; diese konnten erst seit dem
Jahre 1841, wo die Säule zum letzten Male reparirt
und polirt worden, datiren. Tafeln cararrischen Mar-
mors auf baum- und schattenreichen feuchten Gottesä-
ckern (von Dorpat und Petersburg), deren Inschrift be-
sagt, dass sie kaum 50 — 70 Jahre alt sind, haben
ihre ehemalige Politur verloren, zeigen eine unreine,
rauhe und zerfressene Oberfläche und sind meist von
einer Lichenenvegetation von schwärzlicher und gel-
ber Farbe stellenweise bedeckt. Dass poröse Kalk-
steine ganz besonders zu reicher F lechtenvegetation
disponirt sind, zeigen manche, an feuchten Stellen
befindliche, aus Steppenkalk bestehenden Monumente
der mohammedanischen Gottesäcker von Baku, so-
wia alla
*
xus cl GE RE X rapti TS ECRIRE C ME DU AUS id
6) Becezoncxiit: O xuuxarb Pocciu, erp. 322. — Ibidem. Tpu-
> 1 Q9 E i Rp : jeux ST TERRA Lor. A"
dt 2 & 2 ` ^ I$ XX. EM era D zu 77
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soxenie, crp. 183.
d o. das:
u LIILLIRR |
und den feuchten Seewinden sehr ausgesetzt sind.
Eine dichte, viele aufeinanderfolgende Generationen
zählende, grau, gelb und braungesprenkelte Lichenen-
decke verhüllt an solchen Stellen weithin die Structur
des Gesteins. Sie ist bisweilen über einen halben Cen-
timétre dick und geht, nach innen weisslich oder
gelblich werdend, in oxalsauren Kalk über (Liebig's
Thierschit), der krustenartig das Gestein überzieht.
Die vorhandenen Lichenen- und Moosspuren auf
| mehreren unserer Steinplatten sprechen nur für eine
verhültnissmüssig kurze, unmittelbar der Gegenwart
sich anschliessende Zeitdauer von wenigen Jahrzehn-
ten, während welcher die Platten sehr wahrscheinlich
in aufrechter Stellung, bis zur Vegetirungsgrenze je-
ner Cryptog , d. h. bis mindestens zu zwei Drit-
tel ihrer Hóhe in den Erdboden versunken, der verein-
ten Wirkung der Luft, des Lichts und der Feuchtig-
keit ausgesetzt waren.
Resumiren wir schliesslich einige der wesentlichsten
Folgerungen aus vorstehenden Auseinanderset
so ergiebt sich:
e
1) Dass die Platten aus einem Gestein der Kreidefor-
mation bestehen, welches in der Krym bei Inker-
man und Karassu-Bazar anstehend gefunden wird.
2) Dass sie erst kürzlich mittelst einer Steinsäge von
einer grösseren Steinmasse abgetrennt, oder von
überflüssig scheinender Steinmasse befreit worden
sind. à
3) Dass sie sämmtlich (vielleicht mit Ausnahme vo
PI. IV) in aufrechtstehender Stellung bis zu wenig-
stens zwei Drittel ihres Umfanges in den Erdboden
versunken waren.
4) Derselbe ist für Platte VI, VII und VIII ein hu-
moser, von Feuchtigkeit durchzogener und von
Laubvegetation bedeckter gewesen, also vielleicht
ein Garten oder Kirchhof.
5) Dass dieses Versunkensein wührend einer bestimm-
Zeitdauer stattgefunden, die sich unmittelbar der
- Gegenwart anschliesst. `
6) Dass aus Mangel an vergleichenden Deductions-
` beweisen a posteriori sich für jetzt keine sichere
naher die D e machen
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7) Die noch vorhandi
. auf den obern Theilen der Steine dürfte für sich
t y
391 Bulletin de l’Académie Impériale 392
allein den Zeitraum von höchstens achtzig bis hun-
dertfunfzig Jahren als Maximalgrenze in Anspruch
nehmen. Es ist nicht zu vergessen, dass solches
eine Schätzung ist, zu der die strengeren Vergleichs-
beweise noch mangeln.
8) Da alle diese Inschriften noch vor der Entstehung
der jetzt sichtbaren Lichenen eine Reihe von Jahr-
hunderten, in oder auf dem Erdboden liegend,
überdauert haben so dürfte solehes zum minde-
sten für die vier ersten Platten, aus chemisch-
mechanischen Gründen nur unter besonders gün-
stigen Umständen geschehen sein, welche die Ein-
wirkung von Wasser, Luft und Licht auf dieselben
während der langen Zeitdauer verhinderten. Sie
mögen sich dann in einem Gewölbe oder unter an-
deren Steinlagen befunden haben.
Es erhellt aber auch zugleich aus dem Vorherge-
henden, wie sehr bei archäologischen Funden vor al-
len Dingen eine sorgfältige Beachtung aller Umstände
wünschenswerth und nothwendig sein muss, unter
denen sie gemacht werden. Hierbei steht die Beschaf-
fenheit des Fundes an Ort und Stelle sélbst, wie die
der sie einschliessenden Erdschichten in erster Reihe
— eine Lehre, die erst unlängst durch den berühmt-
gewordenen Streit über den von Boucher de Perthes
bei Moulin Quignon gefundenen fossilen menschli-
chen Unterkiefer uns bereits in eindringlicher Weise
und in grösserem Massstabe vor Augen geführt wor-
den ist. Ad. Goebel.
Können Hebräer in der Krim schon im 3ten Jahr-
hundert den tatarischen Fürstennamen Toch-
tamysch geführt haben? Von E. Kunik. (Lu
le 27 mai 1864.) |
Zur Vermeidung von Missverstündnissen halte ich
es für nothwendig, einige Erläuterungen zu der Note
zu geben, in welcher Hr. Neubauer meinen kurzen
Bericht (vom J. 1862; s. Bullet. Tome V, pag. 357)
citirt hat. Den wissenschaftlichen Werth der Samm-
lung von Handschriften und Grabinschriften der Her-
ren Firkowitsch habe ich im Allgemeinen nie in Frage |
gestellt; doch habe ich wiederholt und eben zuletzt
im J. 1862 behauptet, ««dass die von den HH. Fir-
Lite + 74, NER, ES H? " eine) und
I Inschriften erst strengen
allseitigen Prüfung unterworfen werden müssten, ehe wir
dieselben für ein zuverlässiges und werthvolles Quellen-
material anerkennen dürften»». Namentlich war und
bin ich noch jetzt der Ansicht, dass es dabei vorzugs-
weise auf eine Sonderung der Grabinschriften'nach pa-
läographischen Merkmalen ankommt und dass schliess-
lich der grössere oder geringere wissenschaftliche
Werth derselben von der richtigen Deutung der auf
ihnen vorkommenden drei (früher unbekannten) Aeren
abhängt. Ich bin weit davon entfernt, den HH. Firko-
witsch irgendwie Scharfsinn und Belesenheit abspre-
chen zu wollen, doch mögen sie mir, als einem Histo-
riker, der sich viel mit vergleichenden chronologischen
Untersuchungen beschäftigt und dabei öfters an sich
selbst Erfahrungen eigner Art gemacht hat, verzeihen,
dass ich ihre Reductionsweise der Jahre der neuen
Jüdischen Weltaere und der des sog. Exils mir so lange
nicht aneignen kann, bis sie den strengen Beweis von
der Richtigkeit ihrer Berechnungsweise geführt haben
werden. Bin ich recht unterrichtet, so gewähren sämmt-
liche bis jetzt bekannt gewordene Inschriften als sol-
che keine Angaben, vermittelst derselben man jene
drei Aeren auf christliche Jahre zurückführen könnte,
sondern den Schlüssel zum Verständniss derselben ge-
ben nur gewisse Epigraphe oder Subscriptionen, die
sich in den Handschriften der ehemaligen Sammlung
der HH. Firkowitsch vorfinden. Man braucht jene Epi-
graphe nicht ohne Weiteres für ein modernes Mach-
werk auszugeben, aber man darf nicht läugnen, dass
ihr relativer Werth nicht minder von einer streng
paläographischen und historischen Prüfung derselben
abhängt. Jedenfalls steht fest, dass unter diesen Epi-
graphen einige vorkommen, welche nicht vor vielen
Jahrhunderten abgefasst sein können, sondern stark
nach der Pseudogelehrsamkeit des 18ten Jahrhunderts
-| riechen. Sollte aber einst die von den Herren Fir-
kowitch aufgestellte Deutungsweise der drei früher
unbekannten Aeren als ganz richtig sich bewähren, so
wird der Ruhm und das Verdienst derselben auch von
allen denen anerkannt werden müssen, welche die bei
Berechnung unbekannter oder dunkler Aeren aufstos-
senden Schwierigkeiten aus eigner Erfahrung kennen.
Einstweilen ist es aber mehr als sonderbar, dass
der Inschrift Taf. V gerade jene drei Worte, durch
welche das Jahr der bis jetzt unerhört gewesenen Aere
von Taman (Tmutorokan y Tamatarcha) ausgedrückt
wird, von einer zweiten Hand eingemeisselt sind, de-
393
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
394
ren Schriftzüge einer verhältnissmässig jüngeren Zeit
anzugehören scheinen.
Selbst aber auch angenommen, dass die neue Welt-
aere ziemlich mit der gewöhnlich jüdischen harmonirt,
so würde doch noch manches Bedenken im Einzelnen
zu beseitigen bleiben. Zwei gottesfürchtige Hebräer
sollen im 3ten und 7ten Jahrhundert der christli-
chen Zeitrechnung, wie zwei Grabsteine bezeugen,
den heidnisch -tatarischen Namen Tochtamysch ge-
führt haben und also Namensvettern des Chanes der
goldenen Horde gewesen sein, welcher im J. 1382
die Stadt Moskau einnahm und verwüstete. An und
für sich ist es nicht unwahrscheinlich, dass einzelne
türkische Stämme vom Altai bis in die caspischen
und pontischen Steppen in sehr früher Zeit vorgedrun-
gen sind, allein wir dürfen bei Betrachtung der Völker-
verhältnisse in jenen Gegenden nie aus den Augen ver-
lieren, dass es ausser der indoeuropäischen, finnischen
und türkischen Gruppe — die lezteren zwei werden
ausserhalb Russlands noch immer theils aus Unkennt-
niss theils in Folge von unwissenschaftlichen Metho-
den zusammengeworfen — eine gewiss nicht geringe
Anzahl von weissen Stämmen gegeben hat, die sich
in der Steppe herumgetummelt haben und deren Idio-
me grundverschieden waren von den uns näher be-
kannten Sprachen. Der vielzüngige Kaukasus muss
uns bei dem Versuche, die Nationalität des einen oder
anderen alten Steppenvolkes zu bestimmen, stets ein
Leitstern sein. Hier finden wir noch schwache Reste
von Nationen, die gewiss einst zahlreicher waren, ihrer
Sprache nach aber durchaus zu keinem der allgemein
bekannten Völkerstämme gehören. Gewiss haben sich
einzelne dieser Völkerschaften nur vor dem Andrange
mächtigerer Stämme in die Gebirge gerettet. Können
wir uns nun eine Vorstellung davon machen, wie gross
jene Vólkertrümmer einst waren? Dass aber die Tür-
ken in der Zeit vor Attila massenweise bis zum Pon-
tus und namentlich in die Krim vorgedrungen seien, ist
eine Annahme, die sich schwerlich näher begründen
lässt. Die an türkische Völker- und Personennamen an-
klingenden Wortformen, welche uns in griechischen In-
schriften und in den Autoren von Herodot bis Ptolemäus
'entgegentreten, sind so unbedeutend oder so unsicher,
dass wir uns iligen Schlüssen hüten müs
sen. Indessen fehlt es wicht ganz an historischen
Zeugnissen, dass schon vor Attila in den Steppen zwi-
schen dem Don und der Wolga einzelne Schwärme
von Völkern auftraten, welche später unter türkischen
Dynasten eine Rolle spielten. Das älteste Zeugniss
der Art ist das des Abbas Katina, welcher unter Ar-
schak, dem 2ten armenischen Arsaciden (reg. von 127
— 114), lebte. Nach ihm wurde (um 120 vor Chr.)
eine Abtheilung Bulgaren aus ihrer Heimath vertrie-
ben und zog vom Kaukasus kommend bis in die Ge-
gend von Kars, wo der um 460 nach Chr. schreibende
Moses von Chorene noch ihre Nachkommen kannte.
Erst im J. 488 tritt der Name der Bulgaren zum
zweiten Male in der Geschichte auf, Damals wurden
sie von dem nach Italien aufbrechenden Gothenkönig
Theodorich besiegt und galten, wie man deutlich sieht
und auch sonst bestätigt wird, den Gothen als ein
Rest des einst so furchtbaren Hunnenheeres. Damit
ist die Nationalität Attilas und der Hunnen (im eigent-
lichen Sinne) noch nicht bestimmt, denn im Hunnen-
heere gab es unter andern auch Leute, wenn nicht
mongolischer Abkunft, doch mit scharf ausgeprägter
mongolischer Gesichtsbildung, was vielleicht auf eine
frühe Vermischung eines Türkenvolkes mit den Mon-
golen in Hochasien hinweist. Ein Verhältniss der Art
wird uns auch bei der Analyse des Namens Tochta-
mysch entgegentreten.
Es wird hier als erwiesen vorausgesetzt, dass die
Bulgarenchane, welche im 7ten Jahrhundert mit ih-
rem Reitervolke über die Donau setzten und sich sie-
ben slawische Stämme in Mösien unterwarfen, türki-
schen Ursprungs waren. Im J. 765 — also zu einer
Zeit, wo die asiatischen Bulgaren noch nicht mit ih-
ren slawischen Unterthanen zu dem heutigen Volke
der Bulgaren verschmolzen waren — wurde in einem
Kriege mit den Griechen der Chan (&oxnyös) der Bul-
garen erschlagen. Die Griechen (S. Nicephori Cpoli-
tani breviarium, pag. 45 ed. Par.) nennen ihn Toxros,
— ein Name, der, wenn er vocalisch auslautete,schwer-
lich Tokta, sondern eher Toktu zu transscribiren sein
würde. Im J. 1184 geriethen mehrere Fürsten der
den Überresten ihrer Sprache nach echt türkischen
Polowzer oder Kumanen (altböhm. Plavei und bei
deutschen Chronisten «Falben» genannt) in russische
Gefangenschaft. Den einen davon nennt die Chronik
‚von Kiew (Tom. Co6p. Pycex. Jr. II, 128 unter dem
falschen J: 6691) Bokmisch (Bormes nach dem cum-
cok»?Mmar.), wogegen eine andere Handschrift (en.
Bulletin de l’Académie Impériale
Xarbóu.) die unstreitig richtigere Lesart Tokmisch (Tok-
uuurb) bietet. Wenn der Name durch die russischen
Copisten nicht entstellt ist '), so ist es Sache der
Orientalisten vom Fach zu entscheiden, ob Tokmisch
aus Toktamisch (vgl. Tutukan, zweiter Sohn Batus,
den spätere türkische Autoren Toghan, d. i. Falke
nennen) verkürzt ist oder ob hier ein anderer Wort-
stamm vorliegt. Tokai und Tokatimur heissen Nach-
kommen von Orda, dem ersten Sohne von Dshudshi
und also Enkel von Dshingischan. Das altosttürki-
sche tekmischi (Gnadenbezeigung) liegt wohl ganz
fern.
Im Namen des Chanes Tochtamysch (Toxrawbinrs,
Tokrawpumb in russischen Chroniken) hat man längst
versucht, die türkische Participialform «mysch» vom
Stamme abzutrennen, und denselben durch das Ver-
bum tochtamak (— stehen; vgl. das gleichbedeutende
mongol. Verbum tochtachu) erklärt’). Ob diese for-
mell richtige Deutung in begrifflicher Hinsicht genügt,
ist eine andere Frage. Ob ferner jenes Verbum bei-
den Stämmen von jeher gemeinschaftlich war oder ob
die eine Form im Türkischen oder im Mongolischen
ein Lehnwort ist, ist für unsern Zweck ganz gleich-
gültig. Hier soll nur noch eine Namensform hervor-
gehoben werden, welche möglicher Weise mit der obi-
gen zusammenhängen kann. Als die Regierungszeit
eines Chanes der goldenen Horde, welchen die russi-
schen Chronisten Togta, Tochta und Toktomer (Torra,
Toxra, Toxromeps) nennen D. nimmt man gewöhnlich |
die Jahre 1291 — 1313 an. Auf den Münzen, von
denen übrigens die älteste das Jahr 681 der Heg.
bietet, lautet sein Name Tochta, Mir-Tochta, Toch-
togu und Tochtu-bek ^. Die Formen Tochtogu und
Tochtu werden für mongolisch ausgegeben (CaBebens,
98 — 260). Es wäre leicht, noch verschiedene tatari-
sche oder mongolisch-tatarische Chane und Prinzen
anzuführen, welche im 13ten und 14ten Jahrhundert
1) Eine erst unlängst in der óffentlichen Bibliothek von Hrn.
Bytschkow entdeckte Handschrift, welche in gewisser Hinsicht dem
verloren gegangenen Originalcodex näher steht, hat auch noch die
ursprüngliche Lesart Tormums bewahrt.
2) II. Canez5ena, ExarepunoczaBckili karb, pag. 58 (Sanncku
Hu. Apxeosoruseckaro OómecrBa. Toms XII — Tpyası Bocrouxaro
orxbaenis Apxeouoruueckaro Oômecrsa. Tows III p.260). `
3) Jasp. abr. 6802. Tpomux. xbr. 6798. Cf. Karamsin IV, npum.
, 182 :
4) aen, u zpyası II. Caneasena. B. l'puropsena. Cn6. 1861, p.
den Namen Tokta oder Toktai führten?). Einer der
frühesten Inhaber dieses Namens ist wohl der Fürst
der Merkiten (Mergiten am Irtysch), welchen Temud-
schin um 1205 zur Flucht zwang. Man wird nun wohl
zugeben, dass zwischen diesen Formen und dem Na-
men des Bulgarenchans Tokt im J. 765 eine Verwandt-
schaft besteht. Ob die Urform dieser Namen mongo-
lisch oder türkisch war, ist für unsere Frage ziem-
lich gleichgültig. Von den Chanen der goldenen Horde
wissen wir, dass sie sehr früh tatarisirt worden sind.
Den Namen Tochtamysch finden wir sonst nur bei
tatarischen Stämmen und zwar erst nach dem 14ten
Jahrhundert. Ihn führte z. B. ein Chan von Astrachan
im 16ten Jahrhundert. Noch heute ist er bei den
Kirgis-Kaissaken ziemlich hüufig und bei den Tschu-
waschen, deren türkische Mundart nur lexicalische
Bestandtheile aus der finnischen der Tscheremissen
(Sarmis) entlehnt hat, hat heut zu Tage (lpuropbeBs,
l. c. 257) Tochtamysch geradezu die Bedeutung von
Zauberer (rop), Dies erklärt sich wohl aus der
im orientalischen Sinne gewaltigen Persönlickeit von
Tochtamysch. Einer ähnlichen Ehre ist Peter der Gr.
in einigen Sagen der Bewohner Finnlands theilhaftig
geworden. £
Nach dem Obigen wird man es vielleicht für mög-
lich halten, dass schon im 3ten und 7ten Jahrhundert
unserer Zeitrechnung der türkische Name Tochta-
mysch in der Krim gebräuchlich war; allein ein neues
Bedenken tritt uns entgegen. Allerdings wissen wir
nicht, ob jene Formen Toktai, Toktu u. s. w., da sie
ausschliesslich oder wenigstens vorzugsweise in Dy-
nastien beliebt waren, eine ehrenvolle Bedeutung hat-
ten; allein wie früh auch Juden griechische und
persische Namen angenommen haben, es fällt doch
auf, dass gottesfürchtige Hebräer in einer so frühen
Zeit ihre Namen einem wilden Steppenvolke entlehnt
haben sollen und dass man nicht wenigstens neben
diesem heidnischen Namen einen hebräischen auf den
mit religiösen Sentenzen ausgestatteten Grabinschrif-
ten angebracht hat. Ich kann nicht umhin dabei an
ähnliche Namen z. B. die Namensregister
übersetzten Abschnitte Raschid - Eddins
mongolischen Stämme (3an. Hmn. Apxeoı.
O6. Tows. XIV. Cn6, 1858 = Tpyası Bocros. Oryba. Apxeoz. 06m.
acte V) und die zu der vom verstorbenen Gombojew gedruckten
Übersetzung der mongolischen Chifnik: Altan-Tobtschi Gan, Tous
IV = Tpyauı. Haer, VI. werak oaii iii AA
397 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 398
ein Document zu erinnern, das von einem Chasaren-
chagan jüdischen Glaubens ausgegangen sein soll. Be-
kanntlich existirt ein echtes vom spanischen Juden
Rabbi Chisdai um 960 an den damaligen Chasaren-
chagan Joseph gerichtetes Schreiben. Die Antwort
des Chagans wurde von Frähn entschieden für unecht
erklärt und es lässt sich nicht läugnen, dass das Schrift-
stück durch seine Fassung starken Verdacht erregt.
Wozu soll aber ein Falsum in unserer Frage dienen?
Zuerst sehen wir daraus, dass die jüdischen Bewohner
des alten Chasarenlandes sehr früh literärische Gau-
nerei trieben, wenn auch nur zu dem Zwecke, um das
Volk Israel dadurch zu verherrlichen. Jeder Kenner
der Geschichte des Chasarenreichs wird aber zugeben,
dass das sogenannte Antwortsschreiben des Chagans an
Chisdai noch zu einer Zeit fabrieirt worden ist, wo
entweder das Chasarenreich noch bestand oder die
Erinnerungen an dasselbe noch ganz frisch waren.
Wir überlassen es Andern, die Beschuldigungen zu-
rückzuweisen, welche Steinschneider zu wiederholten
Malen gegen die Karäer, als Verfälscher der Schrif-
ten gewisser Rabbaniten, erhoben hat. Jenes chasaro-
Jüdische Machwerk allein zwingt uns schon, die so
zahlreichen Epigraphe oder Nachschriften, welche in
den von den HH. Firkowitsch gesammelten karäischen
Handschriften vorkommen, nur mit der grössten Vor-
sicht zu benutzen, auch wenn nicht mehrere derselben
deutlich die Zeit und den Zweck ihrer Abfassung ver-
riethen. Vergebens hat Grätz (V, Note 23) die Echt-
heit der Notiz über Wladimirs Gesandtschaft zu den
Chasaren durch die Annahme von Interpolationen zu
retten gesucht.
Wir erfahren auch durch das dem Chasarenchagan
Joseph, dessen Namen schon Chisdai in Spanien ge-
hört hatte, angedichtete Antwortschreiben, wie die
chasaro - jüdischen Schriftgelehrten ihre weltlichen
Oberhäupter benannten. Da ist zunächst davon die
Rede, dass der König, welcher zuerst das Judenthum
bekannt haben soll, den Namen Bulan führte. Dies
ist aber auch der einzige CHasarendhigat; der a dem
Antwortschreiben einen nichthel
denn es heisst Ze weiter nach js Gage Ve:
BE diesen Ka war Per von i éeiieh En-
keln Kónig mit Namen Obadia . und es folgte ihm
^d
Hiskia sein Sohn, darauf Menasse sein Sohn, dann kam | „
Chanoka, der Bruder des Obadia, und Isaak sein Sohn,
Sebulun sein Sohn, Menasse sein Sohn, Nissi sein
Sohn, Menachem sein Sohn, Benjamin sein Sohn,
Aharon sein Sohn und ich bin Joseph, der Sohn Aha-
rons des Erwühnten.»
Unter allen diesen Namen, deren Inhaber in der
Zeit vor c. 740 bis 960 gelebt haben sollen, treten
uns keine heidnische, sondern entweder altbiblische
oder späthebräische entgegen. Ob sämmtliche Namen
wirklich echt sind, ob die Chagane daneben noch einen
weltlichen nordasiatischen Ursprungs geführt haben,
— das ist eine andre Frage. Das Erstere móchte ich
nicht entschieden behaupten; denn die einzige Quelle,
in welcher ein Chasarenchagan des 9ten Jahrhunderts
namentlich angeführt wird, scheint sogar den Verfasser
jenes angeblichen Antwortschreiben an Chisdai Lü-
gen zu strafen. Es ist dies eine kurze Vita des Sla-
wenapostels Constantin (oder Cyrill, wie sein Mónchs-
name lautete), die vor 20 Jahren von dem verstor-
benen Preiss entdeckt, vor 7 Jahren aber durch Hrn.
Hilferding nach einem zweiten Codex zugünglich ge-
macht wurde. Diese Vita enthält einen Auszug aus der
grösseren sóg. pannonischen Legende vom h. Cyrill
in kirehenslawischer Sprache, ausserdem aber einige
Facta, (wie z. B. die Missionsthätigkeit Constantins
unter den macedonischen Slawen an der Bregalniza
um 851), welche jetzt durch neuere Funde bestätigt
worden sind und wodurch die ganze Wirksamkeit des
Slawenapostels erst richtig erkannt werden kann. Da,
wo die kürzere Vita von der Chasarenmission handelt,
hängt sie zwar auch von der grösseren Legende ab,
allein dem Redactor derselben muss die letztere ent-
weder in einer uns nicht bekannten Abfassung oder noch
eine andere Quelle vorgelegen haben.
«Tlocaann °) ze Gume orb 3axapie KHe3a rTaraHb
Kb Muxanıy gan. umyIme YIKA, Ike HACTABHTB TbXb
Hà npaBocJaBRym BÉPY, 10Hiexe m eme HMb He COYIIe
XPCTIAHOME . . . KOCTAHIUHE We ŒHIOCOPE, HayWHBb
BCe MOJU m TarTaHa EE Bbpb u KpCTÉ rar-
raga m 200 BeIbMyÆb ..
«Es wurden (dann) geschickt (Gesandte) von Zacha-
rias, dem Fürst-Gagan, an Michael den Zaren, um ei-
| nen Mann zu holen, welcher diese (die Chasaren) zum
orthodoxen Glauben führen könnte, da sie noch nicht
6) Haskcria Li Asazexin Bee no | Orxbreriro pyecxaro asuka
cxonecHocrR. Tow» Vl. Cn6, 1858, p. 384, 385.
Bulletin de l’Académie Impériale
400
Christen wären.. Constantin der Schriftgelehrte un-
terrichtete alles Volk (nämlich in der chasarischen
Hauptstadt am Ausflusse der Wolga) und den Gaggan
im orthodoxen Glauben und taufte den Gaggan und
200 (seiner) Grossen...»
Man kann nach Belieben die Bekehrung oder den
Erfolg derselben in Zweifel ziehen, — das was zu
Gunsten der Annahme der Bekehrung als einer ge-
schichtlichen Thatsache angeführt werden könnte, muss
hier unerwähnt bleiben —, allein den jüdischen Na-
men des Chagans hat die Legende schwerlich erdacht.
Sollte ihn etwa der Chagan geführt haben, welcher
in dem Antwortschreiben an Chisdai unter der viel-
leicht appellativen Benennung Nissi vorkommt? Ein
berühmter Karüer Nissi ben Noach, der um 840 lebte,
führte nach Grätz (V, 514) auch den Namen R Acha.
Es wird mich nur freuen, wenn die eine oder an-
dere meiner Bemerkungen Anlass zu weiteren Discus-
sionen über einen Gegenstand geben sollte, den ich aus
Mangel an gewissen Kenntnissen zu einem sicheren
Abschluss nicht bringen kann. Ich fasse hier in aller
Kürze noch einige Sátze zusammen, theils um Andern
nicht Anlass zu Missverständnissen zu geben, theils
um ihnen die Möglichkeit zu gewähren, sich leich-
ter auf einem Gebiete der historischen Ethnographie
zu orientiren, wo die Quellen seit einiger Zeit zwar
reichlicher als früher fliessen, wo es aber der dunklen
und schwierigen Partien noch sehr viele giebt”).
7) Als ich vor 9 Jahren die neuere Literatur, welche von den
pontischen Türkenvôlkern von Attila bis Dshingischan handelt,
besprach (O ropkckux Ieuenerax u Iloaonnax& no MAXbspckuwb
HCTOYHUKAMB, Cb YKASAHIEME Ha HoBbämia mscrbiosanis o wepmno-
MODpCKO-TODKCKMX b HAPOAAXb Orb Artuası 10 Munrmcxama), hegte
ich noch einige Hoffnung (Yseusıa Saumcku H. Akax. Hayks no I
u III Oraba. Toms III, Cu6. 1855, p. 721), dass die Geschichte der
Chasaren einst durch manche in jüdischen Quellen zerstreute Noti-
zen anfgehellt werden würde. Diese Hoffnung muss jetzt aufgege-
ben werden, nachdem es drei so belesenen Forschern, wie Selig
Cassel (Geschichte der Juden in der Allg. Encyclop. von Ersch und
Gruber. II. Sect. Band 27, Leipzig 1850, p. 121, 122, 127, 197), M.
Steinschneider (Jüdische Literatur ibid. p. 405; eine englische Über-
setzung dieses Aufsatzes erschien in erweiterter und berichtigter
Form unter dem Titel: The Jewish literature. London 1857) und
H. Grätz (Geschichte der Juden. Šter Band. Krotoschin 1860, p.
211 — 216; 367 — 371; 411; 414) nicht gelungen ist, unsere Kennt-
niss von diesem Gegenstande zu erweitern. — Die unl
1862:
«Alles, was ich in hebräischen und jüngeren arabischen Schrif-
ten der Juden bisher Unbekanntes über die Chasaren gefunden, ist
Einzelne türkische Reiterschwärme mógen schon im
Alterthum vom Altai bis an das Nordgestade des Pon-
tus vorgedrungen sein, allein das Türkenthum scheint
weder unter den Scythen, noch unter den Sarmaten
im eigentlichen Sinne — beide waren weder Sla-
wen noch Finnen — eine hervorragende Stelle einge-
nommen zu haben. Wenn aber einzelne Hebráer in
der Krim wirklich schon im 3ten und 7ten Jahrhun-
dert den tatarischen Namen Tochtamysch führten, so
würde dies doch auf ein Reitervolk hinweisen, das auf
der Halbinsel ansässig war und entweder über jüdische
Colonien herrschte oder mit ihnen in beständigem
Verkehr lebte. Und eine so alte jüdische Colonie und
ein solches Türkenvolk sollte sonst nirgends erwähnt
sein oder sonst keine Spur seines Daseins auf grie-
chischen Inschriften zurückgelassen haben?
Bekanntlich verbreiteten sich die Juden in die
Länder, welche am Mittelmeere liegen, schon in der
Zeit ante Chr. Wann sie sich zuerst an den nórdlichen
aus dem Buche Kosari des Jehuda ha-Levi entnommen, oder aus
den von Isaak Akrisch zuerst gedruckten Briefen, über deren
erste Ausgabe das Nühere in meinem Catalogus libr. hebr. in bibl.
Bodl. s. v. p. 1084 angegeben ist.»
Dafür ist ein nicht unbedeutendes Material zur Geschichte der
Chasaren zugänglicher geworden durch Übersetzungen armenischer
Historiker, wie z. B. durch zwei im Auftrage der Akademie der
Wissensch. von Hrn. Patkanian gedruckte Übersetzungen von Gevon
(Heropiu xauuooszs, l'enogza, nucareıs VIII shra. Cn6. 1862; eine
allzufreie franzüsische Übersetzung erschien unter d. Titel: Histoire
Ghévond. Paris 1856) und Moses von Albanien
Moäcen AHKATBAUM, uncareın X Bhra. Dn,
1861), woran sich auch die als genau anerkannten von Hro. .
ar M. Brosset. Intro-
saren s. Histoire de la Géorgie... traduite p
matières. St.-Pét. 1858 (Tabl. des mat. I
duction et Tables des
Partie, p. XX, XX
Die ausführliche Vita Constantini (Cyrilli), in welcher die Dispute
des Slawenapostels mit den Juden und Muhammedanern (um 860)
mehreren Handschriften von Boxamexiä herausgegeben in Wrenis Bb
H. Oémecre& ucropin, Mocksa 1 Kaura II. Schafarik meinte,
gabe von
hundert,
401
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
40?
und nordwestlichen Küsten des schwarzen Meeres nie-
dergelassen haben, hat die Geschichte nicht verzeich-
net. In die Krim können sie zum Theil vom Kau-
kasus her früh eingewandert sein. Neuerdings hat
man den Beweis zu führen gesucht, dass jüdische Bet-
häuser auf griechischen Inschriften schon im J. 42
nach Chr. Geburt in Anapa und im J. 81 in Pantica-
paeum (Kertsch) erwähnt werden’). Seit der Chasaren-
zeit kommen Nachrichten über die Juden in der Krim
häufiger vor; allein eine Berührung der Juden mit
den Chasaren in den ersten Jahrhunderten der christ-
lichen Zeitrechnung lässt sich durchaus nicht nach-
weisen.
Kein Widerspruch darf mehr dagegen erhoben wer-
den, dass die Dynastie der Chasaren und deren erste
Würdenträger rein türkische waren, wenn man auch
zugeben muss, dass ein Theil as Unterthanen zu
den Ostfinnen gehôrten. Ihr Haupsitz war und blieb
im Gebiete der untern Wolga. Ihre Kriegszüge waren
lange Zeit vorzugsweise gegen die kaukasischen und
transkaukasischen Volker gerichtet. Erst nachdem ein
grosser Theil der Bulgaren im 7ten Jahrhundert die
untere Donau überschritten hatte, rückten die Chasa-
ren gegen das Dneprgebiet vor und unterwarfen sich
ausser der Krim sogar mehrere slawische Landschaf-
ten vom linken Dneprufer an. Dies kann spätestens
um 700, wahrscheinlich aber auch nicht viel früher
sein. Seit dieser Zeit wurde die Krim und ebenso die
Halbinsel Taman (Matarcha, Taypataoya, TpmyTopo-
KaHb, ob zusammengesetzt aus Corocondame, dem
Namen der alten Hauptstadt von Taman, und dem
alttürkischen tarchan?) von einem chasarischen Statt-
halter, Tudun genannt (vgl. die Tudune der Awaren),
verwaltet. Von der Krim oder Taman aus begann die
Bekehrung eines Theils der Chasaren zum Judenthum,
vielleicht schon um 740, wie Grätz (V, pag. 213) an-
nimmt, obgleich die Araber die Bekehrung erst unter
Harun al-Raschid (786 — 809) erfolgt sein lassen.
Somit bleiben nur die Bulgaren übrig, von denen
wir mit einiger Bësse annehmen können,
8) Parerga archaeologica. Von Ludolf Stephani. XXIII. (Bul-
letin de l'Acad. des sc. Tome I. 1860. p. 245, 246 — Mélanges gréco-
romains Tome II, 201, 202). ge, | (Bullettino dell’ Instituto di
corrispondenza archeologica per l’anno 1860. Roma. p. 101) und
M. A. Levy re e Beiträge zur Geschichte der Juden im
Jahrbuch für die C olet der Juden. Zweiter Band. Leipz. 1861,
p. 271 v. flgde) haben ebenfalls jene Inschriften auf Juden bezogen.
Tome VII.
dass sie in der Zeit vor und nach Attila bis in die
Krim gedrungen sind, da sie schon um 120 vor Chr.
im Norden oder nördlich vom Kaukasus erwähnt wer-
den. Es würde hier zu weit führen, nachzuweisen,
dass sie unter Specialnamen an der Mäotis vorkom-
men, ehe die Hauptmasse des gesammten Bulgaren-
stammes im 7ten Jahrhundert die Donau überschritt.
Ungeachtet aber dass bei den Donaubulgaren im
J. 765 ein Chan den Namen Texroz führt, so bleibt
doch das frühe Vorkommen eines durch das Suffix
oder durch die Endung «mysch» erweiterten türkisch-
hebräischen Namens Toktu noch so lange zweifelhaft,
bis die HH. Firkowitsch die Richtigkeit ihrer Reduc-
tionsweise der drei unbekannten Aeren auf christliche
Jahre überzeugend beweisen werden. Schon während
der alexandrinischen Periode berechneten die Juden
das Schöpfungsjahr aus ganz natürlichen Gründen auf
eine überaus verschiedene Weise. Was die Zeitrech-
nung des sog. Exils anbetrifft, so fragt es sich noch
gar sehr, ob die Epigraphe, welche den Schlüssel dazu
geben sollen, die kritische Probe aushalten werden.
Die Aere von Matarcha kommt nur auf zwei Inschrif-
ten vor, von denen die eine sich als nicht vollkom-
men echt herausstellt”). Der in Phanagoria, der Haupt-
stadt des ehemaligen bosporanischen Reichs und dem
Hauptstapelplatz des Seehandels auf der Halbinsel
Taman, lebenden Hebräer gedenkt ausdrücklich der
Patriarch Theophanes (+ 818; pag. 297 ed. Dar).
Nachschrift vom 2. Juni 1864. Da ich kein Kenner
der hebräischen Paläographie bin, so habe ich mir
oben nur bei der von Hrn. Neubauer edirten Inschrift
(Tafel V) zu bemerken erlaubt, dass der grössere Theil
derselben sich merklich von den letzten drei Worten
unterscheidet. Heute aber habe ich mir den Stein
angesehen, den die HH. Firkowitsch in das J. 678
der christlichen Zeitrechnung setzen und der zur Ver-
herrlichung des Tochtamysch junior bestimmt war.
Ich gestehe, dass dieser Stein, welcher zufällig zwi-
. 9) Nach der Berechnung des Hrn. Firkowitsch würde diese vom
J. 625 der christlichen Zeitrechnung sein. Als ich im J. 1862 den
Zusatz über die Zeitrechnung von Taman für unecht erklärte, lag
mir nur ein Papierabdruck von der Inschrift vor, doch gab schon
damals Hr. Firkowitsch junior zu, dass der Zusatz nicht von dersel-
ben Hand, wie die eigentliche Inschrift eingehauen sein kónnte.
Jetzt liegt der Stein im asiatischen Musenm zur Ansicht vor und
meine frühere Bemerkung findet sich vollkommen bestätigt. odi ei-
entliche Inschrift hat in der That einen gewissen
C , was von dem e durchaus nicht nicht gesagt werden kann.
403
Bulletin de l'Académie Impériale
404
schen zwei andern vortrefflich erhaltenen lag, auf
mich einen ganz besondern Eindruck gemacht hat,
der sich vielleicht nur dann verwischen wird, wenn
der Stein von Tochtamysch senior, dessen Inschrift
man sogar in das J. 262 gesetzt hat, sich als voll-
kommen echt und alterthümlich erweisen sollte. Hr.
Neubauer giebt von dieser Inschrift nach dem Papier-
abdruck XIV nur drei Worte: «Toktamisch Sohn Bac-
schi's», allein der letztere Name müsste nach seiner
Transscriptionsweise (Taf. VII) entweder Bachsi oder
Bachschi lauten. Wäre die letztere Transscription
die richtigere, so hätte wahrscheinlich auch der Va-
ter von Tochtamysch senior einen tatarischen Namen
geführt. Bachschi wird im Osttürkischen u.s. w. (s.
das Register zur Ges. der goldenen Horde von Ham-
mer, und die Wörterb. von Vullers und Zenker) für
ein Substantivum appellativum (— Secretair, Inten-
dant) ausgegeben. Es wäre interessant zu erfahren, ob
auch auf den übrigen Grabsteinen viele tatarische
Namen vorkommen und ob dieselben auch jetzt unter
den Karaiten der Krim sehr gebräuchlich sind.
Sur la composition du pyrite magnétique de Bo-
denmais, par le Duc Nicolas de gege
berg. (Lu le 20 mai 1864.)
La différence qui existe dans les formules du py-
rite magnétique et dans les quantités relatives du fer
et du soufre, assignées par divers chimistes, a fait |
naître la supposition, que le pyrite varie dans sa
combinaison d’après les localités où il se trouve. La |
diversité des données numériques pouvait aussi pro-
venir des méthodes d’analyses. Dans le but d’éclaircir
ce dernier point, nous avons analysé un morceau que
nous possedions en suivant plusieurs méthodes. Cet
exemplaire nous venait de Bodenmais dans le Haut
Palatinat. Le travail était déjà achevé, lorsque dans |
les derniers jours du mois d'avril nous avons recu la
troisième livraison des « Annales de Poggendorff» (Band
CXXI, Stück 3), dans laquelle se trouve un excellent
travail de Rammelsberg sur les combinaisons du
soufre avec le fer.
Si la table des nombres, obtenue par nos analyses, |
n’ajoutera rien d’essentiellement nouveau à nos con-
naissances du pyrite magnétique de Bodenmais, elle
pourra néanmoins, ne füt-ce qu’en partie, servir d’apui
dans la détermination de la probabilité des données
numériques.
La structure de ce pyrite était à lames larges. On
y trouvait aussi des parties peu considérables de sul-
fure de zink, et des grains de sable. Le poids spéci-
fique des feuillets, soigneusement triés à l’aide d’une
forte loupe était de 4,540. Le même soin a été ap-
porté au triage des portions employées aux analyses.
I. Par calcination,
a) 1,071 de pyrite magnétique ont perdu dans l’hy-
drogène 0,040, ce qui correspond à 3,73%, de
soufre.
Le restant qui en conséquence pesait 1,031 a
donné aprés avoir été chauffé au rouge
0,935 d'oxyde de fer, ce qui fait 63,48%, de
fer, c'est-à-dire que 1,071 nous donnent 61,117,
de fer.
Le nombre 0,935 n'a pas changé, méme aprés
avoir été humecté avec de l'acide azotique et de
nouveau calciné. Reduit par l'hydrogéne cette quan-
tité de 0,935 d'oxyde de fer a donné 0,655 de
fer, ce qui pour 1,071 de sulfuret correspond à
61,15°/, de fer.
b) 1,405 de pyrite ont perdu dans l’hydrogène
0,054 ou bien 3,84"/ de soufre. Le restant qui
pesait 1,351 aprés avoir été chauffé au rouge nous
a donné
1,227 d'oxyde de fer, ce qui ed à 63, 57 VA
de fer.
1,405, nous donnent alors
de fer.
Le poids de 1,227 d’oxyde de fer, après avoir été
fondu avec un mélange intime de carbonate de
soude et de nitre dans un creuset de platine chauffé
au rouge, et ensuite OR lavé à été re-
duit à 1,225.
Il. Par calcination avec ls carbonate de soude et du 2
c) 1,444 de pyrite nous ont donné
1,258 d’oxyde de fer, ce qui correspond à 60, 99%
de fer, et
4,018 dé sulfate de bach ou bien .
de soufre
. 38,21%
ln à
en tout ET
405
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
406
d) 1,278 de pyrite magnétique nous ont donné
1,120 d'oxyde de fer, ce qui correspond à 61,34,
de fer, et
3,681 de sulfate de barium, ou bien ....39,55%
de soufre EEN
en tout 100,89%
Ill, Par dissolution et précipitation,
e) Nous avons obtenu ainsi de
2,639 de pyrite 2,318 d’oxyde de fer ou 61,48),
de fer, et
7,423 de sulfate de barium, ou bien ..
de soufre
.4 88,68,
en tout 100,11%
f) 2,247 nous ont donné 1,946 d'oxyde de fer, ou
bien 60,62, de fer.
Nous pouvons remarquer ici, que dans toutes les
analyses, qui d'ailleurs correspondent à celles du C"*
Schaffgotsch, nous avons obtenn un peu plus de
fer que la formule Fe, S, l'exige. La quantité de fer
obtenu dans la dernière analyse est presque identique
avee celle de M. Rammelsberg, qui nous donne
60,49, de fer et 39,51°/,de soufre. — Les quantités
du soufre directement déterminées 38,21/, 38,63 et
39,55 nous paraissent être assez satisfaisantes.
Notiz über den Lepolith, von N. v. Kokscharow.
(Extrait.) (Lu le 6 mai 1864.)
In einer Abhandlung, die ich die Ehre gehabt habe
der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften den
6-ten Mai 1864 vorzulesen, und die in den Memoiren
der Akademie gedruckt erscheinen wird, sind die Re-
sultate meiner Untersuchungen an Lepolithkrystallen
aus Lojo und Orrijärwi in Finnland ausführlich dar-
gestellt. Die Notiz bietet den wesentlichsten Theil
dieser Abhandlung im Auszuge dar.
Bekanntlich verdanken wir Hermann die ersten
chemischen Analysen dieses Minerals, durch welche
bewiesen wurde, dass die chemische Zusammensetzung
des Lepoliths und Anorthits eine gleiche ist. Dieser
Gelehrte glaubte aber einen wesentlichen Unterschied
zwischen den Krystallen dieser beiden Mineralien zu
finden. Nach ihm nämlich sei bei dem Anorthit die |
Schiefendfläche (Basopinakoid) rechts geneigt, während
sie beidem Lepolith links geneigt sei. Dies wäre höchst
merkwürdig und böte einen in seiner Art einzigen Fall
dar. Leider konnte ich ungeachtet der sorgfältigsten
Untersuchungen diese Angabe als Thatsache nicht be-
stätigt finden. Das basische Pinakoid P = oP ist,
nach meinen Beobachtungen, in den Lepolithkrystallen
ganz an derselben Seite wie in den Anorthitkrystallen
geneigt, und daher sind in dieser Hinsicht die Lepo-
lithkrystalle mit denen des Anorthits identisch. Auch
habe ich gefunden, dass die Winkel dieser beiden Mi-
neralien sich fast gar nicht von einander unterschei-
den. Man gelangt also unwillkürlich zu dem Schlusse
dass der Lepolith nichts anders als eine Abänderung
—— | des Anorthits sei.
Die Lepolithkrystalle sind sehr reich an Flächen;
ich habe an denselben nicht nur alle Krystallformen
4P,2), sondern
auch noch vier neue Formen 4 = PP, co, S = 4,P'>,
a= 4,P und $= 4'P2 bestimmen können. Auf den
beigefügten Figuren sind die Combinationen zweier
Lepolithkrystalle, aus den Sammlungen meiner ver-
ehrten Freunde P. v. Kotschubey und J. v. Auer-
bach dargestellt.
des Anorthits (mit Ausnahme von s =
Ka
rt
es vw! 3
x
x
a Zi Grundform wurde eine triklinoëdri he
mide des Anorthits gewählt, nach een und
m
meinen Messungen mit folgenden Ge
407
Bulletin de l'Académie Impériale
408
a:b:c—0,86663:1,57548:1
a = 8874820; B= 64° 4 130" y — — 86°46/38"
A = 87° 6 0/B—63°57 0;0—85?50' 0”.
Hier sind: a die Verticalaxe, b die Makrodiagonal-
axe, c die Brachydiagonalaxe, «, 8 und y die Axen-
winkel, und A, B, C die Winkel der Coordinatebenen.
Die Formen, welche ich in den Lepolithkrystallen
bestimmt habe, sind folgende: P= ob, h= ~P,
M= ees, da4 ‚P,», = P,®, EE t=
P'o; k — 2, P oo, n = 2, P o, S — 4, P'o, RE
q= Bee, gu PP, e= YP,», == 6'P,~, Tas
cop, beP ec A, f= e P3, a=P,m='P,
BB, o —,P,g—2P,w —2,P, a = LP, T —
3,P3,0 — 4P/2, 8 = 4'P2,w'— 4P,2, v = 4,P2,7 —
Epo -4P2q = 4 p23.
Was den sogenannten Lindsayit anbelangt, so bin
ich, durch meine Beobachtungen und Messungen der
Krystalle desselben, zu demselben Schluss gekommen
wie Breithaupt, dass man nümlich den Lindsayit als |
einen etwas zersetzten und veründerten Lepolith be-
trachten müsse.
BULLETIN DES SÉANCES.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 4 (16) mars 1864.
M. Nauck présente et lit un mémoire, intitulé: Über
Philodemus zeg) sucsQe(ac (de pietate); il sera publié dans
le Bulletin.
M. Kunik lit une notice concernant trois ouvrages iné-
dits de Jean Possochkof; cette notice sera insérée dans
le recueil russe de l'Académie.
M. Dorn présente et recommande pour le Bulletin une
notice de M. Neubauer, intitulée: Die jüdischen Grab-
steine in der Krim.
M.Schiefner communique par extrait une lettre de
M. le baron Uslar, contenant quelques données intéres-
santes sur la distribution géographique de la langue aware.
Cet extrait sera imprimé dans le Bulletin.
Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la
Classe que depuis la dernière séance l'ouvrage suivant a
été imprimé et mis en vente et en distribution: Th. Struve,
Novae curae in Quinti Smyrnaei Posthomerica (M em. de
l'Acad. T. VII, N° 3).
M. Michel Chevalier, membre correspondant, fait hom-
mage à l'Académie de l'ouvrage qu'il vient.de publier sous
le titre: Le Mexique ancien et moderne (Paris 1863).
Le Secrétaire Perpétuel présente au nom de M. Kha-
nikof, membre correspondant, un exemplaire de la note
qu'il a publiée sous le titre: Lettre au Rédacteur du Jour-
nal Asiatique.
M. Bielenstein, ministre de l'Evangile, adresse la pre-
mière partie récemment publiée de son ouvrage Die let-
tische Sprache nach ihren Lauten und Formen (Berlin 1863).
M. le Dr. Piper, professeur de théologie à l'Université
de Berlin, adresse pour la Bibliothèque de l'Académie plu-
sieurs de ses ouvrages, savoir: 1) Virgilius als Theolog
und Prophet. Berlin. 1862; 2) Rom, die ewige Stadt, Berlin.
1864; 3) Der Baum des Lebens. Aus dem evangelischen
Kalender für 1863 besonders abgedruckt. Berlin. 1863;
4) De la représentation symbolique la plus ancienne du cru-
cifiement et de la résurrection de Notre-Seigneur. Extrait
du Bulletin monumental publié à Caen par M. de Cau-
mont. Paris 1861; 5) Über den Verfasser der dem Atha-
nasius beigelegten Schri ift De Paschate, nebst Annalen des
Jahres 1861. Aus d. Kónigl. preuss. Staats-Kalender be-
sonders abgedruckt. Berlin 1862.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 11 (23) mars 1864.
M. Helmersen présente une notice de feu M. Gerst-
feld, intitulée: Verkehr Russlands mit West-Asien. Elle
sera insérée dans le recueil publié par l'Académie sous le
titre: Beiträge zur Kenntniss des Russischen Reichs.
M. Metchnikof adresse, de Kharkof, quelques remar-
ques'additionnelles aux observations qu'il a communiquées
à l'Académie antérieurement sur les tiges des vorticelles.
Renvoi à l'examen de M. Ofsiannikof.
M. Sibiriakof, par une lettre datée le 2 mars, de
Moscou, soumet une note ayant pour objet la déduction
élementaire de la proposition servant de base à la théorie
des lignes paralléles. M. Bouniakofski se charge de
prendre connaissance de cette note.
Le Secrétaire Perpétuel annonce à la Classe que de-
puis la derniere séance le mémoire de M. le Dr. Mar-
cusen Die Familie der Mormyren (formant le N° 4 du
tom. VII des Mém. del'Acad) a été impri et mis en
vente et en distribution.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 18 (30) mars 1864.
M. Oustrialof présente le IV* volume récemment paru
de son Histoire du régne de Pierre-le-Grand.
M. Stephani présente au nom de M. le Comte Stro-
ganof, Président de la Commission Impériale Archéo-
409
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
410
logique, le Compte-Rendu de cette Commission pour l'année
1862; c'est un beau volume in-4°, accompagné d'un atlas
d'excellentes gravures, et contenant: un exposé des tra-
vaux de la Commission pour l'année 1862, et l'explication
écrite par M. Stephani, des antiquités, trouvées à Kertch
en 1861, ainsi que de plusieurs vases peints de l'Ermitage
Impérial.
Le Secrétaire Perpétuel annonce que le mémoire de
M. Schiefner Tschetschenzische Studien (Mém. de l'Acad.
t. VII, N* 5), a été imprimé et mis en vente et en distri-
bution.
M. Zachariae von Lingenthal, membre correspon-
dant, envoie un mémoire intitulé: Beiträge zur Geschichte
der bulgarischen Kirche. — Renvoi à l'examen de M. Kunik.
Le Département de l'Instruction Publique adresse pour
la Bibliothèque de l'Académie l'ouvrage de M. Veggezi-
Ruscala: Le Colonie Serbo-dalmate del circondario di la-
rino Provincia di Molise. Studio Etnografico. Torino 1864.
M. Vogel von Vogelstein fait hommage à l'Académie
de l'ouvrage qu'il a publié sous le titre: Die Hauptmomente
von Goethes Faust, Dantes Divina Commedia und Virgil’s
Aeneis. München. in f°. |
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 1 (13) AVRIL 1864.
Le Secrétaire Perpétuel communique la lettre, par la-
quelle M. le Professeur Schmidt, de Dorpat, lui annonce |
la perte que vient de faire l'Académie dans la personne
de son membre correspondant, M. Claus, décédé à Dor- |
pat, le 12 mars, à l’âge de 68 ans.
M. Struve présente et lit une note faisant suite à une
communication faite antérieurement à l'Académie (v. la
séance du 26 février), sur le satellite du Sirius. Cette note
paraítra dans le Bulletin.
M. Baer lit deux notices, destinées au Bulletin, intitu-
lées: 1) Noch ein Wort über das Blasen der Cetaceen, et
2) Neuer Nachtrag zu N° VIII der Kaspischen Studien:
über ein allgemeines Gesetz in der Gestaltung der Fluss-
betten.
M. Abich, par une lettre datée de Tiflis, le 5 mars,
adresse un article, contenant ses observations prélimi-
naires sur la ere ge géologique des presqu'iles Kertch
et Taman (Vorläı nd.
inseln Kertsch und Timon). Ce travail sera imprimé dans
le recueil des Mémoires de l'Académie.
M. Struve présente et lit une notice, dune laquelle il
a exposé les observations qu'il a faites sur les différentes
nébuleuses. Elle sera insérée dans le Bulletin.
M. Kokcharof lit une notice destinée au méme re-
cueil, et ayant pour titre: Messungen eines besonders voll-
kommen ausgebildeten EE A
M. Struve présente et recommande pour le Bulletin
une notice de M. Gylden, sous le titre Neue Berechnung
züge der Geologie der Halb- |
der Siriusparallaxe aus den am Cap der guten Hoffnung
angestellten een
M. Ofsiannikof, ayant examiné la note de M. Metch-
nikof sur la tige des vorticelles (v. la séance du 11 mars),
en fait l'objet d'un rapport verbal et conclut à son ad-
mission dans le recueil russe de l'Académie (3anucxn).
M. Schmidt, professeur à Dorpat, par une lettre du
24 mars, fait parvenir à l'Académie un travail manuscrit,
trouvé parmi les papiers de feu M. Claus, qui avait en-
trepris une monographie compléte du platine, mais n'a eu
le temps de rédiger que les trois premiers chapitres, con-
tenus dans le manuscrit envoyé par M. Schmidt — Ce
manuscrit est remis à MM. Fritzsche et Jacobi pour
étre examiné.
M. Jacobi expose les resultats qu'il a obtenus quant au
perfectionnement de l'appareil destiné à mesurer la quan-
tité et la force de l'esprit de vin sortant d'un réfrigérant.
La note consacrée à cet objet sera publiée dans le Bulletin.
MM. Jacobi et Fritzsche présentent une notice dans
laquelle ils attirent l'attention de l'Académie sur les avan-
tages que doit offrir le bronze d'alluminium employé à la
confection des alcoométres. Cette notice paraitra dans le
Bulletin.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SEANCE DU 8 (20) AVRIL 1864.
M. Kunik, ayant examiné le mémoire de M. Zacha-
riae von Lingenthal: Beitrüge zur Geschichte der bul-
garischen Kirche (v. la séance du 18 mars), lit un rapport,
dans lequel il propose d'admettre le travail de Phono-
rable savant, membre correspondant de l'Académie, dans
le recueil des Mémoires; le rapport de M. Kunik paraitra
dans le Bulletin.
M. Vessélofski présente et recommande un travail
fait pas M. Svenske et comprenant 1) un aperçu histo-
rique des travaux qui ont précédé la publication du pre-
mier Atlas de Russie en 1745, et 2) un recueil de docu-
ments historiques sur cet atlas, tirés des Archives de lA-
cadémie. Cet ouvrage sera publié dans le recueil russe
(3anucki).
M. Schleicher soumet à l'Académie une édition cri-
tique et annotée qu'il a préparée du poéte lithuanien Do-
naleitis; l'édition est enrichie d'une introduction et d'un
glossaire. Ce travail sera publié sous forme de volume
séparé.
Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la
Classe que les ouvrages suivants ont été imprimés et mis
en vente et en distribution: 1) Dr. W. Volck, Kellgren’s
Ibn Mälik Lämiyat al af’ ál, formant le N° 6 du tom. VII
des Mém. de l'Acad.; 2) Böhtlingk, Indische Sprüche
II Th, et 3) Mélanges greco-romains, tom. H, livr. 5.
M. Véliaminof-Zernof offre à l'Académie pour son
Musée Asiatique un manuscrit persan intitulé: Raouset
411
Bulletin de l'Académie Impériale
412
et-Tahirim, et l'aecompagne d'une notice, qui sera publiée
dans le Bulletin. *
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 29 AVRIL (11 Mar) 1864.
M. Dorn lit une note sur neuf pierres tumulaires nou-
vellement reçues au Musée Asiatique et couvertes d'in-
scriptions hébraiques; il y joint une notice sur ces mêmes
pierres, rédigée par M. Góbel, conservateur du Musée
Minéralogique de l'Académie. Ces deux notes seront insé-
rées dans le Bulletin.
Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la
Classe que depuis la dernière séance les ouvrages suivants
ont été imprimés et mis en vente et en distribution:
1) Wiedemann, Versuch über den Werro-ehstnischen Dia-
lekt, formant le N 8 du tom. VII des Mém. de l'Acad.;
2) O. Bóhtlingk et Roth, Sanskrit- eben IV Th.,
27 Lief.; et 3) Mélanges üsiatiques tom. V, liv
M. Dorn annonce que M. Spasski- AAR fait
don au Musée Asiatique de trois monnaies sassanides.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 6 (18) Mar 1864.
M. Pérévostchikof présente un article qui a pour
objet la rotation des planétes autour de leurs axes et qui
fait suite aux articles que l'auteur publie sous le titre de
Théorie des Planètes, dans le recueil russe de l'Académie.
M. Jacobi lit une notice sur l'alcoométre d' Atkins; elle
paraitra dans le Bulletin.
M. Ruprecht lit un mémoire sur le tchernozem; ce tra-
vail sera inséré dans le Bulletin et dans le recueil russe.
M. Kokcharof lit un mémoire sur le lépolithe; on l'im-
primera dans le recueil des Mémoires de l'Académie.
M. Savitch lit une note, destinée pour le Bulletin et
dans laquelle il communique les observations qu'il a faites
en 1863, à l'observatoire de l'Académie, sur Junon, Jupi-
ter et Ne eptune,
M. Struve présente et recommande pour les mémoires
un travail de M. Linser, intitulé: Vier, von De l'Isle beo-
bachtete Plejaden-Bedeckungen.
M. Brandt lit une notice ns Auffindung zweier
Backenzühne des Elasmotheriu erg t Saratov;
elle paraîtra dans le Bulletin. - d
Le méme académicien présente un hb trei de M. Mo-
rawitz, conservateur du Musée Zoologique, sous le titre:
Verzeichniss der wm St.- Petersburg aufgefundenen Crabro-
ninen, Ce travail sera publié dans le Bulletin. `
M. Kupffer présente un mémoire de M. Müller sur
la tempête qui a sévi en différentes parties de l'Europe,
du 1 au 4 décembre 1863; cette tourmente a été l'objet
d'une note publiée dans le Bulletin international de l'Ob-
servatoire Impérial de Paris. Le mémoire de M. Müller
x
est accompagné de 8 cartes, sur lesquelles est représenté
l'état de l’atmosphere, c.-a.-d. la pression barométrique,
la direction des vents et la température de l'air pendant
les quatre jours indiqués, dans toute l'Europe. Dans ce
travail l'auteur a suivi un système un peu différent de
celui qui a été adopté par M. Leverrier dans le tracé
des cartes qui accompagnent sa note. M. Kupffer donne
un court aperçu de cette nouvelle méthode et fait l'appré-
ciation de ses avantages; il ajoute de plus que le mémoire
de M. Müller sera imprimé aux frais de l'Observatoire
physique central et du Département hydrographique.
M. Brandt dépose sur le bureau un Livret que sur le
désir de la Conférence il a fait rédiger, à l'usage des visi-
teurs du Musée Zoologique.— Ce livret sera immédiatement
mis sous presse.
Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la
Classe que le mémoire de M. Winnecke: Pulkowaer Beo-
bachtungen des hellen Cometen von 1862 (formant le N° 7
du tom. VII des Mémoires de l'Académie) a été imprimé
et mis en vente et en distribution.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 13 (25) mar 1864.
M. le Ministre de l'Instruction Publique transmet plu-
sieurs anciennes monnaies, trouvées dans le Gouverne-
ment de Podolie, et prie de les examiner, afin de savoir si
elles méritent quelque attention au point de vue numis-
matique. Renvoi à l'examen de M. Kunik.
M. le Ministre fait parvenir une lettre de M. Stephanus
accompagnant l'envoi de plusieurs eahiers de ses Diction-
naires pasigraphiques, et invite l'Académie à vouloir bien
examiner ces pièces. Renvoi à l'examen d'une commission
composée de M. Bühtlingk et Schiefner.
M. Stephani met sous les yeux de la Classe un cata-
logue des monnaies romaines de la collection académique,
dressé par M. Grimm, conservateur du Cabinet numis-
matique. Ce Catalogue contient 13,000 monnaies et est
arrangé de manière à rendre faciles tous les changements
qui pourraient y devenir nécessaires par suite de nouvelles
acquisitions de monnaies, sans que pour cela on ait be-
soin de refaire tout le catalogue,
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 20 Mar (1 JUIN) 1864.
M. Zinine présente une notice de Son Altesse Impé-
riale Monseigneur le Prince Nicolas Maximilianovitch Ro-
manovsky, Duc de Leuchtenberg: Sur la composition
du Pyrite magnétique de Bodenmais. Cette notice sera
publiée dans le Bulletin.
M. Ruprecht lit un mémoire intitulé: Ueber die wis-
senschaftliche Bedeutung des Tchornosjom; on l'imprimera
dans le Bulletin.
413
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
411
M. Helmersen présente et recommande pour les Mé-
moires un travail de M. Henri Struve sur la composition
de l'eau du puits artésien de St.-Pétersbourg. Il présente
de plus pour étre inséré dans le Bulletin, un extrait de
la lettre qu'il a recue de M. Pousyrefski, professeur
à l'Université de St.-Pétersbourg, sur le minérai de fer
Gi dans les couches, percées par ce même puits ar-
tésien.
M. Zinine présente une notice de M. Borodine inti-
tulée: Ueber die Einwirkung des Natrium's auf Valeralde-
hyd, et une autre, de M. Sokolof, sous le titre: Ueber
die Balze der Nitrobenzoesäuren und die Einwirkung des
Zinks auf eine ammoniakalische Lösung derselben. Toutes
les deux seront admises dans le Bulletin
Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la
Classe que la 6° et dernière livraison du tome V des Me-
langes physiques et chimiques a été imprimée et mise en
vente et en distribution.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE,
SÉANCE DU 27 MAI (8 JUIN) 1864.
M. Kunik lit un mémoire dans lequel il s’est proposé
de résoudre la question, si le nom tatare de Tokhtamisch
a pu être en usage chez les Hébreux, en Crimée, au troi-
sième siècle. Ce mémoire sera publié dans le recueil russe
et dans le Bulletin.
M. Schiefner présente quelques extraits de lettres que
lui a adressés M. le Baron Uslar et dans lesquelles cet
infatiguable philologue lui fait part de quelques re-
marques que lui a suggéré la lecture du Mémoire de
M. Schiefner sur la langue tchetchène. Ces extraits se-
ront publiés dans le Bulletin.
MM. Böhtlingk et Schiefner présentent leur rap-
port sur les Dictionnaires pasigraphiques de M. Stepha-
nus. Ce rapport sera communiqué à M. le Ministre.
M. l’Adjoint du Ministre des Affaires étrangères, par un
office du 25 mai, fait connaître à l'Académie, que sur un
rapport de M. le Vice-Chancellier, Sa Majesté Impériale
a daigné ordonner de faire passer à l'Académie la biblio-
thèque des livres en langues orientales qui se trouvait
au Département asiatique.
= E bz iQ | E j j i
E: atm e ag: - -
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a rétu dans ses dernieres séances les
ouvrages dont voici les titres: —
Revue critique et bibliographique publiée sous la dee,
tion de M. Ad. Hatzfeld. 1° livr. Paris 1864. 8.
The journal of the Society of arts and of um institutions
in Union. Vol XVII N° 574. 8
Lepsius, C. R. Standard alphabet for reducing unwritten
languages and foreign graphic systems to a uniform
orthography in european letters. London 1863. 8.
Bielenstein, A. Die lettische Sprache nach ihren Lauten
und Formen. 1ster Theil. Berlin 1863. 8.
Memoirs of the r. astronomical society. Vol. XXXI. Lon-
don 1863. 4.
Atlas des nórdlichen gestirnten Himmels für den Anfang
des Jahres 1855, entworfen auf der k. Sternwarte zu
Bonn. Lief. UI Fol.
Astronomical and magnetical and meteorological observa-
tions made at the r. observatory Greenwich in the
year 1860. 61. London 1862. 63. 4.
Hind, J. R. Errata in Hansen's lunar tables. 8.
Safford, T. H. The observed motions of the companion
of Sirius. Cambridge 1863. 8.
Warren de la Rue. On the total solar eclipse of July
18th 1860, ONE at Rivabellosa in Spain. Lon-
Wolf, Rud. VIELE eda über die Sonnenflecken. 8
Villarceau, A. J. Yvon. Recherches sur le mouvement
et la compensation des chronométres. Paris. 1862. 4,
— Étude du mouvement x rotation de la lunette méri-
dienne. Paris 1863.
Dóllen, W. Die Pow cbe HEURE vermittelst des tragba-
ren Durchgangsinstruments im Verticale des Polar-
sterns. St. Petersburg 1863. 4.
James, Sir Henry. Extension of the triangulation of the
ordnance survey into France and Belgium with the
measurement of an arc of Parallel from Valentia in
Ireland to mount Kemmel in Belgium. Lond. 1863. 4.
Abhandlungen, herausgegeben von der Senckenbergischen
Naturforschenden Gesellschaft. 4ten Bandes Lief. 3. 4.
Frankfurt a. M. 1863. 4.
Abhandlungen aus dem Gebiete der Naturwissenschaften,
herausgegeben von dem naturwissenschaftlichen Ver-
ein in Hamburg. IV. Bd., 3te Abth. Hamburg, 1862. 4.
Würzburger medicinische Zeitschrift, herausgegeben von
der physikalisch-medicinischen Gesellschaft. 4ter Bd.
Heft 3. 4. Würzburg 1863. 8.
— naturwissenschaftliche Zeitschrift, herausgegeben von
der physikalisch- medicinischen Gesellschaft. 4ter Bd.
Heft 1. Würzburg 1863. 8.
Verhandlungen des naturhistorisch - medizinischen Ma
zu Heidelberg. Band III. u.
Société des sciences naturelles du Ges haché de FER E
bourg. Tome NI, bung 1863. prie m 8.
Verhandlungen der S isch Ge-
haft bei ihrer biogr. in Luzern. ‚46ste
Versammlung. Luzern. 8.
Nyt ne for Naturvidenskaberne Udgives af den PE
`M. Sars og
ian. 1860. 8.
graphiske Forening i Christiania ved
Th. Kjerulf. 11te Binds 2det Hefte. Chri
415
Bulletin de l’Académie Impériale
416
Bulletin de la Société Impériale des naturalistes de Mos-
cou. T. XXXVL N° III. Moscou 1863. 8.
Ren des Naturforschenden Vereins in Riga.
XIV. Jahrg. N° 56.
The transactions of the Linnean Society of London. Vol.
XXIII p. III. Vol. XXIV p. I. London 1862 — 63. 4.
Journal of the proceedings of the Linnean Society. Zoology.
Vol. VI N° 24, Vol. VII N° 25. 26. Botany. Vol. VI
N° 24, Vol. vu N° 25. 26. London 1862—63. 8.
Address of 6. Bentham, Esq. read at the anniversary mee-
ting of the Linnean Society. May 24, 1862. Lond. 8.
Se EN ique de. Etudes de la
e. T. I— V. Quatrième édition. Paris 1809. 8.
— ae de la nature. T. I— III. Paris 1815.
Die Fortschritte der Physik im Jahre 1861. Dargestellt
von der physikalischen Gesellschaft zu Berlin. XVII.
Jahrg. 1ste u. 2te Abth. Berlin 1863. 8.
Zeitschrift für Chemie und Pharmacie. 6ter Jahrgang,
Heft 16—20. Heidelberg 1863. 8
Journal of the chemical Society. N° LXI. LXIL Vol. XV.
5. 6. May 1862
— — — — New series. 2 Vol. I. N° VII— IX. July —
Sept. 1863.
Shaffner, Tal. P. The telegraph manual: a complete
history and description of the Semaphoric, Electric
and Magnetic Telegraphs of Europe, Asia, Africa and
America. New York 1859. 8.
Tables of hights in Sind, the Punjab, N. W. Provinces
and Central India, determined by the great trigono-
metrical survey of India. Calcutta 1863. 8.
Meteorologiska iakttagelser i Sverige, utgifna af k. svenska
Vetenskaps - Akademien. Bearbetade af Ev. Edlund.
3° Bandet 1861. Stockholm 1863. Qu.-Fol.
Observations météorologiques faites à Nijné-Taguilsk (mont
Sc gouv. de Perm). Année 1861 et 1862. Paris
Mike éi deutschen se Gesellschaft. XV.
Band, Heft 3. Berlin 186
The quarterly journal of the geological Society. Vol. XIX
p. 4. Vol. XX p. 1. London.
Perrey, Alex. Propositions sur ge tremblements de terre
et les volcans. Paris 1863. 8.
— Documents sur les tremblements de terre et les phé-
nomènes volcaniques au Japon. 8.
— Note sur les tremblements de terre en 1860. 8.
Marsh, O. C. The gold of Nova Scotia. 8.
— Catalogue of mineral localities in New Brunswick,
Nova Scotia and Newfoundland. 8.
— Description of the remains of a new Enaliosaurian
of Nova Scotia. 8.
Paine, Martyn. A review of theoretical geology. 8
Sars, M. og Th. Kjerulf. Iagttagelser over den postplio-
cene eller glaciale formation in en del af det sydlige
Norge. Christiania 1860. 4.
Berg, Ernestus de. Additamenta ad thesaurum literaturae
botanicae. Index III librorum botanicorum bibl. horti
Imper. Bot. Petropol. Petropoli 1864. 8.
Annales Musei botanici Lugduno-Batavi ed. F. A. Guil.
Miquel. Tom. I fasc. 1—3. Amstelaedami 1863. Fol.
Gartenflora. XIIter Jahrgang. November, December und
Supplement-Heft. Erlangen 1863. 8.
Kops, Jan, en Hartsen, F. A. Flora batava, afbeelding
en beschrijving van Nederlandsche Gewassen. 186.
Aflevering. Amsterdam. 4.
Sveriges ätliga och giftiga svampar tecknade efter natu-
ren under ledning af E. Fries utgifna af k. Weten-
skaps-Akademien. Stockholm. N° 1—6.
Christener, Chr. Die Hieracien der Schweiz. Bern 1863. 4.
Corenwinder, Benj. Recherches chimiques sur la végé-
tation. (Deuxiéme mémoire.) Lille 1863. 8.
Dana, James D. I. On parallel relations of the classes
of vertebrates, and on some characteristics of the
reptilian birds. II. The classification of animals based
on the principle of cephalization. 1863. 8.
— I. The classification of animals based ot the principle
of cephalization. II. On fossil insects enm the carbo-
niferous formation in Illinois. 1863.
Siebold, C. Th. E. v. Die rpg A von Mittel-
europa. Leipzig 1863. 8.
Der Zoologische Garten, herausgegeben von C. Bruch.
V. Jahrg. N° 1. Frankfurt a. M. 1864. 8.
Entomologische Zeitung. Herausgegeben von dem Ento-
mologischen Vereine zu Stettin. 24ster Jahrg. Stet-
tin 1863. 8.
Linnaea entomologica. Zeitschrift herausgegeben von dem
EE Vereine in Stettin. 15ter Bd. Leip-
zig 1863.
Specimen plate of Elliots monograph of the Pittidae,
published in seven parts folio with 31 plates.
Weismann, Aug. Über die Entstehung des vollendeten
nsekts in Larve und Puppe. Frankf. a. M. 1863. 4.
Goës, A. Crustacea decapoda podophthalma marina Sue-
ciae, interpositis speciebus Norvegicis m vici-
nis. 8. (Öfvers. af k. Vet. Akad. Förh. Årg. 20. N° 3.)
Schlagintweit, Herm., Ad. and Rob. Results of a es
tific mission to India and High Asia. Vol. IH.
don 1863. 4. With an atlas of panoramas, views «e
maps. Fol.
Natural history of New York. Agriculture of New York
by E. Emmons. Vol. V. — Palaeontologie by James
Hall. Vol. III. Part L II. Albany 1854—61. 4.
The anthropological review. N° 3. 4. London. 8.
Eberth, C. j Über den feineren Bau der Lunge. Leip-
zig 186
Paine, ie og discourse on the soul and instinct.
New York 1849. 8.
Paru le 20 juin 1864.
Bulletin de l'Académie, T. VII.
Supplement II.
Zur Geschichte der Museen der Kaiserl. Akademie der Wissenschaften.
X.
Das botanische Museum.
Von J. F. Ruprecht, Director dieses Museums.
Im Archive des botanischen Museums der Akade-
mie findet sich ein Bericht des Akademikers Trinius
an die Conferenz, vom J. 1834, über die Gründung
dieses Museums im J. 1824 und über die Einrichtung
desselben während der ersten 10 Jahre, das wichtig-
ste Aktenstück für die Geschichte des botanischen
Museums dieser Zeit.
Da die älteren Herbarien oder Sammlungen von
getrockneten Pflanzen gegenwärtig selten und zum
Verständniss gedruckter Werke zuweilen von gros-
sem Werthe sind, so sammelte ich im Laufe mehrerer
Jahre eine Menge Notizen, welche auf die älteren
Bestandtheile des Akademischen Herbariums Bezug
haben und deponirte im J. 1845 eine Schrift darüber
in das Archiv des botanischen Museums, zur Vervoll-
stándigung des Berichtes von Trinius, so dass die
geschichtlichen Quellen bis zur Gründung der Aka-
demie hinaufreichen. Die Fassung dieses Berichtes
gestattet nur Folgendes daraus hervorzuheben.
Die ältesten Herbarien sind jene von Ruysch und
Amman, deren von Steller verfasste Cataloge 1745
gedruckt wurden in dem Werke: Musei Imperialis Pe-
tropolitani Vol. I pars 2. Nach dem gegenwürtigen
Zustande der Pflanzenkenntniss sind diese 2 Samm-
lungen beinahe werthlos, besonders jene von Ruysch,
die fast durchweg aus Gartenpflanzen bestand. Eben-
so ist der grósste Theil der Amman'schen Pflanzen
ohne Fundort und Geber und die Pflanzen aus Russ-
land so selten, dass Haller in seiner Bibliotheca bo-
tanica suirief: mireris paucitatem Sibiricarum. Das
Herbarium von Amman enthielt 4676 Arten, eine da-
mals bedeutende Zahl, wenn man bedenkt, dass Linné,
dem grössten Systematiker seiner Zeit, bis zu seinem
Tode im J. 1778 nur an 8500 Species Pflanzen be-
kannt waren, und dass man Sammlungen getrockneter
Pflanzen erst nach Linné's Ausspruche «herbaria prae-
stant omni icone» allgemeiner anlegte und ihren Werth
zu erkennen anfing. Die besten Bestandtheile des
Herbariums von Amman sind die Pflanzen von Houston
aus Vera-Cruz und Jamaica, gesammelt 1728 und
1729, die auch Linné citirt, und von welchen auch
ein Theil sieh bei uns erhalten hat. Linné erhielt auch
Pflanzen von Amman und schickte ihm seine 1737
gedruckte Flora Lapponica mit eigenhündiger Dedi-
cation auf dem Titelblatte, das einzige Autograph Lin-
né's, das unser Museum besitzt.
Eine gróssere Anzahl Pflanzen von Petiver und
Sloan, sowie einige von Pluknet, die alle nicht im
Cataloge des Amman'schen Herbariums aufgezeichnet
sind, erhielt die Akademie noch vor dem J. 1768,
wie aus einer Äusserung S. G. Gmelin's hervorgeht.
Jene von Petiver sind Belege zu dessen Musei Centu-
riae X (1695 — 1703), zuweilen aus wenig bekann-
ten Ländern, wie z. B. Borneo, Chusan. Amman sagt,
dass die Pflanzen Pluknet's, welcher 1706 starb und
an 8000 Arten hinterliess, in Sloan's Museum aufbe-
wahrt sind. Sloan kaufte auch das Herbarium von
Petiver (T 1718), der ein Rivale Pluknet’s war, für
4000 L. Sloan starb 1753 und vermachte sein un-
geheueres Herbarium dem britischen Museum. Die
Sloan'schen Pflanzen aus Jamaica sind 1688 gesam-
melt, von Linné benutzt und die noti ältesten
des Akeleuischen Herbariums.
Im J. 1743 kam J. G. Gmelin mit einer grossen
E
Sammlung Sibirischer Pflanzen von seiner 10 jährigen
Reise nach Petersburg zurück. Es ist bemerkens-
werth, dass sich noch bis jetzt so viele seiner Pflan-
zen erhalten haben; selbe sind nicht nur die Original-
Belege zu dessen Flora Sibirica, sondern auch der
Sibirischen Arten bei Linné — «Gmelinus sibiricas
plantas facile omnes misit.» — Ebenso sind noch häufig
Pflanzen von Steller, der 1738— 1746 in Sibirien
sammelte. Linné sagt, dass er Pflanzen Steller’s durch
Demidoff zur Bestimmung erhielt, mit der Erlaubniss,
von jeder Art ein Exemplar zu behalten.
Mit dem Abgange Joh. Georg Gmelin’s von der
Akademie schliesst so ziemlich die Repräsentation der
Botanik bei der Akademie bis auf Trinius. Lepechin
leistete während seiner 35jährigen Dienstzeit nichts
für Botanik und verwahrloste die Sammlungen. Falk,
S. G. Gmelin, Sujew, Redowski, Smelowski, Adams
und Rudolph starben zu früh in ihrem Akademischen
, Wirkungskreise.
Von Samuel Gottlieb Gmelin's Reise in Ghilan ha-
ben sich viele werthvolle Pflanzen erhalten, die er
oder sein Schüler Hablitzl mitbrachte, besonders «ex
alpibus Samamisicis». Trinius fand 1823 diese Samm-
lung auf dem Boden der Kunstkammer neben einem
Schornsteine mit anderen Pflanzen frei in Paketen
herumliegen und noch niemals geóffnet, ganz ent-
sprechend der Äusserung Georgi's im J. 1790 «das
Herbarium der Akademie liegt in ungestórten Dün-
deln mit dem Bedürfniss einer Revision.»
Aus diesem traurigen Zustande ist es vielleicht zu
erklüren, dass der berühmte Zoologe Pallas sein Her-
barium nicht der Akademie anvertraut wissen wollte,
sondern durch Cripps an Lambert verkaufte, nach
dessen Tode es für den Spottpreis von 40 L. St. vom
britischen Museum acquirirt wurde. Die Akademie
besitzt wohl Einiges von Pallas' Reise, aber meist ohne
Bezeichnung des Fundortes; ein viel grösserer und
sorgfültiger etiquettirter Theil findet sich im Berliner
(und Münchner) Kóniglichen Herbarium. Dagegen
verwahrt unser Akademisches Herbarium noch ziem-
lich vollständig die Pflanzen Güldenstüdt's von den
J. 1768 — 75 aus dem Caucasus und jene von Georgi
von seinen Reisen bis zum Baical im J. 1770 — 74,
die noch zur Verbesserung einiger Bestimmungen
in ihren Reisewerken dienen können, ausserdem aber
nur geringen Werth haben. Es wären noch die Reste
der Pflanzen von Adams aus dem Caucasus und der
Lena zu erwähnen,
Man sieht, dass in dieser ganzen Periode seit Gmelin
(dem älteren) nur hauptsächlich Pflanzen aus ver-
schiedenen Theilen des Russischen Reiches zusammen-
kamen, ohne dass man bedacht gewesen, auch die
bereits bekannten Pflanzen benachbarter Länder, die
zur Vergleichung so nothwendig waren, anzuschaffen.
Indessen muss man erwühnen, dass die Kaiserin Ka-
tharina II, auf die Verwendung von Pallas, eine un-
begrünzte Summe für den Ankauf des Linnéischen
Naturalien-Cabinettes angewiesen haben soll, und auf
diese Weise würe beinahe diese wichtige Sammlung
der Akademie zugefallen, wenn die Erben nicht be-
reits das Angebot Smith's (900 Guineen) angenom-
men hätten,
Im J. 1784 erhielt die Akademie die noch jetzt
gut erhaltenen Pflanzen aus Ceylon zum ‚Geschenke
von Dr. J. G. König in Tranquebar, einem geborenen
Livländer und Schüler Linné’s. Die ebenfalls noch
vorhandenen Pflanzen aus St. Domingo von Poiteau
aus den J. 1794—1801 sind zum Theil von Swartz
bestimmt und von Rudolphi geschickt. Auch besitzt
das Museum noch fast complett eine Sammlung von
1390 Pflanzen, ein Geschenk von Thunberg im J.
1811; ein Drittel dieser Sammlung stammt von den
Reisen Thunbergs, vom Cap, Ceylon, Java und Japan;
ein Drittel ist von Forster, Swartz, Collinson, König,
Masson, Sparmann, Vahl, Lapeyrouse, Bellardi u. a.;
der Rest ohne Fundort und Geber, oder Gartenpflanzen.
Nachdem die Stelle eines Akademikers für Botanik
(in Folge schlechter Besoldung) 14 Jahre lang unbe-
setzt geblieben war, fand Trinius bei seinem Eintritte
in die Akademie (August 1823) die botanischen
Sammlungen der sogenannten Kunstkammer (cimelio-
phylacium) in einem verwahrlosten Zustande, ohne
Ordnung, theilweise zerstört durch Insekten. Das
davon noch Brauchbare schätzte Trinius auf 4 — 5000
Arten. Trinius fasste den glücklichen Entschluss, ein
eigenes botanisches Museum zu gründen, und wurde
die Ausführung bereitwilligst von der Akademie un-
terstützt. Alsbald brachte man die werthvollen Reste
in ein geeignetes, trockenes und heizbares Local, wo-
hin auch später die rein botanischen Werke aus der
allgemeinen Bibliothek kamen; es wurden 30 zweck-
mässige Herbarien-Schränke aus Rothholz (à 250 Rbl.
Bco.) bestellt, für 3000 Rbl. Pflanzenpapier angekauft,
Arbeitstische aufgestellt, ein Journal für die laufenden
Geschäfte eingeführt, Pakete gesichtet, die Pflanzen
geordnet und eine Autographen-Sammlung angelegt,
um die Handschriften der vorgefundenen Etiquetten
zu sichern. |
Von dieser Zeit an begann der Ankauf ganzer Her-
barien (Rasumowski, Hoffmann, M. Bieberstein), so
wie anderer Sammlungen, die Betheiligung an Reise-
Aktien, die Ausrüstung und Besoldung eigener Rei-
senden und Sammler im Caucasus, Ural, Altai, Ost-
sibirien, Peking, in den Ländern am Beringsmeere von
Kamtschatka bis Sitcha. Es trafen eine Menge Ge-
schenke ein und ausgebreitete Tauschverbindungen
mit anderen Museen und bekannten Botanikern wur-
den eingeleitet. Nach einer approximativen Rechnung
veranschlagte Trinius die Zahl der Species des Her-
bariums, Ende 1833, auf etwa 21—22000, von
welchen circa 4000 Species beiläufig catalogisirt wa-
ren. Sorgfältiger war ein Catalog der Doubletten, das
wichtigste Tauschcapital, in 2 Abtheilungen gedruckt;
er enthielt ungefähr 1800 Species. Die botanische
Bibliothek hatte bei ihrer Aufstellung nur 359 Werke
in 642 Bänden; es fehlten eine Menge der wichtig-
sten Werke. Hätte doch damals die Gesammtbibliothek
und das Medaillen-Kabinett zusammen nicht mehr als
2000 Rbl. Banco! jährlichen Etat, so dass in den
folgenden 10 Jahren nicht mehr als 43 botanische
Werke angekauft werden konnten; ein Faktum, wel-
ches, wie Trinius schrieb, allein hinreichend wäre,
ihn zu vertheidigen, wenn er noch weniger geleistet
hätte, als er wirklieh leistete. Es blieb auch mit sol-
chen Mitteln nichts weiteres übrig, als sich auf eine
Specialität zu beschränken.
Nach dem Tode des Akademikers Bongard im J.
1839 trat ich auf Vorschlag von Trinius als Conserva-
tor des Museums ein; ein Amt, welches Bongard seit
1835 sorgfältig verwaltet hatte. Im Oktober 1835
wurde das Museum aus der Kunstkammer in das jetzige
Local übergeführt. Seit dieser Zeit, also in 28 Jahren,
sind so viele Acquisitionen gemacht worden, dass be-
greiflicher Weise eine Überfüllung
welcher schon seit lange mit allen Kräften durch die
grösstmöglichste óconomische Vertheilung entgegen |
des Locales eintrat, |
gearbeitet werden muss. Mein wiederholtes Ansuchen
um ein anderes Local blieb ohne Erfolg.
Um einen beiläufigen Begriff von den Herbarien des
Museums zu gewinnen, mag eine kurze Übersicht der
blossen Original-Bestandtheile dienen, d. h. der ei-
genthümlichen, charakteristischen Sammlungen, die
sich nirgends anderswo vorfinden oder nur in unvoll-
stándigeren Ablegern. Alles Unbedeutende, leicht
Käufliche oder Eingetauschte ist nicht berücksichtigt.
Eine vollständige Übersicht bis 1845, von mir ausge-
arbeitet, ist zu umfangsreich, um hier Platz zu finden;
seit 1845 und früher sind genaue Acquisitionsbücher
geführt worden. Es sind vorhanden:
I. An allgemeinen und systematischen Herbarien:
Das Herb. Gorenkianum (Rasumowski), 1826 gekauft
für 4000 Rbl. Bco., etwa 10000 Species. Es
enthält das Herb. v. Batsch (unbedeutend) und
das bessere von Pott, worin Pflanzen von Forster
aus der Südsee, vom Cap etc., so wie werthvolle
Originale zu Du Roi: Harbecksche Baumzucht.
Es existirt nach Pritzel ein gedruckter Catalog
über das Herb. von Pott, welchen ich bis jetzt
vergeblich anzukaufen gesucht habe.
Herb. Hoffmann (Prof. Mosq.), 1827 gekauft für 3000
Rbl. Bco., enthält viele Cryptogàmen von Ehr-
hart. Einen anderen Theil des Hoffmann'schen
Herbariums besitzt die Moskauer Universitüt.
Herb. M. Bieberstein, 1828 gekauft für 10000 Rbl.
Beo., nach Steven's Schätzung 8 — 10000 Spec.
Die Originalien zur Flora Tauro-Caucasica wer-
den in einem besonderen Schranke aufbewahrt.
Der Rest ist in das allgemeine Herb. eingeschaltet:
Pflanzen von Besser, Rochel, Rómér, Steven,
Wallroth's Originale zu den schedul. crit., Tscher-
najew, Olivier, d'Wee: auch einige von
Cuvier. — '
Herb. Fleischer, 1830 gekauft für 600 Rub., 3000
Spec. aus Südeuropa und Smyrna.
Bongard's Bryotheca, 830 Species, sorgfältig durch-
gearbeitet, abgeliefert 1840 , enthält Moose von
Arnott, Blytt, Bruch, Funk, Hampe, Hooker,
„Hoppe, ét Schimper, Sieber, Let u. à.
-4— 5000 Species. und alle MS inalo 2
. zahlreichen Schriften über Gri - vg
und Bemerkungen. Ein Glanzpunkt des Museums!
Wird in apparten Schränken aufbewahrt und an
der überkommenen Ordnung nichts geändert. Es
finden sich in demselben Gräser von Bauer, Ber-
tero, Besser, Beyrich, Bunge, Chamisso, Drum-
mond, Ehrenberg, Eichwald, Eschscholtz, Fran-
klin, Haller fil, Hampe, Haupt, Höfft, Hooker
(sehr viel), Hornemann, Hügel, Koch, Kunth,
Ledebour, Lehmann, Lindley, Link, Luschnath,
Martius, Mikan, Meyen, Meyer, Nees, Panzer,
Pöppig, Presl, Sabine, Salzmann, Schiede, Schott,
Schrader, Sellow, Sieber, Sprengel, Steven, Steu-
del, Szovits, Torrey, Wahlenberg, Willdenow,
Wight, Zenker, Zeyher, u. a.
Herb. Chamisso, gekauft 1841 für 4000 Rbl. Bco.,
10—12000 Species; am wichtigsten darunter
sind die Pflanzen von seiner Reise um die Welt,
gesammelt 1815 — 1818, publicirt in der Linnaea
seit 1826, die Originale aus dem Russischen Kü-
stengebiete am Beringsmeere, Redowski's Her- |
barium aus Ostsibirien, Pflanzen von Agardh,
Bory, Beyrich, Bergius, Bertero und Balbis,
Durville, Eschscholtz, Ehrenberg, Funk, Flórke,
Hornemann, Hooker, Krebs, Lessing, C. Mertens,
Rieder, Schiede, Seringe, Sellow, Wydler u. a.
Meyer's Herb. 1855 — 6, gekauft für 3000 Rbl. S.,
gegen 28000 Spec., ausserdem specielle Samm-
lungen in 143 Paketen, unter welchen 72 aus
Quellen stammend, die bisher dem Museum fehlten.
Es ist diess eine an Originalien reiche, besonders
für die Russische Flora wichtige, stark durchge-
arbeitete Sammlung, deren geordneter Theil. noch
in besonderen Schrünken aufbewahrt wird.
Nees von Esenbeck 1853, gekauft für 1264 Thaler
ein Theil seines Herbariums, 2718 Spec. Dar-
unter die Originale der Rubi germanici, Umbelli-
ferae, Filicales, Cinchonaceae, Amygdaleae, Po-
maceae, Sanguisorbeae, Roseae, Galiaceae, Ca-
prifoliaceae, Sileneae, Coniferae, Cycadeae und
andere kleinere Familien, unter Programm N° 2,
15, 35, 55, 60, 68, 70,84, 88 seines Herbariums
näher bezeichnet.
II. Sammlungen verschiedener Florengebiete:
Kastalski 1830, gekauft für 800 Rub. Bco. Pflanzen
von seiner Reise um die Welt, besonders aus der
4
Südsee und aus dem Küstengebiete der Russ.
Amerikanischen Compagnie.
Nesterowski 1833, 37 ; aus dem Ural (Slatoust); 1848
aus dem Gouv. Perm 250 Arten mit Catalog
( Geschenk).
Póppig 1834, für 1000 Rub. Bco., einer der ersten
Ableger von seiner Reise, 2200 Spec. mit Origi-
nalien zu dessen Nova genera et species.
Hesse (Missionair bei den Kaffern) 1838, für 60
Friedrichsdor, seine in 15 Jahren gesammelten
Pflanzen nebst 2 Foliobänden Mss.
Tschernajew 1839, für 800 Rbl. Bco. Cryptogamen
der Ukraine, ein Theil von Weinmann bestimmt
und 1844 publicirt.
Galeotti 1841, Grüser aus Mexico, bestimmt von mir
im Bull. Acad. Bruxelles. Ausserdem eine der er-
sten N? seiner übrigen Mexicanischen Pflanzen,
1900 N°, worüber Publicationen.
Bohuslaw 1844 eine Flora von Archangel, benutzt in
Rupr. Fl. Samojed. und Bohusl. in Erman's Ar-
chiv VI.
Zollinger 1844 seqq. 3200 N° aus Java; einer der
ersten Ableger.
Kolenati 1845, der 3te Ableger seiner Caucasischen
Phanerogamen 1750 N* und das erste Exemplar
der Cryptogamen 450 N° für 100 R. S., zum Theil
bearbeitet von Weinmann, Meyer und mir.
Nylander Fr. 1846 seqq., seltenere Pflanzen aus Finn-
land und dem Russ. Lappland, von ihm veróffent-
licht, einige Seepflanzen, von mir benutzt für Algae
Ochot. 1850.
Spitzer 1846, 7. Herbarium der Türkei in 10 Centu-
rien. Ein Geschenk S. K. H. des Grossfürsten
Konstantin.
Schrenck 1847, aus der Kirgisen-Steppe 1450 Spec.,
publicirt durch Fischer, Méyer und Trautvetter.
Lehmann (Alex.) 1848, 1851 aus Buchara, Samar-
kand und dem Orenburgischen 1100 N°, publicirt
in Bunge's Reliq. Lehmannianae.
Hofmann (Branth), 1850 aus dem nórdlichen Ural
270 Spec. Phanerog. Geschenk, vollständig be-
arbeitet in Rupr. Fl. Uralensis.
Karwinski 1851 für 2000 R. Actien, die zweite Bebe
lung aus Mexico 1512 Spec. nebst 70 Hölzern, u. a.
Strachey und Winterbottom 1852, als Geschenk der
5
Ostindischen Compagnie, 2100 Spec. Himalaya- | Lessing 1833 u. 1834 (jährlich besoldet mit 1000
Pflanzen, eine der ersten N°.
Hooker und "— 1856—58, als Geschenk, ein
Himalaya-Herbarium, 1100 Spec.
Fischer (Dr. Seb.) 1850. Geschenk von 400 Spec.
aus Madeira.
Maak 1857, Amurpflanzen, von welchen die (100)
Holzarten von mir veróffentlicht sind. 1858 ein
Wilui-Herb. von 300 Spec.
Tatarinow 1857 für 800 Rbl. S. ein Herb. von Pe-
king 566 Spec., eine chinesisch pharmac. Samm-
lung, 3 chinesische Werke über Botanik und ein
Atlas von 450 illum. Tafeln in fol.
Albrecht 1863, als Geschenk, ein reiches Herb. aus
Hakodate (auf Jeso), an 900 Spec.
Schmidt u. Glehn 1863 (für 500 R. S.), eine complette
Flora von Sachalin 530 Spec. Phanerogamen,
340 Spec. aus dem Gränzgebiet von Korea, 400
Spec. vom Südabhang des Stanowoi Chrebet, Quel-
len der Bureja und Amgun; neuere Amurpflanzen,
eine reiche Holzsammlung aus Sachalin. Werden
von Schmidt bearbeitet, die Süd-Mandschurischen,
Amurschen und Japanischen von Maximoviez.
III. Von Akademischen Reisenden abgeliefert oder
von Kronsanstalten geschenkt:
Langsdorf (Riedel) 1829, Brasilianisches Herb. 3000
Spec., theilweise untersucht von Bongard, Trinius,
Meyer, Martius, Bentham, Kunze, Grisebach,
Nees, Reissek u. a.
Turezaninow 1829—1836, mit 600 R. B. jährlich
besoldet, Pflanzen aus Ostsibirien, von ihm selbst
und Anderen beschrieben.
Mertens (Heinr.) 1830, von seiner Reise um die Welt,
1000 — 1200 Spec. Die Seepflanzen vollständig
" herausgegeben in Post. et Rupr. Illustr. Algarum
1840, Phanerogamen aus dem Russ. Küstengebiete
"OH Bongard Fl. Sitcha, von Ledebour, Ruprecht
~ u. a. Werken benutzt, Pflanzen aus Bonin Sima
von Bongard, Siebold und Zuccarini. Ausserdem
hinterlies Mertens ein Herb. von 600 Sp. aus
Nowgorod Sewersk (Gouv. Tschernigow).
Mn 1830, Caucasische Pflanzen 2000 Spec. VUE
- ständig beärbeitet: von ihm selbst.
Bunge 1832, die Originale zur Fl. Chinae 1
zum Supplem. I Fl. Altaicae. = —
R. B.), aus dem Ural 262 und aus der Kirghisen-
Steppe 174 Spec., sümmtlich in der Linnaea pu-
blicirt.
Szubert 1834 aus Warschau, wilde und cultivirte
Pflanzen, erwähnt in Spis roslin.
Ladyshinski 1834, Gorski und Kirilow 1842 — 44,
Tatarinow 1851, Pflanzen der Pekinger Mission,
Geschenk des Asiatischen Departements.
v. Baer 1837, 1842, aus Lappland; auch Seepflanzen,
von mir in verschiedenen, Werken vollständig be-
nutzt.
Nordmann 1837, aus Abchasien, Mingrelien und Gu-
rien 460 Sp., edirt von Ledebour.
Politoff 1838, unterstüzt mit 400 R. B. zu einer
Sommer-Excursion an den Saisang Noor und obe-
ren Irtysch. Die gesammelten Pflanzen sind voll-
ständig bearbeitet für das Supplementum Fl. Al-
taicae alterum von Bongard und Meyer 1840.
Ruprecht 1841 die Originale zur Fl. Samojed. Die
Seepflanzen vollstàndig' bearbeitet in den Alg.
Ochot.; 1843 und 1845 Pflanzen aus Süd-Finn-
land und dem nórdlichen Ladoga, so wie seit vie-
len Jahren aus dem Gouv. Petersburg, für die
Flora Ingrica, Berichte im Bulletin, Diatribae in
Fl. Petrop. und Crypt. vasc. benutzt.
Vosnessenski 1841 — 1846 , aus Californien, NW.
Amerika, Aleuten, Kamtschatka, Kurilen und
Beringsmeer. Die Seepflanzen vollständig benutzt
in Alg. Ochot., Algenstimme und die wichtigsten
aus Californien (Kolonie Ross) in zwei eigenen
Memoiren.
Middendorff 1843, 4, die Originale zur Fl. Taimy-
rensis et Boganidensis und Fl. Ochotensis, voll-
ständig bearbeitet von Trautvetter und Meyer.
Die Seepflanzen von mir vollständig herausgege-
ben (Algae Ochotenses), andere Cryptogamen un-
tersucht von G. u. E. Borszezow und W. Ny-
lander.
Cienkowski 1850, das 2te Exemplar von seiner Nil-
reise bis Fazoglu, N° 1— 486 (von welchen einige
in Keneh verunglückt sind), schöne Hölzer, Früch-
te, fossile Pflanzen. Unterstützt mit 700 R. S.
; Schrenck (L.) 1857, Amur-Pflanzen, von mir benutzt
bei den ersten Nachrichten über die Amur-Flora.
: | Borszezow (E.) 1858, 9; Aralo- ——
— 6
594 N°, zum Theile von ihm selbst beschrieben in
der Monographie der Calligoneen und Abhandlung
über die Ferulaceen, von Bunge in Revis. Ana-
basearum. Ferner eine originelle Holzsammlung
von 55 Sp.
Maximowicz 1859, das 2te Exemplar mit 644 Spec.
Originalien zu dessen Primitiae Fl. Amurensis.
Geschenk des K. bot. Gartens in Petersburg.
Ruprecht 1861, sämmtliche Caucasische Pflanzen mei-
ner Reise, die gegenwärtig in der Bearbeitung
sind; ferner 30 neue Holzarten für die Sammlung,
72 Früchte und andere Gegenstände.
Eine für das Museum wichtigere Eintheilung dieser
Sammlungen, als die gegebene, richtet sich nach der
Frage, ob solche Acquisitionen in das allgemeine
Herbarium einzuschalten sind oder nicht. Die nicht
oder unvollständig bestimmten Sammlungen bleiben
in der Regel unverändert, bis die Werke darüber
veröffentlicht sind. Indessen werden auch einige Her-
barien, die zur Bearbeitung von Special-Floren ge-
dient haben, appart gehalten und nur die 2ten oder
3ten Exemplare neuer Arten ins allgemeine Herba-
rium eingeschaltet. Ein Haupt-Inventarium über alle
nicht eingeschaltene Sammlungen des Museums über-
gab ich der Akademischen Conferenz im Mürz 1860.
Nach dem Ausweis der Bücher kamen ins Museum
vom J.1834 bis 1838 an 31000 N' (Pflanzenetiquetten),
von 1839 bis 1844 gegen 52700 Pflanzen; aber in
dem jetzt bereits eingeordneten Herbarium von Cha-
misso waren vielleicht 60000 Etiquetten. Ferner
wird, seit 1840, vor der Einschaltung viel strenger
auf die mangelhaften Angaben der Billette geachtet,
auf welchen sehr oft die Namen der Geber und die
Jahreszahl fehlt; zugleich die Exemplare befestigt,
um jeder späteren Verwechslung vorzubeugen. Da
indessen bei der Masse der Zuwüchse zu diesen und
anderen Arbeiten die Zeit eines einzigen Angestellten
nicht hinreichte, so mussten verschiedene Mittel in
Praxis treten, um den Hauptzweck «das sichere und
schnelle Auffinden des Gesuchten» zu erreichen.
Als ein solches hat sich die vorläufige Sonderung des
Einzuschaltenden bewührt, so dass um das J. 1845
der Fall vorkam, dass alle Zuwüchse der Gattung
Viola, auch die unbestimmten, in 2 Stunden beschafft
wurden. Das ist mehr als hinreichend für gelehrte
Arbeiten.
An der früheren Ordnung des allgemeinen Herba-
riumsist nur wenig geändert. Die Familien und Gat-
tungen, zuweilen auch die Arten (die gewóhnlich al-
phabetisch liegen) sind genau geordnet nach Decan-
dolle's Prodromus; die neueren genera, so wie die
übrigen noch nicht herausgegebenen Familien nach
Endlicher's genera plantarum. Ausnahmen sind die
Orchideen, deren genera alphabetisch liegen, die Grä-
ser von Trinius, die nach seiner Ordnung verblieben,
die Cyperaceen und einige andere Monocotyledonen
nach Kunth’s Synopsis. Bei den Cryptogamen sind
die besten Monographien zur Grundlage genommen.
Unrichtige Stellungen der Familien oder genera kön-
nen nicht berücksichtigt werden aus Gefahr, die ge-
suchten Pflanzen nicht sicher an ihrem einmal ange-
gebenen Orte zu finden. Das Herbarium ist und kann
nicht das Ideal oder die strenge Representation eines
natürlichen Systemes sein, und dies ist auch nicht der
Zweck desselben. Mancher würde auch seiner Mei-
nung Dieses und Jenes ändern, aber diese Änderun-
gen können nicht Jedermann bekannt sein.
Wie gross mag wohl die Anzahl der Pflanzen des
Herbariums sein? Die Beantwortung dieser Frage
wird alljährlich von der administrativen Behörde ver-
langt. Zu diesem Zwecke dienen Cataloge oder die
unmittelbare Zählung. Als das Herbarium noch nicht
so umfangreich war, konnte die Catalogisirung leich-
ter ausgeführt werden, später wurde diess bei der
grossen Masse der Zuwüchse aus Mangel an Zeit und
Arbeitskräften immer schwieriger. Ende 1840 waren
12413 bestimmte Species in Catalogen meist durch
Bongard eingetragen. Ausser dieser Zahl waren An-
fang 1842 an Compositen mit Namen 3578 Spec. vor-
handen und im Laufe desselben Jahres kamen aus dem
Herb. von Chamisso hinzu 175 Spec., also 3753,
welche Zahl bei der vom Ministerium sofort verlang-
ten Zahlangabe, als Grundlage für die Schätzung,
nämlich als ,, der bestimmten Phanerogamen, ange-
nommen wurde. Da das Eintragen der blossen Na-
men in eigene Cataloge keinem bestimmten wissen-
schaftlichen Zwecke entsprach und auch nicht jenen
administrativen Nutzen bot, den man davon hätte er-
warten können, wurde schon früher eine andere Art
von Catalogen versucht, nämlich eine der Controlle
mehr entsprechende Eintragung aller Etiquetten und
Exfmplare jeder Art, Es ergab sich im J. 1841 für
dief Algen oder eryptogamischen Wassergewüchse 839
Sppe. und 218 Abweichungen, eine Zahl die jetzt auf
1700 gestiegen ist; für die Familien des VH, 2 Ban-
de$ von Decandolle (Lobeliaceae bis Epacrideae)
820 N°. Es erwies sich aber zu bald, dass eine solche
Catalogisirung die Krüfte eines Einzelnen zu sehr
überschreitet und ohne den grössten Schaden für an-
dere viel wichtigere Arbeiten im Museum nicht fort-
gesetzt werden kann. In Folge dessen wurden bis
1845 und auch später die vorgefundenen Arten in
neueren monographischen Werken oder, wenn solche
mangelten, in Steudel’s Nomenclator angestrichen
oder eingeschrieben, also auch ein Catalog hergestellt,
der belehrender ist und durch einfache Zeichen auf
Originale, mangelhafte oder abgebbare Exemplare,
fehlende Arten oder zweifelhafte Besti schnell
hinweist. Natürlich ist auch diese Arbeit von gerin-
gem Werthe, wenn das Ordnen nicht mit Rektifizirung
der Bestimmungen verbunden ist, wozu nicht wenig
Zeit nóthig ist. Im botanischen Museum der Akademie
könnten 10 Botaniker mehrere Jahre arbeiten, ohne
alle nur rein administrativen Aufgaben zu beendigen,
geschweige denn die viel wichtigere wissenschaftliche
Bearbeitung des vorhandenen Materiales.
Nach einer beiläufigen unmittelbaren Zählung hat
das allgemeine Herbarium gegenwärtig an 45000 Sp.;
wenn aber noch verschiedene Zuwächse und separat
phaltene Sammlungen eingeschaltet wären, könnte
e Anzahl der bestimmten (benannten) Arten wohl
auf 50000 steigen. Eine Zählung von Exemplaren
re rein illusorisch, eher jene der Etiquetten aus-
führbar, natürlich nur mit grossem Zeitaufwande und
obne besonderen Nutzen.
Um sich von überflüssigen Exemplaren zu befreien,
dyeunnôthiger Weise Raum einnehmen und erst an-
rswo Nutzen stiften, werden von Zeit zu Zeit Dou-
en im Tausche abgegeben. Im J. 1840 wurde ein
lcher von Meyer revidirter Doubletten-Catalog von
40 Spec. gedruckt und an Anstalten oder bekannte
iker versendet. Auf die eingegangenen Bestel-
A lungen wurden über 10000 Ex. abgegeben. Ausserdem
Sind noch über 4000 Ex. aus der Songarei und See-
pflanzen vertheilt worden. Spüter wurden nur gele-
gentlich Sendungen ohne Auswahl gemacht. Die Ko-
|
d
d
7
sten des Transportes sind zuweilen so exorbitant, dass
Sendungen ins Ausland sehr erschwert werden.
Die Eröffnung des Museums für das grosse Publi-
cum ist unter den gegenwärtigen Verhältnissen nicht
ausführbar. Das Publicum würde durch den blossen
Anblick der Herbarien-Schränke nicht befriedigt wer-
den, und die Arbeiten für das Museum würden em-
pfindlich gestört werden, weil ein appartes Arbeits-
local fehlt.. Das Museum konnte bisher nur akademi-
schen Studien nützlich sein. Ausser den Akademikern,
die nach den Statuten vorzugsweise auf die Museen
der Akademie angewiesen sind, stand jedoch das bo-
tanische Museum stets zu Gebote allen hiesigen und
zeitweilig angereisten Fachgenossen zur Benutzung
für ihre speciellen Studien. Bei der Aufzählung der
einzelnen Sammlungen sind einige Nachweise geliefert,
welchen Antheil die hier aufbewahrten Sammlungen
an der botanischen Literatur gehabt haben, und könn-
ten diese Angaben noch leicht umständlicl geführt
werden, wenn nicht zu befürchten wäre, in bibliogra-
phische Specialitäten zu verfallen. Ebenso halte ich
mich nicht für berechtigt, die Namen der Personen
aufzuzählen, welche das Museum benutzt haben, und
blosse Zahlen sind hier nichtssagend. Seit vielen
Jahren ist der Montag für die Besucher festgestellt,
an welchem Tage der Conservator alle Hülfe beim
Aufsuchen der gewünschten Gegenstände zu leisten
hat. Zu Arbeiten stehen einige Tische zur Disposition.
Selbst neuen Gästen werden auf Recommandation Bü-
cher nach Hause anvertraut. Die Bibliothek wird
namentlich so stark in Anspruch genommen, dass
mehrmals der Fall vorkam, dass keines der besseren
Werke über Anatomie und Physiologie vorhanden
war, was zwar einerseits erfreulich, zuweilen aber
höchst störend für Andere ist. Theuere Kupferwerke
oder einzelne Bände derselben müssen im Museum
nachgesehen werden; schwer zu ersetzende Defecte
sind in Folge von Ausnahmen vorgekommen. Ebenso
kann das botanische Museum, seiner ganzen jetzigen
beschränkten Einrichtung nach, nicht als Mittel zum
Unterrichte und allgemeiner Belehrung dienen; dafür
sind die Bibliothek und die Sammlungen der Univer-
sität und der Medico - chirurgischen Akademie, die
botanischen Gärten, die k. öffentliche Bibliothek und
andere Anstalten bestimmt. Wenn ein hinreichender
Raum und Geldmittel geschafft werden könnten, so
wären allerdings mancherlei Gegenstände vorhanden,
welche zur Belehrung des Publicums zweckmässig
aufgestellt werden und so grösseren Nutzen bringen
könnten, wie diess so allgemein an dem Museum of
Eeonomic Botany im Kew Garden (London) anerkannt
wird.
Vor 25 Jahren entsprach das botanische Museum
noch nicht recht dieser Benennnng, es war bloss ein
Herbarium mit einer ziemlich armen botanischen Bi-
bliothek. Seit dieser Zeit sind jedoch alle Gelegen-
heiten benutzt worden, nicht nur die Bibliothek zu
complettiren, sondern auch andere Sammlungen, als
Herbarien zu erwerben. Den Anfang machte ein «Po-
mologisches Wachs- Cabinett», welches J. V. Sickler
in Reval der Akademie im J. 1839 zum Geschenke
machte und das als Erläuterung zu den 22 Bänden
seines pomologischen Werkes nebst Nachträgen dient.
Es sind 600 ausgezeichnete Wachsmodelle, darstellend
verschiedene Obstsorten in ihrer natürlichen Fárbung,
die bis jetzt, gegen direktes Sonnenlicht geschützt,
noch wenig gelitten haben. Um diese Sammlung und
später noch andere Schaustücke aufzustellen, wurde
der grosse Glasschrank bestellt, der 1300 R. B. ko-
stete. Dort ist auch untergebracht die schon 1821
erhaltene instruktive Sammlung von 100 Europäi-
schen Hólzern von Pinter. Verschiedene bemerkens-
werthe Gegenstände, welche mit der Zeit hinzukamen,
füllten den Raum dermaassen, dass jetzt von einer ge-
fälligen oder selbst nur hauli Aufstellung nicht
die Rede sein kann; und doch muss das Material zur
Lösung vorkommender wissenschaftlicher Fragen im
Voraus herbeigeschafft werden. Einige Wachsmodelle
von Pilzen, die daselbst aufgestellt sind, stammen von
Prof. Hoffmann aus Warschau (überschickt 1830).
Weniger fein ausgeführt sind 122 Gypsmodelle Büch-
ner’s, darstellend 64 essbare und giftige Pilze Deutsch-
lands.
Die Carpologische Sammlung, grössere Früchte
oder Samen, bildet eine ansehnliche Vervollständi-
gung des allgemeinen Herbariums. Essind gegenwärtig
3000 N’, eine Zahl, die indessen durch Einschaltung
ins Herbarium stark heruntergesetzt werden wird.
Unter den grösseren Früchten sind: Lodoicea Sechel-
larum, Xylocarpus Granatum (von Kindskopfgrösse),
verschiedene Cycadeen (Macrozamia Preissii, &, En-
cephalartus horridus 9, caffer &, Cycas circinnalis
und revoluta), Pinus Lambertiana, Proteaceenzap
Adansonia digitata und die 2te Species vom Nil
soglu), Pandanus, Nipa, Cucifera thebaica, Sagus tfe-
digera, Sloanea jamaicensis, Crescentia, Barringtoifia,
Anda, Aspidosperma, u. v. a.; Lomenta von Entqila
Gigalobium (Mimosa scandens), fast 2 Fuss lang,
men derselben aus Archangelsk und Unalaschka,
cuna aus Paramuschir (Kurilen), durch Meeresströ-
mungen aus den Tropen dahin geführt.
Einige fleischige Früchte aus der Südsee, Rio-Ja-
neiro u. a. befinden sich in Spiritus: Mangifera, Arto-
carpus, Averrhoa Carambola, Emblica grandis, Ana-
cardium occidentale, Theobroma Cacao, Inocarpus
edulis, Aleurites ambinux. Ein grosser Theil der in-
teressantesten Früchte hatte keine Etiquetten, nament-
lich jene von Mertens mitgebrachten, zu welchen die
Erklärung durch seinen so frühzeitigen Tod verloren
war. Es sind im Ganzen 122 Gläser, die indessen auch
zarte Blüthentheile, Salsolaceen-Fragmente, Cacteae
und andere der Zerstörung oder Formveränderung
leicht ausgesetzte Pflanzen (Phallus impudicus, Bala-
nophora, Nereocystis Lütkeana und Porra) enthalten.
Von trockenen Parasiten in Gläsern sind da: Hydnofa
africana und triceps, Sarcophyte sanguinea # 9,
Senftenbergia Moritziana & 9, Cytinus Hypocistis,
Boschniakia, Rafflesia Patma und Javanische Balano-
phoreae von Nees.
Quer- und Längs-Schnitte von Hólzern, roh oder
polirt, wo móglich mit Rinde, bilden die dendrologische
Sammlung, die für die Anatomie der lebenden u
fossilen Hólzer so wichtig ist. Ihre Vermehrung un
Complettirung erfolgte in den letzten Jahren so eifri
dass gegenwärtig nach dem Cataloge 900 verschie-
n,
| dene Arten vorhanden sind, von welchen indessen
einige keine wissenschaftlichen, sondern nur Volks-
namen haben. Als Norm gilt eine solche Dicke, die
das Unterbringen im Herbarium nicht mehr gestat
Es sind Suiten aus dem Caucasus, aus der Aralo-Ca]-
pischen Steppe (Salsolaceae, Tamarix, Calligonurms,
Sachalin und Japan, Mexico, Columbiei vom Amuf,
tropischen Nil u. s. w.; grosse Stücke von Zelkow
Boswellia papyrifera, Euphorbia Candelabrum, Dalber-
gia Melanoxylon, Ficus Tsjelda, Cecropia, Crescentia,
Caulotretus Lianen, Ephedra von 6 Fuss, Pandanus
von 8', ?/ dicke Sarani Stämme von Haloxylon Ammo-
deùürön, Palmen, darunter dicke Dichotomien von
rl
—
Crucifera, 11 baumartige Filices (Didymochlaena, eine
Alsophila von Bonin Sima 8 F., Cyathea Schanschin
mit Luftwurzel-Schichten, 3 F. lang, 1 F. dick), alle
Handelshölzer, die in Petersburg und Hamburg einge-
führt werden, u. v. a. Zu erwähnen wären noch Stämm-
chen von verschiedenen Gattungen der Laminariaceae,
Original-Belege zu einer meiner Abhandlungen in
den Memoiren der Akademie; ferner mannshohe Sten-
gel der Gummi-Ammoniak-Pflanze und Asa foetida,
Wurzel derselben so wie einer Ferula, deren feine
und dichte Fasern wie ein Zopf geflochten sind. Nörd-
linger’s ausgezeichnete Querschnitte von 300 Holz-
arten bilden den Uebergang zu den mikroskopischen
Praeparaten.
Von vegetabilischen Petrefacten sind an 500 Stück
vorhanden, davon werden jedoch 150 cassirt werden,
da sie ohne Fundorte und daher fast unbrauchbar sind.
Der bessere Theil besteht meistens aus verkieselten
Hölzern, worunter einige polirte. Von Abdrücken ist
nur wenig da, und wird diese Partie, als zu vielRaum
erfordernd, in der Regel ausgeschlossen, ebenso Stein-
kohlen ohne Struktur. Von fossilen Hölzern ist alles
bei Krantz et Comp. Käufliche angeschafft. Aus Theo-
phrast’s versteinertem Walde bei Kairo sind eineMenge
Stücke (Nicolia) da. Von Protopteris confluens, einem
verkieselten Baumfarn aus der Kirgisensteppe, ist
das von mir untersuchte und im Bulletin beschriebene
Stück aufbewahrt. Ein Dutzend geschliffener Plättchen
fossiler Hölzer von Schleiden und Schenk sind unter
die mikroskopischen Praeparate gerechnet.
- Auch Anfänge einer physiologischen, teratologi-
schen und pathologischen Sammlung bestehen. Es sind
diess: 1) die in Meyen’s System der Pflanzenphysiolo-
gie erwähnten und von ihm selbst überschickten Prae-
parate zur Erläuterung der Safteirculation und Holz-
bildung in Âsten; 2) die Belege zu dem von mir im
Bulletin beschriebenen Fall, an der im J. 1836 am-
putirten, noch jetzt lebenden Edeltanne in Pawlowsk;
3) ein Hirschgeweih in der Verästlung eines Baumes,
durch Beschädigung, Überwachsung mit Holzschichten
und Vernarbung der Rinde vollständig eingewachsen
(was Einige für blossen Zeitvertreib der Schäfer oder
Jäger erklärt haben); 4) ein grosses Packet getrock-
neter Pflanzenmissbildungen, von Meyer lange Jahre
hindurch gesammelt.
Die Abtheilung für Pharmakognosie und óconomi-
9
sche Botanik hat 1258 Gegenstünde, ausserdem ist
noch da eine chinesische Sammlung dieser Art von
350 N', aus Peking von Tatarinow mitgebracht und
durch einen lithogaphirten Catalog erläutert. Die Phar-
makognostische Sammlung ist 1856 auf Empfehlung
des Hrn. Prof. Phóbus angekauft und enthält 600
vegetab. Gegenstände mit Catalog, wohl alles, was bis
vor kurzem im Droguisten- Handel vorkam; sie wird
fortwährend complettirt. Von oeconomisch-techni-
schen Gegenstünden ist zu erwühnen ein Sortiment
der verschiedensten Pflanzenfasern, die zu Gespinn-
sten angewendet worden sind, und ihre stufenweise
Verarbeitung zu Geweben, meistens ein Geschenk
‘aus dem Nachlasse des Akad. Hamel. Diese Abthei-
lung ist überhaupt schwer zu begränzen und enthält
Sachen, die nicht gut unter die dendrologische (Rinden
und Wurzeln) oder carpologische (Lebensmittel, Ge-
treidesorten) Sammlung oder unter die Herbarien zu
rechnen waren.
Die mikroskopischen Praeparate sind seit 1859 von
Speerschneider geliefert, 363 Stück, zur Erláuterung
der anatomischen Struktur des Stengels, Holzes, der
Rinde, des Blattes, der Knospenbildung, der Blätter,
der Embryobildung, so wie der Cryptogamen. Sie
haben sich bisher gut erhalten. Das Museum besitzt
ein grosses Mikroskop von Nobert (für 150 Th.) mit
Probeskalen, Schrauben- und Glasmikrometer; dann
zwei kleinere Mikroskope, von Oberhäuser und Schiek;
Loupen, Object- und Deckgläser nebst anderen Re-
quisiten zu mikroskopischen Praeparaten und Unter-
suchungen.
Das Archiv des Museums verwahrt die Inventarien
und alle das Museum betreffende Notizen, Cataloge,
Acquisitionsbücher und 52 Manuscripte oder Samm-
lungen von Handzeichnungen. Diese Gegenstände dür-
fen nur vom Direktor des Museums ausgegeben und
nur auf motivirtes Ansuchen bei der Conferenz der
Akademie und mit Bewilligung derselben ausgeliehen
werden. Die ältere Hälfte der Manuscripte ist bereits
auf das Ansuchen von Trinius dem Museum übergeben
worden. Es sind da deponirt alte Handschriften, Brouil-
lons und Zeichnungen von Buxbaum, J. G. Gmelin,
Amman, Steller, Krascheninnikow, Gmelin dem jünge-
ren und Hablitzl, Sobolewski, die bereits zu Publica-
tionen getlient baben; Gerber's Flora Volgensis 17 39,
«Krascheninnikow, Cryptantherae» die ich 1844 für den
2
= MW =
inedirten, schon verloren gehaltenen V. Band von Gme-
lin’s Fl. Sibirica erkannte und für die Crypt. vasc. Ross.
benutzte; Güldenstädt’s botanische Bemerkungen auf
seiner Reise im Caucasus, zum Theil in Pallas, Fl. Ross.
excerpirt; dann die von mir erst 1845 bei der Errich-
tung des Archives entdeckte Fortsetzung von Pallas, Fl.
Ross. mit Abbildungen, noch werthvoll und unbenutzt,
aber etwas beschädigt und ‚die ersten 5 Bogen fehlend.
Ausdemg derte: M. Bieberstein’s
Manuscript der Fl. "Tauro-Caucasica und Fl. Rossica
(vielleicht nur rein compilatorisch); Adam's Beschrei-
bung von 50 Caucasischen Pflanzen vom J. 1803, in
Weber und Mohr's Beiträgen mit starken Redaktions-
ünderungen abgedruckt; verschiedene Msc. von Smie-
lovski von 1803 — 1815. Aus der neueren Zeit: Bon-
gard's Notizen und 32 Zeichnungen zu Eriocaulon,
Notizen über Mertens, Pflanzen aus Bonin Sima und
Guaham; Chamisso's Bemerkungen über Potamogeton
und Carices; Trinius, Collectanea und Excerpta über
Grüser; Bongard's und Meyer's Msc. und Zeichnungen
über brasilianische Erythroxyla, die mit der gleich-
zeitigen Monographie von Martius collidirten; inedirte
brasilianische Landschaften und Pflanzenzeichnungen
von Rugendas, Taunay und Florence (durch Langs-
dorff); Skizzen und Zeichnungen von Seepflanzen und
Landpflanzen, auf der Reise entworfen von Postels;
Rochel's Slavisches Pflanzen-Onomasticon 1840; Wos-
nessenski's Bemerkungen zu den auf seinen Reisen in
Californien und den Russischen Besitzungen am Be-
ringsmeere, Kamtschatka, Sitcha, u. a. gesammelten
Pflanzen; an 1500 Abbildungen von Pilzen, von wel-
chen indessen nur ', Originale sind, Geschenk aus
dem Nachlasse des Dr. Höfft; Wittman's Bemerkun-
gen zu seinen Taurischen, Caucasischen und Anato-
lischen Pflanzen; Ampelographia Astrachanensis auf
21 color. Tafeln (Geschenk des Akad. Vesselofski
1857), endlich Tatarinow's Abbildungen aus der Flora
von Peking, mit Analysen, ausgeführt von chinesischen
Künstlern in 450 color. Blüttern in folio.
In der Bibliothek des Museums befinden sich nur
die Werke rein botanischen Inhaltes. Werke gemisch-
ten Inhaltes, die botanischen Partien der Voyages
autour du monde, so wie die über fossile Pflanzen
stehen in der II. Abtheilung, die Werke in russischer
Sprache und die slavischen in der I. Abtheilung der
allgemeinen Bibliothek. Die Einrichtung einer bota-
nischen Bibliothek ist eine grosse Erleichterung bei
dem Studium der Pflanzen im Museum. Bis auf die
Flora Graeca und mehrere theuere Kupferwerke über
Gartenpflanzen,sind die wichtigeren botanischen Werke
so ziemlich vorhanden. Über eine frühere Zühlung
der Bibliothek vergleiche man meinen Bericht im Bulle-
tin 1840. Anfang 1862 waren 2825 Werke vorhan-
den, von welchen indessen über 800 nur Dissertationen
und Broschüren sind. Hierüber besteht ein alphabeti-
scher Zettel-Catalog, so wie ein ülterer systematischer.
Zum Schlusse eine Berechnung der bisherigen Aus-
gaben für das botanische Museum (ohne die —
thek):
Vom J. 1823 bis 1833 incl. nach Trinius 44000 R. B.
Im J. 1834 und 1835 gegen
1836 — 1844 etatmássig. ..... 70208
Von 1835 — 44 incl. Zuschuss aus den
üconomischen Summen, für Schränke,
Papier, Pappen u. S. W.. en
23496 R. S. = 82237 R. B.
Von 1845 bis 1863 incl.
GEALMASSIG . . . . . ees 19000 »
1860 Zuschuss aus den
öconomischen Summen
Gesammtauslagen. .
522 »
. 43018 R. S.
Dazu wäre noch zu on die Besoldung: ds Gen
servators und die Kosten der Bedienung und Heizung.
Zar
dnm "` dos
EX.
Das zoologische und vergleichend - anatomische Museum.
Von F. Brandt, Director dieses Museums.
— — á»oem— —
Der Nutzen von Sammlungen zoologischer Gegen-
stánde wurde bereits von Peter dem Grossen gewür-
digt, wiewohl man zu seiner Zeit dieselben gewóhn-
lich nur als Merkwürdigkeiten anstaunte und bizar-
ren, anomalen oder künstlich verzerrten Formen ganz
besondere Aufmerksamkeit schenkte, so dass dieSamm-
lungen mehr zur ergótzlichen Unterhaltung als zur
Belehrung dienten, oder die auffallenden Objecte der-
selben als góttliche Wunder angeschaut wurden.
Schon während seines ersten Aufenthaltes in Hol-
land (1698) kaufte er eine ansehnliche Zahl von Vó-
geln, Fischen und Insekten, welche anfangs nebst Miss-
geburten und anatomischen Präparaten in der Haupt-
apotheke zu Moskau unter der Aufsicht des Archia-
ters Areskine aufbewahrt wurden. Später erfolgte
die Überführung derselben nach Petersburg, wo man sie
im Bibliothekszimmer des alten Sommerpalastes auf-
stellte und ansehnlich vermehrte. Zu den wichtigsten
Bereicherungen gehörte die 1716 erfolgte Erwerbung
einer Sammlung vom bekannten Amsterdamer Apo-
theker und Naturkenner Seba und der Ankauf der
Sammlung des Danziger Naturforschers Gottwal d. Im
folgenden Jahre acquirirte der grosse Kaiser das Na-
turaliencabinet des gefeierten holländischen Anato-
men Ruysch. Es fanden sich darin nicht bloss zahl-
reiche, ausgezeichnete anatomische Präparate, nament-
lich die zu jener Zeit so berühmten, von ihm ange-
fertigten Injectionen, dann die damals reichste Samm-
lung menschlicher Embryonen (110) nebst einem nam-
haften Herbarium, sondern auch mehrere Tausende
von zoologischen Gegenständen aus den verschieden-
sten Thierklassen. Im Jahre 1727 wurde die Natu-
raliensammlung des Archiaters Areskine den Kaiser-
lichen Sammlungen einverleibt. Der Umstand, dass
der Aufseher der Sammlungen (Areskine) sich lebhaft
für zoologische Gegenstände interessirte, lässt ver-
muthen, dass er auf die Erweiterung der Kaiserlichen
Sammlungen einen nicht unbedeutenden Einfluss aus-
geübt habe. Areskine’s Sammlung enthielt vorzugs-
weise Conchylien und Mineralien, ausserdem aber
noch eine Anzahl von Gemälden, die Insekten und
Pflanzen auf Pergament darstellen und von der be-
rühmten Marie Sybille Merian angefertigt waren; eine
Sammlung, welche die Akademie 1735 durch Ankauf
noch um dreissig Stück vergrösserte,
Bis zum Jahre 1728 waren die genannten zoolo-
gischen Sammlungen als eine Art Hof-Naturalien-
Cabinet zu betrachten. Das genannte Jahr ünderte in-
dessen diesen Standpunct; denn sie wurden im Ver-
laufe desselben nebst der Bibliothek in dàs für die
Akademie der Wissenschaften erbaute Gebäude über-
geführt, kamen also unterihr Ressort. Gegen Ende des
Jahres 1729 lieferte die damalig inische Kanzelei
an das neue Akademische Museum die reiche Samm-
lung von Naturalien ab, welche Messerschmidt in
Sibirien zusammengebracht hatte. Im Jahr 1741
erhielt es die zoologische Ausbeute der von Gme-
lin in Sibirien und Steller in Sibirien und Kam-
tschatka gemachten Reisen nebst einer Sammlung von
Vögeln der Umgegend Petersburgs. Der 1742 unter
dem Namen Museum Petropolitanum Pars I heraus-
gegebene, nach Bacmeister theils von Steller (offen-
bar vor seiner Reise), theils von Gmelin verfasste
Catalog der damaligen zoologischen Sammlung der
Akademie führt 212 Säugethiere, 755 Vógel, 900
Amphibien, 470 Fische, 218 Krebse und andere See-
thiere, so wie einige Tausend Insekten als damalige
Bestandtheile derselben auf.
Leider sollte aber das so schón begonnene Werk
3*
namhafte Verluste erleiden. Ein am 5ten December
1747 ausgebrochener Brand, der namentlich den Theil
des Gebäudes ergriff, worin die Sammlungen aufbe-
wahrt wurden, zerstörte einen grossen Theil derselben.
Alle Gegenstände, die in der Galerie und im zweiten
ge
Stockwerk standen, wurden ein Raub der Flammen
oder erlitten bedeutende Beschädigungen. Unter andern
ging dabei ein riesiges, aus Archangel gesandtes Wal-
fischskelet grösstentheils verloren. In Folge des Zer-
brechens vieler Gläser und des dadurch herbeigeführ-
ten Verlustes der Etiquetten entstanden überdies grosse
Verwirrungen in Bezug auf den Ursprung der Ob-
jecte; ein Übelstand der sich, namentlich im Be-
treff der von Seba stammenden Exemplare, noch jetzt
fühlbar macht.
Die geretteten, zum Theil vom morastigen, das Aka-
demische Gebäude damals umgebenden Platze aufge-
sammelten Gegenstände brachte man einstweilen im
zweiten Stockwerke des Demidoff'schen Hauses nach
bester Möglichkeit unter. Noch in diesem Local er-
hielt das Museum durch die vom König von Däne-
mark gemachte Schenkung der Regenfuss’schen Con-
chyliensammlung, durch Ankäufe aus der Seba’schen
Auction, durch eine Sammlung indischer Vögel, welche
(1761) ein Amsterdamer Correspondent der Akade-
mie zum Geschenk machte, so wie durch eine von
der Kaiserin Katharina (1763) geschenkte, aus 700
Stücken bestehende, von einem Obristen Dahlbom
aus Surinam mitgebrachte Thiersammlung namhafte
Bereicherungen. T
Im Jahre 1766 wurde nach Bacmeister die auf
die angegebene Weise wieder vervollständigte zoolo-
gische Sammlung in das neue Gebäude (d. h. die frü-
here Kunstkammer, die jetzige Bibliothek) überge-
führt und gewann durch die Ausbeute, welche die im
Verlaufe der Jahre 1769 bis 1774 von Pallas, S. G.
Gmelin, Güldenstádt, Lepechin und Falk in den
verschiedensten Theilen des Russischen Reiches unter-
nommenen, weltberühmten Reisen geliefert hatten,
einen grossartigen Zuwachs.
Nach Bacmeister (S. 112 ff) betrug im Jahre
1777 die Zahl der im zoologischen Cabinet vorhan-
denen Säugethiere 469, der Vögel 1200, der Am-
phibien 886, der Fische 353, der Insekten und See-
thiere in Weingeist oder im trockenen Zustande meh-
rere Tausend. Ausserdem sah man darin zahlrei-
che Reste des Mamont, des fossilen Nashorns mit der
knóchernen Nasenscheidewand und einiger Arten fos-
siler Rinder. Die Sammlungen konnten also für jene
Zeit zu den reichern Europa's gezühlt werden, ob-
gleich sie nach dem Brande ihres frühern Locals an
Amphibien und Fischen ärmer erschienen.
Die Sammlungen der Sáugethiere, Vógel und Ko-
rallenstücke waren. damals in einem grossen Saale
des zweiten Stockwerkes des oben erwähnten Gebäu-
des aufgestellt. Die Säugethiere und Vögel boten
viele seltene, exotische, namentlieh aber so manche
noch nirgends vorhandene, neue, russische Arten, von
denen Pallas mehrere in seinen Spicilegien beschrieb.
Im dritten Zimmer (Saale) des untern Stockwerkes
desselben Gebäudes erblickte man ausser der, nebst ei-
ner Sammlung von hli g ; in acht-
zehn Schränken aufbewahrten Ruysch’schen anato-
mischen Sammlung, sechs Schränke mit Amphibien,
zwei mit Fischen und fünf mit Gliederthieren und
Würmern (im Sinne Linné’s) in Weingeist. Die Decke
des Saales war mit ausgestopften oder ausgebreiteten
Häuten von Amphibien und Fischen, so wie mit Hör-
nern geziert. Die Pfeiler boten theils getrocknete
Amphibien, Fische, Krebse, Seesterne und Seeigel,
AT: d.
theils zu mannigfachen Figuren gruppirte Insekten in
Glasküsten. Die Aufstellung der Gegenstünde im ge-
nannten Saale erinnerte also noch an die Spielereien
der Curiositäten-Cabinete der frühern Zeit. `
Der am 22sten December 1766 zum Akademiker
gewählte, berühmte Peter Simon Pallas war wohl
von 1767 an bis zu seinem Abgange nach der Krym
(1796) Oberaufseher der zoologischen Sammlungen.
Als solcher wird er zwar in den Acten der Akademie
nicht direct erwähnt; jedoch bezeichnet ihn der Bio-
graph Jócher als Inspector des zoologischen Museums.
Auch deuten zwei andere Umstände darauf hin, dass
er diesen Posten, wenigstens zur Zeit seines jedesma-
ligen Aufenthaltes in Petersburg, wirklich bekleidete.
Bacmeister (S. 129 — 30) sagt nämlich, der Aka-
demiker Pallas habe sich mit der Anfertigung eines
neuen Cataloges der Akademischen Sammlungen be-
scháftigt. Noch deutlicher dürfte aber für sein Direc-
torat sprechen, dass er im Jahre 1794 der Akademie
berichtete, eine beträchtliche Zahl naturhistorischer
Objecte als Ausbeute der Billings’schen Expedition
sei an das Museum abgeliefert worden. ^ ^^ o
Nach Pallas’szwei Jahre später erfolgtem Abgange
ging die Aufsicht über die zoologischen Sammlungen
auf die Akademiker Oseretskowski und Sewastia-
now über, welche bis zum Jahre 1823, also sieben
DK ` o
und zwanzig Jahre, dauerte. Als neue, unter ihrem
Directorat gemachte Erwerbungen sind zu nennen:
eine Sammlung von Conchylien von Laxmann, eine
Eiersammlung von Waxel, eine Sammlung von Vier-
füssern, Vögeln und Muscheln von Paykull, eine
Sammlung von Fischen aus Lissabon von Langs-
dorff, eine Insektensammlung von Göbelt, eine Samm-
lung von Vögeln von Meyer in Offenbach, eine Thier-
sammlung von Cetti, eine Vögelsammlung von Che-
valier, mehrere Gegenstände von Adams, eine In-
sektensammlung von Redowski und eine andere von
Cederhielm, sowie endlich eine Sammlung von Fi-
schen, Schlangen, Insekten u. s. w., welche Tilesius
von seiner Reise um die Erde mitgebracht hatte.
Ausgestopfte zoologische Gegenstände, namentlich
Säugethiere und Vögel, ebenso wie Insekten, die öf-
ter dem Licht ausgesetzt werden, erhalten sich, selbst
wenn sie gegen Insektenfrass durch Vergiftung ihrer |
Bälge, so wie gegen zu starken Lichteinfluss und
Feuchtigkeit gehörig geschützt sind, höchstens 30 —
40, schon selten 50 Jahre in gutem Zustande. Man-
che Arten verbleichen sogar noch weit eher. Es
mussten also schon bald nach dem Jahre 1777 (zu
welcher Zeit sich das reiche Museum der Akademie
nach Bacmeister in trefflichem Zustande befand)
bis zum Jahre 1831, also im Verlaufe von mehr als
einem halben Jahrhundert, die länger als dreissig bis
vierzig Jahrein der Sammlung befindlichen ausgestopf-
ten Vogel und Säugethiere unbrauchbar werden. Ein
soleher Zustand musste in frühern Zeiten um so schnel-
ler eintreten, da man sich damals auf die Conserva-
Isle weniger verstand und auch das Local
der Sammlung kein ganz geeignetes war. Wir finden
been in den Protokollen der Akademie mehrere Be-
—— s, worin von gänzlich zu Grun-
gegangen itis iginchen Gegenstünden der Samm-
së dini Akademie die Rede ist. Namentlich stattete
er den 4ten April 1802 einen eingehenden Bericht
über die Verwüstungen ab, welche das feuchte Local
im Verein mit den. Tnsekitéin: im Naturaliencabinet,
lichen Originale der von Pallas aufgestellten Säu-
gethier- und Vögelarten gleichfalls zu Grunde rich-
tete.
Die vielen Kriege, welche mit dem Ende des vo-
rigen Jahrhunderts begannen und mit ihren Nach-
wehen länger als bis 1815 dauerten, so wie gewisse
in jene Zeit fallende Zustände der Alidemie; waren
wohl die Ursache, dass man weder an die Ausführung
solcher wissenschaftlicher Reisen, wie die der sech-
ziger und siebziger Jahre des vorigen Jahrhunderts,
ernstlich denken konnte, noch zu Erwerbungen durch
grossartige Ankäufe oder Absendung von Naturfor-
schern griff um den Verfall des Museums durch neue
Erwerbungen oder abgesandte Sammler zu verhindern.
Einigen Ersatz lieferten inzwischen die zahlreichen
Gegenstände, welche der Kaiserlich-Russische Gene-
ralconsul in Brasilien von 1808 bis 1831 (zugleich
Akademiker von Langsdorff, zum Theil als Er-
gebnisse seiner auf Kosten der Russischen Regierung
in Brasilien angestellten Reisen eingesandt hatte. Lei-
der wurden aber die diesen Sendungen für die Samm-
lungen entnommenen Gegenstände, weil es an einem
geschickten Präparanten fehlte, sehr schlecht aufge-
stellt. Der im Jahre 1823 in die Akademie einge-
tretene, berühmte Paläontologe Ch. Pander bemühte
sich theils selbst, theils veranlasste er seinen Gehül-
fen Ménétriés') die Sammlungen besser zu bestim-
men und aufzustellen, wozu ein neuer Saal, der óstli-
che des zweiten Stockwerkes der frühern Kunstkam-
mer, zur Aufnahme der Spirituosen und Conchylien
eingeräumt wurde. Die Sammlungen erhielten inzwi-
schen auch durch Ankauf der Hummel'schen Insek-
tensammlung, durch Erwerbung einer Sammlung von
Insekten und Vógeln aus Hamburg und eine Anzahl
von Siewald und Küber geschenkter Gegenstünde
einen nicht zu verachtenden Zuwachs. Auch gewann
das Museum durch die Übernahme der zoologischen
Gegenstände der Sammlung der Admiralitit manche
interessante Stücke. Die Thätigkeit der genannten
Herren wurde indessen — sien den ze
vorzugsweise auch unter
angerichtet habe, indem er gleichzeitig wafi einen noth
wendigen Ersatz derselben hinwies. Es darf demnach
die Naturforscher nicht Wunder nehmen (wie dies
wohl hie und da geschah), wenn der Zahn der Zeit
die früher in den Sammlungen der Akademie befind-
1) Ménétriès war ein Zögling des Pariser Jardin des Plantes.
Er begleitete Langsdorff auf mehrern seiner Reisen in Brasilien
und wurde auf dessen Empfehlung im Jahre 1821 beim "Museum der
Akademie angestellt, an dem er bis 1861, dem Jahre seines Todes,
als Conservator der eutomologischen Abtheilung thätig war. Siehe
seine Biographie in den Horae etatis etatis Entomologicae Rossicae,
fasciculus secundus. Petropoli 1863. 8. p. 1.
Pander’s aus der Akademie (1827), andererseits da-
durch unterbrochen, dass Ménétriès der zur Unter-
suchung des Caucasus bestimmten Expedition wäh-
rend der Jahre 1829 bis 1830 als Zoolog beigegeben
wurde. Hr. von Baer, der im Jahre 1830 als Akade-
miker für das Fach der Zoologie und als Director des
zoologischen Museums eintrat, lenkte wiederholent-
lich die Aufmerksamkeit der Akademie auf die gewal-
tig herabgekommenen zoologischen Sammlungen und
machte Vorschläge, wie denselben eine der höch-
sten wissenschaftlichen Anstalt Russlands würdige
Gestalt gegeben werden könne. Auch wurde auf seine
Vorstellung ein ausgezeichneter Präparant, Hr.Schra-
der, welcher gegenwärtig am Museum zu Bremen an-
gestellt ist, aus Deutschland verschrieben. Als neue
Erwerbungen dieses Jahres sind der Ankauf einer
besonders aus Conchylien bestehenden Sammlung von
Kastalski, die Acquisition einer Antilope picta und
eines jungen Wallrosses, sowie einer Insektensamm-
lung von Turczaninow aus Irkutsk zu erwähnen.
Herr von Baer verliess aber noch in demselben
Jahre die Akademie wieder, um seine frühere Stelle
in Königsberg noch auf einige Jahre zu übernehmen
und dann später (1833) abermals in die Akademie ein-
zutreten. Die Akademie wählte nach seinem Abgange
(1830) auf Hrn. v. Humboldt's, Rudolphi's und v.
Baer's Empfehlung den Verfasser dieses Berichtes
zum Zoologen und übergab ihm nach seiner Ankunft
aus Berlin, im August des Jahres 1831, die Aufsicht
über die damals in der sogenannten Kunstkammer
(dem jetzigen Bibliothekgebäude) befindlichen zoologi-
schen Gegenstände. Dieselben waren zu jener Zeit in
fünf, theilweis ganz getrennten Rüumen, namentlich
in zwei Sälen und einem runden Zimmer des mittle-
ren Stockwerkes, und in einem Saale, dem westlichen,
und einer Rotunde des unteren Stockwerkes unterge-
bracht. Der nach Westen gelegene Saal des mittleren
Stockwerkes enthielt die ausgestopften Säugethiere
und Vögel nebst dem Mamont, einem ausgestopften
asiatischen Elephanten und dem Skelet desselben. Im
zweiten, östlichen Saale waren die Amphibien, Fische,
Glieder- und Weichthiere in Weingeist, nebst der in
der Mitte des Saales befindlichen Conchyliensammlung
aufgestellt. In der zwischen den beiden eben erwähn-
ten Sälen befindlichen Rotunde sah man Wasservögel
und einzelne grössere Säugethiere im Verein mit eth-
nographischen und verschiedenen Gegenständen des
menschlichen Kunstfleisses. In der Rotunde des unteren
Stockwerkes befanden sich in Wandschränken die Ko-
rallenstöcke und Seeschwämme, während die Mitte
des Zimmers ethnographische Gegenstände und ein
Planetarium einnahmen. Der nach Westen gelegene,
hauptsächlich von menschlich - anatomischen Präpa-
raten und Missbildungen eingenommene, gewölbte,
mit Pfeilern versehene Saal des unteren Stockwerkes
enthielt noch an der ganzen gewölbten Decke und
seinen Pfeilern die oben geschilderten, durch ausge-
stopfte oder getrocknete Thiere oder ausgebreitete
Häute derselben hervorgebrachten, an die ältesten
Raritätenkabinete erinnernden Verzierungen. In oder
theilweis auf zwei der Newa zugekehrten, zwischen
je zwei Pfeilern befindlichen Schränken des genann-
ten Saales lagen Reste vom Mamont, Hörner und
Schädel nebst Kopf und zwei Füssen des ausgestor-
benen Nashorns mit der knóchernen Nasenscheide-
wand und Schädel dreier fossiler Rinder. Auf dem west-
lichsten der Schränke entdeckte ich, fast völlig in Staub
gehüllt, einen in seiner Art einzigen Überrest, die bis
dahin ganz unbeachtet gebliebene, hornige Gaumen-
platte der von Menschenhand vertilgten, riesenhaften
Steller'schen Seekuh.
Dass die so vertheilten, in Bezug auf ausgestopfte
Säugethiere und Vögel gänzlich verkommenen, zoolo-
gischen Gegenstände keine den wissenschaftlichen
Fortschritten der Zeit, dem Standpunkte anderer Mu-
seen Europa’s und der Ehre der Akademie entspre-
chende Sammlung bildeten, war daher von Sachken-
nern, welche dieselben sahen und einen Vergleich
mit denen des Auslandes anstellen konnten (Hr. von
Humboldt und Ehrenberg, 1829), bereits nicht
ohne Grund bemerkt und, wie oben erwähnt, von Hrn.
v. Baer in mehreren Eingaben mit vellem Rechte ge-
rügt worden. Die Akademie hatte daher auch bereits
beschlossen die zoologischen Sammlungen in ein neues,
geeignetes Local überzuführen. Als ein solches wurde
ein Theil der oberen Etage des dem Börsenplatz zu-
gekehrten, neuen, auf Kosten des Finanzministeriums
unter Canerin erbauten Gebäudes ausersehen, und
mir mit Bewilligung des derzeitigen Prüsidenten der
Akademie (Hrn, y. Uwarow) für das neu zu bil-
dende zoologische Museum wenige Wochen nach mei-
ner Ankunft übergeben, Es war dies Local kein an-
s 5 e
deres als die mit N°1, 2, 3, 4, 5 und 6 bezeichneten
Räume des gegenwärtigen zoologischen Museums
nebst drei hinteren Zimmern für das Laboratorium.
Im Jahre 1834 erhielt das Museum einen neuen Zu-
wachs an Räumen, die bis dahin von Akademikern be-
wohnt worden waren. Es waren dies N°7 — 13 seines
gegenwürtigen Locals, nebst sechs hinteren, daran stos-
senden, niedrigen Zimmern. Zwei davon wurden zum
zoologischen Laboratorium eingerichtet, dessen frü-
heres Local dem botanischen Museum zu Theil wurde,
worin dasselbe noch gegenwärtig sich befindet. Die
vier anderen Zimmer wurden dagegen zur Aufnahme
der entomologischen Sammlung und zoologischen Bi-
bliothek, so wie für die wissenschaftlichen Arbeiten be-
stimmt. Die eben geschilderte Vertheilung der Räum-
liehkeiten des zoologischen Museums hat sich bis auf
den heutigen Tag erhalten.
Bei näherer Prüfung der in das neue Local über-
zuführenden Gegenstände ergab sich, dass die aus-
gestopften Säugethiere und Vögel theils durch Ein-
fluss des Lichtes, des Insektenfrasses und der Feuch-
tigkeit des Locales verdorben, theils so schlecht ge-
arbeitet waren, dass sie neben den bereits vorhandenen,
ausgezeichneten Präparationen Schrader’s in einer
den neueren Fortschritten gemäss einzurichtenden
zoologischen Sammlung durchaus keinen Platz finden
konnten. Es wurde daher aus der Zahl der ausge-
stopften Säugethiere und Vögel ein überaus geringer
Theil, kaum funfzig, noch in besserem Zustande be-
findliche Seltenheiten, nach gänzlicher, mühevoller
Umarbeitung, in dieselbe aufgenommen. Die seltene-
ren Stücke, welche sich nicht umarbeiten liessen,
wurden an einem besonderen Orte aufbewahrt, um
noch als Vergleichsmaterial bei wissenschaftlichen
Arbeiten zu dienen. Die gänzlich unbrauchbaren, ge-
wöhnlichere Arten repräsentirenden Exemplare wur-
den dagegen, nachdem man aus ihnen die Schädel
oder Gebisse herausgenommen, weggeworfen. Von
solchen Stücken, welche den Schriften von Pallas,
Güldenstaedt, Lepechin und Anderen zu Grunde
lagen, fanden sich unter den alten ausgestopften Ob-
jecten nur einige passé — "Denfiuere —
Dienoch eini óhnlich
Arten angehórigen Doubletten von Vögeln wurden an
die hiesige Universität und das damalige pädagogische
Haupt-Institut geschickt, wo sie nach Maassgabe des
geringen Umfanges der Sammlungen dieser Anstalten,
noch einige Dienste für den Unterricht leisten konn-
ten. Nur eine schöne, jedoch mehr an Individuen als an
Arten reiche Sammtung von Korallenstócken, eine an
Artenzahl sehr mässige Conchyliensammlung nebst eini-
gen Amphibien, Fischen, Krebsen und Echinodermen
in trockenem Zustande, dann eine keineswegs sehr
artenreiche, fast nur ganz verblichene Exemplare ent-
haltende Sammlung von Amphibien, Fischen und wir-
bellosen Thieren wurden der neu zu organisirenden
Sammlung einverleibt, zum grossen Theil nur um die
Räume des neuen Locales zu füllen und später durch
andere ersetzt zu werden, was um so nóthiger erschien,
da bei einem sehr grossen Theile derselben das Vater-
land und ihr Ursprung nicht angegeben waren. Die
Reste der ausgestorbenen Thiere bildeten inzwischen
ein für die neue Sammlung sehr beachtenswerthes
Material, da unter ihnen sich noch alle Originale zu
den Arbeiten von Pallas etc., jedoch nicht ohne be-
sondere Studien, auffinden liessen. Bei der Überfüh-
rung machte der riesige, trefflich prüparirte, asiatische
Elephant ganz besondere Schwierigkeiten. Im alten
sowohl als im neuen Local mussten seinetwegen Wünde
durchbrochen und eigene Gerüste erbaut werden.
Bei der Masse von zeitraubenden Arbeiten, welche
namentlich die móglichst schnelle Herstellung einer
ganz neuen Sammlung ausgestopfter Thiere in Aus-
sicht stellte, konnte ein einziger Präparant, dem noch
andere, auf die Verwaltung des Museums bezügliche
Geschäfte übertragen werden mussten, keineswegs
genügen. Es wurden daher Hrn. Schrader sechs
junge Leute beigegeben, um sie in der Kunst der re-
gelrechten Präparation und Aufbewahrung zoologi-
scher Gegenstände zu unterrichten und so nicht bloss
geschickte Prüparanten für das Museum der Akade-
mie, sondern auch für andere Sammlungen des Rei-
ches zu bilden; ein Zweck, der im Laufe der Jahre
auch erreicht wurde. Noch gegenwürtig fungiren zwei
Eleven Schrader’s am Museum. Der eine, Ilja Wos-
nessenski, vertritt als Conservator Schrader's Stelle
am Laboratorium, ein anderer Pamphil Iwanow,
ist Prüparant an demselben. Einer wurde an das Mos-
kauer, ein zweiter an das Dorpater Museum und ein
dritter an das der hiesigen medicinischen Akademie
abgegeben. `
Aus dem in das neue Local übergeführten Material
e dE a
hätte sich nicht so nobnelis; wie diea geschah, eine den
Forderungen der Neuzeit lung her-
stellen lassen, wenn nicht, atur den bereits erwähn-
ten, eg? wiederholten Sendungen von Langs-
dorff, noch die von Mertens, Kittlitz und Isen-
beck auf der gewinnreichen Lütke’schen Weltumsege-
lung gemachten Acquisitionen, dann eine Sendung von
zoologischen Gegenständen aus Haiti und die von
Ménétriès in den caucasischen Provinzen gemach-
ten Sammlungen dem Museum viele Materialien zu-
geführt hätten, die in den Vorrathskammern des Mu-
seums sich befanden. Dazu kam eine von Ménétriès
begonnene Sammlung von etwa 3000 Arten Insekten,
die derselbe theils aus der früheren Hummel’schen
Sammlung, theils aus noch brauchbaren Exemplaren des
akademischen Museums, theils von ihm aus Brasi-
lien mitgebrachten Objecten und durch Tausch gebil-
det hatte. Der auf meinen Vorschlag gemachte An-
kauf mehrerer Hundert, meist exotischer, Vögelarten
aus Paris, so wie der Eintausch einer namhaften Zah]
westeuropäischer Thiere vom bairischen Naturforscher
Michahelles, welche letztere der Sammlung ganz fehl-
ten, vermehrten diese Materialien. Zur Vervollstän-
digung der Fauna Russlands eröffnete ich Correspon-
denzen mit Dr. Gebler in Barnaul, dem Pastor Ho-
henacker in Helenendorf bei Tiflis und mit dem da-
maligen Verwalter der russisch-amerikanischen Colo-
nien, dem jetzigen Hrn. Admiral v. Wrangell. Das
Museum wurde dadurch nicht allein wesentlich ver-
vollständigt, sondern auch in den Stand gesetzt, ge-
suchte Tensehotgecia zu erhalten. Anese dew durch
Mansch
Zuwachs, cewanndi }
durch jährliche, mässige Ankäufe, Die Ankäufe wäh-
rend der ersten fünf Jahre des Bestehens des neuen
Museums waren aber keineswegs durch Fixirung einer
bestimmten alljährlichen Etatsumme geregelt, son-
dern mussten aus den ókonomischen Summen der Aka-
demie bestritten werden. Erst im Jahre 1836 wurde
durch ein neues, noch bis jetzt gültiges Reglement
der Akademie dem zoologischen und zootomischen
Museum und dem damit verbundenen Laboratorium
eine fixe, alljährliche Etatsumme angewiesen und zwei
Conservatorenstellen errichtet, von denen die eine
Hrn. Ménétriés, die andere Hrn. Schrader zu Theil
wurde. Hr. Ménétriés erhielt die Leitung der en-
tomologischen Abtheilung, Hr. Schrader aber die
des Laboratoriums, während die Sorge für alle übri-
gen Abtheilungen mir allein anheimfiel. Die dem zoo-
logisch - zootomischen Museum durch das Reglement
zum Ankauf von Objecten und gleichzeitig für die
Arbeiten der Akademiker angewiesene Summe betrug
4000 Rubel Banco (1142 Rubel 85 Kopeken Silber),
die des Laboratoriums, das aber gleichzeitig die Gehalte
der Prüparanten zu bestreiten hatte, 3000 Rubl. Banco
(857 Rubel 10 Kopeken Silber) Die geringen Sum-
men finden darin ihre Erklürung, dass im $ 100 und
S. 71 unter N° VII und VIII des akademischen Re-
glements die Museen ausdrücklich den Anstalten der
Akademie zugezählt wurden. Man kann sie also nicht
in dieselbe Kategorie mit dem British Museum, dem
Jardin des Plantes, sowie dem Leydener und Wiener
Museum stellen, welche Sammlungen sämmtlich als
selbstständige Staats-Anstalten in weiterem Sinne des
Wortes, über weit bedeutendere Fonds und Arbeits-
kräfte zu verfügen haben. Unbillig, ja ongerecht
würe es daher, wenn man in der Gegenwart an unsere
Sammlungen dieselben Ansprüche wie an "el machen
wollte.
Um das Museum in einem Zeitraume von 33 Jah-
ren den gróssten Sammlungen Europa's anzureihen,
waren übrigens die genannten, nur selten durch Zu-
schüsse vermehrten Etatsummen völlig ungenügend.
Nicht ‚ganz hesonders aber
mehrere in sehr verschiedenen Ländergebieten Russ-
lands gemachte wissenschaftliche Reisen , vermehrten
allerdings die Zahl der Thierarten ee bedeutend
und verschafften selbst eine Menge von Gegenstän-
den zum Austausch. Aber auch diese Mittel hätten
noch nicht ganz zum erreichten Ziele geführt, wenn
nicht der Director einen zeitraubenden Tauschverkehr
mit ausländischen Sammlungen unterhalten und aus
dem Innern Russland’s die Tauschgegenstände noch
vermehrt hätte. Der Tauschverkehr verdoppelte nicht
nur die Mittel zu Acquisitionen, sondern verschaffte
dem Museum sehr viele Gegenstände, die durch Geld
sich gar nicht erwerben liessen..
An Geschenken erhielt das Museum mehrere werth-
volle von Ihren Kaiserlichen Majestäten Nicolai und
Alexander und Sr. Kaiserlichen Hoheit dem Gross-
fürsten Nikolai, Se. Kaiser). Hoheit der verstorbene
Herzog von Leuchtenberg schenkte dem Museum
eine besonders aus Fischen bestehende, sehr ansehn-
se, ZER um
liche Sammlung von Produkten der Insel Madeira.
Hrn. Dr. A. Krohn, dem berühmten vergleichenden
Anatomen, verdanken wir eine herrliche Sammlung
von Produkten des Mittelmeeres, denen sich mehrere
interessante Gegenstände von Hrn. Prof. Verany aus
Nizza anschliessen. Hr. v. Demidow und Hr. Prof.
Rathke schenkten Sammlungen von Thieren der Halb-
insel Taurien, namentlich aus dem schwarzen Meere,
welche durch manche Gegenstände von Steven und
von Nordmann vermehrt wurden. Dem Hrn. v. Mo-
tschulski verdanken wir mehrere südrussische Ob-
jecte. Hr. Gouverneur Dr. v. Stubendorff berei-
cherte uns mit Gegenständen aus Jakutsk. Hrn. Ad-
miral v. Wrangell sind wir für mehrere Sendungen
aus den Russisch- Amerikanischen Colonien verpflich-
tet, von woher auch die Russisch- Amerikanische Com-
pagnie, die Hrn. Admirale Kuprianow und Etholin,
ferner die Hrn. Middendorff jun. und Dr. Behse
uns viele werthvolle Stücke zukommen liessen. Der
verstorbene Flottenarzt Dr. Fischer schenkte dem
Museum die von ihm auf einer Weltumsegelung ge-
sammelten, zahlreichen Gegenstände. Auch erhielten
wir mehrere Gegenstünde von zwei anderen Flotten-
ärzten, Dr. Peters und Thraemer. Der bekannte
französische Arzt Dr. Clot-Bey, ein Kaufmann Awe-
row, und Hr. Bokty bereicherten das Museum von
Aegypten aus mit Produkten Nord-Afrikas und des
rothen Meeres. Auch Hr. General-Consul v. Medem
und Consul Fock in Alexandrien machten einige
werthvolle Geschenke. Aus Algerien erhielten wir
durch Hrn. Dr. Al. Strauch eine namhafte Zahl von
Objecten, die Dr. Guyon in Paris und Hr. v. Solski
um mehrere vermehrten. Unser bekannter Literat Dr.
Dahl und Hr. Gouverneur Perowski machten mehr-
malige Sendungen von Produkten aus Orenburg und
den Ural- und Kirgisensteppen. Von eben daher und
dem Ostufer des caspischen Meeres brachte Karelin
sehr interessante Gegenstände. Aus den Kirgisenstep-
pen, vom Tschui und der Bucharei lieferten Hr. Alex.
Schrenck, Lehmann und Professor Eversmann
ausgezeichnete Gegenstünde. Eine namhafte Sendung
von Thierbälgen aus den Wolgasteppen, besonders der
Umgegend Sarepta's erhielten wir von Hrn. Glitsch
in Sarepta. Der Hr. Director Moritz in Tiflis, Hr.
Dr. Buhse in Riga und Hr. Woskoboinikow theilten
sehr interessante persische und caucasische Gegen-
stánde mit, denen sich Objecte vom Hrn. Akademiker
Brosset, dem Hrn. General Bartholomaei und Dr.
Fleischer anschlossen, ebenso eine Anzahl persischer
Amphibien vom Hrn. Grafen E. v. Keyserling. Dem
Hrn. General Murawiew und Sahlberg verdanken
wir einige ostsibirische, und den Hrn. Gerstfeldt,
Dr. Wulfius und Mag. F. Schmidt namhafte amuri-
sche Objecte. Dem Hrn. Flügeladjutanten Birilew,
dem Hrn. Dr. Albrecht, früher Arzt in Hakodade,
dem Hrn. Consul Goschkewitsch daselbst, sowie
Hrn. Maximo wiez sind wir für sehr zahlreiche Ob-
jecte aus Japan verbunden. Aus Nord-China (Peking)
erhielten wir durch Prof. Bunge und das Asiatische
Departement werthvolle Objecte. Aus Süd-China(Amoy
"und Formosa) sandte Hr. S winhoe eine beträchtliche
Zahl von Vógeln. — Hr. W. Bóhtlingk, Hr. Bystrow
in Mesen und Popow bereicherten das Museum durch
Sendungen aus dem nórdlichen europäischen Russland.
— Hr. Graf Al. v. Keyserling theilte mehrere interes-
sante, auf seinen Reisen in Russland gesammelte Ge-
genstände mit. Der verstorbene Regimentsarzt Dr.
Hóffner bereicherte das Museum durch eine bedeu-
tende Zahl von Vögeln der Umgegend Petersburgs,
die Hr. General Panjutin um mehrere Stücke ver-
mehrte. Der frühere Director des Kaiserlichen bota-
nischen Gartens, Dr. Fischer, schenkte gleichfalls
mehrere Thiere. — Hr. v. Baer übergab eine Sammlung
von Fischen des Peipussees.—Hr. v. Balabin schenkte
dem Museum eine Anzahl Vógel nebst einem grossen
Walfischskelet, Hr. Dr. F elder in Wien gleichfalls eine
Anzahl interessanter Vögel, und Hr. Mag. Blessig
zahlreiche neuhollündische Insekten. — Dem Hrn. Dr.
Rauch in Petersburg verdankt das Museum mehrere
willkommene Thiere. Hr. Dr. Markus schenkte ein
prachtvolles Párchen des Condor. Die Hrn. Fixsen
und Sievers, von denen letzterer sich auch sonst um
die entomologische Sammlung verdient machte, ver-
mehrten die Sammlung Petersburger Schmetterlinge.
Die Moskauer Naturforschende Gesellschaft sandte
eine Sammlung von Karelin erbeuteter Insecten. Hr.
Capit. Butakow theilte dem Museum mehrere interes-
sante Objecte von seiner Reise um die Erde mit. Aus
dem Kaiserlichen botanischen Garten erhielten wir
durch Hrn. von Küster einige Bälge capischer, für
das Museum neuer Thiere. Interessante Süsswasser-
muscheln Nordamerikas verdanken wir Mad. Say und
3
Be ; se
Hrn. Lea. Zu den Personen, welche die Sammlungen
durch mehr oder weniger werthvolle Geschenke be-
reicherten, sind ferner zu zählen: Hr. Akademiker
Hamel und sein Neffe, Hr. Kaufmann Hamel, Hr.
Prof. Hooker in Glasgow, Hr. Prof. Czernay in
Charkow, Hr. Taraczkow, Hr. Oberst Kuprianow,
Hr. v. Tehichatchew, Hr. Admiral Riecord, Hr.
v. Kowalewski, Hr. Meschakow (in Wologda), Hr.
Sazepin, Hr. General v. Manderstjerna, Hr. Dr.
Holtermann, Hr. C. v. Ditmar, Hr. Geheimerath
Norow, Hr. Wolley und Hr. Dr. Volborth.
Den wichtigsten, namentlich die Fauna Russlands
vervollständigenden Zuwachs lieferten aber zahl-
reiche, in den verschiedensten Ländergebieten un-
seres grossen Reiches angestellte, wissenschaftliche
Reisen, indem sie nicht nur die Sammlung vielfach
direct, sondern auch mehr oder weniger indirect mit
werthvollem Tauschmaterial versahen. Diese Reisen
waren es auch, welche aus den climatisch und terre-
strisch verschiedensten Gegenden stammende Exem-
plare einer und derselben Art verschafften, um die
Variation der Arten kennen zu lernen und über ihre
Beständigkeit Untersuchungen anzustellen; Untersu-
chungen, welche für die Zoologie von grösster Wich-
tigkeit sind und wozu gerade die Fauna Russlands,
nach Maassgabe seines so grossen, sehr verschiedene
Climate umfassenden Ländergebietes sehr reiche Ma-
terialien zu liefern vermag. Für die Kenntniss der
geographischen Verbreitung der Thiere musste daraus
ein grosser Gewinn hervorgehen. Es gehören hierher
tlich folgende Expediti Die Reisen des Hrn.
Akademikers v. Baer nach Lappland, dem weissen
Meer und Nowaja-Semlja und die späteren dessel-
ben an der unteren Wolga und dem caspischen Meere.
Die Reise des Hrn. Akademikers v. Middendorff im
Taimyrlande, Ostsibirien, am ochotskischen Meere und
dem Amurgebiet. Die Reisen Ruprecht’s nach der
Halbinsel Kanin und im Caucasus. Die Reise des Aka-
demikers Leop. v. Schrenck um die Erde, im Amur-
gebiet und auf Sachalin. Die Reise des Akademikers
Brandt und Conservators Radde in Bessarabien, dem
Cherson’schen Gouvernement und Taurien. Die Reise
Rathke’s in Taurien. Die Reisen v. Nordmann’s in
Transcaucasien. Die der Hrn. Alex. v. Schrenck und
Karelin in die Kirgisensteppen und am Tschui. Die
Reisen Lehmann’s in die Ural- und Kirgisenstep-
pen und die Bucharei. Die Reise Cienkovski’s in
Nordafrika. Die von Kolenati in die caucasischen
Provinzen. Die Reisen Sewerzow’s in die Kirgisen-
steppen und das Uralgebiet. Die Reisen Hofmann’s
und Branth’s im nördlichen Ural. Die Reisen Rad-
de’s, Maack’s und Maximowicz’s in Ostsibirien
und den Amurgegenden. Die Reisen Maximowicz’s
in Japan. Die Danilewski's mit dem Präparanten
Nikitin im Gouvernement Archangel, an den Küsten
des Eismeeres und Norwegens. Die Reisen des Con-
servators Göbel auf dem caspischen Meere, und end-
lich die so ergiebigen zehnjáhrigen Reisen des jetzi-
gen Conservators am zoologischen Museum W osnes-
senski um die Erde, dann an den Küsten des ochots-
kischen Meeres, in Kamtschatka, den Russisch-Ame-
rikanischen Colonien und in Californien. Ausserdem
erhielten wir interessante Gegenstände von Hrn. von
Baer's Reise nach dem Adriatischen Meere. Ebenso
trugen Brandt's dreimalige Reisen nach Deutschland,
Frankreich und Holland, sowie Ménétriés' nach
Frankreich zur Bereicherung der Sammlungen we-
sentlich bei, da sie einen umfassenden Tauschverkehr
mit mehreren grossen Museen zur Folge hatten und
unseren Sammlungen so manche, durch Ankauf nicht
zu erwerbende Stücke zuführten oder zu manchen
wünschenswerthen und vortheilhaften Anküufen Ge-
legenheit schafften.
Schliesslich sind auch als nicht unwesentliche Be-
reicherungen die zahlreichen Exemplare von Thieren
zu erwähnen, welche aus mehreren Menagerien er-
worben wurden, die Petersburg auf längere oder kür-
zere Zeit besuchten, wie die von Lehmann, Berg, van
Aken, Bernabo und Kreuzberg, oder mehrere Jahre
hier verweilten, wie die des Hrn. Sahm. Sie ver-
schafften nicht nur schöne Bälge für die zoologische
Sammlung, sondern auch Präparate für die zootomi-
sche und lieferten Stoff für mehrere wissenschaftliche,
anatomische Arbeiten oder Untersuchungen v. Baer's,
Brandt’s und Gruber’s.
Es würde zu weit führen, wenn auch noch die seit
1831 gemachten, so zahlreichen Ankäufe und Tausch-
ergebnisse näher erwähnt werden sollten. Die Ankäufe
und der Tauschverkehr fanden theils in Russland selbst,
theils in Deutschland, Dänemark, Schweden, Holland,
England, Frankreich, Italien, de Schweiz, Nordame-
rika und Neuholland statt, umfassten also den gröss-
Pa © pie
ten Theil der Länder, die beachtenswerthe zoologische
Sammlungen besitzen oder in denen zoologische Ge-
genstände verkauft werden. Die meisten Bereicherun-
gen, sowohl in Bezug auf Tausch als auf Ankauf,
lieferten uns Deutschland, Holland und Frankreich.
Das zoologische Museum, dessen aus den alten
Sammlungen übergeführte, noch brauchbare Gegen-
stände und Vorräthe noch nicht zwei mässige Räume
gehörig füllen würden, nimmt seit diesem Frühjahr,
wo ihm durch Überführung der zootomischen Samm-
lung in ein anderes, besonderes Local, zwei neue Säle
zugetheilt wurden, dreizehn Räume ein. Sie bilden
mit Ausschluss des entomologischen Cabinettes, wel-
ches einen vierzehnten Raum einnimmt, eine Front
von 38 Fenstern und besitzen eine Tiefe von 25 und
“eine Höhe von 137, Fuss. Die mit hohen Fenstern
und parquetirten Fussbüden versehenen Ráume sind
an den Wänden, und theilweise auch in ihrer Mitte, mit
eleganten Mahagonischränken besetzt, deren grosse
Scheiben und geringes Holzwerk die darin aufgestell-
ten Thiere zweckmässig erkennen lassen. Der grósste
Theil der Insekten- und Conchyliensammlung findet
sich in zahlreichen Schiebküsten von ebenfalls aus
Mahagoniholz angefertigten Schränken. Das Museum
macht daher den Eindruck der Eleganz und wird in
dieser Beziehung von keinem der mir bekannten gröss-
ten Europa’s (London, Paris, Wien, Berlin, Leyden)
übertroffen.
Die ausgestopften Säugethiere (1060) nehmen drei
Säle ein, die ausgestopften Vögel (5675) füllen deren
vier. Die Mollusken und Corallen nebst anderen niede-
ren Thieren (Anneliden, Quallen u.s. w.)sind, wie früher,
in einem grossen Saale sehr dicht aufgestellt. Ein an-
derer Saal bietet Amphibien (810), einer Fische (1522)
und das Eingangszimmer die Sammlung der Vögel-
eier nebst einem kleinen Theile der Krebs- und Echi-
nodermensammlung. In einem hohen, runden, an das
Mineraliencabinet stossenden Saale befindet sich, aus-
ser mehreren Schweinearten, ein ausgestopfter, durch
seine Grösse berühmter, asiatischer Elephant nebst
seinem Skelet und dem des berühmten Mamont. In
demselben Saale sieht man auch die unten näher zu
erwähnenden Reste fossiler Säugethiere. Die entomo-
logische Sammlung, die Classen der Insekten, Myria-
poden und Spinnen enthältend, ist in einem ziemlich
grossen, niedrigen Zimmer aufgestellt, dessen drei
Fenster nach dem Hofe gerichtet sind. Im Verlaufe
des 1864sten Jahres wird das jetzt mit Eiern, Kreb-
sen und Echinodermen besetzte Eingangszimmer Fi-
sche aufnehmen. Die Krebse und Echinodermen sollen
dann mit einem riesenhaften Globus’) in einer gros-
sen, an das Museum stossenden Rotunde Platz finden,
während die Eier und Nester in den Vögelschränken
untergebracht sein werden. Die so eingerichtete Samm-
lung wird dann freilich keine streng, sondern nur nach
Möglichkeit systematisch aufgestellte sein. Eine streng
systematische Aufstellung aller Thierklassen lässt sich,
nach Maassgabe des der Sammlung bis jetzt gebotenen
Raumes, nicht durchführen.
Bei der Einrichtung und Vervollständigung des
neuen Museums wurden nach Möglichkeit alle Thier-
klassen berücksichtigt. Die Säugethiere, Vögel, Am-
phibien, Fische, Insekten, Krebse und Echinodermen
sind aber dessenungeachtet im Verhältniss am stärk-
sten, die Myriapoden, Mollusken und Polypen nur mäs-
sig, die übrigen Thierklassen aber bis jetzt am schwäch-
sten repräsentirt. Die Thierwelt Europas, Nordasiens,
theilweise auch Centralasiens, des nördlichen Thei-
les des stillen Oceans und der caucasischen Provin-
zen, sowie die Brasiliens bietet die zahlreichsten Ver-
treter. Aus Nordamerika, den Sundainseln und Nord-
afrika findet man auch eine ansehnliche Zahl von Ob-
jecten. Südafrika und Neuholland sind dagegen nur
mässig vertreten. Vom südasiatischen Festlande, Cen-
tralamerika, West- und Ostafrika und Madagaskar
besitzen wir nur wenige, aus Centralafrika noch gar
keine Thierarten. Im Allgemeinen steht, ganz natür-
lich, in Bezug auf Zahl der Arten unsere noch junge
Sammlung, hinter der mehr als doppelt so alten, und
mehr als sechsmal mehr Mittel besitzenden des Dritish
Museum und der des Jardin des plantes, noch weit
zurück. Auch mit den ebenfalls viel ältern zu Leyden,
Wien und Berlin vermag sie noch nicht in die Schran-
ken zu treten, obgleich sie manche wnica und seltene
Suiten aufzuweisen hat. — Hinsichtlich des grossen
2) Dieser 1650 durch die Erben des zu seiner Zeit berühmten Geo-
graphen Bleau angefertigte Globus, welchen die Generalstaaten dem
Zaren Alexei Michailowitsch schenkten, wurde früher in Mos-
kau zum Unterricht der Eleven der Seeschule benutzt, im J. 1752
aber als Ersatz des in der Kunstkammer verbrannten ehemaligen
Gottorp’schen (s. Baem. S. 94), nach Petersburg an die Akademie ge-
Schickt. Hier wurde er anfangs unter der Stenwarte, dann in einem
eigenen Häuschen aufbewahrt, bi ihm in neueren Zeiten seinen
jetzigen, eigens für ihn construirten Raum anwies. E
— ` ee
Reichthums an russischen, zum Theil seltenen, zum
Theil andern Museen ganz fehlenden Thieren kann in-
dessen keine mit der unsrigen wetteifern. Überhaupt
darf sie, was die Produkte der nördlichen Hemisphäre
der Erde, namentlich des asiatisch-europäischen Theils
derselben betrifft, als eine der vollständigsten be-
trachtet werden. Die Thiere der nördlichen Hemi-
sphäre sind es überhaupt deren Acquisition eine ganz
vorzügliche Berücksichtigung findet, da das verglei-
chende Studium ihrer Produkte wichtige, allgemeine
Resultate verspricht.
Was die im Museum vorhandenen, ausgestopften
Exemplare anlangt, so übertreffen sie in Bezug auf
kunstgerechte Präparation und ihre Frische (Conser-
vation) die der meisten andern Sammlungen, wenig-
stens werden sie in dieser Beziehung von keiner
überboten. Nach meiner Erfahrung besitzt keine der
ältern Sammlungen, nach Maassgabe der gleichzeitig
in ihnen und der unsrigen vorhandenen Arten, eine
so grosse Zahl wohlerhaltener Stücke. Das kalte Clima,
so wie die Lichtverhältnisse Petersburgs tragen dazu
offenbar ebenfalls das ihrige bei.
Die aus den verschiedensten Thierklassen gegen-
wärtig im Museum aufgestellten Gegenstände ent-
halten indessen keineswegs alle bereits vorhande-
nen, zur zoologischen Sammlung der Akademie ge-
hórigen, Objecte, sondern aus manchen Classen nur
y aus andern °/,, aus noch andern etwa die Hälfte.
Eine grosse Menge von brauchbaren, die aufgestell-
ten Gegenstände ergünzenden Thierbälgen oder Exem-
plaren in Weingeist findet sich noch in den Vorraths-
kammern in zahlreichen Kisten oder auf umfangsrei-
chen Repositorien in Gläsern mit Weingeist. Hunderte,
ja zuweilen Tausende von Arten, die im Museum nicht
vorhanden sind, bleiben dem Blicke des Publicums
bisher entzogen. Der Mangel an wissenschaftlichen und
technischen Arbeitskrüften, besonders aber die nur
nach und nach für die Aufstellung der Gegenstünde zu
beschaffenden Summen, treten dabei hindernd in den
Weg. Die gegenwärtigen Räumlichkeiten würden zur
Aufstellung der Vorräthe lange nicht ausreichen. Der
Director des Museums, der diesen Posten seit 33 Jah-
ren nur als Ehrenposten versieht, ist ausser Stande
die sámmtlichen Thierklassen mit Ausschluss der In-
sekten, für die er allein einen wissenschaftlichen Ge-
hülfen zur Seite hat, zu bestimmen und ausserdem
die Correspondenz und Verwaltung der Museums-An-
gelegenheiten neben seinen Pflichten als Akademiker
zu besorgen. An andern Museen, welche das unsrige
an Reichthum nur wenig übertreffen, und in welche
noch obendrein die neuen Gegenstände nur eingeord-
net zu werden brauchen, so in Wien und Berlin, ste-
hen ihm 5 — 6 wissenschaftliche Gehülfen zur Seite;
in den Sammlungen von London und Paris deren noch
weit mehr. Die vollständige Anordnung unserer Samm-
lungen kann also, da namentlich auch die Zahl der Prá-
paranten jetzt auf zwei beschrünkt ist, nur langsam vor
sich gehen. Indessen sind allerdings die den Blicken der
Besucher des Museums entzogenen Gegenstände so ge-
ordnet, dass sie nicht allein für wissenschaftliche Ar-
beiten stets zugänglich sind, sondern sogar ein gegen
die äussern Einflüsse besser als im Museum aufbe-
wahrtes, sehr wichtiges Material für wissenschaftliche
Arbeiten bilden, welches fleissig benutzt wird, Die
nicht aufgestellten Gegenstánde stehen also an wissen-
schaftlicher Brauchbarkeit den aufgestellten nicht nach;
ja sie bilden, da sie mehr den Lichteinflüssen entzo-
gen und bei vorkommenden Untersuchungen häufig
besser gehandhabt werden können, ein wichtiges Ma-
terial für wissenschaftliche Forschungen, das dem be-
'reits präparirten in mancher Beziehung vorzuziehen
ist. Überhaupt scheint es nicht zweckmässig alle zoo-
logischen Objecte, die durch den Lichteinfluss verdor-
ben werden, demselben auszusetzen, um ein imposan-
tes Museum zu produciren. Für den Unterricht und
das grössere Publicum reicht es hin durch eine ge-
wisse, aber zweckmässig ausgewählte Zahl bekannter
oder berühmter Arten aller Classen die Entwicke-
lungsstufen des Thierreiches zur Anschauung zu brin-
gen. Für Männer der Wissenschaft genügen meist
reiche Sammlungen in Kasten oder Weingeist wohl
aufbewahrter dem Lichteinfluss entzogener Gegen-
stände.
Nicht uninteressant dürfte es sein, einige Blicke auf
die Arbeiten zu werfen, die meist auf Grundlage der
zoologischen Sammlungen aus dem Schoosse der Aka-
demie zu verschiedenen Zeiten hervorgegangen sind.
Die erste Schrift bildet das oben erwähnte Verzeichniss
der zoologischen Gegenstände des akademischen Ca-
binets im Museum Petropolitanum, welches 1742 er-
schien. Später wurde bei Abfassung von 161 Abhand-
lungen zoologischen, anatomischen, physiologischen,
D UT
vergleichend-anatomischen oder paläontologischen In-
halts, welche von 1742 bis zum Jahre 1822, also
im Verlaufe von 80 Jahren, in den Schriften der Aka-
demie erschienen, die akademische Sammlung mebr
oder weniger benutzt. Aus der Zahl dieser Memoiren
oder kleinern Aufsätze wurden von Du Vernoi 2,
C. Fr. Wolff 33, J. G. Gmelin 4, von Steller 3,
Weitbrecht 4, Kölreuter 16, Pallas 22, Gülden-
städt 13, Lepechin 11, S. G. Gmelin 2, Sujew 10,
Oseretskowski 13, Sewastianow 6, Langsdorffl,
Schreiber 1, Sagorski 8 und von Tilesius 12 publi-
cirt. Unter diesen ragen die von Pallas an Quantität
und Bedeutung hervor, und trugen ganz vorzüglich zur
grossen Reputation bei, welche die Akademie in der
gelehrten Welt schon damals genoss. Er war es auch,
der bei der Abfassung mehrerer seiner classischen,
als selbständige Werke erschienenen Arbeiten, na-
mentlich mehrerer Fascicel seiner Spicilegia, seiner
Novae Species quadrupedum e genere Glirium, so wie
seiner Zoographie die Sammlungen der Akademie háu-
fig benutzte. Die drei genannten classischen Werke
gehóren überhaupt zu den Glanzpunkten der zoolo-
gischen Literatur und sind gleichzeitig als Grund-
lagen der Kenntniss der Wirbelthiere Russlands zu
betrachten. Nach dem Jahre 1822 trat eine Pause in
der Publikation von Aufsátzen zoologischen Inhalts in
den Schriften der Akademie ein. Erst im Jahre 1830
eróffnete Hr. v. Baer die acht Jahre unterbrochene
Reihe zoologischer Publikationen in den Schriften
unserer Akademie mit einem Aufsatze, der einen Ge-
genstand der akademischen Sammlungen, einen fossi-
len — n: besprach. Gleichzeitig erschienen
zwei zoologi dungen von Mertens und zwei
von Kittlitz, welche letztere gleichfalls auf Objecte der
akademischen Sammlungen sich stützten. Mit dem
Jahre 1830 künnen wir also eine neue Reihe zoologi-
scher, anatomischer, vergleichend - anatomischer etc.
Publikationen in den Schriften der Akademie beginnen
lassen, welche sich zum grossen Theile auf Gegenstünde
der akademischen Sammmlungen beziehen. Zählt man
die von den Mitgliedern der Akademie, namentlich
den Herren v. Baer, Mertens, v. Middendorff,
Owsiannikow, Sagorski, Leop. v. Schrenck und
F. Brandt oder den Beamten des Museums, Méné-
triés, Morawitz und Radde aus den verschieden-
sten zoologischen Wissenschaften theils im Bulletin
oder den Memoiren der Akademie, theils anderwärts
publicirten grüssern oder kleinern Abhandlungen, mit
Ausschluss der Reisen, zusammen, so ergiebt sich,
dass in den letztverflossenen 34 Jahren durch die
Thätigkeit der genannten Personen deren nicht weni-
ger als dreihundert vier und zwanzig veróffentlicht
wurden, von denen Hr. v. Baer 75, Mertens 3, Hr. v.
Middendorff 23, Owsiannikow 5, Hr. Leop. v.
Schrenck 5, F. Brandt 182, Ménétriès 24, Mo-
rawitz 3 und Radde 4 lieferten. Es wurden also in
den letzten 34 Jahren zwei Mal so viel Arbeiten
publieirt als in jenen 80 Jahren.
Der Inhalt der oben genannten neuern 324 Arbei-
ten ist übrigens, im Vergleich mit den von 1742 bis
1822 erschienenen 161, ein weit mannigfaltigerer.
Es werden namentlich darin Wissenszweige behandelt,
die früher noch gar nicht in Betracht kamen, wie die
Geschichte der Fortschritte der zoologischen Wissen-
schaften und der Museen der Akademie, die verglei-
chende Craniologie, die mikroskopische Anatomie, die
archäographische und vergleichende Zoologie, die 200-
logische Geographie, die ausgestorbenen oder vertilg-
ten Thiere und die angewandte Zoologie. Noch andere
Zweige, wie die vergleichende Anatomie, so wie die
Entwickelungsgeschichte, die Physiologie und Biolo-
gie der Thiere nebst der Palüontologie, finden darin
eine weit umfassendere Berücksichtigung.
Man kónnte meinen, dass die geringere Zahl der
in den Schriften unserer Akademie vor 1830 veróf-
fentlichten zoologischen Arbeiten durch die wichtigen
Beitrüge ersetzt würden, womit die Zoologie in den
Reisen von Pallas, Güldenstädt, Lepechin, Falck,
F. G. Gmelin, S. G. Gmelin und Steller bereichert
wurde. Indessen werden, genau genommen, jene Bei-
träge durch die zoologischen Reisebemerkungen v.
Baer’s, dann durch die so umfassenden zoologischen
Theile der Reisebeschreibungen v. Middendorff's,
L. v. Schrenck's und Radde's, ferner die von Brandt
verfassten Anhünge zu den Reisen Hofmann’s, Leh-
mann’s und Tschichatschef's, so wie Ménétriés'
Catalogue raisonné sehr bedeutend überwogen.
Wie billig liesse sich jedoch auch daran denken,
dass die oben genannten selbstständigen Werke von
Pallas (seine Spicilegien, seine Glires, so wie seine
Zoographie) ein höchst wichtiges Supplement jener
erwühnten 161 Memoiren und Reisen bilden, ja diese
d£ " SEH
an wissenschaftlichem Werthe genau genommen viel-
leicht übertreffen und also die geringere Zahl der
fraglichen Memoiren reichlich ersetzen könnten. Wir
müssen indessen in dieser Hinsicht daran erinnern,
dass 1) die von der Akademie in den letzten vier und
dreissig Jahren publieirten zoologischen Schriften zum
Theil sehr umfangreiche Bände zoologischen Inhalts
in den Reisen v. Middendorff's, v. Schrenck's und
Radde’s bilden, dass 2) durch die malacozoologischen
Arbeiten Middendorff's und Schrenck’s, ferner die
von Brandt über Krebse, Tausendfüssler, Quallen und
Echinodermen, so wie die entomologischen Leistungen
Ménétriès’ und Morawitz's u. s. w., mehrere von
Pallas (mit Ausschluss einiger Mittheilungen über
Insekten) nicht bearbeitete Thierclassen in den Kreis
der Untersuchungen gezogen wurden, welche die
Kenntniss der Fauna Russlands wesentlich förderten
und durch zahlreiche Entdeckungen bereicherten, ja
zum Theil als Grundlagen für die Kenntniss einzelner
Classen der Thierwelt Russlands auftreten; dass ferner
3) viele neuere zoologische monographische Arbeiten
in Bezug auf die Wirbelthiere als ein umfassender,
die wichtigsten Ergünzungen bietender Commentar zu
jenen Arbeiten von Pallas anzusehen sind und dass
endlich 4) die Bedeutung dieses Commentares durch
das Hinzukommen der oben genannten neuern Wissens-
zweige namhaft gesteigert wird. Die neueren Leistun-
gen móchten daher, namentlich in Bezug auf die
Kürze des Zeitraumes, worin sie entstanden, doch
wohl sehr im Vortheil bleiben.
Ohne Frage übte zur Erreichung eines solchen Re-
sultates die neue Einrichtung der craniologischen, zoo-
logischen und vergleichend-anatomischen Sammlungen,
sowie die ihres Bücherschatzes einen wesentlichen
Einfluss. Ohne ein mit zahlreichen Gegenstünden zum
Vergleich ausgestattetes Museum, so wie ohne den
nöthigen literärischen Apparat hätten die fraglichen,
so umfassenden Arbeiten in ihrer gegenwärtigen, den
Ansprüchen der fortgeschrittenen Wissenschaft ent- |
sprechenden Ausdehnung ohne Zweifel nicht zu Stande
kommen können, namentlich nicht in St. Petersburg,
noch weniger an einem andern Orte Russlands, Selbst
die Museen des Auslandes, da sie bisher mit russi-
schen Objecten bei weitem nicht so reichlich ausge-
stattet sind als die unsrigen, hätten keine Aushülfe
gewähren können. Ihre meist von den Sammlungen
getrennten literärischen Hülfsmittel würden übrigens
das Erscheinen der Arbeiten ungemein verzögert haben.
Die Arbeiten der ältern, oben genannten Akadeni-
ker und akademischen Reisenden bezogen sich, wie
vorhin bereits beiläufig erwähnt, hauptsächlich auf die
Erweiterung der Kenntniss der Wirbelthiere (Säuge-
thiere, Vögel, Amphibien und Fische). Die wirbel-
losen Thiere wurden weniger berücksichtigt. Die ge-
nannten jetzt lebenden Akademiker oder ihre Gehül-
fen fassten nicht blos die Wirbelthiere, sondern vor-
züglich auch die sogenannten wirbellosen ins Auge,
Aus der Abtheilung der Wirbelthiere waren im Ver-
hältniss nur wenig neue russische Arten aufzustellen,
da namentlich Pallas, dem Materialien aus den ver-
schiedensten Theilen Russlands zu Gebote standen,
hierin bereits sehr vorgearbeitet hatte, Indessen konn-
ten selbst noch über Säugethiere, Vögel und Amphi-
bien nicht allein sehr umfassende Beiträge geliefert
werden, die ihre Naturgeschichte namhaft vervoll-
ständigten, sondern man war selbst noch im Stande
die Fauna Russlands um eine nicht zu verachtende
Zahl neuer oder in Pallas’ Zoographie fehlender
Arten zu bereichern. Sehr gross konnte die Zahl der
Wirbelthiere, welche in der Zoographie von Pallas
fehlen, ohnehin nicht werden, da Russlands Fauna
zum grossen Theil Thiere der grossen asiatisch-euro-
päischen, sehr gut untersuchten, enthält. Die wirbel-
losen Thiere Russlands erhielten dagegen aus den
Classen der Mollusken durch die umfassenden Arbei-
ten der Herren v. Middendorff und L. v. Schrenck,
die der Krebse, Myriapoden, Echinodermen, Quallen
und Polypen durch die von Brandt, und die der
Insekten durch die von Ménétriès und Morawitz
einen betrüchtlichen Zuwachs. Vergleicht man daher
die frühern Entdeckungen neuer Thiere mit denen
der Neuzeit, so wird dieselbe keineswegs zurückste-
hen, sondern vielmehr zu ihren Gunsten noch ein
namhaftes Übergewicht nachweisen konnen.
Das Lündergebiet, worauf sich die Arbeiten der
genannten, neuern Forscher ausdehnten, war übrigens
ein ungeheures. Die Produkte der verschiedensten
Himmelsstriche des ungeheuren Russischen Reiches
wurden in den Kreis der Untersuchungen gezogen.
Lappland, N owaja-Semlja, das Weisse Meer, das Eis-
meer, das Gouvernement Archangel, das Uralgebirge,
das Taimyrland, West- und Ost Sibirien, Kamtschat-
Sg ZS
ka, der nördliche stille Ocean, das Ochotskische und
Japanische Meer, Sachalin, Japan, das Amurgebiet,
die ungeheuren ostasiatischen Steppen, die Steppen
der Kirgisen, des Aral und der Wolga, die Cauca-
sischen Länder, Südrussland und Taurien lieferten
alle ihr Contingent zu den genannten Leistungen.
Vier Augenmerke sind es, die den neuern auf Grund-
Jagen der zoologischen und vergleichend - anatomi-
schen Sammlungen der Akademie gestützten zoolo-
gischen Arbeiten ihren, die Wissenschaft mannigfach
fördernden, Charakter aufdrücken. 1) Das Streben mit
Hülfe ausgedehnter anatomischer Untersuchungen die
nähern oder fernern Beziehungen zu erforschen, in de-
nen die Thiere zu einander stehen, um so ihren bio-
logischen Standpunct zu ermitteln und ihnen den pas-
senden Platz im System anzuweisen. 2) Die genaue
vergleichende Untersuchung von Exemplaren einer und
derselben Art aus verschiedenen Gegenden, um die
Abänderungen kennen zu lernen, welche climatische
und andere physische Einflüsse auf die Individuen einer
und derselben Art je nach ihrem Wohnorte ausüben,
und um gleichzeitig dadurch die Grenzen der Abände-
rung der einzelnen Arten zu ermitteln; Untersuchun-
gen, welche namentlich das Studium der Fauna Russ-
lands nach Maassgabe seiner mannigfachen climatischen
Verhältnisse begünstigt. 3) Die nähere Feststellung der
Verbreitungsgrenzen der einzelnen Thierarten in den
verschiedensten Ländergebieten Russlands.
Wenn aber, wie eben gezeigt worden, die fraglichen
Arbeiten durch Untersuchung der Faunengebiete Russ-
lands nicht bloss die Kenntniss der Thierwelt dersel-
ben, sondern auch dadurch gleichzeitig die einzelnen
Zweige des zoologischen Wissens (Systematik, verglei-
chende Anatomie, zoologische Geographie u. s. w.)
überhaupt wesentlich förderten, so blieb doch auch
die Untersuchung der Produkte anderer Länder keines-
wegs ausgeschlossen. Ein Theil der malacozoologi-
schen Arbeiten L. v. Schrenck’s und eine Reihe von
Aufsätzen Brandt’s, sowie manche Ménétriès’,
Strauch’s undMorawitz’s beziehen sich auf Thiere,
die in Russland nicht heimisch sind. Auch darf nicht
unerwähnt bleiben, dass auch mehrere Arbeiten all-
gemeineren Inhalts, wie über die Eingeweidenerven
der Evertebraten, die Isopiptesen der Vögel u. s. w.
veröffentlicht wurden.
- Die zoologischen Schätze der akademischen Samm-
lung sind übrigens nicht bloss den Akademikern oder
den Beamten des Museums, sondern für wissenschaft-
liche Zwecke auch fremden Personen täglich zugáng-
lich. Der leider zu früh verstorbene, berühmte bra-
silianische Reisende J. Natterer aus Wien machte
in unserem Museum mehrere Monate hindurch sehr
ausgedehnte ornithologische Studien. Der Hr. Graf
Alex. v. Keyserling, gegenwärtig Curator der Uni-
versität Dorpat, und Prof. Blasius in Braunschweig
untersuchten in demselben Säugethiere und Vögel
Russlands. Hr. Prof. v. Nordmann in Helsingfors
zog wiederholentlich das zoologische Museum zu Rathe.
Hr. Prof. Grube, damals in Dorpat, benutzte und
bestimmte für seine gelehrten Arbeiten die Ringel-
würmer desselben. Der Amur-Reisende Hr. Gerstfel dt
verôffentlichte mit Hülfe unserer Sammlungen seine in
den Schriften unserer Akademie befindlichen Abhand- -
lungen über die Crustaceen, Myriapoden u. s. w. des
Amurlandes. Hr. Siemaschko benutzte das Museum
und seine Bibliothek für seine begonnene Pycckaa
Payna in der umfassendsten Weise und wurde dabei
von Hrn. v. Baer und mir noch persónlich mehrfach
unterstützt. Die ausgezeichneten herpetologischen Ar-
beiten des Hrn. Dr. Strauch, namentlich seine Schrif-
ten über die Amphibien Algiers und die Schildkróten
des akademischen Museums, sowie sein Aufsatz über
die vom Hrn. Grafen v. E. Keyserling aus Persien
mitgebrachten Reptilien wurden in unserem Museum
verfasst. Noch gegenwürtig ist er darin mit der Aufstel-
lung und Bestimmung der Reptilien desselben beschäf-
tigt; eine Arbeit, die ihm vielfachen Stoff zu neuen
Mittheilungen liefern wird. Hr. O. Bremer, der eine
Zeit lang stellvertretender Gehülfe am Museum war,
beschrieb die von Maack, Schrenck und Radde
mitgebrachten Schmetterlinge. Hr. Mag. Blessig be-
arbeitete darin einen Theil der von Radde und die von
ihm selbst aus Neuholland mitgebrachten Käfer. Hr.
v. Motschulski hat ebenfalls für seine Arbeiten die
entomologischen Sammlungen der Akademie häufig
benutzt. Dasselbe thaten die Hrn. Radoschkowski,
die Hrn. Gebrüder Kuschakewitsch, Hr. v. Solski,
sowie die Hrn. Fixsen und Sievers, welchem letz-
teren die Lepidopteren-Sammlung des Museums wich-
tige Dienste verdankt. |
Die Gegenstünde des zoologischen Museums wur-
den übrigens von Männern der Wissenschaft nicht
— 94 —
bloss im Museum benutzt, sondern auch zur Ansicht
übersandt, so an Hrn. Gotth. v. Fischer in Moskau,
v. Nordmann in Helsingfors, Grube in Dorpat, Pe-
ters in Berlin, den berühmten Entomologen Schön-
herr, den Grafen Mannerheim u. s. w.
Ueberdies trug das Museum der Akademie durch
seine ausgedehnten Tauschverbindungen wesentlich
dazu bei, sehr viele Sammlungen mit seltenen russi-
schen Thieren zu versorgen und so auch in anderen
Ländern die Kenntniss und Untersuchung derselben
zu ermöglichen.
Das nach Maassgabe des Reglements der Akademie
und seiner Mittel vorzugsweise für gelehrte Untersu-
chungen bestimmte zoologische Museum erfüllt aber
nicht bloss diesen Zweck in allen möglichen Richtun-
gen, sondern dient auch gleichzeitig zur Belehrung
der Studirenden sowie des grösseren Publikums.
Es wird dasselbe von Studirenden der Universität
und der Medizinischen Akademie und den zahlreichen
Unterrichtsanstalten Petersburgs häufig, und zwar
nicht an dem für das grosse Publikum bestimmten
Tage, besucht.
Während des ganzen Jahres sind die Sammlungen
an jedem Montage dem grösseren Publikum geöffnet.
Fremde, die sich dafür interessiren, namentlich Rei-
sende, werden auch ausser dieser Zeit zugelassen.
Sie bilden daher in ihrer gegenwärtigen Gestalt
und Einrichtung nicht nur ein wichtiges und reich-
haltiges Material für wissenschaftliche Arbeiten und
dürfen in dieser Hinsicht nicht bloss als Centralan-
stalt für zoologische Studien in Russland, sondern,
nach Maassgabe ihrer umfassenden Leistungen, als
eine der zoologischen Centralanstalten der ganzen ge-
bildeten Welt angesehen werden, die mauche Selten-
heiten, ja manche anderwärts fehlende Objecte ent-
hält; eine Centralanstalt, die nicht allein zu den
Fortschritten der zoologischen Wissenschaften bedeu-
tend beigetragen hat, sondern dieselben noch jetzt
nach Möglichkeit fördert und zum Studium häufig be-
nutzt wird. Ihr Reichthum und ihre elegante Ausstat-
tung nebst der naturgemässen Präparation der Gegen-
stände macht sie überdies zu einer der Zierden und
lehrreichsten Merkwürdigkeiten der Hauptstadt.
Werfen wir schliesslich noch einige Rückblicke
auf den Charakter, welchen die zoologischen Samm-
lungen in verschiedenen Zeiträumen ihrer Existenz
an sich trugen, so kann ihre Geschichte in drei Pe-
rioden getheilt werden.
Die erste Periode umfasst den Zeitraum, wo sie als
Hofssammlung früher in Moskau in einer Apotheke,
spüter in Petersburg in einem Palais existirten und
offenbar nur als Merkwürdigkeiten angesehen wurden.
Sie reprüsentirten also zu jener Zeit einen Verein von
Raritäten, kein eigentliches Museum im Sinne der
Neuzeit. Auch wurde damals, so viel bekannt, über
dieselben noch keine wissenschaftliche Arbeit, ja nicht
einmal ein Catalog publicirt.
Die zweite Periode kann man von der Übergabe
der Sammlungen an die Akademie bis zur Überfüh-
rung in ihr gegenwártiges Local datiren. Sie lässt sich
dadurch charakterisiren, dass die in ihr vorhandenen
Gegenstände zwar von den Männern der Wissenschaft
nicht mehr als Curiositäten betrachtet, sondern von
1742 an als wichtiges, wissenschaftliches Material an-
gesehen und für wissenschaftliche Arbeiten häufig
benutzt wurden; ja sogar den Stoff zu zahlreichen
classischen Arbeiten, namentlich von Pallas, liefer-
ten. Die Prüparation der Gegenstünde und die Auf-
stellung derselben, besonders die aus ihnen gebildeten
Decken- und Pfeilerverzierungen, sowie ihr theilwei-
ser Verein mit Kunstgegenstünden, erinnerte indessen
noch an die alten Curiositäten-Cabinette. Den mit der
Naturgeschichte nicht vertrauten Beschauern wurde
ohne Frage damals noch durch eine solche Aufstellung
mancher falsche Begriff von: den Naturkórpern beige-
bracht. Dass in dieser Periode bei ihrem Beginn ein
Brand, in ihrer letzten Hälfte aber der Zahn der Zeit ei-
nen beträchtlichen Theil der Sammlungen, namentlich
ften G ände, zerstörte, wurde bereits
oben erwähnt. Der so eben geschilderte Zustand der-
selben überlebte sich inzwischen nach und nach immer
mehr; auch liessen sich im Locale, welches sie ein-
nahmen, keine den Fortschritten der Neuzeit ent-
sprechenden Aufstellungen vornehmen. Ihre Überfüh-
rung in neue, passendere Räume wurde daher von der
Akademie als eine unabweisbare nt En be-
schlossen.
Nach ihrer Überführung in ihr neues, gegenwärti-
ges Local (von 1831 an) erhielten die Sammlungen
durch gänzliche Umgestaltung und möglichst zweck-
mässige Aufstellung der Gegenstände nach und nach
den Charakter ähnlicher Anstalten der Neuzeit und
der
DIS MEE
traten nach Verlauf einiger Jahrzehende in die Reihe
der grösseren zoologischen Museen Europas. Man
darf also von dieser Zeit an, wie billig, eine neue
Existenzperiode, die dritte derselben, datiren. Sie
gewannen während derselben in vielfacher Bezie-
hung. Die Bereicherung und Vermehrung ihres für
wissenschaftliche Zwecke bestimmten Materials wurde
eine höchst bedeutende. Die ihnen einverleibten aus-
gestopften Thierbälge erscheinen nicht mehr als Zerr-
. bilder, sondern als wahrhaft künstlerische, aber des-
sen ungeachtet naturgemässe Leistungen. Für die wis-
senschaftlichen Arbeiten und die Aufstellung der er-
forderlichen Werke erhielt das Museum eigene, frü-
her nicht vorhandene Räume. Zur Ausführung der
technischen Arbeiten wurde ein eigenes Laboratorium
errichtet. So entstand eine wissenschaftliche, zoologi-
sche Centralanstalt, die nicht bloss durch ihre nam-
haften literarischen Leistungen Russland und der Aka-
demie insbesondere Ehre macht, sondern auch zur
Belehrung und Erweckung des Sinnes für die richtige
Kenntniss der Naturkörper wesentlich beiträgt; ja so-
gar Personen, die nicht bei der Akademie angestellt
sind, bei ihren gelehrten Forschungen auf die libe-
ralste Weise unterstützt.
Das seit 1831 eingerichtete vergleichend-anatomische Museum,
- -Bei einem gründlichen Studium der Thierwelt darf
man sich, wie bekannt, nicht auf die Kenntniss der
üusseren Organe beschrünken, sondern muss auch dem
inneren Bau als einem maassgebenden, wichtigen Mo-
ment eine ganz vorzügliche Aufmerksamkeit widmen.
Die Akademie besass im Jahre 1831 noch gar keine
vergleichend - anatomische Sammlung, mithin keine
Materialien für umfassende morphologisch-zoologische
Studien. Es konnte daher auch der obigen Anforde-
rung nicht gehörig Rechnung getragen werden. Der
ganze Vorrath von inneren Theilen der Thiere be-
Schrünkte sich in den Sammlungen der Akademie im
Jahre 1831 auf 30, meist zerbrochene Schädel und
drei Skelete. Es erschien mir daher die Einrichtung
einer :-vergleichonds: anatomischen Sammlung als ein
hóchst dri dürfniss. Meine erste Arbeit war
die wenigen vorhandenen Materialien durch die noch
brauchbaren Schädel von Säugethieren und Vögeln zu
vermehren, welche aus den für die zoologische Samm-
lung nicht mehr tauglichen oder für die Aufstellung
im zoologischen Museum bestimmten Stücken, wenn
es bei letzteren anging, herausgenommen wurden. Die
so begonnene Sammlung wurde dann nach und nach
durch Ankäufe von Skeleten und Schädeln, oder von
ganzen Thieren, oder durch verschiedene der oben
genannten wissenschaftlichen Expeditionen nach und
nach vermehrt. Im Verlaufe von 33 Jahren ist eine
Sammlung von Skeleten und Schädeln aus allen Klas-
sen der Wirbelthiere hergestellt worden, die bis zum
Frühlinge des verflossenen 1863sten Jahres neben dem
zoologischen Museum in den zwei Sälen aufgestellt
war, welche an das Mineraliencabinet stossen. Um
für die zoologischen Gegenstände mehr Raum zu ge-
winnen wurde sie indessen im vergangenen Frühling
in ein anderes Local übergeführt, das aus einem sehr
grossen, gewölbten, mit sieben breiten Fenstern ver-
sehenen Saale und einem einfenstrigen, kleinen, leicht
heizbaren Nebenzimmer besteht und im unteren Stock-
werke des östlichen Flügels des zoologischen Museums
sich befindet. Leider mussten aus Mangel an Raum
die grösseren Skelete so dicht neben einander und
selbst in der Mitte des Saales aufgestellt werden, dass
man nur mit Mühe und Vorsicht zwischen denselben
hindurchgehen kann. Die reiche Sammlung der Säuge-
thierschädel enthält manche interessante und seltene
Stücke. Als Seltenheiten aus der Klasse der Säuge-
thiere sind ferner das Skelet des Tur (Capra Pallasti),
des Argali (Ovis Argali) und das fast vollständige Ske-
let der vertilgten Steller'schen Seekuh (Rhytina Stel-
leri) nebst zwei Schädeln und einer Gaumenplatte der-
selben anzuführen.
Ausser osteologischen Präparaten enthält das Mu-
seum auch eine Menge von Eingeweiden verschiede-
ner Thierklassen, die ich zum grossen Theil mit eige-
ner Hand den von mir zergliederten Thieren entnahm,
theilweis auch für meine wissenschaftlichen Untersu-
chungen selbst präparirte. Es finden sich darunter
manche Seltenheiten, so z. B. die Eingeweide von
Anomalurusetc. Überdies bietet die zoologische Samm-
lung eine Menge ganzer Thiere mit den Eingeweiden,
die eine Masse von Präparaten für die vergleichend-
anatomische Sammlung zu liefern im Stande wären,
wozu indessen die kunstgeübten Hände fehlen. Die
wenigen von Weichtheilen gemachten Präparate, wel-
che die vergleichend-anatomische Sammlung besitzt,
rühren von meinen eigenen, speziellen Untersuchun-
4
gen her. Von den von Dallas angefertigten Präparaten
habe ich keine Spur vorgefunden. Überaus wünschens-
werth wäre es auch Injeetionen und mikroskopische
Präparate in der Sammlung zu besitzen, wozu aber
die Mittel und ein eigener, zu ihrer Anfertigung an-
gestellter, wissenschaftlicher Gehülfe fehlt. Ein beim
Museum früher beschäftigter Präparant, welcher übri-
gens nur Skelete zu machen verstand, ist kürzlich lei-
der gestorben.
Obgleich aber die vergleichend-anatomische Samm-
Jung noch an manchen Mängeln leidet, denen nur
durch bessere Mittel abgeholfen werden kann, so hat
sie doch für die Wissenschaft bereits vielfachen Nu-
tzen geschafft und nimmt in Russland den ersten Platz
unter den verwandten Sammlungen ein.
Ohne sie wären viele der in den letzten zwei und
dreissig Jahren in Petersburg, namentlich von der
Akademie, herausgegebenen zoologischen Arbeiten
weniger gründlich ausgefallen. Ohne dieselben hätte
ich meine umfassenden Arbeiten über den Bau meh-
rerer Säugethiergruppen und Vögelgruppen oder ein-
zelne Organe derselben, ebenso wie mehrere paläon-
tologische Arbeiten nicht zu Stande bringen können.
Auch anderen nicht zu den Mitgliedern der Akade-
mie zählenden Gelehrten, wie namentlich Hrn. Staats-
rath v. Pander und Professor Gruber, sind die ver-
gleichend-anatomischen Sammlungen der Akademie
von vielfachem Nutzen bei ihren gelehrten Arbeiten
gewesen.
Ueber den Anfang einer Sammlung fossiler Reste von
Wirbelthieren.
Die Begründung einer eigenen Sammlung fossiler
Reste von Wirbelthieren hat der Verfasser dieses Be-
richtes ebenfalls begonnen. Sie befindet sich im run-
den, gewölbten, an das Mineraliencabinet stossenden
Saale des zoologischen Museums, so dass die in ihm
vorhandenen Gegenstände wenigstens in einem ge-
wissen Zusammenhange mit deu paläontologischen
Sammlungen des Mineraliencabinetes stehen. Als
Fortsetzung der zoologischen Sammlung bemerkt man
im genannten Saale den bereits erwähnten, riesigen,
asiatischen Elephanten nebst seinem Skelet und einige
Schweinearten. Der grösste Theil des Saales wird in-
dessen von Resten ausgestorbener Thiere oder Ab-
güssen derselben eingenommen, die in der Mehrzahl
der Classe der Säugethiere angehören. Neben dem
Skelet des Elephanten steht das des berühmten, an
der Lena gefundenen, Mamont, dessen Kopf noch
grösstentheils, ebenso wie ein Theil des rechten Vor-
derfusses, mit Haut überzogen ist. Ein ansehnliches,
leider ganz kahles Stück der Haut, welche den Körper
des Thieres bekleidete, liegt zu seinen Füssen. Zwei aus
dem Hautrest, Behufs der sorgfältigeren Conservation,
auf meine Veranlassung herausgesägte, noch dicht- .
behaarte Stücke finden sich nebst Mähnenhaaren des
Mamont in einem der grossen Wandschränke, Einige
mehr oder weniger vollständige Schädel des Mamont
und zahlreiche Hauer desselben sieht man in der
Nähe seines Skeletes. Einer der Mamontschädel (der
grösste) bietet einen, in Folge einer dem Zwischen-
kiefer (vermuthlich durch einen Stoss) beigebrachten
Verletzung, verkü ten Hauer als pathologische
Merkwürdigkeit. Auf dem Postamente des Skeletes
des Elephanten und Mamont lagern die bedeutenden
Reste des unter meiner Leitung bei Nicolajew 1860
ausgegrabenen Mastodon. In einem grossen Wand-
schranke, links vom Mamont, bemerkt man eine nam-
hafte Sammlung von Gypsabgüssen fossiler Thierreste,
die in den Siwalikbergen entdeckt und, wie bekannt,
von Falconer und Cautley beschrieben wurden; ein
werthvolles Geschenk der englischen ostindischen
Compagnie. In demselben Schranke finden sich auch
aus Moskau gesandte Hirnreste des Mamont. Ausser
den genannten, interessanten Objecten gewahrt man in
demselben Schranke noch eine Menge anderer mehr
oder weniger beachtungswerther Objecte. Den ersten
Rang dürften darunter die Reste des mit einer knö-
chernen Nasenscheidewand versehenen, untergegan-
genen, zweihörnigen, behaarten Rhinoceros einneh-
men. Als einzig in ihrer Art sind aus der Zahl dersel-
ben der noch mit Haut bedeckte Kopf nebst zwei
gleichfalls mit Haut überzogenen Füssen des am Wilui,
in gefrorenem Boden gefundenen Exemplarszu bezeich-
nen, über die Pallas und Brandt in den Memoiren
der Akademie ausführlichere Mittheilungen gemacht
haben. In der Nähe der eben genannten kostbaren
Reste finden sich mehrere theils vollständige, theils
nur des Unterkiefers ermangelnde Schädel nebst in-
tacten oder von den Yukagiren oder Tungusen be-
hauenen Hörnern desselben Thieres. Erwähnung ver-
dienen ferner die fossilen Schädel mehrerer Rinder-
arten, worunter der fast vollständige, in Sibirien ge-
fundene (!) Schädel eines Moschusochsen besonderes
Interesse bietet. Als Inhalt des fraglichen Schrankes
sind ferner der fast vollständige, aus Kertsch stam-
mende Schädel nebst mehreren Skelettheilen des Ce-
totherium Rathkii, ferner ein vom Hrn. Grafen von
Keyserling geschenkter Zahn des Elasmotherium (als
mindestens sehr schwache Grundlage des Fischer-
schen Elasmotherium Keyserlingii) beachtenswerth. Ein
grosser Theil des Schrankes wird endlich von einer
sehr bedeutenden Zahl theils in der Gegend von
Odessa, theils in der Stadt selbst ausgegrabener Kno-
chen ausgestorbener Thiere eingenommen, welche meist
von Hrn. Professor v. Nordmann, theilweis aber
auch von meiner Reise in Südrussland herstammen.
Die Anfänge zur begonnenen, eigenen Sammlung
von Überresten ausgestorbener Wirbelthiere sind also
bereits nicht unbedeutend und bieten, ausser so man-
chen Seltenheiten, eine nicht zu verachtende Zahl von
Stücken, die nirgends vorhanden sind.
Auch diese Anfänge sind übrigens, obgleich mehrere
von ihnen bereits von Pallas, Tilesius, v. Baer,
G. v. Fischer und v. Nordmann beschrieben waren,
neuerdings nicht unbenutzt geblieben. Namentlich lie-
ferten die genannten Reste des Mastodon, des Nas-
horns und des Cetotherium den Stoff zu mehr oder
weniger umfassenden Aufsützen des Verfassers dieses
Berichtes. Andere der erwähnten Reste, wie der Zahn
des Elasmotherium, und die Reste des Mamont sind
bei fast vollendeten Arbeiten desselben benutzt wor-
den. Über das Mamont namentlich ist eine monogra-
phische Arbeit vorbereitet, wozu unsere Sammlung
den in seiner Art einzigen Stoff bietet.
Die Bibliothek des zoologischen Museums.
Die in den zoologischen, vergleichend-anatomischen
und paläontologischen Sammlungen aufbewahrten Ma-
terialien hätten weder mit der wünschenswerthen
Schnelligkeit und einem müglichst-geriugen Zeitverlust
bestimmt, noch gründlich bearbeitet werden können,
wenn nicht der erforderliche literärische Apparat in
genügender Menge in der Nähe der Sammlungen sich
befände, so dass er zu jeder Zeit zugänglich ist und
nicht erst an bestimmten Tagen und Stunden aus einer, |
an einem andern Orte aufgestellten, Bibliothek geholt
di ia
zu werden braucht. Die Zweckmässigkeit der Auf-
stellung der zoologischen und vergleichend-anatomi-
schen Werke im Local der zoologischen Sammlungen
wurde daher zur möglist-schnellen Förderung der wis-
senschaftlichen Arbeiten sogleich bei der Überführung
der Sammlungen in ihr jetziges Local als ein dringen-
des Bedürfniss, auf meinen Vorschlag, von der Akademie
anerkannt. Die zoologischen und vergleichend-anato-
mischen Werke bilden in Folge davon eine in beson-
deren Zimmern aufgestellte Abtheilung der grossen
akademischen Bibliothek, die aber unter der speciel-
len Leitung des Directors des Museums steht. Eine
solche Anordnung gewährte auch den Vortheil, dass
die Lücken derselben leichter zu übersehen waren
und für ihre Ausfüllung Sorge getragen werden konnte.
Mein ohnehin bedeutender Geschäftskreis wurde frei-
lich dadurch um neue Verpflichtungen vermehrt. Es
musste indessen der Fürderung der Wissenschaft und
dem Fortschritte der Sammlungen ein Zeitopfer ge-
bracht werden.
Als die zoologischen und vergleichend-anatomischen
Werke in das Local des Museums übergeführt wur-
den, bildeten sie übrigens einen überaus mangelhaften
literárischen Apparat. Es fehlten eine Menge der
wichtigsten und unentbehrlichsten Schriften. Ihre Zahl
war so gering, dass sie in einem einzigen, mässig-gros-
sen Schranke Platz fanden und noch nicht so viel
Hunderte, als jetzt Tausende von Bänden ausmachten.
Im Verlaufe von mehr als dreissig Jahren war ich
bestrebt sowohl für die Ergänzung der ältern, als auch
für Anschaffung der neuern Werke Sorge zu tragen.
Selbst die kostbarsten Prachtwerke, wenn sie für die
zoologischen Wissenschaften wichtig erschienen, wur-
den angeschafft. So entstand nach und nach eine sehr
ansehnliche Büchersammlung, die in einem sehr ge-
rüumigen, dreifenstrigen Zimmer keinen Platz mehr
fand, weshalb ein Theil der Werke (die rein entomo-
logischen) in einem andern Raume (dem entomologi-
schen Cabinet) untergebracht werden musste. In ihrer
gegenwürtigen Gestalt darf die zoologische Bibliothek
ohne Frage nicht bloss als die vollstündigste in Russ-
land, sondern als eine der reichsten überhaupt ange-
sehen werden. Nühere Angaben über ihren Bestand
sind in dem Jahresberichte enthalten.
Die zoologische Bibliothek wird übrigens nicht bloss
von den Akademikern und den beim Museum ange-
ss D
stellten Personen, sondern auch von Privatpersonen
sehr häufig benutzt. Die Gebrauchsregeln sind mög-
lichst liberal, so dass die Werke nicht bloss im Locale
der Bibliothek, sondern auch zu Hause benutzt wer-
den können. Selbst auswärtigen Gelehrten werden zu
ihren wissenschaftlichen Arbeiten Bücher zugesandt.
So machten z. B. die Zoologen Dorpat’s mehrmals
davon Gebrauch.
Mit Recht darf also auch die zoologische Bibliothek
zu den Einrichtungen gezählt werden, welche die
Wissenschaft im weitesten Sinne bisher förderten.
Das zoologische Laboratorium,
Wir bemerkten bereits oben, dass bei der Umge-
staltung der zoologischen Sammlungen die Gründung
eines zoologischen Laboratoriums sich als eine Noth-
wendigkeit herausstellte und besprachen seine erste
Einrichtung unter der Leitung des kunstgeübten Hrn.
Schrader, der den Titel eines Conservators erhielt.
Dieselbe dauerte indessen leider nur bis zum Jahre
1846, in welchem er Petersburg verliess und nach
Deutschland zurückkehrte. Nach Verlauf von mehr
als drei Jahren, während welcher ein Maler Prüss die
Aufsicht über das Laboratorium führte, trat der von
seinen grossen, oben erwähnten, erfolgreichen Reisen
zurückgekehrte damalige Präparant, der älteste und
ausgezeichneteste der Eleven Schrader’s, Hr. Ilja
Wosnessenski, an seine Stelle, die er noch jetzt
gewissenhaft ausfüllt. Unter seiner Leitung gehen die
Arbeiten im Laboratorium ohne Unterbrechung fort,
Die künstlerischen Leistungen kommen, wie schon zu
den Zeiten Schrader’s, nicht bloss dem Museum zu
gut, sondern es werden die freien Stunden von den
Präparanten zur Anfertigung von Privat-Arbeiten be-
nutzt, die sich nicht allein des ungetheilten Beifalles,
selbst im Auslande, erfreuen, sondern auch die Aller-
höchste Anerkennung sich erwarben. Russland hat bis
jetzt kein zweites ähnliches Institut aufzuweisen.
Die zoologischen und vergleichend - anatomischen
Anstalten entfalteten demnach nicht nur ihre nützliche
Thätigkeit seit mehr als dreissig Jahren in wissen-
schaftlicher Beziehung, vorzugsweise durch Ermögli-
chung umfassender und zahlreicher Untersuchungen
über die Thierwelt Russlands, sondern zeichnen sich
auch durch ihre künstlerischen Leistungen aus. Sie
können also, in wissenschaftlicher Hinsicht, wohl mit
Recht, als eine, früher in Russland nicht vorhandene,
PETER Anstalt für zoologische Studien 9€
werden.
— ——— e -—— —
Das mineralogische Museum.
Von Adolph Goebel, Conservator des Museums.
Kurze Uebersicht der Geschichte des Mineralogischen
Museums der Academie,
Bald nach der Gründung der Akademie der Wis-
senschaften durch Catharina I. im J. 1725 begannen
auch die Anfänge dessen, woraus sich allmählich das
heutige Mineralogische Museum der Akademie ent-
wickelte. Schon unter Peter dem Ersten waren die
für die damalige Zeit bedeutenden Naturalien - Cabi-
nette des Apothekers Seba in Amsterdam und des
Dr. Gottwald in Danzig angekauft worden, in wel-
chen sich neben vielen Curiositäten auch viele Ge-
genstände des Mineralreichs befanden. Diese wurden,
nebst den späteren Acquisitionen, den Sammlungen des
Archiaters Areskine in Moskau, sowie der Ausbeute
der wissenschaftlichen Reisen Messerschmidt's,
J. G. Gmelin's und Krascheninnikow’s in Sibi-
rien und Kamtschatka, seit dem Jahre 1726 in dem
neuen Akademiegebäude untergebracht. Der Akade-
miker Gmelin begann eine ausführliche Beschreibung
des mineralogischen Theiles des allgemeinen Museums
der drei Naturreiche der Akademie in lateinischer
Sprache. Dieselbe wurde von Lomonossow beendigt
— ` WË
und im Jahre 1745 herausgegeben unter dem Titel:
«Musaei Imperialis Petropolitani Vol. I, pars tertia,
qua continentur res naturales ex regno minerali». Es
ist dies der einzige gedruckte Catalog, welchen
das mineralogische Cabinet der Akademie überhaupt
gehabt hat. Die Móglichkeit der Benutzung desselben
dauerte aber nicht lange, da bereits zwei Jahre dar-
auf, am 5. December 1747, das Akademiegebäude zum
Theil von den Flammen verzehrt, und damit zugleich
der grósste Theil der Sammlungen vernichtet wurde.
Im folgenden Jahre wurden von der Kaiser» Eli-
sabeth Geldsummen für die Wiedereinrichtung der
akademischen Anstalten und Museen angewiesen. Die
vom Brande geretteten Mineralien wurden durch die
Collectionen vergróssert, welche der an die Akademie
berufene Professor Gmelin aus Tübingen mitbrachte.
Im J. 1760 zählte das Museum wieder 4098 Stücke
nichtrussischer Mineralien und 266 Stücke Bernstein
und angeschliffener Steine, deren vollständiges, vom
Akademiker Lehmann angefertigtes Verzeichniss
noch vorhanden ist. Die mineralogischen Sammlungen
brachte man im J. 1766 in dem unteren Stockwerke
des restaurirten Akademiegebäudes (der jetzigen Bi-
bliothek) unter.
Im J. 1767 wurde die für jene Zeit bedeutende
Sammlung des Bergraths Henkel angekauft, welche
2425 Nummern zählte und mit vollstindigem beschrei-
bendem Katalog versehen war. Zugleich erhielt das
Museum einen bedeutenden Zuwachs durch die wis-
senschaftliche Ausbente der Expeditionen, welche zur
Regierungszeit Catharina's II. in den Jahren 1768—
1775 ins Innere des Reiches ausgesendet wurden.
Pallas mit seinen Begleitern Sokolow, Sujew und
Rytschkow, Lepechin mit Beretsky und Falk in
Begleitung von Georgi und dem Chirurgen Barda-
nes wurden ins Orenburgische Gouvernement und das
östliche Russland abgefertigt, während Gmelin der
jüngere, Hablizl und Güldenstedt in den Süden des
Reiches und nach Persien sich begaben. Die minera-
logisch-geognostische Ausbeute dieser Reisen ist vom
Prof. der Botanik, Laxmann, in einem 1508 NN?
zählenden Catalog zusammengefasst worden, der lei-
der nicht mehr vorhanden ist, und von dessen theil-
weisem Inhalte wir nur durch die spüteren Cataloge
des Akademikers Georgi belehrt werden, in welchen
jener auszüglich übergegangen ist.
Aus allem Vorhandenen wurde schliesslich im J.
1776 das mineralogische Museum von neuem reor-
ganisirt und in zwei Zimmern des akademischen Ge-
bäudes placirt, woselbst die Sammlungen nach der
früheren Lehmann'schen Eintheilung in drei Abthei-
lungen zerfielen, die im Ganzen 8947 Nummern zühl-
ten. Eine allgemeine Übersicht des Inhaltes dieser
Sammlungen theilt Bacmeister mit in seinem Zssai
sur la bibliothèque de l'Académie etc. 1776, p. 221.
Mit dem Antritte der Fürstin Daschkow als Präsi-
dentin der Akademie beginnt für eine Zeit lang eine
neue Aera für das mineralogische Museum. Diese
Dame interessirte sich lebhaft für das Gedeihen aller
Anstalten und Museen der Akademie, und ganz be-
sonders für das mineralogische Museum, welches ihr
eine Menge werthvoller Acquisitionen und Geschenke
verdankte. Sie setzte Preise für mineralogische Ar-
beiten aus, deren erster im J. 1785 Hrn. Carl Hai-
dinger in Wien zuerkannt wurde. Man kaufte die
Sammlung des Staatsraths Nartow für 8000 Ru-
bel an, und dieser wie anderweitiger Zuwachs Sei-
tens der Kaiserin Catharina II. und vieler Privat-
personen, hatte zur Folge, dass die Präsidentin das
mineralogische Museum in zwei besondere gerüumige
Säle überführen liess. Die Akad. Faber, Georgi,
Sujew und der Correspondent der Akademie, Reno-
wantz, erhielten 1785 den Auftrag, das neue Museum
einzurichten und einen vollstándigen Catalog zu ent-
werfen. Dieser wurde mit vereinten Kräften im J.
1789, aber hauptsächlich von Georgi redigirt, been-
digt und umfasst zwei in lateinischer Sprache geschrie-
bene Foliobände, deren einer das Verzeichniss der
ausländischen Mineralien, der andere aber das der
Mineralien und Gesteine Russlands enthält. Es waren
am Ende des Jahres 1789 im Ganzen etwa 12,900
Exemplare vorhanden, deren Zahl sich in den fol-
genden Jahren durch Ankauf und Geschenke bedeu-
tend vermehrte.
Die innere Einrichtung des Museums scheint nun
circa 20 Jahre lang sich nicht geändert zu haben. In-
dess dürfte es in dieser Zeit wiederum theilweise dis-
locirt worden sein, wie solches aus einem Berichte
des Akademikers Ssewergin vom Jahre 1821 her-
vorgeht, nach welchem die Sammlungen «in vier Zim-
mern vertheilt waren, die an verschiedenen Stellen
der mittleren Etage des akademischen Gebäudes sich
- ` ZS
befanden». Auch mochten die sich häufenden Acquisi-
tionen sowie hauptsächlich die neuen Gesichtspunkte,
welche seit dem Schlusse des Jahrhunderts durch die
Entwickelung der Wissenschaft gewonnen waren, die
Ausbildung der Krystallographie durch Romé de
Lisle und Hauy, die Entwickelung des auf die Be-
stimmung physikalischer Kennzeichen basirten Mine-
ralsystems der Werner’schen Schule, wie das auf-
blühende Studium der Geognosie und Erdbeschrei-
bung — eine neue Anordnung des Ganzen zur unab-
weisbaren Nothwendigkeit gemacht haben. Zugleich
wurde wegen des Gewichtes der Mineral- und Ge-
steinsmassen, die in der mittleren Etage des Gebäu-
des angehäuft, dessen Sicherheit bedrohten, sowie be-
hufs bequemerer Übersicht des ganzen vorhandenen
Mäteriales eine neue Dislocation der Sammlungen
wünschenswerth.
Unter dem Akademiker Ssevergin wurde diesen
schon lange zeitgemäss erscheinenden Anforderungen
endlich’ entsprochen. Im Jahre 1820 führte man alle
Sammlungen aus den erwähnten vier Zimmern der
mittleren Etage in die untere gewölbte Etage über,
und vereinigte sie dort in einem einzigen grossen
Saale, der sich beim Eingange in die Kunstkammer
befand. Ssewergin ordnete das Museum von Neuem
und theilte es in sechs grosse Abtheilungen:
Cabinet der russischen Mineralien.
Cabinet der ausländischen Mineralien.
Cabinet geordnet nach Hauy’s System.
Cabinet für äussere Kennzeichenlehre.
Cabinet für Geognosie.
Cabinet für geographische Verbreitung der Mi-
neralien Russlands, nach den einzelnen Gouver-
nements geordnet (Ka6nuery reorpaeumeckiit).
Für alle diese Abtheilungen existiren aber keine
Cataloge. Wir haben nur eine allgemeine Übersicht
des damaligen Zustandes der Sammlungen, den oben
erwühnten Bericht, welchen Ssewergin im Jahre
1821 in den Druck gab. (Kparkas onmes Mnsepa.up-
pour Kaönuery Unneparopckoü Ara teuin Hart, no
HOBOMY OHarO pàenoJo;keniro BB 1820 rogy Cn6. 1821 P
Nach derselben betrug die Gesammtanzahl der Echan-
tillons im Museum 20,000.
Die nun folgende Periode des dritten Decenniums
dieses Jahrhunderts ist überhaupt mit die dunkelste
in der Geschichte unseres Museums. Aufzeichnungen
Le A ERF
sind nur spärlich vorhanden und hören für die Jahre
1826 bis 1829 fast ganz auf.
Im J. 1830 endlich beginnt eine neue und schliess-
liche Änderung. Hr. Postels, der von seiner Reise
um die Welt eine nicht unbedeutende geognostische
Sammlung mitgebracht, erhielt zuerst den Posten ei-
nes Conservators des Museums und Gehülfen des der-
zeitigen Directors, Hrn. Akad. Kupffer. In demsel-
ben Jahre erhielt die Akademie die zu ihrer Zeit be-
rühmte Mineraliensammlung des Ministerresidenten
v. Struve in Hamburg, welche vom Kaiser Nicolai I.
für 50,000 Rbl. Bco. angekauft worden war, als Kai-
serliches Geschenk. Dieselbe zählte 6570 NN? und ent-
hielt viele sogenannte Prachtstücke. Zugleich wurde
auch im folgenden Jahre ein neues Local für das mi-
neralogische Museum angewiesen und, nach beende-
ter Einrichtung, in den folgenden Jahren die Sammlun-
gen in die neuen, noch bis zu dieser Stunde von ihnen
eingenommenen Räume übergeführt. Im J. 1835 be-
richtete Postels, nach Aufstellung der Sammlungen,
dass 30,000 Stück vorhanden seien. Erst unter seinem
Nachfolger, Hrn. Major v. Helmersen, wurde wie-
derum nach langer Zeit (seit Georgi) das erste ge-
ordnete Schnurbuch eingeführt, und eine sorgfältige
Sichtung und Anordnung des Vorhandenen begonnen.
Nach ihm machte sich Dr. Grewingk verdient durch
die Zusammenstellung eines Theiles der historischen,
das Museum betreffenden Notizen, so wie durch die
Anfertigung mehrerer Specialcataloge.
In Folgendem sind nach dem bestehenden Schnur-
buche die der Zahl der Stücke nach grôsseren Acqui-
sitionen in chronologischer Reihenfolge auszüglich
zusammengestellt, welche das Museum seit seiner
Gründung durch Ankauf oder Geschenke erhalten
at. Von diesen sind die älteren Sammlungen meist
früher zerstückelt und in die Bestandtheile der all-
gemeinen Sammlung übergegangen, theils im Laufe
der Zeit ausrangirt worden, und von ihrem vollstän-
digen Inhalte werden wir jetzt nur noch durch die
Cataloge belehrt, welche uns aufbewahrt blieben und
von denen manche recht ausführlich sind. Die grós-
seren Acquisitionen aus neuerer Zeit sind, nament-
lich seit dem Jahre 1818, fast alle ganz vorhanden.
1716. Cabinet des Apothekers Seba in Amsterdam.
Musaeum Gottwaldianum aus Danzig.
dee ` is
1726. Sammlung des Archiaters Areskine.
1727. Sammlungen von Messerschmidt’s Reisen.
1738—45. Gmelin’s Mineralien vom Ural und Si-
birien.
Krascheninnikow’s Mineralien
tschatka.
1757. Prof. Gmelin, ausländische Mineralien,
1767. Henkel’s Sammlung, 2425 NN.
1768—1774. Ausbeute der Reisen von Dallas, Georgi,
Lepechin, Falk, Gmelin d. j. und Güldenstedt
in Laxmann’s Catalog (1508 NN.).
1780. Schwedische Mineralien von König Gustav III.
313 NN..
1781. Sako's Sammlung.
: Turtschanino w, Kupfererze von sonde wo.
1784. Narto w’s Sammlung, 1763 Stück.
1785. Gebirgsarten von Vogt in Weimar. 60 NN.
Gerngross, Steine und Erdarten aus Pleskau.
Fürstin Daschkow, Krystallsammlung aus dem
Caucasus.
Hablizl, Fossilien aus Moscau.
1786. Fürstin Daschkow, Mineralien aus Russland
und eine Suite von 19 Krystallen und Petre-
o facten.
1788. Rasderischin, 90 Mineralien aus Nertschinsk.
1791. Chwastow’s Sammlung. 1935 NN.
1792. Herrmann's geognostische Sammlung vom
Ural. 112. NN.
Oseretzkovsky, 760 St. in- und ausländischer
Mineralien.
1793. Fürstin Daschkow, eine grosse Zahl Minera-
lien.
General Wolkow, Mineralien aus Perm.
1796. Rasderischin, 169 St. russischer Mineralien.
Herrmann, 20 sibirische Mineralien.
1797 — 98. Nartow, einige Mineralien.
Renovantz, 8 Silberstufen aus Kolywan.
Herrmann, 38 Mineralien vom Altai.
1798. Lowitz, 288 Krystallmodelle in Wachs; 85
Salze und Efflorescenzen in Gläsern.
1799— 1802. Herrmann, Suite von Mineralien aus
~ dem Altai.
1803. Gen. Somoff, 28 Mineralien aus Kamtschatka.
1804. G. Forster, 76 Mineralien aus Spanien.
Herrmann, zwei Kisten Mineralien aus Jeka-
terinburg.
aus Kam-
Ssewergin, 77 finnländische Mineralien.
Davelay, 100 St. Mineralien und Petrefacten.
G. Forster, 1029 englische Mineralien.
1805. Antonio Cetti, 94 Mineralien aus Norwegen.
Wagner, 1146 Mineralien aus Ungarn und Sie-
benbürgen.
1806. Lowitz’s Nachlass, 1238 Mineralien ohne An-
gabe des Fundorts.
1807 — 1808. Adams, zwei Kisten Mineralien von
seiner sibirischen Reise.
Redoffsky, zwei Kisten Mineralien und zwei
Kisten vulkanischer Produkte.
Schenschin’s Sammlung von 2041 NN.
Graf Bournon, 378 seltene Mineralien, worun-
ter 67 Spinellvarietäten und 6 Diamanten.
1811.
1812.
1816.
Schlegelmilch, 65 caucasische Mineralien.
Etter, 39 nordamerikanische Mineralien.
Aus Petrosawodsk, ein Kasten mit 145 Mine-
ralien.
Graf Steinheil, 55 finnländische Mineralien.
Prof. Zipser, zwei Centurien Mineralien aus
Ungarn.
1819. Nordenskiold, 26 finnische Mineralien.
Zipser, dritte und vierte Centurie ungarischer
Mineralien und Gesteine.
Lubarsky, Mineralien aus Kamtschatka.
1822. Langsdorff, 68 brasilianische Mineralien.
Zipser, fünfte Centurie Mineralien aus Ungarn.
Bonsdorf, 31 schwedische Mineralien.
1826. Pander, Geognostische Suite und Petrefacten
der Umgegend von Odessa.
1828. Dr. Hofmann, geognostische Sammlung von
der zweiten Weltreise Kotzebue's.
1829. Zipser, sechste Centurie Mineralien aus Un-
1817.
1818.
garn.
Langsdorff, 57 brasilianische Mineralien.
1830. v. Struve's Sammlung, 6570 NN.
Postels, geognostische Sammlung von seiner
Reise um die Welt, 332 NN.
1831. Eichwald, Geognostische Suite aus Wolhynien
und Podolien, 39 NN., und 35 fossile Muscheln.
Herrmann, 28 Mineralien vom Ilmengebirge.
1832. Herrmann, 36 Mineralien vom Ilmengebirge.
Sennoner in Venedig, drei Kisten italienischer
Mineralien und Gesteine.
dus e
1833— 1834. 150 Mineralspecies aus der Sammlung
der Société philomatique zu Warschau.
Fuss, 2 Suiten sibirischer Mineralien, 49 NN.
143 Stücke Bernstein, ausgegraben beim Fe-
stungsbau von Brest-Litowsk.
Acht Kisten Mineralien- und Petrefactensamm-
lungen aus Warschau.
1835. Vanotti in Neapel, 292 NN. Laven und vul-
kanischer Produkte des Vesuv.
1836. Nils Nordenskiold, 25 finnländische Mine-
ralien.
Berens, 7 norwegische Mineralien.
v. Struve in Hamburg, Suite böhmischer Ba-
salte und eine Suite finnländischer Mineralien.
Tamnau, 580 norwegische Mineralien.
1838. Kämmerer, 15 Stück Ural’scher Mineralien.
Akad. Köppen, 37 Felsarten aus der Krym.
Wetter, Erze und Eisenkiese aus Tobolsk.
1839. Gauger, 16 nordamerikanische Mineralien.
Zipser, siebente Centurie ungarischer Minera-
lien.
1839. Dr. Lehmann, geognostische Suite von No-
vaja Semlja. 58 Stücke,
Angelin, 50 NN. schwedischer Petrefacten.
W. Böhtlingk, geognostische Sammlung aus
Kola und Finnland.
1840. Kuprianow, geognostische Suite von der NW.-
Küste Amerika’s.
Dr. Fischer, Mineralien und Petrefacten von
seiner Reise um die Welt.
Dr. Al. Schrenck, Geognostische Sammlung aus
Lappland und dem Gouvernement Archangelsk.
Fürst Dolgoruki, Petrefacten aus dem Kreise
Gschatsk, Gouv. Smolensk.
1841. v. Baer, Felsarten aus Lappland.
Gillet, 15 NN. aus den Kohlengruben von St.
Etienne.
Wosnessensky, geognostische Sammlung von
seiner Reise um die Welt.
Akad. Kupffer, 11 NN. sibirischer Mineralien.
Akad. Parrot, Devonische Fischreste vom Burt-
neksee.
1842. Akad. Ruprecht, geognostisch - geologische
Sammlung von seiner Reise auf der Halbinsel
Kanin.
Koschewarow, Petrefacten aus Sitcha.
Becquerel, Silbererze und Schmelzprodukte
aus Mexiko.
Dr. Clot-Bey, Petrefacten und Felsarten aus
Ägypten.
v. Struve, Produkte des Hamburger Brandes.
Anatole Demidow, geognostisch - geologische
Sammlung von seiner Reise in die Krym, 434
NN.
Akad. Hamel, Sammlung von Thonschieferplat-
ten mit Fischabdrücken des schottischen Old-
Red.
1843. Vom Fernandineum in Innsbruck, 204 Fels-
arten aus Tyrol.
Akad. Fritzsche, 79 Stück caucasischer Fels-
arten. |
Dr. Clot-Bey, Versteinerungen aus Ägypten.
Kolenati, 234 caucasische Felsarten.
1844. Sedakow, vier sibirische Mineralspecies, 91
Stück.
Krantz, 25 Stück Mastodonknochen.
1845. Basiner, geognostische Sammlung von seiner
Reise nach Orenburg und Chiwa.
Motschulsky, Mineralien vom Caucasus und
aus Tomsk.
Dr. Al. Lehmann, Ee EH
Sammlung von seinen Reisen in Orenburg, im
Ural, in Chiwa und Buchara.
v. Helmersen, geognostische Sammlung vom
Ural und Altai.
Vom Bergkorps, eine Suite Pflanzenreste des
Petrowsker Kohlengebirges und der Permischen
Kupfersandsteinformation.
Bloede, 200 Stück Petrefacten verschiedener
Formationen.
Akad. v. Middendorff, geologische Sammlung
von seiner sibirischen Reise.
1846. Herzog v. Leuchtenberg, 40 Stück Fisch-
überreste der lithographischen Schiefer von
Eichstädt.
Dr. Grewingk, Pflanzenabdrücke der Walden-
burger Kohlenformation, 60 Stück.
Derselbe, 500 Stück Petrefacten verschiedener
Formationen.
Derselbe, 50 Stück aus dem Freiberger Silber-
und Kupferkfikeunfoaiene,
Nöschel, geognostisch - geologische Sammlung
von Orenburg und den Wolgagegenden. 203 NN.
Krantz, Schweizer Felsarten. 102 NN.
Wosnessensky, Petrefacten und Felsarten des
russischen Amerika. 220 NN.
Mario Gemellaro, Laven und vulcanische Pro-
ducte des Ätna, 100 Stück.
1848. Wosnessensky, geognostische Suite von der
Insel Urup.
Von Kranz: 100 Species devonischer Petrefac-
ten vom Rhein und der Eifel, 100 Sp. siluri-
scher von Skandinavien, 14 Sp. aus den geho-
benen Alluvialschichten Skandinaviens und 4
Modelle von Sauriern der Juraperiode.
Von demselben 260 verschiedene Mineralien.
Batka in Prag, Sammlung künstlicher Edel-
steine.
1849. Dr. Grewingk. Geologisch - geognostische
Sammlung von-seiner Reise nach der Halbinsel
Kanin.
Zoologisches Museum, 10 persische Gebirgs-
arten.
Baer jun., 55 Felsarten der Krym.
Wosnessensky, 350 Stück Felsarten aus Kam-
tschatka.
1850. Dr. Stubendorff, 230 NN. Felsarten von der
Lena und aus Ostsibirien.
Iljin, 150 Petrefacten der Krym.
1851. Dr. Buhse, 189 NN. Gebirgsarten von seiner
Reise in Persien.
Osersky, 118 NN. Felsarten von Goroblagodat.
Wosnessensky, 185 NN. Versteinerungen ver-
schiedener Formationen.
Polenow, 12 Goldstufen aus Brasilien.
Krantz, 2617 NN. Petrefacten der Trias von
St. Cassian, des Zechsteins, des Bergkalks von
Irland, Belgien und Schlesien, der devonischen
Schichten des Harzes, des Rheins und der Eifel,
der silurischen Schichten Dudley’s, Bands,
viens, Böhmens und Nordamerikas, nebst S
lungen fossiler Fische, Trilobiten, Cephalopo-
den, Brachiopoden, Echinodermen und Crinoi-
den verschiedener Formationen.
Dr. Grewingk, Suite von Gebirgsarten der
“uralischen Smaragdgruben.
Nyst’s Sammlung tertiärer Petrefacten von Bel-
1852.
1853.
1855.
gien. Système Campinien, Tongrien et Bruxel-
lien. 247 NN.
Mayer’s Sammlung tertiärer Petrefacten von
Bordeaux Syst. Dertonien, Helvétien, Aquita-
nien et Tongrien. 433 NN.
Von Krantz: 1032 NN. tertiärer Petrefacten
aus Ober-Italien, von Wien, Tours, Bordeaux,
vom Rhein und aus dem Londonclay, eine Ko-
rallensammlung und Versteinerungen der Num-
muliten-, Hippuriten- und Gosauschichten.
Petrefacten der Juraformation, nach Quenstedt.
796 NN.
1855. Versteinerungen der Pariser Eocenschichten.
203 NN
Petrefacten der weissen Kreide von England.
50 NN.
1857. Akad. v. Baer, Petrefacten der Wolgagegen-
den und von Mangischlak. 197 NN.
C. v. Ditmar, geognostisch - palaeontologische
Ausbeute seiner Reisen in Kamtschatka und im
südöstlichen Sibirien.
1858. Mayer’s zweite Sammlung tertiärer Petrefac-
ten von Bordeaux (Syst. Aquitanien). 229NN.
Heer’s Sammlung tertiärer Pflanzen und Insec-
ten der Schweiz. 601 NN.
1859. Petelin, geologische Suite von der Insel Kod-
- jak im Aleutischen Meere. 138 NN.
Borsczow, geognostische Suite aus den Aral-
steppen. 24 NN.
Deicke, Sammlung tertiärer Petrefacten von
St. Gallen. 201 NN.
1860. Tamberlick, Sammlung von Miocenpetrefac-
ten aus Parana in Südamerika. 112 NN.
Maximowitsch, Gebirgsarten von seiner Reise
am Ussuri. 24 NN.
1861. Prof. Nordmann, Fossile Knochen der Ter-
tiärzeit bei Odessa und Kischinew. 54 NN.
Ssewertzow, Geognostisch - paläontologische
Sammlung von seiner Reise im Ust-Urt. 142 NN.
Maximowitsch's zweite Sendung vom oberen
Ussuri und dessen Nebenflüssen, wie von der
Südseeküste. 58 NN.
Fossile Büffel- und Pferdeknochen vom Ural.
19 NN.
Russische Geographische Gesellschaft, Pe-
trefacten und Gesteine von der Unscha. 9 NN.
5
A E
1862. Iwaschinzow, Proben vom Grunde und den
Ufern des kaspischen Meeres. 11 NN.
Dr. Albrecht, Producte japanischer Vulcane
und Erzgruben bei Hakodate. 10 NN.
Barbot de Marny, Geognostisch-paläontologi-
sche Sammlung von den Wolgasteppen und der
Expedition an den Manytsch. 115 NN.
1863. Hamel jun., Grosse Steinplatten des bunten
Sandsteins mit Algenabdrücken und Labyrinth-
odontenspuren, gleichwie Gypsabgüsse dersel-
ben. 24 NN.
Dr. Albrecht, Felsproben und Erze aus der
Umgebung von Hakodate in Japan. 12 NN.
Ad. Goebel, Geologische Suiten aus dem Caspi-
see, nämlich: geognostische Suite von der Halb-
insel Apscheron. 68 NN. Desgleichen von der
Insel Tscheleken. 61 NN. Fossile Tertiär-Con-
chylien des caspischen Beckens. 27 NN. (300
Stück.) Grundproben und ausgesuchte Mollus-
kenschalen verschiedener Tiefen des Caspisees.
42 NN. Molluskenschalen lebender Species in
Tausenden von Exemplaren ebendaher.
Ueber den jetzigen Zustand des Mineralogischen Museums.
Der Inhalt des heutigen Museums für Mineralogie
und Geologie ist ein Complex von circa 180 grösse-
ren und kleineren Sammlungen, die seit der Zeit Pe-
ter's des Ersten bis auf unsere Tage in den Besitz
der Akademie gekommen sind, ungerechnet vieler
einzelnen oder nur nach wenigen Exemplaren zählen-
den Acquisitionen. Bei den wiederholten Umgestaltun-
gen und Verschmelzungen verschiedenartiger Samm-
lungen zu einem Ganzen, die im Laufe der Zeit vor-
genommen wurden, lassen sich einige dieser Samm-
lungen, von denen ein grosser Theil ihres Bestandes
aus verschiedenen Gründen schon früher ausrangirt
wurde, in ihren nachgebliebenen Theilen kaum mehr
erkennen und die Herkunft der zu ihnen gehórigen
Stücke nachweisen. Solches dürfte indess in den bei
weitem meisten Füllen kein Verlust zu nennen sein, und
wenn ein solcher auf diese Weise stattgefunden, so
ist es eben nur die unausbleibliche Folge des jeweili-
gen Standpunktes der Wissenschaft selber gewesen.
Mit fortschreitender Entwickelung der Letzteren än-
dern sich auch allmählich unsere Begriffe und wissen-
schaftlichen Überzeugungen von der innern Wichtigkeit
vieler Gegenstünde in hohem Grade. Das Interesse
daran, wie ihr Werth, wird demgemäss im Laufe der
Zeit theils erhöht, theils vermindert. So z B. gehö-
ren Aérolithen, welche im vorigen Jahrhundert nicht
beachtet, ja weggeworfen wurden, jetzt zu den sel-
tensten und kostbarsten Acquisitionen. Den Werth und
die Wichtigkeit gut erhaltener Versteinerungen hat
man erst in diesem Jahrhunderte schätzen gelernt, und
mit der wachsenden Zahl der Forscher ist auch das
Interesse an ihnen in fortwáhrendem Steigen begriffen.
Dagegen sind die früher so theuer bezahlten sogenann-
ten Lusus naturae (Morpholithen, Dendrolithen, Con-
cretionen und viele geschliffene Steine) meist in die
Rumpelkammern gewandert und die Abhandlungen
und Schriften über dieselben haben wohl als Macula-
tur ihr materielles Dasein meist beschlossen. Krystal-
lisirte Mineralspecies, sonst den Hauptwerth der Samm-
lungen aus dem Reiche der anorganischen Natur bil-
dend, haben an und für sich heut zu Tage, nachdem
einmal ihre Krystallform, physischen Eigenschaften
und chemische Zusammensetzung erforscht sind, mehr
nur ein ganz secundäres Interesse, und sie gewinnen
für jetzt eine weitere und hóhere Bedeutung nur in
ihrem Auftreten als Pseudomorphosen. Hingegen
bleibt der denkende Geist vor den früher wenig beach-
teten zusammengesetzten krystallinischen und meta-
morphischen Gesteinen, als noch fast vüllig unerschlos-
senen Naturräthseln, mit Spannung stehen und bemüht
sich, theils durch künstliche Herstellung der chemi-
schen und physicalischen Bedingungen zu ihrer Bil-
dung im Laboratorium, theils durch das Studium der
grossen Erscheinungen in der Natur auf weiten Räu-
men, deren Entstehungsgang zu ergründen.
Die geringe Aufmerksamkeit, welche dem Museum
in den ersten dreissig Jahren dieses Jahrhunderts ge-
schenkt wurde, und, wie es scheint, der Mangel einer
passenden Räumlichkeit und Beaufsichtigung in jener
Zeit waren nicht sehr geeignet gewesen, die Instand-
haltung, innere Einheit und weitere Entwickelung des
Museums in dem Grade zu begünstigen, wie solches
eine öffentliche, wissenschaftlichen Zwecken geweihte
Sammlung erfordert. Späterhin ist sie von ihren Vor-
stehern so gut besorgt worden, als es den bestehen-
den Verhältnissen gemäss hat geschehen können.
Alle die genannten Umstände konnten nicht ohne
SECH WR TEE EN ES ht a un aa 1 ET m EI Eee "olv etu ET EP SEE SEE
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Einfluss auf den heutigen Zustand der Sammlungen
bleiben, deren Beschaffenheit und Anordnung, wie die
aller Museen und Sammlungen überhaupt, meist einen
treuen Abdruck des Bildungsganges und Characters
ihrer jeweiligen Vorsteher darzustellen pflegt, zum
wenigsten in denjenigen Theilen, welche von ihnen
selber erst beschafft oder Gegenstände specieller Stu-
dien und Beschäftigungen gewesen sind.
Die jetzigen Räumlichkeiten des Museum's beste-
hen in zwei grossen Sälen mit acht Fenstern, drei
kleinen Arbeitszimmern, von denen zwei, abgesondert
gelegen und dem asiatischen Museum gehörig, von
diesem zeitweilig abgetreten sind, einem Zimmer für
den Diener und einem dunkeln, kalten Corridor.
In den Sälen befinden sich längs den Wänden in
hohen Glasschrünken die allgemeinen oryctognosti-
schen Sammlungen, nach einem auf chemischer Grund-
lage basirten System geordnet, so wie eine nach For-
mationen geordnete allgemeine Petrefactensammlung.
Ein kleinerer Wandschrank enthält eine Collection
verschiedener Mineralspecies in einzelnen wohlausge-
bildeten Krystallindividuen, welche nach den sechs
krystallographischen Systemen geordnet sind.
Längs den Fenstern befinden sich einzelne gróssere
Gegenstünde auf Postamenten, wie die berühmte Pal-
las-Eisenmasse, der Aérolith Timoschin, eine Basalt-
säule von Antrim und ein geschliffener Labradorblock.
Der innere Raum eines jeden Saales ist von vier gros-
sen doppelten Tischschränken eingenommen, deren je-
der mit einem Glasaufsatz an der oberen Fläche ver-
sehen ist, unter welchem die grósseren Pracht- uud
Schaustücke aufgestellt sind. Die in diesen mittleren
Tischschränken befindlichen grossen Schiebladen, de-
ren im Ganzen 384 vorhanden sind, enthalten den
Hauptwerth des Museum's. Es befinden sich in ihnen
die wissenschaftlichen Specialsammlungen, Petrefac-
tensammlungen welche einzelne Formationen, Samm-
lungen welche die geologische Beschaffenheit verschie-
dener Erdstriche reprüsentiren, so wie die geologische
Ausbeute zahlreicher wissenschaftlicher Reisen, wel-
che theils von Gliedern der Akademie, theils von an-
dern Gelehrten ausgeführt worden sind. Unter diesen
nehmen die auf das russische Reich bezüglichen Col-
lectionen, welche die Räume von Sitka und der Süd-
seeküste bis Westrussland, von Nowaja Semlja und
den Taimyrtundren bis zu den persischen und chinesi-
schen Grenzen umfassen, eine hervorragende Stelle ein.
Zwei der Nebenziminer enthalten Sammlungen von
Expeditionen im südwestlichen Centralasien, sowie
eine grosse Anzahl von Proben der Gewässer aus ver-
schiedenen Theilen des Reiches, welche, von verschie-
denen Expeditionen zusammengebracht, ein kostba-
res und schätzenswerthes Material für die Begründung
einer chemischen Geologie der russischen Gewässer
darbieten. Sie sind zur chemischen Analyse bestimmt,
bleiben aber unberührt stehen, weil bis jetzt weder
die Mittel, noch die mindeste Möglichkeit gewährt wer-
den konnten, derartige Untersuchungsreihen auszu-
führen.
Im dunkeln Corridor sind gegen 60 Kisten aufge-
stapelt, mit Mineralien und Gesteinen angefüllt, wel-
che zum grossen Theile noch aus dem vorigen Jahr-
hunderte herrührend, ausrangirt worden sind, zum klei-
neren Theile aber noch gute und brauchbare Sachen
als Doubletten enthalten, die wegen Mangel an Raum
nicht placirt werden konnten.
Die Aufstellung und Anordnung der in den Sälen
befindlichen Sammlungen ist seit der Überführung der
mineralogischen Sammlungen der Akademie aus dem
alten Gebäude (der sogenannten früheren Kunstkam-
mer) in die jetzigen Räumlichkeiten vom Jahre 1832
an allmählich geschehen. Vom Jahre1831 bis zum Jahre
1861 haben folgende Conservatoren nach einander an
dem Museum gewirkt: Hr. Postels, Major Gr. v. Hel-
mersen, Obristlieutenant Bloede, Dr. Grewingk,
Mag. R. Pacht, Mag. Sokolow, und seit dem Juni
1861 der Schreiber dieses. Als Directoren standen
wührend jener Zeit vor: Hr. Akademiker, wirkliche
Staatsrath v. Kupffer und, auch gegenwärtig, Hr.
Akademiker, Generallieutenant Gr. v. Helmersen.
Die Zahl der in den Sammlungen befindlichen Stücke
betrügt nach dem seit dem Jahre 1838 bis jetzt ge:
führten Schnurbuche 48,173.
Gegenwärtig sind die Räume des Museums bereits
fast überfüllt und neue Acquisitionen sind nur schwer
zu placiren. Überhaupt ist die bestehende Einrich-
tung schon seit Jahren nicht mehr zeitgemäss und sie
bedürfte einer gründlichen Reorganisation. Hier-
in ist auch hauptsüchlich die Ursache des sehr be-
schränkten Nutzens zu suchen, welchen das Museum
dem Gemeinwesen wie der Wissenschaft bisher hat ge-
T. VII, N° 5.
— BULLETIN
> DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST--PÉTERSBOURG.
TOME VII.
(Feuilles 27 —31 .)
CONTENU:
Page
F. J. Ruprecht, Sur la formation du tchernozem ................ ECS ia A 416—425
Sur l'importance du tchernozem au point de vue de la science... ........... 425—438
M. H, Jacobi, Recherches sur les alcoomètres du système d’Atkins................. 438—451
A. Morawitz, Les crabronines des environs de St.-Pétersbourg ..................... 451—463
A. Borodin, Action du sodium sur le valeraldehyde.…............,................. 463—474
M. Pusyrewsky, Le minerai de fer provenant du puits artésien de St.-Pétersbourg. (Lettre
EX UNGULA E E EE KEN ex sdb aA s 474—476
M. Sokolof, De l'acide ß nitrobenzique et de l'action du zink sur sa solution ammo-
EEUU (1 o E I Qd oai 0 PR TR EM SR UN IO DE 476—480
ÄR Brandt, Sur les restes trouvés jusqu'à présent de l'elasmotherium.............. 480—482
B. Dorn, Une monnaie du Chirvanchah Minoutcher.. ............................. 382—484
A. Savitch, Note sur le nivellement barométrique.. ............. eene 484—491 `
exire ue cuan OS EE in IURI TIERE] da aD pio EE 492—496
EE ns Ra m 8 EE 496
— — —áudp cp abs — — —
On s'abonne: chez MM. Eggers & Che, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de
l'Académie (Komurerz IIpaszenis Hwneparopckoi Axaxewin Hayxs) et chez M. Léopold Voss,
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Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 8 rbl. arg. pour la Russie,
m 8 thalers de Prusse pour l'étranger.
BULLETIN
DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSROURC.
————
Über den Ursprung des Tschornosjom, von F. J.
Ruprecht. (Lu 6 mai 1864.)
Der Tschornosjom oder der Schwarzboden des mitt-
leren und südlichen Russlands ist, wie ich mich über-
zeugte, eine botanische Frage, aber aus diesem Ge-
sichtspunkte so gut wie gar nicht untersucht worden.
Er ist ein wichtiger Gegenstand für die politische
Üconomie und ein noch ungelöstes wissenschaftliches
Ráthsel. Der Flächenraum des Tschornosjom-Gebietes
beträgt nach officiellen Quellen beilàufig 87 Millionen
Desjätinen ‘) in 22 zusammenhängenden Gouverne-
ments oder etwa '/, des Europäischen Russlands. Eine
so grossartige Erscheinung, erklärt Murchison, hat
nicht ihres Gleiehen im übrigen Europa. Seit diesem
Ausspruche haben sich mehrere namhafte Gelehrte:
Geologen, Chemiker und Microskopiker auf diese Frage
geworfen.
Aber auch die Regierung nahm diesen Gegenstand
in die Hand; die Wichtigkeit der Bodenbeschaffenheit
lag zu Tage. Auf diese Weise kam in einigen Jahren
gp landwirthschaftlich - statistischer Atlas des Euro-
püischen Russlands zu Stande, dessen erste zwei Auf-
lagen 1851 und 1852 bald vergriffen waren und eine
verbesserte (Franzós.-Russ.) 3te Auflage im J. 1857
nöthig machten, die unter der Aufsicht des damaligen
Chefs der statistischen Abtheilung des Departement
` Wr Landwirthschaft im Ministerium der Reichsdomai-
nen, Akademikers und nunmehr beständigen Secretairs
unserer Academie , K. St. Vesselowski, ausgeführt
wurde, Auf der Karte N* 1 findet man die beste bis-
lerige Darstellung der Tschornosjom-Region in ihrer
fomplicirten Configuration und der beigegebene Text
. Dän auf eine sehr befriedigende Weise die Quellen
. User Zusammenstellung.
Sechs Chemiker: Du Menil, Hermann, Phillips,
ris Kb XosaïcrBeaxo-Crarucruseckomy arıacy Espo-
- Mm Ive. "a u3xamkoxy Jlenapramenrows Ceabckaro engem
ds E ee ee ; E —5 5
| ministère des domain de Pé i dé Hi nt ^v ou rurale.
— 187, es de l'état, départeme
Tome VII,
Payen, Schmid und Petzholdt haben in 30 Jahren
(1820—1850) 14 Proben des Tschornosjom von ver-
schiedenen Orten analysirt?), um das Wesen dessel-
ben, seine Entstehung und seit Alters her berühmte
Fruchtbarkeit zu erklüren. Fasst man die Resultate
dieser Analysen zusammen, so erhült man als Haupt-
bestandtheile des Tschornosjom:
a) an trockenen organischen Substanzen (Humus):
im jungfräulichen Boden: 10°/,, 10*/, tiefer 9'/, 8'/;,
8 und über dem Untergrund bloss 5°//, — in unge-
düngtem Ackerboden, 8'/, (zweimal) 8'/,, — im gedüng-
tem Boden 18%. Allein im jungfräulichen Boden des
Gouv. Poltawa, wo der Tschornosjom schwürzer ist,
als im Gouv. Orel und Rjäsan, fand Borissjak?) in den
unteren Schichten 7 — 9%, in den mittleren 10 — 12
und in den obersten 13 — 17%, Humus, mit einem
entsprechenden Wassergehalt von 3, bis 4/7.
b) an Kieselerde und Silicaten; im ungeglühten
Tschornosjom des Gouv. Rjäsan 71, 71, 69'/ — un-
bestimmt woher 71, 70 — Podolien 77'/, — Odessa
nur 60%, (kein ächter Tschornosjom). Im geglühten
Boden, wodurch der wüssrige Humus ausgeschieden
wurde, im Gouv. Orel 94, 94, 95, 92°/,, also selbst
nach der Umrechnung unter allen Analysen am mei-
sten — im Gouv. Tambow 71, 72, 78, also weniger
als im Gouv. Rjásan.
Man weiss jetzt aus anderen Experimenten, dass
die Kieselerde keine wesentliche Rolle bei der Ernüh-
rung der Cerealien spielt ^. Auch der Humusgehalt
ist nicht entscheidend, denn es gibt in gewissen Ge-
genden Achten Tschornosjomboden, der sich für Ge-
2) Du Menil in Schweigger Beitr. Chem. Phys. XXX (1820), S.
187.— Brinken Bewaldung d. Steppen 1838, S. 11. — Hermann (Prof.
in Moskau) in Erdmann Journal f. prakt. Chemie XII (1837), S. 277.
— Phillips & Payen in Murchison Geol. Russ. (1845), p. 559. —
Schmid (Prof. in Jena) in Bullet. Acad. Pétersb. 1850, VIII, 161. —
Petzholdt in Bullet. Acad. Petersb. 1850, IX, n. 5 und in Erdmann's
Journ. LI, 1. Petzh. Beiträge zur Kenntniss Russ. 1851, S. 43.
3) Bopucaxr, O vepkosemt. Xapbkops 1852, 74 pp. Eine Schrift,
die weniger bekannt ift, als sie verdient, wegen vieler trefflicher
darin enthaltener Beobachtungen.
4) Sachs in Flora 1862, n. 3. S
` .8. 268, 364
419
. Bulletin de l'Académie Impériale
420
treidebau erschöpft hat und gedüngt werden muss, ob-
gleich er hinreichend locker ist und noch 8'/,/, trok-
kenen Humus besitzt. Vielmehr sind es andere Ele-
mente, die durch den Dünger oder mit der Zeit hin-
einkommen und als Nahrungs- oder Reitz-Mittel wir-
ken. Ausser dem Ammoniak") ist der grosse Gehalt
an Kali und Natron (bis 4'/^/) und die Phosphorsäure
(bis '/^/) im jungfräulichem Tschornosjom durch die
Analyse nachgewiesen. Diese Elemente sind aber wohl
noch nicht die alleinige Ursache der gesteigerten
Fruchtbarkeit, vielmehr kommen noch andere Bedin-
gungen dazu wie: die mittlere Sommertemperatur, die
überall mehr als 14° beträgt, die solare Erhitzung des
bestellten Bodens, die lockere Beschaffenheit dessel-
ben, zu richtiger Zeit eintretende Regen und sorgfäl-
tigere Bearbeitung.
Die microskopische Analyse?) hat gezeigt, dass der
Tschornosjom keine marine organische Formen be-
sitze und dass keine Spur von Pflanzengewebe in dem
organischen Antheile zu bemerken sei, wohl aber eine
Menge Phytolitharien, wie solche so häufig in Grä-
sern vorkommen. Verbrannte Stipa gibt, wie man sich
durch ein leichtes Experiment überzeugen kann, die-
selben Phytolitharien und verkohlte Humusflocken,
beide mit Übergangsformen zum Kieselskelette. Die
Quantität der Phytolitharien und des formlosen Hu-
mus wüchst gewóhnlich mit der schwärzeren Farbe
des Bodens und der geringeren Tiefe desselben.
Über die Entstehung des Tschornosjom sind in den
letzten 20 Jahren verschiedene Erklärungen aufge-
stellt worden, die zwar Licht in diese Frage gebracht,
aber noch zu keiner Veri Lósung guine
haben.
Der Tschornosjom ist kein Seeschlamm, der durch
Meeresströmungen aus dem Norden”) oder etwa durch
das b und Caspi-
schen Meeres?) abgelagert wurde, denn es fehlen alle
Spuren von Meeresconchylien, mieroskopischen Poly-
thalamien und Polycistinen, ebenso die marinen Ba-
5) Giedwillo i in Bullet. We SS Mose. 1851, p. 503.
6) Schmid 1. c. — Petzh. — Ehrenberg Beilage z. Preuss.
Staatsanzeiger 1850 n. 261 si Mossiabetiolite d. Berl. Acad. 1850.
— 870. Ehrenb. Microgeologie Tab. 34. N. II, Fig. 1 —
22. — Weisse Bullet. soc. nat. Moscou 1855, p. 452.
7) Murchison, the Geologie of Russia 1845, p. 563, zum Theil
auch im Journal of the mee Socièty III as) 125 — 135
und JKypmare Mur. Toc. Hym. 1843, VIII, 119 — 138
8) Petzholdt Mes. c. S. 52.
cillarien-Arten. Es ist ferner schwer zu begreifen, wie
der Schlamm durch die Endspitzen der Nord - Fluth
auf einen so grossen Raum hinausgetrieben werden
konnte; eben so wenig ist es einzusehen, warum der
zuletzt trocken gelegte Caspisch - Pontische Meeres-
boden, der noch so háufig mit Seemuscheln lebender
Arten bedeckt ist und eine niedrige Steppe mit vie-
len Salzseen darstellt, nicht auch mit Schlamm (Tschor-
nosjom) bedeckt ist. Diese Ansicht vom Seeschlamme
ist schon 45 Jahre früher von Pallas?) aufgestellt wor-
den; er glaubte, dass Massen von Schilf und anderen
Pflanzen an den ehemaligen Meeresufern verwesten
und diese dicke Lage schwarzer Erde bildeten und
zwar an Ort und Stelle. Pallas kannte damals nur die
südlicheren Gränzen des Tschornosjom und hatte noch
keine rechte Vorstellung von der gewaltigen Ausbrei-
tung dieses Bodens; chemische und microskopische
Analysen waren noch unbekannt; er beruhigte sich
damit, dass die Meeresmuscheln in der Don'schen
Steppe durch Feuchtigkeit der Luft vollstündig zer-
stórt worden seien.
Der Tschornosjom ist auch nicht durch Ausiencke
nung und Verwesung der Torfmoore entstanden, ‚eine
Ansicht, die sich bis in die neueste Zeit erhalten hat
und weiter ausgebildet wurde ^). Dies würde eine
Menge zusammenhängender Torfsümpfe in dieser Re-
gion voraussetzen, ein kaltes Klima und Wälder. Das
nördliche Russland soll deshalb keinen Tschornosjom
haben, weil noch dichte Wälder im Ganzen das Aus-
trocknen der Sümpfe verhindern und mithin. keine
Umwandlung des Torfes erfolgen konnte. Gewiss hatte
das südliche Russland noch in historischer Zeit mehr
Wald, Sümpfe und Gewässer, als jetzt; dafür haben
die HH. Proff. Borissjak, Tschernajew und Pitra in
Charkow, interessante Beweise gesammelt!" ). Dennoch
sieht man aus den Schriften Herodot’s "), dass schon
damals über die Waldlosigkeit bei den Scythen und
Sarmaten stark geklagt wurde. Wenn man auch eine
9) Pallas Reise Dë Russ. I (1799), 8. bs
10) Eichwald IIazeoxrozoris Pocein 1850, . 244. — Wange ein
von bae im Bullet. do nat. Mosc. 1853, p. 1 sqq. und Nachtr trag
1854, S. 446. — Ludwig Geogenische und geo
Russ. 1862, S. 1 — st
11) Bonega À. c. — Tschernajew 0 rbcaxb Yxpalinst 1858. —
Pitra in Bot. Zeitung 1863, S. 79. — iv eg
12) Herodoti historia. IV, 18 — 28, 53, 61. — v. Baer, die uralte
Waldlosigkeit der Südruss. Steppen; in "Baer u. Helmersen Beitr.
| XVIII (1856), 109 und IV (1841), 180 — 183.
421
des Sciences de Saint - Pétershourg.
422
starke Bewaldung der Steppe in vorhistorischer Zeit
vermuthen wollte, so wären Beweise dafür nicht auf-
zubringen; vielmehr wachsen die abgehauenen Laub-
hölzer aus dem Stummel wieder aus und von diesen,
so wie von Nadelhölzern würden sich die Wurzelreste
hie und da in der Erde erhalten haben und bei der
mieroskopischen Untersuchung von 300 Proben aus
30 verschiedenen Orten durch H. v. Weisse wären auch
die kleinsten Partikel im Tschornosjom erkannt worden.
Aberauch Torfmoore ohne Waldungen kónnen nicht
das Material für den Tschornosjom geliefert haben.
Der Tschornosjom hat 70 — 80 Kieselerde, zum
Theil als Sand, zum Theil in der Thonerde. Der Torf
von Petersburg (Ochta) hat nach Prof. Wosskressen-
ski”) nur 6°/, Asche, und diese sind noch keine 6%,
reine Kieselerde. Aber wenn dies auch so wäre und
der Torf der Tschernosjom - Region selbst bis 30%
Asche geliefert hätte, so gäbe dies noch nicht die
Hälfte der Gewichts-Menge Kieselerde für eine gleiche
Portion Tschornosjom, noch weniger ist aber eine
Vergleichung nach dem Volumen beider statthaft.
Welch? eine mächtige Schichte des so lockeren Torfes
gehórte dazu, um eine 10 wenn nicht gar 20 Fuss
mächtige Tschornosjom - Schicht (abgesehen von den
6 — 12%, Humus) zu bilden! Die dicksten Torfdepots,
die man bisher kennt, haben hóchstens bis 40 Fuss
Mächtigkeit und würden bei vollständiger Verwesung
(langsamer Verbrennung) auf ein sehr Geringes, lange
nicht mehr Vergleichbares zusammensinken, wie das
die grossartigen Torfbrände des Petersburger Gouver-
nement im J. 1858 deulich zeigten.
` Noch mehr. Man müsste voraussetzen, dass die
Atmosphäre bis auf die tiefsten Schichten eines un-
geheuer mächtigen Torflagers zerstörend eingewirkt
tte, denn auch in den tiefsten Stellen hart über
dem Unterboden findet man im Tschornosjom keine
te von Pflanzengewebe mit Struktur. Es müssten
die oberflächlichen Schichten, die der Luft zugäng-
icher, also auch stärker BE sind, einen grösse-
ten Gehalt an unorganischen Bestandtheilen und ei-
nen geringeren an organischen strukturlosen Substan-
zen zeigen, als die tieferen Schichten. Wir sehen aber
Serade das Gegentheil im Tschornosjom, denn in ihm
nimmt der Humus-Gehalt mit der Tiefe ab. Die zer-
MEE s
13) Woskressenski in Bullet. Acad. Pétersb. 1845. IV, 378.
stórende Einwirkung durch die Atmosphäre wäre also
in der Tiefe grösser gewesen, als an der Oberfläche.
Wer wird das behaupten wollen? Mir däucht, dass
es Zeit ist, von diesem Wege zurückzukehren, weil
er nicht zum Ziele führen kann.
Der Tschornosjom entstand also auch nicht aus
Torf, Schlamm und faulenden Pflanzenstoffen des nórd-
lichen Russlands, die durch einen Transport, wie die
nordischen erratischen Blócke und Geschiebe nach
Süden gebracht und abgelagert wurden"). Es ist auch
kein Verwesungsprodukt von Wasserpflanzen an Ort
und Stelle, weil die meisten derselben zart, weich
oder fleischig sind, auch unter Wasser verfaulen und
hóchstens eine dünne Lage einer breiartigen oder gum-
miartigen bräunlichen Masse, aber niemals Torf hin-
terlassen "^.
Hingegen ES es — Bildungen von schwarzer
Erde auf g Wege, nicht nur durch
starke und fortgesetzte Düngung, wie die schwarze
Garten- und Ackererde, sondern ebenfalls ohne Zu-
thun des Menschen. Dahin gehórt die schwarze Laub-
oder Walderde. Es sprechen indessen bereits erwähnte
Gründe dagegen, dass der Tchornosjom ehemaliger
Waldboden sei ").
Schilf, Seggen und andere Sumpf- Pfänzen bilden
saure Deeg? und einen schwärzlichen Schlamm-
boden (Moor), der durch die grössere Menge der un-
organischen Bee sich vom besseren Torf un-
terscheidet, aber ausg ] jom leicht
verwechselt werden künnte. In solchen Fällen werden
Reste oder Abdrücke von Wurzeln, Reste von Pflan-
zenstruktur, der grosse organische Antheil und die
Localität entscheiden. Die vorherrschende Masse des
Tschornosjom liegt aber auf solchem Terrain, wo keine
Wiesenmoore entstehen konnten. Aber wohl gibt es
Localitäten, wo sauere Wiesen allmälig in trockenere
Graswiesen und Rasenboden übergehen, also auch
Übergänge zwischen der Bildung des Humus auf nas-
sem und trockenem Wege vorkommen können.
Die Rasenerde ist in der That das Äquivalent der
Tschornosjomerde, sowohl in ihren äusseren Merkma-
len als auch in chemischer und microskopischer Zu-
sammensetzung, nur ist die Farbe der Erde unter der
A SA A 1
mit i
14) Wangenheim v. Q. 1.
15) Auch Pokorny in Bonplandia 1859 S. 31.
16) —N Le ge
423
Bulletin de l’Académie Impériale
424
Rasendecke nicht so dunkel oder schwarz, wie beim
Tschornosjom. Letzterer hat aber oft nur eine grau-
lichschwarze Farbe und wenn man seinen Fundort
nicht kennen würde, würde man sicherlich oft in der
Bestimmung irren. Die Entstehung des Humus im Ra-
senboden ist aber deutlich: die krautartigen Theile
der Pflanzen sterben ab, verwesen an der Luft, zum
Theil werden sie in Humus umgewandelt und durch
Regen oder schmelzenden Schnee in den Boden hin-
eingeführt, wo sie je nach der Quantität eine mehr
oder weniger dunkle Färbung demselben verleihen.
Und ganz so ist es beim Tschornosjom. Hier sieht man
den unmittelbaren Übergang der Rasendecke in die
Bodenschichte, die gewöhnlich eine lockere Beschaf-
fenheit hat, es liegt keine fremde Schichte dazwischen.
Trotz der Trockenheit der Tschornosjom-Region wird
der Boden im Frühjahre durch den schmelzenden
Schnee in einen breiartigen halbflüssigen Zustand um-
gewandelt; die brennenden Sonnenstrahlen versengen
bald die oberirdischen krautartigen Theile und begün-
stigen die Steppenbrände, die indessen nicht den gan-
zen Rasen zerstören und auch sonst nur locale Er-
scheinungen sind, aber im Laufe vieler Jahrhunderte
eine allgemeinere Bedeutung gewinnen. Wie viel von
einer gegebenen Tschornosjom-Schichte von dem Ra-
sen gebildet wurde, und wieviel auf den unorganischen
Boden kommt, ist jetzt noch schwer zu entscheiden;
die Humuspartikel und Phytolitharien in der Tiefe
sind durch Einsickerung dahin gelangt, aber die Kie-
selerde der obersten Lage kann indirekt auch von der
Pflanze abstammen und durch Sand oder Staub von
andern Orten vermehrt worden sein; direkt stammt
sie allerdings nur aus dem ursprünglichen unorgani-
schen Boden.
Alle Beobachtungen sprechen dafür, dass zur Bil-
dung von Tschornosjom eine viel längere Zeit erfor-
dert wird, als zur Entstehung verschiedener schwar-
zer Erden im nördlichen kalten und feuchten Russ-
land. Neuere Beobachtungen haben in der pontischen
Abdachung gezeigt, dass südlicher von der angenom-
menen Gränze des Tschornosjom dennoch der Boden
Tschornosjomhaltig sei, aber zonenweise gegen das
Meer von der Donau bis Cherson immer ärmer an
Tschornosjom werde"). Es hat sich also seit der Ver-
17) Grossul-Tolstoi in 3anueku O6m. Ceasck. Xos. W}xuoli Poc-
cin 1857. S. 315.
bannung Ovid’s kein oder nur ausserordentlich wenig
Tschornosjom gebildet (es mag dies nun bei Ovidiopol
oder Varna sein), und ebenso seit der Zeit der grie-
chischeu Kolonien am Südufer der Krim, also seit den
ültesten historischen Überlieferungen.
Um Sednief bei Tschernigow gibt es gegen 800 Kur-
gane, 12 — 20 Fuss hoch aus hellem Sandboden er-
baut, welcher oben in eine Schicht schwarzer Erde
übergeht. Schon Blasius ") vermuthete, dass diese
Schicht ein Produkt der Vegetation an Ort und Stelle
und theilweise ohne menschliches Zuthun entstanden
sei. Diese Decke ist nur 6 — 9 Zoll mächtig, während
der Tschornosjom der Umgebung 2 — 5 Fuss müch-
tig die Sandschicht bedeckt. Waren die Gräber sicher
aus der Zeit Baty-Chans, wie man dort allgemein an-
nimmt, so hätten also 600 Jahre hingereicht, um eine
solche Humusdecke auf den Gräbern zu bilden, indem
Karamsin die Zerstórung Tschernigows durch Baty auf
das J. 1239 verlegt. Wäre aber die Bildung des jung-
fráulichen Tschornosjom vollkommen entsprechend je-
ner Decke, so käme ihm ein Alter von 2400 — 4000
Jahren zu. Doch hat diese Berechnung noch wenig
Werth. Indessen sieht man leicht, dass genaue Beob-
achtungen in dieser Richtung wichtige Resultate lie-
sultate liefern kónnen.
Die oben gegebene Erklürung der Bildung des
Tschornosjom ist übrigens gar nicht neu, sondern in
den wesentlichsten Punkten bereits vor 22 Jahren von
Huot (in Demidoff’s Reisewerke '?) gegegen worden;
ja man sagt, dass seit alten Zeiten die allgemeine Volks-
meinung dasselbe aussprach. Sonderbar genug, dass
kein Gelehrter bis dahin Notiz davon nahm und noch
merkwürdiger, dass Huot's zwar kurze aber deutliche
Erklärung keinen Anklang bei den übrigen Gelehrten
fand. Und dennoch ist sie wahr, denn es gibt keine
einzige Erscheinung, die mit ihr nicht im Einklange
steht. Die Abwesenheit der Polythalamien und Poly-
cistinen, der marinen Bacillarien, mariner und Süss-
wasser- Muscheln; die Abnahme der Phytolitharien,
des Humus und der dunkleren Fürbung gegen die
Tiefe zu; der geringe organische Gehalt des Bodens
im Verhältniss zur Kieselerde und den übrigen unor-
18) Blasius Reise Europ. Russl. 1844 II, 200
19) Huot in Demidoff Voyage Russie mérid.
in Malte- Brun Précis de la Géogr. univ. 5me édit. 1841. III, 597. — `
| A. v. Meyendorf in Comptes rendu Acad. Paris. 1841, p. 1233 nennt
1842 II, 460. Huot
den Tschornosjom «humus végétal décomposé ».
425
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
426
(OLI e SIS
ganischen Bestandtheilen; das Vorkommen auf kuppen-
fürmig gewölbten Plateaus und dem Rücken der Hü-
gel und Berge; die lückenhafte Vertheilung des Tschor-
nosjom auf grossen Strecken; das häufige Fehlen längs
den Flussufern, wenn diese neue Bildungen sind; die
geringe Menge desselben am Schwarzen Meere von
der Donau bis Cherson; die Abwesenheit in der pon-
tisch-Caspischen Steppe, ferner auf Flugsand, wo sich
eine Grasnarbe zuweilen nur schwer bildet; das Vor-
kommen auf den Vorbergen des Urals und Caucasus")
weit über dem Niveau des benachbarten Tschorno-
som; das ungleiche Niveau der übrigen Punkte in
der Region dieser Bodenart, ihr Übergang in Rasen-
erde; die vollständige Zerstörung der vegetabilischen
Struktur bis auf die Phytolitharien der Gräser; die
kohlenschwarzen Flocken und manche andere Erschei-
nungen werden vollkommen durch die angegebene Bil-
dungsweise erklärt und stützen ihrerseits einzeln und
zusammengenommen die beschriebene Entstehungs-
weise des Tschornosjom.
SN AE
FL LS ! Le) 3 Ae
SES AIO Wi g des Tschor-
. nosjom; von F. J. Ruprecht. (Lu le 20 mai 1864)
‚Die in meinem vorausgegangenen Aufsatze gege-
bene Erklürung des Ursprunges des Tschornosjom ist
einfach, leicht und natürlich. Dass man früher eine
solche E; klärung ] vermied,muss doch einen |
gewichtigen Grund gehabt haben, der übrigens nicht
utlich ausgesprochen wurde. Es war dies wohl die
$0 plötzlich abgeschnittene Nordgrünze, über welche
weiter hinaus kein üchter Tschornosjom mehr nach-
Sewiésen werden konnte. Dafür erschien der Torf als
en Stellvertreter von derselben Farbe und grossarti-
gen Entwickelung. Die Bildungsgeschichte des Torfes
und Tschornosjom ist jedoch, wie gezeigt wurde, zu
. Verschieden und die angebliche Umwandlung des er-
Seren in letzteren ganz unmôglich. Wenn aber der
“hornosjom ein Produkt der Rasen-Vegetation ist,
So konnte man mit Recht fragen, warum hat man denn
m Norden nur blassgefürbte Erdschichten unter dem
10 und niemals schwarze staubartige Schichten bis
0 Fuss und dicker?
Tas Klima trägt nicht die Schuld; denn obgleich die
3 Abich in Bullet. Acad. Pétersb. 1854. XIIL
Tschernosjom-Gränze mit der Isothere von 14—15 R.
zusammenfällt, so verliert diese Isothere im westlichen
Europa alle Bedeutung. Der Grund, warum dort
noch Niemand Tschernosjom gesehen hat, wird wohl
der sein, dass das westliche Mittel-Europa dichter be-
waldet ist oder doch einst gewesen ist, wofür Zeug-
nisse aus dem Alterthume da sind, aber nicht für das
Gegentheil, wie wir für Scythien und Sarmatien be-
sitzen; auch hat man beobachtet, dass Wald und
Tschornosjom sich nicht gut mit einander vertragen.
Und so sind wir mit dieser klimatischen Linie wieder
auf Russland zurückgewiesen. Wie gross ist nun der
klimatische Unterschied der waldlosen Gegenden um
Moskau oder Kasan von den so nahen Gränzen des
Tschernosjom-Bodens; wie gross kann dieser Unter-
schied sein an so vielen Punkten, die nur durch die
Flussbreite der Kama, Okka oder Dessna getrennt
sind ?
Der Grund dieser rüthselhaften Erscheinung ist ein
anderer. Ich bin auf ihn zuerst aufmerksam gemacht
worden durch die Beobachtungen der Hrn. Annenkow
und Kaufmann, welche unabhängig von einander in
den letzten Jahren zu dem Ergebnisse kamen, dass im
Gouvernement Tula und im Süden des Gouv. Moskau
mit der Okka die Vegetation sich auffallend ändere,
und dass diese Änderung mit dem Auftreten des Tschor-
nosjom in Verbindung stehe. Es war mir damals be-
reits bekannt, dass schon vor 13 Jahren Prof. Claus
dieselbe Wahrnehmung im Gouv. Kasan machte; die
auffallende Verschiedenheit der Vegetation am linken
Ufer der Kama jedoch nicht vom Tschornosjom, den
er übersah, sondern vom Einflusse der Grassteppe
ableitete. Claus charakterisirte die Grassteppe durch
Stipa, durch eine gróssere Anzahl der Compositae,
Labiatae und Leguminosae und durch den Mangel an
Nadelwaldung nebst den selbe begleitenden Moor-
boden-Pflanzen'). Genug Winke für weitere Unter-
suchungen, nachdem diese Erscheinung nicht mehr für
eine ganz lokale gehalten werden durfte.
Es musste daher zuerst die Frage aufgeworfen wer-
den, ob dieser angedeutete exclusive Charakter der
Nadelwaldung und Steppe allgemein gültig sei und in
welcher Beziehung er zum Tschornosjom stehe.
Der ganze Trakt von der Okka über Tula, Orel,
` 1) Local-FlorenderW olga-Gegenden. Beiträge z. Pllanzenk. Russ.
VIII. Lief. (1851), 15, 89, 42—57.
427
Bulletin de l'Académie Impériale
Kursk bis Charkow macht nun in der That den Ein-
druck einer durch Ackerbau verdeckten Steppe, in
welcher Laubwaldungen nur stellenweise und Nadel-
waldungen weit und breit gar nicht vorkommen; dafür
sprechen die krummen Telegraphen-Stangen und die
elenden Holzgebäude aus Zitterpappeln. Dieser Man-
gel konnte zufällig sein. Ich verglich daher genau die
Verbreitung des Tschornosjom nach der Darstellung
unseres Hrn. Collegen Vesselowski mit der Verthei-
lung der Nadelhölzer, wofür hinreichend vollständige
Beobachtungen für das ganze Europäische Russland
angestellt und in den Schriften von Trautvetter und
Bode sorgfältig gesammelt waren?). Und siehe da —
die südliche Gränzlinie der Europäischen und Sibiri-
schen Tanne fiel ganz augenfällig zusammen mit der
Nordgränze des Tschornosjom, von Volhynien bis Ufa;
ebenso von Dicotyledonen-Hülzern jene der Weiss-
Eller. Aber diese Übereinstimmung konnte ja abge-
leitet werden von der besagten Isothere, um so mehr,
da es bekannt ist, dass die Tanne nur von der Sommer-
Dürre leidet. Hier kommt es jedoch auf 1° und selbst
2° nicht an, wie die Acclimatisation beweist, sondern
auf den Boden und die Feuchtigkeit; ferner folgt die
Sibirische Tanne in Europa eher der Isochimene
von —10°.
Eine andere Frage war, .da es üherhaupt keine
strenge Begränzung der Steppe durch Linien giebt,
ob das Gesammtgebiet des Tschornosjom im Allgemei-
nen Anspruch auf den Namen einer Steppe machen
kann — und wenn nicht — wo dann die Nordgränze
der Steppe zu ziehen sei? Nachdem ich auf den rela-
tiven Begriff und die Verschiedenheit der Steppe ein-
gangen war, ergab sich nur die Quantität des Waldes,
in welchem die Kiefer nicht fehlt, verglichen mit dem
Areal, als leitendes Merkmal. Da mehrere Gouverne-
ments keine natürlichen Gränzen haben, die mit den
gesuchten übereinstimmen, so mussten die Berech-
nungen nach den Kreisen gemacht werden, die indes-
sen wieder zuweilen auf beiden Seiten der von mir
angenommenen Grenzflüsse liegen. Das Ergebniss
war, dass die allermeisten Tschornojom-Gouverne-
ments weniger als 30%, Wald, meist schon am Ende
2) R. v. Trautvetter Pflanzengeographische Verhältnisse Europ.
Russ. I (1849) S. 22, 28. Desselb. Ecreere. Heropia T'y6epn. Kieser.
yue6. okpyra. Boran. gaer reorpaæ. 1851. A.
Gränzen der Holzgew. Eur. Russ. in Baer und Helmersen Beitr. XVIII
(1856), 23—28. Karte 1
Bode, Verbreitungs- |
des vorigen Jahrhunderts, hatten”). Ausnahmen sind:
3 sehr reich bewaldete Kreise des G. Pensa mit 73,
54 und 49%, während die übrigen von 32 bis 12%
fallen; ferner die auf der Bergseite der Wolga liegen-
den Kreise des G. Kasan zusammen mit 33°, welche
jedoch stark abstechen von der Bewaldung auf der lin-
ken Seite der Wolga, wo in einem Kreise der Wald
bis 80°, steigt. Auch im G. Nowgorod besitzt die
Bergseite über 40°/,, es fehlt aber dort beinahe über-
all Tschornosjom; im G. Orenburg, mit 39% Wald, ist
die Verbreitung des Tschornosjom zu wenig bekannt
und der Einfluss des Ural zu stórend. Dagegen hatten
alle Gouvernements, in welchen die Tanne Wälder
bildet, mit Ausnahme von Grodno, Kowno und Est-
land, immer mehr als ein Drittel, viele die Hälfte,
einige Ÿ, ihres Areals Wald, das G. Wologda sogar
94° und, mit Ausschluss der Tundren, das G. Ar-
changel wahrscheinlich noch mehr. Über der Nord-
grünze des Tschornosjom ist also eine plótzliche Stei-
gerung in der Waldmenge zu erkennen, wührend inner-
halb des Tschornosjom-Gebiets die Abnahme des Wal-
des nach Süden ganz allmälig erfolgt und durchaus
keine Grünze anzugeben wäre. Man könnte daher die
nórdliche Gränze als den Anfang der Steppe betrach-
ten, wie dies auch der Sprachgebrauch im G. Rjásan,
an der Kama und Wolga u. a. billigt, obgleich der Name
Halbsteppe bezeichnender, wenn auch nicht ganz rich-
tig wäre. Eine solche Steppe, bedeckt mit Stipa, war
nach Kóppen der SO. Theil des G. Orlow noch zu An-
fang unseres Jahrhunderts. Man hat solche Steppen
Grassteppen genannt. Die Stipa spielt hier unter den
übrigen Gräsern die Hauptrolle durch ihr geselliges
Auftreten, schliesst indessen andere Kräuter keines-
wegs aus und wird sogar streckenweise durch sie ver-
drüngt. Es ist eine ausgemachte Sache, dass Stipa pen-
nata (Bopa) sich genauer als Stipa capillata (Tupca)
nach dem Tschornosjom richtet; beide Arten sind eben-
so massenhaft in den Steppen des südlichen Sibiriens
bis zum Jenisei. Mit einer haha ‚Grasateppa: 8 weg
men nun auch die Phytolithari
insbesondere jene der verbrannten egen pennata. Eine
solche üppige Gras- und Kräuter-Steppe, wie sie auf
dem Tschornosjom-Boden Russlands sich entwickelt,
hat nicht ihres Gleichen in Europa!
3) Oëtacpenia Kb X03.-Crar. — 1857. cr. XM Boenno-Cra-
Tuer. O603p. 1848—53.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
430
|
|
|
|
PO
DieSteppe, die Tanne und der Tschornosjom stehen
den überall in einem ganz bestimmten Verhältuiss zu
einander. Die Steppe besitzt aber noch einen specifi-
schen Vegetations-Charakter, der noch lange nicht
hinreichend erforscht ist und von mir nur auf die Nord-
grinze geprüft werden konnte. Es treten nämlich eine
Anzahl charakteristischer Pflanzen bis an diese Grünze,
überschreiten sie aber nicht weiter nach Norden. Die
Umgebungen von Moskau und Kasan sind lange er-
forscht und bieten dafür eine gewisse Garantie. Aus-
serdem werden die Beispiele an diesen zwei Punkten
in zweiter Linie durch die Floren von Wjätka, Perm,
Archangel, Petersburg, die Ostseeprovinzen, durch
dieBeobachtungen von Gorski und Besser in den west-
- lichen Provinzen, von Trautvetter und Rogowicz in
den Gene, Kiew, Poltawa und Tschernigow, von Pabo
und Tscholowski im G. Mohilew, von P. Semenow am
oberen Don, von Meyer im G. Tambow, von Claus und
Veesenmeyer an der Wolga, und anderen sicheren An-
gaben gestützt‘), die von mir eigens zusammengestellt
. worden sind, um darzuthun, dass diese Vegetations-
: verschiedenheit nicht nur um Kasan und Moskau, son-
` deng an der ganzen Linie auftritt. Solche Pflanzen,
` Wiez. B. Stipa pennata, Adonis vernalis, Veronica in-
. &ma, Linum flavum, Cerasus fruticosa, Serratula hete-
. Tophylla und coronata, Centaurea Marschalliana und
S rütheniea ‘Scorzonera purpurea, Galatella punctata,
- Aster Amellus, Hieracium virosum, Campanula sibi-
tica; Phlomis tuberosa; Nepeta nuda, Echium rubrum,
. Vakcaria Rivini, Trinia Henningi, Euphorbia procera,
T Lychiis chalcedonica — solche Arten sind geradezu
x Gen des Tschernosjom. Eine zweite Klasse
- Yon Pflanzen richtet sich auf eine grosse Strecke eben-
falls nach der ? Nordgrünze des Tschornosjom, von der
Kama bis zur Dessa, biegen aber dann nach NW. ab,
. "hne mit irgend einer thermischen Linie in Verbin-
| zu stehen. Für diese Erscheinung gelang es mir
| noch nicht eine Erklärung zu finden. Die Pflanzen der
.. “Masse stimmen mit den trjvialen mitteleuropäischen
See 5 Loren Mer I. Klasse fehlen zur Hälfte in
ei Meyer Fl. Prov. Wjatka. Beitr. Pflanzenk. Russ. V (1848) 355
D. ener -— Nesterowski Herb. Perm.310 Spec.— Rupr. See ge:
ge Tb, Ecrecr. 6. Kieser. yue6. orpyra. Boran. Cucrewar.
ze 1376 et Pabo et Techolöwski Herb. Gub.
— IL Cemenogs Ilpuzonckaa Paopa 1851. — Meyer Fl. Gub.
E v.Beitr Pf.L,IX.— Veesenmeyer Vegetat. mittl. Wolga im G.
k und Samara. Beitr. Pflanz. IX (1854).
Deutschland, während die andere Hälfte sich ins nórd-
liche Deutschland nicht verbreitete oder nur spora-
disch in Folge nachweisbarer Ursachen. Die Pflan-
zen der II. Klasse stammen auch nicht aus Scandina-
vien, denn sie fehlen zum ?4 Theil daselbst. In Scan-
dinavien fehlen alle Pflanzen der I. Klasse, nur Adonis
vernalis wüchst auf Gothland und Oeland.
Die Eigenschaften des Tschornosjom-Bodens sind
nicht die Ursache dieser Flora-Verschiedenheit, denn
alle diese charakteristischen Pflanzen lassen sich im
Boden Petersburgs und anderwäts mit der gróssten
Leichtigkeit acclimatisiren und werden in unseren bo-
tanischen Gárten mit keiner besonderen Erdmischung
bedacht. Das Klima ist also auch nicht der Grund
und die besagte Isothere wäre uur für einjährige Ar-
ten wichtig, von welchen mir bloss 2 auch nicht be-
weisende Beispiele (Eragrostis poaeoides und Alys-
sum minimum) bekannt sind. Ich combinirte bereits
vor mehreren Jahren die thermischen Linien mit den
meisten einzelnen Baumarten Russlands, ohne zu einem
befriedigenden positiven Resultate zu gelangen. Diese
Linien haben sich auch sonst mehrfach bei der natür-
lichen Verbreitung der Pflanzen einer und derselben
grösseren Zone unzweckmässig erwiesen und sind viel-
leicht bloss noch für Acclimatisation brauchbar. Die-
sen Ausgang der Untersuchung hatte ich vorausgese-
hen, er durfte aber bei der Darlegung derselben nicht
übergangen werden.
Nachdem ich mich hinreichend durch eigene Prü-
fung und Combination fremder sicherer Beobachtun-
gen überzeugt hatte, dass an dieser Tschornosjom-
Grünze zweiverschiedeneFloren zusammenstossen, war
mir sehr bald klar geworden, dass ich es hier mit zwei
Vegetations-Gebieten von verschiedenem Alter zu
thun hatte und erkannte sogleich die Bedeutung des
Tschornosjom für die Wissenschaft, eine Bedeutung,
die früher nur geahnt worden ist.
Lange schon mit speciellen Studien über verschie-
dene Vegetations-Gebiete des Russischen Reiches be-
schäftigt, erlangte ich die Überzeugung, dass unsere
jetzt lebenden Pflanzen nicht von gleichem Alter sind,
sondern dass ihre Gruppirung in verschiedenen Gebie-
ten zu verschiedenen Zeiten erfolgt sei. Ich fand näm-
lich: 1) dass die ültesten jetzt noch lebenden Pflanzen
bis in die tertiüre, Zeit zurückreichen und sich auf der
Ostseite beider Continente der nördlichen gemässigten
431
Bulletin de l’Académie Impériale
432
Zone erhalten haben); 2) dass die Pflanzen des Ural
keine selbstständige Flora bilden, sondern bis auf
einige 1000 Fuss hinauf von gleichem Alter sind
mit jenen der beiderseitigen Ebenen; 3) dass die al-
pine Ural-Flora vom Taimyr, Baical und Altai einge-
wandert und daher jünger als die Ostsibirische Flora
ist®); 4) dass der Ural keine Gränze für die Europäi-
sche und Sibirische Wald-Flora bilde, sondern dass
letztere tief in die Tannenregion des nördlichen Russ-
lands eintrete”) oder sie vielmehr bilde; 5) dass diese
letztere wieder von einem anderen Alter ist, als die
Skandinavische Flora’); 6) dass selbst in der Flora Pe-
tersburgs sich 3 Altersstufen erkennen lassen °). Hier-
aus folgere ich, dass die noch jetzt lebenden Pflanzen
Wörter sind, die man nur richtig zusammenzusetzen
braucht, um die Geschichte der Erdoberfläche bis zur
tertiären Zeit zurück zu lesen. Wo die feinste Geo-
logie nicht mehr im Stande ist, die obersten Blätter
des Geschichtsbuches unseres Planeten,von einander
zu trennen und zu lesen, dort vermag dies noch die
Botanik.
Gegenwärtig ist ein grosser Schritt weiter gesche-
hen. Bisher konnte ich in dem ungeheuren Gebiete
des Europäischen Russlands nur eine Wald- oder Co-
niferen- Region und eine Steppen-Region unterschei-
den, ihre genauere Begrünzung war mir jedoch nicht
klar. Ich muss daher jetzt den Scharfsinn meines Col-
legen Trautvetter bewundern, welcher aus einer ein-
zigen aber wichtigen Baumart, der Tanne, die genaue
Gränze richtig erkannt hat"); ein Merkmal, welches
jetzt auch durch die Verschiedenheit der übrigen
Pflanzen, durch den auftretenden Steppencharakter
und was noch weit mehr ist, durch den Tschornosjom,
der ein unbestreitbares Document eines verschiede-
nen Alters ist, gestützt und ausser allen Zweifel ge-
stellt wird. .
Die Tannen-Region des nördlichen Russlands und
die Steppen- Region des Südens ist bei weitem schär-
fer geschieden, als die Region der Europäischen und
5) R. Beitr. Pflanz. Russ. XI (1859) p. 84. Agassiz Lake superior
1850 hatte dies Verhältniss noch nicht rein erkannt.
6) R. Beitr. Pflanz. VII (1850) p. 22 und in Hofmann Nord) Ural.
Anhang S. 15.
7) R. Symbolae 1846 p. oh
8) R. F1. Samoj. 1845 p. 1
9) R. Diatr. Petrop. 1845 " 14 (139). a
10) Pflanz. Geogr. Verh. Eur. Russ. II (1850) S. 3.
Sibirischen Tanne, die im Vergleiche mit ersterer nur
eine untergeordnetere, nicht gleichwerthige Differen-
zirung zulässt. Und da dieser Unterschied nicht Folge
der Hóhe, des Bodens oder des Klima, sondern nur
allein der Zeit ist — so muss der Zeitunterschied,
proportional der Grósse des Unterschiedes der Floren-
Gebiete, Nórdlich und Südlich von der Nordgrünze
des Tschornosjom grósser gewesen sein, als in der
Tannen-Region westlich und óstlich.
Es frügt sich nun, welche von beiden Floren die
ältere ist, die nórdliche oder die südliche?
Wir wissen bereits, wie langsam die Bildung des
Tschornosjom vor sich geht, wie wenig Gewässer und
Sümpfe dieses Land mehr besitzt und wie noch in hi-
storischer Zeit die letzten Seen austrocknen "').
Gleichfalls ist es Jedermann bekannt, wieviel grosse
und kleine Seen, welche erstaunliche Menge von Torf,
Moos-Sümpfen und sumpfigen Wäldern das nördliche
Russland besitzt. Es ist ferner gezeigt worden, dass
das Aequivalent des Tschornosjom im Norden nicht
der Torf, sondern die Rasenerde trockenerer Gegen-
den ist, die aber nirgends die Dimensionen nach der
Tiefe und Oberfläche, noch die tiefe schwarze Fär-
bung des üchten Tschornosjom erlangt hat. Diese
Erscheinungen stehen im vollen Einklange mit dem l
entsprechenden Zeitunterschiede. Es ist schwer
durch Zahlen zu bestimmen, wieviel trockenes Land
im Nördlichen Russland vorhanden ist; nur wenige
stark bevölkerte Gouvernemente haben über die Hälfte
trockenen Landes. Von unseren aus bewohnten Orten
und trockenen Strassen entstandenen beschränkten Vor-
stellungen darüber dürfen wir keinen Maasstab ent-
nehmen. Ich möchte annehmen, dass mehr als die
Hälfte der Oberfläche des Nördlichen Russlands noch
jetzt mit Seen, Moossümpfen und sumpfigen Wäldern
bedeckt ist"). Die Pflanzen wurzeln hier nicht mehr
auf der Diluvialschicht, sondern im Wasser oder
Schlamm. Diese ganze Pflanzendecke ist ein Überzug
auf ehemaligen seichten Seen, schwappend, unzugäng-
lich, für den Menschen noch unbewohnbar. Erst mit
der fortschreitenden Entwässerung beginnt die Bewal-
dung im Sumpfe. Die Tanne kann nicht den festen
Boden mit ihren Wurzeln erreichen, weil diese hori-
11) Bopucsk 0 yepHo3. 1852. Pitra Bot. Zeitg. 1863. 8. 7
12) Finnland, so felsig und bergig, hat nach Vesselovaki,
Seen und Sümpfe und nur 1%, Ackerland.
47%
UV
,—
pe
war
zontal verlaufen, deshalb nimmt sie in Ermangelung
einer festeren Torfschicht auch mit einer schlammigen
vorlieb; diese ist aber ein Product des Moossumpfes,
dieser letztere entwickelt sich auf einem seichten See‘).
Alle diese Moossümpfe und selbst sumpfige Tannen-
wälder sind unglaublich arm‘) an höher organisirten
Pflanzen; ihre Dürftigkeit müssen sie durch eine
grosse Individuenzahl weniger Arten, hauptsächlich
Cryptogamen, verdecken. Diese Armuth im Vergleiche
mit trockenen Gegenden oder etwa der Grassteppen
ist keine Folge des nördlichen Klima, sondern des
jugendlichen Alters. Das nördliche Russland war noch
vor verhältnissmässig kurzer Zeit ganz unter Wasser
und daher ohne Land-Vegetation. Die jetzige einför-
mige Bekleidung wurzelt nicht im (unorganischen)
Mutterboden, sondern im Wasser oder im primären
vegetabilischen Boden (Schlamm und Torf"). Ich
glaube daher, dass es keinem Zweifel unterliegen
kann, dass die Tannen-Region des nördlichen Russ-
Jand viel jünger ist, als die Vegetation des Tschor-
mosjom-Gebietes. Die Bildung der ersteren erfolgte auf
Wasser, die der letzteren auf trockener Erde. Die
‚Deuesten geognostischen Schichten im Nord, Russland
‚sind daher unorganische und darüber vegetabilische,
‚die mit den ersteren in keinem Zusammenhange ge-
standen haben, sondern durch eine Schichte Wasser
‚getrennt waren.
— Wir können noch näher die Zeit bestimmen, in
Welcher das nördliche Russland unter Wasser sich be-
EA während das Tschor nosjom Gebiet bereits troc!
War. Diess war zur Zeit des Transportes Scandinavi-
1 ‚scher Blöcke. Nirgends fand man diese Blöcke auf
Tschornosjom; die Angabe bei Woronesh beruht auf
nem Irrthume in der Bestimmung der Felsart, wie Hr.
T Helmersen bemerkte). Sollten erratische Geschiebe
Argendwo auf Tschornosjom gefunden werden, so könnte
Sur an der Nordgränze des Tschornosjom sein.
De e EA,
| PRI Bourtanger Moor zählte Grisebach auf 16 [Meilen nur
42) Wangenheim von Qualen fand in Livland Urwálder, welche
wé wi tiefen Mooren stehen (Bull. Mosc. 1862).
Al Murchison beobachtete an einer Stelle unweit Woronesh nor-
der „ erratische Blöcke auf Tschornosjom gelagert; ein Umstand,
ih noch mehr in seiner Ansicht über den subaquatischen Ur-
)
/ bie ‚des Tschornosjom bestärkte (Geolog. Russ. 557, 558; auch
: es 526, 699 und Southern limit of Northern Boulders auf der
8. Karte),
Tome VII.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
434
Die Darstellung der südlichen Verbreitungs-Linie der
Scandinavischen (und Finnländischen) Blócke auf der
geognostischen Karte Murchison's zeigt hinlünglich
deutlich, wie selbe an einigen Orten hart am Ufer, an
anderen weiter entfernt an den seichten Ufern des
ehemaligen Tschornosjom-Continents gestrandet sind.
Wie auch der Transport der Blócke, welche nicht ab-
£erundete Geschiebe sind, vor sich gegangen sein mag,
auf Eisfeldern oder mit Eisblöcken — wie auch ihre
Ablagerung erfolgt ist, streifenweise durch Schmelzen
des Eises oder durch Strandung auf Untiefen oder vor
dem Ufer — Alles deutet darauf hin, dass das Tschor-
nosjom-Gebiet bereits trocken war, als dieser Trans-
port auf einer Wasserbedeckung begann.
` Kutorga und Wörth entdeckten vor 19 Jahren
südlich von Gatschina bei Sivoritzy polirte und ge-
streifte Silurische Kalkschichten. Murchison bemerkt,
dass an diesem Orte der geschrammte Kalkstein von
keinem feinen Sande oder lockeren Lehm überdeckt
ist, in der Umgebung jedoch zahlreiche erratische
Blócke vorkommen; er ist daher geneigt anzuneh-
men, dass diese Politur und Streifung durch die Be-
wegung des gestrandeten Eises (ice-floes) entstanden
sei, welches diese erratischen Blócke über den Kalk-
stein, der damals eine Untiefe bildete, rollten und ihn
schrammten ”). War diess aber ein Gletscher-Phae-
nomen, wie F. Schmidt gestützt auf dieselbe Erschei-
nung in Esthland annimmt, so ist ebenfalls der Trans-
port der Granitblöcke auf schwimmendem Eise erfolgt,
also auf Wasser, und so lange man keine Schrammen
auf der Oberfläche anderer jüngerer Schichten weiter
landeinwärts nachgewiesen hat, darf die Gletscherbil-
dung nicht weiter ausgedehnt werden und kann über-
haupt nur örtlich gewesen sein.
Diese Wasserbedeckung war schwerlich tief. Dafür
sprechen 1) der relativ gering Höhenunterschied des
Tschornosjom-Continentes und seines nördlichen Ufers,
welches zu dieser Zeit bereits da war, aber diese Blöcke
nirgends auf Tschornosjom aufgelagert zeigt; 2) das
häufige Vorkommen dieser Blöcke auf Höhenzügen
vieler Localitäten des nördlichen Russlands, während
sie nicht sehr weit davon im Tieflande fehlen oder sel-
tener sind. Der Waldai ist kein Beweis für eine tiefe
Wasserbedeckung; vielmehr nóthigt der Umstand, dass
17) Kutorga in Verband), mineral. Gesell. Petersb. 1845/6. S. 87.
Murchison Geolog, Russ. Postscript. 652.** e
435
Bulletin de l’Académie Impériale
auf seinen grössten Höhen von 800—1056 Fuss nor-
dische Blöcke liegen und die Vegetation des Waldai
in Nichts verschieden ist von der gewöhnlichen Flora
der Tannen-Region, zur Annahme einer späteren (neue-
ren) und kräftigeren (schnelleren) Hebung, als jene,
welche den Tschornosjom-Continent schuf.
Erst nach Beendigung des Transportes erratischer
Blócke bildete sich auf den Sümpfen des nórdlichen
Russlands und stellenweise auch auf der Diluvial-
Schichte die erste Vegetation und später Wülder aus
5 Arten Coniferen, allerdings Repräsentanten der äl-
testen Baum-Schópfung, aber sümmtlich vielleicht
eingewandert: aus Osten und in der Minderzahl aus
Westen. Diese uranfünglichen Baumformen sind kein
Zeugniss des hohen Alters Nord-Russlands, denn sie
sind durch eine Schichte von Wasser und Diluvium von
den älteren Formationen geschieden; vielmehr zeugen
sie von einem jugendlichen Zustande des so eben er-
schaffenen Landes oder der Empfänglichkeit desselben
für die Ansiedlung einer grossen Pflanzenklasse, mit
welcher das Auftreten der Landpflanzen in verschiede-
nen ülteren Perioden begonnen und sich wiederholt
hatte. Auf dem Tschornosjom-Continente lebt nun-
mehr nur eine Form derselben, die Kiefer; die Tan-
nenform aber (Pinites undulatus Eichw.) liegt schon
längst begraben in der oberen Etage der Kreidefor-
mation der Ucraine, überdeckt von einer tertiären
miocünen Meeresablagerung ausgestorbener Muschel-
Arten ohne Pflanzen, auf welcher die Diluvialschicht
mit Mammuth- und Rhinoceros-Resten folgt und zu
oberst erst der Tschornosjom liegt '^).
Für die Geschiehte ider lebenden: Pflanzenwelt
kommen nicht die v
ten der Oberfläche in Betracht, sondern blos die Frage,
welche Länder nach der letzten allgemeinen Wasser-
bedeckung früher und welche später trocken wurden,
Die Diluvial-Schicht ist allein von Wichtigkeit und
wo diese fehlt, können wir eine ältere insulare Vege-
tation vermuthen. Die Granit-Steppe zwischen dem
Dnjepr und Bug von den Pinskischen Sümpfen bis
nahe zum Asow’schen Meere ist das einzige Beispiel
eines grösseren Landes im Tschornosjom-Gebiete und
überhaupt im Europäischen Russland, welches lange
früher als der Tschornosjom-Continent, und wie
18) Rupr. im JKypm. wummer. napoı. npocs. 1863. Blasius Reise
Russ. II, 321.
Murchison glaubt, sogar seit den altesten Zeiten im-
mer trockenes Land gewesen ist; denn es hat keine
spätere Formation aufgelagert, nicht einmal Diluvium.
Und dennoch ist auf einem verhältnissmässig so un-
günstigen Boden, in Folge von Verwitterung des Gra- `
nites, eine mit Vegetation bedeckte Schichte von
Tschornosjom entstanden. Dieses Beispiel ist für sich
allein schon ein Document des vegetabilischen Ur-
sprungs des Tschornosjom auf trockenem Wege. Also
nur hier könnten Reste einer ältern Vegetation sich
ruhig erhalten haben, wie z.B. die Gattungen Azalea
und Scopolia. Leider besitzen wir keine genaueren
botanischen Studien über diese Granit-Steppe aus die-
sem Gesichtspunkte.
Die Betrachtung der Südgränze des Techofnogjom
enthält nicht nur nirgends Widersprüche zu dem be-
reits Dargelegten, sondern vielmehr neue Belege.
Pallas machte eine Beobachtung am Ufer des Asow-
schen Meeres bei Mariupol, aus welcher hervorgeht,
dass das Land wenigstens um 4 Faden gehoben ist
während eines Zeitraumes, in welchem jetzt daselbst
lebende Arten von Meeresmuscheln schon damals be-
standen Di. Die früher erwähnten Terrassen vom
schwarzen Meere bis zur Gränze des deutlichen
Tschornosjom, charakterisirt durch eine zonenförmige
Zunahme in der Entwickelung des Tschornosjom,
stimmen vollkommen mit einer solchen allmäligen He-
bung des pontischen Ufers, auf dessen nächster Um-
gebung Tschornosjom sich noch gar nicht gebildet hat,
in Folge des jungen Alters. Diesem entsprechend gibt
es hier keine scharfe Gränze, sondern nur eine allmä-
lige Änderung der Steppen-Vegetation nach dem Pon-
tus zu.
Erst auf dem Ciscaucasischen Isthmus beginnt stel-
lenweise eine dentlichere Begränzung zweier Vegeta-
tionsgebiete. Der westlichere höhere Theil, auf
welchem die Strasse von Axai am Don über Stawro-
pol nach Wladikawkas führt, zeigt überall den
Charakter der Bessarabischen Steppe, und Tschor-
nosjom ist hier schon von Pallas an mehreren Orten
beobachtet worden. Pallas spricht wiederholt aus,
dass alle Höhenzüge dieses Isthmus mit Schwarzerde
bedeckt, ehemalige Meeresufer waren und eine andere
Vegetation besitzen, als die hart angränzende salzige
19) Pallas Reise Süd]. Russ. (1790), 491. |
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
438
Steppe, die augenscheinlich der alte Seeboden ist,
auf welchem an vielen Stellen Muscheln jetzt noch
lebender Arten des Caspi liegen. Auch Barbeaut de
Marny fand den Tschornosjom sehr brauchbar zur ge-
nauen Bestimmung der Gränze der Caspischen For-
mation, auf welche er nicht übertritt oder nur auf ge-
tinge Strecken an den Rändern”),
"Das Gouv. Astrachan und die ganze Gegend im
Umkreise des Caspischen Nordufers von Kisljar bis
zum Ustjurt weit landeinwärts ist Caspische Forma-
tion ohne Spuren von Tschornosjom und wimmelt von
Salzseen. Im ehemaligen Caspischen Meere ragten die
Berge am Indersk, die beiden Bogdo und der Arsagar
seit der Jura- Trias- und Perm-Zeit als Inseln empor.
Das Ufer des Meeres im Norden war erst Sarepta und
der Obtschii Syrt, was schon Pallas erkannte, denn
auf dem höheren Lande fand er wieder eine starke
Rasennarbe mit einer mächtigen Schicht Schwarzerde,
in welcher Caspische Muscheln fehlten, aber 2 Arten
Spalax auftraten °’).
` Wenn aber das Meer bis zu diesen Höhen reichte,
wie Pallas oder schon früher die Nomaden erkannten
nd später Niemand bezweifelte, so mussten diese Hö-
Ob doch älter sein als die Caspicii Formation, und
folglich auch der Tschornosjom, der sich auf diesen
Ce alsbald nach ihrem Trockenwerden zu bilden
er Jas Caspische Meer erstreckte sich noch weiter,
nämlich i in das Gouv. Samara, wo in den 2 südlichen
| eisen Nikolajewsk und NOVO Cali eine Menge Salz-
T übrig blieben. Murchison bemerkt, dass der nórd-
KEN Fundort Caspischer Muscheln die ebene Steppe
am linken Ufer der Wolga, gegenüber von Wolshsk
ysran, war, also an der schroffen Ausbiegung
iras bei SHAH (Cawapckas ıyka). Aber neuere
| li ntersuchungen vonJasykow zeigten solche noch nórd-
von dieser Ausbiegung in dem sogenannten Bas-
m Bulgar, südlich von der Mündung der Kama
be Spassk und Tjetuschi. Jasykow hielt daher dieses
m Bassin für einen ehemaligen Busen des Caspischen
E. in welchen die Wolga unter 55" mündete,
an der jetzigen Mündung der Kama, und den
T Dean ITE oyepk» Kauzbswniukoit cremu. 3anncku T'eorp.
E E. in c e Gouv. III (1776), 570, 64%
Hóhenzug am Achtai für eine Barriére ?). Der Durch-
bruch des Wolga-Meeres erfolgte vielleicht erst mit
der Hebung des Waldai. Ein zweites Marmora-Meer!
Alles dieses stimmt ganz genau mit den Grünzen
des Tschornosjom. Wenn also der Tschornosjom-Con-
tinent so überaus deutlich im Süden, und im Osten von
der Wolga, durch das Meer begränzt war, S0 muss
man sich bloss verwundern, warum man, schon aus
diesem Umstande allein, nicht schon früher den Schluss
zog, dass die Nordgränze des Tschornosjom auch das
ehemalige Ufer eines seichten Süsswasser-Meeres war,
welches alljährlich zufror.
Die Antwort darauf ist: Man erkannte nicht den
Ursprung des Tschornosjom und seine hohe wissen-
schaftliche Bedeutung.
Recherches sur les alcoomètres du système d'At.
kins, par M. H. Jacobi. (Lu le 6 mai 1864.)
La question des alcoomètres se trouve aujourd’hui
encore à l’état flottant. Elle est loin d’être résolue,
malgré que dans tous les pays, sans exception, les
gouvernements tirent des revenus considérables de
l'impót sur les boissons spiritueuses. En effet tous les
efforts de là science ont échoué jusqu'à présent, non
pas à trouver les moyens pour mesurer avec toute
l'exactitude voulue le poids spécifique des liqueurs
aleooliques, mais de le faire dans les conditions con-
tradietoires qui se présentent dans la vie pratique.
D'un cóté les besoins du commerce et du fisc rendent
désirable que les erreurs des instruments emploiés
pour faire les mesures, soient ressérées dans des li-
mites trés-étroites et que ces mesures mémes ne com-
portent aucune incertitude qui pourrait donner lieu à
des contestations quelconques; de l'autre cóté on veut
que ces mesures soient faites par des personnes en
partie ignorantes et étrangères à toute habitude d'ob-
servation et en partie de mauvaise foi, exploitant au-
tant que possible les erreurs favorables à leurs inté-
rêts et ne reculant pas même devant quelque altération
frauduleuse des instruments. La tentation sous ce
rapport devient encore plus grande, s’il s’agit des
droits fort élevés et si les instruments en usage per-
mettent de commettre impunément des erreurs dont
29) Veesenmeyer in Beitr. Pflanzenk. Russ. IX (1858), 58.
439
Bulletin de l'Académie Impériale
440
la traduction en argent représente souvent des sommes
considérables.
Nous n'avons pas l'intention de faire la description
ou la critique des alcoométres employés dans le com-
merce et dont les administrations se servent en diffé-
rents pays pour prélever les droits sur les liqueurs
spiritueuses. Nous déclarons d'avance que nous don-
nons la préférence aux alcoométres métalliques con-
struits d'aprés le systéme d'Atkins, mais nous consi-
dérons méme ces instruments comme un pis-aller, jus-
qu'à ce qu'on n'ait pas réussi à mesurer le poids spé-
cifique de ces liqueurs par des moyens plus accessibles
au publie industriel et plus exacts que les procédés
dont on se sert actuellement, ou jusqu'à ce qu'on
n'ait pas découvert quelque qualité physique ou chi-
mique de l'aleool, qui pourrait servir en pratique à
déterminer exactement le contenu en alcool anhydre
des mélanges alcooliques.
L'instrument d'Atkins est, comme on sait, un al-
coométre métallique à poids additionels, et dont l'é-
chelle est divisée en parties égales. Les alcoométres
de Tralles et de Gay-Lussac ayant des divisions
fort inégales, il est impossible de faire l'estimation
des sousdivisions changeant de valeur pour chaque
dégré, avec la méme précision que quand les divisions
sont égales. En outre l'échelle de l'instrument d'At-
kins jouit du grand avantage d'étre en réalité beau-
coup plus courte que celle des instruments mention-
nés, et de pouvoir étre étendue, au moyen de poids
additionels autant qu'on veut. L’alcoometre d'Atkins
est moins que tous les autres sujet aux endommage- |
ments; on peut le construire trés solidement, en don-
nant au bulbe des dimensions convenables et pas trop
restreintes. Quant aux avantages que présente sous
le point de vue de la solidité l'emploi du bronze d'a-
luminium, nous renvoyons pour les détails sur cet
objet à la Note «sur les alcoomètres en bronze d'alu-
minium» présentée à l'Académie par M. Fritzsche
et moi dans la séance du 1*' avril a. c. et imprimée
dans le Bulletin de l'Académie T. VII p. 320.
L'instrument d'Atkins n'indique pas immédiate-
ment, pas méme à la température normale, le contenu
en alcool anhydre des mélanges aleooliques; pour s'en
servir, il faut avoir des tables qu'on remplace souvent
par une règle à coulisse semblable au «sliding rule»,
trés en vogue parmi les ingénieurs anglais. Nous ne
sommes pas partisans de cette régle, dont l'instru-
ment de M. Hess est également pourvu et dans la-
quelle nous reconnaissons une source d'erreurs d'ob-
servation. Nous préférons les tables dont l'extension
n'a aucun inconvénient, quand elles sont bien arrangées
et distinctement imprimées. Je désirerai méme leur
donner une plus grande extension encore pour pou-
voir se passer de tout caleul d'interpolation, lequel,
bien que facile pour des personnes habituées à cet
espéce de calcul, présente trop de difficultés pour celles
qui ne le sont pas. Ajoutons, que pour faire quelque
concession aux frabicants, les employés du fisc en An-
gleterre sont instruits: que si le niveau du liquide se
trouve entre deux divisions, de ne compter que la di-
vision au-dessous de ce niveau, et quant au thermo-
métre — divisé d'aprés l'échelle de Fahrenheit — de
ne compter que le degré au-dessus du niveau du mer-
cure en cas que ce dernier se trouve entre deux di-
visions.
L'aleoométre de Sykes, construit d'aprés celui
d’Atkins, est actuellement l'instrument officiel en
Angleterre pour les transactions de commerce et pour
le prélèvement des droits sur les eaux de vie. Cepen-
dant dans ce pays, on n'a pas encore adopté jusqu'à
présent le système centésimal de Tralles ou de Gay-
Lussac. On y emploie un système compliqué ayant
pour base une unité fictive — proof spirit — qui re-
présente un alcool de 0,9200 p. sp. à la température
normale de 60? = 12R ou de 57%, uhr la
table de Tralles. :
Un systéme analogue, modifié d'aprés les doute
de notre pays et ayant également pour base une unité
fictive — le 9 ' — c.-à-d. un alcool de 0,9550
p. sp. à la température normale de 12'/,° R. ou de 38%,
a été officiellement introduit chez nous en 1846 par
notre défunt collègue M. Hess et est resté en vigueur
jusqu’au 1° Janvier 1863 où il a été remplacé par
l'alcoométre de Tralles construit en verre. Bien que ce
nouveau systéme soit de beaucoup préférable à l'an-
cien, les aleoométres eux-mêmes ont si peu répondu
aux attentes, que dans ce moment on est en voie de
revenir aux aleoométres métalliques à poids additio-
nels, en conservant cependant le systéme centésimal
et en comptant en pour cents de volume la quantité
d'alcool — Contenu — — an eer
liques. —
my
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
442
E
Le Département des impôts indirects a voulu se
mettre dans les meilleures conditions pour se pro-
mer des alcoométres de cette espèce en ouvrant à
cette occasion un concours aux artistes qui voudraient
s'occuper de cette fabrication et en publiant en méme
temps les conditions qu'un tel instrument aurait à
remplir, pour étre définitivement adopté comme in-
strument officiel. Ce programme contient entr'autres
la condition suivante: «que les alcoomètres, y compris
les poids additionels, ne doivent différer entre eux par
leur poids que de 2 doli (88758) au maximum». Pour
avoir cependant des alcoomètres identiques entre eux,
cette condition est insuffisante. Ce n’est qu’en con-
struisant des alcoomètres exactement sur le méme
modèle, et en donnant à toutes les parties rigou-
reusement les mémes dimensions et les mémes poids,
qu'on parvient à pouvoir employer les poids additio-
nels indistinctement à tel exemplaire qu'on voudra,
sans commettre des erreurs dépassant la limite fixée
d'après le programme, comme tolérance. De cette
maniére la condition d'identité, indispensable parce-
- que c'est elle qui présente la plus forte garantie contre
2 toute altération frauduleuse, sera remplie. Dans tout
le pays il n'y aura, pour m’exprimer ainsi, que des
alcoomètres et des poids additionels de la même
frappe. Jusqu'à présent, il est vrai, cette condition
Wa été remplie nulle part, parce qu'on n'avait pas ap-
précié suffisamment la nécessité d'une pareille mesure,
dont l'exécution paraît au premier abord offrir des
dificultés considérables. Il ne sera certainement pas
Impossible de faire disparaître ces difficultés, dès que
2 des artistes de premier ordre s’occuperont de la
confection de ces instruments. La fabrication des al-
toomètres du système d’Atkins s’est trouvée presque "à
Partout dans des conditions exceptionnelles et dans
des circonstances assez favorables pour qu’elle ait bien
P Supporter la charge de l'établissement d'un atelier
um d'instruments de précision nécessaires et se
> trouvant à la hauteur des progrès récents de la science
de Ja mécanique instrumentale, Néanmoins ces
BSrüments se sont fabriqués et se fabriquent au-
Tari"hui encore, d'aprés des méthodes trés primitives
: eine: qui donnent lieu à des erreurs de toute
|
|
L
Dans des traités d'alcoométrie nous n'avons trouvé
zéro de l'échelle, tandis que le
"P part le développement de la théorie des alcoo- !
métres du systéme mentionné, et nous sommes tentés
de supposer que jusque là ces instruments n’ont été
faits que par tätonnement, au moins en ce en qui
concerne le premier exemplaire, Cette théorie recoit
une certaine complication par la circonstance qu'on
est obligé de placer les poids additionnels au bas
de Pinstrument et de les immerger dans le liquide
dont on veut mesurer le poids spécifique. En pla-
cant ces poids en dehors du liquide à l'extrémité de
la tige de l'échelle, cette théorie devient plus simple,
mais on ne parviendrait à assurer à l'instrument la
stabilité nécessaire qu'en augmentant excessivement
ses dimensions. Il serait encore possible de placer les
poids les plus légers à l'extrémité supérieure et les
autres au bas de l'instrument, mais un pareil système
ne présenterait aucun avantage. Nous croyons rendre
un service aux artistes en remplissant la lacune qui
existe à l'égard de la théorie de cet instrument et en
développant les formules générales qui servent à déter-
miner -les dimensions et les poids des différentes par-
ties de l'instrument, y compris les poids additio-
nels. Nous appliquerons ensuite ces formules à des
conditions données, en nous tenant comme exemple
aussi prés que possible au programme mentionné plus
haut, et publié par le Département des impóts indirects.
Soit:
V, le volume de la carène c.-à-d. de la partie de l’in-
strument immergée dans le liquide jusqu'au point
zéro de l'échelle.
v, le volume de l'échelle divisée en parties égales.
G, la pesanteur de l'instrument. -
Ias Ir, gr Etc., la pesanteur des poids additionels.
93 07, 05, Ca, tc., les densités des liqueurs, cor-
respondant au zéro et à l'extrémité de l'échelle
et aux poids additionels g,, 9,, 9r, Ir, ete.
o, la densité des poids additionels dont on doit avoir
soin qu'ils soient confectionnés en un métal dont
la densité n'est pas soumise à trop de variations.
Remarquons d'abord que, d'aprés le programme,
les poids additionels doivent se suivre dans un ordre
tel que dans le méme liquide, de deux poids consci-
tifs, le plus léger fait plonger l'instrument jusqu'au
poids plus grand le
fait plonger jusqu'à son extrémité. Ou: les liquides
d'une densité entre c, et c,, sont mesurés par le poids
443 Bulletin de l'Académie Impériale AAA
g,; ceux entre c, et c, par g,; ceux entre c,, et Gu E (o e Mil dre tes geg (V)
par g, etc. e n—1 er
Nous avons donc =y Tanne (NI)
Vo, Ft? 9,
(Page, — G 3 = A X
et de là
(Vo — G) 6,
gy mel E RUE et
(Fo Go —
Qu (E Age G — vo, etc.
En mettant
Fee]: uu loe
sons Ask a
Nous avons
e P%
Mm FER
nid Bd
n — EE EH
SI Dën
GEES v et enfin
dr P So
ge 77i —(1--p-4-2*... 2- p^ —! qo, d
endum nr Sexe eg DO
— 7/8 — 999
p "JEER ss... D ues HD
Dans cette équation la densité o des poids additio-
nels et les poids spécifiques c, et o, étant donnés, il
est facile de trouver la valeur de p et ensuite les den-
sites des liquides entre les limites o, 9, Il convient
d’observer que n est, comme cela s'entend, un nombre
entier signifiant le nombre des groupes c, et o,, c, et
0,,, Orr et Bu, ... 0, ,et c, contenus entre c, et c
Le nombre des poids additionels m étant donné, on a
m-—n-— 1.
Nous avons donc:
Vc ns OI
ou, en supposant que les liquides entre c, , et c,
soient mesurés sans poids additionel et par l'instru-
ment seul, ou que gp, = 0.
= D ct ae eg
Po, = E OH
En substituant cette valeur de G dans l'équation | tan
p=
ef ` Ao NA
(V+v)p — G
p étant une fonction de n, c, et o„, nous voyons par
cette formule (VI) que le rapport entre le volume de
la carène et celui de l'échelle est invariablement fixé
par les conditions données. Pour déterminer les va-
leurs absolues de V et de v il faudrait encore attirer
quelque autre condition arbitraire, mais dont nous
n'avons pas à nous préoccuper dans ce mémoire.
En mettant DET ^ — a, la pesanteur des poids
additionels se calcule d'aprés les formules
9, —a—6G
g, —ap— G
Hu = ap — G
UMEN... ap" —
Les formules que nous venons de développer nous
mettent en mesure de fixer directement et non pas
par des tátonnements, les dimensions d'un alcoomètre
normal qui remplirait toutes les conditions du pro-
gramme mentionné, Ce n'est pas entreprendre un
simple exercice de calcul, que de traiter ce cas par-
ticulier plus un détail; les artistes en instruments de
physique nous sauront gré d'avoir entrepris cette tâche.
Nous avons déjà mentionné plus haut qu'il faut
confectionner les alcoométres en bronze d'aluminium,
alliage qui contient 90% de cuivre sur 10% d'alumi-
nium, et qui se distingue par sa dureté et sa tena-
cité, par sa belle couleur et par son inaltérabilité;
dans cette application spéciale, aucun autre des mé-
taux ou alliages connus ne peut rivaliser avec ce
bronze. La carène et l'échelle des alcoométres seront
confectionnées en feuilles laminées de cet alliage et
les poids additionels coupés dans de gros fils de 12""
à 15"" d'épaiseur du méme alliage. M. Robert Lenz
en a bien voulu déterminer le poids spécifique, et l'a
trouvé: pour les feuilles laminées — 8,087 et pour les
gros fils — 7,680. Comme dans nos formules p se
rapporte seulement à la pesanteur spécifique des poids
additionels, nous adoptons ce dernier chiffre en met-
tant o — 7,68.
Notre alcoométre suites rhone l'échelle cen-
des Sciences de Saint-Pétersbourg. .
446
Reie ite ge Tralles, c.-à-d. les poids spécifiques de
tous les mélanges d'eau et d'alcool entre 0° et 100%.
. Nous mettrons donc le poids spécifique de l'eau à
12//? R. g, — 1 et le p. sp. de l'aleool anhydre à la
. même température c, — 0,7946.
- Avec le poids additionel g, l'aleoométre plongera
dans l'eau distillée jusqu'à zéro de l'échelle; sans poids
adäitionel, il simmergera dans l'aleool anhydre, jus-
wà son extrémité supérieure. Il est vrai que par
cette disposition il est impossible de mesurer avec Pin-
- strument en question l'aleool anhydre à des tempéra-
- fures au-dessus de 12'/? R.; ce cas cependant ne se
- présente pas en pratique, vu que l'alcool anhydre n'est
nun produit immédiat des fabriques d'esprit de vin,
ni un objet de commerce. En outre l'alcool anhydre,
attirant avidement l'humidité de l'air ambiant, la me-
- sure de sa pesanteur spécifique reclame des précau-
tions particulières et d'autres moyens de mesure qu'un
aleoométre hydrostatique.
Quoique nous soyons libres d'avoir autant de poids
. additionels que nous voulons, le nombre en est cepen-
- dant limité par les inconvénients qu'il y aurait d'en
E avoir trop. Des calculs préalables nous ayant montré
= qué cing poids suffisent parfaitement pour remplir
tes les conditions du programme, nous nous sommes
- bomés à ce chiffre, en mettant m— 5 et n = 6.
S "En substituant dans nos formules les valeurs
“RE RM NI
ToU
| a ; e — 7,68
E E. go =]
i o s = Er
: —
déi p= 0,95756
E
| ua v, = 0,962858 — 32,15),
(77 o8, — 0,926949 = 53,70%,
^7 7 O= 0,892180 = 69 ‚00%,
m= 0,858548 = 81,90%,
6, = 0,826030 = 92,34%,
0, gegen — 100%,
e =,” — 0,961951 ..
i rua ,2819.v et v = 0,039554. V.
Da name mentionné cmi les uv
EU
d'abord: le nombre des divisions de gegen doit
être divisible par 10:
ensuite: que les divisions ne doivent pas être moin-
dres de 0,05 russes — 15727;
et enfin: que la sensibilité de GUEST soit telle
qu'à un esprit de vin de 38% (polougar — 0,9550
p. sp.) une différence de " „7, doit être accusée
ve un degré de l'échelle.
Pour satisfaire à ces conditions soit 7, = 0,962858,
la densité d’un esprit de vin inférieur à 38° /, et ré-
pondant au zéro de l'échelle, o, = 0 1926949 et ré-
pondant à l'extrémité de l'échelle, c — 0,955000
celle du polougar répondant à zv de T'échelle où x est
une fraction simple, H le volume de la carène y com-
pris celui du poids additionel g,; nous avons
Vo, = G +9,
(V'+ w) = Gg,
(V 2- alg =Q +g, et de là
IA ne À e 0, 21
S (5, — — õn)
mor d
c.-à-d. que le polougar coincidera avec unm trait de
la division se trouvant à peu prés à /, au-dessus du
zéro de l'échelle.
En différentiant l'équation précédente par rapport
à e nous avons
ÂGE great
Les poids spécifiques de 38%, et de 39%, different
entre eux de 0,0015; nous avons donc Ac = Ei
— 0,0005. En substituant cette valeur de Ae, de
méme que les valeurs de o,, 6, c; dans la az
précédente, nous obtenons Az = 0,01362. Nous
n’avons pas à tenir compte du signe — dont Az est
affecté, vu qu'un accroissement de c répond à une
diminution de x et vice versa. D’après ce que nous
avons dit plus haut, le minimum des divisions de
l'échelle est fixé à 1,27: or en mettant la longueur
de l'échelle — 7 et sa section Maele = ei nous
avons
l; 27: s— 0,013621 e
|— 93,725
une échelle de 93,””25 de longueur sufit
pour donner à notre instrument la sensibilité vou-
lue. Nous pouvons cependant rendre pm
plus sensible encore et satisfaire en même temps à la
Ainsi,
Bulletin de l'Académie Impériale
condition que la division soit décimale, en donnant à
l'échelle une longueur de 102"" et en la divisant en
80 parties égales, dont chacune aurait 17"275 de lon-
gueur. Par cette disposition l'instrument deviendra
assez sensible pour le faire monter ou descendre
presque de 17"4, Ja différence du p. sp. des liqueurs
n'étant que 0,0005.
En mettant dans l'équation
V = 25,2819 v,
nous avons
v = 1028s
V = 2578,758.
La section transversale de l'échelle étant donnée,
cette équation nous sert à déterminer le volume de
la carène.
L’aleoomötre en bronze d'aluminium présenté à PA-
cadémie, avait une échelle elliptique; nous avons aussi
fait construire des échelles triangulaires et quadrila-
téres, qui par leurs surfaces planes ont sur les échelles
à section circulaire l'avantage de rendre plus nette
l'observation du niveau jusqu'auquel les instruments
plongent dans le liquide. Néanmoins nous avons pré-
féré d'adopter les échelles circulaires, à cause d'une
plus grande facilité qu'on a d'exécuter les tubes de
cette forme avec toute la précision voulue. Les tubes
de forme angulaire, au contraire, sont plus difficiles
à confectionner; les outils qu'on emploie s'usent trop
rapidement par le travail d'un corps aussi dur que le
bronze d'aluminium et le rétablissement de leurs di-
mensions normales exige des réparations fréquentes.
Les personnes qui font le plus fréquent usage des
alcoométres, ne sont ordinairement pas habituées à
traiter ces instruments avec les précautions néces-
saires. Aussi désirent-elles qu'on leur fournisse des
instruments plus maniables et plus solides que ceux
qui sont actuellement en usage. Il faut donc tácher
d'augmenter l'épaisseur des parois de l'échelle et de
la carène; ce qui ne peut se faire qu'en agrandissant
le volume de ces parties. En donnant à l'échelle un
diamètre de 57"5, on obtient un alcoomètre d'une so-
lidité suffisante et les observations sont alors presqu'-
aussi aisées que si l'échelle avait des surfaces planes.
Nous avons done s — 237775 carrés, V = 2578,75.8
— 61,265 C. C. et le poids total de l'instrument
G = 0,82603 . V = 507607.
La longueur totale de l'alcoométre est fixée par le
programme à 9" russes — 23 centimétres.
La tige de l'échelle aura 12 C. de longueur dont
10:2 seront occupés par la division. Au-dessous du
zéro, et au-dessus de l'extrémité de la division il y
aura deux places vides de 10"" et de 8°".
Le bulbe consiste en deux hémisphéres de 46"" de
diamètre et réunies ensemble par un cylindre du
méme diamètre et de 5"" de hauteur. Son volume total
est 59,513 C. C. y inclus 238"" cubes pour la partie
de la tige de l'échelle immergée dans l'eau. Il s'en-
suit que le volume de la partie inférieure de l'instru-
ment, portant le contre-poids est 61,265 — 59,513
— 1,752 C. C. et sa pesanteur 1,752 C. C. x 8,0 =
145016. Le poids du bulbe, y compris le poids de la
tige de l'échelle, sera done 507607 — 145016 =
365591.
En désignant par à l’épaisseur des feuilles de bronze
d'aluminium, par D le diamètre du bulbe et par d ce-
lui de la tige de l’échelle, nous avons
8,0(D°+5D+ 120d) 8r: = 367591 d’où à = 07748.
En donnant aux feuilles laminées du bronze d'alu- .
minium une épaisseur de 0?"45, on peut disposer d'un
surplus de 2*6 qui seront employés pour l'anneau in-
térieur destiné à réunir les deux moitiés du bulbe etc.
La table suivante contient les poids additionels,
calculés d'aprés la formule
Vo — G
= 5-4 P — 0
aäditionels. P. sp. = Kiem
e 1,0000 | 0,00
ys ot 0,9629 | 32,15
7.031) 09269 | 53,70
2 585| 08922 | 69,00
d aal 0,8585 | 81,90
0000! 08260 | 92,34
0,7946 | 100,00
Il n’y a aucune difficulté à confectionner ces poids
assez exacts pour que leur pesanteur ne diffère de la
pesanteur calculée que par des fractions de milli-
grammes. Cependant ces poids étant immergés dans
un liquide, il faut aussi que leur pesanteur spécifique
soit toujours la même. Comme il est impossible de
—— remplir rigoureusement cette Condition, il faut au
— moins se rendre compte de l'influence qu'une densité
.. plus ou moins grande de ces poids exerce sur le ré-
i sultat des observations. Il se présente donc la que-
stion suivante: la limite des erreurs permises ou la
tolérance étant fixée par le programme, savoir: à ai
- pour les alcools de 0 à 30%, ; à AL pour ceux de
30%, à 50°, et enfin à "/."/ pour les alcools de 50%,
à 100^/ , quel écart de la densité normale (7,68) peut
être admis, sans que les erreurs dans la détermination
de la force des alcools dépassent les limites de la to-
Jérance?
- Pour résoudre cette question nous nous rapportons
à la formule:
a pee
—
dde
imo!
d'oà nous tirons
Paiti été go
E UT Ug Vo et
(G +9)g ` ^c
(G +g — Vo}?
Dos
En substituant dans cette formule les valeurs de
bp ^c contenues dans les trois premières colonnes
‚de la table suivante, nous obtenons les valeurs de
Le contenues dans la quatriéme colonne.
inte
më Dale, Dacis: 2
12,254 | 1,0000 |0,00025 | 0,077
Lb 9,886 | 0,9629 |0,00016 | 0,064
E 7,081 | 0,9269 |0,00020 | 0,149
: 4,585 | 0,8922 |0,00025 | 0,223
2,243 | 0,8585 | 0,00028 | 0,531
3 .. Ces valeurs de ^ o nous font voir, qu'en admettant
. un écart de 0,06 de la pesanteur spécifique normale
- 188, les erreurs dont nos observations seraient affec-
tes, se tiendraient entièrement dans les limites de la
tolérance. Cet écart pourrait être méme presque 9
S fois plus grand, s’il s’agit de mesurer les alcools au-
dessus de 80.
.. Pour calculer les erreurs provenant du volume de
i arène, on à
TONS SEHEN
E o mettant a= ] et ^c = 0,00025, on obtient
s. QE ae
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
450
et pour les alcools au-dessus de 90%
V Rant comme nous avons vu — 61,265 C. C., l'er-
reur qu il est permis de commettre dans la confection
de la caréne, ne doit guère dépasser 15" cubes. On
peut cependant se procurer en outre une latitude de
119"" cubes, en plaçant le trait du zéro 5" plus haut
ou plus bas. J'avais l'intention de faire consister la
tiga du contre-poids en deux tubes glissant l’un sur
lautre à frottement dur, afin de pouvoir régler le vo-
ume de la carène avec beaucoup de facilité et de
précision. Faute de moyens d'exécution, cette idée n'a
pas pu être réalisée par moi, mais elle l'a été avec
une grande perfection par MM. Siemens & Halske,
à Berlin. Du reste d'aprés ce que nous avons dit
plus haut, on n'a qu'à prendre soin d'exécuter la ca-
réne avec une exactitude de 459; en quoi tout artiste
habile ne trouvera aucune difficulté,
Le probléme que nous proposons aux construc-
teurs d'instruments de physique qui voudront s'oc-
cuper de la confection de l'aleoométre normal, ne
consiste qu'à observer rigoureusement les conditions
dont nous avons parlé plus haut, et qu'à se tenir
exactement aux dimensions calculées des différentes
parties. Les prodiges de précision et de bon marché
que nous voyons se réaliser journellement dans les a-
teliers bien organisés et entre les mains des artistes de
premier ordre, nous donnent la certitude que ces pro-
diges ne resteront pas en défaut, s'il s'agit de les re-
clamer pour servir à la confection des alcoomètres.
Les instruments identiques créés de cette manière,
jouiront du grand avantage de n'avoir pas besoin d’être
ajustés et vérifiés par les méthodes empiriques jusque-
là en usage. Les alcoomètres avec leurs poids additio-
nels pourront être achevés complètement sans les im-
merger, comme on le fait ordinairement, dans des al-
cools de densité connue, pour déterminer la position des
points extrêmes de l'échelle. Cette méthode, quelque
simple qu'elle paraisse, donne rarement des résultats
exacts, à cause des erreurs auxquelles la détermina-
[tion de la densité des liquides est soumise. En effet
pour ne pas rendre ce travail trop pénible, on est
obligé de se servir d'un alcoométre analogue exempt
de toute erreur et qu'il est difficile de se procurer.
Si la méthode empirique dont nous m ne sera
451
Bulletin de l’Académie Impériale
452
pas employée à la confection de nos alcoomètres, il
ne sera nullement rationnel de l’employer à leur
vérification officielle. Nous sommes loin d’être par-
tisans du timbre dont on à l’habitude dans certains pays
de munir les alcoomètres. Le timbre officiel n’at-
teindra jamais la confiance que le nom de l'artiste
inspire. La méthode rationnelle qu'il emploie à la
confection de ses instruments est la meilleure garan-
tie. En outre le timbre n'excite pas l'émulation des
artistes. Au mauvais il fait payer une amende, mais
il le place au niveau de l’habile. Le rapport entre
les chiffres des alcoométres du méme origine, timbrés
et rejetés, reste inconnu. Nous avons eu en mains
bon nombre d'alcoométres qui quoique munis de tim-
bres et garantis par toutes les formalités légales, don-
naient cependant des indications accablées de fortes
erreurs. En traitant à l'avenir la question des alcoo-
métres avec toute l'attention qu'elle mérite, des cas
pareils ne se présenteront que comme des exceptions
fort rares.
M. Raimondi a proposé (Compte-rendu 43 vol.
p. 437) une nouvelle méthode pour déterminer le
poids spécifique des corps solides. Bien que cette mé-
thode en général ne présente aucun avantage notable
sur les autres procédés connus, il en présente un in-
' contestable dans le cas où il s'agit de déterminer
avec toute l'exactitude voulue le volume des corps
solides. En effet, en se servant du procédé de M.
Raimondi, on n'a pas à tenir compte du poids de
ce corps ni dans l'air, ni dans le vide. Nous recom-
mandons la méthode mentionnée aux artistes comme
la plus expéditive que nous connaissions. Ils en feront
un fréquent usage, si la fabrication des instruments en
question se fait, comme nous l'entendons, à l'aide d'o-
pérations volumométriques. ,
Verzeichniss der um St.-Petersburg aufgefun-
denen Crabroninen, von August Morawitz.
(Lu le 6 mai 1864.)
Schon seit längerer Zeit ist die hiesige Insecten-
Fauna Gegenstand meiner Untersuchungen. Allein erst
seit zwei Jahren habe ich mein Augenmerk vorherr-
schend den Hymenopteren zugewandt, indem die hie-
sigen Coleopteren, Lepidopteren, Hemipteren u. s. w.
bereits anderweitig Interesse gefunden.
Ich beginne die Bearbeitung der hiesigen Hymeno-
pteren mit einer Aufzählung der hier aufgefundenen
Crabroninen und hoffe, in kürzester Zeit auch das
Verzeichniss der hiesigen Pompiliden, Heterogynen
und Chrysiden mittheilen zu können, welchem sich
dann späterhin eine Aufzählung der übrigen um Peters-
burg aufgefundenen Aculeaten anreihen wird.
Die erst erwähnten Aculeaten, die sog. Grab- und
Goldwespen, haben namentlich deshalb mein Interes-
se in Anspruch genommen, weil sie in letzter Zeit
häufiger als andere Gruppen der Hymenopteren bear-
beitet worden sind, und bilden dieselben namentlich
den Gegenstand zahlreicher faunistischer Beiträge.
Es schien mir daher interessant, die an verschiede-
nen Orten gemachten Beobachtungen mit einander zu
vergleichen, und habe ich so nach und nach eine kri-
tische Übersicht der im nordwestlichen Europa (nörd-
lich vom 50sten Breitengrade) beobachteten Grab- und
Goldwespen zusammengestellt, welche Übersicht ich
in meiner ausführlicheren Arbeit über die hiesigen
Grab- und Goldwespen mitzutheilen gedenke.
Das gegenwärtige, vorläufige Verzeichniss bezweckt
nur die Mittheilung der Resultate, welche ich hinsicht-
lich der Synonymie gewonnen, um so anderen Hymeno-
pterologen Gelegenheit zu geben, noch vor dem Druck
meiner ausführlicheren Bearbeitung etwaige Berich-
tigungen und Zusätze zu machen. Ausserdem hoffe ich,
dass eine solche Publication diejenigen hiesigen Ento- `
mologen, welche sich gelegentlich auch mit dem Ein-
sammeln der genannten Aculeaten beschäftigen soll-
ten, zu einer Mittheilung der von ihnen gesammelten
Materialien veranlassen wird, indem es ja nicht nur
möglich, sondern sogar auch sehr wahrscheinlich ist,
dass manche Art meinen Nachforschungen entgangen.
Denn nur durch die vereinten Kräfte der an einem
Orte thätigen Entomologen ist es möglich, die Fauna
des betreffenden Ortes in möglichst grosser Vollstän-
digkeit kennen zu lernen.
Für die Aufzählung der hiesigen Grabwespen lege
ich einstweilen die von Prof. Wesmaël veröffentlichte
«Revue critique des Hyménoptères Fouisseurs de Bel-
gique» zu Grunde. Nur hinsichtlich der Umgränzung
der Gattungen habe ich auch schon hier auf meine ei-
genen, zum Theil noch nicht zum Abschluss gekom-
menen Untersuchungen Rücksicht ga‘ommen. Die Be-
gründung solcher Abweichungen, eb VW so Wie die Be-
| i£
\ T ^
453
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
454
gründung der von mir über die Synonymie gemachten
Angaben wird in meiner ausführlichen Arbeit über die
hiesigen Grab- und Goldwespen erfolgen.
Als der Petersburger Fauna angehörig sind bis
jetzt beobachtet worden:
Crabronidae.
Crabro Fabr. Latr,
(Mandibulis post oculos insertis, apice truncato - fissis.)
a) Clytochrysus m., Crabro St.-Farg., Solenius Dahlb.
1) Cr. interrupte-fasciatus.
Guépe-ichneumon à trois bandes interrompues De
Geer. 9 (excl. Synon. Linn. et ? Q var. äer ar-
genteo.).
Sphex interrupte-fasciata Retz. (excl. Synon. Lin.)
Crabro cephalotes Fabr. 9 (non Oliv. Panz.) et auct.
rec. dQ.
Crabro sexcinctus v. d. Lind. (pro parte). Shuck. d
(excl Synon.).
Crabro ruficornis Zetterst. d.
Crabro aurilabris H.-Schaeff. d.
2) Cr. chrysostomus.
Crabro lapidarius Panz. d et auct. rec. dQ (non Fa-
bric.).
Crabro fossorius v. d. Lind. 49 (excl. Synon. prae-
ter Cr. lapidar. Panz.).
Crabro chrysostomus St.-Farg. Q.
Crabro comptus St.-Farg. d.
Crabro xylurgus Shuck. dQ.
Crabro interstinctus Smith. d.
Crabro argenteus Schenck. 9 var. forte.
Blepharipus flavipes St.-Farg. Q. forte eadem var.
b) Crabro (Fabr.) Dahlb.
3) Cr. grandis.
Crabro fossorius Fabr. et auct. rec. SQ (non Linn.)
Crabro striatus St.-Farg. d (excl. Q et Synon.).
Solenius grandis St.-Farg. Q.
Solenius fuscipennis St.-Farg. d.
i
4) Cr. quadricinctus.
Crabro 4-cinctus Fabr. Q.
Crabro fossorius Ross. (excl. Synon.).
Crabro cephalotes Oliv. 9. Panz. icon. Q.
Crabro lituratus Panz. Q.
Crabro occultus Fabr. Q. \
Crabro zonatus v. d. Lind. 9 (excl. d et Synon.d.).
Crabro vespiformis v. d. Lind. 9 (excl. d et Synon.).
Crabro striatus St.-Farg. Q (excl. d et Cr. cephalot.
Spinol.). H.-Schaeff. 39. ete.
Crabro ornatus St.-Farg. Q
Blepharipus striatulus St.-Farg. d.
Ceratocolus striatus St.-Farg. d.
Crabro Lindenius Shuck, 39.
Crabro Shuckardi Dahlb. Ex. Crab. 89.
Crabro nigritarsus H.-Schaeff. Q var. forte.
Crabro interruptus Dahlb. dQ.
c) Solenius St.-Farg., Ectemnius Dahlb.
5) Cr. vagus.
Sphex vaga Linn. (excl Synon. Scopol.).
Crabro vagus Fabr. auct.
Solenius vagus St--Farg.
Crabro continuus Fabr. Q var.
Crabro sulphureipes Smith. 4 var.
6) Cr. microstictus.
Crabro microstictus H.-Schaeff. 39.
Crabro larvatus Wesm. Q. forte.
7) Cr. spinicollis.
Crabro guttatus v. d. Lind. (sed. sol d var.). Dahlb.
d9 (partim).
Crabro borealis Dahlb. Ex. Crabr. 3 (excl Q.).
Crabro spinicollis H.-Schaeff. 49.
Crabro parvulus d (partim; sc. ind. abdomine macu-
. lato.).
8) Cr. guttatus.
Crabro guttatus v. d. Lind d9 (excl. d var.). Dahlb.
ON (partim).
Crabro fossorius Gimmerth. i. 1. sec. v. d. Lind.
Crabro Laportei St.-Farg. d.
Crabro borealis Zetterst. d. Dahlb. Ex. Crab. 9 (excl.
dÄ |
Crabro bipunctatus Zetterst. Q.
Crabro nigrinus H.-Schaeff. SQ.
Crabro pictipes H.-Schaeff. Q var. forte.
Crabro nigridens H.-Schaeff. 9 var. forte.
Crabro parvulus H.-Schaeff. 3 (partim; sc. ind. abdo-
mine immaculato).
d) Thyreus St.-Farg. H.-Schaeff. `
9) Cr. clypeatus.
Apis elypeata Schreb. 4.
Sphex clypeata Linn. d.
455
Bulletin de l’Académie Impériale
Crabro clypeatus Fabr. d.
Sphex clypearia Schreb. d.
Crabro vexillatus Panz. d. v. d. Lind. d sol.
(Q est d Cr. subterranei). auct. rec. SQ.
Thyreus vexillatus St.-Farg. &
Crabro fossorius Panz. 9 (excl. Synon.).
Crabro lapidarius Fabr. v. d. L. 9.
Solenius lapidarius St.-Farg. dQ (excl. Synon. Panz.).
Crabro cunicularius Germ. 9. forte.
e) Ceratocolus St.-Farg. H.-Schaeff.
10) Cr. alatus.
Sphex clypeata Villers. d. forte. (excl. Synon.).
Crabro subterraneus Panz. 9 (excl. Synon.) v. d.
Lind. d et partim 9 (excl. Synon. 9.).
Crabro alatus Panz. d et auct. rec. 89.
Ceratocolus alatus St.-Farg. d.
Crabro basalis Smith. 9 var. abdominis segmento pri-
mo rufo.
, 1) Cr. subterraneus.
Crabro subterraneus Fabr. 9 et auct. rec. 69.
Crabro philanthoides Panz. Fabr. d.
Crabro vexillatus v. d. Lind. d (falso pro 9 existi-
mat.).
Crabro vestitus Smith. d.
f) Thyreopus St.-Farg.
12) Cr. cribrarius.
Vespa vel Sphex cribraria Linn. d. Schreb. 2.
Crabro cribrarius Fabr. 89 et auct. rec.
Thyreopus cribrarius St.-Farg. 9.
Sphex patellaria Schreb. SQ var.
Crabro peltatus Fabr. Zetterst. dQ var.
Crabro palmatus Panz. d.
Thyreopus clypeatus St.-Farg. d9.
13) Cr. peltarius.
Vespa cribraria $. Linn. c.
Sphex peltaria Schreb. d9.
Crabro clypeatus Panz. 9 (non Schreb. et Linn.).
Crabro patellatus Panz. d et auct. rec. d.
Thyreopus patellatus St.-Farg.
Crabro dentipes Panz. 9.
14) Cr. scutellatus.
Sphex scutellata Scheven. d.
Sphex scutullaria Schreb. e
Crabro pterotus Panz. 2 et auct. rec.
Thyreopus pterotus St.-Farg. d.
Ceratocolus reticulatus St.-Farg. ©.
g) Anothyreus Dahlb. iore.
15) Cr. lapponicus.
Crabro lapponicus Zetterst. Dahlb. SQ. itura
h) Crossocerus St.-Farg., Wesm. Div. II.
16) Cr. palmarius.
Die kleinste Siebwespe mit weissen Patellen etc. Sche-
ven. d.
Sphex palmaria Schreb. d.
Crabro scutatus Fabr. 4 et auct. rec. d.
Crossocerus scutatus St.-Farg. d.
Crossocerus ornatus St.-Farg. 9.
17) Cr. varius. "E
Crabro palmipes v. d. Lind. 9 (pro parte).
Crossocerus varius (varus) St.-Farg. SQ.
Crabro varius Wesm. 2 et auct. rec.
Crossocerus pusillus St.-Farg. d.
Crabro spinipectus Shuck. Dahlb. 49.
Crabro albilabris Dahlb. Ex. Crab. var. a. d (excl.
Synon.).
18) Cr. ovalis.
Crossocerus ovalis St.-Farg. 89.
Crabro exiguus Shuck. dQ (excl. Synon.).
Crabro anxius Wesm. et auct. rec.
19) Cr. Wesmaéli.
Crabro Wesmaëli v. d. Lind. dQ et auct. rec.
Crossocerus Wesmaéli St.-Farg. d.
Ceratocolus Ziegleri St.-Farg. 9. forte.
Crabro albilabris — Ex. Crabr. 39 (excl. var. a
et Synon.).
Crossocerus clavipes H.-Schaeff. d (= var. C. Dahlb.).
20) Cr. elongatulus.
Crabro elongatulus v. d. Lind. dQ et auct. rec. hg
Crabro scutatus v. d. Lind. 9 var. forte.
Ceratocolus maurus St.-Farg. 9. forte.
| Crossocerus varipes St.-Farg. d.
Crossocerus striatulus vel striatus St.-Farg. ©.
Crossocerus pallidipalpis St.-Farg. SQ.
Crossocerus morio St.-Farg. H.-Schaeff. dQ.
Crossocerus affinis St.-Farg. d. H.-Schaeft. Los
Crossocerus luteipalpis St.-Farg. d.
Crossocerus annulatus St.-Farg. 9.
Crabro proximus Shuck. d.
Crabro hyalinus Shuck. Q.
Crabro transversalis Shuck. d.
Crabro obliquus Shuck. 40.
RN
des Sciences de Saint-Pétersbourg. 458
Slo propinquus Shuck. SQ.
socerus gonager H.-Schaeff. 9 (non St.-Farg.).
Pico seutellaris Smith. 9.
21) Cr. exiguus.
Crabro exiguus v. d. Lind. 9. Wesm. c9.
uro i) Blepharipus St.-Farg., Crossocerus Wesm. Div. I.
es 22) Cr. vagabundus.
des, vagabundus Panz. © et auct. rec. dQ.
"ro mediatus Fabr.
‚haripus mediatus St.-Farg. d.
>haripus quinquemaculatus St.-Farg. d.
ro subpunctatus Dahlb. SQ (non Rossi).
Crabro quadricinctus Dahlb. (9 var.; non Fabr.).
23) Cr. diversipes.
"mee ee diversipes H.-Schaeff. 49.
“ro barbipes Dahlb. d. forte.
%o affinis Wesm. 9.
24) Cr. ambiguus.
P „aripus annulipes St.-Farg. ©. forte.
‚ocerus gonager St.-Farg. 9. forte.
9o-ambiguus Dahlb. 4Q et auct. rec.
-4«Jro capito Dahlb. ©.
25) Cr. carbonarius.
Crabro leucostoma Zetterst. var. b. d.
Crabro carbonarius Dablb. Ex. Crab. 89.
Crossocerus rugosus H.-Schaeff.
Crabro podagricus Dahlb. SQ (non v. d. Lind.).
Crabro melanarius Wesm. SQ.
26) Cr. cetratus.
Crabro cetratus Shuck. d et. auct. rec. A.
Crabro van der Lindeni Dahlb. Ex. Cabr. d.
Crabro dilatatus H.-Schaef. d.
Crabro melanarius Bold. (sec. Smith.) 9.
27) Cr. leucostoma.
Sphex leucostoma Linn.
Crabro leucostoma Fabr. et auct. rec. SQ.
Pemphredon leucostoma Fabr.
Crossocerus leucostoma St.-Farg. 9.
Crabro bidens Halid. d.
Crossocerus niger St.-Farg. d. forte.
Crossocerus rufipes St.-Farg. d. forte.
28) Cr. nigrita. |
medio truncato et tridenticulato.)
St.-Farg. 9
inut
Crabro mi 3huck. & et auct. rec.
Crabro leucostoma var. H.-Schaeff. Q (tibiis posticis
basi albis). Dahlb. 9 (pag. 342. sed. non 524.).
Crabro diversipes Wesm. d (non H.-Schaeff.).
29) Cr. capitosus.
Crabro capitosus Shuck. 9 et auct. rec. ZG.
Crabro annulus Dahlb. Ex. Crabr. 39.
Crossocerus laevipes H.-Schaeff. 49.
k) Corynopus St.-Farg.
30) Cr. coarctatus.
Sphex coarctata Scopol. 9 var.
Crabro vel Pemphredon crassipes Fabr. 9 var.
Crabro vel Pemphredon tibialis Fabr. 9.
Corynopus tibialis St.-Farg. SQ.
Rhopalum tibiale Westw. et auct. rec. d9.
Lindenius St.-Farg.
(Mandibulis + distincte sub oculis insertis, apice integris.)
a) Chalcolamprus Wesm.
31) L. albilabris.
Crabro albilabris Fabr. 9.
Pemphredon albilabris Fabr. 9.
Lindenius albilabris St.-Farg. 8 Q etc.
Crabro leucostoma Panz. 9 (excl. Synon.).
Pemphredon leucostoma Panz. (excl. Synon. ).
Crabro aenescens Dahlb. Ex. Crab. 89.
b) Entomognathus Dahlb.
32) L. brevis.
Crabro brevis v. d. Lind. d 9.
Lindenius brevis St.-Farg. 9.
Entomognathus brevis Dahlb. 4 9 .
Crabro armatus Dahlb. Ex. Crab. d 9 .
Oxybelus Latr.
33) O. uniglumis.
Vespa uniglumis Linn.
Crabro uniglumis Fabr.
Oxybelus uniglumis Latr. St.-Farg. et auct. rec. d.
Vespa decemmaculata Donov.
| Oxybelus pygmaeus Oliv. forte.
Oxybelus trispinosus St.-Farg. SQ (excl. per
| Oxybelus tridens St.-Farg. 9 var. forte.
Oxybelus eburneofasciatus Dahlb. etiam var.?
84) O. quatuordecim- notatus.
Oxybelus quatuordecim -notatus Jur. 3. St.-Farg. 9
pictura citrina.
Bulletin de l’Académie Impériale
160 0
459
Oxybelus mucronatus v. d. Lind. d pict. sulphurea
sec. Wesm
Oxybelus 14- »guttatüs Shuck. Q var. mucrone brevi
et lato.
Oxybelus furcatus St.-Farg. 9. Wesm. d 9 etc.
Oxybelus fissus St.-Farg. 3 pict. citr.
Oxybelus bellus Dahlb. 4 pict. citr. Schenck d et ? 9.
Oxybelus bellicosus Dahlb. d pict. eitr. (non Oliv. et
Shuck.) Taschenb. 9 pict. sulph. 2 citr. Schenck.
Q. forte (excl. d.).
Oxybelus simplex Dahlb. d. forte.
Oxybelus fasciatus Dahlb. ©. forte.
35) O. nigripes.
Oxybelus mucronatus Oliv. St.-Farg. d (excl. Synon.).
Oxybelus nigripes Oliv. 9 etc.
Oxybelus trispinosus Dahlb. d 9 (excl. var. & man-
dib. flavis.) etc. ')
Oxybelus dubius Dahlb. d.
Oxybelus bellicosus Schenck. d (excl 9 .).
36) O. haemorrhoidalis.
Oxybelus haemorrhoidalis Oliv. Q.
Oxybelus mandibularis Dahlb. Taschenb. d 9 .
Oxybelus bicolor Schilling. Q var. forte.
Oxybelus variegatus Wesm. 9.
Pemphredonidae.
Cemonus Jur.
a) Cemonus Shuck. ?)
37) C. Wesmaëli.
Major, niger, palpis apice lutescentibus, vertice, me-
sonoto scutelloque fortiter densiusque punctatis, post-
scutello rugoso-punctato, opaco, postpetiolo (superne
viso) triangulum aequilateralem referente.
1) Die Apis trispinosa oder der Oxybelus trispinosus Fabr. ist
ohne Zweifel diejenige Art, welche Dahlbom als O. haemorrhoida-
lis, Wesmaël dagegen als O. bipunctatns Oliv. aufführen. Zu dersel-
ben Art gehórt auch das von Smit . nigripes beschriebene
Weibchen und wahrscheinlich auch der O. laevigatus Schilling.
2) Zu dieser Gruppe gehört noch C. lethifer Shuck. Wesm., bei
welchem der glatte Saum des Spatium cordiforme sehr breit und
hinten von der Punktirung keineswegs scharf abgesetzt ist. Die Dor-
nen der Hinterschienen sind obsolet. Scheitel, Dorsulum und Schild-
chen wie bei C. Wesmaéli, indessen feiner punkürt, während der
Postpetiolus fast wie bei C. Shuckardi gebildet ist. Das Kopfschild
des Weibchens endlich stimmt mit demjenigen des C. Wesmaëli
überein, es ist indessen am vordern Rande etwas aufgebogen und
mit einer en breiteren und viel seichteren Ausbucht
versehen
d. Capite subquadrato, abdominis petiolo long:
8'/ —9'/, Mm.
Q. Clypeo adpresso, margine antico emargin:
media instructa. 8— 9'/, Mm.
Var. a. &. Metanoti spatii cordiformis limbo angustis-
simo, coriaceo, opaco. |
Cemonus unicolor Jur. St.-Farg. forte. j
Pemphredon unicolor v. d. Lind. & var. «dps eg
taille est un peu plus forte (3'/"), et che;
quel cet espace lisse manque». forte. |
Cemonus rugifer Dahlb. d@ etc. (an solum. m
parte?).
-Cemonus luctuosus Dahlb. I. 507. 3. (non Shuck Ja)
(an sol. pro parte?).
Var. b. 89. Metanoti spatii cordiformis limbo plus
minusye angusto, polito, postice Ge
cumscripto.
Cemonus unicolor Dahlb. etc. pro parte.
38) C. Shuckardi.
Minor, niger, palpis piceis, vertice, dorsulo o
loque obsoletius punctatis, postscutello plus mii
nitido, postpetiolo (superne viso) triangulum brevio-
rem referente (metanoti spatii cordiformis limbo plus
minusve lato, (semper?) polito, postice crenatura cir-
cumscripto).
d. Capite postice plerumque angustato. 6—7 Mm.
Q. Clypeo margine antico elevato, medio producto.
7—8 Mm.
Pemphredon unicolor v. d. Lind. dQ. (non Sphex
atra vel Pelopoeus unicolor Fabr. et etiam non
Sphex vel Crabro unicolor Panz. et verisimile
non Cemonus unicolor Jur. St.-Farg.).
Cemonus unicolor Shuck. 39.
Dahlb. SQ. Wesm. et auct. rec. pro parte.
b) Pemphredon Shuck.
*? Clypeo margine antico elevato, medio producto.
cute
nus
39) C. montanus.
Pemphredon montanus Dahlb. 4 Q.
**? Clypeo margine antico rotundato, medio sub-
elevato.
40) C. lugubris. Er a
Crabro lugubris Fabr. 9. Vi
Pemphredon lugubris Fabr. et auch
Cemonus lugubris Jur.
461
des Sciences de Saint- Petersbourg.
462
Sphex vel Crabro unicolor Danz 9.
Cemonus unicolor Jur. pl. 11. Gen. 28. 9.
Pemphredon luctuosus Shuck. 2 var.
***0 Clypeo margine antico tridentato (fere ut in
Diodont. 9.).
41) C. lugens.
Pemphredon lugens Dahlb. 39.
Den C. lugens führe ich unter den hiesigen Arten
nur deshalb auf, weil im entomologischen Museum der
Akademie ein angeblich hiesiges Weibchen dieser Art
vorhanden ist. In neuerer Zeit ist sie in der Peters-
VT Umgegend von niemandem gesammelt worden.
c) Ceratophorus Shuck.
42) C. morio,
Pemphredon morio v. d. L. 9
Ceratophorus morio Shuck. $9 et auct. rec.
Ceratophorus anthracinus Smith. 9 var.
Diodontus Curt.
Pemphredon Latr. Préc. etc. sec. Latr. Gen. IV. 84.
Stigmus minutus.
43) D. tristis.
. Pemphredon minutus St.-Farg. d (excl. Synon. et
excl. 9.).
Pemphredon tristis v. d. Lind. SQ (excl. Sph. pallipes
Panz.).
Diodontus tristis Shuck. SQ. Wesm. etc.
Diodontus pallipes Curt. Dahlb. 39 (excl. Sph. pal-
lipes Panz.).
3 44) D. Dahlbomi.
Niger, griseo pubescens, pronoti angulo humerali-
antico recto, capite, dorsulo postscutelloque sub-
opacis, confertissime substiliter punctatis, dorsuli cari-
nulis quatuor basalibus distinctis, genubus tibiis tar-
sisque rufo-testaceis, his apice, illis medio plus minusve
nigricantibus.
d. Labro apice angulatim emarginato. Valvula dor-
salis brevis, trapeziformis, plana. 4'/—57/ Mm.
Q. Fronte ad oculorum marginem interiorem sul-
culo lato opaco. 7—7'/ Mm
Diodontus tristis Dahlb. SQ. forte.
Diodontus medius Dahlb. 49. forte var.
45) D. minutus,
Crabro minutus Fabr. 9.
Genre Pemphredon Latr. Préc. p. 128 sec, Latr. Gen.
IV. 84.
Pemphredon minutus Fabr. 9 (excl. Sph. pallipes Panz.).
St.-Farg. 9 (excl. Sph. pallipes Panz. et excl. 4 3
v. d. Lind. A.
Diodontus minutus Curt. 49 ete.
Passaloecus Shuck,
46) P. tenuis.
Passaloecus gracilis (non Curt. et Shuck.) Dahlb. et
auct. rec. IQ.
Passaloecus singularis Dahlb. 4. forte exempl. mon-
strosum.
47) P. insignis.
Pemphredon insignis v. d. Lind. 9 (excl. d.).
Diodontus insignis Curt. 9.
Passaloecus insignis Shuck. Smith. 9 (excl. d.). forte
var.
Passaloecus monilicornis Dahlb. 49 et auct. rec.
48) P. Turionum ?)
Passaloecus Turionum Dahlb. 39 etc.
Stigmus Jur.
49) St. Solskyi.
Vertice transversim-, fronte, dorsulo scutelloque
longitudinaliter - strigulosis punctisque minutissimis
parcis notatis, pleuris fortiter rugosis, tuberculis hu-
meralibus albidis.
d. Capite subtransverso, postice valde angustato,
fronte ad marginem orbitalem interiorem clypeo-
que argenteo - pilosis, hoc medio late impresso,
ad centrum marginis apicalis in lobum rotunda-
tum producto et utrinque lobulo parvo rotunda-
toque instructo. 4'/, Mm.
. Capite subcubico, clypeo ad centrum marginis
apicalis arcuatim emarginato, lobulo utrinque
acutangulo. 5'/, Mm.
Stigmus pendulus Dahlb. © (excl. d et Synonym.).
*O
3) Zu den Passaloecus, deren Mesopleuren mit drei Kerblinien
bezeichnet siad, gehören noch:
Za er Shuck. Smith. 9 (excl. 4.). Dahlb. 4 9.
P. insignis Shuck. Smith. + (excl. 9 .). ferte.
. brevicornis.
P. insignis v. d. Lind. 4 (non 2.). Dahlb. d 9. Wesm. ete.
P. gracilis Shuck. # 9 (non Curt.
und der mir unbekannte
P. borealis Dahlb. 4 9.
463
Bulletin de l'Académie Impériale
464
Dem St. pendulus in der Färbung und auch in der
Gestalt täuschend ähnlich. Bei letzterem sind aber auf
Stirn, Scheitel, Dorsulum und Schildchen von der oben
erwähnten Strichelung nur stellenweise undeutliche
Spuren wahrzunehmen und es sind die Mesopleuren
glatt und mit drei groben Kerblinien bezeichnet, wel-
che ein mit der Spitze nach hinten gerichtetes Drei-
eck umschliessen, dessen obere Seite bogig gekrümmt
ist. Ausserdem ist beim Männchen des St. pendulus
der Kopf nach hinten nur wenig verengt, der Clypeus
in der Mitte nicht vertieft und am Vorderrande mit
drei Ausrandungen versehen, von denen die mittlere
sehr undeutlich ist. Beim Weibchen ist der Clypeus
in der Mitte winklig ausgeschnitten, und es sind die
Seitenlappen dieses Ausschnittes abgestutzt und etwas
aufgebogen.
Der St. pendulus ist in hiesiger Gegend noch nicht
beobachtet worden und scheint auch der St. Solskyi
hier äusserst selten zu sein, da ich von demselben bis
jetzt erst ein Weibchen auf dem Smolensky-Kirchhof
gefangen habe. Ein hiesiges Männchen, ohne nähere
Angabe des Fundorts, theilte mir Herr S. M. v. Solsky
mit.
Über die Einwirkung des Natriums auf Valeral-
dehyd, von A. Borodin. (Lu le 20 mai 1864.)
Es giebt einzelne Punkte in dem chemischen Ver-
halten der Aldehyde, die noch sehr wenig studirt
worden sind. So ist das Verhalten der Aldehyde zu
den Metallen noch vollkommen unklar. Man behaup-
tete gewóhnlich, dass die Aldehyde, den Alkoholen
analog, Metallderivate, durch Austausch eines Theils
von Wasserstoff gegen Metall, geben kónnen. Die
Thatsachen, welche der obigen Anschauungsweise als
Basis dienen sollen, sind aber keineswegs genügend.
Auch sind die Angaben über einzelne Aldehyde in
dieser Hinsicht durchaus nicht übereinstimmend.
Die Aufgabe der vorliegenden Arbeit war, zu dem
Studium der Aldehyde in dieser Richtung beizutragen,
Zu meinen ersten Versuchen habe ich das Verhal-
ten des Natriums zum Valeraldehyd gewählt, da na-
mentlich dieser Gegenstand als Ausgangspunkt für
einige Arbeiten diente, welche auf der Annahme eines
Natriumvaleraldehydats gegründet sind.
Meine erste Sorge war, durch die Einwirkung des
Natriums auf Valeraldehyd ein Produkt von constan-
tem Natriumgehalt zu bekommen. Es ist mir aber
nicht gelungen.
Das Aldehyd, welches ich zu meinen Versuchen
gebraucht habe, war von zweierlei Ursprung: das eine
war aus dem, von Trommsdorff in Erfurt bezogenen,
schwefligsauren Valeryl-Natrium durch Zersetzen mit
Sodalósung bereitet, das andere aus chemisch reinem
Amylalkohol von mir selbst dargestellt. Ich bin da-
bei im Wesentlichen der von Parkinson vorgeschla-
genen Methode (S. Ann. d. Ch. u. Pharm. XC, 114)
gefolgt, nur habe ich das Waschen des rohen Pro-
dukts mit Kalilósung unterlassen, und die ólige Schicht
ohne Weiteres mit einer concentrirten Lósung von
doppeltschwefligsaurem Natron behandelt. Ich habe
für jede Operation 100 Gmm. Amylalkohol, 147 Gmm.
concentrirter Schwefelsáure, zu der ich dann ein glei-
ches Volum Wasser zusetzte, und 111 Gmm. dop-
peltchromsauren Kali, in 1200 Gmm. Wasser ge-
lóst, genommen. Bei Anwendung dieser Quantitäten
und beim Gebrauche von reinem Amylalkohol statt
Fuselóls, hat man sich nicht vor einer starken Reaction
zu fürchten und das Gemisch von Alkohol und Schwe-
felsäure kann alles auf einmal zum chromsauren Salze
zugegossen werden. Das gewonnene Aldehyd macht .
etwa '/,. —'/, von dem Gewichte des Alkohols aus. -
Wird Natrium in kleinen Portionen in Valeralde-
hyd bei gewóhnlicher Temperatur eingetragen, so
bewirkt das erste Stückchen eine lebhafte Reaction.
Das Gemisch erhitzt sich bis zum Sieden, wenn man
nicht für gute Abkühlung sorgt; es entweicht Was-
serstoffgas, und das Metall lóst sich vollkommen auf.
Die Flüssigkeit erhält dabei einen ganz anderen Ge-
ruch. Bei weiterem Zusatz von Natrium hat man
Sich nicht mehr vor solch einer starken Reaction zu
fürchten, die letztere verläuft ruhig, es wird unter fort-
wührender Wasserstoffgasentwicklung Natrium auf-
gelóst, bis endlich die Einwirkung aufhórt, indem das
Metall mit einer Schicht des gallertartigen Produkts
umhült wird. Erwürmt man das Gemisch, so lóst
sich die gallertartige Hülle auf, und die Einwir-
kung findet von Neuem statt; sie wird aber stets schwä-
cher und schwächer, und die Masse wird immer dick-
flüssiger. Will man so viel wie móglich Natrium in
Lösung bringen, so muss die Temperatur des Gemi-
sches bis auf 140°— 150° getrieben werden; die Masse
nimmt dabei stets eine gelbliche Farbe an. Die Quan-
465
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
466
tität des Metalls, die man anf diese Art lösen kann,
beträgt ungefähr '/,—'/, von dem Gewichte des an-
gewandten Aldehyd. Das Gemisch erstarrt beim Er-
kalten zu einer gelblichen, weichen, nicht krystallini-
schen Masse.
Wendet man ein polymere Verbindungen enthal-
tendes Aldehyd an, so ist das Produkt mehr gallert-
artig; dabei verläuft die Reaction von vorn herein ru-
hig. Wird reines Aldehyd vorher mit einem gleichem
Volum Benzol zusammengemischt, so ist das Produkt
dem oben beschriebenen vollkommen ähnlich, nur fin-
det hier die Einwirkung in der Kälte nicht mehr statt.
Sollte das Produkt der Reaction wirklich ein dem
` Natriumalkoholat analoges Natri
halten, so wäre zu erwarten, dass es, bei der Zer-
setzung mit Wasser, Aldehyd, oder Ne ein
Polymer oder Isomer desselben geben würde. Das
Produkt wird auch in der That durch Wasser zer-
setzt, aber unter den Zersetzungsprodukten ist es mir
keineswegs gelungen, einen Körper von der Zusam-
mensetzung des Aldehyds aufzufinden; man bekommt
dabei ganz andere Verbindungen, wie man weiter un-
ten sehen wird. — Wird die erstarrte Masse, nach
dem Entfernen von ungelöstem Natrium, mit wenig
Wasser zusammengebracht, so löst sie sich zu einer
klaren Lösung auf. Durch Zusatz von mehr Wasser
wird das Gemisch milchig, und es scheidet sich bald
eine gelbliche ölige Schicht ab, welche auf der wäss-
rigen schwimmt.
. Die wässrige Schicht reagirt stark alkalisch und
riecht nach Amylalkohol; mit Kohlensäure gesättigt
und mit etwas Aether gewaschen (um den etwa gelösten
Amylalkohol und andere Produkte zu entfernen) hin-
terlässt sie beim Abdampfen eine weisse Salzmasse.
Wird diese letztere wieder in Wasser gelöst und die
Lösung mit Salzsäure versetzt, so entweicht viel koh-
lensaures Gas, und es scheidet sich an der Oberfläche
eine ölige Schicht ab, die aus fast reiner Baldriansäure
besteht. Sie besitzt alle Eigenschaften der letzteren,
siedet grösstentheils zwischen 173° und 176°, hat den-
selben Geruch und giebt, mit kohlensaurem Baryt ge-
sättigt, ein Barytsalz, welches dem baldriansauren
vollkommen ähnlich ist. `
1,111 Gmm. von dem bei 150° getrockneten Baryt-
salze gaben 0,764 schwefels. Baryt, d. h. 0,4495 Ba
Tome VII
+ ont
“AU vilv
berechnet: gefunden:
C,H BaO, 40,44%, 40,45%, Ba
Das was über 176° siedet, ist ein Gemisch von
Baldriansäure mit einer zwischen 200°—220° sieden-
den, neutralen Flüssigkeit; diese letztere bildet sich
aber in so geringer Menge, dass ich sie nicht weiter
untersuchen konnte.
Die Baldriansäure macht etwa ‘/, von dem Gewichte
des Aldehyds aus. Das Mengenverhältniss der Säure
ist viel zu gross, um der zufälligen Oxydation des Al-
dehyds an der Luft zugeschrieben werden zu kónnen.
Um jede Unbestimmtheit in dieser Hinsicht zu besei-
tigen, habe ich den Versuch in einem mit Wasserstoff-
gas angefüllten Apparate ausgeführt ; das Gasleitungs-
rohr war in Quecksilber Pipgetauchk, und auf, diese
Weise yon der Luft abgesperrt. Das Meng
der sich bildenden Säure blieb aber stets dasselbe,
weshalb die letztere auf Kosten des im Aldehyd ent-
haltenen Sauerstoffs sich bilden muss.
Die wässrige Schicht enthält also neben Ätznatron
noch baldriansaures Natron.
Die ölige Flüssigkeit welche sich beim Zersetzen
des rohen natriumhaltigen Produkts durch Wasser
ausscheidet, wird mit Wasser gewaschen und über
Chlorcalcium getrocknet. Sie ist leichter als Wasser,
hat einen aromatischen und zugleich an Amylalko-
hol erinnernden Geruch, einen brennenden Geschmack
und ist vollkommen neutral. Ihre Farbe ist stets gelb-
lich, sie destillirt fast ohne Rückstand und stellt im
Wesentlichen ein Gemisch von drei Körpern vor, Diese
letzteren können durch fractionirte Destillation von
einander getrennt werden.
Diese ölige Flüssigkeit macht ii: ^, von dem
Gewichte des Aldehyds aus.
Der flüchtigste von den drei darin dios Kór-
pern siedet bei 132^, und hat sowohl alle physikali-
schen Eigenschaften als auch die Zusammensetzung
des Amylalkohols.
0,3455 Gmm. dieses Körpers gaben: 0,425 Gmm.
Wasser und 0,853 CO, entsprechend 0,0472 Gmm.
Wasserstoff und 0,2326 Kohlenstoff.
Diese Resultate führen zu der Formel C,H,,0
berechnet: gefunden:
C= 68,18%, 67,937,
H,13,644,7,u:1866),
30
467
Bulletin de l’Académie Impériale
468
Die Bildungsweise des Alkohols aus dem Aldehyd
muss hier durch direete Addition von Wasserstoff er-
klärt werden:
C,H „O + H, = C,H 0.
Der zweite Körper, der in dem rohen Öle enthal-
ten ist, stellt eine farblose, ölige Flüssigkeit vor. Er
ist neutral, riecht aromatisch, angenehm, hat einen
brennenden, aromatischen Geschmack und ist ohne
Zersetzung destillirbar. Sein Siedepunkt liegt genau bei
203°,3 (corrigirt) bei 764,2"" Barometerstand. Sein
spec. Gewicht bei 0° ist — 0,8569.
In Alkohol, Äther und ütherischen Ölen löst er
sich in jedem Verhätnisse auf. In Wasser ist er fast
unlöslich.
1) 0,3595 Gmm. gaben 0,4715 Gmm. Wasser und
1,0075 Kohlensäureanhydrid, folglich 0,0524
Gmm. Wasserstoff und 0,2747 Gmm. Kohlen-
stoff.
2) 0,316 Gmm. gaben 0,410 Gmm. Wasser u. 0,879
Gmm. Kohlensäureanhydrid, folglich 0,0455
Gmm. Wasserstoff und 0,2397 Gmm. Kohlen-
stoff.
3) 0,245 Gmm. gaben 0,300 Gmm. Wasser u. 0,685 |.
Gmm. Kohlensäureanhydrid, folglich 0,0333
Gmm. Wasserstoff und 0,1868 Gmm. Kohlen-
stoff.
Diese Resultate entsprechen der Formel C,,H,,0:
berechnet: gefunden: -
N°2 N? 8.
Co = 75,94%, 76 AT 75,85%, 76,24%,
H,— 13,927, 14,54%, 14,39% 13,60%,
Alle drei Analysen sind mit Produkten von ver-
schiedener Bereitung gemacht worden.
Der Kórper hat also die Zusammensetzung des
Amyläthers (CH. KM, oder des Caprinalkohols. Dem
chemischen Charakter nach gehórt er aber unbe-
dingt zu den einatomigen Alkoholen, wofür die unten
folgenden Thatsachen sprechen.
Essigsäure wirkt auf den Körper C H,,0 sehr leicht
ein, wenn man beide Substanzen in zugeschmolzenen
Röhren einer Temperatur von 150?— 170? aussetzt.
Nach einigen. Stunden ist die Reaction vollendet, der
gelbliche Inhalt der Róhren scheidet durch Zusatz von
Wasser ein Öl ab, welches mit Sodalósung und Was-
ser gewaschen und über Chlorcalcium getrocknet wer-
den muss. Es destillirt ohne Zersetzung, indem der
grösste Theil davon bei 213^— 217^? (nicht corrigirt)
übergeht. Der wahre Siedepunct der mittlern Portion
liegt genau bei 219,5" (corrigirt) bei 770^" Barome-
terstand. Das Produkt stellt eine farblose, neutrale
Flüssigkeit vor, leichter beweglich als der Kórper
C,H,0, von einem aromatischen, pfefferartigen Ge-
ruch, unlóslich in Wasser, aber mit Alkohol, Áther
und ätherischen Ölen in jedem Verhältnisse mischbar.
Auf die Zunge gebracht, scheint sie Anfangs ganz ge-
schmacklos zu sein, später aber fühlt man einen bren-
nenden Geschmack, der Mt pesi wird und einen
sehr unangenehmen, balsami N hmack hin-
terlässt. Das specifische Gewicht ist (bei 0° bestimmt)
— 0,883.
0,381 Gmm. gaben 0,4050 Gmm. Wasser und
1,0065 Gmm. Kohlensáureanhydrid, folglich 0,0450
Gmm. Wasserstoff und 0,2745 Gmm. Kohlenstoff.
Dieses Resultat entspricht der Formel C.H O,:
berechnet: gefunden:
CE 12,007 72,04),
H ‚== 12,00% 11,817,
Die Entstehung dieses Produkts kónnte also durch
die weer"
C, H,0 + CH, = 0.H,0,-+H,0
127" 24 2
ausgedrückt werden. Man kann es also als den Essig-
säureäther des Alkohols C H,O betrachten, wofür
auch sein Verhalten zum Ätzkali spricht. Ich habe mich
überzeugt, dass wässrige oder noch besser weingei-
stige Kalilösung, mit dem Produkte erhitzt, essigsau-
res Kali und den ursprünglichen Körper C, H, O giebt:
10° 22
C „H,,0, + KHO = C,H,KO, + Gel.
Die Reaction der Bildung sowohl als auch der Zer-
setzung, sind beide — rein und geben keine
Nebenprodukte.
Wird der Körper C,,H,,0 mit Benzoesäure in zu-
geschmolzenen Röhren auf 160?— 170° erhitzt, das
Produkt zuerst mit Sodalósung, dann mit Wasser ge-
waschen und, nach dem Trocknen über Chlorcalcium,
| destillirt, so erhält man ein Öl, welches den Benzoe-
äther von C „HO vorstellen muss. Es ist neutral, leich-
ter als Wasser, hat einen schwachen, etwas an benzoe-
saures Äthyl errinnernden Geruch, ist unlóslich in
Wasser, lóslich in Alkohol und Áther und hat einen
469
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
470
weit über 280° liegenden Siedepunkt. Wässrige oder
weingeistige Kalilösung zersetzt es in der Wärme, in-
dem der Körper C,H,,0 und benzoesaures Kali er-
zeugt wird. Auch hier sind die Reactionen vollkom-
men glatt und rein. Die für die Analyse bereitete
Portion ging mir leider verloren. Ich muss noch er
wühnen, dass ein ganz ühnliches Produkt erhalten wird,
wenn man den Körper C „H,O mit Chlorbenzoyl zu-
sammenbringt. Das Gemisch erwärmt sich in Folge
der beginnenden Reaction, welche durch gelindes Er-
hitzen zu Ende gebracht werden muss, wobei Salz-
süuregas ausgetrieben wird. Die Reaction verläuft
ebenfalls rein.
Fünffach- Chlorphosphor wirkt auf den Körper
C,,H,,0 sehr leicht ein. Die erste Einwirkang ist äus-
serst lebhaft, später geht sie aber ruhig vor sich und
bedarf zu ihrer Vollendung sogar künstlicher Würme.
Bei der Destillation geht zuerst Phosphoroxychlorid
über, dann, etwa bei 175^— 185^, eine farblose, öli-
ge, chlorhaltige und neutrale Flüssigkeit von ei-
genthümlichem Geruch, unlóslich in Wasser, auf wel-
chem sie schwimmt. Bei der Reaction wird viel Salz-
säuregas entwickelt. (Das obige Produkt könnte mógli-
cherweise den Chlorwasserstoffsäureäther von C,,H,,0
vorstellen).
Concentrirte Schwefelsäure löst den Körper C, H,,O
leicht auf, wobei das Gemisch sich erwärmt und eine
dunkelrothe Farbe annimmt. Wird die Lösung erhitzt,
so bräunt sie sich und entwickelt Schwefligsäureanhy-
drid. Mit Wasser verdünnt, scheidet sie ein braunes
Öl an die Oberfläche aus; die wässrige Schicht ent-
hält, neben freier Schwefelsäure, noch eine organische,
schwefelhaltige Säure (die sich zu C,,H,,0 wahrschein-
lich so verhält wie die Äthylschwefelsäure zu C,H,O).
Verdünnte Schwefelsäure scheint auf den Körper
Al nicht zu wirken.
Wird der Körper C ‚H,O mit Salpetersäure von 1,4
speeifischem Gewicht zusammengebracht, so entsteht
in der Kälte noch keine Reaction; die Salpetersäure
löst den Körper nicht auf, sie giebt ihm nur eine ro-
the Färbung. Bei gelindem Erwärmen erfolgt aber
sogleich eine lebhafte Einwirkung: es entweichen
rothe Dämpfe, und der Körper C,,H,,0 wird in ein
gelbliches, eigenthümlich nach Wanzen riechendes,
neutrales Öl verwandelt, das von Wasser, in welchem
es zu Boden sinkt, nicht gelöst wird und ohne Zer-
setzung destillirbar zu sein scheint. Natrium wird von
dem Körper C H,O unter Wasserstoffgasentwicklung
gelöst, und die in der Wärme mit Natrium gesättigte
Lösung erstarrt nach dem Erkalten zu einer weissen,
krystallinischen Masse, welche in Steinöl löslich ist und
durch Wasser in Ätznatron und den Körper C ‚H,O
zersetzt wird.
Wird C ‚H,O auf bis 250? — 300? erhitzten Na-
tronkalk gegossen, so findet eine Einwirkung statt:
es entweicht eine angenehm riechende Flüssigkeit, und
der Natronkalk backt zu einer Masse zusammen, deren
wässrige Lósung, auf Zusatz von Salzsäure, eine flüch-
tige fette Säure ausscheidet. Diese letztere ist flüssig,
leichter als Wasser, worin sie sich nicht auflóst, be-
sitzt einen etwas an Buttersäure erinnernden Ge-
ruch und einen hohen Siedepunkt.
Dieselbe Säure scheint sich zu bilden, wenn ein Ge-
misch von C „H,O mit Schwefelsäure in eine Lösung
von doppeltchromsaurem Kali gegossen und destillirt
wird. Ein Theil des C „H,O wird dabei verharzt und
das Destillat enthält neben viel Wasser ein auf der
Oberfläche schwimmendes Öl, welches zum Theil von
kohlensaurem Natron unter Aufbrausen gelöst wird.
Der nicht gelöste Theil ist ein neutrales, angenehm
nach Früchten riechendes Öl. Die Sodalösung enthält
das Salz einer fetten Säure, welche der obigen voll-
kommen ähnlich zu sein scheint. !
Wegen Mangels an Material bin ich gezwungen, die
genauere Untersuchung der zuletzt beschriebenen Kör-
per aufzuschieben; aber schon aus dem, was ich mit-
getheilt habe, ist leicht einzusehn, dass der Körper
C;H,,0: 1) mit Säuren direct zusammengesetzte
Äther bilden kann, 2) einer Ersetzung von Wasser-
stoff durch Natrium fähig ist, und 3) bei der Oxyda-
tion eine Säure liefert, — folglich die wesentlichsten
Eigenschaften eines Alkohols besitzt.
Es könnte der wahre Alkohol der Caprinsäure
eben so gut wie ein Isomer des letzteren sein. Da der
wahre Caprinalkohol noch nicht bekannt ist, und also
kein Vergleich gemacht werden kann, so kann auch
nichts Entscheidendes darüber gesagt werden. Ich bin
aber eher geneigt, den Körper für ein Isomer zu hal-
ten, da die von mir erhaltene Säure von der Ca-
prinsäure verschieden zu sein scheint. Übrigens be-
darf dieser Gegenstand einer genaueren Untersuchung,
mit der ich so eben beschäftigt bin.
30*
471
Bulletin de l’Académie Impériale
Die Entstehung dieses Körpers aus dem Valerylal-
dehyd muss in naher Beziehung zur Bildung der Bal-
driansäure stehen, da der erstere aus dem Aldehyd
durch Sauerstofiverlust, die letztere durch Sauerstoff-
aufnahme entstehen kann. Der ganze chemische Vor-
gang kónnte etwa durch folgende Gleichungen ausge-
drückt werden:
1) 3C,H,,0 + Na, = C,H,Na0, + C
2) C, H,,Na0 + H,O = C, H,,0 = NaHO.
Diese Erklärungsweise findet ihre Bestätigung auch
in dem Factum, dass beim Zersetzen durch Wasser
der festen Masse, welche bei der Einwirkung von Na-
trium auf Valerylaldehyd entsteht, — neben baldrian-
saurem Natron auch Ätznatron gebildet wird.
Der dritte Körper, der neben Amylalkohol und
C,,H,,O in dem rohen Öle sich befindet, ist eine hell-
gelbe, neutrale Flüssigkeit von der Consistenz des Oli-
venöls, vollkommen geschmacklos, in Wasser unlös-
lich, dagegen leicht löslich in Alkohol und Äther. Sein
Geruch ist schwach und durchaus nicht aromatisch. Er
hat keinen bestimmten Siedepunkt, fängt schon bei
250° an zu kochen, und die Temperatur steigt bis et-
wa auf 280°— 290° und noch höher. Trotz dieses
Verhaltens bei der Destillation scheint er im Wesentli-
chen kein Gemisch zu sein: ich habe drei Portionen
von verschiedener Bereitung und verschiedenem mitt-
leren Siedepunkt analysirt und bin zu denselben Re-
sultaten gekommen.
1) 0,2645 Gmm. einer bei 280°— 290° überge-
henden Flüssigkeit gaben 0,286 Gmm. Wasser
und 0,747 Gmm. Kohlensäureanhydrid; folglich
0,0317 Gmm. Wasserstoff und 0,2037 Gmm.
Kohlenstoff.
2) 0,285 Gmm. einer ebenfalls bei etwa 280°— 290°
siedenden Portion gaben 0,316 Gmm. Wasser
und 0,8135 Gmm. Kohlensäureanhydrid, folg-
lich 0,0351 Gmm Wasserstoff und 0,2218 Gmm.
Kohlenstoff.
3) 0,3175 Gmm. einer im Mittel bei 250° — 260°
übergegangenen Flüssigkeit gaben 0,3395 Gmm.
Wasser und 0,9140 Gmm. Kohlensäureanhydrid,
folglich 0,0377 Gmm. Wasserstoff und 0,2492
Gmm. Kohlenstoff.
Diesen Resultaten steht am nüchsten die Formel:
€, Hs 0
H NaO
10 21
-
472
berechnet: gefunden:
ck N° 2. N° 8.
C,=77,92%.77,01/).:77,82/ — 78,499,
Hi 11,69%, 11,987 12,317, 11,88",
Demnach ist der Kórper mit Camphol isomer.
Das specifische Gewicht der bei 280?— 290° sie-
denden Portion ist (bei 17^) — 0,9027. Natrium wird
von dem Körper C,H,,O in der Wärme unter Was-
serstofigasentwicklung gelöst; nach dem Erkalten er-
starrt die Lösung zu einer amorphen, durchsichtigen
Masse, welche durch Wasser zersetzt wird. Brom
wirkt auf den Körper C H,O stark ein und verwan-
delt ihn in ein schweres, in Wasser unlösliches Öl.
Salpetersäure von 1,4 sp. Gewicht giebt mit dem
Körper beim Erhitzen eine dicke, gelbe Flüssigkeit,
die in Wasser untersinkt, ohne sich zu lösen.
Durch Natronkalk wird der Körper C „H,O in
der Hitze verharzt und scheint keine Säure zu geben.
Kalilösung ist scheinbar ohne Wirkung. Von concen-
trirter Schwefelsäure wird der Körper unter Wärme-
entwicklung und Bräunung gelöst. Verdünnte Säure,
ebenso wie andere schwächere Säuren, scheinen keine
Wirkung auszuüben. Concentrirte Salzsäure löst ihn
nicht auf, ertheilt ihm aber beim Erhitzen eine braune
arbe.
Von der chemischen Natur dieses Körpers kann
man noch nichts Entschiedenes sagen. Seine empyri-
sche Formel zeigt uns nur, dass er durch Wegnahme
von Sauer- und Wasserstoff aus dem Valeraldehyd
abgeleitet werden muss:
Gi Alz SCH
1077 48 54,40 — 0 — B,.
Diese Beziehung ist aber nicht ohne Interesse, da
wir in der Bildung eines sauerstoff- und wasserstoff-
ärmeren Körpers (im Vergleich mit dem Aldehyd) ei-
nen Aufschluss für so manche Erscheinungen finden,
welche wir bei der Einwirkung des Natriums auf Va-
leraldehyd beobachten. So sehen wir hier z. B. wie-
der eine Bedingung für die Bildung der Baldriansäure
auf Kosten des in dem Aldehyde selbst enthaltenen
Sauerstoffs; wir sehen ferner auch die Bedingung für
das Freiwerden von Wasserstoffgas während der Re-
action, und endlich finden wir hier auch die Quelle für
den zum Aldehyd sich addirenden Wasserstoff bei der
Bildung des Amylalkohols.
Ausser diesen drei Körpern enthält die ursprüng-
473
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
474
liche ölige Flüssigkeit nur noch etwas von einer un-
bestimmten Substanz, welche den sehr unbedeutenden |
Destillationsrückstand bildet.
Es bleibt mir jetzt noch übrig, das relative Men-
genverhältniss dieser Körper in der öligen Flüssigkeit
anzudeuten. Es ist nicht immer constant und scheint
von der Energie und Dauer der Reaction sowohl, als
auch von der Temperatur und Masse abhängig zu sein.
Doch macht der Körper C,,H,,O stets das Hauptpro-
dukt aus; denn man könnte sagen, dass der Amylalkohol
im Mittel nur 15%, — 25°, der Körper C,,H,,0 etwa
20° — 30° von HE Gemische ausmacht, während das
Übrige aus dem Körper C, H,O (nebst den 2% — 3%
Destillationsrückstand) besteht.
Die wesentlichen Produkte der Reaction sind also:
Baldriansäure, Amylalkohol, die neuen Körper C.H
und C „H,O und Wasserstofigas.
Aus dieser Beschreibung ist wohl zu ersehen, dass
das Verhalten des Aldehyds zum Natrium gar nicht
so einfach und überhaupt ganz anders ist, als man
gedacht hat. Es verlaufen hier augenscheinlich meh-
rere Reactionen neben einander; diese mögen, für
sich genommen, ganz rein sein, der ganze Vorgang
kann aber doch nicht durch eine gemeinschaftliche
Gleichung ausgedrückt werden.
Die Resultate dieser Arbeit, kurz zusammengefasst,
sind folgende:
1) Bei der Einwirkung von Natrium auf Valeralde-
— hyd wird Wasserstoff durch Metall ausgetrieben;
die dabei sich bildende natriumhaltige Substanz
ist aber kein einfaches Substitutionsprodukt, son-
dern ein Gemisch.
2) Beim Behandeln dieses Gemisches mit Wasser wird
dasselbe zersetzt.
3) Unter den Zersetzungsprodukten wird weder Va-
leraldehyd, noch ein mit dem letzteren isomerer
oder polymerer Körper aufgefunden, was für die
Abwesenheit eines Natriumvaleraldehydats in der
ursprünglichen Substanz spricht.
4) Die wesentlichen Zersetzungsprodukte sind aber:
Âtznatron, baldriansaures Natron, Amylalkohol
und zwei neue Körper: CHO and C,,H,,0.
5) Die Baldriansäure wird auf Kosten des im Alde-
hyd selbst enthaltenen Sauerstoffs gebildet, und
nicht als Nebenprodukt durch Oxydation des Al-
dehyds an der Luft.
6) Der Körper C, H, O ist ein einatomiger Alkohol,
welcher mit dem der Caprinsäure entsprechenden
identisch oder eher isomer sein kann.
7) C,H,,0 ist ein neutraler Körper von noch unbe-
stimmter chemischer Natur, scheint aber durch
Natrium ersetzbaren Wasserstoff zu enthalten.
Weit entfernt daraus Schlüsse für das Verhalten
anderer Aldehyde zu ziehen, habe ich die Absicht,
weitere Forschungen zu unternehmen, um zu entschei-
den: |
1) Ob die Homologen vom Valeraldehyd unter glei-
chen Bedingungen sich analog verhalten und Al-
kohole geben, welche dem Körper C,,H,,O homo-
log sind.
2) Ob nicht bei der Einwirkung des Natriums auf ein
Gemisch von zwei Aldehyden ein intermediärer Al-
kohol gebildet wird, ähnlich wie z. B. bei der Ein-
wirkung von Schwefelsäure auf zwei Alkohole zu-
gleich — gemischte oder intermediüre Äther, bei
der Electrolyse der Salze y zwei verschiedenen
fetten Sáuren int lià hl , bei
ihrer Destillation intermediäre Ketone u. s. w. ent-
stehen.
Auf diese Art wäre es vielleicht möglich, bei gleich-
zeitiger Anwendung, z. B. von C,H,O mit CH... oder
von C,H,0 mit C,H,O Alkohole zu bekommen, welche
mit dem der Önanthylsäure nur isomer wären. Dies
könnte vielleicht ein Licht auf die Isomerie der Al-
kohole werfen.
St. Petersburg, den 10. Mai 1864.
Über Eisenerz aus dem Bohrloche zu St. Peters-
burg. Brief des Professors Pusyrewsky an
den Akademiker Helmersen. (Lu le 20 mai
1864.)
Da der Vorschlag, einen Bohrbrunnen in unserer
Stadt anzulegen, von Ihnen ausgegangen, und dieses
so wichtige Unternehmen durch Ihre Vermittelung zu
Stande gekommen ist, so hoffe ich, dass die folgende
Mittheilung nicht Fa Interesse für Sie sein wird.
Unter den erbohrten Gesteinsarten ist die in 389 bis
484 Fuss Tiefe auftretende besonders beachtenswerth.
475
Bulletin de l’Académie Impériale
476
Mit Ausnahme einiger dünnen Thonschichten ist die
. Hauptmasse derselben so hart, dass der Bohrer nur
langsam vordringen konnte. Sie wurde für feinkörni-
gen Sandstein erkannt, was auch meine Untersuchun-
gen zum Theil bestätigten. Allein in gewissen Tiefen
ist das Gestein so eigenthümlich und specifisch so
schwer, dass ich es einer näheren Untersuchung un-
terwarf.
Die Proben aus 458 Fuss Tiefe sind dicht, von
grauer bis braungrauer Farbe nnd haben einen im
Ganzen ebenen, doch etwas splittrigen Bruch. Durch
die Lupe betrachtet werden einige glänzende Glim-
merblättchen sichtbar.
In Säuren löste sich die Probe beim Erwärmen mit
starkem Brausen auf: der ungelöste Rückstand be-
stand aus Thon und kleinen Quarzkörnern; beint Glü-
hen nahm er eine schwarzgraue bis schwarze Farbe
an und wirkte ziemlich stark auf die Magnetnadel.
1,5205 Gr. dieser Probe in Chlorwasserstoffsäure ge-
löst gaben:
0,2488 Gr. Beimengung — Ben Sie
0,8567 Gr. Eisenoxyd = 56,25),
Kalk und Magnesia enthält die Probe nicht, und
die Analyse hat somit gezeigt, dass erstere einen tho-
nigen Sphaerosiderit darstellt, der ungefähr 84,
kohlensauren Eisenoxyduls enthält. Die Proben aus
441, 442, 456 und 459 Fuss Tiefe zeigten dieselbe
P SIRO C che
Das Bohrloch hat also in bedeutender Tiefe ein
ausgezeichnet gutes Eisenerz aufgeschlossen, das an
einigen Stellen eine Mächtigkeit von 1 bis 4 Fuss er-
reicht. Ob dasselbe regelmässige Schichten oder nur
sporadische Lager und Nester bildet, ist zur Zeit noch
nicht zu erkennen und bleibt späteren Untersuchun-
gen vorbehalten. Von Wichtigkeit ist der Umstand,
dass dieses Erz die ganze Masse des Sandsteins zu
durchdringen scheint, da es auch in 393, 410 und
413 Fuss Tiefe vorkommk Es dürfte daher zweck-
mässig sein, auch die übrigen von Hrn. Nikolsky
sorgfältig Peer Proben, die im Bohrhause safe
bewahrt werden, zu untersuchen
Das kräftige Aufsteigen des sehr copiösen artesi-
schen Wassers aus dem St. Petersburger Bohrbrun-
nen deutet mit hinlänglicher Gewissheit darauf hin,
dass die hier durchsunkenen Schichten keine Des
tale Lage haben. In welcher Richtung sie gehoben
sind, kann nicht im voraus bestimmt werden: man
kann indess doch vermuthen, dass sie, gleich den
Schichten anderer Formationen in diesem Theile Russ-
lands, schwach nach Süden einfallen, also nördlich von
St. Petersburg in geringerer Tiefe aufzufinden sein
würden.
Über die Salze der 8 Nitrobenzoesäure und die
Einwirkung des Zinks auf eine ammoniaka-
lische Lösung derselben, vom Stud. Med. N.
Sokoloff. (Lu le 20 mai 1864.)
Durch Oxydation des Desoxybenzoins vermittelst
Salpetersäure hat Prof. Zinin vor Kurzem eine Säure
erhalten, welche zwar die Zusammensetzung der Nitro-
benzoesäure hat, sich aber von dieser durch eine bedeu-
tend geringere Löslichkeit sowohl in kaltem, als auch
in kochendem Wasser unterscheidet'). Die nähere Un-
tersuchung dieser Säure wurde mir überlassen, und
ich theile hier die Resultate meiner vergleichenden
Untersuchungen der Salze beider obengenannten Säu-
ren mit. Zum Unterschiede will ich die gewöhnliche
Nitrobenzoesäure durch o Nitrobenzoesäure, die neue
aber durch 8 Nitrobenzoesäure bezeichnen.
Die Löslichkeit der Salze wurde auf folgende Weise
bestimmt. In kochendes Wasser wurden so lange kleine
Quantitäten des Salzes eingetragen, bis ein Theil des-
selben ungelöst blieb, worauf die zur Untersuchung
bestimmte Menge der kochend gesättigten, klar filtrir-
ten Lósung in einen kleinen, mit einem Uhrglase be-
deckten Porzellantiegel gebracht und nach dem Er-
kalten gewogen wurde. Nun wurde die Lósung unter
der Luftpumpe über Schwefelsäure zur Trockne ver-
dampft, und nachdem keine Gewichtsverminderung
mehr stattfand, durch den Verlust die Menge des
Wassers gefunden. Der Rest der Lósung, aus welcher
beim Erkalten der grösste Theil des Salzes heraus-
krystallisirt war, diente zur Bestimmung der Löslich-
keit des Salzes in kaltem Wasser, wobei auf gleiche
Weise verfahren wurde.
Das Kaliumsalz der ß Nitrobenzoesäure ist in
Wasser leicht löslich und krystallisirt beim Verdun-
sten der wässrigen Lösung in dünnen, aber sehr brei-
1) Bull. de l'Acad. T. V. p. 533.
477
des Sciences de Saint -Petersbourg.
478
ten, farblosen, durchsichtigen rhombischen Tafeln,
dem sublimirten Naphtalin ähnlich. 1 Th. desselben
bedarf bei + 100? C. nur einen halben Theil, bei der
gewöhnlichen Temperatur 3 Th. Wasser.
0,444 Grm. des lufttrocknen Salzes hatten im
luftleeren Raume nichts an Gewicht verloren, beim
Erhitzen bis =+ 110° aber verloren sie 0,066 Grm.,
entsprechend 14,86%, oder 2 At. Krystallwasser. Die
Formel verlangt 14,93%. Durch den Verlust des
Krystallwassers werden die Krystalle undurchsichtig
und perlenmutterglänzend.
Das Kaliumsalz der æ Nitrobenzoesäure ist schwer
in gut ausgebildeten Krystallen zu erhalten; aus der
heissen concentrirten Lösung scheidet es sich beim
Erkalten in kleinen Nadeln aus. 1 Th. desselben be-
darf bei + 100° C. nur einen halben Theil, bei ge-
wöhnlicher Temperatur aber 7 Th. Wasser.
0,468 Grm. des lufttrocknen Salzes hatten im
luftleeren Raume nichts an Gewicht verloren, beim
Erhitzen bis + 110° C. aber verloren sie 0,040 Gmm.,
entsprechend 8,54°/ oder 1 At. Krystallwasser. Die
Formel verlangt 8,07°/,.
Das Calciumsalz der $ Nitrobenzoesäure krystal-
lisirt in glänzenden Blättchen; 1 Th. desselben löst
sich bei + 100° C. in 12 Th., bei gewöhnlicher Tem-
peratur aber in 32 Th. Wasser.
0,265 Grm. des lufttrocknen Salzes verloren im
luftleeren Raume 0,012 Grm., entspechend 4,52%.
Beim Erhitzen bis + 125° C. verloren sie nichts
mehr, bei noch weiterem Erhitzen fing das Salz an
sich zu zersetzen. 1 At. Wasser erfordert nach der
Formel 8,82"/, folglich enthält das Salz kein Krystall-
wasser. `
Das Calciumsalz der a Nitrobenzoesäure krystal-
lisirt ebenfalls in Blättchen. 1 Th. desselben lôst sich
bei +.100° C. in 18 Th., bei der gewöhnlichen Tem-
peratur aber in 30 Th. Wasser.
0,237 Grm. des lufttrocknen Salzes hatten im luft-
leeren Raume nichts an Gewicht verloren, beim Er-
hitzen bis + 110° C. verloren sie 0,0195 Grm.,
entsprechend 8,22%, oder 1 At. Krystallwasser. Die
Formel verlangt 8,82"/. Hu
Das Baryumsalz der 8 Nitrobenzöesäure krystal-
lisirt beim Erkalten der heissen Lösung in dünnen
Prismen; 1 Th. desselben löst sich bei + 100° C. in
8 Th., bei der gewöhlichen Temperatur aber in 250
Th. Wasser.
0,403 Grm. des lufttrocknen Salzes verloren beim
Erhitzen bis + 110° C., 0,054 Grm., entsprechend
13,42°/, oder 2 At. Krystallwasser. Die Formel ver-
langt 13,33*/.
Das Baryumsalz der a Nitrobenzoesäure krystal-
lisirt in kleinen Nadeln. 1 Th. desselben löst sich bei
+ 100° C. in 19 Th., bei der gewöhnlichen Tempe-
ratur aber in 265 Th. Wasser.
0,334 Grm. des lufttrocknen Salzes verloren beim
Erhitzen bis = 100° C. 0,045 Grm., entsprechend
13,477, oder 2 At. Krystallwasser. Die Formel ver-
langt 13,33%.
Das Zinksalz der 8 Nitrobenzoesäure krystallisirt
in schönen glänzenden Blättchen; 1 Th. desselben
löst sich bei + 100° C. in 80 Th., bei der gewöhnli-
chen Temperatur aber in 135 Th. Wasser.
0,2875 Grm. des an der Luft getrockneten Salzes
verloren beim Erhitzen bis + 110° C. 0,024 Grm.,
entsprechend 8,34”, oder 1 At. Krystallwasser. Die
Formel verlangt 8,30%.
Das Zinksalz der « Nitrobenzoesäure krystallisirt
in platten Nadeln; 1 Th. desselben löst sich bei + 100°
C. in 13 Th., bei der gewöhnlichen Temperatur aber
in 63 Th. Wasser.
0,211 Grm. des lufttrocknen Salzes verloren im
luftleeren Raume 0,034 Grm., entsprechend 16,11%
oder 2 At. Krystallwasser; die Formel verlangt
15,338°/,. Beim Erhitzen bis + 110? C. erlitt es kei-
nen weiteren Verlust.
Das Silbersalz der 8 Nitrobenzoesäure wird als
flockiger Niederschlag erhalten; er ist ziemlich leicht
löslich in Wasser und enthält kein Krystallwasser.
0,560 Grm. dieses Salzes gaben beim Glühen
0,223 Grm. Silber, entsprechend 39,82"/.; die For-
mel verlangt 39,41*/.
Das Silbersalz der æ Nitrobenzoesäure enthält
ebenfalls kein Krystallwasser.
Bei der Einwirkung des Zinks auf eine ammonia-
kalische. Lösung der 8 Nitrobenzoesäure erhält man
eine Azosäure, welche mit der von Prof. Zinin bei
der Einwirkung einer alcoholischen Kalilösung auf
Nitrobenzil erhaltenen Azobenzoesäure identisch ist.
Zur Darstellung dieser Säure löst man B Nitroben-
zoesäure in einem Überschusse von starker Ammoniak-
479 Bulletin de l'Académie Impériale 480
flüssigkeit, fügt Zink hinzu und kocht so lange, bis die
anfangs dunkelgelbe Farbe der Lösung in eine blass-
gelbe übergeht. Die klare Lösung giesst man von dem
Niederschlage ab, welcher aus metallischem Zink und
Zinkoxyd besteht, und zerlegt sie durch Salzsäure,
wobei sich die Säure als ein gallertartiger Nieder-
schlag ausscheidet, der beim Kochen fast pulverförmig
wird. In Wasser, Alcohol und Äther ist die Säure
fast ganz unlöslich. Auf ihre Identität mit der aus
Nitrobenzil erhaltenen schliesse ich aus der Verglei-
chung zweier ihrer sehr charakteristischen Salze, des
` Kalium- und Baryumsalzes.
Das Kaliumsalz erhält man durch Auflösen der
Säure in Kalilauge. Es ist in alkalischen Flüssigkei-
ten schwer löslich, Wasser aber löst es leicht auf.
Aus der concentrirten wässrigen Lösung scheidet ein
Überschuss von Ätzkali das Salz in kleinen Nadeln
aus.?) Setzt man einer concentrirten wässrigen Lö-
sung dieses Salzes Alcohol zu, so scheidet es sich so-
gleich in kleinen Nadeln aus; in seiner Krystall-
form und in seinem Verhalten gegen Alcohol ent-
spricht es vollkommen dem Kalisalze der von Prof.
Zinin erhaltenen Azobenzoesäure.
Das Baryumsalz dieser Säure wird erhalten, in-
dem man einer sehr verdünnten Lösung des Kalium-
salzes Chlorbaryumlósung zusetzt, wobei sich sogleich
ein aus mikroskopischen, etwas gefürbten Nadeln be-
stehender Niederschlag bildet.
0,404 Grm. dieses Salzes gaben beim Glühen 0,196
Grm. CBa,O,, entsprechend 0,136 Grm. oder 33,66%
Baryum; die Formel C,H,BaNO, verlangt 33,66/.
Eine vollstindige Untersuchung dieser Sáure konn-
te ich nicht unternehmen, weil es mir an Material
dazu fehlte, die Identität derselben mit der Azosáure
aus Nitrobenzil unterliegt jedoch keinem Zweifel.
Durch die Unlóslichkeit ihres Kalisalzes in Alcohol
unterscheidet sie sich aber von der Säure, welche
Liebert aus der æ Nitrobenzoesäure durch die Ein-
wirkung des Zinks in stark ammoniakalischer Lósung
erhalten hat, nnd mit welcher die von Strecker aus
derselben Nitrobenzoesäure durch Natriumamalgam
erhaltene Sáure identisch zu sein scheint. Alle diese
2) Ich muss erwähnen, dass das so erhaltene Salz etwas gefärbt
war, wührend das Kaliumsalz der aus Nitrobenzil erhaltenen Sáure
ganz farblos war. Die Färbung kam wahrscheinlich von der Unrein-
heit der Säure her, welche ich, da ich nur 4 Grm. à Nitrobenzoe-
sáure besass, nicht vollkommen rein erhalten konnte,
Süuren haben eine gleiche elementare Zusammen-
setzung — C, H,NO,.
Über die bisher aufgefundenen Reste des Elas-
motherium, von J. F. Brandt. (Auszug.) (Lu le
3 juin 1864.)
Mit vollem Rechte haben die Mamonte und ausge-
storbenen Nashörner die Aufmerksamkeit der Natur-
forscher wie der Laien erregt. Sie wurde aber in neu-
sten Zeiten noch dadurch gesteigert, dass man das
Zusammenleben jener kolossalen Thiere mit dem Men-
schen, mindestens ziemlich sicher, nachgewiesen hat.
Die beiden genannten, grossen, von der Erde ver-
| schwundenen, wenigstens in manchen Gegenden, viel-
leicht sogar vom Menschen vertilgten , Dickhàuter
scheinen übrigens nicht die einzigen Arten dieser Thier-
abtheilung gewesen zu sein, die zu Lebzeiten des Men-
schen ihren Untergang fanden. Ein dritter, zwar zur
Familie der Nashórner gehóriger, aber durch seinen
Zahnbau zu den Pferden hinneigender Dickhäuter, das
von G. Fischer nach einer mit den meisten Backen-
zähnen versehenen, im Moskauer Museum befindli-
chen, wohl erhaltenen Unterkieferhälfte aufgestellte
Elasmotherium, scheint als Zeitgenosse der Mamonte
und der mit einer knöchernen Nasenscheidewand ver-
sehenen Nashörner betrachtet werden zu können.
Man hat allerdings bis jetzt noch keine Reste des
Elasmotherium mit menschlichen Knochenresten oder
Kunstprodukten zusammen gefunden, so wie denn
überhaupt nur 5 — 7 mal, so viel mir bekannt, Reste
desselben entdeckt wurden. Die gute Conservation
der Knochenreste, welche der der Mamonte und bü-
schelhaarigen Nashörner ähnlich ist, ferner die im Wur-
zelende eines der aus dem Saratowschen der Akade-
mie gesandten Zähne befindliche, von Hrn. Göbel als
diluvial bestimmte Erde, endlich die verwandtschaftli-
chen Beziehungen mit Rhinoceros tichorhinus sprechen
indessen nach meiner Ansicht dafür, dass das Elas-
motherium mit den Mamonten und dem genannten
Nashorn gleichzeitig lebte. Es scheint jedoch, wenn
man aus den bis jetzt gefundenen Resten einen Schluss
ziehen darf, viel seltener als diese gewesen zu sein.
Das Elasmotherium bietet daher offenbar ein nam-
haftes Interesse, welches noch dadurch für uns erhöht
| wird, dass die meisten der ihm mit Sicherheit angehó-
481
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
482
rigen Reste in Russland entdeckt wurden und theil-
weis in unserer Sammlung aufbewahrt werden, dass es
überhaupt von Russland aus zuerst bekannt wurde.
Die umfassenden Untersuchungen, welche ich für
eine Arbeit über die osteologischen Entwickelungs-
stufen der Sirenien, Pachydermen und Cetaceen an-
gestellt habe, erregten in mir den Wunsch, die Über-
reste des Elasmotherium genauer zu studiren. Ein
mir aus Charkow zur Untersuchungüberlassener Zahn,
der aus Moskau durch Vermittelung der Akademie
übersandte Unterkiefer, dann zwei im vorigen Jahre
aus dem Saratow’schen Gouvernement der Akademie
zugeschickte Backenzähne, nebst dem vom Grafen
Keyserling dem Akademischen Museum geschenk-
ten obern Backenzahn, lieferten ein weit grösseres
Material, als Fischer besessen hatte, welcher nebst
Keyserling der einzige war, der zweifellose Zlasmo-
therium- Reste untersuchen konnte. — Mein vorjähri-
. ger Aufenhalt in Paris verschaffte mir die Gelegenheit,
den von Duvernoy als Sfereoceros beschriebenen
Hirntheil des Schädels eines nashornähnlichen Thie-
res, welchen Kaup für den des Elasmotherium erklärt
hatte, genauer zu studiren. Auch sah ich zu Darm-
stadt durch Kaup’s Güte, das Schulterblatt, welches
er ebenfalls dem Elasmothorium zuschreiben möchte,
da es keinem der bekannten Nashörner vindizirt wer-
den kann.
Kein Naturforscher hatte also bisher so viel Reste
des mg c zu untersuchen Gelegenheit ge-
habt.
Ich hielt es desshalb für passend, die Resultate mei-
ner Wahrnehmungen in einer eigenen Abhandlung zu-
sammenzustellen, welche den Titel: Observationes de
Elasmotherii reliquiis hucusque repertis institutae, führt,
und die ich der Classe für die Memoiren zu überrei-
chen mir erlaube.
Sie beginnt mit der Geschichte der Entdeckung
desselben und giebt einen Überblick über die haupt-
süchlich nur auf drei Arbeiten Fischer's und eine
v. Keyserling's sich stützende Literatur, der sich die
wohl auch zum Elasmotherium gehörigen Arbeiten
Kaup's und Duvernoy’s über den oben erwähnten.
Hirntheil des Schüdels (Stereoceros Duvernoy) anrei-
hen. Alsdann sind darin nicht blos die unzweifelhaf-
ten Reste des Elasmotherium (die Moskauer Unter-
kieferhälfte mit ihren Zähnen, ferner der von Key-
Tome VII.
serling aus der Kirgisensteppe mitgebrachte Ober-
kieferzahn, dann der im Charkower Museum aufbe-
wahrte, vorletzte Unterkieferzahn so, wie die beiden
aus dem Saratow'schen Gouvernement erhaltenen Ba-
ckenzühne, ein oberer und ein unterer) ausführlich,
selbst in Bezug auf den mikroskopischen Bau beschrie-
ben und bildlich erläutert, sondern es wurde auch dem
Stereoceros eine besondere Aufmerksamkeit geschenkt.
In Bezug auf diesen, sah ich mich aus vielen Grün-
den bewogen, der Ansicht Kaup’s beizutreten, dass
er wahrscheinlich dem Ælasmotherium angehöre. Der
letztere Umstand veranlasste mich, nach seinem Vor-
gange eine Figur des Elasmotheriumschädels zu ent-
werfen, welche, da sie sowohl auf die am echten Un-
terkiéfét als auch am fraglichen Schädelfragment,
deutlich hervortretenden, verwandtschaftlichen Ver-
hältnisse des Tiaemothorüim mit dem Rhinoceros lep-
torhinus, tichorhinus, africanus und simus gestützt
wurde, keineswegs ein reines Ideal darstellt. Den
Schluss des beschriebenen Theiles bildet ein Abschnitt,
worin ich die Unhaltbarkeit der zweiten von Fischer
aufgestellten Art, des Elasmotherium Kayserlingü,
nachweise.
Die Abl g ist aber keineswegs eine rein osteo-
graphische, sondern enthält in besondern Abschnitten
l—— oder irrito über Ver-
lt ise, Vaterland,
und die Daseins- (Lebensepoche) der Gattung. Sie bil-
det also eine nach Maassgabe der vorhandenen Mate-
rialien vollstándige Monographie.
Zur Erläuterung der darin vorkommenden Mate-
rialien war es nóthig dieselbe mit fünf Tafeln zu be-
gleiten.
Eine Münze des Schirwanschahes Minutschehr.
Von B. Dorn. (Lu le 10 juin 1864).
Unser correspondirendes Mitglied, der General v.
Bartholomäi in Tiflis hat dem asiatischen Museum
der Akademie seit langer Zeit bedeutende Geschenke
an morgenlàndischen Münzen gemacht. Ich habe der-
selben immer in diesen Blättern Erwähnung gethan ‘).
Namentlich verdanken wir ihm die merkwürdigen Mün-
zen mit Pehlewy - Inschriften, welche nicht von den
Sasaniden- Kónigen ausgegangen sind, also die der
1) Vergl. Mél. asiat. T. III, S. 166. 240. 502. +
483
Bulletin de l’Académie Impériale
4184
Ispehbede, der Chalifen und der Statthalter. Hr. v.
Bartholomäi besitzt bekanntlich die reichste Samm-
lung von Sasaniden-Münzen — jetzt 884 St. — deren
Durchsicht mir während meines Aufenthaltes in Tiflis
i. J. 1861 so viel Vergnügen und Belehrung ge-
währte ?).
Ausser den genannten und anderen Münzen waren
es auch namentlich Münzen der Schirwanschahe, wel-
che dem Museum von Seiten des genannten Numis-
matikers zukamen. Diese Denkmäler aber sind um
so werthvoller für uns in Russland, weil sie für die
noch nicht ins Reine gebrachte Chronologie jener
ehedem im Kaukasus so mächtigen Herrscher er-
wünschte Aufklärungen und Anhaltspuncte darbieten.
Wir kennen Münzen von Gerschasp, Firibris, Ach-
sitan (Achistan) IT. Kaikobad, Schaich Ibrahim II. und
Sultan Chalil DI". Münzen aber von dem ersten Herr-
scher des zweiten Zeitraumes der schirwanischen Ge-
schichte, dem gepriesenen Minutschehr‘), waren bis-
her ungekannt geblieben. Seine Regierungszeit konnte
nur annähernd bestimmt und etwa in die Jahre 1140 d
— 1160 bis gegen 1205 gesetzt werden.
Hr. v. Bartholomäi hat mir nun in diesen Tagen
eine Kupfermünze Minutschehr’s für das asiatische Mu-
seum übersandt, über welche er bemerkt, dass sie
die älteste bekannte Münze der Dynastie der Schir-
wanschahe sei, und, da er seit fünfzehn Jahren Gele-
genheit gehabt habe, Tausende von dergleichen Mün-
zen zu untersuchen und dies die einzige von Minu-
tchehr geprägte, bisher aufgefundene sei, man anneh-
men könne, dass sie es auch noch lange bleiben werde.
Ich bin ganz seiner Meinung und freue mich um so
mehr, dass dem asiatischen Museum diese einzige
Münze zugekommen ist. Leider ist auch sie — sonst
sehr gut erhalten — so wie alle Münzen der Schir-
wanschahe, deren auch ich eine sehr bedeutende An-
zahl zu sehen Gelegenheit gehabt habe, so beschnit-
ten, dass die ursprünglichen Inschriften nur noch
zum Theil erhalten sind. Hr. v. Bartholomäi hat auf
ihr richtig gelesen und dazu vermuthet:
2) Ibid. T. IV, S. 450.
3) Vergl. Das Asiat. Museum etc. S. 582; Nov. Suppl. S. 149, 351,
401, 403, Mél. asiat. T. III]. c. und Soret, Lettre à M. Fraehn
1851 . 68.
4) Vergl. meinen Versuch einer rier der ECH
Mém. VI. Ser. Sc. pol. etc. T. IV S. 55
I. [ÀJ]
pbal ()
IL. sie (JJ)
(shell E JL]
Der grosse [Kónig oder Herr- (El-) Muktafi
scher] Minutschehr. (biamr allah). Der Sultan
Es ist hier der Name des Chalifen Muktafi, welcher
für uns von besonderer Bedeutung ist. Da er von
530 — 555 — 1136 — 1160 regierte, so muss die
Münze im Verlaufe dieser Jahre geprügt worden sein,
ein sicherer Beweis, dass auch Minutschehr in dior
Zeit regiert hat.
Note sur le nivellement barométrique, par A.
Sawitsch. (Lu le 17 juin 1864.)
Les tables hypsométriques jusqu'à-présent en usage
ont été calculées soit d'aprés la formule de Laplace,
soit d’après celle de Bessel, qui prend en considéra-
tion d'une manière plus exacte qu'on ne l'a fait au-
paravant, l'influence qu'exerce sur la détermination
e la hauteur la présence de vapeurs aqueuses dans
l'atmosphére. :
M. Bauerfeind, professeur à Munich, a écrit sur
le nivellement barométrique un ouvrage très intéres-
sant, qu'il a publié en 1862 sous le titre: «Beobach-
«tungen und Untersuchungen über die Genauigkeit
«der barometrischen Hóhenmessungen und die Verän-
«derungen der Temperatur und Feuchtigkeit der At-
«mospháre.»
L'auteur a non-seulement profité des nouvelles re-
cherches, faites par MM. Régnault, Rudberg et
Magnus, sur la densité de l'air, sur sa dilatation par la
chaleur et sur la force élastique des vapeurs, mais il a
encore construit de nouvelles tables hypsométriques
trés commodes. En négligeant des quantités presque
toujours insensibles, M. Bauerfeind est parvenu,
par une heureuse transformation de la formule de
Bessel, à rendre ses tables d'un usage aussi facile
que celles calculées par Gauss d’après la formule
de Laplace, et aussi exactes que celles de M. Plan-
tamour, construites suivant la théorie de Bessel.
Pour expliquer les diverses anomalies que présen-
tent les résultats des mesures barométriques et pour
reese le degré d'approximation que ces mesures
comportent, l'auteur a fait déterminer avec beaucoup
485
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
486
de soin par des procédés géodésiques les différences
de niveau entre le pied et les quatre points espacés
symétriquement sur une assez haute montagne, Mie-
sing, dans le Tyrol bavarois. Sur ces points, à chaque
heure de la journée, entre 8 heures du matin et 6
heures du soir, on a fait pendant plusieurs jours de
suite un grand nombre d’observations simultanées
du baromètre, du thermomètre et du psychromètre,
tous ces instruments ayant été préalablement bien
rectifiés et comparés entre eux.
Les désaccords entre les hauteurs obtenues par les
observations barométriques, à l’aide de diverses for-
mules, et les hauteurs des mêmes points déterminées
géodésiquement nous font voir les erreurs de ces for-
mules, et les fluctuations horaires, auxquelles ces er-
reurs sont sujettes. M. Bauerfeind, en discutant ces
désaccords, confirme les conclusions auxquelles étaient
déjà parvenus plusieurs savants qui se sont antérieu-
rement occupés du méme sujet. Ainsi il trouve que
les mesures barométriques faites en été, entre 8 et 10
heures du matin et après 5 heures du soir, donnent
les hauteurs trop petites; au contraire, les observa-
tions entre 11 heures du matin et 4 heures après
midi conduisent à des hauteurs trop grandes.
Quant aux causes de ces anomalies, on a donné
quelques explications plus ou moins probables, mais
_ il n’y a pas de règles certaines pour apprécier nu-
mériquement les effets des diverses circonstances per-
turbatrices sur les résultats des nivellements baromé-
triques. M. Bauerfeind propose une hypothèse, qui,
si elle pouvait être admise, fournirait un moyen très
simple pour parvenir à ce but. Voici en quoi elle con-
siste,
La température du sol étant à certaines heures
de la journée plus basse et aux autres plus haute
que celle de l’air, la chaleur rayonnante du sol influe
plus ou moins sur le thermomètre exposé au grand air
et donne lieu aux erreurs dans les indications de la
température de l’air par le thermomètre. Il est même,
comme on sait, difficile d'éliminer ces erreurs; M.
Bauerfeind leur accorde une valeur tellement grande,
qu'elle suffit pour produire les divergences entre les
résultats des nivellements barométriques et géodé-
siques. Afin d'obtenir une concordance de ces résul-
tats avec la hauteur véritable, il propose de faire les.
changements convenables dans les indications du ther-
mometre au grand air et nomme ces changements, Cor-
rections dües à la radiation du sol. Il les détermine de
manière à ce que la hauteur obtenue par des mesures
barométriques soit d'accord avec la hauteur trouvée
par des opérations géodésiques. Au moyen des obser-
vations faites dans les environs du Munich, ce que nous
avons ci-dessus mentioné, M. Bauerfeind fixe les
valeurs numériques et le sens positif ou négatif de ces
corrections, correspondantes aux différentes heures
de la journée. Mais les régles pratiques, qui en sont
déduites, sont loin d'étre incontestables; il est méme
peu probable que l'incertitude de la température de
l'air, indiquée par le thermomètre, soit la seule cause
des erreurs des nivellements barométriques; cette in-
certitude ne peut méme pas étre bien sensible, quand
on établit un bon thermométre, à une certaine élé- .
vation au-dessus du sol, à l'ombre, assez loin des
murs et des autres objets rayonnants. L'auteur lui-
méme remarque que les corrections qu'il recommande
ne correspondent qu'à une localité déterminée et à
une certaine saison de l’année,
Une des causes principales de l'incertitude des nivel-
lements barométriques consiste en ce que les couches
atmosphériques de différente densité ne se trouvent
souvent pas dans un état d'équilibre que suppose la
formule barométrique. L'influence des vents sur la
détermination des hauteurs est prouvée par de lon-
gues séries d'observations; les courants verticaux de
l'air, variables à différentes heures de la journée, con-
courent aussi à produire les changements dans la dis-
position des couches aériennes et dans la répartition
dela chaleur et des vapeurs aqueuses. Il est impos-
sible de soumettre au calcul l'effet de toutes ces
causes perturbatrices, et ce que l'on peut faire de
mieux, c'est de choisir pour les observations les heures
de la journée qui sont les plus favorables pour le ni-
vellement barométrique. Telles sont par exemple en
été, comme le remarque M. Bauerfeind, les époques
vers les 10 ou 10, heures du matin et de 4 à 5
heures aprés midi, ou à-peu-près à ?/, de l'intervalle
entre le lever du soleil et le midi, et A", de l'intervalle
entre le midi et le coucher du soleil. An reste ce ne
sera toujours qu'un heureux hasard, si l'on obtient
bien la hauteur par un petit nombre de mesures ba-
rométriques, surtout, si la distance horizontale des
81*
487
Bulletin de l’Académie Impériale
stations est assez considérable. Dans ce dernier cas,
on ne peut se fier qu’aux résultats moyens d’une an-
née ou méme de plusieurs années d'observations,
faites avec des instruments vérifiés et comparés entre
eux.
La formule dont on se sert communément s’obtient
en formant l'équation différentielle d'équilibre de l'at-
mosphére, et en intégrant dans la supposition que la
température de l'air entre les stations supérieures
et inférieures est constante et moyenne des tempéra-
tures observées en haut et en bas. Cela revient à ad-
mettre que la chaleur de l'air atmosphérique diminue
à-peu-prés en progression arithmétique, quand les élé-
vations au-dessus de la terre croissent uniformément;
mais la supposition mentionée conduit à un rapport
inexact entre la température à la station inférieure et
la hauteur qu'on doit monter pour que la tempéra-
ture diminue d'un degré du thermométre, comme
nous allons le voir par ce qui suit; nous montrerons
aussi, comment se modifie la formule barométrique en
admettant une hypothése plus conforme à la réalité.
Soit o la densité de l'air humide, p la pression at-
mosphérique, o l'élasticité des vapeurs aqueuses con-
tenues dans l'air, ¢ la température à une hauteur z
au-dessus de la station inférieure, o, p,, o, et f, les
mémes choses à la station inférieure, et désignons par
a la dilatation de l'unité du volume de l'air sec pour
l’acroissement d'un degré du thermomètre: on a alors
132%
AE [MN SE
e= JL 13"
8p
Soit de plus ^, la longueur de la colonne de mer-
cure dans le barométre, exprimée en parties du métre,
à la température de la glace fondante, et quand la
pression atmosphérique est p,. Si (ol est la densité
de l'air sec, relative à 0776 du baromètre et à la
méme température, nous aurons
Dui
Qr "EA Zen)
En désignant par D la densité du mercure à la
température de la glace fondante, par a le rayon du
globe terrestre, par g, la gravité à la station infé-
rieure, que nous supposons être à la surface de la
terre, et par g la gravité au-dessus de cette surface, on
trouve
2
pies UR CEA 9 = 9) down
La condition d'équilibre d'une atmosphère, compo-
sée de l’air et des vapeurs, est exprimée par l’équa-
tion différentielle
(-(1—$;
= meg (5): ọdz = t SE zin [ 4( 5).
D'aprés les expériences modernes les plus exactes,
GJ sous la latitude de 45° est 10517; sous la latitude
i
l ce rapport devient 10517 (1 =- 0,00284 Cos 2 l):
ainsi
dp — a x er 8p d ( a
p 7993 (14-0,00284 cos 21) lat ^" ET]
Comme on ne connaît pas la loi de la distribution
de la chaleur et des vapeurs aqueuses dans les diffé-
rentes couches de l’atmosphère, on est obligé pour
intégrer l’équation précédente d’adopter une hypo-
thèse plus ou moins probable. Dans l’état moyen de
l’atmosphère le facteur variable 1 — ie est très peu
différent de l'unité; en faisant SE + SE o et dé-
signant par = et = les valeurs du rapport » obser-
vées sur les stations inférieures et supérieures, on peut
supposer sans erreur sensible le facteur 1 5: egal
à sa valeur moyenne comprise entre ses deux limites
— °° et 1— ER nous le remplacerons done par
le facteur constant et égal à 1 — Ze
Par la discussion d’un grand nombre d’observa-
tions météorologiques, faites en Suisse, en Amérique,
dans le Caucase et dans les Indes, nous avons trouvé
que la différence entre la température £, à la station
inférieure et celle { à une hauteur z au-dessus de
cette station peut être calculée par la formule sui-
vante:
t —t=b.z(1—z.c)(1 = yt),
b, c, y étant des constantes, qu’on détermine par les
observations.
Pour le thermomètre centigrade et la hautéur z
exprimée en mètres, on a *):
*) Cette expression ne peut être admise qu’à une certaine hau-
teur au-dessus de la surface terrestre, car il arrive que par des cir-
constances particulières la chaleur des couches atmosphériques
très près de la surface terrestre, loin d’aller en diminuant, quand
la hauteur augmente, va au contraire d’abord en croissant.
489
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
490
t, —t = 0,0044 z (1 — 0,000025 z) (1 + 0,02. £,).
Cette formule s'accorde à un degré prés avec les
températures moyennes, observées en différentes sai-
sons sur des stations hautes de 2000 à 3500 métres;
on peut méme admettre sans erreur sensible
t —t = 0,0044 z (1 + 0,021,).
La température #, à la surface terrestre étant = 105
-i- 20° et + 30? centigrades, on obtient respective-
ment 187, 162 et 142 métres pour la hauteur à la
quelle il faut monter pour un abaissement d'un degré
du thermométre; ces résultats représentent bien les
résultats moyens d'observation.
La formule précédente revient à supposer que la
chaleur des couches atmosphériques diminue en pro-
gression arithmétique, quand la hauteur croit unifor-
mément, et que cette diminution est d'autant plus ra-
pide, que la température à la ME ge » terre est
plus élevée. Dans ce cas le rapport -—- t peut s'ex-
primer par l'équation suivante:
—1-—34.2(12- Xj),
Lak
1 + at
1+ at,
à et q étant des coefficients constants. En comparant
cette expression à la formule précédente, qui déter-
mine t, —t, et remarquant que la dilatation de l'air
pour un degré centigrade est « — 0,00366, nous ob-
tenons:
q= 0,0000161; A= 0,016.
En faisant 7993 (1 + 0,00284 cos 21) (1 + 5 9) = k,
Am — —1— s,
la condition de l'équilibre de l'atnosphére donne
ine a ds 1 a ds
E A hais RS eh EC
Intégrant cette équation entre les limites p, et p, ou
entre s = 0 et s, nous trouvons
log, „=
NI m* ;. log (1 — ms)
L 4]
1 1
fe ms + s nis RE E +. 1»)
pour les plus hautes montagnes m.s est à peine 0,1,
et comme
lacob
1
T—--(1—m.s) meque: ; msg? ch
ESCH 8 16m" +
M
on peut éliminer m en remplaçant la série
*
l--at
li.
3 A uua Ves
1
1+- 5m +-;ms—+
ce qui ne produira pas d’erreur sensible: ainsi
log EE wu y lat —
Pı k (Y + at) Er ee kV(1+-at,)(1+-at)
Le logarithme est ici hyperboliqne; faisant M —
0,43429, et introduisant le logarithme ordinaire de
Brigg, nous aurons
k
gu x
Ce résultat sera tout-à-fait exact, si l'on adopte
sur la diminuation de la chaleur dans l’atmosphere
l'hypothése exprimée par l'équation
+ 2) KOL =+ at,) (1 = at). Log”).
1+ at
Sé SCH — p.s),
v. étant à peu prés égal à im. Comme m.s est tou-
jours petit, cette hypothése peut représenter les ob-
servations sur la diminution de la chaleur dans diver-
ses couches atmosphériques, aussi bien que l’hypothèse
1 + at
Si h, et À sont aux stations inférieure et supé-
rieure les longueurs de la colonne de mercure dans les
baromètres, reduites à zéro du thermomètre centi-
grade, on aura
Pi A a+ à t Z
SA? ) ou à-peu-pràs ^! (12-2. al
Comme est 18404,8; a — 0,00366; la diffé-
0, Lo
rence 2 des niveaux, ou la hauteur d’une station sur
l'autre s’obtient en mètres, par la formule
z= 18404,7 (1-7 $9) (1 —0,00284cos 21) (1 +7) X
x Y(14-0,00366,) (14-0,003662)x Log a(i if
Dans la formule barométrique genáralmpent admise le
facteur thermométrique est L + a (17 d au lieu
de Y (1 +- at,)(1 + at); la différence est sans doute in-
signifiante pour la pratique; mais il nous semble que
notre formule est basée sur une supposition plus con-
forme à la réalité.
Pour faire voir quelle hypothèse sur la distribu-
tion de la chaleur dans l'atmosphère correspond à la
formule barométrique ordinaire, nous remarquerons
que cette formule peut s’écrire de la manière suivante:
491
Bulletin de l’Académie Imperiale
492
5 à s — ll + al) ech
Différentiant cette équation par rapport à s, t et p, et
substituant pour T sa valeur — 5.5... nous obte-
KE 1+ at
nons
Zar
ds — dt 2 ;
s h—* EEN
l'intégral de cette équation est
as = (t, —1)11 +g, i)o,
c étant une constante, que l’on peut déterminer par
l'observation de la hauteur qu'il faut monter pour que
la températnre donnée à la surface de la terre baisse
d'un degré du thermométre. Par exemple en suppo-
sant que la température 7, à la station inférieure étant
+ 10° centigrades, il faut s'élever à une hauteur de
187 métres pour que la température diminue d'un
degré centigrade, on trouve c — 180,7 métres. Dans
ce cas, quand la température à la surface est = 20?
centigrades, la hauteur qui correspond à une diminu-
tion d'un degré serait 1937/, mètres. Ainsi, quoique
l'expression précédente donne les abaissements de la
température à-peu-prés en progression arithmétique
pour les élévations croissant uniformément, l'acrois-
sement de la hauteur pour une diminution donnée
de la chaleur devrait étre d'autant plus grande que
la température à la station inférieure serait plus con-
sidérable: c'est ce Qui est contraire à l'expérience.
En effet on connait que la différence des températures
de deux points considérablement élevés l'un au-dessus
de l'autre est toujours plus grande en été qu'en hiver.
L'hypothése que nous avons admise est aussi trés
simple, mais elle est exempte de ce défaut, et repré-
sente assez approximativement les résultats moyens
tirés d'un grand nombre d'observations thermomé-
triques faites aux différentes hauteurs, jusqu'à 3500
métres et au-delà. Il est done à présumer que la for-
mule barométrique, telle que nous l'avons donnée, est
théoriquement plus exacte que la formule générale-
ment recue.
BULLETIN DES SÉANCES.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE,
SÉANCE DU 3 (15) JUIN 1864.
M. Brandt présente et lit un mémoire intitulé: Obser-
vationes de Elasmotherii reliquiis hucusque repertis institu-
tae; un extrait en sera publié dans le Bulletin, et le tra-
vail même trouvera sa place dans le recueil des Mémoires
de l'Académie.
Le méme Académicien communique à la Classe son in-
tention de publier, à l'occasion du jubilé de M. Baer, un
mémoire ayant pour titre: De. Acipenserum speciebus hucus-
que in Rossia observatis; il contiendra la description de
quelques espéces nouvelles, et entre autres d'une espéce,
à laquelle l'auteur donne le nom de Acipenser Baeri.
Le Secrétaire Perpétuel annonce que deux ouvrages
ont été recus par l'Académie pour le concours au prix
Rklitzki. La Classe nomme une commission, composée de
MM. Baer, Brandt, Schrenck et Ofsiannikof, et char-
gée d'examiner ces ouvrages et de présenter un rapport
jusqu'au 2 décembre de cette année.
M. Baumhauer, membre de l'Académie des sciences
à Amsterdam, adresse une série d'ouvrages qu'il a publiés
sur l'aleoométrie, et prie l'Académie de vouloir bien les
examiner. M. Jacobi prendra connaissance de ces ou-
vrages pour en faire l'objet d'un rapport, s'il y a lieu.
. M. Tchébychef présente au nom de l'auteur les ou-
vrages suivants, publiés par M. Hermite, membre cor-
respondant: 1° Sur la théorie des fonctions elliptiques et
ses applications à l'arithmétique. Paris 1862, tiré du Jour-
nal de M. Liouville, 2° Sur les fonctions de sept lettres.
3° Sur la théorie des fonctions elliptiques, et 4° Sur un nou-
veau développement en série des fonctions. Les trois der-
niers sont tirés des Comptes-Rendus hebdomadaires des
séances de l’Académie des sciences de Paris.
M. Helmersen fait hommage à l'Académie d'un petit
écrit qu'il a publié Sur le terrain howillier de la Russie;
une carte représentant la répartition géographique de ce
terrain, ainsi que le réseau des chemins de fer, est an-
nexée à l'ouvrage.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 10 (22) Jurn 1864.
M. Dorn annonce que M. Bartholomäi, membre cor-
respondant, a fait don au Musée Asiatique d'une monnaie
trés rare du Chirvanchah Minoutcher. M. Dorn en a fait
l'objet d'une note qu'il lit, et qui sera publiée dans le Bul-
letin.
493
des Sciences de Saint- Petershourg.
494
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 17 (29) suın 1864.
M. Sawitesh lit une Note Sur le nivellement baromé-
trique; elle paraitra dans le Bulletin.
M. Fritzsche présente et lit une notice, qui sera in-
sérée dans le Bulletin, Sur le sel double d’owalate et de
chlorure de calcium.
M. Struve présente et recommande pour le Bulletin
une notice de M. Wagner, astronome à Poulkova, Sur la
marche de la pendule normale de Poulkova
MM. Fritzsche et Zinine présentent et recomman-
dent pour le même recueil une note de M. Tutchef Sur
le naphta employé à l'éclairage.
Le Secrétaire Perpétuel présente le rapport de M. Goe-
bel sur le voyage qu'il a fait, par ordre de l'Académie, à
la mer Caspienne. Ce rapport sera publié dans le Bulletin.
M. Henri Struve adresse une lettre, dans laquelle il |
communique quelques détails sur le voyage qu'il a fait
au lac de Ladoga.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 24 JUIN (6 JUILLET) 1864.
Le Secrétaire Perpétuel donne lecture d'une lettre, par
laquelle M. Théodore Kóppen annonce la douloureuse nou-
velle de la mort de son pére, l'Académicien Pierre Kóp-
pen, décédé dans la nuit du 22 au 23 mai, à Karabagh
(en Crimée). La Classe charge le Secrétaire Perpétuel
d'exprimer à M"^ Köppen les regrets de l'Académie sur
la perte qu'elle vient de faire dans la personne de son
oux.
M. Nauck lit une notice, dans laquelle il donne sur
l'ouvrage de Philodème zech syosßstag quelques nouvelles
remarques complétant son précédent article sur cet objet
(v. Bulletin VII, 191 — 220).
M. Schiefner lit une notice Sur les cas dans la langue
thibetaine; elle paraîtra dans le Bulletin
Sur la proposition du Secrétaire Perpétuel, on arréte
l'insertion au Bulletin de l'analyse rédigée par M. Smitt,
membre correspondant, de l'ouvrage de M. Bogdano-
witsch: Histoire de la guerre de 1813.
M. Nauck fait hommage à l'Académie de deux nou-
veaux volumes de son édition de Sophocle, faisant partie
de la collection des classiques grecs et latins de MM.
Haupt et Sauppe
M. Kunik met sous les yeux de la Classe une série de
documents extraits des archives de l'Etat par M. Polof-
tzof, et qui peuvent servir à l'histoire du régne de l'Im-
pératrice Catherine IT et particulièrement à une biogra-
phie du prince A. Bezborodko.
M. Kunik offre pour la Bibliothèque de l'Académie un
manuscrit qu'un hazard a fait tomber entre ses mains et
qui, sans étre d'une grande importance pour l'histoire de
la Russie, peut cependant être considéré comme une pièce
assez curieuse. C’est un article rédigé par M. Bant ych-
Kamenski sur le séjour que firent en Danemark les deux
derniers petits-enfants du Tzar Ioan Alexéévitch. Sur la
proposition de M. Kunik cet article sera imprimé dans le
recueil russe de l’Académie, et le manuscrit original sera
déposé à la Bibliothèque. M. Kunik est Gage au nom
de l’Académie de son don.
M. Schleicher envoie le manuscrit revu et Se de
l'édition qu’il a préparée du poëte lithuanien Donaleitis.
L'ouvrage sera mis sous presse.
M. Schiefner met sous les yeux de la Classe des re-
gistres que M. le Docteur Justi, de Marbourg, a eu l'obli-
geance d'extraire de l'album de l'université de cette ville,
et contenant tous les noms des Russes et des natifs des
| provinces qui forment actuellement l'Empire de Russie,
qui ont étudié à Marbourg depuis 1527 jusqu'à l'époque
actuelle.
M. Dorn annonce que la bibliothéque des livres en
langues orientales, qui se trouvait au Département Asia-
tique, est déjà placée au Musée Asiatique de l'Académie
(v. la Séance du 27 mai 1864; Bulletin VII, 413). M.
Dorn se réserve de faire, aprés les vacances, un rapport
plus détaillé sur cette précieuse collection.
Le Secrétaire Perpétuel met sous les yeux de la Classe
leux liasses cachetées, envoyées par feu M. Köppen et
qui, selon son désir, ne devaient être ouvertes qu'après sa
mort. Les paquets sont ouverts séance tenante: ils con-
tiennent toute la correspondance que M. Köppen a eue
ans le cours de sa vie avec un grand nombre de sa-
vants du pays et de l'étranger, sur divers objets intéres-
sant les sciences. Cette correspondance sera conservée à `
la Bibliothèque de l’Académie.
M. Henri Lomer fait hommage à l'Académie de l'ou-
vrage qu'il a publié récemment à Leipsic sous le titre:
Der Rauchwaaren- Handel, Geschichte, Betriebsweise nebst
Waarenkunde.
SÉANCE PUBLIQUE DU 26 JUIN (8 JUILLET) 1864.
Distribution des prix Démidof.
Le 26 juin,à 1 heure de l'aprés-midi, M. l'Amiral Lutke,
Président, a ouvert la séance publique consacrée à la lec-
ture du Rapport sur la distribution des prix Démidof.
C'était la XXXIIT" distribution depuis la fondation de ces
prix. La Commission, nommée par l'Académie pour l'exa-
men des pièces du concours, se composait de M. le Secré-
taire Perpétuel, qui en vertu des Réglements préside cette
commission, et de MM. Kupffer, Jacobi, Brosset, Dorn,
Sreznefski, Ruprecht, Wiedemann, Schiefner, Kok-
charof, Veliaminet- Zernof, Biliarski, Sawitsch, Of-
siannikof et Pékarski.
Des prix de 714 roubles chacun ont été décernés aux
auteurs des ouvrages suivants:
495
Bulletin de l'Académie Impériale
496
1° à M. le général Bogdanovitch, pour une histoire
qu 'il a publiée en langue russe de la guerre de "ven (Hemo-
pia soünm 1813 100a 3a nesasucumocme L'epman
2' à M. Tikhménef, pour le second olore de son
Histoire de la Compagnie russe -américaine (Hemopuue-
cxoe o603pnmnie Geer Pocciüexo - Amepuxancroü Kom-
naniu Tomo I
gs à M. R bnikof, pour un recueil qu'il a fait paraître
d'anciennes chansons populaires russes (Cóopuuxo Pyccxuxs
NIBCEH?) ;
4' à M. le baron Uslar, pour ses recherches philolo-
giques sur les langues du Caucase, nommément sur la
langue abkhaze et la langue thetchene (Imnomagia Kas-
KAIA. Asuxosnanie);
5° à M. Wagner, professeur à Kasan, pour la décou-
verte qu’il a faite d’un mode particulier de la génération
chez les insectes (Camonpouseonvnoe paszmnoncenie vsycenuo
y meer mro);
à M. Borstschof, pour un travail manuscrit sur la
of aralo-caspienne, et particulièrement sur la végé-
tation de cette contrée (Mamepiaaw daa Gomanuuecxoë veo-
mafiu Apaao-Kacnitiexaw xpaa).
T à M. Schweitzer, professeur à Moscou, pour ses
recherches sur l'attraction locale dans les environs de
Moscou (Hacandosanie mwcmnoü ammpaxuiu, cyuecmeyiwert
okono Mocxew
8' à M. Smyslof, pour son ouvrage sur le cercle de
Repsold et sur les chronométres (Pencoavdo6s xpyw, xpo-
uoMempw u xponomempuuecxan okcneowwuia 1859 100a).
9' à M. le Dr. Schmidt, pour son ouvrage sur l'hy-
— de Dorpat (Die Wasserversorgung Dorpat’s), et
° à M. Vassilief, pour un ouvrage sur les égouts et
le pt de pavage des rues à St.-Pétersbourg (Ma-
mepiaaw OAA npooxma CMOUHWLST MPYOr U Mocmo6tixo 65 10-
podaz» u npeumyusecmsenno 65 C. IHemep6ypw:).
Des mentions honorables ont été votées:
1° à M. le Dr. Wreden, pour son ouvrage sur les ma-
ladies des oreilles (Kamappaasuoe socnanenie cpeouso qaa
u — uckycmeennmo npobodenia 6apa6ana).
à M. Chébiakin, pour son traité de l'électricité con-
Es au point de vue de la physiologie et de la thérapie
(Daexmpuuecmeo e odnacmu dousioaoww u mepanin).
3° à M. Tutchef, pour son Introduction à l'étude de la
erystallographie (Beedenie x» usyueniw xpuemaaaowadpiu).
4" à M. Bougaïef, pour un mémoire sur la convergence
des séries infinies (Cxodumocme 6eskoneuuwa PA008 no wav
enmunemy sudy).
5° à M. Körber, pour un travail manuscrit sur le mou-
vement de la population dans quatre paroisses de la Livonie
(Biostatik für die lutherischen und griechischen Gemeinden
der Kirchspiele Ringen, Randen, Nüggen und Kawelecht
vom Jahre 1834— 1859
6° à M. Bezsonof, pour un recueil de légendes popu-
laires russes (Kaanxu nepexoocie); et
à M. Melgounof, pour un emp, e ee,
Sur Ze côte méridionale de la mer Caspien
Des médailles, destinées à être stribnées aux savants
qui ont partagé avec l'Académie le travail de l'apprécia-
tion des pièces de concours, ont été décernées: a) de 1°
classe, à M. Smitt, membre-correspondant de l'Académie,
et à M. Tikhonravof, professeur à Moscou, et b) de 2*
classe, à M. le Dr. Kozlof et à M. Vessélago.
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a recu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Schive, C. J. Norges mynter i Middelalderen. Med Ind-
ledning af C. A. Holmboe. Hefte 1 — 3. Christiania
1858—60. Fol.
Bulletin de la Société de Géographie. 5* série. Tome VI.
Paris 1863. 8.
Proceedings of the royal je SE of London.
Vol. VII. N° 3—5. London
— of the American Deeg je Stt Society
of New York. Vol. II. N° 1. New York.
D'Avezac. Note sur la mappe-monde Von de la ca-
thédrale de Héréford. Paris 1862.
— Coup-d’oeil historique sur s SE des cartes de
Géographie. Paris 1863.
— Restitution de deux "e du texte grec de la Géo-
graphie de Ptolémée. 8.
— Aperçus historiques sur la boussole. 8.
— Sur un globe terrestre trouvé à Laon, antérieur à la
découverte de l'Amérique. Paris 1861. 8.
Reinaud. Relations politiques et commerciales de l'Em-
pire romain avec l'Asie orientale. Paris 1863. 8.
Khanikof, N. de. Lettre au rédacteur du Journal asia-
tique. Paris 1863. 8.
Piper, Ferd. Rom, die ewige Stadt. Berlin 1864. 12.
Steiner, Dr. Beschreibung der Schlacht bei Dettingen
am Main (22. Juni 1743) mit einem von einem Au-
genzeugen entworfenen Plane derselben. Darmstadt
1834. 8.
Chronica regum Manniae et insularum. The chronicle of
Man and the Sudreys. Edited from the manuscript co-
dex by P. A. Munch. Christiania 1860. 8.
Irminger. Notice sur les péches du Danemark, des iles
Féroé, de l'Islande et du Groenland. Paris 1863. 8.
Diplomatarium norvegicum. Fórste, anden, tredie, fjerde
Samling, och femte Samling fórste halvdel. Christia-
nia 1847—60. 8.
Paru le 19 aoüt 1864.
T. VIE, N° 6 et dernier.
BULLETIN
DE L'ACADÉMIE DIPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
TOME VII.
(Feuilles 32 — 36**.)
CONTENU.
Page
J. Fritzsche, Sur le sel double d’oxalate et de chlorure de calcium.................. 497—509
H. Struve, Rapport sur un voyage fait au lac Ladoga............................. 510—515
M. Tuttschef, Notice sur le naphthe d'éclairage .......,.......................... 515—518
Th. Smitt, Rapport sur l'ouvrage de M. le Général Bogdanovitch: «Histoire de la
guerre de 1813»...........................sssssssesereensesssssseses. 519—557
A. Wagner, Sùr la marche de la pendule normale de Poulkova. (Avec une Planche... 557—568
A. Nauck, Observations additionnelles sur Philodemus ze TTT 568—576
J. Fritzsche, Sur le dosage de la chaux .....................................-.. 576—580
— —— Sur la préparation EC du Gay-Lussit........... leeren nnn 580—587
Bulletin bibliographique... .................................. Ee A PTT 587—588
Ci-joint les titres et la table des matières du Tome VII.
On s'abonne: chez MM. Eggers & Cie, libraires à St-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de
l'Académie (Kowurers IIpanzenis Auneparopekoñ Axaxexiu Hayrt) et chez M. Léopold Voss,
libraire à Leipzig.
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thalers de Prusse pour l’étranger. |
BULLETIN ` `
DE L ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
Über die Doppelsalze von Calciumoxalat und
Chlorcalcium, von J. Fritzsche. (Lu le 17 juin
1864).
In einer im Jahre 1856 in den Annalen der Che-
mie und Pharmacie publieirten Abhandlung über die
Oxalate der Alkalien und alkalischen Erden beschrei-
ben die Herren Souchay und Lenssen das Verhal-
ten des Calciumoxalats zu Salzsäure, und kommen
dabei auch auf das von mir im Jahre 1833 entdeckte
und in Poggendorff’s Annalen, B. 28, p. 121 be-
schriebene Doppelsalz von Calciumoxalat und Chlor-
calcium zu sprechen. Sie sagen daselbst, B. 100, p. 317:
«Trägt man in auf 100° C. erwärmte stark rauchende
«Salzsäure (von 1,20 sp.G.) so lange oxalsauren Kalk
«ein, als derselbe sich noch darin löst, und lässt lang-
«sam erkalten, so erhält man eine krystallinische Masse.
«Dieselbe stellt ein Doppelsalz dar von oxalsaurem
«Kalk mit Chlorcalcium, und zwar nicht das von
«Fritzsche entdeckte, welches auf 2 Aen, Chlorcal-
«cium 1 Aeq. oxalsauren Kalk enthält, sondern ein
«Doppelsalz, was nach der Formel: 2 Ga | CH, +
« CaGl + 24 aq. zusammengesetzt ist». Ferner heisst
es p. 319: «Es ist uns bei wiederholt ausgeführten
«Versuchen niemals gelungen, das Fritzsche'sche
«Salz zu erhalten; und da Fritzsche durchaus keine
«genauen Verhältnisse angegeben, unter denen er sein
«Doppelsalz bekommen, so wird dasselbe überhaupt
«nicht leicht wieder dargestellt werden kónnen». Die-
ser Ausspruch ist mir erst ganz kürzlich zu Gesicht
gekommen und hat mich veranlasst, meine Erstlings-
arbeit im Gebiete der Chemie, welche vor lünger als
30 Jahren im Laboratorio und unter den Augen mei-
nes verehrten Lehrers und Freundes Mitscherlich
ausgeführt worden war, von neuem vorzunehmen. Da-
bei hat sich ergeben, dass nichts leichter ist, als die
Darstellung meines Doppelsalzes in reinem Zustande,
dass man aber eben so leicht auch Präparate von an-
derer Zusammensetzung erhalten kann; diese jedoch
habe ich bis jetzt stets als Gemenge erkannt, welche
Tome VII.
der Hauptsache nach aus meinem alten und einem
neuen Doppelsalze bestehen, zu denen sich noch Oxal-
säure und zuweilen auch Caleiumoxalat gesellen. Für
ein derartiges Gemenge halte ich auch das von den
Herren Souchay und Lenssen aufgestellte Doppel-
salz, und hoffe in der folgenden ausführlichen Darle-
gung meiner Versuche für alles dies die Beweise zu
liefern.
Obgleich ich noch von dem Prüparate besitze, von
welchem ich 1833 zur Analyse genommen hatte, so
hielt ich doch eine Wiederholung der Analyse dessel-
ben für überflüssig, und bediente mich seiner nur zum
Vergleiche mit den neudargestellten Produkten; dazu
aber bedurfte es einer geuaueren Charakteristik des
Doppelsalzes, als ich sie 1833 gegeben, und ich be-
ginne daher mit dieser.
Mein 1833 dargestelltes Doppelsalz, das ich das
alte nennen will, besteht aus farblosen Krystallgrup-
pen, welche aus mannigfach zusammengewachsenen,
durchsichtigen, blattartigen Tafeln von 1 bis 3™ Durch-
messer gebildet sind, und hat ganz das Ansehen eines
gleichfórmigen, tadelfreien Prüparats; es ist ferner
vollkommen trocken und geruchlos, und lässt weder
durch das Mikroskop, noch durch Reagenzien, als
welche ich Alcohol von 90°, und verdünnte Salzsäure
angewendet habe, irgend welche Verunreinigung er-
kennen. Alcohol von 90°/, nämlich wirkt auf das reine
Doppelsalz nur sehr langsam zersetzend ein, und man
kann es daher durch Abspülen damit und schnelles
Entfernen des Alcohols durch getrocknetes Fliesspa-
pier von anhängender Mutterlauge reinigen. Lässt man
aber den Alcohol auf einer Glasplatte von dem damit
befeuchteten Doppelsalze freiwillig abdunsten, so ver-
liert dasselbe dabei mehr oder weniger seine Durch-
sichtigkeit, indem der Alcohol schwücher wird und
nun schneller durch Entziehen von Chlorcalcium zer-
setzend einwirkt. Bei längerem Verweilen in Alcohol
selbst von 90%, verliert das alte Doppelsalz ebenfalls
durch Entziehen von Chlorealeium seine Durchsich-
tigkeit, und in Aleohol von geringeren pe geht
499
Bulletin de l'Académie Impériale
500
dies verhältnissmässig schneller vor sich. Aus einem
freie Oxalsäure beigemengt enthaltenden Doppelsalze
zieht Alcohol schnell Oxalsäure aus, und geschieht
dies auf einer Glasplatte wie oben, so bildet sich auf
der ganzen benetzt gewesenen Fläche eine Krystalli-
sation von Oxalsáure. Durch Auslaugen eines solchen
Prüparats mit Alcohol auf einem Filter kann man die
Oxalsäure schon in den ersten abfliessenden Tropfen
nachweisen; da sie aber dabei wenigstens oberfläch-
lich zersetzend auf das Doppelsalz einwirkt, so móchte
sich auf dieses Verhalten wohl kaum eine Reinigungs-
methode gründen lassen.
Salzsäure von 1,07 bis 1,10 sp. G. lóst das alte Dop-
pelsalz sowohl in reinem, als auch in Oxalsáure als Ge-
mengtheil enthaltendem Zustande leicht und vollkom-
men ohne alle Anwendung von Wärme. Anders hinge-
gen verhält sich Salzsäure von 1,01 bis 1,03 sp. G.,
welche augenblicklich eine interessante Zersetzung her-
_vorruft. Auf den Krystallen des Doppelsalzes entstehen
nümlieh sehr bald Krystalle von Caleiumoxalat, wel-
che anfangs klein sind, aber schnell wachsen und in
kurzer Zeit um den noch unzersetzten Kern des Kry-
stalls eine durchbrochene Hülle bilden. In diesem
Kerne nun sieht man oft andere, prismatische Kry-
stalle sich bilden, welche wahrscheinlich dem neuen,
weniger Chlorcalcium enthaltenden Doppelsalze ange-
hóren; bei hinreichender Säure verschwinden diese
aber wieder, und es bleibt endlich nur ein Trümmer-
haufen von schón ausgebildeten Calciumoxalatkrystal-
len zurück, unter denen man wenigstens viele deutlich
'als Quadratoctaéder und die Combination desselben
mit der 4seitigen Säule erkennt. Die Bildung dieser
Krystalle ist die Folge einer momentanen Auflösung
des Salzes als solches, und der unmittelbar darauf
erfolgenden Ausscheidung des Caleiumoxalats; der
Vorgang ist hier also ganz derselbe, wie ich ihn bei
dem Glauberit beschrieben habe, und wie dort findet
die Zersetzung in der angegebenen Art auch hier nur
bei dem nicht der Hitze ausgesetzt gewesenen Salze
statt, während schon das durch Trocknen eines Thei-
les seines Wassers beraubte Salz nur ein Skelett von
amorphem Calciumoxalat giebt.
Durch Wasser wird das Doppelsalz sehr schnell
milchig trübe, und unter dem Mikroskope erscheint es
dabei zuerst bräunlich gefärbt; bei weiterer Einwir-
kung des Wassers wird es aber bald ganz undurch-
sichtig, und nimmt dabei, unter Beibehaltung seiner
äusseren Form in seinem Innern eine strahlige Struk-
tur an, was man sowohl unter dem Mikroskope verfol-
gen kann, als auch durch Zerdrücken eines in der Zer-
setzung begriffenen Krystalls zwischen zwei Glasplat-
ten erkennt. Dieser letztere Umstand beruht wahr-
scheinlich ebenfalls auf einer Bildung des neuen Dop-
pelsalzes, Gewissheit darüber wird man aber wohl
schwerlich je erlangen können, da nur zur Constati-
rung der Erscheinung eine ungefähr 300malige Li-
nearvergrösserung erfordert wird.
Ein diesem früheren Präparate in Form, Ansehen,
Zusammensetzung und Verhalten in jeder Hinsicht
vollkommen gleiches Präparat erhielt ich nun sogleich
beim ersten Versuche zur Wiederdarstellung meines
Doppelsalzes. Wie damals wandte ich auch jetzt eine
gerade im Laboratorio befindliche, käufliche, reine
Salzsäure an, welche ein sp. G. von 1,14 zeigte, und
erhielt, als ich in 100 Gramm derselben 10 Gramm
Calciumoxalat*) auflöste, einige Stunden nach dem Er-
kalten eine reichliche Krystallisation des alten Dop-
pelsalzes, welches sich in Salzsäure von 1,07 bis 1,10
sp. G. vollkommen löste und an Alcohol von 90%, keine
Oxalsäure abgab. Es wurde zwischen getrocknetes
Fliesspapier gelegt und dieses so oft erneuert, bis
das Salz ohne alle Anwendung von Wärme ein voll-
kommen trocknes Ansehen hatte und durchaus kei-
nen Geruch nach Salzsäure mehr erkennen liess.
Bei der sene gab dieses Prüparat folgende Re-
sultate:
2,112 Grm. wurden mit Hülfe von Würme durch
Wasser zersetzt, das ungelóst gebliebene Caleiumoxalat
auf einem Filter gesammelt und durch Glühen in Ätz-
kalk verwandelt. Es wurden 0,328 Grm. Ätzkalk er-
halten, welche 0,7497 Grm. oder 35,49 p. C. Cal-
ciumoxalat entsprechen. Die wässrige Lüsung wurde
zuerst mit Ammoniak versetzt, 'wobei sie vollkommen
klar blieb, und dann durch kohlensaures Ammoniak
gefüllt; nachdem das Calciumcarbonat krystallinisch
geworden war, wurde es auf einem Filter gesammelt
*) Das Calciumoxalat war durch Fällen einer heissen Lösung von
Oxalsäure durch eine neutrale Chlorcalciumlósung bereitet und bil-
dete ein krystallinisches Pulver, welches ohne Anwendung von Wär-
me getrocknet wurde. Eine spätere Bereitung war beim Trocknen
einer starken Hitze ausgesetzt gewesen, wobei es alles Krystallwas-
ser verloren hatte, und dieses Präparat ist unter entwüssertem
verstanden.
—
501
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
502
und ebenfalls durch Glühen in Ätzkalk verwandelt.
Es wurden 0,322 Grm. Ätzkalk erhalten, welche
0,6382 Grm. oder 30,22 p. C. Chlorcalcium entspre-
chen. Als Verlust ergaben sich 34,29 p. C. Krystall-
wasser.
1864
berechnet gefunden
C?Ca?0* 128 35,07 35,31 35,49
PD LUST nuls OTT: 111 30,41 30,53 30,2
TORIA E E 126 34,52 34,16 34,29
365 100,00 100,00 100,00
Die Bestimmung des Chlors hatte ich früher für
überflüssig gehalten, der Vollständigkeit wegen habe
ich aber jetzt auch sie ausgeführt, und erhielt dabei
von 1,350 Grm. Doppelsalz, 1,055 Grm. Chlorsilber,
welche 0,408 Grm. oder 30,22 p. C. Chlorcalcium
entsprechen.
Mehrere andere Analysen, mit Präparaten ange-
stellt, welche bald aus stärkerer, bald aus schwächerer
Säure erhalten waren, sich aber ebenfalls frei von
fremden Beimengungen zeigten, haben mir ganz die-
selben Resultate gegeben, deren specielle Mittheilung
ich jedoch für überflüssig halte.
Um das Salz wo möglich in grösseren, messbaren
Krystallen zu erhalten, habe ich ein grösseres Ver-
hältniss von Säure angewendet, und als ich 50 Grm.
Calciumoxalat auf 750 Grm. Salzsäure von 1,14 sp. G.
nahm, also 1 Th. auf 15 Th., erhielt ich nach 24stün-
digem Stehen 22 Grm. Doppelsalz in Krystallgruppen,
deren einzelne Tafeln bis 5"" Durchmesser hatten.
Die abgegossene Flüssigkeit setzte aber bei weiterem
Stehen von neuem Krystalle ab, und nach einigen Ta-
gen wurden daraus weitere 7 Grm. reines Doppelsalz
erhalten, so dass die Gesammtausbeute 58 p. C. vom
angewandten Oxalate betrug. Dieses Verhültniss ist
daher zur Darstellung des alten Doppelsalzes sehr
empfehlungswerth, aber auch bei dem Verhältnisse
von 1 Th. Oxalat auf 20 Th. Säure findet noch Bildung
von reinem, altem Doppelsalze statt. Eine solche Ló-
sung hatte nach den ersten 24 Stunden (in der Som-
mertemperatur) noch nichts abgesetzt, aber bei wei-
terem Stehen bildeten sich darin allmählich einige
Krystallgruppen, deren Tafeln bis 8"^ Durchmesser
hatten. Mein verehrter College v. Kokscharoff hat
auf meine Bitte diese, so wie auch die aus 1 Th. Oxalat
und 15 Th. Säure erhaltenen Krystalle einer krystallo-
graphischen Untersuchung unterworfen, und mir fol-
gende Mittheilung darüber gemacht.
«Das Salz besteht aus sehr dünnen, rhombischen
«Tafeln, Blättchen oder Schüppchen, und eignet sich
«sehr wenig zu krystallographischen Untersuchungen.
.|«Die ebenen Winkel der Tafeln betragen ungefähr
«79'/ und 100),°. Die Mehrzahl dieser Tafeln bieten
«jedoch sechsseitige Figuren dar, indem ihre spitzen
«Winkel abgestumpft sind. Aller Wahrscheinlichkeit
«nach gehóren die Krystalle zum rhombischen Systeme.
«Die Neigung einer sehr schmalen Flüche, welche
«ihrer Stellung nach als prismatische Flüche ange-
«sehen werden muss, habe ich zur breiten Flüche der
«Tafeln ungeführ 95? 48' gefunden. Die Neigung einer
«anderen Flüche, welche ihrer Stellung nach als zu
«einer rhombischen Pyramide gehórig angesehen wer-
«den kann, habe ich zu derselben breiten Flüche der
«Tafeln ungefähr 130? bis 131°/° gefunden. Alle diese
«Messungen sind sehr unvollkommen, und man kann
«ihnen daher keinen grossen Werth beilegen».
Eben so leicht wie mit Säure von 1,14 sp. G. ge-
lingt die Darstellung des alten Doppelsalzes auch mit
schwächerer oder stärkerer Säure, und ich habe das-
selbe in reinem Zustande mit Sáure von 1,12 bis 1,18
sp. G. erhalten; man hat nur als allgemeine Regel zu
beobachten, dass man die Auflósung des Calcium-
oxalats nicht bis zur Sättigung steigert, und das ge-
bildete Doppelsalz nicht zu lange mit der Mutterlauge
stehen lässt, weil man sonst leicht eine Einmengung
sowohl von Oxalsäure und von Calciumoxalat, als
auch von dem neuen Doppelsalze erhalten kann. Der-
gleichen Verunreinigungen kann man aber durch die
oben angeführte Behandlung mit Alcohol und Salz-
säure leicht erkennen, ausserdem aber bietet Salz-
säure von 1,03 sp. G. noch ein specielles Mittel zur
Erkennung einer Einmengung des neuen Doppelsalzes
dar. Letzteres wird nämlich durch eine solche Säure
nicht zersetzt, sondern vollkommen gelóst, und zwar
langsam genug, um es unter dem Mikroskope noch `
unzersetzt neben dem schon ganz in Caleiumoxalat-
krystalle zerfallenen alten Doppelsalze erkennen zu
kónnen. Dieses Verhalten war die Veranlassung zur
Entdeckung des neuen Doppelsalzes, und als ich nun
ein, eine solche Beimengung zeigendes Prüparat der
Behandlung mit Salzsüure von 1,10 sp. G.-unterwarf,
fand ich, dass diese das alte Doppelsalz sehr viel
= 82*
503
Bulletin de l’Académie Impériale
leichter lüst, als das neue, und eine Methode zu sei-
ner Isolirung war gefunden.
Die Isolirung des neuen Doppelsalzes ist mir nun
namentlich aus Präparaten gelungen, welche aus con-
centrirten oder gesättigten Auflösungen erhalten wor-
den waren. Man erkennt seine Gegenwart leicht beim
Schütteln solcher Präparate mit Säure von 1,10 sp. G.,
und zwar dadurch, dass die Flüssigkeit durch aufge-
schwemmte Krystallflitter trübe wird. Ein grosser
Ueberschuss an Säure löst auch diese Flitter auf, denn
siesind darin keineswegs unlöslich, sondern nur schwer-
löslicher, als das alte Doppelsalz; man kann sie leicht
abtrennen, wenn man nur wenig Säure auf einmal an-
wendet, und die sie aufgeschlemmt enthaltende Flüs-
sigkeit von dem schnell sich zu Boden senkenden,
noch ungelöst gebliebenen alten Doppelsalze abgiesst
und nun filtrirt. Auf diese Weise ist es mir gelungen,
aus drei verschiedenen Präparaten zur Analyse taug-
liches Doppelsalz in hinreichenden Mengen abzuschei-
den, welche so übereinstimmende Resultate gegeben
haben, dass über ihre Zusammensetzung kein Zweifel
obwalten kann. Diese entspricht, wie die weiter unten
anzuführenden Zahlen zeigen werden, der Formel
3 C?Ca0! + 2 CaCl 8 Aqu. `
' Ich habe dieses neue Doppelsalz immer in so klei-
nen Krystallen erhalten, dass ihre Form nur durch
das zusammengesetzte Mikroskop zu erkennen war;
in trocknem Zustande hat es ein pulverförmiges An-
sehen. Es bildet ebenfalls sechsseitige, blattartige Ta-
feln, welche nach Messungen von Herrn v. Kokscha-
roff, die aber unter den obwaltenden Umständen nur
oberflächlich ausfallen konnten, dieselben ebenen Win-
kel hatten, welche beim alten Doppelsalze gefunden
worden waren. Von Wasser wird das neue Doppelsalz
weniger schnell angegriffen, als das alte, und die
Zersetzung beginnt nach einiger Zeit durch Ent-
stehung sehr kleiner Körner von Calciumoxalat auf
der Oberfläche der Krystalle; diese Körner werden
allmählich grösser und vermehren sich, während die
Krystalle selbst verschwinden, sie bleiben aber immer
so klein, dass keine genaue Erkennung ihrer Form mög-
lich ist, und endlich bleiben nur unregelmässige Kör-
nerhäufchen mit zerstreuten Körnern zwischen ihnen
zurück. Daraus scheint nun zwar hervorzugehen, dass
auch hier eine momentane Auflösung des Doppelsalzes
als solches vor der Zersetzung stattfindet, wie beim
alten Doppelsalze durch Säure von 1,01 sp. G., sie
ist aber hier bei weitem weniger in die Augen fallend.
Auch sie findet, aber in der angegebenen Weise nur
bei dem keiner Erhitzung ausgesetzt gewesenen Salze
statt, während ein bei + 150? getrocknetes Präparat
sich ähnlich wie das erhitzte alte Doppelsalz verhält.
Ich habe geglaubt, alle diese, nur durch das Mikros-
kop bei starken Vergrósserungen wahrnehmbaren Er-
scheinungen ausführlich beschreiben zu müssen, nicht
bloss weil sie zur Charakteristik der in Rede stehenden
Verbindungen wesentlich sind, sondern auch weil sie
mit dem inneren Wesen und mit den mysteriösen Be-
wegungen und Wanderungen der Molecüle innig zu-
sammenhängen, und weil ich zur Aufzeichnung ühnli-
cher Beobachtungen anregen möchte, welche leider
noch viel zu sehr vernachlüssigt werden. Obgleich das
Mikroskop schon seit langer Zeit in die Chemie ein-
geführt ist, so ist doch sein Gebrauch, welcher auch
in der Chemie eine Fülle wissenschaftlichen Genusses
darbietet, noch viel zu beschrünkt. |
Indem ich nun zur Analyse des neuen Doppelsalzes
übergehe, werde ich dabei noch weitere, dasselbe be-
treffende Details mittheilen.
I. Aus einem Präparate, über dessen Bereitung
ich leider keinen Nachweis geben kann, waren auf die
oben beschriebene Weise, und durch nachheriges Ab-
waschen mit Alcohol 0,461 Grm. eines pulverförmigen
Doppelsalzes erhalten worden, welches sich unter dem
Mikroskope als vollkommen gleichförmige, schuppige
oder blättrige Krystallfragmente darstellte, und zwar
theils einzelne, theils auf und an einander gewachsene
Individuen. Das zu seiner Darstellung angewendete
Präparat wurde durch das Mikroskop deutlich als ein
Gemenge des alten Doppelsalzes mit ihm theilweise
aufsitzenden Gruppen sehr viel kleinerer Krystalle
von schwer zu beschreibendem, aber ganz verschiede-
nem Ansehen erkannt, und die Wirkung der Salzsäure
auf dieses Gemenge liess sich unter dem Mikroskope
deutlich erkennen nnd verfolgen. Die grossen Krystalle
des alten Doppelsalzes rundeten sich durch Auflösen
in der Säure schnell ab, während die kleinen des neuen
Salzes verhältnissmässig sehr viel weniger angegriffen
wurden; wenn genug Lösungsmittel vorhanden war,
verschwanden erstere gänzlich, während letztere nur
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
506
gleichsam angefressen erschienen, ohne jedoch irgend
eine Strukturveränderung erlitten zu haben.
Es wurde zuerst das rohe, gemischte Präparat
analysirt und folgende Resultate erhalten.
1,158 Grm. gaben aus dem in Wasser unlöslichen
Rückstande 0,250 Grm. Âtzkalk, was 0,5714 Grm.
oder 49,34 p. C. Caleiumoxalat entspricht. Aus der
wässrigen Lüsung wurden 0,131 Grm. Ätzkalk erhal-
ten, welche 0,2597 Grm. oder 22,43 p. C. Chlorcal-
cium entsprechen, und die Chlorbestimmung gab
0,686 Grm. Chlorsilber, welche 0,2653 Grm. oder
22,91 p. C. Chlorcalcium entsprechen. Da nun hier
die beiden Mengen Chlorcalcium sehr nahe überein-
stimmend waren, so kann das Salz höchstens Spuren
von freier Oxalsäure enthalten haben, und da ferner
durch das Mikroskop kein freies Calciumoxalat darin
nachzuweisen war, so konnte das Präparat nur aus
einem Gemenge der beiden Doppelsalze bestehen.
Eine Einmengung von Calciumoxalat kommt aber in
der That oft vor, sowohl in weniger, als auch in mehr
Krystallwasser enthaltenden Krystallen, und man hat
sich vor ihr zu hüten; man erkennt sie jedoch sehr
leicht durch das Mikroskop, sowohl an der Form der
Krystalle, als auch an ihrer Unveränderlichkeit durch
Wasser und verdünnte Salzsäure.
Die aus diesem Präparate abgeschiedenen 0,461
Grm. desneuen Doppelsalzes gaben folgende Resultate:
ausdem ungelösten Caleiumoxalat 0,121 Grm. Ätzkalk
— 60,00 p. C. Caleiumoxalat; aus der wässrigen Lö-
sung 0,039 Ätzkalk = 16,77 p. C. Chlorcalcium und
0,204 Chlorsilber = 17,12 p. C. Chlorcalcium.
«H. Eine zweite Menge des neuen Doppelsalzes wurde
auf folgende Weise erhalten: 10 Grm. entwässertes
Calciumoxalat wurden in 81 Grm. Salzsäure von 1,10
sp. G. gelöst, und als sich beim Erkalten einzelne
"kleine Krystallgruppen als weisse Pünktchen an den
Wänden zeigten, die Flüssigkeit davon in ein anderes
Gefäss abgegossen, in welchem sich sehr bald eine
copiöse Ausscheidung feiner Krystalle einstellte. Diese
wurde auf einem feinem Tuche gesammelt und ein
Theil des darauf zurückbleibenden Krystallbreies auf
Fliesspapier gestrichen, welches so oft erneuert wurde,
bis ein trocknes Präparat erzielt wurde. Ein anderer
Theil dieses Breies wurde mehrmals mit einer kleinen
Menge Salzsäure von 1,10 sp. G. abgewaschen, und
das davon ungelöst Gebliebene zuerst sorgfältig zwi-
schen Fliesspapier von der Mutterlauge befreit, dann
aber noch mit Alcohol von 90°, schnell abgewaschen
und rasch ohne Hülfe von Wärme getrocknet. 1,000
Grm. des letzteren Präparats wurden der Analyse un-
terworfen und daraus erhalten: 0,263 Grm. Ätzkalk
aus dem in Wasser ungelöst gebliebenen, welche 60,11
p. C. Calciumoxalat entsprechen; aus der wässrigen
Lösung 0,088 Grm. Ätzkalk einerseits und 0,449 Grm.
Chlorsilber andererseits, was 17,44 und 17,36 p. C.
Chlorealeium entspricht.
Das zwischen Fliesspapier getrocknete, weder mit
Salzsäure noch mit Alcohol gewaschene Präparat gab
bei der Untersuchung durch Alcohol einen Gehalt
von Oxalsäure zu erkennen, deren Bestimmung durch
Ausziehen mit Alcohol von 90%, auf einem Filter vor-
genommen wurde. Aus 0,300 Grm. wurde durch Ver-
dunsten des Alcohols 0,057 Grm. oder 19°, krystal-
lisirte, wasserhaltige Oxalsäure erhalten, welche durch
Fällen mit Chlorcalciam eine entsprechende Menge
Calciumoxalat gab. Der Rückstand von der Behand-
lung mit Alcohol gab bei der Analyse, wozu er auf
dem Filter mit heissem Wasser ausgelaugt wurde,
0,063 Grm. Ätzkalk aus dem durch Wasser ungelöst
gebliebenen, was einem Gehalte von 59,26 p. C. Cal-
ciumoxalat entspricht; aus der wässrigen Lösung aber
wurden 0,021 Grm. Ätzkalk erhalten, welche 17,13
p. C. Chlorcaleium entsprechen. Bei der Chlorbestim-
mung endlich wurden 0,105 Grm. Chlorsilber erhal-
ten, aus dem sich der Gehalt an Chlorcaleium auf
16,71 p. C. berechnet. Dieser Rückstand hatte also
nahezu dieselben Resultate gegeben, wie das mit Salz-
säure gewaschene Präparat, und es war demnach bei
diesem Darstellungsversuche ein Gemenge von unge-
fähr 81 p. C. des neuen Doppelsalzes mit 19 p. C.
Oxalsüure und hóchstens einem sehr geringen Gehalte
des alten Doppelsalzes erhalten worden.
III. Zur Darstellung einer dritten Menge des neuen
Doppelsalzes wurden nochmals 10 Grm. entwässertes
Calciumoxalat in 85 Grm. Salzsäure von 1,10 sp. G.
gelóst, diesmal aber die Auflósung eine Nacht hin-
durch der Ruhe überlassen. Am anderen Morgen hatte
sich darin eine harte Krystallkruste gebildet, welche
aus einem Gemenge beider Doppelsalze bestand, und
behufs ilirer Trennung so lange mit kleinen Mengen
Salzsäure von 1,10 sp. G. ausgezogen wurde, bis ein
vollkommen gleichförmiges, durch Salzsäure von 1,01
507
Bulletin de l’Académie Impériale 508
durchaus keine Zersetzung mehr erleidendes Produkt
erhalten worden war. Dieses bildete ein körniges, sich
sandartig anfühlendes Pulver, welches nach dem
Trocknen zwischen Fliesspapier und nachherigem Ab-
waschen mit Alcohol der Analyse unterworfen wurde.
Ich hatte im Ganzen nur 0,8 Grm. erhalten, wovon
0,607 Grm. folgende Resultate gaben. Das in Wasser
unlösliche gab 0,161 Grm. Ätzkalk, welche 0,368 Grm.
oder 60,62 p. C. Calciumoxalat entsprachen; die wäss-
rige Lósung aber gab 0,054 Grm. Âtzkalk, und 0,273
Grm. Chlorsilber, welche 17,63 und 17,39 p. C. Chlor-
calcium entsprechen.
Giebt man nun bei allen diesen Analysen für das
Chlorcaleium der Chlorbestimmung als der genaueren
den Vorzug, so erhält man folgende Zahlen als Re-
sultate:
Calciumoxalat ....... 60,00
Chlorcalcium ........ 17,12
Wasser (als Verlust). . 22,88
100,00
100,00
II. Mittel.
100,00 100,00
Das Mittel aus diesen Zahlen stimmt aber genau
mit dem durch Berechnung nach der Formel
3 C'Ca'0* + 2 CaCl 8 Aqu.
erhaltenen, und noch genauer stimmt damit die Ana-
lyse II.
In 100 Theilen.
Demnach ist sowohl die Existenz des neuen Dop-
pelsalzes vollkommen erwiesen, als auch seine Zusam-
mensetzung mit Sicherheit festgestellt. Was seine Dar-
stellung betrifft, so ist mir dieselbe in reinem Zustande
durch unniittelbare Krystallisation bis jetzt zwar noch
nicht gelungen, allein ich zweifle nicht, dass auch für
sie die richtigen Bedingungen sich werden ausmitteln
lassen.
Gleichwie aber in dieser Hinsicht das vorliegende
Thema noch nicht erschöpfend behandelt ist, so ist
dies gewiss auch noch in anderer Hinsicht der Fall,
wie aus einer Beobachtung hervorgeht, welche ich
erst gemacht habe, als diese Abhandlung bereits ge-
druckt wurde. Ich fand nämlich, dass unter gewissen
Umständen auch mein neues Doppelsalz durch Salzsäure
von 1,01 sp. G. unter Ausscheidung von Caleiumoxalat
zersetzt wird, in welcher ich es gewóhnlich keine Ver-
änderung hatte erleiden sehen. Bringt man nämlich auf
ein Häufchen Doppelsalz auf einer Glasplatte einen
Tropfen jener Salzsäure und überlässt das Ganze der
Ruhe, so sieht man, dass nach einiger Zeit das ganze
Doppelsalz verschwunden ist und ein Haufwerk von
Calciumoxalat seine Stelle eingenommen hat; da dies
nun auch bei Säure von 1,03 sp. G. in ähnlicher Weise,
obgleich viel langsamer und weniger in die Augen fal-
lend, stattfindet, so muss man bei der Isolirung des
Salzes die Flüssigkeit stets in Bewegung erhalten und
ersteres nicht zu lange mit letzterer in Berührung
lassen.
Es bleibt mir nun noch übrig, meine Meinung über
das von den Herren Souchay und Lenssen aufge-
stellte Doppelsalz abzugeben, dessen Existenz ich
durch die mitgetheilten Thatsachen durchaus nicht
4 ER ^ :
als hinreichend erwiesen betrachten kann, obgleich
7 | ich weit entfernt bin, die Existenz einer solchen Ver-
bindung überhaupt a priori in Zweifel zu stellen.
Meine Einwendungen gründen sich zuerst auf den
günzlichen Mangel eines Nachweises darüber, dass
das untersuchte Salz wirklich eine gleichmässige Ver-
bindung und nicht ein Gemenge gewesen sei, denn es
ist von keinerlei Untersuchung in dieser Hinsicht die
Rede, und doch wird p. 318 gesagt: «In der Regel
«sind diese Krystallmassen (des Doppelsalzes) durch
«einzelne wenige lange Spiesse von Oxalsäure durch-
«schossen». Da nun ausserdem weiter oben auf der-
selben Seite gesagt ist: «Das Salz wurde zwischen
«Fliesspapier so lange gepresst, bis es sich äusserlich
«trocken anfühlte. Es enthielt aber alsdann immer
«noch anhängende Sälzsäure und Oxalsäure, daher die
« Analysen auch nicht besonders gut stimmen», so wird
ein Gehalt von freier Oxalsäure sogar zugegeben, ein
solcher aber musste natürlich die Menge des bei dert
Behandlung mit Wasser zurückbleibenden Calcium-
oxalats auf Kosten des Chlorcalciums vermehren. Dem
ist jedoch keine Rechnung getragen worden, denn es
ist die Bestimmung des Chlors unterlassen worden,
welche unter diesen Umständen unerlässlich war, und
welche einen Maassstab für das Vorhandensein von
freier Säure in dem Salze gegeben haben würde.
Schon aus diesem Grunde muss die Analyse als man-
gelhaft bezeichnet werden, sie trägt aber möglicher-
weise noch eine zweite Fehlerquelle in sich durch den
des Sciences de Saint- Petersbourg.
510
Zusatz von Ammon zu dem mit Wasser behandelten
Salze; war ein solcher durch die saure Reaction der
Flüssigkeit geboten, so musste diesem Umstande Rech-
nung getragen werden, sonst aber konnte er nur schäd-
lich sein durch Veranlassung zu einer Bildung von
Calciumcarbonat auf Kosten des Chlorcalciums.
Ferner ist auch die Beschreibung des fraglichen
Doppelsalzes mangelhaft, denn sie beschränkt sich auf
Folgendes: «Dieses Salz wird immer in schuppigen
«Krystallmassen erhalten, genau wie dieselben von
«K. Schmidt beschrieben worden sind». Es wird also
hauptsächlich auf K. Sehmidt's Beschreibung hinge-
wiesen, dieser sagt aber an der citirten Stelle (Ann.
d. Ch. u. Pharm., B. 61, p. 307) nichts weiter hier-
auf bezügliches als: «Löst man frischgefälltes Kalk-
«oxalat in Salzsäure und überlässt diese Lösung der
«Verdunstung bei 30 — 40° C., so sieht man grosse
«rhombische, dem Chlorsterin täuschend ähnliche Ta-
«feln von 79° 33’. Diese sind wahrscheinlich ein sau-
«res Oxalat mit Wasser». Alles weitere bezieht sich
nur auf die Krystalle von Caleiumoxalat, in welche
diese Tafeln zerfallen, sowohl wenn die Säure ver-
dunstet, als auch wenn man auf den dem Zerfallen
nahen Krystall allmählich Wasser bringt. Dieses von K.
Schmidt beobachtete Zerfallen seiner Tafeln in einen
Trümmerhaufen zahlreicher Quadratoctaëder ist aber
gerade charakteristisch für mein altes Doppelsalz, und
da K. Schmidt's Tafeln mit letzterem auch durch
den gleichen Werth der Winkel übereinstimmen, so
leidet es wohl keinen Zweifel, dass sie nicht, wie er
selbst meint, ein saures Oxalat mit Wasser, sondern
nichts anderes, als mein altes Doppelsalz sind.
Schliesslich kann ich noch des Umstandes nicht
unerwühnt lassen, dass sich in der bereits am Anfange
dieser Abhandlung citirten Vorschrift der Herren
Souchay und Lenssen zur Bereitung ihres Doppel-
salzes ein Fehler in eine der Zahlenangaben einge-
schlichen haben muss, denn man kann Salzsäure von
1,20 sp. G. nicht bis 100? C. erwürmen (versteht sich
unter gewóhnlichem Luftdrucke, wie es nicht anders
gemeint sein kann), da den Angaben Daltons zufol-
ge eine Säure von nur 1,19 sp. G. schon bei + Geng C.
kocht.
Kurzer Bericht über eine Reise auf dem Ladoga-
see, Brief an den Herrn beständigen Secre-
tair der Kaiserlichen Akademie der Wissen,
schaften, von Heinrich Struve. (Lu le 17 juin
1864.)
Wie Ihnen bekannt ist, wartete ich die Ausferti-
gung meiner Papiere aus dem Ministerium der Fi-
nanzen nicht ab, um dem mir von Seiten der Akade-
mie der Wissenschaften zu Theil gewordenen Auf-
trage nachzukommen, - mir durch die E ae:
keit des Directors des hy i
des Admirals Belis ni; ER günstige Gelegenheit dar-
geboten wurde, auf dem Kaiserlichen Dampfschiffe
Ladoga eine Reise auf dem Ladogasee auszuführen.
Montag den 8. Juni begab ich mich nach Schlüssel-
burg, wurde dort auf dem Dampfschiffe Ladoga mit
grösster Zuvorkommenheit aufgenommen, und nach
einer 7tägigen Reise auf diesem Schiffe kehrte ich
am 15. Juni wieder hierher zurück.
In dem Folgenden erlaube ich mir Ihnen über die
Resultate dieser ersten Reise einige Mittheilungen zu
machen, die ich der Akademie der Wissenschaften
vorzulegen bitte. |
Auf dem Dampfschiffe durchschnitten wir den La-
dogasee in seiner grössten Längenausdehnung, da
das Ziel der Fahrt Pitkaranta war. Zuerst hielten
wir uns immer in der Nähe des westlichen Ufers,
erst nördlich von der Insel Konewitz nahmen wir eine
mehr östliche Richtung und durchschnitten so süd-
lich von der Insel Walamo den See, um so rasch als
möglich nach Pitkaranta zu kommen. Da auf dieser
Fahrt das Wetter sehr günstig war, so wurde 7%,
italienische Meilen südlich von Walamo der erste
Versuch, um mit dem von mir mitgenommenen Ba-
tometer Wasser aus der Tiefe zu heben, ausgeführt.
Der Punkt dieser Hebung liegt auf dem 61° 13 nörd-
licher Breite und 0? 37' óstlich von Petersburg. Die
Tiefe ergab sich zu 474 Fuss. Das Wasser, das aus
dieser Tiefe erhalten wurde, war durchaus krystall-
hell und zeigte schon durch den Geschmack, dass es
sich durchaus nicht von dem Wasser der Oberflüche
unterscheide. Auch verschiedene qualitative Versuche,
die augenblicklich vorgenommen wurden, z zeigten das-
selbe, indem nämlich dieses Wasser durch eine Sil-
berlösung kaum getrübt wurde, und ebenso durch
oil
Bulletin de l'Académie Impériale
512
eine Barytlösung durchaus keine Spuren von schwe-
felsauren Salzen zu entdecken waren. Interessant war
dabei die Bestimmung der Temperatur des Wassers:
während diese an der Oberfläche sich zu + 4°C.
herausstellte, obgleich doch den ganzen Tag hindurch
die Sonne eingewirkt hatte, so zeigte das Wasser in
der Tiefe von 474 Fuss nur die Temperatur von
+ 3°8. Das Batometer wurde 3mal hinuntergelassen,
so dass im Ganzen zwei Flaschen, je 25 Litres In-
halt, gefüllt wurden. Bei diesem Versuche war der
Himmel durchaus heiter, es wehte ein sehr leichter
West, und beim Heben konnte man das Batometer
auf einer Tiefe von 28 Fuss schon ganz deutlich er-
kennen.
In Pitkaranta lagen wir 24 Stunden, wo ich die
Gelegenheit benutzte, die dortigen Bergwerke in
Augenschein zu nehmen, und im Schacht No. 3, in
welchem Zinnstein gebrochen wird, auf 244 Fuss
hinunterzusteigen. Da sich hier in reichlicher Menge
Grundwasser ansammeln, die durch ein Pumpwerk
.zu Tage gehoben werden, so hielt ich es für in-
teressant, auch von diesem Wasser eine Probe zu
nehmen, da durch eine Untersuchung desselben die
Auslaugungs-Erscheinungen der dortigen Gesteine
dargelegt werden können. Nach den Angaben der
dortigen Bergleute liegt diese Wasseransammlung 140
Fuss unter dem Niveau des Ladogasees. In der ziem-
lich abgeschlossenen Bucht von Pitkaranta bestimmte
. ich auch die Temperatur des Wassers, und fand die-
selbe am Abend um 6 Uhr zu + 16,2, während in
der Luft + 11° waren; am ideoda: Morgen um
8 Uhr war dagegen die Wassertemperatur + 14,6,
während die Luft + 12,6 hatte. Hierbei ist nur noch
zu bemerken, dass die Stelle, wo wir in der Mitte
der Bucht vor Anker lagen, nur eine Tiefe von 8,5
Fuss zeigte.
Pitkaranta verliessen wir am Freitag Nachmittag
um 6 Uhr, und langten nach einer 3stündigen Fahrt
in Walamo an, welche Insel auf den Besuchenden
einen überaus überraschenden Eindruck hervorbringt,
indem sie sich sowohl in mineralogischer, oder noch
besser gesagt, in geognostischer, als auch in botani-
scher Hinsicht von allen anderen Gegenden des La-
dogasees auf eine imposante Weise unterscheidet. Sie
ist aus einem Gestein gebildet, das man allgemein
unter dem Namen Granit von Walamo (Bauaawckiii
rpanur) kennt, und das auch als solcher beschrieben
worden ist, doch meiner Ansicht nach nie zum Gra-
nit gerechnet werden kann, weil es durchaus nicht
die characteristischen Bestandtheile des Granits ent-
hält. Doch wohin dieses Gestein dem petrographi-
schen Character nach zu setzen ist, das enthalte
ich mich hier bestimmter anzugeben, hoffe aber das
nóthige Material zu dieser Entscheidung mitgebracht
zu haben. Dieses Gestein zeichnet. sich durch auffal-
lende \ Erscl aus, indem es
durch den Einfluss der Feuchtigkeit und der Koh-
lensäure nach und nach zu einer von Eisenoxydhy-
drat dunkel gefärbten Masse zerfällt, welche Erschei-
nung man fast überall auf der Insel mit Leichtigkeit
beobachten kann. Durch diese leichte Verwitterung
des Gesteins ist unzweifelhaft die auffallende üppige
Vegetation auf der ganzen Insel bedingt. Am augen-
fälligsten zeigen sich alle Erscheinungen dieses Ge-
steins auf der kleinen Insel, Heilige Insel (Cearoü
OCTpoBb), die ungefähr 2 Werst vom nord-óstlichen
Ende der Insel Walamo entfernt liegt. Hier glaubt
man es zuerst mit einer Basalt- Erhebung zu thun zu
haben, denn säulenförmig zerklüftet erhebt sich die-
ses Eiland aus der Tiefe zu einer Höhe von 100 bis
120 Fuss, mit einem so schroffen Abfalle, dass an den
meisten Stellen am Ufer der Boden des Sees erst bei
einer Tiefe von 360 Fuss erreicht werden kann.
Diese kleine Insel ist in geognostischer Hinsicht über-
aus interessant und verdient mit Sorgfalt studirt zu
werden.
Auf Walamo interessirten mich noch besonders 2
kleine Seen, die gegenwärtig in gar keinem Zusam-
menhange mit dem Ladoga stehen. Nach den Anga-
ben eines dortigen Mönches, der mich dahin geleitete,
soll auch nie eine Verbindung stattgefunden haben;
doch dieses ist nicht anzunehmen, indem Thatsachen
nur zu deutlich dafür sprechen, dass noch vor Jahr-
hunderten ein Zusammenhang gewesen sein muss.
Beide kleine Seen wurden nämlich in den letzten Jah-
ren gereinigt, und hierbei fand man unter Schlamm,
Sand und Morast mehrere noch ziemlich gut erhal-
tene Fischerboote, über welche kein Einwohner des
Klosters irgend welche Erklärung geben konnte.
Wozu sollten diese Boote auf solchen kleinen einge-
schlossenen Seen genützt haben, da auf denselben
durchaus kein Fischfang getrieben wird? Es ist viel-
Ver
513
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
514
mehr anzunehmen, dass diese Seen früher als Hafen-
plätze gedient haben, indem sie von allen Seiten von
Höhen umschlossen sind, und nur auf einer Seite eine
kleine Verbindung mit dem Ladoga hatten. Dass
diese Boote nicht sehr alt sein können, zeigen die
eisernen Nägel, die zu ihrem Bau gebraucht worden
sind, und ebenso auch die ganze Form des Boots.
Jetzt sind beide Seen so getrennt vom Ladoga, dass
erst, wenn ein Steigen des Wassers von ungefähr 4
Fuss eintritt, ein Abfluss zum Ladoga erfolgt. In
diesen Seen werden jetzt von den Mönchen Fische
gezogen, ja in denselben kommen Sterlette vor, die
vor 10 Jahren eingesetzt worden sind. Unweit die-
ser Seen liegt die Einsiedelei (Ilycruna) des Igumen
Damaskin. Aus diesen Seen habe ich eine Wasser-
probe mitgenommen. — Am nord-westlichen Ende von
Walamo liegt eine kleine Insel (IIpereuenckiit oCTpoBE),
die zum Ladoga sehr steil hinabfállt; auf ihrer hóch-
sten Spitze, ungefähr 140 bis 154 Fuss über dem
Niveau des Sees, ist eine kleine Kirche aufgebaut, in
deren Nähe mehrere Mönche ihre Wohnungen haben.
Unweit der Kirche ist unmittelbar im Felsen ein
Brunnen eingesprengt worden, der ein ausgezeichnet
schönes klares Wasser enthält. Der Brunnen ist oben
mit Granit aus Serdobol eingefasst, mit einem Holz-
deckel sorgfältig zugedeckt, und ausserdem noch mit
einem kleinen Häuschen überbaut. Aus diesem Brun-
nen nahm ich eine Probe mit. Die Temperatur des
Wassers in diesem Brunnen fand ich zu + 754 C.
Am 14. Juni um 8 Uhr Abends verliessen wir Wa-
lamo, da eine Windstille eingetreten war, die zur
Ausführung verschiedener Versuche auf der grössten
Tiefe des Ladogas durchaus erforderlich war. Nach
einer Fahrt von 1%, Stunden erreichten wir die Tiefe,
' doch leider hatte sich wieder ein Wind erhoben, der
sehr ungünstig erschien, so dass wir einige Zeit über-
haupt daran zweifelten, ob eine Hebung von Wasser
ausgeführt werden könnte. Es wurde versucht, das
Schiff stellte sich gegen den Wind, und beim Herab-
lassen des Batometers erreichten wir bei 690 Fuss
den Boden. Das Aufwinden des Batometers erfor-
derte ungefähr 15 Minuten. Das heraufgehobene Was-
ser war durchaus trübe, da das Batometer eine grosse
Quantität Grund mitgenommen hatte. Der Grund bil-
dete eine graue Thonmasse, in der man durchaus
keine Sandtheile wahrnehmen konnte. Eine genauere
Tome VII.
mikroskopische Untersuchung dieses Grundes muss
aber noch vorgenommen werden. Zur zweiten Füllung
wurde das Batometer nur auf 672 Fuss herunterge-
lassen, um so durchaus reines Wasser zu schöpfen.
Dieses Wasser zeigte durchaus keine Verschiedenheit
von dem Wasser der Oberfläche, so dass hierdurch
auf die unzweideutigste Weise dargelegt wird, dass
zwischen dem Boden des Ladogasees und dem arte-
sischen Brunnen in Petersburg kein Zusammenhang
existirt. Die Stellung dieser Wasserhebung war im
Meridian der Insel Müarka, 4 Meilen nördlich von
ihr, 61° 22’ nördlicher Breite und 0°24 östlich von
Petersburg. Die Temperatur des Wassers an der Ober-
fläche wurde zu + 392 gefunden, während das aus
der Tiefe + 3,8 zeigte, somit also durchaus über-
einstimmend mit dem ersten Versuche. Die Lufttem-
peratur war dabei + 875 und der Wind SSO bei be-
wölktem Himmel.
Auf der weiteren Fahrt wurde nun noch Wasser
von der westlichen Küste genommen, und zwar ge-
genüber dem sogenannten Ostermann'schen Hafen, .
der gegenwärtig sehr versandet sein soll und auf dem
6026’ nördl. Breite und 0° 48’ östlich von Petersburg
liegt. Zum Schluss wurde dann in der Nähe des
Leuchtthurms Koschkin Wasser geschöpft, um somit
gleichsam das Wasser zu erhalten, das nach Mischung
aller verschiedenen Zuflüsse zum ctn durch
die Newa weggeführt wird.
Jetzt bliebe nur noch übrig, aus dem südöstlichen
und óstlichen Theile des Ladogasees Wasser zu er-
halten, um durch die Untersuchung desselben den
Einfluss des Wolchow's und Swir's festzustellen. Diese
Proben werden mir verschafít werden, und zwar
Dank der Zuvorkommenheit des Capitains des Dampf-
schiffes Ladoga A. D. Kostin und durch den Chef der
Küsten-Aufnahme Stabs-Capitain A. P. Andrejew.
Zum Schluss glaube ich noch hervorheben zu müs-
sen, dass es in meteorologischer Hinsicht von beson-
derer Wichtigkeit würe, wenn auf der Insel Walamo
und in Pitkaranta regelmüssige Beobachtungen aus-
geführt würden. Seit einer Reihe von Jahren werden
schon auf Walamo vom Mónche Pamba Beobachtun-
gen ausgeführt und aufgezeichnet, doch dieselben ha-
ben erst seit den drei letzten Jahren einen Werth,
nachdem nämlich der Stabs- Capitain Andrejew, so
viel in seinen Kräften stand, die dortigen Beobach-
33
515
Bulletin de l’Académie Impériale
516
tungs-Arten ordnete und auf sichere Grundlagen zu-
rückführte. Nach dem Ausspruche des Stabs-Capi-
tains Andrejew wäre es sehr wünschenswerth, wenn
man das Kloster Walamo mit den zu meteorologi-
schen Beobachtungen nôthigen Instrumenten ver-
sorgte, da im Kloster gewiss alle Beobachtungen mit
der grössten Genauigkeit ausgeführt werden würden.
Kurze Notiz über eine sogenannte Beleuch-
tungsnaphta, von J. Tuttschew aus Kiew.
(Lu le 17 juin 1864.)
In letzter Zeit sind in Kiew zwei neue Sorten Be-
leuchtungsmaterial im Handel erschienen. Die eine,
welche, wie man sagt, nichts anderes als amerikani-
sches Petroleum ist, wird unter dem Namen Curas-
sine verkauft, die andere unter dem Namen Beleuch-
tungsnaphta. Diese letztere unterwarf ich kürzlich
einigen Untersuchungen.
Die Beleuchtungsnaphta erscheint bei gewöhnli-
‘cher Temperatur als farblose, durchsichtige, sehr
bewegliche Flüssigkeit und besitzt einen besonderen
Geruch. Ihr specifisches Gewicht fand ich bei +
17%, C = 0,7536. Bei + 72°C fängt sie schon an zu
destilliren, hat aber keinen constanten Siedepunkt.
Ihre Dämpfe, mit Luft vermischt, explodiren bei Be-
rührung mit der Flamme. Metallisches Natrium bleibt
selbst in siedender Beleuchtungsnaphta ohne merk-
bare Veränderung.
Bei 3 Analysen) bekam ich folgende Resultate:
I. 0,264 Grm. Beleuchtungsnaphta gaben 0,334
Wasser und 0,825 Kohlensäure.
II. 0,285 Grm. gaben 0,353 Wasser
Kohlensäure. :
IIT. 0,271 Grm. gaben 0,844 Wasser
Kohlensäure.
Dies entspricht in Procenten:
und 0,891
und 0,845
TIT.
.85,08
.14,10
99.18
I II.
Kohlenstoff. . .. . 85,05....85,26...
Wasserstoff.. ...14,06..., 14,04...
99.11 99,30
bekam
er 0,216 Grm. Wasser und 0,562 Grm. Kohlensäure, was 41,80%, C,
Wenn man, gestützt auf das Verhalten der Be-
leuchtungsnaphta zum Natrium, den constanten Ver-
lust dem Fehler der Experimente zuschreibt, so kann
man annehmen, dass die untersuchte Flüssigkeit fol-
gende procentische Zusammensetzung hat:
Kohlenstoff. .......... 86,00
Wasserstoff. ..... Shen ECH
100.
Diese Annahme führt zu der Formel C,H,. Dass
einige Naphtasorten in der Natur wirklich solche Zu-
sammensetzung haben, ist von Blanchet und Sell,
Hermann, Hess und anderen Chemikern constatirt,
Um näher kennen zu lernen, welche Kohlenwasser-
stoffe von der allgemeinen Formel C,H, in der Be-
leuchtungsnaphta sich finden, unterwarf ich dieselbe
der fractionirten Destillation, bei welcher es mir aber
nicht gelang, ein Product von constantem Siedepuncte
zu erhalten. Bis 210? C. gingen farblose Producte
über, bei hóherer Temperatur aber gelb und braun
gefürbte. Das specifische Gewicht von verschiedenen
Destillationsproducten war desto grösser, je höher
die Temperatur war, bei welcher sie übergingen; man
ersieht dies aus folgender Tabelle:
pred VK di S Siedepunct. S iof m Siedepunct. el
133/,°C. 183/? C. 1824" C.
bis 75° 0,695| 90— 95° 0,733 1110—115°| 0,755
75—80 |0,707| 95-100 0,734 |115—120 |0,760
80—85 | 0,711|100—105 | 0,740 120-125 0,763
5—90 | 0,731 105-110 | 0,742
Das unter 75° übergegangene Product wurde mit:
Salpetersäure und hierauf mit Schwefelsüure ver-
mischt, dann stehen gelassen, durch Waschen von
Säure befreit und mittelst Chlorcaleium entwässert.
Nach der Entwässerung wurde es noch einmal destil-
lirt, wobei es grósstentheils zwischen 65 — 74° über-
ging. Bei der Analyse desselben bekam ich folgende
Resultate: i
I. 0,218 Grm. gaben 0,308 Grm. HO und 0,677
Grm. CO,.
II. 0,319 Grm. gaben 0,440 Grm. HO und 0,944
Grm. CO.
517 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 518
Berechnet in Procenten giebt dies: L IL
S Die Temperatur bei der Wägung 16° 15?
r eg Die Temperatur bei der Zuschmel
Kohlenstoff. . . . . 84569... 2. : 84,98 d p G T o 177°
Wasserstoff. . ... 5695-65 15,32 i
Wasserstoff —- viens Gewicht der Dämpfe 0,481 Grm. 0,655 Grm.
Das specifische Gewicht der Dämpfe fand ich — | Die Capacität des Ballons 290c.c. 433 c.c.
3,21. Es wurde nach der Methode von Dumas be- | Barometerstand bei 0° 745m.m. 744m.m.
stimmt und aus folgenden Versuchsresultaten berech-
net:
Die Temperatur bei der Wägung EIER
Die Temperatur bei der Zuschmelzung = 161°C.
Das Gewicht der Substanz — 0,214 Grm.
Die Capacität des Ballons == 160 cub.c.
Die rückständige Luft mx 12,2 ent, c.
Barometerstand bei 0° — 747 mm.
Das bei der fractionirten Destillation zwischen
105 — 110°C. Übergegangene wurde mit ”, seines
Volums Salpetersäure von 1,5 spec. Gew. vermischt,
nach Verlauf von 24 Stunden zu dieser Mischung ein
der angewendeten Salpetersäure gleiches Volum von
Schwefelsäure hinzugefügt, und nach einiger Zeit die
obere ölartige Schicht von den Säuren abgegossen.
Aus der unteren säurehaltigen Schicht schied sich
beim Vermischen mit Wasser eine krystallinische Sub-
stanz ab. Die abgegossene obere Flüssigkeit wurde
vermittelst Wasser und Soda abgewaschen, dann
durch Chlorcaleium entwässert und destillirt, wobei
der grösste Theil derselben zwischen 100 — 105°
überging. Die Analysen dieses Productes gaben fol-
gende Resultate:
I. 0,280 Grm. gaben 0,383 Grm. HO und 0,870
Grm. CO..
0, 229 Grm. gaben 0,318 Grm. HO und 0,711
"ees CO,.
0,319 ce gaben 0,437 Grm. HO und 0.986
Ga CO..
Dies entspricht in Procenten:
II.
III.
I. II. III.
Kohlenstoff... ... 84,74....84,67....84,30
Wasserstoff. ....15,19....15,49....15,22
Das specifische Gewicht der Dämpfe dieser Ver-
bindung wurde aus den Resultaten der folgenden nach
der Dumas'schen Methode ausgeführten Versuche be-
rechnet. :
Specif. Gewicht der Dàmpfe — 3,72 3,77
Die Resultate dieser Untersuchungen können nicht
zu guten Formeln führen, aber sie stimmen gut mit
Untersuchungen von Dr. Eisenstuck über die Koh-
lenwasserstoffe überein, welche den Hauptbestand-
theil des in Sehnde bei Hannover vorkommenden
Steinóls?) ausmachen. Ich habe einige Gründe zu
glauben, dass die von mir untersuchte Beleuchtungs-
naphta aus Galizien stammt, bis jetzt aber habe ich
keinen Beweis gefunden, dass sie Homologen von
Phenylsäure enthält, wie Herr Pebal meint‘).
Bei Durchleitung der Dämpfe der Beleuchtungs-
naphta durch ein glühendes, mit Bimstein gefülltes
Rohr bekommt man Gase und ein theerartiges Pro- .
duct, welehes Benzin enthàlt. Ein Gramm Naphta
giebt ungeführ ein Liter Gas. Dieses Gas zeigte fol-
gende Zusammensetzung: 365,18 vol. Gas enthiel-
ten keine Spur von Kohlensäure, 6,43 vol. Acetylen,
74,93 vol. von Elayl und seinen Homologen, und
283,22 Rückstand, welcher wahrscheinlich aus Sumpf-
gas und Wasserstoff bestand. Nach Volum-Procen-
ten entspricht dies:
Acetylen..:......... 1,76
e PEU UE 20,51
Rückstand: u. 2.35 77,72
Um zu prüfen, ob das Gas wirklich Homologen
von Elayl enthält, habe ich dasselbe in Brom geleitet,
und bekam eine Flüssigkeit, welche nach passender
Reinigung farblos war, und bei 135? C. zu sieden an-
fing, deren Siedepünct aber nachher bis über 145? C.
sich erhöhte. Es ist klar, dass die bei 135° siedende
Flüssigkeit aus Elaylbromür, die bei 145? siedende
aber aus Propylbromür besteht. Wie Bauer *) gezeigt
hat, ist es unmöglich, diese beiden Körper durch
fractionirte Destillation zu trennen.
2) Annalen der Chemie und Pharmacie Bd. Se e Za
3) Annalen der Chemie und Pharmacie Bd. CXV,
4) Société chimique de Paris — Bulletin de Dead eg p. 202.
33*
519
Bulletin de l’Académie Impériale
320
Bericht über das Werk des Generals Bogdano-
witch: «Geschichte des Krieges vom J. 1813».
(Hcropis sofusı 1813-TO roga 34 HE3ABHCH-
MOCTE l'epmaxix, 2 Tomsı. Cup. 1863.) Von Fr.
v. Smitt. (Lu le 24 juin 1864.)
Der ehrenwerthe Verfasser hat uns in dieser Ar-
beit ein Werk geliefert, das sich vortheilhaft in der
Masse der über das Jahr 1813 erschienenen Schriften
auszeichnet, und sich würdig an seine Geschichte des
Jahres 1812 oder des vaterländischen Feldzugs an-
reihet. Und das ist schon ein grosser Vorzug, wenn
man bedenkt, wie viele sehr vorzügliche Werke über
die Begebenheiten des Jahres 1813 erschienen sind.
Der Feldzug von 1812 hatte nur zwei Nationen nä-
her berührt, Russen und Franzosen; der von 1813
zog in seinen Bereich, selbständig handelnd, fast alle
Europäischen Völker mehr oder minder; ein jedes
derselben hat seinen Beitrag zur Geschichte desselben
geliefert: Am meisten betheiligt waren unstreitig die
Deutschen, vornämlich die Preussen, weil es um ihr
Sein oder Nichtsein ging; sie haben denn auch am un-
verdrossensten dieses historische Feld gepflügt, und
vieles Bemerkenswerthe zu Tage gefördert, aber auch
vieles, was den von ihnen so stark getadelten Dani-
lewski’schen Werken an die Seite zu setzen ist; d. h.
keine rein historischen, sondern Tendenzschriften, wo
entweder irgend eine staatliche Partei oder Ansicht,
oder der Ruhm und die Glorie der eigenen Nation
auf Kosten aller andern Mitkämpfer hoch hervorge-
hoben werden soll. Der gewissenhafte Historiker darf
nie einem von ihnen beigebrachten Faktum trauen,
darf sich nie auf ihre Führung verlassen, weil es ih-
nen nicht um die reine Wahrheit, sondern um ihre
besonderen Zwecke zu thun ist, die sie eben so gut ha-
ben, wie Danilewski sie hatte, nur in einer andern
Richtung. Jedesmal wenn der Verfasser sie eitirt,
durchzuckte uns die Besorgniss, er würde sich durch
sie in irgend einen Sumpf führen lassen; fanden wir
dagegen die Plotho, Pertz, Hofmann, die Verfas-
ser der Geschichte der Kriege in Europa (Schütz
und Schultz) angeführt, so waren wir ruhig; denn diese
konnten sich wohl hier und da irren, und haben
sich geirrt, aber ihre Absichten waren redlich, es war
ihnen um die Sache selbst und die Wahrheit zu thun,
nicht um Parteizwecke; sie konnten also nie auf Ab-
wege leiten. Der Verfasser hat sich gut gehütet; doch
hätten wir bisweilen gewünscht, dass er den gehässi-
gen Insinuationen der ersteren gegen Russland hier
und da mannhafter entgegen getreten wäre, Die Her-
pen schrieben alle in den 30er und 40er Jahren,
wührend der Regierung des Kaisers Nikolaus; und da
war es Sitte im Ausland, seinen Grimm und Hass ge-
gen das absolutistische Russland irgendwie auszu-
lassen.
Es giebt eine doppelte Art, die Kriegsgeschichte,
wie überhaupt alle Geschichte zu bearbeiten. Alles,
was auf Erden geschieht, ist erst im Geist entstanden,
spirituell vorbereitet und durchgearbeitet worden; je-
de That hat ihre vorangehenden Gedanken und Er-
wügungen im Geiste; die That ist nur die Offenba-
rung dieser innern Vorgünge des Geistes. Die Rei-
henfolge der Thaten weiset zurück auf die Reihenfol-
ge der Gedanken; jeder aus dieser Reihenfolge zu
Tage tretende Gedanke lässt die vorhergegangenen
leicht errathen, und auf die nächstfolgenden schliessen.
So geht in dem, was geschieht, ein doppelter Strom
durch, einerseits von Gedanken, Vorsätzen, Planen
und Entschlüssen; andererseits von Ausführungen,
Thaten und Handlungen; dort ein ganz geistiger, hier
ein materieller. Jenen geistigen Strom nun in seinen
Urspüngen zu erforschen, in seinen Fortgüngen zu
verfolgen, in allen seinen Manifestationen zu errathen,
seinen ganzen natürlichen Lauf zu überschauen und
offen darzulegen: das ist die Aufgabe der grössern
Geschichtschreiber, der Thucydides, Polyb, Taci-
tus, Macchiavelli. Mit divinatorischer Kraft wissen
sie die Gemüther der Handelnden zu durchdringen
und die geheimen Gedanken und Motive, die ihre Hand-
lungen erzeugten, uns vor Augen zu führen. Diese
Aufgabe ist unstreitig eine höchst schwierige; aber
darin bewührt sich eben die überlegene geistige Kraft
des Historikers, der, nach dem gangbaren Ausdruck,
zwischen den Zeilen lesen muss, der, gleichwie Cuvier
aus einem gebotenen Knochen die ganze Gestalt con-
struirte, aus einem Endchen der Handlungsweise auch
den Gedanken erräth, der sie eingab, und uns eine
vergeistigte Geschichte gibt, wo die Ideen, Motive,
Absichten und Pläne, kurz das ganze innere Getriebe,
das die Thaten und Handlungen hervorruft, aus ihren
geistigen Hintergründen uns klar vor die Augen ge-
rückt wird. Das ist die eigentlich belehrende, unter-
richtende, anziehende Seite der Geschichte; denn alle
521
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
522
geistigen und moralischen Vorgünge im Menschen in-
teressiren uns, reizen uns, einen Blick in unser eige-
nes Innere zu thun, zu vergleichen, zu urtheilen, kurz
zu denken. Die äusseren materiellen Thaten, ohne den
geistigen Hintergrund, erzeugen nur eine vorüberge-
hende Neugier und regen weiter nicht an. Die schón-
ste Aufgabe des Schriftstellers aber ist, anzuregen und
zum Denken zu reizen. i
Eine andere Art der Geschichtsdarstellung hält sich
mehr an den zu Tage tretenden Strom der Begeben-
heiten, an das Materielle, die äussere That; verzeich-
net genau und korrekt, was geschehen ist, und über-
lässt es meist dem Leser, die geheimen Hintergründe
aus den Thaten selbst zu errathen, indem sie hin und
wieder ein bezeichnendes Wort, irgend ein Dokument,
oder eine Andeutung über Absicht und Plan gibt,
aber sich fast jedes Urtheils enthält. — Unstreitig,
diese Art der Geschichte hat auch ihre Vorzüge, sie
ist weniger Irrthümern und Fehlschlüssen unterwor-
fen; sie ist, gut ausgeführt, die eigentliche objektive
Geschichte. Sie urtheilt nicht, gibt aber die Fakta.
Ihre Vorzüge bestehen nun in der richtigen Auswahl
der Fakta, in dem nicht zu viel und nicht zu wenig,
in ihrer geschickten Zusammenstellung, welche eine
leichte Übersicht des Ganzen erlaubt, und zugleich
dem des Denkens Gewohnten die Mittel gibt, auch
das Nichtgesagte zu errathen, und die innere Geschich-
te zu durchdringen, welche jene Thatsachen zu ihren
Äusserungen gehabt. — Zu einer solchen objektiven
Geschichte gehört auch viele Begabung, ein sicheres
Urtheil, ein feinfühlender Takt, um das Nöthige zu
sagen und nicht mehr; darum sind diejenigen leicht
zu zählen, die sich in dieser Art der Geschichte aus-
gezeichnet haben.
Die dritte Art der Geschichtsschreiber (oder sollen
wir sie lieber Handlanger nennen?) ist diejenige, die
mit emsigen Sammlerfleisse Dokumente und Thatsa-
chen sammelt, an einander reiht, sie so gut es geht
verknüpft, obgleich sie das unsichtbare geistige Band,
das sie alle hält und vereint, nicht zu errathen ver-
mag. Auch diese Art der Geschichtsdarsteller, die
Plotho, die Ludwig Lüders, Sporschill, haben ihr
Verdienst; sie liefern die Steine, das Material für den
künftigen Bildner, um einen Kunstbau aufzuführen.
Die verwerflichste, widerwärtigste Art von Ge-
schichtsdarstellern aber ist diejenige, die ihre Passio-
nen, ihre Tendenzen, ihren Egoismus, wie ihren soge-
nannten Patriotismus in anspruchsvollen Geschichts-
werken vorbringt; hier verschwärzt, dort zusetzt oder
erfindet; ihre Bevorzugten, seien es nun Individuen,
Völker oder Parteien, hoch erhebt, ihre Verhassten,
wo sie kann, niedertritt und ihnen jedes Verdienst
abzwackt; bei jenen alles rosenroth sieht, bei diesen
nur schwarz oder grau: kurz, die die Geschichte zum
Ausdruck und Tummelplatz ihrer erbärmlichen Lei-
denschaften macht. Ein solcher Geschichtsschreiber
war allerdings Danilewski, auf den so viele deut-
sche Historiker nicht Steine genug werfen können;
doch sollten sich die Eifrigsten unter ihnen in Acht
nehmen, dass man ihnen nicht die gleiche Anmaass-
lichkeit, die gleiche tendenziöse Manier der Darstel-
lung nachwiese. — Der Leser erkennt sofort auf den
ersten Blättern, mit welcher Art von Geschichtschrei-
bern er es zu thun hat, und wirft die letztern, wenn
er nicht Gesinnungsgenoss ist, oder nothwendige Auf-
klärung über gewisse Fakta sucht, bald weg. Der
tendenziöse Schriftsteller stösst überall zurück. Wer
greift jetzt noch zu dem einst so gefeierten Dani-
lewski, der in seinem Wahn das Urtheil der Nach-
welt zu bestimmen glaubte! ')
In welche Art oder Klasse von Geschichtschreibern
reihen wir nun den Verfasser des vorliegenden Werks
ein? Unbedenklich in die zweite, in die der objekti-
ven Geschichtsdarsteller. Er hält mit seinem Urtheil
zurück, begibt sich nicht auf das ungewisse Meer
der Gedanken, in die Erforschung tief verborgener
Motive, Absichten, Zwecke, kurz jenes geistigen Rä-
derwerks, dessen innere Bewegungen die äussern ma-
teriellen Thaten zur Folge haben: er gibt uns dafür
eine urkundliche, sichere, wahrheitstreue, nach sorg-
fältigen Forschungen in den besten Quellen angestellte
Geschichtserzählung, ohne nationale noch Parteifär-
bung, auf die wir bauen können, die wir dreist eitiren,
deren Angaben wir zu Grunde legen können: denn
auf jedem Blatte seiner Arbeit offenbart er seine Un-
befangenheit, seine Unparteilichkeit, seine Wahrheits-
liebe, die auch das nicht verschweigt, was man nicht
gern hören mag; — ja diese Scheu, nicht in die Feh-
ler seines so viel geschmäh’ten Vorgängers zu verfal-
len, geht so weit, dass er nicht dreist genug den von
1) Er äusserte das unverhohlen.
523
Bulletin de l’Académie Impériale
524
den Gegnern seines Vaterlandes gegen dasselbe ge-
schleuderten Verläumdungen entgegentritt und ihren
Ungrund enthüllt. So ist’s z. B. mit der absurden
Behauptung, Russland habe, nach Schluss des Feld-
zugs von 1812, erobernd gegen Preussen auftreten
und sich Ostpreussen aneignen wollen 2), — Der Schrei-
ber dieses lebte damals an verschiedenen Orten im
Lande, zuletzt im Heer, kennt sehr genau die damals
herrschenden Gedanken; und diese gingen alle auf
Freundschaft, auf Bund mit Preussen; er erinnert
sich, mit weleher Liebe und Aufmerksamkeit man die
wenigen Preussischen Gefangenen in den Städten be-
handelte, wie man sie mit der Aussicht tróstete, bald
ihre Freiheit zu erhalten, indem jetzt, nach glücklicher
Wendung der Dinge, Russland und Preussen vereint
gegen den Weltbedrücker handeln würden. Nach die-
sen eigenen Erfahrungen, nach den Äusserungen, die
er nachmals aus dem Munde der bedeutendsten Per-
sonen vernommen, die zu jener Zeit in Wirksamkeit
gewesen, hat ihn jene abgeschmackte Verläumdung
Preussischer Darsteller immer tief verletzt. Wenn
sie nicht durch die in ihren Werken vorherrschende
tendenziöse Richtung hervorgerufen ist, so könnte
folgender Umstand vielleicht die Erklärung geben. Im
Jahr 1810 war der Italienische Marchese Paolucci,
oder wie er sich später nannte Paulucci, aus dem
Östreichischen Dienst in den Russischen getreten.
Alle vor Napoleon und seiner Tyrannei sich flüch-
tenden Offiziere wurden in Russland mit offenen Ar-
men aufgenommen und angemessen verwendet. Pau-
lucci war ein Schwadronneur, ein Fanfaron im höch-
sten Grade, ungefähr in der Art wie der ehrliche
Crossard, der uns in seinem sechsbändigen Memoi-
ren-Werke zu verstehen gibt, welch’ unermessliches
Genie man in ihm verkannt habe, denn alle Grosstha-
ten, alle die kühnen, glücklichen, genialen Gedanken
und Manöver, welche die Welt bewundert, von Novi
angefangen bis zu den Flankenmärschen bei Mos-
kau und auf Paris, seien zuerst von ihm einge-
geben worden; kurz er will uns in seinen Memoiren
beweisen, dass er ein noch bei weitem grösseres Ge-
2) Man lese darüber nur Friccius, Droisen, Beitzke, Bern-
hardi. — Dieser Verdacht war damals unter den Preusseu sehr all-
gemein. Pertz (III. 300) deutet an, dass selbst die Umgebungen des
Königs davon angesteckt waren. — Dieser unselige Verdacht er-
zeugte viele Hemmungen in den Geschäften und Operationen.
nie gewesen sei als Bonaparte selbst; — nur ein
übler Umstand ist dabei, dass er es ist, der es uns
sagt. In der Art war auch Paulucci. Er hatte alles
errathen, vorausgesagt, angegeben, wichtige Thaten
gethan, war aber nicht gehörig erkannt und gewür-
digt worden; später noch, als er im Kaukasus verwen-
det worden war, sprach er von seinen vielen grossen
Siegen über die Perser, von denen aber niemand et-
was vernommen hatte. Nun dieser rührige, sich über-
all vordrängende, grosssprecherische Paulucci war
an des wackern Essen Stelle zum Kriegsgouverneur
in Riga ernannt worden. In seiner unruhigen Thätig-
keit brannte er, sich durch irgend etwas auszuzeich-
nen; und da das Französische Heer überall im Rück-
zuge war, unternahm er es auf eigene Hand, Erobe-
rungen für Russland zu machen, marschirte nach dem
nahen Memel und nahm die Stadt für Russland in
Besitz. — Sobald die Klage darüber an den Kaiser
Alexander gelangte, wurde Paulucci alsbald von
da zurückgerufen und erhielt für seine Eigenmächtig-
keit einen derben Verweis. Die That war aber ge-
schehen, und die Gegner Russlands fanden nun eine
treffliche Handhabe zu ihren Beschuldigungen gegen
Russische Raub- und Ländergier, die auch ihr liebes
Ostpreussen habe verschlingen wollen. Auf diese ver-
einzelte Thatsache gründen sich nun alle Deklama-
tionen und weitläuftigen Deduktionen der Friccius,
Droisen, Bernhardi, dass Russland nach dem 12er
Kriege, Ostpreussen habe für sich nehmen wollen.
Friceius (S. 56), der Vorkämpfer in diesen Reihen,
führt ausser Paulucci’s Expedition noch folgende
Gründe des Verdachts an: 1) dass Wittgenstein nach
der Kapitulation von York befehlend eine gemein-
schaftliche Wirksamkeit gefordert; 2) dass Tschern y-
schew am 12: Januar Bülow's Kavallerie überfallen
und gefangen gehalten; 3) dass Kutusow befohlen,
zur Blockirung von Thorn und Danzig nur Russische
Truppen zu verwenden; und 4) dass Russische Gene-
rale Hoffnungen zu Dotationen, nach Französischer
Weise, in Ostpreussen gehabt haben sollen. — Je-
ne Anordnungen, erklürlich aus dem Umstand, dass
damals noch nichts mit Preussen abgeschlossen war,
so wie die argwöhnischen Einbildungen unter N° 4
stellt er dann als positive Beweise hin, aus denen er
weiter folgert und schliesst. — Wir hütten nun gern
gewünscht, dass unser Verfasser in seiner Erzählung
525
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
326
den Ungrund dieser Anklagen gezeigt hätte, wie es so
leicht war nach der eigenen Korrespondenz, die da-
mals zwischen den beiden Monarchen Alexander und
Friedrich Wilhelm statt fand; er geht aber still
darüber weg, was den Russland - Feinden Grund ge-
ben wird, in ihren Beschuldigungen zu beharren oder
sie zu erneuern: «sintemal der offizielle Geschicht-
schreiber Russlands selbst kein Wort zu deren Wi-
derlegung hat, so müssen sie unzweifelhaft wahr sein».
Das vorliegende Werk ist eine Kriegsgeschichte:
das kriegerische Element muss daher neben dem his-
torisch - politischen vornämlich hervorgehoben wer-
den. Aber wenn vom kriegerischen Element, von
Kriegskunst und Kriegswissenschaft die Rede ist, so
fragt sich’s, zu welcher Schule gehört der Verfasser,
aus welchem Gesichtspunkt betrachtet und beurtheilt
er die Begebenheiten: steht er auf dem Boden des sie-
benjährigen Kriegs? ist er Bülowianer? oder Anhän-
ger vonJomini, vom Erzherzog Karl, oder von Clau-
sewitz? Alle diese haben ihre Anhänger gehabt oder
haben sie noch; ihre heissen Schüler, die auf’s Wort
des Meisters schwören. Der Verfasser, Lehrer der
Kriegswissenschaft an der Militair-Akademie in St. Pe-
tersburg, hat sich frei von allen Systemen erhalten,
und dafür danken wir ihm; nichts Widerwärtigeres,
als wenn z. B. die Buturline, die Okunew etc. uns
die Begebenheiten nach Jomini'schem Schnitt zu-
schneiden und beurtheilen; jeder, der Jomini kennt,
sieht alles voraus, was sie sagen und sagen werden,
was einem Leser, der Belehrung sucht, eben keine
angenehme Perspektive darbietet.
Man erlaube uns, ehe wir weiter gehen, einen kur-
zen Blick auf die Strategie und ihre Entwickelung
zu werfen, da von ihr doch hauptsächlich die Erfolge
des Kriegs abhingen, und sie gerade in diesem Feld-
zuge von 1813 einen bedeutenden Umschwung erlitt;
worauf der Verfasser zu wenig aufmerksam gemacht
hat. Dieser Überblick wird uns zugleich in militairi-
scher Hinsicht auf den rechten Standpunkt stellen,
aus dem wir die kriegerischen Begebenheiten dieses
Feldzugs zu beurtheilen haben.
Strategie, Feldherrnkunst in weitester Bedeu-
tung‘), hat es immer gegeben, so lange mehr vorge-
3) Wir nehmen hier Strategie im weiteren Umfange, und nach
schrittene Volker Kriege geführt; nur war sie jedes-
mal auf die Bedingungen der Zeit, der Waffen, der
Ausrüstung, und den Grad der Civilisation be-
gründet. Epaminondas, Philipp, Alexander der Grosse,
Hannibal, Scipio, Cäsar, Belisar: sie alle waren nicht
bloss Taktiker, sondern auch Strategen, unter den Be-
dingungen ihrer Zeit und ihrer Waffen. — Mit den
Feuerwaffen beginnt aber ein anderer Kreis von Be-
dingungen zu den Feldzügen. Die Feuerwaffen machen
einen grossen Tross nothwendig: man muss eine Masse
von Geschossen für die Feuerwaffen mit sich führen;
dazu gehóren viele Wagen, Zugthiere und Treiber;
die somit vergrösserte Masse von Verzehrern erzeugt
das Bedürfniss mitzuführender reichlicher Verpfle-
gungsmittel. Damit wüchst der Tross; die Bewegungen
der Heere werden schwerfälliger und wegen ihrer
grössern Ausdehnung leichter angreifbar. Damit tritt
zugleich eine neue Art von Berechnung ein: seinem
eigenen Heer eine reichliche Verpflegung zu sichern,
dem Gegner die Verpflegmittel und die Gegenden und
Orte zu entziehen, woher er sie schöpft. Der Feld-
herr hat also jetzt nicht allein zu erwügen, wie er dem
Feinde am vortheilhaftesten beikommen und ihn schla-
gen kónne, und welche Mittel zur Erlangung des Siegs
er zu ergreifen habe; sondern auch dafür zu sorgen,
wie er sein Heer mit Sicherheit nähren, verpflegen
und dessen Waffen immer mit einem reichen Vorrath
von Geschossen und sonstigem Kriegsbedarf versehen
kónne. So wachsen mit den Feuerwaffen, mit dem ver-
grösserten Train und Tross, auch die Sorgen, die Be-
rechnungen, die Anstrengungen des Geistes für den
Feldherrn. Seine Waffen, besonders die schweren, die
Geschütze, müssen immer einen reichen Vorrath zu
ihrer Speisung haben, wenn sie nicht unwirksam wer-
den sollen; Pferde und Menschen wollen leben, be-
dürfen also zureichender Vorräthe zu ihrem Unterhalt;
der zahlreiche Abgang der Kranken und Verwundeten
muss untergebracht, die gemachten Gefangenen in Si-
cherheit gesetzt werden: das erzeugt neue Sorgen,
Verlegenheiten und Bedürfnisse. Um das Heer nicht
mit einer Unmasse von Vorrüthen aller Art zu über-
laden und es dadurch fast unbewegbar zu machen,
muss man darauf sinnen, sichere, in der Nähe befind-
er eigentlichen Bedeutung des Worts als‘ Feldherrn- oder
Kriegführungskunst überhaupt; nicht nach dem beschränkten
Bülow’schen Begriff.
327
Bulletin de l’Académie Impériale
328
liche Orte zu haben, wo man den grössten Theil sei-
ner Vorräthe niederlegen, und wo man die nöthigen
Gegenstände nach Maassgabe des Bedürfnisses entneh-
men könne. Diese Orte müssen gehörig gedeckt sein,
dass nicht irgend eine feindliche Partei sie leicht weg-
nehmen könne; müssen also befestigt sein oder befes-
tigt werden; — die Verbindung mit ihnen muss be-
quem und ungefährdet sein, da ein ewiger Zug von
ihnen und zu ihnen in Bewegung ist: von ihnen die
Vorräthe; zu ihnen die leeren Wagen, die Kranken,
Verwundeten, Gefangenen. Es entsteht also die neue
Sorge, diese Verbindung immer intakt zu erhalten: denn
wenn diese Zufluchts- und Verpflegungsörter dem Heere
genommen werden, so geräth das Heer selbst in die
grösste Noth und Verlegenheit. — Im fremden Lan-
de findet man nun wohl Verpflegmittel, nicht aber
die Speisungsmittel der Feuerwaffen, den Schiessbe-
darf, die Verstärkungen an Mannschaft, die bei fort-
gesetztem Kriege nicht zu entbehren sind; man muss
also sichere Wege und Verbindungsmittel mit seinem
Heimathslande haben; so wachsen mit dem weitern
Vorschreiten, mit der Entfernung vom Hause die zu
bewachenden Linien und Punkte: man muss also ne-
gativ seine eigenen Verbindungen sichern, positiv die
feindlichen aufheben und zerreissen, und endlich seine
Kriegsentwürfe so treffen, dass sie die entschiedensten
Folgen haben, d. h. dem Feinde nicht nur an Mann-
schaften fühlbare Verluste verursachen, sondern ihm
auch seine Verpflegs- und Niederlagsorte, mit einem
Wort, seine Basis, wie man sie genannt hat, rauben.
Wir haben nur in wenigen allgemeinen Zügen die
Sorgen und Zwecke, die dem Feldherrn obliegen, an-
gedeutet, und die in ihrem Ganzen und Zusammenhang
die Wissenschaft der heutigen Strategie bilden. Sie
erwachte und entstand mit den ersten grösseren Feld-
zügen ansehnlicherer Heere in die Ferne; hauptsäch-
lich seit den Feldzügen der Franzosen und Spanier
am Ende des 15ten und mit Beginn des 16ten Jahr-
hunderts in Italien; Italien hat auch von je her, sel-
ber waffenschwach, die grössten Kriegsmeister her-
vorgebracht, und die Pescara, Alexander Farnese
und Bonaparte sind von denen keines andern Volks
übertroffen worden. Als Ziele standen fest: den Feind
zu schlagen, oder ihn seiner Verbindungen zu berau-
ben; unzählige Modificationen, wie dieses zu bewir-
ken, waren damit zugleich angedeutet. So entstanden
denn verschiedene Kriegmanieren und Manöver. Hier
in der Strategie bringt eine neue, fruchtbare, schöpfe-
rische Idee grössere, folgenreichere, entscheidendere
Wirkungen hervor, als irgendwo anders; eine einzige
solche Idee reicht hin, ihren Schöpfer und ersten An-
wender unsterblich zu machen. So ward es Epami-
nondas durch seine schiefe Schlachtordnung und den
verstärkten Flügel; Hannibal durch den Gedanken,
den Feind im eigenen Lande aufzusuchen, ihn durch
Reiter-Angriffe auf den Flügeln und im Rücken in
Verwirrung zu bringen und zu schlagen; — kurz je-
der der grösseren Feldherrn trat mit irgend einer
eigenthümlichen Idee hervor, deren glückliche Anwen-
dung ihm dann einen grossen Namen machte. — Die
Haupt- und entscheidenden Ideen können hier nur
wenige sein, und laufen meist alle darauf hinaus, die
Schwäche des Gegners zu erfassen und zu benutzen,
um den Sieg über ihn zu gewinnen; die Schwächen
des Heers aber sind dieselben, wie die des einzelnen
Menschen, die Seiten oder Flanken und der Rücken;
von vorn ist Mensch und Heer stark, im Rücken und
auf den Seiten schwach. Seiten und Rücken sind also
zu gewinnen, und, in Folge der oben angeführten Be-
trachtung, auch die Verbindung des Gegners mit den
Orten, die ihm seine Verpflegmittel und Schiessbedürf-
nisse liefern, weil er, dieser beraubt, schwach und ent-
waffnet wird; sodann hat man zu suchen, ihn in vor-
theilhafter und entscheidender Weise anzugreifen und
zu schlagen; die vortheilhafteste oder entscheidendste
Weise aber ist: wenn der Feind in Folge.seiner Nie-
derlage zugleich von seinen Verbindungen abgedrüngt
oder gar auf unübersteigliche Hindernisse hingedrängt
wird, wo er nicht weiter kann, wie z. B. das Meer,
ein steiles Gebirge oder eine neutrale Gränze. — Um
und in diesem Kreis drehen sich alle die Gedanken
und Ideen des Feldherrn; der positive Kreis dieser
Ideen ist demnach bald erschópft, es kómmt nun auf
glückliche Modificationen derselben an; also auf Scharf-
blick und Genie in Erfindung, auf Feuer und Kraft
in der Ausführung neuer Kombinationen an.
Die frühern Feldherrn seit dem 15ten und 16ten
Jahrhundert schópften ihre Ideen über Krieg und
Kriegführung meist aus dem Studium der Alten, vor-
nümlich der Rómer; und Macchiavelli's Kriegskunst
(um 1520) basirt fast nur darauf; — die spütern Feld-
herrn dagegen stützten sich in Folge der veründer-
529
des Sciences de Saint- Petersbourg.
530
ten Waffen und Zeitumstände mehr auf die Beispiele
ihrer nächsten Vorgänger. Jedes Zeitalter glaubt wei-
ter zu sein, als das nächst vorhergegangene, und ist
es auch meist; jedes stützt sich auf dasselbe und ent-
nimmt ihm seine Mittel, Manieren; mit dem Vor-
behalt, sie zu erweitern und zu vermehren. — Fried-
rich der Grosse schöpfte seine Kriegsweisheit aus dem
Studium der grossen Feldherrn Ludwig’s XIV, der
Turenne, Cond& und Luxembourg; Folard brachte
ihn durch die Anpreisung des Epaminondas auf seine
schiefe Schlachtordnung, mit welcher er wie Epami-
nondas, indem er einen Flügel versagte und den an-
dern verstärkte, seine schönsten Siege gewann, wie
bei Prag und bei Leuthen. — Das Überflügeln und Um-
fassen einer Seite oder eines Flügels ward nun die
herrschende Idee der Kriegskunst; — Carnot wollte
sie im Revolutionskriege damit überbieten, dass er
das Überflügeln und das Umfassen auf beide Flügel
ausdehnte, zu welcher, grosse Streitmittel erfordernden
Maassregel ihm die Schreckensherrschaft in Paris die
nöthigen Mittel verschaffte. So gefährlich die Maassre-
gel an sich war, so brachte sie doch in der ersten
Zeit ihrer Anwendung ungeheure Wirkungen hervor,
weil ihr gegenüber nur kleinmüthige, ideenarme, im
hergebrachten Schlendrian befangene Feldherrn auf-
traten. Schon im siebenjährigen Kriege, vornämlich
aber um diese Zeit kam die ängstliche Besorgniss auf,
umgangen zu werden; der Ruf: «wir sind zwischen
zwei Feuern» reichte hin, die grössten Streithaufen
zum Rückzug zu bewegen; und was vor allem von je-
nen Routine-Feldherrn gefürchtet wurde, war: «zwi-
schen zwei Feuer zu kommen»; und der höchste Auf-
schwung ihrer Kriegsweisheit ging dahin, «den Feind,
wie sie es nannten, zwischen zwei Feuer zu bringen».
Da trat endlich im Jahr 1796 derjenige Feldherr
auf, der diesem Universalmittel der Gedankenlosigkeit
das rechte Gegenmittel entgegenstellte und jenem da-
mit seinen Nimbus raubte. Es war Napoleon Bona-
parte, damals 26 Jahr alt, — und die Strategie er-
wachte aus dem Schlummer, in den sie besonders in
der letzten Zeit eingelullt war. Als die vereinten Öst-
reicher und Sardinier, Beaulieu und Colli, ihn in die
Zwicke zwischen ihre «zwei Feuer» nehmen wollten,
zog er sein Heer dicht zusammen, brach in der Mitte
zwischen ihnen durch, trennte sie dadurch, und indem
er den einen Theil der Getrennten durch eine geringe
Tome VII.
Macht hinhielt und beschäftigte, warf er sich mit sei-
ner Hauptmacht auf den andern, und schlug ihn in
wiederholten Schlägen vernichtend; worauf er sich
gegen den andern Theil wendete, um ihm das gleiche
Schicksal zu bereiten, dem dieser nur durch die eilig-
ste Flucht sich entzog. Das Manöver ward im Fort-
lauf desselben Feldzugs mehrmals wiederholt. Damit
war eine neue und fruchtbare Idee aufgestellt, die
über die nächsten Feldzüge entschied, und die von
Jomini in seinem System der «innern Linien» des
Weitern verarbeitet ward. Doch das Genie ist nicht
einseitig, sondern im höchsten Grade vielseitig. Napo-
leon Bonaparte hatte nicht diesen Einen Pfeil in sei-
nem Köcher, stritt nicht bloss mit dieser Einen Kriegs-
idee, sondern beherrschte sie alle, und nahm sie je
nach den Umständen und Verhältnissen hervor: bald
wandte er die Idee des Durchbrechens an; bald, wenn
die Umstände, die Verhältnisse der Streitkräfte anders
waren, die desUmgehens, des Abdrängens von den Ver-
pflegungslinien, wie bei Jena; des Drängens des Fein-
des auf unübersteigliche Hindernisse, wo derselbe die
Waffen strecken musste, wie bei Lübeck; endlich das
Richten seiner Schläge und Stösse nach dem Herz-
punkte zu, den Haupt- und Residenzstädten, die damit
auch Kopf und Herz in dem Organismus der gegen-
seitigen Staaten waren. So fruchtbar und ideenreich
sein Kopf, so kräftig und durchgreifend war sein Ka-
rakter: alles was ihm entgegentrat, ward gebrochen,
zermalmt; die Feldherrn erzitterten ihm gegenüber,
die Welt erbebte — sie ward in Fesseln geschlagen.
Das Glück machte ihn übermüthig: während er noch
den blutigsten Krieg in Spanien durchzufechten hatte,
unternahm er seinen Riesenzug gegen Russland. Er
hatte alles vorausgesehen, berechnet, erwogen, nur
Eins nicht: die Macht des Unbekannten, den Spruch
des Verhängnisses, das er stolz in seinem Wahn über
den Gegner anrief. Das Verhängniss, die Vorsehung,
Gott, sprach und entschied gegen ihn: sein Maass war
voll: Alles was er that, wandte sich wider ihn, selbst
die Fehler seiner Gegner; seine klügsten Entschlüsse
und Unternehmungen wurden auf unbegreifliche Weise
vereitelt; und dem Gegner gingen heroische Ent-
schlüsse und leuchtende Gedanken auf. — Die drei
rettenden Gedanken, die zuletzt Napoleon’s ungeheures
Heer in den Untergang brachten, waren: 1) Der Brand
und die Aufupferung Moskau's; 2) der Flankenmar sch
34
Bulletin de l'Académie Impériale
332
um Moskau nach Tarutino, mit der Bedrohung seiner
Verbindungslinie, und 3) der parallele Marsch zu Sei-
ten des französischen Heers und die unablässige, un-
ermüdliche Verfolgung durch die Kosaken. — Die
Ergebnisse davon waren: statt, wie er gehofft, in der
alten Zarenstadt reiche Wege und Mittel zum Unter-
halt seines Heers, zur Anknüpfung von Verbindungen
im Innern, zum steten Einschüchtern und Bedrohen
des Gegners zu erhalten, fand er nur eine leere Brand-
und Aschenstätte; die nüchste Wirkung davon war
einbrechender Mangel an Allem; und in Folge des
Mangels und Hungers, Zuchtlosigkeit und damit all-
mähliche Auflösung des Heers, die zuletzt, als *, des-
selben schon untergegangen, durch grimmigen Frost
auf den Gipfel getrieben und vollendet ward. — Die
unterjochte Welt athmete auf, — er aber athmete Rache!
Solches war die Lage der Dinge beim Beginn des
Feldzugs von 1813, der entscheiden musste, ob die
eisernen Ketten, welche die Welt gefangen hielten, ge-
brochen werden sollten. So gross war die Aufgabe des-
selben.
Gross war aber auch der Gedanke Alexander's I,
der es unternahm, den Anstoss zur Brechung jener
Ketten zu geben. Er allein vermochte es nicht auszu-
führen; er konnte nur helfen, beistehen, unterstützen:
um frei zu werden, war es nothwendig, dass die Vól-
ker sich selbst aufrafften, und den Kampf um Unab-
hüngigkeit oder Knechtschaft unternahmen. Dieser
Umstand hat zu einer doppelten falschen Auslegung
Anlass gegeben: hyperpatriotische Russische Schrift-
steller versicherten unterthänigst und zugleich anmaas-
send: «Alexander und die Russen haben Europa be-
freit»—als wenn sie allein in Handlung getreten wären;
— hyperpatriotische Preussen und Deutsche schrieen
dagegen: «nicht doch! wir haben uns selbst befreit!
wir haben alles gethan! wir haben die Hauptschlachten
geschlagen! wir haben den Feind auf den Feldern
von Grossbeeren, Dennewitz, an der Katzbach, bei
Wartemburg, endlich bei Leipzig überwunden, und
seine schmähliche Flucht aus Deutschland bewirkt;—
ohne uns hätten die Russen nichts ausgerichtet, und
wären durch den wiederkehrenden N apoleon bald wie-
der in ihr todtes, schneeiges, frostiges Vaterland zu-
rückgetrieben worden, und hätten vielleicht dazu noch
Theile ihrer früher erworbenen Polnischen Besitzun-
gen herausgeben müssen; wir sind es also, denen
Russland Dank schuldet, nicht wir ihm. Ja, Russland
hatte selbst im Anfange Eroberungsgelüste auf unser
Land; es wollte Ostpreussen, einen Theil von West-
preussen, kurz alles Land bis zur Weichsel für sich
nehmen. Wir hatten also eine doppelt schwierige Auf-
gabe, wir mussten diesen Gelüsten entgegenwirken,
und den Feind bekämpfen». — So die Friccius, die
Droysen, die Beitzke, Bernhardi e tutti quanti.
Gemach, meine Herren! Sie lassen es an Mässigung
und Gerechtigkeit auf beiden Seiten fehlen, vornäm-
lich Sie auf der letzteren Seite. — Wenn der flagor-
nirende Danilewski allen Ruhm der Befreiung nur
seinem Kaiser, seinem Kutusow und den tapfern
Russischen Heeren zuschreibt: so suchen Sie densel-
ben übermüssig zu verkleinern, und dagegen ihren Be-
günstigten alles Verdienst in der Sache beizumessen.—
Aber es ist keinem Zweifel unterworfen, dass ohne
den Gedanken, Willen und Anstoss Alexander's, nach
den Erfolgen von 1812, Deutschland und die Welt
vom Joche Napoleon's zu befreien, dieses noch lange
auf ihnen gelastet haben würde. Napoleon's Herr-
schaft war zu fest in Deutchland begründet: nur ver-
einte grösste Anstrengungen Aller konnten sie erschüt-
tern. Aber wie Alle zu diesem Entschluss zu bewegen,
da Napoleon's moralische Herrschaft noch stärker be-
gründet war als seine materielle: jeder sah mit
Schrecken in ihm den Unüberwindlichen, das über-
legene Kriegsgenie, den ersten Feldherrn der Welt,
dem die grösste Machtfülle, die Kräfte der civilisirte-
sten Lünder Europas zu Gebote standen? Erfahrungen,
17 Jahr hindurch, seitdem dieses Gestirn aufgegan-
gen, wiederholt, hatten ergeben, dass gegen diesen
geistig und materiell so weit überlegenen Kriegsfür-
sten und Herrscher keine Macht der Welt aufzukom-
men vermóchte. Europa war mit einem moralischen
Schrecken geschlagen, den nur die Verzweiflung, der
kein anderer Ausweg blieb, zu überwinden vermochte.
Diese Verzweiflung hatte ihre Aktion begonnen, zu-
erst in Spanien, dann in Russland, jetzt war die Reihe
an Preussen und Deutschland. Aber um sich zu er-
heben, zu rüsten, sich zu sammeln, musste eine gehó-
rige Macht, wie sie in Spanien die Englünder herga-
ben, da sein, unter deren Schirm es mit Sicherheit
geschehen konnte. Diesen Schirm nun bot Alexander
in seinem siegreichen Heer. — Preussische Schrift-
steller haben freilich aus allen Kräften die Schwäche
533
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
534
und Bremen dieses Heers hervorzuheben ge-
sucht ‘). — Ja, es war nicht zahlreich, aber ein Kern-
heer, siegreich, und stark genug, den Feind auf eine
Zeitlang in Respekt zu halten; — aber Zeitgewinn
und einen Keru, an den man sich schliessen könnte,
waren hier die Hauptsache, und das bot Alexander. —
Er that noch mehr, wie wir in der Folge sehen wer-
den: er hielt den grossen Bund, den er vornämlich
gebildet, auch später fest zusammen; behielt mit schar-
fem Blick das Ziel aller Anstrengungen fest im Auge,
und wachte darüber, dass dieses Ziel, mit Beiseitsez-
zung aller persönlichen Rücksichten, zuletzt glücklich
erreicht ward.
Da das offenbar und nicht abzuläugnen, steckten
sich die Gegner Russlands hinter einen andern Kunst-
griff. Sie verkleinern nicht nur die Russische Streit-
macht und Hülfe beim Beginn des Feldzugs fast auf
Null, sondern insistiren darauf, dass moralisch Alles
in Russland, mit Ausnahme Alexander's, gegen die
Fortsetzung des Kriegs und Überschreitung der Grän-
zen gewesen sei. Kutusow und alle Generale hätten
dagegen gestimmt, und sich nur widerwillig dem Ver-
langen des Kaisers gefügt. Wenn ein Aufschwung über
die Preussen gekommen, wenn ganz Preussen sich be-
geisterungsvollerhoben: so sei das nicht in Folge des
Anstosses durch die Russischen Heere geschehen, son-
dern — in Folge der York’schen Kapitulation:
die erst habe das ganze Volk begeistert, und dieser
allgemeine Wille des Volks wiederum habe dann auch
zuletzt den König, so ungern er daran ging, bestimmt,
sich gegen Frankreich zu erklären. — Dagegen ist
Vieles zu sagen. Die Russische Streitmacht bei Über-
schreitung der Gränze war nicht gross, in Allem un-
geführ 125,000 MI: aber das war für den ersten
Augenblick vollkommen hinreichend, um sich unter
deren Schirm zusammenzuthun und zu rüsten, um so
mehr, als die feindliche Streitmacht, meist vernichtet,
E u z.B. Bernhardi, Denkwürdigkeiten Toll’s. IT, Buch 5.
Wir folgen in dieser Angabe Bogdanowitsch, der. aus den
sichersten Quellen geschöpft und Beweise genug gegeben hat, dass
er jeder Parteilichkeit fern steht. Nach ihm zählte das Heer von
Wittgenstein, mit Inbegriff der ee Armee von Tschi-
tschagow und den Kosaken Platow’s 35,000 Mann; — der Bestand
der rechten Kolonne der Hauptarmee unter Tormassow (Garden
Grenadiere, Kürassiere), war 17 ‚000 M.; ihre Vorhut unter Win-
zingerode zählte 16,000 M.; die 1 inke Kolonne der Hauptarmee
unter Miloradowitsch fasste mit Inbegriff der Truppen von
Sacken und Radt 35,000 M. in sich. In Summa: 123,000 M
~-
in nur geringen Überbleibseln vorhanden war, und
vor einigen Monaten nicht einigermaassen streitfähig
wieder auftreten konnte. Und so geschah es. York's
Abfall oder vielmehr die allgemeine Überzeugung,
dass jetzt, nach dem Weltgericht in Russland, der
Augenblick der Entscheidung gekommen sei, wo man
sich wieder zur Freiheit und Selbstündigkeit aufraffen
könnte, indem man dem Französischen Bündniss ent-
sagte und sich an Russlands Befreiungsheer anschloss;
dieser Gedanke, zu dessen Verwirklichung Y ork das
erste Beispiel gab, kounte allerdings nicht anders als
elektrisch wirken, und das ganze tief niedergetretene
Volk begeisternd erheben: aber ohne die vordringende
Russische Macht, die die Französischen Streitkräfte
überall verdrüngte und vertrieb, hätte der Gedanke
schwerlich in Ausführung kommen kónnen, da Franzü-
sische Truppen noch hinreichend in Deutschland und
Preussen vorhanden waren, um jede versuchte Erhe-
bung sofort niederzuschlagen. Also nur das Vorrücken
der Russen, das Zurückdrüngen der Franzosen, das Be-
freien der Preussischen Lande von diesen Bedrängern
und Unterdrückern konnte die Freiheit und die Mittel
geben, mit aller Macht aufzustehn und sich zum Kampf
auf Leben und Tod zu bereiten. — Was endlich die Ab-
veigung der Russischen Feldherrn und Heere betrifft,
den Krieg weiter zu tragen: so ist das ebenfalls eine
irrige Idee. Jedes tüchtige Heer wünscht den Krieg,
zumal nach einem glücklichen Feldzug, wo sich neue
grosse Aussichten und Hoffnungen eröffnen; das Rus-
sische mehr wie jedes andere, weil der Krieg es, nicht
nur wie bisher, zu Türken und Polen, in arme, aus-
gesogene Lünder, sondern in die reichsten, cultivirte-
sten und civilisirtesten Lünder der Welt führen musste.
Ein Kriegim Westgn war also dem Russischen Heer ein
erfreulicher und lockender. Dazu war man überzeugt,
dass Preussen, dass Deutschland sich anschliessen wür-
den, und dass man durch Überziehung Frankreichs,
durch Eroberung von Paris selbst, Genugthuung für
erlittene Drangsale und Demüthigungen holen würde.
Statt also, wie man vorgeben will, Abneigung, herrschte
allgemeine Freude und Begeisterung bei dem Gedan-
ken, den Krieg über die Gränze zu tragen, den Feind
in seinem eigenen Lande heimzusuchen. — Wenn der
70jährige Kutusow für seine Person anders dachte:
so war das leicht erklärlich: das Feuer der Jugend
und des Unternehmungsgeistes war bei ihm längst er-
84*
535
Bulletin de l'Académie Impériale
536
loschen: er hatte ohne viel Zuthun von seiner Seite
einen unerhörten Erfolg gehabt, einen unglaublichen
Ruhm erworben: diesen wollte er in Sicherheit brin-
gen und nicht gern sein Feldherrn- Verdienst neuen
Prüfungen aussetzen, die ihm vielleicht seiner errun-
genen Lorbeeren hätten berauben können: daher war
er für den Frieden, für den Abschluss des Kriegs in-
nerhalb der eigenen Gränzen. Aber mit diesen Gesin-
nungen stand er fast allein.
Wir bedauern es, dass der Verfasser, der nur zu
oft den ausländischen Schriftstellern ihre Behauptun-
gen nachschreibt, sich hier durch sie hat irre führen
lassen. Er sagt (Band I, S. 2): «Das Russische Volk
fühlte die Nothwendigkeit des Friedens; das Russische
Heer, nach seinen ungeheuren Strapatzen, bedurfte
der Ruhe; und Kutusow, auf der Neige des Alters,
so wie viele seiner Mitgefährten wünschten das Ende
des Kriegs und verlangten deshalb Unterhandlungen,
die, wie sie meinten, Russlands Triumph durch einen
glänzenden Frieden sichern sollten». — «Kutusow
war für den Frieden» — gewiss! — aber auch viele
seiner Kampfgenossen? — Das bezweifeln wir. —
Die Wogen bei der Russischen Armee gingen damals
hoch: das Selbstgefühl war gehoben, und man ver-
langte Genugthuung für Moskau; alle jüngern Krie-
ger wünschten die Fortsetzung des Kampfes, der ihnen
eine glänzende Carriere versprach; die ältern sahen
zu gut ein, dass ein Herrscher auf dem hohen Stand-
punkt von Napoleon, nicht nach einer Niederlage
Frieden schliessen könnte. Die Worte, die der Verfas-
ser (S. 2) nach den «Lebensbildern» von Napoleon
anführt: «man könnte, um Östreich zu demüthigen,
sich mit Russland einigen, indem man Polen opfert; —
Alexander werde beide Hände bieten» — sind nichts
weiter als eine boutade, ein im Zorn oder Ärger über
Österreich hingeworfenes Wort, aber keine ernstliche
Absicht, wie Bogdanowitsch anzunehmen scheint.
Wie? Napoleon, damals in der Vollkraft seiner gei-
stigen und auch materiellen Mittel, sollte nach einem
unglücklichen Feldzug (dessen Nicht-Erfolg er äussern
Zufälligkeiten zuschrieb) sich sogleich für überwunden
erklären und Frieden schliessen — credat Judaeus |—
da kennt man wenig die Macht der Leidenschaft, die
am stürksten durch Verluste gereizt wird. — Gleich
darauf bemerkt der Verfasser auch sehr richtig: «aber
konnte Alexander auch auf die Dauerhaftigkeit eines
Friedens mit Napoleon rechnen?» — Ganz gewiss
nicht, und das war die Hauptursache der Nothwen-
digkeit, den Krieg bis zum Äussersten, bis zum Sturz
Napoleon's fortzusetzen. Ein Frieden mit Napo-
leon, ohne demüthige Unterwerfung unter seinen
Willen, war unmóglich: Napoleon duldete keinen
Gleichen neben sich; er wollte Knechte; wne anticham-
bre de Rois!
Unser Verfasser hat alles über diesen Krieg gele-
sen; nur nicht alles gehórig durchdacht — in einem
beschränkten Zeitraum. war das unmóglich! — und
daher folgt er nur zu oft auf Treu und Glauben sei-
nen Vorgängern. — Aber, wer in solchen Sachen
gearbeitet, weiss, welche Vorsicht man dabei anzu-
wenden hat, wie viele Autoren, bei allem Streben nach
Wahrheit, doch durch die unmerklichen Einflüsse der
Nationalität, des Patriotismus, der Voreingenommen-
heit und selbst geheimer Neigungen oder der Leiden-
schaft beherrscht werden, und sich zu Behauptungen
fortreissen lassen, die wenig durch die That begrün-
det sind. Das Erste bei dem Historiker muss die
Prüfung durch die gesunde Vernunft sein; Behauptun-
gen, die dieser und dem gewöhnlichen Gange der Dinge
widersprechen, muss man zwei mal überlegen, ehe man
sie sich aneignet. Und eine solche war die von der
Abgeneigtheit des Russischen Heers gegen die Über-
schreitung der Gränzen und die Fortsetzung des
Kriegs. Der Schreiber dieser Zeilen kann hier seine
eigene Erfahrung anführen, Er lebte zu jener Zeit
zuerst in Moskau, dann in den Ostsee-Provinzen, zu-
letzt in Petersburg, wo er als Freiwilliger in das Heer
trat. Er war Zeuge der Gesinnungen, die Heer und
Volk durchdrangen; er kannte die Gedanken, die durch
alle Schichten der Gesellschaft gingen, weil er in den
verschiedensten derselben verkehrt hatte: vom Höch-
sten bis zum Niedrigsten war man für die Fortsetzung
des Kriegs und seine völlige Durchführung bis wo
möglich zu Napoleon’s Sturze: Paris, Paris, Genug-
thuung für Moskau in Paris! — Das war der Gedanke,
der alle Krieger begeisterte; das war das Ziel, das man
sich steckte und im Auge behielt; und das man im
Verein mit Preussen, Deutschland, England und Öster-
reich, ja ganz Europa, das man fortreissen müsse,
glücklich zu erreichen hoffte.
Wir haben oben auf die wechselnden Kdxleghsgitoni
hingewiesen: dieser Feldzug von 1813 war nun in
des Sciences de Saint- Petersbourg.
kriegshistorischer Hinsicht sehr merkwürdig, indem
er gewissermaassen zwei streitende Systeme gegen ein-
ander aufstellte, und einen grossen Umschwung in den
Ansichten der Kriegsmänner hervorbrachte. Wir be-
dauern, nicht die mindeste Andeutung darüber bei dem
Verfasser gefunden zu haben, wie er denn überhaupt
auf die geistigen Hintergründe, auf die grossen durch
die Thaten repräsentirten Ideen zu wenig Rücksicht
nimmt, die uns doch erst den wahren innern Zusam-
menhang der Dinge offenbaren. Er gibt uns nur nach
Bernhardi den bekannten Trachenberger Operations-
plan, ohne irgend ein Wort der Erläuterung, der Er-
klärung oder Beurtheilung hinzuzufügen. Wir wollen
mit wenigen Worten diese Lücke hier ergänzen.
Der Feldzugsplan von 1813 wurde von den Russi-
schen Generalen eingegeben, und entsprang aus den
Erfahrungen des Jahres 1812 und den Ansichten, die
es bei ihnen hervorgerufen. Auf sie basirte General
Tollseinen Operationsplan für die verbündeten Heere,
den er zuerst in Gitschin und sodannn in Trachenberg
vorlegte, und der zuletzt endgültig adoptirt ward.
Dis dahin hatten fast in allen Heeren die Jomini’-
schen Ansichten vorgeherrscht; alle jüngern Kriegs-
männer hatten aus ihnen ihre Ideen und Meinungen
‚vom Kriege geschöpft, und seine Lehren standen bei
allen ans Denken nicht Gewöhnten als Axiome fest.
Eine Russische Übersetzung derselben wurde vor dem
Kriege von 1812 selbst dem General Barclay, damals
Kriegsminister, vorgelegt, und findet sich unter seinen
Papieren: er scheint aber nicht viel Aufmerksamkeit
darauf verwandt zu haben; wenigstens hatten die Jo-
mini’schen Ansichten bei ihm wenig Einfluss: er ging
ganz in seinen praktischen Erfahrungen, so wie in ein-
zelnen Bülow’schen Ideen auf, welche seine Diskus-
sionen mit Pfuel bei ihm erweckt und eingebürgert
hatten. Desto mehr Einfluss aber hatten Jomini’s
Lehren bei allen den jüngern Offizieren vom General-
stabe (oder wie sie damals hiessen «von der Suite»);
jeder strebte nach klaren Begriffen über die Krieg-
führung, und fand sie selten so einfach und überzeu-
gend und zugleich durch Beispiele erläutert darge-
legt wie bei Jomini. Er wurde daher eifrig in den
Jahren 1807—12 von den Offizieren siudiert (und na-
mentlich von Toll); neben ihm noch, vornämlich bei
den deutschen Offizieren im Russischen Heer, Bülow,
der auch seine Anhänger hatte, die aber hinter den
andern bei weitem zurückstanden. Worauf Jomini in
seinem System das grösste Gewicht legte, war der aus.
Bonaparte’s Feldzug in Italien von 1796 abstrahirte
Grundsatz von den «innern Linien». Bonaparte
hatte stets seine verschiedenen Divisionen in nahem
Zusammenhang gehalten; wenn er durch die feindli-
chen Umgarnungen, die ihn fangen sollten, durchge-
brochen war, stellte er eine Division zur Beobachtung
des einen Theils der gesprengten Feinde auf; eine
andere behielt er in Reserve, um überall, wo es Noth
that, Hülfe zu bringen; und mit den übrigen warf er
sich auf den andern Theil des gesprengten Feindes,
um ihm wiederholte mächtige Schläge beizubringen.
Das war sein System gegen Beaulieu und Colli,
und später gegen Wurmser und Dawidowitsch,
und sodann abermals gegen Alvinzy und Quasda-
nowitsch. Die Österreicher waren wie verfangen in
der Idee des Umgehens, theilten sich daher immer
wieder, um ihren Gegner auf grossen Umwegen zu um-
fassen; er aber, indem er seine Macht in der Mitte
zusammenhielt, fiel, wie wir eben gesehen, zuerst über
den einen Theil und dann über den andern Theil her,
und schlug sie jeden besonders. Er hielt somit die
«innern Linien», wie seine Gegner die «äussern».
— Das entwickelte nun Jomini des Weiteren. Alle
jüngern Militairs, wenigstens in Russland, schwören
nun auf die «innern Linien». — Napoleon’s Feld-
zug in Russland war nun auch auf die innern Linien
angelegt: er trieb einen Keil zwischen die beiden Rus-
sischen Armeen hinein, trennte sie weit aus einander,
und suchte sie dann einzeln zu vernichten. Das gelang
ihm aber nicht, und die getrennten Heere fanden sich
bei Smolensk wieder zusammen. Durch die Natur der
Dinge machten sich die fernern Operationen, indem
er weiter vorging, wie von selbst. Die Russische Haupt-
armee hatte, indem sie zurückging, ein starkes Korps
an der Düna gelassen, um Petersburg und die herum-
liegenden Gouvernements zu decken; ein anderes noch
stärkeres Korps stand in Wolynien zur Deckung ge-
gen Angriffe von der Polnischen Gränze. Gegen diese
beiden Armeekorps musste Napoleon seine lange
Operationslinie im Weiterschreiten sichern, und stellte
ihnen links die Korps von Oudinot und St. Cyr, und
rechts die von Schwarzenberg uud Reynier ent-
gegen. So entstanden nach 3 Seiten: Nord, Süd und
Ost, drei sich bekämpfende Armeen, von denen die Fran-
539
Bulletin de l’Académie Impériale
540
zösischen die innern, die Russischen die äusseren Li-
nien behaupteten, und die sich mehr oder minder im
Gleichgewicht hielten. Dieses Gleichgewicht wurde
aber südlich aufgehoben, als die noch intakte Moldau-
Armee nach dem Frieden mit den Türken herbeigezo-
gen ward, und nun, nach den bei Moskau getäuschten
Französischen Erwartungen und dem begonnenen grau-
envollen Rückzuge, sich an der Beresina der grossen
Französischen Armee vorlegte, um dem weichenden
Feide den Todesstoss zu versetzen. Tchitschagow's
grobe Fehler, Wittgenstein's Zaudern, Kutusow's
Eifersüchtelei und wenige Thätigkeit, überlianpt sein
Austerlitzer Respekt vor Napoleon, retteten damals
noch die Trümmer des Französischen Heers, die je-
doch durch die jetzt erst einbrechende Kälte vollends
aufgerieben wurden. — Hier nun hatte Napoleon
die innern Linien gehabt, aber, wie es sich ergab, bei
seiner zu weit vorgetriebenen Operationslinie, zu sei-
nem Unglück; die äussern Linien erwiesen sich hier;
bei der Räumlichkeit zum Ausweichen und bei der
gewonnenen Möglichkeit, seine Kräfte aus dem Lande
immer wieder zu erfrischen, als die vortheilhaftern:
hätte Napoleon gleich im Anfange bei seiner grossen
Übermacht sie gegen das Russische Heer gehalten
oder halten können: so war dieses verloren, weil es
sodann aller äussern Hülfen und Zuflüsse vom Lande,
überhaupt jeder nühern Verbindung mit ihm beraubt
worden wäre,
Das also waren die Lehren des Jahres 1812: drei
Heere: eins das sich vorn entgegenstellt, zwei andere,
die die Flanken bedrohen, aber mit der Weisung, über.
mächtigen Gegnern auszuweichen; zuletzt, wenn der
Feind durch die natürlichen Einbussen in sich ge-
schwächt und halb aufgerieben worden, von allen Seiten
gegen ihn anzudringen, ihm möglichst den Rückweg zu
verlegen, und ihn dann vollends zu vernichten. Diese
Lehren wurden nun die Grundlage zu Toll’s Kriegs-
plan für das Jahr 1813: drei Heere hier wie dort, da
die Verhältnisse ziemlich analog: eins, das die nördli-
che Hauptstadt (Berlin) und die umliegenden Provin-
zen deckt; ein anderes, das sich vorn entgegenstellt;
endlich ein drittes, und hier in Folge der natürlichen
Verhältnisse als stärkstes angenommen, das die südli-
che Flanke und den Rücken bedrohen sollte. — Ge-
neral Baron Toll war ein Mann von viel Geist und
Talent, doch kein Genie; er schuf nicht, sondern
wandte das Gegebene, Erfahrene, klug auf die Umstän-
de an.—Ein Hauptvorzng seines Plans war ferner, dass
er gegen die Österreichischen Ansichten (Erzherzog
Karl!) von gewissen höchst wichtigen todten Punk-
ten, die man gewinnen müsse, abstrahirte, und stets
nur die lebendigen Kräfte des Feindes im Auge be-
hielt, und auf und gegen sie alle die eigenen verfüg-
baren Kräfte richtete und verwandte. Das feindliche
Heer sollte der Zielpunkt aller Armeen sein, aber so,
dass man ihm, wenn es überlegen wäre, auswiche;
wenn nur gleich oder schwächer, es angriffe; folglich,
da Napoleon in seiner Person allein ein ganzes Heer
wog, überall wo er anwesend, Ausweichen, Vermei-
den der Schlacht; wo er nicht anwesend, Angreifen.
Wie drei schwere Gewichte sollten sich diese Heere an
den Feind hängen; drückte er zu stark auf das eine,
so mussten die beiden andern mit vermehrtem Ge-
wicht und Druck ihn wieder zurückziehen.
Napoleon dagegen hatte nach seinem System der
iunern Linien seine Kräfte aufgestellt: drei Heere, gegen
jedes der ihn rund umstehenden eines, und im Mittel-
punkt hinter ihnen als Rückhalt seine zahlreiche Garde,
ein starkes heiterkorps und, was am meisten ins Ge-
wicht fiel, er selbst; mit der Absicht, wenn eins der
feindlichen Heere sich etwas vorwagte, zu dem Korps, ,
das jenem entgegenstand, hinzueilen, und mit verstärk-
ter Kraft den vorwitzigen Feind derb zu schlagen; und
wenn sich nun die andern feindlichen Theile, nach
dem ihnen vorgeschriebenen Operationsplan (in dessen
Besitz er dureh General Gersdorf, der ihn sich aus
dem Österreichischen Hanptanartier verschafft hatte,
gekommen war), ebenfalls vorgewagt hätten, mit seiner
rasch zurückfliegenden Reserve ihnen nach der Reihe
das gleiche Schicksal zu bereiten, bis ein oder wie-
derholte Schläge sie so in Unordnung oder Auflö-
sung gebracht, dass er nun seine Vortheile weiter
verfolgen und eins oder das andere derselben völlig
hätte vernichten können. Durch die Thätigkeit der Re-
serven, wie es das System der innern Linien bedingt,
hatte er so viele seiner Feldzüge erfolgreich beendigt;
so sollte es auch hier sein: durch ihren verstärkten
Drucksollten sieim entscheidenden Augenblick auf dem
entscheidenden Punkte den Ausschlag geben. Ein ein-
ziges Versäumniss in dieser Hinsicht verdarb alles.
Nach der Schlacht bei Dresden war er nahe am Ge-
lingen: unterstützte er, wie er es sich anfangs ge-
DEET RESO 1 SERT SEA ITE er
NOD IERE TLE AS ENT, SENT PIS AT S]
E E E EE
541
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
542
dacht, den gegen Teplitz im Rücken des Feindes vor-
gédrungenen Vandamme mit aller Kraft seiner Re-
serve, so würe die verbündete Hauptarmee wahr-
scheinlich vóllig aufgelóst, zersprengt, aufgerieben
worden, und die Coalition lag zu seinen Füssen. —
Er that es nicht, und dieses Hauptversäumniss ent-
schied den Feldzug wider ihn. Zum zweiten Male
wollte die günstige Gelegenheit nicht wiederkommen.
Vergeblieh lief er mit seiner Reserve von Blücher
gegen das grosse Heer nach Böhmen, und von Böh-
men gegen Blücher; vergeblich schickte er Oudinot
und dann Ney gegen Berlin: nichts wollte mehr ge-
lingen; seine Untergenerale wurden geschlagen, und
er selbst müdete seine erlesene Reserve durch die
ewigen vergeblichen Märsche vorwärts, rückwärts,
durch das beständige va et vient, wie er es nannte, bis
zur Todmüdigkeit, bis zur völligen Erschöpfung ab.
Und als nun so sein Heer innerhalb zweier Monate in
erschöpfenden Anstrengungen halb zu Grunde gegan-
gen war, zogen die Verbündeten das Netz hinter ihm,
wie in Russland an der Beresina, so hier mit besse-
rem Erfolg bei Leipzig zu; die Entscheidungsschlacht
erfolgte, und entschied gegen Napoleon.
So war hier das System der innern Linien aber-
- mals gegen das der äussern aufgetreten, und trotz der
vielen und grossen Vorzüge, die es hat, abermals über-
wunden worden. — Jomini’s Ansehen sank; seine
apodiktisch vorgetragenen Lehren fanden tire Be-
schränkung; nur wenige ideenarme Köpfe schworen
noch unbedingt auf ihn und sein System. Es stellte
sich nun klar heraus, dass im Kriege kein System un-
fehlbar ist; dass alle gut sind, mit Vernunft und den
Verhältnissen angemessen angewandt: kurz, dass der
oberste Grundsatz, das oberste Gesetz aller Kriegs-
kunst einzig und allein nur die Vernunft sei; dass
folglich die erste Bedingung, den Krieg gut zu führen,
darin bestehe: 1) Vernunft zu haben, und kein Sys-
tem oder Routine; und 2) der Vernunft, den ver
hältnissen gemäss zu handeln.
"Vernunft und karakter — darin liegt die ganze
Feldherrnkunst!
Man trifft im gewöhnlichen Leben Leute, die glau-
ben, dass, so wie einer den Soldatenrock anzieht, er
damit zugleich auch die Weihe erhalte, ipso facto Ken
ner und Meister der Kriegskunst werde: und dass je-
der, der nicht den Rock trage, unmöglich etwas davon
verstehen könne. Wir setzen ihnen obigen Satz ent-
gegen, so wie das Beispiel aller jener grossen Feld-
herrn, die ohne lange Vorbereitungen als Jünglinge
auftraten und als solche ihre schönsten Thaten voll-
brachten: die Alexander, Hannibal, Scipio, Gustav
Adolf, Condé, Bonaparte. Wie man sieht, es sind die
grössesten aller
Wir fügen dem noch ein tiefes Wort Friedrich’s
des Grossen bei, der mit Bezug auf ähnliche Behanp-
tungen unterm 23. Dec. 1758 an Fouqué schrieb:
«Ein Maulesel, wenn er auch zehn Feldzüge mit der
Armee mitgemacht hat, bleibt am Ende doch nur ein
Maulesel» — d. h. es muss noch etwas mehr dahinter
sein, als Rock, Gamaschen, Routine.
Nieht die Regeln des kleinen Dienstes, nicht die
Regeln der Taktik, selbst nicht die der Strategie ma-
chen den Feldherrn, eben so wenig wie die Regel den
hervorragenden Künstler oder Dichter macht; son-
dern bei diesen ist es Vernunft, Phantasie und Schon,
fungskraft; bei jenem, der noch hóher steht, ist es
ausser Vernunft, Phantasie und Erfindungs-
kraft, auch, da er handeln muss, Thatkraft und
Charakter.
Man muss die Regeln kennen, aber nicht aus ihnen
schöpfen wollen, sondern einzig nur aus dem, was die
Regeln eingiebt, der Vernunft; man muss zu dem Ur-
quell zurückgehen, sich nicht an abgeleitete Bäche
halten.
Man verzeihe uns, dass wir hier so viel vom Krieg
und dem Geiste desselben sprechen; aber das zu be-
urtheilende Werk ist eine Kriegshistorie, wo die
Kriegsideen die Hauptrolle spielen müssen; die Ideen
so gut wie die Systeme; die Operationspläne wie ihre
Ausführung; die Zwecke, die man sich auf beiden Sei-
ten vorsetzt, so gut wie die Mittel und Wege, deren
man sich dabei bedient. Darin liegt eben das Anzie-
hende wie das Belehrende der Kriegsgeschichte; die
minutiöse Beschreibung der Märsche und der Schlach-
ten und aller ihrer Bewegungen thut es nicht, wenn
wir nicht auf die Motive bei jedem Schritt —
sam gemacht werden.
Wir haben in unserer Besprechung über das vor-
liegende Werk mehr allgemeine Gesichtspunkte aufge-
stellt, als dass wir in das Besondere der Erzählung
unsers Verfassers eingegangen würen; aus keinem an-
dern Grunde, als weil eben jene allgemeinen Gesichts-
543
Bulletin de l’Académie Impériale
544
punkte ihm fehlen, seine Erzählung dagegen, so weit
sie es ohne den allgemeinen Überblick sein kann, kor-
rekt und untadelhaft ist, so dass es nicht viel darüber
zu sagen giebt. Er hat alles gelesen und verglichen,
seine Quellen treu und vollständig benutzt, alle Daten
richtig beigebracht, zweifelhafte berichtigt, und man
wird ihm nicht leicht irgend einen Irrthum nachwei-
sen können; kurz er hat ein vorzügliches Werk ge-
liefert, nur dass demselben der weltgeschichtliche
Blick nicht inwohnt, der über Zeiten, Menschen und
Völker schweift, und alle sich gleich gegenwärtig hält.
Wir vermissen bei ihm eine gewisse Übersichtlichkeit,
einen leitenden Gedanken, der wie der bekannte rothe
Faden durch das Ganze gehe und das Ganze zusam-
menhalte; endlich auch das Künstlerische, eine Er-
kenntniss des Sittlich- Dramatischen, des Hochtragi-
schen in den Ereignissen der drei Feldzüge, von denen
jeder in sich vollkommen abgeschlossen da steht, alle
drei zusammen aber eine grosse tragische Trilogie
bilden.
Der Geschichtserzähler muss Künstler sein, muss
wie der Künstler verfahren. Wie der Maler z. B. seine
Hauptpersonen in dem Vorgrund hält, und auf die
weniger wichtigen nur Seitenlichter fallen lässt: so
muss der Historiker, der Künstler sein will, auch mit
den Thatsachen in seiner Darstellung verfahren: die
wichtigeren, entscheidenderen, der Kern der Sache
muss uns in die Augen springen, die weniger wichti-
gen müssen mehr zurücktreten. Geschichtschreiber,
die nicht Künstler sind, behandeln alles mit gleicher
Umständlichkeit, Wichtiges und Unwichtiges, und he-
ben das Entscheidende nie gehörig hervor.
Betrachtet man den Feldzug von 1813 im Allge-
meinen mit Künstler-Auge, so bietet er uns vollkom-
men ein grosses Trauerspiel, mit seiner Schürzung
des Knotens, seiner steigenden grösseren Verwicke-
lung, der fortdauernden Ungewissheit, die den Zu-
schauer in der Schwebe erhält, bis der immer tiefer
geschürzte und verwickelte Knoten zuletzt durch die
Riesenschlacht bei Leipzig seine Auflösung erhält. An-
dererseits bilden die drei Feldzüge von 12, 13 und
14 eine vollkommene dramatische Trilogie, in welcher
die einzelnen Dramen, Russland, Deutschland, Frank-
reich, obgleich jedes in sich vollendet, nur einen be-
sondern Akt des Ganzen bilden. Der Feldzug von 1812
ist die Schürzung des allgemeinen Knotens: es geht
um die Unterjochung oder Freiheit der Welt.
Aller Anschein, alle Aussichten sind für die Unter-
jochung: auf der einen Seite eines der ausseror-
dentlichsten Genies, das der Zeitenlauf hervorge-
bracht, und das frühzeitig auf den rechten Punkt ge-
stellt ward, wo es sich entfalten und seine volle Reife
und Macht erhalten konnte; dieses Genie mit den aus-
serordentlichsten materiellen Mitteln ausgestattet, an
der Spitze des ungeheuersten, kriegsgeübtesten Heers,
das die Neuzeit gesehen, unterstützt von alten, erfah-
renen, kriegskundigen Führern: die gewaltigsten ma-
teriellen Mittel geleitet von der grössten Geistes-
macht; Alles dieses auf der einen Seite: — auf der
andern Seite ein zwar hochgebildeter edler Geist an
der Spitze, aber kein schöpferisches, kein Kriegs-Ge-
nie; Feldherrn, brav, im Kämpfen geübt und ergraut,
auch theilweise mit Karakterkraft ausgestattet, aber
ohne jene überwiegende Grösse, die Gehorsam fordert
und gebietet; endlich ein tapferes, todesmuthiges
Heer, das aber wenig gelenk und geübt in den gros-
sen Manövern des Kriegs war: alle Chancen des Er-
folgs schienen somit offenbar nur auf der einen Seite;
und, — das ist eben das Ausserordentliche, das uns
anzieht, weil es auf das geheimnissvolle Einwirken
einer höhern Macht deutet — die mit aller Hoffnung,
fast mit aller Gewissheit des Siegs ausgestattete Par-
tei wird überwunden; die dagegen mit weniger Aus-
sicht auf Erfolg eingetretene gewinnt {den glänzend-
sten Sieg. Welche Peripetie! der forschende Geist wird
angeregt, die Ursachen, die Gründe zu suchen: hun-
dert Gründe, die näher zu Tage liegen, werden ge-
funden, hundert tiefere bleiben verborgen, die uns auf
höhere unbegreifbare Ursachen hin verweisen. — Das
war die tiefere Verwickelung des Knotens. Für das er-
ste Drama, den Krieg von 1812 oder Russland, war
zwar die vollständige Lösung erfolgt: das gewaltige,
erobernd eingefallene Kriegsheer war grausenvoll un-
tergegangen; echt dramatisch, theils durch eigene
Schuld, theils durch höhern Rathschluss; — aber das
grosse allgemeine Drama war damit noch nicht ge-
löst, denn der Eroberer war entkommen, der Beweger
aller dieser Massen, und mit ihm seine treuesten Stüz-
zen und Gehülfen: und damit blieb die grosse Aufga-
be: Freiheit oder Knechtschaft, noch unentschieden;
denn der gewaltige, knechtende Geist stand noch un-
gebrochen da,.erschüttert, geschwächt in seinen Mit-
545
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
546
teln, aber nicht niedergebeugt, nicht zu Boden ge-
schlagen. Ein zweiter Akt des grossen allgemeinen
Trauerspiels, ein zweites besonderes Drama tritt jetzt
in Scene, mit gleich grossem, gleich spannendem In-
teresse. In Russland war es, wie der Schwächere,
Alleinstehende im Kampfe mit dem Stärkern, verbün-
det mit Starken, dem Verderben entrinnen würde; —
hier in Deutschland gleich angespannte, ungeheure
Kräfte, die sich so ziemlich das Gleichgewicht halten,
aber dabei zwei unsichtbare mächtige Kräfte: auf der
einen Seite der überlegene, höhere, einheitlich leitende
Geist; — auf der andern die angestrengteste Leiden-
schaft, die Verzweiflung, die keinen Ausweg sieht
als Sieg oder Untergang. Also was wird stärker sein:
der höhere Geist oder die höhere Leidenschaft? —
Der höhere Geist führt zerschmetternde Schläge; aber
die Leidenschaft hält sie aus, die Verzweiflung treibt
zu immer verstärkterem Widerstand; Tausende wer-
den niedergeschlagen, Hunderttausende stehen wieder
auf. Es ist ein merkwürdiges Ringen der Geistesmacht
mit der Leidenschafts-, der Verzweiflungsmacht: diese
geht nicht immer so wie hier siegreich aus dem Kampf;
Karthago rang auch verzweiflungsvoll und ging unter.
— Hier ward die Kraft, welche die Verzweiflung giebt,
auch gut geleitet, und trotz Hunderter von Hindernis-
sen, die sich entgegenstemmten, zuletzt glücklich zu
einem guten Ende geführt, Dank sei es vornämlich
zwei persönlichen Grössen, die auf der einen Seite der
überlegenen, gewaltigen Grösse auf der andern entge-
gentraten: Alexander und Blücher; — Alexan-
der als das Alles vereinigende, beschwichtigende, zu-
sammenhaltende und auf ein grosses Ziel folgerecht
hinleitende Princip; Blücher als die energische Ka-
rakterkraft, die nie verzagt noch aufgiebt, und immer
und immer wieder ihre Anfälle und Streiche wieder-
holt. — So ward auch dieses Drama vollständig durch
die Schlacht von Leipzig und die Überwältigung des
Eroberungsheers gelöst. — Aber noch stand der Er-
oberer aufrecht, tief geschwächt, der Nimbus seiner
Unüberwindlichkeit gebrochen; aber, in seinem un-
beugsamen Willen, in seiner mächtigen Persönlichkeit
neue Kräfte findend, und dem nun seinerseits in Frank-
reich einfallenden Gegner die äussersten Anstrengun-
gen des Genie’s entgegensetzend. Wie der Riese der
Fabel schöpfte er Kraft und Macht aus der Berührung
seines Heimathsbodens. Ein neues anziehendes Schau-
Tome VII.
spiel beginnt: auf der einen Seite die fast siegsgewisse,
weit überlegene materielle Macht; auf der andern die
überlegene Geistesmacht mit geringern Mitteln, ló-
wenartig mit einander ringend; auch hier ein Kampf
der Verzweiflung, aber nicht der Verzweiflung eines
ganzen Volks, sondern eines Individuums. Hart,
schwer war der Kampf, die Entscheidung hing oft an
einem Haar: ein heller Geistesblitz und Entschluss
führte die Lósung endlich herbei: Paris fiel und Na-
poleon war überwunden. Nicht nur dieses dritte
Drama, Frankreich, war vollendet und beschlossen,
sondern mit dem Fall von Napoleon auch die ganze
grosse Trilogie: der Kampf um Europas Unabhüngig-
keit oder Knechtschaft endigte, wie es musste, mit
dem gerechten Sieg der Freiheit: alle Vólker athme-
ten frei ‘auf, der Alp der auf Europa lag, war abge-
wälzt. — Der Kampf von 1815 oder Belgien, lieferte
nur ein kurzes Nachspiel, das die Ergebnissse des
grossen Dramas Frankreich endgültig bestätigte. N a-
poleon ging auf St. Helena unter.
` Welch’ mächtiges, erschütterndes Drama, Napo-
leon! — der Held, gross, mit allen geistigen und
Gemüths-Eigenschaften ausgestattet, fesselt unser In-
teresse, zieht unsere Bewunderung auf sich, die Theil-
nahme folgt ihm: aber er begeht moralische Fehltritte
und Versündigungen: der Bewunderung mischt sich
Unwille bei; — er wird zuletzt immer übermüthiger,
härter, gewaltthütiger: das Interesse lässt ab von ihm,
und verwandelt sich in Widerwillen, Hass, in den in-
nigsten Wunsch, ihn bestraft und gestürzt zu sehen:
er fällt, nicht unverschuldet, wie der antike Held des
Trauerspiels; — ein gemischtes Interesse bemächtigt
sich des Zuschauers: Theilnahme, Bewunderung, Mit-
leid; aber zugleich auch das erhebende Gefühl einer
hóhern ordnenden Weltmacht, welche die Dinge mit
Gerechtigkeit lenkt. Wie fest stand er! — ein Hauch
stürzt ihn um. Die geheimen Zwecke jener Welt-
macht waren erreicht, und das Werkzeug fällt. Das
Räthselhafte bleiben freilich nur die Zwecke, die dann
jeder nach seiner Weisheit erklärt!
Die zwei grossen Drama's Russland, Frankreich,
gehen uns hier nichts an, wir haben es mit den Tha-
ten und Handlungen des Drama's Deutschland zu
thun, und wollen es nüher betrachten. Es ist voll-
kommen kunstgerecht:
35
547
Erster Akt. Einleitung, Schürzung des Knotens:
York’s Übertritt und Alexander’s Entgegenkommen
einigen Preussen und Russland; sie erheben sich ge-
gen den gefallenen, aber gewaltig sich wieder aufraf-
fenden Napoleon: nicht ganz entscheidende Kämpfe
bei Lützen und Bautzen, wo die gute Sache sich kaum
aufrecht zu halten vermag. Das Übergewicht neigt
sich immer mehr auf die Seite der grössern Geistes-
und Feldherrn-Macht — Leidenschaft und Verzweif-
lung scheint zu unterliegen. Europas Befreiung ist
wieder in Frage gestellt.
Zweiter Akt. Der Waffenstillstand, Napoleon’s
Hauptfehler, vor Vollendung des entscheidenden Schla-
ges, den er bei seiner Übermacht siegreich führen
konnte, innegehalten zu haben; der Stillstand rettete
das Bündniss und Preussen, dessen Heer und Volk in
tiefer Bethörung über ihn jammerte! — Unterhand-
lungen, Werbung um Österreich, das in seiner Hand
gewissermaassen die Würfel hält, die entscheidenden
Gewichte, welche die Schale, in die sie sich legen,
zum Sinken bringen müssen. Durch Napoleoms
Schuld, ja fast mit seinem Willen, legt Österreich sein
Gewicht in die Schale gegen ihn. Es beugt ihn wenig:
der Sieg muss ihm die unbestrittene Herrschaft über
Europa, und damit über die Welt geben; und, seinem
Genie vertrauend, zweifelt er nicht an dem Sieg. «Sie
werden Fehler machen, wiederholt er, wir werden sie
benutzen, und die Würfel fallen für uns.» — Auf al-
len Seiten Rüstungen — allgemeine Spannung.
Dritter Akt. Wieder-Entbrennen des Kampfs: erste
Periode der noch ungekühlten Hitze: Napoleon’s
Geistesmacht und Thatkraft gewinnt den glänzenden
Sieg bei Dresden. Er hält das Schicksal in seiner
Hand: verfolgt er seinen Sieg in alter Weise, so ge-
lang es ihm, die feindliche Hauptarmee zu sprengen,
meist zu vernichten, Österreich damit zum schmähli-
gen Frieden su zwingen, Preussen aus der Reihe der
Staaten auszulöschen, und Russland in seine fernen
Gränzen zurückzuwerfeu. An wie Wenigem hing Eu-
ropas Schicksal. Jetzt aber sieht man wieder unsich-
bar die höhere Macht eingreifen. Quem deus vult per-
dere, dementat! Oudinot's Niederlage bei Grossbee-
ren, und gleich darauf die von Macdonald an der
Katzbach theilen, zerstreuen Napoleon" Aufmerk-
samkeit: er wendet sie von den nächstvorliegenden
hauptwichtigen Operationen ab in dem Augenblick
Bulletin de l'Académie Impériale
548
der letzten Entscheidung, und diese fällt somit gegen
ihn aus: Vandamme’s Korps, das die Vernichtung
des feindlichen Hauptheers herbeiführen, beschleuni-
gen soll, wird, nicht unterstützt wie es musste und
wie der Bonaparte von Italien es gethan hätte, selbst
geschlagen und vernichtet. Blieb Napoleon hier ge-
genwärtig, kehrte er nicht nach Dresden zurück, son-
dern wachte über die gehörige Ausführung seiner tief
durchdachten Anordnungen, und vervollständigte er
sie durch Vorschiebung seiner Reserven und gehörige
Unterstützung Vandamme’s: so wurden die entschei-
dendsten Erfolge errungen; Teplitz und die Eingänge
nach Böhmen besetzt, und das verbündete Heer in den
Engwegen des Gebirges von zwei Seiten eingeschlos-
sen, gedrängt, ward aufgelöst und aufgerieben. —
Hierauf Heldenthum der Russischen Garden und des
2ten Armeekorps bei Priesten (Straden) am 17. (29.)
August, und am folgenden Tage entscheidender Sieg
bei Kulm. — Also jetzt Sieg und Niederlage im Gleich-
gewichte; dort der glünzende. Gewinn bei Dresden,
der in seinen Folgen eine schreckenvolle Lósung ver-
sprach, aufgewogen, zu nichte gemacht durch die Siege
bei Grossbeeren, an der Katzbach und bei Kulm. —
Die Wage schwankt abermals unentschieden bin und
her; und mit ihr die allgemeine Spannung, Furcht
und Hoffnung.
Vierter Akt. Zweiter Versuch auf Berlin; zweiter
Versuch in Böhmen einzubrechen: beide vereitelt durch
den Sieg bei Dennewitz, die Kämpfe bei Nollendorf
und am Geiersberg. — Alles noch in der Schwebe. —
Napoleon verliert wie in Moskau kostbare Zeit, wäh-
rend man das Netz um ihn zu legen beginnt; eine
Thätigkeit wie in Italien konnte ihm vielleicht bei ra-
schem Entschluss einen Sieg über die getheilten Hee-
reskräfte des Feindes verschaffen: aber die Massen
waren zu gross, zu ungelenk; man bewegte sie nicht
so leicht wie die kleinen, flinken, kriegs- und siegstrun-
kenen Divisionen des Italischen Hecrs. Überdiess will
Napoleon, unähnlich dem Bonaparte in Italien,
nichts aufgeben, alles behaupten, und verliert darüber
Alles.— Die Wage fängt an sich zum Vortheil der Ver-
bündeten zu neigen, indem neue Kräfte zu ihnen stos-
sen, wie das Heer von Polen unter Bennigsen; und
die Kräfte beginnen sich dichter an einander zu schlies-
sen, und den Spielraum des französischen Heers im-
mer mehr zu beschränken. Blücher geht siegend bei
549
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
550
Wartemburg über die Elbe, und tritt in die nächste
Gemeinschaft mit dem Nordheer; Bennigsen schliesst
sich an das Böhmische Heer, das sich bereit macht,
von der Südseite vorzudringen, und im Verein mit
den beiden nördlichen Heeren den Gegner auf den
engsten innern Raum zusammenzudrängen, wo er nicht
anders kann als schlagen, und ihn sodann mit aller
zusammengefassten Macht und Kraft zu erdrücken.
Das Ungewitter zieht sich drohend über den Häupten
Napoleon’s und seines Heers zusammen.
Fünfter Akt, Ungebeugt bleibt sein Feldherrngenie
und seine Zuversicht: er zweifelt nicht am Siege. Er
hat 200,000 Mann auf einem Fleck; hält die berühm-
ten «inneren Linien», und hat seine Kräfte in der
„Mitte concentrirt; gelingt es ihm, den einen Theil.
der Gegner hinzuhalten, zu entfernen, um sodann mit
seiner gesammten Macht auf den andern Theil zu
fallen, so war sein Sieg, sein Übergewicht, seine
Herrschaft über Europa entschieden. Darauf gehen
seine Gedanken. — Im verbündeten Heere fühlte man
das und war zu Allem entschlossen; doch die Ober-
leitung war mangelhaft und häuft am Entscheidungs-
tage Thorheiten und Fehler. So ficht Napoleon, ob-
gleich schwächer im Ganzen, mit Übermacht bei Wa-
chau, weil Schwarzenberg die Hälfte des Heeres in
eine Sumpfgegend gestopft, wo es unbeweglich stockt.
Kaiser Alexander rettet noch aus der Gefahr durch
festen Willen. Aber die Sache ist zweifelhaft gewor-
den, und man harrte ängstlich der furchtbaren Ent-
scheidung entgegen; Alles hing von Augenblicken,
von Zufälligkeiten ab, den eigentlichen Waffen des
Verhängnisses. —So wird der Zuschauer dieses Dra-
ma’s in Ungewissheit, in Furcht und Besorgniss bis
zum letzten Augenblick erhalten. — Was Napoleon
in seinen Hoffnungen und Erwartungen noch begün-
stigte, war das zweideutige Benehmen eines der feind-
lichen Anführer, des Kronprinzen von Schweden, der
von zwei entgegengesetzten Antrieben bewegt wurde,
von seinem Hass gegen Napoleon und der Hoffnung,
ihn zu beerben; und wiederum von der Liebe zu sei-
nen Landsleuten, den Franzosen, und der Furcht,
wenn er krüftig gegen sie auftrüte, sie sich zu ent-
fremden; der deshalb, um zwischen diesen streiten-
den Gegensätzen durchzukommen, gar nichts thun
wollte, Blücher stand somit in der gróssten Gefahr,
durch Napoleon vóllig erdrückt zu werden, ehe das
Hauptheer wirksam hätte eingreifen können Berna-
dotte's Untergenerale und geschärfte Weisungen der
Monarchen zwangen diesen endlich zu der allgemei-
nen Entscheidung widerwillig mitzuwirken. Diese er-
folgte in dem dreitägigen Riesenkampfe bei Leipzig,
und fällt, obgleich der Erfolg anfänglich Napoleon
begünstigt, zuletzt nachtheilig für ihn aus; ein grosser
Theil seines Heeres wird aufgerieben, ein anderer ge-
fangen genommen, er muss über den Rhein zurückwei-
chen; und er bahnt sich den Weg dahin über das Bai-
risch-Österreichische Heer von Wrede weg, das ihm
bei Hanau den Weg vertreten will. Aber kaum auf
Frankreichs Boden angelangt, geht sein Heer in Folge
der überstandenen Anstrengungen, Leiden, Entbeh-
rungen, und durch den Zutritt der ansteckenden, den
Krieg begleitenden Krankheiten, grösstentheils zu
Grunde. In Russland hatte er ein erstes ausgewähl-
tes Heer verloren; ein zweites fast gleich starkes,
das er mit der ungeheuersten Anstrengung aufge-
bracht, bedeckte mit seinen Leichen Deutschlands.
Gefilde, oder verkam in Frankreichs Hospitälern;
schwer sollte es ihm nun werden, da er so viel vor-
ausgenommen, auf dem vaterländischen Boden neue
genügende Kräfte zu versammeln.
Das 2te Drama, Deutschland, war zu Ende, aber-
mals zu seinem Nachtheil!
Hier wie im vergangenen Jahre sah män die Ehren
des Siegs und Triumphs auf diejenigen gehäuft, die das
meiste gethan, desselben verlustig zu gehen; und die
eigentlichen Thäter, Retter, Sieger wies man mehr in
den Hintergrund zurück. Welt und Schmeichler priesen
als Überwinder, wie dort Kutusow, so hier Schwar-
zenberg und Bernadotte, und suchten einen Glorien-
schein um ihre Häupter zu heften; die Nachwelt wird,
ausserNapoleon,der ausnahmsvoll steht, nur Alexan-
der, Blücher und Eugen von Würtemberg als die
eigentlichen Grössen dieses Krieges nennen; und in
zweiter Linie noch Scharnhorst, den stillwirken-
den Vorbereiter, Toll, Diebitsch, Gneisenau und
Bülow. — Aber, o der Gerechtigkeit! Eugen von
Würtemberg, von seinen Kriegern angebetet, die wil-
lig ihr Leben für ihn hingaben; Retter bei Pirna und
Kulm, und später im Leipziger Kampfe auf Wachau’s
Höhen und in Gossa’s Gründen: er ward in Berich-
ten und Büchern kaum erwähnt! — Seine unerschüt-
terliche Ausdauer bei Wachau mit seinem Helden-
35*
525)!
Bulletin de l'Académie Impériale
55?
Korps, dem 2ten, und Klüx’ tapferen Preussen ver-
hinderten das Durchbrechen der Linie und damit die
entschiedene Niederlage. Mehr wie zwei Drittel sei-
ner Helden bedeckten mit ihren Leibern die Wahl-
statt, aber keiner war gewichen; am Morgen waren
ihrer 10,000 gewesen, der Abend sah davon nur 3000
übrig. An ihnen brachen sich die Wogen der furia
francese. Auch gestehet der neueste Darsteller der
Leipziger Kämpfe, Wuttke, ihm und seiner Helden-
schaar unbedenklich den Preis der Tapferkeit in die-
ser Völkerschlacht zu. Sie waren les braves des braves
gewesen, und in den öffentlichen Berichten fand man
kein Wort über ihr Verdienst!
Doch kehren wir zu unserem Verfasser zurück,
betrachten wir die Vorzüge und die Mängel seines
Werkes im Allgemeinen.
Es kommt hier auf den Standpunkt an, auf dem
man steht; auf die Ansprüche, die man macht; end-
lich auf die Vorgänger, die ein Schriftsteller auf sei-
‚nem Wege gehabt hat; — keiner soll auftreten, der
nicht etwas Eigenes, Neues beizubringen, etwas Fal-
sches, Irrthümliches zu berichtigen hat.
Betrachtet man unsern Verfasser vom Standpunkt
der Welt-Literatur aus, so wird er nur wenig her-
vorragen; betrachten wir ihn aber von dem Stand-
punkt der bisherigen Russischen Literatur in diesem
Fache, dann nimmt er allerdings eine ehrenwerthe
Stellung ein. — In der Russischen kriegsgeschicht-
lichen Literatur hatten wir bisher nur zwei Schrift-
steller, die ein grosses Ansehen gewonnen‘), Dani-
lewski und Miliutin; an sie reihet sich nun Bog-
danowitsch. — Miliutin, dessen Werk wir sehr
hoch achten, ist jetzt Kriegsminister, jedes Wort
über ihn würde daher verdächtig scheinen, und wir
schweigen; sein Werk ist überdies im Ausland be-
kannt und anerkannt. — Was Danilewski betrifft,
so hatte er eine grosse Gabe zu erzählen, sein Styl
ist vortrefflich, kurz, gedrungen; seine Darstellung
klar und übersichtlich; ihm ging nur Eins ab, das,
was Cicero so schön in dem kurzen Satze zusammen-
fasst: der Geschichtschreiber müsse sein: homo pro-
bus et dicendi peritus. — Davon konnte man nur die
letztere Hälfte Danilewski beimessen; die Haupt-
eigenschaft des Historikers: Wahrheitsliebe, Unpar-
6) Wir sprechen nicht von Buturlin und den andern, die fran-
zösisch schrieben.
teilichkeit, «ut non solum possit sed et velit veritatem
dicere», ging ihm ganz ab; statt ihrer war seine Göt-
tin die Hofgunst; das gnädige Lächeln oder Lob
irgend eines Hochgestellten, das Beifallnicken eines
Kriegsministers oder Feldmarschalls überwog bei ihm
alle andern Rücksichten. Er war ein moderner Velle-
jus Paterculus. So verloren seine Werke, trotz so
vieler ihrer Vorzüge, schnell ihren Werth, weil ihnen
der Hauptvorzug jedes historischen Werks abging:
unbestechliche Wahrheitsliebe und Gerechtig-
keit.
Danilewski hatte den günstigsten Standpunkt,
etwas Tüchtiges auf dem militair-historischen Felde
zu leisten: er hatte nicht nur den meisten der Bege-
,benheiten, die er beschrieb, beigewohnt, sondern noch,
dazu in den vortheilhaftesten Verhältnissen; er kam
früh in die höchsten Kreise, sah und erfuhr hier Vie-
les; dies erleichterte ihm die Mittel, ausgebreitete
Verbindungen anzuknüpfen, und sich überall Aufklä-
rungen, Beiträge und Belehrungen zu verschaffen;
und zuletzt wurden ihm auch die Archive, die Biblio-
theken und geheimen Papiere zugänglich gemacht:
kurz, er hatte alle Mittel, sich über Alles die ge-
naueste Auskunft zu verschaffen. Er benutzte sie nur,
um seinen Gönnern zu sagen, was sie gern hörten,
und die Sachen in einem Lichte darzustellen, wie es
ihnen am besten gefiel. — So lieferte er, trotz aller
Begünstigungen und Vorzüge, nur mittelmässige, un-
zuverlässige Werke, bloss weil er nicht, wie Cicero
wollte, als homo probus nur sein Gewissen befragte,
und, ohne Rücksicht auf Personen und Verhältnisse,
die Wahrheit und Gerechtigkeit allein vor Augen
behielt.
Unser Verfasser erzählt nun nicht als Augenzeuge,
hat nicht die angenehme, belebte Darstellung von
Danilewski; aber dafür Ruhe, Unparteilichkeit, un-
erschütterliche Wahrheitsliebe und Gerechtigkeit für
Alle. Bei ihm werden weder gewisse bevorzugte Per-
sonen in den Vordergrund geschoben, und ihnen alle
möglichen Thaten und Verdienste, wahre und er-
dachte, beigelegt; noch Andere, nicht minder Ver-
dienstvolle, aber bei. Hofe in Ungunsten Lebende,
oder von einer bei dem Verfasser nicht beliebten Na-
tionalität, nur obenhin erwähnt oder ganz mit Stil-
schweigen übergangen. Er hat für alle das gleiche
Maass, die gleiche Gerechtigkeit. Niemand wird ihm,
553
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
554
in diesem Zeitalter der Eigensucht, aus seiner Ge-
schichte die Nationalität abmerken. Und das ist auch
ein Vorzug.
Ein zweiter ist der Fleiss, die ausgedehnte For-
schung, das Suchen nach Wahrheit, die er bei seinem
Werke angewandt. Man wird kein nur einigermaassen
erwähnenswerthes Werk über diesen Feldzug finden,
das er nicht gelesen, benutzt; und damit hat er noch
die officiellen Papiere des Militair- Archivs, des aus-
wärtigen Archivs verglichen, und viele der von aus-
ländischen Schriftstellern erhobenen Ansichten näher
festgestellt und berichtigt. Ebenfalls ein grosses Ver-
ienst.
Endlich ist zu rühmen seine leidenschaftslose, ge-
naue und erschöpfende Darstellung der Begebenhei-
ten; man wird darin keine glänzenden Gedankenblitze,
die weithin aufhellen, keine tiefen Ideen, die eindrin-
gende Blicke in die Dinge thun lassen, keine lebhafte,
fortreissende, bezaubernde Darstellung finden: aber
eine ruhige, sorgfältig begründete, ausführliche Er-
zählung der Begebenheiten; vorzüglich auf Leser be-
rechnet, wie bei einer jungen Literatur nicht anders
zu erwarten, denen diese Sachen noch ziemlich fremd
sind, die also die erste Belehrung daraus schöpfen
wollen. Kurz es ist kein glänzendes Werk, aber ein
nützliches. _ |
Das sind seine Hauptvorzüge. Die Mängel sind die
zu wenige Selbstständigkeit, die zu grosse Abhängig-
keit von dem fremden Urtheil. Der Verfasser sichtet
nicht genug die Angaben der fremden Erzähler; er
überschaut nicht mit freiem Blick das Ganze, und
erzählt deshalb nicht immer klar und übersichtlich
genug. Der Erzähler muss stets das Ganze vor Augen
haben, muss vornämlich nur die Hauptzüge, das
Wesentliche hervorheben, und die Sachen so darstel-
len, dass der Zusammenhang jenes Ganzen immer
klar dem Geiste des Lesers gegenwärtig bleibe. Da-
her muss man vermeiden, seine Erzählung mit zu
vielem Detail zu überladen; das zerstreut und zieht
von der Idee des Ganzen ab. — Der Geschichtsschrei-
ber muss immer einen doppelten Gesichtspunkt vor
Augen haben: 1) er schreibt entweder, gleich nach
den geschehenen Begebenheiten, unmittelbar für die
Mitwelt und will sie ausführlich über alle Vorfallen-
heiten unterrichten; oder 2) er schreibt, nachdem ein
bestimmter Zeitraum verflossen und das brennende
Interesse für die geschehenen Dinge bereits verflo-
gen ist, für die Nachwelt, und da hat er eine ganz
andere Manier einzuhalten, wenn er zu ihr gelangen
will. Er hat vor Allem zu bedenken, dass die Nach-
welt, ihre eigenen, sie ganz in Anspruch nehmenden
Begebenheiten hat, über die ihr jedes Detail ange-
nehm ist, und dass sie der Vergangenheit ein weni-
ger reges Interesse widmet. Je weiter nun diese Ver-
gangenheit zurück, je weniger will sie geringfügige
Umständlichkeit. Das Gewesene rundet sich in den
Augen der Nachwelt zu einem mässigen Ganzen ab,
dessen Theile und Zusammenhang sie klar über-
blicken will. So will sie auch die Geschichte davon.
Die Umrisse, die grossen Züge des Ganzen müssen
hervortreten, ebenso die grossen sich offenbarenden
Karaktere und Personen. Man will Gründe, Ursa-
chen, Zusammenhang und Folgen genau übersehen
können, und von allem Wichtigeren will man die be-
zeichnenden, die charakteristischen Züge haben. Wir
können über die Gesinnungen der Nachwelt urthei-
len, wenn wir in unsere eigene Brust greifen, weil
wir selber unserer Vorgänger Nachwelt sind. Für
sie muss man wie Thucydides schreiben: das Ganze
wohl abgerundet und übersichtlich, und das Einzelne,
Wichtigere doch mit scharfen, hervorspringenden Zü-
gen klar in die Augen tretend. Er schrieb vor mehr
wie 2000 Jahren, und jeder Gebildete liest ihn noch
jetzt mit Bewunderung und Belehrung.
Vornämlich hüte sich der Erzähler in das Ban-
nale zu verfallen, Sachen umständlich zu beschreiben,
die den Dingen inhärent sind, wie in den Schlachten
und Gefechten der Donner und Blitz der Kanonen,
das Streiten und Ringen der einzelnen Haufen; eine
leichte, die Phantasie erregende Andeutung wirkt da
mehr als lange, langweilige Beschreibungen. Der Le-
ser hasst das Alltägliche, und will nur das Ausser-
ordentliche, Seltene, die eigentliche Signatur der Tha-
ten und Begebenheiten.
Wir fürchten nun, dass der Verfasser sich hierin
nicht genug gehütet hat, dass er uns oft, um seine
Unparteilichkeit zu zeigen, mit gar zu vieler Ausführ-
lichkeit das tapfere Streiten irgend eines Ost- oder
Westpreussischen Regiments, oder die Heldenthat
eines Markischen oder Pommerschen Bataillons vor
Augen geführt hat; solche Thaten dürfen nur ge-
nannt werden, wenn sie etwas ganz Besonderes wa-
555
Bulletin de l'Académie Impériale
556
ren, das nicht alle Tage, nicht in jeder Schlacht wie-
derkehrt; so z. B. verdiente der Zweikampf auf Le-
ben und Tod an der Katzbach zwischen einem Fran-
zösischen und einem Preussischen Bataillon (vom
Brandenburgischen Regiment) unter Major Othegra-
ven, allerdings Erwähnung, wo dieses gegen jenes,
das im Viereck stand, in Linie anrückte, es sofort,
umschwenkend, von drei Seiten einschloss, und nun
mit Bajonet und Kolben so heftig dagegen stritt und
arbeitete, bis die Franzosen völlig zu Boden geschla-
gen waren. Es war ein Zweikampf von Massen; er
bezeichnet den Sinn, das Gemüth des fechtenden Sol-
daten, und wiederholt sich nicht alle Tage. — Die
Preussischen und Französischen historischen Darstel-
ler sind unerschöpflich in solchen Erzählungen, um
die Bravour der Ihrigen recht hervorzuheben, man
darf ihnen aber nicht Alles nachsagen; theils schrie-
ben sie gleich nach den Begebenheiten, theils mischte
sich ein starkes Nationalgefühl ein; aber wenn man
funfzig Jahre später schreibt, einer andern Nationalität
angehört, muss man alle jene, meist wenig beglaubigten
Histörchen, nicht immerfort wiederholen; es sei denn,
dass sie etwas ganz Ausserordentliches sind; dieses
freilich ist für die Leser aller Zeiten und aller Völ-
ker. — Daher, fürchten wir, hat der Verfasser seine
Schlachten-Beschreibungen zu sehr ausgedehnt, ihnen
zu viel Bannales beigemischt, und darüber nur zu
oft das Wesentliche, das sie vor andern Kennzeich-
nende, übersehen.
Noch hätten wir gewünscht, dass der Verfasser
bei den parteiischen Darstellungen der Deutschen,
die alle Glorie des Sieges für sich allein in Anspruch
nehmen, und immer nur von ihren Grossthaten in je-
nem Kriege sprechen, ohne der Russen zu erwähnen,
ja sich den Schein geben, als hätten sie allein Alles
gethan: wir hätten gewünscht, sagen wir, dass der
Verfasser dieser Anmaassung gegenüber etwas drei-
ster aufgetreten wäre, und mehr darauf insistirt hätte
nachzuweisen, welch’ grossen, wesentlichen, ja Haupt-
antheil, wie materiell bei den Schlachten, so mora-
lisch bei der Leitung des Ganzen zum Ziel, die Rus-
sen und ihr Kaiser an dem endlichen Erfolge hatten;
nicht in hochmüthiger, verletzender Weise, wie Da-
nilewski es thut, sondern in ruhiger Darlegung der
Thatsachen. Wir haben die höchste Achtung für die
Thaten der Preussen in diesem Kriege; glauben aber,
dass die der Russen wohl verdienen, neben ihnen ge-
nannt zu werden. Schon der edle Prinz Eugen von
Würtemberg erhob sich in seinen Schriften gegen die
sich einschleichende Zurücksetzung der Russen. Das
untrüglichste Beweismittel aber sind Zahlen. Die bei-
den Ereignisse, die den Kampf in Deutschland wie in
Frankreich entschieden, waren die Schlachten bei
Leipzig und bei Paris; nun wer lieferte die zahl-
reichsten Kämpfer zu denselben, wer bezahlte sie mit
dem meisten Blute? Eine kleine Tabelle wird uns
das zeigen.
Leipzig.
Streiter Verluste
nach nach
Bogdano-| „Mach nach In gdano-| Dach nach
EH Plotho. | Schulz, nt Plotho. | Beitzke.
Russen ..... 196870 |136000 |122000 | 19535 | 22604 | 22604
Preussen....| 71951 | 70000 | 71000 | 16000 | 14950 | 16430
Österreicher| 89157 | 78000 | 92000 | 12000 | 8400 | 8400
Schweden. ..| 18000 | 18000 | 18000 300 300 103
Unter 21 Generalen, die sich hier den Tod oder
Wunden holten, waren von den Russen nicht bloss 12,
wie Plotho meint, sondern 18, die Bogdanowitsch
namentlich aufführt (II, S. 545); unter ihnen der
tapfere Schüler und Kriegsgefährte von Suworow,
Schewitsch, und der unerschrockene N ew erowski,
der den Lówen-Rückzug bei Krasnoi machte; beide
fielen im dichtesten Gewühl der Schlacht. — Von
1793 ausser Kampf gesetzten Offizieren waren 864
Russische, also fast die Hülfte der ganzen Zah]; und
die Menge der verwundeten oder getódteten Mann-
schaften war nach Plotho bei den Russen allein fast
eben so gross wie bei den Preussen und Österreichern
zusammengenommen.
Eben so bei Paris. Kämpfer zur Schlacht traten
110,000 M. auf; ausser der Preussischen Garde und
dem Österreichischen Korps des Kronprinzen von
Würtemberg, fast alles Russen. Davon wurden ge-
tödtet und verwundet: 7000 Russen, 1753 Preussen,
185 Österreicher. Das Korps des Prinzen Eugen
von Würtemberg, das überall, wo es um die Ent-
scheidung ging, eine Hauptrolle spielte, verlor hier
ein Drittel seiner Mannschaft; und neben ihm seine
treuen Mitkämpfer und Heldenbrüder von Pirna, Kulm
4
FEIERN
507
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
358
und Leipzig, Helfreich's 14te Division, gar die
Hälfte.
Diese Zahlen sprechen für sich selber!
Und was die moralischen oder geistigen Einflüsse
in Hinsicht auf die Leitung des Ganzen betrifft, so
gesteht selbst Beitzke, ein Verkleinerer der Russen,
fast wider Willen ein: «Im Felde hat Russland zwar
nicht die Hauptsache gethan, diese that das kleine
Preussen; aber es lässt sich nicht läugnen, in der
Politik ist Russland der maassgebende Faktor ge-
wesen. Kaiser Alexander war der Agamemnon die-
ses grossen Kampfes, und er war es, der den grossen
Eroberer vom Thron stiess» (III, 542).
Indess nennen wir Russen neben ihm, der Gerech-
tigkeit huldigend, mit Vergnügen Blücher, den
wackeren, unermüdlichen Helden, ohne den der Kampf
vielleicht nie zu einem glücklichen Ende geführt wor-
den wäre.
Doch schon genug, und übergenug; — eilen wir
zum Schluss. `
. Alles wohl erwogen ist Summa Summarum unsere
Meinung über das vorliegende Werk: Es hat, von
einem höheren Standpunkt genommen, vielleicht seine
kleinen Mängel, wie jedes menschliche Werk, und
die zumal bei den ersten Produkten einer aufkeimen-
den Literatur unvermeidlich sind; — aber dagegen
hat es auch seine bedeutenden Vorzüge; und in
Berücksichtigung dieser, glauben wir, verdiene es
wohl den grossen Preis der Stiftung.
Über den Gang der Pulkowaer Normaluhr, von
A. Wagner. (Lu le 17 juin 1864.)
(Mit 1 Tafel.)
Schon im Jahre 1861 wurde in Pulkowa der Ver-
such gemacht, die K essels'sche Normaluhr in dem ge-
gen alle schnellen Temperaturänderungen wohl ver-
wahrten Centralkeller der Sternwarte aufzustellen,
und nach dem Beispiele so vieler anderen Sternwarten
die von ihr gezeigte Zeit vermittelst des galvanischen
Stromes in die verschiedenen Beobachtungsrüume zu
übertragen. Nach Überwindung einiger Schwierigkei-
ten, welche hauptsüchlich die Anbringung des Krille'-
schen Stromunterbrechers mit sich brachte, hat der
Gang der Normaluhr endlich zu Anfang des Jahres
1863 eine Vollkommenheit erlangt, deren Bekannt-
werden von allgemeinerem Interesse sein dürfte, da
Sie die Vorzüge einer solehen Aufstellung, so wie die
Vortreftlichkeit der K rille'schen Vorrichtung in schla-
gender Weise darthut.
Die Vollkommenheit des Ganges kommt zwar erst
zum Vorschein, wenn man die Uhrstünde wegen des
Einflusses des veründerlichen Barometerstandes corri-
girt; es macht dieser Umstand die Sache aber um so
interessanter, weil dadurch die Abhüngigkeit des Uhr-
ganges vom Barometerstande anschaulicher gemacht
wird, als bisher geschehen ist, und zugleich gezeigt
wird, wie wichtig die Berücksichtigung oder die Be-
seitigung derselben für die genaue Zeitmessung, wenn
man dieselbe auf gróssere Zeitrüume als 6—12 Stun-
den ausdehnen will, werden kann.
Der Einfluss, welchen der Barometerstand auf den
Gang der Pendeluhren ausübt, ist längst bekannt. Na-
mentlich hat Bessel gezeigt. dass die Schwingungen
nicht bloss durch die Verminderung der Schwere in
dichterer Luft langsamer werden, sondern auch da-
durch, dass das Pendel einen Theil der umgebenden
Luft mitzuschwingen veranlasst, dessen Masse bei grós-
serer Dichtigkeit grósser ist. Die Verlüngerung der
Schwingungsdauer ist demnach zwar der Luftdichtig-
keit proportional zu setzen, die Grósse dieser Verlün-
gerung, die nicht nur von dem specifischen Gewichte
des Pendels, sondern auch in noch unbekannter Weise
von der Form desselben (und auch seines Gehäuses)
abhängt, kann nur aus den Beobachtungen selbst be-
stimmt werden. Da, worauf Bessel gleichfalls schon
aufmerksam gemacht hat, der Einfluss, den die durch
die Temperatur bedingten Änderungen der Dichtig-
keit der Luft auf den Gang einer Pendeluhr ausüben,
bei gleicher Temperatur des Pendels und der umge-
benden Luft sich mit den directen Einwirkungen der
Temperatur auf das Pendel vermischt und ausser
Betracht kommt, wenn bei der Compensation des
Pendels darauf Rücksicht genommen ist, so kann man
ohne Weiteres die Änderungen des Ganges einer
Uhr den Änderungen des Barometerstandes propor-
tional setzen. Die Berechnung des Einflusses der Baro-
meteränderungen wird unter dieser Annahme sehr
einfach. Der der Zeit £ entsprechende Barometerstand,
Uhrcorrection und Uhrgang seien respective b, wu, v.
Dem constanten Barometerstande 5, entspreche zur
559
Bulletin de l'Académie Impériale
Zeit t der der Gang v, und die Uhrcorrection u. Die
Grösse u, enthält selbstverständlich eine willkürliche
Übnstanté; die so bestimmt sein soll, dass zur Zeit f,
u—=u—k. Es sei à der Barometercoefficient der
Uhr, oder die Änderung des täglichen Ganges, welche
der Änderung der Barometerhöhe um eine Einheit der
Barometerscale entspricht. Es sei b — b, = ß, so ist
=v, + fi
t t et t
uk «| v= zi v, dt + | Bdt—u, +1| pat,
d d u to
wo À entsprechend t in Tagen auszudrücken ist,
und die Summe i/8 dt den Einfluss der veränderli-
chen Barometerhöhe auf die Uhrcorrection darstellt.
In unsern Breiten, wo die gesetzmässigen Barometer-
schwankungen gegen die unregelmässigen verschwin-
dend klein sind, wird uns kein analytischer Ausdruck
für ß zu Gebote stehen. Man wird sich daher begnü-
gen müssen, den Werth von E A dt durch Summirung
der in hinreichend kleinen Zeitintervallen beobachte-
ten und mit dem Intervall multiplicirten 8 zu er-
mitteln. Häufig werden auch schon Summirungen der
Barometerstände behufs der Ableitung der mittleren
Barometerstände für bestimmte Zeitintervalle ausge-
führt sein. Am bequemsten wird es sein, wenn die
mittleren täglichen Barometerstände vorliegen. In
3 t
diesem Falle hat man dt — 1 zu setzen, und es ist ¿26
t9
vollkommen strenge der von der Barometervariation
herrührende Theil der Uhrcorrection für das Ende des-
jenigen Tages, für welchen der letzte mittlere Baro-
meterstand gilt. Für die Zwischenzeiten sind die Wer-
the dieser Grósse durch Interpolation zu finden. Wenn
die Barometeründerungen unregelmässig sind, wird
bei dem Intervalle von einem Tage eine genaue Inter-
polation nicht mehr móglich sein. In diesem Falle,
welcher aber nicht allzuhäufig vorkommen wird, wird
es nóthig werden, das Intervall für Bildung der mittle-
ren Barometerstände kleiner als einen Tag zu machen,
wenn man das Hundertstel der Secunde in der Pao:
meterverbesserung der Uhrcorrection genau haben
will. Am bequemsten wird sich die Interpolation wohl
graphisch ausführen lassen.
Ich gehe jetzt zur Berechnung dieser Grössen für
die Pulkowaer Normaluhr für die ersten Monate des
Jahres 1863, und dann zu ihrer Vergleichung mit
den hiesigen Beobachtungen über.
Der Barometercoefficient à ist für die K essels'sche
Uhr in Pulkowa früher 0531 für den englischen Zoll
gefunden worden"). Dr. Robinson in Armagh hatte
bereits 1831 den Barometercoefficienten seiner Uhr zu
0:241 bestimmt?). Ich nehme für die gegenwärtige
Rechnung '/ an, eines Theils weil dieser Werth der
Wahrheit näher zu kommen scheint, als 0531, andern
Theils weil es für die Rechnung bequemer ist. Wie
es scheint, würde sogar eine weitere kleine Vergrós-
serung die Beobachtungen noch etwas besser darstel-
len, indessen gehórt zu einer vollkommen scharfen
Bestimmung des Coefficienten ein grósserer Zeitraum
und sorgfültige Berücksichtigung noch anderer Um-
stände, die bisher aus verschiedenen Ursachen unter-
blieben sind. |
Da in Pulkowa keine so regelmässigen Barometer-
beobachtungen angestellt werden, welche die mittle-
ren Barometerstände mit der genügenden Schärfe ge- —
ben kónnten, so habe ich für die ferneren Rechnun-
gen die von dem physikalischen Centralobservatorium
gütigst mitgetheilten mittleren Barometerstünde be-
nutzt. Bei dem geringen Abstande zwischen St. Peters-
burg uud Pulkowa wird es gewiss erlaubt sein, die Baro-
metervariationen an beiden Orten als gleich anzusehen.
Die Barometerstände sind in engl. Halblinien ausge- -
drückt. Der grösseren Einfachheit der Rechnung hal- …
ber wurde der mittlere Barometerstand b° in St. Pe- «
tersburg zu 600 engl. Halblinien angenommen. Die -
folgende Zusammenstellung enthält für die Monate
Januar bis Mai die mittleren Barometerstünde jedes —
Tages, die Quantitäten 38, und 438, die barometrische 4
Verbesserung der Uhrcorrection.
1) s. Expédition E E de 1843 p. 67.
2) Mém. Astr. Soc. V, p. 1
560
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b
5.25
EN
152.56
7.45
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JA
+0.128
0.292
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0.575
591.74
591.00
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0.730
0.927
593.19
216.62
223.43,
231.07
8| 23349
229.50
231.16
237.72
948 89
"190,00
März
April
[3
Mai
b xà
—249.17
599.72
7
51602.66
AUJVUYUV
06.98
05.82 219.78
51601.25
‚02.54
3601.14
pro
LO 141
3.092
OV&.14
192.27
3.610
189.46
3.724
3.851
602.81
602.99
186.47
597.12 189.35
3. 891
598 05
3.825
3.853
3.962
4.148
-2.463
Da im physikalischen Centralobservatorium die Ta-
ge von Mitternacht bis zu Mitternacht gezählt wer-
den, so giebt die vorstehende Tafel die Werthe von
iZ8 für 12^ mittlere Zeit des daneben stehenden Da-
tums nach astronomischer Bezeichnungsweise, und da
die Summation mit Anfang des Jahres naċh bürgerlicher
Zeitrechnung beginnt, so ist für £, Januar 0,5 angenom-
men, und für diesen Zeitpunkt also u, = u gesetzt.
z4. 241
|
599. 89. 191.41,
588.78 202. 64
576.79, 225. 85
l
191.30 3
87800 24795 4432
587.96, _298.55|-4.976
xà
303.74
Ka
" )69
= oV.
b
601
28
12
97.84
310.14
12.35
42.71
309.89! 237.31
307.94
Jo.41
1607.89
607.60
606.45
7,604.34
602.89
602.80
3.199
3.152
3.157
3.204
595.
74
3.158[599.71
VOOU Ta
594.72 234.24
641596.83| 237.41
398.57 238.84 3
2d 9
11594
A1
83!
4.500
4.775
598.11, 240.73 1012
pot 50-239. Kg —3.987
|
596.13!
39446, 262.95
593.99, 268.96
372.83
238.11
241.47
240.93
240.60
238.86
239.61
240.79
241.94
249.95
240.78
245.04
946.02
244.35
"8
-3'968
4.483
-4.547
uv.
Ei Il HI IV V VI | VII | VIII IX
h s D $ D D
0.4 dan. 17.001: —— 3483.1: 2 + 34.81 + 0.82 + 0,02 — 0. — 0.73
24 9.0 35.00 | 1 36.29 | — 0.91 — 1.29 0.38 0.38
26 04 39.03 | 2 , 97.40 1.36 104 | 0.21 044
30 "94 36.32 - 38.59 248 2.27 | — 009 | — 0.09
Feb. 105) 54| + 3846 | 3 | -- 479 | — 353 | — 333 | + 020 | + 0.20
Tome VII.
—
3) Da der grosse Krille’ ee" Ser vie dig erst nach dem 10. Febr. aufgestellt werden konnte, so sind
die Beobachtungen von Jan.
m kleinen transportabeln — gemacht, und kónnen einen
übrigens nur sehr kleinen EH or gegen die folgenden haben
36
Ich lasse nun die beobachteten Uhrcorrectionen
und ihre Vergleichung mit den berechneten folgen.
Die Beobachtungen dazu sind am grossen Passagen-
instrument mit Hülfe des Krille’schen Registrirappa-
rates angestellt. Zur Ableitung der Uhrcorrectionen
aus den Beobachtungen sind die Sternpositionen des
Berliner Jahrbuchs benutzt worden.
—
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16 235| 5762 | 2 60.73 3.38 344 0.37 0.34
17 761 5778 | 2 60.82 335 3 04 0.34 0,31
17 117| 5778 | 4 60.87 3.32 3.09 033 0.26
17 230| 379 | 2 61.01 338 3.06 0.22 0.39
18 75| 5842 | 4 6141 3.36 2 99 0.27 0.97
0.1 48 uzl 5849 | A 6146 335 297 0.98 0.34
18 00| 5832 | 4 61.31 333 2.99 0.24 0.31
19 76| 5849 | 2 61.40 3:31 291 0.30 0.30
19 230| 3869 | 3 61.58 318 2.89 029 | 036
20 76| 5887 | 2 61.69 346 9 82 034 | 034
20 4417| 5887 | 2 6174 346 287 | 4-039 | + 032
Mai 44. 08! + 6368 | 2 | 4- 6794 |. ANM | — 499 098 | — 034
Columne I enthült die Bezeichnung der Lage des
Instrumentes, in der beobachtet ist; II das Datum
und die Sternzeit, für welche die Uhrcorrection gilt;
III die beobachtete Uhrcorrection; IV die Anzahl
der Sterne, auf denen die Zeitbestimmung beruht; V
die mit dem für die ganze Zeit constant angenom-
menen Gange 0;288 gerechnete Uhrcorrection; VI die
aus der oben gegebenen Tafel interpolirte barometri-
sche Verbesserung derselben; VII die Differenz Col. III
— Col. V, oder die beobachtete Unregelmässigkeit
der Uhrcorrection; Col. VIII die Differenzen der Zah-
len der beiden vorhergehenden Columnen, oder die
Abweichungen der Uhr von einem gleichfórmigen
Gange, nach Anbringung der Barometerverbesserung.
Sieht man die Zahlen der Col. VIII genauer an, so
bemerkt man sogleich, dass zwischen den den verschie-
denen Stunden der Rectascension angehórenden Uhr-
correctionen constante Differenzen bestehen. Ob diese
Differenzen ihren Grund in einer Fehlerhaftigkeit
des zu Grunde gelegten Fundamentalkatalogs, in etwa
noch vorhandenen, aber unbekaunten constanten Feh-
lern des Instruments oder vielleicht gar in den doch
nicht ganz verschwindenden Parallaxen der hellen
Sterne haben, kann hier nicht entschieden werden. So
viel aber ist klar, dass sie nicht der Uhr zur Last ge-
legt werden künnen, und ich habe daher kein Beden-
ken getragen, an die um 19^, 0^ und 11” Sternzeit
herum liegenden Uhrcorrectionen die Verbesserungen
+ 0505 +007 und + 0:03 anzubringen, um sie
mit den um 6” herum abgeleiteten vergleichbar zu
machen. Die so verbesserten Zahlen sind in der 9ten
Columne enthalten und zeigen eine noch auffallend
schónere Harmonie als die vorhergehenden. Die jetzt
noch übrig bleibenden Unregelmüssigkeiten sind so
gering, dass man sie wohl mit Recht den zufälligen
Beobachtungsfehlern zuschreiben kann. Dass der Gang
nicht während des ganzen Verlaufs vollkommen con-
stant gewesen ist, darf uns nicht Wunder nehmen, da
diese Änderung von Ende Januar bis Anfang Mai
nicht mehr als etwa 0:06 im täglichen Gange beträgt.
Das Pendel der Kessels'schen Uhr ist ein Quecksil-
berpendel. Sobald nun der Unterschied der Tempera-
tur der Stahlstange von der des Quecksilbers während
der letzten Periode der Beobachtungen nur um /,
Grad Réaumur von der im Januar stattgehabten ver-
schieden gewesen würe, in dem Sinne, dass der Stahl
gegen das Quecksilber würmer geworden würe, so
würde die oben erwähnte Änderung dadurch ihre Er-
klärung finden. Eine kleine Änderung der Tempera-
turen in diesem Sinne scheint allerdings statt gefun-
den zu haben. Die Ablesungen der beiden am Uhrkas-
ten befindlichen für diese Theile der Scale vollkom-
men mit einander übereinstimmenden Thermometer,
deren eins in der Hóhe des Quecksilbergefüsses, das
andere der Mitte der Stahlstange gegenüber sich be-
findet, ergeben folgende Zahlen:
oberes unteres
oberes unteres
Jan. 11 + 8295 + 3295 März8 + 392 + 3,2
18 + 3,97 + 3,97 15 + 2,9 GERT
Febr. 1+3,9 +3,9 29 +3,0 --3,0
8+3,6 +3,66 Apr. 5 +3,35 + 3,3
15 +3,55 +3,45 11+3,3 -- 3,25
März 1 +3,2 --3,2 19 + 3,55 + 3,5
Mai 12 += 4,6 +4,55
36*
567
Bulletin de l’Académie Impériale
568
Ich muss hierzu bemerken, dass die Ablesungen des
unteren Thermometers bei 4-320 unsicher werden. Um
indessen auch bei anderen Temperaturen über so kleine
Differenzen, wie 0205, mit Bestimmtheit entscheiden
zu können, bedarf es schürferer Beobachtungsmittel.
Das obere Thermometer scheint aber auch in andern
Jahren bei steigender Temperatur etwas hóher zu
stehen als das untere. Die äussersten Werthe, welche
während dieser Beobachtungsreihe für den doppelten
Schwingungsbogen abgelesen sind, betragen 2°20, und
2?25' indessen ist es bei diesen Ablesungen wohl
schwierig für 1 — 2 Minuten einzustehen. Da bei dieser
Grósse des doppelten Schwingungsbogens eine Ände-
rung um 1’ eine Änderung von 05033 im täglichen
Gange zur Folge haben muss, und im Januar und
Mai aber gerade die mittleren Werthe abgelesen sind,
so mögen die obigen Abweichungen grösstentheils wohl
durch Ablesefehler zu erklären sein, oder nur aus-
nahmsweise für kurze Zeiten statt gefunden haben.
Aus allem zusammen scheint hervorzugehen, dass
das Uhrwerk alles leistet, was von ihm verlangt wer-
den kann, und dass der Grund der Unregelmässigkei-
ten einer guten und sorgfältig aufgestellten Uhr nur
noch in den Störungen zu suchen ist, welche das Pen-
del durch die Einflüsse der Temperatur und der Ân-
derungen des Barometerstandes erleidet. Die ersteren
werden in den Beobachtungsräumen, welche starken
Temperaturwechseln ausgesetzt sind, nie ganz zu be-
seitigen sein, mag man nun Quecksilber- oder Rost-
compensation anwenden, sie kónnen aber durch Auf-
stellung der Uhr in einem Raume von so constanter
oder vielmehr von nur so langsam veränderlicher Tem-
peratur, wie der Centralkeller der Pulkowaer Sternwar-
te, verschwindend klein gemacht werden. Die letzteren
müssen durch Rechnung oder auf mechanischem Wege
beseitigt werden. Die Rechnung ist zwar sehr einfach,
sie setzt aber voraus, dass beständige, mehrmals am
1 H
Tage 5
gen gemacht werden, und ist, selbst wenn diese
fertig vorliegen, eine nicht unbedeutende Vermehrung
der Arbeit. Eine Beseitigung auf mechanischem Wege
wäre also wohl vorzuziehen. Dr. Robinson und später
auch Bessel haben beide eine Compensation durch An-
bringung von Barometerröhren vorgeschlagen, welche
der erstere in Armagh auch zur Ausführung gebracht
hat. Die Aufhebung des Barometereinflusses durch Auf-
stellung der Uhr in einem luftdicht abgeschlossenen
Gehäuse von genügender Festigkeit, wie sie bereits
mehrfach vorgeschlagen ist, dürfte aber doch, wenn
es gelingt sie auszuführen, Vorzüge vor den Com-
pensationsvorrichtungen haben; auch scheint Dr. Ro-
binson bereits 1831 einer Aufstellung der Uhr im
luftleeren Raume den Vorzug vor seiner Vorrichtung
eingeräumt zu haben.
Die beigegebene Zeichnung macht die Einflüsse des
Barometerstandes auf die Uhrcorrection graphisch an-
schaulich. Curve I stellt die barometrische Verbesse-
rung der Uhrcorrection dar wie sie aus den beobach-
teten Barometerständen berechnet und aus der Tafel
p. 561 u. 562 entnommen ist.
Curve II stellt die aus den astronomischen Beobach-
tungen folgenden Unregelmässigkeiten der Uhr dar,
wie sie auf p.561—566, Columne VII gegeben sind‘),
und endlich Curve III die nach Anbringung der Ba-
rometerverbesserung übrig bleibenden Fehler der Uhr,
nach Columne IX. Die einzelnen Theile der Abscis-
sen stellen Tage (Sternzeit) und die der Ordinaten
Zehntel der Zeitsekunde dar. Die Lithographie giebt
die Zahlenwerthe innerhalb 0:02 richtig wieder.
Nachtrag zu den Bemerkungen über Philodemus -
vegl evoeßelas, von A. Nauck. (Lu le 24 juin 1864.)
Am Schlusse meines Aufsatzes über die in den
Hercul. Volum. neuerdings publicirte Schrift des Phi-
lodemus (Bulletin T. VII p. 191—220 oder Mélanges
Gréco-Romains T. II p. 585 — 626) sagte ich, über
denselben Gegenstand sei von L. Spengel eine Ab- `
handlung zu erwarten. Erst spüter erfuhr ich, worüber
keine hierher gelangte Buchhündleranzeige Auskunft.
gab, dass diese Abhandlung bereits im vorigen Jahre
erschienen war), und bald bekam ich durch Autopsie
die Gewissheit, dass ich keinerlei Anlass hatte, dieses
Nichtwissen zu bedauern. Der Verfasser hat sich
nämlich auf das erste Heft des zweiten Bandes der
neuen Here. Vol. beschrünkt und vorzugsweise die
bereits bekannten Partien von Philodemus rept euos-
4) Es sind in der Zeichnung die in Col. IX enthaltenen Cor-
rectionen berücksichtigt.
1) Aus den Herculanischen Rollen. Philodemus NEPI EYZE-
BEIAZ von Leonhard Spengel. Aus den Abhandlungen der königl.
bayer. Akademie der W. I. Cl. X. Bd. I. Abth. München 1868.
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569
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
370
Beias durchgenommen, während ich gerade diesen
Theil geflissentlich unberührt liess”) und auf die wich-
tigsten Ergebnisse der erst in den Jahren 1862 und
1863 veröffentlichten Columnen mein Augenmerk
richtete. Spengel verglich den in Drummonds Her-
culanensia gegebenen Text mit der neuen Neapolita-
nischen Publication und suchte danach an mehreren
Stellen die ursprüngliche Fassung wiederzugewinnen,
wobei es ihm freilich öfters widerfuhr, bald nicht über
ein negatives Resultat hinauszukommen, bald dem
Philodemus absolut unmögliches zuzumuthen. Durch
seine Abhandlung sah sich H. Sauppe veranlasst
denselben Gegenstand nochmals aufzunehmen; er gab
in der Commentatio de Philodemi libro, qui fuit de
pietate (Güttingen 1864) auf viel engerem Raume einen
zusammenhängenden und bei weitem reineren Text.
Auch zu dem was Spengel im zweiten Supplement-
bande des Philologus aus den Herculanensischen Rol-
len ausgehoben hatte, liefert das Sauppesche Pro-
gramm p. 5 f. mehrere erhebliche Berichtigungen;
namentlich gehört dahin der bei Philodemus rept coc
(p. 59 der so eben mir zugehenden vortrefflichen Be-
arbeitung von Th. Gomperz) unversehrt erhaltene,
von Spengel nicht wahrgenommene Trimeter eines
Komikers,
«yaoxov Badlbers, où Tpoosyeıs caut» ët
, è 3
und die Erwähnung einer dem Achilles bei Sophokles
widerfahrenen Kränkung, wo Spengel, weil die So-
phokleische Litteratur des letzten Decennium ihm
nicht hinreichend bekannt war, den Text falsch be-
handelt und sogar in Betreff des Sophokleischen Dra-
mas sich getäuscht hatte.
Endlich hat Sauppe im Philologus XXI p. 139—
141 zu acht Tafeln von Philodemus mept evoeßsias
(Taf. 51. 52. 59. 89. 90. 92. 130. 131) Ergänzun-
gen und Verbesserungen mitgetheilt. Die nämlichen
Tafeln habe ich oben besprochen, und in den meisten
und wesentlichsten Punkten stimmen unsere Herstel-
lungen zusammen. Wie ich dieser Übereinstimmung
mich nur freuen kann, so glaube ich hoffen zu dürfen,
dass wir in Bezug auf manche Stellen, wo unsere
Meinungen oder Vermuthungen aus einander gingen,
2) Mit Ausnahme einer einzigen Stelle (Bulletin T. VII p. 194 f.
oder Mélanges Gréco-Rom. II p. 589 £), wo in dem bisher bekann-
ten Texte eine Zeile ausgelassen war.
noch uns einigen werden. Die erheblicheren Discre-
panzen sind folgende.
51. Sauppe: Meo [uczc]9ns dt Anpmtelpa] mntéoa
Seov é[oénlotv piav uge erg,
Nauck: Mehavirni]ôns dè Anuntelet] mntépa Seóv
[onjoiv péav ürapyferw.
Das Verbum é@révar ist mir hier unverständlich;
ich glaube daher auch jetzt noch dass das € der Neap.
Ausgabe ein Lesefehler ist statt eines P, von wel-
chem nur die erste Hälfte erhalten war. Der Accu-
sativ Anwntepa wäre nur dann möglich, wenn xai
untéoa Se» folgte.
52. S: tw; Bé quotv [éxet] xal Tapov Groe Set
XVUa Sa.
N: tıyls òè paci» [Seöv] xoi rapov [ély{uv Set
xyuc Sat.
Beide Ergänzungen sind in gleicher Weise unsicher:
övra aber kann ich nicht für zulässig erachten.
Eben da S: Zrnfoiyopols © & Opec eia èr]axorov-
Nas... . D Xt6.
N: Zrnlatyopcls 8’ Ev ’Opsoreila xat]uxo-
Acusycas ["Ho163]o xcé. Wenn ich xacaxoAco3:,0a.; dem
auch von mir ehemals vermutheten éraxohouSnoas
vorzog, so stützte ich mich auf Tafel 55: 'HoíoB]oc
dt xaxa[xoAovS|ncac Deg Sai" eipojevra rofet Tel-
para], ta te otu[yéouo: Seot] Tep.
59. S: ci» xeglarny, nv 0x0 Hoatocou [dlarpetrar.
N: tiv vegan, N] nò Hoalorou [S]argečtar.
Möglich dass Philodemus 7» geschrieben hat; na-
türlicher aber scheint mir der Nominativ, d. h. ich
vermuthe dass die Copisten hier, wie unendlich oft,
N und H verwechselt haben?). Unmittelbar nachher
S: xara [ò] ev Eöpohn[ov dumpe]Sévra [Aile
ro[rüo]ıv 9x6 IIaXaq.o[ov]oc.
N: xata [òè dén Eöpedn[ov d X6» ouvJévra [ra
EdpéX]ro[u črn] có Daiand ole,
Hier ist Maħapdovos vermuthlich nur ein Druck-
fehler statt Ilahauaovos. Sollte das Verbum mote»
stehen, so müsste es doch wohl heissen: Eŭpoàros òè
BuuosSéyca, Ala roe? nò Ilakapdoves. Übrigens bin
ich weit entfernt die von mir versuchte Herstellung
für sicher zu halten. Ferner
3) Statt anderer Beispiele erinnere ich an eine im vorigen Jahre
publicirte Inschrift bei Wescher-Foucart Inser. rec. à Delphes Nr
230: "Apyovros èu pèv “Hpaxisia Aegecëeiien Matpwyog Ocoðwpov
unvôs "Ha tou, £y Arieete ðt apxovrog "Hpvos 709 Hastorwvos pmvoe
“atov. Es muss heissen MHNOZ . NATOY, d. b. pnvos Évarou.
571
Bulletin de l'Académie Impériale
ST En met
S: xal tõv doyaíov» cc DNOUDYOY eren [v.]a[c]-
ehieglea tő Art [Z]re[(euv], rékexuv Exovra.
N: xal cóv aoyalov zb: Ömploupyöv ToÜTOY r.a [o]e-
o[rölra ze Ad ro[oïot] xéAexuv ETC,
Das Activum pavo ist überhaupt so ungewöhnlich
dass ich es dem Philodemus nicht zutrauen kann;
noch bedenklicher ist der davon abhängig gemachte
Dativ t Au, der sich meines Wissens nicht recht-
fertigen lässt. In dem überlieferten TTACEC..TA
scheint nichts anderes enthalten zu sein als eben
ralp]eo[tölra.
Nachher hat Sauppe einige mir unverständlich ge-
bliebene Zeilen vortrefflich hergestellt: xal tv pnpov
(TONOMHPON die Neap. Ausg.) [3] xata ToAA0Ug
[3«]e£s [x]. [£]» arte teépoly] «àv Atcvucov.
89. S: Apt[ep]s 9 dré tis Hoafs, vlait gek Ato-
undefus pJévrot xal Aoëcäicg xai Age, 6 Al xoi à.o-
«[s] roërepov, Uns òè Hoa kidene x[ai n Bacrhev]ovoa
rôv Sed» | Hoa] xat 6 voù Aw; G[9eA]oóc Ang’ [T]
8% [rañ]Sos 02 Hopalot[ou a]roksiteu.
N:Agfreuls à 9x5 vis Hoo[s x]oi gel Ato-
undofus pjévcor xat Apocôtrn xal Agns 6 fewòs] de
reëreoo[v, Uns ò ‘Hopajxhéouc [Hoa 3 &oy]ouco. Tüv
Sen. . xal [o] to Ag af[dex]pôs Adns ó 3& [Edv]-
Soç úno 'Hoatoz[ou zugkoiefrot,
Meinen Vorschlag Aons 5 Servos tà moóteQov gebe
ich gern preis; für das Sauppesche 6 òè xai akhote
roötepov dürfte der Raum indess nicht ausreichen. Die
nachher von Sauppe gegebene Ergänzung xal Qact-
Aeucucu tà» ey» “Hoa verdient vor der meinigen
den Vorzug. Dagegen glaube ich in den zuletzt ange-
führten Worten der Beistimmung Sauppes gewiss zu
sein. Das von-ihm gesetzte Futurum atoheito ist
hier schlechterdings unmóglich; es müsste heissen:
TÒ 82 nAf%os umo Hoalotou drorhutat. Aber was dies
bedeuten soll, ist mir nicht klar, wogegen meine Er-
günzung, ó òè Æaväos uno Hoatotou rupnohcîtat,
durch Il. ®, 342 ff. erläutert und gegen jeden Zweifel
sicher gestellt wird. Zwischen AAHC und OAE ist
in dem Neapol. Facsimile ein kleiner Raum leer ge-
lassen; der Schreiber des Papyrus wollte damit ledig-
lich eine durch den Sinn gebotene Pause bezeichnen,
wie in der drittletzten Zeile derselben Tafel vor den
sogleich anzuführenden Worten:
S: cofa 5]: IocunSeds ou [ex]a[dus], ara puptédac
[étov EraSev ox]o Auc ré,
-
L—
N: Sofa Ab IlpounSeus 038’ alna], aad optas
[éxóv t
Das von mir gesetzte o93' ara schliesst sich dem
Neap. Texte genau an; besser wäre vielleicht oùy
&ra&. Gegen Sauppes Vorschlag spricht, abgesehen
von der allzu freien Änderung, auch der Umstand
e P es 9 13
dass Philodemus bisher nicht von langwierigen Leiden 3
der Götter geredet hat, die zehn oder zwanzig oder -
dreissig Jahre hindurch dauern, sondern von Verwun-
dungen und Schlägen. -
90. S: xai rev [Ipon] zea Aveo Sot [roet] Atayudag,
Ste tò Alöyıov dpaj[vuce]» tò rept Oé[ndoks, de yos[a]y jd
eif] tv dÉ auris vyev(v]nSévzo. xoctx[]o xarao[xeud-
cjar [rlo5 rarpös [doy wa Soco deu roûro eixa]
teucty a[nodosnvafe a[vdpt. je 86; xat néien ger: —
Schaf noté onio" Olunpos, 9x9 tis [ Hoas] xal «ci
Ioce[dôvles xai ansro]vos 7 tijg ASw[v&]s cuvbe-
Svat. "
Ich habe nur die letzten Worte zu ergünzen ver-
sucht: tòv Ala] zeck qr|[oiv "Oj.]nooc und ris | How] |
xal tog Iloosıdövos — cuv3cSTyot. In Betreff des vor-
hergehenden Passus muss ich auch jetzt noch meine Í
Unwissenheit bekennen; xat géAAet» axofñvas ist mir —
durchaus rüthselhaft, und der von onciv"Oyngos ab-
hängige Satz ermangelt des Subjectes; soll dies aus
dem Zusammenhange ergünzt werden, so würde ge-
wiss jeder eher an den Prometheus als an den Zeus —
1 COME
denken.
Am Schlusse von Taf. 90 schrieb Sauppe: xat Ze —
.y wal,
rend ich mich strenger an die überlieferten Züge i
binde: xoi Zrnoty[Boolros texoðoav [aöeny [thv Ap —
cia[Bpo]tos rexoücav [pno] rnv Aptepty . . .
TERI Lx
Hiermit habe ich die bedeutenderen Discrepanzen
in Sauppes und meiner Behandlung der fragmentirten
Columnen von Philodemus reol eJosfs(ag erschöpft.
Auf Sauppes Vorschlüge in Betreff einiger von mif
PORTE PR PR HEP
À ANT PRE aes
ur des Ee
TM
ede
TETTE EBENEN Keen
Er
Cha dee A T
me
Base"?
nicht erledigter Stellen wurde gelegentlich oben hin- '
gewiesen, anderes was mir gar zu problematisch
scheint, übergehe ich‘). Nur eins muss ich noch her-
4) Wenn z. B. der Schluss von Tafel 51 ergänzt wird, xat Telé-
ofrns è A5] yov dot[ctov čyet ia "Dien... so dürfte an den beiden
ersten und den beiden letzten Worten, die allerdings leicht genug
sich errathen liessen, nicht zu zweifeln sein; das weitere aber ist ein
Spiel der Phantasie, das in ein Nichts zerrinnt, sobald wir uns die
Möglichkeit vergegenwürtigen , die überlieferten Elemente cro
NACT anders zu deuten, etwa zéi yoväg ei... oder v[Ae - ***
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
574
vorheben, was ich den Bemerkungen von Sauppe zu
danken habe; zu Anfang von Tafel 131 wird eine
Stelle des Hesiod Op. 81 f. citirt,
[Et rlavres "Orsu [mia] döpalı” Elyovres
[õp ]ov 289950» [rip av]öpaoıv &c(c ]op.£ [veto ]»v.
Das Citat des Philodemus bietet statt der gangbaren
Lesart rip’ avöpasıy dAonocict eine beachtenswer-
the Variante, von der anderweitig keine Kunde auf
uns gekommen zu sein scheint.
Zu Tafel 33 bemerke ich nachtrüglich dass die von
Philodemus aufgestellte Erklärung des Namens Iah-
Ads nicht ganz neu ist; wir finden wesentlich dieselbe
Erklürung bei Apollod. 3, 12, 3 oder Tzetzes in
Lycophr. 355 p. 559 ed. Müll.: paot yevınSeicav cy
'ASmyày napa Toiravı xoé£oso San, à Suyarnp nv IoXMis,
dupotéons Bb doxoUcas Ta wurd KOXELOV elg qrhovet-
xiav notè moosASeiw merdouang òè rAntreuw ths Mah-
Ados zéng Ala gcfaéurg, vr» alylda mporeivar, gu ài
edhaBnScicav avaghépar xal otos Umd TÄS ASnväs
rowSeirav nesei Adınyav òè reolAunov Er auti yeyo-
pevny Édavov Exelvng Zen TTT
Seivar rois otépvors Ty» Ederoev alylda xal mëi idpu-
cayévnv Tapa To Ac.
Schliesslich mag hier noch eine bisher nicht be-
sprochene Stelle des Werkes negt eUcegeías kurz be-
rührt werden, deren Entzifferung mir freilich nur zum
geringsten Theile gelungen ist. Tafel 87 besteht aus
zwei stark beschädigten Columnen, von denen die
erste durchgängig die Anfänge, die zweite die Enden
der einzelnen, Zeilen eingebüsst hat. Fast überall die-
selbe Zerstörung: ein Leichenfeld von Buchstaben-
trümmern, in denen nur selten ein unverletztes Wort
uns entgegentritt. Am besten ist noch das Ende der
ersten Columne erhalten: |
EYPINIAHC
AAKE K
N(G T OICO
ICON I TIETIOI
IMWNIAHC
OYPANON €
WMWNAY
CIN A.
YNEX KPA
NATKHC
Die Erwähnung des Euripides bezieht sich auf den
Anfang des Ion:
Athag, 6 Tënt gro: cUpavov
Scy narady etacg Exroldov, Geo
pic Équoe Maio, 3 p éyetvato
“Eopiv peyioto Zuvi, 3ozgóvov hoto.
Offenbar ist AAKE K nichts anderes als x AAKEeIC,
wie K und IC ausserordentlich häufig verwechselt
werden. Damit wäre wenigstens der Sinn der ersten
Zeilen in obiger Stelle, Evgrrtèns — [2v] "low zerei[n-
xev], ermittelt. Dass es sich um den Atlas handelt,
welcher das Himmelsgewölbe auf seinen Schultern
trägt, ergibt sich auch aus den nächsten Zeilen, wo
die Worte [Z]aoviöng, odpavöv und opov unverkennbar
sind. Endlich enthält der Schluss der Columne ein
Citat desselben Inhaltes aus Hesiod Theog. 517: "At-
Ans ò’ ovpavòv eup]üv ils) xpafrepis Ur’ a]vévens,
das im Anfange der nächsten Columne fortgesetzt
wird:
ECTI
TEK
XEPE
d. h. éot{nus, xepañÿ] te x[ad dange yepelootv,
Theog. 519. Die Hesiodeischen Worte retoaotv ev
vaine, modnap‘ Eorzpldwv A.yupovov (Theog. 518) hat
Philodemus vermuthlich deshalb ausgelassen, weil der
Inhalt derselben für seinen Zweck vollkommen gleich-
giltig war. In den Bruchstücken des Simonides finden
wir nichts was zur Ergänzung unserer Stelle dienen
könnte; fr. 18 bei Bergk Lyr. p. 875 wird Atlas nur
als Grossvater des Hermes, nicht aber als Träger des
Himmels erwähnt. Leider wird auch die Emendation
der Euripideischen Stelle durch Philodemus in keiner
Weise gefördert. Dass dieselbe in fehlerhafter Gestalt
überliefert ist, bedarf kaum des Nachweises. Zunächst
streitet der Ausgang drot: odpavöy gegen den so ge-
nannten Porsonschen Kanon. Diesen Anstoss glaubte
Hermann dadurch beseitigen zu können, dass er an-
nahm, der Dichter habe durch den ungewöhnlichen
Versbau den Druck fühlbar machen wollen, unter
welchem Atlas seufzt; er meinte kunc graviorem et
quasi ponderosiorem numerum bene convenire moli, quae
hic describitur. Sollen wir diesen Entschuldigungsgrund
gelten lassen, so muss der Nachweis geführt werden
dass Euripides oder irgend ein anderer Tragiker ähn-
375
Bulletin de l’Académie Impériale
liche metrische Freiheiten um ähnlicher Zwecke willen
sich gestattet habe. Der Komiker Rhinthon hat aller-
dings kein Bedenken getragen, dem Verse
Gs oè Atóvugoz old: ekaan Sein
die witzige Entgegnung
“Inrovaxtos To Létoov
- ~ 2 ~) folgen zu lassen; aber damit ist für
die tragische Poesie nichts bewiesen. Auch gegen das
von Meineke Soph. Oed. Col. p. 310 vorgeschlagene
Auskunftsmittel, vóta’ cupavcv zu schreiben, müssen
wir Protest erheben, einmal weil mit dieser Schrei-
bung nichts gewonnen wäre; denn ein Vers wie Soph.
Ai. 1101:
deer avaoasıy dv 68’ nysit’ olxoSey,
Ga
ist nicht minder fehlerhaft; sodann weil das Iota des
Dativus von den Tragikern überhaupt niemals elidirt
wird, weder im Singularis noch im Pluralis. Kurz der
Versschluss votes oüpavé kann dem Euripides nicht
zugetraut werden. Elmsley rieth zu einer Umstellung,
© vorerg yaňxéoow odpavov, Badham hielt ovpavoy für
ein Glossem und machte den Vorschlag ó yahxéouor
vorerat zeg, Ein derartiges Heilmittel könnte man
sich gefallen lassen, wenn nicht die nächsten Worte
bei Euripides,
Se» rahatoy teen Exrpidov, Scy
puäs Épuos Maiav,
neue Bedenken hervorriefen. Das Participium éxxot-
Boy, das Hermann und Dindorf in der wunderlichsten
Weise zu erklären suchen, ist hier ein offenbarer Un-
sinn, wie jeder einräumen wird der über die Bedeu-
tung dieses Verbum sich Rechenschaft gibt und das
vergleicht was wir vom Atlas hören, aetherios qui
sustinet axes (vgl. die bei Dindorf Annot. ad Aesch.
Prom. 430 verzeichneten Stellen). Was statt &xtoißov
ursprünglich gestanden habe, weiss ich nicht zu sagen.
Unzweifelhaft aber scheint mir dies dass Aca Sev
bës £oucs Maia statt Aas de SeGv pasa Eopuce Matay
eine Unmöglichkeit ist. Zur Bezeichnung der Frau
mit welcher jemand ein Kind zeugt, ist die Präpo-
sition èx schlechterdings nothwendig: statt éxcoígov
3cÓ» puds épuos Maïav muss also ein Ausdruck her-
gestellt werden wie èx IIAqtévqc équos Maiav. Einen
derartigen Ausdruck zu finden, der mit einiger Wahr-
scheinlichkeit hier gesetzt werden könnte ‚ist mir
nn
nicht gelungen; Kirchhoffs Vermuthung èx Dchergdäun
Kë Epuoe Maia verdient nur insofern Billigung, als
auch er die Präposition èx fordert; IleXcı«dov beruht
dagegen auf einem Versehen: Maia und ihre sechs
Schwestern werden Ilheades oder Deeg ie genannt,
nicht aber deren Mutter Pleione. Aus den bisherigen i
Erörterungen geht hervor, dass in den Worten Aca;
— olxov ein Participium vermisst wird. Am natür-
lichsten werden wir dasselbe an der Stelle suchen,
die bereits als fehlerhaft erkannt ist, d. h. zu Ende des
ersten Verses. Das metrisch anstüssige und für den
Sinn durchaus nicht erforderliche oupavév war ver-
muthlich zu Seöv nadarsv otxov als Erklärung hinzu-
gefügt, und durch dieses Glossem wurde das ursprüug-
liche Participium verdrängt. Danach müchte ich den
Anfang so schreiben: i
Athas ó yaddorar vireg pépov
Sev Tahaudy olxov,
das weitere aber dem Scharfsinn anderer überlassen.
Das Citat des Philodemus würde für die Herstellung
der beiden ersten Verse des Ion vielleicht selbst dann
ohne Ertrag geblieben sein, wenn es in unversehrter
Gestalt uns vorläge: wir müssen abwarten, ob die
Zukunft uns neue Aufschlüsse gewährt.
Über die Bestimmung des Kalks als Ätzkalk;
von J. Fritzsche. (L le 4 août 1864.)
Vor langer Zeit schon habe ich die Erfahrung ge-
macht, dass man bei Kalkbestimmungen, unbeschadet
der Genauigkeit, schneller zum Ziele gelangt, wenn
man das Calciumoxalat, statt es in Carbonat zu ver-
wandeln, durch Glühen in Ätzkalk überführt; schon
durch eine gute Weingeistlampe mit doppeltem Luft-
zuge gelang mir die völlige Austreibung der Kohlen-
säure jederzeit sehr leicht, durch Einführung der Gas-
lampen in die Laboratorien aber ist diese Operation
noch um vieles erleichtert worden. Bei meiner eben
publicirten Arbeit über die Doppelsalze von Calcium-
oxalat und Chlorcalcium habe ich von neuem Gele-
genheit gehabt, mich von der Vorzüglichkeit dieser
Methode zu überzeugen, und da ich sie nirgends em-
pfohlen finde, so will ich hier Versuche mittheilen,
welche ich über ihre leichte Ausführbarkeit angestellt
habe. Ich habe mich dabei eines Platintiegels bedient,
377
des Sciences de Saint- Petersbourg.
578
welcher bei 33"" Höhe eine obere Weite von 27™
hatte, und das Glühen wurde über einer Gaslampe
ausgeführt, welche aus sechs in einem Kreise von
112"" Durchmesser stehenden Bunsen'schen Bren-
nern bestand; der Druck des Gases in der Röhren-
leitung schwankte zwischen 12 bis 15 Millimetern.
I. 3,106 Grm. bei + 100° C. getrocknetes Cal-
ciumoxalat, welches durch Fällen einer heissen Lö-
sung von Oxalsäure mit einer neutralen Chlorcaleium-
lösung dargestellt worden war, und ein krystallini-
sches Pulver bildete, wurden zuerst bei gelinder Hitze
zersetzt, und dann der stärksten Hitze der Lampe aus-
gesetzt; als nach 15 Minuten langem Glühen der Ver-
such beendet worden und der Tiegel unter einer Glocke
über Schwefelsäure erkaltet war, ergaben sich 1,190
Grm. Rückstand, welcher vollkommen weiss und stark
zusammengeschwunden war, mit Wasser sich stark
erhitzte und in Salzsäure ohne jede Spur von Kohlen-
säureentwickelung löste. Es waren also 38,31 p. C.
Âtzkalk erhalten worden, die Formel C’Ca’0' + H°0
verlangt aber 38,35 p. C. und der Versuch hatte dem-
nach 99,9 p. C. der geforderten Menge gegeben.
II. 1,063 Grm. desselben Präparats wurden zuerst
so lange einer Hitze von 200 bis 215° C. ausgesetzt,
bis dabei kein Gewichtsverlust mehr stattfand, wodurch
0,932 Grm. oder 87,68 p. C. Rückstand und 12,32
p. C. Verlust sich ergaben. Die Formel verlangt 12,55
p. C. Krystallwasser. Die rückständigen 0,932 Grm.
trocknes Oxalat gaben 0,408 Grm. oder 43,77 p. C.
Ätzkalk, die Formel verlangt aber 43,75 p. C. Für
das wasserhaltige Salz beträgt diese Menge 38,38 p.O.,
also 100,08 p. C. der geforderten Menge.
III. 1,472 Grm. desselben Prüparats gaben 0,565
Grm. oder 38,38 p. C. Âtzkalk, also genau das Re-
sultat des vorhergehenden Versuches.
IV. 1,828 desselben Prüparats gaben 0,701 Grm.
oder 38,348 p. C. Ätzkalk, also 99,98 p. C. der ge-
forderten Menge.
Bei allen diesen Versuchen wurde das Glühen nicht
länger als 15 Minuten fortgesetzt und bei mehrmals
wiederholtem Glühen in keinem Falle eine weitere
Gewichtsabnahme beobachtet. Man erhält also hier
in 15 Minuten ein genaues Resultat durch ein Verfah-
ren, welches auch von dem Ungeübtesten ausgeführt
werden kann, wührend die Bestimmung als Carbonat
sowohl mehr Zeit als auch viel mehr Übung erfordert.
Tome VII.
Wie vortrefflich auch namentlich Fresenius *) diese
Methode beschrieben hat, so giebt es doch für das
ganz gelinde Glühen, welches nach der Behandlung
mit kohlensaurem Ammon vorgenommen werden soll,
weder einen sichern Anhalt, noch eine scharfe Gränze.
Mir hat ein so gelindes Glühen, durch welches gar
keine Kohlensäure ausgetrieben wird, nicht gelingen
wollen, denn als ich Caleiumcarbonat, welches sich
gegen Curcumapapier vollkommen indifferent verhielt,
nur 5 Minuten lang über der Flamme eines einfachen
Bunsen'schen Brenners so erhitzte, dass die Spitze
der ungefähr 40"" hohen Flamme noch gegen 30""
vom Boden des Tiegels abstand, und nur am Boden
des Tiegels ein so schwaches Glühen stattfand, dass
es bei Tageslichte kaum zu bemerken war, so brachte
dennoch die dem Boden zunüchst liegende Schicht
augenblicklich eine starke Bräunung des Curcuma-
papiers hervor.
Ich habe noch Versuche angestellt mit einem Tiegel
von 25"" Höhe und 37"" oberer Weite, und bei Men-
gen von nicht mehr als 1 Grm. Caleiumoxalat durch
15 Minuten langes Glühen ebenfalls einen vollkommen
kohlensäurefreien Âtzkalk erhalten; gróssere Mengen
bedurften eines längeren Glühens, doch waren 30 Mi-
nuten für eine Menge von mehr als 3 Grm. schon hin-
reichend.
Der Umstand, dass die Austreibung der Kohlensáure
aus dem zersetzten Caleiumoxalate durch die feine
Vertheilung des Carbonats begünstigt wird, und dass
sie auch noch durch sich ausscheidende Kohle befór-
dert werden kann, liess mich kaum erwarten, dass
Caleiumcarbonat eben so leicht sich vollstündig zer-
setzen werde, allein Versuche, welche ich auch mit
diesem Salze angestellt habe, sind nicht weniger be-
friedigend ausgefallen. Ein zu diesem Behufe durch
Fällen von Chlorcalcium mit kohlensaurem Ammoniak
dargestelltes Prüparat wurde in dem engeren Tiegel
ebenfalls leicht und vollständig in Ätzkalk umgewan-
delt, die dabei erhaltenen Zahlen aber sind weder unter
sich so übereinstimmend ausgefallen, wie beim Oxa-
late, noch stehen sie mit der Berechnung hinreichend
im Einklange. Auch nach dem sorgfältigsten Trock-
nen bei + 160? C. habe ich von einem Präparate stets
zu wenig, von einem andern dagegen zu viel Atzkalk
*) Anleitung zur quantitativen chemischen Analyse, 4te Auflage,
1857, p. 187.
s 36**
579
Bulletin de l'Académie Impériale
580
erhalten, und zwar zuweilen über ein halbes Procent
Differenz mit der Berechnung. Es ist dies ein Um-
stand, der jedenfalls mit der Constitution des durch
Fällung erhaltenen Calciumcarbonats zusammenhängt,
und weiterer Aufklärung bedarf; augenblicklich konnte
ich diesen Gegenstand nicht weiter verfolgen, führe
jedoch die erhaltenen Zahlen hier gelegentlich an,
und werde wohl später einmal auf sie zurückkommen.
I. 2,018 Grm. bei + 160° getrocknetes Calcium-
Hitin gaben nach 15 Minuten langem Glühen
1,122 Grm. oder 55,6 p. C. Rückstand, welcher, eben
so wie bei allen folgenden Versuchen, beim Auflósen
in Salzsüure keine Spur einer Kohlensáureentwicke-
lung erkennen liess. Die Formel verlangt 56,0 p. C.
II. 2,542 Grm. bei + 160? getrocknetes Prüparat
gaben nach 15 Minuten 1,419 Grm. oder 55,82 p. C.
Ätzkalk.
III. 1,982 Grm. bei + 160° getrocknetes Präparat
gaben 1,114 Grm. oder 56,20 p. C. Ätzkalk.
IV. 4,505 Grm. bei -+ 190° getrocknetes Präparat
gaben nach 15 Minuten langem Glühen bei einer we-
gen geringeren Gasdruckes bedeutend geringeren Hitze
2.818 Grm. oder 62,55 p. C. Rückstand; nachdem
aber das Glühen noch 30 Minuten lang fortgesetzt
worden war, ergaben sich nur 2,509 Grm. oder 55,69
p. €. Âtzkalk.
Bei noch weiteren Versuchen mit nur lufttrocknem
Präparate erhielt ich folgende Resultate:
V..3,500 Grm. hatten nach 5 Minuten langem Glü-
hen schon 0,930 Grm. verloren, nach nochmals 5
Minuten wiederum 0,520 Grm. und endlich nach 10
Minuten noch 0,093 Grm. Als nun nochmals 15 Mi-
nuten lang geglüht wurde, fand kein weiterer Ver-
lust mehr statt, welcher also im Ganzen 1,543 be-
trug; der 1,957 Grm. oder 55,91 p. C. betragende
Rückstand erwies sich vollkommen kohlensäurefrei.
VI. Von 3,000 Grm. eines anderen Präparats wur-
den 1,658 Grm. oder 55,26 p. C. Ätzkalk erhalten.
VII. 5,000 Grm. eines anderen Präparats gaben
2,785 Grit. oder 55,7 p. C. Âtzkalk. Dieser wurde 8
Stunden lang im geschlossenen Waagekasten stehen
gelassen, und hatte dabei nur 0,022 Grm. an Gewicht
zugenommen, welche sich als Wasser erwiesen; man
hat also nicht zu fürchten, dass ein Anziehen von
Wasser oder Kohlensäure während des Wägens irgend
einen Einfluss auf die Genauigkeit des Resultates FS
ben könne.
Alle diese Resultate beweisen zur Genüge, degt
auch die Umwandlung des Calciumcarbonats in Ätz-
kalk behufs der quantitativen Bestimmung leicht aus-
führbar ist, und als allgemeines Resultat ergiebt sich,
dass man bei der Bestimmung des Kalks als Ätzkalk
weniger Gefahr läuft, unrichtige Resultate zu erhal-
ten, als bei der Bestimmung als Carbonat.
Über die künstliche Bildung von Gay-Lussit;von
J. Fritzsche. (Lu le 18 aoüt 1864.)
Wenn man Lösungen von Natriumcarbonat und 4
Chlorcalcium zusammenbringt, so entsteht ein gelati-
nöser Niederschlag, welcher ganz das Ansehen von
Kieselgallerte hat, und wenn man concentrirte Lô-
sungen in einer Flasche stark zusammen schüttelt, so
erhält man eine mehr oder weniger feste Gallerte.
Überlässt man die so erhaltene Masse der Ruhe, so
veründert sie nach einiger Zeit ihr Ansehen und ihre
Beschaffenheit, und zwar auf verschiedene Weise je
nach der Temperatur, dem Concentrationsgrade und
den gegenseitigen Mengenverhältnissen der Flüssig-
keiten. "
‘Nimmt man 10 Raumtheile einer gesättigten Lö-
sung von Natriumcarbonat (von 1,185 bis 1,200 sp. D !
und schüttelt dieselbe mit einem Raumtheile einer
Chlorcalciumlósung von 1,130 bis 1,150 sp. G. zusam-
men, so erhält man ein gan nur noch flüssiges gelati-
j
LEE C "e
ELA TAN, e hs coL
LÉ A HERE er
nóses Magma, welches ziemlich durchsichtig ist und a
keine Spur von krystallinischen Bildungen durch das
Mikroskop erkennen lässt. Nach sehr kurzer Zeit
aber vermindert sich die Durchsichtigkeit der Masse,
während sie zugleich dünnflüssiger wird, und durch
das Mikroskop erkennt man, dass dies eine Folge des
Auftretens sehr kleiner, gut ausgebildeter Krystalle ist,
mit welchen sich bald die ganze Masse erfüllt. Man
sieht dabei gewöhnlich die gallertartige Masse in der
Flüssigkeit mehr oder weniger aufsteigen und am Bo-
den des Gefässes eine Flüssigkeitsschicht sich bilden,
was wahrscheinlich von den zahlreichen, durch das
Schütteln in die gelatinöse Masse eingemengten Luft-
blasen bewirkt wird; bald aber fangen die Krystalle
an zu Boden zu sinken, die gelatinöse Masse ver-
schwindet allmählich immer mehr und nach ungefähr
>81
des Sciences de Saint - Petersbourg.
2382
15 Minuten hat man nur noch einen am Boden lie-
genden pulverförmigen krystallinischen Niederschlag
und eine darüberstehende, mehr oder weniger klare
Flüssigkeit. Dieser Niederschlag nun ist Gay-Lussit,
und zwar erhält man ihn gewöhnlich nur aus gleich-
förmigen, gut ausgebildeten Krystallen bestehend; zu-
weilen jedoch scheidet sich gleichzeitig mit ihm eine
kleinere oder grössere Menge körniges Calciumcar-
bonat aus, was sich gewöhnlich schon dadurch zu er-
kennen giebt, dass die über den Krystallen stehende
Flüssigkeit sich nicht sogleich klärt, sondern eine
Zeitlang durch aufgeschwemmtes und erst später sich
absetzendes Calciumcarbonat opalisirend bleibt. Diese
Verunreinigung kann man jedoch gewóhnlich leicht
vom Gay - Lussit trennen, sowohl durch Abschlüm-
men mit der filtrirten Mutterlauge, oder überhaupt
mit einer hinreichend concentrirten Sodalósung, als
auch durch Seihen durch ein Tuch, welches hinrei-
chend fein ist um nur das sehr fein vertheilte Cal-
ciumcarbonat durchzulassen, den Gay-Lussit aber
zurückzuhalten. Eines solchen Tuches bedient man
sich auch am besten zur Trennung des Gay-Lussit's
von der Mutterlauge, worauf man ihn mehrmals rasch
mit Wasser abspühlt, und dann durch Pressen zwi-
schen oft erneutem Fliesspapiere schnell von aller
anhüngenden Flüssigkeit befreit. Durch Sammeln und
Auswaschen auf einem Filter kommt man nicht so
schnell zum Ziele, und setzt sich dabei der Gefahr ei-
ner beginnenden Zersetzung des Prüparats aus, denn
obgleich Wasser nicht sogleich zersetzend auf den
Gay-Lussit einwirkt, so darf man ihn doch nur mög-
-lichst kurze Zeit damit in Berührung lassen.
Eine nicht weniger vollkommene Bildung von Gay-
Lussit kann man auch durch andere als die ange-
gebenen Mengenverhältnisse der obigen Lösungen so-
wohl, als auch mit concentrirteren Chlorcalciumlösun-
gen und mit verdünnterer Sodalösung erreichen, wenn
man dabei nur zwei Hauptbedingungen erfüllt, welche
einerseits in einer gewissen Concentration der Soda-
lösung und andererseits in einem nicht zu grossen
Verhältnisse des Chlorcaleiums bestehen. So giebt z. D.
ein Theil der obigen Chlorcaleiumlösung auf 20 Theile
gesättigte Sodalösung, ein reines Produkt, und die
davon abfiltrirte Mutterlauge giebt auf neuen Zusatz
von Chlorcaleiumlösung neues, gleich schönes Pro-
dukt; ich konnte dies fünf Mal mit gleichem Erfolge
wiederholen, beim sechsten Male aber fand schon eine
geringe Ausscheidung von Calciumcarbonat statt, beim
siebenten Male war sie schon sehr bedeutend, und beim
achten Male endlich wurden nur noch sehr wenige
Krystalle von Gay-Lussit gebildet, dagegen vorzugs-
weise kugelfórmiges Caleiumcarbonat. Daraus aber
ergiebt sich, dass man nicht nóthig hat, die Concen-
tration der Sodalösung bis zur Sättigung zu steigern,
und in der That erhielt ich ein tadelfreies Prüparat
als ich unmittelbar eine gesättigte Sodalósung mit
dem vierten Theile ihres Volums Wasser verdünnte
und nun die entsprechende Menge Chlorcalciumlósung
zusetzte.
Als ich ferner zu 100 Th. gesättigter Sodalösung
10 Th. einer Chlorcaleiumlösung von 1,300 sp. G.
zusetzte, erhielt ich beim Schütteln eine so steife Gal-
lerte, dass das Gefäss umgekehrt werden konnte, und
dennoch war nach 15 Minuten alle Gallerte ver-
schwunden und fast reiner Gay-Lussit lag am Boden
des Gefässes.
Nicht ohne Einfluss anf die Bildung des Gay-Lus-
sit aus der Gallerte ist die Dauer des Durchschüttelns,
wie sich aus folgenden Versuchen ergiebt. Es wur-
den drei gleiche Gemenge bereitet, ganz in derselben
Proportion wie beim ersten Versuche; das eine dersel-
ben wurde 15 Secunden lang stark durchgeschüttelt
und dann ruhig hingestellt; das zweite wurde ausser-
dem noch während der Umwandelung ungefähr von
Minute zu Minute einmal horizontal umgeschwengt,
das dritte aber fortwährend stark durchgeschüttelt.
Als nach ungefähr 15 Minuten das zweite Gemenge
vollkommen in reinen Gay-Lussit umgewandelt war,
zeigten sich im ersten noch Reste von der Gallerte
und auch kleine Mengen von Caleiumcarbonat, im
dritten aber war gar kein Gay-Lussit entstanden,
sondern es hatte sich die Gallerte in einen sehr fein
vertheilten, nicht weiter untersuchten Niederschlag
verwandelt, welcher vielleicht krystallinisch war, aber
wenigstens sehr undeutlich und verworren. Als je-
doch dieses dritte Gemenge nun der Ruhe überlassen
wurde, so verwandelte sich der Niederschlag im Ver-
laufe von 6—8 Stunden vollständig in reine Kry-
stalle um, welche zwar dem Aussehen nach von den
rasch gebildeten verschieden waren, nichts desto we-
niger aber sich bei der Analyse als reiner Gay-Lus-
sit erwiesen. Eine solche langsame Bildung von Gay-
86***
583
Bulletin de l'Académie Impériale
584
Lussit, und zwar immer in dieser letzten Form fin-
det auch dann statt, wenn man Calciumcarbonat, 50-
wohl frischgefälltes als auch bereits getrocknetes, mit
einer concentrirten Sodalösung längere Zeit in Be-
rührung lässt. Dabei kommt es jedoch auf den Zu-
stand an, in welchem das Calciumcarbonat sich befin-
det, denn ich fand, dass ein, bereits in die rhomboë-
drische Form übergegangenes Präparat keine Ver-
änderung in Sodalösung erleidet, während ein von
misglückten Versuchen zur Darstellung des Gay-Lus-
sit herrührendes, mit Wasser mehrmals ausgekochtes
Präparat, welches unter dem Mikroskope so fein ver-
theilt erschien, dass von Erkennung einer krystallini-
schen Form keine Rede sein konnte, beim Verweilen
in Sodalösung nach Verlauf einiger Tage fast vollstän-
dig in Gay-Lussit umgewandelt worden war. Eben
so hatte sich ein kugelfórmiges Caleiumcarbonat, wel-
ches sich in einer durch kohlensaures Ammoniak bei
der gewöhnlichen Temperatur gefällten, verdünnten
Chlorcaleiumlösung nach nur 5 Minuten langem Ste-
hen gebildet hatte, und nach dem Auswaschen auf ei-
nem Filter rasch zwischen Papier getrocknet worden
war, beim Verweilen in einer concentrirten Sodalö-
sung schon nach 10 bis 12 Stunden theilweise in
Gay-Lussit umgewandelt, und viel vollständiger war
dies in derselben Zeit in einer gleichen Lösung ge-
schehen, welcher einige Sodakrystalle zugesetzt wor-
den waren, so dass also hierbei die Concentration der
Flüssigkeit einen wesentlichen Einfluss ausübt. Bil-
dung von Gay-Lussit aus frischgefälltem Caleium-
carbonat beobachtete ich in folgenden Fällen. In ei-
ner kochenden Lösung von 50 Grm. krystallisirtem
Natriumcarbonat in 50 Grm. Wasser bildete sich
beim Eintragen von 10 C. C. einer Chlorcaleiumló-
sung von 1,130 sp. G., bald ein schwerer, unter dem
Mikroskope als feinkórnige Flocken erscheinender Nie-
derschlag, und als dieser mit der Flüssigkeit ste-
hen blieb, welche bis auf ein Gesammtgewicht von
95 Grm. eingekocht war, verwandelte er sich im Ver-
laufe einiger Tage vollkommen in Krystalle von Gay-
Lussit. Dasselbe fand in derselben Zeit statt, als ich
eine grössere Menge der zum ersten Versuche ange-
wendeten Flüssigkeiten (ungefähr 1 Liter), welche auf
50° C. erhitzt worden waren, stark zusammenschüt-
telte, wobei die anfangs entstandene Gallerte sich sehr
bald in einen feinen Niederschlag umwandelte, der
sich zn Boden setzte und beim Stehen mit nur einem
kleinen Theile ihm gelassener Flüssigkeit in Gay-Lus-
sit überging. Demzufolge wirkt also erhöhte Tempe-
ratur auf die Umwandlnng der Gallerte in Gay-
Lussit nachtheilig ein, und weitere in dieser Hinsicht
angestellte Versuche haben dies bestätigt. |
Die Krystalle des auf die angegebene Weise erhal-
tenen Gay-Lussit’s haben, wie ich bereits erwähnte,
ein ganz verschiedenes Ansehen, je nachdem sie ent-
weder schnell unmittelbar aus der Gallerte sich ge-
bildet haben, oder langsam aus Calciumcarbonat in
einer Sodalösung entstanden sind. Beide Formen ge-
hören aber Hrn. v. Kokscharoff’s Ausspruche zu-
folge dem monoklinoëdrischen Systeme an, und zwar
ist die Form der schnell gebildeten eine Combination
vomGrundprisma mit einer (negativen?) Hemipyramide,
also ~P. — P., während die der langsam enstandenen
eine vollkommene monoklinoédrische Pyramide dar- `
stellt, welche aus zwei Hemipyramiden + P und — P,
ohne alle anderen Flächen, besteht. Die Krystalle der
letzteren Form, welche auf den ersten Anblick eine
grosse Ähnlichkeit mit Rhombenoctaédern haben, sind
fast immer bedeutend voluminöser, als die der erste-
ren, weil sie namentlich in der Richtung der Neben-
axen eine viel grössere Ausdehnung besitzen; sie bil-
den daher auch im trocknen Zustande ein gröberes
Pulver als die Krystalle der ersteren Form, und wäh-
rend diese sich mehlartig anfühlen, sind jene sandartig.
Beide Arten von Krystallen habe ich der Analyse
unterworfen und dabei folgende Resultate erhalten.
I. 1,581 Grm. lufttrockner, langsam gebildeter Kry-
stalle wurden durch Erhitzen mit Wasser zersetzt,
und das ungelöst gebliebene, sorgfältig ausgewaschene
Calciumcarbonat zur Austreibung der Kohlensäure 15
Minuten lang auf die in meiner Abhandlung über die
Bestimmung des Kalks als Ätzkalk angegebene Weise
geglüht, wobei 0,316 Grm. Rückstand erhalten wur-
den. Nach weiterem 15 Minuten langem Glühen wog
der Rückstand nur 0,001 Grm. weniger, er hatte aber
durchaus nicht die Beschaffenheit des aus reinem,
durch kohlensaures Ammoniak gefällten Calciumcar-
bonate erhaltenen Ätzkalks, denn er war weder leicht
zerreibbar, wie dieser, sondern bildete feste, harte
Stücke, auch löschte er sich nicht mit Wasser, son-
dern zeigte beim Benetzen und Stehen damit weder
eine Erhitzung noch ein Zerfallen. Da er nun ausser-
585
des Sciences de Saint - Petersbourg.
586
dem beim Auflösen in verdünnter Salzsäure, welches
ziemlich langsam erfolgte, einen geringen Kohlensäure-
gehalt zeigte, und am Deckel des Platintiegels ein
geringer Anflug bemerkbar war, welcher befeuchtetes
Lakmuspapier augenblicklich stark bläute, so ver-
muthete ich einen Rückhalt von Natron darin, und
ein solcher ergab sich auch als die salzsaure Lösung
durch kohlensaures Ammoniak gefällt und der Rück-
stand vom Abdampfen der vom Niederschlage ab-
filtrirten Flüssigkeit geglüht wurde. Die dabei zu-
rückbleibenden Chlorverbindungen gaben einen Ge-
halt von 0,010 Grm. Natriumcarbonat, und ausserdem
waren in Folge eines grossen Gehaltes der Flüssig-
keit an Ammoniaksalzen 0,003 Grm. Calciumcarbonat
nicht ausgefällt worden. Das neugefällte Calciumcar-
bonat gab nun beim Glühen 0,296 Grm. eines ganz
normalen Ätzkalks, welche 0,528 Grm. und mit obi-
gen 0,003 Grm. 0,531 Grm. oder 33,59 p. C. Cal-
ciumcarbonat entsprechen. Aus der vom Zersetzen
des angewendeten Präparats erhaltenen Flüssigkeit
wurden 0,558 Grm. Natriumcarbonat erhalten, mit
obigen 0,010 Grm. also 0,568 Grm. oder 35,91 p. C.,
und als Verlust bleiben demnach 30,55 p. C. Wasser.
II. 2,043 Grm. lufttrockner, schnell gebildeter Kry-
stalle wurden auf gleiche Weise behandelt und bei der
ersten Kalkbestimmung ein Rückstand von 0,406 Grm.
erhalten, welcher sich dem obenbeschriebenen ganz
gleich verhielt. Durch Auflösen in möglichst wenig
Salzsäure und Fällen mit geringem Überschusse von
kohlensaurem Ammoniak wurden daraus 0,590 Grm.
Ätzkalk erhalten, welche 0,696 Grm. oder 34,09 p. C.
Calciumcarbonat entsprechen. Die abgedampfte erste
Flüssigkeit gab 0,714 Grm. Natriumcarbonat, aus der
zweiten aber wurden noch 0,017 Grm. davon erhal-
ten, im Ganzen also 0,731 Grm. oder 35,78 p. C. Der
Verlust betrug 30,13 p. C.
In 100 Theilen
Berechnet Gefunden
É II.
CCa?03 100. 33,78. 83,59. 34,09.
CNaiO 106. 85,81. : 35,91. 35,78.
5H?0 90. 30,41. 30,50. 30,18.
296. 100. 100,00. 100,00.
Das Vorhandensein eines Natrongehaltes in dem
erhaltenen Calciumcarbonate und der alkalisch reagi-
rende Anflug am Deckel des Tiegels, worin dasselbe
geglüht worden war, haben mich zu Versuchen über
den Grund dieses Verhaltens veranlasst, diese sind
jedoch noch nieht geschlossen und ich behalte mir
ihre Mittheilung vor.
Wasser zersetzt bekanntlich den Gay-Lussit, und
zwar wirkt es, wie H. Rose durch Auslaugungsver-
suche gefunden hat (Pogg. Ann. 93, 609), schneller
auf das entwüsserte Doppelsalz ein, als auf das wasser-
haltige. Beobachtet man diese Einwirkung unter dem
Mikroskope, so erscheint das entwüsserte Salz, wenn
man sich dazu der langsam gebildeten Krystalle be-
dient, zuerst ziemlich gleichmüssig opalisirend und
etwas brüunlich gefürbt; bald aber werden die Kry-
stalle in ihrem Innern dunkler und vollkommen un-
durchsichtig, und scheinen dann gleichsam mit einer
brüunlichen Hülle umkleidet, unter welcher man eine
kórnige Masse entstehen sieht, in welche sich endlich
auch die brüunliche Hülle umwandelt. Als Resultat
der Zersetzung erhält man ein Haufwerk von kórnigem
Caleiumcarbonat, ganz ühnlich wie es auch aus dem
wasserhaltigen Salze entsteht, welches zuerst ganz
durchsichtig ist, und sich von der Oberflüche aus all-
mählich in Körnerhäufchen umwandelt. Ob auch hier
eine momentane Auflösung des Doppelsalzes als solches
statt findet, muss ich dahingestellt sein lassen.
Ich will nun nur noch ganz kurz einiger Versuche
erwähnen, welche ich mit concentrirten Chlorcaleium-
lösungen angestellt habe. Lässt man in eine gesättigte
Sodalösung einzelne Tropfen einer Chlorcaleiumlösung
von 1,400 spec. Gew. einfallen, so sinken diese zu
Boden, und da sie sich dabei mit einer gallertartigen
Hülle umkleiden, so breiten sie sich auf dem Boden
des Gefässes zu flachen, runden Kuchen aus. Die an-
fangs ganz durchsichtige Hülle wird bald opalisirend,
die Kuchen schwellen durch Osmose allmählich an, und
nehmen eine gewölbte, brodartige Form an, endlich
aber wird die Hülle an einzelnen Punkten der ge-
wölbten Oberfläche durchbrochen und es tritt aus ih-
nen die um vieles verdünnter gewordene Chlorcalcium-
lösung heraus; da dies sich sogleich mit einer unlösli-
chen Hülle umgiebt, so wird dadurch die Bildung un-
regelmässiger fadenförmiger, nach der Oberfläche zu
wachsender Anhängsel veranlasst, welche ganz das
Ansehen‘ von Stalaktiten haben. Die Hüllen der zu
einem mehrmals grösseren Volumen angewachsenen
Tropfen wachsen durch Krystallbildung am Boden des
Gefässes fest, und bekleiden sich dureh allmähliche Ver-
roh
597 Bulletin de l’Académie Impériale
des Sciences de St. - Petersbourg. 588
mischung der beiden Flüssigkeiten auch auf ihrer
ganzen Oberfläche mit Krystallen, so dass sie endlich
eine feste, krystallinische Kruste bilden; ein Theil des
Chlorcalciums wenigstens bleibt aber in ihnen zurück,
denn wenn man sie auch nach mehrtägigem Verweilen
in der Sodalösung darin zerdrückt, findet augenblick-
lich eine gallertartige Ausscheidung in ihrer Umge-
bung statt. Die krystallinische Kruste besteht aus
mehrerlei Krystallen, unter denen ich Gay-Lussit
an seiner charakteristischen Form erkennen konnte;
einer weiteren Untersuchung habe ich sie nicht unter-
worfen und beschränke mich hier auf die Beschreibung
der Erscheinung.
Setzt man einer concentrirten Chlorcalciumlósung
kleine Mengen von concentrirter Sodalósung zu, und
schüttelt das Gemenge stark durch, so findet, ebenso
wie im umgekehrten Falle, eine gelatinóse Ausschei-
dung statt, und auch diese wandelt sich gewóhnlich
nach kurzer Zeit mehr oder weniger vollstándig in
Krystalle um, welche die Form hóchst dünner Tafeln
haben. Als ich 30 C. C. einer Chlorcalciumlösung von
1,350 spec. Gew. mit 3 C. C. einer concentrirten Soda-
lösung zusammenschüttelte, nahm die gelatinöse Aus-
scheidung schon nach 5 bis 10 Minuten Krystallform
an, und die Krystalle erhielten sich bei ruhigem Stehen
einige Tage lang. Allmählich jedoch bildeten sie sich in
lange, dünne Prismen um, und nach einiger Zeit waren
auch diese verschwunden und in amorphes Calcium-
carbonat übergegangen. Über die Natur dieser Kry-
stalle kann ich keine weiteren Aufschlüsse geben, denn
ibre Isolirung hat mir nicht gelingen wollen. Ich
glaube aber vermuthen zu können, dass sie meinem
Doppelsalze von Chlorcaleium und Calciumcarbonat
angehóren.
=
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L’Académie a reçu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Statistike Tabeller for Kongeriget Norge. Nittende Række
Christiania 1859. Fol. obl. |
Beretning om Bodsfengslets virksomhed i Aaret 1859.
Christiania 1860. 8.
Monumenta historica Slavorum meridionalium. Povjestni
ee me
spomenici juznich Slavenah. Izdaje Ivan Kukuljevié
Sakcinski. Knjiga I. Acta croatica. Listine hrvatske,
U Zagrebu 1863. 8.
Arkiv za povjestnicu jugoslavensku. Knjiga VI. VII, ure-
dio Ivan Kukuljevié Sakcinski. U Mletcih 1863. 8.
Supplementi al saggio bibliografico della Dalmazia e del
Montenegro di Giuseppe Valentinelli. Zagabria 1862. 8;
Archiv für wissenschaftliche Kunde von Russland. Her-
ausgegeben von A. Erman. 22ster Band 4tes Heft.
Berlin 1863. 8.
Hube, Rom. Studia nad kodeksem karnym 1818 roku.
Szesz pierwsza. Warszawa 1863. 16.
Baltische Monatsschrift. Band VIII. Heft 3. 4. 5. 6. IX. 1.
Riga 1863. 64. 8.
Khanikoff, Nicolas de. Mémoire sur la partie méridio-
nale de l'Asie centrale. Paris 1861. 4.
Hekekyan Bey. A treatise on the chronology of Siriadic
monuments. London 1863. 8.
Chevalier, Michel. Le Mexique ancien et moderne. Pa-
ris 1863. 12.
Shaffner, Col. Tal. P. History of the United States: of
America: from the earliest period to the present
time. Div. I— V. (Vol. I. IL) New York. 8.
Engel. Le congrés international de statistique à Berlin,
Berlin 1863. 4.
— Der internationale statistische Congress in Berlin.
Berlin 1863. 8.
Steiner. Codex inscriptionum romanarum Danubii et
Rheni. IV. Theil. N* 4. 5 nebst Register. Gross-Stein-
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— Sammlung und Erklürung altchristlicher Inschriften in
den Gebieten der oberen Donau und des Rheins aus
den Zeiten römischer Herrschaft. Seligenstadt 1859. 8.
Conestabile, Giancarlo. Second spicilegium de quelques
monuments écrits ou épigraphes des Etrusques. Pa-
ris 1863. 8.
Raccolta di poesie edite ed inedite di Antonio Armeni
del fu Pietro. Venezia 1863. 8.
Yu-Kiao-Li. Les deux cousines. Roman chinois. Trad.
nouvelle par Stan. Julien. 9* édition. Paris 1864.
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Librum Jonae Prophetae exposuit Franciscus Kaulen.
Moguntiae 1862. 8.
Piper, M. Ferd. De la représentation symbolique la plus
ancienne du crucifiement et de la résurrection de
Notre-Seigneur. Paris 1861. 8.
— Über den Verfasser der dem Athanasius beigelegten
Schrift de Paschate. Nebst Annalen des Jahres 1861.
Berlin 1862. 8.
— Der Baum des Lebens. Berlin 1863. 19.
Evangelischer Kalender. Jahrbuch für 1863. Herausgege-
ben von Ferdinand Piper. 14ter Jahrg. Berl. 8.
Paru le 6 octobre 1864.
BULLETIN
DE
L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES
DE
S'-PETERSBOURG.
TOME HUITIÈME
is
(Avec $ Planches et 1 Supplément.)
Mo. Bot. Garden.
L 909 ——— —
Sr. -PÉTERSBOURG, 1865.
Com wissionnaires de l'Académie Impériale des sciences:
à St-Pétersbourg. à Riga.
M. M. Eggers & Comp, M. Samuel Schmidt,
à Leipzig.
M. Léopold Voss.
Prix du volume: 2 Roub. 70 Kop. d'arg. pour la Russie, 3 Thl. de Prusse pour l'éi.anger.
Ge WONTON 350. vot
T a Lët, nsu nob siis qoe zl tug ges A "auf
SR SOT og
TABLES DES MATIÈRES.
A. TABLE SYSTÉMATIQUE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES.
MATHÉMATIQUES.
Bouniakowsky, V. Sur deux questions d’analyse indéterminée, propo-
sées dans le journal: «Zeitschrift für Mathematik und Physik».
163 — 170.
Majewsky, N. Sur le mouvement des projectiles oblongs tinis des
bouches à feu rayées. (Avec deux planches.) 181 — 185.
ASTRONOMIE.
Clausen, Th. Ephémérides des deux cométes de Biela pour leur ap-
parition de 1865 — 1866. 57 — 62.
Fuss, V. Calcul de l'orbite de la omite 1861 III. 50 — 57.
PHYSIQUE DU GLOBE.
Moritz. Les tremblements de terre dans la Caucasie. 384—891.
Sass, le baron A. de —. Recherches sur les variations du niveau de la
Baltique. Second article, 65 —81. Troisième article, 433 — 465.
CHIMIE.
Ja aworsky, W. De l’action de € de natrium sur le nitro-
toluol et la nitronaphtaline.
— Sur quelques combinaisons du toluol. 875— 880.
Sokolof, N. Sur les chlorures du phenyle. 589—545.
Werigo, A. Action de l'amalgame du sodium sur les hydrocarbures
mononitrés de la formule €, Ba . 810—3816.
Zinine, N. Action de l’acide E Men sur l’azobenzid. 173.
weienger ET GÉOLOGIE.
Helmersen, G. Le puit arté Pét
185 —
170—173
arehnnro fA
=
planche.)
— Sur le bassin houiller de Donetz et son avenir industriel.
465 — 523.
Kokeharof, N. Notice sur le pyroxène russe. 371 — 375.
Schmidt, Fr. Recherches sur les phénomènes produits par la période
de glaces en Esthonie et à l’île d'Oesel. (Avec une planche.)
8 3
BOTANIQUE.
Famintzine, A. Action de la lumière sur la croissance du cresson.
(Extrait.) 545 — 549.
ZOOLOGIE ET PALÉONTOLOGIE.
Brandt, J. Rapport sur les acquisitions dont s’est us le musée
pur de l’Académie er l'année 1864. 241 — 245.
— Remarques sur la classification des vertébrés à sang froid,
serv SÉ p — à cette question: qu'est-ce qu'un poisson?
eye sadi pu
— Matéria ervir à la connaissance des différents états de
‘developpement de espèces de poissons ganoïdes. (Extrait.)
538
Morawitz, Aug. Sur une nouvelle forme du mäle chez les Mutilles,
et revue des espèces de cet insecte, observées en Europe.
82 — 141.
Nojine, N. Sur un cas de génération alternante chez la Gergonia
proboscidalis et sur la larve du Rhizostoma Aldrovandi. (Avec
une planche.) 214 — 218.
Volborth, A. ed le Baerocrinus, nouvelle ro de crinoide, trouvée
en Esthonie. (Avec une planche.) 177 —
Weisse, J. Les ponts du lac Ladoga
en des substances retirées i. Lg da lac de Ladoga.
969 — 371
ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE.
— A. Re physiologiques sur le coeur de l'ecrevisse.
werte, Th. Recherches sur la histologie des corpuscules du
bes (Avec 1 une E 561 — 572.
orum i
Rapport sur le premier concours au prix Rklitzky, fondé pour les
5.
ZE
teurs dans le cerveau de la grenouille, serva
recherches sur le même objet faites dans le laboratoire de M.
Schiff. 145 — 162.
— De l'action excitante du sang sur les centres cérébro-spinaux
de la ps 380 — 384,
Weisse, J. nes pour servir à l'oologie des Rotateurs. (Avec
une planche) 203 — 214. :
IN
PHILOLOGIE ET HISTOIRE.
Brôsset, M. Etudes sur l'historien arménien Mkhitar d’Airivank,
XIII S.; I et II parties, de la création du monde au commence-
ment de l’ère chrétienne; III partie, jusqu'en 1289 de J. C.
892 — 416.
— Activité littéraire des Géorgiens et des Arméniens. 549 — 561.
Dorn, B. Sur la collection de manuscrits orientaux, achetée par la
Bibliothèque Impériale publique à M. Khanykof. 245—309.
Lerch, P. Sur le suffixe du pluriel dans la langue ossète. 43 — 50.
tal.
sieur, A KR tibétaines. 9 — 21.
8. 85—43.
ossète
er F. pedis de Darius contre les Scythes en 513. 316— i
apport sur un voyage fait en 1863 dans (KR: orien- à
Wiedemann, F. Rapport sur un voyage exécuté en 1863 en vue des
e es dr linguistique. 32 — 35.
Gt, € P.—. Matériaux pour servir à l'étude de la langue
ee vi de la langue avare. Extraits de lettres à M.
Schiefner 9.
Bulletin des séances. 219 — 234.
Bulletin bibliographique. 62—64, 173—176, 368, 431—432, 572—576.
État du personnel de l'Académie Tapériale des Sciences au 1 mars
1865. Leg 240.
E
Supplément. Revue des travaux de l'Académie pour la botanique,
M.
depuis la moine de la compagnie jusqu'à nos jours. Par
Buptecht. — 16.
B. TABLE ALPHABÉTIQUE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
Adams élu membre correspondant. 254.
Aerolithe de Pallas, v. G. Rose et Commissio
Ambassade d'Espagne transmet un exemplaire de Yalnatach nau-
tique pour pc publié par l'Observatoire astronomique de S.
Ferdinand.
er, E., recommande un travail de M. le vb Sass. 223.
— commissaire pour un mémoire de M. Gutzeit. 223.
— iar iv d'une commission chargée de bie des réglements,
pour la —n du prix, peri en son honneur. 223. 227.
— propose de ne er le droit de faire les moules
d'aprés les ere de la ed académique. 227
— membre de la commission du prix Rklitzki. 231.
Berge, v. Brosset.
Bohnstedt, v. Jacobi
Bóhtlingk, commissaire pour le rapport de M. Radloff sur un
voyage fait dans les gouvernements de Tomsk et de Iénisseisk.
220. 222.
— et Kunik présentent leur rapport sur deux articles de M.
Schleicher. 220.
— présente, au nom de M. Maximowicz, plusieurs ouvrages ja-
ponais. 222.
— membre d'une commission chargée de orig des réglements
pour la distribution des prix Baer.
— membre d'une commission pour les See linguistiques de M.
velie € Rapport. 229.
Bonnel, v.
Borissiak, v. "uere
Borszezow. Son ouvrage, in tulé: Matériaux pour servir à la géo-
graphie botanique de h région wo UE EEE est admis dans
le recueil russe de l'Académie.
ni 2 e Sur deux questions en indéterminée propo-
le journal: Zeitschrift für Mathematik und Physik.
"A - |
zu A. Observations physiologiques sur le coeur del’ecrevisse. 416.
randt, Th., recommande une notice de M. Weisse. 221. 231.
— membre d'une commission chargée de préparer des réglements
pour eg distribution des prix Baer. 223. 227.
— E, eee un mémoire de M. Volborth. 223.
atériaux pour servir à la connaissance des différents états de
ement des espèces de poissons ganoides. 224. 535.
ande une notice de M. Paulson. 224.
— . membre de la commission du prix Rklitzky. 231.
on des vertébrés à + Lg Sieg
de repense à cette question: qu'est-ce qu'un poisson
Bremer, «Les Lépidoptères de la Sibérie et particulièrement ceux
du pays de l'Amour.»
Brosset, M., présente un article, intitulé: Elégie sur les malheurs
d’Edchmiadzin et de l’Arménie, par Stephannos, metropolitain
de Siounie. 222,
— présente des copies fac-simile des inscriptions géorgiennes, re-
cueillies par le P. Nersès Sargisian. 222,
— «Histoire de la Siounie par Stephanbos: Orbelian», 222
— membre d'une commission pour la traduction française, faite
ar M. Charmoy, de Cheref-Namé. 222. 225.
— fait hommage, au nom de M. Bergér, d'un ouvrage. 225.
— «Sur les inscriptions géorgiennes et autres, recueillies par le P.
Nersès Sargisian». 225. 232.
— Études sur l'historien arménien Mkhitar d’Airivank, XIII S.;
I et II parties, de la création du monde au commencement de
l'ére chrétienne; III partie, jusqu'en 1289 de J. C. 283. 892.
— Activité littéraire des Georgiens et des Arméniens. 549.
Bruun, v. Kunik.
Charmoy, v. Commission.
Cheref-Namé, v. Commission.
Claus, v. Jácobi et Fritzsche.
es a ont cométes de Biela pour leur appa-
EE xs. Zog roti tait R traduction française, faite par
moy, de Cheref Namé. (MM. Brosset, Dorn et Vé-
Halter, Zernof). 225.
— chargée de préparer des réglements pour la distribution des
prix Baer r, Brandt, a Vessélofski,
Ofsianuikof et Sékrono 993.
— pour les travaux linguistiques de r^ “Radloff (MM. Dorn,
Böhtlingk, Schiefner et Véliaminof- Zernof.) 226. Rap-
port. 229.
— Im périale archéologique remercie de l'envoi de diverses
publications de l'Académie. 228.
— pour la proposition de M. G. Rose relative à l'aerolithe de
Pallas (MM. Tl Helmersen, Abich, Fritzsche et
Kokcharof). 2
— du prix riti (MM. Baer, Brandt, Ofsiannikof et
Schrenck). 281.
Cureton, membre correspondant, décédé. 219.
Département asiatique — — ouvrages en langue per-
sanne achetés à Téhéran. 2
| — des relations Zeeche transmet un ouvrage de M. Re-
` d mv
— hydrographique fait parvenir une colleetíon me
ali geed, retirées du fond du lac de Ladoga.
VI
n, B. présente un ouvrage de M. le comte Gobineau et une
brochure de
— membre d'une. commission pour la traduction francaise, faite
par M. Charmoy, de Cheref-Namé. 222, 225.
— membre d'une commission chargée d'examiner les travaux lin-
guistiques de M. Radloff. 226. 2
— Sur la collection de manuscrits orientauz achetée ee la Biblio-
thèque Impériale publique à M. Khanykof. 233. 2
Famintzine, A. Action de la lumière sur la croissance in cresson. 545.
Fritzsche, J. recommande un travail de M. H. Struv m
— présente une notice sur le dosage de la chaux
— lit une notice sur la préparation artificielle du Gees 221.
— recommande une notice de M. Jaworsky. 228.
— offre, au nom de M. G. Rose, un ouvrage. 229.
ne commission E la proposition de M. G. Rose,
relative à Paerolithe de Pallas. 229.
— et Jacobi présentent leur rapport sur un mémoire de M. Claus.
230
Fuss, V. Calcul de l'orbite de la comète 1861 IJI. 50.
— vy. 0, Sin uve.
Geiser, v
Gerstfeld. Rr les relations de la Russie avec les contrées de l'Asie
occidentale» 228
Glasenapp, gouverneur militaire de Nikolaief, offre les ossements
un jeune mastodon, trouvés près de cette ville. 232.
Glehn, «Voyage au pays de éen et à l’île de Sakhaline». 229.
Gobineau, le comte, v. Dor
Grot, J. Lit un an à des travaux de la Classe de la langue
et de la en russes pour l’année 1864. 233.
Guédéonof, v. Kun
Gutzeit, v. Baer et Rocher
val G. Le puits d'A tersbourg. 185. 230.
iträge zur Hernies des Russischen Reichs». 228,
— Mene d'une commission pour la proposition de M. G. Rose
ele à l’aerolithe de Pallas.
— Discours sur Gë conditions géologiques et physiques de St.-Pé-
Sean?
— lit une notice sur les surfaces oir NA de contact. 221.
— membre d'une commission pour d proposition de M. G. Rose
relative à l’aerolithe de Pallas.
zi Clan SH este: leur Zeg sur un mémoire de M.
aus.
. 170.
gier combinaison du toluol. 375.
— E, CU
Khanykof, v.
Kokeharof. eo Pu Lepolite.» 219.
— Notice sur le pyrozéne russe. 220. 371.
— Communication verbale concernant la cristallisation du chio-
ithe. 221,
— commissaire pour un mémoire de M. Gutzeit. 223.
— «Notice Sur le okee Zen ». 226. 231.
— membre n pour os tie dod de M. G. Rose
ges : feet: Ge ve Pallas. 2
Kunik, A e un article de X Guédéonot 223.
_ ie br ieis articles, écrits sur l'invitation de M, Pogo-
dine, concernant la question des Wariagues. 295.
missaire
— com pour un mémoire de M. Bruun. 229, Rapport. 230,
Kunik recommande un mémoire de M. Smitt. 230.
— dépose sur le bureau le manuscrit du un Geet de M. Bonnell
sur la chronographie lithuanienne. 232.
— et Böhtlingk présentent un rapport sur deux articles de M.
Schleicher.
upffer, A. Porte à la connaissance de Georg 2 bei d'un
agrandissement que doit recevoir le s s observations
météorologiques, dirigées par bei vatolre je cen-
tral. 222.
— chargé d'examiner une notice de M. Borissiak. 223,
— Communication des résultats de sa mission à l'étranger. 231.
Langlois, v. Dorn
| Len
enz, E. Communieation verbale des sgg de ses expériences sur
la ventilation au moyen des poéles.
— P. Sur le suffixe du pluriel dans la ona osséte. 43.
v. Schiefner.
Lingenthal, v. Zachariae von Lingenthal.
Linsser. «Quatre occultations des Pleiades, observées par De-
l'Isle.» 219.
| Maximowiez, C. offre une collection de 300 espèces d'animaux, re-
233.
E pee lui dans la Mandjourie et au Japon, 2
— Y.
wett x Ce le mouvement des projectiles oblongs tirés des bou-
ches à feu rayées. 181.
Membres "gk i tome popveliemens élus. 234.
Mercklin élu membre correspondant. 234.
Middendorff, A. recommande un mémoire de M. Morawitz. 293.
— «Vorage en Sibérie.» 224.
Miller, élu membre correspondant. 234.
Minding élu membre correspondant. 234.
Ministère de l'instruction publique en France met à la disposition
de l'Académie un KE o de l'ouvrage de M. Renan, inti-
tulé: Mission de Phénicie. 2
Wiravits. Aug. Sur une nouvelle forme du måle chez les Ze
revue des espèces de cet insecte, observées en Europe. 8
— v. Middendorff.
Moritz, H.. Tremblements de terre dans la Caucasie, 384.
Mostras, v. Véliaminof-Zern
ée asiatique. Acquisitions nouve lles. 224. 930.
— api e Ké Acquisitions nouvelles. 2
ogique. Acquisitions nouvelles. l6 232. 233.
lora membre correspondant, décédé, 2
Nia. N. Sur un cas de génération A RUP E UA chez la Gerionia pro-
is et sur la larve du Rhizostoma Aldrovandi.. 214.
oninia e «Sur l'organe de l'ouie du Petrómyzon fluviatilis».
Paulson, 0. Zeiten d Protopterus annectens. 141.
. Brandt.
Personnel de EN au 1 mars 1865. 234.
Pfeiffer, v. Schre
ogodine, v Kan Vt
Poncelet fait hommage d'un ouvrage. 222,
Popof side à l'Académie à manuscrit de son dictionnaire russe-
zyrai
Prix Ger fondé. 223. 297.
— Rklitzky. Rapport sur le prömier concours de ce prix. 231. 523.
Radloff, Rapport sur un voyage fait en 1863 dans. l Altai oriental. 25.
VII
Radloff, v. Bóhtlingk et Commission.
Rafn , membre correspondant, décédé. 228.
Ratzeburg élu membre correspondant. 234.
Reissner obtient le prix Rklitzky. 231.
Renan, v. Ministère.
Rose, G. propose de couper en deux l'aerolithe de Pallas. 229.
Ruprecht propose d'admettre dans le recueil russe un mémoire de
M. Borszczow. 219.
Sargisian, Nersès, v. Brosset.
Sass, le baron A. de — . Recherches sur les variations du niveau de
la "uu II article. 65. — III article. 433.
— v. Ba
Savitch, ra Eloge de W. Struve. 230. 234.
— em: une notice de d Lerch. 226.
embre d’une commission chargée d’examiner les travaux lin-
seggt de M. Radloff. 226, 229.
Schirren élu membre correspondant. 234.
Schleicher, v. Böhtlingk et Kunik.
Schmidt. « Voyage au pays de l'Amour et à l'ile de Sakhaline ». 229.
Recherches sur les phénomènes produits par la période de glaces
en Esthonie et à Pile d’Oesel. 339.
geg, L., offre, au nom de M. Pfeiffer, un crâne de Ghiliak. 229.
— mem mbre d’une commission chargée de ni des réglements
pour la distribution des prix Baer. 223. 227.
. — membre de la commission du prix Rklitzky. 231.
Séance publique annuelle. 233.
gue d T fines elles expériences s
r les mécanismes modérat
— De l'action excitante du sang sur les centres cérébro-spinaux de
la grenouille. 380.
— v. Ofsiannikof.
Smitt, F. Campagne de Darius contre les Scythes en 513. 316.
— v. Kunik.
Société archéologique de Moscou, v. Stephani
— des naturalistes et des decins
change de ses publications contre celles de l'Académie.
— des naturalistes à Copenhague propose l'échange de ses
ere qe en contre celles de l’Académie. 233.
Sokolof, N
Solovief, Bi, élu membre correspondan :
Semof, J. «But les accélérations de diverses ordres». 228.
— présente un mémoire sur le moyen de EE, pe les
—n differentiels et la Geck d’une surface en coor-
données curvilignes quelconques, ortogonales ou obliques. 232.
Sreznefsky. Eloge de M. Vostokof. 234.
an remercie pour l’envoi du Bulletin. 233.
Stephani, L., propose de remercier M. Janssen pour la confection
des empreintes de pierres gravées du Musée de la Zeck 224,
— élu membre de la Société archéologique de Moscou. 231.
— fait hommage de xs Le uu à servir de guide aux | ari
visiteurs de l'Ermi périal. 23
Struve, H. «Sur le degré de jr de P^ Baltique. » 281.
— v. Fritzsche.
Vessélofski, C.,
à Jena a propose Pé-
219.
Struve, O., chargé d’une mission scientifique à À iae aa 222.
— recommande une notice de M. V. Fuss. 2
Struve, W., membre honoraire, décédé. 230.
— v. Sa vite h.
Uslar, le baron P. Matériaux pour servir à l'étude de la langue
see et de la langue avare. Extraits de lettres à M. Schief-
Thomsen élu membre — 234.
Veliaminof-Zernof, V., membre d'une commission chargée d'exa-
miner la traduction Dar faite par M. Charmoy, de Che-
ref-Namé.
-= ia arene ani de M. Mostras. 226. Rapport. 228.
— membre d'une rg pour les travaux linguistiques de
M. Radloff. 226. 229.
— «Matériaux pour : servir à l'histoire du khanat de Crimée, ex-
traits des Archives centrales du Ministère des affaires étran-
gères à Moscou.» 228,
— fait hommage de la II partie en son ouvrage sur les tsars et
les tsarévitchs de Kassimof. 2
lit un discours sur A services rendus par l'Acadé-
mie à la Russie. 2 233.
— membre d'une commission chargée de apt des réglements
pour la distribution des prix Baer. 223. 227.
Volborth, V. Sur le Baerocrinus, une nouvelle espéce de crinoide, trou-
Es ie. 177. 226.
— «Sur quelques nouvelles espèces d’Illaenes, trouvées en Estho-
ie.» 282.
— v. Brandt.
Voskréssenski, A., élu membre correspondant. 234.
Vostokof, v. "yen y.
Wagner, R., membre correspondant, décédé. 226.
Warren de-la-Rue élu membre correspondant. 234.
Weierstrass élu membre so dint 2d
Weisse, F. Les diatomacées du lac . 91.
— Remarques pour servir à l'oologie des à Bot
— invité à examiner les substances retirées ré fond du lac de
Ladoga. 232.
— Examen des substances retirées du fond du lac de Ladoga. 369.
— v. Brandt.
Werigo, A. .Action de l'amalgame du sodium sur les hydrocarbures
mononitrés de la formule C.H. ç+ 310
F. Rapport sur un voyage exécuté en 1863 en vue des
études de linguistique.
— rend compte du voyage qu'il a fait en 1864 dans les pro-
vinces baltiques.
— présente un travail sur la grammaire de la langue erza-mord-
vine. 233.
— émet son avis sur un ouvrage d'enseigaement élémentaire en
langue zyraine. 25.
— commissaire pour un dictionnaire permien-russe de M. Rogof.
229.
Winnecke, A., élu membre correspondant.
von — « Matériaux Con servir à l’histoire de
se bulgare.»
Ge v. rerit rade:
nine, N. Action de l'acide ten sur l'azobenzid. 173. 288.
BULLETIN DES SÉANCES.
CLASSE — ——
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE. CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQNE.
Page. Page.
Séance publique annuelle du 29 dé- Séance du 4 (16) août 1864. PER 219 | Séance du 12 (24) août 1864..... M
cembre 1864 (10 janvier 1865). 233 j^ 55 49 (80) août. entes 220 » . » 25 août (6 septembre)... ..929
» n» 1(18)septembre........... 393 | a wu 15 (27) Septembre... ..993
» ». 22 septembre (4 octobre)....224 » » 29 septembre (11 octobre) v
» » .6 (18) octobre............. 225 » do 19 (25) octobre. d, - 4. dass
» en 20 octobre (1 novembre)..... 226 » » 27 octobre (8 novembre)... 29
» » 8 (15) novembre........... 228 » » -10 (22) novembre... .... ssi. 2997
» . » 17 (29) novembre........... 230 » » 24 novembre (6 décembre). . .230
» » 1(13)décembre e 291 » » 8(20)décembre...........292
» » 15 (27) décembre........... 232 » » 22 décembre 1864 (3 janvier 29
1865) TM I
- më ge
A
— BULLETIN .
DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG,
. TOME VIII.
(Feuilles 1 — 4.)
CONTENU:
Page
‚Baron P, Uslar, Matériaux pour servir à l'étude de la langue tchetchène et de la langue
Re Brians- de UTES à M. BCRIefBet........... o. to oris LOS 1—9
ES OPNS ILLI EE Idle aisi ciu dd 9—21
Dr. J. F. Weisse, Les diatomacées du lac Ladoga. (Avec une Planche.).......... PNE 21—25
Dr. W. Radlof, Rapport sur un voyage fait en 1863 dans l'Altai oriental............... 25—32
F. J. Wiedemann, Rapport sur un voyage exécuté en 1863 en vue des études de lin-
ee mène ne nu don ME ASS D TR ENT LUE UT à Rice 32—35
A Ber, Deux Contes OBSbtes. ... on. u VE eo Pratt its QUE 35—43
P. Lerch, Sur le suffixe du pluriel dans la langue ossète. ..........,....... POPSET 43—50
T PS Cue Be Torbite de la comète 1861 IH. .......... sci en, 50—57
Th. Clausen, Ephémérides des deux comètes de Biela pour leur apparition de 1865—1866 57—62
Bulletin bibliographique.............. an Eee Verc ANR NT NAI - "riw e 62—64
On s’abonne : chez MM. Eggers & Cie, libraires à St.- -Pétersbourg, Perspective de Nefski; an Comité Administratif de
l'Académie (Koxurerz IIpapzenis Hw neparopcxoi Akaxewiu Hayk») et chez M. Léopold Voss,
libraire à Leipzig. f
Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie,
3 thalers de Prusse pour l'étranger.
BULLETIN
DE L’ACADENIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
Tschetschenzisches und Awarisches. Auszüge
aus Briefen des Baron Uslar an Akademiker
Schiefner. (Lu le 27 mai 1864.)
Temir-Chan-Schura, den 24. April 1864.
— — Vor zehn Tagen erhielt ich Ihre Tschetschen-
zischen Studien, welche ich mit dem gróssten Interesse
und mit der gróssten Aufmerksamkeit durchgelesen
habe. Es ist schon über ein Jahr her, dass ich mich
nicht mehr mit dem Tschetschenzischen beschäftigt
habe und in-Folge dessen hatte ich so Manches ver-
gessen, allein das Studium Ihrer Abhandlung hat mein
Gedächtniss wieder aufgefrischt. Ich hoffe, dass es
mir in Zukunft einmal möglich sein werde mich wie-
derum mit dieser Sprache abzugeben; namentlich wäre
es interessant die Sprache der Bewohner des westli-
chen gebirgigen Theils der Tschetschna, besonders
die Galgai- und Aqo-Sprache kennen zu lernen, wel-
che letztere die andern Tschetschenzen nicht so ohne
Weiteres verstehen und die wahrscheinlich viele Ei-
genthümlichkeiten hat. Bei einer solchen Untersuchung
werde ich Ihre Bemerkungen mir zu Gute machen,
einstweilen halte ich aber folgende Erklärungen nicht
für überflüssig. —
Zum Vorwort S. III bemerke ich, dass der Buch-
stabe s d. h. das georgische d meiner Ansicht nach
nicht ins tschetschenzische Alphabet aufzunehmen ist,
da er in der Bedeutung der Wörter keine Rolle spielt;
z wird im Anlaut an vielen Stellen der Tschetschna
wie 3 ausgesprochen, allein ich kann beinahe dafür
einstehen, dass nach der Aussprache solcher Tsche-
tschenzen kein einziges Wort vorkommt, in dessen
Anlaut man z statt 3 hóren würde; es schliessen also
diese beiden Laute mundartlich einander aus. Àhn-
licher Weise habe ich den Buchstaben 4 d. h. das
arabische , nicht ins awarische Alphabet aufgenom-
men. Es ist zu merken, dass die Tschetschenzen im
Anlaut den Laut Z nicht dulden und ihn beständig
durch 4 ersetzen; in dem Wörterbuch, das ich auf
Grundlage der Aussprache in der grossen Tschetschna
verfasst habe, kommt kein einziges Wort vor, das mit
Tome VIII.
Z anlautet; dagegen dulden die Awaren das $ nicht
und ersetzen es beständig durch Z; sie sprechen z. B.
Zan statt ales Seele, Zamaat, Versammlung. statt
eade u. S. w. Es kommen Awaren vor, welche, um
mit ihrer Kenntniss des Arabischen oder wenigstens
des Kumükischen zu prunken, den Laut „ anwenden,
allein dennoch habe ich diesen Buchstaben aus dem
awarischen Alphabet fortlassen zu müssen geglaubt.
Zu S. IV. Der Laut ü kommt zwar im Tschetschen-
zischen vor, allein nur bei Diphthongbildung. In den
tschetschenzischen Diphthongen wird der eine der
beiden Vocale gewóhnlich so flüchtig gesprochen, dass
er dem ungeübten Ohre entgeht; nach meiner Ansicht
giebt es in der Aussprache der Eingebornen selbst
eine unendliche Reihe von Nüancen; man kann dabei
den Übergang des Thusch-Wortes so, ich, zum tsche-
tschenzischen suo (8 4) vergleichen. Nun frägt es
sich, ob die wahre tschetschenzische Aussprache
durch nür oder durch nüir wiedergegeben wird. An-
fangs schien es mir, dass ich nur nür hórte, die
Tschetschenzen erhoben aber dagegen Einsprache und
fanden nüir richtig. Als ich mich an ihre Aussprache
gewühnt hatte, überzeugte ich mich von der Richtig-
keit ihres Gehórs.
Rücksichtlich der Assimilation der Vocale halte ich
es für unmóglich bei der Erfindung einer Schrift sich
von der Aussprache eines einzelnen Individuum lei-
ten zu lassen; in dieser Hinsicht muss ein Überein-
kommen gelten, das nur durch die Eingebornen selbst
zu Stande kommen kann. Man könnte versucht sein
anzunehmen, dass die Assimilation der Vocale dem
Tschetschenzischen von aussenher zugekommen sei
und sich in demselben noch nicht festgesetzt habe;
die Aussprache kann sehr mannigfaltig bleiben, in der
Schrift muss man Gleichformigkeit festhalten, wofür
die Eingebornen selbst zu sorgen haben.
Zu $ 49. Bei mir kommen die Pluralformen detii,
von deti Silber, oder desii von desi, Gold, vor, und
in der That sehen dieselben sonderbar aus, allein die
1
3 Bulletin de l’Académie Impériale 4
Eingebornen haben mich versichert, dass diese Plu-
ralformen gebraucht werden, wenn von verschiedenen
Silber- oder Gold-Sorten die Rede ist. Ich erinnere
daran, dass bei den Franzosen les fers im Eisenhandel
vorkommt.
Bei Ihnen hat sich S. II ein arges Versehen einge-
schlichen; weder der Sulak, noch der Andische Koisu
bildet eine Gränze des Tschetschenzischen. Jetzt kann
ich dieselbe sehr genau bestimmen; sie wird gebildet
durch den Aqtasch und ferner durch die Wasserscheide
zwischen dem Koisu- und Terek-Becken. In ganz
Daghestan giebt es nur zwei Dörfer, deren Bewohner
Tschetschenzisch sprechen, nämlich Buti in Technutsal
und Tschadiri in Tschamalal. |
Ich habe den kumükischen Namen der Tschetschen-
zen Mizdshegen, nach Vorgang von Güldenstädt
und Klaproth angeführt und will ihn einstweilen
unangefochten lassen, allein alle hiesigen Kumüken
nennen die Tschetschenzen Micihücé. Man meint, dass
dieser Name von dem Flusse Mitschik herkommt, was
indessen die Frage nicht lóst. Der Name Mitschik
scheint sich in der Mitschikalschen Quer - Schlucht
in Gumbet zu wiederholen, diese soll ihren Namen
von mié, Brennnessel, und xal, Schlucht, haben. Diesen
Etymologien will ich kein Gewicht beilegen, allein in
der Sphäre der Wahrscheinlichkeit steht es Einem
näher Klaproth's Mizdshegen von den Brennnesseln
als von den biblischen Mesech (Knobel, Völkertafel,
der Genesis S. 117 folg., vergl. Mél. asiat. T. II S.
421) herzuleiten. Die Bewohner von Salatawien (nak-
bak, hintere Gegend), Gumbet (baqti, Sonnen-Gegend),
Awarien (Hunderil bak, Hunen- Gegend), Koisubu (Hin-
dalti, warme Stelle) nennen die Tschetschenzen Burti
Bucht éi, Burti &uZu); in Andi heissen sie Cacan. Noch
weiss ich nicht wie die Chewsuren die Tschetschen-
zen nennen, die Osseten nennen sie Cacan, die Kabar-
diner Seien. So haben wir den ganzen Umkreis der
Namen, welche den Tschetschenzen gegeben werden.
Offenbar sind Cacan, Cacan, Seen Modificationen dessel-
ben Namens,in welchen wohl eine Reduplication steckt.
Ich denke dabei an das awarische Wort ĉan, Thier.
Alle Gebirgsvölkerschaften hassen einander und bei
der Erforschung ihrer gegenseitigen Benennungen
mache ich mich zuerst an die Schimpfnamen. Ich will
Ihnen noch eine Volksetymologie anführen, die viel-
leicht schon bekannt ist oder leicht von Kennern der
arabischen Sprache widerlegt werden kann. Die Der-
benter Gelehrten behaupten, dass der Name Les-
ghier von den Arabern verbreitet sei und "^ Ya
zaki «unrein» bedeute, im Gegensatz zu den Bewoh-
nern des ebenen Küstenstriches, welche den Islam
frühzeitig angenommen haben. Die Erforschung der
einheimischen Namen kann jedenfalls der historischen
Forschung zu Hülfe kommen, zumal da die von uns .
gebrauchten Namen nicht immer mit den einheimi-
schen zusammenfallen; z. B. heisst Tschir-Jurt Gel-
bax, Tschirpei — Cikab (Cikau, Cikai, Cikar), Gimry
— Genu, Dscharo-Belokany — $oloda, Kubatschi —
Arbaéi u.s. w. Der Name des Ortes, von wo ich Ih-
nen schreibe, Schura, kommt häufig im nórdlichen
Daghestan vor; nämlich Temir- Chan-Schura, Kaka-
Schura, Schura-Jurt u. s. w. Schura heisst in der
kaitakschen Sprache «Felsen»; jetzt wohnen die Kai-
taken aber im südlichen Daghestan. Diese Beispiele
bestätigen meine Ansicht, dass die Hauptströmung
bei der Wanderung der hiesigen Gebirgsvölker von
Norden nach Süden gegangen sei, was übrigens auch
durch die Traditionen von dem Vordringen der Scy-
then nach Asien (s. Herodot IV, 1) und durch die
Richtung der berühmten kaukasischen Mauer bewie-
sen wird, welche offenbar gegen den Norden errichtet
wurde. Ich glaube, dass fortgesetzte Untersuchungen
die Ansicht, als seien irgendwelche Völkerschaften aus
Asien oder dem kaukasischen Isthmus nach Norden
gezogen, vollends widerlegen werden. Wie wir die
ältesten arischen Auswanderer nach Europa, die Kel-
ten, an dem westlichen Ende Europas finden, so muss
man die ältesten Bewohner Daghestans in dessen süd-
lichem Theile suchen; vielleicht sind es die Bewohner
der Ortschaften Budug, Hinalug, Chryz (im Kubin-
schen Kreise), deren Sprachen, wie man behauptet,
unter sich keine Ähnlichkeit haben und auch keiner
der übrigen daghestanischen Sprachen nahestehen
sollen (?). Von diesen Sprachen habe ich einstweilen
noch keine Kenntniss.
Ich erwarte einen awarischen Astrologen, mit dem
ich in einer schónen Nacht die Sterne durchnehmen
will, ich fürchte nur sehr, dass seine Weisheit der
muselmanischen Welt entnommen sein wird. Da ich
durchaus gar keine Kenntnisse in der Botanik besitze,
so habe ich die Anordnung getroffen, dass ein hiesi-
ger Arzt mir ein Herbarium anlegt, dann gedenke ich
5 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 6
auf den einzelnen Päckchen die einheimischen Namen
zu notiren und Ihnen dieselben zuzusenden, so dass
Sie mit Hülfe eines Specialisten in der Botanik eine
ganz genaue Übersetzung anfertigen können.
Sehr interessant wäre es die Dämonologie der Ge-
birgsvölker zu erforschen. Dies ist aber nicht so leicht.
Sie schümen sich ihres frühern Glaubens oder sind
durch Schamil eingeschüchtert, weshalb sie sich
nicht gern über diese Dinge befragen lassen. Übri-
gens kommen bei ihnen so ziemlich allgemein vor:
1) Kart, ein Zwitterwesen und eine Art Hexe oder
Menschenfresserin, welche namentlich Kinder frisst;
2) Keelo, ein Hausgeist, welcher die Menschen im
Schlaf würgt; er hat nur ein Nasenloch und deshalb
bleibt ein Nasenloch beim Menschen frei, was vor
völliger Erstickung rettet; 3) Albasti, ein Riesenweib,
welches eine knócherne Axt auf der Brust trägt und
mit derselben denjenigen, der ihr in den Wurf kommt,
bei ihren Umarmungen, niederhaut. Gelingt es ein
Haar derselben zu erfassen, so erfüllt sie, um dasselbe
zurück zu erhalten, alle Befehle. — Vielleicht gelingt
es mir noch einmal auf einen Menschen zu stossen,
der mir Genaueres mittheilen kann. Ich muss noch
auf eine Merkwürdigkeit aufmerksam machen, welche
mir sonst an andern Stellen des Kaukasus nicht vor-
gekommen ist, aber in Russland häufig vorkommt. Es
ist dies die Besessenheit, deren sich übrigens die Berg-
bewohner schämen und stets versichern, dass sie im
benachbarten Dorfe aber nicht bei ihnen vorkomme;
dafür brauchen die Awaren das Wort hapdeze, ein
Frequentativ von hapize, bellen.
Ich móchte Ihnen gern etwas Interessantes mitthei-
len, interessant sind aber nur grammatische Unter-
suchungen, welche in den engen Grenzen eines Brie-
fes keinen Platz finden. Dagegen werden sie eines
Tages mit einer ganzen Masse daghestanischer Gram-
matiken überrascht werden, welche Sie hoffentlich mit
Nachsicht gegen etwaige Missgriffe von meiner Seite
aufnehmen werden. Jetzt schreibe ich nur, ohne um-
zuschreiben. Ich kann hier keinen Abschreiber fin-
den, mir ist es leichter selbst abzuschreiben, als das
Abgeschriebene zu verbessern. Einstweilen theile ich
Ihnen ein von mir aufgestelltes Declinationssystem
mit, das zu allen Gebirgssprachen passt und mir meine
Arbeiten sehr erleichtert hat. Ich will es auch auf
das Tschetschenzische anwenden, wenn es mir gelingt
mich wiederum mit dieser Sprache abzugeben. Bei-
spielsweise nehme ich das Ihnen schon bekannte Awa-
rische und beschrünke mich auf den Singular.
Nomin. ruq Nomin. gamaé
Instrum. rugat Instrum. gancica
Genitiv. rugaŸ'ul Genitiv. ganéil
Dativ. rugate Dativ. ganéije
Es handelt sich nicht um die Formen, sondern um
die Classification der einzelnen Casus. Der Nominativ
entspricht der Ruhe, der Instrumental dem Mittel,
der Genitiv der Trennung, dem Ausgang, Ursprung,
der Dativ der Annüherung u. s. w. Gehen wir weiter:
1. II. II. IV, V VI.
Ruhe: roqou (i, b, r) ganéit gancit ganéida oder ganéita ganéik
Mittel: rogosan ganditan ganóil'an gandidasan ganditasan ganéikan
Trennung: rogosa ganéita gancifa gancidasa ganéitasa ganóika
Annäherung: roqowe ganéite ganéif'e ganéide gancite ganéike
So haben wir schon 28 verschiedene Casusformen,
aber kein Wort kann alle diese Formen haben. Wol-
len wir diese Kategorien genauer betrachten:
I. roqou, im Hause; diese Form wird vorzüglich von
Gegenständen gebraucht, welche einen leeren
Raum oder einen Zwischenraum haben; z. B. ro-
hou, im Walde, bukniu, im Winkel, sogrou, im Halse
u. s. w.; rogosan, durch das Haus, rogosa, aus dem
Hause, rogowe, ins Haus.
II. engt, im Stein, für compacte Dinge, die keinen
Zwischenraum enthalten z. B. tet, im Wasser, get,
im Feuer, ürut, im Fluss u. s. w.; ganéitan, durch
den Stein, gancita, aus dem Stein, ganéite, in den
Stein.
gancif', unter dem Stein, ganéif'an, unter dem Stein
durch, ganéit'a, unter dem Stein hervor.
V. ganéida (gandita), auf dem Stein, älxuda, auf dem
Felde, bazaralda, auf dem Markt u. s. w.; gancidasan,
durch den Stein, gancidasa, von dem Stein her, gan-
éide, auf den Stein.
III.
IV.
1^
7
Bulletin de l’Académie Impériale
VI. ganóix, am Stein, ganéixan, am Stein vorbei, ganéixa,
von dem Stein, ganéixe, zum Stein.
Diese Kategorien der Ruhe, der Bewegung u. s. w.
dienen auch als Schlüssel zur Erklärung der übertra-
genen Bedeutung, obwohl freilich Ausdrücke vorkom-
men, welche sonderbar scheinen, z. B. allahasut a hin-
qula dun, ich fürchte Gott, eig. unter Gott her fürchte
ich u. s. w.
Um die awarischen Casus abzumachen füge ich noch
hinzu:
Zur Bezeichnung der Bewegung in der Richtung
irgendwohin oder irgendwoher fügt man hun hinzu,
dessen Entstehung ich nicht zu erklären vermag; z. D.
rogosahun, von Seiten des Hauses her, rogowehun, in der
Richtung zum Hause hin u. s. w. in allen Kategorien.
Ausserdem ist nur noch der Comitativ z. B. gamat-
gun und der Comparativ gamaéan zu nennen. Den
Factitiv gamactun führe ich nicht an, weil, wie Sie be-
reits (Versuch über das Awar. $ 104) bemerkt haben,
nur ein Gerundium vom Verbum gamaétize, zu Stein
werden, vorliegt. Solche Verba kann man aus jedem
Nomen bilden. Jedenfalls sind an 42 Casusformen im
Awarischen möglich. Unter diese Kategorien kann
man auch die Declination der Adverbia haniu, hier,
hanisan, hierdurch, hanisa, von hier, haniwe, hierher
u. s. W. bringen.
(Aus einem Briefe aus Derbent: vom 6. Januar 1864.)
— Die Namen fast aller awarischen Dörfer haben
die Form eines Locativs, Adessivs, Inessivs oder ge-
Awariseh
schlechtliche Endungen (s. Versuch über das Awarische
8 70); z. B. Guni meer, der Berg Guni (&uni ist ein
Heuschober, dem der Berg in der That ühnlich sieht),
das Dorf oder das jetzige Fort Gunib kann awarisch
nicht anders ausgedrückt werden als durch Guniu (Gu-
nii, Gunib, Gunir), in Gunib oder Guniwe, Gunije u, S. W.,
nach Gunib oder Ġunisa, aus Gunib; der Name Ġuni kon
nicht vor. Der Dorfname 'Oboda ist eine Locativform
von 'Obo, der Dorfname Tlok ist der Adessiv Tox von
Yo, Brücke — bei der Brücke; Hidat der Inessiv von
hid u. s. w. Hunzax ist ohne Zweifel der Adessiv des
Plural Hunzal, der jetzt nicht mehr gebräuchlich ist;
es führt dies auch einen Singular Hun, wie laÿzal, die
Sklaven, von lag gebildet wird. Folglich heisst Hun-
zax bei den Hunen und so wie von Hid ein Genitiv
Hidderil gebildet wird, muss er von Hun — Hunderil
lauten, wie man in Awarien selbst sagt. In Andalal
oder in Antsuch aber sagt man Hunzderil weil man es
von Hunz, das offenbar aus Hunzal verstümmelt ist, her-
leitet.
— — Sternnamen hoffe ich zu erfahren; einst-
weilen theile ich Ihnen mit, dass die Awaren den
grossen Büren c'alkal, Sieb, nennen, die Milchstrasse
aéimux, Kuhpfad *).
— Vielleicht interessiren Sie folgende Zahlwörter
aus einigen daghestanischen Sprachen.
*) So nennen auch die Friesen die Milchstrasse, s. Kuhn und
Schwartz, Norddeutsche Sagen, Märchen und Gebräuche, 8. 457
N? 425 und S. 497. Schiefner.
Andi-Sprachen
Chunzach
Antsuch
1. co so seb
2. kigo kigo cego
3. tabgo tabgo tobgu
4. ungo ungo bogogu
5. šugo šugo -isdugu
6. antgo antgo ontigu
7. ant go ant'go hot'ogu
8. mit go mit go bit'igu
9. iégo iégo hoéogu
10. ançgo ançgo hocogu
11. ancila ép ancita so hocoti seb
20. qogo qogo éecçolgu
21. qolo co qota so
Andi
Gecollogu seb 6aazaé heko seb qendocade
Tschamalal Achwach Botlik
seb Gebe ceb
Geda kedabe keda
qabuda tadoabe habuda
buuda bogodabe buguda
isduda isdudabe isduda
antida intidabe intida
hat oda at'udabe hat'uda
bel'ida bit'idabe bil'ida
haé'ada apadabe hagada
hazada acadabe hacada
hazal seb aĉa Gebe hocoti ceb
Gaazada gendodabe kecalida
kecaliti geb
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
10
Andi-Sprachen
9
Awarisch
Chunzach Antsuch Andi
30. tebergo tebergo Tobeolgu
40. kiqogo kiqogo boqo colgu
50. kigojalda ançgo kigojalda anego isducolgu
60. tabqogo tabgogo onticolgu
70. tabgojalda ancgo tabgojalda ançgo hof'ocolgu
80. ungogo . ungogo bil'icolgu
90. unqojalda ancgo un'qojalda ançgo hoéocolgu
100. nusgo nusgo besonugu
Dido - Sprachen,
Dido Beshit
1. sis 1. hos
2. qeno 2. qono
3. Tono 9. Tana
4. uino 4. 0qona
5. teno 5. Tina
6. if no 6. Wu
7. otno 7. atna
8. bitno 8. betna
9. o&ino 9. ocina
10. ocino 10. acona
11. ocino sis 11. acona hos
20. ku 20. kona
21. kuno sis 21. kona hos
30. kuno ocino 30. kona agona
40. geng ku 40. kakona
50. geng ku otino 50. Finajig
60. tonoku 60. iFnajig
70. tonoku oéino 70. atnajig
80. uinoku 80. betnajig
90. uinoku ocino 90. ocinajig
100. bison 100. hoséit
Tibetische Studien; von A. Schiefner. (Lu le 24
juin 1864) `
IV. Beiträge zur Casuslehre ").
Die tibetischen Grammatiker haben im strengsten
Anschluss an ihre indischen Vorbilder die Zahl ihrer
Casus auf acht fixirt und die indische Reihenfolge
derselben festgehalten. Csoma hat die Achtzahl fest-
s. Bull. hist.-phil. T. VIII N* 13—22 — Mélanges asiatiques
T. I N° 324 — 394.
-
Tschamalal Achwach Botlik
Tabazada Tamolodabe -habucalida
boazada keqendodabe bugcalida
istazada keqendo aGadabe isducalida
antazada Taqendodabe inticalida
hat'azada tagendo agadabe hal'ucalida
bel'azada boqendodabe bit'icalida
hacazada bogendoagada haċaçalida
bešanda bešanudabe bešnuda
gehalten, aber die indische Reihenfolge aufgegeben;
ihm ist Foucaux gefolgt, während Schmidt bei eben-
falls ein wenig veränderter Reihenfolge der Casus uns
deren neun bietet, da er einen ersten und zweiten
Locativ annimmt. Im Grunde genommen, haben die
Tibeter keine eigne Grammatik gekannt, sondern es
sind nur die Kategorien der Sanskritgrammatik ihnen
geläufig und von diesen ausgehend suchen sie sich
über die Erscheinungen der eignen Sprache Rechen-
schaft zu geben. So musste es ihnen denn gänzlich
entgehen, dass ihrer Sprache einerseits ein Casus der
indischen Grammatik, nämlich der Accusativ, gänz-
lich fehlt, während sie dagegen einen grössern Reich-
thum an Locativen besitzt. In ihren grammatischen Ab-
handlungen, welche die Casussuffixe betreffen, werden
letztere aufgezeichnet und die verschiedenen Casus
angeführt, welche sie ausdrücken können. So heisst
es, dass M den Accusativ, 4 oder das verkürzte X
den Accusativ und Dativ, 5 den Accusativ, Dativ, Lo-
cativ und auch die Zeit, & den Locativ, Accusativ,
Dativ und die Zeit, q den Accusativ, Dativ und Lo-
cativ ausdrückt. Csoma hat $ 89 dem Dativ die
Endungen ^i, 5, 5, 3 oder X, 3j, dem Locativ & oder
q, dem Ablativ $5 oder os zugewiesen und dasselbe
hat Foucaux ($ 23) gethan; Schmidt dagegen, der
dem Dativ nur die Endung = lässt, weist dieselbe
auch neben 3 dem ersten Locativ zu, während er die
auf u auslautenden Suffixe A, 5 U. S. W- dem zweiten
Locativ zuertheilt.
11
Bulletin de l'Académie Impériale
12
Wenn es nun auch móglich ist einen bestimmten
Begriff auf mehrfache Weise auszudrücken, so muss
es doch hóchst bedenklich vorkommen, wenn man die
verschiedensten Suffixformen so neben einander zum
Ausdruck desselben Casus und dann wiederum eine
und dieselbe Suffixform zum Ausdruck verschiede-
ner Casus angewandt sieht. In dem grossen Sanskrit-
tibetischen Wörterbuch Mahävjutpatti Bl. 115 finden
wir ein Specimen indischer Declination mit entspre-
chender tibetischer Übersetzung:
B qa: E
e
mm Zen
MN EEN
s quu Se
&
1. zem ART
5. gem Oe a
a à
6. qued Sr?
Za La
Ta ANA
Wir sehen vor allen Dingen, dass A hier zwar nicht
zum Ausdruck des Dativs, der durch «wegen» aufge-
fasst wird, wohl aber um den Accusativ und den Lo-
cativ des indischen Wortes auszudrücken verwandt
wird. Um nur zuerst den Accusativ zu beseitigen, so
habe ich bereits vor zehn Jahren in meiner kurzen Cha-
rakteristik der Thusch-Sprache (Bullet. histor.-phil.
T. XII. p. 115 = Mélanges asiat. T. II pag. 418) das
Fehlen dieses Casus durch die eigenthümliche Natur
des tibetischen Verbums zu erklären gesucht und seit
der Zeit hat sich derselbe ausser dem Thusch auch
in einer Anzahl anderer kaukasischer Sprachen als
nicht vorhanden erwiesen. Es bleibt uns nun noch
übrig uns über die verschiedenen Locativsuffixe Klar-
heit zu verschaffen. Soviel erhellt bei dem ersten
Blick, dass dieselben sich durchaus nicht mit irgend
welchen indischen Casussuffixen decken.
1. q scheint ursprünglich ein Allativsuffix zu sein,
das hin und wieder stark an ein Adessivsuffix erinnert.
Folgende Beispiele, die ich theils dem Dsanglun und
der tibetischen Übersetzung des Lalitavistara, theils
dem ersten und fünften Bande des Kandjur (K.) und dem
Sanskrit-tibetischen Wórterbuche Mahävjutpatti ent- -
nehme, mögen hierüber Belehrung geben: Ds. 64 Z. 4
FAAATA Blätter berühren, Lal. 17,3 Ta den
Kórper berühren, Ds. 16, 16 SNAAETA die Knochen
erreichen, Ds. 272,13 FREE den Fuss treffen, Ds.
34,1 RAS M'A ERR auf einen hohen Felsen
springen, Ds. 174, 7 Zb gt auf die Schul
ter des Gefährten steigen, Ds. 31, 13 ANA NA RE
das Knie auf die Erde setzen, Lal. 88, 16 3]! 3 Tan
af ea sich ans Ende der Bank setzen, Ds. 111,7
QATAR NES Kleider, welche man an den Kör-
per anzieht, ibid. TAFFA an den Pflock hängen,
Ds. 146, 1 NIX auf die Erde werfen, Ds. 34, 2
NIIS auf die Erde gefallen, Ds. 34, 7 FRAGT] auf
den Baum legen, Lal. 42, 14 el ECH auf das Haupt
setzen, K. I; 15 Garson EVA sich dem Nirväna
zuwenden, Ds. 3,10 À TA SN an der Seligkeit han-
gen, Ds. 177,3 SENE jenen Mann rufen, Ds. 27,
1 ANZ] Vater und Mutter fragen, Ds. 27,4 SN
JANAN den Siegreic geg
fragen,
Ds. 66,4 ASSI A ENT beim Siegreichhervor-
gegangenen das Gesetz hören, Ds. 96,7 Aa
den Spiegel ansehen, Ds. 65, 3 RS FAR auf jenen
Teich sehen, Ds. 284, 15 SN EN D JANET den
Körper des Buddha betrachten, Ds. 98,16 as
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
14
HA sein eignes Fleisch essen, Ds. 226, 15 Gëss?
Reis essen, Ds. 208, 1 & ATXA AEN jene Quelle trin-
ken, Ds. 304, 17 RATEN È TA die Glückseligkeit
geniessen, Ds. 55, 8 San rd ew den sechs
Lehrern glauben, Ds. 30, 12 GET TR ARS CESSE
sehr an die drei Kostbarkeiten glauben, Ds.204, 6 Sun
ETES sich des Gesetzes befleissigen, K. I, 28 dran
aan? dem Nirväna ergeben sein, Ds. 35, 9 SEN JT
INE sich des Buddha erfreuen, Ds. 55, 12 SUE
qaarész nach hässlichem Anblick Verlangen haben,
Ds. 55, 5 zaa NA sich der Tugend erfreuen, Ds.
205, 17 Serra ANA die Ehrwürdigen kennen,
Ds. 90,1 3 3 an in der Heilkunst erfahren,
Lal. 34, 15 X SER | sich selbst loben, Ds. 280, 17
Tag den Arhant schmähen. .
Es ist also hauptsächlich eine Annäherung an den |
Gegenstand, ein Ergreifen und Verweilen an dessen
Oberfläche, worauf wir die vorhergehenden Beispiele
zurückführen können; so wird denn auch die Verwen-
dung in sowohl räumlicher als zeitlicher Bedeutung
in folgenden Beispielen leicht zu erklären sein: Ds.
4,5 SE bei wem ist das treffliche Ge-
setz? Ds. 44,17 SAS NES die Erde bewohnen, Ds. 76
14 Ja K'a Re D bei einem Minister wohnen, Ds.
54,1 keck bei den zehn Tugenden weilen,
woneben Ds. 48, 11 langen äi in den zehn Tu-
genden wandeln, Lal. 56, 8 RAEN aA in Lei-
denschaft wandeln; Ds. 44, 5 Zi FF AY GR auf dem
Berge Holz sammelnd; Lal. 51,1 SSR Sat zur Zeit
des Frühlings, Lal. 5, 7 se äer gan in der mittlern
Nachtwache, Lal. 5, 9 Se RSS in demselben Au-
genblick, Ds. 25, 4 RCE GE) in früher Vergangen-
heit, Ds. 11,5 CND an einem Tage.
Keine Schwierigkeiten macht es nach dem Vorher-
gegangenen sich auch folgende Ausdrücke zu erklä-
ren: Ds. 23, 11 SATA TÈT ANRT Set än
CARA Einer unter ihnen hatte den Wunsch, dass
er als Gott geboren werden möchte, Lal. 97, 4 ze
Aÿ'Ax'à höchst selten, unter hundert Fällen, wofür
auch das kürzere 3553 Lal. 124, 3 vorkommt; siehe
meine Bemerkung in den Mélanges asiatiques T. I p.
229; Ds. 187, 2 "JS |^ ^] S T8878 einander tödten,
Ds. 74, 3 TA TÈT HT A einander hören, Ds. 11, 2
a a ^s
TISTA "ele" einander schaden.
Zweitens sehen wir À verwandt, um sowohl ein-
zelne Adjectiva als auch ganze Sätze aneinander zu
reihen.
So drückt Ds. 29, 6 NAT A den Begriff «schwarz-
blau» aus; Lal. 147, 3 SAR ARR AT A AT ES EN TE
STAR A AR ANT TN ein weisses, gutes, fleckenloses,
ganz reines, schmutzfreies Gewand.
Bei der Aneinanderreihung ganzer Sätze können
letztere von der verschiedensten Natur sein, beson-
ders häufig finden wir jedoch angewandt in Sätzen,
die zukünftige, geschehensollende, an eine Bedin-
‚gung geknüpfte Handlungen ausdrücken. Daher auch
das Auftreten dieses Affixes bei Verbindung zweier
Imperative, wie dies auch schon Foucaux S. 60 und
96 bemerkt hat; an ersterer Stelle führt er jedoch
auch mehrere Beispiele an, welche das Vorkommen
15
Bulletin de l’Académie Impériale
dieses Suffixes beim einfachen Imperativ beweisen sol-
len; mir sind dergleichen nie vorgekommen und auch
nicht anzunehmen. — Den Gebrauch mögen folgende
Beispiele erläutern: Lal. 125, 18 Se uch er
RITA San et Fan Se^ TRAIN H auf sie hat
der Jüngling sein Auge geheftet und auch ein wenig
mit ihr gesprochen; K. 1, 2 aaa à TR a
ge | ENAT P à DIN es? ci ek?
Ee bisweilen hat der Anga - König die Über-
macht, bisweilen hat Mahápadma die Übermacht;
K. 1,37 gestëf S] 38 AR S] 175585. einiges dulde
ich und einiges dulde ich nicht; Ds. 13, 4 TEST
M M M
PENSANT GS SCH, RT
J753] ANE AA SNL geg 8| EEE
wenn deine Haut abgezogen und zu Schreibeblättern
gemacht, dein Gebein zum Schreibrohr und das Blut
zu Dinte gemacht und das von mir gelehrte Gesetz
aufgeschrieben worden ist, werde ich dir die Lehre
vortragen; Ds. 76, 18 EE AST SNL] ANJAR
e Se A N ss
Sad ASNTUISGS TRES wenn dieses Mädchen in
Stücke getheilt wird und die Stücke einzeln gegeben
werden, so werden jene zufrieden sein; K. I, 45 St
ARNE] TANIS REAA RENIE A ek A
KKK er dachte: da ich jenem Rshi ver-
Sprochen habe, werde ich gehen und ihn unterweisen.
K.1,22 85027 fase je TA] N
d'an o ës a a AS AN ist dir das Fortziehen eine
Wohlthat und das Daheimbleiben keine Wohlthat?
Ds. 25, EWFÄTRRAU AT ZART up
EEA du trage diese®Frucht und gieb sie dem
König und melde ihm diese Worte; Ds. 35, 13 am
NES DAS ARR STN IRYNA der König gè-
rieth in Zorn und gab den Befehl: «Ergreifetı und tödtet
ihn.» K. I, 54 Ex ATEN AR EN WEE:
Bel aaa UG ai a’ ax aa ERE 83 du aber ohne
dich zu schämen sage: es ist da, wenn es da ist, ist
es nicht da, so gieb auch die Antwort: es ist nicht da.
2) à, das ich in den nüchsten Zusammenhang mit
mit 35 « das Innere» bringen möchte, ist seiner Natur
nach ein Inessiv-Suffix und tritt als solches sowohl
zur Bezeichnung des Raumes als der Zeit auf, wo-
durch auch seine Verwendung in Bedingungssätzen
(s. Foucaux $ 71 S. 61 f.) zu erklären ist. Ds. 18, 2
TB STRESS Oe er befindet sich im Lusthain;
Ds.7,12 Haye anis a an den vier Seiten sitzen;
K. I, 22 Saa ANA im Hause weilen, Ds. 50, 12
AA TNA TNA in der Gebirgsgegend wohnen; Ds. 7,
18 qz. 28 im Kreislauf; Ds. 3, 4 RESI Ba A in
der Welt, Ds. 84, 4 geg 87 Tan à unter uns; Ds.
3,2 ZN’]87'A zu einer Zeit, Ds. 4, 6 3323 zu der
Zeit, Lal. 121,7 NE VAT a von jetzt in sieben
Tagen, Lal. 18, 4 KRECKÉ von nun in 12 Jah- -
ren; Ds. 4, 119 nnde a nA di Se 7 a UIS À
wenn man zu hören wünscht, so wird durch dieses `
nur nicht Genüge geleistet. Ds. 4, 13 Ea
SNIN ARÄ wenn Verehrung erzeigt werden kann,
wird die Lehre vorgetragen werden.
Eine besondere Beachtung verdienen eine ganze
Reihe von Zusammensetzungen mit Inessivformen, na-
mentlich in Eigennamen und in Adjectiven; z. B.
By $ Z in der Hand der Diamant — Vagrapäai,
17 T des Sciences de Saint- Pétersbourg. in
"at el — Ratnapäni, mat a? '$8 — Dandapáni,
"| 328778 Ratmak'üda u. s. w. 83 3 87 oder
my REN A lieblich anzusehen, AW Sek angenehm
anzufühlen, 3337] angenehm zu treffen, Saz oder
Kettel unübertrefflich ; hieran dürfte sich wohl auch
Saa (= MAD, schwerer, schliessen.
3) Das auf w auslautende Casussuffix mit wechseln-
dem Anlaut 4 (auch verkürzt mit Wegfall des Vocals
ZS, FN stellt sich neben das auf die Oberfläche
gerichtete Allativsuffix Œ als ein mehr auf das Innere
gehendes Illativsuffix, bei dem jedoch ein Schwan-
ken einerseits zum Conversiv sowie andererseits zum
Prosecutiv hin wahrzunehmen ist. Es kann sowohl
zur Bezeichnung räumlicher als zeitlicher Verhältnisse
angewandt werden, z. B. Ds.10, 8 EK ZAER in die
Feuergrube springen, Ds. 15, 3 A&iGS AN in die
Achselhöhle eingehen, Ds. 26, 4 ij^ 3787 in die
Kiste thun, Ds. 6, 18 FIR A ask zur Thür des
. Palastes gekommen, Ds. 36, 13 RAISES 2^ wohin
ich auch geboren werden mag, Ds. 48, 12 ATS
A Rae ms D TES AURA wohin auch die bei-
den Hände die Erde berührten, war immer eine gol-
dene Münze, Ds. 6, 3 ARASN' SN dahin gekommen,
Lal. 91,7 sën, hicher, Ds. 19, 5 FRA AUT
"PN EA SN nicht nur zu dieser Zeit gerettet, Lal.
88,9 Sara N am siebenten Tage; Ds. 29,11 ES
D ge AN
3433 Lügen reden, Ds. 30, 17 S53 We an ell
dies auf diese Weise (eig. Sprache) geredete Wort.
Hieran schliesst sich der häufige Gebrauch in der Be-
Tome VIII.
deutung eines Factitivs Ds. 11,6 RENNER RE zum
(als) Preta geboren; Ds.4, 2 auos ifass Eras
KARIRA ich zum Herrn vieler Geschöpfe geworden;
Ds. 15,1 gres gps 3 EN | SEULE
Viçvakarman in eine Taube verwandelt, Indra in einen
Sperber verwandelt. Auf demselben Grunde ruht die
Anwendung dieses Suffixes um Verba factitiva zu bil-
den, so wie auch seine Verwendung bei dem Verbal-
formativ 7 (3): worin Foucaux ($ 69) nach Vorgang
Csoma’s($ 129) einen Infinitiv sieht, obwohl Schmidt
in der Vorrede S. XI bereits die Sache richtiger auf-
gefasst hat. Endlich wäre noch das háufige Vorkommen
dieses Suffixes in den vielen meist aus dem Nomen
gebildeten Adverbien des Orts, der Zeit so wie auch
der Art und Weise zu berühren. In allen diesen dürfte
wohl der Begriff der Bewegung leicht herauszufühlen
sein; man vergl. z. B. RZ, S& nach oben, oben;
"m A nach unten; RSA, SSX nach innen, innerhalb;
AAA A nach vorn; SS in die Nähe, bei; 355 hinten
nach, wegen; UNS rund weg, gänzlich; ERU zum
besten, für; IZA während; Zen sehr; 33'A auf vor-
zügliche Weise; et D vornehmlichst; AI auf jene
Weise; RR Ix auf diese Weise; aq g^ auf solche
Weise; "eq Kerstens; $8! NAT? anf sechsfache Weise.
4) Wie À Annäherung an die Oberfläche, so drückt
QN das Ausgehen von derselben aus und ist folglich
ein Ablativsuffix. Der Gebrauch erklärt sich durch
den Namen und namentlich ist zu merken, dass auch
wie in andern Sprachen die Vergleichung vermittelst
dieses Suffixes ausgedrückt werden kann; auch ist das
Suffix bei Verknüpfung mehrerer Sätze gebräuchlich
um den Übergang von einer Handlung zur andern aus-
zudrücken. Beispiele: K. I, 7 BA TAN ERA woher
2 "
Bulletin de l’Académie Impériale
kommst du? Ds. 3,7 Séi AT al Cl von Himmel fal-
len, Ds. 25, 7 GIGA AN ERA von diesem Körper be-
freit, Ds, 26, 1 TASTEN — sea? von einer Säule
ging Licht aus, Ds. 50, 7 TAN AAA AN aus dem
Schlummer erwacht, Ds. 126,3 RIN TARH AN EN A
ARTEN nachdem er sich ein Weib aus einem gleichen
Geschlecht genommen hatte, Ds. 188, 1 JF ze AIN
aaa da nicht mehr als ein Drittel nachgeblieben
ist, Ds. 30, 2 SAN mehr als ich, Ds. 34,1 AAS
leichter als dies. Bei der Aneinanderreihung einzelner
Sätze wechselt AN mit $5 und auch mit 5 ab, wie wir
solches an folgenden Beispielen ersehen konnen: Ds.
9,10 SY ZA SAU AA EN A RVA zb en sg EN
SANT FRÉV EUR ÈTEN | geste] Eë
ARURTAN| ETAT Sw gn RAR ENUAG/'RNGIT| 8s P
NAS SN EN als der Königssohn, welcher da an dem
trefflichen Gesetze seine Freude hatte, das treffliche
Gesetz, obwohl er es überall suchte, nicht gefunden
. hatte, von Kummer gedrückt in Verzweiflung gekom-
men war, zu der Zeit hatte Indra der König der Göt-
ter, nachdem er seine Gedanken erkannt und betrach-
tet hatte —; me ausserdem Ds. 11, 18; 19, 13;
29, 18.
5) Offenbar muss nun a8 die Natur eines Elativ-|2
suffixes haben und eine aus dem Innern hervorgehende
Bewegung bezeichnen; es kann sowohl räumlich als
zeitlich gebraucht werden und auch, wie wir so eben
gesehen haben, zur Verknüpfung einzelner Handlungen
dienen, z. B. Ds. 268, 17 SAS SNA 81558 aus dem
Meere kam ein Mann, Ds. 68,15 CREE aus
dem Nabel ging ein Strahl hervor; Ds. 13,3 ad
SANITÄR | EE RELCR EA wenn du es
von Herzen wünschest, so thue nach meiner Vor-
schrift; Ds. 3, 4 UJ 57755 seit langer Zeit, Ds. 6,7
ITAN von Anfang an; Ds. 3,12 Sch darauf.
Hätten wir sonach die ursprüngliche Bedeutung der -
einzelnen Locativsuffixe zu erörtern gesucht, so wäre -
wenigstens in die im Argen befindliche Declination $
ein wenig mehr Licht gekommen. So wenig aber, wie
wir schon oben bemerkt haben, die einzelnen tibeti- «
Ze
schen Suffixe sich mit den indischen oder denen an- |
derer arischer Sprachen decken, so wenig glauben
wir in dem Vorstehenden sämmtliche Functionen der-
selben erschöpft zu haben. Als fernern Beitrag in -
dieser. Beziehung wollen wir nun noch die Anwen-
dung zweier Suffixe nebeneinander hervorheben, so-
weit sie uns bisher vorgekommen ist. Wir finden:
1) Das Inessivsuffix: 9 bei vorhergehendem; Ila-
tivsuffix: Ds. 106, 7 Sara (entstanden aus gek 3
zum Beispiel, Ds. 317, 5 SV ÈS weshalb, Ds.249,9
SEES unterwegs, während des Weges; Vjutp.
163 EN auf solche Weise; Lal. 81, 10 EL |
Kürze; Ds. 274, 6 SÉIS erstens, TVN zw `
tens; s. meine Ergänzungen und Berichtigungen zu
Schmidt's Ausgabe de$ Dsanglun S. 58; — b) bei
vorhergehendem Instrumental- oder Ablativsuf-
fix: Lal. 30, 12 Sat us’ 55 Gët Kei CN AN'à da diese
beide vorzüglich tugendhaft sind, Lal. 116,7 gag
at ge 5 durch wessen Macht? Vjutp. 153 3 ang
"TT durch unvergleichliche Reife, Lal. 33, 3 E
dadurch, Lal. 39, 18 ANAN S auf solche Weise; Lal.
— € 9 es et
13,13 9x7 Fan ARRETE ENTIS wenn
zu mir das Kleinod des Götterrades gelangt sein
wird. i
2) Das Illativsuffix nach Genitivformen, welche
freilich als zu Adjectiven herabgesunken betrachtet
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
werden konnen: K. V, 120 geg NRA AT TR (statt
gen Z3 ich werde dies zu dem meinigen machen
(mir aneignen); K. V, 133 Zar sp ao A BS OA
AJAZ welches geistliche Gewand da sein wird, das
wird zum deinigen werden; das tibetisch-sanskritische
Wörterbuch bietet auch FRA uneigennützig, dem
Sanskrit #77 entsprechend, das Vjutp. 3 durch OS,
ZA wiedergegeben wird.
3) Das Allativsuffix nach einem Genitiv ist mir
bisher nur vorgekommen: Lal. 136,21 Sne An
KN? 385 darüber hinaus vermochte er nicht zu
treffen.
Diatomaceen des Ladoga-Sees; von Dr. J. F.
Weisse. (Lu le 18 août 1864.)
(Mit Abbildungen.)
Ich sage in der Aufschrift mit gutem Vorbedachte
nicht: Die Diatomaceen des Ladoga-Sees, weil ich
nur eine Grundprobe aus demselben zu untersuchen
Gelegenheit gehabt, an anderen Stellen des uns so
nahe gelegenen grossen Landsees aber ohne Zweifel
noch viele andere Arten vorkommen dürften. Die von
mir untersuchte Probe ist mir durch die Gefälligkeit
unseres bekannten Chemikers, des Hrn. H. Struve,
zugekommen, und in der Nähe der Insel Walaam aus
‚einer Tiefe von 118 Faden (708') heraufgeholt worden.
Bei der Namengebung habe ich Rabenhorst's
Schrift: «Die Süsswasser - Diatomaceen für Freunde
der Mikroskopie bearbeitet. Leipzig 1853» zu Grunde
gelegt, und mich gleich ihm bei der mikroskopischen
Untersuchung einer 300maligen Vergrösserung be-
dient. Aus nachstehendem Verzeichnisse aller von
mir beobachteten Formen ersieht man, dass unter
den von ihm aufgestellten Familien nur zwei der
kleinsten, namentlich die Achnantheae und Meridieae,
in unserer Grundprobe nicht vertreten sind. — Die
den einzelnen Namen vorstehenden Zahlen correspon-
diren mit denen der Abbildungen.
Fam. I. Melosireae.
1. Campylodiscus radiosus Ehr. 2. Melosira arena-
ria (Gallionella varians Ehr.). 3. Melosira distans. 4.
Melosira varians. 5. Melosira crenulata.
Fam. II. Eunotiaceae,
6. Epithemia Zebra. 7. Epithemia Westermanni.
7. Epithemia Sorex. 9. Epithemia gibba. 10. Epithe-
mia adnata. 11. Eunotia depressa Ehr.
Fam. III. Cymbelleae,
12. Cymbella gastroides. 13. Cocconema cymbiforme.
14. Cocconema Cistula. 15. Cocconema gibbum.
Fam. IV. Achnantheae,
0!
Fam. V. Cocconeideae,
16. Cocconeis Placentula. 17. Cocconeis Scutellum.
Fam. VI. Surirelleae.
18. Surirella Sölea. 19. Surirella undata (subacuta)
Ehr. 20. Surirella ladogensis. Nov. sp.
Fam. VII. Fragilarieae.
21. Denticula elegans. 22. Fragilaria capucina.
E Fam. VIII. Naviculaceae,
23. Navicula amphioxys *). 24. Navicula gracilis.
25. Navicula appendiculata. 26. Navicula amphisbaena.
97. Navicula affınis. 28. Navicula Amphirhynchus. 29.
Navicula nodosa. 30. Pinnularia elliptica. 31. Pinnu-
laria gibba. 32. Pinmularia oblonga. 33. Pinnularia
limosa. 34. Pinnularia didyma. 35. Pinnularia viri-
dula. 36. Pinnularia Amphirhynchus. 37. Gyrosigma
curvula. 38. Gyrosigma acuminata. 39. Stauroneis li-
nearis.
Fam. IX. Synedreae.
40. Synedra Ulna. 41. Synedra acuta.
Fam. X. Gomphonemeae.
49. Gomphonema geminatum. 43. Gomphonema ca-
pitatum.
0!
Fam. XI. Meridieae.
Fam. XII. Tabellarieae.
44. Tabellaria fenestrata. 45. Tabellaria flocculosa.
*) Die einzige noch lebende Diatomacee in der Grundprobe.
2*
Bulletin de l'Académie Impériale
Anmerkung. Obgleich ich wohl an zweihundert
Analysen gemacht habe, sind mir doch manche von
den hier verzeichneten Formen nur sehr selten vorge-
kommen und wären mir bei einer flüchtigern Unter-
suchung der Probe vielleicht ganz entgangen. Am
häufigsten und in grosser Anzahl traten auf: Melosira
distans, Gallionella varians Ehr. und Tabellaria fenes-
trata; ihnen zunächst Cymbellen, Eunotien und Navi-
culaceen.
Bemerkungen über einige Formen derselben.
A. Campylodiseus radiosus Ehr.
Fig. 1.
Gleich die erste Abbildung gewährt ein mehrfaches
Interesse. Das dort dargestellte Gebilde ist bis dahin
nur von Ehrenberg gesehen worden und in seiner
Schrift: «Verbreitung und Einfluss des mikroskopi-
schen Lebens in Süd-und Nord-Amerika. Berlin 1843»
beschrieben und Tab. III Fig. 14 abgebildet. Raben-
horst hat zwar eine von da entlehnte Kopie in sei-
nem Buche mitgetheilt, scheint aber eben so wenig
als andere Forscher es selbst beobachtet zu haben.
Mir ist dasselbe zweimal in der Grundprobe des La-
doga-Sees vollständig erhalten entgegengetreten und
entsprach vollkommen der Ehrenberg’schen Abbil-
dung; auch ich zählte 60 — 70 Strahlen. DaEhren-
berg dieses Gebilde unter vielen anderen marinen
Organismen im Meeresabsatze von der flachen sandi-
gen Küste bei Vera Cruz entdeckte, zählt er dasselbe
gleichfalls zu den Bewohnern des Meeres. Meiner
Beobachtung zu Folge kann es aber auch in süssem
Wasser, wie so manche andere im Meere anzutref-
fenden Diatomaceen, vorkommen. Auffallend bleibt es
aber, dass es bisher nur in Vera Cruz und im La-
doga-See beobachtet wurde.
B. Melosira arenaria.
Fig. 2. a. b. c. d. e.
Bei den Schriftstellern finden sich bedeutende Dif-
ferenzen in Hinsicht dieser Art. So bezeichnet Eh-
renberg an vielen Stellen seiner Mikrogeologie der-
gleichen gestrahlte Ringe, wie ich sie hier dargestellt
habe, als zu seiner Gallionella (Melosira) varians ge-
hórend, und hat auch in seinem grossen Infusorien-
werke folgende Diagnose gegeben: «corpusculis a dorso
glabris, a latere radiatim striolatis.» Rabenhorst hin-
gegen sagt von der Melosira variams aus, dass die
Hauptseiten nie gestreift, sondern stets glatt seien,
und scheint alle jene gestrahlten Ringe zu Melosira
arenaria Moore zu rechnen. Ich bin bei seiner No-
menclatur geblieben. Ob mit Recht?
C. Surirella undata (subacuta) Ehr.
Fig. 19. a. b.
Diese von Rabenhorst gar nicht erwühnte Suri-
rella- Art entdeckte Ehrenberg im weissen Mergel-
gestein vom See Garnag in Fajum (Âgypten) und hat
von ihr zwei Abbildungen in seiner Mikrogeologie auf
Tab. XXXIII. I. Fig. 21 und 21* gegeben. Mir ist
dieses Gebilde zweimal in unserer Grundprobe entge-
gengekommen, und es glückte mir auch, eine Ansicht
von der Nebenseite aufzufassen, wie ich sie unter b.
dargestellt habe.
D. Surireila ladogensis, Nov. sp.
j Fig. 20. a. b. c. d.
Weil ich diese Form nirgends beschrieben gefun- -
den, musste ich sie für neu halten und benenne sie
deshalb nach dem Ladoga-See. Von der Hauptseite
betrachtet erscheint der ziemlich dicke Körper von
länglich - rhomboidalischer Gestalt mit stark bauchig `
gewülbten Seiten, deren innere Ründer mit kurzen
zahnfórmigen Leisten besetzt sind. Von den Neben-
benseiten stellt er sich so dar, wie unter b. und d. zu
sehen ist, wobei man auch beiläufig seine Dicke ab-
schätzen kann. Da mir bei der Analyse der Probe
sechs Exemplare aufgestossen sind, so gehört diese
Surirella gerade nicht zu den Seltenheiten des La-
doga-Sees, während manche andere hier verzeichnete `
Diatomaceen weit seltener vorgekommen sind. Von
der Surirella ovalis Br&b. unterscheidet sie sich durch
die linealisch-längliche Gestalt der Nebenseiten, wel-
che bei jener Form stumpf-keilförmig sind. Ob iden-
tisch mit der Surirella oregonica Ehr.? Mikrog. Tab.
XXXIII. XII. F. 27. 2
E. Pinnularia Amphirhynchus Rabenh.
Fig. 36. :
Rabenhorst hat diese neue Art in seinem ange-
Zogenen Werke aufgestellt und beschrieben, jedoch
nicht abgebildet. Er hat sie im südlichen Italien ken-
nen gelernt; ich habe sie zu wiederholten Malen D `
der Grundprobe des Ladoga-Sees zu Gesicht bekom-
CHE FE a LAT U m
Bulletin de 1cad. Jmp. d se T VIII
Heisse. Diatomaceen des Ladoga - Sees.
A EN
SUFRE UA D
gu
T
ne
ex
Ip.
, H
as RE 4 Sl]
‘ UNNA MA HMA A E N
25
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
men. In der äusseren Gestalt gleicht sie vollkommen
der Navicula Amphirhynchus, unterscheidet sich aber
von ihr beim ersten Anblicke durch deutliche Queer-
streifung.
F. Gomphonema geminatum.
Fig. 42.
Diesen durch seine liebliche Gestalt ausgezeichne-
ten kieselschaligen Organismus habe ich recht háufig
in unserer Grundprobe angetroffen. Ehrenberg hat
ihn unter dem Namen: Gomphonema herculeanum aus
dem Wasserschlicke des Niagara-Falles in Nord-Ame-
rika in der Mikrogeologie Tab. XXXV. A. VII. Fig.
12 und 13 abgebildet. Rabenhorst fügt aber diesem
Fundorte noch hinzu: «auf Steinen in den Alpbächen
Scandinaviens, Schottlands und Irlands». Somit mag
er wohl aus Finnland zu uns in den Ladoga-See her-
abkommen. ;
Bericht über eine im Sommer 1863 unternom-
mene Reise in den östlichen Altai, von Dr.
Wilhelm Radloff. (Lu le 25 août 1864.)
Nachdem ich auf drei Reisen die Tatarstämme des
Altai und ihre westlichen Nachbarn zwischen Irtisch
und Thian-Schan durchforscht hatte, musste ich jetzt
meine Aufmerksamkeit nach Osten wenden, um eine
nähere Einsicht in die versprengten Tatarstämme des
nordöstlichen Theiles des Tomskischen Gouvernements
und des obern Jenissei-Gebietes zu erhalten.
Ich glaubte am Besten die neuen Forschungen an
das mir Bekannte anknüpfen zu können, wenn.ich
noch einmal das Gebiet der Schorzen durchstrich und
von hier aus in die südliche Abakansteppe vordrang.
Ich wandte. mich daher zuerst nach Biisk und ging
dann, nachdem ich die Ulalusche und Makariewsche
Mission berührt, am linken Ufer der Bija aufwärts
bis zur Lebed-Mündung.
Auf diesem Wege berührte ich mehrere Kuman-
dinen - Dórfer. Die Kumandinen bewohnen die Ufer
der Bija zwischen Makariewsk und der Lebed - Mün-
dung und die Nord - Abhänge des Gebirges zwischen
Ulalu und Bija. Sie leben angesiedelt in kleinen Dör-
fern von 5 — 10 Häusern und beschäftigen sich mit
Ackerbau und Fischfang. Ihre Wohnungen sind ent-
weder roh aus Balken gezimmerte Holzbaracken oder
Hütten aus Birkenrinde. Die Nachbarschaft russischer
Dörfer hat hier schon grossen Einfluss geübt und die
Nationaltracht wie auch das herumschweifende No-
madenleben ganz verdrängt; auch die russische Spra-
che hat bei vielen Individuen schon festen Fuss ge-
fasst, so dass man oft ein buntes Gemisch von Rus-
sisch und Tatarisch zu hören bekommt. Der eigent-
liche Dialect der Kumandinen steht dem der Lebed-
Tataren sehr nahe. In administrativer Hinsicht sind
die Kumandinen in zwei Saisanschaften getheilt.
Da ich wenig Aussicht hatte, hier sprachliche Auf-
zeichnungen machen zu können, hielt ich mich bei
ihnen nicht auf, sondern folgte dem Lebed in seinem
Laufe aufwärts und verweilte nur bei den Lebed-Ta-
taren einige Tage.
Etwa 20 Werst von der Mündung des Andaba ver-
liess ich den Lebed und wandte mich zur Kondoma,
der ich bis zur Alexandrowschen Goldwäsche folgte;
von hier aus ging ich südlich zum Mrass, welchen
ich in seinem obern Laufe überschritt, und begab mich
darauf zu den Quellen des Madyr, einem linken Ne-
benflusse des Abakan.
An der Kondoma, dem Bsas und Mrass traf ich viele
Schorzen, und am Mrass verweilte ich einige Tage,
da sich mir Gelegenheit zu sprachlichen Aufzeichnun-
gen bot.
Am 30. Mai erreichte ich endlich die ersten Wohn-
sitze im Gebiete des Abakan. Die hier angesiedelten
Tataren sind Schorzen, die etwa vor 50 Jahren einer
Hungersnoth wegen die westlichen Waldgebirge ver-
liessen. In administrativer Hinsicht gehören sie noch
bis heute zu den Schorzen und zahlen ihren Tribut
nach Kusnetsk. Ihre Sprache neigt sich mehr der der
Abakan-Tataren zu, und sie sind wie diese zum gröss-
ten Theil getauft. Sie wohnen in hölzernen Hütten
oder auch in Häusern und beschäftigen sich mit Acker-
bau und Viehzucht. Die reiche Natur, die sie um-
giebt, hat die Armen, durch Hunger vertriebenen
schon zu einem bedeutenden Wohlstande gebracht.
Von hier aus ging mein Weg zum Taschtyp und
dann theils am linken theils am rechten Ufer des
Abakan bis zu seiner Mündung in den Jenissei. Auf
diesem Wege besuchte ich viele Dörfer der Sagaier,
Koibalen und Katschinzen. Über einen Monat hielt
ich mich bei diesen Abakan-Tataren auf, da gerade
sie das Hauptziel meiner diesjährigen Forschungen
waren. | 3 vi
27
Bulletin de l’Académie Impériale
Die Tataren der Abakan-Steppe stehen unter zwei
Steppen-Gerichten :
1) das Steppengericht der vereinigten Stämme ver-
schiedener Herkunft (früher Sagaisches Steppen-
gericht genannt).
2) das Katschinzische Steppengericht.
Ersteres hat seinen Sitz an der Mündung des As-
kys, letzteres nicht weit von der Mündung des Aba-
kan. Früher bestand noch ein drittes, das Koibalische
Steppengericht; dieses ist aber seit einigen Jahren
aufgehoben, und seine Unterthanen sind theils den Sa-
gaiern theils den Katschinzen zugezählt.
Die Abakan-Tataren leben zum grössten Theil in
runden Birkenrinden-Jurten und wechseln ihre Wohn-
sitze im Sommer und Winter. Die Sagaier beschäfti-
gen sich mehr mit dem Ackerbau, halten wenig Vieh
und leben meist in grosser Armuth. An einigen Stel-
len finden sich auch angesiedelte Dörfer, diese sind
aber meist von verrussten Individuen angelegt. Die
Katschinzen hingegen sind reich und beschäftigen sich
ausschliesslich mit der Viehzucht Die Sagaier sind
zum grössten Theil, die Katschinzen alle getauft, wenn
auch ihre Kenntniss vom Christenthum sehr gering ist,
und der Schamanismus bei ihnen ungeschwächt fort-
besteht.
Diese Abakan-Tataren sind aus dem buntesten Ge-
wirr von Elementen zusammengesetzt, aber durch
langjähriges Zusammenleben in Sprache und Lebens-
weise fast zu einem Stamme zusammengeschmolzen.
Als die Kirgisen vor zwei Jahrhunderten in ihrer
Hauptmasse die Abakan- und Jenissei-Steppe verlies-
sen, blieben in den Thälern des Askys zwei Stämme
derselben, die Sagaier, zurück. Diese sind sich noch
heute ihrer Abstammung bewusst. Die reichen Ebe-
nen des Abakan blieben aber nur sehr kurze Zeit ohne
Bewohner. Von allen Seiten drängten sich die in den
benachbarten Waldgebirgen wohnenden Stämme zur
Ebene. Von Süden her zogen die Beltiren, von Süd-
Osten Koibalen und Matoren, von Nordwesten ver-
sprengte Stämme der Arinen und Assanen zu dem
weiten Abakanthale herab. Alle diese kleinen Stämme
nahmen aber nur einen sehr kleinen Theil des Aba-
kanthales in Besitz.
Zu dieser Zeit hatten die Kämpfe mit den Russen
und Chinesen die Macht der Kalmücken immer mehr
untergraben, und die nördlichen dem Altyn Kan un-
tergebenen Turk-Stämme zogen zum Theil in den Al-
tai, zum Theil in die Waldgebirge zwischen Bija und
Abakan, und vermischten sich theils mit den frühe-
ren Einwohnern jener Gebirge (Jenissei-Ostjakischen
Stammes), theils brachen sie bis zur Abakan-Steppe
durch und bevölkerten diese südlich vom Askys.
Während die den Kalmücken unterworfenen Turk-
Stämme am südlichsten Rande Sibiriens entlang zogen,
wurden die Trümmer des Reiches des Kütschüm Kan
vom Tobol durch die andringenden Russen nördlich
von Kusnetsk über den Tom bis zum Jenissei ge-
drängt, wo sich ein Theil derselben an der Katscha
nicht weit von Krasnojarsk niederliess. Als sich aber
die Kirgisen aus dem Abakanthale zurückzogen, lockte
dieselben der Reichthum des obern Jenissei - Ge-
biets nach Süden, bis sie sich endlich in ihrer Haupt-
masse zwischen Abakan und Jüs nördlich vom Askys
niederliessen.
Ausser den Koibalen sprachen alle diese Stämme,
so verschiedener Abstammung sie auch waren, schon
bei ihrer Einwanderung in das Abakanthal türkische
Dialecte. Die Beltiren waren, wie auch die Sojonen,
schon früher von den Kirgisen turkisirt worden, und
als die Turk-Stämme des Kalmückenreiches sich am
Abakan niederliessen, entstand aus der Vermischung
beider ein Dialect, den ich das Sagaische nennen will,
und der in seiner ausgeprägtesten Eigenthümlichkeit
an der Mündung des Taschtyp gesprochen wird. Die
Katschinzen sprachen eine vom Sagaischen nicht sehr
abweichende Mundart (da ihre Sprache gewiss von
den früheren Nachbarn, den Kirgisen, Manches ange-
nommen hatte). Das Häuflein Koibalen, das so zwi-
schen zwei bedeutend grössern tatarisch sprechen-
den Völkerschaften lebte, verlor allmählich seine ei-
gene Sprache und nahm theils die Sprache der Ka-
tschinzen theils die der Sagaier an. Der enge Verkehr
zwischen Sagaiern und Katschinzen liess zuletzt beide
Dialecte in einander übergehen. Jedes Dorf vom Ma-
dyr an bis zur Mündung des Abakan zeigt eine all-
máhliche Dialektveränderung, die oft kaum wahrnehm-
bar ist, und nur, wenn man die Sprache weit von ein-
ander gelegener Ortschaften vergleicht, sind bedeu-
tende Verschiedenheiten bemerkbar.
Alle diese kleinen Mundarten theile ich daher in
drei Dialecte: 3
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
1) der südliche Dialect (Sagaisch), besonders
ausgeprägt am Taschtyp.
2) der mittlere Dialect (Koibalisch), besonders
ausgeprägt am Askys und am Ut.
3) der nördliche Dialect (Katschinzisch).
In meinen Sprachproben-Sammlungen habe ich es
mir besonders angelegen sein lassen, ein Bild der ver-
schiedenen Dialect-Nüancen in einer fortlaufenden
Reihe vorzuführen, was der reiche Märchenschatz der
Abakan-Tataren sehr erleichterte.
Von Minussinsk aus fuhr ich zu Boot den Jenissei
abwärts bis nach Krasnojarsk, denn von dort beab-
sichtigte ich mich zu den Karagassen am Kan zu be-
geben. Ich folgte deshalb dem Kanskschen Postwege
bis zum Dorfe Rybinsk und ging von hier südlich
zu den Kamassinzen (Kangbashy). Die nördlichsten
Kamassinzen sind zum Theil mit Katschinzen ver-
mischt und sprechen den Katschinzen-Dialect. Hier
erfuhr ich zu meinem Leidwesen, dass die Karagassen
am Kan sich zu den Quellen der Birussa (etwa 10 Ta-
gereisen südöstlich) gezogen hatten, da ihnen im ver-
gangenen Winter alle Rennthiere gestorben waren.
Eine so weite Reise zu unternehmen, erlaubte mir
meine Zeit nicht; ich kehrte also ohne Verzug nach
Krasnojarsk zurück und reiste von dort über Atschinsk
zu den Quellflüssen des Tschulym, den beiden Jüs.
Das Gebiet der beiden Jüs ist von den Kysyl-Tataren
bewohnt. Diese Kysyl leben fast wie die Katschinzen
und Sagaier theils vom Ackerbau theils von der Vieh-
zucht. Sie wohnen in viereckigen gezimmerten Jur-
ten und sind alle getauft. Nach Norden sind schon
mehrere Dörfer verrusster Kysyl-Tataren.
Diese Kysyl sind aus einer Vermischung verspreng-
ter Teleuten, Tobol-Tataren (des Kütschüm Kan) und
Jenissei-Ostjaken (Assanen?) entstanden. Unter den
Geschlechtern der Kysyl will ich nur das sehr zahlreich
bei ihnen vertretene Geschlecht Argyn erwähnen,
das sich auch bei den Kirgisen der mittleren Horde
findet. Sollte nicht bei der Zerstörung des Tobol-Tata-
renreiches sich ein Theil der Unterthanen zur Süd-
steppe gewandt haben und ein anderer nach Osten ge-
zogen sein, so dass dadurch die Glieder ein und des-
selben Geschlechtes so weit von einander getrennt
sind? |
Die Sprache der Kysyl steht der der Katschinzen
sehr nahe, neigt sich aber in vieler Beziehung dem
Teleutischen zu. Auch hier habe ich während eines
längern Aufenthaltes Sprachproben an zwei verschie-
denen Orten gesammelt.
Die Kysyl gehören zum Atschinskischen Kreise und
haben ein eigenes Steppengericht am schwarzen Jüs.
Vom Jüs ging ich nördlich zum Flusse Kija und
folgte diesem Flusse mit einigen Unterbrechungen
fast bis zu seiner Mündung in den Tschulym. Auf die-
sem Wege traf ich drei Tatarenstämme:
1) die Kätsik, südlich von Mariinsk;
2) die Küärik, nördlich von Mariinsk;
3) die Tscholym-Tataren nördlich von der untern
Kija am Tscherdat.
Die ersteren sind zum grossen Theil Tobol-Tataren,
die zweiten Teleuten und die dritten meiner Ansicht
nach turkisirte Ostjak-Samojeden. Von allen Seiten
von Dörfern umgeben, ist der grösste Theil dieser Ta-
taren verrusst, spricht russisch und lebt ganz nach
Art der russischen Bauern. Das Einzige was diese,
meist nur aus einigen Zehent Menschen bestehenden
Geschlechter an ihrer Nationalität festhalten lässt,
sind die Vortheile (leichtere Abgaben), die sie als
Eingeborene vor den russischen Bauern haben.
Die Sprache ist bei allen drei Stämmen fast dieselbe:
sie liegt in der Mitte zwischen der Mundart der Ky-
syl und dem Teleutischen. Ich nenne diesen Dialect
mit dem Gesammtnamen Küärik-Dialect.
Von der untern Kija kehrte ich über Tomsk nach
Barnaul zurück, wo ich Mitte August eintraf.
Bevor ich diesen Bericht schliesse, will ich noch
eine Übersicht aller von mir untersuchten Tatar-Dia-
lecte Süd-Sibiriens geben:
1) Sungarische Gruppe:
Kirgisen.
Kara Kirgisen.
Turantschi (Uiguren).
9) Altaische Gruppe:
X
Altaier Teleuten
tov | Bars
Tuba Lebed we |
Schor Pai
Sagai — Koibal — Katschinzen.
3) Sajanische Gruppe: : :
Sojonen: im 9]
Bulletin de l'Académie Impériale
Diese drei Hauptgruppen der Türkischen Dialecte
Sibiriens bilden in der aufgeführten Reihenfolge ein
Mittelglied zwischen den Tatar-Dialecten des Euro-
päischen Russlands und dem im Osten Sibiriens ge-
_sprochenen Jakutischen. Alle diese Dialecte bis auf
das Karagassiche, das als letzte Übergangstufe zum
Jakutischen besonders wichtig ist, und das ich später
noch zu untersuchen hoffe, sind von mir, so viel in
meinen Kräften stand, durchforscht.
Was meine sprachlichen Sammlungen betrifft, so
haben sie sich in diesem Jahre um Folgendes ver-
grössert:
\ L Sprachproben,
1) Tuba.
5 Märchen (32 eiten).
2) Lebed-Tataren.
4 kleine Märchen.
3) Schorzen.
a) an der Kondoma.
1 Märchen (8 Seiten).
b) am obern Mrass.
4 Märchen (62 Seiten).
4) Sagai.
a) am Flusse Seja.
3 Märchen (84 Seiten).
b) am Taschtyp.
4 Märchen (102 Seiten).
c) am Is.
3 Märchen (42 Seiten).
` 5) Koibal.
a) am Askys (Sagai).
1 Märchen (18 Seiten).
b) Koibal am Ut.
2 Märchen (80 Seiten).
c) nordwestlich von Askys (Kirgis).
1 Sage (4 Seiten).
1 Mürchen (80 Seiten).
6) Katschinzisch.
a) am Üi Tag.
1 Márchen (15 Seiten).
b) an der Abakanschen Uprawa.
2 Märchen (69 Seiten).
c) Kangbashy.
1 Märchen (4 Seiten).
7) Kysyl.
a) am schwarzen Jüs.
1 Märchen (46 Seiten).
b) Ak Kul.
1 Märchen (34 Seiten).
2 Lieder (10 Seiten).
8) Küärik.
an der obern Kija.
1 Märchen (34 Seiten).
II. Lexikon.
Reiche Wörterverzeichnisse der Sagai, Koibal, H
Katsch und Küärik.
UL Grammatik,
Lautlehre und Etymologie aller obengenannten Dia-
lecte.
Bericht über eine im Sommer des J. 1864 zu
linguistischen Zwecken unternommene Reise,
von F.J. Wiedemann. (Lu le 15 septembre 1864)
Dieses letzte Jahr von den vier, welche mir von
der Classe zu Reisen in Angelegenheiten meines ehst-
nischen Wörterbuchs bestimmt waren, habe ich theils
dazu verwendet mich etwas genauer bekannt zu ma-
chen mit der Sprache einer Gegend, die ich bisher
‚nur flüchtig hatte besuchen können, nämlich Allen-
takens, im Nordosten des ehstnischen Sprachbezirks
und angrenzend an einen von Finnen bewohnten Theil
des St. Petersburgischen Gouvernements, theils um
so viel wie möglich an Ort und Stelle Aufschluss
zu erlangen über eine nicht geringe Anzahl aus ge-
druckten und handschriftlichen Quellen gesammelter
Wörter, über deren Aussprache die von den Schrei-
bern gebrauchte ungenaue Orthographie in Unsicher-
heit liess, oder deren Richtigkeit mir aus verschie-
denen Gründen zweifelhaft oder nicht gesichert genns
erschien. |
Den ersten der genannten beiden Zwecke konnte
ich leider nicht so vollständig erreichen, wie ich es
gewünscht hatte, da die Prediger in den Allentaki-
schen Kirchspielen gerade damals auf einer Sprengel-
synode in Wesenberg versammelt waren, und i
deren Rath und Beistand nicht wohl entbehren konnte.
So verweilte ich denn nur in zwei von den vier zum
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
34
Allentakenschen Kreise gehörigen Kirchspielen eine
Woche etwa, und auch die in dieser kurzen Zeit ge-
wonnenen Resultate boten manches Interesse. Die
Sprache in Allentaken hat, was sich aus seiner Lage
erklärt, manches dem Finnischen Entsprechende in
Wörtern und Wortformen, das den anderen Thelen
Ehstlands und der Schriftsprache fremd ist.
Befriedigendern Erfolg hatte ich in der Verfolgung
des zweiten und für meine lexikalische Arbeit eigent-
lichen Hauptzweckes meiner Reise. Aus Allentaken
begab ich mich zunächst nach Dorpat, wo ich einen
Monat verweilte, um die bisher erschienenen Jahr-
gänge ehstnischer Zeitschriften durchzunehmen, wel-
che, als nicht der allgemeinen sondern einer Local-
censur unterliegend, nicht in unsere Bibliothek gelie-
fert werden, und im Buchhandel nicht zu haben sind.
Die gelehrte ehstnische Gesellschaft würde mir zwar
ihr dort von mir benutztes Exemplar gewiss auch,
wenn ich darum angesucht hätte, hieher geschickt
haben, wie schon früher auch manches Andere, allein
ich zog es vor diese Sachen in Dorpat zu lesen, weil
der Herausgeber der einen Zeitschrift, Hr. Jannsen,
einer der besten jetzt lebenden Schriftsteller, selbst
in Dorpat wohnt, und so am leichtesten und einfach-
sten von ihm Aufschluss zu erlangen war nicht nur
über manche beim Durchlesen seiner Zeitschrift mir
aufgestossenen Bedenken, sondern auch über andere,
schon früher gesammelte. Von Dorpat ging ich über
Werro nach Neuhausen an der Pleskauschen Grenze,
also ebenfalls wie Allentaken eine östliche Grenzge-
gend des ehstnischen Sprachbezirks, aber nicht im
Nordosten sondern im Südosten, und nicht gegen Fin-
nen sondern gegen Russen. Dieser Nachbarschaft ent-
- stammt wahrscheinlich:ein eigenthümlicher Laut, den
ich bis dahin noch nirgends im Ehstnischen gefunden
hatte, nämlich neben dem mouillirten L nicht das ge-
wühnliche deutsche, sondern das gutturale russische.
Ich konnte mich leider nicht vergewissern, ob auch
an der Südgrenze von den Letten, welche. dieselben
beiden L haben wie die Russen, das gutturale L in
die Sprache der Dórptehsten gekommen ist, denn ich
glaubte die Zeit und die mir verliehenen Reisemittel
ieber zu dem verwerthen zu müssen, was zu dem
Wörterbuch in näherer Beziehung stand. So ging ich
denn auf demselben nächsten Wege zurück nach Dor-
pat und von da weiter nach Turgel im Jerwenschen
Tome VIII.
Kreise Ehstlands, wo ich einige Zeit verweilte, um
das bis dahin Gewonnene in mein Lexikon einzuschal-
ten. Darauf reiste ich nach Pernau, das ich zwar
auch vor zwei Jahren schon passirt hatte, aber damals
auf einem anderen Wege und von einer anderen Seite
her kommend. Diess Mal ging es über die Pastorate
Fennern und Torgel, durch eine Gegend, die mir zum
Theil noch ganz neu war, und hier gelang es mir eine
ziemlich grosse Menge von Ungewissheiten, etwa hun-
dert, in meinen Collectaneen zu erledigen. Von Pernau
reiste ich dann weiter über Hapsal nach Reval, wo ich
den Rest der Zeit zubrachte bis auf eine kürzere, nur
einige Tage wührende Fahrt nach Baltischport und
zu dem Propst Fick nach Kegel, der schon früher,
wie ich damals berichtet habe, mir sehr ansehnliche,
theils eigene theils fremde Wörtersammlungen mitge-
theilt hatte, und der auch jetzt wieder Manches für
mich gesammelt hatte, was ihm gelegentlich beim Ver-
kehr mit Ehsten aufgestossen war.
Der Aufenthalt in Reval wurde zum Theil dazu an-
gewandt, das seit dem letzten Ruhepunkt in Turgel
wieder Gesammelte dem Manuscript meines Würter-
buchs einzuordnen und Berichtigungen in demselben
zu machen, zum Theil dazu, eine bei meiner Ankunft
vorgefundene sehr ansehnliche Sendung von ehstni-
schen Wórtern und Redensarten durchzuarbeiten von
dem Pastor Sengbusch in Dagö.
Mein Verzeichniss unsicherer Würter ist nun zwar
durch diese Reise sehr betrüchtlich vermindert wor-
den, allein es sind doch noch genug übrig geblieben.
Es sind diess 1) Namen von Naturgegenstünden, theils
Pflanzen, die ich nicht selbst sehen konnte, theils
Thieren, bei denen ich, auch wenn ich sie gesehen hátte,
die Species zu bestimmen doch nicht im Stande ge-
wesen wäre, da ich wohl auf die Flora aber nicht auf
die Fauna der Ostseeprovinzen mich verstehe; 2) aus
alten Büchern stammende Wörter, die, wenn sie frü-
her je ganz richtig gewesen sein sollten, jetzt viel-
leicht doch nirgends mehr gekannt und gebraucht
werden, in so weit sie nicht durch die Bibel im Ge-
düchtniss des Volkes erhalten werden; 3) aus zwar
neueren Schriften oder Aufzeichnungen stammende,
von denen aber bisher keiner von den vielen Ehsten,
die ich befragt habe, etwas wissen wollte, und die
móglicher Weise zum Theil auch nur einem Druck-
oder Schreibfehler ihre Entstehung pee mögen.
35
Bulletin de l'Académie Imperiale
Von den Wörtern der ersten und letzten dieser drei
Kategorien habe ich nun noch als letztes Auskunfts-
mittel verschiedene kleinere Verzeichnisse angefertigt
und in die Gegend, wo diese Wörter her kommen sol-
len oder her zu kommen scheinen, an Personen ge-
schickt, von denen ich weiss, dass sie gute Kenner
der Sprache sind oder Interesse für dieselbe haben,
mit der Bitte, darüber Umfrage und Nachforschung
anstellen und das Ergebniss ihrer Bemühung mir mit-
theilen zu wollen.
Zwei ossetische Thiermärchen, mitgetheilt von
A. Schiefner. (Lu le 15 septembre 1864.)
Der unermüdlichen Gefälligkeit des Hrn. Collegien-
raths Adolf Berger in Tiflis verdanke ich den Original-
text zweier ossetischer Thiermärchen, welche der ein-
geborne OsseteTsorajew mit einer genauen russischen
Übersetzung und einigen erläuternden Anmerkungen
begleitet hat. Indem ich dieselben den Freunden osse-
tischer Studien vorführe, glaube ich zugleich einen
interessanten Beitrag zur genaueren historischen For-
schung über die Verbreitung von Märchenstoffen zu
liefern.
Das erste Märchen: «Die Laus und der Floh » stellt
sich durch Urprünglichkeit gar vortheilhaft heraus
neben dem aus Grimm’s Sammlung wohlbekannten
deutschen Märchen N° 30 «Läuschen und Flöhchen»,
wozu noch Benfey, Einleitung zum Pantschatantra
$ 67 S. 191 zu vergleichen ist. Schon in dem bud-
dhistischen Legendenkreise finden wir beide Thiere
einander zugesellt; s. m. Anmerkung 61 zu der tibe-
tischen Lebensbeschreibung Cákjamuni's in den Mé-
moires des savans étrangers T. VI 8. 327 (96). In Be-
. treff der Form vergleiche man namentlich Kuhn und
Schwartz, Norddeutsche Sagen, Mürchen und Ge-
bräuche. Leipzig 1849, S. 509; Ernst Meier, Deut-
L
Süst ämä äxsänk,
Rädüma rädü ') süst ämä äxsänk udi, aflämäi balcüi füciiici-
düstüi; ju ran sä donüi yain qudi, ämä äxsänk aflä zägüi:
I.
Die Laus und der Floh,
Längst längst war eine Laus und ein Floh, also
gingen sie Ba den Weg; an einer Stelle missten sie
sche Volksmärchen aus Schwaben. Stuttg. 1863, X:
80 — 82 und Aoamacserp, Haponnın pycekis oam.
pomryckb IV N°16 kosa m pm, II erp. 130 — 131,
Das zweite Märchen, das uns den allbeliebten Mei-
ster Reinhart in ossetischem Gewande vorführt, bie-
tet eine ganze Masse von interessanten Punkten zur `
Vergleichung der einzelnen Märchenzüge dar, Be-
sonders interessant ist der Fischfang auf dem Eise,
der sonst dem Wolfe, hier aber den Füchsen zuge-
wiesen wird. Was die Einbusse des Schwanzes be-
trifft, so muss ich auf ein litthauisches Märchen auf-
merksam machen, das ich aus dem Munde eins —
eingebornen Litthauers gehört und bereits in der «
(Zur —
vergleichenden Thiersagenkunde) mitgetheilt habe, «
Der Fuchs wird von den Hunden verfolgt und spornt «
Zeitschrift «das Inland» Jahrgang 1862 N°3
alle seine Gliedmaassen an, ihm bei der Flucht be-
hülflich zu sein, damit er ungefährdet in seinen Bau —
gelange. Alle Gliedmaassen gehorchen mit Ausnahme
des Schwanzes, der immer an die Bäume anschlägt, «
um den Fuchs in seiner Flucht aufzuhalten. Als der —
Fuchs dennoch glücklich heim gelangt ist, schilt er —
die einzelnen Gliedmaassen aus. Diese aber rechtfer- —
tigen sich mit Ausnahme des Schwanzes, der sich —
noch etwas darauf zu Gute thut, dass er ihn in der
Flucht aufgehalten hat. Erzürnt giebt der Fuchs da di
seinen Schwanz den vor dem Loche stehenden Hun-
den zum Zerraufen preis. Vergl. hiezu Schleichers -
Litauische Märchen S. 8 und Russwurm, Sagen aus
Hapsal; der Wiek, Oesel und Runö, Reval 1861N
180 «der Fuchs und der Hase», sowie auch Reinhold
Köhler in Benfey’s Orient und Occident, Bd. I S. : :
301 folg. Daneben beachte man das frühere (Bullet.
T. V p. 437 = Mélanges russes T. 1V S. 294 N*17) mit-
Eum k y p
getheilte ossetische Sprichwort: «Der Fuchs geg :
nen Schwanz als cn auf».
D
SÉ
Cii ämä aeü dent särül?) ägäpbüläkänäm; süst zaxta: «Ci».
Äxsänk ägäpbKodta ämä fallagfars Dei: süst la donüi nür- 2 :
xaudta. Äxsänk rauad ämä vum? syad ämä in zaxta: Xu! qis 3
râdt, äz mä cädisämbalüi? ) slâson. Xu zaxta: «Uädä mün =
über das Wasser setzen und der Floh spricht also:
«Wohlan, springen wir über dieses Wasser»; die Laus
sprach: Keng Der Floh sprang und war auf uf der >
andern Seite; die Laus aber fiel ins Wasser. DE |
37
des Sciences de Saint - Petersbourg.
gurko ärxäss». T’ulzmä ácüd ämä in zaxta: « T'ul5! gurko
rädt, gurko xu äxära, xu qis râdta, äz mä eädisämbalüi slä-
son». T'ulz zaxta: Kg mün Qürğüi mä bünüi ma uäl li-
jäd»*). Qür&ümä âcüdi: «Qürgüi! tulgüi bün ma uäl lii, tul;
gurko râdta, gurko xu âxära, xu qis râdta, äz mä cädisämbal
släson». — Qürdüi zaxta: «Uädä mün aik rädt». Karkmä
äcüdi. «Kark! aik rädt, aik Qürsüi äxära, Qürğüi İulzüi bün
ma uäl lija, tulz gurko rádta, gurko xu äxära, xu qis rädta, äz mä
cädisämbal släson». — Kart zaxta: «Uädä müst kutu ma uâl
gärdäd». Müstmä bacüdi ämä in zaxta: «Müst! kulu ma uâl
gärd, kutu Kark baigärda, Kark aik rädta, aiK Qürsüi Axära, Qür-
&üi tulgüi bün ma uâl lija, tul; gurko rádta, gurko xu âxüra,
xu qis rädta, äz mi cädisämbal släson». Müst zaxta: «Uädä
mä gädü ma uàl axsäd». Gädümä bacüdi ämä in zaxta: «Gä-
Floh geht und kommt zum Schwein und spricht zu
ihm: «Schwein, gieb eine Borste, ich will meinen Ge-
fahrten herausziehen». Das Schwein sagt: «So bringe
mir Eicheln». Er geht zur Eiche und spricht zu ihr:
«Eiche, gieb mir Eicheln, die Eicheln wird das Schwein
fressen, das Schwein eine Borste geben, ich aber
werde meinen Gefährten herausziehen». Die Eiche
sprach: «So möge mir Qürghüi nicht mehr meinen Bo-
den verunreinigen». Er ging zu Qürghüi: Qürghüi! ver-
unreinige nicht mehr den Boden der Eiche, die Eiche
wird Eicheln geben, die Eicheln das Schwein fressen,
das Schwein eine Borste geben, ich aber werde meinen
Gefährten herausziehen». Qürghüi sprach: «So gieb
mir ein Ei». — Er ging zur Henne: «Henne! gieb ein
Ei! das Ei wird Qürghüi verzehren, Qürghüi nicht mehr
den Boden der Eiche verunreinigen, die Eiche Eicheln
geben, die Eicheln das Schwein fressen, das Schwein
eine Borste geben, ich aber werde meinen Gefährten
herausziehen». — Die Henne sprach: «So móge die
Maus den Korb nicht mehr benagen». — Er ging zur
Maus und sprach zu ihr: «Maus! benage nicht mehr den
Korb, den Korb wird die Henne benagen, die Henne
ein Ei geben, das Ei Qürghüi verzehren, Qürghüi nicht
mehr den Boden der Eiche verunreinigen, die Eiche
Eicheln geben, die Eicheln das Schwein fressen, das
Schwein eine Borste geben, ich aber werde meinen
Gefährten herausziehen». — Die Maus sprach: «Dann
1) Mit diesen Worten beginnen überhaupt die Mär-
chen, wahrscheinlich sind sie aus rädü ämä rädü, längst
und längst, zusammengezogen. Tsorajew.
2) von sär, Haupt, vergl. Sjögren S. 224.
düi! müst ma uàl axs, müst kulu ma uàl gärda, kulu Kark
baigärda, Kart aik râdta, aik Qürgüi Axära, Qürgüi tulgüi bün
ma uäl lija, iul; gurko rädta, gurko xy âxära, xu qis rädta, äz
mä eädisämbal släson». — Gädü zaxta: «Uädä mün äxsür är-
xäss!» — Qugmä baeüdi: «Qug! üxsür rädt, äxsür gädü
ästära, gädü müst ma uàl axsa, müst kutu ma uâl gärda, ku-
iu Kark gürda, Kark aik rädta, aik Qürgüi äxära, Qürgüi
tulzüi bün ma uâl lija, tul; gurko râdta, gurko xy Axära, xu
qis rädta, äz mà cädisämbal släson». — Qug äxsür rädta, äx-
sür gadü âstärta, gädü müst nål axsta, müst kulu nål gärsta,
kulu Kark baigärsta, Kark aik rädta, aik Qürgüi Axordta, Qür-
ġüi tulgüi bün nål lüdta, tulg gurko rädta, gurko xu âxordta,
xy qis rädta, üxsünk jä cädisämbal slâsta. Äbondär mä
cárünc.
móge die Katze mich nicht mehr fangen». — Er ging
zur Katze und sprach zu ihr: «Katze! fange die Maus
nicht mehr, die Maus wird nicht mehr den Korb be-
nagen, den Korb wird die Henne benagen, die Henne
ein Ei geben, das Ei Qürghüi verzehren, Qürghüi nicht
mehr den Boden der Eiche verunreinigen, die Eiche
Eicheln geben, die Eicheln das Schwein fressen, das
Schwein eine Dorste geben, ich aber werde meinen
Gefährten herausziehen». — Die Katze sprach: «So
bringe mir Mileh»! — Er ging zur Kuh: «Kuh! gieb
Milch! die Milch wird die Katze lecken, die Katze nicht
mehr die Maus fangen, die Maus nicht mehr den
Korb benagen, den Korb wird die Henne benagen, die
Henne ein Ei geben, das Ei Qürghüi verzehren, Qürghüi
nght mehr den Boden der Eiche verunreinigen, die
Eiche Eicheln geben, die Eicheln das Schwein fressen,
das Schwein eine Borste geben, ich aber werde meinen
Gefährten herausziehen». — Die Kuh gab Milch, die
Milch leckte die Katze, die Katze fing nicht mehr
die Maus, die Maus benagte nicht mehr den Korb,
die Henne benagte den Korb, die Henne gab ein Ei,
das Ei verzehrte Qürghüi, Qürghüi verunreinigte nicht
mehr den Boden der Eiche, die Eiche gab Eicheln,
die Eicheln verzehrte das Schwein, das Schwein gab
eine Borste, der Floh bu seinen Gefihrien heraus.
Heute noch leben sie.
i 3) Cädisämbal wird eigentlich von den in | dasselbe
Joch gespannten Stieren gebraucht — Jochgenosse;
z. B. acü dyuä galüi Kädtärittär edis: i eäune diese beiden
Ochsen gehen E als Paar. es,
39
Bulletin de l'Académie Impériale
40
4) Statt mà bünüi ma uäl Wad würde man nach Tso-
rajew's ästhetischem Dafürhalten sagen kónnen: mà
bünmä fadüs ma uäl làsid er möge auf meinen Boden
nicht mehr Dünger führen oder mä kaliutä ma uàl cägdäd
II.
Gádü ruwas.
Rädüma rädü ars udi ämä in ärtä qübülüi udi; ssüstün stüi,
aflämäi sä xurmä raxasta, Am? sün sä süstülä márdta. Ru-
was dün Käeäidär ürbauadi ämä in zaxta: «Cü Känüs cü ars?»
Ui in: «Mänä mä qübüliüi süstütä márün». Ruwas ün zaxta:
«Dü sün nieü bafaräzzünä; àeu ämä ju xábüzdün ') sKän, ämä
jä äxäss uälä ueü cupmä, äz dün sä dä ärcüdmä qäl-ämä lä-
sägäi ?) Kyd qâzoi aflä sKüngünün». Ars baeüd ämä ju xäbüz-
dün sKodta ämä jä âxasta cupmä. Ruwas bazdäxt ämä ag uäl-
ari?) eäwärdta, ämä sä um bapbärsta, jäxädäg duarmä rauad
ämä äneadäi däit. Ars äreüd ämä in zaxta: «Käm stüi mä
qübüllä?» Ui in zaxta: «Xägarüi gäl-ämä lägägäi qâzüne». Ars
bacüd. Ruwas äfardäg, ämä sbádti ämä jä xäbüzdun xärüi.
Käeäidär ju biräg ärbauad ämä ruwasmä gurüi: «Käm
dün udi Kä ueü xäbüzdün?» Ruwas ün zaxta: «Dälä ars
6üng ärxasta, ämä in zaxton: «Dä Cünzän dün läpbu raigu-
II.
Der betrügerische Fuchs,
Längst längst war eine Bärin und sie hatte drei
Jungen; sie verlausten, also trug sie dieselben an die
Sonne und schlug ihnen ihre Läuse todt. Es kam der
Fuchs irgendwoher herbeigelaufen und sprach zu ihr:
«Was machst du da, Bärin»? Sie zu ihm: «Sieh, i
schlage die Läuse meiner Jungen todt». Der SE
sprach zu ihr: «Du wirst ihnen nichts zu thun vermögen;
geh und bereite mir einen Käsekuchen und trage ihn
dorthin auf jenen Hügel, ich werde es veranstalten,
dass sie bis zu deiner Rückkunft Klotz und Stock spie-
len». Die Bärin ging hinein und bereitete einen Käse-
kuchen und trug ihn auf den Hügel. Der Fuchs machte
Anstalten und stellte den Kessel auf den Herd und
warf sie (die Jungen) dort hinein, selbst ging er zur
Thür hinaus und setzte sich friedlichst nieder. Die
Bärin kommt und spricht zu ihm: «Wo sind meine
Jungen»? Er sprach zu ihr: «Sie spielen im Hause
Klotz und Stock». Die Bärin ging hinein. Der Fuchs
ging fort und setzte sich und ass seinen Käsekuchen.
Irgendwoher kommt ein Wolf herbei und spricht zum
Fuchs: «Wo ist dir dieser Käsekuchen zu Theil gewor-
den?» Der Fuchs sagte ihm: «Sieh, die Bärin da führt
er möge meine Zweige nicht mehr abhauen; er selbst
hat es jedoch schon nicht gewagt den kräftigen Aus-
druck des Textes zu ändern.
ra») ämä mün ac xäbüzdün rädta. Birägdär cinkängäjà
nuuad ämä arsän zaxta: «Dä éüngän dün läpbu raigura».
Ars qil raista ämä birägän mälätüi nâd fäkodta. Biräg dün
ralüpdi ämä ruwasüi surün baidüdta, fälä jä nä baijáfta. Stii
ruwas jäxii ändär xyz festünKodta ämä bändän biin baidüdta.
Biräg ül sämbäld ämä jä fársüi: «Umäi cü Känüs cü?»—
«Cü Künün eü u, zaxta ruwas, amäi mà süz baxuizünän ämä
mün xärd agäzKänzäni». Birüg ün zaxta: «Dä xorzäxäi mä-
nän gü baxui, Käd nä uäd mün xärd äpbün nieü aqàzkünüi»,—
«Cü Känon, dä xuzän lümänüi Kommä Kud nä baKäson, zaxta
ruwas, ämä in bändänäi jä süz baxudta. Biräÿ dün âcüd
ämä Kämdär ju füs radawdta ämä jä baxordta. Gut jäm ät-
tämä äreüd ämä Axäe äxäckänün baidüdta, fälä ma Käm cü
färäzüi; ju xatt Ku ud, uäd dün âxäcüdi ämä jä sügüi färstä
älüdta. «Oo! dodoi?) mün dä sär, ruwas» zäßgä zaxta biräg;
Aftämäi ta juxatt Ku ud, uäd la sämbäldi ruwasül ämä jä
nä bäzüdta, ruwas jäxii ändärxuzän Käi àkodta ui lüxxäi.
eine Schwiegertochter heim und ich sagte ihr: «Von
deiner Schwiegertochter möge dir ein Knabe geboren
werden und sie gab mir diesen Käsekuchen». Voll
Freude ging auch der Wolf hin und sprach zur Bärin:
«Von deiner Schwiegertochter möge dir ein Knabe
geboren werden». Die Bärin ergriff einen Knüttel
und versetzte dem Wolf tödtliche Schläge. Der Wolf
lief dir davon und fing an den Fuchs zu verfolgen,
holte ihn jedoch nicht ein. Darauf nahm der Fuchs
andere Gestalt an und fing an einen Strick zu winden.
Der Wolf traf mit ihm zusammen und fragte ihn: «Was
machst du damit»? — «Was das ist, was ich mache?
sprach der Fuchs, damit werde ich meinen Steiss zu-
nähen und die Nahrung wird mir frommenw. Der
Wolf sprach zu ihm: «Durch deine Güte nähe ihn mir
zu, weil sonst durchaus keine Nahrung mir frommt».
— «Was werde ich machen, wie soll ich einem Freunde
deines Gleichen nicht gehorchen»», sprach der Fuchs
und nühte ihm mit dem Strick seinen Steiss zu. Der
Wolf ging dir davon, raubte irgendwo ein Schaaf und
verzehrte es. Da wollte es bei ihm hinaus und er fing
an zu drücken, allein wo vermochte er schon etwas?
einmal da drüngte er dir und es rissen die Seiten seines
Steisses. «Ohoh! es soll mir dein Kopf büssen, Fuchs»,
41 ' des Sciences de Saint -Pétersbourg. 42
«Ui cü Känüs cü, ruwas?» zäßgä jä bafarsta. ««Cü Känün |
cü, mä xur, mänä kutu biin.»» — «Ämä gü cü Känüs?» —
««Mäxii gü sbizünän, äldäratüi füstäm nütlulzünän, ju zü mä
kutui eäwärzünän ämä jä raxäszünän.»» — «Uii, dü märdtü-
stin män gü sbii», zaxta biräg. — ««Cü dün Känon, Käd mün
juäi ju xatt tüxkänüs, uädtär dën mä cästüi gagadär näbacuar-
zünän, zaxta ruwas ämä D sbidta kului, stäi jä raxasta, kuläi
jä ratüldta, jäxädäg ta nüggärkodta: « Äldäratä, äldäratä! biräg
uim filulüi» Äldäratä rauadüstüi ämä birägän mälätüi nâd
fáKodtoi, tüxäi ma airwästi. Biräg dün ruwasüi surün baidüdta,
ämä ruwas jä xunkmä Kud baxä35ä i, aflä in jä kägil ratüdta
ämä in zaxta: «Nür ta ma mün Kädäm eäusinä, bäräg Ku di.»
Biräg um Ku nä uäl udi, uäd ruwas racüdi ämä ju ran Käftä
ssardta. Uäd dün ändär ruwästä ärämbürdstüi ämä jä farstoi:
sprach da der Wolf. Indessen aber einmal da traf er
mit dem Fuchs zusammen und erkannte ihn nicht, da
der Fuchs andere Gestalt angenommen hatte. «Was
machst du da, Fuchs?» sagte und fragte er. — «Was
ich mache? meine Sonne, sieh ich flechte einen Korb».
— «Und weshalb machst du dies?» — «Ich werde
mich hineinflechten, mich zu den Schaafen der Herren
hinablassen, eins in meinen Korb thun und es forttra-
gen». — «He! deinen Verstorbenen (zu Liebe) flicht
mich hinein», sagte der Wolf. — «« Was soll ich dir ma-
chen, wenn du auch bisweilen mich bedrüngst, so schone
ich doch für dich nicht einmal meinen Augapfel»», sagte
der Fuchs und flocht ihn in den Korb ein, schleppte
ihn hinaus, liess ihn an der Felswand hinab, selbst
aber rief er: «Herren, Herren! der Wolf kommt zu
euch hinab». Die Herren kamen hervor und versetz-
ten dem Wolf tódtliche Schläge, nur mit Mühe kam
er davon. Der Wolf fing an den Fuchs zu verfolgen,
als aber der Fuchs in sein Loch gelangt war, riss er
ihm den Schwanz aus und sprach zu ihm: «Jetzt aber
wirst du nirgendshin entkommen, da du gezeichnet
1) Xabüzdün ist ein mit frischem Käse angemachter
Kuchen, der zu den Leckerbissen der Osseten gehört
und den Gásten vorgesetzt wird. Tsorajew.
2) Ein Kinderspiel, in welchem sich zwei Parteien
bilden; während die eine sich ein wenig entfernt,
steckt. die andere einen Stock, der etwa Arschinlänge
hat, in die Erde, dann wird ein kleines Stockende,
etwa einen Finger lang, horizontal auf den Stock gelegt.
Wenn einer das zur andern Partei gekehrte Ende des
Klotzes im Fluge packt oder es mit seinem Stocke
«Kä dün udi acü Käftä?» Ui sün zaxta: «Dälä donüi mä kudi
nüttüston ämä ach Küfüi släston.» Udondär nüzzüdüstüi ämä
sä kuditä donüi nüttüsioi ämä sün um Ais äxsäw nüssäl-
düstüi, stäi raisom Ku sxäcüdüstüi, wäd sä kuditä um Azzi-
düstüi ämä sä äpbäldär änäkudilä festi. Biräg dün jä ruwasüi
nål züdta ämä ju donüi särül qisäi xid sKodta ämä zaxta:
«Acü xidäi éi nüxxaua, ui mä ruwas u.» Ruwästä dün yain
baidüdtoi ämä gädü ruwas ci wdi ui donüi nüxxaudta, ämä ju
Käsâg jä kaxüi bün Dei - uäd dün biräg sqürkodta: «Dälä,
dili mà ruwas». — ««Bägu bägu dä ruwas, äz müni Käsäg
fedton, ämä umi ärgäpbläston, zaxta gädüi ruwas. Äftämäi
dün rast bazzädi.
Udon äreüdmä xorzäi fäcärul®).
bist». Als der Wolf nicht mehr dort war, kam der
Fuchs hervor und fand an einer Stelle Fische. Da
versammelten sich die andern Füchse und fragten ihn:
«Wo wurden dir diese Fische zu Theil»? Er sprach
zu ihnen: «Seht, ich liess meinen Schwanz in’s Was-
ser hinab und zog die Fische heraus». Da gingen auch
sie hin und senkten ihre Schwänze in’s Wasser und
in der ganzen Nacht froren ihnen dieselben an; als
sie darauf am Morgen sich erhoben, so blieben ihre
Schwänze dort und sie wurden alle schwanzlos. Der
Wolf erkannte dir den Fuchs nicht mehr und machte
über ein Gewässer eine Borstenbrücke und sprach:
«Der Fuchs, welcher von dieser Brücke fällt, das ist
mein Fuchs». Die Füchse fingen dir an hinüberzuge-
hen, und welcher der betrügerische Fuchs war, der
fiel in’s Wasser und ein Fisch kam ihm unter die Pfo-
ten; da schrie der Wolf dir: «Seht! seht! mein Fuchs».
«Sicherlich dein Fuchs, ich erblickte da den Fisch
und sprang da hinab»» sprach da der betrügerische
Fuchs. Demnach blieb er gerechtfertigt.
Bis zu ihrer Ankunft lebet glücklich!
berührt, so ruft er: «ich verbrannte» und das Spiel
ist gewonnen. Wenn man aber bei 20maligem An-
lauf den Klotz nicht verbrennnt d. h. nicht berührt,
so setzen sich die Angreifenden auf die Hütenden, ver-
binden ihnen die Augen, werfen den Klotz fort und
reiten auf den einzelnen, bis jemand den Klotz gefun-
den hat. Dies Spiel ist bei den Osseten sehr gebräuch-
lich und heisst gäl-ämä-läzägäi qâst das Klotz- und
Stockspiel. Tsorajew. 5 0
3) uälärt ist so gebildet wie uälkupb, uälxäzar, dälzäx
43
Bulletin de l’Académie Impériale
44
s. Ossetische Texte 2 N° 4 u. 17; 5 Anmerk. 25; Bull.
T. VI p. 449 f. u. p. 468.
4) läpbu raigura, es möge ein Sohn geboren werden!
ist der höchste Wunsch, den die Osseten einander zu-
rufen. Darauf werden öfters Gesundheiten ausgebracht,
z. B. Cäi Elzarügojän lipbu cämäi raigura ui tüxxäi änazäm
lasset uns darauf trinken, dass dem Eldsarüqo ein Sohn
geboren werde. Tsorajew.
5) Vgl. Osset. Texte (Mélanges asiat. T. V p. 25
= Bullet. VI, p. 463): Dodoi mün dä kona Känüi; eben-
daselbst verbessere man nüddod
6) So enden häufig die ossetischen Märchen. Tso-
rajew.
SR 14 LUE KEE Wb 14
4x11
SLUCIIL
Über das Pluralsuffix im Ossetischen, von P.
Lerch. (Lu le 13 octobre 1864.)
Bekanntlich bildet das Ossetische in seinen drei uns
zugänglich gewordenen Mundarten den Plural seiner
Nomina auf gleiche Weise, indem es nümlich an den
Singularstamm das Suffix ta oder ià treten lässt. In
den obliquen Casus des Plurals treten an dasselbe
dieselben Casusendungen wie im Singular.
Schon im J. 1847 sprach Bopp in seiner Abhand-
lung über das Georgische (s. Abhandlungen der kó-
niglichen Akademie zu Berlin. 1847. S. 273) die
Vermuthung aus, es wäre die ossetische Pluralbe-
zeichnung auf den Pronominalstamm ta zurückzufüh-
ren. Diese Ansicht Bopp’s habe ich bei keinem der-
jenigen, die sich mit dem Ossetischen bescháftigt
haben, angeführt gefunden. Eine von der Bopp's
gänzlich abweichende Ansicht giebt Fr. Müller in sei-
nem Aufsatze über die Stellung des Ossetischen im
iranischen Sprachkreise, S. 11 (aus den Sitzungsbe-
richten der historisch-philosophischen Classe der kais.
Akademie der Wiss. zu Wien. B. XXXVI.). In dem
unlängst erschienenen Hefte von Benfey's Orient und
Occident, Jahrgang II, S. 583 und 584 identificirt er
die ossetische Pluralendung mit der neupersischen,
welche ha (lo) lautet und der bei Berésine, Recherches
sur les dialectes persans, für die Mundart der khoras-
sanischen Kurden angeführten Endung da. Dabei ge-
rüth er aber gewissermaassen in Widerspruch mit sei-
ner 1861 ausgeprochenen Ansicht, nach welcher
das ossetische Pluralzeichen ia auf das indogermani-
sche as zurückzuführen wäre, während er jetzt für
die persische Endung ha, welche er für identisch mit
dem ossetischen ta hält, keinen Zusammenhang mit
dem Plural der altbactrischen Neutra zulässt.
Zu der Ansicht, die ich jetzt vertrete, dass nämlich
das ossetische Pluralzeichen ia oder tä auf das altper-
sische zusammengesetzte Pronomen tya zurückzufüh-
ren sei, war ich schon 1860, jedoch ohne Bopp's An-
sicht zu kennen, gekommen. Ich schrieb damals darü-
ber an Herrn Prof. August Schleicher in Jena, in-
dem ich die Anwendung des ossetischen ta (und ii),
eben so wie des kurdischen te (in den Texten aus Er-
zerum — di, -d) zur Bezeichnung des Plurals als im
Altiranischen begründet nachwies. Am 24. August des-
selben Jahres hatte der verehrte Sprachforcher die
Freundlichkeit, mir mitzutheilen, er halte meine ihm
vorgetragene Deutung des in Rede stehenden Plural-
suffixes «für methodisch nachgewiesen und demnach
für sicher, soweit eben Deutungen spätester Sprach-
formen auf Sicherheit Anspruch haben». Seitdem hat
sich meine Ansicht über diesen Gegenstand nicht ge-
ündert, vielmehr bin ich in ihr noch bestärkt worden.
Es sei mir erlaubt, die Thatsachen aus der Geschichte
der iranischen Sprachen, auf welche ich meine An-
sicht stütze, hier einzeln vorzuführen.
Sehen wir uns in den dem Ossetischen zunächst
verwandten noch lebenden, d. h. den übrigen neuira-
nischen Sprachen um, ob sich nicht in einigen von
ihnen eine der ossetischen lautlich verwandte Pluralbe-
zeichnung für das Nomen findet. Im Neupersischen
haben wir die Endungen: án und hà, im Mazandera-
nischen: ûn und hà, im Kurdischen: än, an, te (auch
da?) -di und -d, im Afghanischen: u, o, áno, ánu,
üno, ünu (nach Raverty).
Am nächsten der ossetischen Endung steht die kur-
dische auf te, welche aus den von mir im J. 1857
veröffentlichten Texten der Kurmändi-Mundart (s. For-
schungen über die Kurden, Abth. I.) nachweisbar ist:
8. 36, Zeile 10: kelesete tün = die Räuber gingen;
ibid. Z. 14: Sevanite tün, hem'a kétik Zi tu — die
Hirten gingen, aber auch das Mädchen ging; >.
39, Z. 9 tritt das Suffix te sogar an die sonst in die-
sen Texten allgemein gebräuchliche Pluralendung an
an: keleSanete Zine yóe girt u tün — die Räuber
nahmen ihre Frauen und gingen davon.
Dei kele$-än-e-te, wo der Plural schon ohne die
Schlusssilbe durch das Suffix an angedeutet ist, stieg
mir die Vermuthung auf, te dürfte von Haus aus keine
45 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 46
Pluralbezeichnung gewesen sein, sondern vielmehr ein
nachgesetzter Artikel, wie er im Altpersischen ge-
bräuchlich ist und dessen Spuren im Neupersischen so-
wie auch in den mitteliranischen Sprachen (Huzväresch
und Pärsi) nachzuweisen sind. Ich meine die von den
persischen Grammatikern sogenannte Kesra relativa
oder das i der Idhäfet (Annexion), welches zum Aus-
druck des Genetivverhältnisses, jedoch nicht in allen
Fällen, gebraucht wird. Ausserdem tritt dieses i vor
Appositionen auf. Bopp führt in seiner « Vergleichen-
den Grammatik») die neupersische Idhäfet auf das alt-
persische Pronomen tya zurück, nicht wieLassen?) und
Spiegel?) auf das im Zend, aber nicht in der Sprache
der Achämeniden-Inschriften vertretene Relativum ya.
Er spricht sich ausserdem noch dahin aus, dass das
zendische ya, wo es die Stelle des Artikels vertritt,
nicht vom skr. Relativstamme, sondern von dem zu-
sammengesetzten tya (im Nominativ sya) stammen
móge. In Bezug auf den Verlust des Anlauts-Conso-
nanten macht er auf die Erscheinung àufmerksam,
dass den sanskritischen Formen dvis und dvitiya die
zendischen bis und bitya (für vis und vitya) gegenüber
stehen. Die von ihm angeführten Beispiele des Ge-
brauchs von ya im Zend als Artikel lassen sich aus
Justi's Altbactrischem Wörterbuche bedeutend ver-
mehren.
Das Neupersische, das Pärsi und das iranische Ele-
ment des Huzväresch stehen dem Altpersischen viel
näher, als dem Altbactrischen. Es ist daher auch wahr-
scheinlicher, dass in der dem Neupersischen und den
mitteliranischen Sprachen zu Grunde liegenden altira-
nischen Mundart das zusammengesetzte tya und nicht
das Relativum ya als Artikel verwendet worden ist.
Einen Beweis dafür finde ich im Kurmandi. Hier ist
der Artikel eben so wie im Neupersischen in Gebrauch.
Wie man hier (st 233 ród-i deiliun d. i. der Fluss
Dscheihun, (3 (c5, rü-i zemin, d. i. die Ober-
fläche der Erde, LJL ol, räh-i bárik d. i. der
enge Weg (wörtlich: Weg der enge) sagt, eben so
sagt man im Kurmändi: tu Sahrestan-e Stambule —
er ging in die Stadt Stambul, mal-i wi de dest-i wida
1) N. Ausg. I. S. 471—476. |
2) Zeitschrift für die Kunde des Morgenlandes, Band IV, S. 456.
' . 8) Spiegel, Huzvàresch- Grammatik S. 65, $ 50, Pärsigrammatik
8. 52. 8 37. | : nee
pur bu = er hatte viel Gut in seinem Besitz (wört-
lich: Gut, das seine in Hand der seinen viel war),
söl-i sör = rother Schuh (wörtlich: Schuh der rothe),
äv-a germ — warmes Wasser (wörtlich: Wasser das
warme). Hier lautet der Artikel nach Sahrestän: e,
nach mal, dest und söl: i, nach àv: a. In letzterem
haben wir noch den ursprünglichen Vocal von hya vor
uns, während er sonst zu e (auch e) und weiter zu i
geschwücht erscheint, wie es eben auch im Huzvá-
resch, Pársi und Neupersischen der Fall ist.
Ausserdem kommt der Vocal à im Kurmandi als
postponirter Artikel nach Substantiven vor, denen das
Demonstrativum áva oder va vorhergeht, z. D. va
merüa kü'ire — dieser Mann ist blind, va merüa
díze — dieser Mann ist ein Dieb, va hanía née téye
née wíye — dieses Haus ist weder dein, noch sein.
In dem letzten Beispiele ist ausser a auch e zweimal
als Artikel gebraucht, nümlich — vor te und wi: va
hani-a né-e téye né-e wíye. Auch vor den Ordnungs-
zahlwórtern findet sich der Gebrauch von e als Arti-
kel; so heisst es bei mir in der 14. Bacmeisterschen
Sprachprobe: e yék debéze, e dudüan yóe yol diké, e
sésian dístere, e târan dekén'e — der eine läuft, der
zweite springt, der dritte singt, der vierte lacht.
In den von mir in Roslawl gesammelten Texten
wird am Nomen der Plural durch keine besondere En-
dung ausgedrückt, sobald auf dasselbe ein anderes
Nomen oder ein Pronomen folgt, das zu dem ersten im
Genetivverhältniss steht. Daher kann auch der Arti-
kel, der zwischen beiden steht, in derselben Form ge-
braucht werden, wie nach einem Nomen, wo dem Sinne
nach ein Singular vorauszusetzen ist; z. B. hém'a te-
lék-i wi ne diferían — aber ihre Jungen flogen noch
nicht (d. i. waren noch nicht flügge). Hier ist der
Plural des Subjects durch das Prädicat, welches im
Plural steht, angedeutet. Im Neupersischen steht der-
selbe Artikel (i) sowohl nach Substantiven im Singu-
lar, als nach solchen im Plural. Eben so verhält es
sich mit dem Artikel im Zazá. Anders aber in den
von Zaba gesammelten Texten. Hier tritt der Artikel
nach Substantiven, die dem Sinne nach mit dem Zei-
chen der Mehrzahl versehen sein müssten, In einer
andern Form auf, als nach Substantiven mit singularer
Bedeutung. Zur nüheren Erläuterung des Thatbestan-
des will ich hier einige Beipiele anführen, die sich
noch leicht vermehren lassen, weil sie fast, auf jeder
47
Bulletin de l'Académie Impériale
48
em? von Zaba’s Texten zu finden sind: 1) S. 14 Z.
uf er cy > je SU, we linik mezin u pe-
se -i- ei Kurdistäni — ss bei Gross und Klein
von Kurdistan; 2) S. 14, Z. E ES sêle Jie 3)
re p e WI mb p De eu Ali
Teremäxi u Mél'a Yunüs Halqatmi Zi Z “gund-i-d xu-
dá medfünin = Ali Teremakhi wie auch Mulla
Yunus Halgatini sind in ihren Dörfern begra-
ben; 3) » ak JoJo Al A aulb 5 J oye? Os) 332 45*
Mirzö-y-i Resi hebü, Zi ta "ife-i-d Izid-i-d Vani bu —
es war ein PM Rue Mirza Reschi, er war von
den Jezidenstämmen von Wan. Wären die No-
mina, an welche das d, durch den Bindevocal i ver-
bunden, angetreten ist, Singulare, so hätten wir nach
ihnen a oder i als Artikel zu erwarten, wie unzählige
Beispiele in Zaba’s Texten lehren. In einzelnen von
diesen Texten, namentlich in den Biographien der
Dichter und s. der Statistik kurdischer Stämme lautet
der Artikel di, wie Herrn Zaba's Transscription zeigt,
en AC IS SERO ON j aff ab
Baté gündeke zi günd-i-di Hekariyan = Bäte ist ein
Dorf von den Dór Za der Hekari, oder $. dë Zeile à
ail il, la] b 55 f Ulslsls vL LL, Jl $9 plu
asa’ir we geba’il we ta'ife-y-1 di Akradan ku di top-
ray-a Wanida-ne — die Stämme der Kurden, welche
auf dem Gebiete von Wan sind. Es ist also di (oder
d) als Artikel mit pluraler Bedeutung zu betrachten.
Im Neupersischen ist, wie auch im Zazá, Pársi und
Huzväresch, i als Artikel von uns erkannt worden, im
Kurmändi a, e, e, i im Singular, di und d im Plural.
Auf das altiranische Relativum ya ihn zurückzuführen,
gestattet das d des Plurals nicht. Nehmen wir aber
tya als dasjenige Pronomen an, auf welches der kurdi-
sche Artikel zurückzuführen sei, so erklärt sich auch
der Mangel des d im Singular, weil im Altpersischen
für tya im Nominativ Singul. hya gebräuchlich ist,
wo das anlautende h leichter schwinden konnte, als
der Dental von tya.
Weiter nehme ich an, dass auch die ossetische Plu-
ralendung ta oder tä auf tya zurückzuführen sei.
Sjögren räumt in seiner ossetischen Sprachlehre,
S 30, ehe er an die Darlegung der ossetischen Decli-
nation geht, nicht allein für den Accusativ, sondern
auch für den Nominativ der digorischen Mundart
zwei Formen ein. Während er in Nominativen wie
D. tisg die unbestimmte Form sieht, findet er, dass
Formen wie füdäi, tisgäi (der Vater, das Mädchen)
den schwedischen fadern, flickan entsprechen und
nennt sie die bestimmten. In der bestimmten Form
sind also Accusativ und Nominativ gleichlautend, ab- H
gesehen davon, dass der erstere, wie Sjögren an-
führt, in der unbestimmten Form noch oft als nackter
Stamm erscheint.
Eben so wie Sjögren ($ 30), erkenne ich in der En-
dung des Nominativs und Accusativs der bestimmten
Form einen angefügten Artikel und finde in diesem
das in der digorischen Mundart im Nom., Gen. und
Acc., im Tagaurischen nur im Gen. und Acc. gebräuch-
liche: Demonstrativum je, welches in den von Herrn
Akademiker Schiefner veróffentlichten Texten jà lau-
tet. Auf dieses je oder jà führe ich auch die mit dem
Accusativ gleichlautenden Endungen des Genetiv und
Locativ interior zurück. Auf altiranische Casusendun-
‘gen lässt sich die für Gen., Acc. und Loc. inter. ge-
meinschaftliche Endung nicht zurückführen. Ich neh-
me vielmehr an, dass im Ossetischen, nachdem sich,
eben so wie in den übrigen mittel- und neuiranischen
Sprachen, das Armenische ausgenommen, die Casus-
endungen abgeschliffen hatten, der Gebrauch des Ar-
tikels häufiger wurde, um durch ihn, der die Casus
noch unterscheiden mochte, die Beziehungsverhält-
nisse anzudeuten. Mit der Zeit erhielt sich von ver-
schiedenen Casusformen des enklitisch mit dem No-
men verbundenen Artikels für den Singular nur das y
(von hya, vielleicht anfangs noch mit auslautendem Vo-
cale), für den Plural aber ta oder tä (von tya). In noch
späterer Zeit fing man an, die im Plural gebräuchliche
Form des Artikels am Nomen, als blosses Unterschei-
dungszeichen des Plurals vom Singular zu betrachten,
und es wurden daher die im Singular gebräuchlichen
Casusendungen auch für den Plural verwendet, indem
man sie auf tä folgen liess.
Was die Endungen des Dativ, Locativ exterior und
Ablativ betrifft, so suche ich in ihnen Überreste von
Postpositionen. Solches wird auch schon von Sjögren
($ 115 Anm. II) für die beiden Locative und den Abla-
tiv angenommen. In dem n des Dativ sehe ich das in
iranischen Sprachen als Verbalpraefix oft verwandte
ni (vgl. Justi Wörterbuch u. d. W.), welches im Osse-
tischen als Verbalpraefix ni und nü lautet. Was die
Endung des Locativ exterior betrifft, so brauche ich
nur daran zu erinnern, dass im Tagaurischen mä als
49
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
50
selbstständige Postposition noch vorkommt. Unsiche-
rer ist meine Deutung des Ablativs. In demselben, den
Sjögren auch Instrumental nennt, suche ich Spuren
der altiranischen Präposition (zuweilen im Altbactri-
schen auch Postposition) haca (hata), welche selbststän-
dig im Ossetischen nicht vertreten ist. Im Huzväresch
und Pärsi finden wir die erwähnte Partikel: ad, az, eZ,
im Neupersischen und Mazanderanischen: az, ez, im
Kurdischen Ze, im Afghanischen (vgl. Raverty Gram-
mar of the Puschto language, 2° edit. London 1860,
$ 38, 8. 10 und 11) di (>). Es wäre daher möglich,
dass im Ossetischen, eben so wie im Afghanischen,
der ursprüngliche Palatal durch einen Dental vertre-
treten gewesen wäre, der später nach vorhergehendem
Vocale zu i (bei Sjögren j) wurde.
Aus dem Vorhergehenden erhellt, dass ich weit da-
von entfernt bin, die von Hern Fr. Müller in seiner
Abhandlung über die Stellung des Ossetischen im érá-
nischen Sprachkreise (Wien 1861, S. 11 und 12) aus-
gesprochene Ansicht, als ob die einzelnen Casusfor-
men dem Ossetischen den Charakter eines urthümli-
chen Idioms aufdrücken, zu theilen. Ich finde viel-
mehr, dass die in Rede stehende Sprache, was den
Ausdruck der Beziehungsverhültnisse am Nomen be-
trifft, auf derselben Stufe wie das Afghanische, Neu-
persische, Mazanderánische, Thalisch und Kurdische
steht. In einer Beziehung ist sie an altem Gute so-
gar ármer, als die genannten Sprachen, da diese noch
die auf den alten Genetiv Pluralis zurückzuführende ‘)
Pluralendung àn oder eine ihrer Nebenformen am No-
men nicht mehr gebraucht und sie nur am Demon-
strativum zeigt: tagaurisch adon und udon — diese
und jene. Das o vor dem auslautenden n ist Vertre-
ter eines älteren langen à und hat die Lünge im Gen.,
4) Dass der neupersische Plural auf ân auf den altéránischen Ge-
netiv Pluralis zurückzuführen sei, ist zuerst von Spiegel (s. Hófer's
Zeitschrift I, p. 220) ausgesprochen worden. Bopp (Vergl. Gramm.
I, $ 240) will ihn auf den Accusativ pl. zurückgeführt wissen, da ihm
der Accusativ mehr als der Genetiv dazu geeignet scheint, sich über
einen ganzen Numerus zu erstrecken. Gegen Bopp’s Ansicht ist der
Umstand geltend zu machen, dass die Pluralstämme der Personal-
promina für die 1. und 2. Person auf keinen andern Casus als den
Genetiv sich zurückführen lassen, namentlich die ossetischen max
und smax und das neup. LE (Suma). Vgl. auch Fr. Müller,
Das Personalpronomen in den modernen eránischen Sprachen (Wien
1864, aus dem December-Hefte des Jahrganges 1863 der Sitzungsbe-
richte der phil.-hist. Cl. der Wiener Academie, Band XLIV, S. 568
folg.) S 2
Tome VIII.
Mo. Bot. Garden,
dE. Ze in
Acc., Dat. und Abl. bewahrt; die digorischen Plural-
stämme uon, ón und An stimmen zu dem kurdischen
wan und dem neupersischen än I. In dem d von
adon erkenne ich Spuren der Zusammensetzung von a
-t- da, die für den Singular nicht mehr gebräuchlich ist ;
udon halte ich für eine dem adon nachgebildete Form.
Auch vermag ich es nicht, in den tagaurischen adätlä
und udátià eine doppelte Pluralbezeichnung zu erken-
nen, welche von Fr. Müller in dem erwühnten Auf-
satze über das Personal-Pronomen, S. 6. angenommen
wird. |
Ich habe im Anfange dieses Aufsatzes die kurdische
Pluralform keleë-än-e-te = Räuber angeführt. Ana-
logie dazu bietet die von Spiegel in seiner Huzvä-
resch-Grammatik, Anmerkung zu $ 45, aus dem Bun-
dehesch angeführte Form küp-än-i-hä — Berge. Im
Bundehesch allein, aber nicht in den Übersetzungen
der Huzváreschliteratur, soll zur Bezeichnung des Plu-
rals hà mit vorhergehendem Bindevocal (i) verwendet
werden. Sonst ist ân als Pluralendung gebräuchlich.
Es wäre daher küpänihä, wie Spiegel will, nicht als
fehlerhafte Lesart zu betrachten, sondern in ihr nur
die Andeutung zu finden, dass hà von Haus aus
eben keine Pluralendung war. Im Pársi kommt neben
hà auch hya häufig vor. Hier hat sich das y von dem
altéránischen tya noch bewahrt. (Vgl. Spiegel, Pársi-
grammatik 8 31, Anm. I)
Berechnung der Bahn des Cometen 1861 IIL von
V. Fuss. (Lu le 1 septembre 1864.)
Der am 28. December 1861 von Tuttle in Cam-
bridge U. S. und von Winnecke in Pulkowa am 8. Ja-
nuar 1862 entdeckte Comet hatte zur Zeit seiner Ent-
deckung schon vor mehr als 20 Tagen sein Perihel
passirt und zeigte wührend der kurzen Zeit seiner
Sichtbarkeit (etwas über einen Monat) ein schwa-
ches und verwaschenes Aussehen. Ungeachtet die-
ser Umstünde konnte man doch wegen seiner ziemlich
starken geocentrischen Bewegung hoffen, eine der
Wirklichkeit nahe kommende Bahn zu erhalten.
Eine andere als eine parabolische Bahn vorauszu-
setzen, hielt ich für unnütz; so wie auch für zweck-
mässig mit Hülfe vorläufiger Elemente Normalórter zu
bilden, welchen dann eine genauere Bahn Bësse:
51
sen werden konnte. Von den in den «Astronomischen
Nachrichten» bekannt gemachten Elementen wählte
ich zu diesem Zwecke die von Pape N° 1346 ge-
gebenen:
T =1861 Dec.7, 21589 m. B. Zt.
II = 173°30'3654
Q —145 658,01 mittl. Äquin. 1862,0
d 41 57 23,1
log q = 9,923813
Retrograde.
Mit den aus diesen Elementen berechneten Örtern
wurden die den «Astronomischen Nachrichten» ent-
nommenen 32 Beobachtungen verglichen. Die in die
erste Woche nach der Entdeckung des Cometen fal-
lenden Beobachtungen sind alle aus Amerika; wäh-
rend der zweiten Woche ist er fast allein in Pulkowa
beobachtet worden; in der dritten Woche fehlen die
Beobachtungen ganz; endlich lieferten die Beobach-
tungen der letzten Zeit vorzugsweise Leiden, Man-
heim und Berlin, an welchem Orte er zuletzt und zwar
am 2. Februar beobachtet worden ist. Alle diese
Beobachtungen sind in der Tabelle, chronologisch ge-
ordnet, angeführt. Es sind die Zeiten von Aberration,
die Positionen von Parallaxe befreit und die letzteren
auf das mittlere Aequinox 1862,0 bezogen worden.
Die Örter der Vergleichsterne führe ich so an, wie
sie von den Beobachtern gegeben wurden. Sie sind
alle auf das mittlere Aequinox bezogen und gelten,
mit Ausnahme der Washingtoner, die sich auf 1860,0
und der Leidener, die sich auf 1861,0 beziehen, für
den Anfang des Jahres der Beobachtung. Die syste-
matischen Abweichungen von Wolfers’ Tab. Red. sind
von den Beobachtern selbst schon angebracht; ausser
bei den Washingtoner, bei denen es wenigstens nicht
ausdrücklich erwähnt wird, und der Leipziger, Jan.22,
wo die Correction gleich an den Ort des Cometen an-
gebracht ist. Was die Pulkowaer Beobachtungen be-
trifft, so waren die von Dr. Winnecke in Bd. V des
Bulletin der Petersburger Akademie publieirten Po-
sitionen des Cometen nur vorläufige; sämmtliche von
ihm benutzte Vergleichsterne sind später am Pulko-
waer Meridiankreise von Neuem, jeder zwei Mal, be-
obachtet worden; und auf diesen genaueren Bestim-
mungen beruhen die von mir benutzten Örter des Co-
meten.
Bulletin de PAcademie Impériale
52
Die in der Tabelle eingeklammerten Abweichungen
der Beobachtungen von der Rechnung sind wegen au-
genscheinlicher Fehlerhaftigkeit nicht mit in Rech-
nung gezogen worden. Da die Fehler nicht in den
Positionen der Vergleichsterne liegen, so musste ich
sie den Beobachtungen zuschreiben. Die grosse Ab-
weichung in Rectascension bei der Altonaer Beobach-
tung vom 19. Januar wäre durch einen Fehler von
10° zu erklären; ich wagte jedoch nicht zu corrigiren,
behielt aber die Declination bei, da diese Beobachtung
am Äquatoriale gemacht worden ist.
Vermittelst der Abweichungen der übrigen Beob-
achtungen von der Rechnung bildete ich 4 Normal-
örter, denen ich dann durch drei Hypothesen über
die Abstände des Cometen von der Erde folgendes
Elementensystem anschloss:
T = Dec.7,21335 m. B. Zt.
I = 173°30' 4750 |
Q —145 6 1,6; mittl. Aquin. 1862,0
se ATI 58 54,6
log g = 9,923782
Retrograde.
Diese Bahn, welche die Normalürter recht gut dar-
stellte, ergab, mit den Beobachtungen verglichen, die
in der Tabelle unter der Rubrik «Rechn. — Beob.»
angeführten Abweichungen von denselben. Dieselben
schienen mir durch einen merklichen Gang anzuzei-
gen, dass auf dem befolgten Wege noch nicht ein
möglichst guter Anschluss der Bahn an sämmtliche
Beobachtungen erlangt worden war. Da die Elemente
sich nur sehr wenig geändert hatten, so schien es rath-
sam, durch Anwendung von Differentialformeln Cor-
rectionen der Elemente zu bestimmen, welchen alle
Abweichungen möglichst gut entsprächen.
Wo die Abweichungen einen nicht merklichen, oder
wenigstens regelmässigeren Gang hatten, schien e$.
mir erlaubt, dieselben zu einer Normalabweichung zu
verbinden, indem ich das Mittel aus ihnen und den
ontsiihechenden Zeiten nahm; ich verband so die drei
ersten Cambridger Beobachtungen, die beiden Beob- |
achtungen vom 1. und 2. Jan., alle Pulkowaer vom
8. bis zum 10., endlich alle Beobachtungen vom 24.
bis zum 28, We Die übrigen zog ich einzeln in Rech-
nung und erhielt auf diese Weise folgende Reihe von
Abweichungen:
53
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
54
Aa cos à Aò p Indem ich den Beobachtungen mit den grossen
Dec. 30,280 — 05 —136 3 Refractoren von Cambridge, Washington, Pulkowa
Jan. 2,000 ‘+ 2,6 +198 2 (Jan. 19) und Berlin das Gewicht 1, den übrigen aber
» Bo pdt Sal, dide dA dd 3 beilegte, erhielt ich die in der 4ten Columne ange-
pur uidi c dit, 1 geführten Zahlen.
Jan. 9,233 — 15 — 76 3 Die oben gegebenen Abweichungen, eingeführt in
» 18,303 +294 — 6,3 1 die Differentialformeln, ergaben folgende 25 Glei-
» 19,2260. + 79 —18,9 1 chungen, deren Coeffleienten Logarithmen und die
». 29,274 í 410,74; 4 bereits mit Vp multiplicirt sind. Die Einheiten der
E. 22355, «bei ad Unbekannten sind folgendermaassen zu nehmen:
H
» 22,426 -— 79 + 7,3 2 dT 0,001
» 323,607 —16,1 — 9,8 1 dq 0,00001
» 26,000 + 41 — 0,4 1 d
Febr. 2,354 #—21,0 — 48 1 av | 1^
di
Rechn.-Beob. Verglei ;
Ne M. Berl. Zt. A Sen echn.-Beo dedia ergleichsterne SE
der Beob. Anere! AS R Decl.
Abee 343 2919. 5019’ 2878| — 077 | —1878 |Cambr. U.S.|4^14"0*09 —5^1172877] B. Z.
2 » 3098914213 52 3,5|—1 25. 7,1| — 1,5 |—16, » 15 4110—14 28 25, 4| Mikrom. vergl.
3| » 3100144213 52 16, 4| —1 23 47,0| + 0,8 — 5, » A885 —1 21 3,9| Mädler, Robinson
AlJan. 4,98193/214 38 43,2|--3 5 41,6|-+ 4,2|+-26,6 |Washington] 18 40.38 4-3 10 24, 8| Wash. Aequat. 112
5| » 4,98966/214 38 57,8| 3 6 13, 6| 2,1 +63 » 17 35,21! 3 10 24, 8| Weisse XIV, 314
6€ » 200743914 39 26,3| 3 9 43,3|-- 1,0-13,0 |Cambr. U.S.| 48 4726, 3 9 50,9| Mikrom. vergl.
"| sa 499803216 10 11,3| 11 44 39,8 ,9|—20,7 » 22 20.59, 11 39 43, 1| Lal., B. Z., wee
8» 794652918 15 48,0] 22 46 21,0] -12,1 +16, 6 [Washington] 33 25.69 22 47 40,2\B. Z. 292. 1
9| » 85531218 48 19,6! 25 23 53,31 + 1,0 + 0,1 |Pulkowa 46,43. 25 21 47, 4| Merid. beob. von bn A
40| » 857080218 49 24,7] 25 28 40,3] — 4,5 — 5,2 » 36 48328, 25 28 58,2 »
M| » 8596761218 50 44, 4| 25 35 45, 8| + 2,5 —17,2 » 37 4048, 25 35 33,8 ^ , ^
49| » 949103/219 44 15,6| 29 40 45,3| — 6,31 — 4,5 » 36 56,05! 29 40 36,3 » ` »
43| » 9508111249 45 14, 8| 29 45 37,9) — 0,8 — 7,7 » 39 26,85! 29 45 55,4 D » »
A4 » 1067396221 7 0,0! 35 26 56,6| — 0,7 |—10,9 » 2,25 35 26 45,1 e D e
IN » 3401247 44 21,0| 73 19 52, 3| 4-29, 4 .— 6,3 [Berlin 16 31 52,65, 73 13 51,4 » » Förster
46| » 193002457 17 45,9] 76 40 35,5|-4- 7,9 —18,9 |Pulkowa [17 9 76 39 2,0 » Winnecke
17) » 1927358257 25 9,8| 76 42 55, 64-44, 1) —10, 7 [Altona "hoquatorialbeob.
AS| » 22,35393]346 7 40,0| 80 53 5,5|-i- 9,6 |—17, 1 [Berlin 21 0 53,56! 80 57 40,2] Merid. beob. von Förster
10 » 92496061317 36 39,3| 80 50 3,8| — 7,9 + 7,3 |Leipzig 8 55,58, 80 38 57,6| Fedorenko 3800
20| » 92251803]319 29 12,9| 80 46 24, 9(—48,2 |— 2,9) Wien 2 32,49 80 27 15,0] Fedor. 3770, Lal. 41621, A. Z. 22019
Al » 923056723328 5 0,5| 79 26 56,1| —16,1 — 9,8 Cambr. U Sg 31 40,16, 79-27 55, 8| A. Z. 45. 109.
29| » 2453671048 3 55,0 —+11,6 Leiden 93 45 2,101 7814 42,0] » 148. 17, Johnson 6053
23| » 24,560641348 17 16,5] 77 58 20,8 -2-45,5|— 4,4] - -» 16 23,89 78 3 58,5] » 148. 19
24 » 9521074]254 33 27,1| 76 38 39,7| — 6,4 + 2,2 |Manheim 32 5432, 76 A1 M4, 7| » 148. 49
al » 925,33241|254 41 56,2! 76 36 30,3) + 5,8 — 86 » 34 52,30 76 36 12,1] » 148. 48
26| » 2564092556 48 33,6] 76 3 2,1|-- 1,9 + 4,8]Leiden 46 51.08 78 532,8 » 148. 65
ol, 2564087286 54 48,5| 76 2 13,5 42 3,11 48 9596| 75 59 14,0] » 448. 67
98 » 2643043 4 17 40,4| 74 38 34,1 83-201 >» 0 33880 74 45 40,1, » 148. 87
99| » 2653201] 148 11,11 74 27 46,5]-+- 0,8 + 4,5 Manheim M 335 74 26 4,0] Merid. deu von Argelander
30| » 9749070| 5 51 35,0] 72 49 0,9|— 3,0 — 14,1 |Leiden 29 13,02) 72 43 11,1| A. Z. 157. 69
Al» 2820068 9 ra 71 10 45,5|24- 2,8 +10,0) >» 5399 71 14 2,6 he Sue
32lFebr. 2,35445| 17 57 46,3| 64 42 12,1 — 2,0 |— 4,8 1Berlin 4 93403, 64 52 37,7] A. 5
l’Académie Impériale
55 Bulletin de
9,9375 = 0,6553 dT + 9,8418 do 0,1703 n dIT + 0,2076 dQ + 9,7447 di
0,5655n — 0,6418 » -+ 9,9732 » + 0,1747n » + 0,1800 » = 9,7619 »
0,6901n = 0,5701 » = 0,1497 » + 0,1450n » = 0,0952 » = 9,7138 »
1,0828n = 0,6366 » — 0,3312 » = 0,2159n » + 0,1505 » = 9,7910 »
0,5027 = 0,9858 » + 0,7548 » + 0,5771n » = 0,4950 » = 0,1395 »
1,4683n = 0,4962 » + 0,5723 » + 0,3018n » - 9,9334 » = 8,9969n»
0,8976n = 0,8265 » + 0,4962 » + 0,2428n » - 9,7074 » = 9,6442n»
0,9823 n — 0,4578n» + 0,0339n» = 8,7680 » = 0,0464n» = 0,2461n»
0,8351 = 0,4090n» + 0,0123n» -+ 8,9707 » = 9,9944n» = 0,1864n»
1,2068 = 0,5931n» + 0,3997n» + 9,8693 » + 0,1467n» = 0,2536n»
1,0503n = 1,0515 n» + 0,9756n» + 0,5172 » = 0,5833n» —+ 0,6240 n»
1,3222 = 0,4936n» + 0,5177n» - 0,0922+ » = 0,0090n» -+ 0,0098n»
in Rectascension.
1,3720 = 1,0819n» = 0,7660n» + 0,3063 » + 8,9194n» + 9,7345 »
1,4472n = 1,0563n» + 0,7795n» = 0,2735 » + 8,9319n» -+ 9,6901 »
1,3160 = 0,9722n» + 0,7452n» + 0,1758 » + 9,4045n» + 9,5085 »
1,2201n — 1,0225n» + 0,7915 n». +- 0,2054 » + 9,7358n». + 9,2242 »
1,2074 = 1,3614n» + 1,1336n» = 0,5330 » -+ 0,1736n« = 9,9027 »
0,7993 = 0,8924n» - 0,8928n» A 0,1536 » + 0,2565n» -+ 0,1654n»
1,2765 = 0,8610n» = 0,6875n» =- 0,1864 » = 0,2624n» + 0,1615n»
0,9669 = 0,7982n» + 0,6251n» + 0,1245 » = 0,2000n» = 0,0989»
1,2350 = 0,7234n» - 0,7168n» + 0,3332 » + 0,0996n» + 9,5720n»
0,8008 = 0,6539n» - 0,6515 n» + 0,2695 » + 0,0258n» + 9,4583 n»
‘0,9912 — 0,5932n» + 0,6743n» - 0,2884 ». + 9,8645n» + 9,4027 »
0,0167 = 0,8341n» = 0,9740n» + 0,5993 » + 9,7442n» + 0,8184 »
0,6812 — 0,2653n» + 0,3998n» + 9,9980 » -+ 8,7886 » - 0,0246 »
in Declination.
d. dQ, di sind die Correctionen der betreffenden gen, deren Coëfficienten durch die Producte in die
Grössen, bezogen auf den Äquator. — Werden diese | Quersummen der Coëfficienten der anfänglichen Glei-
Gleichungen nach der Methode der kleinsten Quadrate | chungen geprüft worden sind.
. aufgelóst, so erhält man die folgenden Endgleichun-
— 869,14 = + 1616,06 dT + 1049,90 dg — 358,47 dl’ + 213,88 dQ' + 68,99 di’
— 657,26 = + 1049,90 » + 761,26» — 259,17 » + 148,99 » + 43,79 »
+ 250,53 = — 358,7» — 959,17 » je 102,25 Er 60,23 3 1 16,36 »
— 142,42 = + 213.88 » + 148,99» — 60,23 » + 54,41 » + 35,88 »
— 24,84 =+ 6899» + 43,79» — 16,36» + 35 ,88 » = 43,67 »
Diese Gleichungen ergeben folgende Werthe der
Unbekannten und deren nebenbeistehende Gewichte:
drate der übrigbleibenden Fehler; diese Fehler, divi-
dirt durch Vp, ergeben sich wie folgt, in Überein-
dT = + 0,2619 1416,1 stimmung mit der directen Rechnung:
dq = — 0,7413 VIE Aa cos à Aë
en eos hes ne
di! — 4.947 4,1 EE Ee ER
== , H | » 4 + 1,9 — 17,7
Die Richtigkeit der Rechnung bestätigt sich durch | » 7 + 8,6 + 90,5
die Gleichheit von (nn.5) und der Summe der Qua- » 9 ad 55 ai 95
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
os
57
Aa cos à Að
Jan. 18 + 24,4 — 0,3
*. 419 + 3,0 — 14,7
SECH KT » — 5,7
»..:22 + 9,0 — 11,5
» ^22 — 7,3 — 11,3
» Hä — 15,1 — 4,4
»- 26 + 6,4 + 4,0
Febr. 2 — 18,6 — 1,1
Aus den angeführten Fehlern folgt für eine an-
fängliche Gleichung der nicht unbeträchtliche wahr-
scheinliche Fehler von 1073. — Es war:
II’ = 167?55 47,8
Q' — 154 24 40,4
d 2.02.23 (40
Werden die gefundenen Verbesserungen an diese
Grössen und an T und q, wie sie gegeben worden sind,
angebracht, und die so erhaltenen neuen Elemente
- auf die Ecliptic bezogen, so bekommt man:
T = Dec.7,21361 m. B. Zt. 0,00026
II —173°30 4876 2775
Q =145 5 56,8 / mittl. Âqu. 1862,0 2740
41 58 53,4 5,08
“log g = 9 ‚923778
Retrograde.
Die nebenstehenden Zahlen sind die den gefundenen
Werthen der Unbekannten zukommenden wahrschein-
lichen Fehler. Man ersieht aus denselben, dass den
gefundenen Werthen der Unbekannten gar keine Si-
cherheit beizulegen ist, dass also die Wahrscheinlich-
keit des neuen Elementensystems nicht grösser als
diejenige der zuerst von mir gefundenen Elemente ist.
Es scheint mir aber sich zu wenig Gesetzmässigkeit
in den Abweichungen zu zeigen, um hoffen zu können,
durch einen andern Kegelschnitt als die Parabel die
Beobachtungen besser darzustellen.
à =
0,000043
Ephemeriden der beiden Biela’schen Cometen
für die Erscheinung 1865 — 1866, von Th. Clau-
sen. (Lu le 17 novembre 1864.)
Nachdem der Biela’sche Comet sich in die Nähe
seines Apheliums zwischen 1839 und 1846 getheilt
hatte, musste für jeden der beiden Theile eine neue
Bahn berechnet werden, deren halbe grosse Axe nur
nach einer zweiten Erscheinung mit Sicherheit be-
stimmt werden konnte. Nach der Wiederkehr 1852
zeigte sich aber in dieser Beziehung eine neue Schwie-
rigkeit, da es zweifelhaft blieb, welche der beiden mit
jedem der frühern Erscheinung 1846 identisch seien.
Hubbard, der eine sehr umfangreiche Arbeit über
die Erscheinung 1846 geliefert hat, schloss zuerst
aus dem nähern Durchschnitt beider Bahnen, wenn
man den vorangehenden 1846 mit dem folgenden von
1852 identisch annahm, dass diese Hypothese die
richtige sei. Um die Wahrscheinlichkeiten beider Hy-
pothesen zu ermitteln, da die vier Bahnen in beiden
Hypothesen berechnet kein bestimmtes Criterium dar-
boten, berechnete ich zuerst die Störungen durch den
Jupiter für den Zeitraum von 1846 bis 1852, welche
ich für beide Cometen gleich annahm, und nahm aus
den Astron. Nachrichten für jeden Cometen in jeder
der beiden Erscheinungen drei Beobachtungen: von
dem Cometen 1846 I (der zuerst durchs Perihel ging)
Königsberg Januar 17, Berlin Februar 24 und April
1; von dem Cometen 1846 II die Beobachtungen in
Berlin Januar 27, Februar 26 und März 20; von 1852
I Cambridge September 8 und September 16, und Pul-
kowa September 25; und von 1852 II Rom Septem-
ber 15, Berlin September 22 und Pulkowa September
28. Aus diesen Beobachtungen leitete ich die wahr-
scheinlichsten Bahnen in beiden Hypothesen ab, und
fand mit Anwendung der Störungen durch den Jupiter
folgende Summen der Quadrate der Fehler:
Hypothese I (Hubbard).
1846 I und 1852 II .... Summe der Quadrate 329
1846 II und 1852 I 1667
Summe
1996
Hypothese II.
1846 I und 1852 I .... Summe der Quadrate 1365
1846 II und 1852 II mis JUS
CYLITELLLLE
Die zweite Hypothese erscheint demnach, wenn auch
nicht sehr bedeutend, wahrscheinlicher als die erste.
Wenn sie die richtige ist, so müssen die beiden Co-
meten nothwendig nach der Theilung eine merkliche
Anziehung auf einander ausgeübt haben, denn da sie,
nahezu in derselben Bahn, einer nach dem andern
59
Bulletin de l’Académie Impériale
60
laufen, so muss bei der Theilung der vorangehende
eine grössere, der nachfolgende eine geringere Ge-
schwindigkeit als der ursprüngliche Comet erlangt ha-
ben: mithin die Umlaufszeit des vorangehenden grös-
ser als die des nachfolgenden geworden sein. Der fol-
gende müsste also dem vorangehenden in der Zeit
zwischen der Trennung und dem Perihel 1846 vor-
beigegangen sein, welches, wie eine leichte Rechnung
zeigt, nicht hat stattfinden können, wenn sie keine
störende Einwirkung auf einander geübt hätten. Wenn
aber, wie bei der grossen Nähe sehr wahrscheinlich
ist, die beiden Cometen einen merklichen Einfluss auf
einander gehabt haben, so musste die Geschwindig-
keit des vorangehenden allmählich wieder verringert,
des folgenden vergrössert werden, oder die Umlaufs-
zeit des vorangehenden verkleinert und die des fol-
genden vergrössert werden. Es müssten nun die Co-
meten BEER durch den Knoten ihrer, mit Be-
htig gihr er geg itig Stórungen bestimm-
toi Bahnen gegangen sein, und ihre Entfernungen von
der Sonne zu dieser Zeit gleich gefunden werden. Die
eine dieser Bedingungen kann man im Allgemeinen
durch eine passende Annahme der Summe der Massen
beider Cometen erfüllen, während die andere als Be-
stätigung der Richtigkeit der Hypothese dienen kann.
Ich fand auf diese Weise; dass durch Annahme der
Masse beider Cometen — im , die Masse der Sonne als
Einheit angenommen, beide Bedingungen nahezu erfüllt
werden, wodurch die Hypothese II eine bedeutende
Wahrscheinlichkeit erlangt. Mit einer grössern Masse
blieben bedeutende Unterschiede sowohl in der Zeit
des Durchgangs durch den Knoten beider Bahnen, als
in der Entfernung von der Sonne übrig.
Nach dieser Hypothese habe ich die Stórungen des
ersten Cometen durch den Jupiter bis zur Zeit des
Periheliums 1859 und eine Ephemeride des Laufs
beider Cometen in dieser Erscheinung berechnet, in-
dem ich dieselben Stórungen auf den zweiten Cometen
anwandte. Diese ist im Bulletin von 1859 T. XVII
p. 537 abgedruckt. Bekanntlich verhinderten die Licht-
schwäche und die Nähe der Sonne die Auffindung der
Cometen in dieser Wiederkehr zur Sonne.
Die nächste Erscheinung wird bei sehr günstiger
Stellung der Erde erfolgen, wie früher in den Jahren
1806, 1836, 1846. Ich habe deshalb, damit diese
Cometen möglichst früh aufgefunden werden können,
die Störungen des ersten derselben durch den Jupiter
von 1859 bis 1866 berechnet und an die Elemente
beider angebracht, da der Unterschied der Störungen
von beiden nur gering sein kann. Die so gefundenen
Elemente, zugleich mit denen der drei vorangehenden
Epochen sind folgende: -
T bedeutet die Zeit des Perihels in mittlerer Ber-
liner Zeit, a halbe grosse Axe, € Excentricität, w Ab-
stand des Perihels vom aufsteigenden Knoten, Q Länge
des aufsteigenden Knotens auf der Ecliptik, vom mitt-
lern Âquinoctium zur Zeit des Perihels gerechnet, i
Neigung der Bahn gegen die Ecliptik. Die Bewegun-
gen sind direct.
Perihelium 1846.
Biela I. Biela II.
as 4921097049 ........ 49113899
Log a 0,5464088 ........ 0,5464802
Log e 9,8788760 ........ 9,8788955
EEG 9993 7 398 4- ku 223? 8'25,3
CE S 245 55 25,4 ........ 245 54 27,7
bbs. 12 34 47,8 ........ 1235 2,8
Va 1852.
Bie Biela II.
EEE 261081560 deg 267:763072 *
Log a 0,5471330 ........ 0,5472044
Loge 9,8784286 ........ 9.8784481
eg ZS 098986 H 223°16' 54,6
VER eR 245 53 13,0 ........ 245 52 15,4
R 12 33 11,3 ....... 12 33 26,3
Perihelium 1859.
Biela I. Biela II.
Tx 142852074 | ........ 1444128250
Loga... 0,5494630 ........ 0, 5495344
Loge 9,8770766 ........ 9,877096)
ORTI. 293°49 1975 ....... 223?50' 453
€ Ve 245 45 16,4 ........ 245 44 18,8
and: 12.2886 Fai 12 23 50,1
Perihelium 1866.
Biela I. iela II.
y LR 252620118... ane. 21' 497860
Log à 0,5503535 ……… 0,5504249
Pd 9,8764619 .......... 9,8764814
E 223°54' 772... 223°54 59,0
Q SERO. 245 46 10,8 .. aid 245 45 13,2
"ER 12. 21:58,3....... 12 22 13,8
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
62
Mit den letzten Elementen habe ich die folgenden Mittlere Berl. Zeit. a ò h
Ephemeriden berechnet. æ bedeutet grade Aufsteigung, ch E DET m :
à Declination, k = -sy Helligkeit, r Radius vector, A UT A89 EI t ig i T s | di
Abstand’ volt der Fede: » 29 * e 25 [349 20 23 | 724 27 [1,32
» 26412 5 20.1342 44 24 | 6 10 25 11,44
Biela I. » 30112 5 15 1343 22 13 4 58 58 11,59
Decbr. 4112 5 10 |344 13 26 | 349 53 |1,75
Mittlere Berl. Zeit a ð h » 8125 41345 17 42| 2 42 43 |1,94
E UE e S E » 12112 4 57 |346 34 46 1 36 56 |2,16
1865| Sept. 27112 7 33. | 3579 52' 35" |a- 23^34' 42"| 0,33 GE CELL Y Nr ER YU
Octob. 1112 7 43 |356 20 35 | 23 7 13 | 0,38 0 33 50 12,74
512 6 55 |354 44 38 39 30 59 | 043 » 2412 4.33 |351 40 10 141 2 13,10
*..942 6 39 |353 6 44| 21 45 57 | 049 » 28142 4 23 |353 45 45 2 51 23 |3,54
bus 12-625 [3508-904 /729:52494/055 Om eeler Hu
; 1742 6 12 (349 53 47 | 19 50 34 | 0,62 Sod ain tp ET p Ate TERR
» 9442 6 1|348 23 46 | 18 41 34 | 0.70 Bet RE LA BP LE i o 5,82
, 25112 5 51 |347 1 12 | 17 26 39 | 0,78 CA Me Br IO
229142 Kreien Dei ae ' 42 314| 10 3031| 1256 6 |848
Novbr. 2142 5 35 |344 46 6 14 44 21 | 0,95 , 9514992 59 | 44 8 M 13 31 31 983
» 642 5 29 1343 56 22 | 13 19 41 | 1,04 | em 51 |9,8:
- 4012.3 23.55.02 2501 9546 4-129] Din Heliakeis: mar. baim o Venehninden 1900 bei
>» 4842 5 12 |342 49 3 9 5327| 138 ungünstigen Umständen 0,57; Secchi fand sie 1845
» D 2 5.7 1342:55:20 7 43 27 | 1,51 | bei der Helligkeit 0,50; aber beide standen einander
» 5 9 |343 16 1 6 23 33 | 1,67 |so nah :chtstá ; -
. 3042 4 57 |343 50 48 e 494:48 so nahe, dass ihre Lichtstürken sich vereinigten. Es
Decbr 442 4 54 |344 39 7 3 49 49 | 204 wird daher wohl kaum möglich sein, sie selbst bei
» 8142 4 44 |345 40 46 935 9| 2928 | der günstigsten Luft mit den lichtstärksten F ernróh-
» 12,12 4 38 |346 55 22 121 4| 2,55 | ren Ende Septembers vor ihren Eintritt in die Mond-
145194 12 19899 T ge | egen
» 24142 A 12 |354 53 58 2 28 16 | 3,73
» 98412 A 21353 57 16 | : 3 52 12 | 428 BERT ann EE
1866 Januar 1112 3 52 |356 11 57 5 23 19 | 4,94
» 512 3 40 1358 37 55 7 4 6 | 573 d
9142329 | 141529 2 57 24] 66 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
» 13142 3 17 A 5 23 116.23 47,78 SE
1242,32 7 8 56 13 34 33 | 9,08 ’Academi T ^
; 3149 2 82 | 40 28 13 16 25 41 |4055 L'Académie a reçu dans dernières séances les
, 9849 9 40 | 14 6 36 |— 19 43 29 |12,29 ouvrages dont voici les titres:
Boletin bibliogräfico español. Ano IV, N° 9— 24. Año V,
Biela II. | N° 6— 9, 13 — 18. 8.
: i | 35 dissertations de l'université de Königsberg de l'année
Mittlere Berl. Zeit a à h 1863 — 1864.
DEE TE rr comer n EE WE 37 dissertations de l’université de Halle de l'année 1863 .
1865| Sept. 27,42 7 42 |356?36 55"|4- 22°56' 7”| 0,3 — 1864.
Octbr. 1112 7 23 |355 4 3 92 96 19 10,36 | 14 dissertations de l'université d’Erlangen de l'année 1863
» 5127 6 1353 28 57 21 48 3104 — 1864.
» 9412 6 50 [351 52 7 21 1 21 |0,46 | 143 dissertations de l’université de Berlin de l'année 1863
» 13142 6 36 |350 16 14 | . 20 6 33 | 0,5 — 1864.
: e A e en e e es i e a de 10 dissertations de l'université de Jem de l'année 1863
|. 28142 39 [07 — 1864.
29 i e s 344 1s 4 is 23 59 |077 | Société littéraire de l'université. catholique de Louvain.
Novbr. 2142 5 50 |343 51 5 14 337 108 Choix de mémoires. IX. Louvain 1863. 8. Eo
, 61425 441343 5 38 | 12 42 8 10,93 | Annuaire de sn ` —À de Louvain.
10112 5 39 | 342 33 20 | 11 20 36 | 1,01 Louvain. 12. -
63 Bulletin de l’Académie Impériale
des Sciences de St. - Petersbourg.
64
Procès de M. Henri Peemans contre l’université catho-
lique de Louvain. Louvain 1863. 8.
Theses propugnatae in universitate catholica Lovaniensi
nno academico 1862 — 1863. 8
Université catholique de Louvain. Programme des cours
de l’année 1863 — 1864. Fol.
Lettervruchten van het tael-en letterlievend Studenten-
Genootschap der katholyke hoogeschool van Leuven,
onder de zinspreuk: Met tyden vlyt. Leuven 1863. 8.
49 scripta academica in universitate Lundinensi annis 1861
— 1863 edita
10 dissertations de l’université de Helsingfors de l’année
1864.
Journal de l’école polytechnique. Cahier 38° et 40°. Paris
1861 — 1863. 4.
Mémoires de l’Académie impériale des sciences, inscriptions
et belles lettres de Toulouse. yE série. T. II. Tou-
louse 1864. 8.
L’investigateur. Journal de l'Institut historique. Tome IV*,
IV* série, 14* année, livr. 350 et 351. Paris 1864. 8.
Annuaire de l'Institut des provinces, des sociétés savantes
et des congrès scientifiques. II^* série, vol. VI. Paris
1864. 8
Atti dell' imp. reg. Istituto Veneto di scienze, lettere ed
arti. Tomo VIII, disp. 10, IX disp. 1 — 4. Venezia
1862 — 1864. 8.
Memorie dell' imp. reg. Istituto Veneto di scienze, lettere
ed arti. Vol. XI, p. 2. 4.
Atti del reale Istituto Lombardo di scienze, lettere ed arti.
Vol. III, fasc. 1—4, 9—18. Milano 1862 — 1863. 4.
Memorie del reale Istituto Lombardo di scienze, lettere
ed arti. Vol. VIII fasc. VII, Vol. IX fasc. 1. 3. 4. Mi-
lano 1862 — 1863. 4.
Reale Istituto Lombardo di scienze e lettere. Rendiconti.
Classe di scienze matematiche e naturali. Vol. I fasc.
1. 2. Milano 1864. 8.
Civico Museo Ferdinando Massimiliano in Trieste. Conti-
nuazione dei cenni storici pubblicati nell anno 1856. 4.
Dei lavori presentati all’ Accademia Virgiliana nell anno
1864. Mantova 1864. 8.
Società reale di Napoli. Rendiconto dell' Accademia delle
scienze fisiche e matematiche. Anno II, fasc. 4 — 10.
Napoli 1863. 4.
— — — — Rendiconto delle tornate e dei lavori dell Ac-
cademia di scienze morali e politiche. Anno II Aprile
— Dicembre. Napoli 1863. 4.
Monatsberichte der k. preuss. Akademie der Wissenschaf-
en in Berlin. 1863 August — December; 1864 Ja-
nuar, Februar. Berlin. 8.
Abhandlungen der k. Gesellschaft der Wissenschaften zu
Göttingen. 11ter SE von den Jahren 1862 u. 1863.
Göttingen 1864.
Nachrichten von der zë Augusts-Universität und der
k. Gesellschaft der Wissenschaften zu Göttingen. Vom
Jahre 1863. Göttingen. 8.
Abhandlungen der philosophisch-philologischen Classe der
- k. bayer. Akademie der Wissenschaften. Bd. X Abthl.
1. München 1864. 4.
Sitzungsberichte der k. bayer. Akademie der Wissenschaf. -
ten zu München 1863. II. Heft III. IV; 1864. I. Heft
I. IL München 1863 — 1864. 8.
Mémoires de la Société royale des sciences de Liège. Tome
XVIII. Liège 1863. 8.
Royal Institution of Great Britain. A list ge the members, -
officers and professors 1863. London
Notices of the proceedings at the HER of the mem-
bers of the royal Institution of Great Britain. Part
XII. (1861 — 1862.) London 1862. 8.
Proceedings of the royal Institution of Great Britain. Vol.
p. 1. 2. London 1863. 8.
Philosophical Transactions of the ju Society of London.
Vol. 153 p. II. London 1864
Proceedings of the royal Society. CN 55, 57, 62, 63. Lond. 8.
Transactions of the royal Society of Literature of the Uni-
ted F Second Series. Vol. VII p. 1 — 3. Lon-
don 1863. 8
The Journal of the royal Dublin Society. N° XXX. Dublin
1863.
Götheborgs k. Vetenskaps och Vitterhets samhälles hand-
lingar. Ny tidsföljd. Häftet 1 — 8. Götheborg 1855
— 1863. 8.
Schriften der gelehrten estnischen Gesellschaft. N° 1. Dor-
at 1863. 8.
Sitzungsberichte der en estnischen Gesellschaft zu
Dorpat. 1863. p. 41 —
A Magyar Tudomänyos Keis évkönyvei kötet X zarab
IX — XIV. Pest 1862. 1863.
Magyar Akademiai értesitó. A philoscphiai, törvény - és
oi osztályok közlönye. Kötet 1 — 3.
est 1
— — — — A mathematikai és természettudományi osztá- -
lyok bdo: Kótet II. III. Pest 1862. 8.
- — — Uj folyam. II kötet. III füzet. Pest 1863. 8.
Mero Ps Harmadik kôtet, füzet 1. 2. Pesten
N KE közlemények, Kötet I, füzet 1 — 3, I, 1.
Pesten 1862 — 1863
Mathematikai s terméssottadományi kózlemények vonat-
kozólag a hazai viszonyokra. Kötet IL. Pesten 1863. 8.
Budapesti szemle. Szerkeszti és kiadja Csengery Antal.
Kötet 15 — 17. Pest 1862 — 1863. 8. ;
Sámuel Brassai. Az Erdélyi Muzeum- Egylet Evkönyve —
II Kötet. 1861 — 1863. Kolozsvártt, 1863. 4.
Pd wk du ec 5o 77
— Paru le 5 décembre 1864. :
T. VII, N° 2.
BULLETIN
DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
EUX
"e
TOME VIII.
a
GESELL ‚SCHAFT
(Feuilles 5 — 11.) J b " Á
CONTENU:
Page
Le Dr. A. F. baron de Sass, Recherches sur les variations du niveau de la Baltique.
BRENNEN PE PEUT EE EEE PRE RES ER Rn à 65 — 81
Aug, Morawitz, Sur une nouvelle forme du mâle chez les Mutilles, et revue des espèces
de ect meule, obsorvoes eh Kammer ege ENNEN E sde uses 82 — 141
0. Paulsen, L'épiderme du Protopterus annectens. (Avec une Planche.)............. 141 — 145
J. Setehenof, Nouvelles expériences sur les méchanismes modérateurs dans le cerveau
de la grenouille, servant de reponse aux recherches sur le méme objet faites dans
16 laborstoire de M, Set... c odds eoe Erde cao dE ea au 145 — 162
V. Bouniakowsky, Sur deux questions d'analyse indéterminée, proposées dans le jour-
nal: «Zeitschrift für Mathematik und Physik».,....,.....,..,..,:....,.... 163 — 170
W. Jaworsky, De l'action de l'amalgame du natrium sur le nitrotoluol et la nitro-
DDR EN EE nn esr e exo e ARN EE EE vs 170 — 173
N, Zinine, Action de l'acide chlorhydrique sur lazobenzid...........,............ 173
Bulletin bibliographique..........,,.,,..,......... essences e oo ... 173 — 176
D
On s'abonne: chez MM. Eggers & C*, libraires à St.-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de
l'Académie (Komnrers Ilpasıeria Huneparopekoñ Axaxewiu Hayk) et chez M. Léopold Voss,
libraire à Leipzig.
Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie,
3 thalers de Prusse pour l'étranger.
|
BULLETIN
DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
Untersuchungen über die Niveauverschiedenheit
des Wasserspiegels der Ostsee, von Dr. Arthur
Ferdinand Baron von Sass. (Lu le 1 septembre
1864.)
Beobachtungen angesehen werden muss, allein wir
müssen diesem Nachtheil wieder den Vortheil entge-
| genstellen, dass die durch die Wellen hervorgebrach-
IL A i ten unberechenbaren Fehler in der Beobachtung da-
, Artikel !),
durch wiederum bedeutend geringer sind, als dies
bei Angaben in Zollen oder Linien der Fall ist.
Die Erklärung jedes tellurischen Phänomens darf
erst dann zu einer Theorie erhoben werden, wenn 2. Beobachtungsmaterial.
dasselbe erstens an möglichst vielen verschiedenen
1. Einleitung.
oag,
29: : 1
Orten beobachtet und zweitens die Beobachtungen EE cun
wieder mit einander verglichen worden sind, damit | Datum. | 53-8 $8 Sturm. Regen.
das allgemein Gemeinschaftliche als zum Wesen der | E SÉ E
Erscheinung gehórig von den durch locale Verhilt- 13 april | &" | 0. |
nisse bedingten Modificationen getrennt werde. Über i e | rs |
die Veränderungen des Wasserspiegels der Ostsee| 17 SO.
; À :a i 18 5 S.
liegen nur sehr wenig Beobachtungen vor, wie die| ve ep SW.
von mir in einer frühern Arbeit über diesen Gegen- e 2 d
D e . SW. t à "
stand angegebene Literatur zeigt?), und ich darf da-| 55 66 RW. m Begok
; ; andi 23 78 SW. Sturm. Regen.
her wohl annehmen, dass jede Vervolistindigung des a Ze ele rend ée
Beobachtungsmaterials uns einen Schritt näher führt | 25 66 SW.
; GE TAE ; 26 66 NW.
zu einer objectiven Erkenntniss dieser Erscheinung. | 59 66 NO. Bá.
In den folgenden Zeilen soll ein Beitrag zur Lehre Mies id UA
dieser eigenthümlichen Bewegung des Wassers gelie- 3 72 W.
-fert werden, und zwar von einem neuen Beobachtungs- > E SE
orte. Durch eine zuverlässige Person liess ich vom ; = ES Sturm.
13. April bis 11. November 1863 neuen Styls Mes- 9 72 SW.
sungen im Hafen von Arensburg, an der Südküste der SS e e MW Regen.
Insel Oesel in 22°29’2” óstl. L. von Greenwich und 15 72 SW.
e 1 ;
58^14' 40" nórdl. B. am nördlichen Gestade des Ri-| 17 "2 T
ER, 18 60 0. Regen.
gaschen Meerbusens anstellen, und das dabei geführte is 23 NW. Regen,
Tagebuch soll die Basis der hier folgenden Arbeit, 20 60 W.
bilden. Da die Beobachtungen in ganzen, höchst sel- | ^ e p E
ten in halben oder viertel Fussen angegeben sind, = e 2s
so sind allerdings die feineren Schwankungen nicht | 255 60 NO.
T H , 1432 1 1 a 26 66 W.
berücksichtigt, was unstreitig als ein Nachtheil dieser 97 72 Sé
28 72 NW
1) Vergleiche meine erste Arbeit über denselben Gegenstand 29 72 NW.
, 30 72 NW.
in: Mélanges physiques et chimiques, tirés du Bulletin de l'Acadé- 31 79 N.
mie Impériale des sciences de St.-Pétersbourg. T. V. pag. 543—598 2 Juni 60 NO.
und Pogg. Ann. Bd. CXX. S. 646 — 649. 3 60 NO.
: 2) Mélanges phys. et chim., tirés du Bull. de l'Acad. Imp. des 6 72 ; k
sciences de St.-Pétersb. T. V. pag. 544 — 546. 7 72 W. egen.
5
Tome VIII.
67 Bulletin de l'Académie Impériale
sags |. gass | ;
8 23 CEU «d 8 CRL Sa
Datum. S E Ze e Ei Sturm. Regen. Datum. SS ge E S Sturm. Regen.
Ee SES E
FE ass | À
8 Juni 72" SW. 22 August 84 NW.
9 72 SW. Regen. 23 84 W.
10 72 W; 24 84 NW.
11 72 W. 25 84 SW. Regen.
12 60 0. 26 9 SW. Regen. .
14 60 NO. Sturm 27 96 SW.
15 60 NO. 28 84 W.
16 60 NO. Regen. 29 84 8.
17 60 NO. 72 O.
18 60 N. 78 SW.
19 60 SW. 1 September 72 NO.
20 60 0. 2 72 SO.
21 60 0. 3 72 NW.
22 60 0. 4 66 SO.
23 66 so. 5 66 NW. Regen
24 66 SW. 6 84 SW.
25 72 M. 7 84 SW. Regen
26 60 W. Regen 8 72 80.
28 72 SW. 9 y 84 SW.
29 72 W. 10 | 72 0.
30 72 SW. Regen 11 84 SO.
2 Juli 72 SW. 12 96 SW. Sturm. Regen
3 72 SW. Regen. 13 84 W. Regen
4 72 NW. Regen. 14 6 SW. Regen
5 72 N. Regen. 15 34 NO.
6 72 N. Sturm. 16 9€ SW. Regen
7 66 NO. 17 96 SW. Regen.
8 72 SW. 18 84 N. Regen.
9 60 O. 20 84 SW.
10 60 0. -21 96 SW.
11 60 N. | 22 6 80. Regen.
12 66 W. 23 84 0.
18 72 W. | 24 84. SW.
14 72 NW. Sturm. 25 84 SW.
«49 72 N. 26 84 W.
16 72 NW. 27 84 SW.
17 84 W. 84 SO.
18 84 W. Regen. 29 84 SW. Regen. .
19 84 W. Sturm Regen. 84 SW.
20 90 SW. Regen. 1 October 84 80.
2 96 SW. Sturm Regen 3 84 SW.
22 96 SW. 4 SW. Sturm. Regen.
23 84 W. 5 8. Regen
24 84 80. Regen 7 80.
25 102 SW. Sturm. 8 j 0
26 84 W. 11 f 0.
27 84 N. 14 60 S.
28 84 NW. 15 60 sw
29 84 W. 16 60 SW.
30 84 SW. 17 ) W.
84 SO. Regen. |19 4 NW
1 August 84 W. 20 2 NW.
5 84 SW. 21 72 NW.
4 72 NW. 29 84 SW ;
5 84 SW. Regen. 23 72 NW
7 84 "NW. 24 72 NO.
8 96 W. 27 79 Ce
9 96 SW. 28 72 S. Sturm
11 84 SW. 29 84 S. Sturm
12 96 W. Sturm. Regen. 30 84 SW. Sturm
13 102 W. Sturm. 1 Novemger op SW Sturm
14 96 We Regen. 2 84 S0.
15 96 W. 8 96 SW
16 84 W: : 4 96 W. Sturm
17 84 S. 6 96 NW
19 | 84 SW. 7 84 N.
21 | 84 SW. 1 i H,
69
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
70
3. Beziehungen zwischen Wasserstand und Jahreszeit.
Der mittlere Wasserstand aus diesen 181 Beobach-
tungen, als arithmetisches Mittel ausgedrückt, ergiebt:
: 75,95".
Diesen Wasserstand bezeichnen wir mit dem Namen
Normalwasser.
Der mittlere Wasserstand in den verschiedenen Mo-
naten ist:
im April........ 64,07" aus 14 Beobachtungen.
» Matos 68,66 » 27 »
» Jüni......00,28 ^» 25 »
» Julia... 78,00.» 30 »
» August... 85,92 » 27 »
» September 93,86 » 29 »
:» October... 80,47 » 21 »
November 91,50 » 8 »
Hiernach war also im Jahre 1863 der hóchste mitt-
lere Wasserstand im September, der niedrigste im
April.
Vergleichen wir die mittleren Wasserstünde der
einzelnen Monate mit dem Normalwasserstande, wel-
chen wir mit + bezeichnen, während der Wasserstand
über dem Normalwasser mit + und der unter dem-
selben mit — bezeichnet wird, so erhalten wir fol-
gende Resultate:
» September
» October... +
» November + 15,55
E
Qt
bo
Hieraus ergiebt sich, dass im April, Mai und Juni
das Wasser sich unter dem Normalwasser hält, wäh-
rend es im Juli es übersteigt, im August und Septem-
.ber noch mehr steigt, im October zwar fällt, aber sich
stets noch über dem Normalwasser hält, und im No-
vember wieder stark steigt. Stellt man April, Mai
und Juni als eine Gruppe zusammen und Juli, August |
September, October und November als die andere,
so verhalten sich die Wasserstände während dieser
beiden Zeiträume zum Normalwasser im Mittel, wie
folgt:
Gruppe 1 — 9,94”
» 2 + 10,00
Betrachten wir jetzt die Differenzen zwischen jeder
Beobachtung und dem Normalwasser, so finden wir
folgende Zahlenwerthe:
Datum. | Differenz.| Datum. |Differenz.| Datum. | Differenz.
13 April. | — 15,95] 25 Juni. | — 3,95] 31 August + 2,05
15 | — 15,95 | 26 — 1595 | 1 Sept. | — 3,95
16 — 15,95 | 28 — 895| 2 — 8595
17 — 18,95 | 29. — 895 1«8 — 3,95
18 — 18,95 | 30 — 3,95 | 4 — 9,95
19 — 12,95 2 Juli. | — 3,951 5 — 9.95
20 — 15,95 | 3 — 3951 6 + 8,05
21 ms 9961 4 — 895| 7 + 8,05
22 — 995] 5 — 895] 8 — 8,95
23 + 2,05 | 6 — 9,95] 9 + 8,05
24 896.4 7 — 9,95 | 10 — 8,95
95 — 995 | 8 — 8,95 | 11 + 8,05
26 — 99 9 — 15,95 | 12 + 20,05
29 — 9,5 | 10 — 15,95 | 13 + 8,05
l Mai. | — 9,95 | 11 — 15,95 | 14 + 20,05
2 — $95 | 12 — 9,95 | 15 + 8,05
3 — 8,95 | 13 — 8,95 | 16 + 20,05
4 — 3,95 | 14 — 3,95 | 17 + 20,05
5 — 39 | 15 — 8,95 | 18 + 8,05
6 + 8,05 | 16 — 8,95 | 20 -- 8,05
7 — 3,95 | 17 + 8,05 | 21 + 20,05
9 — 3,95 | 18 + 8, 22 =+- 20,05
11 — 3,95 | 19 + 8,05 | 23 + 8,05
14 — 9,95 | 20 + 14,05 | 24 + 8,05
15 — 8,95 | 21 + 20,05 | 25 + 8,05
16 — 3,9 | 22 + 20,05 | 26 + 8,05
17 — 3,95 | 28 + 8, 27 + 8,05
18 — 15,95 | 24 + 8,05 | 28 + 8,05
19 — 3,95 | 25 + %,05 | 29 + 8,05
20 — 15,95 | 26 + 8,05 | 30 + 8,05
21 — 15,95 | 27 + 8,05 1 Octob.| + 8,05
29 — 15,95 | 28 + 805 | 3 + 8,05
29 — 15,95 | 29 -- 8,05 4 + 20,05
24 — 15,95 + 805| 5 + 8,05
25 — 15,95 | 31 + 805| 7 + 8,05
26 — 995 | 1 August! + 8,05 | 8 — 3,95
27 — 895} 8 + 8,05 | 11 — 995
28 — 3,95| 4 — 89,5 | 14 — 15,95
29 — 895] 5 + 8,05 | 15 — 15,95
30 — 3%] 7 + 8,05 | 16 — 15,95
31 — 38518 + 20,05 | 17 596
2 Juni — 15,95 | 9 + 20,05 | 19 + 8,05
8^ — 15,95 | 11 + 8,05 | 20 — 8,95
6 — 3,9 | 12 + 20,05 | 21 — 3,9
7 — 3,95 | 13 + 26,05 | 22 + 8,05
8 — 395 | 14 + 20,05 | 23 — 8,95
9 — 895 | 15 + 20,05 | 24 =| 9,95
10 - 89511 + 8,05 | 27 —: 8,95
11 — 8,95 | 17 + 8,05 — 3,95
12 — 15,95 | 19 + 8,05 | 29 + 8,05
14 — 15,95 | 20 + 8,05 | 30 + 8,05
15 — 15,95 | 21 + 8,05 1 Nov + 20,05
6 — 15,95 | 22 + 8,05 | 2 8,0
17 — 15,95 | 23 + 805| 3 + 20,05
18 — 15,95 | 24 + 8,05 | 4 + 20,05
19 — 15,95 | 25 + 8065| 6 + 20,05
20 — 15,95 | 26 + 20,05 | 7 - B,
21 — 15,95 | 27 + 20,05 | 9 + 20,05
22 — 15,95 | 28 + 8,05 | 11 8,05
93 — 9,95! 29 + 8,05
24 — 9,95 | 30 — 3,95
71
Bulletin de l'Académie Impériale
Aus der Berechnung dieser Differenzen ergiebt
sich, dass das Normalwasser gar nicht beobachtet
worden ist, was wohl dadurch kommt, dass das Beob-
achtungsmaass das des ganzen Fusses war, wodurch
ein so ins Kleine gehendes Maass, wie 75,95’ =
6' 3" 11,4" nicht beobachtet werden konnte.
Fassen wir jetzt die Beobachtungen des Hochwas-
sers genauer ins Auge, so ergiebt sich folgende Über-
sicht. Es wurde beobachtet:
im April ....... ] mal von 14 Beobachtungen
5 MAL sa? 14 2:27 »
MC Lar SR Ds ee el, »
al EC T9 een 30 »
» August... TOUR. 21 »
» September 22 » » 29 »
» October... 9 » » 21 »
» November 8 » » 8 »
A
Drücken wir die Häufigkeit des beobachteten Hoch-
wassers jetzt als Procente zu der Gesammtzahl aller
in einem Monat angestellten Beobachtungen aus, so
beträgt das Hochwasser:
im April ....... 7,14),
EMS IS 3,70%,
» Juni......... 0,00%,
9» JUE LIA 50,00%,
» August..... 92,59%
» September 75,8 6%
» October.... 42,85%
Das Niedrigiraniet wurde beobachtet:
im April........ 15 mal von 14 Beobachtungen.
» Mal. 26 » BE »
» Jühbh..u 2% D: > 29 0»
» Jall isra 19 9 » 30 »
» August... 2—-» » 27 »
» September 7 » » 29 »
» October... 12°»: » 21 SE
» November
Diese Werthe,
Procente ausgedrückt, geben:
für den April....... 92,86,
PUY ML 96,30%,
D » Juni ER 100 om.
November 100,00,
0 » » 8 »
wieder wie beim Hochwasser als
für den August..... 7,41,
» » September 24,147),
» ^» October... 57,15°
» » November 0,00%
Im Ganzen ist beobachtet worden:
Hochwasser... 81 mal.
Niedrigwasser 100 »
was, procentisch ausgedrückt, ergiebt:
für das Hochwasser... 44,75%
» » Niedrigwasser 55,25%
Das beobachtete Maximum des Wasserstandes be-
trägt 1027 also 22"6" über dem Normalwasser.
Das Minimum beträgt: 57; also 1 6" 11,4" unter
dem Normalwasser.
Hieraus ergiebt sich, dass das Hochwasser im Maxi-
mum ungefäbr ums Doppelte davon das Normalwas-
ser übersteigt, als das Niedrigwasser im Minimum
darunter fällt.
Die Maximaldifferenz, d. h. die Differenz zwischen
durch welchen Werth zugleich die grósste Schwan-
kung des Wassers ausgedrückt wird.
4) Beziehungen zwischen dem Wasserstande
und Winde.
Die hierher gehórigen Untersuchungen zerfallen in:
der Windrichtung;
der Windstärke;
Beobachtungen;
anderfolgenden Beobachtungen.
jan 50,00%,
b) die Beziehungen zwischen dem Wasserstande und —
c) die Beziehungen zwischen dem Wasserstande und A
dem Anhalten eines und desselben Windes wäh- —
rend zweier oder mehrerer auf einander folgender —
d) die Beziehungen zwischen dem Wasserstande und S
dem Windwechsel bei zwei oder mehreren aufein- S
Was nun zuerst die Windrichtung anlangt, so el o
halten wir aus den Serien eegen D 25
gende Übersicht:
dem Maximum des Hochwassers und dem Minimum ` ;
des Niedrigwassers beträgt 45" — 3'9” russisch (engl), «
UT ) Hate!
a) die Beziehungen zwischen dem Wasserstande und —
Y zm
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
74
73
E De ` : nor ze
SR a 28 "E i ai SEKR
Së B Es-fais a Er rE
EE E uu) B SZ S SS E ALES SS
> ss2T 55 |e EFIE
Ss: m Sge |o
NW. | April | 6900 | 2 NO. | Juli 66,000 | 1
SW. » 67,80 5 NW. | August | 81,60 5
S. » 5850 | 2 | W. » 25 | 8
so. » 58,50 2 SW. » 81 11
0. » 0,00 2 S. » 84,00 2
NO.]-. 5 66,00 | 1 0. a 200 | 1
N. Mai 69,00 2 N. Septemb. 84,00 1
NW.| » 69.60 |, 5 LNW. » 6900 | 2
W. 5 69,00 | 6 | W. : 8406 | 2
SW. | » 72,66 | 9 | SW./| » 87,57 | 14
S. » 60,00 Le DO » 79,00 6
0. » 60,00 2 0. » 78,00 2
NO. » 60,00 2 NO. » 78,00 2
N. Juni 60,00 $ NW. | October | 75.00 4
NW. » 72, 1 W. » 72,00 1
W. » 7000 | 6 | SW.| » 7800 | 6
SW. » 69,00 6 S. » 74,40 5
SO. š 66,00 | 1 | So. » 8400 | 2
0. e 60,00 | 4 0. » 6900 | 2
NO. » 60,00 6 NO. » 72,00 1
N, Juli 72,00 6 N. |Novemb. 84,00 1
NW. » 75,00 4 NW. » 96,00 1
W. ^ 8095 | 8 | W. » 90.00 | 2
SW. » 85,50 8 SW. » 96,00 3
so. » 84,00 2 80. » 84,00 1
0. » 60, 2
In der folgenden Tabelle sind nun die Mittelwerthe
des Wasserstandes für jeden Wind unabängig vom Mo-
nat berechnet.
|
Wind- | Anzahl der | Differenz zwischen dem
: Wasserstand. | Beobachtun- 'berechneten Mittelwerth
richtung. gen. nnd dem Normalwasser.
N. 75,00" 10 es 005.
NW. 74,16 24 = 19
W. 78,30 32 + 941
SW. 80,28 64 + 488
S. 71,70 10 — 495
80. 75,50 14 — 08
0. 65,20 Sr — 10,75
NO. 69,00 13 6.95
Setzen wir jetzt die beiden Differenzen von 0,95"
und 0,45" — 0", so wurde beobachtet:
Normalwasser bei N. und SO.
Hochwasser » W. und SW.
Niedrigwasser » NW., S., O. und NO.
Es tritt ein:
die grösste mittlere Höhe bei
jefe »
SW.
» » » O.
Werden nun die Winde nach der Stärke des Stei-
gens des Wassers geordnet, so erhalten wir folgende
Übersicht, indem wir uns der oben gebrauchten
Zeichen -+- und — bedienen, sowie das Normalwasser
mit Æ bezeichnen:
=- SES
Amen "eme, csi" inkl e Een
SW. Mi: 80, e, EE, Ne en, (e SE 0:
Da die beiden mittleren Werthe des SO. und N.
mit dem Zeichen — versehen sind, obgleich so sehr
nahe dem Werthe von 0 liegen, so kann man sie auch
unter das Zeichen von — stellen, wodurch wir als
Gesetz finden würden, dass alle N.- und O.-Winde
ein Fallen mit sich bringen, während uns SW. und
W. ein entschiedenes Steigen anzeigen.
Die folgende Übersicht zeigt, wie oft bei jedem
Winde Hochwasser und Niedrigwasser beobachtet
wurden:
Windrichtung. | Hochwasser. |Niedrigwasser. Dour ent
N. d 10
NW. 8 15 | 23
W. 18 16 | - 34
SW. 39 23 | 62
S. 4 6 | 10
SO. 8 6 | 14
0. 1 14 15
NO. 1 12 - 13
Um die Anzahl der Hoch- und Niedrigwasserbeo-
bachtungen bei jedem Winde in ihrem richtigen Ver-
hältniss zu erkennen, wurden sie als Procente sämmt-
licher Beobachtungen bei jedem Winde ausgedrückt,
woraus sich folgende Übersicht ergiebt, wenn wir
bei den alten Bezeichnungen von + und — verbleiben:
N. S.
+ 309, + 40,00%,
— 70 Ja — 60,00 %
NW. SO.
+ 34,78, + 57,14%,
— 65,32%, — 42,86%,
W: :
+ 52,94% + 6,66"),
— 47,067, — 93,347
SW. NO.
+ 62,90%, + 7,699,
2 97 107. 931%
Hieraus ergiebt sich für die Anzahl der Wasser-
standsbeobachtungen verhältnissmässig für das Hoch-
und Niedrigwasser folgende Reihe der Winde, indem
mit dem häufigsten begonnen, und dem seltensten ge-
schlossen wird:
Bulletin de l'Académie Impériale
76
75
Hochwasser. Niedrigwasser.
so. NO.
W. N.
S. NW.
NW. S.
N. W.
NO. SO.
0. SW.
Die Reihe des Niedrigwassers ist die umgekehrte
der des Hochwassers.
Wir gehen nun zum zweiten Theile der Unter-
suchung über den Einfluss des Windes auf die Ni-
veauveränderung des Wasserspiegels über, nämlich
die Wirkung der Stärke des Windes auf dieselben.
Hierbei müssen wir uns aber nur auf den Unterschied
von Wind und Sturm beschränken, da nur ein solcher
bei der Führung des Tagebuchs verzeichnet worden
ist. Folgende Wasserstände wurden bei Sturm be-
obachtet:
Wind- | Wasser- Wind- |Wasser-
MON Duae Ni Date; Lai höhe,
21 April | SW. 66" | 12 August W. 96”
23 SW. 78 |13 W- | 102
NW. 72 12 September | SW. 96
M SW. | 84 | 4 Octob SW. 96
14 Juni NO. 60 28 S. 72
6 Juli N. 72 |29 S. 84
14 NW. 72 130 » SW. 84
19 W. 54 1 November | SW. 96
21 SW. 96 |4 W 96
25 SW. | 102
Aus diesen Zahlen ergeben sich bei Berücksich-
tigung der Richtung des Sturmes folgende Mittel-
werthe: r
N. 72,00 aus 1 Beobachtung.
NW. 72900» 3 »
W. 90400 » 3 »
SW. 89,40 » 10 »
S. 78,00 » 2 »
NO. 60,00 » 1 »
Die Differenzen zwischen diesen Mittelwerthen der
bei Sturm beobachteten Wasserhóhen und den Mit-
telwerthen, welche ohne Berücksichtigung der Wind- |
stärke erhalten wurden, sind folgende, indem die ge-
wóhnlichen Zeichen beibehalten wurden:
bei N. — 3,00”
» NW. — 2,16
» W. +” 5,64
» SW. + 9,12
bei S. —<+ 6,30
» NO. + 9,00
Werden nun die Differenzen zwischen dem Normal-
wasserstande und den Mittelwerthen aus den bei Storm
angestellten Beobachtungen berechnet, so ergiebt sich
folgende Übersicht:
N. — 3,95’
NW. — 3,95
W. + 18,05
SW. + 13,45
S. + 2,05
NO. — 15,95
Hieraus ergiebt sich, dass während Sturm die Ex-
treme des Steigens bei W. und SW., die des Fallens
bei NO. eintreten.
Nachdem wir nun den Einfluss der Windrichtung
und der Windstärke in ihrem einfachen Auftreten auf
das Niveau des Wassers kennen gelernt haben, bleibt
noch übrig zu untersuchen, wie sich das Wasser ver-
hält, wenn andauernd der Wind aus ein und dersel-
ben Richtung weht.
Zu diesem Behufe wurde folgende Übersichtsta-
belle entworfen:
i : ittel aus den] © A
A [Wasserstand bei anhaltend gleichem| litte a.
-& sb [Winde in der angegebenen Reihen- er " i E $
HE olge der Beobachtungen. jeden Wind. | Z 33
BEER N
e 1. 7i 3. 4. 5. 1. 2 ECK
N. | 72 |, 72" JL o Fast lo la
NW. 72 72 19"
NW.| 84 | 84 76 76 3
NW.| 72 72
W.-1:72 72
M 72: |. 72
e 72
W. 66 Ge TE 79 6
: 96 | 102 96 96 84"
SW. | 66 66 78
SW. | 72 72
SW. | 72 72
SW. | 72 72
. | 84
SW. | 84 a A 79,50! 83,62] 16
SW. | 96 96
SW. | 84 | 96
SW. 84 84
SW. | 84 84
SW. | 84 96 ;
SW. 60 60
SW, | 84 96
adu 7» | 72 1
A 60 | 60 60 | 60 2
60 60
NO. | 60 | 60 | 60 | eo | eo |j99 | 60 2
77
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Sa
Hieraus ergiebt sich, dass bei anhaltendem S. und
SW. ein entschiedenes Steigen des Wassers erfolgt.
Betrachten wir jetzt, wie sich der Wasserstand bei
Windwechsel verhält, so erhalten wir folgende Ta-
belle:
Be ee emm : ee sol BO wlan er s
SEEIEEHPEEEREEMEEHEEEPNEEERIEE
ELE EM 393233582332 ER
ose ns pee rasg Oo 4828815702 rust
ERPE EEEE EEE
Ba elëpeibsk ces |2532332E35% rige
GEMET
N. | NW E 8 | sw. | s. + 2
N. | NW. = 1 |:SW. | SO. + 4
N. | W. + 1 | SW. | SO. + 2
NI SW. — 1 SW. 0. La mo 2
N. 0. ae 1 SW. | NO. + 3
N. NO. SE 1 € RAW. - 1
NW.| N. om 2 W. ma, 2
NW. | W. + 3 SW. en 2
NW. | sw. + 3 SO. + 1
NW. | SW. le 3 | NW. um 1
NW. | SO. + 2 L | W. + 1
NW. | oO. + 1 L | SW. M 8
W. N. = 1 KR — 2
W. | NW. + 2 ). 0. E 2
W. | NW. + 2 2 0. — 1
W. | NW. E 251 80.1. NO. + 1
W. | SW. x 4 . I W. 3T 2
W. | SW. + 6 0. | SW. e 3
W. | SW. m 4 e = 1
W. SO. + l> 0. BO. E 1
SW. | N. er 1 0. | SO. e 2
SW. | N. + 1 0. | NO. + 1
SW. i + 3 NO. | N. — 1
SW. | NW. SE * NO. | NW. Së 2
SW. | NW. = 1 | NO. | sw. m 2
SW. | W, + 8 | N 8. + 1
SW. | W. d 6 NO. 0. GR 1
SW. S. -+ 2
Ziehen wir jetzt für jeden Wind die Mittelwerthe,
so erhalten wir folgende Übersicht:
EEE es leg |2 lé peu ET
EEEEFEREEEHILEREEHEEER TELA ER
253193535 + =38[853853 SEP 238
vi eil ro 5 E |S2*Hasd-2 c5 = [NGA
Erën "SESS Erna ss 29
E E Es s” e E E EG 5 E
N. | NW. | — 8,00” | 4 | SW. | NO. | + 8,00” | 8
N. | W. | æ 0,00 | 1 S. | NW. | #000 | 1
N. | SW. | —1200 |-1 S | W.1:5000 | 3
N. | 906 à 1 |: 8 | 8W.] — 750 | 2
N. | NO. | + 0,00 | 1 8. |.80. [2:000 | 1
NW.| N. | = 0,00 | 2 | SO. | NW.| — 6,00 | 1
NW.| W. | 2:000 |. $ | SO. | W. | +000 | 1
NW. | 8W.| —428 | 7 | so | SW.| —400 | 6
NW, | 80. | 2-000 |.2 | SO. | 0, | + 5,00 | 8
NW 10 MON 1 ] 80. | NO. 12000: 1^1
W. | N. | Æ 0,00 |.1 Q 1-wW. 16012
W. | NW. | + 2,40 5 0. | SW. | — 8, 3
W. | SW. | +08 | 14 0. | 8 | 1200 | à
W. | SO. 0, 1 0, SO. | — 8, 8
SW. | N. | 4-800.| 2 0. | NO. | +0,00 | 1
SW. | NW. | + 20 | 5 | NO.| N. | —600 | 1
SW. | W. | + 266 | 9 | NO. | NW.| 2-000 | 1
SW. | S |--800 | 4 | NO. | SW. | —900 | 2
SW. | 80. | 4-900 | 6 | NO. | Lamm)
ew | 0..| + 300 |. 2 | NO. |- O0. | 2-000 | 1
Aus dieser Tabelle ergeben sich folgende Gesetze,
wenn wir die Werthe weglassen, welche nur auf ei-
ner einzigen Beobachtung beruhen:
a) Steigen des Wassers erfolgt, wenn:
»
»
b) Stillstand des Wassers wurde beobachtet, wenn:
c) Fallen des Wassers trat ein, wenn:
N. auf NW. folgte
NW.» S
W. auf NW. folgt.
W::» SW.
SW.» N.
SW. » NW.
SW.» W.
SW.» S.
SW. » SO.
DN Y à p
SW. » NO.
SD.
NW. auf N.
NW. » W.
NW. » SO.
RS Wen o
T
.
folgte
»
»
»
»
9) Beziehungen zwischen dem Wasserstand
und Regen.
Die folgenden beim Regen angestellten Beobach-
tungen wurden alle während desselben ausgeführt,
ohne dass im Tagebuch angegeben ist, ob vór oder
|nach der Wassermessung Regen fiel. Der Wasser-
stand während des Regens war:
Was- ind-| Was-
Datum. Windrichtung. | ser- Datum. rich- | ser-
hóhe. tung. | hóhe.
22 April SW. 66” | 16Juni | NO. | 60"
23 S SW: 8 26 W. 60
NW. (Schneefall)| 72 30 SW.| 72
29 NO. 66 3 Juli SW.| 72
11 Mai SW. 72 4 NW. 72
18 0. 60 5 N. 72
19 NW. 72 19 W. 84
7 Juni W. 72 20 SW.| 90
9 SW. 72 21 SW. | 96
l'Académie Impériale
79 Bulletin de
as Wind-| Was
Datum. Windrichtung. | ser- Datum. rich- | ser-
öhe tung. | höhe
24 Juli SO. 84" |17 September, SW. | 96"
81 SO. 84 |18 ` N. 84
5 August SW. 84 122 S0- 96
12 W. 96 129 W. | 84
14 W. 96 | 4 October SW. | 96
25 SW. 84 S. 84
26 SW. 96 129 S. | 84
5 September NW. 66 130 SW.| 84
7 SW. 84 | 1 November, SW. | 96
12 SW. 96 |2 80. 84
13 W. 84 |3 SW. | 96
14 SW. 96 |4 W. | 96
16 SW. 96 | 9 SW. | 96
Aus diesen 44 während Regen ausgeführten Beob-
achtungen geht hervor, dass der mittlere Wasserstand
wührend des Regens ohne Berücksichtigung der Win-
de ist: 85; also steht er 9,05" über dem Normalwas-
serstande.
Berücksichtigen wir nun noch den Wind, so ge-
langen wir zu folgender Übersicht:
Differenz zwischen dem Wasser-
stande während eines Regens und
Mittlerer Was-
serstand wäh-
Windrichtung. rend eines Re- | dem mittleren Wasserstande bei
gens. dem entsprechenden Winde.
N. 78,00" + 8,00"
NW. 72,00 — 2,16
W. ,00 + 7,64
SW. 86,00 + 5,72
S. 84,00 + 12,30
SO. 87,00 + 11,50
0. 60,00 — 5,20
NO. 63,00 — 6,00
Nach dieser Tabelle scheint wohl mit Sicherheit an-
genommen werden zu können, dass während des Re-
gens ein Steigen des Wassers erfolgt, wovon jedoch
Ausnahmen eintreten, sobald N, O oder NO weht.
6) Gewonnene Resultate.
Was die allgemeinen Resultate anlangt, welche
aus den vorliegenden Untersuchungen gewonnen wur-
den, so verweisen wir auf das Kapitel 11 unserer
frühern Arbeit über denselben Gegenstand °), denn die
vorliegenden Untersuchungen haben zu denselben
Schlussfolgerungen geführt, nämlich besonders dazu,
dass als die Hauptursachen der Niveauschwankungen
des Wasserspiegels der Ostsee die Windrichtung und
Windstärke anzusehen sind, indem durch SW.- und
W.- Winde grössere oder geringere Wassermassen
Mélanges phys. et chim.,
3) E du Bull. de l'Acad. Imp. des
sc. de St.-Pétersb. Tom. V. p Dag. 98.
je nach der Stürke des Windes mit einer grüssern .
oder geringern Geschwindigkeit aus der Nordsee in
die Ostsee getrieben werden, und die N.- und Q..
Winde das Wasser wieder aus der Ostsee in die Nord-
see forttreiben, wodurch ein Fallen des Ostseespie-
gels bewirkt wird.
Die speciellen Resultate der vorliegenden Arbeit,
sollen hier folgen, wie ich sie auch von meiner ersten
Arbeit auszugsweise veröffentlicht habe 5):
1) Der mittlere Wasserstand an der bei Arensburg `
im Hafen zu den Beobachtungen benutzten Stelle ist —
75,95" =63"11,4". 3
2) Der hóchste mittlere Wasserstand wurde im
September, der niedrigste im April beobachtet.
3) Unter dem Normalwasser steht das Wasser im:
April, Mai und as in den andern Monaten über-
steigt es dasselbe.
4) Das Normalwasser ist gar nicht beobachtet wor-
den.
9) Procentisch zu der Anzahl aller Beobachtungen
ausgedrückt wurde beobachtet:
das Hochwasser ..44,75*/,
». Niedrigwasser. 55,25.
6) Das beobachtete Maximum des Wasserstandes
beträgt 102; also 2'2"6" über dem Normalwasser. `
7) Das Minimum war: 57) also 176”11,4” unter
dem Normalwasser. |
8) Das Hochwasser übersteigt im Maien unge-
fähr ums Doppelte davon das Niedrigwasser, als das
Minimum darunter fällt.
9) Die Maximaldifferenz beträgt 3'9”. 1
10) Im Mittel wurde beobachtet: T
das Normalwasser bei N. und SO.
» Hochwasser.. » W. » SW.
» Niedrigwasser ». NW., S., O- und NO.
11) Die grösste mittlere Höhe tritt ein bei SW..
» » » Tiefe .» ^». ». 0.
12) Alle N.- und O.- Winde bringen ein Fallen
des Wassers mit sich, während SW.- und W. - Winde
entschieden ein Steigen bewirken.
13) Bei Sturm treten ein:
die Extreme des Steigens bei W. und SW.
Fallens » NO.
-= LETY
» » »
ke
4) Poggendorff's Annalen. Bd. CXX. S. 646 — 649.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
82
14) Bei anhaltendem SW. und W. erfolgt ein ent-
schiedenes Steigen des Wassers.
15) Bei Windwechsel erfolgt:
a) Steigen, wenn:
W. auf NW. und SW. folgt.
SW. » N., NW., W., S., SO., O. und NO. folgt.
SO. » O. folgt.
b) Stillstand, wenn:
NW. auf N., W. und SO. folgt.
| S. » W. folgt.
c) Fallen, wenn:
N. auf NW. folgt.
NW.» SW. »
B. ON: 3
SO. » SW. »
O. » W., SW. und SO. folgt.
NO. » SW. folgt.
16) Während Regen steigt das Wasser.
Auf die Vergleichung der hier gewonnenen Resultate
mit den aus den Beobachtungen bei Sandel gewonne-
nen, welche im I. Artikel dieser Untersuchungen ver-
öffentlicht wurden, verzichte ich einstweilen, da ich in
kürzester Zeit noch an einigen andern Orten angestellte
Beobachtungen, die sich auf diesen Gegenstand bezie-
hen zu veröffentlichen gedenke, und dann schliesslich
beabsichtige, alle diese Untersuchungen mit einander
zu vergleichen, und somit das Meinige zu einer allend-
lichen Lösung dieser Frage beizutragen. Ich glaube,
dass besonders solche weitere Untersuchungen von
grossem Nutzen sein werden, welche an Küsten ange-
stellt werden, die von verschiedenen Himmelsgegen-
den vom Meere bespült werden. Im gegenwärtigen
Sommer werden solche von dem Herrn Theophil von
Poll an der Nordküste von Oesel mit grosser Sorg-
falt, wovon ich selbst mich zu überzeugen Gelegen-
heit gehabt, ausgeführt, und werde ich im kommenden
Winter dieselben verarbeiten können.
Tome VIII.
Über eine neue, oder vielmehr verkannte Form
von Männchen unter den Mutillen, nebst einer
Übersicht der in Europa beobachteten Arten,
von August Morawitz. (Lu le 1 septembre 1864.)
Die Gattung Mutilla ist von Linn& schon 1758 in
der Editio X* seines Systema Naturae (p. 582. 219.)
aufgestellt worden, und bezieht sich der Name ohne
Zweifel auf die «Alae nullae in omni sexu», wodurch
Linné diese Hymenopteren-Gattung von den übrigen
unterschied "). Sie umfasste auch bei Linné, mit Aus-
nahme der Ameisen, alle ihm bekannt gewordenen un-
geflügelten Hymenopteren, obgleich einzelnen dieser
letzteren”) weder das «Corpus pubescens», noch der in
der Characteristik der Gattung erwähnte « Aculeus re-
conditus punctorius» zukam.
Linné scheint übrigens von seiner Mutilla acaro-
rum anfänglich. nur Männchen gekannt zu haben, da
er in der Fauna Svecica (ed. II. p. 428. 1729.) aus-
drücklich angiebt: «Femina simillima aculeo exserto
abdomine breviore». Diese nachtrüglich gemachte Beob-
achtung veranlasste ihn indessen nicht dazu, seine
Mutilla acarorum von den übrigen zu sondern, und
darf es daher nicht befremden, dass nach Linné's
Vorgange auch Scopoli, O. F. Müller, Villers
u. À. die ihnen bekannt gewordenen ungeflügelten
Ichneumonen gleichfalls zur Gattung Mutilla stellten.
Es erklärt dieser Umstand aber auch zur Genüge,
1) Nur in Folge eines Druckfehlers heisst diese Gattung im Sy-
stema Naturae ed. X* (p. 343. 219.) Mutella. Sulzer (Abgek. Gesch.
der Insekt. p. 203.) und Christ (Naturgesch. etc. Hymenopt. p. 71.)
meinen, dass sie «Mutillata» heissen müsste, weil die hierher gehö-
rigen Arten «gleichsam verstümmelt sind, da sie keine Flügel ha-
ben». Von den Rómern wurden aber solche Thiere, denen ein Or-
gan fehlte, welches ihnen normalerweise zukam, «Mutilae» ge-
nannt, so dass die Abstammung des Namens nicht zweifelhaft sein
kann. Die Schreibart « Mutillata und Mutilla» statt « Mutilata und
Mutila» scheint früher ganz allgemein gebräuchlich gewesen zu
sein.
2) Ich weiss nicht, welche Art Linné (Syst. Nat. ed. X. p. 583.
8.) als Mutilla formicaria beschrieben. Die Beschreibung lautet:
« M. glabra rufa, capite abdomineque pubescente nigris.
Habitat in Europa D. Solander.
Praecedenti (M. acarorum) duplo major. Abdomen totum nigrum
et parum villosum.»
In der Fauna Suecica heisst es: « Habitat rarissi »
und in der Editio XII? des Systema Naturae (p. 968. 10.): «Zchneu-
mon apterus potius dicenda?» — Von Fabricius (Syst. Entomol.
345. 101. — etc.) wird denn auch diese Mutilla formisaria zur Gat-
tung Ichneumon und später (Syst. Piez. 92. 102.) zur Gattung Cryptus
gestellt, wohin sie aber ganz gewiss nicht gehórt. Die neueren Hy-
menopterologen gedenken der Linné'schen Art gar nicht. Wahr-
scheinlich ist sie mit Methoca ichneumonides identisch.
6
Bulletin de l'Académie Impériale
81
weshalb De Geer (Mém. II. p. 903 sq.), dem anfäng-
lich von der Linné'schen Gattung Mutilla nur solche
flügellose Ichneumonen bekannt waren, die Berechti-
gung dieser Gattung in Abrede stellte, wozu er sich
unter Anderm deshalb veranlasst sah, weil er von
einer, von ihm für M. acarorum gehaltenen Art, zu-
gleich mit flügellosen Weibchen, ein geflügeltes Männ-
chen erzogen hatte, das im Wesentlichen mit den ihm
sonst bekannten geflügelten Ichneumonen Übereinstim-
mung zeigte.
Es hatte sich übrigens schon früher Linné selbst
davon überzeugt, dass einzelne geflügelte Hymenopte-
ren nothwendigerweise der Gattung Mutilla zugerech-
net werden müssen, und heisst es daher bereits in der
Editio XII’ des Systema Naturae (p. 966. 250.) «Alae
nullae in plerisque». Es gehören auch die von Linné
angeführten geflügelten Mutillen, mit Ausnahme der
M. helvola, welche «singularis species» Linné selbst
nur als «forte hujus generis» bezeichnete, zur jetzigen
Gattung Mutilla. Daraus, dass Linné anführt: « Mu-
tillae species vagae occurrunt. et plerumque apterae; nec
ultra tria specimina alata nobis visa; harum. domicilia
et vivendi modus etiamnum patet», geht hervor, dass er
über das Verhältniss dieser geflügelten Individuen zu
den ungeflügelten durchaus nicht im Klaren war, jeden-
falls war er aber geneigt, ein ähnliches Verhältniss wie
bei den Ameisen anzunehmen. Wenigstens deutet dar-
auf die Angabe: «Alae neutris nullae», welche in der
Characteristik der Gattung Mutilla (l. c. p. 359.) sich
vorfindet, und ist letztere Angabe offenbar dadurch
veranlasst, dass Linné es bereifs erkannt hatte, dass
von seiner Mutilla europaet sowohl ungeflügelte, als
auch geflügelte Individuen vorkommen. -
Es ist nämlich die Beschreibung des einen geflü-
gelten, ihm zugekommenen Individuums nur durch
ein Versehen des Setzers nicht hinter die Characte-
ristik der von Linné früher nur nach ungeflügelten
Stücken beschriebenen M. europaea gesetzt. worden.
Denn jetzt, wo diese Beschreibung hinter derjenigen
von M. atrata (l. c. p. 967. 5.) steht, hat es gar kei-
nen Sinn, wenn Linné, nachdem er ein geflügeltes
Individuum beschrieben, anführt: « Alatum individuum
misit D. Schreber», und geht es auch aus der Be-
schreibung der M. atrata selbst hervor, dass es Linné
darauf ankam, die specifischen Merkmale der letzteren
von dem geflügelten Stück der M. europaea klar zu
machen, da er sonst gewiss nicht gesagt hütte: sara,
thorace immaculato» und eben so wenig «Alae omnino
nigrae, nec fuscae».
Die Beschreibung des geflügelten, von Schreber
zugeschickten Individuums muss demnach im Lin-
né'schen Manuscript vor der Beschreibung der M.
atrata gestanden haben, und scheint dies auch noch
daraus hervorzugehen, dass Linné von diesem, ihm
gewiss nicht als afrikanisch mitgetheilten Individuum
die Vaterlandsangabe weggelassen. Endlich spricht
aber dafür auch noch der Umstand, dass Linné in
der Editio XII’ seines Systema Naturae die flügellosen
Mutillen zum ersten Mal als Neutra in Anspruch ge-
nommen, wozu er aber nur dann berechtigt sein
konnte, wenn er wenigstens von einer Mutilla die ge-
flügelten und flügellosen Individuen als zusammenge-
hórig erkannt hatte.
Durch Fabricius (Syst. Entom. p. 396. 123. —
Spec. Ins. etc.), der die geflügelten Mutillen von den
ungeflügelten fast durchgängig gesondert aufführt und
den Linné'schen Namen «atrata» anfänglich auf die
geflügelten Individuen der M. europaea übertrug, ist
der Irrthum verbreitet worden, Linné habe die ver-
schiedenen Formen der Mutillen nicht als geschlecht-
lich verschiedene erkannt, ein Irrthum, dem auch
Burmeister in seiner Einleitung zu den Matillen
Brasiliens beizupflichten scheint, wie denn überhaupt
diese Einleitung nur falsche, oder doch zum Minde-
sten ungenaue Angaben enthält°).
3) Übersicht der brasilianischen Mutillen in den Abbandl. der
Naturf. Gesellsch. zu Halle. 1854. Sitzungsb. p. 19 — 29. — Auch
Separat. Halle, Schmidt, 1854. 4^, p. 12. 5
Von den vielen in der Einleitung vorhandenen ungenauen oder
arira Angaben scheinen einzelne einer besonderen Erörterung
zu bedürfen: , —
(1) ist es nicht abzusehen, wie Burmeister darauf gekona a
=
85
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Was die Berechtigung und Umgränzung der Gat-
tung Mutilla anbetrifft, so habe ich bereits oben er-
wähnt, dass De Geer anfänglich, wo ihm nur einzelne
Hinterleibsbinden sämmtlich ununterbrochen sind (vergl. auch
Illig. Edit. Faun. Etr. II. p. 189. 939
(2) ist es unrichtig, dass Latreille die geflügelten und flügello-
sen Muti
Jahre 1773 bei einzelnen sibirischen Arten ausgeführt worde.
Noch vor Latreille hat auch Christ (Naturg. etc. Hymenopt,
a
nahe steht, dass Nylander (Mutill. etc. 14. 5.), der gleichfalls
beide Geschlechter aus Sibirien dus. keinen Anstan
diese sibirische Art als maura zu beschreiben. Lairoille da-
gegen hat im Gegentheil, abgesehen davon, dass er anfänglich
` die flügellosen Mutillen für Neutra hielt, die verschiedenen Ge-
Schlechter sehr verschiedener Arten zusammengefasst: als M.
europaea nämlich das Weibchen der M. littoralis mit einem
Männchen vmerepeec das dem Mame der M. euro
aea zwar sehr nahe verwandt ist, wegen des einfach schwarzen
Hinterleibs und einzelne anderer Abweichungen aber einer
andern Art anzugehören scheint und in keinem Falle das
Männchen der M. littoralis ist, p eben so hat Latreille als
ua onata «vertice
E.
B
«Mutilles découvertes en France» ausgeführte
treille's war demmach ein sehr Venker und. ist die
spätere Angabe, dass die M. pedemontana das Männchen der
M. maura ist, eben so irrig, wie die Vermuthung, yes die M.
bimaculata das n - M. calva sei (vergl. ‚Late, Gen.
Crust. et Ins. IV. 121
ist es durchaus bett is Latreille die Matillariei-
Gruppe zuerst richtig erkannte und «diese Gruppe unter dem
Namen Heterogyna den übrigen H; ptera aculeata fossoria
bec », indem Latreille's Heterogynen ausser den
Mutillarien auch die Ameisen enthalten, demnach also seh
heterogen PS P hat übrigens schon Klug Über die In-
sektenfamilie Heterogyna ete.) ausführlich erörtert und brauche
ich daher hierauf nicht weiter einzugehen. Ich erwähne hier
nur, dass Klug (l. c) den Namen «Heterogyna» auf diejenigen
Aculeaten beschränkt, deren Weibchen flügellos sind, während
S
*
Scoliiden vereinigt und letztere nur als Gruppen innerhalb sad
so vergrósserten Familie beibehalten hat. Dass aber der Nam
eterogyna» so eine ganz andere Bedeutung erhalten, als bei
Latreille, das versteht sich von selbst, und wäre es daher
n diesen Namen ganz zu unterdräcken, da er mit
ar mit grösserem Recht auch auf die
. p. 97 sys im Jahre 1836
um so eher zu billigen, als
r Art «tepat yuvatxés», die Ar-
den sind, ausserdem aber St.-Fargeau (Hym. III. p. 496.) zu-
erst die udi Scoliiden und les i Caro unter dem Na-
men« t hatt
von Linné zur Gattung Mutilla gestellte Formen be-
kannt geworden, diese Gattung den Ichneumonen au-
wies, und sprach sich auch Schrank (Enum. Ins.
Austr. p. 417.) dahin aus, dass die Gattung Mutilla
keineswegs eine berechtigte sei. De Geer (Mém. III.
p. 591. 8.) erkannte aber spüter sehr wohl, dass die
Linné'sche Gattung Mutilla verschiedenartige Be-
standtheile enthalte, von denen er diejenigen Arten,
auf welche die Linné'sche Characteristik zutrifft, sei-
ner Gattung Sphex zurechnete, die ihm zuerst bekannt
gewordenen dagegen mit vollem Recht bei seinen Ich-
neumonen liess. Eine solche Sonderung der Linné-
schen Mutillen wurde denn auch sehr bald allgemein
angenommen, da gleich nach De Geer, und vielleicht
sogar unabhängig von ihm, auch Fabricius (Syst.
Entomol.) einen Theil der Linné’schen Mutillen mit
den Ichneumonen verband, einen andern dagegen, und
zwar denjenigen, auf welchen Linné's Characteristik
Anwendung findet, als Mutilla aufgeführt, und ist seit
der Zeit der Name Mutilla in dem Fabricius’schen
Sinne gebraucht worden, nur dass man späterhin ein-
zelne nahe verwandte Formen, die man anfänglich
den Mutillen zugerechnet, von denselben generisch
trennte.
Linné's Ansicht, dass die ungeflügelten Mutillen,
ähnlich den ungeflügelten Ameisen, Geschlechtslose
seien, fand auch noch einzelne andere Vertreter. We-
nigstens machte eine solche Angabe auch O. F. Mül-
ler in seinem Zoologiae Danicae Prodromus (p. XXV.),
wührend Pallas, Fabricius, Svederus, Schrank,
Rossi u. A. sich in keiner Weise darüber ausgespro-
chen, was von den geflügelten und ungeflügelten Mu-
tillen zu halten sei. Ganz besonders auffallen. muss es
aber, dass Latreille‘) noch 1792 die Ansicht vertre-
Statt des letzteren Namens móchte ich, in Berücksichtigung
des Um es, dass in dieser Familie such die Männchen hin-
sichtlich ihrer pret Erscheinung sehr different sind, den
Namen « » vorschlagen,
4) Mutilles se en France in den Actes de la Société
d'Hist. nat. de Paris. 1792. T. L p. 5 — 12.
Diese Arbeit ist seit Olivier von keinem Hymenopterologen
berücksichtigt worden, wahrscheinlich deshalb, weil sie Ni
zugänglich war. Die Actes de la Société d'Histoire naturelle de e
ris sind auch in St.-Petersburg, selbst in der grossen
SC enne ich die Latreill e’sche
des
Bibliothek, nicht vorhanden, und k
Arbeit nur in der deutschen eer in Reich’s Magazin
Thierreichs 1793. I. p. 81 — 91 und nach dem Auszuge in Meyer's
Zoologischen Annalen 1794. I. p. 262 — 270. — Auffallend ist es,
dass Latreille selbst seine Arbeit in späterer : Zeit gar nicht be-
rücksichtigte. e
s7
Bulletin de l'Académie Impériale
ten zu können glaubte, dass die ungeflügelten Mutillen
Nentra seien, obgleich es ihm nicht unbekannt war,
dass Andere die geflügelten Mutillen als Männchen,
die flügellosen dagegen als Weibchen in Anspruch ge-
nommen.
So hatte bereits Schaeffer (Icon. Ins. Ratib. Tab.
CLXXV. Fig. IV. V. VI. — copirt 1776 von Sulzer,
Abgek. Gesch. d. Ins. Tab. XXVII. Fig. 234. Fig. 249.)
von der M. europaea ausdrücklich angegeben: « Weib-
gen ohne Flügel» und «Männgen mit Flügeln» und hätte
man, seitdem Christ (Naturg. etc. Hymenopt. p. 143.)
die Lebensweise?) der M. europaea erkannt, gewiss
nicht mehr daran gezweifelt, dass die geflügelten Mu-
tillen Männchen, die flügellosen dagegen Weibchen
sind, wenn es sich nicht zufällig getroffen, dass, in
ühnlicher Weise wie von den Ameisen, weit mehr un-
geflügelte als geflügelte Mutillen aufgefunden worden
würen, so dass man aus der Seltenheit der geflügel-
ten Individuen es erklären zu konnen glaubte, wes-
halb man bei den einzelnen Arten der Mutillen die
geschlechtlich verschiedenen Formen noch nicht beob-
achtet.
Latreille selbst hat übrigens spüterhin seine An-
sicht geändert und es schon 1802 (Hist. nat. III. p.
348.) ganz strict ausgesprochen , dass die ungeflü-
gelten Mutillen Weibchen seien. Nichtsdestoweniger
galt diese Frage aber noch immer nicht als ec
indem noch 1807 Illiger (Edit. Faun. Etr. II.
187. Obs.) und Jurine (Nouv. méthod. de class. ii
Hyménopt. p. 264.) hinsichtlich des Geschlechts der
flügellosen Mutillen im Zweifel waren, und wagte
auch Olivier (Encycl. méth. VIII. p. 49.) noch 1811
kein positives Urtheil abzugeben. Alle kamen aber,
nach Erórterung der Unterschiede zwischen den ge-
flügelten und flügellosen Mutillen, zu dem Resultat,
dass die bekannt gewordenen geflügelten Mutillen
Männchen sind, die flügellosen dagegen Weibchen sein
D) Christ hat es zwar ecce dass die Mutilla europaea in
den Nestern der Hummeln vorkomme, er glaubte aber, ein ganz
besonders Saadaan erlia zwischen den Hummeln
und Mutillen pus zu müssen, wäbrend Drewsen (Stett. en-
tom. Zeit. 1847. p. 210.) ge ekehrt nachwies, dass diese
Mutilla einer der gefährlichsten Parasiten der Hummeln ist. Wahr-
scheinlich ist auch das fabelhafte, besonders freundschaftliche Ver-
hältniss, welches Christ zwischen den Hummeln und Mutillen be-
obachtet und mit den Namen «Damon und Pythias» bezeichnen
wollte, der Grund, weshalb seine Angaben nicht berücksichtigt wur-
den und auf die Erkenntniss des Geschlechts der Mutillen ohne Ein-
fluss blieben.
müssen. Dies wurde denn auch sehr bald durch die
Beobachtung über allen Zweifel erhoben, und da es
ausserdem gelang, die andern Gattungen der Mutilla-
rien (Myrmosa, Methoca und von den aussereuropäi-
schen auch Thynnus) nach beiden Geschlechtern zu
erkennen, so galt schliesslich ganz allgemein die An-
sicht, es sei die Heterogenität der Geschlechter, na-
mentlich das Vorhandensein von Flügeln bei den Männ-
chen und das Fehlen solcher bei den Weibchen, eines
der wesentlichsten Merkmale der Mutillarien-Gruppe.
Auch Burmeister, der von den neueren Schrift-
stellern die Eigenthümlichkeiten der Gattung Mutilla
\ zuletzt besprochen, stellte dię Heterogenität der Ge-
schlechter in den Vordergrund und wies unter Ande-
rem darauf hin, dass in Süd- Amerika, dem an Arten
dieser Heterogynen- Gattung reichsten Welttheil, die
Verschiedenheit der Geschlechter eine ganz besonders
ausgeprägte ist, indem dort keine Species vorkomme,
bei der beide Geschlechter übereinstimmend gefärbt
und gezeichnet wären.
«Diese Thatsache», sagt Burmeister, «ist um so
überraschender, als in allen anderen Welttheilen we-
nigstens eine oder die andere Art vorzukommen pflegt,
bei welcher beide Geschlechter fast oder ganz gleich
gefärbt oder gezeichnet sind. Dahin gehört für Nord-
Amerika z. B. die M. coccinea Fabr., die M. Klugü
Gr. für Mexico, die M. europaea gës für das mitt-
lere Europa, die M. frontalis Klug (fimbriata Kl. SI
und M. sanguinicollis Klug (semistriata Kl. Q.) für
Nord-Afrika, eine unbeschriebene Species von Suma-
matra, die Ich besitze, und eine andere aus Guinea‘).
— Es scheint überhaupt bei den Mutillen sich ähn-
lich zu verhalten, wie bei den Scolien, d. h. gewisse
Arten zeigen eine totale Übereinstimmung beider Ge-
6) Über die letzterwähnten Arten kann ich kein Urtheil abge-
ben, da ich nicht weiss, welche Arten Burmeister im Sinne ge-
habt Vielleicht ist aber die aus Guinea stammende Art die M. Gui-
neensis Fabr., von welcher Gerstaecker (Peters’ Reise nach
Mosamb. Zool. V. Taf. XXXI. Fig. 4. 5.) kürzlich beide Geschlechter
abgebildet. Dagegen zweifle ich sehr daran, dass die M. semist
Kl.,so wie es Burmeister angiebt, das Weibchen der sanguini-
collis Kl. sei (letztere offenbar — der aus Arabien stammenden. ed
bicolor Oliv. Encycl. méth. GA 57. 18.), da die bei M. semis
so eigenthümliche Skulptur des zweiten oberen Abdominalsegments
eine solche Annahme keineswegs begründet erscheinen lässt, aus”
serdem aber auch die Form des Thorax darauf hinweist, dass Klug
nur mit Unrecht die M. semistriata seiner ae nr einge-
reiht. Übrigens ist die Zahl der übereinstimm färbten Arten
weit beträchtlicher, wie aus der nachfolgenden Zë der € ser
päischen Arten ersichtlich ist
SI
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
schlechter in Farbe und Zeichnung, andere dagegen
nur eine beziehungsweise Ähnlichkeit. Während aber
bei den Scolien die Ähnlichkeit im Ganzen grösser
und die Zahl der Arten mit total übereinstimmenden
Geschlechtern beträchtlicher ist als bei den Mutillen,
gehürt bei letzteren die totale äussere Übereinstim-
mung zu den Seltenheiten, und wenn auch alles An-
dere stimmt, so weichen wenigstens die Flugorgane
noch ab, denn die Männchen haben allein und bestän-
dig Flügel, die Weibchen nie».
Diese allgemein geltende Ansicht, dass die Münn-
chen der Mutillen stets geflügelt seien, ist jedenfalls
auch der Grund, dass in den Fällen, wo hinsichtlich
der äusseren Erscheinung den Weibchen conforme
Mutilla-Männchen beobachtet worden, diese nicht als
solche erkannt, sondern für Weibchen gehalten wor-
den sind. Mit Bestimmtheit kann ich einstweilen al-
lerdings nur auf die von Lucas (Explor. de l' Algér. III.
p. 290. 308.) als weiblich beschriebene Mutilla capi-
tata hinweisen, wo ein solches Verkennen des Ge-
schlechts stattgefunden, und kann hier insofern kein
Zweifel an der Richtigkeit meiner Behauptung obwal-
ten, als durch die a. a. O. (Pl. 15. Fig. 13.) mitge-
theilte Abbildung dieser Mutilla capitata das männliche
Geschlecht hinreichend erwiesen wird. Denn die in
der Abbildung deutlich wahrnehmbaren Ocellen und
insbesondere der siebengliedrige Hinterleib sind Merk-
male, welche den Weibchen der Mutillen nicht zu-
Koelich und ist namentlich auf letzteres Merkmal
Gewicht zu legen, da es durch zahlreiche Beobach-
tungen festgestellt zu sein scheint, dass der Hinter-
leib der Aculeaten-Weibchen nie mehr als sechs Seg-
mente hat.
Lucas gedenkt in der Beschreibung allerdings
nicht der Ocellen und der Zahl der Hinterleibseg-
mente, und war ich selbst anfänglich geneigt, die Ab-
bildung als eine durch Schuld des Zeichners fehler-
hafte anzusehen. Allein der Zeichner hat in diesem
Falle richtig beobachtet, und wenn ich auch nicht Ge- | Th
legenheit gehabt, die M. capitata aus eigener An-
schauung kennen zu lernen, 80 gelang es mir doch,
unter den mir-aus Mutil-
len ein Mastichen anfzufnden, das dem von Lucas
wegen einzelner Abweichungen aber als einer ande-
ren Art angehörig zu betrachten ist. `
Bei diesem Münnchen ist der Thorax leider etwas
lädirt, es lassen sich an demselben indessen die ein-
zelnen ihn zusammensetzenden Abtheilungen deutlich
unterscheiden ’). Das Pronotum ist hinten fast wink-
lig ausgerandet und erstreckt sich an den Seiten eben
so weit nach hinten wie bei den geflügelten männli-
chen Mutillen. Das Mesonotum ist verhältnissmäs-
sig klein und es ist an demselben wegen der hindurch-
gegangenen Nadel nicht Alles deutlich zu unterschei-
den. So ist es namentlich nicht zu ermitteln, ob ein
Schildchen vorhanden war, doch dürfte der Umstand,
dass Lucas bei seiner Mutilla capitata ein Schildchen
gleichfalls nicht beobachtet, eher dafür sprechen, dass
ein solches nicht abgesetzt war"). An der Stelle, wo
sich bei der gewóhnlichen Form der Münnchen die
| Flügel ansetzen, ist nur eine unregelmüssige Längs-
leiste vorhanden, über welcher, dicht hinter den Schul-
terecken des Prothorax, eine sehr kleine Tegula ein-
gelenkt ist. Von Flügelstummeln oder Flügelgruben ist
keine Spur zu bemerken. Das sogenannte Postscutellum
ist sowohl vom Meta- als vom Mesonotum deutlich
abgesetzt; es ist schmal und im Ganzen nur schwach
bogig gekrümmt, und hat an den Seiten, entsprechend
der Einlenkungsstelle der Hinterflügel, eine kleine
unregelmässige Erhóhung. An dieser ist indessen
ebenfalls nichts wahrzunehmen, was darauf hinweisen
würde, dass Flügel vorhanden gewesen würen. An
den Seiten ist das Postscutellum gleichfalls durch
deutliche Nühte von den Mesopleuren und dem Me-
tanotum geschieden, und zwar zieht sich die vordere
Naht zum Hinterrande der Mittelhüften hin, die hin-
7) Auch bei dem von Lucas als M. capitata aufgeführten Männ-
chen ist das Metanotum und, der Abbildung zufolge, auch das Pro-
notum deutlich abgesetzt. Ich habe dies bei Erörterung des Ge-
schlechts der Lucas’schen M. capitata deshalb nicht besonders
ee weil bei den Weibchen einzelner Mutillen der
Rücken des Thorax keineswegs aus einem einzigen Stück besteht,
wie man allgemein anzunehmen geneigt ist. So ist z. B. bei den
Metanotum eine
Weibchen von M. europae
M. littoralis ist auch die Gránze
a und ru
flache Querfurche abgesetzt und bei M
des Pronotum angedeutet. Ganz besonders deutlich ist aber der
i den glattäu eiblichen Mutillen
von end
in die ihn zusammensetzenden Abtheilungen geschieden, und tritt
der Metathorax hinsichtlich seiner Grösse can und Meso-
apre orca y ood der
E) der Flügel im Z
Interesse, Grape oe vie sich in dieser Hinsicht di e erwäbn-
ten tes Ahellosen Mutilla-Männchen
Bulletin de l’Académie Impériale "à
tere dagegen zur Basis des Hinterleibs. Das verhält-
nissmässig stark gewölbte, hinten schräg abschüssige
Metanotum ist nur wenig kürzer als der übrige Tho-
rax und an den Seiten (von oben betrachtet) ziemlich
stark gerundet, so dass die grösste Breite in der Mitte
ist. Ein Zurücktreten in der Grüssenentwickelung des
vorderen Theils des Thorax gegen das Metanotum ist
ganz unverkennbar, und hängt dies ohne Zweifel mit
dem Mangel der Flügel zusammen, indem bei dem
Vorhandensein solcher der die Flügel tragende Theil
wenigstens in der Breite den übrigen Abtheilungen des
Thorax gleichkommt. Überhaupt ist der Brustkasten,
ganz abgesehen von einem Vergleich mit dem Thorax
der geflügelten Münnchen, gestreckter als ich ihn
sonst bei einer Mutilla beobachtet. Er ist nämlich
doppelt so lang als an den abgerundeten Vorderecken
breit, von den Vorderecken nach hinten bis zum Post-
scutellum allmählich verengt, hinter dem Postscutel-
lum dagegen stark gerundet, so dass an der Stelle, wo
das Postscutellum mit dem Metanotum zusammentrifft,
eine deutliche Einschnürung zur Bildung kommt.
Im Zusammenhange mit dieser Abweichung im
Bau des Thorax zeigen auch die andern Körpertheile
im Allgemeinen weit mehr Übereinstimmung mit den
weiblichen Mutillen als mit den geflügelten männli-
chen, doch weichen von ersteren die Fühler durch
bedeutendere Länge und die Beine durch schlanke-
ren Bau in merklicher Weise ab, während anderer-
seits gerade die Beine dadurch, dass an der Aussen-
kante der hinteren Schienen zwischen den feineren
Haaren einzelne Stachelborsten vorhanden sind, eine
unverkennbare Annäherung an die Weibchen zeigen.
Wie es bei den ungeflügelten Individuen gewöhn-
lich der Fall zu sein pflegt, so ist auch bei den vor-
liegenden Männchen der Kopf verhältnissmässig gross,
nämlich 1”, mal so breit wie lang und desgleichen 17,
mal so breit als der Thorax an den Vorderecken;
nach hinten ist er kaum verengt und gehen die Seiten
in den mitten nur sehr flach ausgebuchteten Hinter-
rand unter einem sanft gekrümmten Bogen über. Die
Oberfläche ist nur mässig gewölbt, grob und ziemlich
dicht punktirt und eben so wie der übrige Körper
mit langen abstehenden, zum Theil weisslichen, zum
Theil bräunlichen Haaren besetzt. Die Nebenaugen
stehen in einem entschieden stumpfwinkligen Dreieck ;
sie sind, namentlich im Vergleich mit den Nebenau-
gen der geflügelten Männchen, sehr klein, indessen
deutlich wahrnehmbar. Von dem vorderen Nebenauge
zieht sich eine flache Längsrinne zu den F ühlern hin,
Die Netzaugen sind etwas länger als breit, deutlich
facettirt, am Innenrande ohne Spur einer Ausrandung.
Das Kopfschild ist am Vorderrande in der Mitte breit
und sehr flach ausgerandet, an der Einlenkungsstelle
der Mandibeln dagegen schwach gerundet und befindet
sich an der Stelle, wo der gerundete Theil an den aus-
gerandeten stösst, ein kleiner Einschnitt, so dass die
Seitenecke der mittleren Ausbucht etwas zahnartig
vorspringt. Die Fühlergruben sind nur wenig breiter
als lang, kurz elliptisch und oben von. einer feinen
bogig gekrümmten Kiellinie begrünzt; dadurch dass
diese Gruben nach unten auf das Kopfschild über-
greifen, erscheint der übrig bleibende dreieckige
Theil des letzteren erhóht und ist der obere schür-
fer markirte Winkel dieses Dreiecks gegen die Ein-
lenkungsstele der Fühler gerichtet. Die Fühler sind
dreizehngliedrig, so lang als Kopf und Halsschild zu-
sammen; der Schaft ist stark gekrümmt und etwas
lànger als die drei folgenden Glieder zusammen; das
zweite Fühlerglied ist klein, das dritte doppelt so
lang als dieses, wohl dreimal so lang als breit und
vollkommen cylindrisch; die folgenden Glieder stim-
men mit dem dritten in der Form und nahezu auch
in der Länge überein, wührend das letzte, dreizehnte
Fühlerglied gegen das Ende allmählich, indessen
deutlich zugespitzt ist. Die Mandibeln sind in auffal-
lender Weise comprimirt, von der Basis an Breite
allmählich zunehmend, so dass vor der scharfen Spitze
ein breiter undeutlich zweizähniger stufiger Vorsprung
zur Bildung kommt. hei
Über den Thorax ist das Wesentlichste bereits
oben erwähnt. Pro- und Mesonotum sind mit undeut-
lichen und flachen Punkten versehen, wührend auf
dem Metanotum die Punkte grob und die sie schei-
denden Zwischenräume sehr schmal sind, wodurch
das Metanotum mehr oder weniger deutlich genetzt
erscheint. Der abschüssige Theil ist indessen glatter
und undeutlicher skulpirt und befindet sich in der
To desselben eine feine, kielfórmig erhôhte Längs-
inie.
Der Hinterleib ist an seiner breitesten Stelle, am
zweiten Segment, etwas breiter als der Kopf und er-
scheint derselbe nicht sonderlich gestreckt. Die Skul-
$
in
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
91
ptur der Oberseite ist wegen der zum Theil dicht an-
liegenden Behaarung nicht deutlich wahrnehmbar,
alle Segmente sind indessen ziemlich grob punktirt
und zwar die vorderen, namentlich das zweite Seg-
ment, gröber als die hinteren. Das erste Segment
hat an der Basis jederseits ein kleines scharfes, nach
aussen gerichtetes Zähnchen und schliesst sich hinten
innig an das zweite Segment an. Die Valvula supra-
analis ist gegen die abgestutzt gerundete, etwas auf-
gebogene Spitze sehr stark verengt, nur wenig ge-
wölbt, sehr grob punktirt und in der Mitte der gan-
zen Länge nach von einer flachen, glatten, schwach
wulstförmigen Erhöhung durchzogen, Von den unte-
ren Abdominalsegmenten ist das erste eben und glatt,
das zweite gewölbt und mit groben, dicht gedrängten
Punkten besetzt, die übrigen sind beträchtlich feiner
punktirt. Die Valvula infraanalis ist wie die vorher-
gehenden Segmente, indessen dichter punktirt; sie ist
flach, sehr gestreckt, fast doppelt so lang wie breit,
nach hinten allmählich verengt, an der Spitze abge-
stutzt und an den geradlinigen Seiten fein gerandet.
Was die Färbung anbetrifft, so stimmt dieselbe
im Wesentlichen mit derjenigen von dem Weibchen
der M. calva überein. Es sind nämlich Thorax, Kopf-
schild, Mandibeln und Basis des Hinterleibs röthlich
gelb, während die übrigen Körpertheile schwärzlich
sind. Das zweite Fühlerglied ist gleichfalls röthlich
gelb und ebenso ist der Schaft an der Spitze lichter.
An den Beinen sind die Schenkelringe, die Füsse und
sämmtliche Gelenke röthlich und tritt diese lichtere
Färbung auch auf der Unterseite des Hinterleibs, na-
mentlich gegen die Spitze hin, deutlich hervor. Auch
auf dem Scheitel ist ein undeutlicher röthlicher Schein
wahrnehmbar. Endlich ist noch anzuführen, dass der
Endrand aller Abdominalsegmenté" mit langen, etwas
abstehenden, dicht gedrängten, weisslichen Haaren
besetzt ist, wodurch Querbinden gebildet werden, von
denen die am Hinterrande des zweiten Segments be-
findliche in der Mitte winklig nach vorn vortritt.
Wegen der fast vollständigen Übereinstimmung
in der Färbung und Skulptur, und namentlich wegen
der im Wesentlichen gleichen Conformation des Kopf- | 3.
schildes und des ersten Abdominalsegments, glaube
ich eine von der unteren Wolga stammende weibliche
Mutilla mit aller Bestimmtheit für das Weibchen die-
ses beschriebenen flügellosen Münnchens in Anspruch
nehmen zu müssen. Ich halte diese Mutilla für dieje-
nige Art, von welcher Costa (Faun. Nap. Mutill. p.
33. 18. Tav. XXV. Fig. 4.) das Weibchen unter dem
Namen M. vulnericeps bekannt gemacht hat, wenig-
stens treffen die wesentlichsten von Costa über seine
M. vulnericeps gemachten Angaben auf dieses Weib-
chen zu’).
Costa, auf dessen Abbildung und Beschreibung
ich verweise, äussert über dieses Weibchen nicht mit
Unrecht: «Guardata superficialmente questa Mutilla
potrebbe confondersi con la calva; anzi, se si tenesse
presente la descrizione di tale specie datane da Le-
peletier e da qualche altro autore, la si direbbe per-
fettamente quella. Però ne differisce organicamente
per la mancanza de’ due uncinetti laterali del primo
anello addominale, de’ quali la M. calva è fornita, e
che assai chiaramente vengono indicati dall’ autore
dell’ articolo Mutilla dell’ Enciclopedia Metodica».
Das Verdienst, die eigenthümlichen, bei M. calva
vorhandenen , hakenförmig gekrümmten Abdominal-
zähne zuerst richtig erkannt zu haben, welches auch
Wesmaël (Fouiss. de Belg. p. 19. 6.) Olivier zu-
schreibt, gebührt übrigens Latreille, der fast zwan-
zig Jahre vor Olivier auf dieselben hingewiesen. Oli-
vier hätte vielleicht auch auf die Form und Grösse die-
ser Zähne kein besonderes Gewicht gelegt, wenn es nicht
vorher von Latreille bereits geschehen wäre, da Oli-
vier es als möglich hinstellt, dass die M. cornuta und
calwa, trotz der Abweichungen in der Stellung und
Grösse ihrer Abdominalzähnchen, dennoch nur Varie-
täten ein und derselben Art seien, vermuthlich wohl
nur deshalb, weil die Färbung bei beiden eine sehr
RE ist. Es dürfte auch in der That
schwer fallen, den Beweis zu liefern, dass die Mutilla
calva F abr., Coqueb., St.-Farg. dieselbe Artist, wel-
che Latreille, rn Ton den usé Cos ME
3
9) Costa hebt gewiss nur mit Unrecht hervor, den bei We
M. vulnericeps die am Hinterrande des zweiten ts befindliche
Haarbinde «non prolungata angolarmente in avanti» sei, da bei
Costa’s Exemplaren dieser Theil der Haarbinde gewiss nur abge-
rieben war, was übrigens nach Wesmaël (Fouiss. de Belg. p. 19.)
auch bei Exemplaren der M. calva etwas Gewöhnliches zu
sein scheint. Ausserdem hätte aber Costa es betonen müssen müssen, dass
bei der e Haarbinden des Hinterleibs hin-
sichtlich ihrer Bildung einander gleich. sind, während bei M. calva
die drei vorderen von den übrigen ib D, wie es aus der fol-
genden Anmerkung ersichtlich ist.
95
Bulletin de l’Académie Impériale
calva aufführen, und nicht vielleicht eine andere, nur in
der Färbung mit letzterer übereinstimmende, und würde
die Feststellung der geographischen Verbreitung jeder
einzelnen dieser übereinstimmend gefärbten Arten zur
Aufklärung der Synonymie vielleicht in wesentlicher
Weise beitragen. Gegenwärtig ist es aber geradezu
unmöglich, zu entscheiden, welche Citate bei jeder
von diesen Arten aufzuführen sind, zumal da die Fär-
bung bei den hier in Betracht kommenden Arten
nahezu gleichmässig variirt ^), und würden selbst hin-
Bei dem einzigen mir vorliegenden Weibchen der M. calva
"t. ye Wesm.) ist der Hinterrand aller Hinterleibssegmente
nahezu gleichmässig mit langen abstehenden weisslichen Haaren
spärlich gefranzt. Bei der M. calva St.-F arg. (Hym. III. p. 607. 19.
dagegen sind der Beschreibung nach, eben so wie bei M. distincta
St. - Farg. und M. erythrocephala St. - Farg., nur die drei ersten
Segmente am Hinterrande mit einer weisslichen Haarbinde verse-
hen, während bei M. ciliata St.- Farg. und M. continua St.-Farg.
der Endrand der fünf ersten Abdominalsegmente als weiss behaart
wor Se wird, so also, wie es bei dem mir vorliegenden Exemplare
. Ob darauf irgend welches Gewicht gelegt werden darf,
ist een zu sagen, doch könnten diese verschiedenen Angaben
durch die ausführlichen Mittheilungen mit einander in uns ge-
bracht werden, welche Sichel (Ann. de Ja soc. ent. de r. 1852.
565.) über die leichte Verletzbarkeit der Hinterleibabinded gemacht.
Denn nach Sichel sind am Hinterrande der drei ersten Abdominal-
n erwähnten abstehenden weisslichen Haaren,
leicht abreibbare goldig glänzende Haarschuppen vorhanden, wél-
che bei frischen Exemplaren in ganz besonders ausgeprägter Weise
hervortreten. Bei solchen Exemplaren stechen aher die vorderen
`
r den oben genannten, von St.- Aks feces AN
Mulillen, welche aller Wahrscheinlichkeit nach sämmtlich zu a
calva gehóren, führe ich noch folgende hier zu berücksichtigende an
agrestis St.-Farg. (Hym. III. 605. 15. 9.) aus Süd-Europa, bei
welcher Segment 1. 2. u. 3 bandirt sind.
M, petiolaris F abr. (Syst. Piez. 437. 39. 9 .) aus Deutschland, mit
bandirtem zweitem und drittem Segment, ist, eben so wie alle
vorhergehenden, auch nur eine Varietät von M.c calva, da «sta-
M. ciliatae» und ausserdem auch der Fund-
ort darauf hinzudeuten scheinen.
M. glabrata F abr. (Syst. Entom. 398. 19. — etc.) aus dem Orient,
bei welcher alle Segmente bandirt sind, ist vielleicht das
Männchen der M. vulnericeps « antennarum primo articulo rufo
et thorace subcompresso!»
M. fraterna Baer (Bull. de Mosc. 1848. I. 230, 5. Tab. II. Fig. 2. 9.)
aus Süd-Rus it bandirtem m zweitem, drittem und viertem
Segment, vielleicht gleichfalls ein schlechtes Exemplar der
M. vulnericeps.
M. iberica Kolenati (Melet. entom. V. 122. 2. 9.) aus Transcau-
casien, ist wegen «segmentis apice albo-fasciatis, fasciis longe
albo-pilosis » dét zweifelhaft. Endlich wäre hier noch zu be-
rücksichtige
ER Murs Encycl. méth. VIII. 60. 33. 9 .) aus Per-
sien und Arabie
uM
sichtlich der M. ciliata Fabr. noch jetzt Zweifel er-
hoben werden können, wenn Schaum (Entom. Jah-
resb. für 1851. p. 23.) von letzterer nicht die Angabe
gemacht hätte, dass sie mit dem von Wesmaël 0 c,
p. 14. 5.) als Mutilla incompleta beschriebenen Weib-
chen identisch sei. Schaum hat aber seine Angabe,
obgleich er es nicht ausdrücklich erwühnt, wahr-
scheinlich nach Untersuchung Fabricius'scher Ori-
ginalexemplare gemacht, an denen die entomologische
sammlung des Berliner Museums so reich ist, und ist
daher Schaum's Angabe einstweilen als wohl begrün-
det zu betrachten. Es liegt übrigens nicht in meiner
Absicht, an diesem Orte die Synonymie der letzter-
wühnten Art zu erürtern, da dies gegenwürtig auch
von keinem besonderem Interesse ist, indem der Name
«calva» als der von Villers und Latreille ge-
brauchte, in jedem Falle die Prioritát für sich hat,
demnach also nicht, wie es Wesmaël angiebt, durch
den Fabricius'schen «ciliata» zu ersetzen ist. Hier
bemerke ich nur noch, dass das Weibchen der M.
calva, ausser den von Costa angegebenen Unterschie-
den, auch noch durch die Bildung des Kopfschildes
ail der Mandibeln von dem Weibchen der M. vulne-
nericeps abweicht, indem ersteres am Vorderrande
mit zwei rundlichen Hóckern versehen ist, welche
einander etwas näher stehen als die Fühlerhócker
letztere dagegen gegen die Spitze weit mehr erwei-
tert und vor derselben mit zwei dicht neben (nicht
über) einander stehenden Zühnen versehen sind, von
denen der innere grösser und schärfer ist und "tiber
den andern etwas vorragt. Im Übrigen verweise ich
auf die von Costa gemachten Angaben und die in
mehrfacher Hinsicht werthvollen und interessanten
Mittheilungen von Wesmaël (Fouiss. de Belg. p. 14.
9 sq.) und Siche (Ann. de la soc. entom. de Fr.
1832. p. 561 sq.). uii
Die wesentlichen Merkmale der M. eric
denn dies ist einstweilen der berechtigte Name — las-
sen sich, wie mir scheint, in folgender Weise am kür-
zesten zusammenfassen: i
Nigra, capite. subcubico thorace latiore, -— inte-
gris, thorace, clypeo, mandibulis , abdominis basi et ple-
rumque Se verticis rufis, pas nigro-piceo-rufo-
que-variis, abdominis segmentis margine apicali dense
Sieg fascia secunda, medio (semper£) angula-
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
tim dilatata, segmento primo campanulato, postice non
constricto subtusque plano et laevi, ad basim utrinque
denticulo laterali parvo oblique antrorsum verso armato.
Clypei emarginatura mediana incisura parva terminata
loboque laterali parum rotundato.
Q Robusta. Mandibulis margine interiore medio mu-
ticis ante apicem dentibus duobus, subaproximatis, acu-
tis, superiore fortiore. Antennis duodecim-articulatis,
rufis, articulo tertio quarto plus quam duplo longiore.
Thorace latitudine sesqui longiore, subquadrangulari,
lateribus medio subsinuato. Abdomine sexsegmentato,
valvulis analibus triangularibus, subconvexis, punctatis,
superiore medio linea longitudinali laevigata, subele-
vata. 6°, Mm.
Mutilla vulnericeps Cost. Faun. Nap. Mutill. p.
33. 18. Tav. XXV. Fig. 4. 9. (1860).
d Gracilis. Mandibulis compressis, ad apicem dila-
tatis, margine extérno mutico, interno ante apicem acu-
tum dente subrectangulo valido e duobus coalito. Ocellis
minutissimis. Antennis tredecim-articulatis, gracilibus,
longitudine capitis thoracisque aequalibus, nigris, scapo
ad apicem articuloque secundo rufis, articulo tertio quarto
sequentibusque subaequali. Thorace elongato, latitudine
duplo longiore, ad basim metathoracis valde constricto.
Pro- Meso- et Metathorace postscutelloque discretis, scu-
tello nullo(?) tegulaque minutissima loco alarum. Ab-
domine septemsegmentato, fasciis transversis obsoletiori-
bus, valvula supraanali fortiter punctata, medio toro
longitudinali laevi parum elevato ; valvula infraanali an-
gusta, subtriangulari, apice truncata. 6 Mm.
Habitat in Calabria (sec. Costa) et in Rossia me-
ridionali.
Was die von Lucas beschriebene Mutilla capitata
anbetrifft, welche ich aus den oben namhaft gemach-
ten Gründen gleichfalls für ein flügelloses Männchen
halte, so kenne ich ein solches, wie ich es bereits er-
wähnt, nicht aus eigener Anschauung. Dagegen lie-
gen mir mehrere von meinem verstorbenen Bruder
Carl und Herrn 8. M. v. Solsky in Algier gesam-
melte Weibchen vor, welche ich für Weibchen der
M. capitata zu halten geneigt bin, da die von Lucas
über die Färbung des Hinterleibs gemachten Anga-
ben auf diese Weibchen zutreffen. Auch stimmen sie,
mit Ausnahme geringfügiger Differenzen, so sehr itit
dem Weibchen der M. vulnericeps überein, dass die
Tome VII, .
bung der M. ciliata gar rabais i
kann.
Vermuthung nahe liegt, dass die Männchen dieser Mu-
tillen in einem ühnlichen verwandtschaftlichen Ver-
hältniss stehen werden, und habe ich ja schon oben
erwühnt, dass nach der Beschreibung und Abbildung
zu urtheilen, die M. capitata Luc. mit dem Männchen
der M. ege ausserordentlich übereinstimmen
müsse. Eine kurze Charakteristik beider Geschlech-
ter dieser M. capitata dürfte daher folgendermaassen
lauten:
Mutillae vulnericipiti simillima, sed antennis in utro-
que sexu rufis et abdomine segmentis solum tribus pri-
mis ultimoque margine apicali dense albido-pilosis, fa-
scia secunda medio angulatim antrorsum producta.
Q Clypei emarginatura mediana plerumque. utrinque
angulo lato prominulo terminata. Mandibulis margine
interiore ante* apicem. acutum plus minusve. distincte
tridentatis, dentibus fere pari intervallo altero ab altero
separatis, superiore mediano. 7 — 9'/, Mm.
Mutilla parvicollis Cost. Faun. Nap. Mutill. p. 35.
19. Tav. XXV. Fig. 5. 9. (1860).
3 (sec. Luc.) Mandibulis margine interiore ante api-
cem dente subacuto parvo munitis (et praeterea sine du-
bio dentatis). Abdominis fasciis transversis plerumque
obsoletis. 6'/, — 7 Mm.
Mutilla capitata Luc. Explor. de l'Algér. III. 290.
308. pl. 15. fig. 13. d; non Q ut immerito putat `
cl. Lucas. (1849). à
Habitat in Algeria et (sec. Costa) etiam in Calabria.
Die Mutilla capitata, zu welcher ich nicht ohne
Grund die M. per Cost. als Weibchen hinzuge-
zogen zu haben glaube"), würe demnach bereits die
zweite bekannt gewordene in beiden Geschlechtern
flügellose Art der Gattung Mutilla. Mit der Zeit wird
man ähnliche Männchen wahrscheinlich auth noch bei
einzelnen anderen Arten nachweisen. Wenigstens dürfte
die von Savigny in der Description de l'Egypte (By-
ménopt. pl. 19. fig. 5. 19.) abgebildete Mutilla, wel-
che in den wesentlichsten Merkmalen und auch in
der Fürbung fast vollständig mit dem Weibchen der
11) Von der M. parvicollis Cos ee len
Jahres ber. für 1861. p. 151): "ciat wohl M. ciliata Fabr. 9. » Diese
Angabe dürfte nach dem, was rie cw udi
da abr i-
mitgetheilt, unrichtig sein, zumal z | rnt Ta
7
Bulletin de l’Académie Impériale
M. capitata übereinstimmt, mit einiger Wahrschein-
lichkeit als eine solche in beiden Geschlechtern flü-
gellose Art zu betrachten sein. Denn als Unterschiede
der letzteren von M. capitata lassen sich, ausser ge-
ringfügigen Differenzen, die ungleiche, aus dichter ge-
drängten feineren und dazwischen gestreuten gröbe-
ren Puncten bestehende Sculptur des Hinterleibs und
die in einen kegelförmigen, spitzen Fortsatz verzoge-
nen Fühlerhöcker geltend machen, ausserdem aber
noch die Mandibeln, welche am Innenrande nur mit
zwei Zähnen versehen sind, von denen der eine in
der Mitte, der andere zwischen diesem und der Spitze
steht "^.
Wahrscheinlich ist auch eine gleichfalls hierher ge-
hórige Art die mir vóllig unbekannte M. erythroce-
phala ®) Latr. (Mutill. Franc. n. 3.), welche Olivier
12) Ich habe mich nachtráglich, nachdem ich alle mir vorlie-
genden Exemplare der M. capitata in Bezug auf die Mundtheile
genau untersucht, davon überzeugt, dass diese Mutilla, trotz der
angegebenen Unterschiede, doch nur eine Varietät der M. capitata
ist, da die ungleiche Punktirung des Hinterleibs, auf welche ich an-
fánglich grósseres Gewicht gelegt, auch bei der M. capitata vor-
handen ist, hier aber nur deshalb weniger in die Augen springt,
weil die dichter gedrängten feineren Punkte in der Grósse den
spärlicher vorhandenen gróberen nur weni hgeben, und ist
diese Skulptur überhaupt nur dann deutlich sichtbar, wenn die Be-
haarung abgerieben wird. Auch ist der Unterschied in der Anzahl
der Záhne an den Mandibeln kein durchgreifender, da der dritte
` (vor der Spitze befindliche) Zahn bei einigen Weibchen der M. ca-
pitata fast vollständig geschwunden ist und bei einem offenbar zu
M. capitata gehórigen Exemplar sind sámmtliche Zähne nur noch
durch sehr flache Ausbuchtungen angedeutet. Dieser Befund ist
um so mehr zu beachten, als Costa (Faun. Nap. Mutill. p. 23.) bei
M. larbara (var. brutia Petagna) gleichfalls eine Variabilität hin-
sichtlich der Zähne an den Mandibeln beobachtet.
Di
ie Differenz in der Form der Fühlerhócker, welche dadurch |
hervorgerufen wird, dass sich die Fühlerleiste auf letztere fortsetzt
und als horizontales kegelförmiges Spitzchen vorragt, ist zwar eine
sehr auffällige, ich bin aber fest davon überzeugt, dass es doch nur
eine individuelle Abweichung ist, wie
sichtlich der Fühlerhöcker auch bei M. bipunctata Latr. vorzu-
durch bestärkt, dass bei M. capitata ausser den Mandibeln auch das
Kopfschild veräuderlich ist, welches bei dem einen erwähnten Weib-
chen, bei welchem die Zähne an den Mandibeln fast vollständig ge-
schwunden sind, in der Mitte des Vorderrandes gerade abgeschnit-
ten erscheint und weder von der Ausbucht, noch von den Seiten-
zähnen auch nur eine Spur wahrnehmen lässt.
Um nichts unerwähnt zu lassen, bemerke ich, dass das erwähnte,
durch die Bildung der Fühlerhöcker abweichende Weibchen, hin- |
sichtlich der Punktirung von Kopf und Thorax genau mit den klei-
nen Weibchen der M. capitata übereinstimmt, während die Form
des letzteren insofern etwas anders erscheint, als die Seiten deut-
lich ausgeschweift sind. Dieses Exemplar stammt aus Algier, eben
so wie die Mehrzahl der andern.
13) Ich zweifle nicht daran, dass diese M. erythrocephala Latr,
identisch ist mit M. Spinolae Luc. Die Latreille'sche Art muss
gewiss nur mit Unrecht als identisch mit seiner M.
cornuta ansieht, da Latreille angiebt, dass das zweite
Abdominalsegment in der Mitte mit einem runden
weissen Haarfleck versehen ist, von welchem Olivier
bei seiner M. cornuta nichts erwähnt. Eine ähnlich ge-
zeichnete Mutilla beschreibt auch St.-Fargeau als M.
excoriata (Hym. III. 615. 32.), und glaube ich, dass letz-
tere sogar das Mánnchen der M. erythrocephala ist,
da St.-Fargeau unter Anderem der Färbung des «dos
du mésothorax, écusson et partie voisine du métatho-
rax» besonders gedenkt, so dass es nicht ganz unwahr-
scheinlich ist, dass bei der von St.- Fargeau als eg-
coriata beschriebenen Mutilla am Thoraxrücken, in
ähnlicher Weise wie bei den oben besprochenen flü-
gellosen Männchen, die einzelnen Abtheilungen deut-
lich von einander geschieden waren. So wird es sich
vielleicht nach und nach herausstellen, dass diese
scheinbar exceptionellen Formen keineswegs so ver-
einzelt sind, wie es gegenwärtig erscheint.
Es fragt sich nun: kënnen diese in beiden Ge-
schlechtern flügellosen Mutillen auch bei der Gattung
Mutilla verbleiben, oder sind sie nicht vielmehr von
derselben abzutrennen und als Repräsentanten einer
besonderen Gattung zu betrachten? Y
Die Erörterung einer solchen Frage ist schon des-
halb nothwendig, weil bereits der Versuch gemacht
worden, einzelne durch besondere Eigenthümlichkei-
ten sehr auffallende Arten von den Mutillen gene-
risch zu trennen, und konnte eine Erörterung dieser
Frage um so weniger bei Seite gesetzt werden, als ver-
schiedene Beobachter sogar an den inneren Mundthei-
len der Mutillen deutlich ausgesprochene Unterschiede
wahrgenommen haben wollten '*). So giebt namentlich
Jurine an, dass die Lippentaster der M. europaea,
abweichend von den andern Mutillen, nur dreigliedrig
übrigens den Namen «erythrocephala» in jedem Falle behalten, da
die Latreille'sche M. erythrocephala ein Jahr vor der Fabricius:
schen M. erythrocephala publicirt worden, welche letztere übrigens
nach Sichel nur eine Varietät der M. calva ist. Me yer (Zool.
Annal. I. p. 265.) proponirt daher ganz mit Unrecht für die La-
treille'sche Art den Namen «M. Latreillei». - d
ben. Eben so unterliegt es keinem Zweifel, dass Lucas (Explor.
de l'Algér. III. Hyménopt. pl. 16, fig. 8.) nur in Folge einer unge-
schickten Präparation dazu veranlasst worden ist, die Kiefertaster
bei M. barbara (maculosa Oliv.) als fünfgliedrig anzugeben.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
seien. Es wäre daher die Feststellung einer solchen
Abweichung, welche an sich allein zwar noch keine
KUnzuii
immerhin von Interesse gewesen, indem sie zur Grup-
pirung der Arten einigen Anhalt hätte geben können,
aus welchem Grunde ich denn auch die hauptsäch-
lichsten Formen der mir vorliegenden Mutillen in
Bezug auf die Mundtheile einer Untersuchung unter-
warf. Bei M. maura, rufipes, europaea, calva, vulne-
riceps und capitata fand ich indessen in der Zahl der
Tasterglieder eine vollständige Übereinstimmung, in-
dem ich die Kiefertaster sechsgliedrig, die Lippen-
taster dagegen viergliedrig angetroffen, so dass dem-
nach dieses Resultat auf die Gruppirung der Mutillen
von gar keinem Einfluss ist.
Was die von Mutilla generisch abgesonderten For-
men anbetrifft, so ist die von Latreille in Vorschlag
gebrachte Gattung Psammotherma gewiss nicht berech-
tigt, da die bis jetzt nur im männlichen Geschlecht
bekannte, durch die gekümmten Fühler ganz beson-
ders ausgezeichnete Mutilla flabellata Fabr., welche
für sich allein diese Gattung bilden soll, hinsichtlich
ihrer anderweitigen Merkmale zwischen den Männ-
chen der M. barbara und littoralis die Mitte hält und
15) Eine sehr auffüllige Differenz in der Anzahl der Tasterglie-
der kommt z. B. unter den Arten der Braconiden- Gattung Periitus
r, wo sogar einander tüuschend ähnliche Arten in dieser Hin-
sicht Unterschiede zeigen (vergl. Reinhardt in der Berlin. entom.
Zeit. 1862. 324. 5 sq.). Unter den Aculeaten kann ich auf die Gat-
tung Crabro hinweisen (von Dahlbom's Crabroniden alle Gattun-
gen mit an der Spitze abgestutzt gespaltenen Mandibeln, deren Ein-
lenkungsstelle fast senkrecht auf den unteren Rand der Augen ge-
richtet ist; vergl. Bull. de l'Acad. des sc. de St.-Pétersb. VII. (1864).
453. und Mélang. biolog. IV. 640.). Denn hier hat die Mehrzahl,
wie gewöhnlich unter den Grabwespen, die Kiefertaster sechsglie-
drig und die Lippentaster viergliedrig, während die Rhopalum-Grup-
pe, wie es Curtis (Brit. Entom. XTV. pl. 656.) bereits richtig beob-
achtet, fünfgliedrige Kiefertaster und dreigliedrige Lippentaster be-
sitzt und der so oft verkannte Cr. (Tracheliodes m.) quinquenotatus
Jur.an den Kiefertastern sechs, an den Lippentastern dagegen
nur drei Glieder zeigt, so dass der Unterschied zwischen der
Zahl der Lippen- und Kiefertaster-Glieder drei beträgt! Dieser Cr.
quinquenotatus, der vielleicht zu der von Dahlbom so äusserst
mangelhaft characterisirten Brachyı ruppe gehört, weicht von
e en Crabronen auch durch das in eigenthümlicher Weise
‚besetzte Pronotum und die zum Kopfschilde nicht convergirenden
Augen ab, und werde ich denselben in Kurzem noch ausführlich be-
sprechen. Jedenfalls dürfte nach und nach so mancher der in neue-
rer Zeit vorherrschend nur nach Differenzen in der Zahl der
Tasterglieder aufgestellten Hymenopteren-Gattungen die Berechti-
gung abgesprochen werden müssen. de
P
nicht einmal als Repräsentant einer d Gruppe
zu betrachten ist. Auch hat Klug (Über die Insek-
tenfamilie Heterogyna etc. p. 3.) diese Gattung bereits
verworfen und zwar aus dem Grunde, weil die Cha-
ractere derselben einzig und allein dem männlichen
Geschlecht entnommen sind.
Derselbe Vorwurf trifft auch die von Costa (Faun.
Nap. Mutillid. p. 3 sq.) in neuester Zeit unternommene
Zerfällung der Gattung Mutilla, welche Zerfällung
überdies nach Merkmalen unternommen ist, die be-
reits früher von Olivier, Illiger und Spinola beob-
achtet worden, ohne von diesen anders als hóchstens
zu einer Gruppirung der nach und nach recht zahl-
reich gewordenen Mutillen benutzt zu werden. Schon
dieser Umstand hätte zur Vorsicht anrathen sollen,
zumal da Costa nur drei Arten von den übrigen Mu-
tillen generisch gesondert, von denen er nur eine ein-
zige in beiden Geschlechtern erkannt hatte. Zwei die-
ser Arten, megacephala Cost. und hastata Cost., bil-
den die Gattung Rudia, welche letztere durch die
beim Männchen unausgerandeten Augen, die kleinen
Tegulae und die Anwesenheit von nur zwei Cubital-
zellen in den Vorderflügeln characterisirt wird, dem-
nach also genau der von Wesmaél (Fouiss. de Belg.
p. 6.) Myrmilla genannten Gruppe entspricht, nur dass
Wesmaél seine Myrmilla-Gruppe weit präciser cha-
racterisirt. Es ist auch die Rudia hastata Cost. nichts
Anderes als das Männchen der M. calva Vill. (in-
completa Wesm.), welche letztere Costa unter den Ar-
ten seiner Gattung Mutilla aufführt.
Eben so wenig Berechtigung wie die Gattung Ru-
dia hat auch die Gattung Ronisia Cost., gegründet
auf R. torosa Cost., eine angeblich neue Art. Denn
die Gattung Ronisia unterscheidet sich von Mutilla
sens. strict. nur dadurch, dass beim Männchen der
Thorax «quasi quadrato» und die erste Cubitalzelle
der Vorderflügel nicht länger ist als die zweite, und
müsste demnach die M. europaea ihren Platz in die-
ser Gattung finden, zumal da Costa in der Artbe-
schreibung seiner R. torosa die Mandibeln innen drei-
zähnig und aussen ganzrandig angiebt. Costa's Gat-
tung Mutilla endlich, characterisirt durch den beim
Männchen «eifórmigen» Thorax, die ausgerandeten
Augen, die grossen Tegulae und die Anwesenheit von
drei Cubitalzellen in den Vorderflügeln, von denen
die erste lànger ist als die zweite, enisprichi im We-
Bulletin de l'Académie Impériale
104
sentlichen der Mutilla-Gruppe Wesmaël’s, nur dass
Costa auch noch die Männchen derjenigen Arten hin-
zugezogen, deren Mandibeln am Aussenrande keinen
Einschnitt haben. Costa hat übrigens die von ihm
selbst angegebenen Merkmale nicht consequent be-
rücksichtigt, indem er das Männchen der M. maura
(= argenteo-fasciata Cost.) zu seiner Gattung Mutilla
gestellt, welches wegen der nichtausgerandeten Augen
und der kleinen Flügelschuppen hätte ausgeschieden
werden müssen, wie denn überhaupt zahlreiche Ar-
ten, deren Männchen Costa nicht erkannt hatte, nur
mit Unrecht in seiner Gattung Mutilla verblieben.
Dieser total missglückte Versuch Costa's, die Gat-
tung Mutilla in mehrere aufzulösen, kann als Beweis
dafür dienen, dass Spinola (Ann. de la soc. entom.
de Fr. 1841. p. 98 Note et 1843. p. 133.), der auf die
zum Theil bereits von Olivier (Encycl. méth. VIII.
p. 49.) bemerkten Verschiedenheiten des Geäders der
geflügelten Mutillen ganz besonders hingewiesen und
es hervorgehoben, dass innerhalb anderer Hymeno-
pteren-Familien nach derartigen Abweichungen im Flü-
gelgeäder gewiss Gattungen aufgestellt worden würen,
mit Recht eine generische Sonderung für unzulässig
hielt und zwar vorherrschend aus dem Grunde, weil
er bei den Weibchen der Mutillen vergebens nach
Merkmalen sich umgesehen, welche mit den so auf-
fälligen Differenzen im Flügelgeäder der Männchen
Hand in Hand gehen. Es sind auch in der That die
zwischen den Weibchen wahrnehmbaren Verschieden-
heiten so wenig ausgesprochen, dass auf diese Diffe-
renzen hin eine generische Trennung unmöglich vor-
genommen werden kann. Namentlich muss ich dies
in Betreff der besprochenen, in beiden Geschlechtern
ungeflügelten Mutillen betonen, da die Weibchen der-
selben, insbesondere das Weibchen der M. vulneri-
ceps so sehr mit dem Weibchen der M. calva Vill.
übereinstimmt, dass eine Verwechselung beider, wie
es auch Costa angiebt, gewiss vielfach vorgekommen.
Auch ist hierbei zu berücksichtigen, dass Sichel
(Ann. de la soc. entom. de Fr.1852. p.565.) die zur Zeit
noch wenig beachtete Mittheilung machte, dass unter
einer grósseren Anzahl von ihm gesammelter Münnchen
` der M. calva (incompleta) zwei Exemplare durch den
Mangel der Flügel sein besonderes Interesse in An-
spruch nahmen. Sichel äussert zwar in Bezug auf
diese Beobachtung: «Peut-on conclure de là que les
mâles des Mutilles perdent les ailes aprés l'accouple-
ment, comme cela a lieu pour les femelles des fourmis
aprés la fécondation», es ist indessen diese Vermuthung
nicht begründet, da es aus Drewsen's (Stett. entom:
Zeit. 1847. p. 210.) Angaben über die M. europaea
nicht ersichtlich, dass ein derartiges Abwerfen der Flü-
gel eine den Männchen der Mutillen allgemein zu-
kommende Eigenthümlichkeit ist und, bei dem bald
nach der Begattung erfolgenden Tode, jedenfalls auch
etwas sehr Überflüssiges würe. Wohl aber verdient
diese Sichel'sche Beobachtung nach Entdeckung von
Mutillen, die in beiden Geschlechtern flügellos sind,
alle Beachtung, indem so die M. calva gewissermaassen
die geflügelten Männchen mit den ungeflügelten ver-
bindet, wie sie denn auch in anderer Hinsicht zwischen
diesen beiden, in ihrem Äusseren so wesentlich ver-
schiedenen Foruen der mánnlichen Mutillen die Mitte
hált.
Man braucht übrigens zu dieser Eigenthümlichkeit
des Männchens der M. calva keine Zuflucht zu neh-
men, um die Vereinigung dieser flügellosen Mutillen
mit den im männlichen Geschlecht geflügelten zu recht-
fertigen, da das Männchen der von Costa als Rudia
megacephala beschriebenen Art in mehr als einer Hin-
sicht mit den flügellosen Mutilla - Münnchen Über-
einstimmung zeigt, indem, der Abbildung (l. c. Tav.
XXIII. Fig. 5.) nach, der quere Kopf gleichfalls deut-
lich breiter ist als der Thorax, welcher letztere ins-
besondere dadurch ausgezeichnet ist, dass die Länge
desselben weit betrüchtlicher ist als die Breite und
der Metathorax namentlich sehr gestreckt erscheint
und in der Breite dem Mesothorax nichts nachgiebt.
Volle Anwendung auf die Mutillen findet demnach
der von Klug (Über die Insektenfamilie Heterogyna
etc. p. 8.) über die gleichfalls zu den Heterogynen ge-
hórige Gattung Thynnus gemachte Ausspruch: «dass
während die Männchen in der Form sich zum Theil
so wenig ähnlich sind, dass die Frage entstehen kónnte,
ob Unterabtheilungen zu ihrer Trennung wohl hinrei-
chend sein möchten, an den Weibchen so viel deren
bekannt sind, Merkmale, die zu andern als Artunter-
schieden bene werden könnten, nicht aufzufinden
sind, — so dass eine Trennung in Gattungen, die mit
ube Rücksicht auf die männlichen Individuen
sich wohl möchte rechtfertigen lassen, durchaus un-
zulässig erscheinen muss.» 7
3
105
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
In der Gattung Thynnus sind zwar, so weit die Un-
tersuchungen bis jetzt reichen, nur geflügelte Männ-
chen vorhanden, dies ist indessen von keiner sehr
wesentlichen Bedeutung, geng es nicht schwer fällt,
noch d Gatt anzu-
führen, wo ein ähnliches Schwanken in dem Mangel
und dem Vorhandensein der Flügel stattfindet. Denn
abgesehen von den mir noch zu wenig bekannten Pro-
etotrypiden, wo sogar bei einer und derselben Art ein
Schwanken in dieser Hinsicht beobachtet worden "
ist die Ichneumonidengattung Pezomachus, deren Ar-
ten anfänglich sogar den Mutillen zugezählt wurden,
als eine solche anzuführen, wo die Männchen der eiu-
zelnen Arten in einer ebenfalls sehr auffallenden Weise
von einander abweichen, nur dass hier die ungeflügel-
ten Männchen die gewöhnlichen sind, die geflügelten
dagegen noch so wenig bekannt zu sein scheinen, dass
ihre Existenz von einzelnen Hymenoptorologen mit
aller Bestimmtheit negirt wird. Letzteres thut Foer-
ster, der Monograph dieser schwierigen Gruppe.
Es hat indessen schon De Geer (Mém. II. p. 908.)
die oben bereits angeführte Mittheilung gemacht, dass
er von einer von ihm für Mutilla acarorum Linn. ge-
haltenen Art, zugleich mit flügellosen Weibchen, auch
ein geflügeltes Männchen erzogen, welches wahr-
scheinlich zu diesen Weibchen gehört, und sind auch
anderweitig derartige geflügelte Männchen als Máun-
chen der Pezomachus in Anspruch genommen. So
spricht sich namentlich Ratzeburg (Ichneumon. d.
Forstins. III. p. 17, 144, 150 und 157.) mit aller
Entschiedenheit für die Existenz solcher geflügelter
Pezomachus-Männchen aus und glaubt sogar berechtigt
zu sein, diesen durch den ungefelderten Metathorax
den Pezomachus in wesentlicher Weise sich nähern-
den Hemiteles den Namen Hemimachus beilegen zu
dürfen, während als Hemiteles nur diejenigen Arten zu-
sammengefasst werden, bei welchen beide Geschlech-
ter geflügelt sind und der Metathorax in mehr oder
weniger deutlicher Weise gefeldert erscheint. Foer-
ster scheint solche, von Ratzeburg Hemimachus ge-
nannte, geflügelte Männchen nicht gekannt zu haben,
da er als Beleg für seine Ansicht, dass unter den He-
miteles die Männchen der Pezomachus nicht vorhan-
—
16) z. B. Proctotrupes egenen Latr. (cf. Thoms. Övers. Vet.
Acad. Förhandl. 1857. 414. 2.), Calliceras bispinosa Thoms. (1. c.
1858. 304. 12.) u. a.
den sein können, gerade die abweichende Skulptur
des Metathorax besonders hervorhebt,
Es hat übrigens die von Ratzeburg besonders be-
tonte Angabe, dass der Hemiteles gufocinctus Grav.
das Männchen des Pezomachus instabilis Foerst. sei,
keine beweisende Kraft und erscheint namentlich des-
halb wenig wahrscheinlich, weil erstens Foerster un-
ter dem Namen Pezomachus indagator ein ungeflügel-
tes Männchen beschrieben, welches er mit einiger
‚| Bestimmtheit als Männchen des P. instabilis bezeich-
net; zweitens aber, weil ich selbst, zugleich mit eini-
gen Weibchen des P. instabilis, zwei ungeflügelte
männliche Pezomachus in Würzburg gefangen, welche
mit dem P. indagator Foerst., bis auf geringe Farben-
verschiedenheiten, genau übereinstimmen , und wel-
che ich mit aller Entschiedenheit als Mánnchen des
| P. instabilis in Anspruch nehme. Den Hemiteles rufo-
cinctus Grav. kenne ich leider nicht, und kónnten die
von Ratzeburg über das Münnchen des P. instabilis
mit aller Bestimmtheit gemachten Angaben mit der von
Foerster und mir vertretenen Ansicht nur durch die
Annahme in Einklang gebracht werden, dass die Männ-
chen der Pezomachus, in ähnlicher Weise wie es für
einzelne Proctotrypiden bereits festgestellt erscheint,
bald mit, bald aber auch ohne Flügel zur Entwicke-
lung kommen, was indessen erst durch die Beobach-
tung zu erweisen ist. Jedenfalls ist aber Ratzeburg's
Ansicht über die «Pezomacho- Hemiteles- Angelegen-
heit» als eine wohlberechtigte anzusehen, zumal da
in neuester Zeit auch Smith (Entomolog. Annual for
1861. p. 40.) das Mànnchen des P. fasciatus, welches
bereits Ratzeburg (l. c. III. p. 157. 26.) als geflü-
gelt angegeben, zu gleicher Zeit mit den flügellosen
Weibchen erzogen, während andrerseits Smith gerade
den P. instabilis als eine der wenigen ihm bekannt ge-
wordenen Arten anführt, bei welchen beide Geschlech-
ter flügellos sind. Aus Allem geht so hervor, dass die
den Flügeln entnommenen Charactere, wenn sie nicht
mit andern Merkmalen Hand in Hand gehen, von sehr
zweifelhaftem Werthe sind, und gilt dies insbesondere
von denjenigen Formen, wo nur das eine Geschlecht
solche en. hinsichtlich der Fingel zeigt.
Wenn ich es schlieddich ER eine Übersicht
der europäischen Mutillen nach ihrer natürlichen Ver-
wandtschaft zu geben, so muss ich zuvörderst darauf
107
Bulletin de l'Académie Impériale
108
besonders aufmerksam machen, dass mir im Ganzen
genommen nur sehr wenige Arten zum Vergleich vor-
liegen, aus welchem Grunde denn auch die nachfol-
gende Übersicht in wesentlicher Weise wird modifi-
eirt werden müssen. Aus dieser Übersicht — und dies
ist der hauptsächlichste Zweck derselben — wird in-
dessen so viel ersichtlich sein, dass kein einziges der
bisher zur Gruppirung der Mutillen in Vorschlag ge-
brachten Merkmale ganz constant mit einem anderen
zusammenfällt, indem z. B. die Augen bei den Männ-
chen derjenigen Arten, deren erstes Hinterleibsseg-
ment dem folgenden in der Breite nahezu gleichkommt,
keineswegs, wieKlug esim Allgemeinen angiebt, innen
stets mit einer Ausrandung versehen sind, und eben so
wenig haben die Arten, deren Männchen ganzrandige
Augen besitzen, wie es Burmeister herhorhebt, im-
mer eine «sehr glatte, wie polirt glänzende» Augen-
oberfläche. Ich zweifle überhaupt daran, dass in Eu-
ropa solche Mutillen vorkommen, deren Augen nicht
deutlich facettirt wären, es sei denn, dass dies bei der
in Corsica einheimischen M. Chiesi Spinol. (Ann. de
la Soc. entom. de Fr. 1838. p. 457. 7. Q.) stattfände,
welche von den übrigen europäischen Arten dadurch
abweicht, dass das zweite Abdominalsegment mit zwei
weissen, elfenbeinartigen, glatten, von der Behaarung
unabhängigen Flecken geziert ist, und in dieser Hin-
sicht mit den meisten glattäugigen südamerikanischen
Arten übereinstimmt, nur dass bei diesen die Fürbung
dieser glatten Flecke bestündig eine andere zu sein
scheint.
Auf eine Besprechung des Werthes jedes einzelnen
zur Gruppirung in Vorschlag gebrachten Merkmals
nüher einzugehen, würde hier indessen zu weit füh-
ren, da ich in einem solchen Falle zum Wenigsten
die Arbeiten derjenigen, welche sich um die Erkennt-
niss der wesentlichen specifischen Merkmale der Mu-
tillen ganz besonders verdient gemacht haben, einer
ausführlichen Besprechung unterwerfen müsste. Hier
beschrünke ich mich nur auf einzelne Bemerkungen, die
als Commentar zu der nachfolgenden Zusammenstel-
lung der europäischen Mutillen unerlässlich scheinen,
Ich habe nämlich in der nachfolgenden Übersicht:
alle bekannt gewordenen europäischen Mutillen zu
gruppiren versucht, und zwar die mir zugànglichen
Arten, nachdem ich sie selbst genau geprüft, wührend
ich die mir unbekannten denjenigen mir vorliegenden
Arten beigesellt, welchen sie den Beschreibungen nach
am nächsten zu stehen scheinen. Schon aus diesem
Grunde dürfte nach und nach so manche Veränderung
mit dieser Übersicht vorgenommen werden müssen,
ganz abgesehen davon, dass von den meisten Mutillen
gewóhnlich nur das eine Geschlecht bekannt gewor-
den, oder es ist doch wenigstens das Zusammengehó-
ren der gesondert beschriebenen Männchen und Weib-
chen erst durch spätere Nachforschungen festzustellen.
Ein zweiter Übelstand, und zwar nicht der gering-
ste, ist ferner der, dass es in vielen Füllen sehr schwer
ist, nach den Beschreibungen allein über die specifi-
sche Berechtigung oder Nichtberechtigung einer Art
ein sicheres Urtheil abzugeben. Denn wenn auch al-
les in einer Beschreibung Erwühnte auf die eine oder
die andere Art zutrifft, so ist es doch noch fraglich,
ob eine Reduction sich rechtfertigen lässt, indem es
ja móglich ist, dass nicht alles W tliche erwähnt
worden. Ich glaube indessen, dass durch das Auffüh-
ren solcher ungenügend characterisirter Arten bei
denjenigen allgemeiner bekannten, auf welche die Be-
schreibungen ohne Zwang zu beziehen sind, das Er-
kennen der ersteren wesentlich erleichtert werden
dürfte, und dies veranlasste mich denn auch vorherr-
schend dazu, diejenigen Mutillen zusammen zu fassen,
deren Beschreibungen in gar keiner oder doch nur in
unwesentlicher Weise von einander abweichen.
Als unwesentliche Merkmale betrachte ich zunächst
Abweichungen im Bau der Mandibeln, welche in nichts
Anderem bestehen, als in einem Unterschiede in der
Zahl der Zähne an denselben. Denn wie Costa (Faun.
Nap. Mutill. p. 23.) es bereits bei M. barbara (var.
brutia) hervorgehoben, sind die Zähne bald mehr, bald
weniger deutlich ausgeprägt, wie ich mich davon bei
dem Weibchen der M. capitata überzeugt (vergl. An-
merkung 12.), wo die Variabilität derselben eine so
auffällige ist, dass man leicht in Versuchung geführt
werden könnte, Abweichungen im Bau der Mandibeln
als völlig unwesentliche ganz bei Seite zu setzen. Die
Mandibeln variiren aber, so viel ich mich durch ei-
gene Untersuchungen habe überzeugen kónnen, nur
in der Zahl und der mehr weniger kräftigen Ausbil-
dung der Zühne am Innenrande derselben, wührend
der allgemeine Bau bei einer und derselben Art immer
derselbe zu sein scheint, so dass die Mandibeln nicht
nur für die Unterscheidung der einzelnen Arten, s0n-
des Sciences de Saint-Petersbourg.
dern auch für die Gruppirung verwandt werden kön-
nen.
Hinsichtlich der Feststellung der Synonymie ist übri-
gens eine derartige Variabilität in Betreff der Bezah-
nung der Mandibeln kein besonders grosser Übelstand,
da in den meisten Fällen über die Mandibeln, mit Aus-
nahme ihrer Färbung, gar keine Angaben gemacht
worden sind, und gilt dasselbe auch von den oft auf-
fälligen Variationen im Bau des Kopfschildes der weib-
lichen Mutillen. Dagegen kann die Variabilität der
Flügelhöcker bei Exemplaren einer und derselben Art
wohl Veranlassung gegeben haben, Zusammengehöri-
ges zu trennen, und glaube ich in der That, dass sol-
ches unter Anderm bei der mir unbekannten M. bi-
punctata Latr. vorgekommen, wie es fernere Unter-
suchungen ohne Zweifel feststellen werden.
Diese Variabilitat in Betreff der Mandibeln und
Fühlerhócker, wenigstens so weit sie bis jetzt festge-
stellt erscheint, bezieht sich nur auf die weiblichen
Mutillen. Unwesentliche Variationen der männlichen
Mutillen bestehen in Differenzen im Flügelgeäder, und
zwar in einem Unterschiede in der Form und Zahl
der Discoidal- und Cubitalzellen, wie dergleichen Ab-
weichungen auch unter den Arten anderer Hymeno-
pteren-Gattungen mehrfach beobachtet worden sind.
Auf die Unbeständigkeit der äusseren Discoidalquer-
ader bei M. calva hat bereits Sichel (Ann. de la soc.
entom. de Fr. 1852. p. 567.) aufmerksam gemacht, und
habe ich mich selbst von der Unbeständigkeit dersel-
ben bei M. europaea überzeugt. Für die Unbeständig-
keit der Cubitalzellen kann ich als Beispiel das Männ-
chen der M. maura anführen, wo diese Variabilität
nicht einmal eine Seltenheit zu sein scheint und darin
besteht, dass die mittlere Cubitalquerader bald voll-
stándig, bald aber auch nur zum Theil fehlt, und nicht
einmal correspondirend auf beiden Flügeln. Bei dem
Männchen, welches ich zu M. regalis Fabr. s. elegans
Klug ziehe, ist von der zweiten Discoidalquerader
keine Spur vorhanden; von dem Winkel der gekrümm-
ten zweiten Cubitalquerader entspringt eine kurze
Längsader und die dritte Cubitalquerader erreicht die
Discoidalader nicht, so dass die dritte Cubitalzelle an
ihrem äusseren unteren Winkel offen ist. Nichtsdesto-
weniger glaube ich, dass dieses Männchen mit M.
Macquarti St. - Farg. identisch ist, bei welcher die
dritte Cubitalzelle geschlossen und die zweite Discoi-
dalquerader vorhanden ist, eben so wie bei dem von
Savigny (Descr. de l’Egypt. Hymenopt. pl. 19. fig.
15.) abgebildeten Männchen, welches wahrscheinlich
hierher gehört. Desgleichen sind bei M. italica Fabr.
nach Olivier (Encycl. métb. VIII. p. 49.) nur zwei ge-
schlossene Cubitalzellen vorhanden, wührend St.-Far-
geau die dritte als «fort rétréci vers la troisième discoi-
dale» beschreibt. Endlich ist bei einem Männchen
der M. sibirica Christ, wo normalerweise nur zwei
geschlossene Cubitalzellen vorhanden sind, auf dem
linken Flügel die äussere, wegen des Mangels der
zweiten Cubitalquerader, ganz offen, so dass überhaupt
nur eine geschlossene Cubitalzelle vorhanden ist, wie
bei der von Spinola (Ann. de la soc. entom. de Fr.
1841. p. 98.) erwähnten M. scutellaris aus Brasilien.
Es ist daher nach solchen Merkmalen eine Sonderung
der Mutillen ganz unzulässig, wie es, abgesehen von
diesen individuellen Abweichungen, schon daraus her-
vorgeht, dass die Männchen der mit einander zunächst
verwandten, von mir zur Ur Abtheilung gestellten
Arten unter Anderm gerade in der Zahl der Cubital-
und Discoidalzellen auffällige, wenn gleich nicht im-
mer constante Unterschiede zeigen.
~ Als fernere unwesentliche Merkmale sind Verschie-
denheiten in der Färbung des Integuments anzuführen,
die nicht mit andern Merkmalen Hand in Hand ge-
hen. Bei den männlichen Mutillen sind diese indivi-
duellen Verschiedenheiten erst in neuerer Zeit mit
'Sicherheit als solche erkannt worden, wührend man
früher derartigen Abweichungen specifische Bedeutung
zuschrieb. So hat sich Giraud (Verhandl. der zool.
bot. Gesellsch. zu Wien 1858. 447.) davon überzeugt,
dass bei den Münnchen der M. halensis (montana) und
M. europaea die rothe Fárbung am Thorax bisweilen
gänzlich schwinde und ist auf solche Männchen der
M. europaea die M. obscura Nyland. zu beziehen.
Smith (Cat. of Brit. Fossor. 42. 3. var. ß.) dagegen
überzeugte sich davon, dass von M. rufipes auch ein-
farbig schwarze Münnchen vorkommen "), und schei-
17) Es ist anffallend, dass Smith, trotzdem dass er die Identi-
tät dieser schwarzen Männchen mit M. rufipes (ephippium) erkannt,
dennoch die M. calva für England anführt und als Männchen dieser
letzteren die erwähnte schwarze Varietät der M. rufipes beschreibt.
TY PA PUTA ig g 1 FL asl g g einzig und allein nach
Shuckard's Vorgange, wie denn überhaupt Smith's Catalogue of
British Fossorial Hymenoptera etc. im Wesentlichen nur eine neue,
unkritische und darum scht mangelhafte Auflage von Shuckard's
Essay on the indigenous Fossorial Hymenoptera ist, mit Nichtbe-
111
Bulletin de l’Académie Impériale
nen diese hier um St.-Petersburg und eben so auch
in Finnland die normalen zu sein, während sie ander-
weitig,in Danzig und England z. B., zugleich mit den
gewöhnlichen Männchen vorkommen. Auch bei andern
männlichen Mutillen, z. B. bei M. maura, ist die Fär-
bung des Thorax etwas veränderlich.
Desgleichen ist bei denjenigen Männchen, wo auch
am Hinterleibe die rothe Färbung auftritt, eine Varia-
bilität in der Ausbreitung dieser Färbung zu bemer-
ken, indem meist nur ein Theil, bisweilen aber auch
das ganze zweite Segment roth gefärbt ist, in welchem
Falle denn auch auf dem ersten und dritten Segmente
die rothe Färbung aufzutreten pflegt. So bei dem Männ-
chen der M. littoralis (= salentina Cost., grisescens
St.-F arg., affinis Luc.), während bei dem Männchen
der M. viduata (— pedemontana Fabr.) gerade umge-
kehrt die rothe Färbung des zweiten Segments von
der schwarzen bisweilen vollständig verdrängt wird,
wie solches bei dem von Ahrens als M. togata beschrie-
benen Männchen der Fall ist. Differenzen endlich in
der blasseren oder dunkleren Färbung der Flügel sind
so gewöhnlich auch anderweitig unter den Hymeno-
pteren, dass hier nicht näher darauf eingegangen zu
werden braucht.
Wie für die Männchen, so ist es auch für die Weib-
chen durch mannigfache Beobachtungen festgestellt,
dass die Färbung des Integuments bei den Individuen
einer und derselben Art sehr veränderlich ist, und zwar
scheint dies bei den einzelnen Arten gleichfalls in ei-
ner nahezu übereinstimmenden Weise stattzufinden.
Für M. calva haben bereits Olivier (Encycl. méih,
VII. p. 64. 56.), Wesmaël und Sichel (l. c.) es fest-
gestellt, dass die rothe Färbung des Kopfes bei den
verschiedenen Individuen in mehr weniger grosser Aus-
dehnung auftritt, häufig nur als Fleck auf dem Schei-
tel erscheint und bisweilen sogar von der schwarzen
Färbung vollständig verdrängt wird. Auch Klug (Symb.
phys. Mutill. n. 1.) beobachtete von M. continua Fabr.
rothköpfige und schwarzköpfige Exemplare, und wird
eine ähnliche Variabilität in der Färbung auch bei den
der M. calva so nahe verwandten M. cornuta, M. ery-
throcephala Latr. (Spinolae Luc.), vulnericeps u. s. w.
ohne Zweifel stattfinden. Im Zusammenhange damit
rücksichtigung der in neuerer Zeit gemachten Fortschritte. Nament-
lich ist die Synonymie ganz ohne Sinn und Verstand zusammenge-
tragen.
sind denn auch gewöhnlich die andern Kórpertheile, na-
mentlich die Fühler und Beine, in der Färbung verän-
derlich, und zwar bei denjenigen Individuen, wo die lich-
tere Färbung am Kopfe prädominirt, lichter, während
im entgegengesetzten Falle die dunklere Fürbung Über-
hand zu nehmen pflegt. Auch von M. rufipes kommen in
hiesiger Gegend Exemplare vor, bei welchen die Stirn
mit einem rothen Fleck bezeichnet ist, der mehr oder
weniger ausgebreitet erscheint, und ist ein grosses, von
mir bei Würzburg gefundenes Weibchen dieser Art
dadurch von Interesse, dass die Beine einfarbig roth
sind und am Hinterleibe die róthliche Fárbung so sehr
Überhand nimmt, dass, ausser dem ersten Segment
und einem grossen runden Fleck an den Seiten des
zweiten, die ganze Unterseite zum grössten Theil roth
gefärbt erscheint. Es ist daher kein Grund vorhanden,
solche Mutillen als selbständige Arten anzuerkennen,
welche durch nichts Anderes als durch die Färbung
des Integuments einzelner Kórpertheile von einander
abweichen. Deshalb betrachte ich die M. bipunctata")
St.-Farg. (non Latr.) als rothkópfige Varietät der M.
halensis, und eben so die M. erythrocephala Luc. als
Varietät der M. aucta St.-Farg. u.s. w.
Eigenthümlich ist ferner, dass die helle Bebe
die, wie-es allgemein festgestellt ist, im Tone der Fär-
| bung etwas variirt, indem sie bald mehr silbern, bald
mehr golden erscheint, dann namentlich auffállige Un-
terschiede zeigt, wenn der Grund, auf welchem sie
sich befindet, in der Färbung variabel ist. So ist z. B.
das Weibchen der M. viduata (coronata) gewöhnlich
mit einem grossen Stirnfleck versehen, der aus dicht
stehenden weissen Haaren gebildet wird, denen am
Rande nur ab und zu einzelne wenige róthliche Här-
chen beigemengt sind. Bei andern, wie es scheint,
selten vorkommenden Weibchen, wo die Stirn, unab-
hángig von der Behaarung, mit einem mittleren rothen
Fleck bezeichnet ist, nimmt auch diese Behaarung die
röthliche Färbung an, und ist namentlich das von
Perris (Ann. de l'Acad. de Lyon. 1847. p. 486.) in
Copula mit der M. pedemontana beobachtete Weibchen,
welches kerzin für unbekannt hielt, ein solches Nem
18) Von der M. unicincta Luc., deren specifische Berechtigung
keinem pe unterliegt, äussert Smith (Cat. of the Hymen
Ins. III. 16. 106.): «This is probably a mere variety of the M. bi-
punctata = Ss -Fargeau, which has the head sometimes red, altho
usually it'is black». Auch bei einigen exotischen Arten ist die -
ng von Kopf und Thorax nach Smith veränderlich. ài
des Sciences de Saint-Pétershourg.
114
chen, dessen Stirnfleck aus róthlichen Haaren gebil-
det war, wie dergleichen Weibchen in neuerer Zeit
auch Sichel (Ann. de la soc. entom. de Fr. 1860. p.
753.) unter vielen ihm zugekommenen sicilianischen
Weibchen der M. coronata beobachtet. Genau dasselbe,
was hier über die Behaarung des Kopfes geäussert,
gilt auch vom Thorax. Wenn an diesem die schwarze
Färbung die gewóhnliche rothe ersetzt, so werden die
niederliegenden goldig rothen Härchen silbern und ste-
hen auch meist gedrüngter bei einander, so dass solche
Exemplare, die auch durch bedeutendere Grósse ab-
stechen, ganz den Eindruck selbstündigerArten machen.
Etwas ganz Ähnliches findet auch*bei der M. bar-
bara statt. Bei der in Süd- Europa gewóhnlichen Form
(= brutia Petagna, hungarica Fabr.) ist die Stirn
mit einem grossen rostrothen Fleck bezeichnet und
auf diesem mit niederliegenden goldig rothen Haaren
versehen. Bei den schwarzkópfigen Exemplaren ist
dagegen diese Behaarung der Stirn silbern, was denn
auch Costa (Faun. Nap. Mutill. p. 31. 16. Tav. XXV.
fig. 2.) dazu veranlasst, solche Exemplare als selbstün-
. dige Art unter dem Namen «decoratifrons» zu beschrei-
ben, obgleich Sichel (l. c.) bereits ganz richtig diese
Exemplare als Varietät der M. hungarica in Anspruch
genommen hatte. Ist endlich der Thorax dunkel oder
schwarz, so ist auch die niederliegende, sonst rothe
Behaarung des Rückens silbern, wie dies bei der M.
maculosa Oliv. beobachtet wird").
Diese zuletzt besprochene Mutille ist übrigens auch
noch dadurch von Interesse, dass bald mehr, bald aber
auch weniger Segmente des Hinterleibs mit weissen
Haarflecken versehen sind. Nach Savigny und St.-
Fargeau sind nämlich bei M. maculosa die fünf ersten
Segmente mit je drei weissen Haarflecken am Hinter-
rande bezeichnet, nach Olivier dagegen nur die drei
oder vier ersten Segmente, und scheint eine solche
Variabilität nur bei solchen Exemplaren stattzufinden,
deren Thorax schwarz ist. Bei den andern Weibchen
dagegen sind nur die drei ersten Segmente mit je drei :
19) Von den in Spanien gesammelten Exemplaren der M. bar-
bara Linn. äusserte Spinola (Ann. de la soc. entom. de Fr. 1843.
130.): «La couleur du corselet n'est pas constante; elle passe du
uge au brun et au noir. Cette dernière variété femelle ne différe
pas d'un exemplaire d'Oran, que M. St.- Fargeau m'a donné sous
le nom de M. maculosa Oliv.» — Schon früher hatte Spinola (Ins.
Lig. I. 156. 2.) von den in Ligurien gesammelten Exemplaren ange-
geben: «Variat interdum punctis tertii segmenti in fasciam connatis.»
Tome V
weissen Haarflecken bezeichnet, von denen die auf dem
dritten Segment befindlichen bei den beiden zuerst
erwähnten Varietäten (brutia und decoratifrons) zu ei-
ner Querbinde mit einander vereinigt sind, und zwar
scheint letzteres bei denjenigen Exemplaren, deren
Kopf mit einem rostrothen Fleck bezeichnet ist, immer
stattzufinden. Ganz àhnlich scheint sich auch die M.
marocana Oliv. zu verhalten, und ist namentlich die
M. rubricollis Luc. (Explor. de l'Algér. III. p. 297.
324.) eine Varietät der M. marocana mit zum Theil mit
einanderverschmolzenen Flecken des dritten Segments.
Eine solche Veränderlichkeit hinsichtlich der Fär-
bung und Behaarung darf daher bei einer Prüfung der
specifischen Berechtigung so mancher beschriebener
Mutillen nicht ausser Acht gelassen werden, zumal da
solche individuelle Abweichungen gar nicht einmal
zu den Seltenheiten gehóren. So ist z. B. die Quer-
binde bei M. tunensis Fabr. nach Olivier (l. c. p. 62.
38.) «quelquefois sinuée antérieurement», und hat
Pallas (Reis. II. 730. 87.) auf ähnliche Abweichungen
hin die M. albeola von seiner M. bicolor geschieden.
Bei der M. elegans Kl. scheinen an der Querbinde
derartige Ausbuchtungen in einem noch hóheren Grade
vorzukommen, so dass die Querbinde jederseits unter-
brochen sein kann, und ist nach einem solchen Exem-
plare offenbar die M. regalis Fabr. aufgestellt”). Auf
der andern Seite kónnen sich dagegen einzelne Haar-
flecke, die gewóhnlich geschieden sind, zu einer Quer-
binde vereinigen, wie solches bei einzelnen, zur Gruppe
der M. arenaria gehórigen Arten vorkommt, wie denn
überhaupt die Grösse solcher Haarflecke sehr verän-
derlich ist. Derartige Abweichungen kónnen freilich
auch durch zufällige Umstünde veranlasst werden, in-
dem die oft nur spärlich vorhandene lichtere Behaa-
rung durch allmähliche Abnutzung verloren gehen
kann, wie solches Sichel bei Besprechung der M.
calva bereits hervorgehoben (vergl. Anmerkung 10).
musei servatur.» ;
115
Bulletin de l’Académie Impériale
Es kann natürlich nicht meine Absicht sein, diese bei
den Mutillen so besonders auffällige Veränderlichkeit
bis ins Einzelne zu verfolgen und schliesse ich daher
diese Mittheilungen über die Variabilität der Mutillen
mit einem Ausspruch Spinola’s (Ann. de la soc. en-
tom. 1841. p. 92.), der, wenn auch nicht ganz rich-
tig, immerhin als theilweise Bestátigung des oben Er-
órterten und namentlich als Ergebniss langjähriger
Beobachtung volle Berücksichtigung verdient:
«Chaque famille, chaque genre méme a sa logique.
Ainsi dans les Hétérogynes où des mâles ailés doivent
s’associer à des femelles aptères, il faut qu'ils sachent
les chercher et qu'ils puissent les trouver. Or, de
tous leurs sens, il n'y a que celui de la vue qui
puisse leur montrer sur le terrain ce qu'ils cherchent,
pendant qu'ils volent à une certaine hauteur. Mais ce
sens, évidemment nécessaire, deviendrait inutile, si
le dos de la Mutille femelle, la seule partie de son
corps qui soit alors visible, n'offrait aucun caractère
constant, en un mot, si la disposition de ses taches
ou de ses bandes était variable ou arbitraire. En effet,
à la suite de nombreuses observations sur des femelles
de différentes localités, et surtout sur les Mutilles de
Italie, j'ai reconnu souvent de variations dans les
teintes des couleurs; j'ai vu le blanc et l'argenté passer
au jaune ou à la couleur d'or, le rouge devenir paille
ou orangé, le noir s'éclaircir, et passer au brun, au
rouge et méme au testacé. Mais je n'ai jamais remar-
qué le moindre changement dans les distributions des
couleurs différentes qui contrastent entre elles, et qui
dessinent certaines figures bien déterminées.
«Cette observation, qui vient à l'appui d'une in-
duction assez bien raisonnée, justifiera la conclusion
suivante que je propose comme une loi générale. Dans
les Mutilles femelles, le dessin du dos est in-
variable, hors le cas de monstruosité. Cette loi
ne s'étend pas aux máles. Le dessin de leur dos res-
semble sans doute à celui de leurs femelles, parce qu'il
conserve les traits de l'empreinte spécifique; mais ces
traits de ressemblance peuvent étre sujets à des mo-
difications accidentelles, parce qu'ils ne sont plus les
signaux naturels d'une reconnaissance nécessaire.»
Ich gehe nun auf die Gruppirung der beschrie-
benen?) europäischen Mutillen über.
21) Was die aufgezählten Arten anbetrifft, so habe ich die mir
Schon oben habe ich erwähnt, dass bei sämmtlichen
in Europa vorkommenden Arten die Augen deutlich
facettirt zu sein scheinen. Es lässt sich daher für die
Gruppirung der europáischen Mutillen das von der
Beschaffenheit der Augenoberfläche hergenommene,
von Burmeister, wie mir scheint, mit Recht in den
Vordergrund gestellte Merkmal nicht verwerthen. Ich
zerfälle daher nach Klug's Vorgange die europäischen
Mutillen, je nach der Bildung des ersten Abdominal-
segments, zunächst in zwei Abtheilungen:
I. Abtheilung.
Das erste Abdominalsegment ist am Hinterrande so
breit oder doch nur wenig schmäler als das zweite
und ist von diesem hóchstens durch eine flache, un-
bestimmte Einschnürung abgesetzt. Die Weibchen der
hierher gehörigen europäischen Arten haben einen
subquadrangulären Thorax; die Männchen sind unge-
flügelt oder mit vollständig entwickelten Flügeln ver-
sehen, die je nach den Arten Verschiedenheiten zei-
gen. Bei allen ist aber an den Oberflügeln nur das
letzte Viertel zellenlos, das Stigma gross, nicht ge-
schlossen, indem in der Mitte ein dem Subcostalraum
ühnlicher durchsichtiger Raum vorhanden ist; die Ra-
unbekannten mit einem * bezeichnet. Desgleichen habe ich Anga-
ben über den Fundort, mit äusserst wenigen Ausnahmen, nur dann
berücksichtigt, wenn aus den beigefügten Beschreibungen mit Be-
stimmtheit zu ersehen war, dass keine Verwechselung vorgefallen.
Eben 80 habe ich die unbeschriebenen Arten, wie die von Waltl
(Reis. II. 88.) benannten M. angulata, dorsalis und geminata, welche
Rosenhauer (Thiere Andalusiens p. 372.) genau so wie Walt] mit
einem N aufführt, eben so wenig berücksichtigt, wie die von Her-
rich -Schaeffer (Nomencl. II. 172 sq.) erwühnte bica.
Klug, graeca und neglecta H.-Sch. und die mir 2 räthselhafie
M. ruficeps Coq. Unter den ener taii ist die von Rosen-
hauer (l. c.) evita M. Rosenh. von besonderem. In-
teresse, da diese Art, At von den andern hinsichtlich der
Lebensweise DEN Mutillen, als Parasit der Clythra- - Larven
beobachtet worden ist (cf. Rosenhauer, Über die Entwickelung
der Clythren, 1852, p. 33).
Desgleichen habe ich die M. diadema, welche Latreille (Mutill.
Fr. n. 1. 9.) nach einem süd-französischen Exemplare der Boso-
schen Sammlung beschrieben, unberücksichtigt gelassen, indem
offenbar ein Versehen vorliegt. Van der Linden (Ann. d. sc. nat.
XVI. (1829). p. 49.), der in dieser M. diadema das Weibchen der
juger par la description que M. Latreille en a donn
Klug (Insectenfam. Heterog. p. 4.) giebt zwar an, dass nur eine
Deine dieser europäischen, von Latreille beschriebenen
Art mit der süd-amerikanischen JM. diadema F abr. stattge
es geht aber aus seinen Angaben nicht hervor, dass er diese angeb-
lich europäische Art aus eigener Anschauung kennen gelernt, 80
dass ich mich berechtigt glaube, die M. diadema Latr. aus der
Zahl der europäischen Arten auszuschliessen. ker
117
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
dialzelle ist gestreckt und von der Spitze des Flügels
kaum weiter entfernt als ihre Länge beträgt. An den
Hinterflügeln ist die Medialzelle durch eine Querader
geschlossen, welche weit hinter dem Ursprunge der
Cubitalader auf letztere stösst, selten vor der Cubital-
ader etwas abgekürzt ist. Die Analzelle der Hinter-
flügel ist meist geschlossen. Die Tegulae, Mesonotum
und Augen sind je nach den Gruppen verschieden.
4. Gruppe.
In diese Gruppe gehören die oben besprochenen
ungeflügelten Männchen. Der Thorax derselben ist
sehr gestreckt, wohl doppelt so lang als breit, das
Mesonotum ohne eingedrückte parallele Längslinien
(Parapsidenfurchen) und es scheint auch das Schild-
chen mit dem Mesonotum verschmolzen zu sein. Die
Ocellen sind klein, die Augen innen ganzrandig, an
den Fühlern das dritte und vierte Glied von gleicher
Länge. Die hinteren Schienen sind wie bei den weib-
lichen Mutillen aussen mit einzelnen Stachelborsten
besetzt. |
Bei den Weibchen ist die Valvula supraanalis von
rechts nach links gleichmässig gewölbt, das dritte
Fühlerglied ist mindestens doppelt so lang als das
zweite und am Thorax ist keine Spur einer Lamella
pseudoscutellaris vorhanden.
Beide Geschlechter sind ausgezeichnet durch die
identische Färbung und den kräftigen Kopf, der deut-
lich breiter ist als der Thorax, welcher letztere hinten
abschüssig ist und hier gewöhnlich mehr oder weniger
geglättet und mit einer feinen mittleren Kiellinie ver-
sehen erscheint. Die Mandibeln sind gross, seitlich
zusammengedrückt, am Innenrande gezähnt. Das erste
Abdominalsegment endlich ist unten eben und nur bei
M. cornuta vorn mit einem mittleren Höcker versehen.
An der Basis ist jederseits ein kleines Zähnchen vor-
handen, welches nur dann, wenn es kräftiger ent-
wiekelt ist, etwas rückwärts gekrümmt erscheint.
Yon dieser Gruppe, welche vielleicht mit der fol-
genden wird vereinigt werden müssen, sind zur Zeit
nur wenige Arten mit Sicherheit bekannt geworden
und nur zwei (vulnericeps und capitata) in beiden Ge-
schlechtern. Die mir völlig unbekannte M. erythroce-
phala Latr. ziehe ich nur aus den oben angegebenen
Gründen hierher. Ausserdem rechne ich zu dieser
Gruppe die zur Zeit nur im weiblichen Geschlecht be-
kannten M. quinquemaculata und cornuta, wegen der
in der Characteristik dieser Gruppe erwähnten, ihnen
gleichfalls zukommenden Merkmale.
M. quinquemaculata Cyrill. Ins. nov. Neapol. Tab. VII. fig. 2. 9
(sec. Costa). — edit. Meyer. 279. 24.9. — Cost. Faun.
Napol. Mutill. 25. 15. Tav. XXIII. fig. 2. 9.
M. quinquepunctata Oliv. Encycl. méth. VIII. 58. 22. 9. —
St.-Farg. Hyménopt. III. 618. 36. 9.
M. quadrinotata Klug Symbol. phys. Mutill. n. 4. Tab. IV.
In Süd-Italien und Sicilien (Costa), auf den griechischen
Inseln und in Egypten (Oliv.). Das mir von Hrn. Radosch-
kofski zum Vergleich mitgetheilte Weibchen stammt aus Hyères.
Spinola (Ann. de la soc. entom. de Fr. 1838. 456.) giebt an,
dass ihm von M. quadrinotata Kl. beide Geschlechter bekannt
seien!
* M. erythrocephala Latr. Mutill. Fr. n. 3.9. — Coque b. Illustr.
Icon. Insect. 69. 9 (sed non Tab. XVI. fig. 11.).
M. Latreillei Meyer Edit. Mutill. Fr. 265.
M. excoriata St.-Farg. Hyménopt. III. 615. 32. 4. forte.
M. Spinolae St.-Farg. Hyménopt. III. 640. 70. 4. forte. —
Luc. Explor. de l'Algér. III. 293. 315, Hyménopt. pl. 16.
fig. 7. 9.
In der Provence (Latreille), in Montpellier, Oran (St. -Far-
geau) und bei Constantine (Lucas).
M. vulnericeps Cost. Faun. Nap. Matill. 33. 18. Tav. XXV. fig.
4. 9. — Descript. + et 9 conf. supra.
M. glabrata Fabr. Syst. Entom. 398. 12. — Spec. Ins. I.
495. 12. — Mant. Ius. I. 312. 15. — Ent. syst. II. 372.
25. — Syst. Piez. 438. 45. — Oliv. Encycl. méth. VIIL
65. 64. forte +.— Klug Symb. phys. Mutill. Divis. I.
M. fraterna Baer Bull. de Mosc. 1848. I. 230. 5. Tab. II.
fig 2. 9. forte.
In Süd-Russland! Ausserdem in Calabrien (Costa) und viel-
leicht auch im Orient (Fabricius).
M. capitata Luc. Explor. de l'Algér. III. 290. 308. Hyménopt.
pl. 15. fig. 13. 3 (non 9). — Deseript. + et 9 conf. supra.
M. parvicollis Cost. Faun. Nap. Mutill. 35. 19. Tav. XXV.
fig. 5. 9. e
— -- Savigny Descript. de l'Egypt. Hyménopt. pl. 19. fig.
5. 2 9. forte. 7
Var. tuberculis frontalibus in processum conicum productis.
— — Savig. Descrip. de l'Egypt. Hyménopt. pl. 19.fig.5. 1 9.
In Lacalle in Algerien (Lucas) und in Calabrien (Costa);
ausserdem in Egypten (Savigny). Die mir vorliegenden Exem-
plare stammen aus Algier und Laghouat in Algerien.
M cornuta: Mandibulis apice dilatatis tridentatisque medio
intus obtuse angulatis. Clypeo margine anteriore medio
subtruncato et utrinque .subemarginato , truncat
emarginatura dente obtuso separata. Abdominis
primo basi utrinque dente subretrorsum ftezo armato, sub-
tus plano tuberculoque ad basim tige. 8 Mm.
119
Bulletin de l'Académie Impériale
M. cornuta Oliv. Encycl. méth. VIII. 64.55. a (excl. Synon).
M. een Coqueb. Illust. Icon. Insect. Tab, XVI.
1. 9 (non descript.).
M. Se Kolenat. Meletem. entom. V. 121. 1. 9. forte.
Der zur folgenden Gruppe gehörigen M. corniculata, wie es
scheint, sehr nahe verwandt. Die letztere ist aber nach Costa's
Beschreibung grösser und es sind bei derselben die Hinter-
hüften mit einem Zahn versehen und das erste Abdominal-
segment unten gekielt. Hinsichtlich der Fürbung ist die Oli-
vier'sche Beschreibung zu vergleichen.
Die M. cornuta kommt vor: im Caucasus (Kolenati), auf
den griechischen Inseln (Olivier), und wenn keine Verwechse-
lung mit M. erythrocephala Latr. vorgekommen, auch in Frank-
reich. Das mir vorliegende Weibchen stammt aus der Krym.
Vielleicht auch in Sicilien (conf. Sichel Ann. de la soc. entom.
de Fr. 1860. 752.).
2. Gruppe.
Myrmilla Wesm., Rudia Cost.
Bei den Männchen der hierher gehörigen Arten
sind die Augen innen ganzrandig, das Mesonotum
mit zwei eingedrückten Längslinien versehen, welche
von einander weiter entfernt sind als von der Basis
der Flügel. Die Tegulae sind klein, so klein wie bei
den Männchen der Myrmosen, die Oberflügel nur mit
zwei geschlossenen Cubitalzellen versehen, von denen
die erste nicht länger ist als die zweite. Die zweite
Cubitalquerader ist winklig gekrümmt und aus diesem
Winkel entspringt zuweilen eine kurze Längsader;
von den beiden Discoidalqueradern fehlt die äussere
oft ganz und zwar ist dies bei einer und derselben Art
veränderlich. An den Fühlern ist das dritte Fühler-
glied wahrscheinlich so lang als das vierte.
Die Weibchen, deren Kopf gewöhnlich breiter ist
als der Thorax, stimmen in den sexuellen Merkmalen
mit den Weibchen der zur vorigen Gruppe gehörigen
Arten überein, unterscheiden sich aber von denselben
durch die beiden Geschlechtern eigenthümlichen, ha-
kig nach rückwärts gekrümmten Seitenzähnchen des
ersten Abdominalsegments, welche nicht an der Basis,
sondern hinter derselben stehen, demnach also wahr-
scheinlich den schwach angedeuteten Seitenzähnchen
der Myrmosen entsprechen. Die untere Fläche dieses
Segments ist entweder eben (M. calva), oder aber in |
der Mitte der Länge nach gekielt (M. corniculata),
wie bei den Arten aller folgenden Gruppen. Das Me-
tanotum ist wie bei den Arten der ersten Gruppe
schräg abschüssig, geglättet und in der Mitte mit ei-
ner feinen mittleren Kiellinie versehen. Die kräftigen,
gegen die Spitze erweiterten Mandibeln sind, wenig-
stens bei den Weibchen, dreizähnig.
Die wenigen hierher gehörigen Arten scheinen in
beiden Geschlechtern gleichfalls nahezu übereinstim-
mend gefärbt zu sein.
M. corniculata (Pallas) Gerstaeck. Entom. Jahresb. für 1861.
151
M. megacephala Cost. Faun. Nap. Mutill. 8. 1. Tav. XXIII.
fig. 5. 6. 4 € (conf. Burm. Mutill. Bras. n. 25.).
In Unter-Italien bei Otranto (Costa) und nach Gerstaecker
auch in der Krym.
Eine durch breiten Kopf und gestreckten Thorax nahe ver-
wandte Art ist:
* M. angusticollis Spinol. Ann. de la soc. entom. de Fr. 1843.
32.21. 4. aus Spanien. Sie ist schwarz, nur der Thorax
oben roth, das dritte Abdominalsegment mit weissen Haa-
ren dicht bedeckt.
M. calva ??) Vill. Entom. III. 343. 9. Tab. VIII. fig. 33. 9.
— Latr. Mutill. Fr. n. 8. «. — Fabr. Entom. syst. Suppl.
282. 24— 5. 9 (von Latreille erhalten!). — Coqueb. Illustr.
Icon. 68. Tab. XVI. fig. 10. 2. — Fabr. Syst. Piez. 438.
46. 9.— Latr. Hist. nat. XIII. 265. 4. 9. — Jur. Hymé-
nopt. 264. e (mandibulae). — Oliv. Encycl. méth. VIII. 64.
56. o — Shuck. Foss. Hymenop. 30. 2. 9 (excl. 2). —
St.-Farg. Hyménopt. III. 607. 19. 9. — Nyland. Mutill.
etc. 11. 3. € (excl. +). — Wesm. Fouiss. de Belg. 18. 6. 9.
— Cost. Faun. Nap. Mutill. 19. 8. Tav. XXII. fig. 2. 9. —
Smith. Cat. of Brit. Fossor. 40. 2. 9 (excl. 4
JM. europaea Vill. Entom. III. 340. 1. Tab. VIII. fig. 35. e.
forte (excl. omn. Synon.). 1
M. ciliata Fabr. Entom. syst. II. 371. 23. 9 sec. Schaum
Entom. Jahresb. für 1851. 23. — Syst. Piez. 437. 41. 9
22) Ich stütze mich vorherrschend auf Latreille, wenn ich die
M. calva Vill. mit Sicherheit auf diese Art beziehe. Villers Dis-
gnose ist vóllig nichtssagend und kann sie auf M. calva nur dann
bezogen werden, wenn Villers als M. europaea eine der M. calva
zum Wenigsten nahe verwandte Art aufgeführt, was aus der nach
Linné, Fabricius nnd Schrank compilirten Beschreibung übri-
gens nicht nachgewiesen werden kann, da jeder als M. europaea
eine andere Art beschrieben hat. Wenn Fig. 34, wie Villers an-
giebt, und nicht 33, wie ich glaube, M. calva, 34 dagegen die nach
illers «inter maximas hujus generis» gehörende M. argentata
Vill. darstellt, so ist M. calva Vill. sehr verschieden von M. calva
| Latr. und auf keine der sonst bekannten Arten mit Sicherheit zu
beziehen. Aus Fig. 35, welche in der Erklärung der Tafel irriger-
weise als Männchen angesprochen wird, ist zwar nichts Bestimmtes
ersehen; Grósse und auch die Gestalt der eng
geste dagegen gegen die Deutung auf M. europaea
ich es nach Allem nicht für unmöglich, dass Villers wei "Weibchen
der M. europaea schwarzköpfige Weibchen der M. calva
St.-Farg., Wesm.) aufgeführt, da es aus Villers Angaben hery ervor-
geht, dass bei den von ihm als M. europaea betrachteten Exempli
5
ren nur drei Binden vorhanden, von denen alle ununte:
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
— Jur. Hyménopt. 264. 9 (mandibulae). — Oliv. Encycl.
méth. VIII. 65. 60. e, — St. -Farg. Hyménopt. III. 610.
25. 9.
M. erythrocephala (non Latr. Fabr. Entom. syst. II. 371.
24, — Syst. Piez. 438. 44. ẹ var. forte. — Sec. Klug
Symb. phys. ad Divis. I pertinet. — Oliv. Encycl. méth.
VIIL 66. 66. 9. forte; cl. Olivier tacet de dentibus seg-
menti primi. — St.-F arg. Hyménopt. III. 607. 20. 9, —
conf. Sichel L c. p. 566.
M. distincta St.-Farg. Hyménopt. III. 606. 18. 9.
M. incompleta St.-F arg. Hyménopt. III. 609. 23. 4 (jambes
et tarses d'un brun rougeätre). — Wesm. Fouiss. de Belg.
14. 5. #9. — Sichel Ann. de la soc. entom. de Fr.
1852. 561 sq. 4 9.
Rudia hastata Cost. Faun. Nap. Mutill. 9. 2. Tav. XXIV.
fig. 5. « (vertice rufo).
Weitere Synonyme dieser Art sind vielleicht:
M. petiolaris Fabr. Syst. Pie, 437. 39. «.— Oliv. Encycl. üb
méth. VIII. 65. 62. — Klug. Symb. phys. Matill. Divis. I.
M. continua (non Fabr., Klug) St.-Farg. Hyménopt. II.
M. agrestis St.- Farg. Hyménopt. III. 605. 15.9.
Die M. calva, welche Baer (Bull. de Mosc. 1848. I. 230.
4.) für Russland anführt, scheint in Russland zu fehlen. Sie ist
beobachtet bei Marseille (Villers), überhaupt in der Provence
(Latreille) und Süd-Frankreich; bei Paris (St.-Fargeau), bei
Bordeaux (Wesmaël); bei Otranto (4 9 G. Costa) und überhaupt
in Süd-Italien (Costa); nach Olivier endlich auch auf den grie-
chischen Inseln. — Die var. erythrocephala in Süd-Frankreich
und Italien (Olivier); auch bei Paris (St.-Fargeau, Sichel). —
Die var. ciliata oder distincta bei Halle (Fabricius), welche
Angabe aber, eben so wie bei M. hungarica, vielleicht irrig
ist: die distincta ist mit Sicherheit beobachtet bei Genf (Wes-
maël), bei Florenz (Sichel), bei Toulon (St.-Fargeau), bei Paris
(Sichel). Das mir vorliegende Weibchen stammt aus Dalmatien
(Erber).
Als Repräsentant einer eigenen Gruppe ist vielleicht
anzusehen:
* M. triareolata Spinol. Ann. de la soc. entom, de Fr. 1843.
133. 2. aus Sicilien, welche der Beschreibung nach ganz
mit den schwarzköpfigen Männchen der M. calva überein-
stimmt, aber ausgerandete Augen besitzt. Wahrscheinlich
ist aber die letztere Angabe nur die Folge eines Schreib-
fehlers und die M. triareolata demnach nichts Anderes
als das Männchen der M. calva. `
3. Gruppe.
Wie bei den beiden folgenden Gruppen, so sind
auch bei den Männchen der hierher gehörigen Arten |
die Augen innen deutlich ausgerandet, die Parapsiden-
furchen des Mesonotum von einander nicht weiter ent-
fernt als von der Basis der Flügel, das Metanotum bis
zur Einlenkungsstelle des Hinterleibes genetzt, die
Tegulae gross und die Oberflügel mit drei geschlosse-
nen Cubitalzellen verschen.
Als Merkmale der Männchen der hierher gehörigen
Arten sind anzuführen: die verhältnissmässig kleinen
Ocellen, das breite und kurze, hinten abgestutzte und
mit einem feinen mittleren Längskiel versehene Me-
tanotum, die erste Cubitalzelle, welche in der Länge
die zweite nicht übertrifft, endlich das verhältniss-
mässig kurze vierte Fühlerglied, welches deutlich kür-
zer ist als das fünfte und kaum länger als das dritte.
Die Weibchen stimmen in der Bildung der Valvula
supraanalis und dem Mangel einer Pseudoscutellar-
lamelle mit den Weibchen der beiden ersten'Gruppen
erein, unterscheiden sich aber dadurch, dass das
dritte Fühlerglied nur wenig lünger ist als das vierte.
Bei beiden Geschlechtern endlich ist das erste Ab-
dominalsegment jederseits mit einem grossen und brei-
ten, zahnartigen Vorsprung versehen und die Mandi-
beln sind seitlich zusammengedrückt, gegen die Spitze
erweitert und dreizühnig.
Die hierher gehörigen Arten sind in beiden Ge-
schlechtern im Wesentlichen gleich gefärbt:
M. europaea Linn. Syst. Nat. ed. X. 583. 4. 9. — Faun. Suec.
ed. II. 427. 1727. 9. — Syst. Nat. ed. XII. II. 966, 4. 9
et 4, dessen Beschreibung in Folge eines Satzfehlers hin-
ter M. atrata steht. — Schaeff. Icon. Insect. Ratisb. Tab.
CLXXV. Fig. IV. V. VI. 2 9. — copirt von Sulzer Abgek.
Geschicht. der Insekt. 203. Tab. XXVII. fig. 23. 4. 24. 9.
— Vill. Entom. III. 340. 1. 9 (nur die von Linné entlehn-
ten Beschreibungen). — Christ Naturg. etc. Hymenopt. 147.
Taf. 12. fig. 1. 2. « «. — Donov. Brit, Ins. VI. 77. Tab.
212. 2 « (sehr schlecht). — Panz. Faun. Ins. Germ. 76. 20.
2.— Coqueb. Illustr. Icon. Ins. Tab. XVI. fig. 8.4 $.—
Fabr. Syst. Piez. 430. 11. 4 «. — Latr. Hist. nat. XIII.
963. 1. ? 9. — Shuck. Fossor. Hymenopt. 29. 1. 2 $. —
St.- Farg. Hyménopt. III. 597. 3. 9. — Nyland. Mutill.
ete. 8. 1. # $, — Wesm. Fouiss. de Belg. 14. — Schenck
Grabw. Nass. 294. 1. 2 9. — Smith Cat. of Brit. Fossor.
29. 1,4 9.
Apis aptera
ckard).
Apis simile Harris (sec. Shuckard).
M. atrata (non Linn.) Fabr. Syst. Entom. 398. 9. 8. —
Spec. Ins. I. 495. 9. — Mant. Ins. L 312. 10. 4. —
Entom. syst. IL 369. 11. « 9. — Syst. Pier. 431.14. 4.
— Jur. Hyménopt. 264. + (mandibulae). _
M. coerulans St.- Farg. Hyménopt. II. 599. 5. 4.
M. cyanea St. - Farg. Hyménopt. III. 600. 8. 4.
M. Panzeri St.- Farg. Hyménopt. I: 602. 11. 5.
Uddman (sec. Linné) et Harris (sec. Shu-
Bulletin de l’Académie Impériale :
124
Var. + thorace toto nigro.
Conf. Giraud Verhandl. der zool.-bot. Gesellsch. zu Wien.
1858. 447. 9.
M. obscura Nyland. Mutill. etc. 10.
M. Kashiriensis Baer Bull. de Mosc. M I. 229. 3. Tab.
#08. 3 Ww.
Im südlichen Schweden und im südlichen Finnland (Nylan-
der), in Mittel- Europa, in den Pyrenäen (St.-Fargeau); die
schwarze Varietät des Münnchens in Kärnthen (Schaum), im
südlichen Russland (Baer), in Curland (Kawall), im südlichen
Finnland (Nylander), und auch um St.-Petersburg!
Da ausser der M. europaea noch eine ähnlich gefärbte, wohl
mehr dem Süden angehörige Art in Europa vorhanden ist,
welche zur Zeit noch nicht genügend unterschieden worden, so
ist eine Verwechselung dieser letzteren mit der Linné'schen
M. europaea mehrfach vorgekommen. Vielleicht hat Jurine
(Hyménopt. p. 264.) beide unterschieden, da er ausser M. atrata
einer M. europaea gedenkt, welche beide nach den Angaben
über die Mandibeln der Weibchen in diese Gruppe gehóren.
Die Abbildungen von Schaeffer und Sulzer sind zwar sehr
roh und ist bei dem Mánnchen namentlich der blaue Schim-
mer nicht angegeben, sie beziehen sich aber ohne Zweifel auf
die Linné’sche Art, wie es aus der übrigen Färbung und aus
der Bildung der ersten Abdominalbinde des Weibchens ersicht-
lich ist. Donovan's Abbildung ist ganz miserabel; in England
scheint aber von grósseren Mutillen nur diese Art vorzukom-
men, wenigstens gehört die M. europaea Smith zur Linné-
schen Art, während Shuckar d’s M. europaea wegen des voll-
ständig rothen Thorax etwas zweifelhaft erscheinen könnte,
wenn Shuckard nicht angegeben hätte, dass der Kopf «coar-
sely» punktirt sei. Denn die zu erörternde südeuropäische Art
unterscheidet sich von M. europaea unter Anderm durch die
feine Punktirung von Kopf, Thorax und Hinterleib, ausserdem
durch schlankern Bau, die dichte und lange gelblich weisse
Behaarung der Beine, das ziemlich gleichmässig gewölbte, vorn
nicht abschüssige erste Abdominalsegment, welches an der Ba-
sis wohl doppelt so schmal ist als am Endrande und dessen
Basalzähne weit kleiner sind als bei M. europaea, rechtwink-
lig, mit gerundeter Spitze, nicht scharf und zurückgebogen.
Hinsichtlich der Färbung ist zu erwähnen, dass das Endseg-
ment schwarz behaart und die erste Hinterleibsbinde nicht im
Geringsten ausgerandet ist. Bei dem mir vorliegenden Weib-
chen ist der Thorax vorn schwarz.
Auf diese Art, nicht auf M. europaea, wie Schaum (Entom.
Jahresb. für 1848. 101.) angiebt, ist die M. marginata Baer
zu beziehen, welche Schrank als M. europaea aufgeführt. Oli-
vier hat als M. europaea von dieser Art sowohl das Weibchen,
wie es aus der vergleichenden Beschreibung der M. littoralis
ersichtlich ist, als auch das Männchen beschrieben, welches
letztere mir unbekannt, ohne Zweifel aber gleich M. differens .
St.-Farg. ist. Die Synonymie dieser Art wäre demnach fol-
M. differens St.- Farg. Hyménopt. III. 603. 12. ©.
M.europaea Schrank Enum. Ins. Austr. 415. 839. 9. —
Vill. Entom. III. 340. 1. Observ. 1. Tab. VIII. Fig. 36. z.
und von der Beschreibung des ẹ nur die von Schrank
entlehnten Angaben. — Latr. rape Fr. n. 2. 2 (excl. o A
— Oliv. Encycl. méth. VIII. 57.
M. ee Baer Bull. de Mosc. Mt I. 230. 6. Tab. II.
g. 4.
In NN Italien und im Orient (Olivier), in Öster-
reich (Schrank) und in Süd-Russland (Baer).
4, Gruppe.
Ronisia Cost.
Diese Gruppe ist nicht so homogen wie die vorher-
gehende und die folgende.
Bei den hierher gehörigen Arten ist wie bei den
vorhergehenden das erste Abdominalsegment kurz und
breit und hinten kaum schmäler als das zweite, an der
Basis aber jederseits nur mit einem kleinen Zähnchen
versehen.
Bei den Weibchen sind die Mandibeln gegen die
Spitze allmählich verjüngt, vor der meist stumpfen
Spitze innen ungezähnt oder nur mit einem undeut-
lichen zahnartigen Hóckerchen, seltener mit einem
deutlichen Zahne versehen. Das dritte Fühlerglied ist
mindestens doppelt so lang als das vierte und am Tho-
rax ist keine Lamella pseudoscutellaris vorhanden. Die
Valvula supraanalis ist mit einem abgesetzten Mittel-
felde versehen, welches bei einzelnen Arten (M. barbara)
breiter und nur hinten umrandet, bei andern dagegen
gestreckter erscheint (M. littoralis), und es ist auch die
Randlinie weiter hinauf zu verfolgen. Vielleicht gehen
mit dieser Verschiedenheit in der Bildung der Val-
vula supraanalis der Weibehen auch Verschiedenhei-
ten der Männchen Hand in Hand, indem die Männ-
chen der erst erwähnten Weibchen mit breiter, nur
hinten umrandeter Area media durch die Bildung der
Mandibeln, die Kürze der ersten Cubitalzelle und das
hinten abgestutzte, in der Mitte längsgekielte Meta-
notum mit den Männchen der vorigen Gruppe über-
einstimmen, während die Männchen der andern Arten
(M. littoralis) durch die innen ungezähnten, gegen die
Spitze verdünnten Mandibeln abweichen und den Männ-
chen der folgenden Gruppe sich dadurch nähern, dass
das Metanotum hinten gerundet ist und die erste Cu-
bitalzelle deutlich länger ist als die zweite. Bei bei-
den ist aber das dritte Fühlerglied eben so lang als
das vierte, was auch bei dem von Savigny (Descript.
de l'Egypt. Hyménopt. pl. 19. fig. 12.) abgebildeten
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Männchen stattfindet, welches Männchen durch die am
Aussenrande mit einem Ausschnitt versehenen Man-
dibeln in noch auffälligerer Weise der folgenden Gruppe
sich nähert.
In diese Gruppe gehören:
* M. Chiesi Spinol. Ann. de la soc. entom. de Fr. 1838. 457.
(0*7. 9. — St.-Farg. Hyménopt. III. 638. 66. 9
Von Corsica (Spinola).
* M. bipunctata Latr. Mutill. Fr. n. 9. ç.
M. interrupta Latr. Mutill. Fr. n. 5. 9.
M. halensis (non Fabr.) Oliv. Encycl. méth. VIII. 62. 44. >.
— St.-Farg. Hyménopt. III. 637. 64. 9.
M. tuberculata St.- Farg. Hyménopt. III. 619. 38. 9.
M. bituberculata Smith Cat. of Hymenopt. Ins. III. 2. 3. 9.
M. biguttata Cost. Faun. Nap. Mutill. 23. 13. Tay. XXIII.
fig. 3. e,
Beide von Latreille unterschiedenen, von Olivier in der
Provence gesammelten Mutillen betrachtet Olivier, wie es
scheint, mit Recht, als Varietüten einer und derselben Art, bezieht
aber auf dieselben irrigerweise die M. halensis Fabr., welche
nach Klug (Symb. phys. Div. I.) von M. bipunctata Latr. ver-
schieden ist. Bei Latreille's M. bipunctata sollen alle Segmente
weiss gefranzt, bei JM. interrupta Latr. das dritte Segment
und der Endrand des zweiten mit einer weissen Querbinde
versehen sein, und erklärt sich diese Differenz vielleicht in
ähnlicher Weise, wie es von M. calva ausführlich auseinander-
gesetzt worden (siehe Anmerkung 10). Die Fühlerhócker sind
nach Olivier «aigus», wie auch bei M. tuberculata St.-F arg.,
während sie nach Costa bei seiner M. biguttata «rotondati»
sind. Dies sind aber wohl nur individuelle Verschiedenheiten
(vergl. Anmerkung 12). Was die Nomenclatur anbetrifft, so
gebe ich dem Namen «bipunctata» den Vorzug, da der Name
«interrupta» leicht zu Irrungen Anlass geben kónnte.
Diese Art kommt in der Provence vor (Olivier), in Calabrien
und auf amer zu. ausserdem in Oran und Algerien (St.-
Fargeau, Luc
= divisa Smith Cat. of FREE Ins. IH. 11. 71.
M. interrupta Oliv. Encycl. méth. VIII. 62. 39. 2.— Klug
Symb. phys. Mutill. n. 11. Tab. a fig. 11. 9. — St.-
Farg. Hyménopt. III. 639. 67.
M. intercepta Kl. "ef erii irr E Reis. nach Mo-
samb. Zool. V
— — Savign. “ri de l'Egypt. Hyménopt. pl. 19. fig.
SENS SH on
An der unteren Wolga! Auch in Süd-Italien, wenn die M.
maura Cyrill, wie es aus Costa's Bemerkungen (l. c. p. 26.
Nota) hervorzugehen scheint, auf diese Art zu beziehen =
Ausserdem in Arabien (Olivier) und in Egypten de
M. Ka Spinol. Ins. Lig. I. 156. 2, c.
var. a. thorace verticeque rufis, pilisque decumbentibus
rufis tectis; abdominis segmento tertio fasciato.
M. brutia Petagn. Spec. Ins, Calabr. n. 170. Fig. 37.
(sec. Costa). — Cost. Faun. Nap. Mutill. 22. 12. Tav.
XXIII. fig. 1.
M. sexmaculata Cyrill. Ins. nov. Napol. Tab. VIII fig. 8.
(sec. Costa). — edit. Meyer. 280. 29. — Baer Bull.
de Mosc. 1848. I. 232. 11. Tab. II. fig. 8.
M. hungarica Fabr. Ent. syst. IL 369. 13. — Syst. Piez.
432. 16. — Oliv. Encycl. méth. VIII. 60. 30. — St.-
Farg. Hyménopt. III. 615. 33..
M. calva Panz. Faun. Ins. Germ. 83. 20. (sol. incon.). —
Krit. Rev. 213.
M. Monspeliensis St.-Farg. Hyménopt. III. 616. 34.
9 var.segmentis abdominis primo et secundo ferrugi-
neo- villosis.
e var. b. ut a, sed vertice nigro et pilis decumbentibus ar-
genteis tecto.
M. hungarica var. Sichel Ann. de la soc. entom. de Fr.
1860. 752.
M. decoratifrons Cost. Faun. Nap. Mutill, 31. 16. Tav.
XXV. fi
e var. €. ut b, sed segmenti tertii punctis discretis.
M. barbara Linn. Syst. Nat. ed. X. 583. 5. — ed. XII.
II. 967. 7. — Christ Naturg. etc. Hymenopt. 150. —
Coqueb. Illustr. Icon. Ins. 67. Tav. XVI. fig. 6. —
Oliv. Encycl. méth. VIIL 58. 19. — Luc. Explor.
de l'Algér. III. 296. 323.
e var. d. ut c, sed thorace fusco-rufo pilisque decumben-
tibus subargenteis tecto;
M. maculosa Luc. Expl. de l'Algér. III. 293. 313. forte.
9 var. e. ut d, sed thordce nigro supraque densius pilis
decumbentibus argenteis tecto; segmento tertio vel etiam
quarto (Olivier) vel etiam quinto (Savigny et St.-Far-
geau) maculis tribus albis notatis.
M. maculosa Oliv. Encycl. av VII. 58. 17. — St.-
Farg. Hyménopt. III. 617
— — Savign. Descript. de s Hyménopt. pl. 19.
fig. 9.
3. Ronisia. torosa Cost. Faun. Nap. Mutill. 11. 1. Tav.
XXIII. fig. 4.
M. confusa St.-Farg. Hyménopt. III. 604. 14. à var.
flagello subtus et apice testaceo.
M. littoralis Spinol. Ins. Lig. IL. 81. forte etiam var.
segmentis quatuor (?) anterioribus margine albo ciliatis,
Die var. a. in Süd-Frankreich (St.-Fargeau), in Piemont und
Sicilien (Sichel), in Süd-Italien (Costa), in Ungarn (nicht Halle,
Fabricius), endlich auch im südlichen Russland! Die var. b.
in Calabrien (Costa) und auf Sicilien (Sichel); die var. c. und
d. in Algerien (Linné, Coquebert) und in. Spanien impe
die var. e., wie es scheint, nur in en.
* M. marocana Oliv. Encycl. méth. VIII. 58. 20. TS
M. barbara Fabr. Syst. Piez. 434. 26. ei
M. 9-guttata Klug Waltl's Reis. II. 91.
M. 8-guttata purs st Ann. pdis le soc. ita de Fr. 1843.
129. 18. ©
127
Bulletin de l'Académie Impériale
M. Algira St.-Farg. Hym. III. 641.72. $.— Luc. Explor.
de l'Algér. III. 295. 320. 9
M. rubricollis Luc. 1. c. 297. 324. 2.
Savign. Descript. de l'Egypt. pl.19.fig. 10. 9.
Mir unbekannt. In Portugal und Andalusien (Klug), in Spa-
nien (Spinola), in Maroceo (Fabricius), in Algerien (St.-Far-
geau, Lucas) und in Egypten (Savigny).
Als Männchen dürfte hierher gehóren:
* M. Ghiliami Spinol. Ann. de la soc. entom. de Fr. 1843.
130. 19., welche Ghiliani zugleich mit der vorigen in Spa-
nien gefunden und die dem Männchen der M. barbara
sehr ähnlich zu sein scheint, durch nicht gefurchtes Schild-
chen und die am Aussenrande geschweiften und hinten
in eine scharfe Spitze vorgezogenen Flügelschuppen aber
vornehmlich abweicht. Am Thorax sind nur Mesonotum,
Scutellum und Postscutellum roth. Dass diese M. Ghilianüi,
wie Smith (Cat. of Hym. Ins. III. 5. 21.) angiebt, in der
Ukraine vorkommt, beruht wahrscheinlich auf einer Ver-
, wechselung mit dem Männchen der M. barbara.
M. littoralis Petagn. Spec. Ins. Calabr. 38. 171. fig. 37. ẹ
(sec. Brullé). — Spinol. Ins. Lig. If. 81. 9 (excl. «). —
Oliv. Encycl. méth. VIII. 57. 16. 9 (excl. # et Synon. M.
austriaca Panz.). — Brull Expéd. sc. de Morée. III. 372.
820. « Tab. L. fig. 12. 9 var. — Cost. Faun. Nap. Mutill.
17. 7. Tav. XXII. fig. 1. oe
— — Savign. Descript. de l'Egypt. Hyménopt. pl. 19.
fig. 7. 9.
M. europaea Fabr. Syst. Entom. 397. 7. 9. — Spec. Ins.
I. 495. 7. e. — Mant. Ins. I. 312. 2. — Cyrill. Ins
nov. Napol. Tab. VII. fig. 3 (sec. Costa) e — Vill.
Entom. III. 340. 1. ẹ (nur die von Fabricius entlehn-
ten Angaben) — Ross. Faun. Etrusc. 114. 939. e —
Latr. Mutill. Fr. n. 2. 9 (excl. 4). — Fabr. Ent. syst.
II. 368. 9. e — Spinol. Ins. Lig. I. 155. 1. 9 (sed
sol. var.).
M. indigena Illig. Edit. Faun. Etr. II. 188. 939 sq. 9.
M. italica (non Fabr.) Jur. Hyménopt. 264 (mandibulae) et
267 2 var. — Klug. Symb. phys. Div. I. 4.
M. grisescens St.- Farg. Hyménopt. III. 626. 47. 3 var.
M. affinis Luc. Explor. de l'Algér. III. 292. 312. 4.
M. cognata Smith Cat. of Hymenopt. Ins. III. 13. 89.
M. salentina Cost. Faun. Nap. Mutill. 14, 2. Tav. XXI.
fig. 2. 8.
Im Orient (Fabricius), am Hellespont und auf den griechi-
schen Inseln (Olivier), in Morea (Brullé), in Süd - Italien und
Sicilien (Costa), in Etrurien (Rossi), in Ligurien (Spinola) , in
Süd - Frankreich (Latreille, Olivier), bei St. - Germain en Laye
(St. - Fargeau) Auch im südlichen Russland! Ausserdem bei
Constantine (Lucas) und in Egypten (Savigny).
Gleichfalls nur Varietäten des Männchens sind aller Wahr-
scheinlichkeit nach:
M. graeca St.- F arg. Hyménopt. III. 625. 45. aus Morea, und
M. opaca St.-Farg. Hyménopt. III. 624. 44. aus Süd-Europa.
5. Gruppe.
Mutilla Wesm.
Diese Gruppe bahnt den Übergang zu der folgen-
den Abtheilung an, indem das erste Abdominalsegment
weniger breit ist als bei den vorhergehenden Gruppen
und an der Basis jederseits mit einem kegelförmigen,
nach vorn und aussen gerichteten Zähnchen versehen
ist. Namentlich sind es die Männchen. bei welchen
das erste Abdominalsegment sehr gestreckt ist und
von dem folgenden durch eine flache Abschnürung et-
was abgesetzt erscheint. Ausserdem ist die erste Cu-
bitalzelle weit lànger als die zweite, das dritte Füh-
lerglied viel kürzer als das vierte und die Mandibeln
sind aussen mit einem tiefen Einschnitt versehen, alles
Merkmale, welche mehreren Arten der folgenden Ab-
theilung gleichfalls zukommen. Bei Berücksichtigung
des Flügelgeäders, der Flügelschuppen, der Augen,
der Parapsidenfurchen u. s. w. kann aber nie eine Ver-
wechselung mit der folgenden Abtheilung stattfinden.
Die Weibchen, deren zweites Abdominalsegment
vorn auf der Scheibe mit einem runden hellen Haar-
fleck versehen ist, was bei den vorhergehenden Arten
sonst nur noch bei M. erythrocephala Latr. vorkommt,
nähern sich der folgenden Abtheilung dadurch, dass
die von den Fühlerhóckern nach aussen verlaufenden,
die Fühlergruben oben begrünzenden Kiellinien, wel-
che bei den vorhergehenden Gruppen deutlich ausge-
prägt sind, hier entweder vollständig fehlen oder doch
nur undeutlich wahrnehmbar sind, ausserdem aber
auch durch die schwächlichen, allmählich zugespitz-
ten, vor der mta und scharfen Spitze nicht oder
nur en M ,und endlich durch
das kurze dritte Fühlerglied, welches das vierte an
Länge nur wenig übertrifft. Am Thorax ist eine Pseu-
doscutellarlamelle vorhanden (nur bei M. trinotata
fehlt sie nach Costa) und an der Valvula supraanalis
ist das Mittelfeld mehr oder weniger deutlich abge-
setzt. Bei denjenigen Arten, wo letzteres weniger
deutlich der Fall ist (halensis, subcomata, unicincta),
ist das Mittelfeld etwas gewülbt, an der Spitze glatt
und es scheint auch das erste Abdominalsegment brei- `
ter zu sein, welcher Unterschied bei den Mánnchen
besonders deutlich wahrnehmbar ist. Bei den andern
(partita, rufipes, viduata) ist umgekehrt das Mittelfeld
abgeflacht und bis zur Spitze mit feinen Stricheln be-
AfÉE oT
129 des Sciences de
St. - Pétersbourg. 130
deckt, und diese Arten sind es namentlich, deren Männ-
chen sich durch das gestreckte erste Abdominalseg-
ment der folgenden Abtheilung nähern.
Die hierher gehörigen europäischen Arten sind nicht zahl-
reich, aber noch nicht genügend unterschieden. In der Fär-
bung sind sie einander oft täuschend ähnlich, so dass die Syn-
onymie in einzelnen Fällen kaum mit Sicherheit festgestellt
werden kann. So wurde z. B. früher das Weibchen der M. scu-
tellaris mit M. rufipes ganz allgemein verwechselt, wie es un-
ter Anderm aus der Olivier'schen Beschreibung ersichtlich ist,
bis Wesmaél diese beiden zu unterscheiden lehrte. Noch we-
niger Sicherheit herrscht aber hinsichtlich der Synonymie der
Männchen. da die Männchen einzelner hierher gehöriger Ar-
Grunde er denn auch für das von ihm beschriebene Männchen,
falls es nicht zu M. halensis (montana) gehören sollte, den
Namen «Latreillei» vorschlug (conf. L c. p. 14.). Wesmaël
vermuthete nämlich, dass die von Latreille (Gen. Crust. et Ins.
IV. p. 120.) bei Myrmosa erwähnte Mutilla mit dem von ihm
beschriebenen Männchen identisch sei, welche Vermuthung aber
kaum begründet erscheinen kann, da Latreille offenbar das-
selbe Männchen (l. c. 121.) als zu M. rufipes gehörig be-
schreibt, und lässt auch Wesmaël dieses Männchen als dasje-
nige der M. rufipes gelten.
Die specifische Geéiert? et männlicher, hierher
gehöriger, mir unbekannter Mutillen muss einstweilen dahin-
gestellt bleiben, da, ausser der VENE keine Unterschiede
von den andern hierher gehörigen Arten angegeben worden
ten nicht nur einander ähnlich sind, sondern in der Fürbung | sind
sogar in sehr übereinstimmender Weise variiren.
Ganz schwarze Männchen sind bis jetzt beobachtet von M. ru-
fipes (= nigrita Panz.) und M. halensis (= montana Giraud).
Giraud bezieht zwar die M. nigrita Panz. auf das von
ihm beobachtete schwarze Männchen der M. halensis, allein
gewiss mit Unrecht, da das in der Panzer'schen Abbildung
sehr gestreckte erste Abdominalsegment einer solchen Deutung
entgegensteht. M. nigrita Schenck (Grabw. Nass. 321.) kann
dagegen wegen der «mit kürzeren schwärzlichen Haaren un-
termischten» Behaarung nicht, wie Schenck (Nachtr. 154.) an-
giebt, die schwarze Varietät des Männchens von M. halensis
sein, wegen des «kurzen glockenfórmigen» ersten Segments
aber auch nicht M. nigrita Panz., sondern ist vielleicht eine
schwarze Varietät der M. scutellaris. M. nigra Rossi (Mant.
I. 148. 334.) endlich ist nach der Beschreibung nicht zu deu-
ten, wird aber wohl auf die schwarze Varietät der M. halensis
zu beziehen sein, wegen der weissen Behaarung und der be-
deutenderen Grösse (4 1
ie von Rossi, unabhängig von Fabricius, benannte und be-
schriebene JM. ephippium ist wahrscheinlich auf die Münnchen
mehrerer Arten basirt. Darauf weist wenigstens die Angabe
hin: « Variat colore rufo thoracis nunc magis, nunc minus
supra dorsum postice extenso, et abdominis apice modo in-
curvato, acutiusculo, modo magis obtuso, uti etiam magnitu-
dine minore». Die kleinen Exemplare mit stärker zugespitz-
tem Hinterleib sind wahrscheinlich Männchen der M. rufipes,
die andern dagegen Männchen der JM. halensis, wie solche
Lucas als JM. bicolor beschrieben, während ähnliche Männchen
mit schwärzlichem Mesonotum von Lucas als M. rubrocincta
unterschieden worden sind. Mir liegen wenigstens süd-russische
"Männchen der letzterwähnten angeblich selbständigen Arten
vor, die ausser der Färbung ganz genau mit Wesmaël's Be-
schreibung des Männchens von M. (montana Wesm.)
übereinstimmen, so dass an eine specifische Verschiedenheit
nicht wohl zu te
kans *11 Lp ! ars
chena m it M. halensis ist übrigens erst. durch Giraud, der die
Fo beobachtet, über allen Zweifel erhoben. Denn Wes-
maël selbst war seiner Sache nicht ganz sicher, aus welchem
Tome VIII.
* M. ruficollis. Fabr. Ent. syst. II. 371. 22. 4. — Syst. Piez.
436. 37. — Illig. Edit. Faun. Etr. II. 188. — Oliv. Encycl.
méth. VIII. 64. 52. — Nach Gerstücker (Entom. Jahresb.
für 1861. p. 151.) ist damit identisch:
M. ciliata Cost. Faun. Nap. Mutill. 16. 5. Tav. XXL fig. 5.
. é. aus Süd Italien.
Vielleicht ist damit identisch die see bedeutendere Grösse
napoja:
. ciliata Panz. Faun. Ins. Germ. 106. 21. 4. aus Deutsch-
land.
* M. fasciaticollis Spinol. Ann. de la soc. entom. de Fr. 1843.
131. 20. 4. aus Spanien.
* M. cingulata Cost. Fann, Nap. Mutill. 15. 4. Tav. XXI. fig.
4. &. aus Süd-Italien.
* M. dorsalis Luc. Explor. de l'Algér. III. 288. 305. Hyménopt.
pl. 15. fig. 11. 4. aus Oran.
Mir unbekannte weibliche, hierher gehörige Mutillen sind:
* M. dorsata Fabr. Ent. syst. Suppl. 281. 13 — 14. e. — Syst.
Piez. 432. 18. — Coqueb. Illustr. Icon. Ins. Tab. XVL fig.
2. 9. — Spinol. Ins. Lig. I. 157. 7. — Oliv. Encycl. méth.
VIII. 60. 31.
«Specimen unicum in agro Albisolensi captum cum tabula
Dei Panzeri (soll wohl Coqueberti heissen, da ausser Fabricius
nur Coquebert citirt wird) atque cum. descriptione D“ Fabricii
haud dubio convenit» Spinola 1. c. — «Elle se trouve au midi
de la France, en Italie. C'est par erreur que Fabricius la dit
habiter à St.-Domingue» Olivier 1. c.
*M. rimaculata Luc. Explor. de l'Algér. III. 296. 322. Hy-
ménopt. pl. 16. fig. 4. 9. aus Oran und Algier.
Damit ist vielleicht identisch, trotz einzelner Ahweichungen
= der Färbung:
M. quadripunctata St.-Farg. Hyménopt. III. 638. 65. 9. aus
Genua.
Endlich gehórt hierher auch:
*M. pusilla Klug Waltl's Reis. II. 92. (conf. p. 88) 9. aus
Andalusien, welche gewiss nicht verschieden ist von:
9
131
Bulletin de l’Académie Impériale
132
M. trinotata Cost. Faun. Nap. Mutill. 22. 11. Tav. XXII.
fig. 5. 2. aus Süd-Italien.
Eine ungenügend characterisirte Art ist:
*M. nemoralis Baer Bull. de Mosc. 1848. I. 231. 9. Tab. II.
fig. 6. 2. aus Süd-Russland.
Die mit Sicherheit bekannten, hierher gehórigen Arten sind:
M. halensis??) Fabr. Mant. Ins. I. 312. 12. e, — Vill. Entom.
III. 342. 5. — Fabr. Ent. syst. II. 369. 15. — Syst. Piez.
432. 20. — Panz. Krit. Rev. 212. — Klug. Symb. phys.
Divis. I.
M. rufipes Latr. Mutill. Fr. n. 6. & var. forte.
M. punctata Latr. Mutill. Fr. n. 10. 9.
M. ephippium Ross. Mant. I. 147. 333. + (pro parte).
M. nigra Ross. Le 148. 334. 4 var. forte.
M. montana Panz. Faun. Ins. Germ. 97. 20. e — Oliv.
Encycl. méth. VIII. 64. 57. 9. — Wesm. Fouiss. de Belg.
11. 4. $ 9. — Schenck Grabw. Nass. 294. 2. 3 9.—
Giraud Verh. d. zool, bot. Gesellsch. 1858. 446. 4 9.
M. quadripunctata Oliv. Encycl. méth. VIII. 59. 23. 9.
M. bipunctata St.-Farg. Hyménopt. 642. 73. 9 var. capite
rufo (conf. Smith Cat. of Hymenopt. eg III. 16. 106.).
M. Latreillei Wesm. Fouiss. de Belg. p
M. rubrocincta Luc. Explor. de l'Agér- Tm 289. 306. Hy-
ménopt. pl. 15. fig. 12. &.
M. bicolor Luc. 1. c.,289. 307. 4.
M. Lucasi Smith Cat. of Hym. Ins. IIL 14. 94.
23) Schenck führt von dem Weibchen dieser Art unter Anderm
an: «Hinterleib schwarz, Segment 2 (nach Wesmaél) neben jeder-
seits mit zwei weissen silberglànzenden Haarflecken, der eine in
einiger Entfernung von der Basis, der andere am Ende; den letz-
teren zeigen die von mir gesehenen Exemplare nicht deutlich,
wahrscheinlich in Folge von Abreibung; der Endrand von Segment
2 weiss gefranzt: dann haben die von mir gesehenen Exemplare auf
Segment 2 noch in der Mitte in einiger Entfernung von der Basis
und in der Mitte des Endrandes einen solchen rundlichen Flecken,
welche ee gar nicht, St.-Fargeau nur den ersten
erwähnt; u
Diese ee ist mehr als sonderbar. Denn erstens gedenkt
Wesmaël überbaupt nur zweier hinter einander stehender Flecke,
die, ohne die Symmetrie zu stören, weder an der einen, noch an der
andern Seite, demnach also in der Mitte stehen müssen; zweitens
aber spricht sich Wesmaël ausführlich darüber aus, dass i die von
Panzer gemachte Angabe, dass die halensis Fabr. — montana
Panz. ist, etwas zweifelhaft sei, doe: es aus der F RE schen
Beschreibung nicht hervorgeht, dass die beiden Flecke des zweiten
Segments hinter einander, wie es Panzer angiebt, und nicht viel-
leicht neben einander stehen, wie es z. B. St.-Fargeau von seiner
M. halensis angiebt, die also von der von Panzer beschriebenen
Art sehr verschieden ist. Aus Schenck's Beschreibung ist aber das
ersichtlich, dass bei gut couservirten Exemplaren der M. halensis
vorn auf dem zweiten Segment drei in einer Querreibe stehende
Flecke vorhanden sind, wie sie Latreille bei seiner .M. punctata
angiebt. Von diesen drei Flecken sind die äusseren, wahrscheinlich
in Folge von Abreibung, wie bei M. partita, nicht constant oder
wenigstens weit undeutlicher als der mittlere auf dem Rücken be-
findliche Fleck, und erklären sich so die verschiedenen Angaben,
welche über die Behaarung des zweiten Segments von den verschie-
denen Beobachter gemacht worden sind.
M. dispar Smith Cat. of Hymenopt. Ins. III. 14. 90.
Bei Halle (Fabrieius), in Nassau (Schenck), in Österreich
(Giraud), Genf (Wesmaël), in der Provence (Olivier), endlich
auch in Algerien (Lucas). Von der unteren Wolga sah ich bis-
her nur Männchen.
M. unicincta Me Explor. de l'Algér. III. 293. 317. Hyménopt.
pl. 16. fig.
In Oran ER, Das mir vorliegende Weibchen stammt aus
Algier.
* M. scutellaris Latr. Mutill. Fr. n. 7. e. — Oliv. Encycl. méth.
V
M. sellata Panz. Faun. Ins. Germ. 46. 19. 9.
M. bimaculata Jur. Hyménopt. pl. 12. fig. 38. e. — Latr.
Gen. Crust. et Ins. IV. 121. 4. — St-Farg. Hyménopt.
IH. 610. 24. e. — Wesm. Fouiss. de Belg. 10. 3. 4.
— Schenck Grabw. Nass. 296. 4. 4.
M. rufipes Panz. Krit. Rev. 213. 9. — Oliv. Encycl. méth.
VIII. 66. 68. 9 var. abdominis segmento primo nigro.
M. subcomata Wesm. Fouiss. de Belg. 9. 2. 9. — Schenck
Nachtr. 154. 7. 9. — 154. 4. 3 9.
In Süd-Frankreich (Olivier), bei Paris (St.-Fargeau), Genf
(Wesmaël), in Nassau (Schenck), bei Wien (Giraud), nach Smith
(Cat. of Hymenopt. Ins. III. 4. 13.) auch in Tanger.
M. jen Klug Waltls Reis. II. 91.
M. unimaculata Luc. "i de l'Algér. III. 294. 318.
ee pl. 16. fig. 3
In Portugal, Andalusien und GES (Klug), in Algier (Lu-
cas). Das mir vorliegende Weibchen aus Algier stimmt genau
mit Klug's Beschreibung überein.
M. rufipes Fabr. Mant. Ins. I. 312. 16. e. — Vill. Entom.
: JIL 342.7. 9. — Fabr. Ent. syst. IL 372. 26. 9. —
Coqueb. Illustr. Icon. Ins. Tab. XVI. fig. 9. 9€. — Fabr.
Syst. Piez. 439. 48. e — Latr. Hist. nat. XIII. 264. 2.
9 (excl. 4 a Panz. 46. 20 depictum, qui ad genus Myr-
mosam pertinet). — Latr. Gen. Crust. et Ins. IV. 121. 4
— Spinol. Ins. Lig. I. 156. 4. 4 9. — Oliv. Encycl. méth.
VIIL 66. 68. e (excl. var. abdominis segmento primo ni-
gro). — St.-Farg. Hyménopt. III. 612. 28. e. — Wesm.
Fouiss. de Belg. 7. 1. 4 9. — Schenck Grabw. Nass. 295.
3. 3 9. — Cost. Faun: Nap. Mutill. 21. 10. Tav. XXII.
fig. 4. 9.
M. ephippium Ross. Mant. I. 148. 333. + (pro parte); sec.
St.-Fargeau etiam Tab. 2. fig. n. (nach Illig. Edit.
Faun. Etruse. IL. 190, ist die von Rossi beschriebene
M. ephippium = Myrmosa thoracica F abr., ephippium
Panz) — Fabr. Ent. syst. IL 370. 18. 4. — Syst:
Piez. 434. 97. 4. — Oliv. Encycl. méth. VIII. 63. 45: 4-
— Curt. Brit. Entomol. IL. 77. 4 €. — Shuck. Fossor.
Hymenopt. 31. 3. 4 9. — St-Farg. Hyménopt. IH. 608.
92. 2.— Nyland. Mutill etc. bor. 13. 4. & g.— Smith
Cat. of Brit. Fossor. 41.3. oe. — Cost. Faun. Nap.
14.3. Tav. XXI. fig. 3. « (Costa gedenkt auch einiger
Exemplare mit kürzerem erstem Segment und mangeln-
En d
Be > wg
133 des Sciences de St.-Pétersbourg: 134
der Areola des Metanotum, wie es bei M. scutellaris | zur folgenden Abtheilung bildet die mir unbekannte:
4 der Fall ist). M. obliterata Smith Cat. of Hymenopt. Ins. III. 8.
ul gu Bee Ballade es, 4849. 1,391, 9. Tob. IL | 47.8. aus Albanien, welche wegen der ausgerandeten
g. 5. 9 (beschrieben nach einem schräg gespiessten £ ). Ado : i
Var. 4 corpore toto nigro. Augen ohne Zweifel zur ersten Abtheilung gehört,
M. ephippium var. B. Smith 1. c. durch den deutlich und ziemlich lang gestielten Hin-
M. nigrita Panz. Faun. Ins. Germ. 80. 22. — Fabr. Syst. | terleib aber sehr auffällig abweicht. Die von Smith
Piez. 437. 40. — Oliv. Encycl. méth. VIII. 65. 59. — | gemachten Angaben über die Fárbung treffen genau
Lovin ` iip ical Proc d pn solum pro | zu auf M. pedunculata Klug (Symb. phys. Mutill. n.
E A ck.. Foss. Haste. Eb tus QUE MiTIBUN INE TEE an der Identität bei-
Nyland. l.c. 11. 3. (excl. «). — Smith I. e. 40. 2. | der nicht zweifle, indem Klug gewiss nur durch das
(excl. e). | stielförmige erste Segment dazu veranlasst worden,
Wohl die häufigste europäische Art, welche im südlichen | die M. pedunculata seiner zweiten Abtheilung einzu-
Finnland und südlichen Schweden, in England, im ganzen mitt- | reihen. Gegen eine solche Stellung sprechen auch die
leren Europa und nach Costa auch noch in Unter-Italien und in der Abbildun deutlich sichtbaren Para sidenfur-
Sieilien vorkommt. Ein Männchen fand Radde am Onon in | 8 à 1 p
Dsüriéh: | chen, während die in der Beschreibung besonders her-
vorgehobenen Tegulae «parvae» darauf hinweisen, dass
M. viduata Pall. Reis. II. 730. 89. 3. (1773). ; er Ra e : j
M. sungora Pall. Reis. IL 730. 88. 9 (excl. 4, qui ad hier wirklich eine intermediäre Form vorliegt.
M. mauram pertinet) . IE. Ab 1
Tiphia stridula Ross. Faun. Etruc. II. 68. 830. Tab. VI. tort ra
fig. 2. &. (1790). Das erste Hinterleibsegment ist verhältnissmässig
M. stridula Ross. Mant. I. 148. 332. . — Brull. Exped. | klein, mehr oder weniger stielfórmig, vom zweiten deut-
se. de Morée: II. 371. 819. Tab. L. fig. 19. 3. — Cost. | lich abgeschnürt, an der Basis jederseits mit einem ko-
M. De teens 1 wis iiic ii Tt ‚nischen, nach vorn und aussen vortretenden Hocker,
Matill. Fr: n. 6. 9 (excl. 2). — Illig. Edit. Faun. Etrusc. Bei den Weibchen der hierher gehórigen Arten ist
II. 190. 941. 9. der Thorax an den Seiten gerundet und hinten deut-
M. coronata Ross. Mant. I. 147. 331. 9 (sec. St-Fargeau) | lich schmäler als vorn. Die Mandibeln sind von der
. Tab. 2. fig. k. — Fabr. Ent. syst. II. 369. 14. 9. — | Basis gegen die Spitze allmählich verdünnt; die Füh-
Panz. Faun. Ins. Germ. 55. 24. 2. — Fabr. Syst. Piez. | Jergruben sind flach und verwischt, und es zieht sich
432. 17. 9. — Oliv. Encycl. méth. VII. 60. 29. 9. — i 2 Ss ne:
` St-Farg. Hyménopt. II, 613. 29. 9. — Wesm. Fouiss. von den Fühlerhöckern keine Kiellinie zu den Au
de Belg. 9. sub n. 2. 9. — Cost. Faun. Nap. Mutill. gen hin. |
20. 9. Tav. XXII. fig. 3. «. — Sichel Ann. de la soc. Die Männchen sind, so weit sie bekannt geworden,
entom. de Fr. 1860. 753. + 9 et var. e vertice rufo! | geflügelt. An den Oberflügeln ist das letzte Drittel
. M. pedemontana Fabr. Ent. syst. Suppl. 281. 19 — 20. | zellenlos, das Stigma klein, geschlossen, die erste Cu-
"eg d perat u pT A : E | bitalzelle länger als die zweite, die Radialzelle kurz,
es, — Oliv. Encycl. méth. VIII. 62. redii e. an der Spitze fast abgestutzt. Die Medialzelle der
Farg. Hyménopt. III. 632. 56. 2. — Perris Mém. | Hinterflügel wird nur zum Theil geschlossen durch
de l'Acad. de Lyon. 1847. 486. 4 cum 9 vertice fer- | eine von der Radialader zum Ursprunge der Cabital-
rugineo! in copula observavit... ader sich hinziehende schrüge Ader, welche den Ur-
* He Dp pio Ins, Europ. Life Së nn sprung der Cubitalader aber nie erei Die ee
i ic i ossen. Die
In Süd- Europa überall vorhanden; in Österreich und bei | SE E a + p rei siden-
Bern (Panzer), bei Paris (St.-Fargeau). Die von Fabricius ge- ae, : En `
machte Angabe, dass diese Art bei Halle vorkommt, ist ge- | furchen, die Augen innen ohne Ausrandung. !
wiss falsch. Ausserdem kommt diese Art vor: in Algerien (Lu- | In dieser Abtheilung kann man zwei Gruppen un-
‘cas), in Klein-Asien (Olivier) und in Sibirien am Irtysch (Pal- | terscheiden: em | SS,
las). Im südlichen Russland ist sie sehr háufig. | Apoc 6. Gruppe.
Einen noch deutlicher ausgesprochenen Übergang | Ausser dem ersten unteren Abdominalsegment ist
9"
H
135
Bulletin de l’Académie Impériale
auch das zweite an der Basis mit einem mehr oder
weniger deutlichen Längskiel versehen.
Bei den Weibchen ist am Thorax eine Pseudoscu-
tellarlamelle vorhanden, die Mandibeln sind vor der
Spitze mit zwei kleinen, zuweilen ganz undeutlichen
Zähnchen versehen, das dritte Fühlerglied ist so lang
oder nur wenig länger als das vierte und an der Val-
vula supraanalis ist ein breites und verhältnissmässig
kurzes Mittelfeld deutlich abgesetzt.
Die Männchen, deren drittes Fühlerglied wenigstens
doppelt so kurz ist als das vierte, weichen je nach
den Arten in der Bildung der Mandibeln und Flügel
von einander ab. Bei einigen sind die Mandibeln am
Aussenrande, wie bei den Arten der fünften Gruppe, mit
einem tiefen Einschnitt versehen (Descript. de l'Egypt.
Hyménopt. pl. 19. fig. 18 i.), von welchem bei andern
nur eine Spur vorhanden ist (1. c. fig. 17 i.), wáhrend die
Oberflügel der beiden Formen dieser je nach den Man-
dibeln verschiedenen Männchen in der Zahl der Discoi-
dalqueradern und der Zahl der geschlossenen Cubital-
zellen von einander abweichen, und sind derartige Va-
riationen auch bei den Männchen ein und derselben
Art keineswegs etwas Seltenes.
In diese Gruppe gehóren:
* M. petiolata Baer Bull. de Mosc. 1848. I. 231. 10. Tab. II.
fig. 7. 2. aus Süd-Russland, welche nach Schaum (Entom.
Jahresber. für 1848. 101.) vielleicht identisch ist mit
M. regalis Fabr. Entom. syst. IL 371. 21. 9. — Syst. Dies,
435. 34. 9. — Oliv. Encycl. npa VIII. 63. 47. 9. —
Ahrens Faun. Ins. Europ.
M. elegans (Pallas) Klug Walls Reis: oke.
4 Niger, nigro - pilosus, vertice, pronoto, scutello abdomi-
nis segmentis dorsalibus tertio quartoque mec non me-
dio quinti pilis subaureis vestitis; segmento secundo
rufo, postice nigro. Clypeo integro, mandibulis ante
apicem subdentatis margineque externo profunde ex-
cisis. 8'/, Mm.
M. Macquarti St. - Farg. Hyménopt. III. 633. 57. 4.
In Ungarn (Fabricius, Ahrens), Andalusien, Portugal und
Süd-Russland (Klug) Ich erhielt beide Geschlechter von der
unteren Wolga.
Eine ohne Zweifel selbstindige, mir unbekannte, nahe ver-
wandte Art ist:
* M. italica Fabr. Entom, syst. II. 370. 19. 2, — Syst. Piez.
434. 28. 4. — Oliv. Encycl. méth. VIII. 62. 42. 4, —
St.-Farg. Hyménopt. III. 626. 46. 3. — Vergl. auch Luc.
Explor. de l'Algér. III. 292. 312. und Illig. Edit. Faun.
Etrusc, II. 188. |
In Italien (Fabricius, Olivier), Süd-Europa (St.-Fargeau).
* M. Tunensis Fabr. Syst. Piez. 433. 21. 2. — Oliv. Encycl.
méth. VIII. 61. 38. 9.
In Tunis (Fabricius), in der Berberei und in Egypten (Oli-
vier).
Bei dieser M. Tunensis ist nach Olivier der Endrand des
zweiten Segments und das ganze dritte Segment weiss behaart.
Bei der
* M. Tunensis St.-F arg. Hyménopt. III. 641. 71. 9. aus Oran,
wird die Querbinde des Hinterleibs von der Behaarung des
dritten und vierten Segments gebildet; bei der nahe verwand-
ten M. ornata Klug (Symb. phys. Mutill. n. 22. Tab. V. fig.
8. 9.) dagegen nur von der Behaarung des zweiten Segments.
Eine genaue Prüfung dieser erwähnten Arten wäre sehr wün-
schenswerth. Als Männchen einer dieser Arten, vielleicht der
M. Tunensis St.- Farg., ist anzusehen:
* M. atrata (non Linn.) Oliv. Encycl. méth. VIII. 59. 26. 2.
— — Savign. Descr. de l'Egypt. Hyménopt. pl. 19. fig.
18. 4. forte.
Aus Egypten und der Berberei (Olivier).
* M. albeola Pall. Reis. II. 730. 87. zs,
M. bicolor Pall. Reis. I. 474. 77. 9.
M. caspica Kolenat. Meletem. entom. V. 124. 4. 9.
M. funeraria Krichs, in Ménétr. Ins. rec. par feu Leh-
mann. p. 90. 9.
Im südöstlichen Russland. — Ich gebe dem Namen «albeola»
den Vorzug, weil Pallas unter diesem Namen beide Geschlech-
ter beschrieben und weil der Name «bicolor», da er ausser-
dem mehrfach für andere Arten gebraucht worden, leicht zu
Irrungen Veranlassung geben könnte.
* M. armeniaca Kolenat. Meletem. entom. V. 123. 3. 9.
M. mongolica Radoschk. Horae soc. ent. Ross. I. 85. 1.
Tab. II. fig. 6. 9.
In Transkaukasien (Kolenati. Radoschkofski's Angabe,
dass diese Art auch in der Mongolei vorkomme, ist wohl irrig.
In der hiesigen Sammlung ist wenigstens das Exemplar, nach
welchem Hr. Radoschkofski die Beschreibung seiner M.
mongolica entworfen, nicht vorhanden.
JM. arenaria Fabr. Mant. Ins. I. ‚312. 13. 2. — Entom. syst.
IL. 370. 16. 9. — Syst. Piez. 433. 22. 9. — Coqueb.
Illustr. Icon. Ins. Tab. XVI. fig. 3. e — Oliv. Encycl.
méth. VIII. 61. 37. e — Klug Symb. phys. n. 20. Tab.
V. fig. 6. 9. — St.- Farg. Hyménopt. III. 614. 31. ?.—
Dufour Bull de la soc. entom. de Fr. 1852. p. XLIV.
? (excl. « qui ad M. hottentotam pertinet).
In Spanien und an der ganzen Nordküste Afrika's. Das
Männchen ist wahrscheinlich
* M. atrata Linn. Syst. Nat. ed. XII. II. 966. 5. ve brine e
turg. etc. Hymenopt. 151.
M. maura St. - Farg. Hyménopt. pl. 36. fig. 7. 4.
M. oraniensis Luc. Explor. de l'Algér. III. 287. 304. Hy-
ménopt. pl. 15. Fig. 10. #.
—— ES ign. Descript. de l'Egypt. Hyménopt. pl. 19. fig.
17.
Aus une und Egypten.
137 des Sciences de
St, -Pétersbourg. 138
* M. lepida Klug Waltls Reis. II. 94.
M. maura var. ze Illustr. Ax Ins. 67. Tab. XVI.
fig. 7. D. E. F.
In Andalusien (Klug), in der Berberei (Coquebert).
M. maura **) Linn. Syst. Nat. ed. XII. II. 967. 6. 9 (sol.
diagn.). — Fabr. Syst. Entom. 398. 10. 9. — Spec. Ins.
I. 495. 10. 9. — Mant, Ins. I. 312. 11. e, — Vill. Entom.
II. 341. 2. 9. — Ross. Faun. Etrusc. II. 114. 940. ®.
— Christ. Naturg. etc. Hymenopt. 148. 9.— Latr. Mutill.
Fr. n. 4. $.— Fabr. Ent. syst. IL 369. 12. e — Panz.
Faun. Ins. Germ. 46. 18. 9. — Coqueb. Illustr. Icon. Ins.
Tab. XVI. fig. 7. A. B. C. e (conf. Illig. Edit. Faun. Etrusc.
II. 190.). — Fabr. Syst. Piez. 431. 15. 9. — Oliv. Encycl.
. méth. VIII. 61. 36. 9. — Klug Symb. phys. Mutill. Div.
IL 2 9. — St.- Farg. Hyménopt. III. 613. 30. pl. 36. fig.
6. 9 (non 4). — Cost. Faun. Nap. Mutill. 24. 14. Tav.
- XXII. fig. 6. 9.
M sungora Pall. Reis. I. 730. 88. s (excl. 9). forte.
M. austriaca Panz. Faun. Ins. Germ. 62. 20. 3. — St.-
Farg. Hyménopt. III. 598. 4. + (excl 9.) — conf.
Spinol. Ann. de la soc. entom. de Fr. 1843. 134. 21.
M. clausa St.-Farg. Hyménopt. III. 601. 9. 4. forte var.
prothorace nigro (conf. etiam Luc. l. c. 288. 304.).
M. rubricans St. - Farg. Hyménopt. IIL 612. 27. x.
M. argenteo-fasciata Cost. Faun. Nap. Mutill. 17. 6. Tav.
XXI
. fig. 6. 4.
M. differens (non St.-Farg.) Giraud Verh. der zool. bot.
Gesellsch. zu Wien 1863. 1307. 3. forte
An den Gestaden des Mittelmeers, in Österreich (Panzer)
und bei Paris (St.-Fargeau). Im südlichen Russland häufig.
M. sibirica Christ Naturg. etc. Hymenopt. 148. Taf. 12. fig.
4. 5. à 9!
^M. maura Aet Mutill. etc. boreal. 14. 5. 4 9. Fig.
3. 10.
In Sibirien am Baical. Von Radde wurden beide Geschlech-
ter am Onon in Mehrzahl gesammelt.
In diese Abtheilung, vielleicht "e in diese Gruppe, gehó-
ren folgende mir unbekannte
* M. nigripes Fabr. Mant. Ins. I. 312. 17. — Ent. syst. IL.
372. 20. — Syst. Piez. 439. 51. — Oliv. Encycl. méth.
VIII. 66. 67. — Klug Symb. phys. Mutill. Divis. II. 9.
aus dem Orient.
24) Die von Linné in Editio X* Mey orti (p.
c Ka erwähnte M. maura ist wegen der : sehr
ifelhaft und bezieht sich e auf pem Weibeben à "d M.
mees Denn Linné iagnose seiner M. maura später
wabrscheinlich nur uach pu a von Schreber mitgetheilten
deutschen Exemplar geändert; E vielleicht war aber auch früher
von Linné's Seite ein Versehen vorge efallen , wie dergleichen
nd Druckfehler keineswegs selten sind. Jedenfalls ge-
bührt dei Name «maura» der unter diesem Namen allgemein be-
kannten Art
* M. egregia Klug Waltl's Reis. II. 93. 4. — aus Andalusien.
* M. collaris F abr. Ent. syst. II. 233. 21. ken d. — m
Piez. 435. 32. — Oliv. Encycl. méth. VIII. 63, 48.
Klug. Symb. phys. Divis. II. — aus Mea
* M. tristis Klug Waltl's Reis. II. 92. 7. — aus Andalusien
und Portugal.
* M. lugubris °") Fabr. Syst. Piez. 433. 23. 3. — Oliv. Encycl.
méth. VIII. 62. 40. 7. — aus Tanger.
* M. Rondanii Spinol. Ann. de la soc. entom, de Fr. 1848.
133. 4. — aus Parma,
* M. aucta **) St.-Farg. Hyménopt. III. 605. 16. e,
M. bifasciata Klug Symb. phys. Mutill.n.19. Tab. V. fig. 5. 9.
M. austriaca St.-F arg. Hyménopt. III. 598. 4. 9 (excl. +).
M. tabida Luc. Explor. de l'Algér. III. 298. 326. Hyménopt.
pl. 16. fig. 5. 9.
M. parens Cost. Faun. Nap. Mutill. 32. 17. Tav. XXV. fig.
3. 9.
Var. 9 capite rufo.
M. erythrocephala (non Latr. et CNS Luc. Le, 298.
327. Hyménopt. pl. 16. fig. 6
M. ruficeps Smith Cat. of mete Bt Ins. III. 15. 100.
Süd -Frankreich (St.-Fargeau), Italien (Costa), in der Provinz
Constantine (Lucas) und auch in Syrien (Klug).
7. Gruppe.
Diese Gruppe unterscheidet sich von der vorher-
gehenden dadurch, dass das zweite Bauchsegment an
der Basis abgeflacht und das erste nur vorn mit einem
kurzen Längskiel versehen ist. Das zweite Bauchseg-
ment hat in der Mitte jederseits einen eigenthümlichen
behaarten sehr flachen Eindruck.
Die Weibchen differiren durch den Mangel der Pseu-
25) Diese Art ist sehr zweifelhaft. Illiger gedenkt ihrer zwar
in der Editio Faunae Etruscae (II. 188.) und führt sie unter den Ar-
ten an, deren Männchen unausgerandete Augen besitzen; er hat
aber wahrscheinlich als AM. ported diejenige Art verstanden, wel-
e Klug spüter als tristis b eben, wie es aus der Beschrei-
bung dieser letzteren hervorzugehen scheint. Merkwürdig ist es,
dass Klug für diese Art deu Namen «tristis» gebraucht, da er
selbst unter demselben Namen früher eine goce s Art be-
schrieben (cf, Entomolog. brasilian. specim. I. 3
Der von Klug gegebene Name «bi idis kann nicht in
ommen, da Swederus (Vet. Akad. Handl. 1787. VIII.
285.41 & 42.) denselben bereits für eine nord-amerikanische Art
gebraucht hat. Gerstaecker (Entom. Jahresb. für 1861. 151.), wel-
cher die Identität von M. parens Cos und tabida Luc. angiebt,
gedenkt nicht der M. bifasciata Kl., vielleicht weil in der n
ung der Name unterdessen ge eündert worden. Von der M.
rens hat Zeller, nach Gerstaecker, beide Geschlechter in Sici-
lien gesammelt, “und diese s ahrscheinlich, wie bei der folgen.
den, gewiss nahe verwandten M. hottentota im Wesentlichen gleich-
gefärbt, da Gerstaecker sonst die Verschiedenheiten gewiss an-
gegeben hätte. Vielleicht ist die oben erwähnte M. Rondanii
Spinol. das hierher gehörige Manache eg
139
Bulletin de l'Académie Empériale
140
7 E
doscutellarlamelle und dadurch, dass an der Valvula |
supraanalis kein Mittelfeld abgesetzt ist. Das dritte |
Fühlerglied ist deutlich länger als das vierte und an |
den Mandibeln ist vor der Spitze ein deutlicher Zahn |
vorhanden (vergl. Descript. de l'Egypt. 1. e. fig. 22 2.). |
Bei den Männchen sind die Mandibeln am Aussen- |
rande ganzrandig, ohne Spur eines Einschnittes , an.
der Spitze dreizähnig (Descr. 1. c. fig. 16 i.). Das dritte |
Fühlerglied ist nur wenig kürzer als das vierte.
Die einzige, mit Sicherheit hierher gehórige Art ist
in beiden Geschlechtern nahezu gleich gefärbt:
M. one Fabr. Syst. Piez. 433. 24. 4. — Oliv. Encycl.
. 91. 4. — Illig. Edit. Fann, Etrusc. II. 188.
is a bd phys. Mutill. Divis. II. — Luc. Explor. de
l'Algér. III. 295. 321. g (nicht 9, wie Lucas angiebt).
M. argentata Vill. Entom. III. 343. 8. Tab. VIII. fig. 34.
e. (1789). forte.
M. barbara Fabr. Ent. syst. II. 370. 17. «. — Coqueb.
Illustr. Icon. Ins. 66. Tab. XVI. fig. 5. 4.
M. arenaria var. Coqueb. 1. c. 66. Tab. XVI. fig. 4. 9.
— Dufour Bull. de la soc. entom. de Fr. 1852. p. XLIY.
g (excl. 2, quae vera est M. arenaria!).
27) Die von Villers beschriebene M. argentata ist wahrschein-
lich das Weibchen dieser Art, von welcher Savigny beide Ge-
schlechter sehr genau abgebildet.. Fabricius kannte nur das
Männchen und hat Coquebert letzteres unter dem von Fabricius
zuerst beigelegten Namen «barbara» aufgeführt, während er-das
Weibchen als Varietät der M. arenaria beschrieben und abgebildet,
welche Varietät schon Latreille (cf. Coqueb. 1. c. p. 67.) als
Weibchen zu dem von Fabricius und Coquebert beschriebenen
Männchen in Anspruch genommen. Auf dieselbe Art bezieht sich
auch ohne Zweifel die M. sabulosa Klug, von welcher Klug an-
giebt, übereinstimmende männliche uud weibliche Exemplare unter-
ht zu haben. Endlich hat das Weibchen dieser Art auch Lucas
als M. luctuosa beschrieben und abgebildet, ausserdem aber auch
die M. hottentota für Algier verzeichnet (Explor. de l'Algér. IH.
295. 321.), von welcher er auffallenderweise angiebt, Weibchen ge-
funden zu haben, obgleich alle beigefügten Citate sich nur auf das
Männchen beziehen, so dass demnach ein Schreibfehler von Lucas’
Seite zu vermuthen ist.
Léon Dufour (1. c.) m: ski zwar die Angabe, dass die von Co-
quebert als barbara abgebildete männliche Mutilla das Männchen
der M. arenaria sei, da Dours in Algerien beide in Copula gefan-
gen. Diese Angabe findet aber wohl darin ihre Erklärung, dass
Dours seine Bestimmungen nach Coquebert’s Iconographie ge-
macht, hier aber, wie bereits erwähnt, die We SE zweier ver-
schiedener Arten, wie es Latreille (cf. Coqueb. 1. c. p. 66.) be-
reits richtig vermuthet, als M. arenaria aufgeführt Sind, was Du-
four übersehen zu haben scheint. Vielleicht hat aber auch Dours
en. Ich vermuthe wenigstens, dass
ria die mir in natura unbekannte M.
inn, ps eet gehört, bei welcher die Binde des
zweiten Segments in ähnlicher Weise wie bei dem Männchen der
. maura vorn in der Mitte ausgeschnitten ist, und scheint die M.
oraniensis überhaupt der Beschreibung uud Abbildung nach dem
Männchen der letzerwähnien Art sehr nahe verwandt zu sein. Die
französischen Entomologen werden diese Frage hoffentlich recht
bald erledigen.
M. sabulosa Klug Waltl's Reis. II.
M. luctuosa Luc. pun de bends Co 291. 311. Hy-
ménopt. pl. 16. fig. 1
— — Medeam pow ih Teen, Hyménopt pl. 19, fig.
. fig. 22
In a em iid; wenn die M. argentata Vill.
hierher gehört, auch in Süd-Frankreich. Ausserdem in Algier
und Oran (Lucas) und in Egypten (Savigny).
Dieses sind die Gruppen, welche ich für die euro-
päischen Arten annehmen zu müssen glaube. Späterhin
wird man vielleicht die zweite mit der ersten und eben
so die fünfte mit der vierten Gruppe vereinigen, viel-
leicht aber auch letztere in mehrere auflösen müssen;
die systematische Reihenfolge der Mutillen dürfte aber
wohl schwerlich eine wesentliche Änderung erleiden,
selbst nicht durch Hinzuziehung der exotischen, mir
zur Zeit noch zu wenig bekannten Arten. Von diesen
schliessen sich die glattäugigen, von welchen ich nur
die M. Klugii Gr. und morosa Westw. im männlichen
Geschlecht habe untersuchen können, auch durch die
diesem Geschlecht eigenthümlichen Merkmale der
zweiten Abtheilung genau an, so dass über ihre syste-
matische Stellung kein Zweifel existiren kann. Weni-
ger Sicherheit dürfte aber hinsichtlich.derjenigen exo-
tischen Arten herrschen, bei welchen die Augen, wie
bei den europäischen Mutillen, deutlich facettirt sind,
worüber ich mich um so weniger mit Bestimmtheit
aussprechen kann, als mir von denjenigen exotischen -
Arten, die sich der ersten für die europäischen Mu-
tillen angenommenen Abtheilung anschliessen, keine
einzige zum Vergleich vorliegt. Folgende gedrängte
Übersicht, mit der ich diese Auseinandersetzung
schliesse, dürfte aber der natürlichen Verwandtschaft
der Mutillen. bei Hinzuziehung der*exotischen Arten,
gleichfalls Rechnung tragen:
I. Augen länglich, schwach gewölbt, deutlich facet-
tirt, in der Grösse je nach den Arten verschieden
und daher mehr oder weniger weit nach oben rei-
chend; beim Männchen am Innenrande mit einer
Ausbucht oder ohne solche. |
I. Abtheilung (Charakteristik siehe oben). "
Hierher die fünf ersten, für die europäischen À Ar-
ten angenommenen nes. denen einzelne, na-
mentlich afrikanische Arten einzureihen sind. Auch
die M. (Psammotherma) flabellata gehört zur vier-
141 des Sciences de St.- Petersbourg. 112
ten Gruppe. In diese Abtheilung gehört auch die | ser wurde sorgfältig gewechselt, und das mit Gamma-
III“ der von Burmeister für die brasilianischen riden gefütterte Thier lebte beinahe 5 Monate; dann
Arten angenommenen Divisionen, mit den Unter- | wurde es als Seltenheit in Spiritus gelegt.
abtheilungen B und A. | Der Conservator des Museums fand eines Tages
"Tl. Abihellung (Charakteristik siehe oben). | den Protopterus mit einer weisslichen Schicht belegt,
7 E .. . | meinte, dass er verderbe und fing an ihn zu reinigen.
Hierher zunächst Burmeister's H" Division; | Dieser Umstand verhinderte leider, dass die Epider-
dann die sechste und siebente der für die euro- | mis auf allen Stellen des Körpers untersucht werden
päischen Arten angenommenen Gruppen. Hierauf | konnte. So viel ich beobachtet habe, ist die Epider-
folgt die Hauptabtheilung i | mis bei anderen Fischen in ihrer ganzen Ausdehnung
II, welche der I" Division Burmeister's ent- | nicht gleich gebaut.
à spricht. Die Augen sind hier bei beiden Geschlech-| Prof. Leuckart meinte, dass der Protopterus kurz
tern kreisrund, sehr glatt und stark gewölbt. vor seiner Häutung gestorben wäre, und es die abge-
Flügel, F lügelschuppen und Mesonotum der Männ- | stossene Epidermis sei, die später die blattartige Hülle
chen wie in der II“ Abtheilung. Burmeister's pjlde, Er überliess mir freundlichst die Untersuchung.
. Unterabtheïlung B, welcher einige ungefleckte Beim ersten Zerzupfen fand ich zufällig sogleich
mexicanische Arten beizuzählen sind, schliesst sich | eine isolirte einzellige Drüse, deren Öffuung noch von
zunächst an die vorige Abtheilung an, dann folgen drei unter sich in Verbindung stehenden Zellen um-
Burmeister’s Unterabtheilungen A und C, wel- | geben war.
cher letzteren die mir vorliegeuden neuholländi- | Ich nahm eine Portion von der Epidermis und fing
schen Arten sich eng anschliessen. Das erte Seg- | an, sie allmählich in Chromsáure von 1°, bis zu 5°, Lö-
ment ist bei diesen breit, nicht stielfórmig, und ‚sung zu härten. Einige sehr gelungene Schnitte zeig-
eben so bei einer grossköpfigen mexicanischen Art. | ten Folgendes:
Ich kann diese Übersicht nicht schliessen, ohne dem | Die Epidermis ist ziemlich dick und besteht aus
Herrn Obersten Radoschkofski für die besondere | drei verschiedenen Lagen von Zellen. Die äussersten,
Freundlichkeit, mit welcher er mir einige exotische | der Oberfläche zugewandten, sind entweder konisch,
Mutillen zur Untersuchung überlassen, meinen Dank | mit nach unten gerichteten Ausläufern, oder von meh-
abzustatten. Ich muss diese Zuvorkommenheit um so | reren Seiten abgestutzt. Die äussere Fläche der Zel-
mehr anerkennen, als Herr Radoschkofski selbst len besitzt eine poróse Cuticula. Ich nenne sie Cuti-
gegenwürtig mit einer monographischen Bearbeitung cular-Zellen. Die zweite Lage besteht aus mehreren
der in Russland einheimischen Mutillen beschäftigt | Reihen rundlicher Zellen. !
ist, aus welchem Grunde ich denn auch die Beschrei- Die dritte, der Cutis zugewandte Lage besteht aus
bungen der wenigen mir vorliegenden neuen Arten | länglichen Zellen, deren unterster Rand glatt ist, wäh-
weggelassen. - | rend der obere meistens Ausläufer besitzt. Die Ausläu-
fer wird man an einem zusammenhängenden Schnitte
; idi j; nicht gewahr, lässt man aber auf die Epidermis, die
Le en von Protopterus annectens, VOD i» Spiritus gelegen hat, 1'/ Stunden sehr schwache
O. Paulson. (Lu le 22 septembre 1864.) | Natronlösung einwirken, so zerfällt sie beim Zerzupfen
(Mit einer Tafel.)
i sehr leicht in ihre Elemente, und die Ausläufer der
Im vorigen Jahre erhielt Prof. Leuckart einen Zellen werden sichtbar. wen
in einer Thonmasse liegenden, lebendigen Protopterus | : In allen Zellen ist der Kern
gemein gross und
annectens aus dem Gambia-Flusse. Als der Thonkloos
gespalten wurde, lag er in einer blattartigen Hülle in
zwei Bogen zusammengekrümmt mit dem Kopfe dem
Luftloche zugewandt. Kaum war er ins Wasser gewor-
füllt sie beinahe aus. In den Zellen der untersten
Lage ist er länglich, in den. übrigen rmálich. Der
Inhalt des Kernes ist sehr körnerreich; ein Kernkör-
perchen scheint zu fehlen, oder ist wenigstens in Folge
fen, so gab er einen starken Laut von sich. Das Was- , des dunklen Inhalts nicht sichtbar.
143
Bulletin de l'Académie Impériale
144
Ausser den beschriebenen Zellen findet man in der
Epidermis sehr grosse, schön verästelte, kernhaltige
Pigment-Zellen.
Den allerinteressantesten Theil der Epidermis bil-
den aber einzellige Drüsen, welche fast die ganze
Dicke der Epidermis einnehmen und zwischen den
Cuticular-Zellen mit ziemlich weiter Öffnung nach aus-
sen münden.
Als ich sie zum ersten Male an einem Durchschnitte
sah, kamen mir sofort die kolbenförmigen Organe von
Petromyzon fluv. in den Sinn, die nach den schönen
Beobachtungen von M. Schultze leicht als Nerven-
endgebilde — als Tastkörperchen angesehen werden
könnten, wenn nur die Nervenfasern in den Radial-
fasern der Lederhaut nachgewiesen wären. Auf den
ersten Blick scheinen sie mit den genannten Kolben
eine Ähnlichkeit zu besitzen, ja man findet selbst zwi-
schen ihnen Körper, die den Körnerzellen vom Petro-
myzon (Kölliker)gleich zu stellen wären; aber bei ge-
nauer Untersuchung wird man eines andern überzeugt.
Dass hier keine Täuschung, gleich der von Kölliker,
stattgefunden hat, ist gewiss. Sie bilden sécerniretide
Elemente und sind die ersten schleimabsondernden
Drüsen, die bei einem Fische gefunden wurden. Die
Drüsen haben eine Flaschenform, werden nach oben zu
enger, schieben sich zwischen den Cuticular - Zellen
durch und setzen sich mit ihrem Saume grade an den
Rand der Zellen, zwischen Cuticula und eigentlicher
Zelle an. In jeder Drüse findet man einen Rest von
Protoplasma, der am Grunde zusammengeballt ist und
sich dann netzförmig ausbreitet. Man möchte glauben,
es wäre am Grunde der Kern gelegen, umgeben von
einem Reste von Protoplasma, aber bei genauer Unter-
suchung konnte ich mich wenigstens von keinem Kerne
überzeugen. So zeigt z. B. der Klumpen in Fig. 3
gar keinen Contour; hier, wie in anderen Drüsen geht
er direct in Strahlen über, und ferner brechen der
Klumpen, wie die Strahlen ganz gleich das Licht. Der
übrige Inhalt der ausgebildeten Drüsen bildete eine
homogene, dickflüssige Masse, in welcher sehr wenige
Körner suspendirt waren; man sieht sie öfters durch
die Öffnungen herausfliessen. Eine Doppelbrechung
fehlt. ;
Die Schläuche entstehen aus Zellen, die direet un-
ter den Cuticular-Zellen liegen. Sie wachsen erst in
die Länge, werden etwas bauchig und das obere Ende
zwängt sich zwischen die Cuticular-Zellen durch, um
den mit der Zeit grösser.
Die Metamorphose des Inhalts der Zellen, während
ihrer Umwandlung in Drüsen, scheint hier eine ganz
sonderbare zu sein. Der Inhalt ganz junger Schläuche, .
welche noch gar keine Öffnung, oder eine sehr kleine,
besitzen, ist sehr körnerreich, was er früher nicht war,
und am Grunde erscheint ein starker lichtbrechender
Klumpen. Da früher der Zelleninhalt homogen er-
schien und der Kern körnerreich, so scheint es, als
ob der Kern platze, und die Körner sich vermehrend
die wachsende Drüse ausfüllen. Mir kamen die ganz
jungen Schläuche ohne Öffnung sehr spät zu Ange-
sicht, zur Zeit, in welcher ich die Arbeit nicht mehr
fortsetzen konnte; es wäre daher sehr interessant,
bei Gelegenheit die Drüsen in dieser Beziehung noch
einmal zu prüfen. Mit dieser Erklärung lässt sich
aber das Fehlen des Kernes in den ausgebildeten Drü-
sen in Einklang bringen.
Betrachtet man die Epidermis von oben, so sieht
man zwischen den Cuticular-Zellen Doppelkreise von
verschiedenen Durchmessern. Je nach dem das Mikro-
skop eingestellt ist, erscheint bald der äussere, bald
der innere Kreis mit scharfer Contour. Der äussere,
grössere Kreis liegt unter dem kleineren und entspricht
der eigentlichen Öffnung der Drüse, d. h. ihrer An-
gehört der Cuticula an, welche, von aussen und oben
nach innen und unten schief eingeschnitten, eine Art
Diaphragma bildet.
In allen Handbüchern der Zoologie wird angege-
ben, dass der Protopterus sich ein Nest aus Blättern
bilde. — Dies ist gar nicht der Fall. Die blattartige
Hülle ist weder Blatt, noch abgestossene Epidermis,
sondern verhärteter Schleim, der sich in starker Kali-
lösung nicht löst. Eine Zellen-Struktur ist nicht nach-
zuweisen; man sieht nur eine Schichtung, welche be-
stimmt durch allmähliches Absondern und Verhärten
entstanden ist.
Hieran will ich noch anknüpfen, dass die kee E
gen Zellen, die M. Schultze bei anderen Fischen be-
Petromyzon gleich gestellt werden kónnen. Erstens
liegen sie, z. B. beim Karpfen nicht unten, sondern
‚mehr oben, und werden mit dem allmählichen Abló- e
sich an der Oberfläche zu öffnen. Die Öffnungen wer- -
De laa s
EOS uU ut S TELE
satzstelle an die Cuticular-Zellen. Der kleinere Kreis ` S
obachtet hat, nicht mit den kolbenartigen Organen von ©
145
des Sciences de Saint -Petersbourg.
146
sen der Epidermis abgestossen. Auf Durchschnitten
findet man oft an der glatten Oberfläche halbkreisför-
mige Gruben, in denen sie gelegen haben. In der un-
teren Lage der Epidermis finden sich stabförmige,
homogene, stark lichtbrechende Körper. Diese, wie die
kugelförmigen Zellen lassen sich leicht isoliren. Das
Verhältniss der stabfórmigen Körper zur Lederhaut,
so wie Untersuchungen über den Bau der Epidermis
anderer Fische werde ich die Ehre haben, der Aka-
demie in einer späteren Arbeit vorzulegen.
Erklärung der Abbildungen.
Fig. 1. Die Epidermis im Durchschnitt;
a) junge Drüse ohne Öffnung,
b) ältere Drüsen mit kleiner Öffnung und körner-
reich,
c) ausgewachsene Drüsen,
d) zusammengefallene Drüse, die mit der Zeit zu
Grunde geht. — Man findet sie öfters.
Fig. 2. Die Epidermis von oben gesehen;
a) Cuticular- Zellen,
b) der grosse Kreis entspricht der eigentlichen Öff-
nung der Drüse,
c) der kleine ist höher in der Cuticula gelegen.
Fig. 3. Das untere Ende einer Drüse stark vergrós-
sert, um zu zeigen, dass hier von keinem Kerne
die Rede sein kann.
Fig. 4. Cuticular-Zellen.
Fig. 5. Zellen der unteren Lage.
Neue Versuche über die Hemmungsmechanis-
men im Gehirn des Frosches, als Erwiede-
rung auf die im Laboratorium des Hrn. M.
Schiff ausgeführten Untersuchungen '!); von
J. Setschenow. (Lu le 17 novembre 1864.)
Im Laboratorium des Hrn. M. Schiff und unter
seiner Leitung sind meine Versuche über die Reflex-
hemmungen im Frosche (Setschenow, Physiol. Stud.
üb. e Hemm. im Geh. des Frosch. Berlin 1863) durch
1olt worden. Die Ergebnisse
dieser neuen Versuche ged? in mancher Beziehung ganz
verschieden von den meinigen, und natürlich mussten
LLAIUEIRE Le
1) Die Abhandlung, PP a diese Versuche enthält ei
sur les centres modérateurs de l’action réflexe, Turin 1864), ist m
ohne den Namen des Verfassers zugekommen, weshalb ich veh
thigt bin, Hrn. M. Schiff selbst zu antworten.
Hr. Schiff und sein Schüler auch zu anderen allge-
meinen Schlüssen kommen: sie verwerfen die Existenz
der Hemmungscentra im Gehirne, welche ich auf Grund
meiner Untersuchungen angenommen habe.
Der Hauptunterschied zwischen unseren Ergebnis-
sen ist im Kurzen folgender. Ich habe gefunden, dass
1) Reizung des Gehirnes von den Thalami optici an
bis zur oberen Gränze des verlängerten Marks im-
mer eine Depression der Reflexthätigkeit des Rük-
kenmarks nach sich zieht;
2) dass letztere dagegen stets ausbleibt, wenn man
das Rückenmark unterhalb der Rautengrube reizt;
3) dass an einem gekópften Thiere die Reflexe in
Folge einer starken sensitiven Reizung nie depri-
mirt werden; dass dies dagegen
4) immer mehr oder minder stark geschieht, wenn
am Thiere das verlängerte Mark oder auch noch
die Vierhügel intact gelassen werden.
Die erste Thatsache im Verein mit der zweiten
bestimmte mich zur Annahme, dass die hemmenden
Mechanismen nur im Gehirne lügen; die dritte im
Verein mit der letzten liess ferner glauben, dass die
Hemmungsgebilde als Nervencentra zu betrachten
sind, weil sie auf reflectorischem Wege erregt werden
kónnen.
Weitere Gründe für die Specificität der Hemmungs-
gebilde im Gehirne des Frosches ausser ihrer speci-
fischen Lage konnten von mir damals nicht beigebracht
werden.
Es muss noch ausdrücklich bemerkt werden, dass
alle Reflexe von mir mittelst Säurereizung der Haut
gewonnen wurden.
Hr. Schiff und sein Schüler kamen nun bei Wie-
derholung meiner Versuche, wie gesagt, theilweise
zu anderen Resultaten.
Meine unter 1) und 4)angeführten Thatsachen wur-
den von ihnen bestätigt; sie fanden aber gleichfalls eine
der Reizungsstürke entsprechende Depression der Re-
flexe, wenn das Rückenmark, sei es direct oder re-
flectorisch, gereizt wurde. Kurz sie fanden, dass wenn
überhaupt ein beliebiger, ziemlich bedeuten-
der centraler oder peripherischer Theil des
Nervensystems gereizt wird, eine starke und
"| durch den ganzen Körper verbreitete Reflex-
depression unmittelbar darauf erfolge. Das We-
147
Bulletin de l'Académie Impériale
148
sen dieser Erscheinung wird von ihnen folgendermaas-
sen aufgefasst: die ungeheuer starke mechanische
oder chemische Reizung des Nervensystems versetzt
dasselbe in einen Zustand (der Ermüdung?), in wel-
chem es für schwächere Reize unempfindlich wird.
Endlich soll nach Hrn. Schiff und seinem Schüler
die graue Substanz die Bahnen darstellen, welche diese
deprimirende Wirkung durch das ganze Nervensystem
verbreitet.
Nachdem auf diese Weise Hr. Schiff nebst Schü-
ler die Theorie der Hemmungscentra im Gehirn des
Frosches umgestürzt, stellen sie einige theoretische
Betrachtungen über die Untersuchungen des Dr. Mat-
kiewicz (Henle u. Pfeuff. Zeitschr. XXI B.), be-
treffend die Wirkung einiger Gifte auf die Hemmungs-
centra, an (ohne jedoch seine Versuche wiederholt zu
haben). Es geschieht dies natürlich um seine Resul-
tate von ihrem eigenen Standpunkte aus zu erklären.
Endlich stellt der Schüler des Hrn. Schiff einige
neue Versuche an, welche die Theorie seines Lehrers
über die Bedeutung der Weite der Erregungsbahnen
für die Stärke der Reflexaction vollkommen bestätigen
sollen. |
Nachträglich wird ein Ausfall gegen die Theorie
der Vagushemmung, sowie gegen die Hemmungswir-
kungen im Körper überhaupt, gemacht.
Ich gehe jetzt zur Wiederholung meiner Versuche,
welche durch meine Gegner nicht bestätigt worden sind,
über. Die Beschreibung dieser neuen Experimente
wird ziemlich klar darlegen, durch welche Umstände
die Verschiedenheit unserer Resultatate bedingt wird.
Zunächst will ich aber die Gründe auseinandersetzen,
welche mich bestimmten, die Reflexe wieder mittelst
Säurereizung (nach der Türk’schen Methode) zu er-
wecken und die Querschnitte des centralen Nerven-
systems nur chemisch zu reizen.
Die Einwände gegen das Verfahren der Säurerei-
zung von Seiten meiner Gegner sind .entschieden ohne
Bedeutung: einem geköpften Frosche kann man die
Pfoten mehr als 10 Mal hintereinander in eine
schwache, aber für den Geschmack noch deutlich
saure Lösung eintauchen, und die Beine werden stets
nach Verlauf einer und derselben Zeit vom Thiere her-
ausgezogen; nur muss man hierbei die Pfoten, nach
jedem Eintauchen in Säure, in reinem Wasser wieder
abspülen. Insofern aber alle unsere Versuche die Be-
stimmung solcher Veränderungen bezwecken, welche
nicht lange nach der Reizung bestehen, so genügte für
sie schon ein 2- bis 4maliges Eintauchen.
Ein weiterer Grund, weshalb ich von der mecha-
nischen Hautreizung auch jetzt keinen Gebrauch
machte, besteht, abgesehen von der Untauglichkeit
dieses Verfahrens, wenn man schwache Veränderun-
gen des Reflexvermögens beobachten will, in der Er-
fahrung, welche ich schon bei meinen früheren Ver-
suchen gemacht habe, dass nämlich die Effeete der
Hirnreizung an den bekannten Stellen nicht dieselben
sind, wenn man statt der Säure — eine rasche mecha-
nische Reizung (z. B. das Kneifen) zum Hervorrufen
der Reflexe benutzt). Diese Anmerkung findet man
zu Anfang meiner früheren Abhandlung (l. c. pag. 4).
Später hat bei Wiederholung meiner Versuche Prof.
Ludwig dasselbe bemerkt und es mir brieflich mit-
getheilt. Endlich enthält die Arbeit von Dr. Matkie-
wicz die ganz richtige Beobachtung, dass in einem
mit Alkohol vergifteten Frosche die Reflexe auf me-
chanische Hautreizung früher erlóschen, als die mit-
telst Säure hervorgerufenen. (Wenn Hr. Schiff und
sein Schüler diesen Versuch wiederholt hätten, so
würden sie kaum zu ihrer sonderbaren Erklärungs-
weise desselben kommen). Die Gesammtheit dieser
Thatsachen zeigt nun augenscheinlich, dass die me-
chanisch und chemisch hervorgerufenen Reflexe ge-
trennt von einander untersucht werden müssen, was
ich in Zukunft auch beabsichtige. Vorläufig handelt
es sich aber um die Wiederholung meiner früheren,
ausschliesslich durch Süurereizung gewonnenen Re-
sultate. Sa
Was das Verfahren, die centralen Nervenmassen
zu reizen, betrifft, so haben meine Gegner entschie-
den Recht, wenn sie behaupten, dass hier die chemi-
sche Reizung viel sicherer wirke, als die Durch-
schneidungen. Auch bediente ich mich bei Wieder-
holung meiner Versuche ausschliesslich dieser Rei-
zungsweise, mit dem einzigen Unterschiede von mei-
2) Aus dem Gesagten darf natürlich nicht geschlossen werden,
dass es für die mechanisch hervorgerufenen Reflexe keine Hem-
mungen im Kórper giebt: solche sind immer zu beobachten, yer
man die Querschnitte der centralen Nerventheile sehr
anhaltend reizt, wenn also die Reizung tiefere Schichten der
vensubstanz erreicht.
se
149
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
150
nen Gegnern, dass ich eine verschieden starke Rei-
zung anwandte, sie aber die Kochsalzkrystalle auf den
Querschnitten des Nervensystems stets einige Minuten
lang liegen liessen. Es muss ausserdem bemerkt wer-
den, dass ich das Gehirn nur in der Gegend der Thal.
opt. reizte, weil die Reflexdepression von hier aus am
stärksten und am reinsten zu erzeugen ist.
Indem ich jetzt zur Beschreibung meiner Versuche
übergehe, will ich zuerst die Angabe meiner Gegner
prüfen, ob wirklich die Reizung des Rückenmarks von
der Peripherie aus eine Reflexionsdepression nach
sich zieht. Durch die Beantwortung dieser Frage wer-
den, wie man sehen wird, neue Gesichtspunkte für
die Sache gewonnen. Ich habe bekanntlich diese Frage
auf folgende Weise zu entscheiden gesucht: nachdem
an einem geköpften Frosche das Reflexvermögen des
Rückenmarks mittelst Säure und Metronomschläge
bestimmt worden war, reizte ich die Haut am Bauche
oder am Rücken des Thieres durch eine stark erhitzte
metallene Platte oder mittelst starker Säurelösung.
und bestimmte abermals das Reflexvermögen des
Frosches, nachdem die durch starke Hautreizung her-
vorgerufenen Reflexe sich beruhigt hatten. Bei Wie-
derholung der Versuche in dieser Form kam ich zu
denselben Resultaten wie früher, d. h. ich beobach-
tete auch diesmal keine Depression der Reflexe. Bei
derartigen Versuchen ist aber von meinen Gegnern
eine viel bessere Methode der Reizung als die meinige
angewandt wordeu?): sie reizen chemisch den bloss-
gelegten Stamm des n. ischiat. oder n. tibialis auf ei-
ner Seite und bestimmen die Veründerungen des Re-
flexvermügens am andern Beine, zur Zeit, wo die
sensitive Reizung noch unzweifelhaft fortdauert. Eben
wegen dieses letzteren Umstandes ist ihre Reizungs-
weise der meinigen vorzuziehen; auch sind die Re-
sultate solcher Versuche ziemlich constant.
1) Wenn man zum Hervorrufen der Reflexe an
einem Bein dasselbe in eine Säurelösung von
deutlich saurem Geschmack taucht, so ist
bei gleichzeitiger chemischer Reizung der
Nervenstämme des andern Beines keine De-
pression der Reflexe zu sehen; man findet im
3) Die andern von ihnen in dieser Richtung angestellten Ver-
suche haben wenig oder gar keine Bedeutung; zu den erster
hóren Versuche bei Strychninvergiftung, weil hier das Rückenmark
bekanntlich sehr erschópfbar ist; zu iier Versuchen zweiter Art
gehören Ausreissen des Plexus ischia
Gegentheil das Reflexvermögen zu Anfang der Rei-
zung eher zu- als abgenommen. Die Erscheinung
hat im Allgemeinen folgenden Charakter:
In beiden Versuchen, die ich als Beispiel an-
führe, ist das Rückenmark unterhalb des Plexus
brachialis durchschnitten und das Gehirn zerstört
worden.
Rechtes Bein, vor der Reizung *):
ES,
7
Reizung des blossgelegten m. tibial. linkerseits mittelst Kali
caust.:
3—4
ka
3 — 4 } innerhalb 3.
5—6 |
4—5
Rechtes Bein, vor der Reizung:
5—6
5—6
Reizung mit Kali:
3— 4 |
7 — 4 innerhalb 2".
Neue Reizung:
2) Ist dagegen die zum Hervorrufen der Re-
flexe an einem Bein angewandte Sáure so
schwach, dass sie von der Zunge kaum als
solche erkannt werden kann, so hat starke
Reizung der Nervenstämme des andern im-
mer eine Depression der Reflexe zur Folge;
aber auch hier gelingt es manchmal, zu An-
fang der Reizung eine rasch vorüberge-
hende Beschleunigung der Reflexe zu be-
obachten. Ich führe als Beispiel zwei Versuche
an, bei welchen die Reflexdepression am stürksten
war. In beiden Versuchen wurde eine und dieselbe
Säure angewandt. Das Thier wurde, wie früher,
unterhalb des Plexus brachialis ARR und das
Gehirn zerstört. .
stp Die Ziffern bedeuten die Hundertstheile einer Sekunde (ge-
zählt an den Schl ágen eines Metronoms), welche verstrichen vom
Eintauchen der Pfote in Säure bis zu dem Moment, in welchem sie
sich reflectoriseh bewegte. e
151
Bulletin de l’Académie Impériale
152
L | IL.
Rechtes Bein, vor der Reizung. | Rechtes Bein, vor der Reizung.
T Ai vd 8
5 7
4 8
7 6
= a 10
Kali auf den n. £ibial. sin. 8_—_9
ag | 7
121% | Kniff der linken Pfote mit
21 ` | der Pincette:
36 | 11
| 16
|. Ruhe
e 9
7 —8
Mechanische Reizung der
Pfote:
16 — 17
Ruhe:
20
. Starke mechanische Reizung:
| 26
Somit haben Hr. Schiff und sein Schüler entschie-
den Recht, wenn sie behaupten, dass eine starke Er-
regung des Rückenmarks von der Peripherie aus das
Reflexvermógen desselben herabdrückt und ihre Auf-
fassung des Wesens dieser Reflexdepression ist in
diesem Falle die natürlichste. Die angeführten Ver-
suche zeigen in der That sehr deutlich, in welchem
innigen Zusammenhange die Intensität der Reflexer-
scheinungen bei gleichzeitiger, directer Reizung des
Nerveustammes des einen Beines mittelst Kochsalz
und der Haut des andern mittelst Säure, mit dem re-
lativen Grade dieser beiden Reize steht.
Es verlieren dadurch allerdings meine Versuche,
die Hemmungscentra von der Peripherie aus zu erre-
gen, ihre Bedeutung. Nur so viel kann man sagen,
dass die Erregung des Nervensystems von der Peri-
pherie aus bei Vorhandensein des verlängerten Marks
von einer bedeutenderen Sehwüchung des Reflexver-
mógens begleitet ist, als in dem Falle, wo das Rücken-
mark allein gereizt wird; d. h. die Reflexdepression
besteht bei vorhandener Med. obl. noch für solche Sáu-
regrade fort, bei welchen sie ohne dieses Organ nicht
mehr zu beobachten ist.
Bei den früheren Versuchen bestand mein Versehen
erstens darin, dass ich mich einer Säurelösung der-
selben Concentration bediente, welche zu den Experi-
menten über die Hirnreizung angewandt worden war
(also einer zu starken); zweitens darin, dass ich die
Nachfolgen der sensitiven Reizung und nicht ihre un-
mittelbare Einwirkung beobachtete.
Nachdem auf diese Weise die Reflexdepression in
Folge sensitiver Reizung festgestellt ist, muss man
bei Reizung der Querschnitte der centralen Nerven-
massen immer auf den Umstand bedacht nehmen, dass
bekanntlich die sensiblen Nervenfasern nach ihrer
Einsenkung in die centralen Nervenmassen noch eine
Strecke weit durch die üblichen Reizmittel erregbar
sind, und dass solche Nervenfasern sich leicht in dem
zu reizenden Querschnitte befinden kónnen. Ferner
muss man ein Mittel zur Unterscheidung für die Fälle
suchen, in welchen die Reflexdepression in Folge sen-
sitiver Reizung (d. h. durch die Einwirkung von Salz
auf die sensiblen Nervenfasern) oder aus einem andern
Grunde hervorgingen. Es ist ohne weiteres klar, dass
dies absolut nothwendig ist, weil man sonst auf sensi-
tive Reizung auch solche Fälle von Reflexdepression
zurückführen würde, welche entschieden eine andere
Ursache haben. Glücklicherweise ist diese Aufgabe
leicht zu lösen, und gerade an dem Orte, von wo aus
die Reflexe am stärksten deprimirt werden, nämlich
am Querschnitte der Thal. opt. Da von diesen Thei-
len des Gehirns bekanntlich kein einziger Nerv ent-
springt, so dürfte füglich seine Substanz als frei von
sensiblen Nervenfasern zu betrachten sein; und man
könnte also die Querschnitte der Thalami ohne Beden-
ken reizen. Eine Gefahr des Irrthums besteht aber
darin, dass zugleich mit den Sehhügeln die Rami ophth.
trigem. durchschnitten werden, und folglich von der
chemischen Reizung mit getroffen werden, und dass
möglicherweise von ihnen die Reflexdepression abhän-
gig sein kann. Um die Sache zu entscheiden braucht
man nur vor Beginn der Reizung der Sehhügel beide
Trigeminusstimme an ihren Ursprungsorten, ‚welche
ziemlich weit von dem Querschnitte der Sehhügel lie-
gen, zu durchschneiden, wodurch dann ihre sensitive
Erregung ausgeschlossen wird und der Effect der Seh- d
hügelreizung klar zu Tage liegt. 3
153
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
154
FR habe bei solchen Versuchen eine ebenso starke
ion erhalten, als es ohne vorherige Durch-
ee der Trig tä öhnlich der Fall
ist. Folgender Versuch möge als Beispiel dienen:
Durchschneidung der Thal. opt. und beider Trigeminusstämme.
— Ruhe von !/, Stunde. — Beide Beine in Säurelösung.
6— 7
6— 7
7— 8
Kochs. aufgel. D — 10
4%, später | > 100
Das Resultat ist klar: die Reflexdepression kann
auch unabhängig von der Einwirkung des Salzes auf
die sensiblen Nervenfasern auftreten ; sie ist also in
einer Erregung der Nervensubstanz selbst begründet.
Meine Versuche mittelst chemischer Reizung der
Rückenmarksquerschnitte, zu deren Beschreibung ich
jetzt übergehe, bieten weitere Belege für den so eben
ausgesprochenen Satz dar. Zuvor muss ich aber die
Erfahrungen meiner Gegner in Bezug auf die Erfolge
der chemischen Reizung erwähnen.
Sie führen als Beispiel nur einen Versuch an?) (1. e
p. 22), bei welchem das Rückenmark gleich unterhalb
der Rautengrube durchschnitten und chemisch gereizt
wurde. Sie scheinen ihre Beobachtung an den vor-
deren Extremitäten angestellt zu haben, denn von den
hinteren ist in der Beschreibung ihres Versuches nicht
die Rede. Sie führen weiter für das Reflexvermögen
keine Zahlen an, folglich sind ihre Versuche nicht
nach der Türk’schen Methode angestellt worden.
' Bezüglich dieses Versuches erlaube ich mir eine
kleine Bemerkung: der Ort der Rückenmarksreizung
liegt dem Ursprungsorte des Plerus brachialis so nahe,
dass die Kochsalzkrystalle, welche bei diesem Versuche
im Ganzen 5’ lang liegen blieben, die Reflexe der
vorderen Extremitäten nicht nur deprimiren, sondern
auch vollkommen paralysiren konnten.
Der Schluss aus den (wahrscheinlich?) auf diese |
Weise angestellten Experimenten lautet bei den Hrn.
5) Die zwei andern (pag. 23 1. c.) berühren die Frage indirect:
x erste soll = e TEM der Rückenmarksdurch-
chneidnng dadu | urch vorherige Hirnreizung
bewickte rede nicht. gleich verschwindet, wenn man 2
Rückenmark durchschneidet. Die i cum "aber so erklärt
werden: wenn die Rü in irgend
welchen Zustand verseszt werden, 80 "eeng in p dieser Zustand
in Form positiver Nachweisung eine Zeit lang VM er die Bedeu-
tung des zweiten Versuchs wird spáter die Rede
Schiffnebst Schüler so: «in allen unsern Versuchen be-
wirkte die mechanische» (warum diese, wenn sie selbst
zugeben, dass die chemische wirksamer ist?) «oder che-
mische Reizung des Rückenmarks gleich unterhalb
der Rautengrube und selbst um 1 Millim. tie-
fer eine ebenso starke und mit der Reizungs-
stärke steigende Reflexdepression, wie es bei
Reizung der Sehhügel der Fall ist».
Bei Wiederholung dieser Versuche reizte ich das
Rückenmark dicht unterhalb der Rautengrube oder
gleich unterhalb der Intumescentia brachialis. Den letz-
teren Ort wählte ich erstens deshalb, weil meine Gegner
bei ihren Versuchen nicht so tief herabsteigen woll-
ten [um also das Bild der Reflexdepressionen in Folge
der Rückenmarksreizung zu vervollstündigen], zwei-
tens weil ich dadurch aus den Versuchen erster Reihe
den móglichen Effect der Reizung hinterer Wurzeln
für die vorderen Extremitüten auszuschliessen hoffte.
Es ergab sich aber im Verlaufe dieser Versuche, dass
die Wirkung des Kochsalzes auf die hintern Rücken-
markswurzeln immer durch eine Reflexbewegung sich
kundgiebt, so dass man in dieser Erscheinung ein
sicheres Criterium zur Unterscheidung besitzt, ob die
Reizung bloss die centralen Nervenmassen oder zu-
gleich auch die hintern Wurzeln getroffen hat.
A, Reizung des Rückenmarks gleich unterhalb der Rauten-
e.
1) Schwache (Berührung des Querschnitts mit einem
in Kochsalzlósung getauchten Pinsel) und starke
(durch das Liegenlassen der Kochsalzkrystalle auf
dem Querschnitte bewerkstelligte) chemische Rei-
zung des Rückenmarks, verbunden mit einer für
den Geschmack deutlich sauren Lósung zum Her-
vorrufen der Reflexe am Beine, bewirkt keine be-
stimmbare Reflexdepression.
2) Wenn dagegen die Säurelösung so Gelee?
wird, dass sie kaum sauer schmeckt, so bewirkt
eine starke Kochsalzreizung des Rückenmarks im-
mer eine Depression der Reflexe, welche aber un-
vergleichbar schwächer ist, als die ‚entsprechende
Erscheinung in Folge vc von. Sehhügelreizung ; hier
ontwirkalt eieh oohr
VIUWIVYBDBVUIU
allmählich, — bei. Hirnreizung dagegen. sehr rasch.
Die Reflexdepression in Folge der Rückenmarks-
reizung kann unabhängig von der Einwirkung des
155
Bulletin de l’Académie Impériale
156
Salzes auf die hintern Rückenmarkswurzeln auftre-
ten, weil sie auch dann zum Vorschein kommt,
wenn die Reizung des Querschnitts keine Reflex-
bewegungen auslöst. Wenn aber diese letztere Ein-
wirkung sich zur ersten hinzugesellt, so kann man
oft eine rasch vorübergehende Steigerung des Re-
flexvermögens beobachten, welche gleich darauf in
eine um so stärkere Depression übergeht, da jetzt
beide Momente zusammen deprimirend wirken. [Ich
muss dennoch gestehen, dass ich Steigerung der
Reflexe auch ohne vorherige Reflexbewegung gese-
hen habe.] Die Reflexdepression bleibt nichtsdesto-
weniger auch in diesem Falle unvergleichbar schwä-
cher, als die entsprechende Erscheinung bei Hirn-
reizung.
Ich führe beispielsweise von vielen derartigen Ver-
suchen nur zwei an, in welchen die Depression der
Reflexe am stärksten ausgeprägt war, und einen drit-
ten, bei welchem eine vorübergehende Steigerung des
Reflexvermögens bemerkt wurde. Bei allen diesen Ex-
perimenten geschah die Reizung mittelst Kochsalz-
krystallen, welche während der ganzen Dauer der Ver-
suche anf dem Querschnitte liegen blieben.
Ohne Reizung. Ohne Reizung. Ohne Reizung.
4. 5—6 5-6 5—6 6
5. 5—6 5-6 5—6 6 7
Nach d.Reiz.. ,, . Nach d. Reiz.| 1; * an Nach d. Reiz.\unmit-
8 8 1 un a Hd 5 Le og
ur MU's #14
10 12), „us. „in 3 ^| 6 "ERN
ED. Vue SUL pU g! 1 SP.
23 27|9spiog ^ ais |14 10-11]? **
Man braucht die angeführten Zahlen nur mit denen
zu vergleichen, welche bei Reizung der Thal. opt. ge-
wöhnlich erhalten werden, um den colossalen Un-
terschied zwischen beiden Effecten zu sehen; dabei
muss man ausserdem nicht unbeachtet lassen, dass
die Sáurelósung bei Hirnreizung fast 2 Mal stürker
sein kann, als die zu dem beschriebenen Versuche am
Rückenmark verwandte.
Jedenfalls haben aber meine Gegner Recht, wenn
sie behaupten, dass bei der Reizung des Rückenmarks-
querschnitts unterhalb der Rautengrube die Reflexe
deprimirt werden. Andererseits verfallen sie aber in
einen Irrthum, wenn sie behaupten, dass hier die
Reflexdepression ebenso stark wie bei den Hirnrei-
zungen sei — in allen meinen Versuchen ohne
Ausnahme war sie sehr schwach.
B. Reizung des Rückenmarks gleich unterhalb der Intu-
mescentia brachialis,
Starke chemische Reizung des Rückenmarksquer-
schnitts an diesem Orte, falls die sensiblen Wurzeln
davon verschont bleiben (wenn also keine Reflexbe-
wegung in Folge der Reizung eintritt), bewirkt eine
so schwache Reflexdepression, dass diese nur mit
Mühe entdeckt werden kann. Das Mittel dazu ist wei-
tere Abschwüchung der Sáurelósung gegen die in den
vorigen Versuchen gebrauchte Stärke derselben. Man
muss aber mit dieser Säureabschwächung vorsichtig
vorrücken, weil endlich die den Zustand des Reflex-
vermógens ausdrückenden Zahlen auch ohne alle äus-
seren Einwirkungen auf das Rückenmark zu schwan-
kend werden.
Es muss noch bemerkt werden, dass hier die Koch-
salzkrystalle nicht über 3 — 5' am Querschnitte des
Rückenmarks gehalten werden dürfen, weil der Rei-
zungsort den in die Thütigkeit zu versetzenden re-
flectorischen Centra zu nahe liegt.
Ich führe als Beispiele einige Versuche an. In dem
lsten sieht man eine nach der Reizung unmittelbar
und ohne vorhergehende Reflexbewegung eintretende
Reflexsteigerung, welche nachträglich einer schwachen
Depression Platz macht; im 2ten ist eine Reflexde-
pression in Folge von Salzeinwirkung auf die sensi-
blen Wurzeln zu sehen; die zwei letzteren endlich
sind bestimmt die Unzulüssigkeit zu schwacher Säu-
relósungen zu zeigen; zu diesen beiden Versuchen
diente eine und dieselbe Säure; im 3ten war das
Rückenmark chemisch gereizt, im 4ten nicht.
1. 2, *
Ohne Reizung. Ohne Reizung.
19-11 .6—7 5—6 7—8
9 7 3—4 5-6
Nach der Reizung. Nach der Reizung.
3—4 5-6 2-3 u
5-6 5-6 4-5 er
10 9 y e, 3
10 15 5’ später. | Das Thier macht eine Reflex-
10 11 bewegun :
9 13 *
10: 11-12 -10 10
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
158
157
3. 4.
Ohne Reizung. Ohne Reizung.
1 Bea 17 14-15 7 > 37
Das Thier AN von selbst 19 > 40
> pr” i >50 < 50
21 50 > 100 > 100
20 43 Die Säure ist verstärkt.
21 26 21 28
29 18 29 23
Nach der Reizung. Reizung.
>50 >50
31 >50 55 33
Es kommt also in der That den centralen Nerven-
massen die Fähigkeit zu, durch chemische Reize direct
erregt zu werden, wobei die von diesen Theilen ab-
hängigen Reflexerscheinungen mehr oder minder ge-
schwächt werden. Diese Einwirkung ist am stärk-
sten ausgeprägt, wenn die Substanz der Sehhügel
gereizt wird; — bedeutend schwächer bei Reizung des
Rückenmarks an seiner oberen Gränze ; — endlich fast
gar nicht zu beobachten, wenn die tiefern Partien
des letztern Organs erregt werden. Wenn man bedenkt,
dass die Sehhügel das oberste und das am meisten
wirksame Glied in derjenigen Kette darstellen (Rei-
zung der Hemisphären übt ja keine deprimirende Wir-
' kung auf die Reflexe aus), welche bei ihrer Reizung
die Reflexe deprimirt, so drängt sich unwillkührlich
der Gedanke auf, die Wirkung dieser Kette mit der
eines motorischen Nerven zu vergleichen, wo der
Effect der Reizung um so intensiver ausfällt, je ent-
fernter vom Muskel diese den Nerven trifft. Damit
aber diese Analogie einen Sinn hätte, müsste man erst
beweisen, dass die verschieden hoch gelegenen Glie-
der dieser Kette wirklich überall gleich sind, mit an-
dern Worten, man müsste beweisen, dass die Reflex-
depression überall durch Reizung gleichbeschaffener
Nervengebilde bedingt wäre.
Die Annahme meiner Gegner, dass es die graue
. Nervensubstanz sei, welche die deprimirende Wirkung
der Erregung leitet, gründet sich bloss darauf, dass
diese Wirkung sich durch das ganze cerebro-spinale
Nervensystem ausbreitet. Da diese Voraussetzung
wohl möglich wäre, so will ich sie etwas näher prüfen.
Dabei muss natürlich jede deprimirende Wirkung sei-
tens der sensitiven Erregung ausser Acht gelassen und
nur die Effecte der directen chemischen Reizung der
centralen Nervenmassen in Betracht gezogen werden.
Die Fortpflanzung der Wirkung erster Art bietet in
der That alle Charaktere der leitenden Vorgänge in-
nerhalb der grauen Nervensubstanz dar — sie breitet
sich, wie man gesehen hat, allseitig aus.
Unsere jetzige Aufgabe besteht demnach in der
Beantwortung der Frage, ob die Reflexdepression in
Folge directer Reizung der centralen Nervenmas-
sen ebenfalls sich allseitig ausbreitet oder nicht. An
Rückenmarksquerschnitten ist diese Frage schwer zu
lösen, weil hier die Reizung sensibler Wurzeln nicht
zu vermeiden ist, an dem Sehhügelquerschnitte aber
kann man diese, die Erscheinung complicirende Ein-
wirkung beseitigen, indem man die beiden Trigemini
durchschneidet. Die Beschreibung der folgenden Ver-
suche wird aber zeigen, dass selbst diese Operation
sich als unnöthig erwiesen hat.
Die Versuche hatten folgende Form: dem Thiere
wurden die Thal. opt. ganz — und das Rückenmark,
entweder an dem Abgangsorte des Plexus brachial. oder
um ein Paar Millim. tiefer, zur Hälfte (in allen Ver-
suchen rechts) durchschnitten. Ferner bestimmte ich
die Stärke der Reflexe an beiden hintern Extremitä-
ten, reizte hierauf die Sehhügelquerschnitte stark
mit Kochsalzkrystallen und maass abermals das Re-
flexvermögen der Beine. Es sind von mir im Ganzen
28 solcher Versuche angestellt worden. In 6 Fällen
war keine Spur von Reflexdepression auf der hyper-
ästhesirten Seite (d. h. auf der Seite des Rücken-
marksdurchschnittes) des Thieres zu sehen, in 14 an-
dern war sie sehr schwach ausgeprägt, endlich in den
übrigen 8 war die Depression auf beiden Seiten sehr
stark, doch blieb auch in diesen Fällen die hyper-
ästhesirte Seite immer empfindlicher, als die entge-
| gengesetzte.
Ich führe als Beispiele je drei Versuthe aus jeder
Kategorie der Fälle an.
Erste Kategorie. gs ad
Vor der Reizung. -
Vor der Reizung. | Vor der Reizung.
11 7 18 7—8] 10 E H
Nach der Reizung. | Nach der Reizung. ' dë
28 7 | >60. Ee, az
SU o f, | 60.7;
Salz entfernt. Ruhe. Ruhe. RR ag! entfernt. Ruhe.
fre quim EUR 7
Reizung. Reizung.
>60 260 77 7
Bulletin de l'Académie Impériale
160
Zweite Kategorie.
Vor der Reizung. | Vor der Reizung. | Vor der Reizung.
>20 3 7 4
Nach der Reizung. Nach der Reizung. | Nach der Reizung.
>60 IP 17.000 14 | >60
> 60 13 17060 20 | => 100 5
15
Dritte Kategorie.
Vor der Reizung. | Vor der Reizung. | Vor der Reizung.
20 12 11 Ras ti 3 8
31 17 8 7 | Nach der Reizung.
Nach der Reizung. | Nach der Reizung. | 8
> 60 31 32? 34 | Convulsion. Ruhe.
>60 760 Rule. Neue Reizung! > 60 35
| 43 | >60 60
Säure verstärkt.
>80 16
Darauf folgt eine Reihe von Versuchen, wo nur
das hintere Viertel (wieder rechts), also die hintern
und ein Theil der seitlichen Stränge des Rückenmarks,
durchschnitten war. Dabei wurde die Depression für
die angewandte Säure zu beiden Seiten gleich stark,
obgleich auch jetzt die hyperästhesirte Extremität für
eine stärkere Säurelösung gewöhnlich empfindlicher
blieb. Es muss ausserdem bemerkt werden, dass hier
die halbseitige Hyperästhesie vor der Reizung ebenso
stark ausgeprägt ist (insofern dieselbe durch die An-
zahl der Metronomschlüge ausgedrückt wird), wie wenn
die ganze Rückenmarkshälfte durchschnitten wäre.
Beispiele:
Vor der Reizung. | Vor der Reizung. | Vor der Reizung.
15 9 7 9—4]| 4 i
14 5 Reizung. Nach der Reizung.
Nach der Reizung. | >60 >30 4
>60 >60 | >60 >60 4
Ruhe. Säure bedeut. verst. 11
>50 >50 | 4—5 4 >60
Säure verstärkt. Säure verstärkt.
>40 14 E
Endlich machte ich Versuche, bei welchen nur das
vordere Viertel (rechts) des Rückenmarks, also die
vorderen und ein Theil der seitlichen Stránge dieses
Organs, durchschnitten wurde. Hierbei waren die Re-
sultate die nümlichen, wie bei totaler Durchschnei-
dung der Rückenmarkshälfte (bei 9 Versuchen war in
dreien keine Spur von Reflexdepression zu sehen).
Die halbseitige Hyperästhesie vor der Reizung war
aber jetzt schwücher ausgedrückt als in beiden oben
beschriebenen Fällen der Rückenmarksdurchschnei-
dung.
Beispiele:
Vor der Reizung. | Vor der Reizung. | Vor der Reizung.
5—6 —4 | 3—4 3—4 |9— 10
Nach der Reizung. | Nach der Reizung. | Nach der Reizung.
>60 4 9 5 >60
>60 4 12 5 >30.
4 >60 6—7 =
Salz entfernt. Ruhe.| > 60 5—6 SÉ e Ruhe.
>80 ER 10
4100 ., 9 Neue Reizung. `
Neue Reizung. 14;
5—6 23
5 i 23
6—7 23
Die Übereinstimmung zwischen den Resultaten der.
isten und der 3ten Reihe der soeben angeführten
Versuche einerseits, und die Verschiedenheit dieser
Resultate von denen der 2ten Reihe andererseits, zei-
gen augenscheinlich, dass die Bahnen für die Fort»
pflanzung der deprimirenden Wirkung der Sehhügel-
reizung vorzüglich in den vorderen Rückenmarksthei-
len liegen müssen, also keineswegs von der grauen
Substanz dieses -Orgaus dargestellt werden
kónnen, da diese ziemlich gleichmässig durch. die
vordern und die hinterm Theile. der Rückenmarks-
| querschnitte vertheilt ist. Die Resultate der Versuche
würden noch klarer ausfallen, wenn die Reizung der
Sehhügel nicht durch gleichzeitige Erregung der Tri,
geminusäste complicirt wäre. Nur diesem letztern.
Umstande kann nämlich die starke Reflexdepression.
auch auf der (in Folge von Durchschneidung der ganz
zen Hälfte oder nur des vordern Viertels des Rücken-
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
vollkommen entwickelt ist), wenn der Frosch noch ru-
hig bleibt; 2) sie ist dagegen immer vorhanden, wenn
das Thier während der Reizung deutliche Zeichen des
Schmerzes zeigt; 3) es giebt endlich bei meinen Geg-
nern einen Versuch (l. c. p. 34), an dessen Richtig-
keit ich keinen Grund zu zweifeln habe, in welchem
die einseitige Trigemi eine starke
Reflexdepression hervorrief.
Wenn somit die Fälle der starken Reflexdepression
auf der hyperästhesirten Seite in der 1sten und 3ten
Reihe als unwesentliche Nebenerscheinungen zu be-
trachten sind, so können sie wohl ausser Acht gelassen
werden; dann zeigen aber alle Versuche übereinstim-
mend und augenscheinlich, dass die Bahnen für die
Fortpflanzung der deprimirenden Sehhügelreizung in
den vorderen Rückenmarkstheilen und nicht
in der grauen Substanz dieses Organs liegen.
Diese Bahnen können also nur durch die weisse
Substanz der vordern Rückenmarksstränge
dargestellt werden.
Somit ist aber die specifische Natur der Or-
gane, welche bei der Reizung der Thal. opt. auf
die Reflexe des Rückenmarks deprimirend wir-
ken, festgestellt worden. Man kann ferner glau-
ben, dass die schwache Reflexdepression in Folge der
Reizung des Rückenmarks gleich unterhalb der Rau-
tengrube, insofern sie von der sensitiven Reizung un-
abhängig ist, ihren Grund in der Erregung jener Ner-
venfasern findet, welche die reflexhemmenden Gebilde
des Gehirns mit den reflektorischen Rückenmarkscen-
tra verbinden. Dieser letztern Annahme steht nun
folgende Thatsache im Wege: es bleibt schwer erklär-
lich, warum die hemmenden Gebilde in den Sehhügeln
so leicht, — ihre Ausläufer dagegen, welche in den
vordern Rückenmarkssträngen eingebettet liegen, so
wenig für chemische Reize zugänglich sein sollten.
Die Sehhügel- und Rückenmarksreizung wird ausser-
dem von verschiedenen un begleitet.
So leidet bei Reizung der Thal. opt. die allgemeine
Beweglichkeit des Thiers (wenigstens in den ersten
Augenblicken nach der Reizung) gar nicht (minde-
stens ist dergleichen nicht wahrnehmbar), Reizung des
Rückenmarks ist dagegen mit einer zwar vorüberge-
henden aber deutlichen Schwächung der Muskelbe-
wegung verbunden — man kann nämlich dabei das
Thier an den Beinen ziehn, ohne dass es dem wider-
Tome VIII.
strebte*). Übrigens ist die letztgenannte Verschie-
denheit unwesentlich und kann leicht durch die Ver-
schiedenheit der Sehhügel und des Rückenmarks in
Bezug auf die in ihnen enthaltenen Organe überhaupt
erklärt werden.
Es existiren somit in den Sehhügeln des Frosches
specifische Gebilde, welche bei ihrer Erregung die
Reflexe des Rückenmarks hemmen und diese hemmende
Wirkung pflanzt sich durch die weisse Substanz der
vordern Rückenmarksstränge fort.
Was nun die Frage betrifft, ob die reflexhemmende
Wirkung der Sehhügelreizung etwa Folge der Erre-
gung von Hemmungsmechanismen oder einer Über-
reizung ist, so will ich Folgendes bemerken: es ge-
lingt bei der chemischen Reizung der Rückenmarks-
querschnitte oft, die Reflexthütigkeit dieses Organs
steigen zu sehen; wührend solches an den Sehhügeln
unter Hunderten von Versuchen kein einziges
Mal von mir beobachtet worden ist. Der nächste
Effect jeder Reizung der Sehhügel (selbst einer schwa-
chen) ist Depression des Reflexvermógens, mithin ist
letztere als eine Folge der Erregung von Hem-
mungsmechanismen zu betrachten.
Nachdem auf diese Weise die Existenz der Hem-
mungsgebilde im Gehirn des Frosches von Neuem er-
wiesen worden ist, behalten auch die Hauptresultate
der Untersuchungen von Dr. Matkiewicz, insofern
dieselben durch directe Reizung der Thalami opt. ge-
wonnen worden sind, ihre frühere Bedeutung. Die
Hauptergebnisse seiner Versuche bestehen in der That
darin, dass bei Strychnin-Vergiftung Reizung der Seh-
hügel mit Kochsalz die Reflexe deprimirt, bei Opium-
Vergiftung hingegen — nicht”), obgleich im erstern
Falle die Reflexkrämpfe heftiger als im letztern sind.
6) Diese unter dem Namen der Prostration des Thiers längst
bekannte Schwächung der Beweglichkeit ist bei Durchschneidung
des Rückenmarks ungleich stärker, als bei chemischer Reizung sei-
ner Querschnitte ausgedrückt, wahrscheinlich, weil der mechani- 1
sche Reiz gróssere Strecken der Nervensubstanz nach unten zu als
der chemische angreift. Bei Durchschneidungen ist ausserdem die
sensitive Erregung nach oben (in der Rich zum Gehirne) nicht
ganz ausgeschlossen. Wenn aber die Beweglichkeit der Glieder
leidet, so ist es kein Wunder mehr, dass die Reflexe nicht zu
Stande kommen.
7) Ich war erstaunt zu sehen, dass meine Gegner diese letzte
Thatsache, d. h. die Unwirksamkeit der game ge 75
zung bei Opium- Vergiftung ausser Acht gelass
mehr, als sie selbst wissen müssen, wie constant das Resultat Zeg
Reiting an normalen Thieren ist.
11
163
Bulletin de l'Académie Impériale
161
Sur deux questions d'analyse indéterminée pro-
posées dans le Journal: , Zeitschrift für Ma-
thematik und Physik“; par V. Bouniakow-
Sky *). (Extrait) (Lu le 20 octobre 1864.)
Le prince Buoncompagni, savant italien, si avan-
tageusement connu par ses publications concernant
l’histoire des Mathématiques et de la Physique en
Italie, a proposé, dans le n? 4 du Journal: Zeitschrift
für Mathematik und Physik (1864), les deux questions
suivantes qui se rapportent à l’ Analyse de Diophante:
Résoudre en nombres entiers les deux équations:
a+ (mer) (e+ 2r... (z--n — 1. 0 — v... (1)
a^ e (rer) Q)
Par analogie des matiéres, nous commencerons par
rappeler un Mémoire étendu de Euler, contenu dans
le 1° volume de l'ouvrage publié en 1849 par l'Aca-
démie des Sciences de St.-Pétersbourg: Euleri com-
mentationes arithmeticae collectae, Petropoli (page 193).
Dans cet écrit le grand géométre donne la solution
générale de l'équation indéterminée
Gr ärt, . .- (za-n — 1.7 — (ga-nry-....
Hp +=,
sans assujettir les nombres x, y, 2, comme dans le
problème de Buoncompagni, à la dn de former
une progression arithmétique. En outre, dans le 2?
volume de l'Algébre d'Euler, on trouve une solution
de cette méme équation pour le cas oü les trois in-
déterminées z, y, z doivent satisfaire à la dite condi-
tion, la différence étant égale à l'unité. Quant-à la
résolution des équations (1) et (2) pour un nombre
quelconque de cubes, personne, autant que je sache,
ne s'en est occupé.
Revenons à nos équations (1) et (2); et d'abord,
on trouve trés facilement que leur premier membre,
présenté sous forme finie, se réduit au produit
n EE Ze Ic try —-r)]...()
A l’aide de cette expression et des solutions auxi-
liaires que nous allons de suite faire connaître, on
obtient immédiatement, quelque soit », une infinité
de systèmes de valeurs pour x, r, et v qui satisfont à
l'équation (1).
*) Extrait de l'article russe: O des a60nwmnwa» eonpocazs
uss Jliofpaumoea anaausa n upos. publié dans les Sanuexu Hunepa-
moperoü Axadewiu Hayxs (T. VI, 1*' cahier, 1864, page 142).
Représentons par z,, r, et v, la solution auxiliaire
dont nous parlons; on aura, quelque soit n,
— (n — 2), y,-2,
Ainsi, par exemple, pour » — 6 et n — 7, il vient
un 9 09a te
— pP — 393 Up lee 55. PT
Cela posé, pour tirer d'une solution auxiliaire une
nouvelle solution de l'équation proposée, on fera va-
rier deux quelconques des trois quantités z, r et v,
x et v par exemple. On posera en conséquence
nb wh Lees mendi
9 =v, + fz — n = fz,
2 et f désignant de nouvelles indéterminées; quant-à
r, sa valeur r, — 2 reste, par hypothèse, constante.
La substitution de ces expressions dans l'égalité (1),
aprés y avoir remplacé le premier membre par le pro-
duit (3), conduira à l'équation
(f^ — n) ?+ 3n (f — 1) z + 3wf — n° — 2n = 0.
En faisant
Inf — n? — In — 0,
on obtiendra
2 + 9
[== nu ,
RDS UN (6)
2 SA
Ces valeurs de f et de z serviront à déterminer z
et v au moyen des formules (5); quant-à r, il conser-
vera, comme nous venons de le dire, sa valeur pri-
mitive égale à 2.
Les valeurs numériques de f et z étant en général
fractionnaires, il en sera de méme, le plus souvent,
de celles de x et v. Pour résoudre en nombres entiers
l'équation (1), il suffira, évidemment, de multiplier le
nombre r, — 2 ainsi que les valeurs trouvées de x et
v par le commun dénominateur de ces dernières. En-
suite, pour ne considérer que des solutions propres de
l'équation proposée, on cherchera le plus grand com-
mun diviseur de x et r, et on divisera les trois pis
bres x, r et v, par le plus grand commun diviseur.
L'application du vers qui vient. d'étre exposé
aux cas den — 3, 4s iB Kate aux identités sui-
vantes: :
165
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
149° + 256° + 363° — 408°.
Pr.
230° -+- 943? + 256° + 269 + 282° — 440". *
435° + 506° + 577° + 648° + 719° -+- 790° = 1155".
5535 4-710°+867°-+1024°4-181°+-1338°+1495°— 2128".
9g? + Mi 54? + 6P 80° OI 106° + 149? — 168".
Si, au lieu de faire varier x et v, on eût fait varier
c etr, our et v, ou bien encore les trois quantités
æ, r et v, on serait parvenu aux mêmes solutions que
celles qui viennent d'étre rapportées.
En partant d'une solution trouvée de la manière
qui vient d'étre indiquée, on en obtient de nouvelles
par le méme procédé. Ainsi, par exemple, la solution
esst, r—=1, ve,
qui fournit l'identité
1194 19/29 Lë 4- 14* — 20",
traitée de la méme manière que la solution auxiliaire
qo——2, = 2, w—4,
relative au méme cas, conduit, en posant
x—11+2 et v= 20 + fz,
à l'équation
(f* — 4) 2 2- 30 (2? — 5) z + 30 (40f — 63) — 0.
De là on tire
s 24400
nom tue m ME 77
et par suite
| EE ___ 5953 1880
Eco WES C — MB! — — E5058.
En faisant disparaître le dénominateur 5953, on
trouve
‘s= — 8917, "n, 255959;
ce qui donne l'identité
— 8917— 2964? + 2989? - 8949? — 1880".
y = — 1880,
De cette solution, traitée comme la précédente, on
tirerait un nouveau système de valeurs pour les in-
déterminées x, r et v, Lee en nombres plus
grands, et ainsi de suite.
` Outre le procédé dont nous venons de faire usage,
on pourrait en employer un autre, que nous allons
faire connaitre en l'appliquant à quelques exemples.
Supposons, en premier lieu, qu'il s'agisse de trouver
une solution de l'équation
a? a- (x r? A-(z 4- 2r) sg
qui, en vertu de l'expression (3), se réduit à
3 (x - v) [(z +1) + 27] = v.
Admettons que l'on a séparément
et
Br) =v" (x+r) + =w,
et par suite
E LAC
La solution générale de l’équation indéterminée
(+r 20 — v,
sera donnée, comme on le sait, par les formules
zr = +(p’— pi)
r= + (3p/q— 20) } ....... (7)
v,=p" + 24,
p et q désignant des entiers premiers entr’eux. On
aura donc
3 (a A. r) = + 3 (p — bpf) =v.
En admettant le signe supérieur, et en observant de
plus que cette équation ne peut étre satisfaite qu'en
supposant p = 3p' et v, = 3w, on arrive à cette éga-
lité bien simple
3p — 2pq — w^,
à laquelle on satisfait évidemment en posant
p= 1,
De là on conclût |
p=3, q=1, v =3, v,—11, v=33,r=25, r=— 16,
j=l w—1.
et par conséquent
— 16°+ + 34* — 33".
Partant de la solution
p=1, |
et faisant varier deux de ces trois quantités p' et w
par exemple, on arrive à une eg solution. En
effet, soit
del, w=l,
p-—1-2-2, IN en !
la substitution de ces valeurs dans l'équation
: ae. 2p' f cua :
KT
167
Bulletin de l'Académie Impériale
donne
(f —3) 2 + 3(f —3)2+-3f—7=0,
d’où l’on tire
7 32 1 que
— 951577 au ae, ni Mt on Jan
ipic TEE s
N ae nt
Faisant disparaître le dénominateur 131, l’on obtient
q= 131, v= — 300,
et par suite, en vertu des formules (7),
ær = — 9000000, r= — 874294
x — — 8125706, v,— 43538
v — vv, — — 13061400.
Divisant par 2 les valeurs de z, r et v, et changeant
leurs signes, on obtient
x— 4062853, r—437147,
et en définitive
4062853? 4- 4500000? 4- 4937147? —
278534632489443000000 — 6530700.
L'équation
pu 96,
v — 6530700,
a. + (z + ry. + (x + 2r) + (x + Ir — v^,
traitée de la méme manière, fournit d'abord la solu-
Mois rid
g= lll, r=—62, v= 102,
qui donne
111° 49? — 13? — 75° = 102°.
En partant de celle-ci, et en suivant la marche indi-
quée, on trouve cette autre solution propre
z= 66951069, r= 26864354, v= 182668740,
de laquelle résulte l'identité suivante:
66951069°-+ 93815423* 4- 12067 977° +
147544131? — 6095266508749776675624000 =
182668740°,
Pour le cas de six cubes on trouvera de la même
manière
31°-+- 33° + 35°+- 37°-+ 39° AL — 66°.
et pour celui de huit cubes
97? + 355? + 613* + 871°-#1129°
+ 1387°-+ 1645? + 1903°— 2540°,
La seconde des deux questions proposées par le
prince Buoncompagni consiste, comme il a été dit
plus haut, à déterminer les valeurs entières de n, x
et r propres à satisfaire à l'équation
(sr) + (a+ 2) + .+(aHn— 1.r =(x+nr),
En posant
r AE,
on obtient l’équation suivante du troisième degré pa
rapport à À: |
14 1+- NV + (127 22 +... 2 (12- n LÄ —
(1 + nd},
de façon que la question à résoudre consiste à trouver
les valeurs entières et positives de » pour lesquelles
la valeur correspondante de À est rationnelle. En or-
donnant cette équation par rapport aux puissances
de À, ce qui se fera trés simplement au moyen de
l'expression (3), on aura
235! t 23
n? (n See ME n (2n ee di 9n = EST
Faisant successivement n — 2, 3, 4..., on obtient:
Pour »—2.... 73-- ON tr Be Laf
n= 304.188 +: Lë — 2:250
n—4....9288-- 6X— 61—3—0.
n=5...2% — 153? —151—4—0
Baba 915 -- en 34-9712 5 —0- 7
n—=17....98X +126 4-422 2-6 — 0...
etc. etc.
De ces ar équations il n'y a que la.seconde
18 2- 12)? — 2 — 0,
c'est-à-dire celle qui correspond au cas de » — 3, qui
ait une racine rationnelle, nommément À =}. Ainsi,
pour » — 3, on aura r — 32, ou bien z— 3r. Si l'on
ne tient compte que des solutions propres, comme dans
la première question, on trouvera la solution unique
z = 3, r — 1 qui conduit à l'identité connue
9? -4- 4347 pt 6% We,
Ainsi, nous le répétons, jusqu'à la limite n = 7, la
question dont il s'agit n'admet d'autre solution ra-
tionnelle que celle qui se rapporte au cas de » = 3.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
170
Pour n > 7 il faudrait former l'équation en A d’après
la formule générale (8). S'il arrivait que cette équa-
tion eût des racines rationnelles inégales, le problème
proposé admetterait autant de solutions propres; l'ab-
sence des racines de cette espéce servira de preuve
de son impossibilité.
Il serait curieux d'examiner si la question consi-
dérée admet ou non des solutions autres que celle
qui correspond au cas de » — 3. Nous venons de
constater que jusqu'à la limite » — 7, sauf le cas cité,
le probléme est impossible. Mais n'y aurait-il pas des
valeurs de » supérieures à 7, et telles que l'équation
(2) soit résoluble en nombres rationnels? Pour décider
la question il faudrait soumettre l'équation (8) à un
examen plus approfondi.
Et d'abord, on voit de suite qu'à partir de la va-
leur n — 6, cette équation ne peut avoir des racines
positives; ainsi, si l'on suppose À rationnel, il sera
permis de prendre À = #5 p et q désignant des
entiers premiers entr'eux. De cette manière l'équa-
tion (8) se transformera en une équation indéterminée
du septième degré à trois inconnues n, p, q, et de-
viendra
n? te n (2n? — Ec 3 Tn
MOI pg! — (n— Lid — 0.
Les procédés connus paroissent insuffisants pour
la discution compléte de cette équation compliquée.
Mais de ce que la racine X est négative, il est trés
facile de conclure que l'égalité
3° "ipo 4? st 5p — 6°
est la seule qui satisfasse à la seconde question de
Buoncompagni si l’on n’admet que des cubes posi-
tifs dans la formule (2). En effet, en supposant la va-
leur de x toujours positive, ce qui évidemment est
permis, r sera négatif, et la formule (2), pour n Z 6,
deviendra
D +(a—r) + (x — 27 +...+(x—n—1.7r) ] (9)
bc
etr étant tous deux considérés comme positifs. Or,
puisque l’on suppose tous les cubes positifs, on devra
nécessairement avoir
goA8—b4,.et; z—mnrl 0,
et par suite aussi
(r—n-—1.rf(xr-—nr;
mais cette inégalité conduit à un résultat impossible,
nommément à la conclusion que le premier membre
de l'équation (9) est plus grand que son second
membre.
De ce que l'on vient de voir il résulte également
que, pour des valeurs de » supérieures à 5, l'équa-
tion (9) n'admet pas méme de solutions irrationnelles
quand on l’assujettit à la condition de ne contenir
que des cubes positifs.
Über die Einwirkung des Natri auf
Nitrotoluol und Nitronaphtalin, von W. Ja-
worsky. (Lu le 3 novembre 1864.)
Azoxybenzid und Azobenzid, die schon früher
von Zinin und Mitscherlich endeckten Reduktions-
produkte des Nitrobenzols durch alkoholische Kali-
lósung, standen bis vor Kurzem ziemlich isolirt im Sy-
steme der organischen Chemie. Erst die Darstellung
analoger Verbindungen aus der Nitrobenzoesäure durch
Strecker und P. Griess, sowie namentlich die von
Alexejeff beobachtete glatte Reduktion des Nitro-
benzols durch Natriumamalgam , haben den obigen
Kórpern eine festere Stellung und ein erhóhtes Inter-
esse gegeben. Es wurde dadurch wahrscheinlich,
dass auch die Homologen und Analogen des Nitroben-
zols sich in gleicher Weise verhalten würden und da-
durch die Anzahl dieser eigenthümlichen Stickstoff-
verbindungen vergrössert würde. Meine in Folgendem
mitzutheilenden Beobachtungen haben diese Vermu-
thung bestütigt.
Nitrotoluol wurde in wässrigem Weingeist gelöst,
und die kalt gehaltene Lösung vorsichtig mit Natrium-
amalgam versetzt, bis auf 1 Molekül Nitrotoluol 4
Atome Natrium verbraucht waren. Dann wurde die
Flüssigkeit mit Essigsäure angesäuert und der Alko-
hol sowie unzersetztes Nitrotoluol abdestillirt. Im
Rückstande blieb eine tiefrothe, halbweiche Masse,
die auf dem Filter mit kaltem Abkohol gewaschen
wurde. Dadurch entfernte man einen öligen Körper
und behielt einen krystallinischen Rückstand, der nach
mehrmaligem Umkrystallisiren aus heissem Alkohol in
glänzenden orangegelben Krystallen (Nadeln) erhalten
wurde. Dieser Körper ist Azotoluid €, H,,N,.
171
Bulletin de l’Académie Impériale
172
Zur Analyse wurde es über Schwefelsäure ge-
trocknet.
1) 0,2392 Grm. gaben 0,6982 CO* und 0,1145 HO.
2) 0,1981 Grm.lieferten 24 C. C. Sticktoff bei 19,5°
C. und 754,1 Millim. Druck.
Berechnet Gefunden
2
€, 168 80,0 79,6 —
Hox 6,6 6,7 —
NU 18: TON — 13,6
210 100,0
Azotoluid schmilzt bei 137° und sublimirt unzersetzt
in glänzend schillernden Krystallen. Es ist in Wasser,
verdünnten Säuren und Alkalien unlóslich, löst sich aber
in concentrirter Schwefelsäure und wird daraus durch
Wasser wieder gefällt. Es ist in heissem Alkohol be-
deutend leichter löslich, als in kaltem, übrigens erhöht
die Gegenwart des obengenannten öligen Körpers
die Löslichkeit des Azotoluids in Alkohol um ein Be-
trächtliches. Die Bildung des Azotoluids erklärt sich
durch die Gleichung
2 [GH, (N®,)] =40 = =6,H, N,
Den Beobachtungen Alexejeff’s zufolge ist Azoben-
zid nicht das unmittelbare Reduktionsprodukt des Ni-
trobenzols durch Natriumamalgam. Hierbei entsteht
vielmehr zunächst Azoxybenzid, welches erst durch
weitere Reduktion in Azobenzid übergeht. Es liess
sich ein Gleiches beim Nitrotoluol vermuthen. Wenn
es mir nun auch nicht gelungen ist, das Azoxytoluid
in reinem Zustande zu gewinnen, so machen doch
meine Versuche die Existenz dieses Körpers äusserst
warscheinlich.
Schon oben wurde eines öligen Körpers erwähnt,
welcher das Azotoluid bei seiner Bildung begleitet
und sich durch Alkohol wegwaschen liess; als nun
diese alkoholische Flüssigkeit verdunstet nücds; so
schied sich die ganze Masse des Öls aus, welches offen-
bar nichts als Azoxytoluid ist. Die Menge desselben
schwankt je nach der Quantitüt des angewandten
Natriumamalgams. Nimmt man z. B. auf 1 Molekül
Nitrotoluol 3 Atome Natrium, so erhält man fast nur
den óligen Kórper; ihn vollkommen rein zu erhalten
ist mir übrigens selbst dann nicht gelungen. Durch
Destillation lässt er sich zwar von beigemengtem Ni-
trotoluol befreien, und man bemerkt auch hierbei den
constanten Siedepunkt 282° des Azotoluids, aber der
Kórper erleidet dabei zugleich eine bedeutende Zer-
setzung. Durch Behandlung mit Lösungsmitteln end-
lich war es mir unmöglich, ihn von beigemengtem Azo-
toluid zu befreien. Die Analysen des möglichst gerei-
nigten Azoxytoluids gaben daher Zahlen, welche zwi-
schen €, H, N, uud €, H,, N, © lagen. Das Ver-
halten des in Rede stehenden Kórpers gegen Natrium-
amalgam hebt übrigens alle Zweifel über die Natur des-
selben auf. Durch die Wirkung dieses Reagens geht
nämlich der ólige Kórper leicht in Azotoluid über.
In der Absicht, einen dem Hydrazobenzol und Ben-
zidin homologen Kórper darzustellen, lóste ich das
rohe Azoxytoluid in Weingeist, versetzte es mit Am-
moniak und sáttigte die Lósung mit Schwefelwasser-
stoff. Durch Erwürmen im Wasserbade unterstützte
ich die Einwirkung dieses Gases und erhielt nach dem
Erkalten einen festen Kórper, der, aus Alkohol um-
krystallisirt, Krystalle lieferte, welche sich bei einer
vorläufigen Prüfung wie Hydrazotoluid verhielten,
Ich bin mit dem genaueren Studium dieses Kórpers
noch beschäftigt.
Nitronaphtalin wird in alkoholischer Lüsung
ebenfalls sehr leicht von Natriumamalgam angegriffen.
Die Flüssigkeit erhitzt sich, wird trübe und dunkel,
und scheidet eine flockige Masse aus. Nach beendigter
Zersetzung leitet man einen Strom Kohlensäure durch
die Lósung und erhält dadurch einen dunkelgelben
Niederschlag, der wiederholt mit Weingeist ausge-
kocht wird. Man löst dann den Körper in Chloroform,
fällt die filtrirte Lösung mit Alkohol, und erhält
nach dem Abfiltriren des Niederschlages und Waschen
mit Alkohol Azoxynaphtalid €, H,, N, ©.
1) 0,2744 Grm. bei 100? getrockneter Substanz ga-
ben 0,8099 CO* und 0,1208 HO.
2) 0,2350 Grm. Vatagtag 18 CC. Stickstoff bei
8° und 750 Millim. Druck.
Berechnet i Gefunden
E 240 80,6 80,4 —
Hoci 4,6 4,9 —
N, — 48 9,3 PES 9,0
9:16 5,5
298 100,0
Azoxynaphtalid ist ein mens le amorpher Kör-
per, der sich beim Erhitzen zersetzt. Er zeichnet sich
173
des Sciences de Saint- Petersbours.
174
aus durch seine Unlöslichkeit in den gewöhnlichen Lö-
sungsmitteln, wie in Wasser, Alkohol, Äther, in ver-
dünnten Säuren und Alkalien und in Schwefelkohlen-
stoff. Nur in Chloroform ist Azoxynaphtalid mit Leich-
tigkeit löslich.
Die Unlöslichkeit des Azoxynaphtalids hat mich ver-
hindert, dasselbe einer weiteren Reduktion zu un-
terwerfen.
Diese Versuche habe ich im Laboratorium zu Göt-
tingen unter der Leitung des Hrn. Beilstein ausge-
führt.
Notiz über die Einwirkung der Salzsäure auf
Azobenzid, von N. Zinin. (Lu le 3 novembre 1864.)
Bei Versuchen über die Einwirkung der Salzsäure
auf einige organische Verbindungen in zugechmolze-
nen Röhren habe ich die, wie es mir scheint, interes-
sante Beobachtung gemacht, dass aus Azobenzid sich
unter diesen Umständen, Benzidin bildet, und nament-
lich ein grosser Theil des erstern in das letztere um-
gewandelt wird.
Je stärker die Salzsäure ist, desto leichter geht die
Umwandlung vor sich; rauchende, bei + 8° C. un-
gefähr gesättigte Säure wirkt schon bei + 100^ C. ein,
und bei + 115° C. ist die Reaktion in einigen Minu-
ten vollendet. Nimmt man 4 Theile Salzsäure auf 1
Theil Azobenzid, so wird die ganze Masse nach dem
Abkühlen des Rohres fest, stellenweise krystallinisch
und hat eine intensiv dunkelblaue Farbe.
Das blaue Nebenprodukt, welches sich zum Theil
in Alkohol und in Säuren auflöst, konnte ich bis jetzt
nur in harzförmigem Zustande erhalten.
mme —
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a reçu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Sophokles, erklärt von F. W. Schneidewin. Autigdie: 5te
Auflage, besorgt von A. Nauck. Trachinierinnen, 3te
Auflage, besorgt von A. Nauck. Berlin 1864
Paié, . System einer Universalsprache. Wien- 1864.
Fol. u
Journal of ses Asiatic Society of Bengal. 1863. N° III. IV.
The Journal of the Royal Asiatie Society of Great Britain
and Ireland. Vol. XVII p. II, Vol. XVIII p. 1. Lon-
don 1860. 8.
Zeitschrift der deutschen morgenländischen Gesellschaft.
Band XVIII. Heft 3. Leipzig 1864. 8.
The Journal of the royal Asiatic Society of Great Britain
and Ireland. Vol. XX p. 3. 4. London 1863. 8. .
Bibliotheca indica N° 196 — 200. New Serie N° 38 — 41.
Calcutta 1863.
The Kàmil of El-Mubarrad, edited for the german orien-
tal society from the manuscripts of Leyden, St. Pe-
tersbourg, Cambridge and Berlin, by W. Wright. First
part. Leipzig 1864. 4.
Gobineau, C" de. Traité des écritures cunéiformes. 2 vol.
Paris 1864. 8.
Revue africaine. Journal des travaux de la Société histo-
rique Algérienne. 8* année. N^ 44. 45. Alger 1864. 8.
Le livre de l'agriculture d’Ibn-al-Awam, trad. de l'arabe
par J. J. Clément-Mullet. T. I. Paris 1864. 8.
Steinschneider, Maur. Intorno ad aleuni matematici del
medio evo ed alle opere da essi composte. Roma
1863. 4.
Hermite, M. Sur un nouveau développement en série des
fonctions. 4. (Extr. des Comptes rendus. T. 58.)
— Sur les fonctions de sept lettres. 4. (Extr. des Comptes
rendus. T. 57.
— Sur la théorie des fonctions elliptiques et ses applica-
tions à l’arithmétique. Paris 1862. 4. (Extr. du Jour-
nal de math. T. VII.
— Sur la théorie des fonctions elliptiques. 4. (Extr. des
Comptes rendus. T. 57.)
Poncelet, J. V. Applieations d'analyse et de géométrie.
T. II. Paris 1864. 8.
List of new nebulae and starclusters seen at the Obser-
vatory of Harvard College 1847 — 1863. Cambridge
1863. 8.
Carrington, Rich. Christ. Observations of the spots on
the sun from Nov. 9, 1853, to March 24, 1861, made
at Redhill. London 1863. 4.
Hansen, P. A. Analyse der ecliptischen Tafeln. (Abdruck
aus den Berichten der math.-phys. Classe der k. Sáchs.
Ges. der Wiss. 1863.) 8.
— Über die Bestimmung der Bahn eines Himmelskórpers
aus drei Beobachtungen, 8. (Berichte der math.-phys.
Classe der k. Sächs. Ges. der Wiss. 1863.) `
Annalen der k. Sternwarte bei München, auf óffentliche
Kosten herausgegeben von Dr. J. Lamont. IV. Sup-
plementband. München 1863. 8.
— der k. k. Sternwarte in Wien. 3ter Folge 12ter Band.
Jahrgang 1862. Wien 1863. 8.
Astronomical and meteorological observations made at the
Radcliffe Observatory, Oxford, in the year 1861. Ox-
ford 1864. 8.
Astronomical and meteorological observations made at the
175
Bulletin de l’Académie Impériale
des Sciences de St.-Pétersbourg. 176
United States naval observatory during the year 1862.
Washington 1863. 4
Almanaque näutico para el ano 1865 calculado de örden
de S. M. en el Observatorio de Marina de la ciudad
de S. Fernando. Cadiz 1863. 8.
Schweizer, G. Untersuchungen über die in der Nähe
von Moskau stattfindende Local-Attraction. 3te Mit-
theilung. Moskau 1864. 8.
Mémoires de la Société des sciences naturelles de Cher-
bourg. Tome IX. Paris 1
. Novorum actorum Academiae Caesareae Leopoldino-Caro-
linae Germaniae naturae curiosorum Tomus XXX
Dresdae 1864. 4.
Jenaische Zeitschrift für Medicin und Naturwissenschaft,
herausgegeben von der medicinisch-naturwissenschaft-
lichen Gesellschaft zu Jena. Band I. Heft 1. Leipzig
1864. 8.
Würzburger medicinische Zeitung, herausgegeben von der
physikalisch - medicinischen Gesellschaft. 4ter Band,
Heft 5. 6. 5ter Band, Heft 1. Würzburg 1863— 64. 8.
Verhandlungen des naturhistorischen Vereins der preussi-
schen Rheinlande und Westphalens. Jahrg. XX. Bonn
Correspondenz- -Blatt des zoologisch-mineralogischen Ver-
eins in Regensburg. 16ter Jahrgang. Regensb. 1862. 8.
Abhandlungen, herausgegeben von der Senckenbergischen
Naturforschenden Gesellschaft. 5ten Bandes 1stes Heft.
Frankfurt a. M. 1864. 8.
Der Dr. Joh. Christ. Senckenbergischen Stiftung widmet
zu ihrer Saecularfeier am 18. August 1863 diese
Denkschrift der Rita Verein für Naturkunde,
Offenbach. 4.
Vierter Bericht des Offenbacher Vereins für Naturkunde
über seine Thätigkeit vom 11. Mai 1862 bis zum 17. |
Mai 1863. Offenbach a. M. 1863. 8.
Verhandlungen des HRTU a Vereins
zu Heidelberg. Band III. N? 3
Schriften der k. Ke Ce Gesellschaft zu
Königsberg. 4ter Jahrg. 1863, Abth. 1. 2. Königsb. 4
Mémoires de la Société de physique et d'histoire naturelle
de Genève. Tome XVII, p. 1. Genève 1863. 4
Bulletin de la Société des sciences naturelles de Neucha-
tel. Tome VI, cah. II. Neuchatel 1863. 8.
Bericht über die Thätigkeit der St. Gallischen naturwis-
haît während des Vereinsjahres
1862 — 1863. St. Gallen 1863. 8.
Société des sciences naturelles du Grand-Duché de Luxem-
bourg. T. VII. Année 1864. Luxembourg 1864. 8.
Natuurkundige Verhandelingen van de Hollandsche Maat-
schappij ı der Wetenschappen te Haarlem. Tweede Ver-
zameling. 18de deel. Haarlem 1863. 4.
Proceedings of the natural history society of Dublin, for
the session 1862—1863. Vol. IV p. 1. Dublin 1864. 8.
en
Bulletin de la Société Impériale des naturalistes de Mos-
cou. Année 1863 N° 4, 1864 N°1. 2. Moscou 1864 8,
an des N es Vereins zu Riga,
rg. N°7 8.
Bond, G. P. On the new ge of the achromatic object.
glass introduced by Steinheil. Cambridge 1863, 8,
De Colnet- d'Huart, Nouvelle théorie mathématique de
la chaleur et de l'électricité. 1'* partie. Luxembourg
Zeitschrift für Chemie und Pharniacie. 6ter Jahrg., Heft
21—24; Tter Jahrgang, Heft 1—-6. Heidelberg 1863
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cutta 1863. 8.
Paru le 15 janvier 1865.
T. VIII, N° 3.
- BULLETIN
DE L'ACADÉMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
a SATEAWISS
GESELLSC
' 5 EN 9
TOME VIII.
(Feuilles 12 — 15.)
£g
Ice
FT
CONTENU:
Page
Dr, À. de Volborth, Sur le Baerocrinus, une nouvelle espèce de crinoïde, trouvée en
Esthonie. (Avec une Planche.)......,.....................sesssssesss.. 177 — 181
N. Majewski, Sur le mouvement des projectiles oblongs tirés des bouches à feu rayées.
(Avec deux Planches.). .........................ssescsssessessesssssee 181 — 185
M. Helmersen, Le puit artésien à St.-Pétersbourg. (Avec une Planche.)............. 185 — 203
Dr, J. F. Weisse, Remarques pour servir à l'oologie des Rotateurs. (Avec une Planche.) 203 — 214
M. Nojine, Sur un cas de génération alternante chez la Geryonia proboscidalis et sur
la larve du Rhizostoma Aldrovandi. (Avec une Planche) .................... 214 — 218
AR. EE REENEN ENEE NEE EE EE à 219 — 234
Etat du personnel de l'Académie Impériale des Sciences au 1" mars 1865.......... 234 — 240
Siupplément I. ,
F. J. Ruprecht, Revue des travaux de l'Académie pour la botanique, depuis la fonda-
tion de la compagnie jusqu'à nos jours................................... 1— 16
——— poi — — ——
On s'abonne: chez MM. Eggers & Ci, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de
l'Académie (Komurers Ilpaszenis Umneparoperoä Axaxexin Dass) et chez M. Léopold Voss,
libraire à Leipzig.
Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie,
3 thalers de Prusse pour l'étranger.
BULLETIN
DE L’ACADENIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOTRG.
Über Baerocrinus !), eine neue Crinoideen - Gat-
tung aus Ehstland, von Dr. A. v. Volborth,
correspondirendem Mitgliede der Akademie.
(Lu le 20 octobre 1864.)
(Mit einer lithographirten Tafel.)
So reich unsere russischen untersilurischen Schich-
ten an den zu den Cystideen gehörigen Crinoideen
sind, so arm sind sie an den ursprünglichen Reprä-
sentanten der Classe, den Brachiaten oder Actinoi-
deen Roemer's. In der Lethaea Rossica findet man
freilich 19 Arten aufgeführt; bringt man aber 15 der-
selben in Abzug, welche der Verfasser sich die Mühe
gegeben hat nach blossen Stielgliedern aufzustellen, und
die ohne Kenntniss der Kelche wenig Vertrauen er-
wecken kónnen, so bleiben nur 4 auf eben so viele
Gattungen vertheilte Arten übrig. Von diesen ist Phia-
locrinus Eichw. eine irrthümlich als Keleh beschrie-
bene Wurzelausbreitung irgend eines Crinoids; Cte-
nocrinus stellaris F. Roemer bloss nach der Gestalt
und Skulptur einzelner Täfelchen aufgestellt, und Con-
dylocrinus Eichw. ein problematisches Fossil, von dem
weder Stiel, noch Arme bekannt sind, und von dem
der Vérfalel selbst sagt, dass ck noch zu un-
genügend bekannt sei, als dass man den Platz, den es
im Systeme einnehmen sollte, bestimmen könnte’).
Zur Bezeichnung unserer untersilurischen Schich-
ten bleibt demnach nur der von dem verewigten Her-
zoge M. von Leuchtenberg zuerst beschriebene und
abgebildete Apiocrinites dipentas übrig, welcher von
Herrn Eichwald mit Unrecht zum Homocrinus dipen-
tas umgetauft worden ist. Dieses Fossil gehört zwar
nicht zu Apioerinites, einer Jura-Gattung, aber eben
so wenig zu Homocrinus Hall., dessen Kelch aus
drei Kreisen besteht, während Apiocrinites dipentas
Leucht.°), wie schon der Art-Name besagt, nur aus
1) Es bedarf kaum der Bemerkung, dass der Name zu Ehren
des um die Wissenschaft hoch verdienten Ehren - Mitgliedes der
Akademie, Hrn. K. E. von Baer, gebildet ist.
2) Leth. Ross. V? livraison p.
8) se eg neuen Thierreste etc. St. Petersburg 1843 p. 17
Tab. II. fig.
Tome
zwei Kreisen zusammengesetzt ist. Der Letztere stimmt
dagegen vollkommen mit Hybocrinus Bill. aus dem
Chazy- und Trenton-Kalke in Canada überein, dessen
Beschreibung nach Herrn Billings‘‘) wir in der Über-
setzung folgen lassen:
«Kelch kugel- oder birnförmig; auf der einen
«Seite mehr hervorgetrieben, als auf der anderen, zu-
«sammengesetzt aus 5 basalia, 5 radialia und 2 Azy-
«gos-Täfelchen. Die basalia sind pentagonal; mit ihnen
«alterniren 4 radialia und eine grosse Azygos-Tafel;
«letztere stützt auf ihren oberen Rändern das kleinere
« Azygos- und das 5te Radial-Täfelchen. Die Arme thei-
«len sich nicht weiter, und jeder Arm besteht aus einer
«einzelnen Reihe von Gliedern. Stiel rund und kurz.»
Diese Charakteristik, so wie die zahlreichen Abbil-
dungen des Hrn, Billings, lassen keinen Zweifel,
dass Apiocrinites Leucht. wirklich zu Hybocrinus Bill.
gehört, während wir gezeigt haben, dass er in dem
wichtigsten Charakter der Crinoideen, in der Beschaf-
fenheit des Kelches, sich wesentlich von Homocrinus
Hall. unterscheidet.
Wir konnten diese einleitenden Bemerkungen über
die bisher bekannten untersilurischen Crinoideen um
so weniger zurückhalten, als wir gestehen müssen, un-
ser neues Crinoid in der Lethaea Rossica entdeckt zu
haben, wo es unter den sogenannten Homocrinen ver-
Bande war,
Mit dem Hybocrinus (Homocr.?) dipentas Leucht.
aus Pulkowa identificirt Hr. Eichwald nämlich ein
Crinoid aus Erras in Ehstland, welches in der Samm-
lung des Barons Rudolph von Ungern-Sternberg auf
Birkas bei Hapsal befindlich ist. Da jedoch die kurze,
nur beiläufig gegebene Beschreibung nicht mit einer
solchen Annahme übereinstimmte, auch die Schichten
von Erras jünger sind, als unsere die Hybocrinen ent-
haltenden Väginatenkalke, so war es wünschenswerth,
das Fossil von Erras mit eigenen Augen zu prüfen:
ein Wunsch, der durch die freundliche Verwendung
4) Geol. Survey of Canada Decade IV. Montreal 2 p. 23 Tab.
I. fig. 2 a u. p. 28. Tab. II. fig. 1 a—e und fig. 2
P
179
Bulletin de l'Académie Impériale
180
des Herrn Mag. Fr. Schmidt bald in Erfüllung ging,
indem Baron Ungern sich gern bereit erklärte, uns
das Kleinod seiner Sammlung durch die Post zu über-
schicken.
Wir haben uns nun überzeugen können, dass unsere
Zweifel nicht unbegründet waren; dass das Crinoid
von Erras weder identisch mit Aybocrinus dipentas
Leucht., noch überhaupt ein Hybocrinus sei, von dem
es sich sowohl durch seine Grósse, als durch die Be-
schaffenheit seines Kelches und seiner Arme unter-
scheidet. Da es sich nun eben so wenig unter eines der
zahlreichen Crinoiden-Geschlecht
so musste es der Reprüsentant einer neuen Crinoideen-
Gattung sein, welche wir als Baerocrinus in die Wis-
senschaft einführen.
Zur Begründung unserer Annahme wenden wir uns
jetzt zur näheren Beschreibung der einzigen uns be-
kannten JBaerocrinus- Art, welche wir dem Besitzer
derselben widmen, dessen regem Eifer für Palaeonto-
logie die Wissenschaft schon so manches interessante
Fossil verdankt.
unterbr ingen liess,
" Baeroerinus Ungerni nob.
(Tab. I. Fig. 1 und 2.)
Der Kelch ist vom Stielansatze bis zur oberen Ein-
kerbung des radiale axillare, wo das erste Glied des
Armes sich einlenkt, 20"" lang; die Breite mag eben
so viel und mehr betragen, lässt sich aber nicht genau
bestimmen, weil die Täfelchen der linken Seite nicht
erhalten sind. Er besteht aus fünf pentagonalen basa-
lia, welche unten mit ihren kürzesten Seiten zur Bil-
dung des runden Stielansatzes zusammenrücken. Sie
sind 7 —8""]ang und an ihrem oberen Theile 9"" breit.
Mit ihnen alterniren die fast doppelt so grossen ra- |
dialia azillaria, über deren Gestalt und Zahl (wahr-
scheinlich 5) wegen der mangelhaften Erhaltung nicht
mehr zu sagen ist, als die Abbildung zeigt. Zwischen
2 radialia azillaria und einem basale ist ein besonderes
Organ (Fig. 1 bei a und Fig. 2, vergrössert) bemerk-
lich. Dasselbe stellt einen 6"" langen und 8”” brei-
ten, elliptischen, flachen Wulst dar, gerade an der
Stelle, wo die drei genannten Tafeln mit ihren Win-
keln zusammenstossen mussten. Diese kleine, ellip-
tische Erhóhung wird durch zahlreiche, sehr kleine
polygonale Täfelchen so geschlossen, dass von den
Gränzen der drei grossen Tafeln innerhalb der Ellipse
gar nichts zu sehen ist, während dieselben ausserhalb
deutlich bis an den elliptischen Wulst verfolgt werden
konnen. Da ein solches Organ bisher bei den Crinoi-
deen nicht beobachtet worden ist, so ist es schwer,
über die Function desselben zu entscheiden; viel-
leicht liesse sich dasselbe als ein Analogon de Ma-
dreporenplatte oder auch als Generationsorgan deuten.
Das einzige einigermaassen an diese Bildung erin-
nernde Crinoid ist der Pleurocystites Bill., eine unter-
silurische Cystidee mit 2 Armen aus Canada). Nach
Herrn Billings ist die Dorsalseite desselben aus
grossen polygonalen Tafeln zusammengesetzt, wäh-
rend die Ventralseite grösstentheils,von einem gros-
sen ovalen Raume eingenommen ist, der. von einem
Systeme ganz anders gebildeter, viel kleinerer Táfel-
chen gedeckt wird. Diese kleinen Täfelchen betrach-
tet Hr. Billings nicht als normale Tafeln, im Sinne
wie sie bei Beschreibung von Crinoideen gebraucht
werden, sondern als Reste einer theilweise verkalkten
Hautdecke für einen durch ein wahres Skelet nicht
geschützten Theil. Herr Billings bemerkt ferner,
dass die Dorsalseite bei dieser Gattung aus einer be- —
stimmten Zahl gesetzmässig geordneter Tafeln gebil-
| det werde, wie bei den Echino- Encrinen, während —
die Ventralseite durch die gesetzlose Vertheilung der —
Täfelchen mehr an den Kelch der Sphaeroniten erin: -
nert.
Charakter von Pleurocystites Bill.; in allem Übrigen
ist letzterer weit von unserem neuen Crinoid ver- -
schieden.
Lo
Der von dem sichtbaren radiale avillare (Fig. 1) |
ausgehende Arm ist zwar nicht in seiner ganzen Länge
erhalten, besteht aber doch noch aus 21 kräftigen
Ge welche zusammen eine Länge von 62°" ein-
nehmen. In der Nähe des Kelches sind die einzelnen 1
Glieder, 4"" lang und 6'/"" breit, werden aber nach E
oben zu kleiner. Jedes Glied besteht aus einem eib- —
zigen Stücke, dessen Volarseite eine mit Saumplätt-
chen MEM Hohlkehle zeigt, während die sattelför- E
mig gebildete Dorsalseite auf der Mitte rückenartig ——
erhöht ist, dann nach beiden Seiten hin sich etwas
5) Geol. Survey of SC Decade III. Montreal 1858 p. 46 Tab. p |
I. fig. 1 c und Tab. II. fig.
Diese unregelmässige Vertheilung kleiner Táfel- 5
chen auf der Ventralseite ist übrigens der einzige, —
nur entfernt an das Organ von Baerocrinus erinnernde M
zu
SA NUM " " EC? Per ai
qm. TEN
EN A NE DR NE het, ga O N R SE Ed, ed er Ab ced apre" ES Agent be a A mát
ER vd
3 a
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
ausschweift, um 4"" von der dorsalen Mittellinie eine
abermalige gelinde Erhöhung zu bilden, von welcher
aus die oberen und unteren Ränder durch bogenför-
mig gegen einander gerichtete Ausschnitte so schmal
werden, dass die äusserste nach der Volarseite ge-
richtete, mit kaum 1"" langen und eben so breiten
Saumplättchen besetzte Gränze jedes Gliedes nur eine
Länge von 1'/"" zeigt, während dieselbe am Rücken
4"" beträgt. Dadurch entstehen auf beiden Seiten,
zwischen je zwei Gliedern, längliche Ausschnitte, in
deren einander gegenüberstehende, abschüssige Rän-
der vielleicht Seitenarme oder Pinnulae eingelenkt
sein mochten, von denen aber keine Spur zurückge-
blieben ist, und die jetzt von ganz kleinen Täfelchen
: (vielleicht auch Saumplättchen) ausgefüllt zu sein schei-
nen, wie das an den ersten Gliedern des Arms (Fig
1) sehr gut ausgedrückt ist. In Folge der regelmässi-
gen Aneinanderreihung der Glieder ertheilt diese com-
plicirte Struktur derselben dem Arme ein ganz cha-
rakteristisches Ansehen.
Wenn wir nun auch die Zahl der Arme, die Be-
schaffenheit der übrigen radialia axillaria und des
Stieles spüteren Forschungen überlassen müssen, so
scheint doch so viel gewiss zu sein, dass die von uns
hervorgehobenen Charaktere hinreichenden Grund ab-
geben, die Gattung als eine ganz neue anzuerkennen.
Fundort. Baerocrinus Ungerni ist bisher nur bei
Erras in Ehstland gefunden worden. Das einzige be-
kannte Exemplar desselben befindet sich in der Samm-
lung des Hrn. Barons R. v. Ungern-Sternberg auf
Birkus bei Hapsal. Baerocrinus und Hybocrinus sind
jetzt die alleinigen sicheren Vertreter der Actinoideen
in unseren untersilurischen Schichten.
Erklärung d der Tafel.
Fig. 1. Baerocrimus Ungerni V olb.,
rösse. :
a. wulstiges Organ.
Fig. 2. Letzteres Organ, bedeutend vergrössert.
in natürlicher
Sur le mouvement des projectiles oblongs tirés
des bouches à feu rayées, par N.Mayewski,
général-major d’artillerie. (Lu le 12 janvier 1865.)
(Avec deux planches.)
Malgré les nombreuses expériences sur le tir des
projectiles oblongs, leur mouvement dans l'air est si
peu étudié que les opinions mémes des savants artil-
leurs sont trés divergeants à cet égard. La difficulté
particuliére que présente ce mouvement, c'est la po-
sition variable de l'axe de figure du projectile pen-
dant la durée de son mouvement; car elle ne peut
pas étre immédiatement observée et néanmoins elle
influe sur les portées et les déviations latérales des
projectiles, connues sous le nom de dérivations. Pour
remplir en quelque sorte cette lacune je me suis oc-
cupé de la recherche du mouvement des projectiles
oblongs dans l'air, et je compte sous peu publier mon
travail in extenso; dans cette note je me propose de
montrer le caractére du mouvement de ces eheu
tiles, tel qu'il résulte de mes calculs.
Tandis que le centre de gravité du projectile dé-
"| erit sa trajectoire dans l'air, le projectile tourne sen-
siblement autour de son axe de figure, et en méme
temps l'axe de figure tourne dans l'espace autour de
la tangente à la trajectoire avec une vitesse angulaire
égale à
= Zu >» Où R est le moment du couple ex-
térieur de la résistance de l’air, A le moment d’iner-
tie du projectile autour de son axe de figure, p sa
vitesse angulaire autour de cet axe et à l’angle que
forme cet axe avec la tangente. Dans le mouvement
conique de l’axe, l’angle du sommet du cône et la
vitesse angulaire du mouvement sont variables et dé-
pendent du mouvement de translation du projectile.
Lorsque le tir a lieu à des distances assez grandes,
avec des projectiles animés d'une vitesse initiale assez
considérable, l’axe de figure fait plusieurs révolutions
autour de la tangente et les angles que forme l’axe
de figure avec la tangente à la fin des trajets ne sont ,
pas grands; ils sont bien moindres que ceux qui
eussent été obtenus, si l'axe de figure se mouvait dans
l'espace parallelement à lui-méme, ou s'il décrivait
autour de la tangente moins d'une révolution. Lorsque
le tir a lieu sous un grand angle de projection, mais
à une trés faible charge, l'axe de figure peut ne pas
décrire méme un quart de révolution autour de la
tangente et les angles que forme à la fin du trajet
l'axe de figure avec la tangente sont trés grands.
Dans le cas ordinaire des bouches à feu rayées la
rotation a lieu de gauche à droite autour de l'axe de
figure dirigé vers la partie posterieure du projectile
et, pour la forme ordinaire des puros, dans la
Bulletin de l’Académie Impériale
184
plupart des cas de tir, le point où la résistance de
lair vient couper l'axe de figure du projectile, le
point nommé centre de résistance, est situé devant
le centre de gravité, c'est à dire plus prés de la par-
tie antérieure que celui-ci — sous ces conditions le
mouvement conique de l'axe de figure autour de la
tangente est direct, c'est à dire se fait dans le méme
sens que la rotation du projectile estimée autour de
la méme tangente.
La trajectoire du projectile tournant sa concavité
vers le sol, le temps que l'axe de figure met à dé-
crire sa première demi-révolution autour de la tan-
gente est plus grand que celui qu'il met à décrire sa
seconde demi-révolution. L'angle formé par la résul-
tante de la résistance de l'air avec l'axe de figure du
projectile étant pour les projectiles cylindro-ogivaux,
dans les cas ordinaires du tir, plus grand que l'angle
formé par l'axe de figure avec la tangente, la compo-
sante horizontale de la résistance de l'air qui agit
perpendiculairement. à la direction de la tangente,
fait dévier le projectile à droite durant toute la pre-
mière demi-révolution de l'axe autour de la tan-
gente*), et quoiqu'elle le fasse dévier à gauche par
rapport à sa direction précédente durant sa seconde
demi-révolution, néanmoins l'angle que forme le plan
vertical du tir avec le plan vertical passant par la
` tangente ne peut non seulement devenir négatif, mais
méme ne peut étre égal à zéro, de sorte que les dé-
rivations du projectile à droite du plan vertical du
tir continuent d'augmenter. Lors du premier et du
quatrieme quarts de révolution de l'axe de figure
autour de la tangente, l'axe de figure étant au-dessus
. de cette derniére, la composante de la résistance qui
agit dans le plan vertical perpendiculairement à la
direction de la tangente, tend à relever le projectile
et, lors du second et du troisième quarts de révolu-
tion, cette composante tend à abaisser le projectile.
Pour donner une image nette du mouvement des
projectiles oblongs je joins à cette note: 1) les tracés
des deux projections (Fig. 1 et 2) de la trajectoire,
des courbes (Fig. 3) de vitesses et de durées et des
*) Si l'angle formé par la résultante de la résistance avec l'axe
de figure eüt été moins grand que l'angle formé par l'axe de figure
avec la tangente, la déviation du projectile aurait eu lieu à gauche.
Si la résultante de la résistance coincidait avec la tangente, la dé-
viation latérale serait nulle.
-
deux projections (Fig. 4 et 5) des courbes d'inclinai-
son de la trajectoire et de l'axe de figure du projec-
tile tels qu'ils ont été obtenus de mes calculs appli-
qués au projectile oblong de 4 emplombé, pesant 14
livres, ayant 3,42 pouces de diamétre et tiré sous
l'angle de projection de 10° avec une vitesse initiale
de 1004 pieds; et 2) la construction graphique de la
projection horizontale (Fig. 7) de la trajectoire de
lobus de 4 tiré sous l'angle de 45^ à la distance
de 188 sagènes (prenant la parabole, Fig. 6, pour
sa projection verticale) et le tracé des deux projec-
tions (Fig. 8 et 9) des courbes d'inclinaison de cette
trajectoire et de l'axe de figure du projectile.
La projection verticale de la trajectoire de l'obus — -
de 4 tiré avec la vitesse initiale de 1004 pieds sous M
l'angle de 10° s'approche très sensiblement de la tra — -
jectoire que l'on obtient d'aprés les résultats directs |
du tir avec cette méme vitesse à différentes portées,
et les durées correspondantes aux différents points de M
la trajectoire coincident sensiblement avec les durées
que l'on obtient d'aprés les temps observés pendant
le tir à differentes portées. Les déviations des points
de la trajectoire du plan vertical du tir occupent une
certaine position moyenne entre les dérivations ob- —
servées pendant le tir avec la même vitesse initiale à M
différentes portées. E
La dérivation de lobus de 4 lancé sous l'angle de M
45° à la distance de 188 sagènes, cette dérivation, 4
obtenue par la construction graphique de la projec- E
tion horizontale de la trajectoire, est à peu prés égale
à la dérivation moyenne obtenue des résultats du tir.
3
E
1
A
Le caractère du mouvement des projectiles ob- >
longs qui résulte de mes calculs est confirmé par Pex- M
périence. En effet on est parvenu à conclure de l'ob- =
servation, faite dans quelques attilleries, d’un très 4
grand nombre de trajectoires, que lorsqu'on tire à -
de trés faibles charges sous de grands angles de pro- i
jection, l'axe du projectile ne dévie que peu à droite, M
et le projectile tombe sur son culot. Pour des char: MW
ges un peu plus fortes l'axe du projectile décrit at-
tour de la tangente près d'un quart de révolution et
l'angle du cône que décrit l'axe parait assez ouvert; M
l'obus tombe sur le flanc. En augmentant la charge —
on peut arriver à ce que l'axe décrive une demi-re ` |
volution autour de la tangente; alors le projectile
Bulletin de l'Acad. Jmp. d se. T. VAL. Hayerskı . Mouvement des projectiles oblongs.
Trajectoire de Tobus oblonó de 4, tire avec une vitesse initiale de 1004 pieds, sous l'angle de projection de 10.2
Projection verticale. Fi6. 1.
Pieds 500
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desunchinaisons de La langente?. s
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Projection horizontale. Fig. 2. 1 SE
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Courbe Z des vitesses et courbe E des durées. GIE |
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Bulletin de l'Acad. Imp. d.sc. T'VIIL. Mayevshi. Mouvement des Projectiles oblongs :
Trajectoire de l'obus oblong de 4 tiré sous l'anóle de projection de 45° á la distance de 188 sagènes .
Projection verticale. Fig. 6.
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600 700 800 4
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Cube A dsinchinaisons de Üaxe 3e figure du projectile, et amibe |
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Degrès 15°,
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Projéclion horizontale. Fig. 9.
1400 Pieds.
1.
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i | puro
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1400 Pieds.
185
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
186
. arrive sur le sol la pointe en bas. Un plus grand ac-
croissement de charges et de portées augmente le
nombre des révolutions de l’axe autour de la tan-
. gente et resserre le cône décrit par l'axe autour de
la tangente.
Pour ce qui concerne les bases théoriques de nos
recherches elles sont sensiblement conformes à celles
qui ont été adoptées par M. le comte de St. Robert
dans ses mémoires très remarquables: Études sur la
trajectoire que décrivent les projectiles oblongs et du
mouvement des projectiles lancés par les armes à feu
rayées; nos bases n’en diffèrent essentiellement que
par l'expression de la vitesse angulaire de l'axe de
figure du projectile autour de la tangente. Nous dé-
montrons que dans le dénominateur de cette expres-
sion doit entrer le moment d'inertie du projectile au-
tour de son axe de figure. Dans les mémoires de M.
le comte de St. Robert c'est le moment d'inertie du
projectile autour de son axe équatorial qui entre dans
l'expression ci-dessus, et c'est lui qui a dû sensible-
ment modifier le caractére du mouvement étudié.
Der Artesische Brunnen zu St. Petersburg, von
G. v. Helmersen. (Schlussbericht.) (Lu le 17 no-
vembre 1864.)
(Mit einer lithographirten Tafel.)
Der Artesische Brunnen zu St. Petersburg, über
welchen ich zu wiederholten Malen berichtet habe,
ist gegenwärtig so weit vollendet, dass er bis zu sei-
nem Boden mit Róhren besetzt ist. Seine üussere
Ausstattung und Einrichtung wird später erfolgen.
Eine vollständige Sammlung von Proben der in den
verschiedenen Tiefen durchbohrten Gesteinschichten
ist während der Arbeit gemacht und in dem Museum
des Berginstituts deponirt worden. Die eine chemi-
sche Analyse erfordernden Proben, so wie das in ver-
schiedenen Tiefen erbohrte Wasser sind von Herrn
Heinr. Struve untersucht worden. Ehe ich der Aka-
demie über die Lagerungsfolge und die Beschaffen- |
heit der durchsunkenen Gesteinschichten berichte,
erlaube ich mir, eine geschichtliche Übersicht der|
Arbeit zu geben, insbesondere um gewissen unrichti-
gen Angaben eines Ungenannten zu begegnen, welche
die Tagesblütter über diesen Gegenstand verbreitet
haben.
Um die bei Reval befindliche, die Westbatterie
genannte Befestigung mit Ee Zu versorgen,
hatte das Kriegsministerium das Herstellen eines Ar-
tesischen Brunnens befohlen. Die Arbeit begann auf
dem 7 Fuss über dem Meeresniveau erhabenen Hofe
der Festung im Mai 1842 und dauerte drei Jahre,
Als man in 300 Fuss Tiefe ein ziemlich reichliches
und wohlschmeckendes Wasser erbohrt hatte, das im
Bohrloche bis zu einer Höhe von 3'/, Fuss unter dem
Boden aufstieg, ward die Bohrarbeit, deren Zweck
erreicht war, eingestellt.
Im März 1850 legte ich, nachdem ich diesen Brun-
nen besucht und genaue Auskunft über ihn erhalten
hatte, der Akademie die bezüglichen Nachrichten und
Beobachtungen vor, die sodann in dem Bulletin phy-
sico-mathématique, Tome IX, N° 4 abgedruckt wurden.
Auf die absolute Identität der in Reval und in der
Umgebung von St. Petersburg anstehenden untersilu-
rischen Schichten in lithologischer, paläontologischer
und stratigraphischer Beziehung mich berufend, sprach
ich aus, dass man in St. Petersburg nur das Schwemm-
land des Nevadelta’s zu durchbohren habe, um die-
selben Schichten zu erreichen, in denen das Revaler
Bohrloch angesetzt wurde, und in denen man in 300
Fuss Tiefe Wasser aufschloss.
Es waren viele Jahre vergangen, ohne dass dieser
Hinweis beachtet worden wäre, als eines Tages der
Geheimrath J. von Hagemeister '), der jene Notiz
kannte, mir den Vorschlag machte, bei dem Gebäude,
in welchem die Staatspapiere angefertigt werden, ei-
nen Artesischen Brunnen zu bohren, dessen Wasser
die in diesem Gebäude befindliche Papierfabrik ver-
sorgen könne. Das unreine Wasser der nahegelegenen
Fontanka war zu diesem Zwecke untauglich, und die
Wasserleitungs-Gesellschaft konnte sich damals auf
eine Versorgung der Anstalt mit Newawasser nicht
einlassen. Mit Freuden auf diesen Vorschlag eingehend,
weil durch einen Artesischen Brunnen nicht nur jener
Anstalt geholfen worden wäre, sondern weil ein sol-
cher auch die ärmere Volksklasse von dem Genusse
des unerträglichen Wassers aus der Fontanka erlösen
konnte, wandte ich mich an den Finanzminister A.
M. Kniashewitsch mit der Bitte um die Geldmittel
1) Herr von Hagemeister war damals, 1860, Dirigirender der
Russischen Kreditanstalten und die Anstalt zur Anfertigung der
| Staatspapiere gehörte zu seinem Ressort.
187
Bulletin de l’Académie Impériale
188
zu der beabsichtigten Bohrarbeit. Mein Gesuch ward
bereitwillig angenommen, und der Bergoffizier Gennadi
Romanowsky, unter dessen Leitung damals im Mos-
kauer Steinkohlenbassin an verschiedenen Orten Boh-
rungen zur Entdeckung von Steinkohlenlagern ausge-
führt wurden, erhielt den Auftrag, das Projekt und
den Kostenanschlag zur Anlegung eines Bohrbrunnens
in St. Petersburg anzufertigen. Nach erfolgter Bestä-
tigung desselben ward, unter Romanowsky’s Oberlei-
tung, der Lieutenant Nikolsky mit der Ausführung
der Arbeit beauftragt, Romanowsky aber kehrte zu
seinen 35 Werst südlich von Moskau bei Podolsk be-
gonnenen Arbeiten zurück, an denen Nikolsky, um
mit dem Bohrgeschäft bekannt zu werden, sich bethei-
ligt hatte. Auf den Vorschlag der Oberbehörde über-
nahm ich es, die Arbeit in Bezug auf die geologischen
Verhältnisse zu beaufsichtigen, von der Beaufsichti-
gung des technischen Theils derselben aber ward ich
dispensirt. Sie begann im Mai 1861 mit der Anlage
eines Bohrschachtes, und ich glaubte mit diesem den
ganzen, mit erratischen Blöcken reichlich versehenen
Diluviallehm und Sand bis auf die unter ihm befindli-
chen Silurischen Thone durchsinken zu müssen und
nahm nach einigen in der Umgegend von Petersburg
gemachten Erfahrungen die Mächtigkeit des Diluviums
strömte aus einer Schicht feinkörnigen Sandes das
Grundwasser in den Schacht und bei einer Tiefe von
10 Fuss war der Andrang desselben so heftig, dass
die Arbeit begann schwierig zu werden; dennoch woll-
ten wir mit dem Schachte tiefer gehen, in der Erwar-
tung den Silurischen Thon bald zu erreichen und als-
dann den Bohrer anzusetzen, aber der immer lästi-
ger werdende Wasserandrang aus einem grobkörni-
gen Sande betimmte uns mit dem Abtiefen des 14 F.
tiefen Schachtes innezuhalten und die Bohrröhre in-
denselben einzustellen. Man bohrte in weichem Thon,
den ich für den Ziegelthon des Newathales halte, mit
einem hohlen Schneidebohrer, freilich.in der steten
Befürchtung, unter diesem Thone auf grosse erra-
tische Blöcke zu stossen, deren Maasse den 18 Zoll
betragenden Durchmesser des Bohrloches übertreffen
und die daher dem Unternehmen sehr feindlich wer-
den konnten, wie das bei der in der Umgegend der
2) Es sind hier und weiter unten im Berichte immer russische
Fuss gemeint.
Forstakademie unternommenen Bohrung auch wirklich
geschehen war. Das Vorkommen grosser Blöcke im
Diluvio des Newathales war zwar von sachkundigen
Personen, dieich befragte, entschieden geläugnet wor-
den, gehört aber dennoch in das Gebiet des Möglichen.
Der Ziegellehm hielt von 14 bis 23 Fuss Tiefe an,
und hat also hier eine Mächtigkeit von 9 Fuss. Dann .
folgte bis in 53 Fuss Tiefe der bekannte graue Block-
lehm unserer Gegend, und es wurden in ihm in ver-
schiedenen Tiefen viele Irrblócke angetroffen, von de-
nen der kleinste 4 Zoll, der grösste 9 Zoll lang und
29'/ Pfund schwer ist. Herr Nikolsky fing sie mit-
telst leinener Sücke, dienach der Art der zum Schmet-
terlingsfange bestimmten Netze eingerichtet waren.
Dann folgte eine 7 Fuss dieke Schicht grauen Thones
ohne Irrblócke; unter ihm ward wieder grobkörniger
grauer Sand, 10 Fuss mächtig, dann bis 77 Fuss 8
Zoll Tiefe feinkórniger grauer Schwimmsand erbohrt,
der das Auslôffeln des Bohrloches und das Absenken
der Róhren sehr erschwerte, und in 82 Fuss wieder
grobkürniger Sand, aus dem, als man ihn bis 88 Fuss
Tiefe durchstochen hatte, ein wohlschmeckendes, kla-
res Wasser bis zu einer Höhe von 3'/ Fuss unter
der Erdoberfläche aufstieg. Die Menge dieses guten
| Trinkwassers, das Heinrich Struve analysirte (siehe
als unbedeutend an. Schon in 4 Fuss 3 Zoll Tiefe °)
«Bull. der Akad. der Wissensch.»), war zwar gering
im Vergleich zu anderen Artesischen Brunnen, es ist
aber dasselbe so leicht und wohlfeil zu erbohren, dass
man es mit der Zeit in Petersburg gewiss noch auf-
suchen wird. "
Bei 89 Fuss 6 Zoll Tiefe war endlich der grünlich
graue Silurische Thon erbohrt, welcher nun ununter-
brochen bis in 388 Fuss Tiefe anhielt.
Das Schwemmland hat also eine viel grössere Mäch-
tigkeit, als ich ihm zugemuthet, da ich den Silurischen
Thon in einer Tiefe von hóchstens 30 bis 40 Fuss er-
wartete. Hier sei beiläufig erwähnt, dass man bei dem
Graben eines Schachtes, der zur Aufnahme des Fun-
daments eines unter einem Dampfhammer stehenden
Ambosses bestimmt war, in der Alexandro w'schen
Stahlgiesserei am Schlüsselburger Wege, 78 Fuss in
den Boden gedrungen ist. Durch die Vermittelung des
Herrn Präsidenten der Akademie habe ich eine Samm-
lung von Gesteinproben aus diesem Schachte unter-
suchen können, wobei sich in absteigender Ordnung
folgende Schichtenreihe ergab: IERE Y
189
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
1) Schwarze Ackererde ii. +. — Fuss 8 Zoll
2) Feingeschichteter, gelber, sandiger
Thon, dersich zum Anfertigen von
Formen für Eisenguss eignet. In
ihm kommt fossiles, bituminöses
Honor uus aut apa fil 2.4 un
3) Weicher, grauer Thon, wechselt
mit rothem Thon und ist unregel-
mässig gelagert ............ CHE SET Dr
4) Grauer Thon mit verrottetem Holze
von derselben Farbe ......... 0 ».4 »
5) Harter, grauer Thon (von diesem
besitze ich keine Probe)
6) Brauner und gelber Ziegelthon, ge-
schichtet, bisweilen Gerölle ent-
7) Grauer Thon mit erratischen Blök-
ken verschiedener Grösse, die
nicht nach ihrer Schwere ver-
theilt sind
8) Grauer, sandiger Lehm
9) Grauer, thoniger, geschichteter
Sandstein mit feinen Flittern, weis-
sen Glimmers, und Schwefelkies-
polls era KA area A Du
78 Fuss — Zoll
ve dch “by 19 ET eee 5: "7
Ste D
Ich bin geneigt diesen thonigen Sandstein wegen
seiner grossen Aehnlichkeit mit dem im Bohrloche
aufgeschlossenen für einen untersilurischen zu hal-
ten, und das anstehende Silurische wäre in dem
Schachte in 73 Fuss Tiefe vom Tage, also mindestens
um 11 Fuss früher erreicht worden, als in dem Bohr-
loche. Daraus folgt, dass der Silurische Untergrund
des Schuttbodens, auf welchem die Hauptstadt steht,
in der Richtung von der Newamündung flussaufwärts
ansteigt, da der Bohrplatz sich unweit der letztern, die
Alexandrow'sche Stahlgiesserei sich aber 12 Werst
flussaufwärts befindet. Die Ähnlichkeit des in dem
Schachte durchsunkenen Diluvialbodens mit dem im
Bohrloche erschlossenen ist übrigens vollkommen.
Das verrottete Holz in der Schicht N' 2 der oben
aufgeführten Tabelle gehört nach Herrn Akademiker
Ruprecht’s und Dr. Mercklin’s Bestimmnng zu den
Geschlechtern Betula und Populus oder Salix. Wahr-
scheinlich sind es, wie die genannten Herren meinen,
noch jetzt lebende Arten. Herr Akad. Ruprecht be-
merkte an einem der untersuchten Holzstücke, na-
mentlich auf der Birke, die nicht frische, sondern alte
Spur eines mit einem scharfen Instrument geführten
Hiebes oder Schnittes. Dass passt gut zu der Nach-
richt, dass man in derselben Schicht auch ein steiner- -
nes Beil gefunden hat, das hoffentlich den Sammlungen
der Akademie zufallen wird. Wir dürfen vielleicht die
Bildung dieser Schicht der alten Alluvialzeit oder der
Steinperiode zuzählen. Sie füllt einen grossen Theil
des Newathales an und tritt auch am Ladoga- und
Onegasee auf. Ich werde in einer geologischen Be-
schreibung des Olonezer Bergreviers Genaueres über
sie mittheilen. Hier sei noch erwähnt, dass man wahr-
scheinlich in einer dieser gleichzeitigen Schicht bei dem
Graben des Kanals bei Strelna mehrere Fuss unter
der Erdoberfläche ein hölzernes Boot gefunden haben
soll, °) das ganz aus Holz gezimmert war und kein Ei-
sen an sich hatte. Solche eisenlose Kähne werden
übrigens auch heute noch in Russland angefertigt. Da
das unterste Glied unserer Baltisch-Silurischen For-
mation, eben jener blaugrüne Thon, am Südufer des
finnischen Meerbusens, ja sogar unweit der Haupt-
stadt, bei Strelna, im Meeresniveau anstehend ange-
troffen wird, im Bohrloche aber silurisches Gestein
erst in 89 Fuss Tiefe aufgeschlossen werden konnte,
so geht daraus hervor, dass das Diluvium des Newa-
thales in eine tiefe Auswaschung gebettet ist. In Re-
val, wo bekanntlich kein Fluss in’s Meer mündet, be-
gann das Bohren in 7 Fuss Höhe über dem Meeres-
spiegel gleich im silurisehen Thone, nachdem man im
Diluvio einen Bohrschacht von vahedenteden Tiefe
angelegt hatte.
Inzwischen waren der Bobrthurm nid die be
gen für die Ingenieure und die Arbeiter errichtet wor-
den und die Arbeit geschah mit einem EE
Meisselbohrer und eisernem Gestänge.
Der Thon, in welchem Hr. Nikolsky im Doté
1862 bereits eine Tiefe von 298 Fuss erreicht hatte,
wechselt ziemlich häufig mit dünnen Mergellagern;
von organischen Resten liess sich auch bei sorgfälti-
gem Schlämmen nichts entdecken, vegetabilische Reste
ausgenommen, welche ich dem Hrn. 4 Ru-
precht zur aan. mittheilte. «Die Proben aus
3) Sokolow, Lehrbuch der Daga in pasion di Sprache.
191 Bulletin de l’Académie Impériale 192
einer Tiefe von 290 Fuss«, sagt Herr Ruprecht, zei-
gen keine zellige Struktur, aber wohl eine organische
Substanz, die ihrer Farbe nach von olivenfarbigen Fu-
coiden (Melanophyccen) abstammen kann. Solche Fu-
coiden werden noch jetzt an den Meeresufern über
der Fluthmarke angehäuft, verfaulen zum Theil und
geben eine solehe homogene Masse, die durch den
Druck der aufliegenden Schichten eine blütterartige
Form annehmen kann. ^) Es ist gar nicht ausgemacht,
dass das mitgetheilte Stück eine solche Fucusart sei;
es können dazu andere Species beigetragen haben, je-
doch schwerlich Chlorophyceen und Rhodophyceen.
Von einer bei Eich waldabgebildeten Zaminorites un-
terscheidet sich vorliegende Probe durch keine regel-
mässige Vertheilung von Kórnern, die nur stellenweise
vorkommen und dabei so undeutlich abgegrenzt sind,
dass es zweifelhaft blieb, ob sie einen ehemaligen be-
stimmteren Zelleninhalt darstellen. »
In den aus 115 Fuss Tiefe heraufgebrachten Proben
des Thones erkannte Oberst Jeremejew kleine kry-
Stallinische Bleiglanzkörner, und in 118 Fuss Tiefe
gesellten sich ihnen Kórner von Zinkblende bei. Die
Menge und Grösse der Bleiglanzkörner vermehrte sich
von 127 bis 134 Fuss Tiefe. Von 134 Fuss bis 157
fehlten diese Beimengungen, aber bei 157 Fuss fand
sich Schwefelkies und in 158, 159 und 160 Fuss Tiefe
wiederum Bleiglanz.
Somit hätten wir aus dem St. Petersburger Bohr-
loche keine organischen Reste erhalten, welche das
Untersilurische Alter des durchbohrten Thones be-
wiesen, und wenn wir ihn dennoch in diese Alterspe-
riode stellen, so beruht das auf seinen lithologischen
und chemischen Eigenschaften und auf einigen nega-
tiven Kennzeichen. Es fehlen in ihm die Irrblöcke des |
Diluvialthones; er ist feingeschichtet, enthält dem Di-
luvialthon durchaus fremde Beimengungen von Schwe-
felmetallen und vegetabilische Reste von einer Beschaf-
fenheit, wie sie im Diluvialthon nie angetroffen worden.
sind; es fehlt ihm ferner die ansehnliche Beimengung
von Sand, die der Diluvialthon in der Regel enthält,
des Diluvialthones verschieden , aber ganz überein-
stimmend mit der des Thones von Chudleigh, der un-
zweifelhaft der untersilurische ist.
4) Diese haben in der That die Herrn Ruprecht mitgetheilten
Exemplare,
Die Arbeit ging ohne Schwierigkeiten ihren Gang
durch den Thon; allein in 300 Fuss Tiefe zeigte sich
kein Wasser, wie wir, auf Grund des Revaler Bohr-
profils, angenommen hatten. Erst in 388 Fuss ward
eine 25 Fuss 6 Zoll dicke, feinkörnige Sandstein-
schicht erbohrt, aus welcher ein zweites Wasser bis
an den Rand des Bohrschachtes, also 1 Fuss 9 Zoll
über das Niveau der benachbarten Strasse aufstieg.
Seine Temperatur betrug 7 Grad Réaumur; es war
klar, hatte aber einen leisen Beigeschmack von Salz;
in einer Minute mochte, nach einer beiläufigen Schäz-
zung, etwa 1 Cubikfuss aufsteigen. Somit war schon
unsere Arbeit von einem nicht unbedeutenden Erfolge
gekrönt. Man hätte zu ebener Erde ein mehrere Fuss
tiefes Bassin anlegen und das Wasser zu verschieden-
stem Bedarf daraus schöpfen können, was in jenem
das ungesunde und ekelhafte Kanalwasser gebrau-
chenden Stadtheile schon eine Wohlthat, namentlich
für die ärmeren Bewohner gewesen wäre, die das kost-
spielige Newawasser nicht bezahlen können. Nikolsky
hatte das Bohrloch bis in 302 Fuss Tiefe mit eisernen
Röhren besetzt. `
Obgleich der ursprünglicheZweck zum Theil erreicht
war, wurde in der Hoffnung, reichlicheres Wasser auf-
zuschliessen, weiter gebohrt; als aber eine in 413
Fuss 6 Zoll Tiefe erbohrte, schiefrige, sandige und
| mit kleinen Glimmerschüppchen gemengte Thonschicht
von 4 Fuss 8 Zoll keinen neuen Wasserzuschuss lie-
fern konnte, und als dieser auch aus einer unter dem
Thone liegenden feinkörnigen graugefärbten Sandstein-
schicht nicht erfolgte, gab ich, auf wiederholte An-
frage, ob man noch tiefer gehen solle oder nicht, am
23. Mai 1863 der Oberbehórde meine Meinung dahin
ab: Da einer der Zwecke der Bohrarbeit er-
reicht und ein grósserer Erfolg von der Fort-.
setzung derselben nicht zu erwarten Sei, so
solle man die Arbeit einstellen und die von der Bohr-
summe noch nicht verausgabten Gelder zur Anlage
eines zweiten Brunnens auf dem Hofe des Technolo-
gischen Instituts verwenden. | »
Weil unsere nahezu horizontalen, schwach unduli-
renden Baltisch-Silurischen Schichten weder einen
beckenförmigen Raum mit erhöhten Rändern anfüllen,
noch in geneigter Stellung gegen ein krystallinisches
Massiv abschneiden, die Bedingungen also fehlten, un-
ter denen sich unterirdische Wasserbehälter bilden
193
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
194
und zugleich einen starken hydrostatischen Druck er-
fahren, so hatte ich in Petersburg kein springendes
Wasser erwartet, selbst in dem Falle, wenn man mit
dem Bohren noch bedeutend tiefer gehen wollte. Aber
gegen viele Personen hatte ich zu wiederholten Ma-
len die Überzeugung ausgesprochen, dass unter un-
sern Silurschichten Granit, als Fortsetzung des Finn-
ländischen, liegen müsse, und dass es von grossem
wissenschaftlichem Interesse wäre, das Bohrloch bis
auf ihn hinabzutreiben. Die Tiefe, in welcher er ge-
funden werden könne, war natürlich nicht genau zu
bestimmen, da die Dicke der Silurschichten unbekannt
war; wenn ich aber bedachte, dass die nur 30 Werst
von der estländischen Küste entfernte Insel Klein-
Tütters aus Granit besteht, und dass dieser wahr-
scheinlich sehr allmählich und nicht plötzlich (nach der
Analogie der sehr allmählich nach Süden abfallenden
Granithöhen Finnlands) sich in südlicher Richtung un-
ter die Silurschichten Estlands senke, so glaubte ich
annehmen zu können, dass er in St. Petersburg in
einer Tiefe von etwa 600 bis 800 Fuss liegen werde.
Der Granit Finnlands ist, wie uns das Bohrloch gezeigt
hat, in Bezug auf die Baltisch-Silurischen Schichten,
ein Urgranit, der die von ihm getragenen Sedimente in
keiner Weise gestört oder verändert hat, es sei denn,
dass man ihm das geringe südliche Fallen der Silur-
schichten zuschreiben könne.
Wo aber Sedimente auf Urgraniten oder Urgneissen
liegen, pflegen sie von den letztern durch eine Schicht
zerstörten Granits oder Gneisses getrennt zu sein, die
gewöhnlich eine geringe Konsistenz hat und permea-
bel für Wasser ist.
Hätte man uns die Mittel zur Lösung der interes-
santen Frage gegeben: Wie gross ist die Mächtigkeit
unserer Silurischen Schichten, bekanntlich der ältesten
Sedimente des Europäischen Kontinents, und welche
Formation bildet ihren Untergrund? — so wäre. ich
gewiss der Erste gewesen, der solches mit Dank aner-
kannt hätte, um so mehr, da ich ja auch der Über-
zeugung war, dass jene zwischen den Silurischen Se-
dimenten und dem Granit liegende, aus der Zerstörung
des letztern hervorgegangene Schicht noch ein drittes
Wasser geben könne.
Am 8. Juli 1863 sollte ich eine Dienstreise in’s
südliche Russland antreten. Her Nikolsky, der von
meiner schriftlich ausgesprochenen Meinung über das
Tome VIII.
^
Einstellen der Bohrarbeit Kenntniss hatte, bat mich
kurz vor meiner Abreise auf das dringendste, von
dieser Meinung abzustehen und die Fortsetzung der
Arbeit nicht zu verhindern, da man geneigt sei, das
noch vorhandene Geld zu derselben zu verwenden.
Ich ersuchte ihn, dem Hrn. Director des Bergdepar-
tements mitzutheilen, dass ich diesen Vorschlag mit
Freuden gehört hätte und bäte, mein Gutachten weiter
nicht zu berücksichtigen.
In Folge unserer Unterredung gab Nikolsky am
7. Juni 1863 bei dem Berg-Departement ein diesen
Gegenstand betreffendes Memorandum ein, in welchem
er unter Anderem sagte: «Wer könnte denn mit Be-
stimmtheit behaupten, dass bei fortgesetztem Bohren
nicht noch eine dritte Wasserschicht aufzuschliessen
wäre?» Er hoffte sogar Springwasser zu erbohren, weil
das zweite Wasser sich höher als das erste und dieses
über das Niveau des Grundwassers erhoben hatte.
Als die oben erwähnten Gründe zur Fortsetzung der
Arbeit dem Finanzminister, Herrn v. Reutern, vor-
gelegt wurden, ging er sogleich auf sie ein und ge-
nehmigte das Gesuch. Ich war bereits seit einem Mo-
nate auf der Reise, als Nikolsky mir am 8. Juli 1863
officiell über die Wiederaufnahme der Arbeit berich-
tete. An diesem Tage hatte das Bohrloch die Tiefe
von 447 Fuss erreicht. Der in 419 Fuss Tiefe er-
bohrte, feinkörnige Sandstein hatte bis in 439 Fuss
angehalten; unter ihm folgte eine 8 Fuss dicke Thon-
schicht und unter dieser ein feinkörniger harter Sand-
stein, den man bis in 465 Fuss durchsank. In den
Gesteinen. von 389 Fuss bis 484 Fuss Tiefe war es,
dass man mehrere Lager von thonigem Sphaerosidroit
aufschloss, deren Dicke von 1 bis 4 Fuss wechselt.
Professor Pusyrewsky hat über sie nähere Mitthei-
lungen gemacht im «Bulletin der St. Petersb. Akad.
d. Wiss.» Tome VI, 1864.
Bisher hatte man sich der Händekraft bedient. Da
aber diese Kraft nicht mehr ausreichen wollte, und
das Gestein hart geworden war, schlug Hr. Nikolsky
vor, die Dampfkraft einer in der Expedition der Staats-
papiere vorhandenen Lokomobile zu verwenden, was
zweckmässig und nicht sehr kostspielig gewesen wäre.
| Damals war von der Bohrsumme noch ein Rest von
circa 2000 Rubeln vorhanden.
Dieser Vorschlag scheint, weil seine Ausführung
eine neue Auslage erforderte, Bedenken pe zu ha-
195
Bulletin de l’Académie Impériale
ben, und die Oberbehörde nahm einen anderen, von
Hrn. Romanowsky gemachten an, der einfacher und
vielleicht weniger kostspielig war. Romanowsky,
der um jene Zeit, nach dem Schlusse der bei Podolsk
ausgeführten Bohrarbeit, nach St. Petersburg gekom-
men war, wies auch seinerseits bei der Oberbehörde
auf die Nothwendigkeit hin, die Bohrarbeit bis zum
Granit fortzusetzen, und schlug vor das eiserne,
schwere Gestänge durch ein hölzernes, leichtes, im
Wasser noch viel von seinem Gewichte verlierendes
zu ersetzen, wie er es in Jerino bei Podolsk gethan.
Dabei konnte mit Händekraft weiter gebohrt werden.
In Folge dieser Neuerung trat Nikolsky von der be-
gonnenen Arbeit zurück, die nun von Romanowsky
mit hólzernem Gestünge und mit dem Fabianschen
Freifallbohrer fortgesetzt wurde. Die hier referirten
Umstände, wie sie sich der Wahrheit gemäss wirk-
lich verhalten, scheint der anonyme Verfasser eines
1864 in N° 101 der «C. Herepôypreria BEiowoerm»
abgedruckten Artikels nicht gekannt zu haben. Er
würde sonst nicht die irrige Nachricht verbreitet ha-
ben, dass man nach Erbohrung der zweiten Wasser-
Schicht, und als sich von da an bis in 465 Fuss Tiefe
kein neues Wasser gezeigt hatte, alle Hoffnung auf
weiteren Erfolg aufgegeben und die Absicht gehabt
habe, deshalb die Arbeit zu schliessen. Herr Ni-
kolsky gab diese Hoffnung nicht auf und erbat sich so-
gar Dampfkraft zu deren schnellerer Realisirung, und
auch ich glaubte, dass, wenn man bis auf den Granit
niederginge, in dessen zu Grus zerfallenen oberen
Schichten möglicherweise ein drittes Wasser erbohrt
werden kónne. Aber ich glaubte nicht, dass es über
die Erdoberfläche springen würde. Auch enthält je-
ner, nach der Erbohrung dieses Wassers geschrie-
bene und Herrn Nikolsky fast ignorirende Artikel
eine unrichtige Angabe, indem er behauptet, das zweite
Wasser sei sehr salzig gewesen: es enthält nach Stru-
ve's Analyse überhaupt viel weniger fester Bestand-
theile, als das von Romanowsky in 627 Fuss Tiefe
erbohrte dritte Wasser, und namentlich weniger Koch-
salz als dieses. — —
Die Arbeit ging nun auch unter Romano wsky's
Leitung") ohne besondere Unfälle von statten. Bis in
= b) Der Lieutenant Köppen betheiligte sich, als Romanows-
ky's Gehülfe, ebenfalls an der Arbeit. :
485 Fuss 2 Zoll Tiefe bohrte man immer noch in fein-
kórnigem Sandstein; dann aber trat ein 15 Fuss 7 Z.
mächtiges Lager von grünlichem und grauem Thon, un-
ter diesem in 500 Fuss 9 Zoll Tiefe ein 3 Fuss mäch-
tiger, sehr feinkórniger, thoniger Sandstein von hell-
grauer Farbe auf, der Glimmerschüppchen und flache
Nieren von thonigem Sphaerosiderit enthält. Seine Un-
terlage bildet ein 8 F. 9 Z. mächtiger, róthlicher, sehr
thoniger Sandstein, in welchem aber einzelne, eckige
Kórner hellgrauen Quarzes vorkommen, die bis 3 Li-
nien im Durchmesser haben.
Dieses Gestein kündigte durch diese Einschlüsse die
nunmehr in 517 Fuss 6 Zoll Tiefe folgende Schicht
an. Dies war ein lockerer, feinkörniger Sandstein, aus
dem am 29. Novbr. 1863 sogleich eine reiche Was-
serquelle aufstieg, die mittelst Pumpen in den Gren-
zen des Bohrschachtes gehalten werden musste. Als
man 2 Fuss 4 Zoll tiefer geböhrt hatte, stieg das Was-
ser am 15. Decbr. 1863 mit vermehrter Gewalt und
in grösserer Menge auf und überschwemmte den Bohr-
platz, obgleich es auch seitlich unter der Erde ab-
floss. Man war daher genöthigt es schleunigst in den
benachbarten Abzugsgraben des Riga’schen Prospects
abzuleiten, durch welchen es seitdemin das Flüsschen
Tarakanowka und so in die Newa abfliesst. Der Ar-
tesische Wasser-Strahl war rein, brachte aber eine
Menge kleiner Sandkörner herauf, von denen viele
für die Gesteinsammlung aufgefangen wurden. Es
zeigte sich, dass an den abgerundeten Quarzkörnchen,
obgleich selten, rother Feldspath und Schüppchen
weissen Glimmers hängen, ein Beweis dass der Sand-
stein aus der Zerstörung eines Granits hervorgegangen
war. Mit zunehmender Tiefe ward sein Korn gröber.
Ein kleiner Unfall hielt das Bohren bis zum 11. Jan.
1864 auf, und schon am 12. Januar meldete mir Ro-
manowsky, dass nachdem man am vorhergehenden
Tage 2 F.4 Z. in grobkörnigem Sandsteine gemacht,
aus 525 Fuss Tiefe ein bei weitem reichlicheres Was-
ser als das vorhergehende, aufgestiegen sei. Es sprang,
als man auf die Mündung der Bohrróhre eine andere
Röhre geringeren Durchmessers aufsetzte, mehrere
Fuss hoch über das Niveau des Bohrplatzes. == - :
Auch in diesem grobkörnigen Sandsteine, dessen
Körner zwei bis drei Linien im Durchmesser errei-
chen, sind einzelne Körner rothen Feldspaths und Glim-
I merschüppchen zu bemerken. Ein Bindemittel scheint
197
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
198
dieser Sandstein gar nicht zu haben und daher sehr
locker und permeabel zu sein.
Als man 540 Fuss erreicht hatte, vermehrte sich
der Wasserandrang aus demselben Gesteine. Nach ei-
ner von dem Oberst Roshkow angestellten Messung
betrug die Wassermenge 1'/, Kubikfuss in der Se-
kunde und sprang der Strahl durch eine 14 Fuss hohe
Röhre von 3 Zoll Durchmesser, 28 Fuss hoch.
Die Temperatur des Wassers ward später von Hrn.
Ferdinand Müller, Gehilfen des Directors des Phy-
sikalischen Central-Observatoriums, bestimmt, und er
theilte mir schriftlich das Folgende mit:
«Am 3. (15.) Juni bestimmte ich die Temperatur in
«der. Tiefe des Artesischen Brunnens vermittelst eines
«gewöhnlichen an derSpitze abgebrochenen Thermome-
«ters und eines sogenannten Geothermometers, welche
«Instrumente in einer sehr starken und fest verschlos-
«senen eisernen Büchse in den Brunnen hinabgelassen
«wurden. Nachdem der erste Versuch, bei welchem
«nur das zuletzt genannte Instrument in die Tiefe ver-
«senkt wurde, missglückt war, da das Quecksilber
«wahrscheinlich schon beim Einlegen des Instruments
«in die Kapsel auf die Öffnung der Röhre zurückge-
«fallen war, versenkte ich zum zweiten Male beide
«Instrumente, nachdem ich sie bei einer Temperatur
«von etwa 3^ R. gefüllt, und auch die eiserne Düchse
«längere Zeit in Wasser von dieser Temperatur gele-
«gen hatte. Während die Büchse an dem Seile befes-
«tigt wurde, was einige Minuten in Anspruch nahm,
«rieb ich sie fortwährend mit Eis, um mich vollkom-
«men zu überzeugen, dass die sehr warme Luft nicht
«schon vor dem Herablassen die Instrumente bis zu
«einer hóheren Temperatur, als sie in der Tiefe zu er-
«warten war, erwärmt habe.
alte Büchse blieb eine Stunde lang in der äusser-
«sten Tiefe des Brannens (656 Fuss engl.); das Hin-
«ablassen: und Heraufziehen erforderte zusammen */,
«Stunden. Unmittelbar bei Ankunft der Büchse an der
sOberfläche wurde sie in Wasser von etwa 4^ R. ge-
«legt, erst nach einer Weile geöffnet und die beiden
«Instrumente in Wasser von 9? R. gesetzt, dessen Tem-
«peratur bei bestándigem Umrühren stieg. Die Röhre
«des gewóhnlichen Thermometers zeigte sich gefüllt,
«als das Wasser die Temperatur 9,62° R. angenommen
«hatte, die Röhre des Geothermometers bei 9,56" R.
«Diese Zahlen geben also die Temperatur in der Tiefe
«des Artesischen Brunnens.
«An der Mündung des Brunnens zeigte das ausflies-
«sende Wasser bei zweimaliger Untersuchung über-
«einstimmend 9,02° R. bei einer gleichzeitigen Luft-
«temperatur von 18,4 und 19,2? R.
«Sämmtliche Temperaturen an der Oberfläche wur-
«den mit Hilfe eines Greiner'schen in Fünftelgrade
«Réaum. und eines Geissler'schen in Fünftelgrade Cels.
«getheilten Thermometers gemessen, für welche der
«Fehler des Nullpunkts noch an demselben Tage be-
«stimmt wurde. Die hier angegebenen Zahlen sind be-
«reits corrigirt. Es ist jedenfalls nothwendig, die Ver-
«suche noch einmal in einer günstigeren Jahreszeit zu
«wiederholen. Bei der ausserordentlichen Höhe der
«Lufttemperatur war es sehr schwierig, in einem Ge-
«fässe mit Wasser eine auch nur einigermaassen gleich-
«müssige Temperatur hervorzubringen; von dieser Be-
«dingung hängt aber die EES der Bestimmung
«ganz und gar ab.»
In einer der Kaiserlichen Akademie der Wissen-
schaften am 8. Januar 1864 vorgelegten und im Bul-
letin, Tome VII, abgedruckten Notiz berichtete ich
über diese Ergebnisse und sprach dabei die Ueberzeu-
gung aus, dass man, da jener Sandstein offenbar ein
zerstörter Granit, wohl nichtmehr weit von letzterem
sei. Die Hoffnung ihn bald zu erreichen, wurde zwar
geringer, als in 557 Fuss 10 Zoll unter dem Sandstein
ein grünlich grauer, fetter Thon erbohrt ward, der
die auffallendste Áhnlichkeit von dem zu Tage treten-
den untersilurischen hat; als man aber tiefer in dieses
46 Fuss 1 Zoll mächtige Lager eindrang, stellten sich
in dem Thone wieder grobe, bis 3 Linien dieke Kör-
ner grauen Quarzes und rothe Feldspathkórner ein.
In dem Thone selbst bemerkte man weisse Glimmer-
schüppchen. In 581 Fuss Tiefe trat unter dem Thone
ein feinblättriger, dunkelgrauer Schieferthon auf, in
welchem man ausser Glimmerschüppchen keine andere
Beimengung bemerkt. Unter ihm aber folgte in 603 F.
Tiefe ein weisser 5 Fuss 2 Zoll mächtiger, wasserhalti-
ger Quarzsand, dann ein fesjer, 1 Fuss müchtiger Sand-
stein und unter ihm ein 14 Fuss dickes Lager dunkel-
grauen Thones. Bis 634 Fuss 11 Z.bohrte man sodann
dureh einen Wechsel von Thon und Sandschichten,
unter denen sich ein 3 Fuss 5 Zoll mächtiger, hell-
grauer, sehr feinkörniger Sandstein zeigte, der neues
199
Bulletin de l’Académie Impériale
200
Wasser, aber in geringer Mengelieferte; seine weissen,
wasserhellen Quarzkórner sind vollkommen abgerun-
det. Ich habe in ihm weder Feldspathkórner noch Glim-
merschüppchen entdecken kónnen, was um so auffal-
lender ist, als sie in den über und unter ihm liegenden
grobkórnigen Sandsteinen vorkommen. Auch sein fei-
nes Korn ist beachtenswerth, da es der in jenem ano-
nymen Artikel der «R. St. Pet. Ztg.» N* 101, 1864,
auzgesprochenen Meinung widerspricht, nach welcher
das ganze zur Bildung der durchbohrten Gesteinlager
erforderliche Material einst durcheinander gerührt ge-
wesen sei, wie Sand und Thon in einem wassererfüllten
Gefässe, und da hätten sich dann, als das Wasser ru-
hig ward, die groben Quarzkörner zuerst, dann die
feineren und endlich der im Wasser suspendirte Thon
abgesetzt. Eine solche Vorstellung von dem Hergange
der Sache stimmt gar nicht mit der im Bohrloche er-
kaunten Schichtenfolge, die immerfort einen Wechsel
von Sandstein und Thon zeigt.
Für jede einzelne Sandstein oder Sand enthaltende
Thonschicht mag jene Erklärungsweise sich bestäti-
gen; für das ganze Schichtensystem bleibt sie ohne
alle Anwendung. In 638 Fuss 4 Zoll und 644 Fuss
werden die völlig abgerollten hellgrauen Quarzkörner
zwar grösser, als in der vorhergehenden Schicht, er-
reichen aber nicht die Grösse der aus 522 Fuss her- |
aufgebrachten, und die Proben aus 653 Fuss Tiefe
haben ein noch kleineres Korn, als die aus 638
Fuss. Der aus 653 Fuss Tiefe hervorgeholte feine
Sand hat eine graue Farbe wegen vieler ihm beige-
mengter Schüppchen dunkelgrauen Glimmers oder
Chlorits. Er enthielt auch fleischrothe Feldspathkór-
ner und seine Quarzkórner sind zum Theil eckig,
was vielleicht vom Zerschlagen durch den Bohrmeissel
. herrührt, andere sind abgerundet. In dieser 18 Fuss
3 Zoll mächtigen Schicht scheinen dünne Lagen eines
fett anzufühlenden, grünlich grauen Schiefers vorzu-
kommen, den ich für verwitterten Chlorit- Schiefer
halte. Er besteht ganz und gar aus feinen, glänzenden
Schüppchen dieses Minerals.
Wir gelangen nun zum Schlusse der Arbeit und un-
seres Berichts. Am 16. April 1864 ward in 656 Fuss
10 Zoll Tiefe ein Granit erbohrt, der aus fleischrothem |
Orthoklas, hellgrauem Quarz und schwarzem, sphäri-
schem Glimmer besteht, mithin den Eigenschaften
des Wyburger Rappakiwwi-Granits entspricht.
Um sich über diese Thatsache schliesslich zu ver-
gewissern, liess Romanowsky diesen Granit 1
Fuss 6 Zoll tief durchbohren. Dass dieser Granit
ein fester, anstehender ist, bewies seine beim Bohren
sehr beschwerliche Härte und der Umstand, dass alle
heraufgebrachten Proben nie aus abgerundeten, son-
dern ganz scharfkantigen Kórnern mit vollkommen fri-
schen Bruchflächen bestanden. Es war eben ein vom
Meissel zermalmter fester Granit.
Ich kann bei dieser Gelegenheit nicht verschweigen,
dass ich es tief bedaure, vergeblich darum gebeten zu
haben, man móge aus dem erbohrten Granit einen Cy-
linder herausschneiden und im Museum des Bergin-
stituts als Dokument und Beweisstück deponiren.
Im Gouvernement Perm schneiden einfache Bohr-
meister jener Gegend aus den in den Bohrlóchern auf-
geschlossenen Kalksteinen nicht selten dergleichen Cy-
linder heraus, und das Museum des Berginstitus besitzt
ihrer mehrere, auch einen 1 Fuss langen Sandsteincy-
linder, den der franzósische Bergingenieur Fauvage
aus dem Bohrloche bei Pereschtschepina im Gouver-
nement Jekaterinoslaw herausgeschnitten hat; zum
Beweise, dass er unter den Thonschichten jener Ge-
gend die starkgeneigten Schichten der Steinkohlenfor-
mation wirklich erbohrt hat.
Als ich gegen das Ende des Septembers 1864 von
| der Reise in den Süden Russlands heimkehrte, fand
ich das St. Petersburger Bohrloch bis auf den Granit
hinab mit hölzernen Röhren besetzt, die einen inne-
ren Durchmesser von nur noch 6 Zoll haben. Vor-
her waren 4 eiserne Röhrenfahrten bis in 302 Fuss
Tiefe getrieben worden.
Auch hier erlaube ich mir mein Bedauern darüber
auszusprechen, dass man statt metallener, hölzerne
Röhren angewendet hat, deren viel beträchtlichere
Dicke dem Bohrloche einen bedeutenden Theil seines
Diameters genommen und dadurch die Wassermenge
verringert haben. Aber es ist noch eines Umstandes
zu erwähnen. Da man von 302 Fuss Tiefe an ohne
Beröhrung weiter bohrte und der Wasserandrang aus
627 Fuss Tiefe ausserordentlich energisch ist, so sind
die Wände des Bohrlochs durch Abspülen wahrschein-
lich erweitert worden. Als man daher die hölzerne
Röhre einbrachte, deren äusserer Durchmesser nur 9
Zoll beträgt, blieb zwischen ihr und den Bohrwänden
ein hohler Raum von bedeutendem Durchmesser, durch
` BOHRPROFIL,
des St. Petersburger
ARTESISCHEN BRUNNENS
Wo E ` der sich imNarvaschenStadttheile auf dem Hofe der
ide = oup ` Anstalt zur Anfertigung der Staatspapiere befind
Temperatur des Wassers.
in der Tiefe - Zeg
Fank. Sand .
ef.
Grauer Lehm.
ern ebe: Lehm.
Grauer Blocklehm.
Der Granit ward
ive. 26: uit TANE
erbohrt . |
$457
Die Wassermenge be -
ken der pem.
x
*
cma ZA 000 Eime 00000
im 4 Stunden. |
41416"
#19 27
4855 2^
Anstalt 7 A. Minster. MEO bin Haus #7. `
Ende der eisernen:
Rohren.
Äunferne durcdocherte
Rohre.
201
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
welchen das Wasser auch seitlich, d. h. ausserhalb der
Röhren heraufdrang. Seitdem man die verstopften Zwi-
schenräume zwischen den eisernen Röhren frei ge-
macht hat, dringt das Wasser in diesen herauf und
. die Filtration neben dem Bohrschachte hat seitdem
aufgehört.
Ich habe mir oftmals die Frage gestellt, wo der er-
bohrte, starke Wasserstrahl herkommt, der 28 Fuss
hoch aufsteigt? Man pflegt anzunehmen, dass die die
Artesischen Brunnen speisenden Wasser in grossen,
muldenförmig gelagerten Schichtensystemen oder an
solchen Stellen angesammelt sind, wo geneigte Se-
dimentairschichten in grosser Tiefe gegen ein Mas-
siv von krystallinischen, impermeablen Schichten sich
stemmen, so dass die durch diese Schichten hin-
durchgedrungenen Wasser sich an der krystallinischen
Mauer anhäufen müssen. Von alle dem kann in un-
serm Falle nicht die Rede sein. Weder bilden unsere
baltischen Silurschichten eine Mulde, noch sind sie ge-
gen die Granite und Gneisse Finnlands geneigt, son-
dern werden vielmehr von diesen getragen. Dass das
Wasser des St. Petersburger Brunnens vom Süden oder
Südwesten kommt, scheint ganz unwahrscheinlich zu
. sein, da die Silurschichten schon in der Nähe von Pe-
tersburg und bis weit nach Süden von dichten devoni-
schen Kalksteinen und Thonen bedeckt, also auch vor
dem Eindringen at härischer Wasser geschütztsind,
und da überdiess die alten Schichten in diesem Theile
Russlands alle eine, wenn auch nur geringe Neigung
nach Süden haben, und die wasserhaltige Hauptschicht
auch noch von dem 300 Fuss mächtigen Silurthon,
also einer das Wasser nicht durchlassenden Schicht
überlagert ist. Der Umstand, dass der blaugrüne Si-
lurthon bei Strelna im Meeresniveau erscheint, am
Wolchow aber, bei Alt-Ladoga, mindestens 40 Fuss
über der Ostsee liegt, zeigt deutlich, dass unsere Si-
lurschichten vom Ladoga her nach Westen schwach
geneigt sind. Wenn so der Westen, Süden und Süd-
osten unser hiesiges Springwasser nicht haben liefern
können, so bleibt uns dazu der Osten und Norden
übrig. Der Silurische Orthocerenkalkstein (auch Vagi-
natenkalk, Schmidt) überschreitet nirgends den Pa-
rallelkreis St. Petersburgs und Schlüsselburgs nach
Norden; ebenso wenig der unter ihm liegende Schie-
ferthon und Ungulitensandstein. Der unter letzterem
lagernde blaugrüne Thon erstreckt sich zwar nach
an
Norden über diese Grenze hinaus, ist aber nie auf Finn-
ländischem Granit aufliegend gesehen worden; eben
so wenig hat man irgendwo die noch tieferen, durch
den Bohrbrunnen aufgeschlossenen Glieder dieser For-
mation den Granit überlagern gesehen. Nur das Bohr-
loch hat uns gezeigt, dass eine solche Auflagerung
wirklich stattfindet.
Nimmt man nun an, und wir haben das volle Recht
dazu, dass die tiefliegenden, unsichtbaren Schichten
des Systems dieselbe schwache Neigung nach Süden
haben, wie die obern, am Glinte Estlands entblössten,
so würde ihr nördliches Ausgehende, etwa im südli-
chen Theile Finnlands, vielleicht nicht sehr tief unter
dem dortigen Diluvialboden zu suchen sein.
Wenn wir uns einen sehr grossen oder viele klei-
nere Seeen denken, an denen Finnland so überreich ist,
deren Wasser nicht ganz und gar von Granitufern, wie
von dem Rande eines Tellers eingeschlossen ist, son-
dern auch mit permeabelen Sandschichten des Dilu-
viums in Verbindung stehen, welche ihrerseits sehr
wohl mit den unteren Grusschichten des Silurischen
kommuniciren könnten, so würde solchen Wassern,
wenn sie die gehörige Höhe besitzen, der unterirdische
Weg nach der Gegend von St. Petersburg allerdings
gebahnt und dieselben im Stande sein, den Spring-
brunnen zu speisen.
Diese Vorstellung war es, welche mich veranlasste, .
der Akademie im Frühlinge dieses 1864. Jahres den
Vorschlag zu machen, zur Lösung dieser Frage das
Verfahren anzuwenden, das ich in Professor Schmidt’s
trefflichem Buche über die Quellen und Brunnen Dor-
pats ©) gelesen hatte. Schmidt wies durch Analysen
nach, wie jene und manche andere Wasser, z. B. das
des Embach und der Düna, genau die Summe aller
festen Bestandtheile enthalten, welche sie ursprüng-
lich besassen und sodann auf ihrem unterirdischen
Wege aus den durchlaufenen Erdschichten aufnahmen.
Struve hat bereits gezeigt, dass das Wasser unseres
Artesischen Brunnens seine festen Bestandtheile nicht
alle aus den durchbohrten Schichten allein erhalten ha-
ben kann, sondern einige aus anderen Vorräthen ge-
nommen haben muss. Erwiese nun z. B. die Analyse,
dass diese anderen Bestandtheile in der geforderten
Menge etwa im Ladogasee, im Onega, im Saima oder
6) Schmidt, die Wasserversorgung Dorpats. Dorpat 1863.
203
Bulletin de l'Académie Impériale
204
anderen Finnischen Seen vorhanden sind, so würde
man daraus schliessen können, dass das St. Petersbur-
ger Artesische Wasser aus diesen Seen zufliesst.
Diese Untersuchungen, die Hr. Struve im Auf-
trage der Akademie unternommen hat, würden uns,
wenn man sie weiter ausdehnt, zu einer gründlichen
hydrologischen Kenntniss dieses Theils von Russland
führen und vielleicht zu einer noch umfassenderen Un-
tersuchung der grossen Wasseradern, Seen und Meere
Russlands führen, die jedenfalls von hervorragendem
wissenschaftlichem Interesse sein würde.
Zur bequemeren Uebersicht der Schichtenfolge im
Artesischen Bohrloche lege ich einen Durchschnitt
desselben bei. Der Silurische Thon war früher schon
in Reval und zum Theil in Zarskoie Selo durchbohrt
worden. Über ihn bringt unsere Arbeit aber dennoch
einiges Neue. Aber die unter ihm liegenden Schichten
bis zum anstehenden Granit kannte man früher nicht.
Zur Oologie der Räderthiere. Zweiter Beitrag.
Von Dr. J. F. Weisse, (Lu le 1 décembre 1864.)
(Mit einer Tafel.)
Hiemit der Akademie eine zweite Serie der von mir
auf ihrer allmählichen Entwickelung beobachteten Rä-
derthier - Eier übergebend, muss ich die Bemerkung
vorausschicken, dass ich mit Uebergehung vieler Eier,
welche die gewóhnlichen Erscheinungen darboten, nur
solche hier berücksichtigt habe, die sich durch etwas
Besonderes auszeichneten.
Die beiliegenden Abbildungen sind gleich denen im
früher erschienenen Aufsatze über diesen Gegenstand!)
unter einer Vergrüsserung von 340 Mal angefertigt
worden; die ihnen beigefügten Buchstaben bedeuten:
Dd. Darmdrüsen, F. Fuss, Kb. Keimblüschen, M
Mandibeln, W. Wimpernkranz, Z. Zitterorgane.
— 1. Das Ei einer Philodina.
Als ich im Sommer 1863 meine Beobachtungen
über Ráderthier-Eier wieder aufnahm, war das erste
Ei, auf welches ich stiess, das unter Fig. 1 darge-
stellte. Es hatte fast das Ansehen, als sei es doppel-
schalig, indem die wasserhelle hohe Spitze durch eine
dunkle Contour von dem Inhalte getrennt war. Hier
fand auch ein leises Wimpernspiel statt. — Im
...3) Mémoires, Tome IV. Nr. 8.1862, ooo o0
Laufe des Tages — es war der 26. Mai — wurden
die Mandibeln sichtbar, wie auch ein rother Augen-
punkt. Sofort machte der wie in mehrere Lappen sich
abtheilende Embryonalkórper lebhafte Bewegungen,
unter welchen sich derselbe allmählich in jene helle
Spitze hineindrüngte (Fig. 2). Am folgenden Morgen
um 7 Uhr war letztere völlig ausgefüllt, die Kiefern
hatten sich mehr nach vorn hin begeben und waren,
gleich dem Embryo, in lebhafter Bewegung. Gegen 5
Uhr Nachmittags brach das Ei an der Spitze auf und
entliess eine schlanke Philodina, deren Art ich nicht
mit Sicherheit bestimmen konnte, weil sie sich schnell
aus dem Gesichtsfelde verlor. Ich glaube indessen,
dass es Philodina collaris gewesen.
2. Das Ei der Euchlanis Luna.
Schon früher war mir wohl dann und wann ein sot
ches Gebilde, wie Fig. 3 zeigt, aufgestossen; ich be-
obachtete dasselbe mitunter auch eine Zeit lang, be-
merkte aber keine Veründerung oder irgend ein Le-
benszeichen, weshalb mir's auch nie in den Sinn kam,
ein Räderthier-Ei in demselben zu sehen. Als mir in-
dessen am 27. Mai wieder ein solches unter das Mi-
kroskop kam, beschloss ich, dasselbe anhaltender zu
betrachten, da ich durch meine Methode, Räderthier-
Eier mehrere Tage lang im Gesichtsfelde lebendig zu
erhalten, gegenwärtig in Stand gesetzt bin, derglei-
chen Beobachtungen lange fortzusetzen. en
Es war 10 Uhr Morgens, als ich am genannten
Tage meine Beobachtung begann. Die doppelten ziem-
lich weit aus einander stehenden Contouren gewühr-
ten mit dem in der Mitte befindlichen schwarzen In-
halte einen gar hübschen Anblick; es fiel mir der
Ring des Saturnus dabei ein. Obgleich ich den Gegen-
: stand nun alle zwei bis drei Stunden wieder in Augen- E!
schein nahm, konnte ich im Laufe des ganzen Tags —
keine andere Veründerung bemerken, als dass sich E
der in der Mitte liegende dunkle Kórper mehr nach 3
dem. einen Ende des Eies. hinbewegt hatte, wührend 4
am anderen Ende, welches näher an den äusseren …
Ring hingerückt war, ein schmaler, strichförmiger E
heller Raum sich zeigte. Als ich am anderen Morgen `
um 7 Uhr wieder in's Mikroskop schaute, ward es
| mir klar, dass ich in der That ein Räderthier-Ei.vor —
x mir hatte. Jener erwühnte helle Zwischenraum hatte
(Sch vergrüssert und es zeigte sich dort das mir so be-
205
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
kannte Wellenspiel der Wimpern in dergleichen Eiern
(Fig. 4). Jetzt hellte sich das Ei hie und da mehr auf,
das Wimpernschlagen ward immer lebhafter und es
schimmerte aus der dunklen Masse ein abgesonderter
Körper hervor, welchen ich für den sich aufbauenden
Kauapparat halten musste. Bis zur Mitternacht war
keine weitere Veränderung wahrzunehmen, auch das
Spiel der Wimpern hörte plötzlich auf. Am nächsten
Morgen fand ich meine Vermuthung hinsichtlich des
erwähnten Körpers bestätigt, indem an dieser Stelle
die jetzt deutlich zu erkennenden Mandibeln von Zeit
zu Zeit Kaubewegungen vollführten. Eine Stunde spä-
ter trat rechterseits von ihnen ein kleiner blassrother
Augenfleck auf und linkerseits, etwas tiefer nach unten,
ein Zitterorgan (Fig. 5). Von nun an wurden Wimpern-
spiel und Kaubewegungen immer lebhafter, der Em-
bryo bewegte sich bald hie bald da und erfüllte all-
mählich die helle Spitze des Eies mit seinem anwach-
senden Körper. Gegen drei Uhr Nachmittags hörte
plötzlich jede Bewegung auf, indessen ward der Em-
bryo nach Verlauf einer Stunde wieder sehr unruhig
und sprengte um 4 Uhr das Ei an seiner Spitze. Die
äussere Hülle blieb dabei unversehrt und zerriss erst
eine halbe Stunde später in mehrere Fetzen dadurch,
dass das dem Ei entschlüpfte Thier sich nach allen
Richtungen ausdehnte. Vollkommen frei vor mir lie-
gend erkannte ich eine hübsche Euchlanis Luna, wel-
che sich durch die so charakteristischen Nägel an den
Fingern und dem mondförmig ausgeschnittenen obe-
ren Rand des Panzers deutlich genug kennzeichnete.
Während das Thierchen noch in der äusseren Umhül-
lung verweilte, waren die beiden von Ehrenberg er-
wähnten kugligen Darmdrüsen ausserordentlich deut-
lich wahrzunehmen (Fig. 6). Er scheint aber das Zit-
terorgan übersehen zu haben, welches ich nicht nur
bei dem Embryo, sondern auch bei dem Neugebore-
nen auf’s Deutlichste wahrgenommen. (Fig. 5 und 6).
-Es waren somit 54 Stunden, vom Anfange der Be-
obachtung an gerechnet, verflossen, bis das Thier aus
dem Ei hervorkam. Will man mit Ehrenberg jedes
Räderthier - Ei, das mit einer doppelten Umhüllung
versehen ist, Winter- oder Dauer-Ei nennen, so hat
das hier beschriebene das vollste Recht auf diese Be-
nennung. Ob diese Euchlanis- Art aber auch Eier mit
einfacher Schale legen mag, ist mir nicht bekannt;
aus Ehrenberg's Abbildungen derselben mit noch
im Leibe zurückgehaltenen Eiern ist darüber kein si-
cheres Urtheil zu füllen.
3. Das Ei der Euchlanis dilatata,
Am 1. Juni kam mir um 8 Uhr Abends ein über-
aus grosses Rüderthier- Ei zu Gesicht, welches von
einer hellen membranartigen Hülle umschlossen war
und an einem Confervenfaden hing. Es hatte in sei-
nem äusseren Aussehen einige Aehnlichkeit mit den
Winter- Eiern der Triarthra mystacina, wie Ehren-
berg diese auf Tab. LV. in seinem grossen Infuso-
rienwerke dargestellt hat. Meine 7. Figur zeigt es so,
wie ich es antraf. Dasselbe bis Mitternacht beobach-
tend, konnte ich keine Veründerung wahrnehmen; erst
am folgenden Morgen fand ich es hie und da durch-
sichtiger geworden, glaubte auch an einem Ende ein
leises Wimpernspiel zu bemerken, was einige Stun-
den später deutlicher auftrat und zeitweise von einem
Hin- und Herschwanken des oberen Kórpertheils des
sich bildenden Embryo begleitet war. In den Nach-
mittagsstunden hellten sich beide Enden des Eies auf
und das dunkle Bildungsmaterial hatte sich im Cen-
trum desselben angehüuft, wührend rings am lichter
erscheinenden Rande deutliche Bewegungen des sich
entwickelnden Embryo sichtbar waren. Spät am Abend
trat völlige Ruhe ein und erst am Morgen des folgenden
Tages, d. h. am 3. Juni, bewegte sich der Embryo,
an dessen Mandibeln ich jetzt die fünf Zähne deutlich
zühlen konnte, wieder sehr lebhaft. Gegen 11 Uhr er-
schien das blassrothe Auge oberhalb der Mandibeln
(Fig. 8), eine Stunde später trat jedoch von Neuem
eine vollstàndige Ruhe ein, welche auch den ganzen
übrigen Tag andauerte, so dass ich schon befürchtete,
das Thierchen sei im Eie abgestorben. Am anderen
Tage indessen, als ich um 7 Uhr Morgens an's Mi-
kroskop trat, bemerkte ich im hinteren Theile des
Körpers eine sich rhythmisch ausdehnende und kontra-
hirende Blase. Bald darauf stellten sich auch Bewe-
gungen. der Mandibeln wie auch des ganzen Kórpers
ein und um 1 Uhr Nachmittags, also in der 65. Stunde
der Beobachtung, quoll das Neugeborene, mit dem
Rüderorgane voraus, sehr langsam unter dem Eie
hervor, ohne dass die erwähnte umhüllende Membran
im Mindesten verletzt ward (Fig. 9). Während das-
selbe mit seinen langen Fingern noch im Eie steckte,
schlängelte sich eine grosse Anguillula heran, packte
207
Bulletin de l’Académie Impériale
208
das eben geborene Thier an dem frei gewordenen
Körpertheile und riss mit einer solchen Wuth lange
Fetzen vom Leibe, dass die verstümmelte Leiche vol-
lends an’s Tageslicht gezogen ward. Ich hatte zwar
diese Schlange, welche ich drei Tage und drei Nächte
mit der harmlosen Euchlanis am Leben erhielt, schon
zu Anfange meiner Beobachtung bemerkt, wollte sie
aber theils aus Furcht, dabei auch das Ei aus dem
Auge zu verlieren, nicht bei Seite schaffen, theils weil
ich die Anguillulae bisher nicht für carnivore Ge-
schöpfe gehalten. In Zukunft werde ich aber natürlich
stets darauf bedacht sein, ein solches Raubthier bei
Zeiten zu entfernen. `
4. Das Ei der Monostyla cornuta,
Am 11. Juni begegnete mir das unter Fig. 10 ab-
gebildete Ei, in welchem sich der Embryo bereits be-
wegte. Es zog meine Aufmerksamkeit besonders da-
durch auf sich, dass es im Innern wie mit einem Strah-
lenkranze umgeben zu sein schien. Bei einer minder
scharfen Einstellung des Mikroskops zeigte sich die
äussere Oberfläche der Schale mit in Reihen geord-
neten erhabenen Pünktchen besetzt (Fig. 11).
Es war gegen 9 Uhr Morgens, alsich dieses Ei auf-
fand, und schon nach einer Stunde wurden Auge und
Mandibeln sichtbar. Die weitere Entwickelung des
Embryo nahm einen so raschen Fortgang, dass das
Ei schon an diesem Tage um 4 Uhr Nachmittags auf-
brach und zwar auf der abwärts gekehrten Seite. Nun
waren die oben erwähnten Pünktchen ausnehmend
deutlich wahrzunehmen (Fig. 11).
Da ich in meinem ersten Beitrage zur Oologie der
Räderthiere bereits ein Ei beschrieben habe, welches
ich von der Monostyla cornuta herstammend angenom-
men, das aber von diesem jetzt besprochenen in sei-
nem äusseren Ansehen sehr abwich, glaubte ich mich
damals bei Bestimmung der Art geirrt zu haben, weil
ich diese jetzt unzweifelhaft vor mir hatte. Ein glück-
licher Zufall kam mir am folgenden Tage in dieser
Verlegenheit zu Hilfe. Ich begegnete nämlich wieder
einem Eie, welches, wie früher, von einem Algenfa-
den ringförmig umschlossen war und dessen Insasse
eben im Begriff war, dasselbe zu verlassen. Das Thier-
chen schob das leere Ei auf die Seite und bewegte
sich wohlgemuth in dem vegetabilischen Gefängnisse,
dessen Schranken es innerhalb einer halben Stunde,
ohngeachtet vieler Anstrengungen‘), nicht zu durch-
brechen vermochte. Ich hatte aber dadurch den Vor-
theil, es genau beobachten und mich versichern zu kön-
nen, dass eine Monostyla cornuta vor mir lag. Ob man
hier nicht an Sommer- und Winter-Eier denken darf?
5. Das Ei von Searidium longicaudatum.
Dieses unter Fig. 12 abgebildete Ei, welches mir `
am 21. Juni um8 Uhr Morgens unter das Mikroskop
kam, fiel besonders durch den Besatz von langen haar-
ähnlichen Fädchen auf. An einem Ende desselben war
bereits ein leises Wimpernschlagen sichtbar; bald tra-
ten auch deutliche Bewegungen des Embryo auf. Schon
ium 10 Uhr konnte ich die Mandibeln, wie auch das
durch einen breiten Streifen von rothgelber Farbe an-
gedeutete Auge erkennen (Fig. 12). Nachdem sich
das Ei im Laufe des Tages immer mehr und mehr
ausgefüllt hatte, platzte es um 6 Uhr Nachmittags
und entliess das in der Aufschrift genannte, so selt-
sam gestaltete Thier bis auf den zweischenklichten
Abschnitt des Fusses, welcher halbcirkelfórmig ge-
krümmt noch zehn Minuten lang in demselben ver-
weilte. Das entleerte Ei (Fig. 13) rechtfertigte die
Annahme, dass es wirklich bewimpert sei, indem sich
die kolbenfórmigen Wurzelenden der spitz zulaufen-
den Härchen wie in die Eischale eingebettet darstell-
ten. Am folgenden Tage fand ich neben einem ausge-
wachsenen Scaridium noch zwei ganz eben so beschaf-
fene Eier; ich war jedoch nicht so glücklich, ein Ei
aus dem Mutterleibe austreten zu sehen, um Leydig’s
interessante Beobachtung zu bestätigen. Er sagt: Das
reife Ei (Winter- Ei) hat eine Eigenthümlichkeit an
seiner Schale, die aber erst im Momente des Ab-
ganges aus dem Leibe sichtbar wird. In dem
Augenblicke nämlich, wo das ovale Ei aus der Kloa-
kenóffnung, welche sich oberhalb der Fussbasis befin-
det, hervorkommt, entfaltet die Schale einen Haarbe-
satz, dessen einzelne Fäden zwar nicht sehr dicht
stehen, aber 0,007— 1,010" lang sind).
Ehrenberg leugnet bekanntlich die Existenz von
bewimperten Räderthier - Eiern und hält dafür, dass
diese Erscheinung stets durch kleine Algen (hygrocro-
2) Bei diesen fruchtlosen Bemühungen war es ergôtzlich, zu se-
hen, wie das Thierchen von der Wand der Alge zurücktrat und
dann mit kräftigem Anlaufe dieselbe zu durchbrechen versuchte.
3) v. Siebold's und E s Zeitschrift für vissenschaftl.
! Zoologie, 6. Bd. 1855. Nr. 1
209 des Sciences de
Saint- Petersbourg. 210
cis vestiens), welche an ihnen hängen, bewirkt wer-
de‘). Er hat aber, wie aus seiner Beschreibung und
seinen Abbildungen des Scaridium hervorgeht, nie ein
Ei desselben ausserhalb des mütterlichen Leibes zu
sehen Gelegenheit gehabt.
6. Das Ei von Monura Colurus,
Unter Fig. 14 erblickt man ein kleines Ei, welches
ich am 24. Juni um 9 Uhr Morgens zu beobach-
ten anfing. Nachdem das besonders an einem Ende
angehäufte dunkle Bildungsmaterial zur Aufbauung
des Embryo verwendet worden war, trat an dem an-
deren helleren Ende das so charakterische Wimpern-
spiel auf, aber erst am folgenden Tage kamen Kau-
apparat und zwei kleine rothe, nahe bei einander
stehende Augenpunkte zum Vorschein. Obgleich nun
der rasch in der Weiterentwickelung fortschreitende
Embryo sich lebhaft bewegte, auch die kauenden
Mandibeln stark nach oben hinauf rückten, war ich
dennoch genöthigt, das Ei, in welchem spät Abends
jede Bewegung aufgehört hatte, die Nacht durch auf-
zuheben. Am anderen Morgen zeigten sich wieder un-
zweideutige Lebenszeichen, welche im Laufe des Ta-
ges immer kräftiger auftraten; dennoch platzte das
Ei erst gegen 7 Uhr Abends, so dass 58 Stunden von
Anbeginn der Beobachtung verflossen waren. Das
Thierchen quoll überaus langsam aus dem kleinen
Risse im Eie hervor, die kleinen niedlichen Stirnau-
gen voran, und den Fuss hin und her schleudernd
(Fig. 15). Als sich endlich auch der Kauapparat her-
ausgedrängt hatte, hörte alle Bewegung auf. Das Thier
war abgestorben, aber leicht zu erkennen. Figur 16
zeigt den Riss im entleerten Eie.
7. Das Ei von Brachionus Bakeri,
In den letzten Tagen des Juni-Monats fand ich ne-
ben einem grossen lebenskräftigen Exemplare des ge-
nannten Wappenthierchens zwei freiliegende Eier von
ansehnlicher Grösse, in welchen die Embryonen be-
reits lebhafte Bewegungen zeigten. Das schon so oft
erwähnte Wimpernspiel zeigte sich hier nicht nur an
dem helleren Ende der Eier, sondern erstreckte sich
über die ganze vordere Körperhälfte der sich ent-
wickelnden Thierchen. Bald tauchte an einem dersel-
4) Die Infusionsthierchen als vollkommene Organismen. S. 99.
VIII.
Tome
ben auch ein grosses rothes Auge hervor, ohne dass
ich die Mandibeln, welche erst später zum Vorschein
kamen, bemerken konnte (Fig. 17). Dieses Ei brach
schon nach wenigen Stunden mit einem fast durch die
Mitte gehenden Spalt auf (Fig. 18). Aus dem Eie her-
vortretend, stutzte sich das in demselben zusammen
drückt gewesene Thier allmühlich auf; besonders aber
bedurften die am hinteren Kórperende befindlichen
Stacheln, welche bei'm Heraustreten aus dem Eie queer
über einander gelagert waren, einer ziemlich langen
Zeit, ehe sie ihre normale Stellung erlangten (Fig. 19).
Schon Ehrenberg hat dergleichen Eier auf seiner
Tab. LXIV abgebildet und man erkennt deutlich an
einem, welches noch an dem Thiere hängt, die durch
die Mitte gehende Querspalte. Dasselbe war somit
schon entleert.
8. Das Ei von Brachionus Pala.
Als ich nach einer dreiwöchentlichen Unterbrechung
meine Beobachtungen am 18. Juli wieder aufneh-
men konnte, war das hier erwühnte Ei das erste, wel-
ches mir entgegen trat. Es hatte dieselbe Gestalt, war
aber etwas kleiner, als das vorher beschriebene, wes-
halb ich es für überflüssig erachtete, eine Abbildung
zu geben. Da sich bei dem schon lebhafte Bewegun-
gen zeigenden Embryo das so eigenthümliche undu-
lirende Wimpernspiel im Umfange des ganzen vorde-
ren Körpers bemerkbar machte, vermuthete ich so- `
gleich, das Ei eines Brachionus vor mir zu haben. Es
war 8 Uhr Morgens, und schon in der Mittagsstunde
trat das grosse rothe Auge hervor, bevor noch der
Kauapparat wahrgenommen werden konnte. Dieser
kam erst zwei Stunden später zum Vorschein?). Das
Ei brach bereits um 5 Uhr Nachmittags mit einem
gleichfalls durch seine Mitte gehenden Spalt auf. Ich
erkannte mit Sicherheit einen Brachionus Pala, des-
sen Respirationsróhre und bewimperter Stirntheil mit
den zwei langen Stirnborsten sogleich bei dem Aus-
schlüpfen aus dem Eie klar zu unterscheiden waren.
9. Das Ei der Metopidia Lepadella.
Dieses kleine Ei, welches in Fig. 20 dargestellt ist,
und mir am nächsten Morgen um 8 Uhr zu Gesichte
5) Ich mache hier darauf wieder aufmerksam, dass nicht immer,
wie Ehrenberg behauptete, der Kauapparat vor den Augen zur Er-
scheinung komme. ees
14
Bulletin de l’Académie Impériale
kam, war überaus durchsichtig und so leicht, dass es
bei den schon stattfindenden Bewegungen des Embryo
hin und her geschaukelt ward. Statt des bei den üb-
rigen Rüderthier- Eiern so gewöhnlichen Wimpern-
spiels zeigte sich hier am obern Körper nur ein leises
Flimmern. Nach einer Stunde schon waren die Man-
dibeln angedeutet und bald darauf trat an jeder Seite
der flimmernden Stelle ein kleiner rother Augenpunkt
hervor. Gegen 12 Uhr machten die Kiefern die ersten
Kaubewegungen und bereits um 3 Uhr Nachmittags
platzte das Ei seitwärts (Fig. 21), von wo das ge-
nannte Thierchen, mit dem Gabelfusse voran, hervor-
trat. Da ich später noch zwei Mal die Entwickelung
einer solehen Metopidia verfolgt habe und immer das
Austreten aus dem Eie mit dem Fusse voran beob-
achtete, bin ich geneigt, anzunehmen, dass bei ihr die
Fussgeburt normal sei, während sonst die Räderthiere
mit dem Kopf voraus an’s Tageslicht treten. Beson-
ders auffallend war diese Erscheinung in einem Falle,
wo das Ei zuerst in seiner oberen Partie einen Riss
erlitt, aus welchem das Räderorgan hervortrat, bald
darauf jedoch auch unten an der entgegengesetzten
Seite, wo gerade der Zangenfuss gelagert war, platzte
und das Thier nun durch den später entstandenen
Riss, mit dem Fusse voran, hervorkam. Dieses Ei sah
durch die an ihm geheftete kleine Alge (Hygrocrocis
vestiens) wie behaart aus (Fig. 22).
10. Eier der Floseularia ornata.
Am 15. August kam mir ein grosses Exemplar die-
ses ausgezeichneten Rüderthiers unter das Mikroskop.
Es hatte bereits vier Eier in das Futteral abgesetzt,
ein fünftes jedoch war noch im Leibe zurückgehalten.
Dieses ward am folgenden Tage unter meinen Augen
gelegt, indem es bei einer krüftigen Contraction des
Thieres hervorsprang. Noch war das Keimblüschen
sichtbar und das Ei unterschied sich von den anderen
noch dadurch, dass sein Inhalt an beiden Enden von
der Schale abstand*).
Bis zum 17. konnte ich an den kleinen überaus
durchsichtigen Eiern keine andere Veründerung be-
merken, als dass ihr Inhalt so zu sagen grobkürniger
6) Obgleich ich hierüber bereits eine kleine Notiz im 2. Hefte
der Zeitschrift für wissenschaftliche Zoologie vom Jahre 1864 ver-
öffentlicht habe, lasse ich des Zusammenhanges wegen diese Beob-
achtung auch hier stehen. :
ward; in einem derselben erschien jedoch ein kleiner
rother Punkt, welcher seine Lage zu ändern schien,
ohne dass ich Bewegungen wahrnehmen konnte. Am
folgenden Tage, d.h. am 18., entdeckte ich an diesem
schon früh Morgens zwei deutliche Augenpunkte,
welche unter sichtbaren Bewegungen des Embryo fort-
während ihre Lage änderten, bald horizontal, bald
perpendiculär gegen einander gestellt waren (Fig 24 `
bis 25). Es fand auch schon ein leises Wimpernspiel
an einem Ende Statt. In diesem Zustande verharrte
das Thierchen auch den ganzen folgenden Tag. Erst
am 20. barst das Ei in der Mittagsstunde an der hel-
leren Spitze. Der Oberkörper mit den Augen trat so-
fort hervor (Fig. 26); es währte jedoch fast eine Stunde,
ehe das ganze Thier, sich wurmartig hin und her win-
dend, vollständig zum Vorschein kam. Unterdessen
war am Kopfende ein Wimpernkranz auf’s Deutlichste
sichtbar geworden. Das Neugeborene war mehr als
zwei Mal so lang, als der Längsdurchmesser des Eies
betrug, hatte aber nicht die geringste Aehnlichkeit
mit dem Mutterthiere. Ich gebe deshalb in Figur 27
von ihm eine Abbildung, einmal weil, käme einem
anderen Naturforscher ein solches Geschöpf zufälliger
Weise unter das Mikroskop, er zu der Meinung ver-
leitet werden könnte, ein neues Thier entdeckt zu ha-
ben; dann auch, weil bei Ehrenberg, welcher sich
nur durch Zerdrücken des Eies die Ansicht der jun-
gen Floscularia verschaffte, keine Abbildung von dem
jugendlichen Zustande zu finden ist. Bisher hat nur
Leidig eine ähnliche Beobachtung bei Stephanoceros
Eichhorni gemacht, wo er beim Zerquetschen eines
schon reifen Eies ein ebenfalls wurmförmiges, der
Mutter ganz unähnliches Junges hervorkommen sah).
Offenbar muss hier eine Metamorphose gestattet wer-
den, bis ein so unvollkommenes Geschöpf sich seine
Hülle aufbauet und seine vollständige Entwickelung
erreicht. Wie viel Zeit mag noch bis dahin erforder-
lich sein?
Während ich meine ganze Aufmerksamkeit diesem
Eie zugewendet hatte, waren zwei der anderen schon
so weit in der Entwickelung fortgeschritten, dass bei
den sich lebhaft bewegenden Embryonen die Augen
sichtbar geworden waren. Beide brachen am 22. auf,
das eine Morgens um 8 Uhr, das andere zwei Stunden
7) v. Siebold's und Kölliker’s schon angezogene Zeitschrift,
wo sich auch auf Tab. I. Fig. 3 eine Abbildung vorfindet.
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Bulletin de 4 Acad Jp da TI
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213 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 214
später. In beiden waren die feinen Stirnwimpern schon
während die Embryonen noch in ihnen eingeschlossen
waren wahrzunehmen. — In einem vierten Eie starb
der Embryo ab, bevor noch die Augen zur Anschau-
ung kamen; der Inhalt desselben hatte sich von der
Schale nach der Mitte hin in einen unregelmässig ge-
formten Haufen zurückgezogen. — Das fünfte Ei end-
lich, d. h. dasjenige, welches ich aus dem Mutterleibe
am 16. austreten gesehen, zeigte am 20. in den Mor-
genstunden beide Augen an dem sehr lebendigen Em-
bryo, öffnete sich jedoch erst am 23. früh Morgens,
so dass mithin sieben Tage zur vollständigen Ent-
wickelung erforderlich gewesen, und man zurück-
schliessend wohl annehmen darf, dass das Erste der
fünf Eier am 13. August gelegt worden war.
Diese Beobachtung steht nun allerdings im grell-
sten Contraste mit Ehrenberg’s Angaben über die
so rasche Propagation bei Hydatina senta^). Da jedoch
sowohl aus meinen früheren wie aus den vorliegenden
Mittheilungen hervorgeht, dass die Entwickelung der
Räderthiere im Ganzen eine ziemlich langsame ist,
muss wohl die Hydatina als eine nicht maassgebende
Ausnahme betrachtet werden.
Hiermit meinen Aufsatz schliessend, kann ich nicht
umhin, auf die irrthümlichen Angaben Perty’s, hin-
sichtlich dieses interessanten Räderthiers aufmerksam
zu machen. Er sagt nämlich in Nr. 47 seiner unten
citirten Schrift?) von der Floscularia ornata: «Am
Fusse sassen 2 bis 3 Eier, jedes "4 so gross, als der
Leib des Thieres, Dotter braun, rings mit kurzen
Härchen besetzt.» Die Eier der Floscularia sind aber
so klein, dass sie kaum den sechsten Theil des müt-
terlichen Leibes an Länge erreichen; und nun gar ein
brauner, rings mit Härchen besetzter Dotter! Auch
Leydig wunderte sich schon vor beinahe zehn Jah-
ren über diesen absonderlichen Dotter'^). Schade, dass
Herr Perty der überschwenglichen Menge seiner oft
ganz unnützen Figuren nicht auch ein Bild seiner
vermeintlichen Floscularia ornata hinzugefügt hat.
Schlussbemerkung.
Durch meine Reise nach Stettin zu der 38sten Ver-
8) Zur Erkenntniss der Organisation in der Richtung des klein-
sten Raumes. Zweiter Beitrag. Berlin, 1832.
9) Zur Kenntniss kleinster Lebensformen u. s. w. Bern, 1852.
10) In seiner interessanten Abhandlung über die Räderthiere in
der Zeitschrift für wissenschaftliche Zoologie. Bd. VI. 1855.
sammlung deutscher Naturforscher und Aerzte wur-
den meine Beobachtungen unterbrochen. Als ich Ende
September wieder heimgekehrt war, liess ich mir eines
Tages wiederum Wasser aus demselben Teiche brin-
gen, welches mir früher das Material zu meinen Un-
tersuchungen geliefert hatte. Ich konnte nun zwar
keine frei im Wasser liegende Eier auffinden, es be-
gegneten mir aber viele ausgezeichnete Räderthiere,
als: Diglena aurita, Mastigocerca carinata, Philodina
erythrophthalma, Notommata longiseta, Salpina redunca,
Monostyla quadridentata, Brachionus Bakeri, Furcu-
laria gibba und noch manche andere. Die meisten von
ihnen enthielten unzweideutige Eikeime in den Eier-
stöcken; die genannte Notommata aber, wie auch die
Furcularia, trugen sogar ein schon reifes Ei in ihrem
Leibe. Letzteres ward auch unter meinen Augen in’s
Wasser abgesetzt, anderweitige Geschäfte verhinder-
ten mich jedoch, dessen weitere Entwickelung zu ver-
folgen. Es geht indessen hieraus hervor, dass das
Eierlegen bei den Räderthieren auch im Herbste sei-
nen ungestörten Fortgang hat.
Über einen Generationswechsel bei Geryonia
proboscidalis und die Larve von Rhizostoma
Aldrovandi, von N. Noshin. (Lu le 16 février
1865.)
(Mit 1 Tafel.)
Verschiedene Umstände erlaubten es bis jetzt nicht,
die sämmtlichen Resultate der Beobachtungen über
die Anatomie und Entwickelung der im verflossenen
Jahre in Nizza, Spezzia, Neapel, Messina und Pa-
lermo von mir untersuchten Seethiere zu veröffentli-
chen. Mein Augenmerk war dabei besonders auf die
Auffindung eines allgemeinen Gesetzes der gegensei-
tigen Lagerungs-V erhältnisse der Gewebe der Organe
und ihrer respectiven Betheiligung an deren Entwicke-
lung gerichtet. Die Veröffentlichung aller dabei er-
langten Resultate muss wegen Zeitmangels noch auf
einige Monate verschoben werden. Indessen möchte
ich die Publication einiger nicht im direkten Zusam-
menhange mit meinen Hauptergebnissen stehenden
neuen Thatsachen nicht länger verschieben. Nament-
lich fühle ich mich in Bezug auf zwei jüngst von
Herrn Haeckel') publicirte Abhandlungen veran-
1) Jenaische Zeitschrift für Medicin und Naturwissenschaft,
1864, 3. und 4. Heft. ue
215
Bulletin de l’Académie Impériale
216
lasst, meine eigene den darin vorgetragenen diame-
tral entgegengesetzte Meinung über den Generations-
process der Geryoniden auszusprechen. Da ich in
meiner grösseren Arbeit auf die feineren Struktur-
verhältnisse genauer einzugehen gedenke, so begnüge
ich mich nur mit der Auseinandersetzung der grob-
morphologischen Verhältnisse.
1) Ueber einen Generationswechsel bei Geryonia proboscida-
lis Geg, (Carmarina hastata Haeckel),
Ich wil mich in die von Herrn Haeckel ausge-
sprochenen systematischen Ansichten gar nicht ein-
lassen und jetzt nur so viel sagen, dass mir sein gan-
zes System der Rüsselquallen als ein künstliches er-
scheint. Auch halte ich es gar nicht für wünschens-
werth, ohne vollstindige und allseitige anatomische
und physiologische Kenntniss aller betreffenden Ar-
ten und zahlreichen Abarten der Geryonien ein na-
türliches System derselben aufzustellen.
In seinem Artikel: «Die Familie der Rüsselqual-
len»?) sagt Herr Haeckel: «Die Entwickelung der
Geryoniden scheint stets ohne Generationswechsel
und ohne ungeschlechtliche Fortpflanzung auf dem
einfachen Wege der geschlechtlichen Zeugung zu er-
folgen. Knospenbildung, Sprossung, Theilung sind noch
niemals beobachtet worden». — Dem ist aber nicht so.
Herr Haeckel scheint übersehen zu haben, was schon
Krohn im J. 1843 bemerkte. Indem nümlich Krohn
sagt“), dass im geschlechtsreifen Zustande ausser der
Eleutheria noch Sarsia prolifera Forb. Knospen treibt,
setzt er noch zu: «Als ein weiteres Beispiel der Art
glaube ich, zufolge einer schon vor mehreren Jahren
gemachten Beobachtung, noch die Geryonia probosci-
dalis anführen zu müssen. Während meines Aufent-
haltes in Messina, im Jahre 1843, kam mir nämlich
ein weibliches Exemplar dieser Meduse zu Gesicht,
dessen, wie bei Liriope, frei in die Magenhöhle hin-
abreichendes Stielende mit Sprösslingen von unglei-
cher Entwickelung dicht besetzt erschien. Die min-
der entwickelten nahmen den oberen, die weiter vor-
geschrittenen den unteren Theil desselben ein. An
jenem liessen sich bloss Schirm und Stiel unterschei-
den, diese hatten nicht nur schon die sechs Fangfä-
2) Jenaische Zeitschrift, 1864, 4. Heft, p. 452.
3) Beobachtungen über den Bau und die Fortpflanzung der Zleu-
theria Quatref. (Archiv für Naturgeschichte, 1861).
den oder Tentakeln, sondern auch die Randkörper
entwickelt. Alle diese Sprösslinge sassen mit dem
Scheitelpunkte ihres Schirmes dem Stielende des
Mutterthieres fest auf». — Also hat Krohn eine
Knospenbildung bei Geryonia bestimmt gesehen, meint
aber, die Brut sei der Mutter ganz ähnlich. — Ich
hingegen fand, dass die Brut dem Mutterthiere un-
ähnlich ist, und dass man deshalb bei Geryonia nicht
nur eine Knospenbildung, sondern auch einen Gene-
rationswechsel annehmen muss.
Ich fing öfters Geryoniden, die am Rüssel einen
oder auch mehrere mit Knospenbrut besetzte Schläuche
trugen. Bei näherer Untersuchung ergab sich, dass
diese Schläuche nichts anderes als Wucherungen der
den Rüsselzapfen bedeckenden Epithelialhaut waren,
an denen sich durch einen Aus- und Einstülpungs-
Process die Knospen der jungen Medusen entwickel-
ten. Die Zeichnung Fig. I A macht dies Verhältniss
ohne Weiteres verständlich. Geryonien lebten in mei-
nen Aquarien zuweilen 2 — 3 Tage, so dass man
sehr gut sehen konnte, wie die noch an den Schläu-
chen sitzenden jungen Medusen schon selbstständige
Schwimmbewegungen machten und sich allmählich
einzeln abschnürten und dann frei umherzuschwim-
men anfingen. Die knospenden Medusen sind nach
einem ganz anderen Typus als das Mutterthier ge-
baut (Fig. 1 B und 1 C); die kleinen Medusen
konnte mau sehr leicht zu den Aeginiden verweisen.
Ich fing öfters bei meinen fast täglichen Ausfahrten
mit dem feinen Netze solche kleine Medusen und
fischte sogar einmal einen ganzen, gewiss vom Rüssel
einer Geryonia abgerissenen, Schlauch, welcher mit
Knospen in den verschiedensten Entwickelungsstadien
bedeckt war. Die von Keferstein und Ehlers‘) als
Cunina discoidalis sp. n. beschriebenen Medusen schei-
nen mir nichts anderes, als die an der Geryonia knos-
pende Brut zu sein; man vergleiche nur ihre Fig. 12
und 13 auf Taf. XIV mit meinen Fig. 1 Bu. C.
Fr. Müller‘), der bei den Aeginiden einen voll-
ständigen Generationswechsel vermuthet, führt als
neuen Beweis dafür folgenden Fall an: «Zu Anfang
dieses Jahres fing ich eine Liriope catharinensis , der
ein langer, blassgelblicher Zapfen aus dem Munde
4) Zoologische Beiträge, 1861, p. 93
- B) Cumina Köllikeri n. sp. Beinen m
| niden. (Archiv f. Naturgeschichte, 1861, p. 42 — 53).
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des Sciences de Saint-Petersbourg.
218
hervorhing. Bei näherer Untersuchung ergab sich
derselbe als eine aus dicht gedrängten Quallenknospen
bestehende Ähre, deren Ende die Liriope verschluckt
hatte». — Die Medusen dieser Ähre hatten 8 Rand-
bläschen und 8 Tentakeln und glichen im Ganzen
den Aeginiden. «Alle diese Eigenthümlichkeiten» —
sagt Fr. Müller weiter — «stimmen mit der acht-
strahligen Form von Cunina Köllikeri, während nicht
die entfernteste Ähnlichkeit mit irgend einer anderen
der im Laufe von vier Jahren hier von mir beobach-
teten Quallen besteht». — Fr. Müller meint also,
dass die von der Liriope angeblich verschluckte Ähre
ein Hydroiden- Stock sei und den Ammen - Zustand
von Cunina Köll. vorstelle. Sollte aber die Ähre nicht
verschluckt gewesen, sondern ein am Rüssel der Le-
riope sprossender Knospenschlauch sein — was mir
sehr möglich scheint — so wäre damit vielleicht eine
ganz neue Form von Generationswechsel gefunden.
Dabei will ich noch daran erinnern, dass nach Fr.
Müller die Knospenbrut von Cunina Köll. dem Mut-
terthiere nicht gleicht und, was mir am bemerkens-
werthesten scheint, dass die an Cunina Köll. knospen-
den jungen Medusen anstatt 8 Fangfäden deren 12
besitzen.
Aus alle dem geht zur Genüge hervor, dass bei
den Geryoniden ein Generationswechsel vorkommen
muss; möglich wäre es, dass derselbe zwischen den
Geryoniden und Aeginiden stattfindet: dann hätte ich
an der Geryonia die erste Hälfte dieses Generations-
wechsels beobachtet — Fr. Müller an seiner Cunina
die zweite. Doch werden erst neue Untersuchungen
uns darüber Auskunft geben können; denn bis jetzt
ist es noch ungewiss, wie sich die Verhältnisse erge-
ben werden. Es gelang mir nicht, etwas mehr über das
Schicksal der kleinen Aeginiden-ühnlichen Medusen
zu erfahren, ausser dass sie ganz gewiss allmühlich
wachsen. Auch fing ich zuweilen Individuen, die 1'/,
bis 2 Linien gross waren.
Geschlechtliche. Vermehrung kam bei der Geryo-
nia proboscidalis wührend meines mehr als 4 monat-
lichen Aufenthaltes in Messina nicht zur Beobachtung.
Die Aeginiden enthielten zwar öfters sehr viele und
entwickelte Eier, die weitere Entwickelung dersel-
ben zu verfolgen, glückte mir aber leider nicht.
Endlich will ich noch hervorheben, dass Herr
Haeckel selbst bei Cybogaster gemmasceus novum gen.
nov. sp. Knospenbildung beobachtete; und doch sagt
er über diese neue Gattung"): «Die Bildung des Ma-
genstiels erinnert sehr an die Geryoniden (Geryonop-
siden)».
2) Die Larve von Rhizostoma Aldrovandi D. Ch.
So viel ich weiss, ist die Larve von Rhizostoma Al-
drovandi bis jetzt nur von Tommasi’) beschrieben
worden; ihre Strukturverhältnisse sind aber von ihm
ganz falsch aufgefasst. Auch scheint diese Arbeit von
anderen Zootomen gar nicht berücksichtigt worden
zu sein, wenigstens wird derselben nirgends Erwäh-
nung gethan.
Meine Fig. 2 À und B stellt das letzte der von mir
beobachteten Entwickelungsstadien der Larven vor.
Die Larven lebten 8 Tage in meinem Aquarium, ohne
sich weiter zu entwickeln und ohne sich festzusetzen,
als ich genóthigt war, Neapel zu verlassen. Die wei-
teren Schicksale der Larven im freien Meere oder
auf dessen Grunde konnten daher leider auch nicht
verfolgt werden.
Meine Zeichnungen versinnlichen, dass die von
Franzius?) bei den Larven von Cephea beobachteten
Canäle bei den Rhizostomen-Larven nicht vorkom-
men. Dieselben sind hier nur durch 8 Lüngsfalten
der inneren Haut dargestellt. Auch scheint sich für
die von Semper?) bei den Larven von Cephea tuber-
culata als «solide Stránge» beschriebenen Gebilde bei
meinen Larven nichts Analoges zu finden.
Endlich will ich noch bemerken, dass bei den Rhi-
zostomen-Larven sich die äussere und innere Haut
fast unmittelbar berühren, und man also nicht von
einer ausgebildeten Leibeshóhle sprechen darf, denn
sie ist hier nur in der Anlage vorhanden. Meiner
Ansicht nach ist dieses bei den meisten Coelentera-
ten der Fall, wie ich spüter zu beweisen hoffe.
Über das Ausführlichere des Entwickelungsganges
der Rhizostomen-Larven vom Ei an, wie auch über
die feineren Strukturverhältnisse muss ich auf meine
grössere Arbeit verweisen.
a SC | Heft, p. 842.
S) Ae aneadeniche degli Aspiranti Nataralisti, diretti
dal Dott. O. G. Costa, memorie risguardanti la Zoologia e Anato-
SE £ w. Zoologie, 1852. Über die Jungen der Cephea.
9) Archiv für Naturgeschichte, 1858. Über die Polypen der Ce-
phea tuberculata.
219
Bulletin de l’Académie Impériale
220
BULLETIN DES SÉANCES.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE,
SÉANCE DU 4 (16) AOÛT 1864.
M. Fritzsche présente et lit une notice sur le dosage
de la chaux (Über die Bestimmung des Kalks als Ätzkalk).
Elle sera publiée dans le Bulletin.
M. Elie Borszezow, par une lettre du 26 juin, remercie
l’Académie d'un prix Démidof qu'elle lui a décerné, et
la prie de vouloir bien prendre sous ses auspices la
publication de l'ouvrage qui lui a valu ce prix, et qui est
intitulé: Matériaux pour servir à la géographie botanique
de la région aralo-caspienne. — Sur la proposition de M.
Ruprecht, ce travail est admis dans le recueil russe de
l'Académie.
M. Fritzsche présente et recommande pour les Mé-
moires un travail de M. Henry Struve sur le degré de
salure de la mer Baltique (Über den Salzgehalt der Ostsee).
Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la
Classe que depuis la derniere séance les ouvrages suivants
ont été imprimés et mis en vente et en distribution: 1)
Kokcharof, Über den Lepolith (Mém. de l'Acad. VII* sér.
Tom. VIT, N° 9 et dernier); 2) Bremer, Lepidopteren Ost-
Sibiriens, insbesondere des Amur-Landes (Mém. de l'Acad.
VIT ser. Tom. VIII, N° 1), et 3) Linsser, Vier von De
l'Isle beobachtete Plejaden - Dedeckungen (Mém. de l'Acad.
VII série Tom. VIII, N° 2).
M. Bohnstedt, architecte à Gotha, adresse une de-
scription lithographiée de deux instruments dont il est
l'inventeur et auxquels il a donné le nom de Radial et
de Radiarc. — M. Jacobi se charge de prendre connais-
"A de la note et d'en faire lobjet d'un rapport, sil y
à lieu. i
L'Ambassade Royale d'Espagne à St.-Pétersbourg trans-
met, par ordre du Gouvernement de S. M. Catholique, un
exemplaire de l'almanach nautique pour 1865, publié par
l'Observatoire astronomique de Saint-Ferdinand. — La re-
ception en sera accusée avec actions de graces.
La Société des naturalistes et des médecins à Jena
Ti Jia de ee . ZT "ae 1 n E de
adresse la première livraison du tome I de ses mémoires,
et prie de comprendre la Société dans la liste des insti-
tutions avec lesquelles l'Académie échange ses publica-
tions. — On enverra à la dite Société le Bulletin de l'Aca-
démie.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE,
SÉANCE DU 12 (24) AOÛT 1864.
A l'ouverture de la séance, le Secrétaire Perpétuel an-
nonce la nouvelle de la mort de M. Cureton, membre-
correspondant de l'Académie dans la section orientale.
Le Département des Relations intérieures, par un office
du 11 juillet, transmet la traduction française faite par
EE T
M. Charmoy de l'euvrage persan Cheref-namé. — M:
Véliaminof-Zernof, à son retour à St. - Pétersbourg,
sera invité à examiner ce travail.
M. Kunik donne des explications concernant deux ar-
ticles qui lui ont été envoyés par M. Schleicher, et ajoute
qu'il abandonne à M. Bóhtlingk, comme à un linguiste,
de donner son avis concernant leur publication dans les
recueils de l'Académie. L'un de ces articles traite des rap-
ports qui existent entre les langues slaves, lithuaniennes
et allemandes (Kurzer abriss der lebensgeschichte des sla-
wischen, litauischen und deutschen), l'autre a pour objet
les noms de nombres dans la langue slavo -lette et dans
les langues allemandes (Die stämme der zahlworte im sla-
wolettischen und deutschen). M. Böhtlingk atteste de son
côté qu'il a examiné ces deux articles, et il propose de les
publier dans le recueil russe de l'Académie (Sanuckn). —
Cette proposition étant approuvée, les articles mentionnés
seront remis à M. Biliarski qui aura soin de les faire
traduire.
M. Popof, par une lettre du 16 juin, d'Oustsyssolsk
(gouv. de Vologda), informe l'Académie qu'il consent à lui
céder, pour le prix convenu, le manuscrit de son Diction-
naire russe-zyrain. — On arréte donc de déposer le dit
manuscrit à la Bibliothèque de l'Académie, afin qu'il puisse
y être consulté par des personnes vouées aux études de
linguistique.
Le Cabinet de Sa Majesté Impériale, par un office du
6 juillet, communique un rapport qui lui a été adressé
par M. Radloff sur un voyage fait dans quelques parties
des gouvernements de Tomsk et de Iönisseisk. — Renvoi.
à l'examen de M. Böhtlingk.
M. le Chef de la Division des sciences et lettres du
Ministère de l'Instruction publique en France, par une dé-
péche du 16 juin annonce que M. le Ministre de l'Instruc-
tion publique a mis à la disposition de l'Académie un.
exemplaire de l'ouvrage de M. Renan, intitulé: Mission
de Phénicie. — Le Secrétaire Perpétuel offrira à Son Ex-
cellence l'expression de la profonde gratitude de l'Acadé-
mie pour le don de cette importante publication.
M. Dorn présente au nom de M. le Comte Gobineau
l'ouvrage qu'il vient de publier sous le titre: Traité des
Ecritures cunéiformes Tom. I et IL. Paris 1864, et au nom
de M. V. Langlois une brochure intitulée: Hérat, Dost-
Mohammed et les influences politiques de la Russie et de
l'Angleterre dans l'Asie centrale, Paris 1864.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 18 (30) &oü 1864.
M. Ofsiannikof présente et lit un mémoire sur l'or-
gane de louie du Petromyzon fluviatilis, et exprime le
désir de le faire paraitre dans le recueil des Mémoires de
l'Académie, avec une dédicace à M. Baer, à l'occasion de
son jubilé doctoral.
M. Kokcharof présente et. Kane notice sur le pyro-
Aen EE UE UN ni.
GH
IAS SIN UBU NOU US RE D 2E INS *
QUE IRA N s eu cou
221 des Sciences de
St. - Pétersbourg. 222
xène russe. Elle est dédiée à M. Baer, et sera publiée
dans les Mémoires de l'Académie.
M. Fritzsche présente et lit une notice, destinée pour
le Bulletin, sur là préparation artificielle du Gay-Lussit.
M. Brandt présente et recommande pour le Bulletin
une notice de M. le Dr. Weisse sur les diatomacées du
lac de Ladoga.
M. Jacobi lit une note sur les surfaces hyperboliques
de contact. Il y mentionne que le Journal de M. Arman-
gaud, Génie industriel, contient, dans son cahier du mois
de juillet 1864, la description d'un moulin hyperbolique
construit par M. Delaest, de Belgique, et destiné à broyer
et à mélanger toutes espèces de substances. M. Jacobi
fait observer à cette occasion que dans un mémoire qu'il
a publié en 1827 dans le Journal des Mathématiques de
Crelle, il a développé les formules d'aprés lesquelles on
peut construire deux hyperboloides de révolution à une
nappe se touchant dans une ligne droite et pouvant tour-
ner avec frottement et avec des vitesses angulaires égales,
autour de deux axes donnés dans l'espace, à l'instar de
deux cylindres ou de deux cónes, dont les axes se trou-
vent dans le méme plan. Ces hyperboloïdes sont précisé-
ment les mémes surfaces de rotation que M. Delaest em-
ploie dans son moulin hyperbolique. M. Jacobi produit en
méme temps Pépure faite d’après ses formules et qui à
servi à faire les modèles de ces surfaces courbes, déposés
par M. Jacobi dans un des Musées de l'Université de
Dorpat. Le cas des hyperboloides à une nappe tournant
autour de leurs axes avec des vitesses angulaires égales
est un des deux cas particuliers de la formule générale
qui permettent une solution élégante. L'autre cas est ce-
lui de la vis sans fin, où les axes se coupent dans l'espace
sous un angle droit. Dans ce cas les vitesses angulaires
autour de deux axes peuvent avoir un rapport quelconque.
Les deux surfaces sont de méme deux hyperboloides de
révolution à une nappe, qui au lieu de se toucher dans une
ligne droite, se touchent dans une hyperbole qui est la
génératrice commune des deux surfaces. Leurs hyperboles
méridiennes ont cela de particulier qu'elles ont les mémes
grands axes, et que leurs petits axes sont en rapport ré-
ciproque des vitesses angulaires. Les épures de ces deux
hyperboloides sont également exécutées par M. J acobi.
Il s’entend que dans la pratique on ne se servira que d'un
are de l’hyperbole génératrice pour engendrer les deux
hyperboloïdes tronqués, qui se mettront mutuellement en
mouvement, ou par le frottement, ou par des pas de vis
coupant les ares hyperboliques sous un certain angle. La |
vis sans fin construite d’après ce principe a l'avantage de
pouvoir multiplier les points de contact, qui seront situés
tous sur l'arc hyperbolique commun aux deux surfaces.
M. Kokcharof fait une communication verbale concer-
nant la cristallisation du Chiolithe, et annonce qu'une
analyse complète de ce minéral, trouvé dans l'Oural, for-
mera lobjet d'un mémoire qu'il se reserve de présenter
prochainement à l'Académie et qui sera orné d'une dédi-
cace à M. Baer.
M. Kupffer porte à la connaissance de l'Académie la
nouvelle d'un agrandissement que doit recevoir prochai-
nement le système des observations météorologiques, di-
rigées par l'Observatoire Physique Central. Sur le rap-
port de M. le Ministre de la Marine, Sa Majesté l'Empe-
reur a daigné ordonner l'établissement de plusieurs sta-
tions météorologiques dans les ports de la Baltique, de la
mer Noire, de la mer Caspienne, de Ja mer du Nord,
et l'organisation d'un service régulier pour transmettre à
lObservatoire Physique Central par voie télégraphique
les observations faites dans ces ports, afin de mettre l'Ob-
servatoire à méme de dresser journellement des cartes
qui permettront de faire des conjectures sur la prévision
des tempétes.
M. Poncelet, membre correspondant de l'Académie,
par une lettre datée de Paris, le 28 juin, annonce l'envoi
prochain du tome II et dernier de son ouvrage Applications
d'analyse et de Géométrie, qu'il vient de terminer et dont
il fait hommage à l'Académie.
M. le Ministre de l'Instruction publique, par un office
du 17 août, informe l'Académie que Sa Majesté Impériale
a daigné ordonner de charger M. Otto Struve d'une mis-
sion à l'étranger, pour le terme d'un an.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE,
SÉANCE Du 25 AOÛT (6 SEPTEMBRE) 1864.
M. Brosset présente et lit un article intitulé: Zlegie
sur les malheurs d'Edchmiadzin et de l'Arménie, par Ste-
phanos, métropolitain de Siounie, texte arménien et traduc-
tion annotée. Cet article fait partie de Introduction à
l'Histoire de Siounie, de l’auteur.
` Le même académicien présente les copies fac- similé
des inscriptions géorgiennes recueillies par le P. Nersès
Sargisian, mékhithariste, dans les anciennes provinces Si-
tuées sur la Thorthom et le lac de Tchildir. Il demande
d’être autorisé à en faire lithographier un choix, pour un
mémoire explicatif préparé par lui sur ce sujet.
Le Secrétaire Perpétuel annonce que depuis la derniere
séance l'ouvrage suivant a été imprimé et mis en vente
et en distribution: Histoire de la Siownie par Stephannos
Orbélian, traduite de Tarmenien par M. Brosset. 17 livr.
M. Böhtlingk, après avoir pris connaissance du rap-
port de M. Radloff sur son voyage (v. la séance du 12
(24) août), en propose l'impression dans le Bulletin.
M. Véliaminof- Zernof, chargé dans la séance du 12
(24) aoüt d'examiner la traduction du Cheref-namé de
M. Charmoy, prie de vouloir bien lui adjoindre MM.
Brosset et Dorn. Approuvé. S MN :
M. Böhtlingk présente au nom de M. Maximowicz
plusieurs ouvrages japonais, dont il a eu occasion de faire
l'acquisition pendant son voyage, et qu'il prie l'Académie
de vouloir bien accepter pour son Musée asiatique. — Le
Bulletin de l’Académie Impériale
224
Secrétaire Perpétuel exprimera à M. Maximowicz les
remerciments de l'Académie.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 1 (13) SEPTEMBRE 1864.
M. Baer présente et recommande pour le Bulletin un
mémoire de M. le baron de Sass: Sur les variations du
niveau de la Baltique. (Second article.)
M. Otto Struve présente une notice de M. Victor Fuss,
contenant le calcul de l'orbite de la Cométe 1861 III.
Cette note paraítra dans le Bulletin.
M. Middendorff présente et recommande pour le même
recueil un mémoire de M. Morawitz, contenant des ob-
servations sur une forme nouvelle ou peu connue du mále
chez les Mutilles, ainsi qu'une revue des espéces de cet
insecte, observées en Europe.
M. Brandt présente un mémoire de M. le Dr. A. de
Volborth, membre correspondant de l'Académie, intitulé:
Über einige neue Ehstlündische Illaenen. Ce travail paraîtra
dans le recueil des Mémoires de l'Académie, et sera, con-
formément au désir de l'auteur, orné d'une dédicace à
M. Baer.
M. Gutzeit adresse, de Riga, sous la date du 11 (23)
aoüt, une lettre qui accompagne l'envoi d'un mémoire in-
titulé: Uber Zwillingsbildungen. I. Am Stein. — Renvoi à
l'examen de MM. Baer et Kokcharof.
M. Borissiak, professeur à l'Université de Kharkof,
soumet à l'Académie une notice, ayant pour titre: Obser-
vations sur l'état de la hauteur des eaux du Don et sur les
changements des vents qui domiment dans la partie infé-
rieure de son cours. — Renvoi à l'examen de M. Kupffer.
Le Secrétaire Perpétuel annonce que depuis la dernière
séance de la Classe, la livraison 5° du tome III des Mé-
langes mathématiques et astronomiques à été imprimée et
mise en vente et en distribution.
M. Baer communique à l'Académie que plusieurs de
ses amis ont fondé, au moyen de souscriptions, un capital
dont les intéréts sont destinés à former des prix qui por-
teront le nom de priz Baer et devront étre décernés aux
meileurs ouvrages sur les sciences naturelles. Ayant en
vue de confier à l'Académie la distribution de ces prix
M. Baer prie de vouloir bien nommer une commission,
chargée de préparer des Réglements pour la distribution
de ces prix. — La Commission se composera de MM. Baer,
Brandt, "Böhtlingk, Vessélofski, Ofsiannikof et
Schrenck. :
. .. CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 15 (27) SEPTEMBRE 1864.
M. Schiefner présente et lit une notice Sur deux fa-
bles ossètes; elle paraîtra dans le Bulletin.
Kunik présente et recommande pour le recueil russe
de l'Académie, un article de M. Guédéonof contenant
une réponse aux critiques dirigées par M. Pogodine contre
l'ouvrage de l'auteur sur les Variagues.
M. Wiedemann rend compte du voyage qu'il a fait,
pendant l'été, dans les provinces baltiques, et qui avait
pour but de recueillir des matériaux pour l'étude de la
langue ehste. Ce rapport sera publié dans le Bulletin.
Le Département asiatique, par un office du 7 (19) sep-
tembre, adresse plusieurs ouvrages en langue persanne,
achetés pour le compte de l'Académie à Téhéran. On les
fera entrer au Musée asiatique.
M. Stephani communique une lettre, par laquelle
M. Janssen, directeur du Musée royal des antiquités à
Leyde, linforme que la confection des empreintes de
pierres gravées du Musée royal de La Haye est achevée.
La collection de ces empreintes a été faite pour l'Acadé-
mie sous les yeux de M. Janssen qui y a joint: 1? La
Notice sur le cabinet des médailles et des pierres gravées,
par M. J. C. De-Jonge. La Haye 1824; 2? un exemplaire
du Catalogue d'empreintes des pierres gravées etc. par M. J.
C. De-Jonge. La Haye 1837; et 3? un registre dressé
par M. Janssen, de toute la collection des pierres gra-
vées du Musée de La Haye, avec des renvois aux deux
catalogues susmentionnés. La Classe, prenant en considé-
ration que c'est à l'obligeance de l'honorable directeur du
Musée de Leyde qu'elle doit la possession de cette pré-
cieuse collection d'empreintes, dont la valeur est encore
rehaussée par les catalogues qui y sont joints, charge le
Secrétaire Perpétuel d'exprimer à M. Janssen les remer-
ciments de l'Académie.
M. le Dr. Gustave Oppert, par une lettre datée de Ham-
bourg, le 1 (13) septembre, adresse un exemplaire de son
ouvrage: Der Presbyter Johannes in Sage und Geschichte.
Berlin 1864.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 22 SEPTEMBRE (4 OCTOBRE) 1864.
M. Brandt annonce qu'il prépare pour le Bulletin un
travail sur les degrés de développement des Ganoides, et
que prochainement il le présentera à l'Académie. ^'^
Le même académicien présente et recommande pour le
Bulletin une notice de M. Paulson sur lépiderme du
Protopterus annectens.
Le Secrétaire Perpétuel annonce que depuis la dernière
séance les ouvrages suivants ont été imprimés et mis en
vente et en distribution: 1° Middendorff, Sibirische Reise
Bd. IV, Th. I, Lief. 4: Die Gewächse Sibiriens ; et 2° Mé-
langes physiques et chimiques tome VI, livr. 1. ës
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE. |
SÉANCE DU 29 SEPTEMBRE (11 OCTOBRE) 1864.
Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance dela
Classe que depuis sa dernière séance l'ouvrage suivant à
été imprimé et mis en vente et en distribution: M. Za-
225
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
226
chariae von Lingenthal: Beiträge zur Geschichte der
bulgarischen Kirche (Mém. de l'Acad. VII sér. tom. VIII, N°3).
M. Brosset présente au nom de M. Bergé l'ouvtagé
qu’il vient de faire paraître à Paris sous le titre: Voyage
en Mingrélie exécuté en 1862.
MM. Brosset, Dorn et Véliaminof-Zernof, ayant
examiné la traduction française faite par M. Charmoy,
de Cheref-namé, annoncent qu’ils trouvent ce travail bien
fait, et en proposent la publication sous les auspices de
l'Académie. Cette proposition est approuvée; la traduction
sera mise sous presse et paraitra sous forme de volume
séparé.
M. Wiedemann qui a été chargé de l'examen d'un
ouvrage d'enseignement élémentaire, en langue zyraine,
envoyé par le Premier Département des Domaines d'Etat,
présente un rapport, qui est approuvé et sera commu-
niqué au Département.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 6 (18) OCTOBRE 1864.
M. Lenz communique à la Classe qu'il a continué ses
expériences sur la ventilation au moyen des poéles, mais
que sa maladie d'yeux l'a mis hors d'état d'exposer par
écrit les résultats auxquels il est parvenu. Ces expériences
seront encore continuées pendant l'hiver prochain au Ca-
binet de physique. M. Lenz se reserve, à son retour de
l'étranger, s’il parvient à recouvrer l'usage de ses yeux,
de présenter à l'Académie les conclusions qu'il se croit
, autorisé à tirer de ces expériences.
M. Kokcharof présente et lit un mémoire sur le Chio-
lithe, annoncé à l'Académie dans la séance du 18 août.
Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la
Classe que depuis la derniére séance l'ouvrage de M.
Brandt: Observationes de Elasmotheri reliquiis (Mém. de
l'Acad. VII sér., tom. VIII, N* 4), a été imprimé et mis
en vente et en distribution.
M. Bohnstedt, architecte à Gotha, adresse une nou-
velle redaction, corrigés, de la description précédemment
communiquée à l'Académie, de deux instruments de son
invention, et nommés par lui Radial et Radiarc. Renvoi
à l'examen de M. Jacobi.
CLASSE HISTORICO- - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 13 (25) OCTOBRE 1864.
M. Brosset présente et lit un mémoire: Sur les in-
scriptions géorgiennes et autres, recueillies par le P. Nersès
Sargisian. Ce travail paraitra dans le recueil des Mé-
moires de l'Académie.
M. Kunik présente et lit quatre articles, destinés à
étre insérés dans le recueil russe de l'Académie (3anucxn),
et écrits sur ee de M. Pogodine; ces articles
sont intitulés: 65
ssaniu Bapao-Pyccos, o6vacnaemoe ckasaniew» o npussaniu
Amao-Caxcosr; 4° Kaxs nonumas IlpyOenuii Darundo en.
paacenie: rez Chacanus vocabulo, nodas 839 1000 ?
M. Schiefnef présente et recommande pour le Bulle-
tin une notice de M. Lerch Sur le suffixe du pluriel dans
la langue ossète.
La Société Impériale géographique de Russie informe
l'Académie qu'elle a reçu du Département asiatique un
ouvrage manuscrit de M. Mostras, consul russe à Smirne,
intitulé: Dictionnaire géographique de l'Empire Ottoman.
Comme la Société n'a pas à sa disposition les moyens
nécessaires pour publier cet ouvrage, elle le transmet à
l'Académie, afin qu'elle le publie, si elle le juge utile.
Renvoi à l'examen de M. Véliaminof-Zernof,
Le Secrétaire Perpétuel donne lecture d'une lettre qu'il a
reçue de M. Radloff, maître de langue allemande à
l'école régionale de Barnaoul. Gráce à la munificence du
Cabinet Impérial, M. Radloff a fait plusieurs voyages,
pendant lesquels il a parcouru l'Altai, la steppe de Djoun-
garie et les contrées avoisinant le cours supérieur du
Iénissei, et dans ces pérégrinations il s'est livré à l'étude
des dialectes des Tatares habitant la Sibérie méridionale,
— dialectes qui étaient jusqu'à ce jour complètement in-
connus au monde savant. M. Radloff soumet actuellement
à l'Académie une partie des matériaux qu'il a recueillis
concernant ces dialectes, et demande, si elle juge possible
d'en prendre la publication sous ses auspices. Tout l'ou-
vrage se composera de trois parties: 1° d'un recueil de
textes destinés à servir de specimen de la littérature
populaire des Tatares habitant lesdites contrées; 2° d'un
dictionnaire de ces différents dialectes, et 3° d'une gram-
maire comparée des tous les dialectes, étudiés par M.
Radloff Une partie de ce vaste travail: savoir les
textes et le manuscrit non complet encore du diction-
naire, est jointe à la lettre de M. Radloff qui fait ob-
server que le reste de l'ouvrage sera dans peu de temps
prêt à être livré à l'impression. — Renvoi à
d'une commission composée de MM. Dorn, Bóhtlingk,
Schiefner et Véliaminof-Zernof.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
SÉANCE DU 20 OCTOBRE (1 NOVEMBRE) 1864.
A l'ouverture de la séance, le Secrétaire Perpétuel an-
nonce la perte que l'Académie a faite dans la personne de
son membre correspondant, M. Rudolph Wagner, décédé
le 13 mai à Goettingue.
M. Bouniakofski présente. et lit un mémoire Sur deux
questions d'analyse indéterminé e, proposées par le prince
ee dans lej gengt:
Physik. Ce travail sera publié dans le recueil russe
de Académie et un extrait en sera donné dans le Bulletin.
M. le Dr. A. de Volborth, membre correspondant de
l'Académie, adresse une note intitulée: aerocrinus,
15
l'examen ->
227
Bulletin de l’Académie Impériale
228
eine neue Crinoiden-Gattung aus Ehstland. On l'imprimera
dans le Bulletin.
La Commission, nommée dans la séance du 1 septembre,
présente un projet de Règlements concernant le Prix
‚Baer. Ce projet est approuvé par la Classe.
M. Baer porte à la connaissance de Ja Conférence
qu'ayant en vue des demandes qui lui ont été faites par
quelques institutions de leur céder les doubles des crânes
du Cabinet craniologique de l'Académie, il a été amené à
prendre une mesure qui permettra, sans rien diminuer de
la richesse de ce Cabinet, de rendre les objets qui le com-
posent plus utiles aux autres établissements semblables. La
véritable richesse d'un pareil Cabinet consiste dans les
cránes de provenance certaine et suffisamment constatée
et qui portent une empreinte bien marquée des caractéres
distinctifs de la race. De plus, pour que les études faites
sur ces cránes puissent conduire à des résultats solides,
il est indispensable que le Cabinet contienne plusieurs
bons cránes pour chaque nationalité (par exemple trois
ou quatre, au moins), car on ne saurait autrement établir
les valeurs moyennes pour les différentes mesures des
crânes. Ainsi des cránes de provenance certaine ne dé-
passant pas ce nombre — ne peuvent pas étre envisagés
comme des doubles, dont le Cabinet pourrait disposer
au profit des autres institutions, sans préjudice pour ces
propres collections. Aprés cela, céder des cránes dou-
teux et qui n'offrent pas de traits distinctifs de la race
bien prononcés — ce ne serait pas le moyen de rendre
un bien grand service aux institutions auxquelles on
abandonnerait de pareils cránes. Désirant cependant
rendre plus grande l'utilité que peut avoir le. Cabinet
craniologique de l'Académie pour les études anthropo-
logiques en général, ainsi que pour les collections sem-
blables existant ailleurs, M. Baer propose une mesure
qui est déjà adoptée par quelques Collections, par exemple
par celle de Stockholm, savoir de donner à un bon artiste
le droit de faire des moules d'aprés les crânes de la Col-
lection Académique, pour en fournir des copies aux per-
sonnes et aux institutions qui en feraient la demande.
Des moules bien faits peuvent parfaitement bien rem-
placer les crânes eux-mêmes pour les recherches scienti-
fiques, et les Collections qui les feraient venir auront
l'avantage de posséder des copies exactes faites d’après
des crânes de provenance bien constatée. Quant à l'artiste
il y trouvera probablement son compte, car les commandes
ne peuvent manquer de lui venir, quand on saura que les
objets qu'il est à méme de livrer ont une valeur réelle
pour la science. M. Baer recommande à cet effet M. Gei-
ser, artiste habile dont le talent est bien connu aux
membres de l'Académie, et fait connaitre les détails de
la convention qui pourrait exister à ce sujet entre M.
Geiser et l'Académie. — La Classe approuye pleinement
cette mesure et autorise M. Baer à la mettre à exécution. |
LE
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE,
SÉANCE DU 27 OCTOBRE (8 NOVEMBRE) 1864,
Le Secrétaire Perpétuel annonce la nouvelle aportée
par les journaux de la mort de M. Rafn, membre cor-
respondant de l'Académie, décédé le 20 octobre à Copen-
hague.
M. Véliaminof-Zernof donne lecture de la préface
préparée par lui pour le volume qui doit paraître sous le
itre: Matériaux pour servir à l'Histoire du Khanat de
Crimée, extraits par ordre de l'Académie Impériale des
sciences, des Archives centrales du Ministère des Affaires
Etrangères, à Moscou.
Le même académicien fait hommage à l'Académie de
la deuxième partie de l'ouvrage qu'il a publié sur les
tsars et tsarévitehs de Kassimof (Hacamdosania o Kacumos-
cuxo Iapaxo u Hapesuuare),.
M. Veliaminof-Zernof lit encore un rapport sur Pou-
vrage manuscrit de M. Mostras: Dictionnaire géographique
de l'Empire Ottoman (v. la séance du 13 octobre 1864).
Les conclusions de ce rapport sont: que cet ouvrage peut
avoir une utilité pratique pour les orientalistes, pour les
Voyageurs, ainsi que pour tous ceux qui auraient besoin
de se renseigner sur la géographie de l'Empire Ottoman;
. Véltaminof-Zernof propose, en terminant, de publier
le dictionnaire de M. Mostras sous forme de volume sé-
paré. Cette conclusion est approuvée; M. Véliaminof-
ernof sera chargé de surveiller l'impression de l'ouvrage.
Le Département des Relations Intérieures transmet un
exemplaire de l'ouvrage de M. Renan, Mission de Phé-
nicie, mis à la disposition de l'Académie par M. le Ministre
de l'Instruction Publique de France. dec
La Commission Impériale Archéologique, par une dé-
péche du 20 octobre, remercie de lenvoi qu'elle a recu
de diverses publications de l'Académie.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE,
SÉANCE DU.3 (15) NOVEMBRE 1864.
M. Zinine lit une note concernant action de l'acide
chlorhydrique sur l'azobenzid ; elle paraitra dans le Bulletin.
M. Fritzsche présente et recommande pour le Bulle-
tin une notice de M, Iavorski: De l'action de Vamal-
game du natrium sur le nitrotoluot et la nitronaphtaline. ...
Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la
Classe que le mémoire de M. Somof Sur les accélérations
de divers ordres (Mém. de l’Académie VII? sér., tom. VIII,
N' 5), a été imprimé et mis en vente et en distribution.
- Helmersen annonce que l'impression du vol. XXIV
du recueil Beiträge zur Kenntniss des russischen Reiches
est achevée; ce volume contient un article de M. Gerst-
eld sur les relations de la Russie avec les contrées de
l'Asie occidentale, et deux mémoires de M. Helmersen,
dont lun se rapporte au lac de Peipus et au cours supé-
rieur, de la Narova, et l'autre a pour objet l'état actuel
des Sciences de Saint-Pétershourg.
de la Géologie en Russie. Ayant entre ses mains des ma-
tériaux suffisants pour remplir encore un volume de ce
même recueil, M. Helmersen demande d’être autorisé à
commencer l'impression du vol. XXV du recueil précité.
Il se propose d'y faire entrer les relations des voyages
de MM. Schmidt et Glehn, au pays de l'Amour et à l'ile
de Sakhaline. Approuvé.
M. Fritzsche présente au nom de l'auteur, M. Gustave
Rose, l'ouvrage intitulé: Beschreibung und Eintheilung der
Meteoriten auf Grund der Sammlung im mineralogischen
Museum zu Berlin (Berlin 1864, in-4°). Il transmet en
même temps une lettre, dans laquelle M. Rose expose
des considérations qui le portent à penser qu'il eût été
très utile de couper en deux le célèbre aërolithe de Pal-
las. La Classe jugeant nécessaire de soumettre cette
question dans tous ses détails à un examen aprofondi,
nomme à cet effet une commission composé de MM. Ja-
cobi, Helmersen, Fritzsche et Kokcharof. Le Se-
crétaire Perpétuel communiquera également la lettre de
M. Rose à M. Abich en l'engageant à faire connaître à
l'Académie son sentiment à ce sujet.
M. Schrenck présente au nom de M. le Dr. Pfeiffer,
de Nikolaiefsk, un cráne de Ghiliak, en faisant observer
que cette peuplade a pour coutume de brûler les cadavres
des morts, ce qui rend l'acquisition de cránes ghiliaks trés
difficile. On doit donc d'autant plus de reconnaissance à
M. Pfeiffer, que le cráne ghiliak, qui se trouve déjà au
Cabinet craniologique, soulève plusieurs questions, pour la
solution desquelles un second cráne de ce peuple était
trés désirable. La Classe vote des remerciments à M.
Pfeiffer pour son don.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 10 (22) NOVEMBRE 1864.
Le Secrétaire Perpétuel communique la nouvelle de la
mort de M. Napierski, membre correspondant de l'Aca-
démie, décédé à Riga, le 2 septembre, à l'age de 72 ans.
- MM. Dorn, Böhtlingk, Schiefner et Véliaminof-
Zernof présentent leur rapport sur les travaux linguis-
tiques de M. Radloff (v. la séance du 13 octobre 1864).
Les commissaires font voir l'importance de ces travaux au
point de vue de l'étude comparée des langues, ainsi que
sous le rapport historique, et proposent de prendre sous
les auspices de l’Académie la publication de la partie de
ces travaux qui est prête à être mise sous presse. Cette
conclusion est adoptée. j Mrs
M. Ph. Bruun, d'Odessa,
Notices historiques et t
aphiques concernant les col,
italiennes en Gazarie. — Renvoi à l'examen de M. Kunik.
. M. Rogof, auteur d'un dictionnaire permien -russe et
russe-permien, examiné déjà par l'Académie, envoie de
nouveau son ouvrage qu'il dit avoir corrigé d’après les |
indications de l'Académie. Renvoi à l'examen de M. Wie-
envoie un mémoire intitulé:
: de
M. Bruun: Notices historiques et topogr
demann qui jugera, si l’ouvrage est de nature & ötre
publié par l’Académie, ainsi que le désire l’auteur.
Le Département des Relations Intérieures transmet
ouvrage publié par ordre du Roi des Pays-Bas par M.
Hofman, professeur à l'Université de Leyde, sous le
titre: Chinesche Drukletters vervaardigd in Nederland. La
réception en sera accusée avec actions de gráces, et le livre
sera placé au Musée asiatique.
SÉANCE DU 17 (29) NOVEMBRE 1864.
M. le Président en rappelant la perte bien douloureuse
que vient de faire l'Académie dans la personne de son
membre honoraire, M. William Struve, décédé le 8 no-
vembre, se fait l'organe des voeux unanimes des membres
de la Classe en engageant M. Savitch à vouloir bien
honorer la mémoire de l'illustre savant par un Eloge qui
devrait étre lu dans la séance annuelle de l'Académie, le
29 décembre.
M. Helmersen lit une notice sur le puit artésien de
St.-Pétersbourg, faisant suite à ses communications anté-
rieures sur cet objet.
M. Ofsiannikof présente au nom de M. Setchenof
une notice intitulée: Nouvelles expériences sur les méca-
nismes modérateurs dans le cerveau de la grenouille, ser-
vant de réponse aux recherches faites sur le méme objet
dans le laboratoire de M. Schiff. — Cet article sera publié
dans le Dulletin.
. Clausen, membre correspondant, adresse une no-
tice contenant les éphémérides des deux cométes de Biela
pour leur apparition attendue en 1865 — 1866. On l'im-
primera dans le Bulletin.
MM. Jacobi et Fritzsche, ayant éxaminé un travail
sur le platine, trouvé aprés la mort de M. le professeur
Claus (v. la séance du 1 avril 1864; Bulletin tom. VII,
p. 410), présentent leur rapport, dans lequel ils deela-
rent que le manuscrit, examiné par eux, contient un ex-
posé complet de l'histoire et de la littérature du platine
et des métaux qui l'accompagnent, ainsi que leur métal-
lurgie. Les commissaires proposent de publier cet ouvrage
sous forme de volume séparé sous le titre: Fragment d'une
monographie: du platine et des métaux qui l'accompagnent.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 24 NOVEMBRE (6 DÉCEMBRE) 1864.
M. Kunik présente et recommande pour le Bulletin un
mémoire de M. Smitt sur l'expédition de Darius contre
les Scythes, en 513, au point de vue historico-stratégique
(Über den Feldzug des Darius gegen die Seythen im J. 513.
Eine historich-strategische Untersuchung). |
"Le méme académicien, ayant examiné le mémoire de
| igues concernant
les colonies italiennes en , en propose l'admission
dans le recueil des Mémoires de — Approuvé.
1
Bulletin de l’Académie Impériale
232
M.Stephani communique que la Société archéologique,
nouvellement inaugurée à Moscou, l’a élu au nombre de
ses membres, et il propose de mettre à la disposition de
cette société celles des publications de l’Académie qui
ont trait à l'archéologie classique. Adopté.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE. —
SÉANCE DU 1 (13) DÉCEMBRE 1864.
M. Brandt présente une notice de M. le Dr. Weisse,
membre correspondant de l'Académie, intitulée: Zwr Oolo-
gie der Räderthiere. Zweiter Beitrag. Cette notice paraîtra
dans le Bulletin.
Le Secrétaire Perpétuel annonce que depuis la dernière
séance de la Classe les ouvrages suivants ont été impri-
més et mis en vente et en distribution: 1? H. Struve,
Über den Salzgehalt der Ostsee (Mém. de l'Acad. VI" sér.,
tom. VIII, N° 6); 2° Ph. Ofsiannikof, Über das Gehör-
organ von Petromyzon fluviatilis (Mém. de l'Acad. VI" sér.,
tom. VIII, N* 7); 3? N. Kokcharof, Notiz über den Chio-
lith (Mém. de l'Acad. VIT? sér., tom. VIII, N° 8); et 4° le
tom. XXIV du recueil: Beiträge zur Kenntniss des russi-
schen Reiches.
La Commission, nommée dans la séance du 3 juin, pour
examiner les ouvrages admis au concours pour le prix
Rklitzki, présente un rapport signé par MM. Baer,
Brandt, Ofsiannikof et Schrenck. Elle y donne une
appréciation de chacun des ouvrages qui étaient venus
concourir, et propose de décerner le prix à M. Reissner,
professeur à Dorpat, pour son ouvrage: Der Bau des cen-
tralen Nervensystenis der ungeschwünzten Batrachier. Cette
conclusion est approuvée par la Classe. Le rapport de la |
Commission sera publié dans le Bulletin.
M. Brandt présente et lit un rapport sur les acquisi-
tions qui ont enrichi le Musée zoologique et sur les tra-
vaux qui ont été faits dans ce Musée, pendant l'année
1864. On imprimera ce rapport dans le Bulletin.
M. Kupffer, par une lettre datée de Drèsde, le 21 no-
vembre, communique un court aperçu des résultats qui
ont été le fruit de, la mission scientifique, dont il a été
chargé par M. le Ministre de l'Instruction Publique. Le
voyage qu'il vient de finir avait le double but de mettre
en rapport quotidien avec l'Observatoire physique central
toutes les stations météorologiques de l'Europe, dont les
communications pourraient avancer l'étude des tempétes
et leur prévision pour la mer Baltique et pour la mer
Noire, et d'obtenir des directions respectives des lignes
télégraphiques, qui aboutissent aux stations, l'expédition |
journalière et gratuite de ces communications. M. Kupf-
fer annonce qu'il a tout lieu de s'applaudir des résul-
tats obtenus par lui sous ce rapport. Les directions des
lignes télégraphiques de tous les pays ont compris que
toutes les nations profiteront de la prévision des tempétes
dans les deux mers nommées, puisque la navigation y
améne plus de vaisseaux étrangers que de vaisseaux
russes, la marine marchande russe étant encore trés peu
développée. Aussi M. Kupffer a-t-il été recu partout avec
la plus aimable prévenance, et l'affaire qu'il a traitée, a
été réglée avec une libéralité, bien digne d'une entreprise
internationale si importante.
CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 8 (20) DÉCEMBRE 1864.
M. Kunik fait part de la nouvelle qui lui a été com-
muniquée dans une lettre de Moscou, de la perte que
vient de faire l'Académie dans la personne de M. Ivanof,
directeur des Archives du Ministére de la Justice, à Mos-
cou, membre correspondant de l'Académie dans la section
historico-politique, décédé.
Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la
Classe que l'ouvrage de M. Brosset: Inscriptions géor-
giennes et autres, recueillies par le P. Nersès Sargisian
(Mém. de l'Aead. tom. VIII, N° 10), a été imprimé et mis
en distribution.
M. Stephani fait hommage de deux livrets dont il est
l’auteur et qui sont destinés à servir de guide aux visi-
teurs de l'Ermitage Impérial, l'un pour la partie des Anti-
quités du Bosphore Cimmérien, et l'autre pour celle des
Vases peints. i
M. Kunik dépose sur le Bureau le manuscrit d’une
partie du travail dont M. Bonnell a été chargé par
l'Académie, Sur la Chronographie lithuaniennne. Cette partie
contient les événements depuis les premiers temps de
l'histoire de la Lithuanie jusqu'à l'année 1200 de notre ère.
CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE,
SÉANCE DU 15 (27) DÉCEMBRE 1864.
M. Somof présente et lit un mémoire: Sur le moyen
d'exprimer directement les paramètres differentiels et la cour-
bure d'une surface en coordonnées curvilignes quelconques,
orthogonales ow obliques. Ce travail sera publié dans le
recueil des Mémoires de l'Académie.
Le Secrétaire Perpétuel annonce que depuis la dernière
séance le mémoire de M. Volborth, Über einige neue ehst-
lündische Illaenen (Mém. de l'Acad. tom. VIII, N° 9), a été
imprimé et mis en vente et en distribution.
Le Département hydrographique, par un office du 7 dé-
cembre, fait parvenir à l'Académie plusieurs échantillons
des substances retirées du fond du lac de Ladoga, dans
| différents endroits indiqués sur une carte qui accompagne
cet envoi. M. le Dr. Weisse, membre correspondant, sera
invité à vouloir bien examiner ces substances.
. M. le Général-aide-de-camp Glasenapp, gouverneur mi-
litaire de Nikolaief, par une lettre à M. le Président, donne
la nouvelle de la trouvaille faite à 12 verstes de la ville,
de plusieurs ossements d'un animal gigantesque, que M. de
Glasenapp a eu l'obligeance d'envoyer à St.-Pétersbourg
pour le Musée de l'Académie. — M. Brandt, ayant déjà
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
234
reçu cet envoi au Musée, annonce que ce sont des osse-
ments d’un jeune mastodon, et qu’ils forment pour le Mu-
sée une acquisition très interässänte: La Classe prie M.
le Président de faire agréer à M. Glasenapp les remerci-
ments de l’Académie.
M. Brandt porte à la connaissance de la Classe que
M. Maximowicz, de retour de son voyage, a fait don au
Musée zoologique de l'Académie de 300 espèces d'animaux
(plus de 1000 numéros), recueillis par lui dans la Man-
djourie et au Japon. La Classe vote des remerciments à
M. Maximowicz.
La Société des naturalistes à Copenhague ( Natur-
historiske Forening i Kjöbenhavn), par une lettre du 16
décembre, annonce qu'elle a expédié pour l'Académie, par
l'intermédiaire de M. Voss, libraire à Leipsic, les cinq
dernières années de ses publications, et qu'elle voudrait
bien étre comprise au nombre des institutions, avec les-
quelles l'Académie échange ses publications. — On fera
parvenir à la dite Société le Bulletin de l'Académie à
partir du 1° volume de la série courante.
M. Steenstrup, membre correspondant de l'Académie,
par une lettre datée de Copenhague, remercie pour l'en-
voi qu'il a reçu de plusieurs cahiers du Bulletin de l'Aca-
démie, et annonce quil a expédié à l'Académie plusieurs
de ses ouvrages.
CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
SÉANCE DU 22 DÉCEMBRE 1864 (3 JANVIER 1865)
M. Brosset présente et lit une partie de son travail
intitulé: Etudes sur l'historien arménien Mkhithar d Airi-
vank, XIII s., I'^ et II® Parties, de la création du monde
au commencement de Père chrétienne. Tl reprend le manuscrit
après la lecture, pour en achever la rédaction.
M. Wiedemann présente et lit son travail sur la
grammaire de la langue. erza-mordvine, auquel est joint |
un petit dictionnaire de cette langue. On imprimera cet
ouvrage dans le recueil des Mémoires de l’Académie.
M. Dorn présente une note, destinée pour le Bulletin,
sur une collection de manuserits orientaux achetes ä M.
Khanikof par la Bibliothèque Impériale Publique. — Sur
la proposition de M. Dorn, on fera un tirage à ‘part de
300 exemplaires de cette note; et on ers mettra à la
disposition de la Bibliothèque Publique.
AFER PUBLIQUE ANNUELLE DU 29 DÉCEMBRE
1864 (10 JANVIER 1865). `
L'Académie a tenu, sous la présidence de M. le Général-
aide-de- -camp Amiral Lütke, la séance publique annuelle,
destinée à célébrer l'anniversaire de sa fondation. Lx
séance fut ouverte par la lecture d'un compte-rendu, ré-
digé par M. Grot, des travaux de la Classe de la langue
et de la littérature russes pour l'année 1864.
M. Vessélofski, Secrétaire. Perpétuel, étant. inonté
après lui à la tribune, a lu un discours, dans lequel il a |
esquissé un tableau historique des services rendus par
l’Académie à la Russie
M. Savitch a prononcé ensuite un Eloge de William
Struve, dont la perte récente a plongé l’Académie dans
le deuil.
Enfin le Secrétaire Perpétuel a proclamé les noms des
membres correspondants nouvellement élus par l'Acadé-
mie, qui sont:
Dans la Classe physico-mathématique.
Section mathématique,
M. Minding, professeur à l'Université de Dorpat.
M. Weierstrass, professeur et membre de l'Académie des
sciences à Berlin.
M. Winnecke, vice-directeur de l'Observatoire astrono-
mique à Poulkova
M. Adams, à Cambridge.
M. Warren De-1a-Rue, président de la Société astrono-
mique de Londres.
Section physiqu
M. Voskressenski, professeur à l'Université de St.-Pé-
tersbourg
M. Miller, H Cambridge.
Section biologique.
M. Mercklin, professeur à St.- Pétersbourg.
M. Huxley, à Londres.
M. Ratzeburg, à Neustadt-Eberswalde.
Dans la Classe historico -philologique.
Section historico - politique.
M. Solovief, professeur à l'Université de Moscou.
M. Schirren, professeur à l'Université de Dorpat.
M. Thomsen, directeur du Musée des antiquités à Copen-
hague. Section orientale.
M. Olshausen, à Berlin.
Outre les discours prononcés, ont été préparés encore
pour cette séance les discours suivants, qui n'ont pu étre
lus faute de temps, mais qui seront imprimés dans le re-
cueil des actes de cette séance: 1° Le Compte-rendu an-
nuel du Secrétaire Perpétuel sur les travaux de l'Acadé-
| mie. pour l'année 1864; 2° M. Sreznefski, Eloge de
Vostokof; et 3° M. Helmersen: Coup d'oeil sur les con-
ditions géologiques et physiques de St.-Pétersbourg.
ÉTAT DU PERSONNEL
DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES
AU 1° MARS 1865.
A. Conference BC
M. l’aide-de-camp-général, amiral Lütke; Président. 1864.
M. Bouniakofski, Vice-Président. 1863.
M. Vessélofski, Secrétaire Perpétuel. 1857.
235 Bulletin de l'Académie Impériale
236
I. CLASSE PHYSICO-MATHEMATIQUE.
MM.Kupffer 1828. MM. Tchébychef 1853.
Bouniakofski 1828. O. Struve 1852.
(Vice-Président.) G. Somof 1862.
Brandt 1830. Ofsiannikof 1862.
Murchison 1845. Pérévostchikof 1852.
Jacobi 1839. Zinine 1855.
Helmersen 1844. Kokcharof 1855.
Fritzsche 1838. Savitch 1862.
Middendorff 1845. Schrenck 1863.
Abich 1853. Membre surnuméraire M. Jé-
Ruprecht 1848. lesnof 1861.
II. CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITTÉRATURE RUSSES.
M.Pletnef, Président de MM. Norof 1851.
la Classe 1841. Sreznefski 1849.
Mgr.Philarète à Moscou Mgr.Macaire 1854.
1841. MM. Nikitenko 1855.
MM. Arsénief 1841. Grot 1855.
le prince Viazemski Bouslaief 1860.
1841. Rosberg àDorpat 1841.
Pogodine à Moscou Biliarski 1860.
1841. Pekarski 1863. .
Stroief à Moscou 1841.
III. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE.
MM. Oustrialof 1837. MM. Wiedemann 1857.
Brosset 1836. Nauck 1858.
Stephani 1850. Kunik 1844.
` Dorn 1839. Schiefner 1852.
Böhtlingk 1842. Veliaminof-Zernof
Vesselofski 1852 (Se-
crétaire Perpetuel). —
Ken
Oo
58.
Bezobrazof 1864.
B. Membres honoraires.
A. REGNICOLES.
Sa Majesté l'Empereur Alexandre II 1
Son Altesse Impériale Monseigneur Gë Grand-Due
Héritier Nicolas 1859.
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Due Con-
stantin 1844.
Son EL hurry: Monseigneur le Grand-Duc Nicolas
Pére
. Son joues pur Monseigneur le Grand-Duc Michel
1855. i a ER a ie a
Son Altesse Impériale Monseigneur le Prince Pierre
d’Oldenbourg 1834.
Son Altesse Grand-Ducale Monseigneur le Duc Georges
de Mecklenbourg-Strélitz 1856.
MM. le EE d'infantérie
Schubert 1827.
le comte 5. Ce éist
de Kamtchatka, des.
iles Kouriles et Alé-
outes 1857.
1827. Mgr.Cyrille, évêque de Mé-
le prince Menchikof
1831.
le prince Dondoukof-
Korsakof 1837.
le conseiller d'état ac-
tuel Démidof 1841.
le comte Berg 1844.
le prince Davydof1852.
le baron M. Korff 1852.
le comte Kissélef1855.
le général aide-de-camp
Lütke(Président)1855.
le général aide-de-camp
Tchefkine 1855.
le baron F. Wrangell
1855.
le comte Poutiatine
1855.
le comte Panine 1855.
le général aide-de-camp
Todtleben 1855.
Mgr.Bajanof 1856.
MM. le comte Adlerberg I.
1856.
le prince A. Gortcha-
kof 1856.
le Se Ce actuel
Brock 1
le eis sa actuel
Eugraphe Kovalefski
1856
le général aide-de- -camp
Ignatief 1856.
le conseiller privé Lev-
schine 1856.
Mar. te e eaa Isidor
J ER métropolitain
de la Lithuanie et de
Vilna 1857.
Philarète, archévêque
de Tchernigof et de Né-
jine 1857.
Innocent, archévéque
—
litopol 1857.
.le général d'infantérie
Mouravief 1857.
le général aide-de-camp
baron de Lieven 1857.
le conseiller privé Hu be
1857.
lelieutenant-généralK o-
valevski
le comte Ouvarof 1857.
le comte Mouravief-
Amourski 1858.
le général d’infanterie
Hasford 1858.
le conseiller privé actuel
baron Brunnow 1858.
le général- major Ker-
bedz 1858.
le lieutenant - général
Melnikof 1858.
le comte Tyszkiewicz
1858.
le prince Bariatinski
le conseiller privé actuel
Kniajévitch 1859.
le conseiller privé Dé-
lianof 1859
le prince d'Italie: CE
Souvorofde Rymnik
1861.
le conseiller. privé Go-
lovnine 1861.
le conseiller privé Baer
1862.
le conseiller privé Reu-
tern 1863
le conseiller privé Bout-
kof 1863. |
le maitre de la cour (en
fonctions) Etienne Gue-
déonof 1863.
le conseiller d'état actuel
Dahl. 1863.
B. ÉTRANGERS.
MM. le marquis Pietro- Catella, à Náples, 1846.
Zarco de ey l ^ T de l'Académie des sciences
à Madrid, 1
\
`
237
des Sciences de Saint-Petersbourg.
MM. comte W. Rosse, à Londres, 1852.
le maréchal Vaillant, à Paris, 1856.
le duc de Luynes, à Paris, 1856.
Son Altesse le Rädja Gri Rädhäcänta Bähädura, à
Calcutta, 1856.
Son Altesse le prince Louis Lucien Bonaparte 1858.
C. Associés honoraires étrangers.
1. CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
1826.
Sabine, à Londres, 1826.
Encke, à Berlin, 1829.
Brewster, à Edinbourg,
1830.
Hansteen, à Christia-
nia, 1830.
MM.Herschel, à Londres, MM.Faraday, à Londres,
1830.
South, à Londres, 1832.
le prince de Neuwied,
à Neuwied, 1835.
Ehrenberg, à Berlin,
1840.
II. CLASSE HISTORICO -PHILOLOGIQUE.
M. Dupin, à Paris, 1826.
M. Barante, à Paris, 1836.
D. Membres honoraires de la Classe russe.
MM. Choulgine.
Fedorof.
Loubianofski.
MM. Mouravief.
Serbinovitch.
Grigorovitch.
E. Membres correspondants.
L CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE.
1. Section mathématique.
Réval, 1
AE à "Nile
1828.
ee à TA
cou, 18!
. Clausen, d Dotpat/a56.
Kowalski,àKazan,1862.
Minding,à Dorpat,1864.
Winnecke, à Poulkova,
^. 1864 5
Argelunder, à Dom,
182
ege? à Paris, 1829,
Babbage, à Londres
1832.
Hansen, à Gotha, 1833.
Steinheil, à Munich,
1835.
Hamilton, à Dublin, T
1837
Liouville, à Paris, 1840.
MM. baron W. E à MM. Airy, à Greenwich, 1840.
Le
Verrier,àParis, 1848.
Peters, à Altona, 1849.
Yvon Villarceau, à Pa-
ris, 1855.
Maury, à Washington,
1855.
Hermite, A Paris, 1857.
' Poncelet, à Paris, 1857.
Baeyer, à Berlin, 1858.
Bertrand, à Paris, 1859.
. Duhamel, à Paris, 1859.
Chasles, à Paris, 1861.
Bache, à Washington,
1861.
Kui meri fpi 1862.
| Weierstrass, à Berlin,
1864.
Adams, à Cambridge,
1864.
ee De-la-Rue, à
to^ WS aS AA
. Eichwald 1826.
2. Section physique.
singfors, 1819
Hermann, à Moscou,
1831.
le comte Keyserling, à
Dorpat, 1858.
Volborth 1863.
Voskressenski 1864.
G. Rose, à Berlin, 1829.
Liebig, à Munich, 1831.
Neumann, à Königs-
berg, 1838.
Dove, à Berlin, 1842.
Dumas, à Paris, 1845.
Regnault,à Paris, 1848.
Chevreul, à Paris, 1853.
Wöhler, à Göttingue,
1853.
W. Weber, à Göttingue,
1853.
Magnus, à Berlin, 1854.
Weisbach, à Freyberg,
1855.
MM. Nordenskjöld, à Hel- MM. Riess, à Berlin, 1856.
Pelouse, à Paris, 1856.
Haidinger, à Vienne,
1856.
Frémy, à Paris, 1856.
Verneuil, à Paris, 1856.
Naumann, à Leipzig.
1857.
Hofmann, à Londres,
1857.
Elie de Beaumont, à
Paris, 1857.
Dana, à New-Haven,
1858.
Léon Foucault, à Paris,
1860.
Daubrée, à Paris, 1861,
Kirchhoff, A Heidelberg,
62.
Bunsen, à Heidelberg,
1862.
Miller, & Cambridge,
1864.
3. Section biologique.
Bunge, à Dorpat, 1833.
Nordmann, à Helsing-
fors, 1834
Trautvetter 1837.
Pirogof 1846.
Weisse, 1855.
Bidder, à Dorpat, 1857.
Mercklin 1864.
Brogniart,äParis,1829.
Carus, à Drèsde, 1833.
Martius,àMunich,1834.
Purkinje, à Prague,
1836.
W. J. Hookfr, à Lon-
dres, 1837.
Harlan, à New-York,
1838. -
Gaimard, à Paris, 1839. .
Owen, à Londres, 1839.
Milne-Edwards, à Pa- `
ris, 1846.
Th. Ludw. Bischoff, à
Munich, 1846.
Fries, à Upsala, 1850.
Reichert,à Berlin,1850. `
MM. Schleiden, 1850.
de epis à Munich,
rene à Breslau,
1853.
Mohl, à Tubingue, 1854.
Siebold,à Munich,1855.
Burmeister, à Halle,
1855
Flourens, à Paris,1856.
Kölliker, à Wurzbourg,
1858.
Alph. Decandolle, à Ge-
nève, 1858.
Montagne,à Paris,1858.
Jos.Dalt.Hooker, àLon-
dres, 1859.
Hyrtl, à Vienne, 1859.
ES, SCC) à Pa-
torn, i Stockholm,
pene cd à Giessen,
XS FT
p Boston,1862.
Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint - Pétersbourg.
210
MM. Huxley,àLondres,1864. M.
Henle,àGóttingue,1863.
Ratzeburg, à Neustadt-
Eberswalde, 1864.
4. Médecins.
M. Granville, à Londres, M. Clot-Bey, à Marseille,
1826. 42.
Il. CLASSE RUSSE.
MM. Gretsch, 1827.
Grigorovitch, à Ka-
zan, 1851.
Maikof 1853.
Snéguiref, à Moscou,
1854.
Bodianski, à Moscou,
1854. i
Weltmann, à Moscou,
1854.
Bénédiktof, 1855.
Bytchkof, 1855.
Soukhomlinof 1855.
Maciejowski, à Varso-
vie, 1856.
Lavrofski, à Kharkof,
1856.
Hilferding 1856.
Tuttchef 1857.
Gorski, à Moscou, 1857.
MM.
Tourguénef 1860.
Gontcharof 1860.
Polénof 1861.
Névostrouef, à Moscou,
1861.
Doubrofski 1862.
Tikhonravof, àMoscou
1863.
Ostrofski, à Moscou,
1863.
Kukuljević -Sakcin-
ski, à Agram, 1855.
Miklosich, à Vienne,
1856.
Erben, à Prague, 1856.
Hattala, à Prague, 1862.
Danisié, à Belgrad,
1863.
III. CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE.
l. Section historico - politique.
MM. le prince Obolenski, à MM.
Moscou, 1846.
Kutorga 1848.
Miliutine 1853.
Hagemeister 1855.
Zablotski 1856.
Skalkofski, à Odessa,
1856.
Kalatchef, à Moscou,
1858.
Bunge, à Kief, 1859.
Eug. Lamanski, 1859.
Smitt, 1863.
Solovief,äMoscou,1864.
Schiren. à Dorpat,
1864.
Lappenberg, à Ham-
bourg, 1834.
Schnitzler, à Strass-
bourg, 1839.
Schub ert,äKönigsberg,
1846.
Quetelet, ä Bruxelles,
47.
Zachariae de Lingen-
thal, près Mersebourg,
1856. Aa
Hildebrandt, à Stock-
holm, 1859.
Renag, à Paris, 1860.
Ranke, à Berlin, 1860.
Chevalier,äParis,1861.
Grote, à Londres, 1861.
Palacki, à Prague, 1863.
Thomsen, à Copenha-
gue, 1864. |
2. Section de Philologie classique et d'Archéologie.
M. Léontief, à Moscou, MM.
2, 2896.
Bóckh, à Berlin, 1844.
Neue, à Stuttgart, 1848,
O. Jahn, à Bonn, 1856.
MM. Meineke,à Berlin, 1856.MM. Roulez, à Gand, 1858.
Wieseler, à Góttingue,
1856.
Cobet, à Leyde, 1857.
Keil,àSchulpforte,1857.
Ritschl, à Bonn, 1858.
Haupt, à Berlin, 1859,
Henzen, à Rome, 1860.
Lehrs, à Kónigsberg,
1860.
Brunn, à Rome, 1861.
3. Section des Lettres orientales.
MM. Kazembek 1835.
J.Kowalewski, à Var-
sovie, 1837.
Mgr.Eugène, à Pskof, 1838.
MM. Khanykof 1852.
Grigorief 1853.
Bartholomaei, à Tiflis,
1856.
Chwolson 1858.
Charmoy, Aouste, D. de
la Dromme, 1829.
Móller, à Gotha, 1830.
Ewald, à Goettingue,
1834.
MM. Reinaud, à Paris, 1842.
Stan. Julien, à Paris,
1845.
Fleischer, à Leipsic,
1849.
Lassen, à Bonn, 1855.
Roth, à Tubingue, 1855.
Garcin de Tassy, à Pa-
ris, 1856.
Flügel, à Drésde, 1857.
Weber, à Berlin, 1860.
Defrémery, à Paris,
1860.
Olshausen, à Berlin,
1864.
4. Section de Linguistique.
MM. Bopp, à Berlin, 1853. MM. Schleicher, à Jena,
Pott, à Halle, 1855. 1857.
Diez, à Bonn, 1855. Kuhn, à Berlin, 1863.
F. Appartenances scientifiques.
. 1) Bibliothéque.
1™ Section. Livres en langue russe et autres dialectes
slaves en général. Bibliothécaire: M. Kunik.
2°° Section. Livres en langues étrangères. Biblio-
thécaire: M. Schiefner.
2) Cabinet de physique. Directeur: M. Jacobi. .
3) Laboratoire chimique. Directeur: M. Fritzsche.
4) Musée minéralogique. Directeur: M. Helmersen.
5) Musée botanique. Directeur: M. Ruprecht.
6) Musée zoologique et zootomique. Directeur: M.Brandt 7
7) Musée anatomique. Directeur: M. Baer.
8) Musée asiatique. Directeur: M. Dorn.
9) et 10) Musée numismatique et Musée égyptien. Di-
recteur: M. Stephani, ;
11) Musée ethnographique. Directeur: M. Schiefner.
12) e ZC astronomique de Vilna. Directeur: M.
abler. .
Paru le 15 mars 1865.
Bulletin de l'Académie, T. VIII.
Supplement 1.
Beiträge zur Geschichte der Kaiserl. Akademie der Wissenschaften.
Botanik.
Von F. J. Ruprecht.
Die Geschichte der Botanik in Russland beginnt erst
mit der Gründung der k. Akademie der Wissenschaf-
ten. Früher kannte man weder die Pflanzen des Euro-
päischen, noch des Asiatischen Russlands, weder jene
des Caucasus, noch die des Altai. Das was aus der Um-
gegend des Ararat, aus Polen, Abo und Archangel in
den Schriften von Tournefort, Erndtel, Rzaczynski, Til-
lands und Tradescant vorkommt, ist wohl interessant,
aber zu unbedeutend.
Betrachten wir nur exclusive den Antheil der Aka-
demie an der Entwickelung der Botanik, nieht bloss
für die Kenntniss der Pflanzen Russlands, sondern auch
im Allgemeinen als Wissenschaft, indem wir uns auf
die Schriften der Akademie beschränken. so kónnen |
wir sehr leicht zwei grosse Perioden erkennen, von
welchen die ältere, von der Eróffnung der Akademie
am 27. Decbr. 1725, beinahe 100 Jahre dauerte, —
die neuere Periode aber mit der Gründung eines
selbstständigen botanischen Museums durch Trinius
pane Aeltere Periode.
Die Kirikoketa hatten noch nicht den heu-
tigen enormen Umfang, der gebieterisch eine scharfe
Trennung in einzelne grössere Fächer fordert. Viele
Mitglieder der Akademie führten noch den Titel und
waren «Historiae naturalis Professores oder Acade-
mici«, wie namentlich Pallas, Gärtner, Güldenstädt,
Sujew, Ozerezkovski, selbst noch Tilesius (1806 —
17); ja, J. G. Gmelin war Professor ord. Chemiae et
hist. natur. Der alte Zusammenhang zwischen Botanik
und Medicin machte sich nicht nur durch Buxbaum,
Gmelin, Siegesbeck, Hebenstreit, Güldenstädt, Pallas,
Lepechin, Smelovski, Rudolph und Langsdorff geltend;
sondern auch die meisten Akademiker der neueren
Periode waren in ihren jüngeren Jahren praktische
Arzte. Beide Gmelin, Güldenstädt, Kölreuter und Le-
pechin haben sich nicht nur in der Botanik, sondern
auch in der Zoologie bekannt gemacht; noch mehr Pal-
las, der auch noch in anderen Wissenschaften Lorbee-
ren sammelte; die Zoologen Steller und Adams, so wie
der Chemiker Georgi haben auf ihren Reisen auch die
Pflanzen berücksichtigt; Laxmann, Prof. der Chemie
und Oeconomie (1770—81) lieferte in 4 Abhandlun-
gen (1771—73, 1789) Beschreibungen und Abbildun-
gen von (12) neuen Pflanzen aus dem Altai und an-
deren Gegenden des südlichen Sibiriens.
Noch vor der Eröffnung der Akademie kam ein ge-
wisser Deschisaux aus Caën nach St. Petersburg, mel-
dete sich mit einem pompösen Titel bei der medicini-
schen Kanzlei zu einer Reise nach Persien und er-
hielt durch Blumentrost, dem späteren Prüsidenten
der Akademie, vonr 1. Sept. 1724 an, eine jährliche
Besoldung von 300 Rbl., von welcher er jedoch nicht
lange Gebrauch machte, da man Buxbaum für diese
Reise den Vorzug gab. Im Jahre 1726 kam Deschi-
saux das zweite Mal hierher, veróffentlichte eine 2
Bogen starke botanische Broschüre, welche als biblio-
graphische Seltenheit und Curiositüt vor einigen Jah-
ren in einer hiesigen Auction mit 10 R. bezahlt wurde.
In der Vorrede spricht er von seinem »génie botani-
que», in dem Mémoire jedoch erwühnt er unglückli-
cher Weise, dass er (erst! von Buxbaum erfahren
habe, der Wasser-Schierling sei giftig. Mit der Aka-
démie' stand er weiter in keinem anderen Zusammen-
hange, als dass er von ihr den 1. SEN 1726 eine
kleine Summe zur Rückreise erhielt. Weitere drasti-
sche Details stehen in Müller’s handschriftlicher Ge-
schichte der Akademie 1730. Durch diese erfahren
wir, dass die angeblich erbetenen Vorschläge zur Er-
richtung eines botanischen Gartens, welche Deschi-
saux in seinem M&moire entwickelte, ganz unnöthig
waren, weil schon seit einigen Jahren der medizini-
sche Garten auf der Apotheker-Insel etablirt und da-
bei ein geschickter Gärtner angestellt war.
Der erste Akademiker für Botanik war Buxbaum,
ein Schüler von Ruppius. Nur kurze Zeit (von 1727
—29) in akademischer Thätigkeit, verfasste er ein
Werk über 500 neue oder weniger bekannte Pflan-
zen, meist auf seiner Reise, um Konstantinopel, in
Kleinasien und am Kaspischen Meere, aber auch viele
um Petersburg gesammelt, von welchen indessen die
zwei letzten Centurien erst nach seinem 1730 erfolgten
Ableben herauskamen. Die Ausführung der Abbildun-
gen auf 320 Tafeln war noch sehr zurück gegen jene
bei Amman, so dass viele Pflanzen, besonders Cryp-
togamen, kaum zu erkennen sind. Neben grosser Nach-
lüssigkeit, sagt Pallas, trifft man hier die seltensten
Pflanzen und schärfsten Beobachtungen. Unter den
9 kleineren Abhandlungen in den Schriften der Aka-
demie befinden sich einige gute in Vergessenheit ge-
rathene Beobachtungen über 3 gemeine Pflanzen Pe-
tersburg's, deren Gattungscharaktere er zuerst er-
kannte. Buxbaum verwarf die langen Beschreibungen
als langweilig und stellte die Ansicht auf, dass dieselben
kurz sein müssen und nur das berücksichtigen sollen,
was die Abbildung nicht geben kann.
Joh. Georg Gmelin, Anfangs (1729) von der Aka-
demie frei besoldet (mit 10 Rubel monatlich), spáter
(1731) von derselben zum Professor ord. Chemiae und
histor. nat. ernannt, brachte 9'/ Jahre (1733—43)
auf seiner grossen Reise zu, um Thiere, Pflanzen, Mi-
neralien, Gewässer und Klima Sibiriens zu erforschen.
Die Extreme der Kälte und Hitze, die der Mensch
und die Thiere ertragen können und die das damals
von Boerhaave aufgestellte Maass weit überstiegen, die
Senkung der isothermen Linien nach Osten, der nie
aufthauende Unterboden um Jakutsk und am Argun,
die Verbreitung des Tschornosjom in Sibirien, die
Depression des Kaspischen Meeres, barometrische
Höhenbestimmungen und noch viele andere Beobach-
tungen finden wir zum Theil zuerst bei Gmelin erwähnt.
2
Beschränken wir uns hier auf die Abschätzung der
einzigen botanischen Arbeit Gmelin's, seine Flora Si-
birica. Dies ist ein wahrhaft klassisches Werk über
1178 Pflanzen mit 300 Tafeln. In demselben sind eine
für damals erstaunliche Menge neuer Arten zum ers-
ten Male beschrieben und abgebildet. Linné sagte in
einem seiner Briefe 1744, dass Gmelin allein so viele
Pflanzen entdeckt habe, als viele andere Botaniker zu-
sammengenommen; Linné hatte aber noch lange nicht
alle Pflanzen Gmelin's gesehen. In der Flora Sibirica
finden wir die ersten schwachen Versuche einer Pflan-
zengeographie Sibiriens, begründet auf eine reiche An-
schauung: die Gränze der europäischen trivialen Flora
wird bis an den Jenissei gerückt und die Übereinstim-
stimmung Asiatischer und Amerikanischer Arten an-
gedeutet. So oft ich für meine Arbeiten dieses Werk zu
consultiren hatte, musste ich der trefflichen Beobach-
tungs- und Darstellungs-Gabe des Speciellen, dem Ta-
lente und der Gründlichkeit Gmelin's meine aufrich-
tige Bewunderung zollen. Seit lange halte ich Gmelin
für den tüchtigsten Botaniker, welchen die Akademie
jemals besass. Gmelin nahm 1747 Urlaub, 1749 sei-
nen Abschied. Zwei Jahre vor seinem Tode (1753)
erfolgte die grosse Reformation in der Nomenclatur
durch Linné, welcher Gmelin seine Zustimmung nicht
mehr geben konnte, da wahrscheinlich sämmtliche Ma-
nuscripte bereits nach Petersburg abgeschickt und 2
Bände ‚bereits gedruckt waren. Dies hatte zur Folge,
dass, nach der gewühnlichen Anschauung, aller Auto-
ren-Ruhm Linné zufiel, der noch überdies im Besitze
der Pflanzen Gmelin's war. Gmelin war zwar ein Freund -
Linné's, aber kein blinder Anhänger seines Systems.
Die Flora Sibirica ist nach Ray's durch Royen ver-
besserten natürlichen Familien (aus welchen Jussieu’s
System sich herausbildete) geordnet. Der III. und IV.
Band erschienen 1768 und 1769 unter Redaction sei-
nes Neffen, den Druck soll Gärtner beaufsichtigthaben. —
Ein Beweis für die Wichtigkeit dieses Werkes für die —
Flora des Russischen Reiches ist, dass von Ledebour 3
Commmentare dazu verfasst wurden, zu welchen gp —
sere Akademie erst unlüngt ein wichtiges Supplement
(Gmelini Reliquiae bot. edit. Plieninger 1861) drucken
liess, welches die botanische Correspondenz Linné's, ` 3
Haller und Steller's enthält. Der V. Band mit den —
| Cryptogamen blieb Manuscript und warlangenichtzü —
finden, von Georgi sogar für verloren erachtet. Gme*
3
lin der Jüngere veröffentlichte daraus einige neue si-
birische Farn, liess indessen noch mehrere unberührt,
die erst 50—80 Jahre später als neu auffauchten,
aber lange nicht so gut beschrieben, wie in diesem V.
Bande.
Pallas’ Urtheil über Gmelin ist auffallend. Er wirft
ihm vor: 1) dass er nach Petersburg ohne Berufung
gekommen sei; 2) dass er die zwei letzten Centurien
Buxbaum’s noch nachlässiger herausgegeben habe, als
man dies von Buxbaum gewohnt war. Wie ist diess
zu erklären, da wenigstens die V. Centurie 1740 er-
schien, als Gmelin weit in Sibirien war? 3) Dass Gme-
lin den Jenissei unrichtig als Florengränze aufstelle.
Pallas musste indessen das locale Faktum anerkennen,
indem er die Erklärung davon gab; wenn Pallas die
Gränzen nach seiner gewonnenen Erfahrung richtig
erweiterte, so ist dies sein Verdienst; eine entge-
gengesetzte Anschauung würde aber alle persönlichen
Verdienste in der Wissenschaft aufheben. 4) Pallas
hebt 9 botanische Manuscripte Steller's so hervor,
als ob durch diese erst die Flora Sibirica ein klassi-
sches Werk geworden sei. Ohne den grossen Ver-
diensten Steller's (Adjunkt für Zoologie 1738—46 T),
besonders in der Zoologie nahe zu treten und auch
die Wichtigkeit anerkennend, welche seine gesam-
melten Pflanzen für das Werk Gmelin's hatten, so
müssen wir dennoch zur Steuer der Wahrheit beken-
nen, dass wir in den besagten Abhandlungen Steller's,
so wie dies auch von Anderen früher ausgesprochen
wurde, nur nackte Pflanzenverzeichnisse erblickten,
etwa Rapporte zu den überschickten Herbarien. Es
ist erwiesen, dass Steller alle Eigenschaften eines rei-
senden Naturforschers im hohen Grade hatte, aber
nicht die literárischen Hülfsmittel zu gelehrten bota-
nischen Arbeiten während seiner Reise besass. Stel-
lers Pflanzen werden von Gmelin überall eitirt, und
in der Flora Sibirica sind Steller's Verdienste um die
Erforschung der HN wie in — ——
Werke verewigt.
Krascheninnikow , ein Schüler dnd Begleiter
Gmelins, trennte sich voii ihm 1737 —41 zum Behufe
der Untersuchung Kamtschatka's und wurde 1745 nach
seiner Rückkunft in Petersburg Adjunkt. Er starb (12.
Februar) 1755. Ausser der Beschreibung Kamtschat-
ka's lieferte er 2 botan. Abhandlungen und ein werth-
volles Manuscript über die Flora Ingriens, welches
1761 von Gorter nicht genug sorgfültig herausgegeben
wurde.
In der Abwesenheit Gmelin's functionirte Amman, `
als Akademiker und Prof. der Botanik von 1733 bis
zu seinem Hinscheiden, welches Ende 1741 erfolgte. Er
lieferte 10 bot. Abhandlungen und ein selbststündiges
Werk über 285 neue oder wenig bekannte sibir. Pflan-
zen nach den Beschreibungen von Gmelin, Steller und
Messerschmid, erläutert durch sorgfältig ausgeführte
35 Tafeln nach den Zeichnungen der sogenannten
Kamtschatka’schen Expedition. Amman’s Schüler Te-
plof, Adjunkt für «Botanik und Naturgeschichte» von
Jan. 1742 bis 1747, blieb ganz unbekannt; fast eben
so Hebenstreit, ord. Ak. für Botanik von 1749 —
53 und 1756—59; sein ganzes Wirken beschränkt sich
auf 3 unbedeutende Abhandlungen.
Von einiger Bedeutung durch seine Spezialität war
Kölreuter, Adjunkt für Bot. 1756—61. Auch später
als Pensionair der Akademie von 1768 bis zu seinem
Tode im Jahre 1806 schickte er fortwährend zoolo-
gische Abhandlungen, welche Herr Akad. Brandt für
wichtig und gründlich hält und 18 botanische, bei-
nahe durchwegs Experimente über die Bastard-Erzeu-
gung im Pflanzenreiche, die ihm zuerst 1760 gelang
und später wissenschaftlich in grösserem Maassstabe
festgestellt wurde, wodurch die Sexualität der Pflan-
zen ausser allem Zweifel nachgewiesen war. Diese Un-
tersuchungen blieben lange Zeit unbeachtet, so dass
nochmals im Anfang unseres Jahrhunderts (von Schel-
ver) Zweifel über die Sexualität der Pflanzen (in der-
selben Bedeutung wie bei den Thieren) erhoben wer-
den konnten, was zur Folge hatte, dass Preisaufgaben
von der Berliner und Haarlemer Akademie ausgeschrie-
ben wurden, ob es eine Bastardbefruchtung im Pflan-
zenreiche gebe und welche neue Arten oder Varietä-
ten von Nutz- und Zierpflanzen sich auf diese Weise
erzeugen liessen? Die Frage über die Sexualität hatte
aber unsere Akademie schon im J. 1759 gestellt und
den Preis gewann der berühmte Linné, dessen Dok-
trin noch von einigen damaligen Gelehrten angefein-
det und als schamlos oder unmoralisch bezeichnet
wurde. Linné's Dissertatio de sexu plantarum 1760
enthält jedoch, wie man jetzt weiss, ausser den bereits
von Vaillant und sogar im Alterthume ausgesprochenen,
auf Erfahrungen gestützten Ansichten, p nur
eine einzige sichere Beobachtung einer Bastardpflanze
(Tragopogon); die übrigen, welche er von Ältern ver-
schiedener Familien ableitete, beruhen sicherlich auf
Selbsttäuschung. Von Interesse sind diesen Augen-
blick die von unserer Akademie herausgegebenen Briefe
Linné's an Gmelin, in welchen er immer fester an die
Vervielfältigung der Arten durch Hybridität glaubt.
Schon J. G. Gmelin bezweifelt eine solche in seinem
denkwürdigen Sermo Academicus de novorum vegeta-
bilium post creationem divinam exortu 1749. Gme-
lin sprach schon damals aus, dass durch die Produkte
der Kreuzbefruchtung Farbenvarietüten vervielfältigt
werden können und dass dadurch die vollständige Ana-
logie mit dem Thierreiche bewiesen sei, dass aber
Pflanzenbastarde nicht neue Pflanzen seien, sondern
in ihre Mutterpflanze allmählich zurückfallen; auch sah
er in der Cultur der Pflanzen das Criterium bei der
. Entscheidung der Frage, was Art und was Abart sei.
Die Species bleibe constant!
Nachdem so die Lehre von einer wahren geschlecht-
lichen Befruchtung bei den Phanerogamen sich Bahn
gebrochen hatte, ging man auf die Cryptogamen über,
an welchen man noch keine Blüthen und Geschlechts-
organe mit Sicherheit erkannt hatte, und weil darüber
so manche Controversen entstanden waren, so stellte
unsere Akademie im J. 1779 eine zweite botanische
Dreis. Aufgabe (100 Ducaten und 50 Freiexemplare),
welche 1782 durch den berühmten Bryologen Hedwig
gelóst wurde. Dieses Werk, betitelt Theoria fructifica-
tionis plantarum Cryptogamicarum, 17 94, war Epoche
machend. Wenn wir auch jetzt wissen, dass Hedwig
sich in vielen Deutungen geirrt hatte, so kónnen wir
doch nicht umhin, anzuerkennen, dass damit ein gros-
ser Beitrag zur Kenntniss der Geschlechtsorgane bei
den Cryptogamen geliefert wurde, dass die Deutung
der $ und 9 Organe bei den Moosen richtig war und
Hedwig sogar die Spermatozoiden-Blüschen der Moose
beobachtete und darstellte, natürlich mit seinen opti-
schen Hülfsmitteln nur undeutlich.
Wir sehen also, dass ausser derErfi g der noch
80 wenig bekannten Pflanzenwelt Russlands, eine Auf-
gabe, welche nach dem Statute der Akademie vor al-
len anderen den Vorzug hatte, doch auch einige wich-
tige physiologische Fragen in der Akademie behandelt
oder durch sie hervorgerufen wurden. Zu dieser Rich-
1 DN
A
gen der Akademiker für Physiologie, Anatomie und:
Physik, namentlich: Bülfinger's Beobachtungen über
die Tracheen der Pflanzen (1729), über die Vermeh-
rung der Cichorie durch klein geschnittene Wur-
zelstückchen und Versuch dies zu erklären (1738),
dann einige teratologische Fälle; Kraft's Experimente
über die Vegetation der Pflanzen, die er von 1731—
1751 anstellte; des Mathematikers Christ. Wolff
Beitrag zur Theorie der Vegetation (1741); des be-
rühmten Physiologen C. F. Wolff Abhandlung über die
‘Ernährung organischer Körper (1789). Noch wären
zwei Experimente wieder in Erinnerung zu bringen,
nämlich das Ozerezkovski's (1801), welcher fand,
dass Bäume getödtet werden, wenn man ein wenig
Grünspan mit Öl gekocht in die Rinde einreibe, und
das Meyer's (Vaters des im J. 1855 verstorbenen Aka-
demikers) durch Lowitz 1800 mitgetheilt, dass ein
geringes Übermaass von Kohlenpulver den Geruch der
im Wasser gezogenen Hyacinthen aufhebe.
Mit dem J. 1766, unter der Regierung Catharina
II., erhielt, nach Pallas’ eigenen Worten, »die fast er-
loschene Akademie ein neues Leben.» Die grossartige
astronomische Expedition und glänzende Ausrüstung
von Reisen zur Untersuchung der physikalisch-topo-
graphischen Beschaffenheit des Russischen ‘Reiches,
für welche die Akademie Pallas, Güldenstädt, den jün-
geren Gmelin, Lepechin, Falk und Georgi nach allen
Gegenden ausschickte, werden immer Glanzpunkte in
der Geschichte der Akademie bleiben. Die Regierung
war aber auch mit ihren Mitteln nicht knauserig; dop-
pelter Gehalt bei freien Reisekosten, ein ganzes Per-
sonal als Gehülfen wurde diesen Akademikern bewil-
ligt. Blättert man die Akten der Akademie unter dem
Präsidium der Fürstin Daschkov durch, so erstaunt
man über die Menge der Auszeichnungen, Pensionen
und Gehaltszulagen, durch welche man jedes Jahr den
Eifer der Akademiker anspornte. Sie wurden fremden
Potentaten vorgestellt, einmal selbst von der grossen
Monarchin, welche mehrere der älteren Mitglieder
persönlich kannte und überhaupt ihre Akademie zu
schätzen wusste. Der grösste Botaniker dieser Zeit
war unstreitig: |
pa Pallas, seit 1767 Akadem. und Prof. der Naturge-
| Schichte, ein Mann von vielseitiger wissenschaftlicher
tung müssen wir noch hinzufügen einige Abhandlun- |
| Richtung. Sein Reisewerk enthält im III. Bande (1776)
die Beschreibung von 78 meist völlig neuen Pflanzen
mit 60 Figuren erläutert und viele Beobachtungen
über das Vorkommen bekannter Gewächse in den
durchreisten Strecken. Wenn auch diese Pflanzen nicht
immer so genau untersucht, in seinen späteren Schrif-
ten nicht berücksichtigt und daher viele derselben
jetzt unsicher geworden sind, so ist das der Linné’-
schen Hast zuzuschreiben, mit welcher damals so um-
fangreiche Werke veröffentlicht wurden. Dieser Vor-
wurf trifft alle Pflanzenbestimmungen in den Reisebe-
schreibungen Gmelin’s des Jüngeren, Güldenstädt’s,
Lepechin’s, Falk’s und Georgi’s, welchezum Theil aus
hinketieknenen Reise-Notizen 1 tellt werden
— Überhaupt sah man damals noch gar nicht die
Bed leichender Untersuchungen
ein, denn damals war Paie Pflanzen-Geographie eine noch
so gut wie unbekannte Wissenschaft, obgleich Pallas,
so wie früher Gmelin, Pflanzengruppen débgrabhiel
ordnete. Pallas bemerkt gegen Gmelin, dass die Ân-
derung der Vegetation am Jenissei und weiter östlich
von Gebirgszügen abhänge, auf welchen Altaische
Pflanzen bis zur gewöhnlichen Sibirischen Strasse tre-
ten, dass aber östlich davon, an der Tunguska und
Angara in niedrigen Wäldern abermals die Flora vom
Ob sich wiederhole; ja es zeige sich vom Jrtysch, Ob
und Uralgebirge im Vergleiche mit westlicheren Län-
dern ein grösserer Unterschied in der Flora, als öst-
lich vom Jenissei bis zum Baikal. Pallas erläutert spä-
ter diese Ansicht dahin, dass in der Sibirischen Ebene
viele Pflanzen des Europäischen Russlands fehlen und
nur wenige eigenthümliche Pflanzen in der Waldre-
gion Sibiriens dazu treten. Pallas kannte damals noch
nicht hinreichend die Nordöstliche Flora des Euro-
päischen Russlands, den Unterschied der Europäi-
‚schen und Sibirischen Tanne, er hielt das Uralgebirge
für die Gränze der Sibirischen Coniferen: der Zürbel-
Kiefer, der Pichta und früher auch der Lärche. Nach
Pallas ändert sich die Nord- Asiatische Flora erst
recht auffällig jenseits des Baikals und wird noch cha-
rakteristischer in Dahurien, die Altaische Flora ist |
von der Dahurischen — und steigt geris in|
die Ebene.
In 3 Abhandlungen, 1779, 1792, 1795, giebt] Pal-
las Beschreibungen und Abbildungen von 23 neuen |
Pflanzen meist aus dem südlichen Sibirien. Über die |
Pflanzen der Krimm lieferte Dallas einen Catalog. Im | städt.
5
J. 1795 nahm er seinen Abschied von der Akademie.
Im Jahre 1782 begann Pallas die Bearbeitung einer
Flora Rossica, von welcher indessen nur der erste
Band (1784—88) mit 100 Folio-Tafeln erschien: die
wichtigsten Holzgewächse und einige eigenthümliche
Kräuter. Es war dies der erste Versuch einer Zusam-
menstellung aller Pflanzen des Russischen Reiches;
eine vollständige gelang später (1797 bis 1802) dem
fleissigen Georgi, sie wimmelt jedoch von Lücken und
Unrichtigkeiten, wie das nicht anders sein konnte, da
einsolches Werk ausser gediegenen botanischen Kennt-
nissen und strenger Kritik noch fremde spezielle Vor-
arbeiten voraussetzt, an denen es damals noch sehr
mangelte. Indessen gehört Georgi’s Versuch nicht in
unsere Betrachtungen,:da derselbe nicht von der Aka-
demie herausgegeben wurde; und aus eben diesem
Grunde sind auszuschliessen Pallas’ Monographie der
Astragala (1800) und Halophyten (1803), obgleich
dies sehr wichtige Werke für die Russische Flora
sind.
S. G. Gmelin, der Neffe des Verfassers der Flora
Sibirica, wurde 1767 Professor der Botanik und Aka-
demiker. Vom J. 1768 an auf Reisen am Caspischen
Meere, starb er 1774 als Gefangener im Daghestan,
noch nicht 30 Jahre alt! Die Akademie setzte ihm vor
2 Jahren einen Grabstein. Seine hinterlassene Beisebe-
schreibung, welche Pallas herausgab, enthält manche
botanische Neuigkeiten, zum Theil von seinem Be-
gleiter Hablitzl. Es scheint vergessen, dass sich hier
die erste Nachricht über das Persische Insektenpulver
und Beschreibung der Mutterpflanze findet, deren Ein-
sammlung jetzt im Caucasus einen neuen Erwerbs-
zweig bildet.
Kurz vor seiner Reise erschien die Historia Fuco-
rum, zu welcher er die Materialien früher in Holland
gesammelt hatte; am wichtigsten darin sind die Be-
schreibungen der Meeresalgen Steller’s uud Krasche-
ninnikow’s aus Kamtschatka. Ausserdem lieferte er
3 kleine botanische Abhandlungen. |
Güldenstädt, berufen 1768, wurde während sei-
ner Reise 1770 Adjunkt, 1771 ordentlicher Akade-
miker, starb leider schon 1781, in einem Alter von
36 Jahren. Pallas erklärt, dass wenige Gelehrte in
einer so kurzen Lebenszeit so viele und so wichtige
Dienste der Wissenschaft geleistet haben, wie Gülden-
ét ds a PR} n.n 1. i h 2a
— o
bung enthält viele jetzt sehr werthvolle physicalisch-
topographische Nachrichten über den damals so un-
bekannten Caucasus, auch über die Vegetation der
bereisten Gegenden, leider nur sehr fragmentarisch.
Seine zahlreichen Abhandlungen sind fast durchwegs
zoologischen Inhalts, bis auf eine, in welcher er eine
neue Pflanze Krascheninnikow widmete (Diotis).
Lepechin wurde das nördliche Europäische Russ-
land zum: Gegenstand seiner Untersuchungen zuge-
theilt. Seine Reisebeschreibung enthält nur wenig bo-
tanische Bemerkungen. Seine Abhandlungen in den
Schriften der Akademie sind — bis auf 9 unbedeu-
tende — zoologischen Inhalts, obgleich er von 1768
bis 1802 für Botanik angestellt war.
In Abwesenheit dieser Akademiker vertrat Joseph
Gärtner vom J. 1768—73 die Naturgeschichte bei
der Akademie. Seine einzige akademische Abhandlung
betraf 2 neue Pflanzengattungen: Agropyrum und La-
gotis (welche später Pallas als Gymnandra beschrieb).
J. Gärtner ist der später so berühmt gewordene Car-
pologe.
Als Botaniker dieser Zeit muss noch Falk erwähnt
werden. Engagirt von unserer Akademie mit den
temporären Rechten der genannten 4 Akademiker trat
er seine Reise 1769 an und untersuchte das SO. Russ-
land. In einem Anfalle von Hypochondrie machte er
1774 in Kasan seinem Leben ein Ende. Seine frag-
mentarischen Papiere gab Georgi heraus, welcher ihn
als fleissigen, aufmerksamen und sachkundigen Beo-
bachter schilderte. Nach Georgi war er Professor der
Botanik und Aufseher des hiesigen Apotheker-Gar-
tens, im Ressort des Medizinal-Collegiums; ein Nach-
folger von Siegesbeck. Dieser war vom 1. April 1742
Mitglied der Akademischen Conferenz mit Gehalt und
Quartier; als Professor der «Botanik und Naturge-
schichte» unserer Akademie hielt er Vorlesungen und |
hatte die Aufsicht über den botanischen Garten der
Akademie, welchen Amman 1736 eingerichtet hatte.
Siegesbeck’s Verhältnisse sind in Dunkel gehüllt.
Das Archiv verwahrt seine Gartenangelegenheiten bis
1745 und Andeutungen über die Gründe der Unzu-
friedenheit Gmelin’s. Die Akademischen Schriften ent-
halten keine einzige Abhandlung oder Nachricht über
Siegesbeck. Als Praefectus horti mediei edirte er das
folgende Jahr einen Catalog desselben 1736, den
schon Hoffmann als ziemlich mittelmässig bezeichnete,
ë =
2 leere Dissertationen über Convallaria und Tetrago-
nia und 2 Streitschriften gegen Linné und Gleditsch,
durch welche er sich sehr verhasst machte. Joh. G.
Gmelin bezeichnete ihn 1744 als einen Mann «qui
sibi soli sapere cupit», und von freien Stücken nicht
erlaubt, dass Jemand ausser ihm eine etwas werth-
vollere Pflanze betrachte; deshalb habe sich Gmelin
einen Privatgarten angelegt, für welchen er indessen
von Siegesbeck Samen zu bekommen, keine Hoffnung
habe. Auch war, nach Gmelin, Siegesbeck der Nach-
folger Amman’s in der Akademie, und sagte Gmelin,
dass der Akademische Garten von seinem ersten An-
fange an niemals ohne Pflege gewesen und reich an Sibi-
rischen Pflanzen sei; der Apotheker-Garten stehe aber
(1744) unter der blossen Aufsicht eines jungen Gärt-
ners, nachdem der frühere Bruyns Ende 1743 gestor-
ben sei. Die Stelle, welche Siegesbeck damals inne
hatte, wurde noch vor 1742 aufgehoben. Es ist be-
kannt, dass der botanische Garten der Akademie, wel-
cher zuletzt einen Platz im Pawlow’schen Corps, ge-
genüber dem Technologischen Institute eingenommen
hatte (siehe den offiziellen Rapport des Gärtners Prie-
sing, vom J. 1803 im Akadem. Archiv); nach dem 1815
erfolgten Tode des Akad. Smelovski verkauft wurde,
da er nicht mit den nöthigen Mitteln unterhalten, kei-
nen Gewinn für die Wissenschaft bringen konnte. Zur
Zeit Amman’s befand er sich auf Wassili-Ostrow in
der 2. Linie am Hause des Generals Bonn, — gegen-
wärtig der Garten der R. K. geistlichen Akademie,
Smelovski, von 1802 bis 1815 Adjunkt und Ex-
traord. für Botanik, lieferte 3 Aufsätze in den Schrif-
ten der Akademie, über die Gattungen der Cruciferen,
die essbaren Knollen des Equisetum arvense und 2
bereits bekannte Gàrtenpflanzen.
Rudolph, ord. Akadem. für Botanik von 1804 bis
zu seinem Tode im J. 1809, beschrieb in 6 kleinen
Abhandlungen die Gattung Ziziphora und 2 neue Si-
birische Pflanzen.
Redovski, 1805 als Adjunkt für Botanik einge-
treten, ertrank am 8. Februar 1807 auf der Reise
nach Kamtschatka bei Ishiginsk.
Langsdorff, als Adjunkt für Botanik 1808 gewählt,
ging 1812 als Extraordinarius für Zoologie und Ge-
neral-Consul nach Brasilien. Von ihm, so wie von Re- -
dovski weisen die Schriften der Akademie keine bota-
nischen Abhandlungen nach. Einzelne kleine botani- | ches beschreibt; Eschscholtz 12 neue Arten aus Ca-
sche Arbeiten von Tilesius (über Cheirostemon), Adams | lifornien (1825).
(Azalea fragrans), so wie Ozerezkovski's: Akademiker, Mit Smelovski, oder eigentlich schon mit Rudolph
die eine zoologische Richtung einschlugen, so wie die | erlosch die Vertretung der Botanik bei der Akademie
Russische Ausgabe der Flora Rossica von Pallas durch | und es trat ein Interregnum von 14 Jahren ein, bis
Sujev sind noch etwa der Erwähnung werth. endlich 2—3 Jahre vor dem Saecular-Jubilaeum der
Auch die Abhandlungen fremder Botaniker. in den | Academie Trinius eintrat. In der letzten Zeit beschäf-
Akademischen Schriften sind im I. Saeculum nicht sehr | tigte man sich mit einem Nachdruck der Synopsis
zahlreich und wichtig gewesen, obgleich sich berühmte | plantarum Person's, viele Bände in 8 ^ mit dem Motto
Namen darunter finden, wie: Linné über Nitraria 1761, | «in parvo copia»! Dies war der sehr traurige bota-
O. F. Müller über Süsswasser-Conferven 1779, acht | nische Grabstein zu Ende des ersten Saeculum's der
Abhandlungen Thunberg's über Cap'sche Pflanzen Akademie, einer Periode, welcher die Botanik gewiss
und Japanische Lilien 1794—1823, einzelne Auf- | manche wichtige Fortschritte verdankt und in wel-
sütze von Bergius und Sprengel über exotische —, Ste- | cher Gmelin und Pallas die Glanzpunkte waren.
ven’s über 2 Süd-Russ. Pflanzen; Gilibert's Beobach-| Von 18 Botanikern der Akademie waren ^ (12)
tungen über die medizinischen Eigenschaften einiger weniger als 8 Jahre im Dienste. Buxbaum und Gül-
einheimischen Pflanzen, 2 interessante Abhandlungen | denstädt starben im 36. Jahre ihres Alters, der jün-
des Missionairs P. Cibot (1774) über den schnell ver- | gere Gmelin erreichte nicht das 30. Lebensjahr. Nur
günglichen stinkenden Pilz Mokusin, den die Chinesen | Pallas und Lepechin waren so glücklich, über 21 Jahre
für Gedärme und Excremente der Hühner halten; | oder gar die gesetzliche Zeit zur Erlangung der vol-
dann über die Kultur essbarer Schwümme in China.|len Pension auszudienen (dieses Faktum ist noch bis
Ledebour lieferte 4 Abhandlungen, unter welchen eine | 1864 gültig, d. h. in 138 Jahren von 24 Akademi-
bedeutendere (1814) 60 neue Pflanzen des Russ. Rei- | kern nur 2 +
1) Übersicht der Akademiker und Adjunkten für Botanik (Naturgeschichte), nach den Jahren ihres Aka-
demischen Dienst-Eintrittes:
1727 —99 . Buxbaum diente 2—3 Jahre, starb (1730), 36 Jahre alt. Schrieb 9 Ak. bot. Abh. u. V Cent. pl.
1731—49 J.G.Gmelin EL IN » » » co bloss Fl. Sibir. 4 Bde.
1733—41 Amman » 8 » » (1741), — > 5 10 Ak. bot. Abh. und Stirpes.
1742 — 47 Teplof » 6 » » (1779), — » "» ^» michts.
1742— 45? Siegesbeck » 82. » » — — » » ` nichts.
Zeie DE 1745 —55 Krascheninnikow » 10 » » (1755,42 » nn 2 Reise Kamt. + Fl. Ingr.
Vue a ` Hebenstreit » 8 » » (798,75 =» c» » 8 Akad. bot. Abh.
1756 — 61 Kölreuter » 5-6 8 » (1800,73 » » » 18 Akad. bot. Abh.
+
1767 —95 ` Dallas ». 98 e» » (1811,71 » » » 4+ Fl Ross. +-Reisebeschr.
1767—74 8.6.6 iw Ex —o» (0770,90 5 si wi 8 + Histor. Fucor. + Reise,
1768 — 81 Güldenstädt » jj v » (1781,86 » » » 14 Reisebeschreibung. ;
1768—73 Gärtner » 4—B » — » (191,59. » sn ». 1 Akad. bot. Abh. `
1769—74 _ Falk », 4-5» .,» (1774,49 » » » bloss Reisebeschreibung. -
1768 — 1802 Lepechin SD t. (99,9 9." 2 + Reisebeschreibung.
1802 — 1815 Smelovski » 19 "» " » (1815,46 7» ^» a 8 Akad: bot. Gi:
1804 — 1809 Rudolph » 6 » » ED RES 3 condos 6 Ak. bot. Abh.
1805 — 1807 — Redovski D 9. ». ». (190),99.. 9. ». E E
1808 — 1812 Langsdorf ` » ët Manger : a ` E
(1852), 78
Es waren aber ausser der kurzen Dienstzeit der al-
lermeisten Akademischen Botaniker noch andere allge-
meinere Ursachen an dem ausserordentlichen Verfalle
der Akademie überhaupt schuld; Ursachen, welche in
dem Recueil des actes 1827, 1843 und 1854 von zwei
beständigen Secretairen der Akademie öffentlich her-
vorgehoben sind. Wenigstens die Hälfte der etatmäs-
sigen Akademischen Fauteuils waren in Folge schlech-
ter Besoldung unbesetzt; die Sammlungen waren ver-
wahrlost, die Bibliothek blieb verarmt, die Gebäude
der Akademie fielen in Ruinen. Erst mit der Verdop-
pelung des Etats der Akademie durch ihren Wohl-
thäter Kaiser Nicolaus begann im II. Saeculum wieder
ein neues Leben für die Akademie.
Neuere Periode.
Erst mit der Bestätigung des neuen Etats konnte
Trinius, der bereits im August 1823 als ordentli-
cher Akademiker eingetreten war, die Gründung ei-
nes eigenen botanischen Museums mit einer Spezial-
bibliothek erfolgreich ausführen, so wie auch die Er-
forschung wenig bekannter Gegenden des Reiches, de-
ren Wichtigkeit Trinius in einer Akademischen Rede
1827 hervorhob. Die Geschichte dieses Museums, wel-
ches in einem innigen Zusammenhange mit den neuen
botanischen Leistungen bei der Akademie steht, ist
vor kurzem zur allgemeinen Kenntniss gebracht wor-
den. Es wurde dort auch angedeutet, wie die Dürftig-
keit literärischer Hülfsmittel Trinius veranlasste, bei
der bereits seit 1818 oder 1820 cultivirten Speziali-
tät, der genaueren Kenntniss der Gräser, zu verblei-
1825 — 44 Trinius |
1829 — 30 Mertens » 1 » »
1830 — 39 Bongard » 9 » »
1839 — 55 Meyer » 15 » »
(1839 —) 47 Ruprecht » (25)17 » »
1853 — 61 Jeleznoff » 8 » »
8
ben, um diese bei so geringen Mitteln desto kräftiger
zu fördern. Seine früheren Schriften von 1810 und
1811 zeigen, dass er die Absicht hatte, mit Liboschitz
eine. Bearbeitung, wenn nicht der Russischen Flora,
doch jener Petersburg’s und Moskau’s zu liefern, ein-
schliesslich der Cryptogamen. Die erste Akademische
Abhandlung (1815) beschreibt einige neue Pflanzen
Gmelin’s aus Ghilan. Indessen fast alle übrigen, bis
zu seinem Tode (1844), sind agrostographischen In-
haltes, der Zahl nach 18, darunter mehrere umfang-
reiche und Separatwerke, wie namentlich 3 Bände mit
Beschreibungen und Abbildungen von 360 Gräsern.
Alle neuen Gräser, die in dieser Periode in Russland
entdeckt wurden, sind von Trinius untersucht und be-
stimmt worden; für exotische hatte er zwei Rivalen:
Kunth und Nees von Esenbeck. Trinius’ Ansicht war,
dass es kein anderes Mittel gäbe, um das in neue-
rer Zeit so ungeheuer vermehrte Material an neu
entdeckten Pflanzen zu überwältigen, als wenn 20
oder mehr Botaniker sich in diese Arbeit theilten;
denn die Meinung, dass dies einem Einzigen möglich
sei, ist seit P. Decandolle’s Tode zu Grabe getragen.
Wir sehen in Decandolle’s Prodromus diese Idee,
die sich natürlich von selbst aufdrängte, zum Theil
verwirklicht.
H. Mertens, der Sohn des bekannten Botanikers,
trat den 9. September 1829 als Adjunkt für Botanik
ein. Leidenschaftlich für Naturwissenschaften einge-
nommen und bereits durch einige botanische Arbeiten
bekannt, benutzte er auf Vorschlag und Kosten der
Akademie (1826) die Lütke’sche Weltumsegelung zu
weiteren zoologischen und botanischen Studien, welche
diente 21 | Jahre, starb (1844), 66 Jahre alt. Schrieb 18 A bh Abh., darunter grös-
sere u. Sp. Gram. + 2 A.R.
(1830), 34 » » » | Akad. Rede.
(1839), 58 » ^» » 92 Mon. Erioc. + 1 Ak. R.
(1855), 60 » ^» » 37 Abh, dar. Mon. Ephedra.
50 Abh. (dar. 3 selbst. Werke
-- Alg. Ochot.)
5 Ak. bot. Abh.
Laxmann war Pensionnair 1784 bis 1796 +, alt 59 Jahre.
Georgi starb 1802, alt 72 Jahre. Acad. ord. Chemiae.
Sujev (Zouyef) starb 1794, kaum 40 Jahre alt. Akad. Prof. hist. nat.
Portraite: J. G. Gmelin's an Linné selbst geschickt
Pallas im Conferenz- Saal (Ölgemälde),
Lepechin, Georgi, Pallas, als Silhouetten im
Trinius, Meyer in Recueil des actes,
k im J. 1747. (Reliq. Gmel.)
im bot. Museum und in Rudolphis Werk.
Archiv. (1784.)
9
leicht Mertens einen bedeutenden Ruhm eingebracht | cotyledonen-Stamm, sondern umfassen alle Pflanzen-
haben würden, wenn nicht der frühzeitige Tod im 34. | Klassen und führten zur Aufstellung eines anatomischen
Jahre seines Alters seiner bloss einjährigen Akademi-
schen Carrière ein Ziel gesteckt hätte. Drei botani-
sche Berichte von seiner Reise (über die Flora von
Sitcha und der Beringsstrasse, sowie über die Meeres-
pflanzen), einige Notizen im Manuscript und seine mit-
gebrachten grossen Sammlungen, bezeugen einen aus-
serordentlichen Fleiss und Beobachtungs-Talent. Die
Akademischen Schriften enthalten für Botanik nur
etwa den naturhistorisch - ethnographischen Bericht
über die Carolinen. Mertens trat sehr bald zur Zoo-
logie über. |
Mertens’ Nachfolger war Bongard, vom 5. Mai
1830 Adjunkt für Botanik. Die grossen Sammlungen
aus Brasilien von Langsdorff und Riedel, für die Pe-
tersburg ein Stapelplatz wurde, gaben Bongard Ver-
anlassung zu einer grósseren monographischen Arbeit
über Eriocaulon und 6 kleinere Abhandlungen über
neue brasilianische Lacideae, Bauhiniae und Pauletiae,
Melastomaceae, Erythroxyla und Compositae; es wa-
ren darunter auch einige neue Gattungstypen. Viele
. Abbildungen erläutern diese Abhandlungen. Lacis ge-
hórt zu einer kleinen Familie mit wenig Pflanzen vor
ganz besonderem Baue, deren Platz im Systeme lange
unsicher war; man hielt sie früher für Monocotyledo-
nen und die einzige Europäische Gattung Blandowia
Willd., die noch in Endlicher's System mit Stillschwei-
gen übergangen wird, sogar für ein Lebermoos. Aus
dem Nachlasse von Mertens edirte Bongard eine Flora
von Sitcha, 222 Arten, unter welchen 31 (also fast jede
7.) neu waren — und eine Notiz über die Vegetation von
Bonin Sima, ein Übergang der Japanischen Flora in
jene der Südsee-Inseln. Bongard starb am 5. August
1839. —
Bereits im J. 1829 verlangte die Akademie eine
neue Untersuchung über das Wachsthum des Dicoty-
ledonen-Stammes und Kritik der Experimente, Beo-
bachtungen und Theorien von Duhamel, Mirbel, Au-
bert Du Petit- Thouars und Dutrochet — und verlän-
gerte, da 1833 keine befriedigende Antwort eingegan-
gen war, den Termin der Preisaufgabe bis 1837. Ein
Accessit von 100 Dukaten und 50 Freiexemplaren
wurde Herrn Prof. Unger zuerkannt und sein Werk
auf Kosten der Akademie 1839 gedruckt. Die -Unter-
suchungen Unger's beschrünken sich nicht auf den Di-
Pflanzensystems mit Berücksichtigung ausgestorbener
Familien. Es ist dies ein Werk von unzweifelhaft gros-
sem Verdienste. Dass aber die Frage eine kitzliche
(question épineuse) sei, wie sich die Akademie aus-
drückte, war sehr richtig, denn spütere Untersuchun-
gen haben Einwendungen (namentlich von Nägeli) zur
Folge gehabt und wieder zu anderen allgemeinen An-
sichten gedrängt. Was der eigentliche Zweck der `
Preisfrage war, die kritische Entscheidung über die
«sogenannte Theorie Du Petit-Thouars», welche so
| heftigen Streit erregte und in neuerer Zeit so viel An-
hang in Frankreich und spüter auch in Deutschland
gewann, nach England und Schweden sich verbreitete,
— so ist es jetzt bekannt, dass diese Ansicht bis auf
Darwin (1800) und La Hire (1708) reicht, ja sogar
in einer dem Hippokrates zugeschriebenen Schrift an-
gedeutet wird, also beinahe uralt ist. Das endgültige
Entscheidungswort «richtig oder unrichtig?« ist bis
jetzt noch nicht deutlich ausgesprochen. Indessen
scheint es, dass diese Theorie, durch die mit Recht
die Wichtigkeit der Knospen für die Holzbildung ver-
treten wird, ein scharfsinniger Vergleich ist, der durch
bedeutende Einwürfe hinkend wird, jedenfalls aber .
zum allseitigen Verstündniss der Frage nützlich und
sogar nothwendig ist.
Meyer trat den 27. Sept. 1839 als Adjunkt in die
Akademie. Der Jahresbericht von 1855 enthält ein
vollstándiges Verzeichniss der botanischen Abhand-
lungen Meyer's, etwa 50 an der Zahl, von welchen
die Schriften der Akademie 6 vor und 37 nach seinem
Eintritt in dieses Institut aufweisen. Meyer's wissen-
schaftliche Richtung war hauptsächlich eine systema-
tisch-monographische, in Beziehung auf die Russische
Flora, die Meyer viel zu verdanken hat. Von grós-
seren Arbeiten erwühnen wir die Bearbeitung seiner
Caucasischen Pflanzen, gegen 2000, worunter 126
neue Arten und 8 neue Gattungen. Meyer beendigte
das zweite Supplement zur Flora Altaica, eine Arbeit,
welche Bongard unvollendet hinterlassen hatte, 331
Pflanzen vom Saisang-Noor mit Abbildungen 18 neuer
Arten. Eine Reihe kleiner Abhandlungen giebt die
Diagnosen einer Menge neuer Arten Alex. Schrenk's
‚aus der Songarei, ein Land, welches so reich an neuen
Pflanzen ist, dass trotz der gleichzeitigen Publica-
2
— »
tion Karelin’s und Kirilow’s aus derselben Gegend,
nur wenig Collisionen vorkommen. Hierher gehört
auch die Bestimmung der Pflanzen Kolenati’s vom
Kasbek und der Antheil an der Ostsibirischen Flora
Middendorff's. Meyer's anerkannte scharfe Unterschei-
dung schwieriger Arten zeigt sich in seinen Abhand-
lungen über Carex, Agrimonia, Zimmtrosen, Cornus,
Cirsium und Centaurea, Alyssum, Hymenobrychis,
Astragalus, Panax, Monolepis etc., von welcher ei-
nige monographischen Charakters sind. Die Monogra-
phie der Gattung Ephedra ist eines der besten Werke
Meyer's und seine allgemeinen Bemerkungen über die
Polygoneae, Daphneae und Caprifolieae sind für das
System wichtig, denn Meyer besass ein besonderes
Talent, neue und gute generische Merkmale aufzufin-
den, wofür schon frühere Arbeiten in den Ranuncula-
ceae, Cruciferae und Salsolaceae den Beweis lieferten.
Meyer gründete die periodischen Beiträge zur Pflan-
zenkunde des Russischen Reiches, welche Anfangs nur
den Zweck hatten, die Volksnamen und den vulgären
Gebrauch nach den einzelnen Gouvernements zu sam-
meln, wozu der Anfang mit Tambow und Wjatka ge-
macht worden ist; indessen dehnte sich dieses Sam-
melwerk bald aus auf botanisch-geographische Abhand-
lungen von mir, Claus, Veesenmeyer, Borszezow. Nach
der neuen Einrichtung (Separat-Paginirung) der Mé-
moiren wurde diese Zeitschrift mit der 11. Lieferung
geschlossen.
Die Akademie verwahrt verschiedene Manuscripte,
die entweder veraltet oder unvollendet sind. Für zeit-
gemässe Arbeiten können dieselben einige gute Beiträge
liefern, aber zu ihrer Herausgabe oder Vervollstándi-
gung geben sich, aus verschiedenen Gründen, selten
oder nur ungern Gelehrte her, Der Text zu 25 weite-
ren Tafeln von Pallas ist nicht erschienen und die
= Centurie Bieberstein’s ist nicht vollendet worden; die
Ankündigung wurde 1831 zu voreilig gegeben.
Nach H. Mertens’ Tode hinterblieb ein reiches
Material von Algen oder Cryptogamischen Meeres-
pflanzen, über welche er eine vorläufige Notiz in
Petropawlowsk schrieb, die sammt den Original-
Zeichnungen und Pflanzen an seinen Vater kam, wel-
chen C. Agardh (der Vater) den gróssten Algologen
seiner Zeit nannte. Durch den Tod Mertens’, der sei-
nem Sohne binnen Jahresfrist nachfolgte und durch die
verschärfte Cholera-Quarantaine ging ein Theil des
Materials, bei der Zurücksendung von Bremen nach
Petersburg verloren.?) Da indessen der Rest noch ge-
nug neu und werthvoll, besonders für Russland war,
nicht weniger auch für den Ruhm der ersten unter
Kaiser Nicolaus ausgerüsteten wissenschaftlichen Reise
um die Welt, unter Oberleitung unseres gegenwärti-
gen Herrn Prüsidenten der Akademie, — so erhielt
Postels, als ehemaliger Mitarbeiter von H. Mertens,
im J. 1836 auf Verwendung der Akademie von S. M.
die Mittel zur Herausgabe eines würdig auszustatten-
den Werkes. Auf Grundlage dessen dürfen wir also
dasselbe in einen Zusammenhang mit den Leistungen
der Akademie bringen, umsomehr, als nach dem Tode
beider Mertens, um dem Werke einen speziell wissen-
schaftlichen Werth zu geben, Bongard als Mitarbeiter
und nach dessen Tode ich eingeladen wurde, worauf
der Text, nachdem die Tafeln bis auf ein Paar bereits
fertig waren, zu Ende 1840 gedruckt wurde. |
Die Illustrationes Algarum Rossiae, in lateinischer
und Russischer Sprache, enthalten eine für die dama-
lige Zeit vollständige Aufzählung aller in den vier `
Hauptmeeren des Reiches beobachteten Pflanzen, Be-
merkungen über die Geographie und den Nutzen der-
selben und den ersten anatomisch-morphologischen
Versuch, welcher natürlich durch die unmittelbar
darauf eintretende grosse Umwälzung in der Algolo-
gie Vieles von seinem Werthe verlor. 7
Dieser Arbeit folgten bis 1852 mehrere andere in
diesem Gebiete; namentlich die Algae Ochotenses nach
den Materialien Middendorff’s, durch welche dieses
bis dahin unbekannteste Meer in die Reihe der am
besten untersuchten tritt. In diesem Werke sind auch
alle seit 10 Jahren mittlerweile hieher geschafften
Zuwächse aus dem russischen Antheil des nördlichen
grossen Oceans mit berücksichtigt. Dadufch sind be-
kannt geworden 153 Arten, worunter 95 neue und
8 neue Gattungstypen; davon kommen auf die Rhodo-
T
COH
| wendig bemerken, dass weder em
olcher Text mehr vorhanden war (wie überhaupt bis jetzt nur 3 Ar- `
ten von Agarum bekannt sind), und dass die wenigen Blättchen m
vorläufigen Beschreibungen, die sich im Nachlasse Bongard's vorfa
den, für den Text nicht benutzt worden sind.
E
phyceae 77 (55 neue), Melanophyceae 52 (27) und | telländischen Meeresküste sind keine weiteren Unter-
Chlorophyceae 24 (1
Arten aus diesen Meeren, Agardh (1822) nur 21.
Hieran schliessen sich die Beschreibungen und Ab-
bildungen einiger ausgezeichneten neuen Gattungen
und Arten aus der Bodega Bai in der Nähe der Ko-
lonie Ross in Californien, ein wissenschaftliches An-
denken an diese ehemalige Besitzung der Russ.-Ame-
rikanischen Kompagnie.
Ein anderes Mémoire handelt über die grossen Ver-
schiedenheiten im Baue und Wachsthum der Lamina-
rien-Stämmchen. Obgleich diese als Thallophyta kei-
nen Stamm haben dürfen, sind dennoch hier das exo-
gene Wachsthum und die concentrischen Ringe der Di-
cotyledonen nachgewiesen, so wie bei den Rhodophy-
ceen das centrale Gefässbündel der Landpflanzen mit
analoger Spiroiden-Verdickung.
Die Entdeckung beweglicher äusserst feiner Faser-
büschel an gewissen Oscillarien, welche später durch
andere Beobachter bestätigt worden ist, bringt noch
mehr Zweifel an der Richtigkeit der Ansicht, dass diese
Organismen in’s Pflanzenreich gehören.
Alle diese Arbeiten erweiterten nicht nur die Mor-
phologie, Organographie, Anatomie und Physiologie,
sondern förderten auch wesentlich das System und
die N omenelatur. Das System der Rhodophyceen, die
ich für die am höchsten organisirte Abtheilung der Al-
gen halte, ist von Grund aus neu aufgebaut nach
neuen Eintheilungsprincipien, basirt auf die Frucht-
organe, welche allein so grosse Unterschiede zeigen,
wie solche nur in einer ganzen Klasse der Phaneroga-
men vorkommen. Meine Tendenz ging dahin, zu zeigen,
dass die Seepflanzen nicht eine Familie von deit Werthe
etwa der Moose oder Pilze, sondern im Systeme mehr
ein eigenes Reich bilden, einen Gegensatz zu den
Landpflanzen. Aus diesem Gesichtspunkte verglich ich
die Ergebnisse der Pflanzen-Geographie mit der ver-
schiedenen Vegetation beider Meere am Isthmus von
Suez (da über Panama keine Beobachtungen vorlagen),
deren ursprüngliche natürliche Verhältnisse jetzt in
Gefahr stehen, zerstört und später nie mehr mit Sicher-
heit erkannt zu werden. Die später von Zanardini bei-
gebrachten zahlreichen neuen Beispiele sind sämmt-
lich nur aus dem rothen Meere und leider ohne An-
gabe spezieller Fundorte; an der benachbarten mit-
3). Gmelin kannte (1768) nur 14 | suchungen gemacht worden.
Eine andere Reihe von Arbeiten schliesst sich an
die monographischen Publicationen der Gräser durch
Trinius. Diese sind von mir vermehrt worden im J.
1839 durch die Gruppe der Bambus-Gräser, welche
67 Arten (darunter 13 neue) zählten und durch 18 Ta-
feln erläutert sind, nach einem neuen Prinzipe einge-
theilt wurden, zu allgemeinen Bemerkungen Veranlas-
sung gaben, so wie zu einen Versuch, aus blossen
Blättern die Art zu bestimmen. Zwei Nachträge han-
deln über den neu entdeckten Bambus der Kurilen, 4
neue Arten aus Brasilien und eine neue bei Gräsern
noch nie beobachtete Fruchtform. Eine zweite Mono-
graphie mit Trinius gemeinschaftlich verfasst, betrifft
die Stipaceae; es sind 203 Arten (worunter 47 neue)
und 72 Unterarten. °) Im Manuscript liegen vollendet
die Rottboelliacae in 15 Gattungen mit 56 Arten, von
welchen 14 neu sind, und ein Theil der Andropogo-
neae, welche mir, so zu sagen, unter den Hünden ver-
altet sind; denn die Arbeiten im Museum, die neuen
Zuwächse an Algen und andere wissenschaftliche Pläne
erlaubten kein ausschliessliches Verweilen bei diesem
Gegenstande mehr.
Die neuesten nordischen Reisen der HH. von Baer
und A. Schrenk liessen damals noch eine Lücke übrig,
— nämlich das Kanin-Land, die Insel Kölgujew und
das kleine Samojedenland (Timansche Tundra), —
welche eine unwiderstehliche Anziehungskraft auf
mich ausübte, in Folge dessen ich beschloss, den Som-
mer 1841 auf meine Kosten zu einer vielseitigen Un-
tersuchung dieser so unbekannten Gegenden zu ver-
wenden. Saweljew, mein Begleiter, übernahm die mag-
netischen und einen Theil der astronomischen Beo-
bachtungen. Die Früchte dieser Reise waren: Aufnah-
men des Innern des Landes, barometrische und ther-
mische Beobachtungen, dergleichen über den gefro-
renen | Boden, we zoologische Gegenstände, Ma-
3) Steudel’s Nomenclator enthält 187 Arten und 7 Var. Stipa-
ceae, die nach der obigen, fast gleichzeitigen Monographie entspre-
chend sind 155 Arten und 37 Var. Steudel hat da her noch gar manche
Synonyme als Arten stehen, selbst wenn wir die Unterarten als Ar-
ten gelten lassen. ner fehlen d Jo (neue) Arten, die noch un-
mont - Beste, der erste Samojedenschädel (lange ein
Unicum), geognostische Sammlungen, Versteinerun-
gen, bituminöses Holz und Bernstein — erwähnt in
verschiedenen Werken und Zeitschriften von Baer,
Brandt, Helmersen, Gr. Keyserling, Murchison, Sa-
weljew und mir; 342 Pflanzen, (worunter 25 neue) ga-
ben das Material zu einer Abhandlung und zu Ver-
gleichen mit der EE von Lappland und Ar-
changel.
Allein ich fand bald, dass viel nähere Gegenden noch
nicht hinreichend erforscht waren, namentlich Peters-
burg. Seit mehr als einem Jahrhundert hatten Botaniker
aller gebildeten Nationen sich mit dieser Localität be-
schäftigt, und doch war mir noch eine Nachlese von
100 Phanerogamen zu dem letzten Werke Weinmann’s
möglich; ein solcher Zuwachs verdiente wohl zu einer
Publication verwendet zu werden ^). Eine solche wieder-
holte intensive Untersuchung war aber nochanderweitig
wichtig, denn 1) zeigte die historische Entwickelung,
dass die neuen Entdeckungen mit der Zeit in einer ge-
steigerten Proportion sich folgten und nicht abnahmen,
wie man immer glaubte. 2) Ist es sehr wichtig, wenig-
stens einige Normalpunkte in Russland für verglei-
chende Pflanzengeographie und Statistik zu gewinnen
-~ und darauf hatte Petersburg das meiste Anrecht. 3)
Ist zu erwarten, dass auf diese Weise die natürlichen.
Veränderungen in grösseren Zeiträumen, unter den Au-
gen so vieler Zeugen sicherer nachgewiesen und ver-
zeichnet werden. 4) Ist durch ein nahe liegendes Bei-
spiel bewiesen, dass auch locale Untersuchungen bei ge-
ringen Mitteln der Wissenschaft nützlich sein kónnen.
Auf welche Weise war aber diese Aufgabe, für welche
so viele Kräfte in Bewegung gesetzt werden konnten,
zu erreichen, wenn kein Werk existirt, welches das
an so vielen Orten zerstreute Material vereinigte, kri-
tisch sichtete, das Studium erleichterte und auf Ex-
cursionen als Rathgeber diente. Wer sollte ein sol-
ches Werk verfassen? Nur nach langer Zögerung gab
ich den Wünschen meiner botanischen Freunde nach,
um so mehr da meine früheren Vorarbeiten, meine Ti
fizielle Stellung an einem grossartigen botanischen In-
stitute und als Professor der Botanik dazu aufforder-
ten. Die Frucht einer vieljáhrigen Arbeit, durch eine
Bereisung des Gouv. Petersburg im J. 1853 vervoll-
.— 4) Als Manuscript bereits im Oktober 1843 eingereicht.
12
stándigt, war der erste Band der Flora Ingrica (1860):
enthaltend die Hälfte der Phanerogamen, deren Ge.
sammtzahl auf 812 Arten in 372 Genera berechnet
wurde. Neue Arten sind hier nur äusserst wenige,
wohl aber neue systematische und biologische Bemer- `
kungen über sogenannte bekannte Pflanzen, auch man-
che Gattungen und Familien, kritische Synonymie der
Arten, Entwickelungsgeschichte des generischen Be- |
griffs, Feststellung der wahren Autorschaft und der
Nomenclatur. Es sind dies dieselben Grundsätze, die
ich 10 Jahre früher in der Algologie vorschlug, die auf
manchen Widerstand stossen, aber mit der Zeit sich
stückweise Bahn brechen werden”). Unsere heutige
Nomenclatur ist in vielen Fállen unrichtig, mit der
historischen Entwickelung im Widerspruche, beruht
auf Willkühr und ist auf die Länge nicht haltbar. Bes-
ser ein Gebäude bei Zeiten bis zu den festen Grund-
lagen einzureissen, als auf baufälligen Stockwerken
weiter zu bauen.
Weitere Beiträge zur Flora des Russischen Reiches
sind: die Gefäss-Cryptogamen oder Farn im Sinne
Linné's mit Einschluss von Lycopodium und Chara,
Nachtráge über Botrychium, Bemerkungen über die
Cryptogamen des Kaukasus, Revision der Umbelli- -
feren aus Kamtschatka, die Pflanzen des nórdlichen
Urals, die ersten Nächrichten über 100 holzartige
Gewächse des Amurlandes nach den Beobachtungen
nnd Notizen der Hrn. Maximowicz und Maak, Bere“
tert durch eine Decade Abbildungen.
Hieran schliessen sich kritische Analysen —
licher Werke, denen D®midoff’sche Prämien zuerkannt
wurden, namentlich die von der Akademie herausge-
gebene Flora Amurensis von Maximowiez, Mercklin’s
Werk über die fossilen Hólzer Russlands, Borszezow's
Aralo-Caspische Pflanzen, Claus’ Localfloren der Wol-
gagegenden, Cienkowski's über niedere Algen, Wie-
demann's und Weber's Flora der Ostseeprovinzen,
Annenkow's Lexicon Russischer Pflanzennamen und
Raczinski über die Bewegungs-Erscheinungen bei =
heren Pflanzen.
Nicht in diese vorausgeschickten Kategorien lassen
5) Näch diesen Prineipien hat Hr. Le Jolis, allerdings im Wider-
spruche mit sich selbst, die ältere Nomenelatur für 4 Genera reha- i
bilitirt. Und diess nennt man «gründliche Widerlegung»? ver `
gleiche auch L. Pfeiffer und J. E. Gray in Seeman's Journ. Bot. 1864.
p.125, so wie Garcke in Bot. Zeitg. 1864 p. 374, deren Ansichten
ich vollkommen beitrete.
sich bringen: die Untersuchung und Bestimmung ei-
nes verkieselten Baumfarn, mitgebracht von Borsz-
czow aus der Steppe südlich vom Ural, die anato-
misch-physiologische Untersuchung der merkwürdi-
gen Edeltanne im Park von Pawlowsk P. und der Ab-
riss einer Geschichte des botanischen Museums der
Akademie von seiner Gründung bis auf die neueste
Zeit.
Im Ganzen sind es etwa 50 Akademische Abhand-
lungen, unter welchen sich mehrere grössere Arbei-
ten und einige selbstständige Werke befinden. Nicht
gerechnet sind eine Menge offizieller Berichte, erwähnt
in den Protokollen und Recueil des actes, so wie nicht
gedruckte Aktenstücke, dann einige wenige Artikel in
Russischen oder in ausländischen periodischen Werken.
Im J. 1860 und 1861 untersuchte ich den Cauca-
sus. Die allgemeinen Ergebnisse dieser Reise sind
durch einen Bericht bekannt, weniger ein M&moire
über Acclimatisation und Vorschläge für den Cauca-
sus, welches bloss in Russischer Sprache erschienen
ist. Als der erste Theil eines speziellen Reiseberichts
können gelten die zu Ende 1863 herausgegebenen ba-
rometrischen Höhenbestimmungen für Pflanzengeogra-
phie, deren Zweck hier genug deutlich wird in einer
praktischen Folgerung auf die mögliche Ausdehnung
des Getreidebaues und anderer Culturpflanzen im Ge-
birge. Der zweite Theil wird die botanisch-geographi-
schen und systematischen Untersuchungen eines sehr
bedeutenden Materials enthalten, zu welchen einzelne
Vorarbeiten nöthig sein werden, in der Art, wie z.B.
über die Gattung Primula und ihre Eintheilung; von
‘8 Arten Primula waren 5 völlig neu.
Fast kein Mitglied der Akademie ist sicher, bei un-
ternommenen grösseren Arbeiten nicht durch zeitwei-
lige Unterbrechungen gestört zu werden, es mögen
diese entweder offizielle Aufträge sein oder zufällige
wichtige Entdeckungen, deren Veröffentlichung nicht
aufgeschoben werden kann. Ein Auftrag des Hrn. Un-
terrichts-Ministers im Sommer 1863 war die Veran-
lassung zur — p «Frage über den Ursprung
und die Bed g jom, welche bis dahin
6)Ich hatte damals keine Kenntniss von einer anonymen Bro-
schüre, zufolge welcher der Aufbau des Chälet (crapoe maze) im J.
1781 erfolgte, während nach meinen Untersuchungen diese Tanne
1785 gepflanzt wurde und seit dem J. 1834 von der Erde vóllig ge-
trennt durch die Arme ihres brem e veis cies und
ernährt wird. ;
13
nicht für eine botanische gehalten und ein wissen-
schaftliches Räthsel geblieben war. Ich muss diese als
in einem grósseren Kreise hinreichend bekannt vor-
aussetzen. Eine zweite Reise in diesem Sommer hat
noch weitere und neue Details geliefert. In Zusam-
menhange damit steht eine vorausgeschickte Bemer-
kung über die Zeitdauer, welche zur Umbildung ge-
wisser Seen in Moos- und Torfsümpfe nothwendig ist.
Prof. Jeleznoff, eingetreten 1853 als Adjunkt für
Pflanzen-Physiologie in Beziehungzur Landwirthschaft,
wurde 1861 ernannt zum Direktor der Petrow'schen
agronomischen Akademie bei Moskau. Auf der alsbald
errichteten meteorologischen Station von Naranowo
(gelegen zwischen beiden Hauptstädten) stellte Herr
Jeleznoff Beobachtungen an über die Temperatur und
Wärmeleitung der Erde bis 5 Fuss Tiefe zum Behufe
der allgemeineren Einführung der Drainage, durch
welche in unserem Klima eine Steigerung des Boden-
ertrages um 25 °% erzielt wurde, eine Erscheinung,
welche nicht der erhöhten Bodenwärme, sondern der
Verminderung der Bodenfeuchtigkeit zuzuschreiben
ist. Eine analoge Arbeit handelt über die Bestimmung
der Schneemenge, die sich auf dem Boden anhäuft
und über die Verdunstung der feuchten Erde, ver-
glichen mit der Verdunstung auf der Oberfläche der
Gewässer. Wie man leicht erkennt, lauter wichtige
Fragen von praktischer Tragweite. Ebenso das Ver-
fahren, die Beimischung des giftigen Mutterkornes zum
Mehle zu verhüten und die Anwesenheit desselben bis
auf 1%, im Mehle zu erkennen. Eine Abhandlung
verbreitet sich über die Anatomie des Zapfens und
Holzes der Pichta.
Die Schriften der Akademie enthalten in der neueren
Periode noch viele und wichtige Na Abhand-
lungen aus dreierlei Quellen:
I. Von Mitgliedern der demi für Gett EH
cher; namentlich: v. Brandt 1836 über die generi-
schen Charaktere von Sabadilla (die also gegen die
spätere Asagraea den Vorzug hat) und über den Ster-
nanis; H. v. Baer: über Getreidebau in verschiedenen
Thelen des Reiches (1838, 1844); jetzige und frü-
here Verbreitung der seipalme am Südufer des
Caspi (1859); unter verschiedenen allgemeinen Ab-
handlungen besonders: eine geistreiche Entwickelung
des Gesetzes, nach welchem das organische Leben
unter den Tropen am meisten über die Erde sich er-
hebt, nach den Polen hin immer tiefer zur Erde her-
absinkt; eine bis jetzt unübertroffene Arbeit über die
Morphologie der Pollenkörner von Fritzsche (1837);
. die belehrende Zusammenstellung Köppen’s über die
Pflanzen-Acclimatisationen in der Krimm (durch Ste-
ven und Hartwiss) und Bessarabien (durch Dönginsk).
Als wichtiges Hülfswerk muss ich noch hierher rech-
nen die grosse Arbeit über das Klima Russlands von
Vesselofski und endlich die neueste Abhandlung
von Middendorff über die Gewächse Sibiriens, in
welcher viele biologische Fragen besprochen oder neu
angeregt werden.
II. Von correspondirenden Mitgliedern der Aka-
demie. Weinmann's Werk über die hóheren Pilze
Russlands (1835), eine Ausführung des von Trinius
vorgeschlagenen Planes, eine Flora Russlands durch
Theilung der Arbeit zu Stande zu bringen. Zu diesem
Zwecke lieferte Fischer die Zygophyllaceae (1831);
bemerkenswerth ist dessen Abhandlung über die bei
uns angepflanzten Pappeln (1841). Ledebour lieferte
1837 die Beschreibung 12 neuer von Nordmann im
Caucasus entdeckter Pflanzen; Besser 1841 und 42
den Anfang einer Monographie der Artemisien und
weitere Materialien dazu; Claus 1851 Localfloren
der Wolgagegenden (Kasan, Sergieffsk, Sarepta); Tur-
czaninow 1842 Neuholländische Myrtaceen; Prof.
Schleiden über den anatomischen Bau der Cacteae
(1839); Dr. Weisse über Bacillarien von Hapsal, Sta-
raja Russa, aus Grundproben des Ladoga und aus dem
Polirschiefer von Simbirsk.
Die meisten Mittheilungen erhielt die Akademie von
zwei Mitgliedern: Prof. v. Bunge lieferte 1835 eine
Flora des nördlichen China (der Gobi und Pekin’s)
und das erste Supplement der Flora Altaica, die
Frucht einer Sommerreise im östlichen Altai; den Ent-
wurf einer Monographie der Gattung Pedicularis; 1851
die botanische Ausbeute Lehmann's aus Buchara, Sa-
markand und der Aralo-Caspischen Wüste, eine Menge
neuer Pflanzen enthaltend; 1862 die Revision der
Anabaseae, eine wahrhaft classische Arbeit; 1863 mo-
nographische Skizzen über Echinops. Hr. Professor v.
Trautvetter gab an grösseren Abhandlungen 1837
14
eine Monographie der Weiden und 1839 der Gattung
Pentastemon; 1846 die umfassende Bearbeitung der
Middendorff'schen Pflanzen vom Taimyr (124, darunter
5 neue) und der Boganida; und gemeinschaftlich mit
Meyer die Flora Ochotensis (25 neue Arten unter
371); ferner die noch jetzt unentbehrliche Literatur-
geschichte der Botanik in Russland bis zum J. 1836;
die früheren ähnlichen Versuche Bongard’s und Hoff-
mann’s waren Akademische Reden, aber keine voll-
ständigen bibliographischen Repertorien.
Wenn die Akademie also volle Ursache hat, mit
den Beiträgen inländischer Correspondenten zufrieden
zu sein, so gilt das Gegentheil für die ausländischen.
Die einzige lobenswerthe Ausnahme macht Professor
Göppert, welcher seine Resultate im Felde der fos-
silen Flora der Akademie mehrmals zuerst mittheilte;
namentlich im J. 1837 die neuesten Beobachtungen
über die Struktur- fossiler Pflanzen, 1839 über die
antediluvianische Flora; 1861 über die Kohle des
Gouy. Tula und Tertiärflora der Polargegenden. Göp-
pert bearbeitete auch die fossilen Hölzer für das Rei-
sewerk Middendorff’s. Bei uns beschäftigte sich bloss
Prof. Mercklin mit diesem Gegenstande; die Aka-
demie erhielt von ihm 1852 eine Übersicht aller bis
dahin beschriebenen Pflanzenreste Russlands und eine
Abhandlung über fossiles Holz und Bernstein von Gi-
shiginsk und (1864) über die Regeneration der Bir-
kenrinde. ` |
III. Unter den übrigen Botanikern, welche durch
ihre Arbeiten mit der Akademie in Verbindung ste-
hen, haben wir vor allem Dr. Elias Borszczow nam-
haft zu machen, welcher mit Unterstützung der Aka-
demie die Aralo- Caspischen Gegenden besuchte und
dessen gewonnene Resultate wiederholt Anerkennung
fanden. Ausser dem allgemeinen Reiseberichte sind à
bemerkenswerthe Abhandlungen über die pharmaceu-
tisch wichtigen Ferulaceen, die Monographie der Cal-
ligoneae, so wie die spezielle geographisch-botanische
Skizze dieses Gebietes, die Frucht dieser Reise ge-
wesen. Es steht zu erwarten, dass für eine solche sel-
tene Neigung zu Untersuchungen wenig bekannter Ge: — 1
genden, eine angemessene Gelegenheit sich bald er-
öffne. Von ihm besitzen wir die Beschreibung und
Abbildung einiger seltenen Fungi und die Bearbei-
tung dieser Gruppe für das Middendorffsche Reise- —
werk, für welches die Moose von Gregor BorszezoW ` `
bestimmt worden sind, welcher auch ein sehr voll-
ständiges und sorgfältig ausgearbeitetes Verzeichniss
der (192) Moose Petersburgs 1855 lieferte.
Von Dr. Regel haben wir zwei Abhandlungen her-
vorzuheben: 1. eine Flora des Ussurigebietes nach
den neuen Materialien Maack’s, 16 neue unter 618
Phanerogamen und Farn; 2. über die Parthenogenese
bei Pflanzen nach dem Zustande der Frage im Jahre
1859, welche durch gewichtige Forscher wie Radl-
kofer und A. Braun an Bedeutung so gewonnen hatte,
dass ich selbst eine frühere Beobachtung Meyer’s an
Sorocea, die nicht leicht zu erklären war, mitzutheilen
mich veranlasst sah, ohne jedoch mich für die Parthe-
nogenese auszusprechen. Da ein später an der Hanf-
pflanze angestelltes Experiment Regel’s dieser Theorie
nicht günstig war, legte ich auch meine durch meh-
rere Gründe unterstützten Zweifel an der Richtigkeit
dieser Theorie vor, welche für die Zoologie noch jetzt
aufrecht erhalten wird und für die Botanik schon als
bewiesen ausgegeben war. Widerlegt ist sie erst.wor-
den 1861 durch Karsten’s Beobachtung an Coelobo-
gyne.
Dr.V eesenmeyer lieferte(1852)Beitráge zur Flora
des Gouv. Simbirsk und Samara. Dr. Ave Lallemant
über Tulbaghia (1844); der verstorbene Prof. Bode
1850 über die Verbreitung der Holzgewächse im Eu-
ropäischen Russland: Basiener 1845 eine Monogra-
phie der Hedysara, und einige botanische Beobach-
tungen über Chiva (1843).
Kein im Auslande lebender Gelehrter hat für die
Schriften der Akademie auch nur die kleinste bota-
nische Abhandlung eingeliefert, während dies doch
in der älteren Periode der Akademie der Fall war.
Die Pensionen auswärtiger Ehrenmitglieder und in-
ländischer ‚Correspondenten hörten mit dem J. 1830
auf und diese Wahlen sanken damit auf eine blosse
formelle Ehrenbezeugung herab, für welche sich selten
Jemand ernstlich bemühte.
Eine Vergleichung der neueren Periode mit der äl-
15
teren fällt selbst nach der hier gegebenen fragmenta-
rischen Darstellung, zum Vortheile der ersteren aus.
In den letzten 40 Jahren ist mehr gearbeitet und sind
‚wichtigere Resultate erlangt worden, als in einer glei-
chen Zeit der glanzvollsten Epoche der früheren 100
Jahre. Die Entdeckungen in der einheimischen Pflan-
zenwelt waren früher vielleicht wichtiger, aber auch
leichter, als jetzt. Indessen beweisen doch einige ab-
sichtlich hier und da beigefügten Zahlen, dass die
Pflanzen des Russischen Reiches noch lange nicht hin-
‚reichend bekannt sind; dass diese natürliche Grund-
lage nicht befriedigend ist, so lange es noch Gegenden
giebt, in welchen jede 10te oder gar 6te Blüthenpflanze
‚neu für das System oder für das Gebiet ist. Für die
| Cryptogamen, namentlich für Kenntniss der Meeres-
pflanzen ist in 12 Jahren unvergleichlich mehr gelei-
stet, als in allen übrigen Jahren zusammengenommen.
Die Pflanzen-Geographie ist auf eine Hóhe der Er-
kenntniss gebracht, die bereits in andere verwandte
Wissenschaften eingreift und einen immer deutlicheren
Blick in den so verborgenen Schauplatz der Schüpfung
gestattet. Mögen auch wissenschaftliche Arbeiten in frü-
heren Zeiten schwieriger gewesen sein, als jetzt, so sind
dafür die gegenwärtigen Anforderungen an solche Ar-
beiten gesteigert. Die Akademie hat an der Kenntniss
der Pflanzen des Reiches ein unstreitbar grosses und
überwiegendes Verdienst. Es würe daher sehr zu be-
klagen, wenn nicht ferner solche Mittel mehr zu Ge-
bote stehen sollten, diese und andere Aufgaben auf
eine diesem Tempel der Wissenschaft würdige Weise
bei jeder sich darbietenden Gelegenheit, mit vollen
Kräften zu lösen. Ich weiss nicht, was die Geschichte
der Akademie in anderen Branchen lehrt, aber auf
dem von mir untersuchten Gebiete lehrt sie, dass alle
Leistungen und mühsam erworbenen Resultate das
Produkt zweier ungleicher Faktoren sind: äusserer
Bedingungen und der Individualität. Aus diesem Ge-
sichtspunkt ist auch die Fassung dieses Aufsatzes her-
vorgegangen.
T. VENE, N° 4.
SS ok
BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
iL ert? SA TRD Ze
& fec
y GESE LL SCHAF T "
JENA
TOME VIII.
(Feuilles 16 — 23.)
CONTENU:
e
J. F. Brandt, Rapport sur les acquisitions dont s'est enrichi le Musée zoologique de
l'Académie durant l'année 1864............-. eere rrt hh 24] — 245
B. Dorn, Sur la collection de manuscrits orientaux, achetée par la Bibliothèque Impé-
riale publique à M. Khanykof......................................... 45 — 309
A. Werigo, Action de l'amalgame du — sur les bissl mononitrés de la
— "v Ec HE qu MM cr PETI i CT CO EE 310 — 316
Fr, de Smitt, Campagne de Darius contre les Scythes en 513..................... 316 — 339
Fr. Schmidt, Recherches sur les phénoménes produits par la période de glaces en
Esthonie et à l'ile d'Oesel. (Avec une Planche.)............................ 339 — 368
dert eruere rr rrr mtt ÉER in ER 368
On s'abonne: chez MM. Eggers & Cie, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de
l'Académie (Koxurerz IIpanzenis Huneparoperoñ Axaxexin Hayxs) et chez M. Léopold Voss,
libraire à Leipzig.
Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la —
3 thalers de Prusse pour l'étranger.
BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSROURG.
Bericht über die Acquisitionen der zoologischen
und zootomischen Sammlungen der Kaiserl.
Akademie der Wissenschaften während des
1864sten Jahres und die darin ausgeführten
wissenschaftlichen Arbeiten von J. F. Brandt.
(Lu le 1 décembre 1864.)
Im verflossenen Jahre wurde der grósste Theil der
für die Museen bestimmten Summen zur besseren An-
ordnung, Aufstellung und Bestimmung der Gegen-
stände mehrerer Thierklassen , namentlich der Am-
phibien und theilweise auch der Fische verwendet, so
dass etwa nur '/, (837 Rubel 71 Kop.) der assignirten
Summe zum Ankauf von wünschenswerthen Gegen-
ständen verfügbar war, wofür nur 257 in den Samm-
lungen ganz fehlende Objecte, im Ganzen 1654 Exem-
plare, erworben werden konnten, die grösstentheils
der Klasse der Insekten angehóren. Die übrigen Thier-
klassen erhielten an Arten theils nur einen geringen
Zuwachs, theils gar keinen. Unter den gemachten Ac-
quisitionen finden sich allerdings manche Seltenheiten,
wie zwei Backenzähne des Elasmotherium und meh-
rere Knochen von enormen Exemplaren der Steller’-
schen Seekuh.
Inzwischen wurde auch die Sammlung durch meh-
rere, zum Theil sehr werthvolle, Geschenke von Sr.
Maj. dem Kaiser, Sr. Kaiserl. Hoheit dem Grossfür-
sten Nikolai Nikolajewitsch, der Frau Fürstin
Suworow, dem Herrn Direktor v. Trautvetter, dem
Herrn Obristen Radoschkowski, dem Herrn Doctor
Albrecht, dem Herrn Basilewski, dem Herrn Gar-
tendirektor Dóngingk, dem Herrn Hofschauspieler
Varlé und Herrn Conservator Vosnessenski be-
reichert. Die genannten Bereicherungen vervollstän-
digten indessen meist nur die bereits vorhandenen
Suiten,
Herr Akademiker Fritzsche schenkte dem zoolo-
gischen Museum eine schóne Sammlung von Seeane-
monen, Quallen und Schnecken, die sehr naturgeináss
Yon einem Dresdener Künstler (Herrn Leopold
Blaschka) aus Glas angefertigt wurden. Sie geben
Tome VIII.
dem Beschauer eine bessere Vorstellung von der Ge-
stalt der Thiere, als die in Weingeist aufbewahrten
Exemplare.
Zu wissenschaftlichen Arbeiten wurden, wie früher,
die Materialien der Sammlungen sehr fleissig benutzt;
ja die Zahl der in diesem Jahre mit Hülfe derselben
zu Stande gekommenen Arbeiten ist doppelt so gross,
als im vorhergehenden.
Der Akademiker Brandt vollendete eine umfassende
Arbeit über die ausgestorbene, zur Familie der Nas-
hörner gehörige, Gattung Elasmotherium, welche be-
reits in den Memoiren der Akademie erschien, wüh-
rend eine Inhaltsanzeige derselben in Form eines Be-
richtes im Dulletin veróffentlicht wurde, dem sich auch
ein Aufsatz über die bisherigen Funde der Reste des
fraglichen Thieres anschloss.
Derselbe Akademiker stellte sehr ausführliche Un-
tersuchungen über die in unserer Sammlung so reich
vertretenen Stórarten des Russischen Reiches an, die
eine in lateinischer Sprache abgefasste, Hrn. v. Baer
gewidmete, Monographie bilden, wovon die sehr um-
fassende, nicht bloss den äusseren Bau, sondern auch
die Anatomie, geographische Verbreitung, Biologie,
Geschichte. und Paläontologie der Gattung der Störe
m Allg hti d Einleitung theilweise
schon gedruckt ist.
tan
un
Dia rononrn hi h ITnt } ver
Ei
anlassten ihn, drei kleinere Aufsätze zu verfassen, die
unter dem gemeinsamen Titel: «Beiträge zur Naturge-
schichte der Fische» in den Memoiren der Akademie
erscheinen sollen. Der eine dieser Aufsätze behandelt
die Frage: Was ist ein Fisch? Ein zweiter enthält
Bemerkungen über die Entwickelungsstufen und die
Classification der lebenden und ausgestorbenen Fische
aus der Abtheilung der Ganoiden mit besonderer Be-
ziehung auf den Typus der störartigen (Antacaei). Der
dritte erörtert die Gruppe der Placodermen.
Ausser den genannten zoologischen und paläonto-
logischen Arbeiten publicirte Brandt im YII. Bande
der neuesten Serie des Bulletins eine — Geschichte
243 Bulletin de l’Académie Impériale 244
der zoologischen undvergleichend-anatomischenS fasst. — Ausserdem bestimmte er die Crocodiliden,
lungen der Akademie und ihrer wissenschaftlichen
Leistungen, eben so wie auch einen Bericht: «Ueber
die neuen Acquisitionen der genannten Museen wäh-
rend des 1863sten Jahres und die darin ausgeführten
wissenschaftlichen Arbeiten». |
Herr Akademiker v. Schrenck beschäftigte sich
mit der Fortsetzung des umfassenden, zoologischen
Theiles seines Reisewerkes. Er schritt namentlich
nach Abschluss der Molluskenfauna des nordjapani-
schen Meeres zur Bearbeitung der Land- und Süss-
wasser-Mollusken des Amursystems. Es ist dies eine
Branche, in welcher unser Museum äusserst reichhal-
tige Materialien besitzt, ja wohl einzig da steht, weil
ihm die Sammlungen aller Reisenden des Amurlandes
zugeströmt sind.
Herr Conservator Morawitz stellte eingehende Un-
tersuchungen über die um St. Petersburg vorkom-
menden Grab- und Goldwespen an, wovon ein Theil
bereits im Auszuge im Bulletin (Bd. VII, pag. 451)
veröffentlicht wurde. Ein zweiter Aufsatz desselben
«Über eine neue oder vielmehr verkannte Form von
Männchen unter den Mutillen, nebst einer Übersicht
der in Europa vorkommenden Arten derselben» befin-
det sich bereits unter der Presse. Als dritte Arbeit
ist eine von ihm unternommene kritische Revision der
südrussischen Grabwespen zu erwähnen, die um so
wünschenswerther ist, da die Eversmann'schen
Bestimmungen derselben grösstentheils ungenau sind.
Ueberdies revidirte derselbe einzelne Theile der
Coleopteren -Sammlung der Akademie, setzte gleich-
zeitig die Dearbeitung der aus Südostsibirien in die-
selbe gelangten entomologischen Materialien fort und
beendete die Catalogisirung der entomologischen Ab-
theilung der Bibliothek.
Die Materialien des Museums wurden indessen, wie
früher, auch von Personen in Gebrauch gezogen, die
bei der Akademie nicht angestellt sind,
Herr Doctor Strauch, der schon seit mehreren
Jahren unentgeltlich mit der Bestimmung und Anord-
nung der Reptilien - Sammlung und der Beaufsichti-
gung des Bücherschatzes der zoologischen Sammlun-
gen der Akademie sich bescháftigt, hat eine eben so
umfassende als interessante, für die Memoiren der
Akademie bestimmte Abhandlung: «Ueber die geogra-
phische Verbreitung der lebenden Schildkröten» ver-
*
Chamäleoniden, Geckoniden, Varaniden und Iguani-
den des akademischen Museums und stellte den bereits
meist bestimmten Theil der Fischsammlung besser auf.
Der Student der Medizin Alexander Brandt ver-
fasste einen Führer durch die Säle des Museums (Ty-
TeBOAHTEIB NO 300.10TUJeCKoMy Myaer lIwneparopckoii
Axazenin Har) und versah die bemerkenswertheren
Gegenstände desselben mit Nummern und Etiquetten,
Auch veröffentlichte derselbe in der russischen «$t.
Petersburger Zeitung» einen kleinen Artikel über den
Besuch der zoologischen Sammlungen der Akademie
während der Jahre 1855 bis 1864, ebenso wie im
Journal «Harypauucr»» eine kleine Notiz über das ver-
meintliche Vorkommen der Flussschildkröte (Emys
europaea) bei St. Petersburg.
Die Zahl der mit Hülfe der Materialien des zoolo-
gischen Museums zu Stande gebrachten oder auf das-
selbe bezüglichen, von nur fünf Personen herrühren-
den Arbeiten beträgt also fünfzehn, wovon elf auf die
drei bei der Akademie angestellten Betten kommen,
Die Bibliothek des Museums wurde nicht bloss von
den bei der Akademi tellten Personen fortwährend
benutzt, sondern auch von Fremden, so namentlich
von deg Herren Gruber, Kessler, Weisse, Fa-
minzin, Paulsen, Kanik; Horaninow, Lawrow,
Mayer, Solski, Ballion, Fixsen, Iven, Koep-
pen, Radoschkowski, Sievers, Eduard Brandt
u. s. w. Ja es wurden sogar einzelne Werke Herrn
Professor v. Nordmann in Helsingfors, so wie den
Herren Professoren Flor und Reissner in Dorpat
übersandt.
- Die unter Leitung des Conservators V deem
im Laboratorium ausgeführten Arbeiten bezogen sich
theils auf die Präparation einiger grösseren Säuge-
thiere, theils ganz besonders auf die von Fischen und
Reptilien, namentlich auch auf die Umarbeitung der
Crocodile aus der alten Sammlung, worunter sich ein
Exemplar von sehr namhafter Grösse befindet.
Die zoologische Bibliothek erhielt einen Zuwachs
von 101 Bänden und 126 Brochüren.
Männer der Wissenschaft, Studirende und Fremde
fanden, wie in den früheren Jahren, täglich Zutritt
sowohl. zum Museum, als auch zur Bibliothek. Die
Zahl des die Sainmlungen besuchenden Pau
nahm bedeutend zu.
245
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
246
Als bedeutender Fortschritt ist schliesslich noch an
die Publikation des oben erwähnten Wegweisers zu
erinnern, der dem Publikum den Besuch der Samm-
lungen zu einem wahrhaft lehrreichen macht und
gleichzeitig die Studirenden in den Stand setzt, die
wichtigsten Gegenstände leicht aufzufinden.
Wenn daher auch die Zahl der für das Museum
acquirirten neuen Arten keine bedeutende war, so darf
wenigstens auf die grosse Zahl der wissenschaftlichen
und sonstigen aus ihm hervorgegangenen Leistungen
hingewiesen werden.
Den 1. December 1864.
Die vordem Chanykov’sche, jetzt der Kaiserl.
öffentlichen Bibliothek zugehörige Sammlung
von morgenländischen Handschriften, von B.
Dorn. (Lu le 22 décembre 1864.)
Hr. v. Chanykov hatte während seines vieljähri-
gen Aufenthaltes und seiner ausgedehnten Reisen in
Asien Gelegenheit gehabt, eine Sammlung von arabi-
schen, persischen und türkischen Handschriften zu
seinem Privatgebrauch anzulegen. Die andern von
ihm erworbenen Handschriften überliess er gewöhn-
lich der Bibliothek des asiatischen Museums der Aka-
demie, wie man das sowohl aus den von ihm selbst,
als von mir in diesen Blättern abgedruckten Mitthei-
lungen ersehen kann. Jene Sammlung ist vor Kurzem
auf Verfügung des Hrn. Directors der Kaiserl. öffent-
lichen. Bibliothek für letztere Anstalt angekauft und
so für immer für Russland erhalten worden). Wir
können uns darüber nur freuen. Die Sammlung ent-
hält nicht nur im Allgemeinen viele sonst seltene und
wichtige Werke, sondern auch solche, welche ganz
besonders für Russland von Interesse sein müssen, wie
z. B. die Schriften über Mittelasien, Buchara u. s W.,
und die Kaukasuslünder. Sind gleich namentlich letz-
tere aus neuerer Zeit, so enthalten sie doch viele recht
brauchbare Belehrungen, welche sonst nur allenfalls
mit grosser Mühe und bedeutendem Zeitaufwand ant.
gefunden werden kónnten. Sie bilden den Anfang ei-
ner Bibliotheca Muhammedana Caucasia. Auch ist die
Sammlung, nachdem sie aus ihrer fernen Heimath
hierher an die Ufer der Newa gewandert war — sie
WEE
= 2 St. Petersb. Zeit. 1864 N° 259 und C. IL. Bbxow. IIpuóana.
hatte eine freundliche Aufnahme in den Räumen des
asiatischen Museums gefunden — schon fleissig von
hiesigen Orientalisten benutzt worden. Eine der Hand-
schriften war sogar nach Paris an einen namhaften
Gelehrten geschickt worden. Für die Bibliothek, de-
ren Eigenthum sie jetzt ist, ist sie aber um so werth-
voller, als sie deren morgenlündische Handschriften-
sammlung bedeutend ergünzt und vervollstündigt und
also als eine wahre Bereicherung gelten muss. Durch
die Mittheilung eines Verzeichnisses der einzelnen
Bestandtheile glaube ich den Freunden der asiatischen
Wissenschaft um so mehr einen nicht unwillkommenen
Dienst zu erweisen, als auch die Kaiserl. óffentliche
Bibliothek solche Schätze gern hiesigen und auslän-
dischen Gelehrten mittheilt. Bei den vortrefflichen
Hülfsmitteln, die wir jetzt besitzen, z. B. Hadschi
Chalfa u. A., können solche Verzeichnisse fürs Erste
genügen. So sind seit dem Bestehen des asiatischen
Museums der Akademie von Fraehn, mir, Hrn. Wel-
jaminov-Sernov u. A. immer mehr oder min-
der ausführliche Verzeichnisse der erworbenen mu-
hammedanischen Handschriften — von welchen allein
ich hier spreche — mitgetheilt worden. Man weiss
also, was sich an solchen vorfindet, und beruft sich
gewöhnlich namentlich vom Auslande her, auf jene
Verzeichnisse. Bis zum Jahr 1845 sind diese Nach-
richten in meiner Schrift «Das Asiatische Museum»,
von 1845 an in dem Bulletin der Akademie zu finden.
Die Verfertigung und Herausgabe aber von sogenannten
Catalogues raisonnés von grossen Sammlungen werden,
wie das Sachkenner recht gut wissen, fast nur von
Generationen besorgt und erfordern das Zusammen-
wirken mehrerer Kräfte (vergl. Leyden, Oxford, das
britische Museum, Paris, Gotha u. a.) oder können
dem einzelnen Unternehmer, wenn er nicht im Stande
ist, sich bloss und allein einer solchen Arbeit zu wid-
men, nur allenfalls nach langen Jahren gelingen. Und
wenn ich in diesem Augenblick die Verfasser einiger
Abhandlungen nicht zu bestimmen vermocht habe, so
wird auch dieses der Sachkenner gern entschuldigen.
Entweder erst nach günzlicher Durchlesung der Schrift
oder sonst nach Jahren — wenn überhaupt — findet
man bisweilen den Verfasser irgendwo angedeutet oder
angegeben. So z. B. musste der Verfasser der Abhand-
lung N'CXXXII des von mir her benen Catal
des manuscrits et xylographes de
la Bibl. Tmpér. publ.,
16*
247
Bulletin de l’Académie Impériale
218
St.- Pétersb. 1852 zu seiner Zeit ungenannt bleiben. Es
ist Naily ul l, und die Abhandlung ist in Constanti-
nopel gedruckt; s. meine «Beschreibung von drei astro-
nomischen Instrumenten der Kaiserl. óffentl. Biblio-
thek», Anmerk. I, 4), S. 65. Ich habe zu diesem Behufe
mit wenigen Ausnahmen den Anfang der betreffenden
Schriften mitgetheilt, weil dieser Umstand auch Andere
in den Stand setzt, für die Auffindung der Verfasser mit-
zuwirken, oder die Identität gegebener Handschriften
festzustellen. Sehr viele Handschriften, namentlich die
auf Theologie, Philosophie und Mathematik bezügli-
chen, sind mit Rand- und Interlinearbemerkungen be-
deckt oder enthalten solche auf einzelnen eingekleb-
ten Blättchen JL. Ein von einem Perser verfer-
tigter Katalog, ar.) LAS Css, von einem Theil
der Sammlung — wenigstens findet sich jetzt nicht mehr
vor — ist weit davon entfernt, die genügende Aus-
kunft zu geben; sein Verfasser war nichts weniger
als ein Hadschi Chalfa. Nach diesem Katalog schei-
nen die hinten aufgeklebten Titel oder Etiquetten ge-
macht zu sein. Die arabischen Handschriften sind
durch ein vorgesetztes A., die türkischen durch T.,
die Dschaghataischen durch Dsch. bezeichnet; wo
die Sprache nicht ausdrücklich angegeben ist, ist es
die persische.
—
1. Theologie und Rechtskunde.
1) A. Der Koran der Baby.
Die vorliegende, aus irgend einem Grunde nicht
zu Ende geführte Handschrift besteht aus arabischen
Texten, fast durchgängig ohne diakritische Zeichen,
so dass es oft schwer ist, die einzelnen Wörter zu
entziffern. Sie enthält XIX Kapitel, «ob Bab. Sie soll
den sogenannten Koran der Baby (Babisten, Babiden)
enthalten. Wührend meines Aufenthaltes in Masande-
ran und namentlich in Barfurusch i. J. 1860, wo die
Baby i. J. 1849 aufgetreten waren, unterliess ich nicht
nähere Erkundigungen über sie und ihren Koran ein-
zuziehen. Sie hatten sich etwa drei Meilen (3 Far-
sach) von Barfurusch am Schreine des Schaich Ta-
bersy pezh & ali] festgesetzt und waren da nach
mehrmonatlichem Kampf überwältigt und zur Unter-
werfung gezwungen worden. Namentlich wurde die
Mehrzahl der Gefangenen in Barfurusch selbst auf
verschiedene Weise getödtet. Die mir mitgetheilten
Nachrichten waren nicht so befriedigend als man es
von den Augenzeugen, welche ich befragte, hätte
erwarten sollen. Von einem Koran der Baby wollte
man überhaupt nichts wissen, ja stellte das Da-
sein eines solchen geradezu in Abrede, ob es gleich
noch viele versteckte Baby an Ort und Stelle ge-
ben sollte. Indessen scheint jene Behauptung doch
nicht so ohne Weiteres begründet zu sein, oder sich
nur auf die Baby in Barfurusch zu beziehen, denn
sonst glaubwürdige Aussagen bestätigen nicht nur das
Dasein eines solchen Buches, dasselbe findet sich so-
gar unter jener Angabe niedergeschrieben, wie un-
sere Handschrift beweist., Man stellte mir auch eine
Geschichte der Baby in Barfurusch in masanderani-
scher und persischer Sprache zusammen ?), (s. An-
hang, I). Dieser Geschichte hat man alles Verdienst
ausser dem der Abfassung in masanderanischer Sprache
absprechen wollen. Sie stimmt allerdings nicht immer
mit gewissen anderen Nachrichten. Aber wer da Weiss,
wie einseitig solche Nachrichten oder Berichte nicht
selten verfasst werden, der wird doch kaum im Stande
sein, das alles zu verwerfen, was Augenzeugen erzäh-
len, welche zum Theil selbst bei der Vertilgung der
Daby mitgewirkt haben. Von der obigen Handschrift
sind von einem persischen Mirsa mehrere Bogen ins
Reine geschrieben und mit diakritischen Punkten und
Vocalzeichen versehen worden. Ich theile im Anhang,
IT. den Anfang mit und kann bloss hinzufügen, dass
über die Echtheit der Handschrift in so fern kein Zwei-
fel obwalten kann, als sie unmittelbar von dem Secretär
des Bab selbst, welcher diesen Koran nach dem Vor-
sagen seines Herrn und Meisters. niedergeschrieben
haben wollte, herstammt. Er hatte sie aus seinem `
Gefängniss zu Tebris in europäische Hände gelangen
lassen. Die Verantwortlichkeit für den Inhalt also ruht
auf dem genannten Secretär.
2) A. La) äis’, das Geschenk des Benóthig-
ten (nach der Aufschrift auf dem ersten Blatt),
von Schaich Ahmed ibn Hadschr el-Mekky
el- Haithemy. Unsere Handschrift enthält nur
das vierte oder letzte Viertel des ganzen Werkes,
welches am 29, Sulkada 958 — 23. Dec. 1551
2) Vergl. meinen
Reisebericht, Bullet. T. IV . 858. Mél.
asiat. T. IV, pag. 442. d ; Pag Fe
249
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
250
beendigt ward. S. Hadchi Ch. T. II, S. 258, N°
2656°). Abgeschr. 1237 — 1821, 2.
Ant. 35b. 21 WI CH à, S Uu E
Se. 2 . e
3) a) pe Les JL... ein Gedicht religiösen Inhalts
über das Gebet ‚li, das Waschen Jat u. s. w.,
verfasst i. J. 699 — 1299, 1300; vergl. N°4) c),
wo das Jahr 693 = 1294 angegeben ist.
Anf. Jo) Dsl ie an A * las pe p LC
rg.
b) pl oll [ses ou J? allé, eine Ab-
handlung über die Kenntniss des Glau-
bens und des Islam; s. N° 4) d).
"Le
€) «y, das Buch des Rathes, von Schaich
Attar, nur mit anderem Anfang als dem ge-
wöhnlichen; s. N° 4) f).
Anf. Cul A3 Cul alls « J£ li A,
3 nt P TE
4) a) A. Ein Auszug ‚a2 aus der zl, JJ “ls, des
Mahmud b. Ssadr el-Scherijat às All je,
von Ubaidullah b. Masud. Das erste Blatt
fehlt. i
b) A. Eine theologisch-juristische Abhandlung.
Anf. de al ll asb, dll oy di dl
dl qe d e Ye el.
c) Ein Gedicht religiösen Inhalts, verfasst i. J.
3) Da ist auf den Artikel | c spl - BOR verwiesen, wo ich aber
den Titel 2] pu | äis eben so wenig finde als den Ibn
Hadschr el-Mekky el-Haithemy ull. Dieser starb 973 —
1565, 6 und kónnte den obigen Commentar zu dem hs des el-
Nawawy verfasst haben, da der uns vorlie il di
gende Theil des Werkes
nach der Schlussangabe i.J. 958 — 1551 beendigt ward. Aber war-
um hat Hadschi Chalfa davon so gar nichts erwühnt, ob er gleich
mehrere Schriften des Ibn Hadschr anführt? Nur ein vollstàndi-
ges Exemplar des vorliegenden Werkes oder wenigstens des ersten
Theiles kann den gewünschten Aufschluss gewühren. Der Verfas-
ser des persischen Kataloges nimmt die Aufschrift als sicher an:
als Lu e [o wre dë af ap | as vil?
et aal ade dl ai 3 Cul glid) Sch
Kee ae dj ác di v
693 — 1294. Es ist nur mit verschiedenem
Anfang das unter N* 3) a) angeführte Gedicht.
Die Verschiedenheit der Jahre kommt wohl von
den Abschreibern; a» und a; sind leicht zu ver-
wechseln.
Anf. AA gu yle Ai a zm UM » dp
d) Dieselbe Abhandlung über die Kenntniss des
Glaubens und des Islam, wie die unter N° 3) b)
angeführte.
Anf. à lol & di am) olo:
e) „als. Eine Abhandlung über verschiedene
Gegenstände des Glaubens und der Rechts-
kunde.
Anf. lue je iis j ll Ab cll ade sell JU
f) alu», das Buch des Rathes, von Schaich
Attar; s. N° 3) c).
Anf, aie Jai (ule af] a Lë, lu ul ase sa
La: Abgeschr. 1259 = 1843. |
5) A. ax. eu die Leuchten der Sunna. Nach
dem persischen Katalog und der Etiquette ist
das Buch irrig als J.A e» PU ev von
Ghassaly Je bezeichnet. Es ist das in Ha-
dschi Ch. T. V, N° 12128 angeführte Werk über
Überlieferungen von Abu Muhammed el- Hu-
sain b. Masud el-Fera (in der Handschrift
am Rande: ? J All) el-Baghewy (sl. Vergl.
Fleischer, Codd. Bibl. Senat. Lips. S. 452.
Ant. dl säll JS gI ale Jo p di sed
6) a) paid] Le, der Spiegel der Tiefforschen-
den. Vergl. Hadschi Ch. T. V, N° 11743.
Anf. L pof M, JAI A Que, 0m url
b) dll D, dise A dl ge, die Wahr-
heit der sichern Wissenschaft über die
Erkenntniss des Herrn der Welten. Am
Ende wird als Verfasser angegeben Mahmud
ibn Abdul-Kerim ibn Jahja el-Schebi-
stery (c jun. SE
S. Hadschi. Ch. T. III, N' 4565.
Abgeschr. 13. Ssafar 1261 — 2]. Febr. 1845.
Anf. | Alte > joie ul, lm » 515 Ion sl
251
Bulletin de l’Académie Impériale
252
7) Abel ll ii, das Geschenk der Ermahnen-
den, von Abu Bekr ibn Omar gen. Raschid
Watwat blb, ui, Abgeschr. 1244 — 1828, 9.
Anf. el Salt, JM D) dl All,
8) 3L 3I, 535,3] Er, Buch der Anleitung.
50 nach dem Katalog und der Etiquette. Ein sun-
nitisches Buch, bald persisch, bald arabisch, Über-
lieferungen nach der Lehrweise der Ssufy, Er-
wähnung ihrer Schaiche u. s. w. (Anfang und Ende
def.)
9) Lb azl, aal size], das Glaubensbuch des
Chodscha Parsa.
Ani. en abl oue LU à Bee) ch) Al All
d o ol LS ud ei,
10) Dech. (JJ Al Jely; die Regeln über das Le-
sen des Korans, von Abdullah b. Mahmud
Sultan el-Schaibany. |
Anf. Lang oy) e e JI Sb, ule yo ua
- J obs 02
11) A. Nach dem Katalog und der Etiquette: US
| c9 «Buch ohne Titel», d. i. ein den Vorträ-
gen des Abu Hamid Muhammed b. Muh. el-
Ghassaly el- Tusy nachgeschriebenes und zu-
gleich sein letztes Buch über Religion, dessen
Anfang war: H ch EU u JI.
- e
Anf. 55,1 Ae) ell LI phi) e bde Ll
Jil es i df Lil m 29) QI p Aer
J
"o
12) A. asso bay ces] 5s ad, So nach der
Etiquette: Über die Überlieferungen und
Lehrsätze der Ssufy. (Anf. u. Ende def.)
Anf. dl Ales e TS ple Ae al QU
eek, ue de Ii g abil os Al.
13) Sollo SLK LES, Erzählungen und Über-
lieferungen (Anf. def). `
14) que c der Abbasische Sammler, das un-
ter dem Namen ol c», die zwanzig Ka-
pitel bekannte Werk über schiitisehe Rechts-
kunde von Schaich Behaiy, d. i. Beha-eddin
Ur
Muhammed Amuly oder nach der gewühnlichen
Aussprache Amely. Letztere Benennung kommt
auch nach dem Verfertiger des. pers. Kataloges
von dem Berg dele (älele) in Syrien Jele Le jl
Jb pli "we Pr HET P, Ar Behaiy schrieb
über fast alle Wissenschaften — mehrere mathe-
matische Werke von ihm befinden sich in dieser
Sammlung — und war A sà Schaich el-
Islam von ganz Iran oder Persien. Folgt eine
45 oder Ergänzung des 18ten Kapitels von Sain
el-Abidin el-Husainy. Am Ende wird als Ver-
fasser «des Buches» vm Uu 8 p genannt.
Abgeschr. Sulhiddscha 1069 — Aug. 1659.
15) Dasselbe Werk, aber nur die fünf ersten Kapitel
enthaltend. Abgeschr. 1258 — 1849.
db oi Cx Lo oar
16) a „LS, Buch über die Rechtslehre, nach
der Schlussbemerkung | JI J.-J genannt, ge-
schrieben Hälfte des Dschumada II. 896 — April
1491.
Anf. ht je (35 den Als Lis dy od.
17) Sammlung von Gebeten Muhammed's bei verschie-
denen Gelegenheiten und deren Benennungen, ara-
bisch mit persischer Interlinearübersetzung.
Ant. 3 Al ze co) „= da dE Ld RC
Abgeschr. Schewwal 1081 — Febr, März 1671.
„> 4£ 4,2. So nach dem
Vorderblatt. Über verschiedene religiöse Gegen-
stànde, Erklärung von Koranstellen, Überliefe-
18) «is, Là jb, Co ji
rungen, z. B. e ulgie c, Andy Co) el p
PET Ps SCH e
AJ Q?3* ( ;8 )5, ple al ds Ut co» Ja
Lis An ul, u. s. w. Ein von verschiedenen
Händen geschriebenes, lückenhaftes Buch.
19) a) el Jais, das äusserste Ziel. Eine Abhand-
lung über den Ssufismus. Nach dem Katalog ist
der Verfasser Asis b. Muhammed Nesefy.
Vergl. Hadschi Ch. T. VI, S. 90, N* 12791,
wo als Übersetzer (ins Persische?) Kemal-ed-
din Husain Chuarismy genannt wird. (Anf.
def.) es
253
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
254
p ess sul abs; Abhandlung über Gott-
Erkennung, von Ain el-Kuszat el- Ham-
dany (Jul) clas] Ust; geendigt den 14. Ra-
maszan 814 — 30. Dec. 1411. Vergl. Hadschi
Ch. s. v. Ain el -Kodhat.
= v
Anf. alis] Jus ciias A Calis 35) al.
c) Eine Erklärung des Koranverses 11, 110. Der
Sultansadeh Chiszr Beg Tschelebi las im
Rebi II d. J. 821 — Mai 1418 diesen Vers und
da er einige Bedenken hatte, so erklürte sie
ihm Muhammed el-Malaty bl in dem vor-
liegenden arabischen Aufsatz. Vergl.Hammer,
Gesch. d. Osm.. R., II, S. 28 u. 546, und Ha-
dschi Ch. T. I, S. 503.
d) Nach dem pers. Katalog und der Abhandlung
selbst — ein Auszug aus Fachr-eddin Ra-
sys ZU Ur, d. i. EST f, zusammen-
gestellt für denselben Chiszr Beg Tsche-
lebi. In Hadschi Ch. wird ein Buch mit die-
sem Titel dem N esefy zugeschrieben. Abgeschr.
Anfang Schewwal 814 — Januar 1412.
Anf. Dli Je Wi Vater cele TIN u? JA.
e) Jovi) Zä, 3 AL, Abh. über die Ein-
heitslehre EE me
Anf. JU4J 4s all uc) Je ell A sl.
20) a) A. La = à Al Abhandl. über die
Art und Weise den Koran gut zu lesen.
os gp ps Schaban 1236 — 22. Mai 1824.
D) A A. Sa i à All asc LES, das Er-
gebniss des Nachdenkens über das mit
lauter Stimme gesprochene Gebet ge-
nannt ll. von Sojuty. S. Hadschi Ch. T.
VI, N° 13571.
Anf. d ai All H Al
C) A. All All à id] d US, Buch der
erhabenen Astronomie, über die sunni-
sche Astronomie, von Sójutj. S. Hadschi
Ch. T. VI, N° 14437.
Ant. re ^1 ell yall mp
A. al ak öl, eu geht der 100
Sprüche Aly’s, von Raschid Watwat. Vergl.
Ali’s hundert Sprüche, ed. Fleischer. Leip-
zig 1837.
Anf. ass; SUE as, Stb) Je U dl.
e) A. call "e? die Anweisung des el-
Ssarssary, d. i. des Jahja b. Jusuf b. Jah-
ja. Vergl. Hadschi Ch. T. III, S. 290. IV, S. 3
u. 541, wo aber dieses Gedicht nicht angeführt
wird.
Anf. Jla JUI] X] & Jis gll illl D dy sed
e dni Um o? A ga ": eem zoll, allj
Lis ci D o Zeche * | ia dnog oJI Js "LIE
* Ja.
f) A. la, JS, religiöse Fragen nebst Ant-
worten, von Schaich Mohammed Nedschm-
eddin.
2 à
9) Einige zi Gedichte (so auch später).
h) A. lyss JE Fragen und Antworten über
die A qoa der Todten; am Ende: d J5
Anf. + bel.) e ole Zr ER e. A dl All
RR AE Ne as, à ct Jis Jay.
i) A. Zo CS pė, Erklärung der vierzig
Überlieferungen, nach Ibn Wadan (f 494
= 1100,1). Vergl.Hadschi Ch., s. Abu Nasr
Muhammed.
k) A. HW dogs die u, Prage GE
sitzungen, von Ahmed, gen. ibn Schaich
Muhammedy Aradsch pel, verfasst i. J.
1109 — 1697. Bricht ab in der dritten abc,»
der dritten Sitzung „Je. .
Anf. goi T wii Änt edd éd 34
RI Le GI) dy Äer Ae? Al.
Cr Hanifsadeh, 8. 103: se,
;c ul.
255
Bulletin de l'Académie Impériale
256
21) bel l. 4) ve Mit-Atschhara, d.i b du
wenig Worte. Commentar e, über ein grösseres
in indischer Sprache von Dschak Walk, Ragha-
schri (i.e Abel rl JE SL geschriebenes Werk
über die religiösen Satzungen und Verbote der In-
der: 3,9 2 pl al) aKo) j> «229. Das ur-
sprüngliche Werk hiess AL, JL Spes Smriti
Dschak Walk. Der Übersetzer Laal Behary
‚le Jal lebte zur Zeit Aurengseb's und verfasste
seine Arbeit i. J. 1068 — 1657, 8. Das Buch
besteht aus drei Hauptabtheilungen oder Vorträ-
gen äjl und vielen Abschnitten LA. Vergl. die
Vorrede zu Yäjnavalkya’s Gesetzbuch, her-
ausg. von A. F. Stenzler, Berlin 1849, und An-
hang, III.
Anf. ee Ja epas EE
Die Abschrift ist am 10. Redscheb 1219 =
15. Octob. 1804 in Lakhnau beendigt worden.
2, Philosophie. Ethik, Logik.
22) jus Ss], die Muhsinische Ethik. Das be-
bekannte ethische Werk von Husain Waïs Ka-
schify.
Anf. les al Sie yel Le lib uas.
Abgesch. 1252 = 1836.
23) ER ge die Sitten der Kónige, mores regum,
von Nisam el- Mulk. S. Hadschi Ch. s. v.
Abgeschr. 16. Ssafar 1267 — 21. Dec. 1850.
24) a) A. Jul] Jla ^ L eo Erläuterung der
dunkelen Stellen in (dem Werke über Logik
genannt) |, die Leiter, von Ahmed el-
Demenhury; s. Anhang, IV.
Ant. d Ss lyel ell A All
b) A. Syal ZA gr eine Erklärung des un-
ter dem Titel à By LA bekannten Commen- |
tares Fenary's über die, sëch) des Abahry.
Wahrscheinlich ist der nicht genannte Verfas-
ser Kul Ahmed „al Ja S. Catalogue, N°
XCVIII, 1) u. CVI, 12). Dë
Anf. MI D^ Le 4) voie » s pi i Jos
C) A. Erklärung einer Abhandlung, welche so an-
fing: 02925 als] AU sd), d. i. über Logik von
Muhy-eddin?. S. Catalogue, S. 72, N° XCVI,
1). Abgeschr. 1254 — 1838, 9.
Anf. alt I Juil on cell Ai All JE
d) A. lid] Jo alie alle lé eine kleine Ab-
handlung in Fragen u. Antworten über AL Gell
u. Al ww, von Mustafa Efendi Beduky
ose (0). Abgeschr. 1255 = 1839, 40.
Anf. al oso Lal (Gil dl Al I dl uas
3, Philologie. Lexicographie, Grammatik.
25) asl] NI plis, Schlüssel zu den verschie-
denen Sprachen. Arabische, persische und tür-
kische Grammatiken, von Schah Nasarov u.
Jä al dl Al,
26 — 27) A. Zwei Exemplare von Fairusabady's
Kamus. Das eine abgeschr. am 28. Sulhiddscha
988 — 3. Febr. 1581.
28) A. Der neunte Theil von Dschauhary's Wörter-
buch el. Das erste Wort ist el LES, das
letzte (pd) Ji) dl |
29) Jla) a, Arab.-Pers. Glossarium der Verba.
Ant. Ale >, oui Ay eI os dall SL
Qua] »f asl.
Abgeschr. 870 — 1465, 6.
30) A. all Ae, Einleitung zur Philologie,
dem Ala-eddaula Abul-Musaffer Atsis ibn Chua-
rism-Schah gewidmet, von Samachschar y. S. Ca-
talogue, N° CCXIII.- :
Anf. © all cl ll zeg de 49 OU) AN All,
31) a) A. Ibn Hischam’s Erklärung jj seines ei-
genen Werkes LN Js Lal Ja Vergl. Ha-
dschi Ch. T. IV, N° 9541.
zl Lol „bi, sli Lg e 95 afe os:
Dësen 1089 = 1678. = ern
257
des Sciences de Saint- Petersbourg.
b) Eine Abhandlung über Mathematik (def.). Ab-
geschr. am Mittwoch, Anfang Redscheb 1138
— März 1726.
c) A. plasd) LL, die Erholung der Geister,
arab. Grammatik von Ahmed ibn Aly ibn
Masud. S. Hadschi Ch. T. V, N* 11758; Ca-
talogue, N° CLVIII, 3).
Anf. 29242 2 ge ol Jal »554Àl P JU.
Abgeschr. 1211 — 1796.
32) cola] jf, der Schatz der Wörter, von Mu-
hammed ben Abdul-Chalik, ein von den
Schullehrern umso aos sehr gebrauchtes Buch.
Abgeschr. 6. Silkada 1123 — 16. Dec. 1711.
33) a) led] às, das Geschenk für Freunde.
Erklärung altpersischer Wörter von Hafis Ad-
behy zl bil. S. Chanykov, Mél. asiat.
T. II, S. 439.
b) ell c Inbegriff der persischen Spra-
che, Yon Muhammed Kasim b. Hadschi
Muhammed Kasim Kaschany Surury, i. J.
1008 — 1599.
Anf. à ya“ isla yo A ol.
34) asli oli ONKir, die schweren Wörter des
Schahnameh. "
Anf. e EL all ale rl utin) CH
35) Gall Jue, die seltsamen Wörter der Spra-
che, dschaghataisch - persisches Wörterbuch zu
Newaiy.
#
Anf. p Ai ou Has JU ut CL
36) m li), die Wörter Newaiy's, persisch er-
klärt, (Bruchstück aus !); erstes Wort: d. letz-
tes: Se).
: 4, Epistolographie.
37) (pli aus, das Schahische Blatt oder Buch,
eine Art Driefsteller, von Husain b. Aly el-
Wais el- Kaschify.
Anf. dl Asien ai pli anse Loly (sl.
Abgeschr. 1061 — 1651.
38) bla] Ob se Lime (lil, der Brief-
steller von Mirsa Mehdy Chan aus Astrabad.
Anf. |J Jo olo pl Lis
Tome VIII.
39) Jus "OUS, pers. Briefsteller.
Anf. af | glas J^ m Aña Cr Je.
5, Rhetorik.
40) A. goal uesU Ae, Commentar über die be-
rühmte rhetorische Abhandlung Kaswiny's. S.
Catalogue, N° CCVII.
Anf. uasili DTP pah Nu b S) si.
6. Erzählungen. Poesie.
41) A. à» Al oL ll], die Makamen des Schaich
Maadd b. Sain-eddin. Sehr schóne und alte
Handschrift vom 6. Sulhiddscha 677 — 20. Apr.
1279. S. Hadschi Ch. T. VI, N° 12709; Cha-
nykov, Mél. asiat. T. II, S. 427.
42) ose els, die Humaidischen Makamen,
pers. verfasst i. J. 551 — 1156 von Humaid-
eddin Abu Bekr b. Omar b. Mahmud Bal-
chy. S. Hadschi Ch. T. VI, S. 57.
Anf. ab) da Le, all ai ad.
Abgeschr. Rebi I. 1264 — Febr. 1848.
pe y) 4e$ „LS, die Geschichte von Abu
Muslim. Vergl. Krafft, N° CLXIV.
Ant ybl une, Al u, Lal Ob Ul.
44) D la Ka Ce gebe oi Bali wei vlt Lie
Al Je, oi af ils s gb e Lex A
ules ode Lie „u ul Lil, GR OI, ol
Sei mm dé Lk cl An Gé ei
So die mit rother Dinte geschriebene Überschrift
des ersten Theils. Der Verfasser des Kataloges sagt,
das Buch heisse «Waisenbuch des Schah Abbas», weil
einige Leute gleichsam Waisen des Schahs gewesen
seien, da sie von Seiten ihres Vaters Waisen und sonst
ohne Stammverwandte, sich von allen Seiten in den
Dienst des Schahs begaben und seine Diener wurden
und deren Abentheuer da beschrieben werden. Unter
den höher Gebildeten JLS by} sei das Buch nicht
geachtet; aber wohl unter den öffentlichen Erzählern
SO
43)
259
Bulletin de l’Académie Impériale
260
O5, welche es in den Basaren und auf grossen
Plätzen u. s. w. den Leuten für Geld vorläsen und
davon lebten. Der zweite Theil enthält die Geschichte
des Seyid Mir Baker Adschurbus jə), d. i. des
Ziegelsteinbrenners. Das Buch enthält also eine Art
Roman oder märchenhafte Erzählungen. Abgeschr.
I. Th. Rebi 1. 1234 = Jan. 1819, II. Th. 24. Dschu-
mada II. 1234 = 25. April 1819. (1 vol.)
Anf. P OU, „UI D, Jud obl,
QA
45) u US, Logogriphen-Buch, von Husain
b. Muhammed el-Husainy, welcher das Werk
auf Ansuchen des Emir Aly Schir verfasste.
Vergl.Hadschi Ch. unter Lune, T. V, N° 12431
u. T. III, N* 6360.
Anf. DE jj ole p * ci, aJi jy "€ P
op.
46) Us a Laila und Medschnun, von Dscha-
my.
47) (ga Sac Ke Bustan Saint S:
L
Ant, m UA us * Jod SC SEET LG
o ob».
48) a) ën uj Us, der Gulistan Saady’s (am Ende
b) tu RS eines Gedichts, in welchem unter
anderen folgende Uberschriften vorkommen:
1) del. je cesh ge Al o ue.
2) NU CS 52725 Jb —
3) dee p Gigi JN e anl. so Jes.
4) sm 2] vie Ile One ue s.
Diese und andere Abschnitte sind durch viele |
Erzählungen Cl erläutert. Es wird sich also
bei Durchblätterung der Werke persischer Dich-
ter das Nähere ausfindig machen lassen. — Das
Bruchstück ist aus Saady’s Bustan; s. ed.
Graf, S. 450 (385 — 403).
c) WS CAM AL. j, über die schweren Stellen |
des Gulistan, von Dschunaid ss» ibn Ab-
dullah el- Mb. Die Abhandlung zerfällt
in drei Theile: 1) LS,» „>, über die Koran-
versstellen und Überlieferungen; 2) über die
arabischen Gedichte; 3) über einzig vorkom-
mende Wörter a ie,
d) A. Ein Bruchstück aus einer Abhandlung über
Rechtskunde, z. B. die A 2 al] handelt
von dem Verbergen der Frauen vor den Män-
nern JJ» Jl) - Doll G-
49) Der Diwan des Dichters ee or:
Anf. Jun p Zeng ole e J^ ole dl a el,
50) ll äis’, das Geschenk der beiden Irake,
von Chakany.
Anf. Se EI pile.
51) bb Colas, der Diwan Chakany's.
Anf. NEUES 22 J> p
52) lica) a£, Sammlung von kleineren per-
sischen Gedichten nach verschiedenen Mund-
arten, Burudscherdy, Schiras, Teheran, Kir-
man, Tebris, Kaswin, Isphahan, Kaschan, Ma-
sanderan, Sendschan, Schuster, Desfil, Busmany
ao ai: Kurdistany, Herat, Meschhed, Urumia,
Luristan, Churremabad, Nawend-Mer-il je JU
Je), Turkmeny, Hindy, Hamadany, Behbedun,
Amul, Kabuly, Jesd, Baghdad, Chescht, Leky
DAN Aserbaidschan, Kirmanschahan, Gilan.
53) JU Aal oue if cils, die Aben-
theuer des Abdul-Ghafur Turkistany (mit
seinem Bildniss).
54) Dech, LJ ET die Wunder des mittleren
oder reifen Alters, von Newaiy. S. Catalogue,
S. 510, N° DLVIII, o).
Anf. ne la ac Sto BEER ey «sl.
55) Dsch. si LE, ee ce ME | 8.
Das erste Gedicht ist dM. cs
Anf. To 3:3 O3? Laf mg
Abgeschr, 1258.25 1842;
56) Dsch. A de el (l5, der Diwan des Emir
Aly Schir, d. i. hé
Anf. =; Sch gli oues pole.
57) Tat. II aue, = Geschenk der Geheim-
peg Gedichte von Haiderkuli ben Dara
Oghli Turkman ite Je GE Se SR
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
262
Vorher geht eine kleine Abhandlung desselben
Verfassers über verschiedene Gegenstände. Das
erste Blatt fehlt, aber der Titel war: I] st,
die Freude- mehrende (Abhandlung). Sie war
in drei Abschnitte Jos getheilt: 1) ae Luls, über
Gliedergenealogik; vergl. als in Hadschi
Ch. T. IV, s. v. als; 2) ali Ca ,L, das Buch
des Pfades; 3) del? ste, das Ermahnungsbuch.
Abgeschr. Dschumada II. 1210 = Dec. 1795.
58) Eine kleine Sammlung von Gedichten in pers.
Sprache von Scherif c >, und türkischer von
e
Nedschaty, Als, Am Ende (T.) (5,9) aals deli gi
Le nb dell, d. i. die Geschichte der Ero-
berung der von Wilh. v. Trezka vertheidigten
Festung Erlau i. J. 1596 durch Sultan Mu-
hammed II. Vergl. Hammer, Gesch. des Osm.
R. B. IV, S. 262. (Anf. def.)
59) ac,,g. Eine andere kleine Sammlung persischer
und türkischer Gedichte auf schón verzierten bun- |.
ten Blättern.
7. Geschichte, Biographie,
60) A. Auf dem ersten Blatte: 5| sén | jas e
exe «Uk, unvollständige Geschichte einiger
abbasidischen Chalifen, d. i. von Wathik (nur
das Ende) bis Muhtadi, d. i. 228 — 256 = 842
— 869; sehr alte Handschrift. Der Text ist mit
Versen übersäet, aber der Verfasser nicht aufzu-
finden. |
61) A. Jl JJ sss 3 JUll as, Erläuterung
der Rede in Betreff sicherer Nachrichten
über (berühmte) Männer. d. i. Biographie be-
rühmter Überlieferer 1 (jb A. angeblich
-in Kerbela geschrieben p332, und mit vielen Be-
merkungen des Verfassers selbst versehen.
Anf. A a; cl s all est St 135 Je,
Ge vii Je. :
Abgeschr. 29. Dschumada I. 1070 — 6. Febr.
1660. Vergl. Chanykov, Mél. asiat. T. IT, S. 427.
62) e» et der Sammler der Geschichten,
das bekannte Werk Raschid-ed din's, aus einem
Exemplare der Bibliothek des Schahs abgeschrie-
ben. Abgeschr. 1256 — 1840.
63) jUsY] as, die Auswahl der Geschichten,
von Chondemir.
64) Jl | ss, der Freund der Lebensbeschrei-
bungen, von demselben. (Def.)
65) Der erste Theil dieses Werkes.
p Abgeschr. Ende Schewwal 1052 — Jan. 1643.
66) 5 Jy>, die Richtschnur der Wesire,
von demselben.
Anf. Jl JD ju i L R
Abgeschr. 22. Rebi I. 974 — 7. Oct. 1566.
67) e» p, die Ordnung der Geschichten,
von Daiszawy. ;
Anf. cule / EG cl Wi Je.
68) (e poli cL die Nassirischen Classen; die
bekannte Geschichte von Minhadsch Dschus-
dschany ,jl 5,» (bei Hadschi Ch. T. IV, S.
153: ik). (Unvollständig.)
69) LL, die Gemäldegallerie, von Ghaffary.
Ant. A Us Jg üb A
Abgeschr. Muharrem 1008 — Juli 1599.
70) yu &» j, der Schmuck der Gesellschaften,
von Medschd-eddin Muhammed el-Husainy
gen. Medschdy.
Anf. ng)? Ja sl oe».
71) lif. ole e die Geschichte des Welt-
eroberers, d. i. Dschingischan's und der Mon-
golen, von Dschuwainy.
Anf. gen? ($2942 Le a M
72) e e G. Erster Theil der Geschichte Wassaf's.
Abgeschr. 6. Ramadhan 1271 — 23. Mai 1855.
Anf. AN) Jui af ul, Je.
73) Abul-Ghasi's Geschichte der Mongolen und Ta-
taren, ins Persische übersetzt.
74) al ob e» das Siegesbuch, die Geschichte
Timur's, mit der Einleitung «eae, Yon Scheref-
eddin Aly Jesdy. (Am Anf. def) «——
75) Asch E, 55, die Institutionen Timur's. Abgeschr.
1264 — 1848. E At aui fi:
Anf. Al, „ze RS, Giles, olw A8 Jo) allée.
76) Ein Theil des bekannten Geschichtswerkes o»!
a des Hasan Rumlu, die Jahre 887 — 896
-— 1482 — 1491 enthaltend. Nach der rothen
17*
Bulletin de l’Académie Impériale
261
Überschrift: sel? ë die Geschichte Schah-
roch's. Vergl. Catalogue, S. 277, N°CCLXXX VII.
Anf. Col Se ue à) ‚ing JA:
77) li Gta ne À > D, chronologische Geschichte
von Mittelasien, namentlich Buchara u. s. w., von
der Geburt Timur's bis 1235 — 1819, 20, von
Mir Seyid Scherif Rakim. Abgeschr. 1235 =
1819, 20.
Ant, ul» ob] as Jg»
78) a) end 2,0, die Geschichte Narschachy's.
S. Chanykov, Mél. asiat. T. II, S. 437.
Ant, ©) (FF) axi GI dy All, |
b) ge SSJ, die Geschichte der grossen
Bucharei, von Muhammed Jusuf el-Mun-
schi.
Anf. Ji] 33 «5 js (on Jlis p.
79) Dasselbe Werk wie 78) a). Abgeschr. 4. Dschu-
mada II. 1261 — 10. Juni 1845.
80) ur e» die Geschichte Narschachy's. (Ver-
schiedene Redaction von N° 78 a) u. N° 79. Am
Ende def.)
Anf. dan am oe oe os H dl A All,
81) a) Ki Geschichte des Emirs von Buchara Nassr-
Anf. la Y LAG. uu Je.
b) jl uie 6,5 0, 8. N° 78, b).
82) Zweites Exemplar der Geschichte Nassrullah’s.
Abgeschr. 1263 — 1847.
83) Ll? nel Le, Briefe auf Schah Murad,
Emir von Buchara bezüglich. Auf dem Vorder-
blatt ist der Inhalt so angegeben: E Li jJ md
ae uw » 245, cms: 5) o L Les oly
Ll s oli Jail, ils Seen ra. as Jan aj ,L
nd 9 (sic).
Ant. LN Lu e: dy All,
84) dle. olis e Ale ëL, die Geschichte
Dathehaughiz" s und an Dschehan’s, un-
vollständig, die Jahre 1015 — 1037 = 1606 —
1627 umfassend.
Anf. dl jJ oos Ab cas Jes de JU LS
*
93 — 94) le all
85) Cup ie e das Geschichtswerk der
acht Paradiese, die osmanische Geschichte von
Mulla Idris a sh
s
Abgeschr. isl 1108 — Aug. 1696.
86 — 87) pz" ORP Jul à p ex. Zwei Exem-
plare von Faszlullah’s alter Geschichte Persiens.
Abgeschr. 990 = 1582 u. 1830.
88) (m unbe adi > ch ed pu c Geschichte von
Persien. Erster Theil bis zu den Aschganiden
QE JI incl. Von Haider b. Mirsa Akasi
Wesirov aus Derbend. Geschrieben i. J. 1841.
89) üb ulelisl, ele? Cars, Geschichte der äl-
testen Dynastien Persiens bis auf die neueste Zeit
(d. i. bis Muhammed Schah) in genealogischen
und chronologischen Tabellen.
90) Go soll e Jl ei, Biographie
des Schaich Ssefy-eddin Ardebily. Nach
dem Vorblatt ist es das Werk: ;j lial) Zeie
5b» ui SG. Vergl. Chanykov, Mél. asiat.
T. I, S. 543; Catalogue S. 288, N° eut (Anf. u.
Ende def.)
|91) T. all, al, all G di, Lt AH
ur Si ill ope Al cel ale] ail
NIS UM Be LY,» y; b, Geschichte des
Schaich Ssefy, von Mewlana Muhammed
Katib aus Schiras, zur Zeit Schah Tahmasp 1.
Anf. J35 dj es dl ENT del? jo.
92) agio Lau) alu, die Genealogie der Ssefi-
den, kurze Biographie des Schaich Ssefy, von
Schaich Husain b. Schaich Abdal el-Sahidy
sell Js), dem Schah Sulaiman gewidmet.
S. Chanykov, Mél. asiat. T. I, 5. 555.
Anf. Ule 55 9 7» v J- il T
lc e» Iskender Mun-
schi’s bekannte Geschichte Abbas I. Abschr. vom
Rebi II. 1135 — Jan. 1723.
265
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
266
e . sët z d t? ei
95) glad) às, j, die bekannte Geschichte Herat’s von | 107) A. MI "die Baron ódér Dénkmalé der
Isfisary. (Anf. u. Ende def.)
96) aels,i, Scherefnameh, die Geschichte der Kur-
den, von Scheref Bidlisy. S. die Vorrede zu
Weljaminov - Sernov's Ausgabe, St. Petersb.
1860, S. 16.
97) T. eb ovs SIE LS, die Geschichte
der Chane von Karabagh, von Adi Güsel
Jj >). S. Chanykov, Mél. asiat. T. IV, 8.
499. Abgeschr. 1265 — 1848, 9.
98) LJ WS das neue Derbendnameh, von
Mirsa Haider Wesirov, vom J.1262 = 1846.
99) „I oU , der Rosengarten Irem's, die Ge-
schichte des Kaukasus, von Mirsa Abbaskuli,
von Baku, mit dem Beinamen Kudsy.
100) RI SAS, Biographie der Heiligen, von
Muhammed b. Burhan-eddin, gen. Muham-
med el-Kaszi sl. Abgeschr. 1189 —1775.
Anf. Se Is) Cup np Je ERY Ei el de
101) Hel y£ Alen, die Tropfen aus dem Le-
bensquell, die bekannte Biographie der Heili-
gen, von Husain b. Aly el-Kaschify. S. Had-
schi Ch. s. v.
Anf. pid oli i l jal.
102) v Sl, die Anhauchungen der Ver-
trautheit. Die Biographie der Heiligen von
Abdul-Rahman Dschamy. S. Catalogue, S.
370, 2). i
103) ul) he small AL, die vorzügli-
chen Eigenschaften der Wissenden u. s.
w., von Ahmed Schems-eddinel- Eflaky
Ké JJI. geschrieben i. J. 718 — 1328. (Anf.
def.) S. Hadschi Ch. T. VI, S. 154, N° 13037.
104) JN ; £5, Biographie der Heiligen, von
Schaich Attar.
105) dal) 3535, Biographie der Dichter, von
Dauletschah.
8, Kosmographie, Geographie.
106) llh «lss, die Wunder der Schöpfung,
von Kaswiny.
der Länder, von demselben. Pers. Übers.
Anf. SL JU, AU Zell.
108) cle, all vil ën SU, lai] lef, die Wunder
der Schöpfung und Seltsamkeiten der zum
Dasein gebrachten Dinge, übersetzt aus dem
Arabischen ins Dschaghataische am 1505—1510
von Binaiy Sl» Muhammed el-Herewy auf
Befehl des Abulfath Muhammed el - Schaibany,
abgeschrieben 975 — 1567 in Schiras. S. Cha-
nykov, Mél. asiat. T. II, S. 440.
109) A. ps JG 3 Lodi äs, das Geschenk für
die Menschen über die Vorzüge Syriens,
nach der Etiquette, von Ahmed el-Bossrawy
slol. S. Hadschi Ch. T. II, N’ 2552.
Anf. lei Jo alle alos o Jl dy odd.
110) coil] ei, die Ergötzung der Herzen, von
Hamdullah Kaswiny.
111—112) BEN &o, ,, der Garten der Reinen.
Beschreibung der Grabstätten der in Tebris be-
grabenen Heiligen, von Mulla Haschery (524
el - Tebrisy el- Anssary.
Anf. elei, Je cp ui, ee
113) (29)! cl, el, pls ai, geographische
Liste der Provinz Urumia.
114) A. Auszüge aus Jakut’s ol Ll e den Kau-
kasus betreffend.
115) lu] job, (4l Col), die Gärten des Rei-
sens, von Sain el-Abidin el-Schirwany. Au-
tograph. S. Chanykov, Mél. asiat. T. IT, S. 556.
116) Reisen des Husain Chan, Adjutant-Baschi VES
Gb, in Deutschland, Frankreich und England
in d. J. 1254 = 1838.
Anf. e o J^ 25102.
9, Mathematik, Astronomie. |
117) A: al ulj, die Wage der Weisheit. 5.
Chanykov, Journ. of the Americ. Orient. Soc.
T. VI, S. 1. Mél. asiat. T. II, S. 492.
118) dl. e & y: der Text von Ulugh Beg’s
astronomischen Tafeln. _ .
Anf. ls o b Lei G des go!l ER)
119) & C Commentar über Ulugh Beg's Ta-
267
Bulletin de l’Académie Impériale
268
feln (lhl. ue sl, von Abdul-Aly Mu-
hammed b. Husain Berdschendy.
Anf.
120) b Cum Pr persische Bearbeitung von Ber-
dschendy’s«zwanzigKapiteln», vonMusaffer,
dem Astronomen aus Dschunabed „sulis vin
Anf. II EAI coU Je.
121) A. (uo dli ‚Fe (S279 2 Cal) Ja 3l t Ber-
dschendy's Commentar über die 5,53 des
Nassir-eddin Tusy, d. i. dessen Erklärung
des Almagest des Ptolemaeus. Der Anfang
Syel) li A on EH Ulm I d All
wird auch dem Commentar des Nisam-eddin
el- Aradsch | über die 5 A.A des Nas-
sir-eddin Tusy beigelegt. S. Hadschi Ch.
T. II, N° 2856.
de sur I ta AG Ergänzung zuDschur-
dschany's Commentar über Nassir-eddin
Tusy's 5,55, von Muhammed b. Ahmed el-
Chafary is a S. Hadschi Ch. T. ei S. 269.
Anf. E LU „bel Le » oss ESP 2 cis
sind].
123) " Ten pr cime Erklärung der 35) des
Nassir-eddin Tusy. Aus dem Text ist weder
der nühere Titel noch Verfasser ersichtlich.
Anf. Jal sel Je di Al Ji all ail
124) a) «ob Caw, die zwanzig Kapitel des Nassir
eddin Tusy; s. 138, c).
Anf. HU es ul 2s Ul.
b) À. Jl; 1,5] eo projectiones nn eine
astronom. Abhandlung von Muhamm ed Ssa-
dik b. Muhammed Risza.
Anf. sd) oje Alf Sl > Je Y ee L Al,
125) ol,d| „=, das Meer der Edelsteine, eine
mathematische Abhandlung von Abdul- Wah-
hab la Je b. Muhammed Amin el-Schah-
schahany el-Hasany el-Husainy el-Isfa-
hany.
* Anf. dd Jep J> af ul los «il.
Abgeschr. Sulkada 1272 — Jul. 1856.
126) slad} Ze, die Essenz der Rechenkunst,
pls Pr 3 | ‚ae qu "x ur St
122)
von Beha-eddin Amuly. Pers. Übersetzung
s. N° 128 a u. b).
Anf. Ab cl ne «52e e af JA.
127) A. cl] in ls PH Commentar über das vor-
hergehende Werk, von Ibn Abul-Kasim el-
Husainy Muhammed Bakir el-Tebrisy. Ab-
geschr. Ramaszan 1272 = Mai 1856.
Anf. dl ai pes! à U^ Ue] Ke der al SJ us.
128) a) lu Í a Ree die ES Übersetzung
«der Essenz der Rechenkunst»; s. N° 126,
b) Der arabische Text derselben.
Anf. 2 Je 4.22 ^ =? Lis? y GP? L S
c) olad) à SU JN ius, Betrach-
tung der Verständigen über die Rechen-
kunst.
Anf. e UNI s Sls c alfa Al n"
129) a) APIS zu SËTZ el-Kuschdschy’s in pers.
Sprache geschriebener Abhandlung über Astro-
nomie, von Musslih-eddin Lary. Abgeschr.
13. Schaban 1184 = 3. us 1770.
1) Fino m se = 1561. 9 Becker? Ab-
em über Astronomie mit dem Titel: dis’
Ant. LJ gr ci wu ny
130) a) Eine anonyme Abhandlung über Mathematik.
en 1251 = 1835, 6.
ERR Je) T= J?.
b) VU J^ j, über die Behandlung der
Wunden durch verschiedene Pflaster.
Anf. pas Jl L J^ | ee JA JA > ub Yil
e ie rue SEH "2 os „Lu uk qe
VES Krati S. 82, 3M
c) Ute CH l; LS, eine astronomische Abhand-
lung; s. N*138, a). Abgeschr. 1252 — 1836, 7.
Anke ede deba soli ad anl d All
adi, allis 229 toio.
269
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
270
131) sil p SG l los, ein sehr vollständi-
ges astrologisches Werk. Re im J. 1074
— 1664, von Ain Aly Je e
ay) J23*5 lo uno; tar a Je dj x.
Ng — Ee Sechs persische Kalender.
138) a) Eine Abhandl. über Astronomie; s. N* 130, c).
Anf. gg dës Ai delia all nl Je) Le)
dei Léa dilie.
b) A. lud] Ale, Essenz der Rechenkunst,
von Behaiy; s. N’ 126.
Anf. N rer
c) ob uw, die zwanzig Kapitel des Nas-
sir-eddin Tusy; s. N° 124, a).
d) A. äswall, die Scheibe säin Tafel, d. i. über
das Astrolabium, von Beha-eddin Amuly.
Anf. Sly. lus Cal.
e) lal) Al vii, eine astronomische Abhand-
lung, von Abdul-Kadir.
Anf. m cut vae e? o 2» Ll à dy sdl.
139) À. SEN p=, Recension des Almagest,
von Nassir-eddin Tusy. Vergl. Hadschi Ch.
TOW M SAT.
Anf. &le Kal, lass Kir Al sal.
140) A. ll, A all al LS, Übersetzung der
Elementa SIS Euclides. Der Verfasser sagt,
dass, da die Übersetzungen des Heddschadsch
und Thabit nicht genügten, er eine neue un-
ternehme. Ist das etwa die Übersetzung des
Nassir eddin Tusy?. Vergl. Wenrich, 8.178.
Anf. ST a), Jo dag T PIT Jal.
141) Id. Neueres Exemplar.
142) A. S SU LS, die Übersetzung
der oparpıza des Theodosius, von Kosta b.
Luka, dann von einem andern, verbessert von
WE b. Korra ele] er vp dë oo
bes 55 ep Cab aslol, onb. Vergl. N°144, 0).
143) Die persische Übersetzung desselben Werkes.
Leider fehlt das erste Blatt.
144) Ein Sammelwerk, folgende Abhandlungen in
arab. Sprache enthaltend:
H All
a) uel ii oll
weihten (im Gegensatze zu den ell), den
Laien), von Raszy-eddin Muhammed el-
Kaswiny. ez: o el pet iria
8) able, da
Anf. 5,44] col us dës 0295? e? ell du All,
b) SS äclio ‚3, über Musik und namentlich
Gesang „á. Vielleicht das von Wenrich S. 183
angeführte Werk des Euclides: JA) us
dosi EA Syn, ELTAYOYT dezent,
Anf. u? aol Jis Je LÀ à obli uis) al Jedi)
o als | d Ua! WË E
C) mel Ur» UL A Ursa A Cl.
Übersetzung der oparpıxa des Theodosius,
von Kosta b. Luka bis zur 5. Figur JK des
3. Kapitels älläs, und dann von Thabit b.Korra
(s. N* 142). S. Wenrich, S. 207, $ CXL. Cha-
nykov, Mél. asiat. II, S. 510.
ac Me EL E p, xvn M CAS 10
d) we 3 Pei SA SES Lis, das Buch
Tepl xwepévns oparpäs, von Autolycus. Ohne
Angabe des Übersetzers. S. Wenrich, § CXLI.
d, sall, cob f£ sain dann „JUL 1, Com-
mentar über die Sphaerica des Menelaus. 8.
Wenrich, $ CXLIV; Chanykov, Mél. asiat.
T. IL S. STE
Anf. Ul]. ay Ja Je Jl.
f) gb} insi) à al.,, das Buch des Eucli-
des über Geometrie. So nach dem Vorderblatt.
S. Wenrich, S. 176.
Anf. UJ, Jl, Kl hall SUN] je.
9) PRT Eli} TL QU, Euclidis Phae-
nomena, parweneva. S. Wenrich, S. 182.
Anf. JG ien SÉ oil AN cel H
Cal | Je 22$ Js. js
h) Juli, , CY upas LS, das Buch dés
LEER über die Tage und Nächte, mept
insgöv xal vixvov. S. Wenrich, 5.207.
eU, die Sprache der Einge-
271
Bulletin de l’Académie Impériale
272
Anf. PESEN JU) ei e uen T él br.
i) «od UL. ali cet a, , len, Randglossen
des Mulla Muhammed A b. Sain el-
Abidin el-Jesdy zu den Sphaericis des Me-
SOME.
" TEE ge Due zu den Sphae.
ricis des Theodosius, wie es scheint von
demselben Verfasser , weil er am Ende der
erem Abhandlung i) sagt: aile b DI ol,
D) eu u pe à e eine Abhandlung
über Optik.
Anf. SR ail » 3l b Lys ? pal] SE oe.
m) WE ma Sud) dla, Archimedis
de dimensione circuli, wóxXa pétonois. S. Wen-
rich, S. 192.
n) ddi) „bl LS, die Optik des Euclides,
ertıxd orcıyeia, nach der Übersetzung des
Kosta b. Luka. S. Wenrich, S. 182.
Anf. EM AN a lus Jas JE Ae DI vo,
o) L Aro li an i
L M vin aje; 80 nach dem Titelblatt.
Jl e s dc LL CH cl SE
Ob des Archimedes de circuli quadratura, oder
rerpayaveonos rapgaBorñs? S. Wenrich, S. 194.
D) grues) Ss SU usus, Deimalir, as-
sumta Archimedis. Übersetzung des Thabit b.
Korra und Erklärung des Abul-Hasan Aly
ibn Ahmed el-Nesewy.
S. 192 u. Steinschneider, Intorno a Nism
etc. Roma 1864.
Anf. ge) Sile Ll A si,
9 te neo Al E uus,
Recension des Buches der Definita (Tibri De-
finitorum), von Thabit b. Korra, dem Har-
ranier und Ssabier. (In 36, nach andern Re-
dactionen e 34 Figuren J). S. Hadschi
d
Ch T.15 8:913.
Vergl. Wenrich, |
r) db pel [9e IR gb) 3usslbsl LS,
des Autolycus Buch über den Auf- und
Untergang (der Gestirne), mept Erıroiöy xal
8Uceo», nach der verbesserten Ausgabe von
Thabit. S. Wenrich, S. 208.
8) el, Le Jill Eft ACER rs] Sr
slög) cp bus Ja ie yos all, das Buch des
Hypsicles über den Aufgang der Gestirne,
Tepl tv Éodloy avapopäs, nach der Verbesse-
rung von el-Kindy, übersetzt von Kosta b.
Luka. 5. Wenrich, S. 210; Chanykov, Mél.
asiat. T. II, S. 514.
t) à. all Je à dl äll.,, über die «Sections»,
ursprünglich persisch, aber vom Verfasser
selbst ins Arabische übersetzt.
Nach Chanykov, Mél. asiat. T. II, S. 519
— 522, ist der Verfasser Nassir-eddin Tusy.
Das ganze Buch ist in Tebris i. J. 1232 =
1816, 7 abgeschrieben worden.
145) Die zuletzt genannte Abhandlung in einer be-
sonderen Abschrift.
146) all EL LUS, die sri des Euclides.
Pers. Übersetzung.
———
10. Traumdeuterei,
E x]! LE der vollkommene Traumdeuter,
von Schaich Abul-Faszl Hasan b. Ibrahim
b. Muhammed el-Tiflisy. Abg. Hälfte Re-
dscheb 1100 — Mai 1689.
Anf. Cl Sli Aen el, af Lei. Goes
11, Zoologie,
148) A Uli! sms, das Leben der Thiere, von
el-Demiry. 1ster Theil bis pa ien Zu
N' 69 der Dolgoruky'schen Sammlung (Bullet.
T. I, S. 363, Mél. asiat. T. III, S. 732) will ich
beitierken j dass das da angeführte Werk auch
von Demiry ist. Der da von mir genannte
Verfasser ist als solcher auf der letzten Seite
angegeben, während der Name Demiry’s nicht
erscheint. Auf der Etiquette unserer Handschr.
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
274
ist Imam rind als Verfasser angegeben:
12. Medicin,
149) Joel) H LS, von Muhammed b. Mu-
hammed, geschrieben zur Zeit Murad’s II.
(1575 — 1595).
Anf. 559] oyy ua sdl) di All,
150) (eg sech LS, Buch der Jusufischen Me-
dicin. So nach der Aufschrift auf dem äusse-
ren Rande des Buches; in Versen. (Anf. def.)
13, Encyclopädie.
151) Oll me à NI Qi, die bekannte En-
cyclopädie der Wissenschaften von Muhammed
Amuly. Vergl. Hammer, Wien. Jahrb. 1833.
T. 61. Anzbl.
152) Dasselbe Werk in einzelnen Auszügen.
153) Der die Geschichte 2, Li E behandelnde Ab-
‚schnitt aus demselben.
14. Sammelschriften, |
d. i. solche, in welchen überwiegend Abhandlungen u. s. w. über
ganz verschiedene Gegenstände vorkommen.
154) a) g> Ae d. oder glad) em Essenz der
Anatomie oder Anatomie der Kürper, von
Abdul- Ressak ai Jl Ae,
D pu LA cke LG d eL.
b) A. SNY e Erklärung der Sphären,
astronomische Abhandlung ^ von Beha-eddin
el- Amuly. Abgeschr. 22. Silhid. 1180 —
21. Mai 1767.
Anf, SELL Lä gw dun.
ele ZC ale pl, der die Welt zeigende Be-
cher, eine Art Kosmographie, von Gott, dem
Verstand, der Seele, der Materie, den Ge-
stirnen , Elementen u. S. W. Nach der mit
rother Dinte geschriebenen Vorbemerkung ist
der Verfasser Kaszisadeh Husain. -
Anf. Cha A8 Lle JU, L Le Kol af p fe vice:
s, e sie » aX. 1 j
Tome VIII.
d) yii] d, d. i. ples VR rs A8 (sa
bi lys, der Spiegel der Tiefforschen-
den, d. i. eine kurze Abhandlung, über die
Kenntniss der Seele und die mde
[Lil vu» öl, A. J? sl
Anf. JS SIS,
e) PL el, der Schahische Spiegel, von
Achund Muhammed b. Murtesza aus Ka-
Schan, gen. Muhsin ums, welcher ein arabi-
sches. Buch kil) La Herzensglanz, zur
Zeit Abbas II. geschrieben hatte und es dann
unter obigem Titel ins Persische übersetzte.
In Hadschi Ch. finden sich zwei Werke un-
ter letzterem Titel, aber nicht von unserem
Verfasser, welcher einer der ausgezeichnet-
sten Schüler des Mulla Ssadra-i-Schirasy
war, aber sein Diplom über Rechtskunde (ass)
von Schaich Behaiy empfangen hatte. So
der Verfasser des pers. Kataloges.
Ant, af e JS y a Jl, porre gom Pr Ege lu.
f) LL] LE, die Bedingungen des Glau-
bens, eine Auswahl , zs aus dem Werke
le olj, der Weg zum gottgefälligen
Wandel, von demselben Verfasser.
Ant, HU af aille kal ubL ER Ces
9) Lei], «dijudicatio justa» oder ailes) Al,
von demselben Verfasser. Abgeschr. Silhid.
1181 = Apr. 1768. |
Anf. ge geil) Je elt Lil öl a All
VI RED odg Jæ Le mu HA coles à gyl
SLAM, gell Val all LL css
acht, d] «8 KR cada
155) a) Tatar. Abhandlung über den Er acr Glau-
ben ou, irr WER E pe def.)
js istis
b) dua "E ape Gedicht von Abdul-
` Wahhab für seinen Sohn, über arabische
Grammatik.
18
275
Bulletin de l'Académie Impériale
276
ms Ke
c) Abhandlung über arabische Grammatik mit
vielen Versen (versus memoriales).
Anf. Lu vil Se & JJ dl = Oo Ze
j “he en äs,lar, Le) Jl Fragen und
Antworten grammatischen Inhalts, von Mu-
hammed Parsa.
Anf. Liz ul o af Jane LE
Gol al Wë 3,45 e35 Al
156) a) le JL. oder EI Abhandlung über das
Gebet, und Rechtsfragen.
Anf. ONE aslöl, M gleja Les,
b) al GH. die Sitten der Brüderschaft,
über das Verhalten gegen Brüder u. s. w.
LE af y) em
» a luz] af.
Anf. «sl» e? geil ul.
o) y Gwela del, JA Ue Us T RUP H4
li] E,» mes, über den Ursprung der
Stadt Derbend und der Bewohner von
Daghestan und aller seiner Grossen.
Eine «sehr rohe» pes Lu, Schrift.
Anf. Jo > Hé SÉ ol o Colis
157) a) A. SE Je ally, Abhandlung über
die Wissenschaft der gegenseitigen Er-
órterung =. Nach dem pers. Katalog wäre
Muhammed gen. Satschakli, al. der Ver-
fasser. Aber in dem Catalogue N° CII, 2) und
CCXLIII, 3) ist als Verfasser Tasch konn) `
In der That steht am |.
Anfange der Abhandlung in der vorliegenden |
angenommen worden.
Handschrift am se e del Gre (Se).
j A. Eine Abbsadlyna. über décsciben x
stand. Text u. Commentar. 8. Catalogue, N
"DOE, 3) u. 5).
Anf. LUls u) Jas Al U.
JA. call Jl all Ai E dech
.... über Prosodie >, all D
Anf. DEE Gul pe li Lie A dil.
d) A: Eli) GES, über Erbvertheilung.
Anf. ge Sal) ns U^ E ues Lil] LS Al all) e
e) A. des las es 3 EN is; AS
Yj del, über die besonderen Benennungen
der verschiedenen Überlieferungen, verfasst
Anf. Sulhidd. i. J. 810 = Apr. 1408, von Ah-
med ibn Aly ibn Hadschr. S. Hadschi Ch.
T. VI, N* 13633. Abgeschr. 1261 — 1845.
Auf. Cs Laos ble J s Js) all sed] E all e
158)a) A. Nach der Etiquette: Chalchaly's Rand-
glossen | Al zu dem LL, des Kaswiny. 8.
Catalogue 8. 190, N° CCVIII. (Bruchstück.)
b) Husain Chalchaly's Glossen iil. zu Bai-
dhawy's Commentar Jo zl]. gh, 5}, über die
Sure 78. Vergl. Hadschi Ch. T. L S. 478.
Abgeschr. Mitte Schewwal 1003 — Juni 1595.
Anf. Alz "Ee L 5 ,2)] "ie A ll al) Jed):
c) Eine astronomische Abhandlung.
Anf. ré de à vus Ce ien 2i
DIR SC? b xe
159) Ein eet: mit dem à allgemeinen Titel auf
der Etiquette: JS A2. EE 4939 ales Ve,
a) A. Das bekannte Lobgedicht el-Burda A La
| Pt mit den VE M):
, A. SL Fünfer, mit auf alle Buchstaben
des Alphabets ausgehenden Reimen AA
Anf. Li, NI A Ss.
c) A. Eine Abhandlung über AL all «das im Na-
men Gottes» in Fragen und Antworten, von
Mustafa Efendi Beduky ,3,.. Abgesehr.
eine 1257 — Febr. 1841. 8. em d).
Lé: d ici ade "II en HN
«dl, Dial e Aa
d) A. Eine WË e über dis Gebet in ur
gen und Antworten. — —
Anf. JUN 5 3) 2v aU dou es) dad
277
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
27$
e) A. well ole pe LS, über arab. Prosodie.
s. N* 1576),
f) A. Gebete. Abgeschr. 1251 = 1835.
g) A. Eine grammatikalische Abhandlung. (Am
Anf. und Ende def.)
7) A. Eine Abhandlung über a, Lob und LÉ,
Dank als cs oi), o orbe u.s. w. (Am
Ende def.)
Ant, Je d Ab e bf A es ell dl All
160) a) aK Je, Aly’s hundert Sprüche, mit Raschid
Watwat’s persischer Paraphrase ; s. N°20, d).
5) LL Dh a sie) ES CAN N Ali)
el sy Je, die aus drei Doppelver-
sen bestehenden Schwurformeln u. s. W.
Anf Jie a Qe af Gus olo db >
lil a] osos Det sde tial,
0) ba (p > 22 4 Lg Jl ez) 25, ein Ge-
dicht, in welchem kein Buchstabe einen Punkt
ESO NE
Anf. 5, f Jle alze al E: Jus « SJL ale ds Le.
~ d) LS cp a Gb, Las ab El ie les Cie >,
d. i. persische Verse, wo abwechselnd das
folgende Wort aus Buehstaben ohne diakriti-
|. sche Punkte besteht.
Anf. Ji J> yet Aa d» us 92 dé po e
e) Folgt ein Gedicht, in welchem jedes Wort
aus punktirten Buchstaben besteht: „=, J3)
(Lët is gë (es ehe, und dann 17
Kreise 51,5, wie die in der arabischen Pro-
^^ godie gewöhnlichen, welche ohne Zweifel auf
diese Zusammensetzung von punktirten und
_ unpunktirten Wörtern Bezug haben, mit der
20... Überschrift: ol à
s tt mi) MIA Tr 4 la D BP tr
f) Jal) ass JU Ae 5, die in der Mitte des
.. M. Sulkada 746 — Anfangs März 1346, von
> Masud b. Ahmed b. Schady (s>li, gen.
Sibt-i-Merhum Emir Muhy-eddin ba.
om
oil Së pr verfertigte pers. Über-
setzung des J 95 eJUf von Aly.
G 9,0
Der erste Spruch ist: all, 3 a sl cle.
Es sind im Ganzen gegen 270 alphabetisch
geordnete Sprüche. S. Fleischer, Ali’s Sprü-
che, S. 65.
g) Die vierzig Überlieferungen mit persischer
Übersetzung.
Auf. ÉS CA geal d ele di Le DI Land
h) Arabische Sprüche mit ersischer Übersetzung;
von dem ersten Spruche ist bloss die persi-
- Übersetzung da; der zweite ist Jes | 3
e
i) ole Y] ase, JUN ao, die Ergötzung der
Schreiber und das Geschenk fürFreunde,
von el- Hasan b. Abdul-Mumin el-Choiy
TE , über Koranstellen, Überlieferungen,
Sprüchwörter und 100 arab. Doppelwerke 2
ins Pers. übersetzt. Die 4 Abtheilungen "m
enthalten: 1) Jolie „5 Aë ol 5! Col Je
ele ; 2).92 dp as eL] H ME Ae
lee Gabel; 9 ls glei jb ab A
ele J? los LU] lisses; 4) Cu Je
Ala) ul Cas er pee sub.
S. Hadschi Ch. T. VI, S. 331, N° 13716.
Anf. pla) ey Le Je ak sil all Jl
D Die Ermahnung Aly’s an seinen Sohn Husain.
Anf. lbs n SC lbe p: los rl o jul Ps
WT usi Gel Je sell ol se * glis
dl gs Hal AL, Ai Le all} Arab. u. Pers.
D Die in eine Erzählung 8 eingekleidete An-
gabe, welche 13 Verse im Koran ohne Van
sl, sind, welcher Vers 16 Mim ez hat u. s. w.
An. dl cal esie Ubi paf aee o ool e pl.
161) Ein sehr reichhaltiges Buch, welches irgend
. . einem kaukasischen, dem Ghasi Muhammed
| ergebenen Mulla angehört haben wird, viele Cu-
| . riosa und unter anderen Folgendes enthält:
€ B. "ës
279
Bulletin de l’Académie Impériale `
280
a) Die 201 Benennungen, welche Muhammed
b) A. pl A Aa ud co ill,
Anf. j
beigelegt werden.
DE
? ese, Gebet von Sidi Abdul-Selam ibn
Maschis? für Sieg und Annäherung an Gott.
+0 0 0» 5^5 yp
LI CES de o Je So, Ls T ell
€) A. Ein poetisches Gebet, von an «à
Anf.
-
Efendi el- -Jeraghy ab 4l.
vem ue 3s, all
All Jo LE ai
di A. Ein Gedicht von dem bekannten Partei-
Anf.
führer Ghasi Muhammed von Gumri (Him-
ri) e, I le abs Le
cl EI 15 we ed
ot) A o Lë
le 5 A end
Los A +, ai À ol
| esp call Jj». W Sel) N-
Hierauf ein anderes Gedicht desselben, wel-
T dk
KEN EI SR y? Si
Lie u$ All Jes JLI e
JA ZEN LI U, 4e.
In einer Nachschrift wird angegeben, dass
dieser Ghasi Muhammed el-Gümrawy im
Kampfe mit den Ungläubigen gefallen sei i. J. |
1248 — 1832 im Anfang des Herbstes (d. i.
17. October). Auch'sei, wie in einer andern
Bemerkung hinzugefügt wird, Hamsa Beg
EL, oje als Märtyrer gefallen Ende Som-
P» mers 1250 = 1834. |
JA. ej ol Ze CN le ses.
Anf. pell; Like # Jus sl; due all L all, A
dk b 0) b sie éi,
Nach der Sohl saah emerin ist das Gedicht
nach: einem Exempl. des Mir Muhammed
Ssadik el-Buchary el-Nakschbendy zl.
gia) ladh geschrieben.
f) T. Gedichte; das erste auf Ghasi Muhammed.
as? she vi SDE CE zul OH el
Aë jb 9 le ol a esl] a s Jib de
bl Ale volle t Spe LÉ dati à
oC „olo JUI D e säll SH, unbe
od xs UN JET « o Ls is ll uL
AT Jbl Enar ae Si x
9) A. Gedichte, ce ersteres so anfängt:
uch, à D oss ves" * WE Tes ll Wis
ef is, Us s 3 Jes Kä EE P 553 kn.
h) A. Zwei Doppelverse, nach der Angabe von
einer andern Hand, wieder von Ghasi Mu-
hammed — Je jle le e Gell le
ped ouo all ali),
- Es sind die folgenden:
1,55 Biel) oU. g e xl, * pos blue Yit
|f el, dl Gs "f * enel Il 15] noi 3
O Genossen! banget nicht! das Feuer ist ihr verheis-
— sener Ort,
Ihr aber werdet Gemeinschaft an den Paradies - Gár-
ten haben.
Fürchtet sie nicht, wenn sie auch alle vereint kommen,
Greift sie an mit der Hülfe Gottes und haltet zusam-
men im Kampfe!
i) A. Eine Erklärung des Abul-Abbas Seÿd
Ahmed b. Isa el- Buny zu der Abhand-
lung des Schaich Nur-eddin el- Dimjaty
über die Namen Gottes | uud] LE
Anf. Ge 5 ECH LY asl] rin C Al eg
261 des Sciences de Saint- Pétersbourg.
k) T. Eine Abhandlung über die besondere Aus-
sprache u. s. w. gewisser Buchstaben beim Le-
sen des Korans, nämlich 1) ls], 2) „LEI, 3)
Anf. gl Le o» All 2 iat soie à ayl p
09 00 - EH, :
DA. Ein Gedicht, welches so anfängt:
ne gb pa ss Lis LJ] LJ
I» 1, , mit vielen SE SE
ein Gedicht zum Lobe Muhammed’s von
Schaich Abdul-Rahim el-Iraky. Vergl.
Hadschi Ch. T. I, S. 416, wo der Anfang
von dem unsrigen Cl
Kat e
n) A. lu} soie. S. Hadschi Ch. T. IV, S.
243. j
Anf. lus idal) 3 ze ph $8 [diis anl 2j del
d A. line cont AN] Poll de 3 ell Sen
en unis. K de
Der Edelstein der Einheitslehre, über
die Kenntniss der Glaubenssätze, welche
jeder Musulman und jede Musulmanin wissen |
muss, von Ibrahim ibn el-Lakany. S$.
Hadschi Ch. T. II, S. 654.
Ant. Je + sl es di d c + age Je dj sd
d 229! us all sae ois s oue yb e
-. P) A. Die vier Verfünffachungen , la des Ge-
dichtes , Al, dessen Verfasser Imam Abul-
-Fadhl Jusuf b. Mul dibn el-Nahwy
“el-Tausery el-Kastalany (55591 ss
bull ist. Die erste Verfünf. | 4.3? ist von
Sain-eddin Omar b. Abdul-Nassir (Bas-
sir?) el-Koraschy el-Kuhy el-Hariry vj» je
vol sl Sl ai) cuc; die zweite,
Von Imam Dhia-eddin Abul-Hasan Aly b.
Jusuf el- Chasredschy ,,»1 xd}; die dritte
von Abu Muhammed Abdullah b. Abdul-
lah b. Nuaim b. Abdullah b. Ibrahim b.
Nuaim el-Hassry "inp el-Kur-
tuby, welcher nur die drei letzten Doppel-
verse nicht machte, welche Ismail el-Semse-
mr, ell vollendete; der Verfasser der vier-
ten ist unbekannt, mit Ausnahme der Ver-
fünf. von 26 Doppelversen; es vollendete das
Ganze der Schaich Muhammed -eddin b.
Ismail b. Aly b. Muh. b. Daud el-Baidha-
wy el-Mekky el-Semsemy „jall. Vergl.
Krafft, S. 61, N° CLXXXIII ; Hadschi Ch.
T. IV, 8.551 s. v. Ae jl aus. Nicoll, S.
515.
Anf. d. Ged. p ye LY K el deus L
Ku s.
In der Handschrift N° 817, S. 175 d. Asiat.
Museums ist auch die & al Ais? enthalten
und als deren Verfasser Abu Muhammed
Abdullah gen. Ibn Nuaim el-Hadhramy
el-Kortuby | 4.3] |. 24] genannt.
Anf. der AP a TM C se? al e
p Jah.
q) T ts rds rus E CG Kaab b.Suhair:
r) A. à T RT r” EUR ein poetisches
Gebet Aly’s.
Anf. „bes EGU # Jell, Al, ad) 15 L 231 É
s) A. Ein Gedicht, welches eine Frau aus t Modius,
gen. cils rl, Tochter des Schaich el-Ka-
rury c), EI. hersagte und dadnrch von
einer zwölfjährigen Blindheit geheilt wurde.
Sie hatte vom ganzen Gedicht nur einen Dop-
pelvers behalten, aber das Ganze wieder von
Muhammed im Traume gelernt; es war näm-
lich von ihrem Mann, der Muéssin (‚5% an
dem Tempel war, verfasst worden.
283 Bulletin de l’Académie — 284
TE thaj er e 6) Ulo, persisches Lexicon. Schewwal 1260
Anf. „> ali 2 * JH ss Ie . us oe di Le s 1844.
38 e Ls ub ah ce pide bs dull, ll ipu
äs LS ANHANG.
t) A. Ein Gebet 5,5, von Muhy-eddinel-Araby?
Ant. bif Al, Gala cias G pys b Ca L ul.
à AE
u) À. Ein Gedicht, welches beginnt:
POIRE old Je abor L
le e all jose.
v) A. Verschiedene kleine Lehrgedichte (525 l) von
Schaich Ibrahim el-Naschiry gót
el-Ssefy el- Hilly, Ibn Hadschr el- Ade
kalany, el-Sojuty, u. s. w.
w) A. Über das Gebet, von Muhammed ben
Abdul-Asis el-Dschesuly el - Resmuky
el-Jakuby sise) Sea dai.
Anf. assa] ado edil do SI p^ Olio:
a) A. Poet. Geb. Auf.) — eg url 4 dj ps)
di e Vi eck d es els (ut L ëlo
Und ausserdem "noch andere Bemerkungen
u. S. w. verschiedener Art.
In Persien lithographirte Werke.
1) um Ë LG, Faszlullah’s alte Geschichte Persiens.
1259 = 1843.
2) (saw OLK, Saady’s Werke. Dschumada I. 1257
— 1841. Tebris.
3) c» &lelis, Hariry's Mie
1856, 7.
4) Der Koran mit persischer Interlinearübersetzung.
Schaban 1260 — Aug. 1844.
5) Der Kamus des Fairusabady, wc 8.1273 =
1856, 7.
1273 —
L
4.
Ueber die Baby in Barfurusch.
Der Inhalt der von mir in Barfurusch erworbenen
oben erwühnten Geschichte der Baby in der genann-
ten Stadt und dem drei Farsach d. i. etwa drei Meilen
von da gelegenen Schreine des Schaich Tabersy
ub & al ist folgender.
Ssalih JLo, ein Bewohner des Stadtviertels Tsche- -
har Schembeh Disch in Barfurusch hatte einen
Sohn Muhammed Aly Katschel (Js, der Kahle).
Der letztere war viel gereist und auch in Mekka ge-
wesen. Er liess sich nach seiner Rückkunft bei seinem
Vater nieder. Er gab sich für «einen Mann Gottes
und den Stellvertreter des Herrn der Zeit» JJ po
obl] Lole elis aus, erklärte die Lehren der Mul-
G 8 für Trug und bloss die seinen für. die wahren.
Er verbot den Genuss des Knoblauchs, der Zwiebeln,
der Rosinen, welche sich nach seiner „Aussage. durch
das Kochen in Wein verwandelten, und der Wasser-
pfeife (Kaliun). Er fand bald eine Anzahl von An-
hängern, welche ihn häufig besuchten. Als er einst
nach einem Mahle sich anstatt der Hände auch den
Mund wusch und überhaupt von dem mit Rosinen ver-
sehenen Plau 5, d. i. Reisgericht, nicht essen wollte,
erkannte man ihn als einen -Anhänger des Bab.
Mulla Kasim erklärte ihn nun für einen Ungläu-
bigen und liess ihn aus Barfurusch vertreiben. Nach
mehreren vergeblichen Versuchen sich wieder da fest-
zusetzen, liess er sich endlich in dem Stadtviertel
Piah-Kulah «JS du nieder. Unterdessen hatte sich
ihm Mulla Husain angeschlossen. Auch von dort
vertrieben, verschwand er auf einige Zeit ganz, trat
aber dann plôtzlich mit etwa 500 Anhängern auf,
und setzte sich in einem Karawansarai auf dem
Grossen Platz (Sebs-i-Maidan) fest. Da alle Ve:
suche von Seiten der Geistlichkeit und der Behór-
den ihn zu vertreiben erfolglos blieben, schickte
man endlich einen Bericht 3ljíz.| nach Teheran.
Der Schah befahl dem Serdar von Lahidschan, Ab-
285
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
baskuli Chan, die Baby auszurotten; ein gleicher
Befehl erging an den Prinzen Mehdykali Mirsa,
2323 Tu) I E dites Jo a 537
Statthalter von Masanderan. Abbaskuli Chan inis | y ki EES A Al Ji Ke He
mit 800 Mann in Barfurusch an, worauf sich die Baby |
nach dem Schreine des Schaich Tabersy zurückzo-
gen und da verschanzten. Sie machten einen nächt-
lichen Ausfall und schlugen die Perser in die Flucht,
welche sich in der Dunkelheit und Verwirrung selbst
unter einander tödteten. Der Prinz Mehdykuli
Mirsa, welcher aus Sari angekommen war, gab den
Rath, die Aufstündischen auszuhungern. Sie wurden
einige Monate lang streng eingeschlossen gehalten,
und mussten ihr Leben mit Pferdefleisch, den Häuten
der Pferde, Blättern und sogar Erde fristen. Endlich
blieb ihnen nichts übrig als sich zu ergeben. Sie ka-
men ausgehungert in einzelnen Partien heraus und
wurden von den Persern ohne Mühe festgenommen.
Man brachte sie nach Barfurusch, wo sie einige Tage
den Leuten zur Schaulust LL dienten. Hierauf wur-
den die meisten getódtet, einige von ihren Freunden
losgekauft. Den Hadschi Muhammed Aly wollte
der Prinz nach Teheran schicken, aber ein fanatischer
Mulla Dschafar, genannt Mulla Dschafar Taa-
sieh Chan (jli & js, erwirkte von dem Vorstand | ©
der Geistlichkeit LL A, einen Erlass an den Prin-
zen, dem zu Folge der Religionsneuerer dem Tode
verfallen war. Der «Schahsadeh» musste sich fügen.
Muhammed Aly wurde auf dem Sebs-i-Maidan
getödtet, sein Kopf in dem Basar zur Warnung Ze
herumgetragen, der Körper verbrannt und in den auf
dem Platze befindlichen Teich Ab] geworfen. Seine
Anhänger behaupteten, er werde nach drei Tagen
wieder lebendig werden.
- Dieses geschah Ende Juli 1849. — Dem Angege-
benen ` aber füge ich ein, dl de čsl) «der Nach-
weis S SEN ECH dem pou hinzu.
: Los:
UNE ee. tal, A AN Ell QU
AE, EN es Dy cll i,
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yd Ep eese os Le dip ali
Lt ol, EU GI el dll es Zeie
RA ol, cass ce di cl ll 57 31 di 3
We sl LG k ES le) ER GR Js RE
4) Al ist sehr häufig ganz wie all geschrieben, aber man sieht
aus der ganzen Handschrift doch, dass es eigentlich All sein soll.
Da der ganze Koran durchaus ohne Vocalzeichen ist, so hat jeder
Leser das Recht sich die Vocale und, mit wenigen Ausnahmen,
auch die diakritischen Punkte als nicht gesetzt zu denken, beide
also nach seinem besseren Ermessen zu ändern. Hier _ sie s0
gegeben, wie sie 9 p giebt.
'! 2?
M
5) Der Mirsa om.
6) Auf einem butmadétel) vielleicht dem ursprünglichen Blatt,
oder: Zë wie es der Mirsa wiedergiebt. -
237
Bulletin de l'Académie Impériale
L 2439 ji
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Koy UL JL al; d oe AL Al Ai
cii a p à 3I Y sil TET VIN
KC bel JU ^; pu al » Uplale Ld p.
JUS) aj] N sre É oe
7) Darüber: Ups, was der Mirsa aufgenommen hat. So
auch auf dem erwähnten Blatte.
Zell a U vllt al us dp out
di 5S SU, a le 5 i;
pr GU ep dl ZE lt, a3 EN
sl ep dl les ed Zell (s ll A
dl das dei a) sa SL, ei il;
Ai DA 5 d Ls Jul, acl 5
Jl ep dl os, JU, AR] s dl AR
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Ga JN SEN c? dl LES JU, Gell
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des Sciences de Saint-Pétersbourg.
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NEN, ZU At JE, à ba] SJ, HAL E
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Tome VIII.
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TEMEN
27. Januar (8. Februar) 1865.
E alli y Tal
Von Masanderan her berichtet man mir, dass die
erwühnte Geschichte der Baby allerdings manches
anders darstelle, als es sich in der That verhalte, da
der Verfasser aus Furcht, selbst für einen Anhän-
ger des Bab zu gelten, die Wahrheit zu sagen sich
gescheut haben könne. In dem Koran möge Einiges
von Bab herrühren, aber für die Echtheit des Gan-
zen stehe man nicht, da verschiedene Umstände den
Verfasser zu dem Versuch bewogen haben könnten,
sich durch die Zusammenstellung desselben die Gunst
oder die Fürsprache eines einflussreichen Europäers
zu erwerben u. s. w. Voraussichtlich wird uns über
diese Fragen Kasembeg’s nächstens erscheinende
Schrift über die Baby genügenden Aufschluss geben.
IL.
Damit solche, denen es dizi gelegen ist, sich :
eine genügende Erklärung der Handschrift verschaffen
können, theile ich einen Auszug aus der Einleitung mit.
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Die in sat deutlichen Taalik geschriebene Hand-
Schrift bietet. dadurch Schwierigkeiten dar, dass die
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diakritischen Punkte sehr häufig nicht gesetzt sind,
. | was namentlich bei Eigennamen und technischen Aus-
drücken störend ist. Wir finden das gleich bei dem
Namen des Verfassers des Buches selbst, welcher
durch die oben gesetzte Linie bezeichnet ist: ws
aaa Lesch Kusä (Sannyäsin?) Bignianbesara?,
unter welchem wohl Vijnänesvara verborgen ist.
Der Inhalt der Einleitung aber lässt sich so zusam-
menfassen:
1) Dschak"') Walk (Yäjna-Valkya), ein e ef
« Râjarshi (?)», verfasste ein Buch in Versen
über die religiösen Satzungen und Verbote der
Inder, bekannt unter dem Namen Smriti «5 jow.
2) Da dieses Buch sehr schwer zu verstehen war,
so unternahm ER zu Luo gelaf(Vijhänesvara?)
es Allen zugänglich zu machen. Er commentirte
es, traf eine Auswahl aus den andern «Smri-
tis» und den Angaben der uls) « Ragha-
schran» und nannte sein Werk Mit-Atschhara,
d. i. da «L4» in der Sprache der Inder 3)
wenig, Lu = EIS Worte, Auseinander-
setzungen, bedeutet, ein Werk in kurzer Fas-
sung. Das ist ohne Zweifel Mitäkscharä. Vergl.
Stenzler 1. c. S. V.
3) Laal Behary, ein Bewohner von Bhutschpur,
zu Schahabad gehórig, und Schützling Allah-
werdi Chan’s, eines der höchsten Würdentrüger
des Kaisers Aurengseb, fand, dass zwar früher
viele indische Bücher ins Persische übersetzt
worden waren, aber noch keines, welches über
die Satzungen und Eigenthümlichkeiten der Re-
ligion der Inder genügenden Aufschluss gebe. Er
beschloss daher i. J. 1068 — 1657, 8 unter den
Auspicien (on the authority) «5,5% des Subaskar
Pandit aus Islamabad das oben genannte Werk
ins Persische zu übersetzen. Es ist, wie schon
angegeben, in drei grosse Abtheilungen allis ge-
theilt. Die erste enthält 29, die zweite 45, die
dritte 69 Abschnitte Jas.
Am Ende finden wir noch folgende Bemerkung:
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s Cusle as], Jae j> usb af pie pa ET
11) Einige Mal ist Sl, Tschak (Tschag?) punktirt. Ich über-
lasse es Anderen zu entscheiden, welche Form die pem ist.
295 Bulletin de l’Académie Impériale 296
oil NET él, EN —— « Dieses ist die Übersetzung gelesen und studirt ( (uk hd: 1) e t 2) &
des Mit-Atschhara, welches Bingatebsara (oder
Bingatesbara) indisch verfasst hat. Man nimmt an,
dass derselbe in der Zeit des Radscha Biker
dschit (Räja - Vikramäditya) seinen Commentar
oder seine Erklärung der Smriti des Dschak Walk
geschrieben hat.» Würde man mit der Setzung der
diakritischen Punkte frei umgehen können, zumal un-
sere Handschrift gegen 146 Jahre nach der Verferti-
gung der Übersetzung geschrieben ist, so hätten wir
in Jay Bigniänesbara (d. i. da o = s u.
= gl Widschnianeswära, Vijfánesvara.
nv
Ahmed b. Abdul-Munim sl Ae b. Jusuf b.
Ssaiyam plo el- Demenhury el- Medhahiby el-
Ashary sa] el ll (+ 1192 = 1778) war in
Demenhur, einem Flecken bei Alexandria (s. Lex.
geogr. ed. Juynboll s. v.) i. J. 1101 — 1689, 90
geboren. Er kam als ein kleiner, verwaister Knabe
ohne allen Schutz in die Ashar (Moschee) und be-
schäftigte sich da mit solchem Eifer und Fleiss, dass
ihm die Gelehrten von den vier bekannten Glauben-
meinungen (Hanbaliten, Schafeiten, Malekiten und
Hanefiten) Diplome gaben. Er wurde endlich selbst
Schaich an der Moschee el- Ashar selg) äsıie Js;
P nach dem Tode des Schaich el- Sidschiny
el ail]. Er stand in grossen Ehren bei Hohen
und Niedrigen, ja die Emire ; A fürchteten ihn we-
gen seiner strengen Gerechtigkeitsliebe. Im J. 1177
— 1763, 4 wallfahrte er nach Mekka, wo ihm sämmt-
liche Gelahrte mit dem «Reyis» | 5; ihre Aufwartung
machten. Bei seiner Zurückkunft z nach Kairo brachte
ihm der Schaich Abdullah el- Edkawy ,55k53] in
einer eigenen Kasside seinen € dar, in
welcher er unter anderem sagte: cal lb, Le vis
Obl Sall se Le Line # Cail, «wir sind er-
freut; es ist gute Zeit geworden, unsere Brust ist er-
weitert, da die Rückkehr zum Wohnort nun glücklich
Statt geden hat».
Unser Schaich hatte bei den gelehrtesten Männern
seiner Zeit ausser vielen anderen, folgende Schriften
12) Nach Gabarty's Geschichte von Ägypten; s. meine Be-
eibung von drei astronom. Instrumenten u. s. w. S. 72, N° VI.
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n ial 14 ) ade (6 UI Eg C uw br pie el,
15) Ae AU à SU) a 16) sole ee 3»
17) gl oi es il Joel pri 18) à i syll iym
19) 3, , ju] clou, 20) Js] âne}, 21) Rer 2)
All, 23) + | prés 24) iem Cor "dos
=, 25) Jahl), 26) às 521,27), Kl, 28) solali),
29) à LJ, 30) iL. ll, 31) à ll ie, phe
il; JJ ai, Js, 33) all „ie, 34) FI Ré
okl, 35) ust] all 8 dat pull, 36) 501]; 87), Ki
AUS, 88) all la, ao
40) bill JE], 41) geed, 42) sol, Lil, 43)
GL Jos] ls JL, 44) LE «ul al,
LEN 3, 45) sol cul 3>- Die unter 28 u. 29
angeführten Schriften hatte er bei Schaich Sala-
mah à». el- Faijumy, die unter 30 — 32, bei
Abdul-Fattah el-Dimjaty gelesen. Von el- dal
tery (c ell hatte er die Lehre von der Zeitbe-
stimmung, Arithmetik, über die mit Sinus versehenen
E, el-Mukantarát und el-Munharifät gelernt.
^a 3 sal}, St olad, coll L eeh ur Jah;
Sli, Nähere Angaben darüber findet man in
dem Verzeichnisse C» seiner Schaiche oder Leh-
rer, betitelt: à Aa Al ul) 3 à p All, Von
seinen eigenen Schriften führe ich folgende an:
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13) ans, JL Jo ial] sai, |
14) „LS Jas ll je ld vi e^
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16) ola, Al Al Je Sabla) JI.
17) Jl ge de e os LAN ab.
18) plis, Y e, Je Cl ioys.
19) él de 3 oll Jall. e
20) à lil), pas all rie Je i pl) às] el).
21) uha) Lois u? "Ur Vu was.
22) All cols u lol) die.
23) aldi CH U sU JJ.
24) Sul), cl de SU ais.
25) Cu Al Assis,
26) à, él ead] ëss & Al Aal,
27) eo jd] pu) ch Go Jill.
28) e aanl Al, o, a] a Le) 8 OI „un
29) ell de A „u ell.
30) SI Zei Al JL) e.
31) OI Je (3 ill als zi A3 iiy all
32) Jc JI de Ad à Abel p.
33) e aJ] Le oe el Ar à] e
und noch andere.
Die unter N° 3 genannte Schrift ell gel ist die
Uns vorliegende. Die Grundschrift d» S de scala
nitens de doctrina logicae (s. Hadschi Ch. s. v.) war
ein Gedicht 5j,» j| über die «Isagoge» (s. Catalogue
N' CV, 1), 8.69 u. s. w.) von Schaich Abdul-Rah-
U
man b. Seyid Muhammed el-Ssaghir (dem Klei-
nen) verfasst i. J. 941 = 1534. Der Anfang dieses
Gedichtes L js] (sl A0 sed) wird natürlich auch in
unserem Commentar erklärt. Unser Verfasser ist
nicht zu verwechseln mit Muhammed el-Halbawy
e sall, bekannt unter dem Namen el-Demenhury,
welcher i. J. 1193 = 1779 starb und ein gelehrter
Rechtskenner und Dichter, und Secretär bei Aly Beg
war. Gabarty theilt ein langes Gedicht von ihm mit.
Zwei andere Commentare über die (Logik) Leiter
L waren von einem andern ägyptischen Gelehrten
Schaich Ahmed b. Abdul-Fattah b. Jusuf b.
Omar el-Madschiry el-Meluwwy P "mn
Schafiy el- Ashary (+ Mitte Rebi I. 1181 = Au-
gust 1767) verfasst. Er schrieb überhaupt viel. *1—2)
zën Al hu) U^ e Ql, 3 — 4) ES LL,
Seal (Je, 5) all Je o 2,6) es dl, Je pois
Yn v pE, 8) seill isic pyi, 9) sic
Lë Saz pri Je 229! (geendigt iJ. 1123 =
1711), 10) leis dell pbs, 11) Ze JL, es
jUl plas, 12) p ol Je ollo rt
Randglossen über die «Leiter» schrieb ferner der
Logiker Schaich Abul-Hasan b. Omar el-Kalaiy
elil) (+ 1199—1784, 5) von dessen Schriften wir nen-
nen: 1) « ell je (esM) ial, 2) JU, de iub
KH vr G JS) sol Aë el, 3) Me À
ull LI zoll le dell Suel pui lo, 4)
Si QUS je ail, JI la si Jl
d ell, 5) ur u els 3 SES.
Er hatte unter Anderen auch bei Hasan Gabarty,
dem Vater des Geschichtschreibers, über Logik,
Astronomie und Geometrie gehört Le 331). ;
DerSchaich Muhammed b.Abdul-Rabbihi, gen.
Ibn el-Sitt Call sl, D 1199 = 1784, 5), schrieb
ebenfalls über die Logik ‚und andere Gegenstände,
z: B.: 1) & jl Je gl) Je iil, 2) Je iss
abli 3 esee, 3) peas! | Je Jill Je Zeil, 4)
à bisah je 426, 5) OE i Je u 6) ee
sapie 000
Bulletin de l'Académie Impériale
|
Über die Disputirkunst = schrieb auch Schaich
Ahmed b.Muhammed u.s.w.el-Adawy essel el-
Maliky el-Ashary el-Chalwety ll ssel ,gen.
pyd) (geboren unter den {sue | Beni Ady i. J.
1127—1715,11201—1780,7). T LIT De
werden Piper: y, ja? lod 155,2) GE |»
bt fem Y DER 5) Jol I E ge äis’
ayal 3 ulil, 6) e a Af el Se Je el
Cr, 7) o» AR PE E D Jl dh d Jie p p»
WS AE 8) CL, All di al, 9) Ji) à dl,
ol, 10) 2) celos b abl Js D Su lil
al JAN, al je eara Fes ge t
4, 12) Hl My Hell (à dl, Je e
13y c) jl) tb; 14) i ell de c er ho
LA Jj T 17) à) A cula 3 A Jj mit
dem Titel: 3 Jal | Je sell (à 3, UE 5 ell, 18)
redi À ml La Y «syll, 19) 2L] as fS ego?
E 20) jl Ae Jar Le bal, LA ble ALA)
uam ok " Jis 4s à ol; ER ve EH
d a SU] u.s, w.
. Ferner el- Schach Mnhammed ibn Aly el-
Ssahhan übll el-Schafiy (+ 1206 = 1791, 2),
der Verfasser folgender Werke: 1) vais Js ail,
Den ule plal D de ail, 3) Je ale
J ge y) DR MN de Se 5) Al,
pun JI à iabe, 6) Le 2s os all e Qd deb;
7) „u Jal ah ‚Bi, 8) csl Sni Je iil, 9)
eod] Abos (3 iezbis, 10) dell 3 all, iDisk
üllls li 3 i Je, 12) ala] Je lle,
Sr ssie, 13) Jaio 3 Alan, 14) bus (3 Ae be
e alg) Al, ), viele Gedichte u, s. w.
Dann Schaich Aly, gen. el-Tahhan cL] (+ Ende
Schabans 1207 = März 1792), der Verfasser von
folgenden. Werken; 1) am) (3 ängbie, 2) (3 side
All, 3) re ee
uns i +) mew : à Ae sls, 6) El d ad A ie his,
ORT NP POTINS ae) Kle Je ul,
8) an de (el ei de és
Endlich der Logiker ad Schaich Ahmed b.
Junis el-Chalify el-Schafiy el-Ashary (gebo-
ren 1131 = 1718, 9, aei 1209 — 1796, 6),
der Verfasser von: 1) | de N) | & wu ‚Je agis
sl i à ue U^ T JŠ Je Gë
Garg d ^d) ehe SEI dp pa & ge
5) al 3 Assel pi de iil 6) Urs de exl
a lll, 4 Nen 7) A Ji adl ole prés 8)4JL.;
de 5 3 9) al, :
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(Die mit einem * bezeichneten Schriften befanden sich früher nicht
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* old) „= 125).
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* oèb olal AS ps Ae 116).
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* yell de Ales Ule 155, à.
e Olyas d, 20, f), 20, A)
e S.l] , 23) 1.
13) In den Indications bibliographiques, St. Petersb. 1845 N° 108
ist der obige Titel «Biographie des Rois» übersetzt. Das Werk han-
delt davon, wie ein Kônig sich in verschiedenen Hinsichten zu ver-
halten hat, was hier durch A Plur. von Oe, das Verhalten,
die Lebens- oder Handlungsweise u. s. w. bezeichnet wird.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
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+ JU] KMA 154, f).
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* T tiene 97).
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* ln) sosie 161, n).
* Jl WE BE 160, C).
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* uel 4, €).
ues LS 157, d).
* us usi dL, 3, a), 4, c).
| Sill à gh 259.
` e alli de die able la 24, 7# 159, o).
às dall
14) Vergl. Fleischer, Codd. Bibl. Senat. Lips. p. 511.
Tome VIII.
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15) In der Handschrift FRA
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Ordnung brachte. Vergl. Krafft, S. 155.
17) In der Handschrift steht 52.
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309 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 310
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* ep, OS 20, e).
* A ol ip Je des 160, 1).
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* urbe olè ali eer 44).
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Nachbemerkungen.
S. 248, 2): Ibn Hadschr, bei den Orientalen ge-
wöhnlich: Ibn Hadschar js* uil. S. 250, 5): el
Fera l. el- Ferra. S. 251, 14) Amuly; s. Nessel-
mann, Essenz der Rechenkunst, S. 74, u. Sprenger,
Tusy's list of Shyah books; pref. S. 2. Chardin, ed.
Langlés, T. VI, S. 326 übersetzt «Gebel amely» durch:
l'entasseur des montagnes. Über älele Js, s. Dimesch-
ky, ed. Mehren, S. 211. Die richtige Aussprache
scheint jedenfalls Amily oder Amely. S. 252, 17)
ist so zu fassen: AE aise, das vollkommene
Buch. Sammlung von Gebeten vom Imam Aly ibn
el - Husain. Vergl. «Catalogue» N° LX. In dem persi-
schen Katalog: j> Ca] oj sede LAS Al A use LUS
dl JE Ole Al Aa ie vlt aal ami Clos
Ele I Leck Jeil) A S. 254, HL ell.
8. 262, 70)1. „Lil. S. 264, 91) 1. bi » ell u.
ws. 8.266, 118) 1. all. S. 267, Z. 1 L. ben
Muhammed. S. 272, t) äly 1. JL. (nach der im Bu-
` f$ cn n
che befindlichen Überschrift). Les „5 Lf (S. 268,
c) ist aus der Handschrift entnommen; s. d. Register.
Über die Einwirkung von Natriumamalgam auf
die einfach nitrirten aromatischen Kohlen-
wasserstoffe der Formel €, H. von A. We-
rigo. (Lu le 12 janvier 1865.)
Es ist mir bekannt geworden, dass Hr. Jaworski
der kaiserlichen Akademie der Wissenschaften eine
Abhandlung über die Einwirkung von Natriumamal-
gam auf Nitrotoluol zugeschickt hat. Da ich über den-
selben Gegenstand schon früher, als Hr. Jaworski
und zwar in weiterer Ausdehnung gearbeitet habe, so
ersuche ich die Akademie auch meiner Abhandlung
Aufnahme in ihr Bulletin zu gestatten.
Auf die Veranlassung von Professor Strecker habe
ich im Wintersemesier des Jahres 1863 die Einwir-
kung von Natriumamalgam auf Nitrobenzol studirt.
Die Resultate dieser Untersuchung wurden im De-
cember 1863 vorläufig, und im März 1864 vollstün-
dig an das Unterrichtsministerium mitgetheilt. Die
Untersuchung wurde auf folgende Weise ausgeführt.
Zu der alkoholischen, mit Essigsäure angesäuerten Lö-
sung von Nitrobenzol wurde Natriumamalgam in klei-
nen Portionen zugesetzt. Die Flüssigkeit erwärmte
sich dabei, Wasserstoffentwickelung wurde aber nicht
wahrgenommen. Bei dieser Einwirkung lassen sich 3
Stadien erkennen. Zuerst scheidet sich aus der braun
gefärbten Lösung ein braunes Öl aus, nach einiger
Zeit schlägt Wasser ein braunes krystallinisches Pul-
ver nieder, endlich aber entfärbt sich die Lösung, ver-
liert den Geruch nach Nitrobenzol, und Wasser schlägt
dann ein weisses krystallinisches Pulver nieder. Das
braune Öl ist ein Gemisch von unzersetztem Nitroben-
zol und neu gebildetem Azobenzid. Es soll auch Azoxy-
benzid enthalten, wie dies aus der Mittheilung des
Hrn. Alexejeff ") hervorgeht. Ich habe diesen Theil
nicht weiter untersucht, weil ich hoffte Azoxybenzid
auf anderem Wege zu bekommen. Das braune krystal-
linische Pulver besteht aus Azobenzid mit Beimischung
von Benzidin und Nitrobenzol. Es wurde in Alkohol
aufgelóst, das Benzidin aus der Lósung durch Zusatz
| von Schwefelsäure abgeschieden und das Azobenzid `
durch Umkrystallisiren in Gestalt von rothen rhombi-
schen Blättchen von 65? Schmelzpunkt rein erhalten.
0,2742 gr. Subst. gaben 0,7941 EO, und 0,1527
HO. 2
1) Erlenmayer’s Zeitschrift, 1864, pag. 348. >
Bulletin de l’Académie Impériale
311
Berechnet Gefunden
€, 144 79,12 78,98
H. 10. 5,49 6,18
N, 28 15,39
182 100,00
Der bei weiterer Einwirkung von Natriumamalgam
erhaltene weisse Niederschlag ist Benzidin. Er wurde
aus der alkoholischen Lösung durch Schwefelsäure
ausgefällt und das schwefelsaure Salz in schwacher
siedender Amoniakflüssigkeit gelöst. Beim Erkalten
der Lösung schied sich das reine Benzidin in Gestalt
von silberweissen Schuppen aus.
0,2794 gr. Subst. gaben 0,7962 CO. und 0,1750
gr. RO.
Berechnet Gefunden
€, 144, 78,26 77,72
Haei 12,0. 6,52 6,95
N4.n:2B 15,23
184 100,00
Ich habe ferner die Einwirkung von Natriumamal-
gam auf Mono- und Dinitroazobenzid versucht, aber
keine zu näherer Bestimmung tauglichen Producte er-
halten. Nur ist zu bemerken, dass bei der Einwirkung
von Natriumamalgam auf mit Essigsäure angesäuerte
oder alkalische alkoholische Lösung von Mononitroa-
zobenzid eine violette Färbung entsteht, welche bei
Dinitroazobenzid nur in alkalischer Lösung sichtbar ist.
Die directe Addition von Wasserstoff zu Azobenzid
machte es mir wahrscheinlich, dass auch Brom oder
Jod sich zu diesem Körper addiren würde. Diese
Vermuthung hat sich bestätigt. Bei der Berührung von
Brom mit Azobenzid lässt sich sogleich eine starke
Erwärmung bemerken, so dass es nothwendig ist, die
Reaction durch Abkühlung zu mässigen. Das Azoben-
zid löst sich in Brom ohne dass dabei eine Bromwas-
serstoffentwickelung bemerkbar ist. Beim Erkalten er-
starrt die Flüssigkeit zu einer Masse von nadelförmi-
gen Krystallen, die in Alkohol ziemlich schwer löslich
sind. Wenn man die Reaction nicht durch Abkühlung
mässigt, so erwärmt sich die Flüssigkeit mehr und
mehr, dann findet plötzlich eine starke Gasentwicke-
lung statt und es bleibt eine harzige aus Alkohol nicht
krystallisirbare Masse. Die auf die beschriebene Weise
erhaltenen Krystalle wurden durch Umkrystallisiren
aus Alkohol gereinigt. Sie schieden sich aus der Lö-
ge
sung in Gestalt von kleinen, schwach gelben, goldglän-
zenden Nadeln ab. Aus der Mutterlauge bekommt man
ziemlich viel von unverändertem Azobenzid, trotzdem
dass Brom im Überschusse vorhanden war. Die Brom-
bestimmung wurde zuerst mittelst Natriumamalgam
versucht. 0,4355 gr. Subst. wurden in Alkohol sus-
pendirt, und zu dieser mit Essigsäure angesäuerten
und erwärmten Flüssigkeit wurde Natriumamalgam
zugesetzt. Es löste sich nach einiger Zeit dabei Alles
auf und die Flüssigkeit fing an sich allmählich zu ent-
färben. Eine totale Entfärbung lässt sich aber nicht
erreichen, sogar nicht nach einer lange andauernden
Einwirkung von Natriumamalgam. Die schwach gelb-
liche Flüssigkeit setzte bei Zusatz von Wasser gelbe
krystallinische Flocken ab. Das Filtrat gab mit Sil-
berlösung nur 0,3255 gr. AgBr, = 0,138510 gr. oder
31,80%, Br. Die Einwirkung von Brom auf Azo-
benzid könnte in einer directen Addition oder in ei-
ner Substitution von Wasserstoff bestehen. Die Addi-
tions- und Substitutions-Producte sollten folgende pro-
centische Zusammensetzung haben:
Additionsproduct. Substitutionsproduct.
€, 42,10 €, 42,85
AUS He TM
N, 8,920 RE UT.
Br, 4 46, 6,78. Br, 47,06
100,00 100,00
Die erhaltenen Resultate stimmen mit keiner der
beiden Formeln, das Bromproduct war also nicht voll-
ständig durch Natriumamalgam zersetzt worden. Ein
Theil der durch Wasser abgeschiedenen krystallinisch-
flockigen Substanz wurde gesammelt und in Alkohol
gelöst. Die alkoholische Lösung: giebt bei Zusatz von
Schwefelsäure einen weissen. Niederschlag, der sich in
kochender schwacher Ammoniakflüssigkeit lóst und
beim Erkalten weisse krystallinische Schuppen (Ben-
zidin?) absetzt. Ein anderer Theil der Substanz wurde
auf Brom untersucht und zwar mit Natrium erwürmt,
das Product in Wasser gelöst, die Lösung mit salpe-
tersaurem Ammoniak versetzt und im Wasserbade
verdampft. Die wässrige Lösung des Rückstandes gab-
mit Silberlösung einen Niederschlag, der in schwa-
chem Ammoniak unlöslich war.
Die Brombestimmung durch Verbrennung mit Kalk
gab folgendes Resultat: 0,1631 Substanz gaben 0,1784
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
314
gr. AgBr, = 0,075915 gr. oder 46,55 ”, Br, was
sehr gut mit der procentischen Zusammensetzung des
Additionsproductes übereinstimmt.
Die Verbrennung mit chromsaurem Bleioxyd und
metallischem Kupfer lieferte folgendes Resultat:
0,2780 gr. Subst. gaben 0,4298 &O, und 0,0679
HO.
Berechnet Gefunden
€, 42,10 42,16
BUTS 2.71
I^ HM
Br, 46,78 46,55
100,00 `
Das erhaltene Additionsproduct ist ziemlich schwer
lóslich in Alkohol. Es scheidet sich aus der alkoholi-
schen Lósung in Gestalt von schwach gelben gold-
glänzenden Nadeln aus, welche beim Erhitzen schmel-
zen (ungefähr bei 205^) und in Gestalt von irisiren-
den schwach gelben, ziemlich grossen Nadeln sublimi-
ren. In Äther ist das Product ebenfalls schwerlöslich.
Concentrirte Schwefelsäure löst es beim Erwärmen
mit rother Farbe, uud bei Zusatz von Wasser schei-
den sich hellbraune Flocken aus; wenn man aber eine,
stark gesättigte heisse Lósung unter Feuchtigkeitsab-
schluss sich selbst überlässt, so bilden sich nach einiger
Zeit nadelfórmige Krystalle, welche noch nicht unter-
sucht sind. In starker Salpetersäure löst es sich beim
Erwürmen gleichfalls vollkommen, und aus der Lösung
schiessen beim Erkalten strohgelbe Nadeln an. Diese
wurden zuerst mit Salpetersäure und dann mit Wasser
ausgewaschen, über Schwefelsáure getrocknet und mit
chromsaurem Bleioxyd und metallischem Kupfer ver-
brannt. 0,2193 gr. Subst. gaben 0,3040 GO, und
0,0437 H,O. Die Ergebnisse dieser Analyse stimmen
ES e der procentischen —— des Mo-
s des Dibromazobenzids.
Berechnet Gefunden
€, 144 37,21 37,80
| H, 7 29 Ka EE
EE Ee |
. Br, 160 41,34
Vs 02 S27
387 100,00.
Der in ziemlich langen strohgelben Nadeln krys-
tallisirende Körper ist in Alkohol sehr leicht löslich.
Beim Erwürmen schmilzt er zuerst zu einer Flüssig-
keit, die bald in’s Kochen geräth und bei höherer
Temperatur Zersetzung erleidet.
Ich habe ferner versucht, Mono- und Dinitrosubsti-
tutionsproducte des Dibromazobenzids aus Mono- und
Dinitroazobenzid darzustellen, aber es zeigte sich, dass
Brom unter den gewühnlichen Bedingungen sich mit
nitrirtem Azobenzid nicht verbindet. Auch habe ich die
Einwirkung von Brom auf Benzidin untersucht, in der
Hoffnung, ein mit dem dargestellten Additionsproducte
identisches oder isomeres Substitutionsproduct zu er-
halten. Brom wirkt auf Benzidiu — heftig ein, es
scheint dabei eine Gasent ttzufinden und es
entsteht ein grünliches Pulver, den? in Alkohol, Âther
und Wasser fast unlöslich ist. Starke Salpetersäure
löst dieses Product beim Erwärmen mit blutrother
Farbe auf und bei Zusatz von Wasser scheidet diese
Lösung braune Flocken ab. Concentrirte Schwefel-
säure löst das Product gleichfalls mit rother Farbe und
scheidet mit Wasser grünliche Flocken ab. Weitere
Untersuchungen wurden damit vorläufig nicht unter-
nommen.
Unlängst hat Fittig?) auf einem ganz anderen Wege
einen Körper von der Zusammensetzung €,,H,,N,Br,,
welchen er Dibrombenzidin nennt, erhalten. Dieser
Kórper ist in seinen Eigenschaften sehr verschieden
von dem hier beschriebenen Bromadditionsproducte
und ist folglich mit diesem letzteren nur isomer, kei-
neswegs aber identisch.
Indem ich zunächst die Homologen der von mir er-
haltenen Bromadditionsproducte studiren wollte, habe
ich in dem Universitütslaboratorium in Zürich die Stre-
cker'sche Reaction auf die Homologen von Nitroben-
zol angewandt und habe dabei aus sämmtlichen Glie-
dern dieser Reihe krystallinische Kórper bekommen.
Die Methode habe ich nur soweit abgeändert, dass
ich die nach der Einwirkung von Natriumamalgam vom
Quecksilber abgegossene Flüssigkeit durch Abdestilli-
ren von Alkohol eingetrocknet und dem möglichst
trocknen Rückstande die. Verbindung durch wasser-
freien Âther entzogen habe. Die ersten Resultate die-
ser Untersuchung veröffentlichte ich in einer am 5.
August an Erlenmayer's Zeitschrift eingesandten vor-
läufigen Mittheilung. Später, nämlich am 19. October
2) Aun. d. Chem. und Pharm., Bd. CXXXII, pag. 208.
315
Bulletin de l’Académie Impériale
hat Hr. Jaworski die Analyse des von mir angekün-
digten Azotoluids geliefert. Diese Umstände nôthigen
mich schon jetzt meine unvollendeten Resultate zu
veröffentlichen, wobei ich mir jedoch eine ausführliche
Abhandlung vorbehalte.
Der durch die Einwirkung von Natriumamalgam
auf Nitrotoluol entstehende krystallinische Körper ist
Azotoluid, wie die folgende Analyse beweist.
0,1202 gr. Substanz gaben bei der Verbrennung
0,0685 gr. HO und 0,3520 gr CO.
Berechnet Gefunden
€, 80,00 79,87
NA 6,67 6,83
N 13,33
100, 00
Aus heissem Alkohol scheidet sich das Azotoluid in
Gestalt von mehr als zolllangen morgenrothen Nadeln
aus. Es löst sich in Äther leicht auf. Beim Erhitzen
schmilzt es bei 137° und sublimirt dann ohne Zer-
setzung. Gegen Brom und Wasserstoff verhält es sich
ganz so, wie ich es vom Azobenzid angegeben habe.
Mit Brom erwärmt es sich beträchtlich ohne eine Spur
von Bromwasserstoff zu bilden. Nach dem Verdunsten
des Bromüberschusses hinterbleibt eine röthlich ge-
fárbte Masse, das Bromadditionsproduct, welches aus
heisser alkoholischer Lösung in Eorm sehr kleiner
warziger Krystalle anschiesst. Beim Erwärmen zwi-
schen zwei Uhrgläsern sublimiren dieselben und setzen
sich in Gestalt irisirender Nadeln ab, ohne dass Brom-
wasserstoff gebildet wird. Obgleich ich diesen Körper
noch nicht analysirt habe, so kann derselbe nach synthe-
tischen Versuchen nichts anderes sein als G,,H,,N,Br..
Behandelt man die alkoholische Lösung des Azoto-
luids nach Essigsäurezusatz von neuem mit Natrium-
amalgam bis zur Entfärbung, so entzieht Äther dem
troeknen Verdunstungsrückstande einen in glimmer-
ähnlichen, fast farblosen Blättchen krystallisirenden
Körper, dem die Formel €,,H,;N, zukommt, der also
dem Hydrazobenzid oder dem Benzidin entspricht.
0,1247 gr. Subst. gaben 0,0868 gr. H, O und
0,3637 gr. GO...
EE Gefunden
£u, 79,25 79,54
He 7,55 7,73
N, 13,20
100,00
Ganz auf dieselbe Weise wie zu Nitrotoluol ver-
hält sich Natriumamalgam zu Nitrocymol, welches aus
dem Cymol des Römischkümmelöles dargestellt wurde,
Der so gewonnene krystallinische Körper bildet kirsch-
rothe dünne Tafeln von ausgezeichneter Schönheit und
bis zu fast einem Zoll Durchmesser. Die Analyse be-
stätigte die Zusammensetzung € Haş N, des hes:
mids.
0,1024 gr. Subst. gaben 0,0839 H,O und 0 ‚3074
gr. CO.
Berechnet Gefunden
C4. 81,63 81,88
Ne 8,85 9,10
N, 9,52
100,00
Mit Brom giebt Azocymid unter den oben ange-
führten Erscheinungen ein in platten Nadeln krystal-
lisirendes Additionsproduet. Bei weiterer Behandlung
mit Natriumamalgam entfärbt sich die Lösung, wie
die des Azotoluids, beim Stehen an der Luft indessen
wird sie wieder roth. Der Schmelzpunkt des Azocy-
mids liegt bei 86 °. Diese auffallende Erscheinung ver-
mag ich noch nicht vollständig zu erklären. Die Un-
tersuchung des entsprechenden Abkömmlings des Cy-
mols aus Steinkohlentheeröl, mit der ich beschäftigt
bin, wird vermuthlich Aufschluss darüber geben.
Auch Nitroxylol und Nitrocumol liefern bei der
Einwirkung von Natriumamalgam rothe krystallinische
Körper, welche ich indessen noch nicht analysirt habe.
Unzweifelhaft sind dieselben jedoch Azoxylid und Azo-
cumid. In nächster Zeit werde ich diese Verbindungen
analysiren und zu vergleichenden Studien ihrer Ei-
genschaften übergehen.
Universitäts- Laboratorium Zürich,
den 30. (18.) December 1864.
Über den Feldzug des Darius gegen die Scythen
i. J. 513. Eine historisch-strategische Untersu-
chung von Friedrich v. Smitt, correspondi-
rendem Mitgliede der Akademie. (Lu le 24 no-
vembre 1864.)
Die Frage über diesen Kriegszug der Perser ist in
neuerer Zeit ófter in Anregung gebracht worden,
ohne dass, wie es scheint, eine befriedigende Lüsung
^
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
erfolgt wäre, wie es bei der Unbestimmtheit der vor-
liegenden Notizen nicht anders zu erwarten war. Der
Schreiber dieses hatte sich schon vor langen Jahren
sein eigenes System darüber gebildet, von welchem er
im Jahr 1834 dem Hrn. Staatsrath Professor v. Eich-
wald, der sich damals mit seinem Werk über die alte
Geographie Russlands beschäftigte, mehrere Ideen mit-
theilte, wie z. B. über die wahrscheinliche Verwechse-
lung eines Binnensees um Pinsk herum mit dem Maio-
tischen See, des Tyras mit dem Tanais, und die daraus
hervorgehende ganz verschiedene Richtung der persi-
schen Expedition. Hr. v. Eichwald hat diese Ideen
benutzt sowohl bei seinem Aufsatz in den Dorpater
Jahrbüchern (Juli 1834), als auch später in seinem
grössern Werk über die alte Geographie Russlands.
Da man sie aber nachmals angefochten und behauptet
hat, Darius wäre bis in die Gegend von Saratow und
weiter vorgerückt, so glaubt der Urheber derselben
selbst die Feder ergreifen zu müssen, um sie näher
darzulegen und zu vertheidigen.
Die Darstellung Herodots im 4ten Buch seines
Werks über das Scythenland und den Feldzug des Da-
rius ist sehr allgemein, unbestimmt und widerspre-
chend. Doch dürfen wir den Vater der Geschichte
nicht zu hart anklagen, wenn wir erwägen, wie die
Kunde neuer unbekannter Länder erworben wird.
Nicht auf einmal tritt ein richtiges Bild derselben her-
vor, sondern wird nur nach und nach durch viele fortge-
setzte Forschungen und Untersuchungen geschaffen.
Erinnern wir uns, wie in neuester Zeit die Kunde des
innern Afrikas gewonnen ward; wie die ersten unbe-
stimmten Angaben durch folgende Reisende näher be-
stimmt, berichtigt, erweitert wurden ; wie viel heroische
Selbstaufopferung kühner und unternehmender Männer
dazu gehörte, uns jene noch ziemlich dürftige Kenntniss
zu erwerben, die wir vom Innern Afrikas besitzen; be-
denken wir, sage ich, diese Schwierigkeiten, so wird
es uns nicht befremden, dass es Herodot, als dem er-
sten Berichterstatter über die unbekannten scythischen
Lünder, nicht viel besser ergangen ist, und dass er bei
vielem Neuen, Wahren, durch die Folgezeit Bestätig-
ten, auch vieles Unrichtige, falsch Verstandene und
durch Fabeln und griechische Ausschmückungen Ent-
stellte vorgebracht hat. Der Grieche, nach einer auch
andern ‘Völkern einwohnenden Sucht, konnte kein
neues Land besuchen, ohne, statt einfach das Gesehene
und Erlebte zu erzählen, seine heimischen Vorstellun-
gen und Ansichten einzumischen, überall seine vater-
ländischen Götter in den fremden wieder zu erblicken
und seine Mythen und Fabeln, sie mochten passen
oder nicht, einzuflechten. Daher finden wir denn in
der Erzählung Herodots eine Menge jener der grie-
chischen Einbildungskraft angewohnten Sagen von
Herkules, von Frauen mit Schlangenkörpern, von
Amazonen, Verwandlungen u. s. w., die wir jedoch
nicht ihm, dem redlichen Forscher, sondern seinen
Gewährsmännern in den Pontus-Kolonien beizumessen
haben. Auf diese Gewährsmänner mögen denn auch
wohl grösstentheils die Fehler zurückfallen, die wir in
der Erzählung von Darius’ Feldzug finden, mögen es
nun Griechen der Pflanzstädte, oder Scythen, mit de-
nen Herodot durch Dollmetscher verkehrte, gewesen
sein. Bei Länderbeschreibungen, bei geographischen
Angaben kann die Einbildungskraft nicht so ausschwei-
fen, wie bei den historischen; sie ist an Grund und
Boden, an feste Punkte und Orte gebunden; die Phan-
tasie hat nicht den geringsten Spielraum. Anders bei
historischen Berichten, die, ohne schriftliche Denk-
mäler, nur durch mündliche Erzählung und Tradition
aufbehalten werden. Jeder, der eine solche Erzählung
weiter gibt, mischt oft unwillkürlich etwas von dem
Seinigen bei, erweitert, vergrössert, verschönert; und
in den auf solche Art durch verschiedene Mittelglie-
der gegangenen Erzählungen erkennt man oft kaum
das eigentliche Factum wieder. Besonders sind der-
gleichen Ausschmückungen und Übertreibungen bei
rohen Völkern üblich ;und wenn wir einen ungefähren
Begriff haben wollen, wie es mit der Überlieferung
von Darius’ oder vielmehr der Scythen Kriegsthaten
zugegangen sein mag, brauchen wir nur den Blick
auf eine neuere Expedition ins Morgenland zu rich-
ten, auf die von Bonaparte nach Egypten, und die
Sagen und Erzählungen der Araber darüber zu hören.
Barthelemy, der selber in Egypten war, theilt uns in
den Noten zu seinem Gedicht: Napoleon en Eyypte
eine derselben mit, deren Inhalt wir der Curiosität
halber mit ein paar Worten wiedergeben wollen. « Bou-
naberdi, heisst es darin, kam vor ungefähr 30 Jahren
(die Erzühlung ist schon 35 Jahr alt) mit einem Heer,
zahlreicher als die Ameisen und schrecklicher als die
Heuschrecken; es soll 1001 Myriaden enthalten ha-
ben; und er selbst, behauptet man, hatte Gewalt über
319
Bulletin de l’Académie Impériale
die Djins (oder Genien). Was gewiss ist, er hatte den
Ring des Salomo gefunden, vermittelst dessen er die
Sprache der Vögel verstand, und in einem Augenblick
die grössten Entfernungen, wie von der Erde zu den
Sternen, zurücklegen konnte; bekannt ist es, dass
man ihn an demselben Tage in Cairo und unter den
Mauern von Jaffa gesehen hat. Über die Gründe sei-
nes Zugs ist man nicht ganz im Reinen; nach den
glaubwürdigsten Angaben unternahm er ihn, um ei-
nem Mamelucken-Bei die Geliebte zù entreissen, die
eine‘ Tscherkessin von ausserordentlicher Schönheit
war, und von der ein Kopte ihm erzählt hatte.
Er hatte für sie zehn Provinzen und hundert reiche
Stüdte geboten, ohne den Mamelucken zu ihrer Aus-
lieferung bewegen zu kónnen, und entschloss sich zu-
letzt, sie mit den Waffen in der Hand zu erobern. So
kam er mit einem ungeheuern Heer nach Egypten,
überwand den Mamelucken und dehnte seine Erobe-
rungen bis zu den Lündern Habesch und Sudan aus;
die schóne Tscherkessin aber wusste ihn zu überreden,
dass er mit seinem ganzen Heer den Islam annahm.»
So wie es hier bei den phantasievollen Arabern
dem «Bounaberdi» ergangen ist, nicht viel besser er-
ging es dem guten Darius bei den Scythen, deren Ein-
bildungskraft nur nicht so beweglich war wie die ara-
bische. Auch er soll unermessliche Schaaren, wenn
auch nicht 1000 Myriaden, doch beinahe 100 zu sei-
nem Kriegszug zusammengebracht haben, bewogen,
eben so wie «Bounaberdi», durch die Verweigerung
eines schónen Mädchens tckigsieos nach Justinus
II. 5, der Tochter des Idanthyrsos oder Iancyrus, wie
er ihn nennt). Auch er hat den Ring des Salomo be-
sessen, indem man ihn in der kurzen Zeit von 60 Ta-
gen viele Tausende von Wersten zurücklegen lässt,
und, wie man die Hand umkehrt, von den Ufern der
Donau an die des Dons und der Wolga versetzt; —
auch er muss Gewalt über die Djins gehabt und die
Sprache der Vógel verstanden haben, da er in óden,
baum- und wasserlosen Steppen sein unermessliches
Heer zu verpflegen und es durch Wüsteneien und sum-
pfige Wülder unbeschwert durchzubringen vermochte.
Die Ausschmückung und Entstellung solcher Heer-
züge wüchst mit dem Verfolg der Jahre. Etwa 60
Jahre nach Darius Zug kam Herodot in die Nähe jener
Länder, denen er gegolten hatte, und vernahm nun eine
reich aufgeputzte Darstellung desselben, die er uns
———
treuherzig überliefert hat. Da er aber, wie natürlich,
nur ein sehr unvollständiges, dunkles Bild von jenen
Ländern und also von dem Kriegsschauplatze hatte,
so begegnet es ihm, wesentliche Verwechselungen zu
machen und dadüreh vollends‘ Verwirrung in seine
Erzählung zu bringen, eine Verwirrung, an deren Ló-
sung sich der Scharfsinn der gelehrtesten Männer
bisher vergeblich abgemüht hat. Natürlich, wo Unsinn
ist, wird auch der scharfsinnigste Geist keinen richti-
gen Sinn herausbringen.
Nach diesen vorläufigen Bemerkungen wollen wir
jetzt in der Kürze Herodots Erzählung etwas näher
betrachten.
Zuerst aber drüngt sich die Frage auf, wer waren
diese Scythen?
Es war derselbe Volksstamm, der aus Asien herüber-
gekommen, zu verschiedenen Zeitrüumen in Europa
auftritt: zu Herodots Zeit als Scythen in den Step-
pen Süd-Russlands, die für ein Nomaden- Volk recht
wie gemacht waren; im 4ten und 5ten Jahrhundert
nach Christo als Hunnen bis nach Ungarn und weiter;
vom 8 — 13ten Jahrhundert als Petschenegen und
Polowzer; vom 13ten Jahrhundert ab als Mongolen
und Tataren; — die mehr oder minder übereinstim-
menden Beschreibungen, die Herodot und Hippokra-
tes, Jornandes und Priscus, Nestor und seine Fort-
setzer, so wie die orientalischen Schriftsteller uns von
ihnen geben, berechtigen uns zu dieser Annahme. Auch
bewiesen sich die Mongolen-Tataren zu allen Zeiten
als tüchtige Krieger; Attila, Tschingischan, Batu, Ti-
mur-Lenk zeigten viel Feldherrn-Geschick ; und. wie
man sieht, waren ihre Vorfahren, die Scythen des
6ten Jekrhunderis vor Christo, dees darin mit dé
tem Beispiel vorangegangen.
Doch waren die Scythen nicht die einzigen Be-
wohner von Süd-Russland, sondern sie sassen dort
untermischt mit slawischen und vielleicht finnischen
Völkerschaften, die sie, ein kriegerischer Stamm,
zu jeder Zeit mehr oder minder beherrschten.
Obwohl nun ihr Operationsplan uns durch ein sehr
gefälschtes Medium, den Mund unglaubwürdiger und
übertreibender griechischer Kaufleute, von denen
der redliche Herodot ihn vernahm und beschrieb, über-
liefert worden ist und daher viele Entstellungen und
falsche Zuthaten enthält, so erkennen wir doch in den
Grundzügen sehr richtige Ansichten, was auch He-
321
des Sciences de Saint- Pétersbourg,
rodot bewog, in das Lob auszubrechen: «das Ge-
schlecht der Scythen hat eine Erfindung ge-
macht, die im Vergleich zu andern die grösste
ist, das ist, dass keiner, der sie anzugreifen
wagt, entkommt, und dass man sie nicht fas-
sen kann, wenn sie nicht gefasst sein wollen»).
«Von diesem Lande, sagt Herodot (IV. 16), weiss
niemand mit Bestimmtheit , was ihm jenseits liegt.
Denn ich kann eben von niemand etwas erfahren,
der es als Augenzeuge zu wissen behauptete. — In-
dess alles, so weit wir mit Bestimmtheit vom Hóren-
sagen es zu erfahren vermochten, soll gesagt werden.»
— Hier gesteht der würdige Geschichtsvater selber
die Unbestimmtheit und Unsicherheit seiner Angaben
ein, verlangt also nicht mehr Glauben dafür, als Er-
zühlungen auf Hórensagen verdienen. Er hatte keine
geographische. Karte vor sich, natürlich, dass er nur
ein verwirrtes Bild von der Configuration des Landes
geben konnte. . `
Wir schreiten zur Erzählung. Nachdem Darius bei
Byzanz über den Bosporus gegangen (c. 89), führt er
sein Heer, 700,000 Mann ohne die Flottenmannschaft
(c. 87), durch Thracien an die Donau, wo seine Flotte,
zwei Tagereisen den Fluss aufwürts ziehend, an ei-
ner schmalen Stelle eine Brücke schlágt, die wir nach
diesen Bestimmungen entweder bei Tultscha oder bei
Isaktscha anzunehmen haben. Die 700,000 Mann sind
eine gewóhnliche Übertreibung griechischer Erzäh-
lung, und wenn wir nur ein Drittel davon annehmen,
also etwa 230,000 M., werden wir gewiss nicht zu
niedrig rechnen. Morgenlündische Vülkergebieter, die
Oyrus, Darius, Xerxes, Tschingischan, Batu, Timur,
so wie später die Türkenherrscher, liebten zwar grosse
Heere mit sich zu schleppen, aber wohl nicht gróssere,
als sie zu, erhalten vermochten. — Darius knüpft nun
in einen Riemen 60 Knoten (c. 98) und betiehlt deu
Anführern der Jonier, die zur Bewachung der Brücke
zurückbleibén sollten, täglich einen dieser Knoten zu
lösen, und: wenn die 60 Knoten alle aufgelöset wären,
Sollten sie in ihr Vaterland zurückschiffen dürfen, bis
dahin aber. die Schiffbrücke hüten. — Seine Absicht
war also, etwa 30 Tage vorwärts zu ziehen, die Scy-
then zu bekümpfen, ihr Land zu verheeren und dann
wieder umzukehren. Nun bestimmt Herodot an einem
eh): Herod. IV. Ap SM
Tome VIII.
andern Ort (c..101) die Tagereisen auf 200 Stadien
oder 20 Werst?). Diese Bestimmung ist für. einen
leichtgeschürzten Fussgänger; — für ein grösseres,
mit unzähligem Gepäck: beladenes Heer (in so öden
Ländern mussten alle Lebensmittel mitgeführt werden)
wird man, die nothwendigen Rasttage eingerechnet,
nicht mehr als höchstens 20 Werst oder 133 Stadien
durchschnittlich rechnen dürfen; also für 30 Tage
600 Werst als äusserste Leistung. Nehmen wir nun
einen Zirkel, setzen den einen Fuss in Isaktscha und
machen mit der Weite von 600 Werst von da aus ei-
nen Kreisbogen, so geht dieser von Westen angefangen
nahe an den jetzigen Stüdten Lemberg, Brody, Ostrog,
Nowgrad-Wolynsk, Kiew, Jekatherinoslaw, Nogaisk
und Kertsch vorüber; also nórdlich nicht über Ostrog,
Nowgrad-Wolynsk und Kiew hinaus; östlich ungefähr
bis zum Dniepr und die nächste Steppe dahinter bis
gegen Nogaisk oder Berdiansk. So weit also hat Darius
in der gegebenen Frist im höchsten Fall kommen kön-
nen;.ist aber bestimmt nicht bis so weit gekommen.
Darnach beurtheile man die Annahmen vieler Alter-
thumsforscher, die ihn in diesem kurzen Zeitraum
durch ganz Russland herumspatzieren lassen und zwar
mit einem Heer von 700,000 Mann!!
Vom Istros oder der Donau ab rechnet Herodot
schon alles Land zum Gebiet der Scythen (c. 99.), wor-
über er, wie aus allem ersichtlich, eine ganz ver-
wirrte Vorstellung hat. Er malt die Gränzen ins Blaue
hinein — wie sollt’ er anders, ohne Landkarte, ohne
sichere, feste Anhaltspunkte, an die er sich hätte hal-
ten können? Vor allem hätten ihm die Flüsse, die Seen
und Meere dazu dienen können; aber er kennt auch
diese nur sehr unvollkommen und macht die offen-
barsten Verwechselungen; ja seine Angaben über die
Flüsse stimmen höchst selten mit der Wirklichkeit über-
ein; und so ist's gekommen, dass man den von ihm
angeführten alle möglichen Flüsse untergeschoben
und, auf Namens-Ähnlichkeit hin, sie selbst in Asien
gesucht hat. Es ist sogar wahrscheinlich, dass er aus
2 Flüssen, Wolga und Don, den Tanais zusammenge-
setzt hat, als Gränze zwischen Europa und Asien, in-
dem der Lauf der Wolga von Saratow an dem des
Dons sehr nahe kommt. — Kurz, fast nichts stimmt
genau; aber wie könnte es auch anders sein? es wäre
2) Nach der Annahme von er Stadien auf 1 Werst; 45 Stadien
auf eine deutsche Meile, - | 7 Lei è
Bulletin de l’Académie Impériale
324
eben so als wenn zu unserer Zeit irgend ein Reisen-
der die Gränzen eines grossen Reichs im Innersten
Afrikas genau angeben wollte, obgleich dieser durch
seine Instrumente und Höhenmessungen ganz andere
Hülfsmittel haben könnte, die Lage schärfer zu be-
stimmen, als der gute Herodot, der nur auf die Erzüh-
lungen seiner griechischen Gastfreunde und vielleicht
einzelner Seythen, die er durch Dollmetscher befragte,
beschränkt war. So ist denn seine Bestimmung der
Gränzen des scythischen Reichs auf's Ungefähr hin:
2 Seiten davon am Meer gelegen, die eine nach Süden,
die andere naeh Osten, jede 20 Tagereisen oder 4000
Stadien, ungeführ 600 Werst, lang; — 2 Seiten ins
Binnenland hinein, die eine von der Donau an nach
Norden hinaufsteigend, die andere vom Maiotischen
See westwürts, beide von der gleichen oben angegebe-
nen Lünge, also eine Art von Quadrat. Setzen wir
nun nach diesen Angaben den einen Fuss des Zirkels
nahe der Donau- Mündung ein und machen mit einer
Öffnung von 600 Werst oder 4000 Stadien einen Bo-
gen nach Norden und nach Osten: so trifft dieser nórd-
lich in die Gegend von Ostrog, Nowgrad - Wolynsk
oder Shitomir , und längs des Meeres östlich die Punkte
von Nogaisk oder Berdiansk. Von hier nun soll das
Meer wieder hoch hinaufsteigen bis auf eine gleiche
Entfernung von 4000 Stadien oder 600 Werst, also
bis in die Gegend von Kursk; und von da westlich ins
Land hinein bis zum andern Endpunkte bei Ostrog
oder Shitomir sollen ebenfalls ungefähr 4000 Stadien
oder 600 Werst sein. Und damit hat Herodot den
Umfang und die Gränzen seines scythischen Reichs
gezeichnet, über welche er freilich spüter, ohne es zu
ahnen, ostwürts weit hinausschreitet. Alles bleibt hier
unbestimmt. Die Flüsse lässt er meist aus innern Land-
seen kommen, so den Tyras, Hypanis, Hypakyris, Ta-
nais; — der Ursprung des Borysthenes verliert sich
ihm in der nordischen Wüste, und er kennt ihn nur
wenige Tagereisen hinauf, so dass er nicht einmal
seiner Wasserfälle erwühnt; eben so verliert sich auch
der Tanais in mythisches Dunkel; ja er bezeichnet seine |
Quelle bei den Budinen (c. 123.), wornach derselbe
also seiner Meinung nach von Westen nach Osten
fliessen müsste, wenn man nicht eine Verwechselung,
oder 2 verschiedene Tanaisse annimmt.
Doch folgen wir ihm Schritt vor Schritt, oder Ka-
pitel um Kapitel. Von c. 99 — 102 finden wir seine
Beschreibung des Scythenlandes. Da heisst es: nach
Thrake kommt das Scythenland, durch welches der
Istros fliesset. Von da ab längs der Meeresküste bis
zur Stadt Karkinitis, von wo an die Taurer das in den
Pontus hinein ragende bergige Vorland bewohnen, bis
zur sogenannten «rauhen Halbinsel» (Chersonesus
Trachia), die bis zum óstlichen Meere reicht. Denn
Seythenland grünzt mit zwei verschiedenen Theilen
ans Meer, mit dem südlichen sowohl wie mit dem
östlichen, gleich wie die Landschaft Attika: die Tau-
rer bewohnen eben so die Südspitze, wie wenn ein an-
deres Volk, als die Athener die Landspitze von Sunium
bewohnte. — (c. 100) Über den Taurern aber woh-
nen nun wieder die Scythen an dem Meer gegen Mor-
gen, westlich von dem kimmerischen Bosporus und
dem See Maiotis bis an den Tanais, der sich in eine
Bucht dieses Sees ergiesst. (Aus diesem erhellt, dass
Herodot sich die Krim nicht als Halbinsel dachte, son-
dern als Vorspitze eines Landes zwischen zwei Mee-
ren, ungefähr wie Attika. Das Meer gegen Osten un-
terscheidet er übrigens genau von dem Maiotis-See;
er rechnet es bis zum kimmerischen Bosporus (Meer-
enge von Kertsch), aber nicht schrüg sich hinziehend,
sondern scharf sich nórdlich wendend; der Bosporus
trenne es vom Maiotis-See, der nun tief nach Norden
hinaufgreift, an 20 Tagereisen (600 Werst), wie wir
gleich sehen werden, bis zum Tanais, der sich in eine
Bucht desselben mündet). — Nunmehr bezeichnet er
leichthin die Gränzen und Nachbarn des Scythenlan-
des: vom Istros oder der Donau gerade hinauf in das
Land gränzen an sie zuerst die Agathyrsen (in Sie-
benbürgen zu suchen); dann die Neuren (zu beiden
Seiten des polnischen Bug; die Namen der Städte Na-
rew und Nur, so wie der Fluss Narew deuten auf
ihre Spuren); — darauf (weiter nach Norden) dem
Herodot unbekannte Vülker, die er Menschenfres-
ser (Androphagen) und Sch warzmüntler (Melanch-
lainen) nennt; (nach dunkeln Sagen über die Vólker
jenseits des Pripiat, bis über welchen Fluss seine
Kenntniss hier nicht reicht). — Nun kommt (e. 101)
die von uns oben erörterte Hauptstelle über seine Vor-
stellung vom Lande: Seythien sei ein Viereck, von dem
2 Seiten gegen das Meer und 2 gegen das Binnen-
land lägen; die Feststellung der Tagereise zu
Stadien, u. s. w. — Von dem Maiotis- See mitten in —
das Land hinein bis zu den oben genannten Schwarz- `
325
des Seiences de Saint- Pétersbourg.
mäntlern seien 20 Tagereisen (also 600 Werst). —
Das also von Herodot beschriebene Viereck würde sich
demnach erstrecken: von der Donau - Mündung. bis
Nagaisk oder Berdiansk; von hier nórdlich etwa bis
zum Sem (Kursk); von dort westlich bis zum Horyn
(Ostrog); von da südlich bis zur Donau-Mündung. Die
nórdliche Gränze würden also ungefähr der Sem und
Pripiat bilden. Nun freilich kommt hier Herodots ir-
rige Vorstellung dazu, dass das Maiotische Meer sehr
tief nach Norden eingreift, so dass es eine ôstliche
Seeseite oder Seegrünze des Scythenlandes bildet;
der Tanais, der sich in eine Bucht desselben ergiesst,
müsste also ziemlich tief nach Norden oder vielmehr
nach Nordwest gesucht werden.
Von e. 103 — 118 gibt uns Herodot die nähere,
freilich sehr unbestimmte Beschreibung der erwähn-
ten Vülker, als der Taurier (Menschenopfer) c. 103;
— der Agathyrsen (reich, üppig, Gemeinweiberei)
c. 104; — der Neuren, die wegen vieler Schlangen
ihr Land verlassen müssen und sich bei den Budinen
ansiedeln, die also offenbar in ihrer Nähe wohnten, d.
h. mehr westlich, als man sie gewóhnlich sucht c. 105;
— der Androphagen oder Menschenfresser (Noma-
den, wild, gesetzlos) c. 106; — der Schwarzmänt-
ler, von ihrer Kleidung so benannt c. 107; — end-
lich der Budinen (c. 108 — 9), wo er sich etwas
mehr auslässt, Es sei ein zahlreiches Volk von blauer
und röthlicher Farbe (Bovdivar A8 éSvos éov péya xat
T.9ÀÀÓv Yhavxdy te Td» (omusde cott xal rubbov); dies
würde auf eine Art Bemalung deuten; Andere nehmen
das yAauxcv bloss als blauüugig, und das rwQbov für
rothhaarig oder blond; Hippokrates schreibt das blau-
roth dem kalten Klima zu. — Dei ihm sei eine grosse
hólzerne Stadt, Gelonos, deren hólzerne Umwallung
sich 30 Stadien (4'/, Werst) in die Lünge und eben so
viel in die Breite gezogen habe. Hier hätten sie ihre
Heiligthümer, Tempel und Altüre gehabt. Die Bewoh-
ner der Stadt seien stark untermischt mit Hellenen,
daher Herodot sie gegen die Wahrscheinlichkeit ganz
den Hellenen zueignen will. Das Volk daselbst waren
Budinen oder Slaven ; die Reichern, Handeltreibenden,
Gürten- und Güter-Besitzer waren Hellenen, die sich
dort angesiedelt, und die den Ton angaben. — Ihr
Land waldig; in der dicksten Waldung ein grosser
See, von Moorland und Rohr umgeben, in dem Fisch-
ottern, Biber und Thiere mit viereckigem Gesicht
(Marder) gefangen würden. — Alles dieses passt vor-
trefflich auf Wolynien und die Gegend nach dem Pri-
piat hin, wie schon Professor Eichwald gezeigt hat.
Wir erlauben uns daher, die bezeichnete Stelle abge-
kürzt hier anzuführen. «Dies ist also, heisst es da, die
ziemlich ausführliche Beschreibung des Bu dinen-Lan-
des, worin man keine öde Donische oder Wolga-Steppe,
aber wohl eine wald- und wasserreiche Gegend Wo-
lyniens oder Litauens, etwa die heutige Gegend von
Pinsk leicht erkennen wird. Die vielen dicken Wal-
dungen, mit denen das Land ganz bewachsen war und
noch gegenwärtig sehr bewachsen ist; die vielen Seen,
unter denen sich damals ein grosser nach Herodot mit
Fischottern und Bibern vorzüglich auszeichnete, und
dann die hellenischen Kolonisten aus den Stapelórtern
der Nordküste des Pontus — sprechen zu deutlich
für die wald- und seereiche Gegend von Polesien um
Pinsk, und sind mithin mit der Aunahme einer Gegend
in der dürren Steppe des fernen Don oder der Wolga,
wie Mannert und Rennel meinen, im Widerspruch.
— Dort sieht man weit und breit nur Sumpfboden,
mit Rohr bewachsen, oder weite Sandebenen, mit dich-
ten Waldungen von Nadelgehólz bedeckt; in den Seen
um Pinsk leben noch jetzt Biber und Flussottern, die
eben nieht zu den Bewohnern Donischer Steppen ge-
zühlt werden kónnen. Auch Marder verschiedener
Arten, die Herodot ohne Zweifel Thiere mit vierecki-
gem Gesichte nennt, sind dort häufige Bewohner der
waldreichen Gegenden von Pinsk. Nur hier, nicht aber
4n den waldleeren Donischen Steppen, wäre es móglich
gewesen, Stüdte und lange Mauern von Holz zu er-
bauen; nur hierher konnten die griechischen. Koloni-
sten auf dem Dniepr so leicht das Budinenland errei-
chen und sich unter ihnen anbauen.»?)
Nun führt Herodot noch die Sauromaten auf (c.
110 — 15), die er jenseits des Tanais, östlich von
den. Budinen setzt; wahrscheinlich irgend ein mongo-
lischer Stamm, der uns übrigens hier nichts weiter
angeht. Sie siedelten sich (c. 116 — 17) jenseits
des Tanais an, 3 Tagereisen óstlich vom Tanais und
3 Tage nördlich vom Maiotis-See. ` |
XM. :
Nachdem uns Herodot diese geographischen und
Dorpater Jahrbüchern.
21*
3) Abhandlung von Eichwald in den
Jahrgang 1834. Juli. 8. 7. 5
327
Bulletin de l'Académie Impériale
. ethnographischen Details gegeben, schreitet er zur
Geschichte des eigentlichen Feldzugs von c. 118 an,
die aber auch durchaus an offenbaren Unrichtigkeiten
und Unmöglichkeiten leidet, und nach der Phantasie
zur Verherrlichung der Scythen ausgemalt ist; —
was ihr nur einen besondern Werth gibt, ist, dass sie
uns aus jener Zeit sehr richtige strategische Ansich-
ten vorführt, Ansichten, die mehr wie 2300 Jahre
später ihre volle Anwendung finden sollten.
C. 118. Die Boten der Scythen rufen die Könige
der erwähnten Völker zum Beistand auf: «Helft ihr
uns nicht, so werden wir in der Noth unser Land
verlassen, und uns mit den Persern vertragen; und
dann kommt die Reihe an Euch. Schon hat der Per-
ser die Thraker unterjocht und unsere Nachbarn die
Geten; und jetzt zieht er gegen uns». — Konnten die
Russen 1812 nicht eben so zu den Fürsten spre-
chen?
C. 119. Die Gelonen, Budinen und Sauromaten ver-
sprechen Hülfe;— die Agathyrsen, Neuren, Menschen-
fresser und Schwarzmäntler lehnten sie ab, denn sie
wären von den Persern nicht beleidigt worden!
C. 120. Aufdiesen Bescheid beschliessen die Scythen
einen offenen Kampf zu vermeiden, aber vor dem
Feinde einherzuziehen, die «Quellen und Brunnen zu
verschütten und Kraut und Gras vom Boden zu ver-
tilgen». Die Vertheidigung sollte durch zwei Abthei-
lungen geführt werden: der eine kleinere Theil unter
dem Kónig Skopasis sollte sich óstlich gegen den Ta-
nais hin wenden, Schritt vor Schritt weichend, und;
wenn die Perser umkehrten, sie nachdrücklich verfol-
gen. Der gróssere Theil ihrer Macht unter den Kóni-
gen Idanthyrsus und Toxakis sollte sich eben so eine
Tagereise vor den Persern das Land verwüstend zu-
rückziehen; aber sie auf die Gebiete jener Vólker hin-
leiten, weiche ihnen den Beistand versagt. Damit ist
uns die Richtung dieses Haufens gegeben: also
auf die Agathyrsen, Neuren und Androphagen, d. h.
nach Norden.
C. 121. Ihre besten Reiter geb als ageet den
Persern entgegen; Weiber, Kinder, Hab’ und Gut, wie |
ihr Weidevieh lassen sie zurück mit der Weisung,
wenn sie weichen müssten, die Richtung nach Norden
einzuschlagen.
C. 122. Der Vortrab der Scythen findet die Perser
u
nun die Ausführung des Verwüstungsplans vor ihnen.
«Die Perser folgen der Abtheilung gegen Morgen dem
Tanais zu; und als jene übergehen, setzen auch sie
über diesen Fluss, und kommen nun durch das Land
der Sauromaten in das der Budiner.» — Hier liegt
der grosse Irrthum, das xoócov beüdog, das die
ganze nachfolgende Erzählung in Unsinn ver:
wandelt. Herodot lässt den Darius mit seinem gan-
zen ungeheuren Heer auf einmal mit geschlossenen
Füssen einen herzhaften Sprung von mehr als 1000
Werst machen, durch Wüsten, Einóden, Steppen, über
eine Menge grosser Flüsse und Landstrecken weg:
über den Tyras, den Hypanis (Bog), Borysthenes
(Dniepr) und 5 andere Flüsse, die er noch nennt.
Eben waren die Perser 3 Täigernärkeite von der Donau
angekommen und stossen auf den Feind, als sie ein
Irrthum, ein Schreibfehler oder eine Verwechselung
Herodots, statt über den Tanais (Don) gehen lässt,
mehr als 150 Meilen von da. Aber wie kamen sie
denn dahin? Das ist eben das Schwierige, weil hier
das weite, wasserlose Steppenland beginnt. Es würe,
wie wenn ein modernef Geschichtsschreiber erzählen
wollte: als Napoleon mit seinem Heer über den Nie-
men geeangen, setzte er den Russen über die Moskwa
Reka (Fluss Moskwá) nach. Aber was geschah denn,
ehe er an die Moskwa Reka kam? Er hatte ja, das
Russische Heer vor sich, inzwischen noch über die
Beresina, den Dniepr und viele andere Flüsse zu sez-
zen, wie Darius? Wer nicht auf jedes Jota eines alten
Aatos schwört, erkennt sofort, dass Herodot nicht
hier, gleich bein Beginn des Zugs, ohne weiteres von
dem 50 — 60 Tagereisen von da entfernten Endpunkte
des Zugs sprechen konnte, ohne zu berichten, wie der
König über alle die Schwierigkeiten, Flüsse und Step-
pen weggekommen. — Es ist offenbar, dass Herodot
hier den Tyras statt Tanais gemeint hat} aber da er
eine unklare Ansicht vom Lande hatte, liess er sich
folgerecht durch seinen Irrthum immer weiter zu den
unsinnigsten Behauptungen fortreissen. Kurz hier ist
der Hauptfehler, der alle folgenden nach sich gezogen
hat: es muss heissen, als die Scythen über den
Dniestr setzten, folgte ihnen Darius; nur entsteht:
die Frage: in welcher Richtung? — Herodit, der den
Tanais genannt, muss also nothwendig und im Wider-
spruch mit sich selbst, die Richtung nach Osten am
drei Tagemärsche diesseits der Donau, und beginnt
nehmen, da er doch kurz zuvor gesagt: die scie E
329
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
330
hätten beschlossen, den Feind gegen die Volker zu
leiten, die ihren Beistand versagt, die Agathyrsen,
Neuren, Androphagen, also offenbar nach Norden.
Nach Norden stellen sie auch ihr Hauptheer unter
Idanthyrsus und Toxakis auf, nach Norden schicken
sie hinter sich ihre Weiber und Kinder, Hab’ und
Gut! Und der ganze Zusammenhang und Fortgang
der Erzählung zeigt, dass Darius mit seinem Perser-
heer wirklich nördlich zog, wahrscheinlich, um Wasser
zu haben, den Dniestr aufwärts.
Hier sind noch zwei andere Nachrichten in Erwägung
zu ziehen. Nach Ktesias ist Darius nur 15 Tagemär-
sche über den Istros vorgerückt, was das Wahrschein-
lichere ist; nach Strabo (VII. 3.) wäre er gar in der
sogenannten Wüste der Geten zwischen Istros und Ty-
ras in Gefahr gerathen, mit seinem ganzen Heer vor
Durst umzukommen, wenn er nicht zeitig umgekehrt
wäre. Strabo zu Folge wäre er also gar nicht einmal
über den Tyras gekommen, und das klingt wahrschein-
licher als Herodots fabelhafte Erzählung von seinen
Wanderungen in Russland, wo Darius mit einem Heer
von 700,000 Mann, dem die Scythen- verwüstend
voranziehen, Tausende von Wersten durch ódes Step-
pen- oder sonst wenig bewohntes und bebautes Land
zurückgelegt haben solle, ohne mit Mann und Maus
umzukommen. Die gewöhnlichen Philologen und alten
Geographen, die Mannert, Rennel, Reichardt, de-
nen solche Dinge Kleinigkeiten sind, wie die Verpfle-
gung eines Heers von mehrern Hunderttausenden in
Gegenden, die fast keinen Beitrag dazu liefern kónnen,
finden darin nicht den mindesten Anstoss, und ehe EN
ein Jota von ihrem Text auch nur anzweifeln lassen,
lassen sie lieber Darius (man sehe Reichardts Karte)
von der Donau bis hinter die Wolga bei Saratow,
mehr als 2000 Werst promeniren; von dort aufwärts
durch Grossrussland, Moskau, Jaroslaw vorbei; bis in
die Gegend von Gross- Nowgorod, von dort hinunter.
durch Litauen, Wolynien, Podolien, Bessarabien wie-.
der zur Donau, einen Weg von mindestens 5 — 6000
Werst (7 — 800 Meilen), auf völlig ungebahnten We-
gen, durch Steppen, Wüsten, Wälder und. Moräste, :
und das alles in der kurzen Zeit von 60 Tagen: das
heisst: — rl — und EINER ver-
schlucken! `
Doch. folgte wir > Hérodôt i in seiner Erzählung wei-
ter: e. 123. Die Perser kamen nun, nachdem sie über
den Tanais (lies Tyras) gegangen, in's Land der Sau-
romaten und dann der Budiner. So lange sie im Scy-
thischen ünd Sauromatischen Lande zogen, fanden sie
nichts zu verheeren, da das Land sehr kahl war (y£o-
cos, öde, steinigt); als sie aber in das Budiner Land
eindrangen, steckten sie daselbst die hölzerne Feste
Gelonos, die sie geleert und verlassen fanden, in
Brand, und setzten sodanu ihre Verfolgung weiter
fort. Sie kommen nun in die Wüste über dem Lande
der Budiner, die sich 7 Tagereisen hinzieht und unbe-
wohnt ist; oberhalb derselben aber wohnen die Thys-
sageten (oder wie Eichwald nicht ohne Grund liest,
die Tyrageten, indem ihre Sitze oberhalb des Dniestrs,
im heutigen Galizien waren), von denen aus 4 grosse
Flüsse ausgehen, die durch das Land der Maioten in
den See, der da heisst Maiotis, einlaufen: sie heissen:
Lykos, Oaros, Tanais und Syrgis.
Nach unserer Ansicht stimmt das alles vortrefflich.
Darius, um für sein zahlreiches Heer immer Wasser
zu haben, zieht den Dniestr und dann den Zbrutsch
aufwürts und kommt nun über den Avratyner Hóhen-
rücken zur Wüste, die sich oberhalb des Budiner Lan-
des (Wolynien) hinzieht und von wo 4 grosse Flüsse
entspringen und in einen innern See münden. Die 4
Flüsse werden in der Gegend, wo wir Darius hinfüh-
ren, eine sehr leichte Erklärung finden. Der Lykos ist
der Styr, der früher wahrscheinlich den Namen Luk
oder Lutzk führte, wie die Stadt, durch die er fliesst,
noch jetzo heisst; der Oaros ist offenbar der Horyn;
der Syrgis ist durch Buchstaben-Versetzung und Hel-
lenisation der Sylgis, Slygis, Slutsch. Der Tanais
endlich. ist der obligate Strom, den alle Eroberer
erreicht haben sollen, Darius so gut wie später Alexan-
der, man nahm jeden grössern Strom dafür. Man kann
hier nach Belieben entweder den Teterew, oder will
man einen grössern Fluss, den Bug nehmen, die beide
aus dieser Wüste kommen. Sie alle entspringen auch
richtig unweit von einander am Fuss der Avratynschen
Höhen, und ergiessen sich (mit Ausnahme des Bugs,
der dicht dabei fliesst) in den ehemaligen Pinsker
See, der durch den Durchbruch des Pripiat später
seinen Abfluss in den Dniepr fand und jetzt nur die
weit stagnirenden Sümpfe nachgelassen hat. Diesen
Pinsker See hat nun Herodot bei seinen unklaren Vor-
stellungen vom Lande, und den: Tanais und Maiotis-
See überall erblickend, mit dem letztern verwechselt.
331
Bulletin de l’Académie Impériale
Eichwald erklärt es so: Herodot habe schlechtweg:
«in den See» geschrieben; ein späterer Abschreiber
oder Scholiast, den Kopf voll vom Tanais und Maiotis-
See, habe dazu als Randglosse gesetzt: «den sogenann-
ten Maiotischen». — Er bemerkt ferner: «dass die
kesselformige Sumpfebene, in welcher der Pripiat
strömt, so auffallend niedrig liegt, dass sie im Früh-
jahr, wenn der Schnee schmilzt, durch Austreten der
Flüsse ganz unter Wasser gesetzt wird. Im Süden
wird sie begränzt durch die Avratynsche Hochebene,
die sich von der Galizischen Gränze bei Tarnopol nach
Proskurow, Alt-Konstantinow und Machnowka zieht,
von deren Abfällen die vielen Flüsse entspringen, de-
ren Zahl um so grösser ist, als das am nördlichen Ab-
hange der Avratynschen Höhen gelegene Land gänz-
lich aus Moorboden und Sumpf besteht». — Da ha-
ben wir denn Herodots Wüste von 7 Tagesreisen, die
über dem Lande der Budiner liegt.
C. 124. In der Wüste macht Darius Halt, nimmt
Stellung am Flusse Oaros, und baut, man weiss nicht
zu welchem Ende, 8 Burgen, deren Trümmer angeb-
lich noch zu Herodots Zeit vorhanden gewesen. Diese
8 Burgen spielen in allen Erobererzügen des Morgen-
landes ihre obligate Rolle; vor Darius soll sie ebenso
gut Cyrus, wie nach ihm Alexander der Grosse ange-
legt haben. Irgend eine symbolische Idee mag damit
verknüpft sein. Trümmer, die man willkürlich darauf
beziehen konnte, gibt’s überall. — Indessen machen
die Scythen (immer noch der Haufen des Skopasis;
von dem andern grössern ist bisher gar nicht die Rede
gewesen) einen Flankenmarsch um ihn herum und
wenden sich nach Abend. Da Herodot sie durch ei-
nen gewaltigen Sprung von über Tausend Werst weit
nach Morgen und über den Tanais geführt, muss er
allerdings darauf denken, sie wieder zur ückzubrin-
gen
folgt ihnen nach, wobei er endlich auf den gróssern
Seythenhaufen unter Idanthyrsus stósst. Alles was He-
rodot nun weiter hier hinzufügt, ist reines Phantasie-
bild, ohne geographischen noch historischen Halt. Da-
rius soll von dem weiten Osten den Scythen wieder
wie ein guter Windhund naeh Westen nachgelaufen
sein, und Herodot lässt ihn nun den Tanz durch alle
die Vülker zurückmachen, die er in seiner dürftigen
Kenntniss vom Lande oben genannt, um keines zurück-
125. Darius lüsst seine angeblichen Burgen und
zusetzen. — So ist aus Herodots gleich anfänglicher
Verwechselung des Tyras mit dem Tanais diese lange
Reihe von Thorheiten und Fabeln entstanden. Darius
ist nie an den Tanais oder Don, nie an den Maiotis-
oder den Asowschen See, nie an die Wolga gekom-
men, weil das bei seinem gewaltigen Heer geradezu
eine Unmöglichkeit gewesen wäre. Nur Herodots Ver-
wechselung zweier Flussnamen auf T (quanodque dor-
mitat bonus Homerus!) hat ihn dahin geführt; und ein-
mal dort, man weiss nicht wie, angekommen, musste
er ihn consequent wieder nach Westen zurückbrin-
gen, und that es nun mit Benutzung der wenigen No-
tizen, die ihm sein Aufenthalt in den Seeplätzen der
Griechen gegeben. So geht der Marsch also zurück
auf gut Glück wieder zu den Scythen, den Schwarz-
mäntlern, den Menschenfressern, den Neuren, bis er
wieder auf festen ihm bekannten Boden bei den Aga-
thyrsen anlangt, die den Eintritt in ihr Land ver-
wehren.
126. Nun beginnt wieder historische Erzählung.
Darius soll den Idanthyrsus aufgefordert haben, ent-
weder eine Schlacht zu liefern oder durch Übersen-
dung von Erd' und Wasser sich zu unterwerfen. —
127. Dieser erwiedert: «er thue nichts Ausserordent-
liches, fliehe keineswegs, sondern ziehe nur in seiner
gewühnlichen Weise herum; eine Schlacht suche er
nicht, da er, bei nicht vorhandenen Städten oder rei-
chen Fruchtfeldern, keinen Grund dazu sehe. Etwa
nur für die Grüber ihrer Vorväter würden sie sich
schlagen. Statt Erde und Wasser werde er ihm pas- ;
sendere Geschenke schicken».
128. Die Scythen lassen nun ihre kleinere Abthei-
lung unter Skopasis zur Donau eilen, um die dort zu-
rückgelassenen Anführer der Jonier zu bereden, die
Brücke abzubrechen; während ihre grössere Abthei-
lung die Perser durch heftige Anfälle immerfort beun-
ruhigt, vornämlich zur Zeit, wenn diese ihre Nahrung
nehmen oder zur Nacht ausruhen wollten. In den Rei-
tergefechten haben die Scythen die Oberhand, müssen
sich jedoch vor dem Persischen Fussvolk zurückzie-
hen. 129 — 30. Den Persern kommt dabei das Ge-
schrei ihrer zahlreichen Esel zu Statten, vor dem die
Scythenpferde scheuen. — 131. Zuletzt schicken die
Scythen dem Perserkönig die versprochenen (spötti-
sehen) Geschenke: einen Vogel, eine Maus, einen
Frosch und 5 Pfeile; — deren Bedeutung ein ange
333 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 334
sehener Perser, Gobryas, unter dem Eindruck der vor-
herrschenden Heeresstimmung also auslegt: 132.
«Wenn ihr nicht wie Vögel fliegen, wie Mäuse unter
die Erde kriechen, oder wie Frösche in den See sprin-
een könnt, werdet ihr alle unsern Geschossen erlie-
gen.»
133. Skopasis langt indess an der Donau an und
unterhandelt mit den Joniern: er räth, um jeder Ver-
antwortlichkeit frei zu sein, sollten sie die vorge-
schriebenen 60 Tage warten, und dann die Brücke ab-
brechen und abziehen. Die Jonier versprechen es, und
er kehrt zu dem andern grössern Haufen zurück.
134. Darius hat indess auf des Gobryas Rath sich
entschlossen, zur Donau umzukehren. 135. Um sich
den Seythen heimlich zu entziehen, lässt er bei den
Nachtfeuern, ausser den Kranken und Schwachen,
einige Mannschaft mit zahlreichen Eseln zurück,
und eilt rasch dem rettenden Flusse zu. 136. Am
folgenden Tage bemächtigen sich die Scythen des ver-
lassenen Lagers und setzen den Persern nach. Da nun,
wie Herodot ausdrücklich bemerkt , das Persische Heer
meist aus Fussvolk bestand, und die Wege wenig
kannte so geschah es, dass die Scythen, meist Reite-
rei und der Wege kundig, früher zur Donau gelang-
ten, ohne unterwegs auf die Perser zu stossen. Sie
forderten die Jonier auf, da die 60 Tage abgelaufen,
die Brücke zu zerstóren. 137 — 39. Doch die Führer
derselben, kleine Stadt-Tyrannen, die mit egoistischer
Rücksiehtsnahme nur auf sich, in dem Perser- Schach
ihren natürlichen Beschützer sahen, beschliessen auf
des Histiäus von Milet Rath, nur einen Theil der Brücke
gegen die Scythen-Seite hin abzubrechen. Es geschieht.
140. Die Scythen kehren um, den Persern entgegen;
verfehlen sie jedoch wieder, indem sie auf Nebenwe-
gen durch das unberührte Land zogen, während die
Perser genau den Spuren ihrer alten Route durch das
verödete Land folgten. 141— 42. So gelangten sie
glücklich zu ihrer Brücke, die, rasch wieder herge-
stellt und überschritten, sie noch vor Ankunft der
Seythen jenseits der Donau in Sicherheit bringt.
. 143. Darius zog nun durch Thracien wieder nach
Sestos, ging für seine Person nach Asien zurück, liess
aber den Megabyzus mit einem ansehnlichen Heerhau-
fen in Europa, um die Thracier, Macedonier und an-
dere benachbarte Völker in Zaum zu halten. So en-
dete des Darius Zug.
EEE.
Es bleibt uns nun noch übrig, die strategischen
Operationen dieses Feldzugs in’s Auge zu fassen, die
in der That sehr merkwürdig sind. Eine auffallende
Ähnlichkeit gibt sich kund mit dem Feldzug, der 2325
Jahre später durch den grösten Heeresfürsten der
Zeit und der Zeiten in dieses selbige Land mit ganz
gleichem Ausgang gemacht wurde; und diese Ähnlich-
keit in den Zwecken, Mitteln und Resultaten ist es
eben, was dem Darius- oder Scythen- Feldzug den
pikantesten Reiz gibt..
Das Zweite, was auffällt und Verwunderung erregt,
sind die richtigen strategischen Kombinationen in die-
ser frühen Zeit, 513 Jahr vor Christo, und zwar bei
einem rohen Volke, wo man sie am wenigsten erwar-
ten sollte.
Der Hauptsatz strategischer Lehre, der sich aus
dem einen wie aus dem andern Feldzug aufdrängt, ist,
«der Entscheidung in dem Augenblicke auszu-
weichen, wo der Feind inder vollsten Kraftist
und sie sucht, und sie für den Augenblick auf-
zusparen, wo er, fern von seinem Lande, durch
Kriegsbeschwerden, vergebliche Anstrengun-
gen und durch natürliche Kriegsaufreibung
physisch und moralisch so heruntergekommen
ist, dass er mit geringerer Mühe überwunden
und geschlagen werden kann.
Das heimische Heer, intakt erhalten, schwilt im-
merfort durch neue, zukommende Kräfte an und stärkt
sich durch die Hoffnung auch moralisch: während
das feindliche, fern von seinen Hülfsquellen, bei jeder
Verlängerung des Kriegs, bei jedem Aufschub der
Entscheidung, sich nicht nur schwächen, sondern auch
bei dem Schwinden der Aussichten moralisch sinken
muss. Wie sehr die Stimmung bei beiden Heeren am
Ende gefallen war, darauf deutet einerseits bei den
Persern die trübe Erklärung der scythischen Geschenke,
die vielleicht nur den seythischen Spott ausdrücken
sollten; andererseits bei den Franzosen das Wegwer-
fen der Waffen und das dumpfbrütende Dahinwogen
der Massen, gleich wie zur Schlachtbank getriebener
Heerden. Bei beiden fehlte bereits das Belebende,
das Erfolg verheisst und sichert, die Hoffnung.
Das Besondere in beiden Feldzügen ist nun, wie
jener Aufschub in der Entscheidung in dem einen, wie
in dem andern Fall, durch das Ausweichen, durch
335
Bulletin de l'Académie Impériale
336
die Benutzung weiter Räume, und durch andere kleine
Mittel, je nach den Zeit-, Raum- uud Kultur-Verhält-
nissen, herbeigeführt worden.
Der Perserkönig aus Gründen, die sich wegen Ent-
legenheit der Zeit einer nähern Prüfung entziehen,
deren wahrscheinlichster wohl der den asiatischen
Monarchen gewöhnliche Eroberungsgeist war, unter-
nahm mit einem Heer, das Herodot auf 700,000, Kte-
sias gar auf 800,000 M. angibt, und das wir oben
etwa auf ein Viertel davon herabgesetzt haben, einen
Feldzug gegen die Scythen in den Gebieten des süd-
lichen Russlands. Die Erzählung des Herodot, aus
mündlicher Überlieferung geschöpft, ist durchaus sa-
genhaft, um nicht zu sagen fabelhaft; doch aus den
einzelnen Daten ergibt sich auf Seiten der rohen Scy-
then eine sehr richtige Einsicht in die Verhältnisse
und dem gemäss sehr verständige Kriegsmaassregeln.
Sich gerade mit den Waffen in der Hand dem über-
legenen, geübtern und besonders durch sein Fussvolk
starken Feinde entgegenzustellen, hätte vielleicht zu
einer Niederlage, jedenfalls zu grossen Verlüsten ge-
führt; ihre Kombination war einfacher: als nomadi-
sches Volk hatten sie weder Städte, noch Dörfer, noch
bebaute Lündereien zu vertheidigen; ihr Vaterland
war, wo ihre Wagen mit Frauen und Kindern und
ihre Heerden waren, folglich überall, wo man gute
Weiden fand; ein solches Vaterland konnte man durch
Ausweichen den Streichen des Feindes entziehen, ihn
selbst aber musste man und hoffte man, nachdem er
sich in vergeblichen Anstrengungen erschöpft, für sei-
nen verwegenen Einfall zu strafen.
Ihr Plan war daher kurz gemacht: die. Weiber,
Kinder, Hab' und Gut ward mit den Heerden tiefer
ins Land geschickt, sie selbst aber mit ihrer Kriegs-
, mannschaft stellten sich dem Feinde entgegen, jedoch
nicht unmittelbar zum Schlagen, sondern um ihn hin-
tersich in Wüsten uud veródetes Land hineinzulocken,
und dieses Land vor ihm móglichst zu verheeren und
unbrauchbar zu machen, indem sie Quellen und Brun-
nen verschütteten und Gras und Kräuter auf dem Felde
vertilgten.
Ihr Heer theilten sie in zwei Haufen: der eine sollte
den Feind hinter sich her ziehen, der andere ihm in
der Flanke bleiben, um ihn zu beunruhigen und sei-
nen Rückzug zu bedrohen.
So begannen die Feindseligkeiten, und der Perser-
"eege
zug ging vorwärts. Nun entsteht aber die Hauptfrage:
in welcher Richtung 2 — Der angreifende Feldherr
hat die Wahl derselben, nur der geschlagene muss der
ihm aufgelegten folgen. Deshalb brauchte Darius nicht
nothwendig der Richtung nachzugehen, welche die
Scythen ihm geben wollten, sondern nahm sie, wie es
sein Vortheil und. die GE Verpflegung seines
Heers erforderte. Daher ging aller Wahrscheinlichkeit
nach sein Zug von der Donau zum Dniestr; Sodann
diesen Fluss aufwärts bis zum .Zbrutsch, welchen
Fluss ferner hinaufsteigend, er, wenn hoch, bis in die _
Gegend von Ostrog am Horyn (az eu aA ist,
Hier durch die Umgehung der Scythen bedroht, ent-
schloss er sich zur Rückkehr, die er.auf eben dem
Wege vollbrachte, wie Bod ausdrücklich sagt, als
den Vormarsch. Auf diesem Wege und bis dahin las-
sen sich alle Schwierigkeiten beseitigen, welche Hero-
dots unklare Vorst gen. vom Lande und. seine un-
bestimmten, sich widersprechenden Angaben erzeugen.
Auf diesem Zuge hat es den Persern nicht an Wasser
und an, es sei auf welche Art es wolle, zusammenge-
brachten Lebensmitteln gemangelt, was ganz anders
sein würde, wenn man sie óstlich durch das unabseh- '
liche Steppen - und Wüstenland vordringen lassen
wollte, wozu allerdings Herodots Verwechselung des
Tyras mit dem Tanais und sein Verlangen, den Ero-
‘berer, nach der vorherrschenden . wichtigen Bedeu-
tung, die man dem Tanaisflusse als Gränzscheide zwi-
schen Europa und Asien beilegte, bis dahin zu brin-
gen, einladet. — So lange die Lebensmittel vorhiel-
ten, ging alles ganz gut; sobald aber diese versiegten
und das Land keine neuen Zuflüsse lieferte, musste
man an sein Heil und auf Rückzug denken. Die er-
wühnte Flankenbewegung der Scythen beschleunigte
diesen, und kaum hatte er begonnen, so ging der Krieg
für die Scythen, wie 1812 für die Russen, erst recht
an, und ihre unausgesetzte Thätigkeit brachte den
Feind zur Verzweiflung.
Das ist der Gang und die Geschichte den "Zuges
im Ganzen genommen ; heben wir nun einzelne Um-
stände heraus, die ihm eine frappante Ähnlichkeit
mit dem andern grossen Eroberungszuge aus unserer
Zeit geben.
Zuerst die Theilung des Heers in 2 Theile,
wovon einer den Feind hinter sich her ziehen, der
andere ihm in Flanke und Rücken bleiben sollte, Wit
337
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
es auch 1812 geschah. Dieser letztere Theil sollte,
wenn Mangel und Noth ihre Wirkung auf das feindli-
che Heer auszuüben anfingen, vorgehen und demsel-
ben den Rückzug zu den Brücken abschneiden, gerade
wie es die Russen durch die Vorlegung an der Bere-
sina beabsichtigten. — Sodann die Verwüstung des
Landes vor dem Feinde, und das beständige Angrei-
fen und Beunruhigen desselben. — Die Perser, wei-
ter ins Land eindringend, verbrennen die hólzerne
Hauptstadt der Budinen, eines den Scythen verbün-
deten oder unterworfenen slavischen Volks, die grosse
Gelonos, die an 5 Werst (30 Stadien) in die Lünge
und eben so viel in die Breite hatte, aber von den
Einwohnern verlassen war, gerade so wie bei
Moskau. — Nach der Erzühlung sucht Darius in je-
ner Gegend eine feste Stellung zu nehmen und lässt
8 Burgen aufführen, man weiss nicht warum? — In-
dess er aber damit beschäftigt ist, machen die Scythen
vor ihm einen Flankenmarsch um die Spitze des
persischen Heers herum, so dass die Perser in Unge-
wissheit geriethen, wo jene geblieben, gerade wie
1812. Als Darius aber ihre Bewegung auf seine Flanke
hin erfuhr, gerieth er in Besorgniss, liess seine Festen
unvollendet und trat sofort seinen Rückzug an. Alles
gerade wie es sich nachmals, 1812, vollzog.
Darius, erbittert über das ewige Ausweichen der
Scythen vor einer Schlacht, in welcher er auf sein
Heer glaubte zühlen zu dürfen, schickt Boten an den
feindlichen Anführer Idanthyrsos mit der Aufforde-
rung, Stand zu halten, es auf eine Waffenentschei-
dung ankommen zu lassen, oder sich zu unterwerfen.
Der Scythenkönig antwortet: nicht Furcht habe ih-
ren Rückzug eingegeben, sondern Plan: Anlass zum
Schlagen hätten sie nicht, da sie keine Städte oder
bebautes Land zu vertheidigen hätten. Sie zôgen im
Lande umher, wie es ihre gewühnliche Sitte sei: « Ver-
greift euch aber nur an unsern Heiligthümern, fügten
sie hinzu, an den Grabhügeln unserer Väter, und ihr |
werdet sehen, ob wir den Kampf fürchten (die Schän-
dung der Kirchen 1812, die alle Russen zum Kampfe
riefl); sonst werden wir nicht eher, als bis es unser
Vortheil erfordert, mit dir TEES Als Herrn aber
erkennen wir amaai als nur Gott»!
Die Scythen unterhandelten inzwischen mit den
griechischen Anführern, die die Perserbrücken be-
wachten, meist kleine Stadt-Tyrannen, die ihren per-
Tome VIII.
sönlichen Vortheil höher anschlugen, als das Wohl
ihres Vaterlandes und darum auf den Histiaeus hör-
ten, welcher rieth, die Brücken nicht zu zerstören
und es treu mit dem Perserfürsten zu halten, da ihre
bevorzugte Existenz in den kleinen Stadtgebieten nur
von der Erhaltung seiner Obermacht abhänge; echte
kleine Rheinbund-Fürsten blieben sie somit dem Per-
ser-Schach getreu. — Die Scythen aber begannen
nun, wie die Russen 1812, erst den eigentlichen
Krieg; beunruhigten unaufhörlich das weichende Per-
serheer, hoben ihre Futterholer auf, richteten ihre
Reiterei zu Grunde, die nur Schutz bei ihrem Fuss-
volk fand; — die Nächte allarmirten sie sie beständig
durch Überfälle, Angriffe: nur die zahlreichen Esel
und Maulthiere de ‚Perser retteten diese vor gänzli-
cher Vernichtung, indem die Pferde der Scythen vor
deren Gestalt und Geschrei scheuten. Also eine thä-
tige,unermüdliche Verfolgung durch ihre leichten
Reiter, wie es 1812 die russische war.
Darius, in Flanke und Rücken verfolgt, beschleu-
nigt seine Flucht. Um besser fortzukommen und zu-
gleich den Feind aufzuhalten, lässt er alle Kranken,
Ermüdeten und Erschöpften in einem Lager zurück,
das er reichlich mit Eseln und Maulthieren versieht,
damit letztere durch ihr Geschrei längere Zeit den
Feind fernhielten; zugleich wurden die Wachtfeuer
brennend erhalten, um den Gegner glauben zu ma-
chen, das ganze persische Heer sei anwesend, wäh-
rend dasselbe heimlich in der Nacht aufgebrochen
war, um in Eilmärschen die bereits nahe Donau zu
erreichen. Als die Scythen am folgenden Tage die
Kriegslist merkten, eilten sie auf nächstem Wege die-
sem Flusse zu, um den Persern zuvorzukommen.
Diese, deren Zug nur langsam vorwürts kam, da sie
auf ihrer alten, verödeten Strasse zogen, waren noch
weit zurück. Die Scythen forderten nun die Griechen
auf, da die 60 Tage abgelaufen, die Brücken abzubre-
chen und heimzuziehen, ohne alle Furcht vor Darius,
dem sie schon die fernere Lust zu dergleichen Kriegs-
zügen benehmen würden. Miltiades, der spätere Sie-
ger von Marathon, fordert zur Befolgung dieses Raths
auf; doch Histiaeus von Milet, wie wir gesehen, ver-
hindert es; — um aber doch etwas zu thun und zu-
gleich die Scythen sicher zu machen, brechen sie von
der Brücke den nächsten Theil auf der feindlichen
Seite ab, damit die Scythen sich ne: nicht be-
Bulletin de l'Académie Impériale
mächtigten. Diese, sicher gemacht, wenden sich nun
den Persern entgegen; aber verfehlten sie, vielleicht
selbst absichtlich, wie an der Beresina, wo Tschitscha-
goff, so gut wie Wittgenstein dem Feinde nicht an den
rechten Punkten entgegen traten; die Scythen zogen,
wie jene, besserer Verpflegung halber durch frische,
unberührte Landstriche, während die Perser auf dem-
selben Wege, auf dem sie gekommen, auch wie-
der heimzogen, gerade wie 1812 die Franzosen; wahr-
scheinlich weil sie nicht mehr stark und kräftig genug
waren, sich neue Bahnen brechen zu können. — So
entkamen sie mühsam zur Donau. Welcher Schreck!
die Brücke war abgebrochen! Aller Verderben schien
unvermeidlich. Doch die Treue seiner ionischen Va-
sallen rettete den Perserkönig und die Überbleibsel
seines Heers; sie stellten die abgebrochene Brücke
wieder her und öffneten dadurch den Flüchtigen den
sichern Rückzug hinter die breiten Fluthen der Donau.
Die Übereinstimmung zwischen den beiden Feldzü-
gen, die ein Zwischenraum von 2325 Jahren trennt,
ist bewundernswerth, um so mehr, als an keine Nach-
ahmung zu denken war; indem die russischen Anfüh-
rer von 1812 in ihrem Leben vielleicht nicht vom
Darius und seinem Kriegszug gehört hatten, obwohl
noch im Laufe des Feldzugs ein deutscher Gelehrter,
Ernst Raupach, eine umständliche, deutungsvolle Dar-
stellung dieser im Alterthum so berühmten Kriegsun-
ternehmung gegeben hatte, die aber natürlich ohne
weitere Einwirkung auf die 'gleichzeitigen Begeben- | 1
heiten blieb.
Waffen, Umstünde, Verhültnisse, Meiischeir: alles
ist hier verschieden: die Kombinationen des Geistes
dagegen bewähren bei einer wundersamen Überein-
stimmung den gleichen Erfolg. Natürlich: alles im
Leben, alles Zeitliche und Räumliche, wechselt: nur
die Vernunft und ihre Erwägungen bleiben dieselben;
und sie, wenn befolgt, in rohen, wie in hellen Zeiten,
geben zuletzt immer den Ausschlag und entscheiden
über die Schicksale der Völker wie der Menschen.
Untersuchungen über dieErscheinungen derGla-
cialformation in Estland und auf Oesel von
Mag. Fr. Schmidt. (Lu le 12 mars 1865.)
(Mit einer Karte.)
Nach meiner Rückkehr aus Sibirien hatte ich im sit
Sommer 1863 meine früheren Untersuchungen über
die Estländische Silurformation') wieder aufgenom-
men und war dabei natürlich auch wieder auf die neu-
eren Bildungen gestossen, die mir bisher grósstentheils
nur als unerfreuliches Hinderniss beim Studium der
reichhaltigen und regelmássigen Silurischen Schichten
erschienen waren.
Um in Wahrheit die ganze Geologie des ET
zu erforschen und mich nicht bloss mit einer For-
mation zu begnügen, beschloss ich mich eingehender
bekannt zu machen mit den Forschungen über die
neuesten Formationen in anderen verwandten Gebie-
ten. Die schönen Untersuchungen, die in neuester
Zeit über die Eisperiode iu Scandinavien, Grossbri-
tannien und Nordamerika angestellt worden sind, zeig-
ten mir die interessanteste Seite, die sich dem Stu-
unseres ten Diluviums abgewinnen lässt.
Ich beschloss den nächsten Sommer zu benutzen, um
die Stellung Estlands zur grossen Seandihsrischeh
Glacialformation zu erforschen. Eine dreimonatliche
Wanderung im Sommer 1864 durch Estland und Ösel
setzte mich in den Stand, die — —
lungen zu machen.
Ich werde nun zunächst ein ——1
sches Bild unseres Gebietes in kurzen Zügen zu ent-
werfen suchen, nach dem jetzigen Stande unserer
Kenntniss; dann gehe ich über auf die wichtigsten Er-
scheinungen und Ablagerungen der neuesten geolo-
gischen Periode, und zwar werden zu betrachten sein:
1) die Grandrücken, Strandwülle und der Transport
der erratischen Blöcke; 2) der Richk se die Sue
lager, und die Schrammen.
Es wird sieh ergeben, dass wir die renier
Bildungen vollkommen durch noch jetzt bei uns fort-
gehende Vorgänge erklären kônnen, éine Erklärung
der zweitgenannten aber nur durch Eingreifen der
obenerwähnten Scandinavischen Eisperiode decim
werden kann.
Orographische Uebersicht.
Die Grundzüge der Orographie Estlands sind schon
von M. v. Engelhardt richtig erkannt worden und
am klarsten dargelegt nach seinen Angaben in rof.
A. Huck's «Landwirthschaftliche Verhältnisse Est,
Liv- und Kurlands.» S. 6— 18.
J S. Archiv für die Naturkunde Liv-, Est- und piae 1. 1. Ser.
I, S. 1— 248. Untersuchungen über die Silurische Formam
von Estlánd, Nord-Livland und Oesel.
341
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Estland bildet wesentlich eine flache Felsplatte aus
silurischem Kalk bestehend, die nach S. sich allmählich
senkt. Doch ist der steile Abfall im Norden, der be-
kannte Glint, nicht die einzige Stufe. Es lassen sich,
mehr oder weniger deutlich, noch drei bis vier nie-
drigere Terrassen unterscheiden, durch die wir all-
mählich bis auf den hóchsten Theil des Landes, die
von W. nach O. parallel der Küste sich hinziehende
Wasserscheide gelangen, von der nach Süden eine
ganz allmáhliche und unmerkliche Senkung zum Per-
nauschen Meerbusen, sowie zum Flussgebiet der Per-
nau und des Embachs stattfindet. Einen besonderen
Wasserscheiderücken kann ich nicht annehmen.
Das erwühnte flache Plateau ist nun aber nicht
überall gleich hoch in seinem ostwestlichen Verlauf;
es wülbt sich am hóchsten in seinem óstlichen Theile,
in Landwierland, und senkt sich allmählich westwärts
nach der Wiek zu. |
— Die Pentamerenschichten, die im Klein-Marienschen
Kirchspiel 400 F. hoch über dem Meere liegen, er-
reichen bei Hapsal das Niveau des Meeres. Genaue
Hóhenbestimmungen haben leider nur im östlichen
Theile des Landes und längs der Küste stattgefunden;
für das Innere des Landes im Westen sind wir auf
sehr approximative Schätzungen angewiesen. In der-
selben Richtung von Ost nach West wie die allge-
meine Senkung des Landes, findet nun auch eine mehr | E
oder weniger markirte Fältelung desselben statt, in-
dem sanfte Bodenanschwellungen einander parallel
von Nordwest — Südost verlaufend, das Land durch-
ziehen, entsprechend dem Streichen und Fallen der
Schichten. Andeutungen dieses Verhaltens findet man
Schon in der Geology of Russia von Murchison,
Verneuil und Keyserling. Das Verdienst aber,
nachdrücklich auf die Faltungserscheinungen in den
Ostseeprovinzen aufmerksam gemacht zu haben, ge-
bührt Prof. Grewingk in Dorpat. °). Entsprechend
diesen Falten verlaufen die Landspitzen im Norden
von Estland in der nämlichen Richtnng von NW. —
SO. und ebenfalls fast alle Flüsse, die an der Nord-
abdachung fliessen. In vielen Fällen lässt sich deutlich
beobachten, so am Kundaschen, Loxa- und Kegel-
schen Bach, dass der Bach nicht etwa in einer vorge-
bildeten Spalte oder eingedämmt von zwei Geröll-
Te SE RT
2) 8. Geologie von Liv- und Kurland, Archiv für die Naturkunde
Liv-, Est- und Kurlands, 1, Serie, Bd. II, S. 554
rücken dahinfliesst, sondern wirklich in flachen Fal-
tungsthälern der silurischen Felsplatte. Die Grandrü-
cken sind secundäre Erscheinungen, die aber im näch-
sten Zusammenhang mit den Falten stehen, deren
Kümmen sie aufliegen. Was fernervollkommen den Fal-
ten entsprechende Erscheinungen sind, das sind die
von N. nach S. verlaufenden Untiefen im finnischen
Meerbusen und in der angrünzenden Ostsee (wie die
Seekarten zeigen); die in derselben Richtung*verlau-
fenden Meeresarme zwischen unseren westlichen In-
seln, die Richtung der Insel Hochland und endlich
die ganz entsprechend unseren Flusslüufen von NW.
nach SO. angeordneten Seen und Fjorde Finnlands,
die ihrerseits den Flüssen im óstlichen Schweden ent-
sprechen, so dass wir schliesslich in dem von SW.
nach NO. verlaufenden K irge die uralte Endur-
sache unserer Faltungs- und Hebungserscheinungen
erblicken. Die Ostsee, namentlich der Finnische Meer-
busen, verdeckt nur zum Theil den Zusammenhang
unseres Gebiets mit Skandinavien.
Der Glint ist die erste Terrasse des Silurischen
Terrains, das dem Finnischen Granit aufgelagert ist.
Wahrscheinlich hat auch er früher in mehreren nie-
drigeren Terrassen weiter nach Norden gereicht, diese
sind aber, aus lockerem Material bestehend (Sand und
Thon); von der Meereshrandung zerstört und so die
lische Felsküst ü ängt worden, wie das
noch jetzt stellenweise geschieht z. D auf Odensholm.
Auf dieser besprochenen Felsgrundlage liegen nun
verschiedenartige neuere Bildungen ausgebreitet, die
aber sonst keine orographische Bedeutung haben, mit
Ausnahme der oft ziemlich hohen und langgestreck-
ten Geröllrücken, die vollkommen den Schwedischen
sar entsprechen. Sie sind in grosser Zahl vorhanden
und geben allein dem Innern von Estland einige Bo-
denmannigfaltigkeit, da die Terrassen und Falten hier
verhältnissmässig sehr wenig ins Auge fallen. Sie fal- .
len meist steil nach beiden Seiten ab, haben zuweilen
Auslüufer oder bestehen aus mehreren parallelen Wall-
reihen. Sie verlaufen entweder ununterbrochen bis
über 30 Werst oder sind in reihenweise angeordnete In-
seln aufgelóst. Sie schliessen Seen und Moore zwischen
sich ein und sind meist mit Wald bestanden, wodurch
manche pittoreske Scenerien entstehen; was Wunder
also, dass man auch im flachen Estland von einer Ke-
denpähschen oder Müdders’schen en spricht?
343
Bulletin de l'Académie Impériale
344
Die neue topographische Generalstabs-Karte von
Estland, die erste auf der die Terrainverhältnisse ge-
nauer berücksichtigt sind, lässt einen ziemlich klaren
Blick in die Vertheilung dieser Grandrücken thun.
Auf der beiliegenden Übersichtskarte sind die haupt-
süchlichsten derselben dargestellt, die mir fast alle
durch persönliche Ansel g bekannt geworden sind.
Die Hauptrichtung der Grandrücken ist die von
NW. nach SO. oder von N. nach S. entsprechend den
Falten des silurischen Kalkplateaus, deren Sätteln sie,
wie oben erwühnt, aufgelagert sind, uud die durch
die Grandrücken gerade am deutlichsten markirt wer-
den. Hierher gehóren namentlich die hóchsten Punkte
Estlands, die Sallschen Berge, die einem ganzen Sy-
stem von Grand- und Sandrücken angehóren, die von
Wesenberg bis Dorpat sich hinziehen und im Emmo-
mäggi bei Sall ihre grósste Hóhe mit 550 F. erreichen.
Die grösste Höhe des anstehenden Gesteins beträgt
nicht viel über 400 F. Ausser der erwähnten Haupt-
richtung kommen noch zwei ausgedehnte Rücken vor,
die in abweichender Richtung von NO. nach SW. ver-
laufen: die Grandrücken zwischen Fennern und Tor-
gel und die Berge von Isack und Bogoroditz mit einem
ganzen System von Sandrücken nach der Narowa zu.
Ferner haben wir noch eine ganze Zahl bogenförmig
und unregelmässig gewunden von W. nach O. sich
hinziehender Grandrücken, wie die Piepschen und
Odenkatschen Höhenzüge und die beiden Wälle, auf
denen sich die beiden Parallelstrassen von Reval nach
Hapsal hinziehen. Wir kommen später auf diese zu-
rück und bezeichnen sie schon jetzt als alte Strandwälle.
Entsprechend den obengeschilderten orographischen
Verhältnissen des Landes verhalten sich auch die hy-
drographischen.
Alle Bäche auf der Nordabdachung Estlands fliessen
entsprechend der Faltenrichtung von SO. nach NW.;
sie haben dabei starken Fall, und in ihrem unteren
Lauf, wo sie an den Glint treten, häufig Wasserfälle
und hohe Ufer, weil das Land sich nach Süden senkt,
und sie sich: ihren Weg durch’s Gestein erst graben
mussten. Das Rückwärtsgehen der Wasserfälle wie
beim Niagara, kann bei den drei grössten derselben
beobachtet werden: dem Narvschen, dem Jaggowal-
schen und dem Fallschen. Östlich von der Wierländi-
schen Höhe finden sich Nebenflüsse von links, die
längs dem Fuss der Terrassen in westöstlicher Rich-
tung verlaufen; westlich von hier herrschen rechte
Nebenflüsse vor, die von Ost nach West fliessen, Auf
der Westabdachung des Landes verläuft der Kassa-
riensche Bach am Fuss einer Terrasse, die als Fort-
setzung der Südküste der Einwiek über Kirrefer bis
Fiekel (Awwaste) sich hinzieht. Alle Nebenflüsse kom-
men ihm von Norden zu, vom geneigten Rücken der
nüchst tieferen Terrasse. Die hóher liegende, seinen
Lauf im Süden begrünzende Terrasse hat ihre Abda-
chung nach dem Pernauschen Meerbusen zu.
Auf der Südabdachung des Landes verlaufen die
Zuflüsse des Embachs, die Pedja und Pahle, entspre-
chend den Falten und Grandrücken von NW. nach
SO. und von N. nach S., während der Pernaustrom
mit seinen Zuflüssen eine ausgesprochene Richtung
von NO. nach SW. hat, ebenso entsprechend der
hier veränderten Richtung der Grandrücken, die be-
reits in Jerwen beginnt nnd wohl auch im verän-
derten Relief der unterliegenden Silurischen —
platte ihren letzten Grund hat.
Ähnlich wie die Flüsse, so lassen sich auch Bien
und Moore mit der önögrupkiichen Configuration in
Zusammenhang bringen. Erstere liegen entweder auf
der Höhe der Glintfläche ausgebreitet, bei deren Nei-
gung nach Süden sie keinen Abfluss finden können,
da die nächste Terrasse quer vorliegt, oder sie neh-
men die Vertiefungen zwischen zwei naheliegenden
Parallelrücken ein, wie die zahlreichen Seen mere
von Dorpat.
Letztere, die Moore, verhalten sich durehaní ähn:
lich; entweder liegen sie ebenfalls in Vertiefungen
zwischen zwei Falten oder sie dehnen sich am -—
der Terrassen aus.
Wir haben vorhin nur die Orographie des Festlan-
des im Auge gehabt, es bleiben uns noch die Inseln
nebst der gegenüber liegenden Küste der Wiek übrig.
Die eigentliche Glintterrasse, deren Rücken der
Vaginatenkalk bildet, hórt auf dem Festlande bei Bal-
tischport auf; ihre Fortsetzung erscheint nur
auf den Inseln Gross- und Klein-Rogoe und Odens-
holm, welche Überreste einer früher weiter reichenden
Küste darstellen.
Die westlich fortgehende Festlands- Küste gehört
schon der nächsten Terrasse an, der Jeweschen und
Wesenbergschen Schicht entsprechend, die in 10 oder
mehr Werst Entfernung vom eigentlichen Glintab-
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
sturz bis jenseit Jewe sich deutlich verfolgen lässt.
Hierauf folgt *) in dem Küstenvorsprung südlich von
Hapsal die erste obersilurische Terrasse, aus dem Pen-
tamerenkalk gebildet, der zugleich zum grossen Theil
die Wasserscheide Estlands ausmacht. Diese Terrasse,
auf die man von Hapsal aus ziemlich schnell hinan-
steigt, senkt sich nach Süden allmählich in die Einwiek,
an deren Südufer die letzte Silurische Terrasse des
Festlands auftritt, an deren Fortsetzung, wie schon
erwühnt, der Kassariensche Dach hinfliesst.
Von den Inseln gehóren Worms und Nuckó der
nördlich von Hapsal gelegenen untersilurischen Ter-
rasse an; beide sind mit regulär von NW. — 50. verlau-
fenden Grandrücken versehen, wie auch die Festlands-
küste bei Nyby, und erscheinen als hervorragende
Wellenrücken. Hierher gehórt auch Dago, wo bei
Palloküll und Kertel besonders deutlich eine wel-
lenförmige Auftreibung des Felsbodens in der re-
gulären Richtung wahrzunehmen ist, die ihrerseits ei-
nem Grandrücken zur Unterlage dient. Die hohen
Grand- und Sandberge bei Dagerort habe ich leider
nicht besucht, so dass ich mich über ihre Deutung
hier nicht aussprechen kann.
Die Inseln Moon und Ösel schliessen sich an die
obersilurische Terrasse, südlich der Einwiek an. Moon
zeigt drei deutliche Faltensättel ‘), die an ihrer NO.-
Seite steil abbrechen und Spuren von der Wirkung
ehemaliger Meeresarme zeigen, die das Land nach
den Falten dnrchschnitten, wie noch jetzt das Meer
am Fusse des óstlichsten Faltungsrückens brandet und
wie noch jetzt der kleine Sund den vollkommen hier-
her gehórigen vierten Rücken, an der NO.-Küste
Üsels zwischen Orrisaar und St. Johannis, von Moon
scheidet. Auf der Höhe der Faltungssättel finden sich
auf Moon Grandwälle, ganz ebenso wie bei den nörd-
eren Inseln.
— Weiter westwärts auf Ösel sind die Sieg weniger
deutlich, das Land bricht steil im Norden ab und
senkt tici allmáhlich nach Süden. In den drei hohen
felsigen Halbinseln von Taggamois, Ninnase und Pank
finden sich wohl Andeutungen von Falten ausgespro-
3) Im Osten sind noch mehrere. Zwischenterrassen deutlich, die
im Westen verschwinden.
4) Ich habe früher versucht, diese nach NO. steil abbrechenden
Rücken als aufeinanderfolgende Terrassen anzusehen; die. vollkom-
mene Gleichformigkeit ihrer Schichten spricht aber dagegen, die
bei echten Terrassen nicht vorkommt.
chen, da von hier aus, auf der Hóhe der Felsplatten
sich mächtige Grandrücken nach S. fortsetzen; na-
mentlich wird das Kielkondsche Kirchspiel im Westen
von Osel, durch zwei bis drei müchtige bewaldete
Grandrücken, die mit Unterbrechungen nach Sworbe
hinübergehen, von dem übrigen Ösel getrennt. Ausser-
dem finden sich auch auf Ösel bedeutende Querwälle
von O. nach W., die aber niedriger und breiter sind als
die Estländischen und noch deutlicher als alte Strand-
wälle zu erkennen sind.
Die Grandrücken und Strandwälle. Der Transport der errati-
schen Blöcke,
Alle in der Überschrift genannten Erscheinungen
lassen sich aus der Thätigkeit des Meeres erklären.
Lokale Beobachtungen genügen, um diese Erklärung
zu finden.
Unsere Grandrücken, deren Verbreitung und oro-
graphische Bedeutung schon oben besprochen wurde,
sind unregelmässig über das Land vertheilt, so dass
durchaus nicht alle Gegenden des Landes gleich reich
an dem trefflichen Wegebaumaterial sind. Ihre Zu-
sammensetzung und grösstentheils auch ihre Form
sind aber fast durchweg dieselben, sie mögen nun
hart am Meere oder auf den höchsten Strichen unse-
res Landes liegen. Ihr Bau gleicht durchaus dem
der Schwedischen Âsar. Sie sind durchweg geschich-
tet, aber nicht horizontal, sondern sattelfórmig, so
dass die Schichten beiderseits in steiler Bóschung ab-
fallen. Ihr Material besteht aus vollkommen abgerun-
deten grösseren und kleineren Kalk- und Granittrüm-
mern, so jedoch, dass in der nämlichen Schicht eine
gewisse Übereinstimmung hinsichtlich des Korns statt-
findet. Die Grósse der Bestandtheile schwankt von
der eines Sandkorns bis zu Kopfgrüsse. Ein mehr
oder weniger grober Kalksand, bestehend aus fein zer-
riebenen Kalkstückchen, gemischt mit Quarzsand, bil-
det die Bindemasse des Conglomerats.
Grössere Granitblöcke finden sich in der Masse der
Grandrücken selbst sowohl, als namentlich an den Ab-
hängen und längs dem Fusse derselben, wo sie zuweilen
mächtige Haufwerke bilden. Feinkörnige Sand- und
Thonlager kommen nur ausnahmsweise in den Grand-
rücken selbst vor; sie finden sich in den Niederungen
am Fusse derselben, und zwar pfle Gleich
| mässigkeit in den Niedernngsschichten der Zwischen-
räume je zweier Grandrücken vorzuherrschen. Die
347
Bulletin de l'Académie Impériale
lang gezogenen regelmässig verlaufenden Grandrücken
unterscheiden sich nur durch ihre Form und die gleich-
mässige Abdachung nach beiden Seiten von den neuen
und alten Strandwällen, die längs den Küsten sich
hinziehen. Auch diese zeigen ganz dieselbe Zusam-
mensetzung; eine Mischung von feinerem und gröbe-
rem Grand, die auch hier verschiedene Stellen und
Schichten einnehmen. Die Betrachtung einer Küste,
die der Meeresbrandung ausgesetzt ist, zeigt die durch
die Wellen zerriebenen Geröllmaterialien je nach ihrer
Form und Grösse in verschiedene Streifen vertheilt?).
An steilen Abhängen zeigen die Küstenwälle eine stär-
kere Neigung und eine grössere Höhe nach der See zu,
als nach dem Lande, aber die sattelfórmige Anordnung
der Schichten ist auch hier wahrnehmbar. An mehr
ebenen Küsten bilden sich nach beiden Seiten gleich-
mässiger aussehende Wälle. Bei hohem Wasserstande
und starker Brandung werden die Gerölle über den
Kamm des Walles hinübergeworfen und lagern sich
auf der andern Seite ab. Daher die Sattelbildung.
Bestehen die Schichten, an denen die Brandung
sich bricht, aus dünnen Platten, so besteht das Geröll
der Küstenwälle aus mehr oder weniger dünnen, seit-
lich abgerundeten Scheiben, so bei Baltischport und
Reval (iu Joachimsthal). Bei mächtigeren Schichten
nähern sich die Gerölle mehr der Kugelform und-ha-
ben auch an ganz neuen Küstenwüllen ganz beträcht-
liche Dimensionen, so an der Küste der Insel Worms, |
wo sie vorzugsweise dem festen gleichmässigen Cyclo-
crinitenkalk der Wesenberger Zone angehören. Im
westlichen Theil unserer Küste finden sich zahlreiche
Muscheln am Fusse der Küstenwälle angehäuft, im
óstlichen Theil werden sie seltener. Tiefer ins Land
hinein finden sich nirgends subfossile Muschellager 9);
nur in wenigen Wersten Entfernung von den Küsten
der Wiek und Ösels finden wir solche bis zur absolu-
ten Höhe von etwa 30 F. über dem Meere, gewöhn-
lich in einem feinen Sande, der einem Lehmlager auf-
liegt. Die Muscheln sind die nämlichen, die noch jetzt
an unseren Küsten leben; ausser ihnen kommt noch
eine kleine Littorina vor, die auch die Schwedischen
subfossilen Muschellager der Ostseeabdachung cha-
5) Lan über die Bildung der Strandwälle und die eebe der |
. v. Helmersen im Bull. phys.-math. T. XIV. N° 1
E 8. Schrenk Übersicht des obern e, EE Cos Re
8. 92 und meine Untersuchungen, S. 180
rakterisirt, in der Ostsee selbst aber jetzt nicht mehr
gefunden wird. |
Dagegen lassen sich die Strandwälle an mehreren
Punkten bis auf die grössten Höhen unseres Gebie-
tes verfolgen. Am Taggamoisschen und Mustelschen
Pank, von denen der letzte 100 F. hoch ist, steigen
einander parallele und vollkommen gleichmässig ge-
bildete Strandwälle von unbedeutender Höhe, allmäh-
lich längs den sanfteren Küstenabhängen vom Meeres-
niveau bis zur Gipfelfläche des Panks auf. Dasselbe
lässt sich auf den Inseln Gross- und Klein-Rogoe und
an der felsigen Halbinsel von Baltischport beobachten,
Bei Reval besteht die obere Fläche des Glints aus
nacktem Fels, der nur dürftig mit Rasen bedeckt ist,
südlich davon aber lassen sich an der Raudialschen
Strasse bis Tois hin ganz deutlich Spuren alter Strand-
wälle beobachten. Am höchsten steigen diese am
Wierländischen Glint auf, wo längs der Strasse auf
der Höhe des Glints und am Fuss der Jeweschen Ter-
rasse, von Paddas, über Kook, Isenhof bis Kuckers hin
ganz deutliche alte Küstenwälle, von derselben Bildung
wie die jetzigen, in einer Höhe von etwa 250 Fuss
über dem Meere zu erkennen sind. Auch bis Wesen-
berg und weiter scheinen alte Strandwälle zu rei-
chen, doch habe ich sie in dieser prep itin
genauer verfolgt.
Dagegen zeigt die Wiek mehrere treffliche Bei-
spiele von alten Strandlinien tief im Lande, die frei-
lich aber keine bedeutende absolute Höhe einnehmen.
So die schon erwähnten beiden Wälle, auf denen die
Strassen von Hapsal nach Reval gehen, die einander
parallel in einem Bogen von SW. nach NO. verlaufen,
wit der Krümmung nach SO. Der nördlichere Wall,
besonders deutlich zwischen Kuijöggi und Padis, be-
steht aus Sand; an seinem Fuss liegt der ausgedehnte
Morast Suur Bon. Er scheint eine Stufe zu verdecken,
denn sein Abfall nach NW. ist weit hóher als der nach
SO., hinter dem ein mächtiger sumpfiger Lanewald
auf Lehmboden sich ausdehnt. Der südliche Parallel-
rücken lässt sich von Palfer bis Riesenberg verfolgen
und besteht aus Grand; er bildet die Wasserscheide
in dieser Gegend, indem südöstlich von ihm schon
das Gebiet des Kassarienschen Baches beginnt.
Besonders schóne alte Uferlinien finden Ru bei
Kirrefer auf der Höhe und am Fuss der Terrasse, die
hier das alte Ufer der einst weiter ins Land greifen-
349 des Sciences de
St. -Pétersbourg.
den Einwiek südlich begränzt. Am Fuss des Abhangs
liegen reihenweis aufgestellte Granitblöcke, ganz wie
am Fusse jetziger Meeresabhänge. Ganz ebenso ver-
hält sich die Fortsetzung dieser Küste der Einwiek
beim Dorf Awwaste, unweit Fickel, und eine alte
Küste beim Dorf Törwaste, unter Piersal, wo man
ebenfalls auf der Höhe und am Fusse eines Felsab-
sturzes, der nach Westen gewendet ist, alte Strandli-
nien sich hinziehen sieht.
Ebenfalls unter Piersal, bei Wannama sieht man
ineinem nach Westen vorspringenden Bogen mehrere
parallele alte Strandlinien, die ostwärts ansteigen und
an ihrem Fuss mit Blockreihen besetzt sind.
Aus dem Vorhergehenden ergiebt sich, dass die
Strandwälle und die Äsarartigen gersälinigen regulä-
ren Grandrücken sowohl ihrem Bau nach, als auch
darin übereinstimmen, dass sie in jeder Höhe, von den
Küsten aufwärts bis auf die Landrücken im Innern
verbreitet sind.
— Es ist also auch eine gleichartige Entstehung anzu-
nehmen. Diese wird schon dadurch wahrscheinlich,
dass in manchen Gegenden, den Faltungserscheinun-
gen unseres Bodens entsprechend, die Küstenwälle mit
den regulür verlaufenden Äsar zusammenfallen, so an
der Festlandsküste der Wiek, gegenüber Nuckoe, bei
Nyby und Sutlep, wo sich längs der Küste von NW.
nach SO., auf Kalkfels gelagert, ein Grandrücken in
mehreren Stufen hinzieht, hinter dem nach Osten das
Land sich zu einem Sumpfe senkt. Hier vereinigen
sich die Charaktere der Strandwälle und Äsar voll-
kommen. Dasselbe ist der Fall mit den Strandwällen
im Westen der Insel Nuckoe und an der Ostküste von
Dago. Aber auch noch direktere Genie eg ge-
lang es mir zu machen.
Die kleine Insel Harrilaid, im Meere zwischen
Worms und Dago gelegen, bildet ein von NW. nach
SO. gezogenes Riff aus Geröllgruss und Granitblöcken
zusammengesetzt. Sie hat vollkommen das Aussehen
und die Zusammensetzung eines regulären Grandrü-
Ckens, nur in kleinerem Maassstabe. Am Fusse des
Walles liegen Reihen von Granitblöcken, die am Nord-
ende der Insel in ein halb unterseeisches Riff ausgehn.
Der alte Krüger auf der Insel, der schon 24 Jahre
hier wohnt, hat einen grossen Theil ihres Wachsthums | dem Me
mit erlebt und schilderte mir, wie die Insel durch von | Kern w
Eis angeführte Granitblöcke und Grussmassen ge-
i
$
wachsen sei. Die Mitte der Insel sei früher bei hohem
Wasserstande überflutet worden, was jetzt seit einer
Reihe von Jahren nicht mehr vorgekommen sei”). Ein
ähnliches Bild gewährt die lang gestreckte Insel Hest-
holm bei Hapsal, die ebenfalls ein in Bildung begrif-
fener Grandrücken ist, und die Reihen von Geröllin-
seln zwischen Moon und Dago, die durch Riffe sich
zu verbinden streben. Ein früheres Stadium der In-
selbildnng haben wir in den flachen Steinriffen von
Rukki rahhu und Kumora, und ein späteres in der
Insel Worms, auf der ein centraler Grandrücken, der
von NW. nach SO. die ganze Insel durchzieht, zur
Grundlage der weiteren Inselbildung geworden ist.
Auch dieser Grandrücken reicht mit seinem Nord-
und namentlich mit seinem Südende noch in’s Meer,
hier in ein unterseeisches Riff ausgehend; an seinem
Fuss aber, etwa eine Werst von der jetzigen Küste
entfernt, find ich im feinen Grande wohlerhaltene
Exemplare der Meeresmuschel Cärdium edule, als
sicheren Beweis, dass unter Vermittelung des Meeres
der Grandrücken als Riff entstanden ist, in derselben
Weise, wie jetzt Harrilaid und Hestholm. Es sind,
wie ich schon oben hervorhob, die der Faltenrichtung
des silurischen Bodens entsprechenden langgezogenen
Meeresuntiefen, die das Stranden der Granitblócke,
die von Eisfeldern herangeführt werden, bedingen.
Wir haben mit der Zeit in dem Meere zwischen der
Wiek und den Inseln die weitere Ausbildung der al-
ten und die Neubildung einer Anzahl neuer Riffe zu
erwarten, die schliesslich lang gestreckte Inseln oder
Inselgruppen bilden, an die sich mit der Zeit immer
mehr Land durch Anschwemmung ansetzt. Die säku-
lire Hebung des Landes wirkt mit und das Festland
vereinigt sich mit den Inseln. So ist allmáhlich das
Festland von Estland nach Westen vorgeschritten, seit
die ersten Riffe im jetzigen St. Marienschen up Si-
7) 7) Wie
man sieht, sind die hier mitgetheilten dag genau
dieselben, Zusätzen zur
wie sie Hin. Akadem. v. Baer in —
nomens (Mélang. phys.
dert. Meine Wahrnehmungen weichen nur in soweit ab, als ich
glaube nachweisen zu können, in Weise, wie jetzt die
niedrigen Inselriffe im Meer durch Schwimm- und Schiebeis entste-
Mg rel
351
Bulletin de l'Académie Impériale
monischen Kirchspiel über den Meeresspiegel her-
vortraten.
Ich habe mich in dem eben Gesagten als einen An-
hänger der Ansicht gezeigt, nach welcher unser gan-
zes Gebiet allmählich aus dem Meere hervorgetreten
ist und also an der Skandinavischen säkulären Erhe-
bung Thell genommen hat und wohl noch Theil nimmt.
Ich weiss sehr wohl die gewichtigen Einwände zu schäz-
zen, die man gegen diese Annahme gemacht hat: voll-
kommen gegen die allgemeine Meeresbedeckung un-
seres Gebietes eingenommen, bin auch ich im verflos-
senen Sommer an meine Rundreise durch Estland ge-
gangen, aber der zwingende Augenschein hat mich
eines Andern belehrt.
Der Haupteinwand ist der Mangel von subfossilen
Meeresconchylien mitten im Lande. Aber auch jetzt
ist der östliche Theil des Finnischen und, wie ich
glaube, der nördliche des Bottnischen Meerbusens arm
an Meeresmuscheln, und sind nicht Umstände denk-
bar, die auch in früherer Zeit den östlichen Theil der
Ostsee, der sich über unser Gebiet erstreckte, zum
Gedeihen von Meeresmuscheln ungeeignet machten,
während im westlichen Theile dasselbe Meer einen
grossen Theil der Ostabdachung Schwedens einnahm
und bis zum Wener- und Wettersee reichte, dabei
aber dieselben Meeresmuscheln nährte wie jetzt, und
ausserdem die verschwundene Yoldia arctica und die
auch bis zu uns reichende- Littorina, wie zahlreiche
subfossile Muschellager bis zu 150 Fuss Höhe über
dem Meere beweisen? Im Wener- und Wettersee ha-
ben sich Fische und Crustaceen der Ostsee erhalten;
die nämlichen finden sich auch in einigen Finnischen
Seen und im Ladoga; aber während Meeresmuscheln
in der Umgebung der Schwedischen Seen keine Sel-
tenheit sind, fehlen sie im Innern Finnlands und um
den Ladoga ebenso vollkommen, wie in unserem Bin-
nenlande. .
Wenn ich der Ansicht beitrete, dass ganz Estland
ehemals unter dem Spiegel der Ostsee gewesen ist
und sich allmählich daraus erhoben hat, so kann ich
doch nicht der Ansicht Lovens beitreten, dass die
Ostsee einstmals mit dem Eismeer über das weisse
Meer und die grossen Seen weg zusammengehangen
habe. Wenn das Terrain, seiner geringen Erhebung
nach, hier auch keine Schwierigkeiten bietet, so ist
der völlige Mangel an subfossilen Muscheln“ im In-
nern von Estland, Livland und der ganzen Umge-
bung der grossen Seen, die verhältnissmässig gut be-
kannt ist, doch gar zu auffallend gegenüber dem plötz-
lichen Auftreten einer reichhaltigen arktischen Mol-
luskenfauna an der unteren Dwina. Der frühere Zu-
sammenhang mit dem Eismeer muss auf Schwedischer
Seite etwa beim Wenersee gesucht werden, denn dort
weist Lovén ein ehemaliges Skáren- Labyrinth nach,
durch das die Ost- und Nordsee zur Eiszeit mit ein-
ander in Verbindung standen. Die nordischen Thier-
formen, die jetzt der Nordsee fehlen, mógen damals
eingewandert und später in der Nordsee verschwun-
den sein, in der Ostsee aber sich erhalten haben. Spricht
doch auch das Vorkommen einer dieser Thierformen,
der Mysis relicta, im Mjósensee in Norwegen, eben-
falls für die hier vorgeschlagene Erklürungsweise.
Ein anderer Einwand ist die Unmóglichkeit, noch
jetzt in historischer Zeit ein wirkliches Steigen des
Landes nachzuweisen. Damit bin ich vollkommen ein-
verstanden: die Küstenveränderungen, die als in neuer
Zeit geschehen nachzuweisen sind, lassen sich alle
durch Anschwemmung und Eisthätigkeit erklären,
Aber braucht denn die Hebung bei uns ebenso schnell
vor sich zu gehen, wie in Skandinavien, wo ja auch
nach neueren Beobachtungen kein sicheres Maass für
die Hebung festzustellen ist? Haben wir denn auch
ein Mittel, über das Vorhandensein oder Nichtvorhan-
densein von Hebungserscheinungen bei uns ein siche-
res Urtheil abzugeben, da unsere Küstengesteine s0
leicht zerstórbar sind)? Und musste endlich die He-
bung in früherer Zeit nothwendig ebenso unmerklich
vor sich gehen, wie jetzt?
Was die zwingenden Gründe für die Erhebung un-
seres Landes aus dem Meere betrifft, so sind sie im
Obigen schon besprochen worden. Es sind die völlige
Gleichartigkeit in Form und Zusammensetzung der
landeinwürts gelegenen Grandrücken und alten Strand-
linien mit den Riffen und Strandlinien an den jetzigen
Küsten. Dass im Ganzen die höher im Lande gelege-
nen Grandrücken hóher und müchtiger erscheinen als
die jetzt sich noch bildenden, das wird unsere An-
sicht nicht unsicherer machen, wenn wir bedenken,
8) Ich verweise hier auf den geet Vorschlag us
Hrn. Akademiker General von Helmersen die Hôhe einiger be
stimmter fester Gebäude über dem Meere genau zu bestimmen,
diese Höhenbestimmung von Zeit zu Zeit zu wiederholen. Siehe Le
oben citirte Abhandlung, Bull. phys. math. T. XIV, N°14 `
des Sciences de Saint - Petersbourg.
354
dass in früherer Zeit, als noch die hochnordische Nu-
cula oder Yoldia arctica an Schwedens Ostseeküste
vorkam (die jetzt nur im Meer um Spitzbergen sich
findet), und wahrscheinlich noch Gletscher in die Ost-
see mündeten, die Thätigkeit auch des schwimmenden
Eises eine grössere gewesen sein mag, als jetzt.
Ich will noch einige Beobachtungen anführen, um
meine Ansichten von d terbroch Z
hange zwischen den alten im Innern des Landes ge-
legenen Grandrücken mit den Riffen und Strandwüllen
der Gegenwart noch kräftiger zu unterstützen.
Auf Ösel, dessen orographische Verhältnisse wir oben
besprochen haben, finden sich ausser den von Nord
nach Süd gestreckten grossen Grandrücken, noch eine
Anzahl von West nach Ost verlaufender alter Strand-
wälle, die einen ganz ähnlichen Bau zeigen. Der eine
dieser Wälle verlàuft nahe der jetzigen Küste, zwi-
schen Kangern und Neulówel, ein zweiter mitten im
Lande von Kergel nach Nempa und durchschneidet
die Strasse, die von Mustel nach Arensburg führt;
kleinere Querwälle verlaufen südlich von Mustelpank
in der hóchsten Gegend der Insel und umgeben (histo-
risch genommen) die ersten Anfánge von Ösel. In dem
grossen System paralleler Grandrücken, das die West-
seite von Ösel von N. nach S. durchschneidet, lassen
sich beim Durchschnitt von O. nach W. jederseits
zwei Stufen unterscheiden, die zuweilen in eine ver-
schmelzen und zu dem Hauptrücken in der Mitte hin-
anführen. Am Westabhang der obersten Stufe sowohl
(bei Widokrug), wie an der Basis der ganzen Ablage-
rung, sind in grosser Menge reihenweise angehäufte
Granitblócke zu sehen, wie diese noch jetzt sich um
alle steiler abfallende Küsten gruppiren?).
Im Pernauschen Kreise des nördlichen Livlands
ist der von N. nach S., von Wahhenurm bis über
Maima hinaus in den Moosmorast hineinstreichende
Grandrücken bemerkenswerth. Bei Entza-Dorf senkt
er sich steil zum Morast nach Osten. Nach Westen
geht er ganz allmählich in eine hochliegende Fläche
mit anstehendem Kalkfliess über, die erst allmählich
wieder in den Morast sich senkt. Wir haben es also
Wieder mit einer nach Osten steil abgebrochenen Falte
9) S. auch die Mittheilungen über Inselriffbildungen im Meere,
südlich von Ösel, in meinen Untersuchungen u. s. w. Seite 82; über
Terrassenbildungen und Vertheilung der erratischen Blôcke auf
Moon und Schildan s. meine Flora von Moon, im Archiv fur Natur-
kunde etc, 2. Serie, Bd. I, p. 1 ff. i
Tome VIII.
zu thun, wie auf Moon, deren Rücken mit Geröll be-
deckt, einst als Riff in’s Meer hineinragte, wie jetzt
in den Morast.
Die wichtigsten hierher gehörigen Erscheinungen
in der Wiek haben wir oben berührt. In Harrien lässt
sich längs der Raudialschen Strasse zwischen Tois und
Tranikrug deutlich ein altes Ufer beobachten, das den
Ostabhang eines Faltensattels und die Westseite einer
tief eingreifenden Bucht bildete. Längs dem Abhang,
an dem die Strasse hinführt, liegt eine Unzahl abge-
rundeter Granitblöcke. An einem andern Abhang mit
felsiger Grundlage und durch Schichtenfaltung gebil-
det, der längs dem Kegelschen Bach von Röa und Selli
bis nördlich von Tois verläuft, wurde mir eine Stelle
gezeigt (1 Werst südlich von Tois, an der Strasse), wo
die dort anstehenden untersilurischen dünn geschich-
teten Kalksteinlager unregelmässig aufgerichtet und
durcheinander gebrochen waren; bei näherer Unter-
suchung ergab es sich, dass hier eine Anzahl Granit-
blöcke in die Schichten des Abhangs hineingeschoben
waren, die diese unregelmässige Aufrichtung verur-
sacht hatten.
Genau dieselben Erscheinungen, durch Granitblócke
hervorgebracht, lassen sich auch hart an der Küste bei
Neuenhof unter Hapsal und bei Orrisar auf Ösel be-
obachten.
Die Odenkatschen Berge, schmale und hohe Grand-
rücken, von unregelmässigem Verlauf, mitten durch
Moore setzend oder diese begrünzend, müssen auch
als alte Strandbildungen und Riffe angesehen werden
auf den zuerst hervortretenden Stellen von Harrien.
Süsswasserseen, die hier in spüterer Zeit eine grosse
Rolle gespielt haben, mógen etwas modificirend ein-
gewirkt haben. Zu den unregelmässigen Grandrücken,
die wir einstweilen noch als alte Strandwälle bezeich-
nen wollen, gehórt auch der Rücken, der von den
Rakkeschen Bergen über Piep nach Sitz und Wein-
jerven geht.
In Wierland ist der grosse Grandrücken erwähnens-
werth, der längs dem Kundaschen Bach über Rut
nach Süden sich hinzieht, weil das Flussthal an seinem
Fuss sich, bei Ruil wenigstens, deutlich als eine Fal-
tenmulde im Gestein zeigt. Der Grandrücken liegt di-
rekt auf dem Kalkfels und eine Auswaschung durch
den Fluss ist nicht wahrzunehmen, doch ist eine deut-
liche Thalsenkung da, in der an vielen Orten immer
28
355
Bulletin de l'Académie Impériale
das nämliche Gestein zu Tage tritt. Nach Süden löst
sich dieser Rücken in einige inselförmige Höhen auf,
die in der früheren regelmässigen Richtung liegen,
obschon bei Pastfer z.B. schon in einem andern Fluss-
gebiet. Hier bei Pastfer ist der Faltenrücken noch
erkennbar, indem auf ihm und an seinen Abhängen,
auch wo kein deutlicher Grandrücken vorhanden, doch
eine grosse Zahl reihenweise angeordneter erratischer
Blócke zasammengeführt ist. Längs der Glintküste in
Allentacken sind noch einige hierher gehórige interes-
sante Verhältnisse zu erwähnen. Es gehen hier einige
ganz kurze höchstens ein paar Werst lange Geröll-
rücken direkt von N. nach S. perpendikulär zur Küste,
ander sie beginnen; so bei Alt-Isenhöf, bei Choudleigh
und bei Waiwara (die blauen Berge). Der Isenhofsche
ist der lehrreichste, weil sein Bau am klarsten auf-
gedeckt daliegt. An dem schroffen Glintabfall sieht man
an einer Stelle nahe beim Badehause den Rand des
Glints bogenförmig steigen. Die nämlichen Schichten,
die den obern Rand bilden, liegen seitwärts in viel tie-
ferem Niveau. Auf der Achse der Anschwellung liegt
der Grandrücken, der beiderseits in mehreren deutli-
chen kleinen Terrassen abfällt und sich auf diese Weise
so dentlich als altes Inselriff dokumentirt, das allmäh-
lich hervorgetreten ist.
Die blauen Berge scheinen einen ühnlichen Bau
zu haben: hier ist der Durchschnitt nach dem Glint
zu durch Wald verdeckt, aber man sieht ganz deut-
lich die Berge nach Süden in kurze Geröllrücken
übergehen (auf einem derselben liegt die Waiwarasche
Kirche), deren Seiten aus echtem gerollten Gruss be-
stehen, während die Höhe des Rückens unregelmäs-
sige eckige Kalksteinstücke und aufgerichtete Platten
zeigt. Hier liegt nahe zu vermuthen, dass die Bildun-
gen auf der Höhe ihre Entstehung der Mitwirkung
von Eis verdanken, während der gewöhnliche Gruss
an den Seiten durch alleinige Thätigkeit der Meeres-
wogen entstanden ist.
Hieran schliessend muss ich erwähnen, dass ein-
zelne Berge und ganze Höhenrücken nicht ganz selten
sind, die statt aus einem Geröllgruss, aus unreinem
Lehm und Sand mit unregelmässig vertheilten und
gestellten grösseren Kalkplatten uud Granitblöcken be-
stehen. Manchmal herrschen diese unregelmässig auf-
gebrochenen Kalkplatten auch so vor, dass man anste-
hendes Gestein mit stark geneigter Schichtung vor
sich zu haben glaubt. Hierher gehört namentlich der
Bogoroditzaberg bei Illuk, einer der höchsten isolir-
ten Berge Estlands, der eine weite Fernsicht auf die
umliegende Gegend gewährt. Vielfache Kreise aus
Granitblócken zusammengestellt auf seiner Höhe lag-
sen hier einen schönen Boden für archäologische Nach-
grabungen vermuthen, wie überhaupt unsere Grand.
rücken in dieser Richtung schon manchen Fund ge-
liefert haben; ich erwähne hier namentlich eine Grand-
höhe bei Engdes und die alte Begräbnissstätte zwi-
schen Sallentack und Wahhenurm in Livland, die
noch ausserdem durch eine alte heilige Linde gekenn-
zeichnet ist.
Von dem Transport und der Verbreitung der er-
ratischen Blöcke ist schon oben vielfach die Rede
gewesen. Ihre Verbreitung ist sehr mannigfaltig. An
unseren jetzigen Küsten liegen sie entweder unregel-
mässig zerstreut, namentlich auf Untiefen, oder- sie
sind in Reihen und Haufwerke zusammengeführt; sie
sind entweder scharfkantig oder von Wasser abgenutzt.
Ganz ebenso verhalten sie sich im Innern des Landes.
Auf sanft geneigten oder horizontalen Ebenen sind sie
unregelmässig zerstreut, am Fuss von Abhängen, so
am Fuss der höheren Glintterrassen in Wierland, rei-
hen- und haufenweise angeordnet; auch hier kommen
scharfkantige Blöcke vor, sie sind aber durchweg un-
ter den kleineren in Geröllmassen und Diluviallagern
eingebetteten Blöcken zu suchen; die grossen Steine
sind wohl durchweg mehr oder age an den qu
ten gerundet.
Allerdings fallen die Blöcke im deg E Land
nicht überall so in die Augen wie an den Küsten, weil
sie weniger frei liegen und vielfach von Rasen verdeckt
sind. Doch frage man nur die Landwirthe in den mei-
sten Gegenden Estlands, ob die Reinigung der Felder
von erratischen Blöcken eine kleine Aufgabe ist, und
wie viel Millionen dieser Blöcke sind nicht schon auf-
gelesen und zu Steinzäunen um Felder und "e
verwandt?
Vielfache Beobachtungen dnd: an unseren Küsten
über Anschiebung und Umstellung von Blócken selbst
bis bedeutend unter und über das Niveau des Meeres
gemacht worden. Es fehlt aber an Beobachtunge” vi
direkten Transport von Granitblöcken aus Fi í
die neu an der Küste erschienenen Blöcke scheinen
eben nur aus dem nächsten Meeresboden,. auf dem sie
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
schon lange gelegen, herangeschoben zu sein. Mir ist
kein Beispiel bekannt, dass hoch im Meere in der
Ostsee Blócke auf Eisfeldern gesehen worden sind.
Es ist immerhin möglich, und die Beobachtung auf
Hochland über die Hr. Akad. v. Bär (Bull. scient. V,
N° 9 u. 10) berichtet, scheint ähnliche Erscheinungen
auch an unseren Küsten zuzulassen. Es spricht nichts
dagegen und es können sehr wohl Blöcke an der Finni-
schen Küste einfrieren, bei hohem Wasserstande ge-
hoben und an unsere Küsten transportirt werden. Ge-
genwürtig scheint dieser Vorgang aber zu den Selten-
heiten zu gehören; unsere jetzigen Blocktransporte
beziehen sich wohl grósstentheils nur, wie gesagt, auf
Umstellung auf dem seichten Meeresboden und auf
Hinanschieben der Blócke an die Küste. Und zwar
finden diese Schiebungen an allen unsern Küsten und
aus allen Weltgegenden statt; namentlich aber sind sie
bekannt von der W.- und SW.-Küste Estlands und des
len Livlands , ebenso an der W.- und S.-Küste
der Inseln, weil hier das Meer fast durchgüngig seicht
ist und die Blócke leicht in den Bereich der in Bewe-
gung gesetzten Eisfelder und Packeismassen kommen.
Die wichtigste Rolle kommt bei dieser Eisthätigkeit
nicht etwa dem Frühlingstreibeis zu, sondern wie die
wichtige Mittheilung des Grafen Keyserling ") lehrt,
grossen Eisfeldern, die im Winter bei hohem Was-
serstande von den Küsten gelóst, und von Stürmen an
die Küste getrieben werden. Veranlasst durch die vor-
erwähnte Mittheilung über grossartige Eisschiebungen
am Pernauschen Strande, zog ich an verschiedenen
Punkten der Küste Erkundigungen ein und erfuhr,
dass ähnliche Eisschiebungen schon mehrmals früher
unter ähnlichen Umständen besonders auf Ösel beob-
achtet worden sind, wenn freilich nirgends in einem
80 grossen Maassstabe wie bei Uhla. Namentlich sind
zu derselben Zeit zu Anfang Februar oder Ende Ja-
nuar 1863 (genauer konnte die Angabe nicht gemacht
werden), nach vorhergehendem Steigen des Wassers,
bei starkem Sturme aus Westen an der Westküste der |
Halbinsel Sworbe, bei Kibbasaar auf Ösel und bei
Tamsal an der Westküste von Moon Beobachtungen
gemacht worden, die vollstindig den von Graf Key-
serling mülgethoilton entsprechen und es wahrschein-
lich machen, dass diesmal ein und derselbe Sturm an
... 10) Notiz zur ae des erratischen Phänomens. Bull. phys. -|
math., T. VI, p. 191
allen genannten Orten zu gleicher Zeit die gleichen
Erscheinungen hervorgebracht hat.
Bei Tamsal auf Moon war ein Eisfeld einen etwa
12 Fuss hohen Abhang am Meere hinaufgeschoben
worden, hatte eine Menge Blöcke ebenfalls hinaufge-
schoben und diese mit Gruss überschüttet, sowie einen
Steinzaun und ein hinter diesem liegendes Fischer-
häuschen zerstört. Von den Furchen, die die Steine
beim Hinaufwandern in den Boden gegraben, waren
noch Spuren zu sehen. Das Eisfeld hatte sich lange
in schräger Lage am Abhang erhalten, so dass die
Kinder es als Rutschbahn benutzen konnten. An den
nördlich vorliegenden Inseln zwischen Moon und Dago
(etwa 10 Werst entfernt) hatte man an der N.-Küste
Moons gewaltige Eismassen aufgethürmt gesehen.
Ähnliche Eisberge hatten sich bei Kibbasaar an der
NO.-Spitze Ösels gebildet, die Granitblöcke mit sich
erhoben hatten, so dass man diese, in weiter Entfer-
nung schon, auf Eismassen schweben sah. Am Kauga-
toma pank auf Sworbe hatte ein Eisfeld ebenfalls ei-
nen 15 Fuss über dem Meere liegenden Steinzaun
und ein dahinter liegendes Fischerhaus zerstört. Et-
| was nördlich von dem schon erwähnten Abhang bei
Tamsal hatte das Eisfeld zwei gewaltige Blöcke, je-
den über manneshoch, von etwa 1 Kubikfaden Inhalt,
die bisher einige hundert Schritt vom Ufer halb im
Wasser lagen, vor sich her und 35 Faden weit auf's
Land geschoben. Freilich war hier eine fast ebene
Stelle. Zwei gewaltige Furchen hatten sich noch im
August 1864, wo ich die Stelle besuchte, hinter den
Blöcken bis zum Meere erhalten; vor ihnen waren be-
trächtliche Geröllmassen aufgehäuft, die vor den Stei-
nen hingeschoben worden waren. Anfangs war das
Eis an diesen grossen Blöcken geborsten, bis erst nach
einigen Stunden, wahrscheinlich nachdem sie von un-
tergekeilten Eismassen gefasst waren, sie in Bewegung
gesetzt wurden und langsam landeinwärts drangen.
Der Richk und die Schrammen,
In Schweden sind schon lange, namentlich seit den
Untersuchungen von Post's dé ausser den Rullstensä-
'sar, die vollkommen unseren G n
‘und auch wie diese vorzugsweise der Thalrichtung der
Flüsse folgen, noch die kross-stensbäddar oder Gla-
11) Om GES Äsen in An Srenska — Akade-
miens handlingar dae
Bulletin de l'Académie Impériale
ciallager bekannt, ausgedehnte, mehr oder weniger
horizontale Lager aus ungerollten eckigen Gesteins-
bruchstücken bestehend, die zuweilen polirt und ge-
schrammt sind und durch ein feines Gesteinsmehl mit
einander zu einer dichten Masse verbunden sind, die
oft so fest wird, dass sie mit Pulver gesprengt werden
muss. Im Gegensatz zu den Rnllstensásar, deren ab-
gerundete Gerölle sich ohne weiteres von einander
lósen, ohne dass die feineren Theile den gróberen an-
hafteten, bleiben die einzelnen crossstenar von dem
anhaftenden Gesteinspulver bedeckt, wenn sie aus ihrem
Lager gelóst werden. Das Material der Crossstens-
bäddar ist entweder lokal oder es ist mehr oder we-
niger weit hergeführt, aber immer vom oberen Theile
der Thäler, in denen oder vor denen man die er-
wühnten Lager beobachtete. Von Schichtung ist in
solchen Lagern nichts zu sehen. Die einzelnen mehr
oder weniger eckigen Stücke liegen unregelmässig
durcheinander und machen den Eindruck, als ob sie
unter gewaltigem Druck, der zugleich vorwärts schob,
ihre jetzige Lage eingenommen hätten. DieseLager wer-
den in Schweden allgemein für supramarine Bildun-
gen, und zwar für Überreste alter Gletscher gehalten.
— Bei dem vielfachen Zusammenhange unserer Bil-
dungen mit den Schwedischen beschloss ich, im ver-
flossenen Sommer nachzuforschen, ob nicht auch in
Estland solche Glaciallager vorhanden seien. Als ich
im Mai von St. Petersburg zunächst nach Dorpat ge-
fahren war und Hrn. v. Middendorff in Hellenorm
besuchte, erzählte ich ihm von meinen Plänen und
hatte die Genugthuung zu erfahren, dass solche Cross-
stenslager, wie ich sie nach Schwedischem Muster be-
schrieb, auf Hrn. von Middendorff’s anderem Gute
Pörrafer, im silurischen Gebiet gelegen, vorhanden
und den Esten unter dem Namen Richk bekannt seien.
Man war beim Grabenstechen in Niederungen auf sie
gekommen, wo sie den anstehenden Kalkfels bedeck-
ten. Es wurde ein Zusammentreffen in Pörrafer, einige
Wochen später, verabredet, um den Richk näher zu
untersuchen, und niterdeshan trat ich meine Rundreise
durch Estland an. Ich überzeugte mich bald, dass die
Schweden bekannt waren, bei uns eine weit verbrei-
tete Erscheinung seien, die nur bisher nicht von den
übrigen Diluvialbildungen unterschieden war.
Der Richk steht im nächsten Zusammenhang mit
den auch bei uns schon lange bekannten und viel be-
sprochenen Schrammen und scheint geradezu das fur-
chende und polirende Material gewesen zu sein,
In den ziemlich ausgedehnten Landstrichen Est-
lands und Ösels, wo der Kalkfliess fast zu Tage liegt
und nur von einer dünnen Rasendecke überzogen wird,
wie auf der Hochfläche des Glints und grossen Flä-
chen auf Moon, am kleinen Sunde auf Ösel, und bei
Werder, zeigt die Gesteinsoberfläche auch gewöhnlich
weder Politur noch Schrammen; die einzige mir be-
kannte Stelle, wo geschrammte Flächen ganz ober-
flächlich liegen, ist die bekannte und schon viel be-
schriebene Stelle bei Grossenhof °) auf Dago. In ande-
ren Gegenden mögen sie auch vorhanden gewesen
sein, sind aber entweder verwittert oder vom Wasser
ausgeglättet. So habe ich auch keine Schrammen ge-
sehen, wo Grandrücken direkt auf den Felsen auflie-
gen. Hier hat die Brandung, die die Äsar aufwarf,
jede Spur früherer Einwirkungen zerstört. Ebenso
habe ich auf lockern, mergeligen, leicht verwitternden
Fliessschichten, sie mögen nun frei liegen oder von
Schuttland bedeckt sein, keinerlei Schrammen bemerkt.
Aber fast überall, wo der Richk feste, gleichmässige
Kalk- oder Dolomitschiehten überzieht, habe ich auch
Schrammen nachweisen können.
Der Richk nun, mit welchem Wort als einem ein-
heimischen ich unsere crossstensbäddar und Glacial-
lager bezeichne, bedeckt einen bedeutenden Theil des
Landes; er liegt unter einem grossen Theil unserer
sumpfigen Niederungen, so bei Pörrafer und Awwan-
dus, und bildet von Lehmlagern gedeckt, in die er nach
oben allmählich übergeht, die Grundlage unserer frucht-
barsten Landstriche (so in Südjerwen). In zahlreichen
Steinbrüchen, Graben-Durchschnitten und Brunnen
habe ich seine Zusammensetzung untersuchen kön-
nen. Die vorgeschlagene Benennung ist freilich eine
ziemlich lokale; ich habe ihn estnisch als Plink und
| Rachk und deutsch als Lehmgrand und Mergel im Ge-
gensatz zum Wassergramd, dem mit Sand gemischten,
gerollten, zum Wegebau allein tauglichen Material
regen unserer Äsar, bezeichnen hören.
Glaciallager, wie sie mir der Beschreibung nach aus |
chene Identificirung mit den Schwedischen Glacialla-
Der Riehk- besteht, wie schon die oben ausgespro-
gern lehrt, aus ungeschichteten Lagern, von unregel-
12) S. A. Schrenk, Übersicht des obern Silurischen Schichten-
systems Liv- und Estlands. S. 98.
des Sciences de Saint- Petersbourg.
mässig zusammengehäuften und gepressten, mehr oder
weniger eckigen Steinen, die entweder den Kalklagern
Estlands oder den Finnischen krystallinischen Gestei-
nen angehören. An den Steinen haftet ein feines Mehl,
durch Anei reibung der zusammengequetschten
Materialien entstanden. Die Lager bestehen entweder
nur aus solchen Crosssteinen, um mich des Schwedi-
schen Ausdrucks zu bedienen, durch ihr eigenes Zerrei-
bungsmehl verbunden, und sind dann sehr fest und
schwer wegzuräumen, oder die einzelnen Steine sind im
sandigen Lehm gebettet, der auch im ersteren Falle,
wie oben erwähnt, häufig das festere Steinlager deckt.
Aber auch in den lehmigen Lagern zeigen die einzel-
nen, häufig vertikal stehenden Steinbruchstücke keine
schichtenförmige Anordnung, wenn ihre Kanten auch
oft mehr gerundet erscheinen als in dem eigentlichen
Richk. In letzterem finden sich häufig polirte und ge-
schrammte Gesteinbruchstücke und ganze Platten, die
auf eine schleifende Bewegung des oberen Theils des
Materials über das untere hindeuten. Ja in einem
grossen, nach oben aufgelockerten Richklager zwischen
Kerro und Lelle in Nord-Livland fand ich im Boden
einer Grube einen mächtigen Granitblock, dessen oben
ebene Oberfläche ganz so polirt und von einigen tie-
fen Schrammen durchfurcht war, wie sonst die anste-
henden Kalkplatten. Ja die Furchen hielten, wie ich
mich überzeugte, die im Innern Estlands vorherr-
schende Richtung von NW. nach SO. ein, ein Zei-
chen, dass alles Scheuermaterial (um mit Kjerulf zu
reden) über ihn hinweggegangen und er an dem Bo-
den haften geblieben war, nachdem er einmal seine
jetzige Stelle eingenommen. Dieser Stein gewährt mit
einigen noch zu besprechenden anderen Beobachtun-
gen einen merkwürdigen Fingerzeig; wir werden auf
ihn zurückkommen. |
Der Richk liegt, wie erwähnt, immer auf dem an-
stehenden Silurischen Gestein; nirgends habe ich un-
ter ihm eine andere neuere Bildung erhalten gesehen.
Seine Mächtigkeit beträgt, soweit meine Beobachtun-
gen reichen, von '/, bis 10 F. und wird wohl noch be-
deutender. Gewöhnlich verbreitet er sich, wie gesagt,
als flache Decke über das anstehende Gestein. Eskom-
men aber auch Fälle vor, wo er flachhügelige Boden-
anschwellungen bildet und an Abhänge sich anlehnt.
Dann wird seine Mächtigkeit bedeutender und er er-
scheint als ein Haufwerk von mächtigen, eckigen und
zum Theil auch gerundeten Kalkstein- und Granit-
blöcken, die aber immer durch einen feinen Mergel mit
einander verbunden zu sein pflegen. Solche Haufwerke
kenne ich von Nömmküll bei Piep, Kirrisaar im Kirch-
spiel St. Annen, Wesenberg, und Hauküll auf Ösel.
Aus ihnen werden Kalkfliesen und Granitblöcke zu
Bauten genommen, aber zum Wegebau taugt keine
der Richkablagerungen wegen ihres lehmigen Binde-
mittels. Die Wege, auf die man aus Noth statt ech-
ten, gerollten Wassergrandes Richk aufgeführt hat,
zeichnen sich durch ihre schlechte Beschaffenheit aus.
Als Untergrund der Ackerfelder scheint er dagegen
nicht unzuträglich zu sein, denn zahllose eckige Kalk-
stücke, die aus dem Boden aufgepflügt die Kornfelder
bedecken, ist ein ganz gewöhnlicher Anblick in Estland.
Wie die Grandrücken, so ist auch der Richk in al-
len Höhen des Landes verbreitet; man findet ihn auf
den höchsten Terrassen im Innern des Landes ebenso
verbreitet, wie auf dem Meeresboden der Wiek. Der
Untergrund in einem grossen Theil des Pönalschen
Kirchspiels besteht aus Lehm mit eckigen Kalk- und
Granitstücken, und eine ähnliche Bildung sieht man
auf dem flachen Meeresboden zwischen Worms und
Nuckoe. Die dortigen Grandrücken (namentlich auf
Worms) zeigen, dass ihr Hauptmaterial der Richk ge-
liefert hat und nicht lokale anstehende Schichten, denn
Geschiebe des Cyclocrinitenkalks sind weit in densel-
ben verbreitet, die erst weiter nördlich in ursprüngli-
cher Lagerstätte zu suchen sind.
Es scheinen überhaupt nur wenige Grandrücken vor-
wiegend aus lokalem Material gebildet zu sein. Nur
einige alte Strandwälle, die nachweislich an Fels-
küsten entstanden sind, zeigen ein solches Vorwalten
von Geschieben aus lokalen anstehenden Gesteinen.
Den meisten Äsar scheint der Richk ihr Material aus
dem groben zurecht gemacht zu haben, und in den
Richklagern scheint entschieden ein Vorherrschen
nördlich anstehender Gesteine stattzufinden, was ge-
nau mit der Richtung der Schrammen zusammenhängt,
die beim Vorschieben der Richkmassen nach Süden
entstanden sind. Dass das Hauptagens bei diesem Vor-
rücken das Eis gewesen ist und zwar eine zusammen-
hängende grosse Eisthätigkeit, die sich von Schweden
und Finnland über unser Gebiet verbreitete , das
scheint mir jetzt fest zu stehen. Ausser den Schrammen
weisen auch die zahlreichen Beobachtungen, die über
Bulletin de l'Académie Impériale
Verbreitung unserer Geschiebe, namentlich der Silu-
rischen gemacht sind °), die immer nördlich von ih-
rer jetzigen Lagerstätte anstehen, auf den Skandina-
vischen Ursprung unseres erratischen Phänomens hin.
Die lokalen Eisschiebungen an unseren Küsten sind
zwar zu jeder Zeit ein wichtiger Faktor bei Bildung
der Strandwälle und Äsar gewesen, sie finden aber
aus den verschiedensten Richtungen statt und können
daher nicht zur Erklärung des einen, nordischen
erratischen Phänomens genügen.
Von welcher Art nun diese grosse nordische Eis-
thätigkeit bei uns gewesen sei, auch darüber verspre-
chen lokale Beobachtungen und namentlich ein ge-
naueres Studium unserer Schrammen und unseresRichk
einigen Aufschluss zu gewähren.
Die Schrammen sind eine sehr weit verbreitete Er-
scheinung. Ich kenne sie jetzt schon von über zwan-
zig Punkten in Estland "). Ist in einem Steinbruch
der anstehende Fels von Richk bedeckt und dabei von
einigermaassen fester Beschaffenheit, so kann man ziem-
lich sicher darauf rechnen, beim Reinigen der Fels-
oberfläche diese polirt und geschrammt zu finden. Die
schönsten geschrammten und polirten Flächen, die
künstlich entblösst sind durch Wegräumung des Richk,
sind die von Wassalem, Wesenberg und Awwandus.
An letzterem Orte kann man die Schrammen zu jeder
Jahreszeit beobachten, da sie im Keller des Wohn-
hauses durch Abtragung eines 4 Fuss mächtigen Richk-
lagers blossgelegt sind. Das Studium unserer Estlän-
dischen Schrammen ist noch im Beginn; namentlich
fehlt es noch an genaueren Aufnahmen der verschie-
denen vorkommenden Schrammenrichtungen, wozu
das Nordenskiöldsche Instrument sich vortrefflich zu
eignen scheint. In einigen Gegenden, namentlich den
höher liegenden im Innern des Landes, pflegt die
Schrammung eine sehr gleichmässige zu sein und die
Richtung von NW. nach SO. entschieden vorzuherr-
schen. Im Gebiet des Pernaustroms bei Fennern ist
aber die Richtung NO. — SW. beobachtet worden ')
und bei Wesenberg, Wassalem und auf Moon von
13) S. namentlich Grewingk, Geologie von Liv- und Kurland
im Archiv für Naturkunde Liv-, Est- und Kurlands, Serie I, Band II,
Seite 567, 660 ff.
14) Z. B. Ruil, Tuddo, Münkenhoff, Awwandüs, Wesenberg, Rag-
gafer, Turgel, Koik, Kerro, Fennern, Fickel, Padenorm, Wassalem,
Herküll, Grossenhof und Oriak auf Dago, von Moon und von Karmel
auf Osel u. s. w.
15) 8. Grewingk a. a. O., S. 883.
Norden nach Süden. In den niederen Gegenden, wie
auf Moon und Dago pflegen mehrere unter 90.
30 Grad sich durchkreuzende Richtungen vorzukom-
men, doch herrscht durch Tiefe der Schrammen im-
mer eine derselben vor. Die Beobachtung von Prof.
Grewingk, dass die polirte Fläche sanft gewellt er-
scheint, wobei die Wellenrücken den Schrammen pa-
rallel verlaufen, habe ich bei Wesenberg bestätigt ge-
funden, ebenso habe ich die Beobachtung von Dr. A.
v. Schrenk ") bestätigen können, dass unsere Schram-
men, namentlich die schwücheren, nicht gleichmässig
über alle Unebenheiten des Gesteins hin verlaufen,
sondern, dass ihre Richtung von im Gestein enthalte-
nen Knoten und Verhärtungen, namentlich Petrefak-
ten modificirt wird, indem hinter jedem Knoten, sei-
ner Hóhe und seinem Durchmesser genau entspre-
chend, eine lange gerade Leiste sich anlegt, die all-
mählich sich in die Fläche verliert. Die Leiste pflegt
von zwei Furchen begleitet zu sein, die allmählich sich
zu vereinigen streben. 9
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Stück einer polirlen und geschrammten Kalkplatte aus Kerro in Estland.
16) S. Übersicht des oberen Silurischen Schichtensystems Liv-
und Estlands, S. 99, - TT
365
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
— pie hervorragenden Knoten haben den Schutz ge-
bildet, hinter dem ein Theil der Gesteinsmasse sich
erhielt, während die seitlich üngrenzenden Partieen
desselben von feinem Schleifmaterial hinweggeführt
wurden.
Solche Beobachtungen scheinen nun geradezu ge-
gen eine Gletscherthätigkeit bei uns zu sprechen, da
die echten alten Gletscherschrammen, wie sie uns z.
B. Kjerulf aus Norwegen beschreibt, unbeirrt durch
Veränderungen in. der Härte des geschrammten und
schrammenden Materials überall auf jedem Gestein
sich gleich bleiben und wie von einem Riesenhobel
eingegraben erscheinen. Bei schwimmenden Eisber-
gen wäre eine solche Modificirung der Schrammen
durch im Gestein enthaltene Knoten schon eher zu er-
klären. Eben so will der oben angeführte, geschlif-
fene und geschrammte Granitblock im Richk von
Kerro nicht recht zu einer ächten Gletscherthätigkeit
passen. Es scheint als ob in diesem Fall der obere
Theil des Richk über den unteren hinweggeführt wor- | p
den sei,
Nun ist freilich nicht zu leugnen, dass bis jetzt die
Gletscher das einzige bekannte Agens sind, das so re-
gelmässige Schrammen und Polituren zugleich auf Ge-
steinsflächen hervorbringt, wie wir sie doch am Ende
haben. Ar
Aufderandern Seite scheinen wieder die Niveauver-
hältnisse in Finnland und bei uns gegen eine reguläre
Gletscherbildung zu sprechen. Vom Kjölen bis zum
Bottnischen Meerbusen geht die Senkung stetig vor
sich, bei genügendem Fall. Später bleibt zwar in Finn-
land sowohl, als bei uns die allgemeine Thalrichtung
dieselbe wie in Schweden; es finden aber grosse Ni-
veauschwankungen statt; man hat wenigstens zweimal
bergauf und bergab zu steigen und doch sind in Finn-
land Schrammen bis über 1000 Fuss Höhe beobach-
tet worden und bei uns bis 400 F. über dem Meer.
Wir kennen keine Gletscher, die in ihrem Vorrücken
so bedeutende Hebungen und Senkungen auf so weite
Strecken durchmachten und doch weisen unsere Est-
ländischen Schrammen, der allgemeinen Thalrichtung
folgend, ganz bestimmt auf das Kjolengebirge, als auf
ihre Ausgangsbasis hin. |
à Lässt sich denn kein Mittelweg finden, der uns aus
diesen Schwierigkeiten heraushülfe?
Lässt sich nicht annehmen, dass die Gletscher von
der Hóhe des Kjólen bis zum Bottnischen Meerbusen
reichend, sich: weiter in das flache Meer hineinscho-
ben, als sie es an den tiefen Küsten thun, wo wir jetzt
in's Meer mündende Gletscher kennen? Ich meine, dass
sich denken lüsst, wie einmal die Gletscher sich in ih-
rer früheren Richtung bedeutend weit auf dem Mee-
resboden, halb getragen, vorschieben konnten, und
dann die endlich doch abgebrochenen Theile dersel-
ben, die frühere Richtung beibehielten, die auch fer-
nerhin durch Einwirkung von Strómungen und die
vorgebildeten Thäler festgehalten wurde. Beim allmüh-
lichen Hervortreten des Landes wurden die tiefer lie-
genden Partieen des Meeresbodens einer ühnlichen
Einwirkung der Eisberge ausgesetzt, die jetzt beim
Abnehmen der grossen Centralgletscher (wie ein sol-
ches ja zu Ende der Glacialzeit stattfand) auch weni-
ger gewaltig waren und daher leichter Modifikationen
in der Richtung ihrer Fortbewegung erduldeten.
Die vorgeschlagene Erklürung unseres Schrammen-
hä durch Combination der Gletscher und Drift-
theorie ist zwar noch nicht als eine gereifte zu erklä-
ren, aber sie sucht doch die vorhandenen Schwierig-
keiten zu lösen und kann Veranlassung werden zu ei-
ner genauer eingehenden Vergleichung unsererSchram-
men mit denen von Finnland und Schweden. Sollte es
nicht möglich sein, einen Uuterschied zu finden zwi-
schen Gletscher- und Driftschrammen, und durch die
Gränzlinien beider wenigstens annähernd die eigent-
liche Gränze der alten Eisbedeckung festzustellen?
- Der Till und Boulder clay in England und Schott-
land scheint ein Analogon unseres Richk zu sein, we-
nigstens in seiner lehmigen Form. Auch im Boulder
clay ist keine Schichtung zu erkennen, und liegen die
Blöcke unregelmässig durcheinander, und doch stam-
men diese Blócke im Till von Norfolk aus Norwegen
und weisen ganz bestimmt auf einen. Transport durch
schwimmende Eisberge hin, da die. Norwegischen
Gletscher doch kaum die Nordsee ausfüllen konnten.
Mit echten Morünen kónnen wir weder unseren Richk
noch die Crossstensbäddar Schwedens vergleichen.
Unsere Schrammen weisen bestimmt auf das Kjó-
lengebirge hin; sie gehen in ähnlicher Richtung wie
bei uns über Finnland und den Bottnischen Meerbu-
sen weg. Nehmen wir die reine Gletschertheorie für
unsere Schrammen an, so sind entweder die alten
Gletscher über alle Hebungen und Senkungen des Bo-
367
Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint - Pétersbourg.
dens hinweggegangen oder zur Zeit ihrer grössten
Entwickelurg bestanden durchaus andere Niveauver-
hältnisse als jetzt und ein gleichmässiges Ansteigen
fand von den Estländischen und Livländischen Ebenen
zum Kamm des Kjólen statt.
Beide Erklärungsweisen stossen auf viele Schwierig-
keiten. Erneute genaue lokale Untersuchungen über
möglichst grosse Gebiete im Zusammenhang fortge-
führt, werden hoffentlich einiges Licht schaffen. Es
ist mein Wunsch, baldmöglichst eine Vergleichung
der Estländischen und benachbarten Glacialerschei-
nungen mit den Finnländischen und Skandinavischen
anzustellen, um dann für meinen Theil die einschla-
genden Untersuchungen in Estland nach einem be-
stimmteren Plan weiter zu führen. , |
Eine andere Untersuchung, die Aufklärung über
das Skandinavische Glacialphänomen zu liefern ver-
spricht, wäre eine umfassend ausgeführte Ausdehnung
der in Norwegen, Schweden und Finnland schon recht
weit vorgerückten Untersuchungen über Schrammen-
richtungen und ähnliche Erscheinungen über Lappland,
wodurch alle diese isolirten Untersuchungen erst in
Zusammenhang gebracht würden; damit müssten Stu-
dien über Niveauverhältnisse, Thalbildungen und alte
Meeresbedeckung Hand in Hand gehen. Aus dem Rus-
sischen Lappland sind bisher nur die Resultate von
Bóhtlingks Reise '”) bekannt; sie schliessen sich aber
genau an die Norwegischen Untersuchungen an, die
schon über die ganze Küste ausgedehnt sind, wie die
Karte von Hörbye'") zeigt. Die Wasserscheide zwi-
schen dem Kemi- und Kolafluss ist auch für die Glet-
scher eine Scheide gewesen. Die grosse Ausgangsba-
sis für die Skandinavischen Eisphünomene, der Kjó-
len, hat sich, wenn auch absolut viel niedriger gewor-
den, in dieser Eigenschaft bis in's Russische Lappland
hinein fortgesetzt. Es scheint nicht nóthig, ein beson-
deres Centrum der Glacialphünomene in Nord- Finn-
land anzunehmen, wenn man die Böhtlingkschen
Untersuchungen mit den auf Hórbyes Karte mitge-
theilten, gehórig combinirt.
Der vorliegende Aufsatz bespricht nur einen Theil
unserer neuen Bildungen und zwar denjenigen der zu-
17) Bulletin scientif. VII, N° 11, 12.
18) Hórby e, Observations sur les phénom. d'érosion en Norvège.
Christiania 1857.
nüchst in Beziehung zur Skandinavischen Glacialfor-
mation steht. Grosse Ablagerungen, wie unsere aus-
gedehnten Lehmlager, unser Süsswassermergel und
unsere Torfmoore bleiben einstweilen unberücksich-
tigt, obgleich sich auch für sie manche neue Beobach-
tungen angesammelt haben. Der Zweck des Aufsatzes
ist die Verbindung der geologischen Aufnahmen in
Skandinavien und bei uns zu fördern durch Nachweis
des innigen Zusammenhanges, in dem auch die neue-
ren Bildungen in den beiderseitigen Ländern stehn.
Durch die Munificenz der Estländischen Ritterschaft
bin ich in den Stand gesetzt, in den nächsten Jahren
mich einer geologischen Specialaufnahme Estlands wid-
men zu kónnen. Um diese Aufgabe genügend zu ló-
sen, beabsichtige ich im nächsten Sommer eine Reise
nach Schweden und Norwegen zu machen, um mich
mit dem Gange und der Methode der dortigen Staats-
aufnahmen genau bekannt zu machen. 1
Den Skandinavischen Geologen sei hiermit mein
kleiner Aufsatz gewidmet als geringes Zeichen der
hohen Achtung, die ich vor ihren.Arbeiten gewonnen
habe und als ein Lebenszeichen diesseitiger gleichar-
tiger Thátigkeit.
— áp d —
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. `
——
L'Académie a recu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Koninck, L. de. Mémoire sur les fossiles paléozoiques
recueillis dans l'Inde par M. le Docteur Fleming.
Liège 1863. 8.
Dana, James D. 1) On parallel relations of the classes
of vertebrates, and on some characteristics of the
reptilian birds. 2) The classification of animals based
on the principle of cephalization. N° I. IL 8.
— The classification of animals based on the principle of
cephalization. — N° III. Classification of herbivores.
II. Note on the position of amphibians among the
classes of vertebrates. 8.
— — — — On fossils insects from the carboniferous for-
mation in Illinois. 8.
Verhandlungen der k. k. zoologisch - botanischen Gesell-
schaft in Wien. XIII. Band. Wien 1863. 8.
ne 05 fetu
Paru le 30 avril 1865.
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EE Gegen geg
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UEBERSICHTS K ARTE
der Vertheilung der
GRANDRUCKEN
am Silurischen Sebiet von
Ehstland Vord-Livland und Oes
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T. VENE, N° 5.
BULLETIN
DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSDOURG. `
TEE,
GES DLL SCEA
JE ^ A
TOME VIII.
(Feuilles 24 — 27.)
CONTENU: |
| Page |
Dr. J, F, Weisse, Examen des substances retirées du fond du lac de Ladoga. (Avec une |
DES RER A PP ERP DU pe VER CENE) Ya 869 — 371 |
N. Kokcharof, Notice sur le pyroxène russe....... E AE eS ENEE 871 — 375 |
W. laworsky, Sur quelques combinaisons du EE i oT Coe Qoo xm ct 375 — 380 |
J. Setchenof, De l'action excitante du sang sur les Son diites - spinaux de la gre- |
nie à an en à SR RS E ver EEE CVS 380 — 384
H. Moritz, Les ieinblenente de terre dans la Caucagie,...,.....,.....,.,........ 384 — 391
M. Brosset, Etudes sur l'historien arménien Mkhithar d'Airivank, XIIF S.; I’ et II Par:
ties, de la création du monde au commencement de l'ére shines HE Partie,
n'en a de JC, en en et a EEN in 392 — 416
A. Brandt, Stud, med., Observations physiologiques sur le coeur de l'eerevisse ...,., 416 — 430
Bulletin bibliographique... .:...,:..,.,...,,...,,.4.,.,....+.essssressseneinee 431 — 432
On s'abonne: chez MM. Eggers & Cie, libraires à St.-Pétershourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de
l'Académie (Kownrer® Ilpasıenia Hw neparopcxoit Axaxexim Hayr») et chez M. Léopold Voss,
libraire à Leipzig.
Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 8 rbl. arg. per la Russie,
3 thalers de Prusse pour l'étranger
ete
BULLETIN
DE L ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
Fernere Untersuchungen von Grundproben aus
dem Ladoga-See auf Diatomaceen, von Dr. J.
F. Weisse. (Lu le 30 mars 1865.)
(Mit einer Tafel.)
In N° 1 des VIII^" Bandes des akademischen Bul-
letin's befindet sich von mir ein Aufsatz, überschrie-
ben: «Diatomaceen des Ladoga-Sees.» Die Veranlas-
sung zu demselben gab eine Grundprobe, welche durch
Hrn. H. Struve aus einer der gróssten Tiefen des
genannten Sees zufälliger Weise mit dem zu tief hin-
abgelassenen Bathometer in die Höhe gehoben ward.
Später wurden mir von Seiten der physico-mathema-
tischen Section der Kaiserlichen Akademie der Wis-
senschaften noch 11 Grundproben, welche sie durch
den Chef der zur Vermessung des Ladoga - Sees er-
nannten Expedition, den qi ERADSERDMAD A
jew, erhalten hatte, zur mil henU
zugeschickt. Gegenwärtig habe ich die Ehre, in Nach-
stehendem das Resultat meiner Untersuchung der Kai-
serlichen Akademie vorzulegen.
Die Proben stammen von verschiedenen Stellen des
nordwestlichen Abschnittes des Sees her, welcher sich
von 60°50 bis zu 61?35' nördlicher Breite erstreckt
und innerhalb 0?42' und 1?21' östlicher Länge von
St. Petersburg gelegen ist. Die Tiefen, aus welchen
sie gehoben worden, betrugen 132, 180, 216, 234,
240, 264, 282, 330, 504, 546 und 723 Fuss. Le
tere, bis hiezu die tiefste im Ladoga-See ermittelte
Stelle, liegt in der Mitte zwischen dem finnlündischen
Ufer und der Insel Walaam, unter 61°22/5 nördlicher
Breite und 0°23/5 östlich von St. Petersburg.
Die Mehrzahl der Proben bilden einen schmutzig-
Schwarzgelben, schmierigen Bodensatz, dem mehr oder
weniger granitischer Trümmersand und vegetabilische
Reste beigemengt sind. Nur eine unter ihnen, welche
jedoch kaum Spuren von kieselschaligen Organismen
zeigte und unter 61° 35’ nördlicher Breite aus einer
bart an dem finnländischen Ufer gelegenen Tiefe von
246 Fuss heraufgeholt worden ist, erscheint entschie-
Tome VIII
Q
den grau. Keine einzige der Proben braust auf, wenn
Salzsäure hinzugetröpfelt wird.
Nachdem ich sie nun, je zu 25 Analysen, sorgfältig
mit dem Mikroskope untersucht habe, stellte sich’s
heraus, dass in den meisten von ihnen dieselben Dia-
tomaceen, bald diese, bald jene, welche bereits in mei-
nem vorerwähnten Aufsatze verzeichnet sind, verein-
zelt vorkommen. Nur Campylodiscus radiosus ist mir
neuerdings nicht wieder entgegengetreten. Melosira
(Gallionella) distans war überall die prävalirende Form,
oft, besonders aus den Grundproben aus grösseren
Tiefen, in Bändern von zwanzig und mehr Gliedern
und nicht selten von einem hellgelben Inhalte erfüllt.
Ausserdem zeigten sich am häufigsten Cymbella gastroi-
des und Gomphonema geminatum; letzteres nicht sel-
ten von derselben Grösse, ja mitunter noch grösser,
als man es in Ehrenberg’s Mikrogeologie unter dem
complicirten Namen von —— Clava Herculis ab-
gebildet findet ').
Die wenigen, von mir in ai ersten Probe nicht
beobachteten Formen waren nachstehende’): 1) Me-
losira granulata?), 2) Eunotia ventralis Ehr., 3) Epi-
themia turgida, 4) Epithemia gibberula, 5) Epithemia
ventricosa, 6) Epithemia granulata, 7) Cymbella Lunula,
8) Cocconeis finnica, 9) Surirella splendida, 10) Suri-
rella plicata Ehr., 11) Amphora libyca, 12) Fragilaria
Rhabdosoma, 13) Navicula Bacillum, 14) Pinnularia
gibba ‘), 15) Gyrosigma Hassallii (Navicula Sigma
Ehr.), 16) Gomphonema sphenelloides, 17) Gomphone-
ma curvatum.
.1) Bei dieser Gelegenheit muss ich meinen Kate hinsichtlich
dieser Diatomacee, von welcher ich in meinem ersten Aufsatze
meinte, dass sie aus Finnland in den Ladoga-See herabkäme, be-
; richtigen. Dies kann nicht geschehen, da sich von der Seite kein
Fluss in den See ergiesst.
2) Bei der Namengebung bin ich, so wie früher, Rabenhorst
gefolgt, nur bei Eunotia ventralis und icata habe ich
mich an Ehrenberg’s Mikrogeologie gehalten, weil ESL
über diese Formen schweigt.
ionella marchica Ehr,
4) Diese Pinnularia ist bereits in | meinem ersten Aufsatze unter
N? 31 angeführt. di
371
Bulletin ge da sms mel Impériale
Somit beträgt, mit Ausschluss der zweimal ver-
zeichneten Pinnularia gibba, die Zahl der von mir in
dem Ladoga-See aufgefundenen.Diatomaceen einund-
sechszig. Dass damit dessen Diatomaceen-Schatz noch.
keinesweges erschöpft sei, geht schon daraus hervor,
dass ich selbst bei meinen letzten Untersuchungen
mehr als ein Dutzend früher nicht gesehener Formen
verzeichnen konnte. Gewiss kann man aber wohl auf
eine noch grössere Ausbeute rechnen, wenn, wir auch
Grundproben aus dem östlichen und ‚südöstlichen
Theile des grossen: Binnensees, wo sich die beiden
ansehnlichen Flüsse Sswir und Wolchow in denselben
ergiessen, besitzen werden.
Zum Schlusse will ich beiläufig bemerken, dass mir
in den untersuchten Proben nicht selten wohlerhaltene
Exemplare der Spongolithis acicularis, mitunter auch
von Spongolithis apiculata vorgekommen sind; beson-
ders häufig stiess ich aber auf Fichten -Blüthenstaub
(Pollen pini) und auf Difflugien-Panzer (?). Von letz-
teren habe ich am Ende der vorliegenden Tafel eine
Abbildung gegeben.
Notiz über den russischen Pyroxen, von N. v.
Kokscharow. (Extrait.) (Lu le 16 février 1865.)
In einer Abhandlung: «Monographie des russischen
Pyroxens», die ich die Ehre gehabt habe der Kaiser-
lichen Akademie der Wissenschaften den 16 Februar
1865 vorzulesen, und die in den Memoiren der Aka-
demie gedruckt erscheinen wird, sind die Resultate
meiner Untersuchungen an Pyroxen-Krystallen aus-
führlich dargestellt. Diese Notiz bietet den wesent-
lichsten Theil der erwähnten Abhandlung in ganz kur-
zem Auszuge dar.
Es wurden von mir nämlich 78 sowohl russische,
als ausländische Pyroxen-Krystalle untersucht und an
denselben mehr als 430 Winkel gemessen.
Als Grundform habe ich eine monoklinoédrische
Pyramide mit folgendem Axenverhältnisse angenom-
men:
a:b:c = 0,589456 : 1,093120 : 1
y= 174 11.30
wo a die Vertikalaxe, b die Klinodiagonalaxe, c die
Orthodiagonalaxe ist, und y der Winkel, welcher die
Klinodiagonalaxe mit der Vertikalaxe bildet.
Die russischen Pyroxen-Krystalle sind sehr reich
an Flächen; ich habe an denselben nämlich folgende
25 Formen bestimmt:
Pyramiden,
Positive Hemipyramiden.
chm ln n i.c). RR P
Q— + (a:3b:3c) = + 3P
B= + (a:5b:5c) — 8P
= +{(a:lb:ic) = + 2P
= + (a:ib:ic) = + 3P
k= + (a:3b:2c) = + 3P3
= + (a: b:jc) = +(5P5)
Negative Hemipyramiden.
u= —.i8 6) 7e—— FE
v= — (a: 1b: $c) =— 2P
r= — (a:ib:2c) — — P
w= — (a:4b:4c) = — 3P
h=— (a:1b:1c) = — 4P
a = — (a:$b:2c) = — $P3
9 — — (a:2b:2c) = —($P5)
= — (a: b:4c) =—(3P3)
| — — (a:1b:1c) = —(4P2)
t= — (a:4b : łc) = —(5P5)
g= — (a:1b:1c) = —(6P3)
Klinodoma, |
2= (a:wb:4c)= (Pes)
Hemidoma. -
p= =+ (a:b:oc) = + Pe
Prismen,
m— (»a: bic) =P
f = (Œ arbi) =»P3
Pinakoide.
C =| a:b: æt) = ab
à = (sa : b: oc) = »P» "
b= (œa: œb: c) =(»P)
Die Formen $, y, r, w, h, «, 1, t und sind; meines
Wissens, bis jetzt weder in duda noch in aus-
ländischen Krystallen von irgend Jemand peo
worden und daher neue. e
Von den hauptsächlichsten á tinis dés Py:
roxens sind in der Original- Abhandlung folgende be-
schrieben: grüner Diopsid von Achmatowsk, weisser
Diopsid von Achmatowsk, weisser hathaliges DB
Weisse Dialomaceen d.l
Bulletin de dcad. Jp d. se LVU
ga Jee
«
um
Sl
des Sciences de Saint- Pétershourg.
374
on Achmatowsk, weisser blättri iopsi T " cus
v , ättriger Diopsid von Ki | schóner grüner Farbe vom Flusse Sliudianka. Die wich-
schtimsk, grüner Augit und Uralit aus verschiedenen
Gegenden des Urals, grüner und weisser Baikalit vom
Flusse Sliudianka, Kokkolith vom Flusse Sliudianka,
schwarzer Augit vom Flusse Wilui und Pyroxen von
|tigsten Kombinationen der Krystalle der genannten
Lokalitäten sind in 5 Tafeln in schiefer und horizon-
taler Projektion abgebildet. Wir entlehnen hier einige
von diesen Figuren, nämlich:
Weisser (Fig. 1 und Fig. 2) und grüner (Fig. 3) Diopsid von Achmatowsk.
Fig. 2.
s.
^.
p——— ANC, v
R.
^
“
-
Eao
-
..
PL
Die Messungen wurden móglichst genau vermittelst
des Mitscherlich' schen Reflexionsgoniometers aus-
geführt. i oe |
“À Um zu zeigen, in welchem Grade das rechtwink-
lige. Axen - System für die. Pyroxen - Krystalle an-
wendbar ist, habe ich zu. meiner Original - Abhand-
lung vergleichende Tabellen hinzugefügt, aus denen
ersichtlich ist, welche Veränderungen die krystallo-
Fig. 5.
—
Fig. 6.
graphischen Zeichen und Winkel in diesem Falle er-
leiden. Obgleich bei der Anwendung des rechtwinkli-
gen Axens-Sytems diese Veründerungen in den Win-
keln nicht bedeutend sind, sg bin ich doch zu dem
Sehlusse gelangt, dass es immer besser ist, sich der
schiefwinkligen Axen zur Entwickelung der Kry-
stallisation des Pyróxens zu bedienen, weil das recht-
winklige Axen-System erfordert, dass die Flächen c
24*
Bulletin de l’Académie Impériale
und p mit gleichen Winkeln zur Vertikalaxe geneigt
seien, was jedoch schwer durch unmittelbare Messun-
gen zu beweisen ist. Nach Messung erscheint der Win-
kel c: à immer grösser (ungefähr 20 oder 25 Minuten)
als p:a. Durch unmittelbare Messung wurde nàmlich
erhalten:
c:a = 105? 51° 20" und p:a = 105° 26' 10”.
Zum Schlusse der Abhandlung wurden einige be-
sondere Bemerkungen hinzugefügt, welche vorzüglich
aus Folgendem bestehen: Allgemeine Revision aller
Krystallformen des Pyroxens (mit mehreren verglei-
chenden Tabellen), Auffindung der wahrscheinlichsten
Werthe für einige Winkel nach der Theorie der Proba-
bilitát u. s. w.
Über einige Toluolverbindungen, von W. Ja-
worsky. (Lu le 16 mars 1865.)
Da Hr. Werigo denselben Gegenstand zu bearbei-
ten angefangen hat wie ich, so habe ich mich veran-
lasst gesehen, meine früher begonnenen Versuche auf-
zugeben und meine Untersuchungen in einer anderen
Richtung fortzusetzen. Aus den Bemerkungen des
Hrn. Werigo (Zeitschr. f. Chem. u. Pharm. 1864, 721)
könnte man aber den Schluss ziehen, als hätte ich erst
nach ihm mich mit demselben Gonenstandé zu. be-
schäftigen angefangen. Dagegen muss ich bemerken,
dass die Idee zu diesen Versuchen nicht neu ist ind
veranlasst war durch die Versuche Alexejeffs, der
zuerst die Beobachtung mitgetheilt hat, dass Nitro-
benzol bei der Behandlung mit Natrinhamslgun
Azoxybenzid und Azobenzid liefert. Noch während
Alexejeff mit seinen Versuchen beschäftigt war, ge-
stattete er mir freundlichst, die-Homologen des Nitro-
benzols in gleicher Weise zu untersuchen. Es liegt
hier also ein einfacher Fall. von Homologie vor, um
den es wahrlich nicht der Mühe lohnt, Prioritätsstrei-
tigkeiten zu führen. Ich überlasse daher gern die
Fortsetzung der Untersuchung Hrn. Werigo und
theile im EE die bisher erg Resul-
tate mit
Toluolschwefelsäure €; H, ‚so,
Zu den Versuchen diente reines, constant bei 111°
siedendes Toluol. Es wurde in einem gleichen Volu-
men rauchender Schwefelsäure gelöst, die Lösung
nach einigen Tagen mit Wasser vermischt und mit
kohlensaurem Baryum neutralisirt. Das Toluol hatte
sich vollkommen in der Schwefelsäure gelüst, war
also frei von den indifferenten Kohlenwasserstoffen;
die Beilstein in geringer Menge im Xylol des we
kohlentheers beobachtet hat.
Das durch Abdampfen gewonnene Bail
war krystallisirt, weiss, luftbestündig, wasserfrei, in
Wasser und Alkohol leicht löslich. Das benzol-schwe-
felsaure Baryum ist nach Freund kaum in Alkohol
löslich.
0,5462 Gr. des lufttrocknen Salzes valoi nichts
bei 120° und gaben 0,2660 Gr. S BaQ,.
Berechnet Gefunden N
€,H,S0, 171 71,4 is
Ba 68,5 28,6 28,6
239,5 100
Das toluol-schwefelsaure Blei wurde bei ra-
schem Abdampfen in warzigen Krystallen erhalten.
Bei freiwilligem Verdunsten der Lósung bildeten sich
schöne, nadelförmige Krystalle. Das Salz ist wasser-
frei, leicht in Wasser und Alkohol löslich.
0,5375 Gr. der lufttrocknen Substanz verloren
nichts bei 120° und gaben 0,2930 Gr. S PbO,.
Berechnet Gefunden
.£,H, $0, 171 62,3 re
Pb 103,5 BIN 37,2
274,5 100,0
Das Kaliumsalz ist sehr löslich. Ebenso das Na-
triumsalz. Letzteres ist aber in Alkohol löslich.
Toluolschwefelsäure - Chlorid €, H, $9, CI.
Dieser ausgezeichnet schön krystallisirte Körper
wird am besten durch Zerlegen des Natriumsalzes
mit Phosphorsuperchlorid gewonnen. Zur Darstellung
des Natriumsalzes neutralisirt man die Lösung des
Toluols in Schwefelsäure mit Kreide und dampft die
Lösung des Kalksalzes zur Trockne ab. Der feste
Rückstand wird hierauf in wenig kaltem Wasser ge-
löst, filtrirt und mit Sodalösung genau äusgefällt.
Lösung des Natriumsalzes wird zur Trockne abge-
dampft und das Salz längere Zeit bei 120° getrock-
net. Zur Darstellung des Chlorides reibt man dann
in einer Reibschale gleiche Gewichtstheile des Na-
triumsalzes und P Cl; zusammen. Es erfolgt eine leb-
hafte Einwirkung, Kr nach einiger Zeit giesst man
des Sciences de Saint- Pötersbourg.
das: Ganze in kaltes Wasser. Durch wiederholtes
Schütteln mit kaltem Wasser lassen sich alle beige-
mengten Salze entfernen, wo dann das anfangs ölige
Chlorid auch bald erstarrt.
Durch Lösen in Äther und langsames Verdunsten
der Lösung erhält man das Chlorid in Krystallen von
seltener Schönheit und Grösse.
Zu den Analysen wurde die Substanz über Schwe-
felsäure getrocknet.
1) 0,207 Gr. mit Kalk geglüht gaben 0,1615 AgCI.
2) 0,2678: Gr. gaben mit Natriumamalgam zerlegt
0,203 Ag Cl.
A1 0.201 Gr. gaben mit chromsaurem Blei verbrannt
. 0,329 CO, und 0,071 H,O.
4) 0,1825 Gr. gaben 0,2283 S BaO,.
Berechnet Gefunden
2 3 4
£,,8& 44,1 Se HE. à
iu er en Are
$.32,,...16,8 pa we Mmi sr
EL I5 aod 0 387 00m Sg
0,32 . 16,8 End e ten il E
190,5 100,0
Das Toluolschwefelsäure-Chlorid schmilzt bei
68— 70°. Es ist in Äther und Alkohol leicht löslich,
in letzterem nicht ganz ohne Zersetzung. In Wasser
ist es unlöslich. Es ist sehr beständig und wird nur
durch anhaltendes Kochen mit Kalilauge in Salzsäure
und Toluolschwefelsäure gespalten. Es löst sich ohne
Zersetzung i in einem Gemenge von rauchender Salpe-
tersäure und Schwefelsäure. Wasser fällt es daraus in
prachtvollen Nadeln. Rauchende Salpetersäure zer-
setzt das Chlorid selbst nicht beim Erhitzen im zu-
geschmolzenen Rohre.
Das Chlorid siedet unter Zersetzung bei 250°. Die
Masse schwärzt sich und entwickelt schweflige Säure.
Das Destillat enthält ein Öl, dessen Eigenschaften an
onoe hlo rtoluol erinnern. Vielleicht hat man also:
€, H S0.C1— = CH, CL Sa
he E etin demnach dieses Chlorid in
seinen- Eigenschaften mit den homologen und analo-
gen Chloriden (z. B. Naphtalinschwefelsäure-Chlorid)
überein, doch unterscheidet. es sich von denselben
durch seine
Ich darf nicht wkl per) vit | bemerken; dass bei
+
einigen Darstellungen des Chlorides ich dasselbe mit
einem öligen Körper gemengt bekommen habe, dessen
Natur mir noch unbekannt ist. Als ich einmal das
Natriumsalz zu dem in der Reibschale befindlichen
PCI, setzte, während ich früher meist umgekehrt ver-
fuhr, erhielt ich nichts von dem Öle. Vielleicht ist
daher zur Entstehung -des Öles ein Überschuss des
Natriumsalzes erforderlich, und das Öl selbst wäre
dann wahrscheinlich Toluolschwefelsäure-Anhy-
drid.
Als ich eine alkoholische Lösung des Toluol-
schwefelsäure - Chlorides einer freiwilligen Verdun-
stung überliess, erhielt ich grosse, salmiakähnliche
Krystalle, die schon bei 33° schmolzen und daher
wahrscheinlich der Äther der Toluolschwefelsäure
waren. — Durch das Zusammenreiben des Chlorides
mit kohlensaurem Ammoniak habe ich das Amid der
Toluolschwefelsäure dargestellt (vgl. Fittig, Ann. f.
Chem. u. Pharm. 106, 277). Wird die Masse nach
einiger Zeit aus heissem Wasser umkrystallisirt, so
erhält man das Amid in prachtvollen Krystallnadeln.
Es schmilzt bei 140°.
GH
Benzylsulfhydrat “7 17) S.
Zu einem Gemenge von Zink und verdünnter Schwe-
felsäure, das lebhaft Wasserstoff entwickelt, bringt
man Toluolschwefelsäure - Chlorid. Unterwirft man
nach 24 Stunden die Flüssigkeit der Destillation, so
verflüchtigt sich äusserst leicht mit den Wasserdäm-
pfen das schön krystallisirte Merkaptan. Zur Analyse
wurde dasselbe aus Alkohol imp dy und "He
Schwefelsäure getrocknet.
0,1965 Gr. gaben mit chromsaurem Blei p
0,4913 CO, und 0,1325 H,O.
Berechnet Gefunden
E84. 67,7 68,1
H, 8 6,5 mA
S 32 25,8 | nod
124 1000 .
Das Benzylsulfhydrat hat einen eigenthümlichen,
unangenehmen Geruch. Es schmilzt bei 43^ und sie-
det ohne Zersetzung constant bei 188°, Es ist in
Wasser unlöslich, leicht löslich aber in Alkohol und
Âther. Bei langsamem Krystallisiren aus Alkohol kann
man es in ausgezeichnet schónen, grossen. und dicken
x
379
Bulletin de l’Académie Impériale
Krystallen erhalten. Mit den Wasserdämpfen verflüch-
tigt es sich äusserst leicht. Von dem von Vogt ent-
deckten Phenylsulfhydrat und dem von Yssel de
Schepper entdeckten, ebenfalls flüssigen Xylylsulf-
hydrat unterscheidet sich das Benzylsulfhydrat durch
sein ausgezeichnetes Krystallisationsvermögen.
Nitrotoluolschwefelsäure €, H, (NO) SO...
Man lóst. Nitrotoluol in seinem gleichen Volumen
rauchender Schwefelsäure, verdünnt nach einigen Ta-
gen die Lösung mit Wasser, filtrirt von dem sich aus-
scheidenden halbfesten Niederschlage ab und sättigt
das Filtrat mit kohlensaurem Baryum. Das durch Ab-
dampfen gewonnene Baryumsalz wird aus Wasser um-
krystallisirt und bildet Bann schöne gelbliche, glän-
zende Krystalle,
0,6787 Gr. des lufttrocknen Salzes verloren bei
120° 0,0592 Gr. H,O und gaben dann 0,2505 SBaO,.
Berechnet Gefunden
€ H,(NOSO, 216 69,3 —
Bs9*'68;,5" 22/0 21,7
FAR 9 27 8,7 8T
311,5. 100,0
Das nitrotoluolschwefelsaure Baryum
€, H, Ba (NO) SO,
ist in kaltem Wasser viel weniger löslich, als in heis-
sem. Durch Zerlegen desselben mit Schwefelsäure
lässt sich die freie Säure gewinnen. Sie ist in Wasser
sehr leicht löslich. Über die Reduktionsprodukte die-
ser Körper werde ich später berichten.
Ich bemerkte schon oben, dass die Lösung des Ni-
trotoluols in rauchender Schwefelsäure beim Verdün-
nen mit Wasser einen halbfesten Körper ausscheidet.
Wird derselbe ein Paar Mal aus Alkohol umkrystal-
lisirt, so erhält man grosse, glänzende Krystalle, wel-
che schwefelfrei sind und genau die Zusammen-
setzung des Nitrotoluols besitzen.
0,340 Gr. gaben 0,749 CO, und 0,169 H,O.
Berechnet Gefunden
en. er"
nem 5,11 5,5
NO, 46 ^ 33,6 am
„137 100,0
per tan neue Nitrotoluol schmilzt bei. 54? args sie-
det ohne Zersetzung bei 238°. Sein Geruch erinnert
an den des flüssigen Nitrotoluols; der Siedepunkt. ist
etwas höher, als er für das flüssige Nitrotoluol gewühn.
lich angegeben wird (220 — 230^). Der vorliegende
Körper ist demnach entweder ein neues, isomeres
Nitrotoluol, gebildet durch die Berührung des flüs.
sigen Nitrotoluols mit rauchender Schwefelsäure. ‚oder,
und das scheint mir wahrscheinlicher ‚die Schwefel-
säure hat aus dem selbst sorgfältig gereinigten Nitro:
toluol kleine Beimengungen von Toluol entfernt, wel-
che das Krystallisiren des Toluols verhinderten und
seinen Siedepunkt herabdrückten. Dafür spricht auch
die Beobachtung, dass, als ich eine grössere Menge
rohes Nitrotoluol der Destillation unterwarf und die
Destillation unterbrach, als das Thermometer auf etwa
240° gestiegen war, der Retorteninhalt-nach einiger
Zeit fest wurde. Die stark gefärbte Masse wurde nach
dem Auspressen zwischen Fliesspapier fast weiss und
zeigte alle Eigenschaften, denselben Schmelz - und
Siedepunkt wie das mit rauchender Schwefelsäure
gewonnene Produkt. Offenbar waren hier die stüren-
den Beimengungen mit den ersten Portionen über-
destillirt. — Ein eingehendes Studium des krystal-
lisirten Nitrotoluols, das mich gegenwärtig be-
schäftigt, wird mit Sicherheit über die obigen Ver-
muthungen entscheiden.
Ich habe diese Versuche im Laboratorium des Hrn!
Prof. Wóhler und unter der Leitung des Hrn. E
Beilstein ausgeführt.
Notiz über die erregende Wirkung die Blutes
auf die cerebrospinalen Nervencentra des
Frosches, von J. Setschenow. (Lu le 16 mars
1865.)
Die vorliegende Mittheilung, welche nur einen klei-
nen Auszug aus einer grossen Reihe von Versuchen
über die Nervencentra des Frosches darstellt, bildet
eine unmittelbare Fortsetzung meiner Untersuchungen
über die reflexhemmenden Mechanismen des F rosches,
welche ich die Ehre hatte der Akademie im Novem-
ber des vorigen Jahres vorzulegen. Ee handelt sich
hier um die erregende Wirkung des Blutes auf das
Gehirn und Rückenmark des Frosches. Zur F ten
lung derselben kam ich auf folgendem Wege: -
Es ist allgemein bekannt, dass wenn man einen
Thiere das Rückenmark Ss einer Seite zur Hälfte
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
quer: durchschneidet (Warmblüter und Frösche ver-
halten sich in dieser Beziehung einander gleich), so
nehmen die Reflexe der hinteren Extremität auf der
entsprechenden Seite zu, auf der entgegengesetzten
ab; Ich habe nun gefunden, dass dies auch dann ein-
tritt, wenn das Rückenmark zuvor, von der unteren
Gränze der Intumescentia brachialis an bis zu seinem un-
teren Ende, durch einen Längsschnitt halbirt wurde*).
Insofern aber die der Lünge nach getrennten Rücken-
. markshälften untereinander nur durch die oberen, in-
tact gelassenen, Rückenmarkstheile nebst dem Gehirn
communiciren kónnen, so war es augenscheinlich, dass
die reflexdeprimirende Wirkung der queren Rücken-
marksdurchschneidung nur durch diese Organe den
Weg nehmen konnte, um von einer Seite des Rücken-
marks auf die andere zu gelangen. Insofern weiter
die Reflexdepression lange Zeit nach der Durchschnei-
dung anhält, so war es erlaubt zu vermuthen, dass
die Blosslegung eines Rückenmarksquerschnittes Be-
dingungen für die Entstehung eines fortwährend wir-
kenden Reizes bildet. Man konnte nämlich glauben,
dass die Reflexdepression im Brown-Séquard'schen
Phänomene eine reflectorische sei, d. h. in Folge
einer sensiblen Reizung des Rückenmarksquerschnittes
entstehe,
. Folgender E hat diese Erwartung gerecht-
fertigt: einem Frosche wurde das Rückenmark der
Länge nach halbirt und auf einer Seite quer durch-
schnitten (unmittelbar über der Abgangsstelle der Ner-
venwurzeln für die hinteren Extremitäten); dann wurde
der vordere (centrale) Stumpf der querdurchschnittenen
Rückenmarkshälfte vorsichtig aus der Wirbelsäule her-
ausgenommen und zur Seite geschoben. Nachdem nun
die Reflexfähigkeit für das Bein der entgegengesetz-
ten Seite festgestellt war, legte ich Kochsalzkrystalle
auf den Querschnitt des aus der Wirbelsäule heraus-
genommenen Rückenmarksstumpfes, wonach eine hef-
tige Reflexdepression am Beine der apigngentenstztep
Seite auftrat.
“Nachdem auf diene Weise an der oberen Fläche der
m
Spaltung des ganzen
li ckenmarks des Frosches durch einen tt keine erheb-
ee Störung der Sensibilität der Haut weder am Rumpfe, noch an
den Extremitäten des Thieres nach sich zieht, — eine Thatsache,
welche jm vollsten: Widerspruche (wenigstens in Betreff des Fro-
sche] mit den à hierauf bv det Erfahrungen von Brown- Sé-
*) Es sei hier- beiläufig btniskd, dass die
queren Rückenmarkswunde (wenn der Frosch hängt)
das Vorhandensein eines Reizes festgestellt war, blieb
kein Zweifel mehr móglich, dass derselbe Reiz auch
auf der unteren Flüche der Wunde vorhanden sein
müsse; weiter konnte man glauben, dass die Reflex-
steigerung bei halbseitiger Durchschneidung des Rük-
kenmarks, d. h. die zweite Hälfte der Brown-Sé-
quard'schen Erscheinung, ihren Grund einigermaas-
sen in dieser Reizung finde.
Von dem Gedanken ausgehend, dass möglicher
Weise der Erregungszustand des Rückenmarksstumpfes
durch die Berührung mit Blut und atmosphärischer
Luft bedingt sei, hatte ich diese beiden Einwirkun-
gen von einander getrennt zu untersuchen.
Bis jetzt ist nur der Einfluss des Blutes in seinen
Hauptzügen aufgeklürt, was aber die Bestimmung der
Einwirkung der Luft betrifft, so bin ich gegenwürtig
damit beschäftigt.
Benetzung der Rückenmarksquerschnitte
des Frosches mit dessen defibrinirtem und mit
Sauerstoff gesüttigtem Blute hat eine unmit-
telbar eintretende Reflexsteigerung zur Folge.
Diese Erscheinung ist beständig, falls der Frosch nicht
dem Tode nahe steht.
Man experimentirt auf folgende Weise: der Frosch
wird durch Ausschneiduug des Herzens entblutet, da-
mit die später blosszulegenden hückenmarksquer-
schnitte möglichst frei von Blut bleiben (aus diesem
Grunde wartet man nach Ausschneidung des Herzens
5 bis 10 Minuten: länger zu warten ist nachthei-
lig, weil im entbluteten Frosche die Erregbarkeit der
Nervencentra schnell herabsinkt); hiernach wird das
Rückenmark entweder zugleich mit der Wirbelsäule,
oder nach vorheriger Eröffnung letzterer durchschnit-
ten. Man lässt das Thier nach dieser Operation aber-
mals kurze Zeit sich erholen und dann wird die Re-
flexfühigkeit seiner Extremitäten vermittelst .schwa-
cher Säurelösung, festgestellt; endlich, wird der Rük-
kenmarksquerschnitt mit Blut benetzt und die Reflex-
stärke abermals gemessen. `
Bei diesen Versuchen bemerkt man oft nach einer
rasch vorübergehenden. Steigerung der Reflexe eine
Depression derselben; und diese Erscheinung ist desto
schärfer ausgeprägt, je näher. das Rückenmark dem
Tode steht. Es giebt. sogar Fülle, wo die Reizung,
383
Bulletin de l’Académie Impériale
ohne vorherige Steigerung der Reflexe, direct depri-
mirend wirkt.
Dem äusseren Charakter nach kann das Wesen der
Erscheinungen. bei diesen Versuchen in nichts Ande-
rem als in der erregenden Wirkung des Blutes auf
die Rückenmarksquerschnitte bestehen. Somit wird
durch diese Versuche zum ersten Mal die Türk’sche
und Brown- Bränwandısahe Erscheinung bei halbsei-
tiger Rücl ksd hneidung erklärt. Zugleich
geben meine Versuche dem Experimentator einen so
zu sagen natürlichen Erreger in die Hände.
Es war nun von grösstem Interesse für mich, die
Wirkung dieses Erregers auf diejenigen Theile des
Gehirns zu prüfen, welche bei ihrer Reizung mit Koch-
salz mächtige Reflexdepressionen bewirken.
Zu diesem Zwecke wurde der Frosch ebenfalls ent-
blutet und der Querschnitt der Thal. opt. auf gewöhn-
liche Weise, nur mit Blut, statt des Kochsalzes ge-
reizt. In allen Fällen, ohne Ausnahme, bestan-
den die Ergebnisse in einer, im Vergleich mit
dem Effecte der Kochsalzreizung zwar schwa-
chen, aber doch deutlichen Reflexdepression;
und in keinem einzigen Falle ging dieser eine
Steigerung der Reflexe voran.
Diese Thatsache, im Verein mit dem entgegenge-
setzten Erfolge, wenn man das Rückenmark auf die
nämliche Weise reizt, beweistnun entschieden die
physiologische Bedeutung der auf die Rücken-
marksreflexe deprimirend wirkenden Mecha-
nismen im Gehirne des Frosches.
Ich muss den Leser noch auf eine andere That-
sache aufmerksam machen:
Die eben beschriebenen Versuche geben ein Mittel
zur Entscheidung der Frage, ob die Reflexsteigerung
am gekópften Frosche als F olge der Reizung des
Rückenmarksquerschnittes oder als Resultat der Ent-
fernung tonisch hemmender Einflüsse des Gehirns zu
betrachten sei.
—— Der Weg zur Entscheidung dieser Frage ist offen-
bar folgender: man hat nur beim Küpfen des Frosches
die mógliche Reizung des Rückenmarksquerschnittes
durch Blut und Lüft zu entfernen.
Die Versuche mit der Ausschliessung des Blutes
allein haben gezeigt, dass die Reflexsteigerung in Folge
des Kópfens zwar eintritt, aber bedeutend schwücher,
als unter normalen Bedingungen ausgeprügt ist. Was
die Ergebnisse der Luftausschliessung betrifft, so werde
ich die Ehre haben, sie in kürzester Frist mitzutheilen;
Schliesslich noch eine Bemerkung. Da bekanntlich
die Effecte halbseitiger Rückenmarkdurchschneidung
für Warmblüter und für Frósche einander gleich sind,
so ist es natürlich, die Erscheinungen in beiden Fäl-
len auf gleiche Ursachen zurückzuführen, Diese Ver-
muthung führt aber logisch zum Schlusse, dass auch
bei den Warmblütern das Blut auf die Nervenmassen
erregend wirkt. Von diesem Standpunkte aus liesse ,
sich die anffallende, doch bis jetzt nicht erklärte Er-
scheinung der Nun SAM (bei den Warmblütern)
in Folge des Aufhebens des Blutzutrittes zum Gehirn
leicht verstándlich machen; — man müsste nun im
Gehirn auch dieser Thiere die Existenz solcher Me-
chanismen annehmen, welche bei ihrer Erregung
durch Blut auf die Reflexe des Rückenmarks Mam
mirend wirken.
Erdbeben in Kaukasien. Auszug aus einem
Schreiben von H. A. Moritz aus Tiflis an
den bestándigen Secretair der Kaiserlichen
Akademie der Wissenschaften. (Lu le 16 mars
1865.)
Bei meiner letzten Anwesenheit in Pria lies mich
Professor Perrey, aus Dijon, um die Mittheilung ei-
ner Übersicht der Kaukasischen Erdbeben bitten. Um
diese zusammenzustellen habe ich die meteorologischen
Tagebücher unseres Archivs und alle Nummern der in
Tiflis erscheinenden Zeitung «Kawkas» von 1852 bis `
1865 durchgesehen und darin 69 Angaben gefunden,
die aber nur 50 gesonderten Erdbeben zu entsprechen
scheinen. Obgleich viele dieser Angaben dem wissen-
schaftlichen Publico wohl schon bekannt geworden
sein mógen, — namentlich durch die Arbeiten des
Hrn. Akademikers Abich, der sich speciell für diesen
Gegenstand. interessirt , und dem wir auch jedes Mal
die Mittheilung gemächt haben, so bald uns ein Erd-
beben - Bericht in die Hände fiel —, so: glaube ich
doch, dass die summarische Übersicht, welche ich
hier Zeng für Manchen, namentlich auch wohl für
den Statistiker, nicht ohne Interesse sein dürfte.
Fünfzig Erdbeben im Zeitraume von 13 Jahren
sind für den Kaukasus eine sehr geringe Anzahl; die
Schuld trägt offenbar der Umstand, dass ein ‚schwa
ches oder mindestens keine Verheerungen anrichtend
A dé
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
386
Erdbeben in vielen Gegenden der Kaukasischen Pro-
vinzen eine so wenig aussergewöhnliche Erscheinung
ist, dass man es gar nicht für der Mühe werth hält,
darüber zu berichten. — Die wenigsten Lücken fallen
wohl auf Tiflis, und deshalb steht es auch in der An-
zahl der beobachteten Fälle mit dem Maximum von
11 Fällen in unserem Verzeichnisse obenan, während
es sonst durchaus nicht im Rufe steht, besonders häu-
fig von Erdbeben heimgesucht zu werden. Nächst
Tiflis folgt Lenkoran mit 10, Schemacha mit 6 (von
denen eines 5 Tage dauerte). Derbent mit 5, Surna-
bad mit 4 und Pjatigorsk mit 3 Erdbeben; Helenen-
dorf, Elisabethpol, Delischan und Weden sind mit je 2,
die übrigen 22 Orte mit je einem Erdbeben aufge-
nommen. Nach den Jahren vertheilen sie sich folgen-
dermaassen: aus dem Jahre 1858 ist nur 1 Erdbeben
mir bekannt (Lenkoran); ‘für 1859, 1860, 1863 und
1864 finden sich 2, für 1854 sind 3 und für 1855,
1857 und 1862 sind je 4 aufgenommen; 5 verschie-
dene Erdbeben sind 1856 und 1861 verzeichnet, und
das Jahr 1852 hat deren 7, und 1853 sogar 9 aufzu-
weisen, die an 17 Orten beobachtet sind.
Auf die Monate März, Juni und August fallen je 2,
auf April, Oetober und November je 3, auf den Fe-
bruar 4, auf den Januar, Juli und September je 5,
auf den Mai 6 und auf den December 10 gesonderte
Erdbeben, so dass die drei Sommermonate ein Mini-
mum von 9, die drei Wintermonate ein Maximum mit
19 von einander unabhängigen Erdbeben geben, wäh-
rend Frühling nnd Herbst je 11 aufzuweisen haben. —
Alles dieses bezieht sich auf unser, wie schon erwähnt,
sehr unvollständiges Material und kann daher keinen
allgemeinen Schlüssen über die Vertheilung der Erdbe-
ben als Basis dienen. Die Tagesstumden, an welchen
bei uns die Erdbeben am häufigsten vorkommen, las-
sen sich daraus selbstverständlich noch viel weniger
bestimmen; überhaupt glaube ich, dass man über die-
sen Punkt auf statistischem Wege nicht leicht zu ei-
ner Entscheidung kommen wird, da ja aus begreifli-
chen Gründen stets mehr Erdbeben in den Abend-
und frühen Morgenstunden werden bemerkt werden,
als am Tage, wo die meisten Menschen in Bewegung
ausser dem Hause sind. |
Um mein Verzeichniss möglichst vervollständigen
und somit dem Wunsche des Hrn. Perrey vollkom-
mener genügen zu können, habe ich durch die hiesi-
Tome VIII.
gen Zeitungen einen Aufruf ergehen lassen, in wel-
chem ich um Zusendung möglichst vieler Notizen über
ältere und neuere Kaukasische Erdbeben bitte. Ich
hoffe, dass derselbe nicht ohne Erfolg bleiben wird,
da seit dem Unglücke in Schemacha die Aufmerksam-
keit mehr als früher auf Erderschütterungen, selbst
wenn sie nur schwach sind, gerichtet ist, und das
Publicum von der Wissenschaft ein Mittel dringend
fordert, durch welches es rechtzeitig vor einem Erd-
beben gewarnt werden kann, etwa in der Weise, wie
die meteorologischen Bureau’s den Schiffer vor dro-
henden Stürmen warnen. — In der diesen Zeilen bei-
liegenden Übersicht sind alle Data nach dem neuen
Style. Das am Schlusse gegebene alphabetische Orts-
verzeichniss enthält die geographischen Positionen
nur in roher Annäherung, lediglich zu dem Zwecke,
um das Aufsuchen der Orte auf jeder beliebigen
Karte des Kaukasus zu erleichtern. Da auf den
meisten Karten immer noch die geographischen Län-
gen in Bogen, angefangen von dem sogenannten Me-
ridiane der Insel Ferro, verzeichnet werden, so habe
auch ich diese Ausdrucksweise beibehalten.
In Tiflis besitzen wir für Erdbebenbeobachtungen ein
Cacciatoresches Quecksilber-Seismometer, das vom
Mechaniker Brauer in Pulkowa mit besonderer Sorg-
falt ausgeführt und daher auch sehr empfindlich ist.
Ausserdem habe ich im Herbste vorigen Jahres auf
speciellen Befehl meiner Vorgesetzten einen Apparat
zusammengestellt, um die von Hrn. Ratti-Montan
aus der Argentinischen Republik gemachte Mittheilung
zu prüfen, wonach ein Magnet einige Zeit vor dem
Eintritte eines Erdbebens seine Kraft verlieren soll.
Dieser Apparat besteht im Wesentlichen aus einem
Gestelle; in welchem eine schwere Messingkugel an
einem dünnen Drahte aufgehängt ist, und an welchem
einbis zum Maximum seiner Tragkraft belasteter Huf-
eisen- Magnet und zwei mit Arretirungen versehene
Taschenuhren befestigt sind. Die Kugel lastet mittelst
einer Spitze auf dem oberen Ende eines 1 Zoll lan-
gen Stäbchens, dessen unteres Ende einen Winkelhe-
bel niederdrückt, welcher die eine der beiden Uhren
arretirt; die andere Uhr ist durch den einen Arm ei-
nes Hebels arretirt, dessen anderer Arm unter dem
Anker des Magneten frei liegt. Beide Uhren sind auf-
| gezogen und auf der Zeigerstellung 00/0” in der
Weise arretirt, dass die Unruhen aus der Gleichge-
25
337
Bulletin de l'Académie Empériale
wichtslage herausgebracht sind, so dass sie nothwen:
dig sogleich in Gang kommen müssen, sobald die Ar-
retirungen gelöst werden. Dieses geschieht aber bei
der ersten Uhr, sobald durch den horizontalen Antheil
eines Erdstosses das Messinggewicht in’s Schwan-
ken geräth, der Zwischenstift niederfällt und somit
der Winkelhebel Raum gewinnt, herauf zu schnel-
len; die zweite Uhr kommt in Gang, sobald der Mag-
net den Anker auf den respectiven freien Hebelsarm
fallen lässt. Die Besorgung des Apparates ist nun sehr
einfach; man braucht nur zwei mal täglich, etwa Mor-
gens und Abends, einen Blick auf die Zeiger der Uh-
ren zn werfen, um sogleich wissen zu können, ob in
der verflossenen Zwischenzeit ein Erdbeben oder ein
Kraftverlust desMagneten stattgefunden hat oder nicht,
je nachdem die Zeiger ihre normale Stellung verlas-
sen haben oder nicht. Sind beide Uhren im Gange,
so vergleicht man ihre Angaben mit denen einer `
wöhnlichen Taschenuhr und findet durch einfache Sub:
traction die Zeitmomente, wann der Magnet seinen
Anker hat fallen lassen, und wann die Messingkugel
in Oscillationen gekommen ist, — oder die Zeitmo-
mente, wann, wie man glaubt, der Magnet seine Kraft
verloren und wann ein Erdbeben stattgefunden hat,
Die Richtung, in welcher der Zwischenstift gefallen
ist, giebt die Richtung des Erdbebens an, und der Ap-
parat behält somit immer seinen Werth als ein so-
wohl Richtung, als auch Zeit angebendes Seismometer,
wenn sich auch ein negatives Resultat für das von
Ratti-Montan angekündigte Phänomen herausstellt,
Nebenan lasse ich jetzt auch ein Instrument zur Be-
stimmung der Zeit und Intensität verticaler be
einrichten.
Erdbeben in Kaukasien.
Neuer Styl.
1852. Jan. 5. 5/30 u. 7° Ab. Zwei Stüsse in Lenkoran. SE ICE
Juli 26. gegen 4' Morg. Sehr starkes Erdbeben in Orpiri. (Die Dauer wird zu f
6 Minuten angegeben.) "sete
5 98; 3'Morg. u... In een
Sept.26. gegen 2° Morg. Ziemlich stark, in Tiflis. | |
Nov. 8. Schwach, in Derbent. té
Dec. 7. 12'50 Mittg.... In Lenkoran. | HW nbis
» 20. 4'55'Morg... Ziemlich stark, in Pjatigorsk. dioi
1853.Jan. 18. 9/44 Ab. Drei Stösse, von denen der erste und letzte schwach, der Hes
Zweite aber sehr stark; Richtung O. — W.; in Delishan, Et
März 18. 4” VU Morg... Dauer 15 Secunden, ziemlich stark in Tiflis und Signach; ` aa
stark in Sabui, Beshaniani und Zarskie - Kolodzy (wo ` —
der Anfang 3" 59' Morg. und die Dauer 50 EE: e Gë:
geben wird); auch in Sakatali. D ea
Mai 9. 519%, Morg. Heftiger Erdstoss in der Richtung NW.—S0. in Tifis., ae
Juni 3. a0 Abu... Zwei ziemlich starke Stösse, » 8
Wi c 425 u. 11'20 Morg. Schwache Schwankungen, | in Umachan-Jurt, eigen om M
» 5. 10*25’Morg.... Zwei ziemlich schwache Erschütte- ee Stats; is 1210
" Pug äglich, Eve? ir der Nacht na
^ 6. 12* 2’Mitt...... Stark, Dauer 45 Secunden; und |: ^ud d
mn cm BU ARS à Sieben weniger starke Erschütte- b nee meer: fe? Eo
rungen. "
Aup.15.. 9 9T Ab... Stark, Dauer 7 Secunden, in Derbent. E er
Oct. 16. 0^30' Morg... Erdbeben während einiger Secunden; an mehreren Orten ^ ^
des Achalkalakischen Districts, in der N ähe von Achalzik.
Der 10. CR In Derbent. e
» 20. 0*45’Morg. und 6/10’ (Morg. oder Ab. ?). In Derbent. we A fet m e
» 21. gegen 3’ Morg. Ziemlich stark, in Pjatigorsk. ` + Hinos DON
1854. Màrz13. 9'45'Morg.... Ziemlich stark, Richtung NO. — SW., in Sadon. nn 7797
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Neuer Styl.
1854.Mai 29.
| gegen 5^ WC
Juni 11.
1856.Febr.13.
Juli 8.
24:20
Sept. 6.
Dec. 21.
- 1857.Sept. 1.
Oct. 12.
» 29.
Dec. 17.
1858. Aug. 23.
1859.Juni 11.
Juli 13.
1860. Febr. 3g.
— vv Sept. 14.
1861.April 4.
WH
Nov. 5.
SR a Desc di
dE, CA vs 8.
30.
Schemacha.
ad a .5'49' Mors. `. Zwei schwache Erdstösse N W.— SO, i in Tiflis. -
i 24.
gegen 3 Ab. ....
In Lenkoran.
Zwei heftige Stósse; in Nucha und Schuscha.
In Lenkoran.
… Stark, in Derbent.
Ein Erdstoss, in Tiflis.
Zwei ziemlich starke Erschütterungen in Tiflis.
Bei Sonnenaufgang zwei Erderschütterungen, von denen die zweite so
0/17 Morg....
9^ Meorg.
gegen 9" Morg..
12* Mittg.........
\
j
eg ie
7:20 Mg. ......
10/19 Morg. «..
DAT bn
4^90' Ab...
4 AS ut
9*15' Ab
Um Mitternacht
233 Morg...
9°45 Ab...
stark ist, dass Fensterscheiben zerspringen; in Gori.
Starkes Erdbeben i in der Richtung NW. — SO. in Tiflis.
Schwach, um 5" Ab. sehr stark (Dauer 15 Sec.) in Sche-
ha
macha.
In Alexandrapol.
Zwei Stösse, von denen der zweite ziemlich stark, in der
Richtung SW. — NO. in Tiflis
Erdbeben in .Lenkoran.
Wiederholte Erderschütterungen, welche bis zum folgen-
den Morgen fortdauern, in Schem
Sehr starker Erdstoss, von einem fürchterlichen unterirdi-
schen Getóse begleitet; in Kwischet.
Ziemlich stark, in Lenkoran. u
Erdbeben, welches 1", Minuten dauert und einen Theil
der Stadt Schemacha zerstört. Die Erschütterungen
wiederholen sich mehrfach während des Abends und
der folgenden Nacht, aber schwächer.
Verheerender Stoss in Schemacha. Nach Nachrichten vom
15. Juni dauerten die Erschütterungen noch Tag und
Nacht fort, mit Unterbrechungen von nur wenigen
Stunden.
en 22. und 23. Juni Erdbeben in Erzerum.)
. Erdbeben, das mehr oder minder stark in einigen Theilen
der Stadt Tiflis verspürt wird, während es in anderen
Theilen nachweisbar nicht stattfand.
Schwach, SO. — NW., in Tiflis.
Schwach, in Surnabad.
Stark in Surnabad, schwächer in Helenendorf und Elisa- _
bethpol.
Ziemlich stark, 10 22’ Morgens schwächer, Richtung
.— W., in, à
Ziemlich stark, '/, Minute, Q. — W., in der Nähe von
Delishan.
. Ziemlich stark, 3 Secunden, in Boshi-Promysl.
Sehr stark in. Sardob, Surnabad, Helenendorf
bethpol.
- Stark, Dauer 3 bis 4 Secunden, in Pjatigorsk. —
Starkes Erdbeben in Umachan-Jurt.
. Stark, SO. — NW., Dauer 30 Secunden; in Tiflis.
.. Ziemlich stark, in
und Elisa-
25*
391 Bulletin de l’Académie Impériale 392
Neuer Styl. n
1862.Mai 15. 1'10' Morg.... Zwei ziemlich starke Erschütterungen innerhalb 10 Secun- s
den, in Wedèn.
1863. Dec. 19. 530 Morg.... Zwei Erschütterungen innerhalb 1%, Secunden. In Lenko-
ran stark, in der Richtung N. — S., in Surnabad und
Schemacha aber schwach, in der Richtung NO. — SW.
» 30.- 8'48' Ab........ Innerhalb 8 Secunden drei Stósse in der Richtung S. — N.,
von denen der zweite sehr stark; in Lenkoran und
Prischib. :
1864. April 12. 9*45’Morg.... Ziemlich starkes Erdbeben in Weden, welches etwa 10 .
Secunden in der Richtung NW. — SO. dauert.
Sept.20. 7'30'Morg..... Ziemlich stark, Dauer 3'/, Secunden, in Manglis. sd
9 À 9 À
Achalzich 41° 39 60° 38 Pjatigorsk ........... url A
Alexandrapol...... 40 48 61 29 PrSOBID: a $39 8 66 15
Alkan-Jurt.......... 43 1T 63 12 Sabui 429 "4 63:22"
Beshaniani .......... 41 54 63 38 Sadon 42 : 59 61 41
Boshi-Promysl.... 39 26 66 47 Sakatali .............. 41 38 64 19
Delishan ............. 40 45 82. 32 Sardob 450540 12 65 22
Derbent .............. 42 .3 65 58 Schemacha.......... 44 38 66 18
Elisabethpol........ +40 41 Glind Schuscha 39 46 64 23
Zort 41 56 61 46 Schtschedrin ....... 43 28 63 45 D
Helenendorf........ 40 35 63 59 Signac 41 37 63 35 S
Kwischet 42 27 62 14 Surnabad ............ 40 30 63 54
Lenkoran 38 46 66 31 Tiflis 41 42 62 29 —
Manglis 41 42 VE 3 Tscherwlen ......... 43 30 63 30 à
Nikolajewskaja.... 43 33 63 28 Umachan-Jurt..... 43 22 63 40 i
Nucha 41 42 64 52 Wedén 4267 63 ^48 9478
Orpiri LE y 59 57 Zarskie-Kolodzy. 41 28 63 46 ids
Etudes sur l'historien arménien Mkhithar d’Airi-
vank, XIIT° s.; I” et II’ Parties, de la création
du monde au commencement de Père chré-
tienne; III" Partie, jusqu'en 1289 de J.-C.; par
M. Brosset. (Lu le 22 décembre 1864 et le 13
avril 1865.)
Ayant déjà donné d'amples notices sur l'historien
Mkhithar d'Airivank, à la suite des Ruines d'Ani et
aileurs, je eroyais pouvoir m'arréter là, et j'avais
seulement engagé l'honorable professeur d'arménien
à l'Université de St.-Pétersbourg à publier, avec tra-
duction russe, une nouvelle édition du texte, d’après
le manuscrit du Musée asiatique, plus complet que
celui imprimé à Moscou, 1860. La Section orientale
de la Société archéologique russe ayant accueilli avec
faveur la proposition de se charger des frais de cette
édition, je me suis aperçu, en faisant avec M. Patca-
nian la collation des deux textes, que cet ouvrage est
plus curieux qu'il ne parait au premier coup - d'oeil,
et il m'est venu à l'esprit, qu'un examen plus appro-
fondi du systéme chronologique de l'auteur et la re-
cherche des sources d’où il a tiré certains faits seraient
d'un intérét suffisant pour payer le travail entrepris
dans une telle direction. C’est le résultat de ces nou-
velles investigations que je crois pouvoir aujourd'hui
communiquer à la Classe historico-philologique. J'en-
visagerai donc Mkhithar comme chronographe et pas-
serai successivement en. revue les trois parties dont
se compose son livre: l'oeuvre des six jours, qui, 1%
turellement, m'arrétera peu; les temps historiques;
depuis lis jusqu’à l’ère chrétienne; enfin l’histoire
depuis J.-C., jusqu'à l'époque où se termine sa com-
pilation, en 1289.
Concentrer en 69 pages chronologie: de 6487
+
393 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 394
ans, ce n’est pas, & proprement parler, écrire une
histoire, mais seulement présenter des séries de per-
sonnages et de faits, qui, si ces derniers sont bien
choisis, forment simplement un cadre dans lequel
doivent se classer d'eux-mêmes les événements et les
personnages passés sous silence.
A la première vue on se convainc que l’auteur ar-
ménien a voulu réellement et uniquement construire
un tel cadre: pour ce faire il a réuni d’abord des
listes de noms historiques, formant des séries pour
chaque pays, depuis l'antiquité jusqu'à son temps.
Ces listes, souvent incomplètes, rédigées sans critique,
sans dates, sans indications de sources, ni de la durée
des règnes ou des fonctions, ne sont encore que des
bases inconsistantes: elles n’ont de valeur que comme
recueils, toujours utiles aux recherches, comme maté-
riaux de comparaison, mais rarement comme augmen-
tation des richesses du fonds commun.
En effet, tout historien qui veut traiter avec soin
une époque quelconque, plus ou moins longue, doit
au préalable en réunir de cette manière les éléments;
celui qui prétend à une plus grande exactitude join-
dra à chaque nom sa date annuelle et de durée, comme
l'a fait l'historien arménien Sébéos, dans la 1° Partie
de son Héraclius; celui enfin qui vise à la perfection
précisera, s’il le peut, le jour et le mois, deux don-
nées indispensables pour une histoire vraiment chro-
nologique, digne d'un tel nom: perfection supréme,
à-peine possible pour un certain nombre de faits de
l'histoire moderne, mais à laquelle il faut désespérer
d'atteindre pour la haute antiquité, puisque nous igno-
rons la forme réelle de l'année chez les plus anciens
peuples, et que d'ailleurs les témoignages manquent.
C'est ainsi que sont muettes, sous ce rapport, de méme
que celle de notre Mkhithar, plusieurs petites et in-
téressantes chroniques insérées dans le recueil de la
== Après les listes de personnages viennent les séries
de faits. Dans sa II* Partie, notre Mkhithar groupe
Ces derniers par synchronismes, dans un ordre inva-
EE n rin etii et ti.
` 1) V. p. ex. Chron. pasc. éd. de Bonn, p. 78, 96; Syncelle, t. I,
P. 785, la Chron. abrégée de Nicéphore, patr. de. C. P. en 806.
constituent la tradition du pays jusqu'à Nabuchodono-
sor et à Alexandre. Ici la critique deviendrait possible,
s'il valait la peine de l'exercer sur des sujets qu’au-
cun chronologiste n'a pu encore éclaircir complète-
ment, tels que les dynasties assyriennes, égyptiennes,
grecques, — s'il restait le moindre espoir, dans l'état
actuel de la science, d'arriver à des résultats nou-
veaux, de quelque valeur.
Quand.on parcourt les notices chronologiques de
Mkhithar et les groupes de faits qu'il a rassemblés,
et que l'on compare son oeuvre avec celle de son
contemporain Vardan, auteur d'un bon Epitomé his-
torique, on est frappé de la ressemblance qui existe
entre eux. Ils semblent avoir puisé l'un et l'autre aux
mémes sources, pour l'époque biblique et en général
pour les temps qui précèdent notre ère. L'oeuvre des
six jours est souvent traité dans les mémes termes,
avec de légères variantes, par les deux écrivains;
seulement Vardan est moins instruit que Mkhithar,
en ce qui concerne les choses extra-bibliques, plus
raisonneur et plus développé: on voit qu'il a élaboré
ses matériaux et cherché à s'en rendre compte, tan-
dis que Mkhithar s'en tient à de simples énoncés. En
un mot, la contemporanéité des deux auteurs porte
à conjecturer que Mkhithar a rassemblé de simples
notes, et que Vardan les a rédigées et soumises à la
critique.
Je dois maintenant parler du systéme chronologique
dominant chez Mkhithar.
Si l'on voulait dénombrer et faire passer à un exa-
men rigoureux tous les systemes imaginés par les
computistes?) pour classer les faits connus de lhis-
toire du monde, il faudrait entrer dans de prolixes
détails, qui n’apprendraient au lecteur rien de nou-
veau. Reposant toutes sur des faits, appuyés par des
témoignages et concentrés par une logique serrée, ces
combinaisons de l'intelligence humaine n’arrivent pas
toujours sans quelque déviation à débrouiller le cahos
des temps passés: du moins elles y établissent un
ordre à- peu - près satisfaisant, et les parties faibles
y ressortent assez bien, comme dans les calculs les
plus exacts de l'astronomie; qui ci ivent une
2) Les auteurs de l'Histoire universelle anglaise ont donné dans
eur Préface générale, t. 1°, une Table de 98 dates différentes,
assignées à la création, dont le chiffre le plus élevé est de 6984 ans,
et le moindre 3618: écart, 3366 ans.
4
395
Bulletin de l'Académie Impériale
erreur probable. Nous pouvons donc le dire haute-
ment, aucune des sciences dites d'observation n'offre
ni plus ni moins de chances de vérité que la chrono-
logie, malgré ses fluctuations. Je me contenterai ici
d’un exposé succinct de la série des résultats obtenus
par la science chronologique, en ce qui concerne
l’histoire de l’homme.
Jules-Africain, qui acheva sa Chronique en 221 de
l'ère chrétienne, avait fixé la naissance de J.-C. à
l'an 5515 du monde, en nombre rond, il s'arréta à
5500: c'est ce qu'on appelle l'ére alexandrine, suivie
dans le Martyrologe romain?). Cependant à l'avéne-
ment de Dioclétien, les computistes 'd' Alexandrie re-
tranchérent delà 10 ans, peu aprés l'introduction, en
277, du cycle de 19 ans, par Anatolius, évêque d'Hié-
rapolis, d’où résulta l’ère de 5490, ou d'Antioche,
fixée par le moine égyptien Panodore, à la fin du IV* s.
C’est ainsi que s'exprime l'Art de vérifier les dates.
Suivant M. Daunou, au contraire‘), à l'avénement
de Dioclétien, en 284, ou plutót de Maximien-Hercule,
en 286, les 10 années en question furent retranchées,
pour faire coincider ce fait avec la 1" année d'un
cycle lunisolaire; mais par la différente maniére de
calculer les olympiades , certains computistes obte-
naient 5503 et d'autres 5493 ans avant la naissance
de J.-C.: Panodore, pour arriver à une concordance
purement conventionnelle entre les olympiades, l’ère
du monde et l'ére chrétienne, placa le commencement
de celle-ci en 5493 — 5494, en automne: c'est l'ére
d'Alexandrie réformée, connue sous le nom.d'ére d’An-
tioche?). Lian 1° de Dioclétien tombe en 5777, qui
devrait étre 288 de J.-C., et qui n'est en réalité que
285.
Jules-Africain ótait une olympiade aux temps avant
J. C., Panodore l'a rendue: delà la différence de 7 et
non de 10 ans entre les éres de Jules-Africain et de
Panodore. J'avoue mon impuissance à comprendre
comment, malgré cette différence incontestée, Petau
et M. Dulaurier soutiennent que les deux éres mon-
daines dont il est question ici reviennent absolument
8) Il existe pourtant des traces d'une ère mondaine de 5516 ans
avant J.-C., dans un manuscrit géorgien de la Bibl. Imp. pue
où les dates en o ee Jie 'en 964 de notre ére, par un moin
de la La page Mél. asiat. t. III, p. 271.
8); zer ues ac ` I, p. 3
5) V. la See de ce système par Ssneele, t k, zt pei, 2, éd.
de Bonn,
au même et se confondent avec une troisième, celle
| dite de Constantinople, assignant au monde une durée
| de 5508 ans avant la naissance de J.-C. °), Cette der.
nière, introduite à une époque que les historiens ne
mentionnent pas, se montre pour la première fois dans
la date du second concile écuménique de Constanti-
nople, en 680, 1,et parait avoir été imaginée, non moins
arbitrairement que les précédentes, pour arriver à
faire coincider artificiellement des époques historiques;
Il est permis de regretter que des hommes sensés
aient cédé à de si faibles considérations, dont toute-
fois les résultats ne sont pas bien fácheux, puisque
15 années sur une masse de plus de 50 siècles n'amé-
nent pas une grande perturbation dans. des calculs
plus ou moins hypothétiques, d'ailleurs, comme en
dirai plus bas.
Entre ces différents systémes se placent. ceux. en
ne varient que d'une ou deux années, comme celui
de Cédréne, plaçant la naissance de J.-C. en 5506;
de la Chron. pascale, en 5507, etc. D'autres systèmes
offrent un écart plus considérable: c'est celui d'An-
tioche, comptant 6000 ans avant l'ére chrétienne;
celui de certains computistes arméniens, fixant la nais-
sance de J.-C. à l'an 5420 ou 5424, dont se rap:
proche beaucoup W. Hales, qui arrive à 5411 ans;
celui des Géorgiens qui, pour une cause trés facile à
expliquer, arrivent à 5604 ans; le comput latin; de
4004 ans; celui des Juifs modernes, 3760; puis l'ére
julienne, entièrement artificielle, 4714; enfin l'ére de
5198 ou 5200, suivant certains manuscrits, fixée: par
Eusèbe d’après un calcul rigoureux, qu'il est. permis
de ne pas approuver, mais qui du moins repose. Sur
une base de calcul respectable, et qui a eu beaucoup
d'adhérents. «cin tenti
Ainsi, malheureusement, la chronologie. générale
du Bde n'est, comme toutes les sciences d'observa-
tion, qu'un arrangement plus ou moins arbitraire,
des faits connus, logiquement combiné, d'aprés des
systèmes qui ne er être vrais et exacts tout à
la fois, mais dont la vérité ou levran ne sont pas
susceptibles de démonstration absolue. » 7"
L'histoire, la-vraie-histoire, celle qui i commence
avec Vhotigoe; reste une énigme à déchiffrer: en fixer
l'initiale et la durée jusqu'à l'ére chrétienne, wë SÉ
6) V. Dulaurier, Chrono]. arménienne, p. 69, 1675. dans st ic
face de la Chron. pascale, t. II, p. 28, Ducange n'est pas de cet
397
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
deux problèmes qui occupent les computistes. Que
Phomme soit jeune, en comparaison de la terre qu'il
Habite, c’est ce qui ne peut être nié, ce qu'admettent
aujourd'hui comme certain non-seulement les savants
ayant étudié la constitution de notre globe, mais avec
eux les docteurs les plus orthodoxes; mais que l’âge
vrai de. l'humanité reste inconnu, qu'il soit aujour-
dhui impossible de le fixer pièces en main, c'est ce qui
west pas moins indubitable; car les découvertes les
plus récentes, telles que celles de MM. Boucher de
Perthes, Lyell et Lartet, et celles opérées dans les
cavernes du midi de la France, aprés avoir subi Pé-
preuve de la critique la plus sévère, n'ont ajouté que
de nouvelles incertitudes à ce que l'on savait précé-
demment. Les savants les plus consciencieux n'ont
pu se mettre d'accord sur les inductions à en tirer ?.
“Comme toutes les sciences dites naturelles, la chro-
nologie repose sur des faits observés, qui sont ici les
témoignages écrits et les monuments. Or, de monu-
ments remontant à l'origine du monde, il n'en existe
aucun; les plus anciens, comparativement nouveaux,
tels que les pyramides), ne nous renseignent, lorsque
la date peut en étre fixée approximativement, que sur
le second millénaire avant J.-C. Ainsi, en définitive,
c’est au livre ou au témoignage écrit qu'il faut re-
courir, pour obtenir des notions positives.
^' Or le Livre par excellence, remontant lui-même à
une époque de 1500 à 1700 ans avant notre ere, à
éprouvé de telles vicissitudes, que la certitude qu'il
apporte n'est pas absolue et sans nuages. De ce livre
respectable, que tant de mains ont transcrit, qui, à
trois et quatre mille ans de notre époque, circulait
déjà en diverses langues, il existe trois rédactions,
: 7) V. Bibl. univ. de Gen. LXIX® a., t. XXe, mois d'aoüt 1864,
ull. scient. p. 352 sqq., les plus nouvelles découvertes paléontolo-
es Rodier, Antiquité des races humaines, 2* éd. Paris 1864.
auteur assigne 20,000 ans à l'existence des sociétés humaines,
avant Père vulgaire. Nord, 4 avril 1865: aux abords du charbonnage
je feinte-Marie ‚ faubourg de Charleroi, on a découvert, à une pro-
ndeur de 90 m., dans un terrain d’alluvion, un corps humain pé-
é, dents et chevelure intactes; ongles d'une longueur effrayante,
chargé dans la région dorsale de coquillages resplendissants, qui ont
subi la même transformation que le cadavre. Cf. Rev. Britann. févr.
1865; p. 500, une découverte d'ossements humains, antédiluviens,
sur le bord de la Lesse, province de Namur. ` idi s
... 8) Un mathématicien égyptien vient d'établir que les pyramides
remontent à l'an 3300 avant J.-C.: ses conclusions se fondent, d'une
part sur l'orientation de ces monuments, par rapport à l'étoile Si-
rius, de l'autre, sur la précession des équinoxes, qui l’a déplacée. Je
laisse aux astronomes la discussion de cette solution. -
ntanrtoa one
LCD, V
constituant des variantes inconciliables. Si l'on divise
en deux périodes les temps qu'il embrasse, celle avant
et celle aprés le déluge, on trouve pour la premiere
un écart de 935 ou 955 ans, entre la version sama-
ritaine, datant le déluge de l'an 1307, et celle des
Septante, 2242 ou 2262; de 586 ou 606 ans, entre
les mémes Septante et le texte hébreu, datant le dé-
luge de l'an 1656. Ces variantes reposent, comme on
le sait zent le nombre plus ou moins grand d'années
attribuées aux patriarches antédiluviens, avant la nais-
sance de celui de leurs fils qui entre dans la chaine
des personnages historiques, ancétres de J.-C. Comme
le dit quelque part Eusébe, la plus forte probabilité
est en faveur de la version des Septante, parce que
les réduetions opérées par les Juifs sur les dates de
paternité des patriarches antédiluviens ne tombent que
sur les sept premiers, sans que l'on puisse s'en rendre
logiquement raison, et respectent les trois derniers:
ces réductions sont donc entachées d'arbitraire.
De bonne foi, il faut convenir que, pour l'histoire
de l'humanité, ces quelques siècles antédiluviens en
plus ou en moins n'ont aucune iniportance réelle. Les
discussions auxquelles ont dà se livrer les philologues
pour constater et expliquer les variantes dont il s'agit
ne sont donc pas de nature à diminuer la foi qu'une
saine critique ne peut refuser aux récits de Moise.
Cependant, pour les temps postdiluviens, les và-
riantes ne sont ni moins considérables ni moins nom-
breuses, dans une foule de petits détails, et l'écart,
désormais trés important pour ses conséquences, est
aussi trop fort pour ne pas étre signalé: du déluge à
l'ére chrétienne le texte hébreu de la Bible ne donne
que 2348 ans, Eusébe 2956 ans, le comput de Con-
stantinople 3236 ans: écart, 918 et 310 ans, des deux
premiers calculs relativement au troisième. Toutefois
il faut faire remarquer que la plus notable partie de
cette différence tombe sur six des générations précé-
| dant Abraham, i. e. sur une époque où les points de
comparaison manquent, Où aucun peuple n’a laissé
d'histoire écrite; car les dynasties égyptiennes ne sont
pas encore éclaircies, ni les armales de la Chine suf-
fisamment démontrées authentiques. Ainsi les graves
incertitudes de la chronologie n'affectent que cette
partie de l'histoire de l'homme qui échappe au contróle.
- Il est bien digne de remarque qu'en général les
résultats fonrnis par chaque texte et ceux admis par
Bulletin de l’Académie Impériale
nm
chacun des auteurs de chronographie universelle sont
conséquents et justes in globo, quand on additionne
les grands groupes de chiffres, embrassant l'intervalle
d'un fait important à l'autre, et qu'on arrive au résul-
tat final; mais quand on veut contróler les résultats
dans tous leurs éléments, par l’addition des petites
sommes, formant les groupes isolés, il n'est pas rare
de trouver quelques années en plus ou en moins. Ainsi
Eusébe, le plus exact et le plus rigoureux deftous les
computistes, n'est pas toujours d'accord avec lui-méme,
p. ex. en ce qui concerne les rois latins, Chron. II,
29 et les Tables, ni avec Sam. d'Ani, p. 23. Notre
Mkhithar fournit aussi des exemples frappants d'incon-
séquences et de contradictions. De son cóté le savant
Ducange a déjà fait remarquer, dans sa Préface de la
Chronique pascale, les négligences ou imperfections
des calculs de détails de plusieurs chronographes by-
zantins.
Si donc de pareilles incertitudes, erreurs et contra-
dictions se révélent pour des temps comparativement
modernes”), à combien plus forte raison sont-elles
explicables pour la haute antiquité, sans que la foi au
résultat final doive en étre ébranlée chez les critiques
les moins indulgents. L'essentiel est de savoir: 1° si les
intervalles de temps admis par les computistes, les
plus longs comme les plus courts, suffisent pour ex-
pliquer la diffusion de la race humaine sur la surface
du globe; 2° si les données fournies par le Livre'sont
ou non en contradiction inconciliable avec d'autres, éga-
lement ou plus certaines. Or, quant au premier point,
il est certain: que l'intervalle de 2348 ans, donné par
le texte hébreu entre le déluge et l'ére chrétienne;
2956, calcul d’Eusöbe pour la méme époque; 3266,
ère de Constantinople, suffisent et au-delà pour rendre
raison de la propagation de l'espéce humaine lors de
l'ouverture de notre ére. L'écart de 918 et de 310
ans entre le texte hébreu et le calcul d'Eusébe, d'une
part, de l'autre relativement à l'ére de C. P. , quelque
grave qu'il soit, reste pour ainsi dire sans —— si
l'on prend en considération l'impossibilité d'apprécier
et de constater la population du globe à l'ouverture
de l'ére chrétienne. Si l'on a pu, par un simple cal-
9) Je rappellerai ici, seulement pour mémoire, les doutes qui
existent chez les historiens les plus instruits, p. ex. sur la date de
la mE oed de Rome, de la u du Sauveur et de l'initiale du
1** millénaire de l'empire de Russi
cul sur le papier, poser que, dés avant le déluge, déjà
en 714 du monde, la postérité des patriarches pouvait
s'étendre à plusieurs milliards d'hommes", il faut ad:
mettre que, durant les 24 ou 30 siècles suivants, les
hommes, tout en fournissant une moins longue exis-
tence, ont pu se multiplier jusqu'à un nombre in
préciable, dans la seconde époque de l'humanité, On
a vu et l'on voit encore, méme dans nos pays de mo-
nogamie, la tombe de tel pére de famille entourée de
plusieurs centaines de fils et d’arrière-petits-fils, jus:
qu'à la quatrième génération "). Qu'était-ce done
en Asie, dans les temps primitifs, sous le système de
la polygamie réguliére? Quant au second point, la
certitude qui résulte des données historiques n'est
pas si fragile qu'elle puisse étre ébranlée pe -
variantes de manuscrits.
On ne gagne que peu de chose en ira: gie
pour les temps les plus reculés il s’agit dans la Bible
d'années lunaires, qui ne sont que d'un trente-troisième
plus courtes que les années solaires; on tombe même
dans de ridicules conséquences en disant — sans aucun
fondement du reste — que les années de Moïse sont des
sos chaldéens, de deux mois chacun ; car dans ce cas
les 230 m^ de la paternité d'Adam se réduisent
à 38 ans, et les 162 de Iared à 27, d’après les Sep-
tante; Slapies le texte hébreu, à 21 a. 8 m., 10 a. 4m.
Et puis, à quelles minimes proportions se réduiraient
les années de paternité des personnages postdiluviens!
Le savant M. Dozy me parait avoir trop légèrement
traité l’histoire de cette époque, dans son ouvrage:
Die Israeliten zu Mekka, ... Leipzig, 18 - —
asiat. octobre — novembre 1864, p. 447. gen
Il n'est pas de notre compétence de divers si des hit
toriens bibliques ont écrit ou non sans conscience
d'eux-mémes, sous une impulsion extra-naturelle: peu
importe au point de vue de la science. La langue et
les mots dont se servent ces auteurs sont une langue
et des mots humains, signifiant là ce qu'ils signifient
dans l’usage ordinaire, mais qui doivent être lus avec
intelligence et consciencieusement analysés. ^ ^.
Aujourd'hui il n'existe aucun doute, pour les
croyants les plus soumis, non plus que pour
tiques les plus EE ét les Ve crier T :
+
10) Cod. apocr. Vet. Testam. I, 67, 8 z DOSE
11) Les deux derniers rois de Géorgie, Eréclé II et Giorgi L
avaient eu chacun 24 enfants, de trois épouses légitimes. `
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
tiquité, non encore définie toutefois, du globe terra-
queux, antérieurement à l'homme qui l'habite. De-
puis qu'au XVI" s. Bernard Palissy, en exécutant des
fouilles profondes à la recherche des argiles les plus
favorables à la création de ses belles poteries, dé-
couvrit au sein de la terre les premières médailles du
déluge, jusqu'aux savantes explorations des Cuvier,
des Elie de Beaumont, des Léopold de Buch, les
preuves de cette haute antiquité se sont fort multi-
pliées; mais déjà au IV* s. de notre ère l'habile chro-
nographe Eusébe ") dit que de son temps on avait
remarqué, sur les plus hautes montagnes du Liban
et dans des fouilles faites pour extraire des pierres à
bátir, des débris d'étres marins, qui lui avaient suggéré
des idées analogues: c'est du Livre, étudié et com-
pris différemment par ses lecteurs, que dérivent toutes
nos connaissances chronologiques avant le déluge et
jusqu'à l'ére chrétienne, avec leurs variantes. Les
détails sont discutables, le fonds reste, au- dessus de
toute atteinte.
— Cette manière savante de raisonner la foi est ex-
posée avec beaucoup de bonheur dans un excellent
ouvrage, La Cosmogonie de Moïse, comparée aux
faits géologiques, par Marcel de Serres, 3* éd., Paris,
1860, 2 v. in-18^; elle avait été soutenue au XIII” s.
par le trés savant et orthodoxe docteur arménien
Vardan, qui pose dés les premiéres lignes de son
Epitomé, p. 3, que Moise se représentait la création
sous les trois conditions: «6easpewemmoerm, 6eawbp-
HOCTH u GeawbcrHocTE, sans fixation de temps, de li-
mites ni de lieu.» Aussi M. Marcel propose-t-il de
lire les premiers mots de la Genése: «In principio
Deus creaverat coelum et terram, au commencement
Dieu avait créé le ciel et la terre.»
de crois encore devoir recommander aux personnes
qui veulent approfondir les questions de chronologie
antérieure à l'ére chrétienne et s'en rendre un compte
rigoureux, l'Essai historique et critique sur les dates
de la Bible, par Ath. Coquerel, dans: Biographie Sa-
crée, 2° éd. Paris et Genêve, 1837, 8°. Cet Essai, qui
occupe les pp. 650 — 744, a été rédigé avec parfaite
connaissance du sujet, des sources bibliques et de la
littérature exégétique, et avec une bonne foi incon-
testable dans la recherche de la vérité. Le but en est
Tu ol...
` 12) Chron. I, 130, 1. Cf. Bibl. univ. de Gen. janvier 1865, p. 159,
d’un ouvrage du Dr Luthard.
Tome VIII.
de démontrer, en citant chaque texte, en détaillant
les époques, en s'appuyant sur plus de 46 ouvrages
capitaux de haute érudition, que la Bible n'est point
un traité de chronologie, et que, dans l'état actucl
des textes originaux, il est impossible, sans combi-
naisons plus ou moins arbitraires, d'en tirer un sy-
stéme complet de toutes piéces. En tout cas, la ré-
daction des Septante, puis la traduction samaritaine,
lui paraissent préférables au texte hébreu, trop court
et souvent inconséquent. L'auteur, aprés avoir cité
et passé en revue les passages fondamentaux, admet:
Eusébe.
d'Adam au déluge a 2242.
» à Abraham.........., 3186 » au lieu de 8184; + 2
d'Abraham à l'exode 6 » » 505; + 211
de l’exode A la separation des 10
tnibueé Kë EK das lé: » 684 » »
de la séparation à la captivité de
516; + 168
» »
de la captivité à l’ère chrétienne 585 » »
5547
394;
599;
5198 +381 — 32
J'avoue n'étre pas toujours convaincu de la néces-
sité des déductions par lesquelles l'auteur a été amené
à augmenter la plupart des évaluations de l'évéque
de Césarée, en sorte qu'il a trouvé un surplus final
de 349 ans; mais je rends justice à la sagacité de sa
critique et à la parfaite clarté d'exposition dont il fait
preuve. Il est lui-méme un brillant exemple de l'inu-
tilité de chercher dans les livres historiques de la
Bible ce qui n’y est pas, une chronologie rigoureuse
et inattaquable.
Je reviens maintenant à mon sujet. Constater le
systeme chronologique suivi par Mkhithar, en cri-
tiquer les dates, rechercher les sources où il a puisé,
tel est le seul et unique but du présent écrit; car je
n'ai pas la présomption de refaire toute la chronolo-
gie depuis la création jusqu'au commencement de
Père chrétienne.
Mkhithar donc, pour les temps antédiluviens, s'in-
spire de Samouel d'Ani, c.-à-d. d'Eusébe, suit pas à
pas le chroniqueur Mikael Asori, ou du moins les
mêmes sources que celui-ci a consultées, prend har-
diment ses renseignements supplémentaires dans les
traditions rabbiniques consignées dans les livres apo-
cryphes, tels que la Vie d'Adam, le Livre d'Enoch,
la Petite-Genèse, l'Assomption de Moise, les Révéla-
tions de S. Méthode, et dans toute la collection de
ces curieuses fantaisies rabbiniques, ramassées par
26
403
Bulletin de l’Académie Impériale
Fabricius dans son Codex apocryphus veteris Testa-
menti, publié à Hambourg en 2 vol., en 1722. Bien
qu'il ne les cite jamais, on voit par les deux listes
contenues dans son livre qu'il les a lus et consultés,
et les nombreuses indications que j'en ai scrupuleu-
sement recueillies prouvent que ç'a été là une de
ses principales autorités. Pour ne rien dire de la
contre-bible de Josèphe, nous ne devons pas, nous
modernes, traiter trop dédaigneusement des traditions
et des livres dont les apótres n'ont pas craint de faire
usage dans leurs écrits. S.-Pierre, S.-Paul, S.-Jude,
ont emprunté des passages aux livres d'Hénoch, d'Elie,
aux Révélations de Jérémie, et les péres des premiers
siécles de l'église en citent également plusieurs. Syn-
celle, au VIII’ s., a pris à pleines mains dans la Petite-
Genése et autres écrits analogues à celui-là. Il faut
bien admettre qu'au temps du Bas Empire les écrits
dont il s'agit jouissaient d'un certain crédit, puisque,
outre les Byzantins, les historiens de l'Arménie en
ont tant profité, et qu'encore aux XII? et XIIT^ s
Aboulfaradj et Mikael Asori ont sans hésiter farci leurs
histoires de ces traditions.
Comme Samouel et Eusébe, Mkhithar enrégistre les
notices fournies spécialement par le texte des Septante
sur les dix premiers patriarches; afin de compléter,
suivant son plan, énoncé dans l'Introduction, les ré-
cits de Moïse, il donne les noms des femmes des pa-
triarches, inconnues à l'historien sacré; il le fait, à
ce qu'il semble, d'aprés Samouel d'Ani, non sans
. quelques variantes, car les Rabbinistes se sont permis
à ce sujet d'innombrables licences; mais d'oà Samouel
d'Ani s'est-il renseigné à ce sujet, c'est ce iR je n'ai
pas toujours réussi à découvrir.
L’äge des dix patriarches antédiluviens, lors de leur
paternité, et conséquemment l'année mondaine qui y
répond, ne sont pas toujours donnés par Mkhithar en
conformité avec Eusébe; en outre, soit l'auteur, soit
celui qui a joint à son livre les caleuls chronologiques,
n'ont pas toujours établi correctement la concordance
entre le chiffre du texte et l'ére mondaine inscrite en
marge, et malheureusement l'éditeur de Moscou, sans
doute par suite du peu d'importance qu'il attachait à
un travail si défectueux, n'a fait à cet égard aucun
effort de critique. Il parait avoir Së eng Ier
duit son manuscrit tel qu'il était. >
Ainsi, bien que le chiffre final de la es ante-
diluvienne soit en réalité, d’après les dates partielles
du texte de Mkhithar, l'an 2262 d. m., porté au Ré-
sumé, en marge on lit 2242: chaque date est appuyée
de quelque bonne. autorité, l'ensemble manque de
conséquence. Ainsi encore cette différence de 20 ans,
qui devrait se faire sentir dans tout l'ouvrage, m'a
aucune influence sur les dates postérieures, et méme
en ajoutant ces 20 ans au résumé général, pour ob-
tenir la date eusébienne de la naissance de J.-Q,,
5198 d. m., on n'arrive encore quà 5194. —— 8,
Cela étant, on se demande si les dates de l'ére mon-
daine inscrites à la marge chez Mkhithar, méme dans
le manuscrit de l'Académie, de beaucoup supérieur à
l'imprimé, sont bien le produit du travail du chrono-
graphe arménien, ou si elles ont été calculées par
d'autres et successivement modifiées par les copistes,
Prenant en considération les variantes des manuscrits
originaux de la Bible, la derniére supposition me pa-
rait étre la vérité. Ze
Pour entrer maintenant dans le détail; avant le
déluge il n’y a guère entre les manuscrits des Sep-
tante qu'un écart important, de 20 années: 2262;
date du déluge admise par Jules-Africain, 2242 chez
Eusèbe ; dans son texte, Mkhithar suit la premiere
leçon; en marge et dans le résumé du manuscrit de
l'Académie, on trouve la seconde. ovy ar
Pour les temps postérieurs, Mkhithar suit pas à
pas Eusèbe dans l'exposition des générations et de la
série des personnages historiques, omet comme lui
la génération de Cainan, fils d’Arphaxad, et les 111
ans de domination étrangère en Judée; mais d'abord;
au lieu de l'ére d'Abraham, cette heureuse invention
d'Eusébe, il se borne constamment aux années du
monde; parfois aussi les dates de paternité des pa-
inmtebes offrent de légères variantes, celles de l'ére
mondaine des fautes de réduction et une non-confor-
mité avec les déterminations du chronographe se
Césarée. Be;
Par ex. il place & tort Sr ie au lieu d'Aloros,
parmi les rois Cainides antédiluviens; il omet 4 aus
de l'ére mondaine de la génération d’ Arphaxad; fixe
arbitrairement la construction de la tour de Babel,
diminue de 2 ans la génération de Ragav, attribué
3 ans de règne aux rois de Judas Ioakim et Ioachaz ete. —
En ce qui touche l'histoire profane, notre auteur
allégue souvent des faits dont les témoignages: print
405
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
tifs n’ont pas été retrouvés, anticipe ou recule des
synchronismes, sans raison connue ni appréciable.
Dar ex. il nous dit que, lorsqu'on le portait au tom-
beau, Jacob leva la téte et salua une colonne bénie;
il dit, d’après le philosophe inconnu Apolim, que Moise
inventa un nouvel alphabet, de 22 lettres; il place
Dédale quatre siècles plus haut que l'époque qui lui
est vulgairement assignée; il parle, en 3768 du monde,
d'un certain Philatos ou Philartos, qui. a décrit les
moeurs de tous les étres vivants: ne serait-ce pas,
sauf l'anachronisme, Paléphate, trés souvent cité par
Eusèbe, à propos de différentes traditions mytholo-
giques?. Il parle d'une fille de Jephté, nommé Eligi,
que ce personnage «regardait comme sa croix ;» il
mentionne un juge Emagar en 4107 d. m., dont ne
parle point la Bible, et qui parait n'avoir d'analogue
que dans l'Hypommesticum de Josèphe, auteur chré-
tien, de la fin du VII s.; sous l'année 4680, il nous ap-
prend que le nom d' Esther signifie «la Petite-Source y...
^; Aprés Salomon le défaut d'exactitude dans les dates
mondaines est encore plus sensible, parce que l'auteur
a perdu. de vue que le synchronisme de ce prince
n’embrasse que les quatre premières années de son
règne, ce qui constitue un écart fondamental de 36
années, qui ne reste pas constamment le méme dans
les synchronismes subséquents: d'ailleurs ici les fautes
de caleul sont évidentes et palpables. .
Pour les 13 générations postérieures à la captivité,
Mkhithar n'a fait que copier les dates de paternité
fournies par Samouel d'Ani, p. 12, qui ne peut pas
s avoir imaginées de sa propre autorité, et les a
puisées dans une source restée pour moi inconnue.
Toutefois, en copiant son modèle, notre auteur a ou-
blié que chacun de ces synchronismes s'arréte à la
première année de la génération indiquée, au lieu de
lembrasser tout entière, comme cela a lieu jusqu'à
Ja construction du temple par Salomon; en outre, son
oeil. s'étant. fourvoyé, il a transposé les indications
d’un personnage à l'autre, et calculé à tort et à tra-
wers les années de l'ére mondaine. Ia encore fixé à
4l ans, Dieu sait d’après quelle autorité, l’âge de
Joseph lors de la naissance du Sauveur, et se trou- |
vant par son calcul éloigné de 118 ans du chiffre
4'Eusóbe, il 3 mis à tout hazard la date 5198 devant
d'événement qui termine sa II Partie.
Ainsi, en somme, Mkhithar ne sera point une ai-
torité, pas plus que la chronique de Nicéphore et
d'autres du méme genre, que l'on consulte et cite
cependant, à titre de renseignements; il n'est remar-
quable que par quelques faits nouveaux ou peu connus,
et par les fautes que la critique y fait découvrir; en-
fin, s'il a erré, ce qui est indubitable, n'oublions pas
qu'il s'agit d'un écrivain de la fin du XIII’ s., dont il
fallait simplement déterminer la valeur dans la litté-
rature de son pays.
Rendons compte maintenant de la III” et dernière
partie de l'Histoire chronologique de Mkhithar.
Cette partie renferme, un intervalle de 1289 ans,
depuis la naissance de J.-C. jusqu'à l'année op fut
mis à mort par Arghoun- Khan le roi de Géorgie Di-
mitri II, le Dévoué, et un peu plus de 400 faits, soit,
comme il le dit lui-méme dans son épilogue, «un sur
mille, deux sur une myriade,» ou exactement un fait
pour un peu plus de trois années. En lisant, pour
l'exécution de son plan, les ouvrages historiques, il
n'a noté que les événements qui, pour une raison
quelconque, lui ont paru mériter une attention parti-
culière et formé de la sorte son mince recueil.
Pour caractériser ce travail nous devons examiner:
1° les faits réunis; 2° le système d’après lequel ils
sont rangés, 3° la chronologie ou les dates qui leur
sont assignées.
Si notre auteur, comme il s'exprime dans une courte
Introduction, avait purement et simplement en vue son
pays, il devait choisir les points saillants de l'histoire
des Arsacides arméniens jusqu'en 428, époque où ils
ont été anéantis, de celle des Sassanides et des em-
pereurs grecs en contact avec l'Arménie jusqu'au
milieu du V* s., puis indiquer les faits et gestes des
gouverneurs perses, des osticans. musulmans, ayant
remplacé les monarques arsacides, des premiers gou-
verneurs de la race des Bagratides et des Mamico-
nians, et ainsi de suite jusqu'à la fondation du royaume
de Cilicie et à l'époque mongole: le tout, entremélé
de synchronismes tirés de l'histoire des contrées limi-
trophes de l'Arménie et ayant eu quelque influence
sur ses destinées. rue qb nm
Au lieu de cela, dans l'espace de 551 ans jusqu'à
la réforme du calendrier arménien, à-peine est il fait
mention une vingtaine de fois de personnages pure-
ment arméniens ou ayant agi sur l'Arménie ; l’ex-
tinction des Arsacides est à-peine mentionnée en son
iction des Arsacides >
407
Bulletin de l’Académie Impériale
lieu; des gouverneurs perses, pas un mot, un seul
catholicos est nommé. Seulement dans la suite l’au-
teur revient un peu plus fréquemment à l’histoire ar-
ménienne. Pourquoi cela? parce que chez les histo-
riens qu'il a lus l'Arménie est pour ainsi dire passée
sous silence, dans le cours des premiers siècles du
christianisme.
On conçoit l'utilité de recueils, tels par exemple
que la bonne Chronique du patriarche Nicéphore et
les Dates de Wakhoucht, nommés dans la littérature
historique Regesta: sous une année donnée les évé-
nements contemporains sont transcrits les uns après
les autres, parfois péle-méle et sans ordre. C'est au
lecteur curieux de chercher les dates réelles et posi-
tives, de mois et de jour, par conséquent l'ordre dans
lequel les faits se sont accomplis: on obtient alors
des livres dans le genre de l'utile Chronographie by-
zantine de M. Muralt, de la bonne Chronographie
russo-livonienne de M. Bonnell, et quand les sources
sont indiquées soigneusement, comme chez les deux
habiles compilateurs que j'ai nommés, ces sortes de
livres s'élévent à la hauteur de vrais manuels histo-
riques.
Loin de là, Mkhithar nous offre un fouillis de faits se
suivant non chronologiquement, mais au fur-à-mesure
qu'il les a notés, souvent par anticipation, ou à des
dates postérieures, à de trés longs intervalles, d'abord
irréguliers, puis de 20, puis enfin assez réguliérement
de dix ans, dans les dernières pages de son livre; il
ne parait pas avoir eu conscience de la distance qui
sépare les événements, en sorte qu'il ne les a pas
méme distribués dans l'ordre réciproque des temps,.
et les dates marquées au commencement de chaque
synchronisme, décennal ou moindre, sont généralenient
si peu exactes qu'on ne saurait y avoir confiance sans
les soumettre à un examen critique détaillé.
Une circonstance particulière porte à croire que
les dates si clair-semées dont nous parlons ne sont
pas de la main de Mkhithar lui-même; car dans l’im-
primé ce sont partout seulement des dates chrétiennes,
méme depuis l'an 552, donné là comme initiale du
comput arménien; or on sait que les notations de
Père de l'incarnation sont exceptionnelles, sur les
monuments et dans les livres arméniens, oü il serait
facile de les compter, depuis la 2° moitié du VI° s.,
tandis que le manuscrit de l'Académie, qui place plus
`
exactement l'ouverture de l'ére arménienne en 553
— soit 551 — continue jusqu'à la fin à ne donner
que les dates arméniennes, qui ont plus de chance
d'étre originales. BETEN
On se demande donc avec raison, si c'est Mkhithat
ou quelqu'un de ses lecteurs, anciens ou modernes,
qui a calculé et écrit les dates de son recueil; mais
que ce soit lui ou un autre, il est certain rini
en rencontre-t-on chez lui une douzaine concordant
avec les chiffres critiqués et admis par les historiens.
On y trouve, au contraire, de fréquents et affreux ana-
chronismes, dont voici quelques exemples tirés des
premieres pages. Il met Galien le médecin, né en
131 de J.-C., au méme temps que le philosophe juif
Philon, antérieur de plus de 100 ans; il rapporte l'in-
vention des reliques de S.-Etienne Protomartyr aprés
l'an 410, bien que Mikael Asori raconte le fait sous
le régne de Théodose-le-Grand, donc avant l'an 395;
notre manuscrit place le concile écuménique d'Ephése
en 438, comme Samouel d'Ani, au lieu de 431, et le
eoticilidiulg de la méme ville en 460, encore comme
Samouel d’Ani, en 462, tandis que l'imprimé donne
la vraie date 449; il raeonte la construction de la
ville de Carin, Erzroum ou Théodosiopolis, sous l'an
452 — Samouel d'Ani, en 444,— tandis que l'histoire
byzantine donne le fait en 416, S.-Martin en 415;comme
Samouel d'Ani, il place le concile écuménique de Chal-
cédoine en 472, au lieu de 451; il mentionne sous
l'an 500 l'évéque de Nisibe Barsoma, célébre pour
ses cruautés contre les chrétiens non monophysites,
tandis que ce sectaire est de la seconde moitié du
V* s.; enfin, car il faut s'arréter, il raconte le mas-
sacre des chrétiens homérites de Négra aprés l'an 565,
tandis que ce fait est de l'an 523, 4, du temps de
l’empereur Justin 1°. Il serait siio de multiplier
les citations. nee
An milieu de ce fatris j'ai Be eet un fait
intéressant, l'indication d'un premier concile de Ni-
cée, où fat condamné Sabellius, en la 21* année de
l'empereur Adrien, 138 de J.-C. Ce concile, dont
parle aussi Aboulfaradj, dans sa Chronique s;
a été omis dans la liste si riche de sens de vérifier
les dates. qoem
La rareté des dates, chez Mkhithar, x^ en quelque
facon s'expliquer. Il parait, par la nature et par l'ordre
des faits qu'il a recueillis, et par les termes méme
^
dans lesquels il les expose, qu'il a principalement
puisé chez Mikael Asori, écrivain syrien du XII’ s.,
dont l'ouvrage fut traduit en arménien presque sous
les yeux de l'auteur et n'existe plus qu'en cette lan-
gue; chez celui-ci les dates sont rares également, fort
peu concordantes avec celles des Byzantins et jamais
avec celles de l'ére arménienne, qu'il cite générale-
ment à faux, lui ou son traducteur; quand Mikael a
attaché un chiffre quelconque à un fait majeur, il for-
mule les suivants par les termes: dans ce temps-là,
aux jours de tel personnage, au méme temps, un an,
deux ou trois ans aprés. Mkhithar ou ses lecteurs,
n'en sachant pas plus long, ont omis le chiffre prin-
cipal, qu'il fallait réduire d’après l'ére syrienne, et
conservé, quoique non toujours, l'ordre des synchro-
nismes. i
— D'ailleurs, quel est le caractère dominant du re-
cueil de Mkhithar? Au soin avec lequel l’auteur en-
régistre dans la première moitié de sa UI Partie les
noms des personnages syriens les plus célèbres, les
faits intéressant spécialement Edesse, Antioche et les
localités du vaste diocèse des maphrians, on sent que
son travail respire quelque chose de jacobite; qui
sait même, si ce n’est pas la simple traduction d’une
chronique syriaque, aujourd'hui perdue? Sans que
l'on en voie la raison, chez un auteur arménien, qui
veut traiter spécialement l'histoire de son pays,
Jacques d'Edesse, Barsam, Barsoma, Jacques de
Sroudj, Jacques fils de Bar Salib, et autres coryphées
du monophysitisme sont mentionnés coup sur coup
chez Mkhithar, avec les éloges ou le blàme qu'ils mé-
ritent, comme coréligionaires ou adversaires de l’écri-
vain. C'est aux conseils de M. Pétermann, de Berlin,
que je dois d'avoir dirigé dans ce sens mes recherches.
Pour acquérir donc des notions précises, en suivant
ce filon, j'ai parcouru en entier, outre les Tableaux
chronologiques de Samouel d'Ani, la Chronique sy-
riaque d’Aboulfaradj ") et la Biblioth. orientale d’As-
Sémani ; là les chroniques de Zacharia, celles de lano-
nyme d'Ephése, de Jean d'Asie, de Denys de Telma-
har et les riches notes du savant Maronite m'ont fourni
une ample moisson. En dernier lieu j'ai lu rapide-
` 13) Toutefois Aboulfaradj étant mort en 1286, il est presque im-
sible que Mkhithar ait eu connaissance de son travail, mais cer-
Nt en les deux ont puisé aux mémes sources, et en tout cas
Mkhithar nomme l'ouvrage du patriarche syrien à la dernière place
EU rer ARE ele
ment la précieuse Histoire de Mikael Asori. Ainsi
plus des deux tiers des événements enrégistrés par
Mkhithar se sont retrouvés dans les ouvrages sus-
mentionnés et surtout chez le patriarche syrien, qui
est comme le fonds, le prototype du recueil; pour les
autres, ainsi que pour les véritables dates des événe-
ments, c’est aux sources purement arméniennes, ainsi
qu'à l’histoire byzantine, que j'ai dà avoir recours.
Quant aux faits très peu nombreux, dont je n’ai
rien dit, ou je n’ai pas réussi à les retrouver dans les
sources, ou je les ai jugés suffisamment connus pour
que le lecteur puisse en déterminer l’époque. Dans
le premier cas je reconnais mon impuissance; dans le
second, j’espere que le lecteur ne me saura pas mau-
vais gré de ne m'être pas acharné à grossir démesu-
röment un travail déjà plus considérable que ne le
mérite l'oeuvre de Mkhithar.
Sans doute tous les faits ont une égale importance
scientifique, si non politique: un tremblement, une
inondation, une comète, un petit phénomène ou une
simple singularité historique, bien constatés chrono-
logiquement, sont des repères aussi utiles que la prise
d'une puissante forteresse, la mort d'un personnage
célèbre; mais je n'ai pas toujours été libre du choix,
entre avouer mon ignorance ou m'étendre sur des
faits vaguement indiqués.
A l'égard de la chronologie je n'ai guère été moins
embarassé que dans les deux premieres parties, ren-
fermant les faits bibliques. D'abord, comme notre au-
teur suit le système d'Eusóbe, faisant naître J.-C.
deux ans avant l'ére vulgaire, on peut déjà conclure
à priori que ses dates, du moins aux premiers siècles;
soit dans l'imprimé, soit dans le manuscrit de l'Aca-
démie, doivent étre en désaccord d'autant sur la chro-
nologie admise chez les Byzantins et chez les occi-
dentaux. |
Ensuite Mkhithar ayant puisé la majeure partie de
ses matériaux chez les auteurs syriens, qui font usage
de l'ére des Grecs ou plutôt des Séleucides, il faut
savoir comment ses modèles eux-mêmes entendaient
l'usage de cette ère, et ce n'est pas une mince diffi-
culté. L'habile critique M. Saint-Martin ayant consa-
cré une de ses meilleures dissertations à de Nouvelles
recherches sur l'époque de ba mort d' Alexandre, voici
ce que j'ai tiré de ce travail; qui a fait autorité lors
| de son apparition, en 1820:
411
Bulletin de l'Académie Impériale
Suivant Eusèbe, Alexandre mourut en la 1™° année
de la 114* olympiade, 1692 dequis la vocation d'A-
braham, soit 322 ou plutót 324 avant J.-C.; d'aprés
lui encore, les livres des Machabées font commencer
le régne ou l'ére des Grecs dix ans plus tard, en 1702
d'Abraham, soit 312 ou plutót 314 avant J.-C.; mais
l'opinion générale place le commencement de l'ére | et,
des Séleucides à l'avénement de Séleucus Nicanor,
en 1704 d'Abraham, qui est réellement l'an 312:
c’est ce Séleucus qui a donné son nom à l'ére dont
il s'agit. j
Or M. $.- Martin a démontré clairement dans ses
Nouvelles recherches, p. 3, 9, 53, qu'Alexandre mou-
rut le 22 juin de l'an 324 avant J.-C., et que cette
mort est l'initiale d'une ére, dite d'Alexandre, anté-
rieure de 12 ans à celle des Séleucides, avec laquelle
elle est souvent confondue. Plus loin cependant, p.
44, le savant francais énonce comme établi le fait
«que l'ére des Séleucides s'ouvre réellement en 311;
qu'il n'en exista jamais d'autre dans l'antiquité, et
que celle qui remonte à 312 a été produite par une
réforme faite dans la Syrie romaine, et dont le résul-
tat fut de donner pour commencement à cette ére
une époque julienne, pour un temps antérieur de prés
de trois siècles à la réforme de Jules César. C’est de
la seule et véritable ére des Séleucides que se servent
les auteurs du livre des Machabées, en la subordon-
nant cependant à la forme des années juives.»
Les auteurs de l'Art de vérifier les dates ne sont.
pas tout-à-fait de cet avis. Suivant eux l’ère dite
d'Alexandre s'ouvre en 324 avant J.-C., sous Philippe
Aridée, aussitôt aprés la mort du conquérant macé-
donien; mais celle des Séleucides, dite aussi des Sy-
riens et, chez les Juifs, des contrats, court 311 ans
et 4 mois pleins avant J.-C.: elle appartient done,
évidemment à l'an 312 pour les quatre premiers mois,
en sorte que, s'il s'agit de faits dont le mois et le
jour ne sont pas connus, cela est suffisant pour faire
admettre cette dernière initiale. Le plus embarassant,
c'est qu'il existe des documents prouvant que certains
prennent le mois de septembre et d'autres le mois
d'octobre comme ouverture de l'année, ce qui peut
souvent donner la différence d'une année entre des
faits accomplis à un seul mois d'intervalle.
^ De leur côté les écrivains syriens ont adopté un
Système différent, et pour ainsi dire chacun le sien.
se |
Aboulfaradj, dans la partie de sa Chronique syriaque
antérieure à l'ére chrétienne, n'a pas suivi les suppu-
tations d'Eusébe et n'est pas toujours conséquent avec
lui-même. Ainsi, à la p. 15, il compte d'Adam à la
mort de Moise 3851 ans: dans ce compte sont com-
pris 122 ans de la génération du 2° Cainan; qu'Eusebe
d’après lui, notre Mkhithar n'admettent pas,
puisque suivant lui la mort de Moïse eut lieu en 3729
d. m., soit 122 ans plus tôt. P. 11, la 40° a. dela
promesse faite à Abraham tombe environ lan 3300
du monde. Il faudrait pour étre conséquent 3346:
c’est donc une irrégularité, résultant du mot vague
environ. P. 28, de la première construction à larve
destruction du temple de Salomon..
d'Adam à la ruine du temple......
du 1** temple à sa restauration ....
525 a. Eus. 442 a. écart, 88 2
4516 a. » 4612 a f
508a. » 19 a. » 4a
Quant à l'ére grecque ou wi Séleucides, Aboulfaradj
dit, p. 39, qu’elle s’ouvre 12 ans après la mort d’A-
lexandre, au règne de Séleucus, et, p. 48, que la nais-
sance de J.-C. tomba en 309 de cette ère; mais il
ajoute, et bien avec raison, que tout le monde n’est
pas d’accord à ce sujet. u
Voici encore une date incohérente: cet auteur dit
p. 99, que la 12* année de l'empereur Héraclius coin-
cida avec l'an 6130 du monde, 933 de l'ére des Sé-
leucides, 604 de J.-C.; or Héraclius étant monté sur
le tróne en octobre 610, sa 12^ année fut 622 de l'ére
chrétienne; puis, si Pon retranche 622 de l'ère du
monde indiquée, on a pour reste 5508, Gre de Con-
stantinople, qui n’est pas celle admise par Aboulfa-
radj; si enfin de Père des Séleucides on retranche,
‘d’après lui, 309, on a 624 et non 604 pour l'année
chrétienne; si l'on retranche 622, on a 311 pour Pan-
née grecque de la naissance de J.-C. En un mot, ces
trois dates ne concordent pas entre elles, ni droit
que l'on sait d'ailleurs. Pour éviter d'inutiles discus
sions le traducteur du livre d'Aboulfaradj a généra-
lement réduit son ère grecque à l’année chrétienne
par l'initiale 311, sans faire attention ài ce ime
teur a dit à la p. 39. (Pb -
L'auteur de la Chronique d'Edesse vit Le même
système chronologique qu'Aboulfaradj. Cette mince
chronique, qui depuis J.-C. n'est presque qu'une
liste des évéques d'Edesse, et qui s'étend entre les
années 180 et 850 des Grecs, 131 avant, i
J.-C., affirme la naissance du Sauveur en 309; 1
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Assémani, Bibl. or. I, 387, prouve par l’analyse de
plusieurs dates qu’en réalité c’est l’année 311. L’au-
teur, quel qu'il soit, a indiqué inexactement la date
des deux conciles d'Ephése: pour le premier, en 744
des Grecs, qu'Assémani a remplacé avec raison par
742, comme il se voit chez Aboulfaradj, op. cit., an-
née correspondant précisément à 431 de J.-C.; pour
le second, en 756 des Grecs, qu'il faut nécessairement
corriger en 760—449 de J.-C., encore ces deux dates
ne deviennent-elles justes qu'en les réduisant, comme
lindique Assémani, par l'initiale 311. Evidemment
cette manière de calculer tient par le fond au système
d'Eusébe.
"Un autre auteur syrien, Jean, évéque d'Asie, dans
son Histoire, qui embrasse l'époque de Théodose II à
la fin du règne de Justin-le-Jeune, parait avoir fait
usage d'une ére grecque postérieure de 10 ans à celle
généralement, employée. Mais la variante remarquée
par Assémani n'est peut-étre qu'une erreur échappée
à l'érivain ou au copiste. Au reste, il faut le dire,
les chroniqueurs syriens ne se distinguent pas par
une exactitude rigoureuse, soit qu'ils n'aient pas eu
. des idées bien nettes sur la chronologie, soit qu'ils
taient pas su réduire les années d'un système à celles
d'un autre, soit enfin qu'ils aient copié parfois sans
critique ce qu'ils trouvaient dans les sources anté-
Heures... ; |
— Le patriarche monophysite Denys, de Telmahar,
qui florissait vers la fin du VIII s., a écrit une his-
toire de 6000 ans, depuis la création jusqu'à l'an 775
de J.-C., que l'on trouve tantót compléte, tantót abré-
gée, et qui peut-être, sous la dernière forme, aura
fourni la plupart des matériauxde l’ouvrage de Mkhi-
thar. Il place, comme Eusèbe, le déluge en 2242, la
vocation d'Abraham 942 ans après, mais il compte
2016 jusqu'à J.-C., au lieu de 2014, et fait naître
le Sauveur en 5200 du monde, 309 de l’ère grecque.
Assémani, II, 101, fait voir ayec raison la fausseté
et l'ineonséquence de ce système, ainsi que les nom-
breuses incohérences qui échappent à l'auteur. Toute-
fois. cette chronique est riche en faits des histoires
byzantine et musulmane, et en détails qui ne se trou-
vent pas ailleurs. ` Jd. denne
"Jacques d'Edesse, nommé Denys depuis son éléva-
tion à l'épiscopat, auteur de la seconde moitié du
XII s., place la naissance de J.-C. au 25 décembre
de l'an 309 des Grecs. |
Enfin le patriarche Mikael Asori, qui mourut en
1199, est de tous Jes chroniqueurs syriens celui dont
le système chronologique est le plus embrouillé. Evi-
demment celui-là est un demi-sceptique, qui ne croyait
pas à toutes les merveilles qu’il raconte d’un ton assez
ironique, et d’ailleurs il n’avait aucune idée précise
de l'ouverture de l'ère qu'il nomme des Syriens, ni de
sa concordance avec les calculs chronologiques des
Grecs de Byzance et d'Alexandrie, encore moins avec
les années arméniennes et avec celles de l'Hégyre.
Quelque grande que soit la valeur de sa Chronique,
comme recueil de faits, on ne peut en lire une seule
page autrement que la plume à la main, pour vérifier
et contrôler chaque date. Cet ouvrage, traduit en ar-
ménien, probablement peu de temps après la mort de
l'auteur, et n'existant plus qu'en cette langue, s'étend
de la création à l'an 1224 de J.-C., ce qui fait croire:
avec juste raison qu'au moins les derniers 25 ans sont
une addition du traducteur. Le Musée asiatique en
possede deux manuscrits sans date: l'un, tout moderne,
offert en don par S. E. le baron de Hahn, en 1838,
l'autre, ancien, mais «optimae notae,» acquis en 1861,
et contenant en outre un curieux traité du Sacerdoce,
la Chronique de Samouel d' Ani, incomplete, et la Lettre
d'alliance entre Constantin et le roi Trdat. Une tra-
duction latine en avait été faite par l'honorable M.
Nazariants, professeur attaché maintenant à l'Institut
Lazaref, à Moscou, et est restée manuscrite, pour des
causes inconnues; une autre, en francais, aujourd'hui
achevée, par M. Langlois, qui espere en commencer
bientót l'impression. Ce sera un magnifique cadeau
pour les savants s'occupant d'histoire orientale. Mais
déjà, en 1848, M. Dulaurier en a publié une notice
et un long extrait, renfermant les années 573—717
de J.-C. Je n'ai done pas besoin d'en donner iei une
critique ex-professo, à laquelle le savant francais s'est
livré avec l'exactitude qui le distingue, puisque j'ai
fait usage de ses notes dans celles que j'ai jointes à
la Chronique de Mkhithar, mais j'attirerai l'attention
du lecteur sur quelques détails. Les inconséquences,
soit de notre auteur, soit de ses copistes, sont telle-
ment graves et nombreuses, qu'avant de procéder à
un examen soigné et complet du livre dont je parle,
il faudrait en établir le texte, ce qui n'est pas fait, et
415
Bulletin de l’Académie Impériale
ne peut être exécuté à propos d’une notice du genre
de celle-ci.
Mikael donc nous dit, f. 17 V^ du second manuscrit
de l'Académie, que j'emploierai habituellement, que
l'ére syrienne commenca 12 ans aprés la mort d'A-
lexandre, sous Séleucus; f. 20, que J.-C. naquit en
la 43° a. d'Auguste, 5198 depuis Adam; f. 22, qu'il
fut baptisé en 5537 du monde, 338 des Syriens, 15°
a. de Tibére. Comme donc cette année 338 est la 29*
de l'ére chrétienne, d'aprés son systéme, en sous-
trayant de là 29, on obtient 309 pour date syrienne
de la naissance de J.-C., que l'auteur n'a point for-
mulée d'ailleurs. Toutefois, f. 19 V* il s'exprime moins
exactement. «En la 6° a. de Ptolémée- Alexandre, dit-
il, les rois d'Asie et de Syrie cessent de régner et
tombent sous le pouvoir des Romains; c'était l'an
5072 depuis Adam; ils avaient régné 216 ans de-
puis la mort d'Alexandre, et il restait 124 ans jus-
qu'à J.-C.: ceci donnerait donc 340 ans entre
Alexandre -le - Grand et J.-C. et 5196 de la créa-
tion à l'ére chrétienne; tandis que, suivant Eusébe,
le régne des Séleucides se termina réellement en la
6° a. de Ptolémée- Alexandre, l'an 1928 d'Abraham,
9112 du monde, 86 ans avant J.-C. Il place en 475
syr. —Ü de Marc-Auréle, donc, suivant son
système, en 159 de J.-C., au lieu de 161, ce qui donne
314 pour initiale. On obtient le méme résultat, qui
pourtant est faux, en soustrayant de 475 161, date |
réelle de l'avénement de Marc-Aurèle. L'auteur fixe
le concile écuménique d'Ephése en 742 Rep, zët
de Théodose-le-Jeune, ce qui donne 433 de J.-C. au
lieu de 431, et l'initiale 309, tandis que l’année du
règne de Théodose nous amène à l’an 429. L’année
ryrienne 769, de la mort de Marcien, donne par la
soustraction de 457, vraie date chrétienne, l'initiale
312. L'année syrienne 594, où Mikael fait commencer
l'ére de Dioclétien ou des Martyrs, donne par la Sous-
traction de 284, date chrétienne, l'initiale 310; le
concile de Nicée, en 5833 du monde, 20° année de
Constantin, fournit la date 5508 pour la naissance de
J.-C. et 326 pour l'année chrétienne; f. 34 V° celle
du concile d’Ephöse, en 742 syr., 423 de J.-C., qui
est fautive, donne l'initiale 309; f. 67 V° Mikael parle
d'un concile de Manazkert, tenu suivant lui en 1037
syr., 166 ou 137 de l'ére arménienne; f. 70 la mort
de l'empereur — est tiótée en 1140 syr.,
Ee.
qui donne 829 de J.-C., et 256 arm., qui serait 807:]
concordance est mauvaise, mais la date syrienne est
bonne. Tout cela prouve suffisamment ce que j'ai dit
de l'imperfection des notations chronologiques de Mi-
kael. Heureusement, aprés l'an 1494 syr., 1181 de
J.-C., c’est-à-dire dans les 20 dernières pages de sa
chronique, il ne fait plus usage que de l'ére armé-
nienne, et cela exactement, à deux ans prés. Il se
pourrait bien que ses méprises à cet égard ne fussent
pas de son fait, mais l'oeuvre de son traducteur, igno-
rant le mécanisme de l'ére syrienne. Je recommande-
rai surtout aux curieux, qui voudront se faire une
juste idée du genre d'érudition de Mikael, sa tirade
sur les origines de la ville d'Edesse et sur la signifi-
cation de ses divers noms, Owrho, qui en syriaque
signifie village, comme par exemple dans le nom Ou-
richlem — Jérusalem — village de la i. Edessia,
qui, en macédonien, signifie «j’ai aimé.
Comme je me suis proposé dans ce ur non de
critiquer toutes les indications recueillies par Mkhi-
thar, non de préciser celles qui sont trop vagues, en-
core moins de ne fournir moi- méme que des dates
exactes, mais seulement de vérifier et contróler les
sources et les faits assignés, je me contente de faire
connaître à chaque S la littérature principale de chaque
événement et les lieux où le lecteur pourra se Ten
seigner.
Si les critiques et spécialement les arménistes ap-
prouvent mon plan et reconnaissent qu'il a été exé-
cuté d'une manière profitable pour la science, je se
rai suffisamment récompensé de mes efforts. nm
IO
Physiologische Beobachtungen am Herzen des
Flusskrebses, von A. Brandt, Stud. med. lp
le 20 avril 1865).
Der Zweck dieses kleinen Aufsatzes besteht m
die Aufmerksamkeit der Physiologen und Histologen
auf ein Organ zu lenken, welches bisher von i
wenig beachtet wurde. Es scheint mir die schon an
sich interessante, genauere Untersuchung des
herzens auch Manches für die Lósung der Frage über
die Natur der rhythmisch-automatischen puer
gen zu versprechen. — Nachstehende fragmentari
sche Beobachtungen verdienen nur als kleine vun
beiten am Krebsherzen bezeichnet zu werden, da das
417
des Sciences de Saint- Petersbourg.
418
wenige Positive, was sie enthalten, sich nur auf den
Einfluss einiger physikalischer und chemischer Agen-
tien auf das Krebsherz bezieht.
Was die Litteratur des hier behandelten Gegen-
standes betrifft, so sind mir nur zwei hierher gehörige
Abhandlungen bekannt geworden:
1) Dr. Carl Gustav Carus, Von den äussern Le-
bensbedingungen der weiss - und kaltblütigen
Thiere. Leipzig, Gerhard Fleischer, 1824. 4. (Bei-
lage N° 2: Üb. Herzschlag und Blut der Wein-
— bergschnecke u. des Flusskrebses. S. 72.)
2) E. H. Weber, Üb. Ed. Weber's Entdeckungen
— jn d. Lehre v. d. Muskelcontraction. Müll. Ar-
chiv f. Anat. u. Phys. 1846. S. 504.
A. Zur Innervation des Krebsherzens,
Nervenganglien, welche von der Mehrzahl der Phy-
siologen für eine conditio sine qua non der automati-
schen Herzthütigkeit gehalten werden, sind, so viel
mir bekannt, im Krebsherzen noch von Niemanden
gefunden worden. F. Jarshinski, Stud. der hiesigen
Universität, hat unter der gütigen Leitung des Hrn.
Akademikers, Prof. Owsjannikow mehrere Wochen
lang eigens nach solchen Ganglien gesucht; doch
sind ihm, obgleich er seine Zuflucht zu den verschie-
densten Präparirmethoden genommen hatte, keine
Nervenzellen zu Gesichte gekommen. Trotz dem wäre
es übereilt, wollte ich hier von Neuem an vergleichend-
anatomische und physiologische Thatsachen erin-
nern, welche die Ursache der rhythmischen Thätig-
keit in die Muskelfasern selbst versetzen dürften, da
man vor der Hand noch nicht berechtigt ist die Exi-
stenz von Nervencentern im Krebsherzen zu leugnen.
Fragt man nach.dem Ursprung der äussern Nerven
des Krebsherzens, so lässt sich, meines Wissens, auch
darauf nichts Positives antworten, so dass man auf|
blosse Vermuthungen beschränkt ist.
. In N. Warnek's Schrift über die Leber des Fluss-
krebses findet sich (auf S. 13) folgender Passus: «Nach-
dem der unpaare Nerv den Sattel erreicht, theilt
er sich in zwei Äste, welche auf der Pförtnergegend
des Magens zur Leber herabsteigen. An ihrem Tren-
nungswinkel entstehen feine Füden; móglicher Weise
für das Herz» (H. Bapnex'. [leueHb paka Bb aBaTo-
May. u œu3ios. ornomenim. Paacyxjenie A nodyuenim
erenenu marncrpa. Cn6. 1847. 8. 8. 13.). Haeckel (Üb.
Tome VIII. `
dieGewebe des Flusskrebses. Müll. Arch. 1857. 8.538)
macht, indem er die Nervenrühren des Stomatoga-
stricus beschreibt, folgende Anmerkung: «4) Ganz die
gleichen Fásern sah ich auch am Herzen mehrfach
zu 2 — 6 vereint, konnte aber ihren Ursprung nicht
sicher ermitteln, obwohl ich vermuthe, dass sie von
einer Verlängerung des mittlern, unpaaren Magen-
nerven kommen». Diese beiden vereinzelten Andeu-
tungen lassen sich ausvergleichend-anatomischen Grün-
den nicht zurückweisen, da seit Newport bekannt ist,
dass das Rückengefäss der Insecten Nerven vom paa-
ren und unpaaren System des Stomatogastricus er-
hàlt (Newport. On the nervous system of the Sphinx
ligustri. Philos. transactions. 1832, p. 387 u. 1834 p.
399.). Durch die letztgenannte klassische Arbeit er-
fahren wir (l. c. 1834 p. 407), dass die Blutgefässe des
Hummers ihre Nerven theils von den Ganglien des
Thorax, theils von denen des Postabdomen beziehen.
Vielleicht liesse sich dasselbe auch auf das Herz aus-
dehnen?
Demnach wäre es nicht unwahrscheinlich, dass
das Herz sowohl vom Stomatogastricus, als auch von
der Bauchkette mit Nerven versorgt wird.
Die anatomischen. Untersuchungen haben also die
Frage über den Ursprung von Nerven, welche von
aussen zum Herzen treten, oder von Nervenknoten,
welche in dessen Substanz selbst eingebettet liegen,
nicht beantwortet.
Meine physiologischen Experimente waren zuerst
auf die äussere Herzinnervation gerichtet. Dass eine
solche wirklich vorhanden ist, wird durch folgende
Beobachtungen bewiesen. Schon Carus hat an einem
Krebse, dem er den Kopf weggeschnitten, eine vor-
übergehende Intermission des Herzschlages wahrge-
nommen; desgleichen als darauf bei demselben Thiere
die vordere Hälfte der Ganglienkette mit einem
stumpfen Messer zerdrückt wurde (S. 82, 11). Diese Be-
obachtung habe ich an mehreren Individuen bestátigt
gefunden. Ferner habe ich bei Abtragung des Rücken-
schildes über dem Herzen dasselbe gleichfalls in dia-
stolische Erschlaffung gerathen sehen. Diese Erschei-
nung, welche fast nie ausblieb, wührte in der Regel
ungefähr ', lang. Es kann diesem diastolischen Still-
stande offenbar nur eine Nerventhütigkeit zu Grunde
nicht lebhaft an den bekannten,
tillstand bei Wirbelthieren? Übri-
27
t=] SA
Ld
Bulletin de l’Académie Impériale
gens habe ich auch an Krebsen, deren Brust uud
Kopfganglien vorher zerstört worden waren, bei Ent-
fernung der betreffenden Partie des Rückenschildes
den Stillstand des Herzens gesehen (2 Versuche).
Nur blossgelegt, aber im Zusammenhange mit den
übrigen Körpertheilen, schlugen die Herzen gewöhn-
lich unregelmässiger (mit Intermissionen), als nach-
dem sie ausgeschnitten waren. Auch diese Beobachtung
spricht für das Vorhandensein äusserer Nerveneinflüsse
auf das Herz.
Carus hat, wie es scheint, auf Grund eines Versu-
ches (11) gefolgert: «Zerstörung der Ganglienkette
bewirkt sogleich Erlahmen des Herzens, und wenn
auch noch bis 4 Minuten Bewegungen desselben er-
folgen, so sind sie doch regellos, unvollkommen und
mehr letzte Äusserungen der Irritabilität desselben zu
nennen». Sein Versuch ist indessen als eine Ausnahme
zu betrachten, da ich nach Zerstörung einzelner Theile,
oder des ganzen Centralnervensystems (nach dem er-
wähnten, kurzen Stillstande) gewöhnlich die frühere
Frequenz der Zusammenziehungen wiederkehren sah.
Die verschiedenen physiologischen Experimente,
: welche ich angestellt, um etwas Näheres über die äus-
sere Innervation zu erfahren, gaben stets negative
Resultate. So habe ich keine Veränderung im Herz-
sehlage beobachten können, wenn der Stomatoga-
stricus an den verschiedensten Stellen mit Inductions-
strömen und mittelst Kochsalz gereizt wurde, weder
wenn er intact, noch wenn er durchschnitten war. Es
lässt das Misslingen der Versuche am Stomatogastri-
cus, falls dieser Nerv wirklich das Herz versorgt, zwei
Annahmen zu: entweder 1) leitet er zwei sich gegen-
seitig aufhebende Impulse '), oder 2) er befand sich in
einem besonders deprimirten Zustande. Letzteres halte
ich keineswegs für unmöglich, da meine Versuche im
November und December, also zu einer hóchst un-
günstigen Jahreszeit, angestellt wurden, und meine
Krebse aus Fischküsten stammten, in welchen sie schon
lange gehungert hatten. Einige von ihnen waren der
blassen Färbung ihrer Eingeweide und ihres Blutes
nach offenbar in keinem normalen Zustande. Auch
liegen mir mehrere neue Experimente über die Inner-
vation des Froschherzens vor, deren Unbeständigkeit
D Man e J. Müller, Jahrsb. in seinem Archiv. 1837 p.
| und ibn g, Vom Bau des thierischen pe Handb,
d. vergl: Anat. Tübingen, 1864. Bd. I. 201 sq.
sich leicht auf den Einfluss der Jahreszeit und der
übrigen äussern Lebensbedingungen der Thiere zu-
rückführen liesse. Bei dieser Gelegenheit habe ich
mich überzeugt, wie nothwendig es ist, dass die Ex-
perimentatoren an Herzen von Kaltblütern angeben,
zu welcher Jahreszeit sie ihre Beobachtungen gemacht,
und unter welchen äussern Bedingungen die von. ih-
nen verwandten Individuen gelebt hatten. ` j
Ausser dem Sfomatogastricus habe ich noch ver-
schiedene Theile der centralen Nervenkette mit dem
Strome gereizt, jedoch ebenfalls ohne Erfolg D. x
Das Vorhandensein, oder Fehlen von sogen. auto-
matischen Nervenapparaten ist, wie schon oben ange-
deutet, vom anatomischen Standpunkte aus bis jetzt
noch nicht entschieden. Deshalb kann über die Au-
tomatie des Krebsherzens nur abgesehen von ihrem
Erzeuger geredet werden.
Es wurde schon daran erinnert, dass das ausge-
sclinittene Herz seine Pulsationen fortsetzt. Wenn
Carus (anscheinend nur nach einem Versuche S. 84)
statuirt, dass die Schlüge des ausgeschnittenen Her-
zens nur 5 Minuten dauern, so kann ich dem nicht
beipflichten, da ich häufig genug Herzen, wenn sie in
einer Flasche über Wasser aufgehangen waren, weit
über eine Stunde lang habe pulsiren sehen. Ze
Durchschnitt ich das Herz, mochte es sich noch
im Thiere befinden, oder berausgeoóidtdk sein, in `
den verschiedensten Richtungen, so kam ich zu kei-
nen bestündigen Resultaten: bald schlugen beide
Theile weiter, bald nur einer, bald blieben beide ste-
hen. Wird ein Herz in 2 oder mehr Theile zerschnit-
ten, so scheinen die Stücke desto mehr Aussicht auf
Contraction zu haben, je grósser sie sind. x
B. Ueber den Einfluss einiger physikalischer und chemi-
scher 3) Agentien auf das Krebsherz. — j |
Mechanische Reizung.
Auf einen Nadelstich erwiedert das noch a ge,
oder unlängst stehengebliebene Herz durch eine Con
2) Es wäre vielleicht nicht unnütz für diejenigen, welche sid
mit der Inneryation des Krebsherzens befassen peu zu erwähnen,
dass während man an der Bauchkette operirt, der H zschlag be-
quem in einem Spiegel zu beobachten ist. Das Thier “A hierbei & ke?
besten so gehalten, dass die linke Hand den vordern Theil T
pers sammt den grossen Scheeren umfasst. t iA
3) Unter den Herren, welche die Güte hatten, mir at mit £
Peper Hülfsmittel zu verschaffen, bin ich dem ie enten ©
armacie E. Jacobi besondern Dank schuldig. | "ag
421
des Sciences de St-Pétersbourg.
traction. Doch sind mir häufig Herzen vorgekommen,
welche sehr träge und bisweilen gar nicht diese Re-
action gaben.
Es ist bekannt, dass Dehnung eines Muskels Con-
traction erzeugen kann; also als Erreger auf die Mus-
kelfiber wirkt. Ähnlich wirkt sie auch auf die rhyth-
mische Thätigkeit des Krebsherzens. Die Anordnung
der Versuche war höchst einfach. Ein Herz wurde
in der Luft schwebend an seinen vordern Gefässen
befestigt, während an das hintere ein leichtes Papier-
eimerchen angehängt wurde, in welches nach Belie-
ben Schrotkörnchen gelegt wurden. — 3 Beispiele:
I. Um 2 U. 34 M. bei 10 Schrotk. in 1." 12 kr.
"nOo9'w239»'» 0 » » 10 id.
ae, E em EI eer. » 10-11 dopp.
II. Um 1 U. 5 M. ohne Schrot ml 7 kr.
vnl» 7» i
bis 1» 9» mit » » 7—8 id.’
um 1 » 10 » ohne » » Intermiss.;
darauf vereinzelte, unregelmässige Schläge, so dass
um 1 U. 12 M. ohne Schrot in '// 5 s. unrein.
» 1» 13 » mit » » 7—8 stärker
und regelmässig; dazwischen leise Wallungen.
III. Durch zeitweise Einwirkung eines constanten
electrischen Stromes ermüdetes Herz.
Um 1 U. 30 M. mit Schrot in '/ kaum bemerkbar
» 1 » 34 » mehr » » 4— 5 zieml. kr.
RASE NS BDD ohne » »
» 1 » 37 » mit » » ` sehr schw., nicht
zu zählen.
Aus den angeführten Beispielen sieht man, dass
Zerrung der Gewebselemente des,Herzens die Kraft
und die Zahl der Contractionen beeinflusst, ja selbst
(N° 1) den Charakter derselben modificirt.
Ein hängendes (folglich durch seine eigene Schwere
gezerrtes) Krebsherz schlägt besser, als ein liegendes,
welches freilich aueh den Reibungswiderstand der
Unterlage zu überwinden hat.
Es ist schon von Carus nachgewiesen, dass die
Sonnenstrahlen, durch die Linse auf's Herz concentrirt,
als Erreger wirken (S. 82 und 84). Nun fragt es sich, |
erlaubt diese Thatsache vi
hen zwischen der Action
ob hier Licht oder Wärme, oder beide zugleich thä-
tig sind? Dass die Wärme an sich in hohem Maasse
anregend auf die Contractionen wirkt, mag folgendes
Deispiel erlàutern. Ein Herz wurde abwechselnd in
Wasser von verschiedener Temperatur gelegt und ab
und zu auch in der Luft beobachtet. Die Zimmer-
temperatur betrug (nur) 13,3 C.
Um 1 U. 15 M. in Luft, in ', 5—6
»1» 20 » Wasser v. 11,3? 5
»1» 22 » Luft 4
»1» 25 » Wasser » 16,2? 3 (Nachw.)
» 1 » 96 » » » » 4—5
>» 15:30 01 » » » 6—7
»;)1-»32 .» Luit » 4—5
» 1 » 36 » Wasser » 20,0° 5—6 stark.
T x. 20...» » » » 9 id.
Mit Abkühlen des Wassers Verringerung.
» » 46 » » » 187^ 6
».1» 50 » Wasser» 13,7 ganz undentl.
»1 ».54 » Wasser» 30,0 kl. Pause.,
» A ».55. 2» ih 2 2 6,so stark, wie
noch nie gesehen.
»ıl, u d. 2 » .» 28,0° 5—6 stark.
»2 » 0 ». Wasser» 13,5° 0
s E RÀ u” » : 1) 40,0° 0.
Man sieht also, dass die Temperatur auf das Herz
des Krebses ganz denselben Einfluss hat, wie es für
das der Wirbelthiere schon längst bekannt ist.
Eleetrieität.
a) Inductionsstrom.
In E. H. Weber’s Abhandlung «Über Ed. Weber’s
Entdeckungen in der Lehre v. d. Muskelcontraction»
(Müll. Ar. 1846. S. 504) finden sich folgende wenige
Zeilen versteckt: «Das Herz des Krebses zog sich,
wenn es mit den Dräthen (Inductionsstrom) berührt
wurde, zusammen, blieb so lange zusammengezogen, als
die Berührung dauerte, und fing sogleich wieder an zu
schlagen, sobald sie aufhörte.» — Diese Beobachtung
(welche mir übrigens gelungen war, noch ehe ich die
Weber’sche Abhandlung zu einem ganz andern Zwecke
durchgenommen hatte) zeigt augenscheinlich, dass das
Herz des Krebses im Gegensatz zu dem der Wirbel-
thiere sehr leieht tétanisirbar ist. Auf Grand dieser
Thatsache gebührt ihm eine Stellung zwischen dem
Herzen der Wirbelthiere und dem Muskel. Ferner
ielleicht eine Parallele zu zie-
des Krebsherzens und den
97*
423 Bulletin de l'Académie Impériale am
E . 1 , —
Lebensäusserungen niederer Organismen, wie sie uns Um 12 U. 6 M. ohne Str. in /, 6 schw. "m
hauptsächtlich Kühne in seiner geistreichen Schrift:
«Unters. über das Protoplasma und. die Contractilität»
(Leipzig 1864) schildert.
Die bisher wenig beachtete Fühigkeit des Krebs-
herzens in Tetanus zu gerathen, scheint mir, würe
Veranlassung genug, um sich nochmals an die Unter-
suchung der Frage zu wagen, ob die Automatie des
Herzens auf einer Nerven- oder Muskelthütigkeit be-
ruhe. Auch habe ich bereits eine Reihe von Experi-
menten am Herzen des Hühnerembryo und des Fro-
sches angestellt, welche, wie ich hoffe, für diese Frage
von einigem Nutzen sein dürften.
Die Annahme der Identitüt des Tetanus des Krebs-
herzens mit dem Muskeltetanus lässt sich auf folgende
Weise stützen.
Seit Kühne's Untersuchungen muss man annehmen
dass der durch Inductionschlüge erzeugte Tetanus auf
keinen Fall bloss eine Summe rasch auf einander fol-
gender Contractionen sei, sondern dass er (wenigstens
zum Theil) in einer Gerinnung contractiler Substan-
zen bestehe. Es beruht bekanntlich Kühne's Beweis-
ns
führung hauptsächlich darauf, dass eiu längere Zeit |
tetanisirter Muskel nur in dem Falle zu seiner ur-
sprünglichen Form zurückkehrt, wenn er mechanisch
gezerrt wird, und dass er nicht im Stande ist, gleich
dem einmalig contrahirten, selbst eine so geringe Rei-
bung zu überwinden, wie sie z. B. die Oberfläche von
Quecksilber darbietet. Auf Quecksilber, oder auf einer
geölten Glasplatte liegend, pulsirt das Krebsherz vor-
trefflich. Wird es auf einer solchen Unterlage (mag
es noch thätig oder bereits stehen geblieben sein) von
einem Inductionsschlage getroffen, so nimmt es nach
seiner Zusammenziehung sogleich wieder seine frü-
here Form an; wird es hingegen länger tetanisirt, so
dehnt es sich hinterher nur höchst langsam und viel-
leicht nie mehr vollständig wieder aus.
Schwächere, aber anhaltende Inductionsströme stei-
gern die Pulsationen des Herzens. Unter den Versu-
chen mit diesem Erreger, welche Anfangs Januar an-
gestellt wurden, ist nur folgender wirklich scharf.
Um 12 U. 0 M.
» 12:» 4'»
X712: »5- 5
ZEN GA | »
ohne Str. in '/^ 8 kr., unreg.
mit » » 10 id.
‚Str. bis an die Tetanusgr. verst.
mit Str. in '/' 18, schw.
ED 975 vont og » 15 id. I
» 12» 9 » ohne » » 0.
b) Constanter Strom. :
Schon Carus hat den Einfluss des constanten Stro-
mes auf das Herz studirt, indem er es mit Zink und
Kupfer armirte. Auf S. 84 heisst es bei ihm: «Sowohl
Berühren des Herzens an der Basis und Spitze mit
beiden Polen, als Aufsetzen des einen an die Ganglien
und des andern ans Herz, erregt bei jedem Schluss
Contraction, doch ist selbige durchaus sinnlich wahr-
nehmbar nicht abgeändert; der galvanischen Strömung
ausgesetzt, sind die Contractionen und Expansionen
nicht so rein, gleichen mehr einem Hin- und Herwo-
gen, auch vermindern sie sich etwas». Diese Resultate
hat Carus aus seinen Versuchen 7 und 11 gefolgert,
welche theils an Helix, theils an Astacus (zusammen
an ‚3 (?) Individuen) im Frühling angestellt wurden.
Meine Experimente über den Einfluss des constan-
ten Stromes auf den Herzschlag wurden meist Ende
Januar und Anfangs Februar, und einige nachträg-
lich Mitte April (a. St.) gemacht, zu einer Zeit, als
die ausgeschnittenen Herzen oft so kraftlos waren,
dass sie gar nicht schlagen wollten. Dies mag der
Grund sein, weshalb die Versuche bisweilen ganz
besonders widersprechende Resultate gaben. Bemer-
ken muss ich übrigens, dass bei meinen Experimenten,
wegen der grossen Schwierigkeiten, weder gleichmäs-
sige Ströme, noch unpolarisirbare Eleetrode in An-
wendung gebracht werden konnten. Die Anordnung
der Versuche war folgende. Das Herz wurde gewöhn-
lich an seinen vordern Gefässstämmen aufgehangen
und mit seiner Rücken- oder Bauchfläche an die Kup-
ferelectrode angelehnt, welche sich in einem Abstande
von 3—4"" über einander befanden. Übrigens wurden
bisweilen die Dräthe an die Rückenfläche des nicht
ausgeschnittenen Herzens, gleichfalls der Quere nach,
applieirt. Abwechselnd kamen ein kleines und zwei
grosse Daniell’sche Elemente in Anwendung. "t `
Am häufigsten sah ich den stärken constanten
Strom den Herzschlag enorm beschleunigen und 2
gleich beträchtlich abschwächen. Es stieg z. B. in ei-
nem Falle die Zahl der Pulsationen von 9 auf 26, in
einem andern von 4 auf 34 in '/' u. s. w. Gleichzei-
tig pflegte das Herz, so lange der Strom wührte, mehr
oder weniger zusammengezogen zu sein (analog dem
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Muskel). Bei Betrachtung dieser Erscheinungen fiel
mir ein Schema ein, welches die Beschleunigung und
gleichzeitige Abschwüchung der Pulsationen aus dem
contrahirten Zustande des Herzens erklären kónnte.
Bekanntlich hat man, um den Umsatz eines gleichmäs-
sigen Ernührungsprocesses in rhythmische Thätigkeit
sich zu versinnlichen, letztere mit dem periodischen
Entweichen von Gasblasen aus einer Retorte vergli-
chen. Denkt man sich die ganze Retorte plótzlich ver-
engt, contrahirt, so wird sie ceteris paribus in dersel-
ben Zeiteinheit mehr, aber kleinere Gasblasen entsen-
den. Ein ähnliches Schema lässt sich construiren, indem
man in Czermak’s «Apparat zur Erläuterung der In-
nervationsvorgänge, welche rhythmisch erfolgende Be-
wegungen erzeugen und reguliren», das schaukelnde
Schiffehen sich verkleinert denkt. (Czermak, Mitth.
aus dem physiol. Privatlaboratorium. 1. Heft, 1864,
p. 8). — Für diese sehematische Vorstellung scheint
übrigens eine Beobachtung zu sprechen. Sobald näm-
lich das Herz gehörig mit Schrot belastet wurde,
pflegte die Beschleunigung und Abschwächung der
Pulsationen bei Einwirkung des constanten Stromes
nieht mehr einzutreten; statt dessen vermehrten sich
die Schläge nur wenig und blieben kräftig.
Doch nicht immer wirkte der Strom auf die zuerst
erwühnte Weise. Nicht selten habe ich ihn stehenge-
bliebene Herzen zu neuen, regelmüssigen und biswei-
len recht krüftigen Contractionen anregen sehen. In
einem Falle sah ich ihn gerade die entgegengesetzte
Wirkung üussern: das Herz blieb nach einer Schies-
sungszuckung regunslos; als hingegen der Strom wie-
der entfernt wurde, zeigte es von Neuem Contractio-
nen. Übrigens ist dieses Herz als von vorneherein er-
schöpft anzusehen, da es überhaupt schwach und nur
10 Minuten lang selbstständig schlug. |
| Über die Einwirkung des Schliessens und Öffnens
constanter Ketten habe ich eine Anzahl gleichfalls
nur fragmentarischer Beobachtungen gemacht, ohne
auf das Nühere einzugehen. So sah ich wiederholent-
lich, dass so lange der Strom eine bestimmte Richtung
hatte, nur das Öffnen der Kette eine Contraction be-
dingte; sobald aber die Stromrichtung gewechselt
wurde, sah ich umgekehrt nur das Schliessen dersel-
ben eine Contraction hervorbringen. In andern Fäl-
len gab sowohl das Schiessen, als auch das Öffnen der
Kette bei ein und derselben Stromrichtung eine Con-
traction. In noch' andern Füllen erfolgte die Zuckung
beim Schliessen der Wippe sowohl auf die eine, als
auch auf die andere Seite u. s. w. Die Erscheinun-
gen dieser letzten Gruppe hüngen von dem ursprüng-
lichen Zustande des Herzens, von der Dauer des Ver-
suches und von der Stromstürke ab, und zeigen offen-
bar, dass am Krebsherzen die «Zuckungsgesetze» der
Muskeln zu Tage treten.
Beim Schliessen der Kette beobachtete ich ferner
häufig eine tetanusartige Erscheinung. Doch gewóhn-
lich zeigten sich nach Y, bis / am zusammengezogenen
Herzen ganz leise, beschleunigte Pulsationen, und
mithin ging der Tetanus in die zuerst besprochene
Erscheinung über. Doch nicht selten blieb der Teta-
nus rein und hielt genau so lange an, wie der Strom
währte. Bald erfolgte Tetanus nur beim Schliessen
der Kette in der einen, bald nur in der andern, bald
in beiden Richtungen. An verschiedenen Herzen trat
dieser Tetanus auch bei verschiedenen Stromstärken
auf,
Schliesslich will ich noch eines vereinzelten Versu-
ches erwähnen. Ich bediente mich dabei eines klei-
nen Daniell’schen Elementes und eines Rheostates. Es
ergab sich, dass das Herz nur auf eine gewisse Strom-
stärke durch eine tetanische, von häufigen, kleinen
Pulsationen gefolgte, Contraction reagirte; wurde
hingegen der Strom über ein gewisses Maass verstärkt
oder abgeschwächt, so zeigte er gar keine Wirkung
mehr. Sollte diese Erscheinung nicht an den sogen.
Pflüger’schen Tetanus erinnern, welcher ja auch nur
durch gewisse Stromstürken erzeugt wird? — Wie
fragmentarisch auch die vermittelst des const. Stro-
mes gemachten Beobachtungen sind, so bekrüftigen
sie doch die Anschauung, dass dem Krebsherzen im
physiologischen Systeme eine Stellung zwischen dem
Herzen der Wirbelthiere und dem «gewühnlichen Mus-
kel» gebühre. Mit andern Worten: in dem besproche-
nen Verhalten des Krebsherzens gegen den constan-
ten Strom spricht sich seine Muskelnatur deutlicher
aus, als am Herzen der Wirbelthiere. Es war dies
übrigens schon zu erwarten, da das Krebsherz ein
Flechtwerk von Muskelelementen darstellt, in wel-
chem die Längsfasern bedeutend prüvaliren ', und
ES
4) Auf letzteren, wichtigen Umstand bat mich besonders Hr.
Jarshinski aufmerksam gemacht, i '
Es sei mir vergönnt, hier gelegentlich noch eines andern von ihm
Bulletin de l’Académie Impériale
R
da gerade diese Fasern es waren, auf welche ich den
Strom vorzugsweise einwirken liess.
Wasser.,
Dass in gewöhnliches Wasser gelegt das Herz |
sogleich zu schlagen aufhöre (Carus S. 84) fand ich,
wie schon aus den Versuchen über den Einfluss der
Temperatur ersichtlich, nicht bestätigt.
Schon a priori war anzunehmen, dass destillirtes
Wasser, welches bekanntlich die Muskelfasern verän-
dert, auch auf das Krebsherz schädlich wirke. Die
Fälle, bei denen in diesem Medium über '/, Stunde lang
Contractionen erfolgten, schienen dadurch bedingt zu
sein, dass das Herz mit Blut angefüllt war, wodurch
der Einfluss des Wassers so zu sagen ausgeglichen wur-
de. Blutleere, wenn auch kräftige Herzen wurden hin-
gegen bald trübe und schrumpften zusammen.
Sauerstoff.
Dieses Gas unterhält, kräftigt und beschleunigt die
Herzpulsationen, und ist selbst im Stande sie hervor-
zurufen, wenn sie bereits erloschen. Folgende Bei-
spiele werden genügen, um dieses darzuthun. (Das
Herz hing bei diesen Versuchen in einer Flasche an
einem, um seine vordern Gefässe geschlungenen Fa-
den. Auf dem Boden der Flasche befand sich natür-
lich Wasser, damit das zu beobachtende Object nicht
austrocknete. Dieselbe Anordnung wurde auch bei Ge-
legenheit der Einwirkung der übrigen Gasarten ange-
wandt).
I. Ein Herz wurde am 18. Jan. um 1 U. 25 M.
in möglichst reinen Sauerstoff gehangen. Es schlug am
folgenden Tage, dem
19. Jan. um 12 U. 0 M. in Y/ 16—17 kr.
— » » 3 » 80 » » 16 id.
AU >» WPT » » ÍO s. sch, unreg.,
D. anscheinend noch
schwücher.
2 » » »
gemachten Fundes zu erwähnen, dass nämlich das Herz von einem
zweischichtigen Epithel bedeckt ist. Es stimmt diese Beobachtung
mit der von Reichert überein, welcher beiläufig erwähnt, dass die
beiden grossen pinselfórmigen Kiefermuskeln des Krebses, welche |
vom Rückenschilde, unweit des Magens ihren Ursprung nehmen,
gleich ihrer Sehne einen Epithelialüberzug besitzen. Häckel und
"Margo móchten jedoch diesen Überzug nicht als Epithel gelten las-
sen. Reichert: Vergleichende Beobachtungen üb. d. Bindegewebe
etc. Dorpat 1845. S. 77. Häckel: Üb. die Gewebe des Flusskrebses
in Müll. Ar. 1857. S. 542 Margo: Neue Unters. üb, die Entwicklung
etc. der Muskelfasern in den Denkschr. der Wiener Akademie. XX.
1862, IT Abth. S. 33.
nn
Am andern Morgen (4ter Tag) war es sehr proble
matisch, ob das Herz sich noch rührte, Nun wurden
die Zuleitungsdräthe eines Induetionsstromes durch
einen der Flaschenhälse an’s Herz applicirt: es ge-
rieth in Tetanus; blieb jedoch contrahirt. Es ist noeh
zu bemerken, dass an diesen Tagen die Temperatur
im Laboratorium, in der Náhe des Fensters, wo das
Experiment vorgenommen wurde, nur 12, 5 C. betrug,
II. Ein Herz schlug um
1 U.43 M. in Luft mi 2—3
1 » 45 » » Sauerst. » 10—11
2» 00-9 » » » 16—17
2 » 55 » » Kohlens. » 0
3 » 0 » » Sauerst. » 0
3 » 16 » » » » 3
3 D s» à » » 8
EN e B, » » 33— 34 gë
aer 9p y » » . 26 reg; je 2 u. 2. |
Am folgenden Tage (4. Dec.) hat man um 4 U. n.
M. das Herz noch kräftig pulsiren sehen. n Ata
Stickstoffoxydul. E
Wr: Hi
Über die Einwirkung dieses Stoffes auf das Krebs-
herz liegt nur ein Versuch vor: ` | TET
ENTUM:
1 U. 10 M. in Luft in '/' 15,16, 17y :
e eege,
» 16 » » 7 weniger kr.
» 18 » » 5 kr. |
» 20 » » 4 diio E
521 si y 3—4. ue
» 22 » » 2—3 ausn. kr.
» 24 » » dili i 6508
» 27 » » 4 |
» 30 » » T. ON (ER ip i
aei» » 4— sch. zuck.
» 33 » » iii o wed
5 diim I stärke
» 40 » » Ai u
» 43 » » EB HE
» 47 » r » 6. np
22:0» » 0 —
Während des ganzen Versuches waren die Pulsa-
tionen durchaus unregelmässig. Für das Wee `
hat L. Hermann (Üb. d. physiol. Wirk. d. Stickstoffo
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Archiv von Reichert u. du Bois-R. 1864. S. 535)
keine specifische Wirkung des fraglichen Gases nach-
weisen können; nur fand er, dass das Herz darin
etwas rascher abstirbt, als in N. und H., zwei Sub-
stanzen, welche man als physiologisch indifferent zu
bezeichnen pflegt. Ein Froschherz, welches in der
Luft (in '/) nur 10 mal pulsirt hatte, sah ich in Stick-
stoffoxydul mit nach und nach abnehmender Häufig-
keit schlagen, bis es nach einer halben Stunde ganz
still stand. Ein anderes Froschherz, welches vor dem
Versuche in /,—15'/, mal pulsirt hatte, wurde leider
nur 2°, Stunden lang beobachtet. Als die Beobachtung
unterbrochen wurde, schlug es noch 11 mal. Die Zahl
der Pulsationen war wührend des Experimentes un-
regelmássig: bald sank sie auf längere Zeit, bald hob
sie Sich wieder.
Kohlensäure,
Sie deprimirt die Action des Krebsherzens und hebt
sie, je nach ihrer Reinheit, rascher oder langsamer
auf. Ein in der Luft (in '//)) 2—3 mal schlagendes
Herz wurde, als in die Flasche, in welcher es hing,
CO, geleitet wurde, im Verlauf einer Viertelstunde
zur Ruhe gebracht. Die Kohlensäure, welche bei Ver-
such II über die Wirkung des Sauerstoffs angewandt
worden, war möglichst rein: in ihr sistirten die Pul-
sationen in weniger als 5 Min.
Ammoniak.
Es ist bekannt, dass dieses Gas für die musculö-
sen Gebilde ein Erreger ist, dieselben aber leicht
angreift. Dies kann ich auch für das Krebsherz
bestätigen. Hierzu nur folgendes Beispiel. Ein sammt
einem Stücke des Rückenpanzers ausgeschnittenes
Herz schlug 7 mal in '//. Es wurde ein Tropfen einer
höchst verdünnten Ammoniaklösung auf dasselbe ge-
bracht; nun stieg im Verlauf von /, Minute die Con-
tractionenzahl auf12—13,zugleich wurden die Schläge |
hastig und öfters, so zu sagen, von einem Anlaufe
(Rucke) angekündigt. Doch schon nach ‚einer halben
Minute stand es still; bis auf seinen hintern Abschnitt,
wo die aorta posterior ihren Ursprung nimmt. Dieser
Theil pulsirte nun deutlich 16 mal in '//. 5 Minuten
nach Beginn des Versuches sah man an ihm noch
Contractionen. Eine Minute darauf war das ganze
Herz regunslos. Nachdem nun das Prüparat in Wasser
abgespült worden war, erfolgten von Nenem einige
Contractionen an den hintern Aortenwurzeln.
Résumé.
Aus den vorstehenden Mittheilungen móchten fol-
gende Sütze hervorzuheben sein, da sie Anhaltungs-
punkte für weitere Untersuchungen abgeben können.
1) Das Krebsherz ist ein muskulöses Organ von
Lë
—
3)
4)
Qt
—
Ir]
=
trabeculärem Baue, welches in die Kategorie
der wahren Herzen (im Gegensatz zu den
Lymphherzen) gehört, da es ausgeschnitten seine
Pulsationen fortsetzt.
Auch die vom Herzen abgeschnittenen Theile
setzen häufig ihre rhythmische Bewegung fort
und, wie es scheint, desto eher, je grösser sie
sind.
Über die Herznerven scheint nichts Näheres
bekannt zu sein.
Zerstörung der centralen Nervenmassen des
Krebses, sowie Aufbrechung des Rückenschil-
des erzeugen vorübergehenden, diastolischen
Herzstillstand.
Das Krebsherz steht einigermaassen zwischen
dem Herzen der Wirbelthiere und dem Muskel,
da es sich durch Inductionschläge tetanisiren
lässt und auch bei Einwirkung des constanten
electrischen Stromes seine Muskelnatur nicht
verleugnet.
Gegen die gewöhnlichsten, in der Pina an-
gewandten physikalischen und chemischen Agen-
tien scheint es sich ganz ähnlich wie der Mus-
kel und überhaupt, wie die sogenannten con-
tractilen Substanzen zu verhalten.
Die hier mitgetheilten Beobachtungen sind im La-
boratorium des Hrn. Prof. Setschenow angestellt
worden. Hierfür und besonders für die freundlichen
Rathschläge, welche mein hochverehrter Lehrer mir
gegeben, spreche ich ihm den innigsten Dank aus.
St. Petersburg, den 12. April 1865.
——— ám — — —
431
Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint - Pétersbourg.
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a reçu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Flora oder allgemeine botanische Zeitung, herausgegeben
von der k. bayer. botanischen Gesellschaft in Regens-
burg. Neue Reihe. XX. Jahrgang. Regensb. 1862. 8.
Annales Musei Botanici Lugduno - Batavi ed. F. A. Guil.
Miguel. T. I, fasc. IV — VIII. Amstelodami 1863 —
1864. Fol. i
Agardh, Jac. Georg. Theoria systematis plantarum; acce-
dit familiarum phanerogamarum in series naturales
dispositio. Cum tab. XXVIII. Lundae 1858. 8.
Gasparrini, Guil. Memorie botaniche. Embriogenia della
canape. Malattie degli agrumi. Modificazioni di cel-
lule vegetali Napoli 1863. 4.
— Sopra la melata o trasudamento di aspetto gommoso
dalle foglie di aleuni alberi avvenuto nell estate pas-
sata e retinuto generalmente qual pioggia di manna. 4.
— Osservazioni sopra talune modificazioni organiche in
alcune cellule vegetali. 4.
— Ricerche sulla embriogenia della canape. 4.
— Sulla maturazione e la qualità dei fichi dei contorni
di Napoli. 4.
— Prelezione all insignamento della botanica nella r.
Universitá di Napoli. 8.
Kops, Jan. Flora Batava. Afbeelding en beschrijving van
Nederlandsche Gewassen. 187 aflevering. Amsterd. 4.
Moe, N. Veiledning til Dyrkning af glaciale, alpinske og
arctiske Planter. Christiania 1862. 8.
Skandinaviens coleoptera synoptiskt bearbetade af C. G.
Thomson. Lund 1859 — 1863. 5 vol. 8.
Brauer, Friedr. Monographie der Oestriden. Wien 1863. 8.
Taxidermi. Veiledning for dem, som ville paatage sig Ind-
samling af naturvidenskabelige Gjenstande for Uni-
versitetets Samlinger. Christiania 1863. 8.
The anthropological review. 1864. N° 5. London. 8.
Liharzik, F. P. La loi de la croissance et la structure
de l'homme. Prospectus. Vienne 1862. 4.
— Das Gesetz des Wachsthums und der Bau des Men-
schen. Wien 1862. 4.
Annuaire de la Société d'Ethnographie, publié par Ch. de
Labarthe. 1863. Paris. 12.
Oppert, Gustav. Der Presbyter Johannes in Sage und
Geschichte. Berlin 1864. 8.
Bulletin de la Société de Géographie. 5° série. T. VII.
Paris 1864. 8.
Murchison, Sir Rod. J. Address to the royal Geogra-
phical Society of London on the 23 May 1864. Lon-
on. 8.
Proceedings of the r. Geographical Society. Vol. VIII
N° 1— 3. London 1864. 8.
The Journal of the r. Geographical Society. Vol. XXXIL
London 1862. 8.
Recueil de voyages et mémoires publié par la société de
géographie. Tome VIT”, deuxième partie. Paris 1864. 4,
Pabst, Ed. Der Maigraf und seine Feste. Reval 1864. 4,
Württembergische Jahrbücher für vaterländische Ge-
schichte, Geographie, Statistik und Topographie, Her-
ausgegeben von dem k. statistisch - topographischen
Bureau. Jahrgang 1862. Heft 1. 2. Stuttg. 1863. 8.
Meklenburgisches Urkundenbuch. Herausgegeben von dem
Verein für Meklenburgische Geschichte und Alter-
thumskunde. I. Band (786 —1250). Schwerin 1868, 4,
Mareschal-Duplessis. Géographie. Mercator et Hip-
parque. Dialogue des morts. Vendome 1864. 8.
Tilésius de Tilenau, A. Explication de la figure pro-
blématique représentée sur les monnaies de Wladi-
mir I” et de Jaroslaw 1”. St.-Pétersbourg 1864. 4.
Monumenta Hungariae historica. Magyar tórténelmi em-
lékek. Kötet VIII. IX. XV. Pest 1863. 8.
Tórók-magyar-kori tórténelmi emelékek. Okmänytär. Kótet
I. II. Pest 1863. 8.
Magyar tórténelmi tár. Kótet XI. XIL Pesten 1863. 8.
Erdély a Rómaiak alatt, kütfók nyomán irta Vass József.
Kolozsvártt 1863. 8.
A középkori szobrászat magyarországon. Elöadta Ipolyi
Arnold. Pesten 1863. 4.
Le colonie Serbo-Dalmate del circondario di Larino pro-
vincia di Molise. Studio etnografico di Giovenale Ve-
gezzi-Ruscalla. Torino 1864. 8.
Holmboe, C. A. Norske vaegtlodder fra fjortende. aar-
hundrede. Christiania 1863. 4. i
Beretning om Bodsfængslets Virksomhed i Aaret 1862.
Christiania 1863. 8.
Tredie Aars-Beretning om Fantefolket. Christiania 1863. 8.
Archiv für wissenschaftliche Kunde von Russland. Heraus-
gegeben von A. Erman. 23ster Band, Heft 1. Berlin.
1864. 8.
Baltische Monatsschrift. IX. Bd. Heft2—-5. X. 1.2. Riga 1864.
Schnitzler, J. H. L'empire des Tsars au point actuel de
la science. Tome III, 1'* sect. L'état et l'église. Paris
et Strasbourg 1864. 8. 2
— La jeunesse de l'Impératrice Marie Fœæodorovna Jus-
quà son mariage. Colmar 1864. 8. eg
— Fürst Andreas Kyrillowitsch Rasumovski. Ein Frag-
ment aus der Geschichte der russischen Diplomatie.
8. (Separatabdruck a. Histor. Taschenb. 4te Folge IV.)
e
RECTIFICATION.
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T. VII, p. 489, 1. 33 et p. 490, 1. 3, au lieu de log% lisez log 7«
Paru le ?0 juin 1865.
T. VENE. N° 6 et dernier.
BULLETIN teen
DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
um `
GESELLSE
Sg
JEN
TOME VIII.
| HAFT ”
| | (Feuilles 28 — 56.)
| CONTENU.
| Page
| Dr. A. F. Baron de Sass, Sur les variations du niveau de la mer Baltique. (3° article). 433 — 465
| Gr, de Helmersen, Le bassin houillier de Donetz, et son avenir industriel... .... u... 465 — 523 |
| Rapport sur le premier concours au prix Rklizky, fondé pour les ouvrages sur le sy- |
E NEE Ad gene Ee Ee et Eet Week d 523 — 535 |
| J. F. Brandt, Remarques sur la classification des vertébrés à sang froid, servant de re- |
| ponse à cette question: qu'est-ce qu'un poisson? (Extrait)......... eee 535 — 536. |
Matériaux pour servir à la connaissance des différents états de développe- |
| ment des espèces de poissons ganoïdes. (Extrait.)........................... 536 — 538 |
| N. Sokolof, Sur le chlorure du phenyle........................................ 539 — 545 |
| Famintzine, Action.de la lumière sur la croissance du cresson. (Extrait.).........-.- 545 — 549
| M. Brosset, Activité littéraire des Géorgiens et des Arméien... 549 — 561
| Ph. Ofsiannikof, Recherches sur la histologie des corpuscules du sapg. (Avec une Planche.) 561 — 572
| Bulletin bibliographique............. M siae LEM E ... 572 — 576
| Ci-joint les titres et la table des matières du Tome VIII. |
SE |
x |
E | | |
2 |
On s'abonne: chez MM. Eggers & Ci, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de |
| | l'Académie (Bounert, Ilpasıeria Huneparoperkoñ Axaremin Hayk®) et chez M. Léopold Voss, |
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| | Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, |
- Y 8 thalers de Prusse pour l'étranger.
Q
nn
H Bei
|
1
l
|
|
|
BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSROURG.
Untersuchungen über die Niveauverschiedenheit
des Wasserspiegels der Ostsee, von Dr. Arthur
Ferdinand Baron von Sass. (Lu le 16 mars 1865.)
Ill. Artikel,
1. Einleitung.
Die Niveauverschiedenheit des Wasserspiegels der
Ostsee ist bereits den Ureinwohnern der Insel Ösel
bekannt gewesen, was wir daraus ersehen, dass dieser
Erscheinung schon in einer alten Sage der Ehsten Er-
wähnung gethan wird. Russwurm') erzählt uns näm-
lich, dass der Riese Kalew häufig nach Dagden zu
Fusse durch den Soëla-Sund ging, und dass ihm ge-
wöhnlich das Wasser bis zur Kniescheibe, bei hohem
. Wasserstande jedoch bis zum Gürtel reichte. Aus die-
ser Sage ersehen wir, dass den Ehsten nicht allein die
Thatsache der NAN ankinees bekannt war, son-
dern dass sie auch das ungefähre Maximum derSchwan-
kungen des Wassers kannten, denn nach meinen Un-
tersuchungen ?) beträgt die Maximaldifferenz zwischen
Niedrigwasser und Hochwasser ungefähr 3’ russ.
(engl.), wie gross auch ungefähr die Entfernung zwi-
schen der Kniescheibe und dem Gürtel bei einem sehr
langen Menschen, der als Riese bezeichnet wurde,
sein wird.
Die bis jetzt von mir über die Niveauschwaukun-
gen des Wassers herausgegebenen Arbeiten sind auf
im Riga'schen Meerbusen angestellte Beobachtungen
gestützt, also an der Südküste Ösel’s. Im Sommer
1864 beobachtete für mich der Herr Theophil von
Poll an der Nordküste von Ösel bei dem Gute Ran-
naküll in 22° 52’ östl. L. von Greenwich und 58° 37'
nördl. Br. die Bewegung des Wassers. Für die aus-
serordentlich fleissigen und genauen Beobachtungen
sage ich genanntem Herrn hierdurch meinen óffentli-
chen Dank. Namentlich sind es die Beobachtungen
1) Sagen aus Hapsal, der Wiek, Ösel und Runö, gesammelt und
erläutert von C. Russwurm. 1861. S. 8. — Das Inland. 1856. p. 140.
2) Bull. de l'Acad. Imp. des scienc. de St.-Pétersb. T. V. 257 —
96. — Poggendorff's Ann. Bd. CXX. S. 648.
Tome VIII.
über die Windstürke, welche, sehr genau ausgeführt,
dieser Abhandlung etwas in den früheren unberück-
sichtigt gebliebenes Neue hinzufügen.
2. Beobachtungsmaterial.
Datum.
=
=
=
Bemerkungen.
19 Juni
t2
c
DO t2 «I NO (D -1 l9 LD - 02 CO -1 RO €D -1 12 CD =I bO «D -d bO €D -d BO CD =I RO (D KK NO CO ARE ARE ANR cQ. Tageszeit.
ve | Wasserstand
ba lin russ. (engl)
LA
©
2
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C9 B9 bO bO hO bO hO hO Q9 O9 RO Q9 Q2 RO Ii NO hO hO RO hO bO M4 4 NO O2 O9 RO C9 Q9 He GV BO BO bO CO O2 Q2 CO BO B2 m
m c» u m - toro Stärke.
Gewitter in der Ferne.
Vor der Beobachtung Regen.
Gleich nach der Beobachtung Regen.
Vor u. nach der Beobachtung Regen.
Vor der Beobachtung Regen.
Nach der Beobachtung Regen.
Vor der Beobachtung Regen.
Vor der Beobachtung starker Regen.
Vor der Beobachtung Regen.
Ké
Gewitter mit Regen in der Ferne.
— s Regen. Abends Wet-
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28
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: ES pne goadémie geji
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A I$ |532/ ti , RS e —
B E 2 E dë E s g Bemerkungen. B S 258 Wee
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Ba ez 3 "SS, 22825 E Bemerkungen.
B Juli 7h | 242" NW. 1 |Gewit 8 Feck
2:19. 1,890 0.12 Gewitter. 28 Juli E ër a
717 | Isole » 17 ST Hu ev
Rail at? Rs 9 [s mri
» = 28,8 NW. 2 | Gewi # ; 3 LÉ 2
» 26,6 et 2
8 » |9 | 9350 EN Gewitter mit starkem Mn: 30 a | 9. 1382. | W.|.2
» kä [280 "SW ! 9 3 192 1 £20 |] 8
» |7 |257 |NW. 2 81 » 17 |27,2 |W.| 1
9 » 9 24,4 NW. 3 » 9 27,5 | W.| 2
» {2 |955 |W. dek » 19 | 997 |.W.4
»-|7-|248 | W.| 8 MUS pcr E
10 » 9 25,0 N 3 ug. 9 26,5 Wi 8
» ka à - ` 24,9 |SW.| 2
» 2 - » 95,8
11 T 9 24,8 NW. 2 Jem ) 9 30.0 Go ; Rege n.
» |2 |227 SW.| 3 |Gewi » |2 |9290 |SW.| 3
» 17. |.95,4 IN\ r ewitter und Regen. ». | 7 -| 28,5, |SW.| 3
12 » |9 | 270 Y A Gewitter und Regen mit Hagel » : 220 SW) 3 At Le SE schwacher Regen.
HERE j p 38 |SW. 8 |V
» |7 |240 |N. ^ i » |7 |3830 |SW.| 2 2 e Roobahjang Regen.
13 » 19 AA | N. | 8 n der Ferne Regen. 4» |9 1850 | W.| 3 SH in der Fer
, |2 1244 |N.| 3 » 12 | 355 |W.| 8.| Regen
» 7 23,9 N. 3 5 : 7 38,0 NW. 3 e E f
14 » |9 |230 | N. | 2 ».| 9. | 83,0 [NW 3 |
Sai? 280 | N.| 2 j bats 345 INW. 3
» 227 IN e 35,0 |NW.
15 » |9 | 24,3 NW è 6.» |9 |.33,0 | W. S Nach der Beobachtung’ Regeni
. $ 4409 D A E IL |
* 9 INW.| 4 5 | W. `
16 > |9 | 259 NW] 2 | RRC, SE dere SRE Abends
» |2 1269 NW. 4 » |3 |850 NW] 3 ewitter mit starkem Regen.
ER 259 INW. ? 3 SW. Si
iT » 9 25.9 W. : 8.» 9 36,5 N. 3 P jar Nacht um 12 Uhr Gewitter.
» |2 |259 NW. 3 sika 385 |N.| 8 |Vorder äise, A: wi"
» (9 |297 NW. 2 9» "9 958,9 1! ger:
9 INW. 1 |Sch NW. 3 |Re dei
a |7 06. chwacher Regen. »*» 14 5 gen in aem de k octets
"oT 280 N. : Schwacher Sons: 10 » |9 Sie - 2 |Schwacher sie opa
s 13$ i asr. » 12.1345. |SO. : In der Nacht "darker geg
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» |9 |280 |NO.| 2 no» Ia |450 | W.| 2 |In der T
» [2 [2385 | N.| 8 » 12 |470 ws v er Nacht sehr starker Regen. `
91 nä 1525,84. N 2 RklT A NW. 3 or der Beobachtung Regen. op
» 9 28,5 N. 3 Besch LS. 9 45,0 + 1 egen. p
i 2 285 | N. | 3 | Regen ^s LEN vla n:
2o; |9 |279 (NO) 2 [Regen m» [9 200 NO. 3 |
’ ` Regen T , 40. 3 ;
» 2 27,5 ] 9 5 »'12 39.0 NO
» | 7 | 26,0 3 Regen. » |7 : .| 3 a
23 » |9 | 25,9 à ` Vor u. nach der Beobacht. Gewi » |9 ai T. 4
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5 2 26,5 NW. 3 s 2 ‘82,0 NO. 2
2i yo dl Lo 7 [828 |N. (ie
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» |2 |245 | W.| 3 » |2.|318 |SW
» ri » V | 2
96 28,9 INWI 2 17 7 |380 | S | 1 |V (di
» |9 1230 |NW.| 1 7 ».|9 lang NO.| 1 Vor der Beobachtung Regen. E
» |2 |248 |S0.| 1 » [2 |380 | N. | 1 uw d. Bech, Gew. mit stark. Regen
27 NE a | 1 i » 17 |85, a ln. Vor der Beobachtung B
: 9 |236 |NW. 1 8.» |9 |479 |NW.| 2 |I - chtung Regen. - -
|» |2 | 25,9 W.| 2 | Regen » |2 |529 iT" n der Nacht E
» [7 | 280 NW. 1 | » | 7. | 54,9 NW. neam
28 ».19.127 ow Regen 19 » NW.| 4 | Reg
7 Déi 2 |In der Nacht R » lo |424 | W. 3 |In der dog?
| egen »12 |406 | W.| 3. n der "Nacht sehr starker Stu mm mit
» 7 39,4 NW. 2 egen. H IM
PoOSMÉ
Windes wurde nicht mit einem Anemometer bestimmt,
sondern nur abgeschätzt, wobei die einzelnen Zahlen |
folgende Bedeutungen haben: |
— Eege
i 3 FER Wind- 1 schwacher Wind.
E A $ js Tun Bemerkungen. 2 starker Wind.
GEZ EES 3 sehr starker Wind.
20 Aug. 9 | 340" |SW.| 2 4 Sturm.
b 42 SE 2 : 3 B
7 | 30,1 3 3. Beziehungen zwise j
31 » |9 |330 | S. | 2 | 4 Uhr Morg. Gew. mit Regen. Regen. s pa dem Wé, ia dl
» |2 | 37,0 |SW.| 3 |Regen. und der Zeit.
» | 7 143,0 INW.| 4 | Regen. .
99 » 9 301 ch : Bs. Der mittlere Wasserstand als arithmetisches Mittel
» a H
, [7 |345 A 2 | Rebe: vor der Beobachtun g Gewit- aus allen diesen 235 Beobachtungen ausgedrückt ist
231» |9 | 33,8 41 30,18 —2'6"2.106" russise
» 42 31,0 NW. 1 |Gleich nach dir. r Beobachtung schwa- dP guae ong Fare goe
» 17 |987 |SO.| 1 | cher Regen Beobachtungsstunden erhalten wir folgende Mittel-
94 » 9 26,7 9.1.2 werthe:
» | 2 = 4 3 | Regen. À
» 7 24,7 . 4 Regen. i h "o_o g’ m
i» | 9 35.8 S. | 1 | Die ganze Nacht Regen mit O.-Sturm. 9 Morgens SE 29,21 2 5 2,52
12 BR m 2 zi ax rien! Regen. 2 Naehmittags....30,69 — 2 6 8,28
2: | N, Ces or der Beobachtnng Regen.
26.» |9 | 308 | S.| 3 | Regen. Bes 7 Abends.. ssmsies 29,10 = 2 5 1,20
» | 2 | 448 | W.| 8 | Regen. ^ e :
» |7 |454 |NW. 3 | Regen Das Fallen des Wassers wird mit —, das Steigen
27 à 4 e SN : an mit + senes und das gefundene arithmetische
» |7 Mittel 30,18 wird als Normalwasserstand angesehen
98 » (9 | 37,0 | N. | 2 | Regen 8
» |2 |830 | N. | 2 | Vor der Beobachtung Regen. und mit dem Zeichen + bezeichnet.
Noire Die Differenzen zwischen dem Mittelwerthe der zu
- , ; A " e
» - 218 x - verschiedenen Tageszeiten beobachteten Wasserstände
89519 329 | N.| 4 : und des Normalwasserstandes sind:
^» |2: | 85,7 | N. | 4 |Vor der Beobachtung Regen.
Dä 36,0 | N.| 4 9^ — 0,97"
» 19 |360 | N. | 3 | Regen.
» |2 |822 | N. | 8 | Regen 2 +0,51
» |7 |807 INW. 2 |Regen. 7 — 1,08
1 Sept.) 9 | 28,7 | W.| 2 |In der Nacht Regen.
E) e ee dé 21 Hieraus ersehen wir, dass beim Fallen des Wassers
j Ma a . D H
2 » |9 |290 | W.| 3 |In der Nacht starker Regen. die Differenz zwischen dem Normalwasser grósser
A 12.1910 | W.1284 jc balm Stei ist
far ET ESS ET. | als beim Steigen ist.
3 : : A c : Vor der Beobachtung Regen. Berücksichtigen wir nun auch die Monate, so er-
»|7|272 N.| 2| halten wir folgende Tabelle:
4 » < 25,2 |NO.| 2
» 250 |NO.| 2
» |7 |245 |NO.| 2 | “| Anzahl der | ig Was- [Mit Massére
5 » |9 |265 |NO. 2 | Regen; in der Nacht Regen. Monat. Tageszeit. | Beobachtun-| ^ zechähe. hóhe Moi gan-
» |2 | 26,2 .| 2 | Vor der Beobachtung Regen. gen. | zen Monats.
» 7 —l
6 » |9 |949 S0.| 2 għ 12 23,38"
» |2 |260 .| 2 | Regen. Dit... 2 12 23,75 23,38"
» | 7 |258 ISW. 2 7 12 23,00
T » |9 |267 |SW.| 2 |In der Nacht starker Regen. 9 30 26,94 e
» |2 |268 | S. | 2 |Vor der Beobachtung Regen. Sal oe : = 2 26,
9 31 85,56
Lafe | 2 a | 850. || mag
Das Datum ist nach neuem Stil angegeben. e F : z -
wurde dreimal täglich beobachtet, nämlich 9" Mor- | september. 1 2 : ou er
gens, 2" Nachmittags und 7" Abends. Die Stärke is e e
Hieraus ergeben sich folgende Differenzen zwischen
diesen aus den Beobachtungen WS Mittelwer-
439 Bulletin de l’Académie Impériale
HAE EEE EEE EEE EEE EE EEE UN LL D B D BD D G Lg g
Ro Pe ge 10 EE on
D LJ E 1 1 4 Pkg.
then und dem Normälwasserstande, indem wir diej Datum. |Tageszeit. | Differenz. | Datum. | Tageszeit
oben angegebenen Bezeichungen beibehalten: 28 Juni | 9% — 62" | 17 Juli A ER
» 2 — 7,1 » 7
; : 7 — 9,2 18 » 9
Mittl. Differenz s g
Monat: Tageszeit. Differenz. für den ganzen 28 : : er ud : 4
T Monat. » 7 —129 | 19 » 9
BI L— pui 9 — 6,4 » 2
9* — 6,8 S 2 0,4 "
— 7
JUBR ES AN { ` a — 6,8 » 7 — 4,6 20-0» 9
d ge $n 26 » 9 — 7,0 » 2
ho Made 2 — 3,9 — 4,0 : : 2 : :
7 € 13 , » / — 42 21 » 9
; 9 CS 53 27 » 9 — 8,9 » 2
August........ 2 +54 +53 : - Sior : e
= BEA: » — 4, 22 » 9
9 $0 98 » : — 448 » DU
— 8, » acd » 7
September ..... S — Si — 3,0 » 7 NH 4,6 199 ^» 9
— 9 29 » 9 — 9,7 » 2
» 2 — 42 » 7
Hieraus ersehen wir, dass das Wasser im Mittel| » > : AI `
H LA . D LA dem z
im August am höchsten und im Juni am niedrigsten » 2 — 84 » 7
gestanden hat. 1 Juli e SS e du i
H LI . * LJ H D : E :
Bestimmen wir jetzt die mittleren Differenzen des $ : "EC. s T
i : » — 5 96 » 9
Wasserstandes zwischen den verschiedenen Beobach- 2 » 9 — 94 » 2
tungsstunden jedes Monats, so erhalten wir folgende x : = e gës i
2x 2 3 : — 5, » f
Übersicht, in welcher das Zeichen + angiebt, dass; 3 » 9 — 3,3 » 2
bei der folgenden Beobachtung das Wasser um sc viel, e 7 m 50 28 — 9
als die Zahl angiebt, gestiegen ist, während das Zei- ër : m o 5 :
5 ` D un P DI
chen — ein ebenso starkes Fallen anzeigt. » 7 160: 1.529 *» 9
5 » 9 — 52 » 2
Differenz Differenz Differenz x ~ = > s e
Mi zwischen dem | zwischen dem | zwischen dem 6» 9 € $1 pee 2
Wasserstande | Wasserstande | Wasserstande » 2 = Sin : 7
más. wmstanpo Le Eet | 5 | 7 |—87|» | 9
Juni 0977 PT 0. 38” ` EN 0. 75" 7 » 9 eng 4,1 » 2
1 ss. — 0,10 — 0,55 — 045 s : gn 1,3 3 3
August.. zept ^ + 0,07 — 0,06 — 0.13 8 p 9 + ^ i 1 Aug vi |
September......| ^ — 0,04 + 0,03 + 0,07 s 2 wë à À -
E D =; — Se
Mittelwerth..... + 0,07 — 0,24 — 0,51 » 7 _ 44 9 s TT
: ; ; HIDE PE 9 » 9 FE A a"
Hieraus ergiebt sich, dass die tägliche Schwankung p 2 — 4,6 » 5
im Juni am grössten und im August am geringsten | 10 » 5 më e hs -
Li D D D 2S di
gewesen ist, ferner im Mittel täglich von 9" bis 7^ ein z 2 : e T
»
Fallen des Wassers stattfindet. ils 9 vue 3 i 2
Die grösste mittlere Wasserhöhe wurde beobachtet : ~ = = ` :
. LJ T 5
um 2^ im August und die unbedeutendste um 7^ im| 12 » 9 — 81 e 2
September. s : TA ^ :
: : : » 7 — 6,1 6 » 9
Es folgen nun die Differenzen zwischen den jedes-| !? ? A eg A ;
: » SENS Y. » 7
maligen Beobachtungen und dem Normalwasserstande, > í — 49 7 » 9
» LATUM, 7,1 » 9
Datum. |Tageszeit. | Differenz. | Datum. |Tageszeit. Differenz. r ; m Aë 8 E 5
š b PER mouse — y »
19 Juni g% — 7,6” | 21 Juni gh — 7,6" id. 9 mb E ?
» 2 — 10,2 » 9 des 8.6 a 2 — 6, » 7
» 7 8,7 » 7 — 93 16 ^ 7 E 4,2 9» 9
20 » 9 - 55 99 » 9 Hi 87 » 9 — 42 » 2
» 9 — 7,7 » 9 — T6 2 = — 32 » e
» — zi i s 1 "ei 4,2 :
7 7,2 » 7 sé 8,3 1275 9 m 42 10 H ii dg
FEB IEE FF FI 1| BEFEFIECITI
= e
Fr
pi
Ge
Les
A
GÀ
$
dem Werthe des Nérmalwasserstandes, ohne Berück-
sichtigung des vorhergehenden Zeichens, so wurde
das Normalwasser beobachtet:
Am 25. Juni 2" Am 23. August 2^
= 2. August 9 » 31. » 7
20 per: Ÿ » 1. September 7
# 22. v — 0 yox »
= 22. » 2 »- =. » 9
Also:
‚Im Juni 1 mal im September 3 mal
» Juli W » » Ganzen 10 »
» Aug. 6 »
Berücksichtigen wir die Tageszeiten, so wurde zu
folgenden Tagesstunden das Normalwasser beobachtet :
441 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 442
Datum. Tageszeit. | Differenz. | Datum. |Tageszeit. | Di icm | L
|T% 1 : E mm ms. | » Um 9° Morgens 3 mal
10 August ah | + "4 |24 August 7A 2 — 54" » 2 Nachmittags 4 »
11 » 9 +149 |: » | 9 + 5,7
» 2 + 16,9 » 9 + 5, | » 7 Abends 3 »
» 7 + 17,7 » 7 + 6,9 Die N
12 -» 9 — 26 » 9 4E g7 ie Normalwasserbeobachtungen als Procente aller
» 2 +13 » 2 + 14,7 e
x 7 4. 04 : = SR Beobachtungen ausgedrückt, ergeben:
13 » 9 + 8,9 127 » 9 + 10,5 0
d 2 + 8,9 » 2 "y 2,297,
» 7 + 6,4 » 7 *
Hsu» 9 er 9 Dë Was nun das Auftreten des Hochwassers betrifft,
» 2 » 2 + 29 |g 4 e
2 ` od 34 ? , ki. /4 so trat dasselbe ein:
15 `» 9 a8 E29 » 9 +21 ` n
. , "—-— . 4 Aare: Im Juni 0 mal von 36 Beobachtungen
» 4 + 2,2 » T + 1,6 » Juli Dn » y
16 2» -- 8,0 |30 9 2,1 i
» 2 d - 17 d 2 Sa 12 H August 76 » n 91 »
» T + 2,9 » 7 + 16 » September 2
No» 9 a 762183 o» 9 A p ^ Fu» $
» 2 + 7,9 » 2 + 9j » Ganzen 78 » » 235 »
» 7 5,2 » 7 + 0,6
18 » - D. 1 Septbr. : — D Drücken wir die Anzahl dieser Beobachtungen pro-
» + » + ` " e
z 7 + 248 2 7 4- 0,8 centisch zu allen übrigen Beobachtungen aus, so er-
19 a 9 133 |2 » 9 NA ; i
P" : abs : ` 0 halten wir folgende Tabelle:
» 7 a pB » 7 + A : $2 py SC GK zn 0
ES. aen 9 4 893bB 1o 9 T oe Im Juni betrugen die Ho gen 0,00,
» p + = » 2 S = » Juli » » » 0,00 »
» + 0 » 7 — 29
ne NME libellé A T » 83,51 »
» 2 + 6,9 » 2 —: Bl
» 7 + 12,9 ; 7 és NS ER, » 10,53»
292. » 9 + 00 | 5 » 9 — 36 | » Ganzen » » » 32,34 »
» 2 — 0,3 » 2 — 8,99 d
» 7 + 44 » 7 Ziehen wir nun noch die Tageszeiten der Beobach-
Sen 9 57 6 » 9 —5,2 | à :
» E + 0,9 z 2 — 41 ‚tungen in das Bereich unserer Untersuchungen, s0 er-
» 7 = ‘14 » 7 4,3 : : A
FE : Elis Em 34 halten wir folgende Übersicht:
» 2 Se eg
| p o dë 33 | Im Aug. wurde um 9" das Hochwasser beob. 27 mal
" «1 : » » » 2 » » » A y
etzen wir jetzt sämmtliche Differenzen, welche an| „ , uo DA a 5 » ds
Stelle der ganzen Zahl eine 0 haben, die also nur ein- | „ gent, ` » » 9.» 2 TE a
fache Brüche und keine gemischten Zahlen sind, gleich | , |. ,, RN Zus eurih y
Aus diesen Berechnungen ergiebt sich, dass vor-
herrschend das Niedrigwasser beobachtet wurde, denn
der Hochwasserstand trat im August vorherrschend
auf, wo er mit ganz besonderer Intensität erschien.
Eine Hebung des Wassers zu bone Tageszeiten
liess sich nicht nachweisen.
Wir gelangen nun zum Niedrigwasser, welches be-
obachtet wurde, im:
Juni . 35 mal von 36 Beobachtungen.
Juli 89 » ».89 D
August 9.2. » 1 »
» »
E 19
Dieses giebt procentisch ausgedrückt:
September 15
443 Bulletin de l’Académie Impériale Au
Im Juni betrugen die Niedrigwasserbeob. 97,22
» Juli » » » 100,00 »
» August » » » 9,89 »
» Sept. » » » 78,94 »
» Mittel » » » 49,01 »
Berücksichtigen wir jetzt auch noch die Tageszei-
ten, so erhalten wir folgende Übersicht:
Im Juni Vorm. 9" wurde Niedrigwasser beob. 12 mal
11
» » Nachm. 9 » » » »
» » Abends. 7 » » yu. wa à
» Juli Vorm. 9 » » » 380 »
» » Nachm. 2 » » » 99 »
» » Abends 7 » » p^ 30' »
» Aug. Vorm. 9 » » » 9: »
». » Nachm. 2 » » » 3»
» » Abends 7 » » » SCH?
» Sept. Vorm. 9 » » » 6 »
» » Nachm. 2 » » » 6 »
» » Abends 7 » » » 2»
Es wurde überhaupt beobachtet ohne Berücksich-
tigung der einzelnen Monate:
a) 9" Morgens b) 2" Nachmittags
Normalwasser 3 mal Normalwasser 4 mal
Hochwasser 28 » Hochwasser 25 »
Niedrigwasser 50 » Niedrigwasser 49.
c) 7" Abends
Normalwasser 3 mal
Hochwasser 25 » `
Niedrigwasser 48 »
Hieraus kann keine Gesetzmässigkeit erkannt wer-
den, denn die Niedrigwasserbeobachtungen zeigen
stets die grössten Zahlen, weil sie eben die häufig-
sten sind, und die Normalwasserbeobachtungen stets
die kleinsten Zahlen, weil sie die seltensten sind, und
die Hochwasserbeobachtungen liegen der Anzahl ihrer
Beobachtungen entsprechend auch hier stets in der
Mitte.
Es bleibt uns nun noch übrig, das Maximum und
Minimum des Wasserstandes zu betrachten. Diese sind:
Maximum 54, 9"—4'6" 10,8" am 18 August um 7^ Ab.
Minimum 17,9 —15 10,8 » 24 Juni »7»
Die Differenzen zwischen dem Normalwasserstande
und dem Minimum und Maximum des Wasserstandes
sind: T (ue!
Maximum: + 24,8" — 2’ 09,6”
Minimum: — 12,2 =1 0 2,4
Also ist die Maximaldifferenz, welche die grüsste
beobachtete CrN des Meeres ausdrückt, =
37,09 — 3'1
4) Beziehungen zwischen Wasserstand, Windrich-
tung und Windstärke.
Indem wir die Windrichtung besonders berücksich-
tigen, erhalten wir folgende Übersicht:
indrich-
tung.
x
Beobach-
ST RO © -1b0 cO «1o CO MP BO (D I NO CO NVON bO CO I NO © I BO © I BO © d bO © I ND CO IN © NI BO SD M1 RO CD S1 10 CO ed No G tungsstunde.
2
Anzahl der
gen.
— mm" "emm" mmm en mmm" "am, mm" am mmm" mmm "emm" "ememr Mittl. Wasser-
E:
T
tungen.
Anzahl
wx lsàmmtl. Beob-
A achtungen
ho
Z
Se
© ob © © © ta a m ER ER a EE ER o m o w eebe e © © | Beobachtun-
len Beobach-
Mittlerer
Wasserstand. |
stand aus al-
m | W
u.
.
.
x
=
-
2
©
t
n2
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KA
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9 Où 1 © mi O0 mi NO NO I 9 ei © © © ri mi © C0 =] On RO O0 2 © O0 0
serre 3.2.0:
v
445 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 116
Ls er 1
a E 2% “a gg E 9.98
ou ZS = e 1
28 | = | 35.31.13 gras ^H | | ab en
auper [rg S pag ggs | 35 | August | 9 N. ur li ar `
NW. | August 9h | 894" 6 P I W, + 46
» » 2 38,6 6 399' | 20 á 2 + ps t ©
à , 7 | 419 8 : 3 EM c
Cé » 9 36,3 5 » 7 X 856 e 55
» » 2 40,1 f =
» » H 34,7 : 97,0 12 4 SW, 33,0 + 80
sw. » 9 | 819 5 » 7 à e Ar
, » 2 31,9 8 BA 1 |,» 9 und 3 SW 31,9 * 18
S. i 9 | 361 4 ee ` > wt:
9 id
» » 2 A 0 34,4 8 | September| 9 NW 29,5 A 06
80. » 9 0,0 0 September! 8 W. 2 dd
e . 9 | 855 1 31,9 3 p ux LE W 28,8 né
» » 7 29,4 9 ; Juli 9 W 28,0 — $4
0. » 9 29,9 2 Septemb. W ri gl
s x 2 | 543 2 39,1 7 en leg sw ao ën
|! le | es ES -— Zell
, BE 8,4
« a - A 3 35,6 | 10 Juli 7 wW 26,6 — 85
N. (September! 9 0,0 0 * 9 e 355 m
D » 2 0,0 0 27,2 1 » 2 wW i CR
ES: HET I spe Be S
M ^ ug e 2 Së Juli 2 NW 26,1 "ees ` 40
1 » 7 0,0 0 : i : 7 2l 26,0 ` Lo
d x 2 es 3 29,3 6 — 3 W
BE An. a ett. DH ber 4 ai | Bi ds
» » 2 0,0 0 26,5 8 » 7 N
» » 7 26,4 2 1 » 9 NW
è ` 9 00 | 0 » 7 sw. | 258 -M
: Wl 2 26,8 1 26,8 1 September) 9. NO
mue | "ER Ru Ne
A b
à » 2 | 260 1 25,4 2 |September| 9 80. } Wi E s
iR » 9 Gei $ : 1 SW M ED.
b > 2 00 | 0 00 | o | September, 7 No. |J 25 Tu
2 » 7 E 0 Juli 2 NO. 24,4 Ce —
* + d uni .
x » / 2 26,2 2 25,5 5 » 2 80. 24,0 — 61 .
» 7 | 245 1 Juli 9 0. wéi
osa EH bobo B abord
D g N 7 : | | $
Aus dieser Tabelle geht qe dass der Wasser-| Juni 9 NW. 23,2 69 .
stand seiner Höhe nach im Mittel folgende Reihen-| — , d SN. |} 281 TR
folge hat, indem wir vom höchsten Wasserstande be- | Aan ; Get 2 2221
ginnen une so bis zum niedrigsten herabsteigen. ` Jui | 2 A i Es bog M
» 4 NE LS ANM 2
Monat Të zeg | Wind.) TP Nor Differenz mit dem : 9 #0. | na "ipic Ed e
ageszeit.| richtung. | stand. eh ae .. 7 80. 9 - 129
k , er ;
Trug va CEET Ri "i Hiernach liegen die SE KS der positi-
e "2" Ww. 401 4100 . -| ven (+) und der negativen im enge. beinahe
à aa NW. | 894 + gleich weit von dem Normalwasserstande nde entfernt, in-
E de, NW. | 365 | +64 |dem ihre Differenz nur 0, Ae 4,8" beträgt.
iod | YOD EP] Ti- |- DefügeeTaelogotm wie dermiti War
nn d Nouo p pone M - | serstand bei jedem Winde war, indem wir wohl die
| po nulo d c e Tageszeiten, nicht aber die Monate berücksichtigen.
447 Bulletin de l'Académie Impériale 448
— `
Wind- vido Wawer a) der Mittel ans den um 9, Die mittleren Differenzen zwischen den an den drei
i Tageszeit. Beobach- |2 u. 7 angestellten
richtung. stand. | tungen. | Beobachtungen. | verschiedenen Beobachtungszeiten angestellten Beob.
Fe, ER EE, S n^ ; d LS achtungen ergaben:
ge 2 30,4 14 29,8
rs 7 28,8 12 f . ifferenz Differenz Differenz
NW. 9 29,4 21 Windricht zwischen der Be- zwischen der Be- zwischen der Be.
2 : 29,0 17 31,6 ingrichtung. lobachtung um 9lobachtung um 9lobachtung um 2
š 7 36,5 23 nd 24, h und 7h,
W. 9 29,0 16 | Has 7 Sc
» 2 30,0 16 29,4 N 0 9" 1,6" 16"
SW à n ` NW. 0,4 7,1 75
D D a A
» 2 27,2 13 27,2 W. 1,0 0, 0,6
7 274 i SW. 0,0 0,2 0,0
S 9 30.0 e S, D 2,1 3,4
a 2 24,5 4 27,4 D | d e i
r : 2 7 NO. 0,6 16 1.0
80. 9 25,0 3 Mittel 18 91 jg
» 2 29,3 5 25,8 — , , ;
» C7 23,3 5.
0. 9 26,9 4 : :
» 9 29,6 4 | 28,5 Hieraus ergiebt sich, dass zwischen 2^ und 7° die
` 7 29,1 4
NO 9 | 281 11 stärksten und zwischen 9" und 2° die schwächsten
, : i ` l 28,8 Schwankungen stattfinden.
» E?
| Das mittlere Maximum der Schwankungen ki
Berechnen wir jetzt die Differenzen zwischen dem
mittleren Wasserstande bei jedem Winde und dem Nor-
malwasserstande, so erhalten wir folgende Tabelle:
Windrichtung. Differenz. Windrichtung. Differenz.
N. — 0,3” 8. gg"
NW. +15 80. — 4,3
W. — 0,7 0. — 1,6
SW. — ©: NO. — 13
Hieraus folgt, dass wenn wir die Zahlen, welche |
reine Brüche sind, nämlich 0,3 und 0,7 — 0 setzen,
beobachtet wurde:
Normalwasser bei N. und W.
Hochwasser » NW.
Niedrigwasser » SW., S., S0., O. und NO.
Die bedeutendste mittlere Hóhe der Wassers tritt
ein bei NW., der tiefste mittlere Wasserstand bei SO.
Wenn wir jetzt die Winde in der Reihenfolge der
Hóhe des Wasserstandes so ordnen, dass wir mit dem
hóchsten beginnen und dem niedrigsten endigen, so
erhalten wir als Übersicht:
+ >. un
ame mn m an ^ à =
NW. N. W. NO. 0. S. SW. SO.
Hieraus ergiebt sich bei O.- und S.-Winden (SW,,
S., 50., O., NO.) ein Fallen, bei N. und W. der Nor-
ns des Wassers, und bei NW. ein entschiedenes
Steigen des Meeresniveaus.
beobachtet bei NW. zwischen 2^ und 7* = 7,5".
Das mittlere Minimum der Schwankungen wurde
beobachtet bei N. u. SW. zwischen 9" und 2^ =
Die folgende Tabelle soll uns zeigen, wie oft bei
jedem Winde Normalwasser, Hochwasser und Nie-
drigwasser beobachtet wurde.
ind- Normal- Hoch- Niedrig- Summe der
richtung. wasser. wasser. wasser. Beobachtungen
N. 0 14 24 38
NW. 3 20 40 63
W. 1 12 26
SW. 5 11 16 32
S. 0 7 9 16.
so. 1 1 11 13
0. 0 4 10 14
NO. 0 10 11 21
Hieraus ergiebt sich:
Hochwasser ist am häufigsten beob. bei NW. —
Niedrigwasser » » » s NW: RU
Normalwasser » » » » SW.
Hochwasser » seltensten » » SO.
Niedrigwasser » » » 1.
Normalwasser ki » » » N., a. 0. und
| NO. (0 mal)
Die Anzahl der Wasserbeobachtungen bei jeden
einzelnen Winde wurde jetzt als Procente sämmt-
licher bei ein und demselben Winde angestellten He
obachtungen ausgedrückt, wie folgt: |
419
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
N.:
Normalwasser
Hochwasser
Niedrigwasser
W.:
Normalwasser
Hochwasser
Niedrigwasser
SW.:
Normalwasser
Hochwasser
Niedrigwasser
M
Normalwasser
Hochwasser
Niedrigwasser
0,00 */
34,91 »
65,79 »
2,56 JA
30,76 »
66,68 »
16,62 %,
34,37 »
49,01 »
0,00 ?/,
43,75 »
56,25 »
NW.:
Normalwasser
Hochwasser
Niedrigwasser
S0.:
Normalwasser
Hochwasser
Niedrigwasser
Aa
Normalwasser
Hochwasser
Niedrigwasser
NO.:
Normalwasser
Hochwasser
Niedrigwasser
Aus dieser Übersicht ergiebt sich:
a) Verhältnissmässig wurden die meisten Normal-
wasserbeobachtungen beim SW. gemacht, die wenig-
sten beim N., S., O. und NO., nämlich gar keine.
4,76 °%
31,77 »
63,47 »
7,69 Ÿ,
7,69 »
84,62 »
0,00 %,
28,57 »
71,43 »
0,00 JA
47,61 »
52,39 »
b) Verhältnissmässig wurden die meisten Hochwas-
serbeobachtungen gemacht beim NO., die wenigsten
beim SO.
C) Verhältnissmässig wurden die meisten Niedrig-
wasserbeobachtungen angestellt beim SO., die wenig-
sten beim, SW.
Nachdem nun im Vorhergehenden die Beziehun-
gen zwischen der Windrichtung und dem Wasserstande
besprochen sind, gehen wir zu den Beziehungen zwi-
schen der Windstürke und dem Wasserstande über.
Es muss zuerst bemerkt werden, dass bei den vorlie-
genden Beobachtungen die Stärke des Windes sorgfäl-
tiger beobachtet worden ist, als an den Localitäten,
welche früher als Beobachtungsorte dienten, und über
welche ich im Artikel I und II bereits früher meine
Untersuchungen angestellt und veröffentlicht habe.
Es war nämlich in den bei Sandel und Arensburg
geführten Tagebüchern nur der Unterschied zwischen
Wind und Sturm aufrecht erhalten worden; hier hin-
gegen ist die Stärke des Windes in Ermangelung ei-
nes Anemometres freilich auch nur durch Schätzung,
wie das ja beinahe stets der Fall ist, bestimmt wor-
den und durch die Zahlen 1 bis 4 im Tagebuche ver-
Tome VIII.
zeichnet. Die einzelnen Grade bezeichnen folgende
Windstärken:
1) Ein ganz leiser Wind, bei dem die Entfernung
von dem tiefsten Punkte des Wellenthales bis zum
Wellenkamm noch kaum 2” misst.
2) Wenn sich schon wirkliche Wellen bilden.
3) Wenn der obere Wellenkamm mit weissem Schaum
bedeckt ist, aber die Windmühlen noch mahlen kön-
nen.
4) Wenn die Windmühlen, durch die Stärke des
Windes verhindert, nicht mehr arbeiten können.
Man darf bei Bestimmung der Stärke des Windes
die Wellen nicht unmittelbar am Strande beobachten,
sondern muss stets etwas weiter ins Meer hinein bli-
cken. Auch muss man bei Bestimmung der Windstärke :
aus der Beschaffenheit der Wellen berücksichtigen,
wie der Strand beschaffen ist, ob er kahl oder bewach-
sen ist, ob er von steilen Felsen gebildet wird, oder
ob er sich flach ins Meer verliert.
Die Bestimmungen der Windstärke aus der Beschaf-
fenheit der Wellen schien bei diesen Untersuchungen
über die Wasserschwankungen besonders zweckmässig,
da hierdurch zugleich ein Mass für die Höhe der
Wellen geboten wird, so dass man die Correctur der
Beobachtungen, nämlich das Berechnen der durch den
Wellenschlag erzeugten Fehler der Beobachtungen,
hiernach einrichten kann.
Folgende Tabelle zeigt uns, wie die Wasserhöhe
sich bei den verschiedenen Stärken jedes Windes ver-
hält:
Windstärke.
Wind- 1. 9. 8, | 1
rich- Anzahl Anzahl D _ [Anzabl
der B -— (er Be- Was- [der Be Was- Aer Be-
eg pr obach- sod obach- höh ob À rt obach-
höhe. tunge - tungen. : tungen ` tungen.
x. [380 | 1 |285'| 16 |278 | 16 1329"| 4
NW. | 27,1 12 1295 20 | 30,5 21 | 35,0 8
W. 2 |284 | 91 |328 | 16 | 00 | 0
sw. 1999 | 2 |298 | 16 |278] 11 |963 | 3
s i28 | 7 |268 | 7 |828| 27] 00! 0
SO. | 27,8 3 |249 8 | 226 2 0,0 0
o imei 4 |5191 ;2 9] | 1
NO. | 29,4 3 {28,3 | n [336 | 6 36,5 1
Mittel | 29,2 28,5 29,1 31,0
Aus dieser Übersicht geht hervor, dass bei der
Windstärke 4 der höchste und bei der Windstärke 2
durchschnittlich der niedrigste Wasserstand sich zeigte.
Wenn wir diejenigen Werthe, welche nur durch eine
451
Bulletin de l'Académie Impériale
einzige Beobachtung gewonnen wurden, ausschliessen,
so wurde der höchste durchschnittliche Wasserstand
beobachtet bei der Windstärke 4 bei NW., und die
niedrigste Wasserhöhe bei der Windstärke 3 bei SO.
Bringen wir jetzt die oben erhaltenen Zahlen in
eine Beziehung zum Normalwasserstande und behal-
ten dieselben Bezeichnungen bei, deren wir uns oben
bedient haben, indem wir die Differenzen zwischen
dem Normalwasserstande und den vorliegenden Zah-
len erhalten, so ergiebt sich folgende Übersicht.
Hieraus folgt, wenn, die Windrichtung unberück.
sichtigt bleibt, dass beim Sturm (Windstärke — 4) der
mittlere höchste Wasserstand eintritt, bei dem das
Wasser im Mittel 0, 9° über Normalwasserstande steht,
während bei der Windstärke 2 im Mittel der niedrigste
Stand, nämlich 1,5" unter dem Normalwasser eintritt,
Es ergiebt sich ferner aus diesen Untersuchungen,
dass die Extreme des Steigens des Wassers eine Folge
besonders heftiger Stürme aus Gegenden, wo über-
haupt eine Erhóhung des Wassers erfolgt, sind.
E Windstärke: N : :
ervad 2 Um die Frage zu beantworten, ob ein bestimmter
1. 2. 3. i 4. Wind bei längerer Dauer ein Steigen oder Fallen des
N. aT" _ 2r — "d + - Wassers verursacht, und wie sich dabei seine Stürke
AN en Së dc = M * verhült, und welchen Einfluss der Wechsel der Wind-
ic = 92 — Ge op 2% — 3,8 stärke in diesem Falle auf das Wasser ausübt, soll
. t IP a H . è $ 1 ^
S0. ` — 28 25, — 7,8 hier folgende "Tabelle uns zeigen, wie sich das Wasser
Tt Bä "RE s 2
Ba i ox ae 18 A Y js Dë bei anhaltender Dauer eines und desselben Windes
Mittel — 0,9 — 1,5 1,0 + 0,9 verhält.
Wind: Die vie vielgte Bene in der Hegharhe Stärke des Windes bei jeder Beobachtung.
richtnng. )
1. | d | 3. | 415.16 7 leds, l1. |.1512.|8 |4 | 5.6. | 7. | 8 | 9. |40.
N. 26,7/20,8^26,07 25,1" ia Lë
N. 128,0 24,0 24,4 |24,4 |23,9”123,0 23,0 Ms ka ls | 8 | 2
N. 126,6 28,0 26,5 126,5 "e So Ss
N. |25,8 (28,5 28,5 27,0 28:8. 2
N. 136,5 |36,5 2 | 3
N. |37,0 133,0 32,7 |32,2 31,3 palia | 9 | 2 | 2
32,2 |35,7 |36,0 |36,0 32,2 44141313
7. 122,4 29.9 92,5 81811 ?
NW. [22,5 121,8 23,9 2.8.].8
NW. 125,0 24,7 27,7 126,9 3 | 8.| 2 | 8
NW. [25,7 24 218
[W. 123,9 125,9 25,9 26,9 |25,9 25,9 25,9 |26,426,725,2"| 4 | 42 F4 k4 | 8 | 8 | 8 | 21,1
NW. 26,5 125,3 8 | 2
NW. 123,9 123,0 2 | 1
NW. [28,0 27,7 1 |.2
NW. [38,0 33,0 34,5 ' 8 | 8 |3
NW. [36,5 135,0 8: Lake
NW. 47, 45,0 3 I1
NW. 147,9 152,9 |54,5 244 |4
NW. 133,8 131,0 id"
NW. 145,4 40,6 |39,5 8 | 9 | 9
W. 126,4 125,9 125,3 21212
LE 25,5 24,8 5 318
. |26,9 127,9 |28,2 |27,0 |27,2 27,5 |25,7
W. 135,0 35,5 Elgin lu "CUP =a rael igit Hc oo le
W. 135,0 /33,0 33,0 34,5 EE TTC
SA, $ 45,0 |47,0 2. | 3
W. 142,4 140,6 8 | 3
W. 28,7 27,0 2 | 9
W. . 129,0 31,0 3 | 3
SW. 123,0 120,9 8 | 3
SW. 7 29,7 25,5 28,1 |26,5 25,9 4|14|]41s1!81|2
SW, 0 129,0 (28,5 |32,0 |33,3 33,0 | . 851831818. 2) 8 ;
SW. 134,7 33,5 2| 9 :
SW. 033,7 | ! 2 | 2 1
453 des Sciences de Saint- Petersbourg. 454
e:
Die wie vielste Beobachtung in der | :
Wind- | eg S eren Stärke des Windes bei jeder Beobachtung.
richtung. «m
í|2|s|4|s]e|z |$]|9 lie | t.|2 s. |& | | e|. | s. | v |10.
sw. |30,1” 20, LI
SW. |95,8|96,7 2|2
S. 19,9 21,4 9 | 1
S. 25,4 |25,5 112
S. 24,0 |21,7 22,4 2 | 2 |:1
37,0 |39,8 2 | 3
SC 21,2 124,0 8 | 3
so. 122,9 23,2 2 | 2
so 24,9 126,0 2-2
0 25,0 25,1 213
0 26,9 925,4 à | 1
O. 126,7 124,7 124,7 2 | 3 | 4
NO. 39,5 139,0 39,0 36,5/185,5" 2 18113 1.4. |. 8
NO. 132,5 133,0 32,8 8 | 2 | 2
NO. 25,2 25,0 24,5 26,5 131313
Die Bestimmungen über das Verhalten des Wassers
bei anhaltendem gleichen Winde können in den vorlie-
genden Untersuchungen einer viel genauern Erfor-
schung unterworfen werden, als dies in den früher von
mir über denselben Gegenstand veröffentlichten Ab-
handlungen der Fall war, denn jetzt liegen genaue
Bestimmungen über die Stärke des Windes vor, welche
zugleich ein Maass für die Bewegungsgeschwindigkeit
des Wassers geben. Wir müssen bei der Prüfung über
das Verhalten des Wassers bei ein und demselben
Winde die Bewegung desselben bei gleich starken Win-
den und bei veränderter Windstärke unterscheiden.
A. Bei anhaltendem Winde aus einer Richtung und gleichbleibender Windstärke.
a) N.- Wind.
Bei der Windstärke 2 im capt — 1,0" aus 10 Beobachtungen.
» » 3 » + 0, Ge 12 »
"age » 4 » » 4-19 » 3 »
b) NW.- Wind.
Bei der Windstárke : im E pes — 8 du. 2 Beobachtungen.
5. » » — 11 »2 »
» » » : » bY 202 » 14 »
Dnb » 4 » sat 2.6 »
o W. - Wind,
Bei der Windstärke 2 im Mittel — 0,3” aus 8 Beobachtungen.
».» » » » mo» »
d) SW.- Wind.
Bei der Windstärke 1 im Mittel — 0,3" aus 2 Beobachtungen.
BEN » oi.» n —0, p % »
» » » 3» TE ue.» 9 »
» » » 4 » »s 606 E 5 »
e) S.- Wind.
Bei der Windstärke 2 im Mittel — A aus 2 Beobachtungen.
f) SO. -
-Wind.
Bei der Windstärke 2 im Mittel + 0, 7” aus 4 Beobachtungen.
3
» » » » »
+28 » ,
à g) O.- Wind.
. Bei der Windstärke 1 im Mittel + 0,8' aus. 2 Beobachtungen.
99*
Bulletin de l’Académie Impériale
h) NO. - Wind.
Bei der Windstärke 2 im Mittel — 0,1” aus 6 Beobachtungen.
M» » 3 Y 0, P 2 »
B. Bei anhaltendem Winde aus einer Richtung, aber wechselnder Windstärke.
Hierbei muss man unterscheiden, ob die Stürke des Windes eine ab- oder zuneh-
mende Ist. a) Bei zunehmender Windstärke.
a) N.-Wind.
Übergang von dem Stürkegrade 2 zu 3 im Mittel + 1,3" aus 2 Beobachtungen.
8 NW.-Wind.
Übergang von dem Stürkegrade 1 zu 2 im Mittel — 0,3" aus 2 Beobachtungen.
» » » » 2 » 3 » p — 0, » 6 »
» » » » 2.2.45 » +3,0' » 4 »
y) W.- Wind.
Übergang von dem Stärkegrade 1 zu 2 im Mittel + 0,3" aus 2 Beobachtungen.
» » » » 2» D » —0,7 » 8 »
8) S.- Wind.
od von dem Stärkegrade 1 zu 2 im Mittel + 0,1" aus 2 Beobachtungen.
» » » Z 31 » +1 8 »..0 »
e) O.- Wind.
Übergang von dem Stärkegrade 2 zu 3 im Mittel — 0,9" aus 4 Beobachtungen.
» » » » 3 » 4» yr 0.0 » 2 »
t) NO.- Wind.
Übergang is von dem Stärkegrade 2 zu 3 im Mittel — 0,5” aus ? Beobachtungen.
» » » 3 » 4» » — 2, » »
b) Bei abnehmender Windstärke.
a) N.- Wind.
ypas von dem Stärkegrade 3 zu 2 im Mittel — 0,7” aus 6 Beobachtungen.
» » » 4 » 3» » —2,0 » »
8) NW.- Wind.
Übergang von dem Stürkegrade 2 zu 1 im Mittel — 1,2" aus 4 Beobachtungen.
»
» s — » Zeite Ri —27 » 2
» » » » 3 » 2» » —0,6 » 8 »
» * » EDD pa 20,0 .».2 »
» Schu » 4 » 3 » wu oe 0,0 vi "2 »
Y W.- Wind.
Übergang von dem Stürkegrade 3 zu 1 im Mittel + 0,2" aus 2 Beobachtungen.
» nn » 36 2» » 4-15 » 9 »
à) SW.- Wind.
Übergang von dem Stärkegrade 2 zu 2 im Mittel — 0,4” aus 4 Beobachtungen.
» » » » Sa e » —2,4 » 2 »
R S.- Wind.
Übergang von dem Stärkegrade 2 zu 1 im Mittel + 1,1” aus 4 Beobachtungen.
H
457 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 458
EEE
CH NO. - Wind,
Übergang aus dem Stürkegrade 3 zu 2 im Mittel + 1,3" aus 2 Beobachtungen.
» » » » 423» » —10 » 2 »
Aus dieser Übersicht geht Folgendes für den Wasserstand bei den verschiedenen
Winden hervor:
a) N.- Wind.
Bei anhaltendem N.-Wind bei gleichbleibender Windstärke durchschnittlich + 0,4”
» » » » zunehmender » » + 1,3
» » » » abnehmender » » — 1,3
» » » » » +- 0,1
b) NW Wind.
Bei anhaltendem NW.-Wind bei gleichbleibender Windstärke durchschnittlich — 1,0"
» » » » zunehmender p 35 3
» » » » abnehmender » » —0,9
» » » t » « — 0,4
c) W.-Wind.
Bei anhaltendem W.-Wind bei gleichbleibender Windstürke durchschnittlich — 0,1”
» » » » zunehmender » » — 0,4
» » » » abnehmender » » + 0,8
» » » » » + 0,1
d) SW.- Wind.
Bei anhaltendem SW.-Wind bei gleichbleibender Windstärke durchschnittlich + 0,2"
» » à » » abnehmender » » —],
» x ` » » — 0,6
e) S.- Wind.
Bei anhaltendem S.- Wind bei gleichbleibender Windstürke durchschnittlich — 2,3"
» » » » zunehmender » » + 0,9
» » » »- —0,7
44
f) S0.- Wind.
Bei anhaltendem $0.-Wind bei gleichbleibender Windstärke durchschnittlich + 1,7"
» » » » » + 1,
g) O.- Wind.
Bei anhaltendem O.-Wind bei gleichbleibender Windstárke durchschnittlich + 0,8"
» » » » zunehmender » ” — jd
» » » » » + 0,2
h) NO.- Wind.
Bei anhaltendem NO.-Wind bei gleichbleibender Windstärke durchschnittlich = 0,0
» » » » zunehmender » » — 1,5
» » » » abnehmender » » + 0,3
xd » » — 0,4
» H DI
Hieraus ersehen wir, dass, je nachdem die Stürke| 1) bei anhaltendem N., SO. u. O. ein Steigen ped
des Windes eine gleichbleibende, zunehmende oder| 2)bei anhaltendem NW., SW: S. und NO. ein Fallen
abnehmende ist, die Bewegung des Wassers eine ver- | des Wassers eintritt.
schiedene ist. | Es soll nun untersucht werden, wie das Wasser
Wirhaben aus den obigen Untersuchungen ersehen, | sich bei dem Windwechsel verhält, indem wir zugleich
dass: | | die Windstärke berücksichtigen.
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dece rt Qmm II! Massse- THIS TS HS S eieiei P. "Uu WU RE
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Les ann —
461 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 462
2) Ein Stillstand des Wassers wird beobachtet,
— N. auf NW. folgt.
3) Ein Steigen des Wassers erfolgt, wenn
NW. auf SW. folgt SW. auf SO. folgt
ZW ne GS. 5,9 o.» 20. 19
NW. » BO. » A c as SE
W:. ox» S coo Q. » SW...»
WM »cQ.. o» WD. A 2 45
sé: NO. » SU. »
Bevor wir diesen Abschnitt verlassen, sei es mir er-
laubt, einen Blick darauf zu werfen, in welchem Ver-
hältniss das Zu- und Abnehmen der Windstärke zum
Zu- und Abnehmen der Wasserhóhe steht.
Am deutlichsten werden die Vergleichungen des
Wechsels der Windstürke mit dem Wechsel des Was-
serstandes werden, wenn wir dieselben als Reihen
darstellen, in welchen wir jede Beobachtung mit a be-
zeichnen und die hóhern Grade der Windstürke da-
durch ausdrücken, dass wir die in den Beobachtungen
für die Windstärke angegebenen Zahlen vor a setzen.
Bei dem Wasserstande setzen wir die für jeden Wind,
für jede Windstärke berechneten Mittelwerthe unter
die entsprechende Beobachtung ebenfalls in Form ei-
ner Reihe, deren einzelne Glieder wir mit dem Zei-
chen + verbinden, während das zur Zahl in Bezug
auf den Normalwasserstand stehende Zeichen einge-
klammert und hinter die Zahl mit a versehen gesetzt
wird.
y uem. (f. 229 3a = FE
N. Wind: (es 1,0a) + (+ 0,4a) + (+ 1,9 a) MCN
NW La RECH
Wind: AN Een a te DO
So
W.OWipd: | 28.0, 94 shes
BÓ: | 550 + (000) : = SE
" e a S d
ei s Ee E eg GE B
SW.-Wind: E 020 + 70,70) + (40,62) 5.8 E
Hier beim SW. wurde von derfWindstärke 1 bis 3
ein gleichmässiges Fortschreiten der Zunahme des
Wasserstandes beobachtet, während bei der Windstürke
4 ein unbedeutendes Fallen des Wasserspiegels erfolgte.
S.- Wind: Anhaltender S.- Wind ist nur bei dem
Stärkegrade 2 des Windes beobachtet, woher sich
hier keine Vergleichung aufstellen lässt.
80.- Wind: Jare |
Also mit der Zunahme der Windstürke zugleich Zu-
nahme der Wasserhóhe.
O-Wind: Ist nur bei der Windstürke 1 beobachtet
worden.
: 20 +
NO. Wind: te 01a) + SCH
Hier zeigt sich gleichfalls eine Zunahme der Was-
serhöhe mit der Windstärke. |
Aus diesen Berechnungen geht hervor, dass bei der
Steigerung der Windstärke zugleich eine Steigerung
der Wasserhöhe unabhängig von der Windrichtung
erfolgt.
Wenn wir jetzt die Bezeichnungen für die Wind-
stärke beibehalten und bei den Wasserbeobachtungen
die Differenzen zwischen den auf einander folgenden
Angaben ziehen, so werden wir die Quantität der
Wassersteigung bei den verschiedenen Winden erhal-
en.
: 2a E 3a E 4a
N. - Wind: IM re
ge? ja -+ 2a + 3a + 4a
NW.-Wind: re X UT.
` 2a E 3a
T 1 ——M —"
W.- Wind Se
x a E 2a A 3a + 4a
SW.-Wind: d ds Y:
` 20 + 3a
2,1
^ 2a + 3a
NO.-Wind: {——
,
Bilden wir jetzt die Summe dieser Differenzen, so
würden wir dann auch ein Maass für die verschiedenen
Grade des Steigens des Wassers bei verschiedenen
Winden haben, wenn überall eine gleiche Anzahl von
Differenzen vorhanden wäre. Dieses ist aber nicht der
Fall, und wird wahrscheinlich auch bei langjáhrigen
Beobachtungen selten der Fall sein; wir werden aber
diesem Übelstande dadurch abhelfen kónnen, das wir
bei jedem Winde die Summe der Differenzen durch die
Anzahl der Differenzen dividiren. Dädurch erhalten
wir für jeden Wind eine mittlere Differenz, die uns
das Maass der Steigungskraft jedes Windes giebt. Wir
erhalten so für die verschiedenen Winde folgende
mittlere Differenzen.
N: 1€ SW. 0,7"
NW. 1,2 SO. 2.)
W. 0,3 NO. 0,1
Hiernach kommen wir zu dem Resultate, dass die
Stärke des Steigens des Wassers bei den verschiede-
463 Bulletin de l'Académie Impériale 464
nen Winden in dem vorliegenden Falle in folgender
Reihenfolge derselben erfolgt, indem wir mit dem
Winde beginnen, bei welchem das Steigen am stärksten
ist, und mit dem Winde schliessen, bei dem es am
schwächsten ist:
SO. SW.
N. W.
NW. NO.
Der S.- und O.- Wind mussten wegen Mangels an
Beobachtungsmaterial unberücksichtigt bleiben.
Zur Aufstellung ühnlicher Tabellen beim Wechsel |.
des Windes fehlt uns die erforderliche Menge des Be-
obachtungsmaterials. Es müssen daher die vorliegen-
den Übersichten weniger als sicher erhaltene Resul-
tate, als vielmehr als Beobachtungsmethoden angese-
hen werden, welche bei einer genügenden Menge von
Beobachtungen zu sichern Schlüssen führen werden.
5. Beziehungen zwischen dem Wasserstande
und dem Regen.
Bei Betrachtung des Zusammenhanges zwischen
dem Regen und den Schwankungen der Wasserhóhe
ist zu berücksichtigen, ob der Regen vor, wührend
oder nach der Beobachtung stattfand. Die Gewitter-
regen werden hier ausgelassen, da sie in einem beson-
deren Abschnitte behandelt werden sollen.
Ziehen wir nun aus beim Regen gemachten Beob-
achtungen die Mittelwerthe, so erhalten wir folgende
Zahlenwerthe:
Wenn vor der Beobachtung Regen war, so war
der mittlere Wasserstand 32,6; also die Differenz
zwischen dem Normalwasser + 2,5”.
Wenn wührend der Beobachtung Regen war, so
war der mittlere Wasserstand 36,4; also die Differenz
zwischen dem Normalwasser + 6,3”.
Wenn nach der Beobachtung Regen war, so war
der mittlere Wasserstand 27,0, also die Differenz mit
dem Normalwasserstande — 3,1”.
Hieraus ergiebt sich, dass der Regen vor und wäh-
rend einer Beobachtung ein Steigen des Meeresniveaus
verursacht, während vor dem Regen ein Fallen des-
selben beobachtet wurde.
6. Beziehungen zwischen dem Wasserstande
und dem Gewitter.
- Die hierher gehörigen Erscheinungen müssen in 2
Klassen getheilt werden, nämlich:
a) Beobachtungen beim Gewitter ohne Regen,
b) Beobachtungen beim Gewitter mit Regen.
Eben so wie im vorigen Abschnitt müssen wir hier
berücksichtigen, ob die Beobachtung vor, während
oder nach einem Gewitter angestellt wurde.
Ziehen wir nun aus den Beobachtungen, die bei
Gewitter angestellt wurden, die Mittelwerthe, so er-
halten wir folgende Resultate:
a) Beobachtungen beim Gewitter ohne Regen.
a) Vor der Beobachtung Gewitter, so ist der Was-
serstand 26,0) also die Differenz zwischen dem
Normalwasser — 4,1”.
8) Während der Beobachtung Gewitter, so ist der
Wasserstand 24,1; also die Differenz zwischen
dem Normalwasser — 6,0".
Y) Nach der Beobachtung Gewitter, so ist der Was-
serstand 31,0; also die: Differenz zwischen dem
Normalwasser + 0,9".
b) Beobachtungén beim Gewitter mit Regen.
a) Vor der Beobachtung ‚Gewitter, so ist im Mittel
der Wasserstand 36, 1, also die Differenz zwischen
dem Normalwasser + 6,0".
qii
zwischen dem ohne area 17
y) Nach der Beobachtung Gewitter, so ist im Mittel
der Wasserstand 36,0", also die Differenz wi
schen dem Normiakwäbsefftände SC ES s
Aus der Thatsache, dass bei den ohne Regel ange-
stellten Beobachtungen das Wasser vorherrschend un-
ter dem normalen Wasserstande steht, während es,
wenn zugleich während des Gewitters Regen ' war, fast
stets über dem normalen Wasserstande steht, scheint
wohl mit Sicherheit angenommen werden zu können,
dass das Gewitter selbst keinen Einfluss auf die Be-
wegung des Wassers ausübt, sondern nur der My
und der Regen. Tu
7. Schluss. | a
Die durch diese Arbeit gewonnenen Resultate i
chen in einigen Punkten von denen ab, welche bei
den frühern über denselben Gegenstand heransgegete
nen Abhandlungen sich herausstellten. Zum po
mag die Schuld hiervon der Umstand tragen, dass
verhältnissmässig ein sehr geringes Beobachtungstit
465
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
terial vorliegt, dagegen scheint der Hauptgrund wohl
der zu sein, dass die Beschaffenheit und geographi-
sche Lage des Beobachtungsortes einen bedeutenden
Einfluss auf den Gang des Wassers ausübt. Ich will
aber noch nicht vorgreifen, sondern zuerst es zu be-
werkstelligen suchen, dass noch an der Westküste
Ösels ähnliche Beobachtungen angestellt werden.
Aus einer Vergleichung aller der vorliegenden Beob-
achtungen soll dann schliesslich versucht werden, die
ganze Naturerscheinung der Schwankungen des Ni-
veaus der Ostsee zu erklären und die störenden loca-
len Einflüsse von dem Wesentlichen abzusondern.
Das Donezer Steinkohlengebirge und dessen in-
dustrielle Zukunft, von Gr. von Helmersen.
. (Lu le 16 mars 1865.)
5017 (Bericht an den Finanzminister Hrn. v. Reutern.)
"Wenn man das Donezgebirge bereist, hórt man oft
einen Ausspruch Peters des Grossen wiederholen.
Als man dem Kaiser Steinkohlen zeigte, die am Donez
gefunden worden waren, soll er gesagt haben: «Wenn
auch nicht uns, so wird dieses Mineral doch einst un-
seren Nachkommen Nutzen bringen». Man wird aber
nicht irren, wenn man annimmt, dass die Steinkohle
daselbst schon lange vor der Zeit Peters bekannt
war, denn sie geht in dem waldlosen Gebirge an un-
zühligen Orten zu Tage aus, und Regen und Schnee-
wasser entblóssen in engen Schluchten jührlich neue,
vom Schwemmboden maskirte Kohlenlager. Man wird
eben so wenig irren, wenn man annimmt, dass der
Kaiser nichts von ini Eisenerzen des Donezgebirges
gewusst, die in demselben mit der Kohle zusammen
Vorkommen, denn er, der die Eisenproduktion am
Ural ins Leben rief, würde hier im Süden Russlands, |
Wo er viel Kriegsmunition brauchte, ein Gleiches ge-
than haben. Die erste Gründung einer Eisenhütte im
Donezer Gebirge geschah aber erst unter der Herr-
schaft der Kaiserin Catharina der Zweiten und ward
durch den Bedarf von Kanonen und Projektilen für
den Türkenkrieg veranlasst. Dieser Bedarf war früher
von der Lipezker und der Chersonschen Hütte gelie-
fert worden, die ihre Thätigkeit wegen Holzmangels
einstellen mussten. Um diese Dinge nicht vom fernen
Ural zum Sch Meer ortiren, beschloss
man, eine. neue Eisenhütte i im » Donezgebirge anzule-
Tome VIII.
AAT. A
gen. Der erste Gedanke zu dieser Anlage scheint dem
Generalfeldzeugmeister Platon Subow anzugehören;
mit der Ausführung wurde der frühere Direktor der
Petrosawodsker Eisemhütte, Staatsr. Gascoyne, ein
Schottländer, und der Hofrath Awramow beauftragt.
Nachdem diese Herren ihre Untersuchungen im Do-
nezgebirge gemacht hatten, wiesen sie 1792 die gefun-
denen Eisenerze dem Fürsten Subow vor, und dieser
erhielt sodann von der Kaiserin am 14. Nov. 1795 den
Befehl, die Hütte an der Luganka zu bauen, wozu
650,000 Rbl., und zu deren Unterhalt jührlich 90,000
Rbl. bewilligt wurden. (Beide Summen in der dama-
ligen Bedeutung des Rubels.)
‘Im Jahre 1799 war der Bau und die Einrichtung
vollendet, und die Hütte hat seit der Zeit eine grosse
Menge an Artilleriebedarf und anderer Eisenwaare
geliefert — aber bis auf den heutigen Tag, also
65 Jahre lang, nur Uralsches Roheisen, und
bis vor nicht langer Zeit Holzkohle dazu ver-
wendet. Das ist in der That ein sehr merkwürdiges
Faktum. .
Luganskoi Sawod oder Lugan, wie wir es mit
dem gewóhnlichen Namen nennen wollen, steht ausser
dem Bereiche des Kohlengebirges auf Schichten der
Kreideperiode, und Gascoyne hat sich bei der Wahl
dieses Punktes offenbar nur durch den Wasservorrath
der Luganka und nicht durch die Lage der damals
bekannten Lager von Steinkohlen und Eisenerzen be-
stimmen lassen. Statt das Werk an diesen zu erbauen,
setzte er es weit von ihnen an die Ecke eines grossen
Dreiecks, dessen beide anderen Winkel an Kohlenla-
gern und Erzen auslaufen. Diese Lage aber hat, be-
sonders in späterer Zeit, nachtheilig auf den Betrieb
gewirkt.
Dass man schon vor der Gründung von Lugan am
Donez Steinkohlen für den Bedarf der Pontischen
Flotte Russlands ausbeutete, ist aus offiziellen Doku-
menten nachweisbar; auch ist es bekannt, dass die
Bewohner von Lugan und von manchen anderen Or-
ten die Steinkohle seit dem Anfange des gegenwärti-
gen Jahrhunderts zum häuslichen Bedarf verwenden,
und dass man in Lugan von dessen Gründung an Ver-
suche gemacht hat, die Kohlenausbeute zu vermehren
| und eine selbstständige Eisenproduktion zu etabliren.
Dass dieses bei dem ansehnlichen Reichthum an guten
Eisenerzen nicht geschehen ist und dass die meisten
30
Lj
467
Bulletin de l’Académie Impériale
Bewohner des Gebirges, nämlich die ganze ackerbau-
treibende Bevölkerung: desselben, noch heute ihre
Wohnungen und Küchen mit Stroh und Dünger und
nicht mit Steinkohlen heizt, uÑ damit dem sich er-
schöpfenden Boden das einzige Material zu dessen
Verbesserung entzieht, ist in der That eine wunder-
bare, aber traurige Erscheinung, denn sie geht aus
Sorglosigkeit hervor und zeugt zugleich davon, wie
zähe der Mensch am alten Schlendrian festhält.
Die erste geologische Untersuchung der Umgegen-
den von Lugan geschah schon im Jahre 1795 durch
den Oberbergmeister Iljin, der später, nach Gas-
coyne, die Leitung des Werkes übernahm. Er ent-
deckte einige Lagerstätten von Eisenerz und Bleiglanz
(Ssyrochwatow, im «Gornoi Journal» 1828, Heft 5,
pag. 4), letztere in dem Bergzuge Nagolnoi. Von da
an bis zum Jahre 1819, also während voller 24 Jahre,
scheint man sich mit ferneren Untersuchungen. nicht
befasst, sondern die ganze Sache in den Hintergrund
gestellt zu haben. In jenem Jahre wurde der Mark-
scheider Kosin mit einer Schürfexpedition im Done-
zer Gebiet beauftragt. Er theilte Einiges über den Bau
desselben mit, das später Kowalewsky in seine Be-
schreibung des Gebirges aufnahm.
Im Jahre 1827 trat der ow Der Atten Ko-
walewsky (nachmals Gouverneur von Tomsk und
. Oberintendant des Altaier Bergreviers, und noch spä-
ter Minister der Volksaufklärung) sein Amt in Lugan
an, und ihm verdankt man die erste umfassendere ge-
ologische Untersuchung und Beschreibung des Donez-
gebirges, dem er zuerst diesen Nainen gab. Seine
werthvollen Arbeiten wurden in dem Gornoi Journal,
Jahrgang, 1827, Heft 2, pag. 27, und Jahrgang 1829,
Heft 1, pag. 2 bekannt gemacht.
Der erste dieser Artikel schildert nach kurzer Ein-
leitung den orographischen: Charakter des Gebirges
und geht dann zu der Beschreibung seines inneren
Baues über, wobei der Wernerschen Eintheilung und
Benennung der Formationen gefolgt wird. Kowa-
lewsky erwühnt bereits der Steinkohlengrube bei
Lissitschja Balka als einer berühmten, nennt auch die
Uspenskischen Gruben, sagt aber im Ganzen wenig
von der Kohle selbst. Im zweiten Artikel spricht er
sich bestimmter über die untersuchten Formationen
aus. Die Gesteine des Gebirges zühlt er zu der Se-
kundairperiode und sagt, sie würden von Erzlager-
stätten und Kohlen begleitet. Das vorherrschende Ge:
stein nennt er ältesten Kohlensandstein und sagt,
dass an des Gebirges Grenzen Gesteine der Kreidepe-
riode und der Tertiärzeit auftreten. Sodann theilt er
das Gebirge in einzelne Ketten, die alle Eigennamen
erhalten und beschreibt den Bau jeder einzelnen Kette,
Den Schluss macht eine Aufzáhlung aller im Gebirge
bis dahin entdeckter nutzbarer Mineralien und eine
genaue Beschreibung der bei Lissitschansk (der Vul-
gairname für Lissitschja Balka) in. Angriff genomme-
nen Steinkohlenflótze. Es kommen vor: Steinkohlen,
Eisenerze, Bleierze, Zinkerze, Kupfererze, Kochsalz,
Tafelschiefer und Sandsteine, die zum Schleifen und
Mahlen taugen, Gyps und guter Baustein. l
© Wir erfahren aus diesem Artikel, dass zu jener Zeit
25 Anbrüche auf Kohlen bekannt waren, dass aber
die Luganer Eisenhütte allein Kohlen fördern lässt.
Die Anbrüche befanden sich vorzugsweise in den
Kreisen von Bachmuth und Slawänoserbsk ‘und im
Miusser Kreise des Donischen Kosakenlandes. Als
die bekanntesten und wichtigsten werden die bei Lis-
sitschansk, Saizowo (auch Nikitowka genannt), die an
der Belaia, die bei Uspensk und am Lugantschik ge-
nannt. Leider ist Kowalewsky's Deeg nicht voll-
ständig im Drucke erschienen. er dado
Die Gutsbesitzer und Bauern machten damals den
ersten Se einer Dees erg va wer?
lageris hm
Unter den “HER welche mit bien:
sky arbeiteten, befand sich Ssyrochwatow. Ihm war
die Untersuchung des Nagolnoi Gebirgszuges anver-
traut. Das 5. Heft des Gornoi Journals für gtt,
hält den bezüglichen Bericht. |
Zu jener Zeit war der in England erzogen wë
mit der industriellen Bedeutung der Steinkohle wohl-
bekannte Graf Woronzow General-Gouverneur von
Neurussland. Als ihm das Vorkommen der Kohle im
Bachmuter «und: Slawänoserbsker Kreise bekannt:ge*
worden war, ward auf sein Verlangen von Lugan aus
ein Bergbeanter in die Gegend von Rostow und Ta-
ganrog geschickt, um dort nach Kohlewizw -
es gelang ihm auch, in der Nähe des Tet
ses in der Gegend von Rostow Spuren von cb
len aufzufinden. Als aber Olivieri im August 1827
beauftragt wurde, diese Entdeckung zu
fand er in einem zu diesem Zwecke am Gemeen
469 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 470
IÉI4A—
gelegten : Bohrloche keine Spur von Kohlenformation
oder Kohle und ebenso wenig in einem anderen von
ihm am rechten Ufer des Don abgesenkten Bohrloche.
Olivieri berichtet darüber im 6. Hefte d. Gornoi Jour-
nals für 1828 und erwähnt bereits der schönen Kohle
an der Gruschewkä, die später so berühmt geworden
ist. Er entdeckte damals bei Martynowka, am Miuss,
ein reiches Kohlenlager und sechs andere an der Ka-
myschewka, einem Zuflusse des Kalmius, bei dem
Griechischen Dorfe Beschewo, 80 Werst von Mariu-
pol und Taganrog entfernt. Beilàutig sei hier erwähnt,
dass in diesem, wie auch in dem folgenden Berichte
Olivieris der miocene Kalkstein dieser Gegend für
eine ganz neue Bildung mit Resten jetzt noch leben-
der Muschelarten angesehen wird, ein Irrthum, den
Andere wiederholt haben. Olivieri scheint aber aus-
serdem das lockere Muschelkonglomerat sehr wohl
gekannt zu haben, das an den Ufern des Pontus einen
schmalen Saum bildet und. wirklich mur Schalen jetzt
lebender Arten enthält, Im September desselben Jah-
res 1828 ward Olivieri beauftragt, die Ufer des Do-
nez, von dessen Mündung bis zur Luganka, auf das
Vorkommen von Kohlenflótzen zu untersuchen. Dabei
hatte der Graf Woronzow die bequeme Wasser-
Strasse im Sinne, auf welcher die zu entdeckende
Kohle nach dem r—À Meere — wer- |.
den konnte. -
- Olivieri nid ion wirklich sten in dor
bibis zwei Kohlenflütze, dann an|.
dem Flüsschen Kundrutschja, 40 Werst aufwärts von
dessen Mündung, noch drei bauwürdige Flötze. Auch
fand er in den Schluchten Rubeshnaia und Schlächet-
naia bei der Staniza Bystrünskaia, und im Gebiete der
Stanizen Jekaterininskaia, Dädina und Kalitwenskaia
zahlreiche Kohlenlager, von denen die meisten bau-
würdig sind. Eben so zeigten sich die Umgebuugen
der Stanizen Kamenskaia und Gundorowskaia und des
Dorfes:Boshedarowaia ergiebig an Kohlenflötzen, von
denen einige am Flüsschen Belaia, damals schon ab-
gebaut wurd t ist es bei Olivieri (Gorn.
Journ., 1830; Heft 3) zu lesen, dass man damals be-
reits daran dachte, den Donez von Lissitschansk bis
zum Don für gróssere Fahrzeuge schifibar zu machen,
ein Wunsch, der sich Së jan noch eigen aber
nicht begründet ist.
Bis dahin war usd ne geg Steinkohle 4
auf den Privatbesitzungen des Jekaterinoslawer Gou-
veruements sehr wenig bekannt geworden; da er-
schien im 10. Hefte des Gorn. J. für 1833 ein Auf-
satz von Lübimow, der freilich mit dem grossen Feh-
ler beginnt, dass er den vom Donezer Gebirge einge-
nommenen Raum nur zu 300 Quadratwerst angiebt,
da er in der That doch mindestens 37,000 Quadrat-
werst gross ist. Lübimow theilt die Donezer Kohle in
Backkohle, nicht verbackende und unreife ein, Seiner
Meinung nach gehórt die meiste Kohle der ersten Art
an und nur in Lissitschansk kennt er die zweite. Viele
Flótze hält er wegen des reichlich beigemengten Schwe-
felkieses für untauglich, weil man damals mit der jetzt
überall angewendeten Aufbereitung kiesiger Kohle
nicht bekannt war. Erwühnenswerth ist noch, dass
Lübimow sagt, es sei im Jekaterinoslawer Gouver-
nement noch so viel Wald vorhanden, dass man kei-
nen eigentlichen Holzmangel fühle. Wie gewaltig hat
sich das in 30 Jahren geändert.
Lübimow nennt und beschreibt 14, Privatbiesitzern
gehörende Fundorte von Steinkohlen.
1) Die Kosakenstanizen Gundorowskaia und Ka-
menskaia, am linken Ufer des Donez, wo die
Kohle von 1797—1806 bei dem Chutor') Ore-
‚chow abgebaut wurde. Es waren hier 19 Flötze
. bekannt, deren Mächtigkeit von 1'/, bis 7 Fuss
beträgt, und die man in der Streichungslinie 900
. Sashen = 6300 Fuss weit verfolgt hatte.
:2) Das Dorf Elenowka am Flüsschen Lasowaia, 50
Wert von Lugan, mit drei Flötzen, die 5 bis
..99 Fuss dick sind. Man baute sie von 1821 bis
1831 ab, sie enthalten aber viel Schwefelkies
und. streichen auf das Nachbarland des Dorfes
Lasowaia hinüber.
3) Dmitrijewka, 60 Werst von Lugan mit 8 Flöt-
zen, die von 7 Zoll bis 7 Fuss dick und von der
Beschaffenheit der Zënter: sind. Der Ab-
bau begann auch hier 1821.
A Dos Suschtschikowa, 50 Werst. von de mit
5 Elótzen, von denen ein A Fuss mächtiges,
HAMA Jahre 1795 abgebaut ward. Der Schacht
- soll 210 Fuss tief gewesen sein, und man förderte
‚aus ihm auch Eisenerz; das im Liegenden der
a) Chator nennt man kleine, Landsitze, oder einzelne Theile eines
rösseren Besitzes, wenn sie saber und Wirthschafts - Gebäude
haben.
30*
Bulletin de l’Académie Impériale
Kohle aufsetzt. Lübimow fand diesen Bau ganz
verstürzt, sah aber Eisenerz auf der Halde. Ich
hebe den letzten Umstand besonders hervor, weil
das Zusammenvorkommen von Kohle und Eisen-
erz wichtig ist.
5) Dorf Lomotowka, 60 Werst von Lugan, mit ei-
nem 2'/ Fuss mächtigen Kohlenlager, das von
1821 bis 1833 abgebaut, dann aber verlassen
ward.
6) Dorf Popowka, 47 Werst von Lugan. Hier er-
schürfte Lübimow am Miustschik ein 2'/, Fuss
mächtiges Flötz und neben ihm ein water
steinlager.
7) Dorf Krasnoi Kut, 50 Werst von Lugan, mit ei-
nem 4'/, Fuss mächtigen Kohlenflótz.
ie Dorf Üspendiáiá oder Uspenka, 25 Werst west-
lich von Lugan. Lübimow giebt hier 9 Flötze
an. Der Abbau begann 1801. Im Jahre 1829
schenkte der Besitzer dieses Landgutes, Sche-
witsch, der Krone ein Landstück von 100 Des-
sütinen mit 4 Kohlenflótzen, welche das Luga-
ner Eisenwerk ausbeutete.
9) Dorf Orechowa, 25 Werst von Lugan. 1827 ent-
deckten Bergbeamte hier 10 Kohlenlager, wel- |.
` che man versuchsweise drei Jahre abbaute und
^A dann verliess, weil das Streichen und Fallen der-
` gelben sich oft und sehr plötzlich ändert. `
10)Dorf Belaia, 22 Werst von Lugan. Die Flótze
` — wurden von 1821 an abgebaut und enthalten
Backkohle. Sie werden von grossen Massen
Brauneisensteins begleitet, den man früher in
bedeutender Menge für die Luganer Hütte
förderte. Seit 1833 hörte der Abbau aus unbe-
kannten Gründen auf.
11) Lissitschansk, 90 Werst NW. von Lugan, am
am rechten Ufer das Donez, mit 7 bauwürdigen
Flötzen, deren Mächtigkeit von 3'/, bis 7 Fuss
sich erstreckt. Zur Zeit als Lübimow schrieb,
förderte man hier jährlich 400,000 Pud Kohle,
von welchen ein Theil in Lugan zum Belimelich
des Uralschen Roheisens verwendet ward.
12) Dorf Iwanopol, 130 Werst von Lugan. Die hie-
sigen Flötze, die viel Schwefelkies enthalten und
nach dem Dorfe Schtscherbinowka hinüberstrei-
chen, wurden, als Lübimow sie besuchte, schon
seit 20 Jahren abgebaut.
a
13) Alexandrowka, 170 Werst von Lugan (gegen-
wärtig der Besitz des Fürsten Paul Lieven, im
J. 1833 aber Hrn. Schidlowsky gehórend) ai
Kalmius. Hier wird seit dem Anfange des 19,
Jahrhunderts ein 7 Fuss — Vers schr
guter Qualität abgebaut. sa
14) Shelesnoie, 140 Werst von Lugan, in det Ge:
gend von Saizowo und Schtscherbinowka mit
4 Flötzen die 1'/, bis 3 F. mächtig sind und schon
1806 entdeckt und seitdem abgebaut wurden. Man
setzte diese Kohle nicht nur bei den benachbar-
ten Gutsbesitzern, sondern auch in Nikolajew,
Taganrog und Odessa ab. Der Absatz verminderte
sich aber sehr, nachdem alle Kronbauern die Er:
laubniss erhalten hatten, neu entdeckte Kohlen-
lager auszubeuten. Die Kohle von Shelesnoie
nennt Lübimow eine gute Backkohle. ` —
Ich habe dieses Verzeichniss von 14 Lagerstätten
aufgeführt, um zu zeigen, dass man im Donezgebirge
vor mehr als 30 Jahren grosse, ergiebige Fundorte
von Kohlen und Eisenerzen kannte, welche die Anlage
von Steinkohlen verwendenden Eisenhütten BE
fertigt hätten. ee
Wir gelangen nun zu einem interessanten » Abschnitt
unserer Übersicht der am Donez gemachten Entde-
ckungen und Formationsbestimmnngen. ^^"
Als der Baron Alexander Meyendorff in Paris
als Agent des Russischen Finanzministeriums fungirte,
theilte Elie de Beaumont ihm seine Zweifel darüber
mit, dass die Gesteine des Donezgebirges zur Kohlen-
periode gehóren; er hatte Kowalewsky's Beschrei-
bung in franzósischer Übersetzung gelesen und schloss
aus derselben auf tertiäres Alter jener Gesteine. Auf
seinen, durch Baron Meyendorff vermittelten Wunsch
befahl der damalige Finanzminister Graf Canerin
dem Major Olivieri das Gebirge geologisch zu un
tersuchen und zu kartiren, Gesteinsproben uud Pe
trefakten zu sammeln und auf der Karte genau die
Fundorte derselben anzugeben. Im ersten Hefte des
Gornoi Journal für 1836 machte Olivieri die Re-
sultate dieser Arbeit bekannt und legte eine p
phische Karte bei, welche mit 72 verschiedenen nicht
kolorirten Zeichen für alle Varietüten der Gesteine
beschwert und daher fast ganz unverständlich ist. Hr.
von Beaumont wird aber jedenfalls. aus der ihm
übersendeten Felsartensammlung ersehen haben, dass
473
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Kowalewsky den vermutheten Missgriff nicht be-
gangen, sondern die Formation des Gebirges richtig
erkannt und benannt hatte. Und wenn der berühmte
Geolog Frankreichs später die Vermuthung aussprach,
es stehe die Donezer Bergkalkformation in unterirdi-
schem kontinuirlichem Zusammenhange mit der Tula-
Kalugaer, so erwies sich auch diese Annahme nach
der Entdeckung der, beide Lokalitäten voliständig
scheidenden Devonischen Landhöhe, als unhaltbar.
Olivieri war sehr genau und fleissig, aber in der
Formatiousbestimmung durchaus unglücklich. Die im
südlichen Theile vorkommenden Arkosen nennt er
Grauwacke und zählt sie zum Übergangsgebirge; die
weiter nach Norden folgenden feinkórnigen Sand-
steine vergleicht er dem alten rothen Sandsteine, und
eitirt desssen ungeachtet aus den sie begleitenden
Schieferthonen die Pflanzen der Kohlenperiode Neu-
ropteris, Cyclopteris, Sphenopteris und Calamites. So-
dann beschreibt Olivieri die Gesteine der Secundair-
periode und unter ihnen zuerst den alten rothen
Sandstein, z. B. am Miuss, oberhalb Nowopawlowsk.
Dann. folgen die Gesteine, welche er der Kohlen-
periode zuzählt. Die Bachmuter Formation rechnet er
zur Trias, die dunkeln Thone und Sandsteine der un-
teren Kreide zum Lias. Am Schlusse seines Berichtes
erfabren wir, dass Bergofficiere aus Lugan 1834 und
1835 in den Sümpfen des Starobelskischen Kreises
an 22 Stellen Sumpferze entdeckten, ‚welche von dem
nach Lugan berufenen S
deisky verschmolzen und für brauchbar ‚erklärt wur-
den. In den Jahren 1839, 1840 wurden in Lugan in
einem dazu erbauten Hohofen versuchsweise die dor-
tigen Erze mit Anthracit und Steinkohlen verschmol-
zen. Das Resultat: war leider durchaus ungünstig,
hauptsächlich weil, wie man mir sagte, das Gebläse
wegen der Schwäche der dazu verwendeten Dampf-
maschine ungenügend war. Dieser wigWieklieiie Ver-
such war es, den Madeisky leitete. `
Die regelrechte Ausbeutung der Sieiskpkiionisgär
scheint, die Oberbergbehörde zu St. b von
jeheriernstlich beschäftigt zu baben. .
- Davon zeugen. die Berichte des deeg 1839, in
welchen im. 11. Hefte des Gornoi Journals, pag. 191
bis 227 Boris Iwanizky genaue Nachricht über die
geologische Beschaffenheit und den Abbau. der soge-
nannten Nikitowschen. Gruppe von Steinkohlen und
Ma-
Eisenerzen mittheilt. Sie umfasst die Orte Nikitowka,
oder Saizowo, Shelesnoie und Schtscherbinowka.
In Nikitowka setzen 7 Flötze auf
mit einer Gesammtmächtigkeit
EEE Dan cs CN ae: 24 Fuss 3 Zoll
In Shelesnoie 12 Flötze, die zu-
sammen eine Dicke haben von 25
In Schtscherbinowka 6 Flötze. .
» men D
I C
- Iwanizky erwähnt auch der Eisenerze an diesen
Orten; die Bachmuter Schichten zühlt er zum Todt-
liegenden und Keuper und beschreibt beide Forma-
tionen umständlich nach ihrer lithologischen Beschaf-
fenheit, führt aber keine Versteinerungen an .und
meint, man werde bei fortgesetzter Untersuchung auch
wohl den Bunten Sandstein und Muschelkalk auffin-
den. Er beschreibt auch den hóchsten Theil des Ge-
birges zwischen Nikitowka, Gossudarew Bujerak und
Tolstaia Mogila und nennt in der Gegend von Gossu-
darew Bujerak 8 Eisenerzlager, von denen er zwei
versuchsweise abbaute und bauwürdig fand.
Durch alle diese Untersuchungen von Kowalew-
sky an bis Iwanizky hatte sich herausgestellt, dass
die Donezsche Kohlenbildung eine grosse, bergichte
Insel inmitten ausgedehnter Ebenen der Kreide- und
Tertiärepoche bilde und dass sie im Südosten auf Gra-
nite und andere krystallinische Gesteine aufgelagert
sei. Man wusste auch schon damals, dass die Schich-
ten der Donezer Kohlenbildung nordwestlich von ih-
rer sichtbaren Grenze noch hier und da inselartig un-
ter der Bedeckuug der unteren, aus Sandsteinen be-
stehenden Kreidebildung hervortreten. So namentlich
im Kreise Isium des Charkower Gouvernements, bei
dem Dorfe Petrowskaia. Zur Untersuchung dieser Lo-
kalität ward 1836 der. Schichtmeister Wassiljew
verwendet (Gorn. Journ. 1837, Heft 3). Sein Bericht
ist sehr dürítig und beschränkt sich auf die Orlow-
schlucht bei Petrowskaia, von der weiter unten die
Rede sein wird. Über diese Lokalität theilte auch
Anissimow im 12. Hefte des Gorn. Journ. für 1839,
eine kurze geologische Notiz mit, und in ebendemsel-
ben Hefte berichtete der ältere Tomilow über das
Steinkohlengebilde des Kreises Slowünoserbsk und
zählte in ihm 21 Lagerstätten auf, von denen meh-
rere auch Eisenerz enthalten.
Später wurde der Major Bloede, ein zu seiner Zeit
A
475
Bulletin de l'Académie Impériale
416
bekannter Geolog Russlands, mit der genauen Unter-
suchung der Steinkohlenlager des Isiumer Kreises be-
auftragt, welche für die Tschugujewsche Militairkolo-
nie wichtig zu werden versprachen. Bloede hatte frü-
her in Polen und Schlesien gedient, nachdem er seine
Studien in der Freiberger Akademie vollendet, und
war mit dem Abbau der Steinkohle wohl vertraut. Ei-
nen ersten Bericht über seine Untersuchungen publi-
cirt er im 4. Hefte des Gornoi Journal für 1840. Er
ging noch von der Ansicht aus, dass die Hauptstein-
kohlenformation den oberen Bergkalk so wie das
Todtliegende umfasse und war geneigt, die Schich-
ten bei Petrowskaia dem Todtliegenden beizuzühlen,
(pag. 5), während er bei Lissitschansk welche er zum
Vergleiche: herbeizieht, der unteren Abtheilung der
Kohlenperiode, in seinem Sinne, zuzählt. Er hält also
die Lissitschansker Schichten für die älteren. Er er-
wühnt auch schon des Kohlen- oder Bergkalks bei
Kremennaia und des Kohlensandsteins bei Kamenka,
südöstlich von Isium, wo in einer Schlucht Steinkohle
und Eisenerz entblösst sind. =
- Bloede war der Meinung, dons die Schichten; der
Kohlenperiode an allen solchen Punkten bedeutend
gehoben seien, übrigens aber sehr tief unter dem Jura
und der Kreide des Charkower Gouvernements lie-
gen und daher schwer zugänglich sein müssten. `
. Wir werden später sehen, dass diese letzte Mei-
nung nicht begründet, vielmehr der Hoffnung Raum
gegeben ist, die Kohlenformation unter dieser Bede-
ckung leicht auffinden zu können. ;
o Im 5. Hefte des Gorn. J. für 1841 gab Riedie ?
eine kurze geologische Beschreibung des Charkower
Gouvernements und führt in derselben die in den
Schichten der Orlowschlucht gefundenen Versteine-
rungen auf: Productus punctatus; Productus Choristites,
Productus Martini, Spirifer und Pentamerus laevis im
Kalkstein, Im Sandsteine und Schieferthone: Stigmaria
ficoides, Lepidodendron: obovatum, Lep. confluens; Lep.
sulcatum, Ulodendron minus, Calamites cannaeformis,
Cal. Suckowii, Pecopteris Mantelli. Die Bestimmungen
dieser Müscheln und Pflanzen, die in den Sammlun-
gen des Berginstituts zu St. Birch sich befinden,
rühren von Eichwald her. |
3 Bde Aufsätze sind alle in en ee in dun
iften der Merci it Gesellschaft iu dene LT
1840 — 1845. - :
| dem Kohlenschiefer: Calamites —
Bloede bleibt schliesslich bei der Meinung; dass
die Schichten der Orlowschlucht einer jüngeren: Etage
der Kohlenperiode angehóren, als die von Lissitschansk
und überhaupt als die Schichten des Done éebitges
die ihn sogar an Devonisches erinnern.
In N* 10 des Gorn. J. für. 1844 erschienen dée
noch Nachtrüge zu diesen Beobachtungen. Bloede
hatte in der Gegend vou Petrowskaia auch noch in
zwei anderen Schluchten: Klewatschinskaia: (riehti-
ger Glejewatik) und Perwaia, Schichten der Kohlen-
periode entblösst gefunden und zwar auch steilfallende
wie in der Orlowschlucht. Bloede glaubte erkannt zu
haben, dass die Dicke der hier vorkommenden Eisen-
erzlager in genauester Beziehung zu den mit ihnen zu-
sammen vorkommenden Kalksteinschichten stehe und
zwar so, dass je mächtiger die letzteren sind, desto
mächtiger auch die Erzlager.
Es werden in den Kalksteinen dieser Schluchten
folgende Petrefacten namhaft gemacht; wir müssen je-
doch an der richtigen Bestimmung einiger zweifeln, da
deren Namen viel jüngeren Formationen angehören,
daher sie mit einem Fragezeichen versehen: ‚worden
‚sind: Spirifer glaber, Sp. congruus, Sp. laevigatus, Sp.
Mosquensis; in den Sandsteinen: Calamites cannaefor-
mis, Cal. arenaceus? (eine Triassische Art) Cal. deco-
ratus, Cal. approximatus, Cal. undulatus, Cal. ramosus,
Cal. bite Cal. remotus, Sternbergia approximata,
Knorria, Stigmaria ficoides, St. decorata, Lepidodendron
obovatum, L. ornatissimum, L | Bloedii, Sigillaria, Mo-
nodendron majus und minus, versteinertes Holz. Aus
wegen
Odontopteris. A Tu ud
‚Obgleich man: SE Bioedis Saadia nicht xvid
von den Lagerstätten des Isiumer Kreises erwarten
durfte, so veranlasste die Verwaltung der Tschugu-
jewschen Militärkolonien später neue Versuchsbaue,
deren Leitung dem Bergingenieur Perekrestow auf-
getragen ward. Aus seinem, 1856 im 6. Hefte des
Gorn. Journ: veröffentlichten Berichte: ersehen wir
zunächst, dass man schon 1831 die.Isiumer Lager
versuchsweise abgebaut und diese Arbeit. mit Ünter-
breehung bis 1841 fortgesetzt hatte,
Es waren 10. Schachte, 2 Stollen und «mehrere
Bohrlócher tabs und erstere meist qe
Wasserandrange man dureh-
aus Steinkohlen gë Tschugujew. haben wollte, hate |
worden J
477
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Bloede vorgeschlagen, entweder das Wasser durch
Dampfpumpen zu gewältigen, oder in der Nähe an-
dere, vom Wasser weniger bedrängte Flôtze aufzu-
suchen.
Er wählte den letzteren Weg, aber nach längerer
Arbeit trat wieder Stillstand ein, wegen der Befürch-
tung, die Kohle werde zu theuer zu stehen kommen,
um sie ohne Verlust abbauen zu können. Allein Pere-
krestow zeigte durch energisch durchgeführte Schür-
fungen, dass hier ein vortheilhafter Abbau möglich sei.
Das Zusammenvorkommen von Steinkohlen und Ei-
senerzen im Isiumer Kreise, also in der Nähe der
. über Charkow projektirten Eisenbahn, verdient je-
denfalls die grösste Beachtung. |
Der Ruf des kohlenreichen Donezgebirges war all-
mälich in weite Kreise gedrungen und hatte Erwar-
tungen und Vorschläge verschiedener Art veranlasst.
Man wollte Eisenproduktion und Maschinenfabrikation
etabliren; man meinte, es sollten die vielen Fabriken
Central-Russlands, namentlich die Moskowischen, weil
die Holzpreise dort eine bedrohliche Höhe erreicht
haben, zu der Steinkohle des Südens versetzt werden
und dergleichen mehr. |
Zunächst kamen zwei Dinge zur Ausführung: Der
Bergingenieur Gurjew-erbaute auf Kosten der Krone
bei-Kertsch einen Hohofen, in welchem das tertiäre
Eisenerz von Kamyschburun (einige Werst südlich
von Kertsch) mittelst des Anthracits von Gruschewka
verschmolzen wurde. Das erhaltene Guss- und Schmie-
deeisen war durchaus unbefriedigend, was zum Theil
von dem Phosphorgehalt des Erzes, zumeist aber von
der mangelhaften Einrichtung des Ofens abhing. Ob-
gleich Mevius später etwas besseres Product aus die-
sem Ofen erhielt, so wollte die Sache doch nicht in
Aufschwung kommen. Die Hütte bestand ruhmlos bis
zum Krymkriege und ward 1856 von den Anglofran-
zosen in die Luft gesprengt. ^ ^
Zugleich bemühte man sich, den Anthracit für die
Dampfschifffahrt auf dem Asowschen und Schwarzen
Meere zu verwerthen. Auf diesen Meeren hatte man
Sich aber an die bituminöse Kohle Englands gewöhnt,
die als Ballast nach den Pontischen Häfen gebracht
wird, wo die Schiffe dann eine Rückfracht von Wei-
zen nehmen. Daher der geringe Preis der Englischen
Kohle in Odessa; wo sie 16 bis 18 Kopeken das Pud
Bra rt
Man warf dem Antbracit vor, dass er schwer ent-
brenne, keine Flamme gebe, starken Zug fordere, we-
gen übergrosser Hitze die Kessel verderbe und was der-
gleichen Einwendungen mehr waren. Die eifrigsten Be-
mühungen des damaligen Chefs unseres Bergwesens,
des Gen. Tschewkin, den Anthracit in Gebrauch zu
bringen, drohten fruchtlos zu bleiben, als ein Umstand
den Ausschlag gab. Wenn die mit Englischer Kohle
heizenden Russischen Kriegsdampfer sich der Kau-
kasischen Küste näherten, erkannten die feindlichen
Bergbewohner sie von weitem an dem schwarzen Rau-
che. Wenn man aber mit Anthracit heizte, konnte man,
da er keinen Rauch giebt, unbemerkt bis in die Nähe
der Küste gelangen und den Feind überraschen. Das
war entscheidend. Der damalige Befehlshaber am Ost-
ufer des Schwarzen Meeres, Gfneraladjutant Bud-
berg befahl auf des Generals Tschewkin Vorstel-
lung, den Gebrauch des Anthracits auf den Dampf-
schiffen einzuführen und diesem Beispiele folgte bald
die ganze Flotte des Schwarzen Meeres. `
Niemand bezweifelte mehr, dass die Kohlen und
Erze des Donezgebirges eine gute Zukunft erwarte,
aber um ihre technische Wichtigkeit besser beurthei-
len zu kónnen, ward eine der umfassendsten Unter-
suchungen ausgeführt, die man in unserem Lande je
unternommen.
Wir meinen die bekannte Demidowsche Expedition,
wollen aber nur von dem Theil derselben reden, an
welchem die Herren Le Play, Malinvaud und La-
lanne sich betheiligt haben. Sie untersuchten das Do-
nezgebirge während der Jahre 1837, 1838 und 1839
und wurden dabei von den Russischen Bergingenieu-
ren Mevius, Letunowsky, Sokolow und Iwaniz-
ky unterstützt. 2
1842 veröffentlichte Le Play im 4. Bande von:
Voyage dans la Russie méridionale et la Crimée ete.,
exécuté en 1837. sous la direction de M. Anatole de
Demidoff, Paris 1842, die Beschreibung des Gebirges
unter dem Separattitel: Exploration des terrains car-
bonifères du: Donetz et recherches sur Tétat actuel et sur
l'avenir de l'industrie minérale dans cette contrée.
Dieses vortreffliche Werk, auf das wir öfter zurück-
kommen werden, zerfällt in 4 Kapitel.
Das erste handelt von der Topographie, dem Klima
und der Vegetation des Gebirges; das zweite von der
geologischen Beschaffenheit und insbesondere von der
D
479
Bulletin de l’Académie Impériale
480
Formation carbonifère. Le Play stellt sie mit ihren
Sandsteinen, Conglomeraten und Arkosen, mit den
Schieferthonen, Kalksteiuen, Steinkohlen und Anthra-
citlagern, dem Alter nach, zwischen das Devonische
(das im Donezgebirge nicht vorkommt) und die eigent-
liche Steinkohlenformation (terrain houiller der Fran-
zosen), die ebenfalls fehlt. Die Hauptmasse der Sand-
steine des Donezgebirges hat sowohl im Liegenden als
im Hangenden Kalksteine der Bergkalkformation zur
Grenze und gehört somit zu dieser.
Trotz alles Bemühens konnte Le Play keine geo-
logischen Horizonte in dieser Formation auffinden;
sie scheint ihm ein untrennbares, gleichzeitig gebilde-
tes Ganze zu sein. Die Schichten sind vielfach ge-
krümmt und verworfen und ein und dieselben Schich-
ten mögen in FolgcMieser Dislokationen ôfter wieder
erscheinen.
Ganz denselben Eindruck hat die Betrachtung des
Donezgebirges auch auf mich gemacht und ich muss
im Allgemeinen der Ansicht Le Plays beistimmen.
Zu den bemerkenswerthesten Äusseruugen Le Plays
gehört auch noch die, dass im N. und NW. der Do-
nezer Bergkalkformation unter der dort auftretenden
Kreidebedeckung möglicherweise auf dem Bergkalke
die eigentliche Steinkohlenformation (terrain houiller)
liegen könne. Da diese Formation in Russland gar
nicht vorkommt, halte ich die Voraussetzung des Hrn.
Le Play für unwahrscheinlich.
Die Bachmnter Formation stellt Le Play in die
obere Abtheilung von de la Beches rother Sandstein-
gruppe und schliesst das Kapitel mit einer Beschrei-
bung der Kreide und Tertiärformation und einer Be-
trachtung der geologischen Vorgänge, namentlich der
Gebirgserhebungen im Beaumontschen Sinne, welche
dem Gebirge sein gegenwärtiges Relief mógen gege-
ben haben.
Das dritte Kapitel hat eiue grosse praktische Be-
deutung. Es enthält genaue Angaben über alle zu Le
Plays Zeit im Donezgebirge bekannte Lagerstütten
von Steinkohlen und Eisenerzen. Er zählt 94 Fund-
orte von Kohle auf, welche in geographisch getrennte
Gruppen zerfallen und eine Gesammtzahl von 225,
meist bauwürdigen Kohlenlagern enthalten, und 34
Fundorte von Eisenerz, die meisten in der Bergkalk-
formation, einige in der Kreide.
— Er spricht von der geringen Benutzung der Koh-
lenlager, von dem mangelhaften Abbau derselben anf
den Privatgruben, vom Raubbau und endlich im 4
Kapitel von den Mitteln, die Donezer Kohlenindustrie
zu heben. Le Play schlägt deren fünf vor:
1) Die acht Gruppen nach einem bestimmten Plane
genau zu untersuchen.
2)Die noch unberührten Kohlenlager durch Ver-
suchsbaue aufzuschliessen.
3) Auf den bereits in Angriff genommenen Lager-
stätten einen kunstgerechten Abbau einzuführen
und rz
4) Die Konsumtion der Kohle, namentlich in den
Pontischen Häfen, durch Vermehrung der Kon-
sumtionsorte zu steigern und dadurch den Preis
der Kohle zu erhöhen.
5) Um die Konkurrenz der Donezer Kohle mit der
Englischen in den Pontischen Häfen zu ermög-
lichen, soll die Regierung die fremde Kohle mit
einem Einfuhrzoll belegen.
Das gebaltvolle Werk schliesst mit dem Berichte
über die Resultate der 222 chemischen Analysen,
welche Malinvaud mit Steinkohlen und Erzen vor-.
nahm und der von Ayraud ausgeführten Bohrungen.
Zum ersten Mal erhielten wir durch Le Play eine
vollständige Übersicht des Donezgebirges, zum ersten
Mal eine richtige Altersbestimmung des hiesigen Koh-
lengebildes und eine genügende geologische Karte,
zum ersten Male eine auf genaue Vermessungen ge-
gründete Übersicht des damals bekannten Mineral-
reichthums des Gebirges und eine gründliche Prüfung
der industriellen Bedeutung desselben.
Wenn in gegenwärtiger Zeit nach mancher bitteren
Erfahrung, und nachdem sich viele Verhältnisse geän-
dert, wir von Le Plays Ansichten auch mitunter ab-
weichen, so soll uns das nie ein Grund werden, dem
Verdienste des ausgezeichneten Mannes auch nur Et
was nehmen zu wollen. Unsere Ansichten werden wir
am Schlusse darlegen. TRS SEE
Le Plays Untersuchungen waren bereits beendigf,
als Murchison, Verneuil und Graf Keyserlingauf
ihrer Reise durch Russland auch das Donezgebirg®
besuchten. Sie hatten vor derselben in Paris die von
Le Play gesammelten Gesteinsproben und qm
fakten gesehen und aus ihnen geschlossen, dass ©
Donezgesteine zur Bergkalkformation gehören. Aber
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
in Bezug auf die Schichtenfolge weicht Murchi-
sons Ansicht von der Le Play'schen bedeutend ab.
Er sah nicht, wie Le Play, in dem Ganzen eine gleich-
zeitige, untrennbare Bildung, sondern nahm zwei sehr
bestimmte Abtheilungen an, eine untere, deren Kalk-
steine Productus gigas, eine obere, die Spirifer Mos-
quensis enthält. Die Kalksteine der unteren Abtheilung
bilden mit gewissen rothen Gesteinen die Dasis des
Ganzen und kommen in der Südhälfte des Gebirges
vor. Die Kalksteine mit Spirifer Mosquensis, im
Norden, z. B. bei Lissitschansk, bilden das Dach
der Schichtenfolge, sind aber in ihrem Hängenden
an einer Stelle noch von Fusulinenkalkstein über-
lagert.
‘Die Sandsteine und Schieferthone mit den Kohlen-
lagern bilden, zwischen oberen und unteren Bergkalk
eingelagert, die Hauptmasse des Gebirges; ein Verhält-
niss wie es sich nach den neuesten Untersuchungen
Panders auch für die Bergkalkformation am westli-
chen Abhange des Urals herausgestellt hat, an welchem
übrigens auch unter dem unteren Bergkalke Steinkoh-
lenlager vorkommen, wie Müller gezeigt hat. Mur-
chison gelangte zu seiner Ansicht, indem er ein lan-
ges Querprofil von Karakuba im Süden bis Gorodowka
und Bachmut im Norden verfolgte. Auch er leugnet
die Schwierigkeit nicht, welche die Feststellung der
Schichtenfolge wegen der vielen Hebungen, Fältelun-
gen und Verwerfungen hat, glaubt aber die stratigra-
phischen Verhültnisse richtig erkannt zu haben.
Wir erlauben uns an dieser Stelle zu sagen, dass
eine klare Einsicht in das richtige Verhältniss der
verschiedenen Gesteinsgruppen des Gebirges nur durch
eine geologisch-geodütische Vermessung zu erlangen
wäre. Sie ist auf meine Vorstellung von dem Hrn.
Finanzminister Herrn von Reutern genehmigt und
hat bereits im Mai des Jahres 1864 begonnen. Diese
Aufnahme, ohne welche es unmüglich würe, irgend
welche umfassende Projekte zur grósseren Exploita-
tion der Kohle und der Erze auf sicherer Grund-
lage zu entwerfen, wird für alle Zukunft ihren dau-
ernden Werth behalten. Wie man keine richtige Karte
ohne astronomische Ortsbestimmungen machen kann,
so ist es unmöglich, grosse bergmännische Projekte und
Arbeiten ohne jene mathematische Grundlage auszu-
führen. Auf welche Irrwege man ohne dieselben gera-
Tome VIII.
then kann, wird uns weiter unten ein Beispiel im An-
| thracitbecken von Gruschewka lehren.
| Noch hätten wir zu erwähnen, dass auch Le Play
und Murchison die Bemerkung machten, man werde
an den Rändern des Donezgebirges unter der angren-
zenden Kreide und unter den Bachmuter Gesteinen
Kohlenschichten auffinden kónnen.
Obgleich Le Play uns zur Fortsetzung der von
ihm begonnenen Arbeit aufgefordert hatte, geschah
für das Donezgebirge gar wenig. Seiner Kohle fehlte
es nach wie vor an Absatz; es beschrünkte sich der-
selbe auf die Kriegsdampfer des Schwarzen Meeres,
auf Branntweinbrennereien, auf ein Paar Salzsiede-
reien, einige unbedeutende mechanische Werkstätten
und wenige Städtchen und Dörfer. Da brach im Jahre
1855 der Krymkrieg aus. Odessa und andere blokirte
Küstenstädte des Pontus, welche gewohnt waren, aus
England Steinkohle zu erhalten, geriethen da in die
grösste Noth und mussten von Gruschewka und vom
Westrande des Gebirges zu Lande 600—800 Werst
weit für ungeheures Geld Kohle kommen lassen. Der
Anthracit von Gruschewka wurde damals auf dem
Don, auf der Wolga und den Kanälen bis St. Peters-
burg für den Bedarf der Baltischen Kriegsflotte ge-
bracht und soll daselbst, dank dem patriotischen Ver-
mittler des Geschäfts, nur 54 Kopeken das Pud ge-
kostet haben. |
In der Luganer Hütte entbrannte eine fieberhafte
Thätigkeit. Tag und Nacht wurden aus fremdem Eisen
Projektile für Sewastopols Geschütze gegossen. Die
Noth war gross, aber auch heilsam. Hatte man vorher
immer von der Unzulünglichkeit der Eisenerzlager ge-
sagt und geklagt, so wurde man nun auf einmal ande-
ren Sinnes. Man untersuchte die Erzlager genauer,
entdeckte einige neue, und es fand sich, dass von 13
derselben ein einziges schon nahezu 13 Millionen Pud
Erz enthalte. Hierdurch war die Anlage einer neuen
Hütte vollkommen motivirt. Man wählte dazu einen
in der Nachbarschaft von Kohlen und Erzlagern be-
findlichen Ort an dem Flüsschen Ssadki, 44 Werst
südlich von Bachmut und gab der Hütte den Namen
Petrowskoi Sawod. Leider misslang der erste Schmelz-
versuch vollständig: der Hohofen platzte; der aus der
benachbarten, auf dem Gute des Hrn. Rajewsky vor-
kommenden Steinkohle erzeugte Coak enthielt beinahe
31
483
Bulletin de l’Académie Impériale
484
die ganze Quantität des die Kohle begleitenden Schwe-
feleisens, so dass das Gusseisen schlecht wurde.
Im Jahre 1863 ward daselbst ein neuer Ofen nach
Hrn. v. Rachettes Konstruktion gebaut, musste aber
weil man von den vorgeschriebenen Dimensionen ab-
gewichen war, wieder abgetragen und im Sommer
1864 unter der Leitung des von Hrn. v. Rachette
dazu engagirten Hüttenmannes Erbreich, von der
Königshütte in Schlesien, ein neuer Ofen der Ra-
chette’schen Konstruktion erbaut werden. Da dieser
die richtige Einrichtung haben wird, da die Erze gut
sind und ein reinerer Coak als früher zur Anwendung
kommen wird, so kann man an einem guten Resultate
dieses dritten Versuchs nicht zweifeln.
Aber — so möchte man fragen — warum ist man
nicht schon früher zur Wiederholung des ersten in
Lugan gemachten Versuchs geschritten, und warum
hat man Le Plays Vorschläge, die doch meist gut
waren, nicht befolgt. Wäre es geschehen, so würde
man in Sewastopol keinen Mangel an Projektilen ge-
habt und schon lange im Donezgebirge eigenes Eisen,
Maschinen u. s. w. produzirt haben. Die Antwort auf
jene Frage würde sich ungefähr so gestalten:
Peter der Grosse gründete im Donezgebirge keine
Eisenindustrie, weil er weder mit der Bedeutung der
Steinkohle bekannt war, noch von der Existenz der
Eisenerze jener Gegend wusste. Er schuf den Bergbau
und das Hüttenwesen am Ural und am Onegasee.
Als man in der zweiten Hälfte des vorigen Jahr-
hunderts im Donezgebirge eine Eisenindustrie grün-
den wollte, wählte man dazu einen unpassenden Ort,
der nur Aufschlagewasser, aber weder Kohlen noch
Erze hat. Nach einigen misslungenen Versuchen aus
eigenen Erzen und mittelst Steinkohlen Eisen zu er-
zeugen, hatte man nicht die Beharrlichkeit die Ver-
suche zu wiederholen, man fand es vielmehr beque-
mer, wie das ganze grosse Russland, so auch Lugan
mit Uralschem Eisen zu versorgen, um so mehr als
eine unbegründete Sage sich verbreitet hatte: es sei
das Donezgebirge zu arm an Eisenerzen, um an eine
eigene Eisenproduktion zu denken.
Als endlich Le Play diesen Irrthum durch gründ-
liche Untersuchung beseitigt und gezeigt hatte, dass
man am Donez nicht nur eine Kohlen-, sondern, wenn
eme
auch nur in bescheidenem Maasstabe, eine Eisenin-
dustrie etabliren könne, fehlte es immer noch an den
debouchés, namentlich für die Kohle, und an guten
Wegen zum Transport beider Produkte bis an —
Konsumtions- und Verschiffungsorte.
In unserer Zeit haben sich die Umstände geändert
Nach dem Krymmkriege, in welchem die Kriegsflotte
des Schwarzen Meeres zu Grunde ging, ward die Ge-
sellschaft für Handel und Dampfschifffahrt des Schwar-
zen Meeres gestiftet, die auf ihren Dampfern Gruschew-
kaer Anthracit verwendet. Der grosse Mangel an Hän-
den, den der ackerbautreibende Süden Russlands em-
pfindet, hat das Bedürfniss an Ackerbaumaschinen so
ungeheuer gesteigert, dass der Import derselben aus
dem Auslande sich mit jedem Jahre vermehrt. Die
Branntweinbrennereien, Salzsiedereien, Talgsiedereien,
die kleinen mechanischen Werkstätten und viele Haus-
wirthschaften der südlichen Gebiete gebrauchen schon
statt des immer seltener und theurer werdenden Hol-
zes Steinkohle, deren Verbrauch sich seit Le Plays
Zeit nicht unbedeutend gesteigert hat. Aber eine grós-
sere Konsumtion der Kohle stand dennoch nicht in
Aussicht, so lange die Regierung keine Eisenbahn aus
dem Herzen Russlands nach den Pontischen Häfen be-
willigt hatte. Da ward einer Englischen Gesellschaft
die Concession zur Erbauung einer Bahn von Moskau
über Kursk, Charkow, Alexandrowka und Perekop
nach Sewastopol gegeben, und vor der Ertheilung
derselben war die Regierung selbst zum Bau einer
Eisenbahn von Odessa nach Balta und Parkany ge-
schritten; man beabsichtigte dabei später von Balta
nach Kijew zu gehen. Ausnahmsweise und nach Über-
windung ernster, durch den Gang der Administration
veranlasster Hindernisse wurde der Bau der Odessaer
Bahn einem Privatmanne, Bar. Const. Ungern Stern-
berg,ehem. Bitterschaftshauptiüann von Estland über-
geben. Er verwendet bekanntlich zu dieser Arbeit
Sträflinge des Soldatenstandes und dieser wichtige Ver
such ist sowohl für diese Leute als für die Selbstkosten
der Bahn sehr günstig ausgefallen. Da beide Bahnen
ihren Bedarf an Kohlen, Schienen und Maschinen ı mit
der Zeit sehr wohl aus dem Donezgebirge beziehen
kónnten, so trat dieses aus seiner Yee pe
lich in den Vordergrund.
Aber schon vorher hatte General te di
485
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
Bedeutung desselben erkannt und den ernsten Willen
in sein Amt mitgebracht, die Eisenproduktion am Ural
und im Süden zu vermehren und rationeller einzurich-
ten, als es bisher der Fall war.
In dieser Absicht unternahm er 1863 eine Reise
nach beiden Gebirgen und nach Petrosawodsk und
veranlasste mich nach dem Luganschen Bergrevier zu
reisen, um nach dessen vorläufiger Untersuchung die
geeigneten Maassregeln zu einer detaillirten Erfor-
schung und zur Verwerthung der Kohle und der Ei-
-senerze vorzuschlagen. Für den Ural hatte Pander
und nach ihm Möller bereits das Nothwendigste ge-
than. Pander hatte den speciellen geologischen Ho-
rizont bestimmt, in welchem man dort nach Steinkoh-
len zu suchen hat.
Zu unseren Absichten trat noch ein Vorhaben des
Generalgouverneurs von Neurussland, Generals Paul
von Kotzebue. In Betracht des Kohlenbedarfs für
die Odessaer Eisenbahn, für die Stadt Odessa und die
östliche der beiden projektirten Südbahnen, legte Hr.
von Kotzebue dem Finanzminister 1863 den Wunsch
vor, auf Kosten des Staates erfahrene Ingenieure aus
Schlesien oder Belgien zu berufen, um-von ihnen das
Nachbarland des Pontus geologisch und bergmännisch
untersuchen und die Frage lösen zu lassen, ob man |
nicht etwa westlich vom Donezer Kohlengebirge, etwa
am Dnjepr, Bug oder Dnjestr, also in der Nähe der süd-
lichen W t Steinkohlenlager entdecken kón-
ne. Diese würden wegen grösserer Nähe der Südbah-
nen den Vorzug vor den entfernteren Kohlenlagern
des Gebirges haben. Auch machte Hr. v. Kotzebue
sehr richtig auf die Gefahr für Odessa aufmerksam,
das jetzt englische Kohle erhält, und im Falle einer
Blokade, wie das im Krymmkriege geschah, durch
das Ausbleiben der Kohle in die grösste Noth gera-
then müsste. Im Auftrage des Hrn. Finanzministers
ertheilte ich die gehórige Auskunft auf den Vorschlag
des Hrn. von Kotzebue und trat meine Reise nach
dem Süden im Juni 1863 an.
Über Moskau, Kursk, Charkow und Bachmut ge-
langte ich zuerst nach Lugansk. Da es nicht in mei-
ner Absicht lag, die sämmtlichen Lagerstätten der
Steinkohlen und Eisenerze zu besuchen, wozu ein
Sommer kaum hinreichen würde, so beschränkte ich
mich auf diejenigen, welche den bedeutendsten Kon-
sumtions- und. Verschiffungsorten der Kohle am nüch-
isten liegen. Und das sind die an den Rändern des
| Gebirges befindlichen, tlich die bei Lissitschansk,
bei Gruschewka und am Westrande, südlich und süd-
westlich von Bachmut.
Von Lugansk aus begleitete mich der Lieutenant
Nossow, der eine genaue Kenntniss des Gebirges
besitzt und mir bei meiner Arbeit sehr behülflich war.
Zunächst theilte er mir Nachrichten über die Lager-
stätten mit, und zeigte mir eine Sammlung von Ge-
steinsproben des ganzen Donezgebirges. Da bei dieser
Sammlung sich auch Specialkarten des Gebirges be-
fanden, so konnte ich mich schon vorläufig über die
Verhältnisse orientiren.
Das Luganer Werk hat sich bisher der aus ihrem
eigenen Walde gelieferten Holzkohle und in letzterer
Zeit der Steinkohle aus Uspenskaia und Lissitschansk
bedient. Man wusste nicht, dass nur 10 Werst west-
lich von Uspenskaia, also 38 Werst von Lugansk, auf
dem Gute Nowo-Nikolajewka des Hrn. von Bulazel
eine viel bessere Kohle als die der genannten Orte
vorkommt. Sie ward erst vor wenigen Jahren durch
Hrn. Nossow entdeckt und untersucht und liegt nahe
der von Bachmut nach Lugansk führenden Poststrasse.
Etwa 1", Werst von dem Wohngebäude von Nowo-
Nikolajewka setzen auf einer Höhe drei Kohlenflötze
auf, eine gemeinsame Lagerstätte bildend.
Das Hauptflötz ist 3,8 Fuss mächtig und fällt unter
1995. In seinem Hangenden setzen die beiden andern
ihm parallelen auf. Nossow hat das Hauptflötz im
Streichen 3600 Sashen = 25,200 Fuss weit verfolgt.
Bei seinem geringen Fallwinkel kann man es im Han-
gendenin 200 Saschen — 1400 Fuss Entfernung vom
Ausgehenden in einer Tiefe von 560 Fuss aufschlies-
sen. Berechnet man darnach den Flücheninhalt des
Kohlenfeldes, so erhält man 728,000 G-Sashen. Da
jede derselben etwa 280 Pud Kohle geben würde, so
muss der ganze Vorrath derselben 201,600,000 Pud
betragen. Wollte man aber auch die beiden Neben-
flótze in Angriff nehmen, so würden sie alle zusammen
438,480,000 Dud Kohle liefern können.
Die Nowo-Nikolajewer Kohleist von der besten Be-
schaffenheit, nämlich eine dem Anthracit sehr nahe-
stehende Glanzkohle, schwarz, fest; sie bricht in gros-
31*
487
Bulletin de l'Académie Impériale
488
sen, rektangulairen Blöcken, wie der Anthracit, eig-
net sich daher gut zu weitem Transport, enthält kaum
eine Spur von Eisenkies und widersteht an der Luft
der Verwitterung sehr gut.
Nowo-Nikolajewka ist entfernt:
Von Jekaterinoslaw am Dnjepr 300 Werst
Von Taganrog
Von Lugansk
»
Bee Er Ee ARV
38 -»
Eine durch das Donezgebirge führende Zweigbahn
würde jedenfalls diese vortrefiliche Kohle zu benutzen
haben, die sich durch ihre besondere Güte auch zu
metallurgischen Prozessen eignet.
Nachdem ich von dieser Excursion nach Lugansk
zurückgekehrt war, begab ich mich nach dem 90 W.
NW. davon entfernten Lissitschansk. Der Weg steigt
‘auf der Thalsohle der Luganka an deren linker Seite auf.
Steile, vom Regen und Schneewasser durchwühlte, voll-
kommen waldlose Abhänge begleiten ihn an seiner nord-
östlichen Seite und treten oft so nahe an ihn heran,
dass man sie für den Weg hat abgraben müssen. Die
blendend weisse Farbe der nackten Gehänge verräth
schon von weitem ihre geologische Natur; sie gehören
der Kreideformation an. Südlich vom Wege gränzen
sie an das Kohlengebirge, und die Schichten des letz-
teren betritt man in der Gegend des Dorfes Orecho-
va, allein dicht vor Lissitschansk geht der Weg noch-
mals über Kreideschichten, die hier eine kleine Insel
bilden. Sobald, diese überschritten ist, bleibt man über
Lissitschansk hinaus bis Priwolnoie, oder genauer, bis
in den letzten Winkel der hier vom Donez beschrie-
benen Biegung, ununterbrochen auf den Schichten des
Kohlengebirges. Sie bilden hier das nördliche Ende
einer nach NW. gerichteten Halbinsel derselben For-
mation und sollen nach Kotschershinsky’s Angabe
auch flussaufwärts von Priwolnoie an mehreren Stel-
len am Donez zu Tage gehn. Bedenkt man, dass sie
auch westlich von Isium und von Bachmut inselartig
unter Jura und Kreidebedeckung wieder erscheinen,
so darfman annehmen, dass die Bachmuter Formation,
so wie der Jura und die Kreide hier nicht sehr mäch-
tig sind, so dass man überall unter ihnen Schichten
des Kohlengebirges in unbedeutender Tiefe erbohren
könnte. |
Die Luganka sowohl, als der Donez sind, im Ver-
|gleich zu den anderen Flüssen des Donezgebirges,
wasserreich. Die Luganka, von Sentowskoie bis an
die Mündung, der Donez von Werchneie bis in die
Nähe von Gundorowskaia fliessen, erstere in der obe-
ren, weissen Kreide, letzterer aber so, dass die weisse
Kreide sein hohes rechtes Ufer, die unter ihm liegenden
Kreidesandsteine und Thone, nebst Juraschichten das
niedere linke Ufer bilden. Nun sieht man aber an vie-
len Orten des rechten Donezufers und der Ufer der
Luganka, wie die durch die zerklüfteten Kreideschich-
ten und die Sandsteine gedrungenen Tagewasser von
einer impermeabeln Thonschicht aufgehalten werden
und auf derselben dem Flusse zufliessen, an dessen
Ufern sie kleine Quellen und feuchte Gründe unter-
halten.
Dagegen ist das ganze, von den Schichten des Koh-
lengebirges eingenommene Gebiet sehr wasserarm. $o-
bald man aber westlich von Bachmut in die untere,
sandig thonige Etage der Kreide eintritt, stellt sich
in den Flüsschen mehr Wasser ein. Ich werde auf
diesen wichtigen Umstand später zurückkommen. Lis-
sitschansk liegt auf einem Plateau am rechten, ho-
hen Ufer des Donez, an welchem sich der bekannte
Gegensatz wiederholt, den die Ufer aller unserer
Flüsse zeigen, und den Hr. von Baer für eine Folge
der Rotationsbewegung der Erde erkannt hat.
Tiefe, von den Tagewassern -eingerissene Schluch-
ten mit äusserst steilen Abhängen und der schmalsten
Sohle ziehen sich von dieser Höhe in NO. Richtung
in das rechte Ufer des Donez. Da sie mit starkem
Gefälle lockere Gesteinsschichten durchschneiden, 80
trägt das Wasser aus ihnen grosse Massen von BI"
bem Detrituss bis an die Mündungen. Jeder dersel-
ben liest ein halbkreisförmiges Delta vor, das die
Breite des Donez bedeutend verringert. Dieser ver-
schleppt den Sand und Thon der Deltas allmählich und
bildet aus ersterem, wie auch der Don und die Wolga
thun, zahlreiche Untiefen und Sandbänke. Ä
Will man die Lagerungs- Verhältnisse bei Lissit-
schansk kennen lernen, so eignen sich dazu sehr gut
diese Schluchten. Wir begingen mehrere derselben,
nachdem wir uns mit einer von dem Kapitain Wag-
ner angefertigten geologischen Detailkarte der Ge-
gend bekannt gemacht hatten. Wir fügen sie in ver-
| kleinertem Maassstabe bei. nien migs Sm
489
Saint- Pétersbourg. 490
des Sciences de
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' In ihrem obern Verlaufe bilden die Lissitschansk
im Süden zunächstgelegenen Schluchten Längenthä-
ler, da sie den mit 10° bis 12° nach SO. fallenden
und von SW. nach NO. streichenden Schichten paral-
lel sind. In Betracht des flachen, den Abbau begünsti-
genden Fallens hat man in dieser Gegend am hohen
Rande des Plateaus die Grube angelegt, in welcher
die bekannten sieben, eine Gesammtmächtigkeit von
22 Fuss besitzenden Flötze abgebaut werden. Die
bis 1865 aufgeschlossenen Kohlenfelder enthalten ca.
2000 Millionen Pud Kohle.
Aber plötzlich machen die Schichten eine Wendung
von etwa 70° nach NW., und die ihre ursprüngliche
Richtung beibehaltenden Schluchten verwandeln sich
dadurch in Querthäler, an deren malerischen Fels-
wänden die schönsten Schichtenprofile erscheinen.
Mit der Wendung nehmen die Schichten auch ein stei-
les Fallen an bis 60° und 70° nach NO. und strei-
chen in dieser Stellung bis an den Donez hinaus, des-
sen Lauf sie diagonal durchschneidet.
mit dem Ausgehenden sogar thalabwärts überkippend.
Es wechseln hier Sandsteine mit Schieferthon, Kalk-
stein und Steinkohle. , Da der feste Kalkstein der
Wirkung der Wasser besser widersteht, als die locke-
ren kurzbrüchigen Thone und als die Sandsteine, so
bildet fast jede Schicht desselben in den Querschluch-
ten hervorragende Querdämme.
Zwei und eine halbe Werst NW. von Lissitschansk
sind in den letzten Jahren auf zwei privaten Land-
gütern, die den Herren Schachow und Bogdano-
witsch gehören, die oben erwähnten 7 Kohlenlager
aufgefunden und ihr Abbau bereits in Angriff genom-
men worden. Die Schichten streichen hier von NO.
nach SW. und fallen nach NW. Erwägt man, dass die
von Lissitschansk nach den Privatgruben streichenden
Schichten aus ihrer SO.-N W. Richtung allmählich nach
N. und sodann nach NW., nach W. und endlich nach
SW. einlenken, so wird es klar, dass sie einen con-
centrisch gebauten Dom bilden, auf dessen Scheitel
die ältesten und an dessen Rande die jüngsten Schich-
ten des ganzen Complexes sich befinden werden, und
zwar mit der jeder Stelle des Randes entsprechenden
Fallrichtung.
Da diese Annahme vollkommen richtig ist, so kann
auch mit Bestimmtheit angenommen werden, dass
man nóthigeníalls die Steinkohle auch am niederen
linken Ufer des Donez in denjenigen Theilen des Do-
mes werde erschürfen können, den das Flussthal von
der Hauptmasse abgeschnitten hat. Die Schichten gehn
hier aber nicht zu Tage: ihre Köpfe sind von Flug-
sand bedeckt.
An der Südostspitze des Domes haben die Gesteins-
schichten eine Richtung von NW. nach SO., und hier
erscheinen die Kohlenflótze wieder; sie behalten die-
ses Streichen bis an den untern Lauf des Flüsschens
Belinkaia bei, lenken aber hier unter Windungen nach
O., dann nach NO. und N. um, und streichen nun
von der Schlucht Osmuschnoi bis zum Lissitschansker
Plateau in NW.-Richtung. Eine scharfe Wendung ma-
chend lenken sie dann bei den erwähnten Querthä-
lern in die NO.-Richtung ein und schliessen ihren
Kreislauf.
Die Länge dieses concentrischen Schichtendomes
‘In einer der Schluchten sahen wir die Schichten
von der Belinkaia im Süden bis an den Nordrand be-
A91
Bulletin de l’Académie Impériale
trägt 7 Werst, bei einer mittleren Breite von 3°, W.;
die Längenaxe desselben verläuft von SO. nach NW.
Als ich Lissitschansk besuchte, wurde der Haupt-
schacht der Grube mit neuer Zimmerung versehen,
weil die alte, ebenfalls hölzerne zusammengebrochen
war. Die Arbeit war schwierig, gefährlich und kost-
bar; jeder Lachter war mit 300 Rubel Silber verdun-
gen. Die Arbeit ist aber durch den Kapitain Ko-
tschershinsky glücklich zu Ende gebracht, und die
Förderung hat wieder begonnen.
Es war nicht uninteressant zu sehn, dass man das
an den Tag gehobene Grubenwasser in dem Dampf-
kessel verwendete und die Dämpfe in einem Kühlap-
parate wiederum zu Wasser machte, um es nochmals
zu verwenden. Dazu nöthigt die absolute Wasserlo-
sigkeit des Plateaus und die Schwierigkeit, das Wasser
des Donez bis auf diese Höhe zu bringen.
Bei den Herren Schachow und Bogdanowitsch
fand in meinem Beisein Kohlenförderung statt. Ich
sah bei letzterem 200,000 Pud geförderter Kohle;
aber es war keine Hoffnung da, sie bald abzusetzen.
Sie enthält viele grosse Schwefelkiesknollen, die man
sehr leicht mechanisch ausscheiden und die Kohle da-
durch verbessern könnte. Das geschieht aber leider
nicht und wenn man hinzufügt, dass die Privatprodu-
centen die Kohle nicht zu festen Preisen verkaufen,
sondern diesen bedeutend steigern, wenn sie sehen,
dass der Käufer ihrer dringend bedarf, so darf man
sich nicht wundern, wenn letztere, nach so schlimmer
Erfahrung ihren Bedarf anderswo zu befriediggn su-
chen.
Die Grube des Hrn. Schachow hatte ein gewisser
Krakow in Arrende genommen. Er war nach Char-
kow gereist um daselbst kontraktmässig die Liefe-
rung von Steinkohlen zum Heizen aller Kronsgebäude
der Stadt zu übernehmen. Ein Cubikfaden Eichenholz
— 348 Cub. Fuss, wird in Charkow mit 18 bis 20
Rubel Silber bezahlt. Da 70 Pud Lissitschansker Kohle
einen Cubikfaden Holz ersetzen, und da in Charkow
das Pud dieser Kohle hóchstens 20 Copeken kosten
würde, so kämen 70 Pud etwa 14 Rubel zu stehn.
Der Vortheil ist also auf Seiten der Kohle. Gesetzt
aber, es kosteten 70 Pud Steinkohle in Charkow die-
selben 18 Rubel wie ein Cubikfaden Eichenholz, so
tháte man dennoch recht, die Kohle und nicht das Holz
zu verwenden, weil die mehr und mehr schwindenden
r `
Wälder dadurch geschont würden. Thut man es nic
so werden diese bald aufgezehrt und endlich auch al.
les Bauholz verschwunden sein.
Leider hat Krakow 1863 in Charkow solchen Wi-
derstand gefunden, dass er mit seinem Vorchlage nicht
durchdringen konnte. Auch hier wird nur bei äusser-
ster Noth, aber vielleicht schon zu spät, der Stein-
kohle ihr gutes Recht gegenüber den eingewurzelten
Vorurtheilen und falschen Rücksichten verschaffen.
Lissitschansk, dieses nördlichste Vorgebirge der
Donezer Kohlenformation, ist durch seine geographi-
sche Lage bestimmt, folgende Gegenden mit Kohle zu
versorgen:
1) Die Salzsiedereien zu Slawünsk und die zahlrei-
chen Branntweinbrennereien der Umgegend.
2) Das Charkowsche Gouvernement nebst der Stadt
insbesondere wenn die Südbahn über letztere ge-
führt werden sollte, wie dies nunmehr von der
Regierung bestimmt worden ist.
3)Das Gouvernement Woronesh, das bereits an
Holzmangel leidet.
Darum sind wir ganz entschieden der Meinung,
dass die Kronsgrube zu Lissitschansk als ein Muster-
bau aufrecht erhalten und nicht etwa aufgegeben
werde. | :
In Lugan und Lissitschansk klagt man darüber,
dass der Donez von Dampfern nicht befahren werden
kónne. Ein Dampfboot, mit Namen Donez, das der
Krone gehórte und den Fluss vor einigen Jahren ver-
suchsweise befuhr, soll zu tiefen Gang und zu grosse
Länge gehabt haben, um den seichten, idees
Donez beschiffen zu kónnen.
Im Jahre 1828 ward er auf Befehl der Regierung
von Ingenieuren der Wasser- und Wegecommunica-
tion, unter der Leitung des Generallieutenants Kraft,
vermessen, wobei sich erwies dass dieser Fluss nur im
Frühlinge bei hohem Wasser schiffbar ist.
Wir unsererseits glauben nicht, dass eine Schit:
barmachung des Flusses die erwarteten Vortheile, näm-
lich vermehrten Absatz der Lissitschansker Kohle,
Belebung des Kornhandels u. s. w. bringen *
Seitdem die Lager an der Gruschewka abgebaut a
der Anthracit in weite Kreise verschifft wird, hat Lis-
sitschansk seine Bedeutung für den Süden verloren.
Nach erfolgter Rückkehr und kurzem. Aufenthalte
in Lugansk reisten wir auf dem kürzesten, 150 Werst
493
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
494
betragenden Wege von hier über die Kosakenstanizen
Gundorowskaia und Kamenskaia nach Kadamowka,
das einige Werst von der Gruschewka entfernt ist.
Bis zum Dorfe Suchodolskoi bleibt man im Gebiete
der Kreide, hier aber betritt man wieder die Gesteine
der Kohlenperiode und durchschneidet sie rechtwink-
lig zu ihrem Streichen. Sie sind immer dieselben,
wie im ganzen übrigen Gebirge. Der berühmte An-
thracit der Gruschewka ist, wie man auf der beifol-
k
Wlassowa Linie
genden Kartenskizze sehen Kann, in einer nach W.
spitz vorspringenden Mulde abgelagert, deren Längen-
axe von SO. nach NW. verläuft, und die von der Gru-
schewka und der Kadamowka von NO. nach SW.,
also in die Quere, durchschnitten wird. Die steilen,
waldlosen Abhänge beider Thäler, von Schnee und
Regenwassern alljährlich aufs Neue denudirt, weisen
in schönen Felsprofilen die ganze Schichtenfolge die-
ser Lokalität auf.
So bildet denn das Gruschewkabecken einen Ge-
gensatz zu Lissitschansk: hier ein Schichtendom, dort
eine flache Mulde; zwei Typen, die sich, wenn auch
in geringeren Dimensionen, auch an anderen Orten
des Gebirges wiederholen. |
An der Gruschewka werden vier durch 6 bis 7 Fa-
den = 42 bis 40 Fuss dicke Zwischenlager von Sand-
stein und Schieferthon getrennte Anthracitlager auf
einer Erstreckung von 8 Werst, von dem Punkte c
bis o abgebaut. Sie streichen von SO. nach NW. und
fallen unter Winkeln von 6° bis 10° nach NO., was
einen bequemen Abbau gestattet.
Sie haben, nach des Kapitains Wagners Angabe,
eine Gesammtdicke von 4, Fuss, was mit Le Plays
Messung, 1,55 métres, nahe übereinstimmt. Es werden
Vorzugsweise die obern, dickern Lager abgebaut, in
deren Hangendem noch mehrere andere vorkommen,
Nordrand der Mulde bildend, auf welchem die beiden
Anthracitlager zwar an mehreren Stellen aufgeschlos-
sen sind, aber zur Zeit noch nicht abgebaut werden.
Sie fallen hier unter Winkeln von 9° bis 20° nach
S. und werden die Wlassowsche Linie genannt, zur
Unterscheidung von der Gruschewka- oder Popowka-
Linie. Der letztere Name ist von dem Dorfe Popowka
entlehnt, dessen Bewohner den Anthracit zuerst in
Angriff nahmen. An der in der Mitte der Mulde flies-
senden Kadamowka erscheinen jüngere und obere
Schichten desselben Systems und mit ihnen jene un-
bedeutenden Anthracitlager. Der Fallwinkel dersel-
ben beträgt 1025 und östlich von der Kadamowka
am Flüsschen Kertschik noch mehr. |
Nördlich von dem Gruschewka - Wlassowbecken
kommt ein ähnliches, das Wladimirsche vor, in wel-
chem ein Anthracitflótz von 9% bis 10 Fuss Dicke
die wegen ihrer geringen Dicke nicht bauwürdig sind. aufgefunden worden ist. Der Reichthum an schónstem
Von dem Punkte a an, beugen die Flótze mit den ! Brennmaterial ist hier in der That sehr gross und bei
begleitenden Gesteinslagern wahrscheinlich nach N. | vermehrtem und zugleich rationell betriebenem Abbau
und dann unter scharfem Winkel nach O. um, den | müsste der Preis des Anthracits geringer werden kün-
495
Bulletin de l’Académie Impériale
496
nen als jetzt, wo er die Höhe von 6 Cop. an der Gru-
be erreicht.
Nach der Entdeckung des Gruschewkaer Beckens
kam der damalige Ataman des Donischen Kosaken-
beeres, General Chomutow, bei dem Kriegsmini-
sterio mit einem Projekt zum Abbau der Lager ein.
Der technische Theil desselben ward dem General
Heinrich von Jossa und mir zum Begutachten gege-
ben. Wir hielten es für unsere Pflicht, uns auch über
den administrativen Theil offen auszusprechen, da wir
ihm unsere Zustimmung nicht geben konnten, weil
die in ihm ausgesprochenen Grundsätze der Technik
selber schädlich werden mussten.
Das Projekt erkannte nümlich, nach einem übrigens
ganz gerechten Princip, allen dazu berechtigten Ko-
saken und sogar deren Wittwen und Waisen das Recht
zu einen gewissen Antheil an dem Abbau der Lager
zu erhalten. Jedem Petenten sollte eine Grundflüche
von 700 Fuss Länge, 175 bis 315 Fuss Breite in
der Nähe der Lager eingemessen werden.
Da es vorauszusetzen war, dass jeder Inhaber ei-
nes solchen Theils (Utschastok) selbstständig abbauen
und also eine Menge einzelner, dicht aneinander ge-
drüngter und überdies noch ungenügend verwalteter
Gruben entstehen werde, und dass ein solcher Betrieb
die schöne Lagerstätte mit der Zeit verderben könne,
machten wir auf die Nothwendigkeit aufmerksam, das
Ganze in eine oder einige wenige Hände zu geben
und einen regelmässigen Bau einzuführen. Eine Gesell-
schaft oder die Oberverwaltung in Nowotscherkask
hätte: die centralisirte Leitung. des ‚Geschäfts über-
nehmen und jeder Antheilhaber sich durch Aktien-
kauf an der Errichtung des Grundkapitals yethelligon
und seine Dividende erhalten können. —
Aber diese und ähnliche später gemachte omis
ge scheiterten in Nowotscherkask an der hartnäcki-
gen Vertheidigung jenes Prinzips der Gleichberechti-
gung aller Kosaken nicht nur an dem Anthracitbesitze
sondern auch an der Exploitirung. `
-So ist es denn geschehen, dass man aut der Sr:
sen dinie über 400 Antheile vertheilt und fast
eben so viele Schachte abgesenkt hat, von denen je-
doch im Jahre 1863 etwa 190 in der Verfassung wa-
ren, dass sie Kohle liefern konnten. Der Kohlenvor-
rath sämmtlicher 1863 aufgeschlossener Felder wurde
auf 400 Millionen Pud abgeschätzt. Die vielen, ob-
— — ——
gleich dicht aneinander gedrängten Gruben stehen in
keiner Verbindung untereinander; jede arbeitet für
sich. Da die meisten Besitzer derselben arm sind und
keine kostbaren Maschinen anwenden kónnen, so ge-
ben sie die Arbeit auf, sobald der Wasserandrang, der
hier übrigens nicht stark, für ihre Einrichtung aber
bereits hinderlich geworden ist, und legen in der Nähe
eine neue Grube an. Daher giebt es hier keine Schachte
die tiefer als 40 bis 50 Lachter sind. Der Wasseran-
drang ist in verschiedenen Gruben sehr verschieden.
Manche der verlassenen Schachte füllen sich alljähr-
lich mit Schnee- und Regenwasser an, das durch die
Gesteinsklüfte sich den benachbarten Gruben mittheilt.
Es ist dagegen auch schon öfter vorgekommen, dass
die Pumpe einer Grube auch das Wasser der Nach-
bargrube aufsog, ohne dass diese Hülfe wäre vergütet
worden. Auch geschieht es oft, dass die mit geometri-
schen Verhältnissen vollkommen unbekannten Gru-
benbesitzer, einer in das unterirdische Revier des an- -
dern einbrechen und dann markscheiderisch zurecht-
gewiesen werden müssen. RR
Von diesen schädlichen, einem Raubbau ähnlichen
Wirren machen nun freilich einige Gruben eine löb-
liche Ausnahme, namentlich die von Bergoffieieren
eingerichteten, wie zum Beispiel die Grube des Ba-
rons Wrangell. Wir wollen aus den so eben geschil-
derten, beklagenswerthen Zuständen den zur /
über die Gruschewka-Gruben angestellten Bergoffcié-
ren keinen Vorwurf herleiten. Unter den gegehenen
Umständen lag es ausser ihrer Macht, hier einen ı
gelmässigen, rationellen Abbau einzuführen ytwoldie
tapfern Söhne des Don ihre eigenthümlichen Rechte
auf den Bodenbesitz geltend machten und dem Berg-
bau in der Weise ausübten, wie es etwa in der Stein
oder Bronzeperiode der allt gepennt titi
. Es herrscht hier der übrigens lóbliche- ‚Grundsatz;
in möglichst schneller Zeit und mit mögli chst geringen
Kosten möglichst viel Kohle zu gewinnen; da Ae
aber auf eine unstatthafte Weise und unter dem Ein-
flusse des après nous le déluge geschieht, so. kann der
ganzen Lagerstätte ein erheblicher Schaden
werden, und man begreift leicht, warum. die Preise
des Anthracits sich bisweilen schon unverhültoissmás-
sig hoch gestellthaben-.. 1.00% peret
Im Jahre 1860. umen hier 4,000, 395
thracit durchschnittlich zu 9%, Cop. das e
DE. T
497
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
Grube gefördert; 1861 — 8,021,238 Pud zu 10 Cop.,
1862, im ersten Halbjahre 3,822,695 Pud, davon in
den drei ersten Monaten zu 6 Cop., in den drei letz-
ten zu 5'/, Cop. à
Zur Charakteristik dieser Verhültnisse mag noch
‚erwähnt werden, dass keiner der Grubenbesitzer eine
geologische, instrumentale Aufnahme des Gruschewka-
beckens gemacht hatte. Man nahm bona fide an, die
Flótze erstreckten sich noch weit über die nórdlich-
sten Gruben nach NW., über den Punkt a hinaus.
Aber wie erstaunte man, als man hier Aníheile einge-
messen hatte und in ihnen keinen Anthracit fand. Wo
war er geblieben, wo sollte man ihn suchen? Erst als
der Berg-Ingenieur Kapitain Wagner im Auftrage
der Gesellschaft für Handel und Dampfschififahrt des
Schwarzen Meeres das Gruschewkabecken geodätisch
aufgenommen hatte, konnte man auf jene Frage ant-
worten: dass die Anthracitlager von a nach x und nach
d streichen und von hier nach der Wlassowschen Li-
nie hin. Die nächste Veranlassung zu Wagners Ver-
messung war aber folgende. Die Gesellschaft bezieht
ihren Anthracit unmittelbar von den Grubenbesitzern.
Um in dieser Beziehung unabhüngiger zu werden, er-
bat sie sich die Erlaubniss, eine eigene Grube anzu-
legen und erhielt dazu ein von dem Bergbeamten der
Gesellschaft an der Kadamowka gewühltes Grund-
stûck: `
Von der vorgefassten Meinung ausgehend, dass die
Flótze der Gruschewkaer Linie a. c. flach unter dem
Becken wegstreichen, und dass man sie hier mit Ver-
suchsbauen in geringer Tiefe werde erreichen können,
wählte der Mann einen 8 Werst östlich von Popowka
an der Kadamowka befindlichen Punkt und senkte
hier nahe bei einander 34 tiefe Schürfe und Schachte
ab, ohne auch nur ein einziges bauwürdigss Flótz zu
finden. Und dennoch glaubte er seiner Sache so gewiss
Zu Sein, dass er an diesem trostlosen Orte sechs
steinerne Wohngebäude für die Grubenverwaltung er-
bauen liess. | |
- Als eine Summe von 230,000 Rubeln vergeblich
verausgabt und dem Ingenieur die Hoffnung.geschwun-
den war hier zum Zwecke zu kommen, beauftragte
die Gesellschaft Hrn. Wagner, das Verfahren seines
Orgängers zu prüfen und Vorschläge zu sicherer Er-
reichung des Zieles zu machen. STE
Wagner begann mit einer geologisch-geodätischen
Tome VIII.
| Aufnahme des Terrains unter dem Beistande der Berg-
officiere Gorlow, Nossow und Wagner des Jünge-
ren. Da wurde alles klar. Die Kosaken erkannten,
wohin ihr Anthraeit an jener verhüngnissvollen Ecke
gerathen war und der Vorgünger Wagners sah ein,
dass er in jüngern, die Centralgegend des Beckens er-
füllenden Schichten, also an einem Orte gesucht hatte,
wo die Flótze der Gruschewka - Linie beiläufig in ei-
ner Tiefe von 2000 Fuss unter dem Tage liegen müs-
sen.
Die Kadamowka ward aufgegeben und Wagner
wählte ein 1%, OWerst grosses Grundstück an dem
Flüsschen Ajak-tu, unweit der Linie ac, nordwestlich
von Popowka. Bei meinem Besuche sah ich hier ei-
nen, nach den strengsten Regeln der Kunst angeleg-
ten Hauptschacht und in dessen Nähe einen Hülfs-
Schacht, Beide werden das obere Anthracitflötz in
63 bis 65 Sashen Tiefe anfahren, von welcher die
Hälfte bereits gemacht war, und die zweite Hälfte un-
geführ nach zwei Jahren beendet werden sollte. Nach
Wagners Mittheilung würde mit dem Abteufen die-
ser Schachte und der zu ihnen gehórenden Werke ein
Vorrath von 80 Millionen Pud Anthracit aufgeschlos-
sen werden.
So dürfen wir denn hoffen, dass ein rationell betrie-
bener Bergbau hier bald den Sieg über das oben er-
wühnte Wesen davon tragen werde. Es ist aber aus-
serdem noch die erfreuliche Hoffnung da, dass das
Bergwesen im Donischen Kosakenlande einen neuen,
guten Aufschwung nehmen werde, da an dessen Spitze
ein rühmlich bekannter Bergofücier, Antipow der
Jüngere, gestellt worden ist. Nicht nur bemüht sich
derselbe den Abbau der Gruschewka-Flótze in gute
Ordnung zu bringen, namentlich durch unterirdische
Verbindung der vielen isolirten Schachte und durch
Aufstellung kräftiger, durch Dampf getriebener Was-
serpumpen, sondern er hat ein neues, auf liberalen,
gesunden Grundsätzen beruhendes Bergreglement für
das Kosakenland entworfen, das hoffentlich bestätigt
werden wird. r
Bekanntlich hat es die Oberverwaltung des Kosa-
kenheercs für nöthig erachtet, zur Erleichterung des
Kohlentransports eine Eisenbahn von Gruschewka bis
Aksai, am Don, zu bauen. Ich sah sie 1863 bis No-
wotscherkask bereits vollendet. Da sie aber einestheils
noch nicht bis dicht an die Gruben und andrerseits
82
499 `
Bulletin de l’Académie Impériale
nicht bis Rostow, diesem grossen Handelsort geführt
war, entspricht sie zur Zeit ihrem Zwecke noch nicht.
Am 11. Juli reisten wir von Kadamowka auf der
Poststrasse nach Nowotscherkask. Wir hatten schon
in der Nähe von Kadamowka einzelne horizontal ge-
schichtete Inseln des miocenen Steppenkalksteins auf
den geneigten Schichten des Kohlengebirges aufliegen
gesehen und betraten sodann 2 bis 3 Werst von der
Poststation Konstantinowskaia den grossen tertiairen
Kontinent, dem diese Kontinentalinseln angehören.
Nowotscherkask liegt malerisch aufdem hohen Schei-
tel eines aus diesem Kalkstein bestehenden Plateaus
mit weiter Fernsicht nach allen Seiten.
Hier sei erwähnt, dass, wie am Westrande des Do-
nezgebirges die Schichten der Kohlenperiode inselar-
tig unter der Bedeckung der Kreidesandsteine so am
Ostrande unter ihrer tertiairen Bedeckung hervor-
tauchen, wie z. B. dicht am Don bei der Staniza So-
lotowskaia.
Den Rückweg nach Lugansk nahmen wir auf der
von Rostow nach Bachmut führenden Poststrasse und
erreichten nach kurzem Aufenthalte auf dem tertiai-
ren Gebiete, etwa 12 Werst südlich von der Station
Kolodesnaia das Kohlengebirge. Weit mehr als in sei-
nem mittlern und nördlichen Theile hat es hier wah-
ren Gebirgscharakter.
J Scharfe, markirte Felsgrate verlaufen nach den ver-
schiedensten Richtungen und dominiren tief einge-
schnittene Erosions- und Erhebungsthäler mit steilen,
felsigen Abhängen; die Bergformen sind — S
tiger und malerischer, als weiter im Norden, wo das
Gebirge zwar hóher ansteigt bis zu seinen Kulmina-
tionspunkten Jessaulowka und Iwanowka etc., aber
zugleich einfachere, ruhigere Umrisse annimmt.
In Jessaulowka angekommen, besuchten wir in Ge-
sellschaft des Besitzers, Oberst Lukianow, einige
Orte der Umgegend, an denen in den Kohlensandstei-
nen Bleierze auf Quarzgüngen vorkommen. Diese Gänge
gehóren einer, dem Gebirge parallel streichenden Erz-
zone an, welche von dem Dorfe Nagolnaia bis nach
Jessaulowka verläuft. Weder südlich, noch nórdlich
von ihr hat man Erze, sondern nur taube Quarzgänge
gefunden. Auf den Erzgängen der Nagolnoia-Kette
hat man zu verschiedenen Zeiten und an verschiede-
nen Orten geschürft, aber immer ohne Erfolg, da sie
sich nicht bauwürdig erwiesen. !
Zuerst fuhren wir nach einem in den
Jahren dieses Jahrhunderts, zwei Werst südwestlich
von Jessaulowka, von Böhm angelegten Versuchsbau.
Der Schacht war bis an seine Mündung zugeschüttet
Auf der geringen Halde lagen Bruchstücke schiefri-
gen Sandsteins und weissen, von Brauneisenstein be.
gleiteten Quarzes. Interessanter war der zweite Punkt
1'/ Werst nördlich von Jessaulowka, am südlichen
Fusse eines scharfen Felsrückens. Mehrere, tief in
das Diluvium eingerissene Wasserracheln eeng
auch in die untenliegenden, steilfallenden und gewun-
denen, dünnschiefrigen Sandsteine ein, die an vielen
Stellen von dünnen Quarzgängen divchsclieieit Wer-
den. In diese Gänge ist Brauneisenstein und Bleiglanz
eingesprengt. Wir sammelten auf der schmalen Sohle
einer solehen Schlucht in einer Stunde eine grosse Men-
geloser Bleiglanzstücke, von denen eines ein Gewicht
von '/, Pfund hatte. Nach Lukianows Angabe sollen
diese Bleiglanzgerólle in den untern Schichten des Di-
luviums unmittelbar auf dem anstehenden Kohlensand-
steine liegen. Ist diese Angabe richtig, so hatte die
Lostrennung dieser Geschiebe von ihrer ursprüngli-
chen Lagerstütte am Anfange derjenigen Periode statt-
gefunden, welche die braunen Thone hervorbrachte,
die wir diluviale genannt haben, da sie in der That
unserem nordischen Blocklehm zu entsprechen schei-
nen. So decken denn die Erosionen der Jetztzeit -
Bleiglanzgerölle allmählich auf.
Ganz anders gestaltet sich aber dieses vate
wenn es sich erwiese, dass die in den Schluchten zer-
streuten Erzgerülle sich erst in neuester Zeit von den
anstehenden Schichten trennten und durch Alluvial-
wasser fortgetragen wurden.
In keinem Falle wäre auf Grund der bisherigen
Untersuchungen ein Abbau der Erze in Nagolnaiage
birge gerechtfertigt. Will man hier Blei gewinnen, 50
sammle man jene Gerölle, die überall in der Gegend
vorkommen und verschmelze sie von Zeit zu — -
kleinen, wohlfeilen Öfen.
Nach abermaligem kurzen Aufenthalte in ag
reisten wir in Gesellschaft des Oberst Mevius nach
der neuen Eisenhütte Petrowskoi, die 130 Werst SW.
von Lugansk, am Flüsschen Ssadki, einem Zufluss der
Krynka liegt. Der Weg dahin geht über die Poststa-
tionen Uspenskaia, Iwanowka, Adrianopolskoie und
Tschernuchina und dann über das Gut Kajutowo-
501 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 502
Bei Tschernuchina besichtigten wir ein Kohlenla-
ger, das in-einer tiefen Schlucht, eine Werst flussab-
wärts von dem Dorfe, zusammen ve Sandstein, Schie-
ferthon und Kalkstein zu Tage geht und abgebaut
wird. Es ist 3 Fuss dick, streicht hora 7 bis 8 Fuss
NW. nach SO. und fällt 52° nach SW. Man nimmt
hier nicht mit Unrecht an, dass dieses Flötz die Fort-
setzung eines andern, 8 Werst östlich von hier, bei
Gorodischtsche vorkommenden sei. Leider war. aus
den Kalksteinschichten kein einziges bestimmbares Pe-
trefakt zu erhalten, obgleich die verwitterten Stellen an
der Oberfläche deutlich zeigten, dass er aus Fragmen-
ten organischer Reste zusammengesetzt ist. Nur das
Pygidium eines Trilobiten war zu erkennen, vielleicht
dem genus Otarion angehörig. Auf frischen Bruchflä-
chen sieht man keine Spur von Petrefakten. Wir er-
wähnten oben der Gründe, die zur Anlegung der neuen
a lassten; sagen wir jetzt von der Wahl des
Ro zur Zeit des Krymmkrieges in Lugansk befeh-
Jende Berghauptmann, General Letunowsky beauf-
tragte seinen späteren Nachfolger im Amte, Oberst
Mevius, mit der Wahl einer zur Hüttenanlage pas-
senden Lokalitàt. Drei Dinge fielen dabei vorzugs-
weise ins Gewicht: benachbarte, bauwürdige Kohlen
und Eisenerzlager, Wasser zum Speisen der Dampf-
kessel und zum häuslichen Bedarf und môglichste
Nähe der grossen Land- und Wasserstrassen.
Mevius, unterstützt von Ssapalsky und Nossow
1 ‚ verwendete auf diesen Gegenstand viel Mühe und
Wa endlich bei zwei Lokalitäten stehn:
1) Wereschtsehagina oder Sophjewka, ein dem Hrn.
Rajewsky gehöriges Privatgut am Zusammen-
~ flusse des Ssadki und der Chatnaia, etwa 5 W.
N. von Petrowskoi, im Bachmuter Kreise, 44
— WerstS. von Bachmut.
Eh 2 Die Shelesinschen Kohlengruben, i im Bachmuter
Kreise, an dem Flüsschen Shelesnaia, 10 Werst
östlich von dem an der Vereinigung der Sheles-
-~ naia und des Kriwoi Torez belegenen Kronsdor-
© fes Shelesnoie oder Shelesinskoie.
ad. ip Sophjewka vereinigt in sich alle Erforder-
misse zu dem erwähnten Zwecke: Auf dem
-== Areal des 12,000 Dessätinen grossen Gutes
=~ = setzen in der Nähe des herrschaftlichen Ge-
© „bäudes, am rechten Ufer der Chatnaia, 7
LA
Flötze guter Backkohle, und in deren Han-
genden ein ergiebiges Brauneisensteinlager
auf. Zahlreiche andere Erzlager kommen in
der Umgegend in einer Entfernung von 10
bis 15 Werst vor, bei Nikitowka, Gossuda-
rew Bujerak, Sholasnoín. bei Michallowks
etc. vor. In geringer Entfernung nach Sü-
den geht ein Kalksteinlager zu Tage, das den
Zuschlag bei der Beschickung des Hohofens |
liefern kann, Die Kohle und das Erz könn-
ten sogar aus ein und demselben Schachte
gefördert werden, wie das an vielen gesegne-
ten Orten Englands, Schottlands und Bel-
giens geschieht, die eben deshalb so wohl-
feiles Eisen liefern. Fügt man hinzu, dass
Sophjewka viel guten Ackerboden und Wie-
sen, ja sogar noch Wald und im Ssadki hin-
längliches Wasser hat, und dass man aus-
ser dem Hohofen und den Grubengebäuden
keine anderen aufzuführen gehabt hätte, da
Wohnungen für alle Beamten und Arbeiter
vorhanden — und endlich, dass der Besitzer
dieses Gut zu jener Zeit für einen mässi-
gen Preis dem Bergwesen abgetreten hätte,
so muss man gestehen, dass die Umstände
zur Anlage einer neuen Hütte kaum günsti-
ger hätten zusammenfallen können, als hier.
ad. 2) Bei den Gruben von Shelesnoie kommen auch
Kohlen und Erze zusammen vor und gehö-
ren diese Lager zu einer 43 Werst langen
Zone derselben, von der weiter unten gesagt
werden wird. Aber die Wassermenge ist hier
viel geringer alsin Sophjewka. Zwar schlug
Mevius vor, an einer passenden Stelle des
Shelesnaiathales, die ich selbst gesehen habe,
die Frühlings- und Regenwasser mittelst ei-
nes Dammes aufzustauen, ein im ganzen
Süden Russlands wohlbekanntes und übli-
‘ches Verfahren, allein Letunowsky behielt
sein Bedenken wegen möglichen Wasserman-
gels und verwarf diesen Ort. Was aber die
Erwerbung von Sophjewka anbelangt, so
schrieb die Oberbergbehörde zu St. Peters-
burg Letunowsky vor, sich auf solchen
Kauf nicht einzulassen, sondern zur Anlage
einer Eisenhütte einen passenden Ort auf
82*
503 Bulletin de l'Académie Impériale 504
UB
unbenutztem Lande der Reichsdomainen zu| wendigerweise nachtheilig auf das Geschüft und die
suchen. Da Shelesnoie, ein Kronsdorf, ver- | Preise der Produkte wirken muss. i inb
worfen war, und Mevius sich vergeblich be-
müht hatte dem Wunsch der Oberbehórde
zu genügen, ward endlich folgender Beschluss
zur Ausführung gebracht:
1) Man pachtete fünf Werst südlich von So-
phjewka ein 100 Dessätinen grosses, dem
Domainendorfe Korsun gehóriges Land-
stück im Thale des Ssadkiflüsschens und
den Besitzern zahlt man jährlich dafür ei-
nen Grundzins von 49 Copeken von jeder
Dessütine. Für den Augenblick genügt
zwar dieser Raum, bei vermehrter Bevól-
kerung von Petrowskoi würde man aber
sofort genóthigt sein, von einem Nach-
barn, Herrn Danilow, noch mehr Land
und zu hóherem Zins zu pachten oder zu
kaufen, um, den Arbeitern der Hütte et-
was Garten- und Wiesenland geben zu
können, ohne welche es unmöglich wäre
zu existiren und sesshafte Arbeiter zu er-
halten.
UM Von Hrn. Rajewsky pachtete man auf
= seinen Kohlenflötzen ein 5 Dessätin. gros-
. ses Grundstück, um eine Kohlengrube
darauf anzulegen und verpflichtele sich
kontraktlich zur Zahlung eines halben Co-
pekens von jedem Pud geförderter Kohle.
Wollte man mit der Zeit die Fórderung
bis etwa 2 Millionen Pud jährlich ste.
gern, was noch nicht viel ist, so hätte man
Herrn Rajewsky jährlich 10,000 Rubel
zu zahlen, also die Zinsen von einem Ka-
pitale von 200,000 Rubeln, für welches
man den ganzen Besitz leicht hätte acqui-
riren kónnen.
Die Benutzung des Erzlagers hat m sich
selber vorbehalten.
Der Hohofen nebst Zubehör, zwei Öfen zur als
reitung, die Wohn- und Vorrathsgebäude wurden meist
auf der schmalen Thalsohle des Ssadki erbaut und ein
macadamisirter, 5 Werst langer Weg von der Hütte
bis zur Kohlengrube angelegt. Statt dass man in So-
phjewka alles bei einander gehaht haben würde, war
jetzt ein komplicirtes Verhältniss entstanden, das noth-
Wir besuchten zuerst die Kohlengrube. Die 7 hier
vorkommenden Flótze streichen hora 7 bis 8? und fal-
len mit 70 bis 80? nach Süden. Fünf von ihnen haben
jedes eine Mächtigkeit von 3 F. bis 4 F. 8 Zoll; die
zwei übrigen sind geringer. Den Bau leitet ein ausge-
zeichneter Grub oiicer, Ssapalsky, der früher bei
den Kohlenwer ken Polens in Dombrowa angestellt
war. Von der Sohle des Chatnaiathales ist er mit ei-
nem 400 Sashen — 2800 Fuss langen Stollen in dem
Streichen der Flótze in den Berg gegangen. Dieser
Stollen, der am Mundloche nur 18 Fuss, weiter nach
WNW., weil die Erdoberfläche hier allmählich ansteigt,
aber 280 Fuss unter dem Tage liegt; wird die Grube
welche aus 4 Schüchten und mehreren Lichtlóchern
besteht, vollstándig vom Wasser freihalten. Der ge-
pachtete Antheil der Flótze allein enthält 100 Millio-
nen Pud einer bituminósen, gut verbackenden Kohle
welche 60 bis 75 Prozent Coak giebt. Sie ist übri-
gens brüchig, zerfällt leicht und dürfte sich zu weiten
Transporten nicht eignen. Der Schwefelkies, da er
in grossen Knollen vorkommt, kann — D
ihr getrennt werden. M
Nach des Oberst Iwanow Analyse enthalt T
Kohle:
Flüchtige Theile KK 19, 7 0—20, 30
DENM a a Re 79, 30—80, 30. -
Hygroskopisches Wasser . 0,81— 1, 61.
‚Ihre Heizkraft im getrockneten ege
8200 Einheiten, im ungetrockneter 8049, (Gornoi J.
1861). Ton dl
Etwa 350 Fuss vom Ausgehenden verläuft im Han-
genden dieser Flötze und ihnen parallel ein bedeuten-
des Lager von Brauneisenstein dessen wir ‚schon m
wühnten, ausser diesem Erzvorkommen, sind e:
folgende, welche der neuen Hütte zu Gebote stehen:
Gossudarew Bujerak, 10 Werst von Petrowskoi,
Gorodischtsche 45 Werst, Stila 75 Werst. Das Gut
des Hrn. Polsikow 7, Werst das Gut der .
Campenhausen 45 Werst, auf einem Gru
des Dorfes Korsun 7 Werst, Schtscherbinowka 253
Nikitowka 18 W., das Gut des Herrn Tutkewitsch
14 Werst, das Gut der Frau Gersewanow 1
Krasnoi Kut, dem Baron Vietinghoff gehörig 60 M
505
des Sciences de Saint- Pétersk wee,
das Gut des Herrn Oposchnänsky 2 W., das Gut
des Hrn. Bsowsky, 12 Werst von Petrowskoi Sawod.
Somit sind es 14 Orte, welche der Hütte Erz lie-
fern könnten, und an allen denjenigen von ihnen,
welche der Krone gehören und in unserem Verzeich-
nisse ohne den Namen des Besitzers geblieben sind,
hat die Hütte das Recht die Erze abzubauen mit der
Verpflichtung für jedes geförderte Pud 1, Copeken,
und für jede gepachtete Dessätine Land 53 Copeken
jährlichen Zins zu zahlen. Auf Grundlage dieses Rech-
tes wird in Gossudarew Bujerak, Gorodischtsche und
in Stila Eisenerz gefördert. Aus Nikitowka stellen die
Bauern es selbst zu 4 Cop. das Pud. (Mevius im
Gorn. J, 1860, Heft 3, pag. 621). Durchschnittlich
ward, nach Mevius Angabe, ein Pud Erz bei der
Hütte mit 5'/ bis 6 Cop. bezahlt. Diese Erze sind im
Laboratorium des Bergdepartements analysirt und die
Resultate im Gorn. J. 1861 bekannt gemacht worden;
Mevius giebt deren durchschnittlichen Metallgehalt
2u 85°} bis 45% an, und spricht zugleich die Ueber-
Zeugung aus, dass die Petrowsker Hütte, bei einer
jährlichen Produktion von 300,000 Dud Gusseisen ih-
ren-Erzbedarf immer vollauf aus jenen Lagern würde
beziehen kónnen. Und dieser Meinung sind auch wir.
Diese Erze sind Brauneisenstein, Thoneisenstein
und Sphaerosiderit. Überall, wo ich die beiden ersten
auf ihrer Lagerstätte untersuchen konnte, fand ich
sie lagerfórmig zwischen den Schichten des Kohlenge-
birges eingeschlossen; sie haben dasselbe Fallen und
Streichen wie diese und enthalten nicht selten, wie z.
B. bei Stila, gut erhaltene Petrefakten, z. B. Enkri-
nitenstiele. Wie in anderen Sedimentairformationen
80 auch in der Donezschen bilden diese Erzlager nie
eine kompakte Masse, sondern bestehn, wie in dem
Kohlengebirge Englands, Schottlands, Belgiens und
des Olonezschen Gouvernements, aus Nieren und
Knollen verschiedener Grösse, in eisenschüssigem Sand
und Thon eingeschlossen. Ihre unbezweifelte Lager-
Datur bürgt dafür, dass sie sich bis in dieselbe Tiefe
erstrecken werden, wie die Kohlenflótze, Sandsteine
und Kalksteine, deren Begleiter sie sind. H
^ Ven der Kohlengrube bei Sophjewka begaben wir
uns nach dem Kronsdorfe Nikitowka oder Saizowa,
und von hier nach einem 5 Werst NW. davon liegen-
genden Ort, an welchem ein dichter Spatheisenstein
(Sphaerosiderit) nesterweise in Schichten der Bach-
muter-Formation vorkommt. An der Oberfläche sind
diese Erznieren meist in Brauneisenstein verwandelt,
innen aber unverändert und von grünlich grauer Far-
be. Nach dès Oberst Iwanow Analyse enthält die-
ses Erz 43,38%, Eisen. Die kleinen Pingen, in denen
man es hier im Winter abbaut, waren alle von Früh-
lingswasser überschwemmt. Geht man von hier 1
Werst in dem Thale des Popossowa-Flüsschens ab-
würts, so gelangt man an ein grosses Lager dichten
Gypses, das 35 bis 45 Fuss tief durch Steinbruchs-
arbeit auf die Erstreckung von 3500 F. aufgeschlos-
sen ist.
Eine zweite Excursion war zur Besichtigung der
dem Kosakenofficier Kamyschansky gehórigen Erz-
lager bestimmt. Sie liegen 12 bis 14 Werst O. von
Petrowskoi, 3 Werst S. von dem Gute Michailowka
auf einer plateauartigen Hóhe zwischen den Thälern
Pianaia Balka und Schirokaia. Nach Ssapalsky's
Angabe, der dieses Vorkommen genau untersucht hat,
befinden sich hier nahe bei einander 4 Erzlager. Das
bedeutendste derselben fand ich durch zwei 8 bis 10
Fuss tiefe Schürfe aufgeschlossen, die man durch eine
unterirdische Strecke mit einander verbunden hatte
ohne Zimmerung anzuwenden. Dieses Lager ist 6,
bis 7 Fuss dick und besteht aus grossen Brauneisen-
steinnieren; es streicht hora 7°, von NW.—SO. und
fällt unter 65° nach SW. Wie fast alle Privatgruben
im Donezgebirge, so wird auch diese nur im Winter
belegt und steht im Sommer óde, weil da die Arbeits-
hände bei den Feldarbeiten nóthig sind. Auf dem Rück-
wege nach Petrowskoi besuchten wir am rechten, von
einem hohen Felsenkamm dominirten Ufer des Bula-
winflusses einige in der Nähe des Gutes Ubeshisch-
tsche vorkommende Kohlenlager. Sie gehn am Aus-
gange einer in den Bulawin mündenden Schlucht zu
Tage; eins derselben war gut entblósst; es streicht
hora 7 bis 8 NW.—S0. und füllt mit 70° nach NO.
Nach Ssapalsky's Meinung ist dieses Lager die
Fortsetzung eines auf dem benachbarten Gute Gerse-
wanowa vorkommenden. Da die Kamyschanskischen
Erzlager und die begleitenden Sandsteine an der linken
Seite des Bulawin liegen und ein südliches Fallen, die
Gesteinslager am rechten Ufer aber ein nórdliches ha-
ben, so geht daraus hervor, dass der Bulawin hier in
einem antiklinischen Thale fliesst. Er bricht aus ihm
weiter unten durch ein malerisches Querthal heraus.
507 Bulletin de l’Académie Impériale 508
Nachdem der Oberst Iwanow 1860 diese Gegend
besucht hatte, erwähnte er bereits der Erzlager auf
den Gütern Bsowsky’s, Kamyschansky’s, Ger-
sewanows und Tutkewitschs, die alle am Bulawin
liegen, fand aber auf der Petrowsker Hütte nur Vor-
räthe von Bsowsky vor. Eine Generalanalyse dieses
Erzes gab darin 44,76 Proc. Eisen an. Die übrigen La-
ger waren damals noch nicht untersucht.
Eine dritte Excursion war nach den 22 Werst NW.
von Petrowskoi entfernten Shelesinschen Kohlengru-
ben gerichtet. Es setzen hier 4 bauwürdige Flötze
auf, welche einem Juden für eine jährliche Zahlung
von 80 Rubeln zur Benutzung abgegeben sind. Die
nur im Winter bearbeiteten Gruben waren, bis auf
eine, von alluvialem Schutt erfüllt. In der einzigen zu-
gänglichen Grube sahen wir ein 3 Fuss 3 Zoll mäch-
tiges Steinkohlenlager, das hora 8'/, streicht uud mit
60° nach S. fällt. Ehe wir unsere Bemerkungen über
diese Gegend schliessen, haben wir eines wichtigen
Umstandes zu erwähnen.
Le Play c. l. pag. 324 machte schon darauf auf-
merksam, dass die Kohlenlager von Saizowo, Schtscher-
binowka und Shelesnoie, obwohl ziemlich weit von
einander entfernt, doch sehr bestimmt auf einer und
derselben Streichungslinie liegen, und alle fast unter
denselben Winkeln nach SW. geneigt sind. Er schloss
aus diesem Umstande auf einen kontinuirlichen Zusam-
menhang der Lager, die sich also mindestens 20 Ki-
lometer weit zusammengehórig erstrecken und an je-
dem beliebigen Punkte dieser Linie zu erschürfen sein
würden.
Nach den von Ssapalsky und anderen Officieren,
nach Le Play's Zeit in dieser Gegend gemachten
. Entdeckungen, scheinen die Kohlenlager, welche auf
der Fortsetzung dieser Linie bei Sophjewka und am
Bulawin vorkommen, unbezweifelt zu derselben Gruppe
zu gehóren und es würde Le Play's Linie nach einem
nach SO. gerichteten Zuwachs von 23 Werst die
ganze Linie aber eine Länge von 43 Werst erhalten.
Es fragt sich nun, wie tief die Lager dieser kolossalen
Linie in die Erde dringen, und wenn sie vielleicht
durch Sprünge unterbrochen oder wellenfórmig gebo-
gen sind, wo sie dann im Gebirge wieder erscheinen.
Nur eine instrumentale Aufnahme könnte hierüber
Aufschluss geben.
Wenn wir auf Le Play’s Mestenges fussend, für
ad EE
die Lager dieser Linie eine Gesammtdicke von nur 19
Fuss annehmen, was nicht zu viel ist, so würde jeder
Quadratsashen (= 49 Quadratfuss) in runder Zahl
840 Pud Kohle enthalteu. Wollte man sie auch nur
bis in die geringe Tiefe von 550 Fuss aufschliessen,
so kónnten sie in runder Zahl gegen 900 Millionen
Pud geben. Wir wollen diese Zahl auf ein Drittel re-
duciren und bekommen immer noch 300 Millionen
Pud, welche diese Gruppe allein der Industrie zu lie-
fern im Stande wäre. Dieses Beispiel mag genügen,
um von dem bedeutenden Kohlenreichthum auf einem
verhältnissmässig geringen Raume des Donezgebirges
einen Begriff zu geben. Es wäre leicht eine ühnliche
Schützung auch für andere Kohlenlager dieser Gegend
zu machen, die ebenfalls mit Beharrlichkeit auf grosse
Strecken sich hinziehen, z. B. südlich von Kamens-
kaia im Kosakenlande und an manchen anderen Orten.
Und bei Kamenskaia sind die Flötze auch von zahl-
reichen Eisensteinlagern begleitet, die man jedoch we-
nig beachtet und garnicht untersucht hat, weil man
im Donezgebirge kein eigenes Eisen erzeugt. ^
Von Petrowskoi begaben wir uns zunächst nach
dem 22 Werst S. davon gelegenen Gute des Fürsten
Paul Lieven, das Lager oder Lagery genannt, weil
zur Zeit Peters des Grossen sich hier ein befestig-
tes Kriegslager befand, dessen Erdwälle sich noch ef- -
halten haben. Das Gut ist besser unter dem Namen
'Alexandrowka bekannt. Der Kalmius bildet hier die
Grenze zwischen dem Gouvernement wee
und dem Kosakenlande.
Le Play erwähnt zwar der ‚Kohlenlager von Ae
xandrowka (c. l. pag. 296) und erklärt sie für die
besten, die er im Donezgebirge gesehn; ihren Abbau
thaten diei damals die Bauern und er war sehr schwach.
Der Fürst Woronzow, der die Kohlen- und Eisen-
industrie hier gern in blühenden Zustand gebracht
hätte, pachtete im Jahre 1842 die Alexandrowkaflötze
von dem damaligen Besitzer Schidlowsky, mee: 30
Jahre, unter den vortheilh ngen
derselben sicherte dem Fürsten das m
Recht auf dem ganzen Terrain des Gutes alle noch zu
entdeckenden nutzbaren Mineralien abzubauen und zu
verwerthen; ein anderer Punkt verpflichtete den Besi-
tzer keine andere Kohle zu brauchen als die vom FT"
nehmer geförderte. Der Fürst vermachte vor seinem
Tode diesen merkwürdigen Kontrakt einem
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Iwanow und als der Fürst Lieven das Gut von den
Schidlowsky's käuflich an sich brachte, konnte er
sich den lästigen Verbindlichkeiten dieses Kontrakts
nicht entziehen. Iwanow baut das bedeutendste der
hiesigen Flótze seit 23 Jahren ab. Es liegt 5 Werst
Su vom Lager, in der Nähe des Dorfes Alexandrowka,
ist 6 Fuss dick, streicht hora 7°, NW.—SO. und fällt
mit 31? bis 39^ nach NO.
Wir fanden hier einen regelrechten Abbau. Man
hat das Flótz mit drei 27 Sashen — 189 Fuss tiefen
Schachten angefahren und ging sodann im Streichen
mit 2 Strecken, jede von 120 Sashen — 840 Fuss
Lünge nach beiden Seiten vor. Die Grubenwasser wer-
den mittelst einer englischen Dampfmaschine gehoben
und setzen in einem dazu eingerichteten Behälter viel
Eisenocher ab, den man als Fürbestoff verwendet.
— Nossow berechnet den durch Iwanows Arbeiten
aufgeschlossenen Kohlenvorrath auf 5,540,000 Pud.
DieKohle ist glänzend, schiefrig, enthält dünne Schwe-
felkiesschnüre, backt zu schönen Coak zusammen und
kam in 3 Fuss langen, rektangulairen Blócken gebro-
chen werden, die sich trefflich zum Transport eignen.
Sie sind 1 bis 1'/, Fuss dick und können Jahre lang,
ohne zu zerfallen, an der Luft liegen. Iwanow ver-
kauft seine Kohle zu 8 bis 9 Kop. an der Grube. Das
Hangende des Flótzes ist ein fester Sandstein, das
Tiegende Schieferthon; über dem Sandsteine folgt ein
‘dichter Kalkstein. Auch Eisenerze sind in der Nähe zu
erwarten, da man Bruchstücke von ihnen an mehre-
ren Orten gefunden hat. i
^ Auch die Umgebungen des Lievenschen Gutes
'sind reich an Steinkohlen. Zwei Werst S. von Alexan-
drowka hat der Verwalter desselben, Hr. Sidorow,
ein 2/, Fuss mächtiges Flötz sehr gute Kohle aufge-
Schürft, das hora 8'4 NW. — SO. streicht und mit
d5*hora 9 ,NO.flt.. à -
— Wenige Werst südlich von diesem Punkte wird in
‘der Schlucht Durnaja Balka, auf dem Besitze Kathari-
‘nowka und Darjewka der Frau Nesterow, ein 3 F.
'6 Zoll mächtiges Kohlenlager abgebaut, das hora 57,
‘streicht und mit 15° bis 20° nach N. fällt. Die hier ab-
gesenkten Schachte sind 98 bis 119 Fuss tief. Einige
Warta W van hiarantdoaktaRntschenko auf seinem
VEM 175 TUL
LIIUVU TL
T1... 1:
"Flótz, das hora 5 bis 6 streicht und mit 15° nach
des vorhererwähnten Lagers sein, mit welchem seine
Dimensionen und sein Streichen und Fallen überein-
stimmen.
Rutschenko hat das Flótz mit zwei Schachteu an-
gefahren, von denen der eine 56, der andere 84 Fuss
tief ist.
SSW. von hier, am linken Ufer des Flüsschens Schi-
rokaia, unweit des Kalmius, zwischen dem Chutor
Awdotjina und dem Gute Mandrykina, werden zwei
Kohlenlager abgebaut; auch sie streichen hora 5 bis
6 und fallen ebenfalls flach nach N. Das eine ist 2%
das andere 3%, Fuss mächtig. Über die industrielle
Bedeutung dieser Gegend für die Zukunft, werde ich
mich später ausprechen. Von dem Gute Lager reisten
wir in SW -Richtung auf die von Mariupol nach
Bachmut führende Poststrasse hinaus nach der Sta-
tion Staroie Michailowskoie. Hier geht am rechteu
Ufer der Lasowaia ein dichter grauer Kalkstein mit
undeutlichen Resten von Brachiopoden und Crinoiden
zu Tage. Er gehórt wohl ohne Zweifel der Bergkalk-
formation an und hat ein schwaches Fallen nach N.
Oben, am hohen Thalrande liegt hellgrauer Kalkmer-
gel auf ihm, dessen Alter sich nicht bestimmen lässt.
Wegen der vielen Feuersteingerülle, die auf ihm um-
herlagen, kënnte man ihn vielleicht, der Kreide bei-
zählen. In einem in der Nähe vorkommenden ro-
then, eisenschlüssigen Sandstein hat man beim Schür-
fen Schieferthon und in ihm Kohlenschmitzen entdeckt.
Es springt also hier das Steinkohlengebirge ein wenig
weiter nach W. vor, als Le Play angiebt.
Bei der nächsten, südlich von hier gelegenen Post-
station Nowo- Michailowskoie, kommen zwei Werst
westlich von derselben, am rechten Ufer des Flüss-
chens Suchije Jaly wieder Schieferthone mit Kohlen-
schmitzen vor, doch konnten keine bauwürdigen Flötze
entdeckt werden. Die von Le Play, pag- 299 ,:er-
wähnten Schurfarbeiten an demselben Flusse, liegen
weiter nach W. und wurden, obgleich sie drei Flötze
aufschlossen, wegen heftigen Wasserandranges aufge-
geben. Über dem erwähnten. Schieferthon sah der
Lieutenant Nossow bier rothen und gelben, glimmeri-
gen Thon und in ihm Platten rothen Sandsteines, aus
denen im Dorfe Konstantinowka Mühlsteine angefer-
tigt werden. Noch höher lagen weisse Mergel der
Kreideformation.
se die Fortsetzung
- Den Granit der Ukraine erblickten wir auf unse-
511
Bulletin de l'Académie Impériale
rem Wege zum ersten Male an der Nassen Wolnowacha
(Mokraia Wolnowacha) bei der Station Nowo- Nikoli-
na. Ein schönes Felsprofil am linken Ufer zeigt in sei-
nem unteren Theile einen grobkórnigen Granit aus
fleischrothem Orthoklas und weissen Quarz. Der Glim-
mer scheint zu fehlen. Unmittelbar auf dem Granit
liegen dicke Schichten weissen Quarzsandsteines, der
ein ostwestliches Streichen, geringes Fallen nach N.
hat, und das unterste Glied des hiesigen Steinkohlen-
gebirges zu sein scheint.
Ebenso schón sahen wir dieses Verhältniss bei dem
12 Werst O. von hier gelegenen, von Griechen be-
wohnten Dorfe Stila an dem Flüsschen Trockne Wol-
nowacha, wo es von Murchison bereits beobachtet
ward. Die Trockne Wolnowacha verdankt ihren Na-
men einer sogenannten perte. Sie verliert sich näm-
lich oberhalb Stila in die Hóhlungen des Bergkalks
und tritt nach einem unterirdischen Laufe von eini-
gen Werst unterhalb Stila wieder hervor. Bei Stila war
das übrigens sehr scharf gezeichnete Flussbette ganz
wasserleer.
Die Eisensteingruben, deren wir oben bereits er-
wähnten, liegen 1'5 Wert N. von Stila. Wir sahen ein
3 Fuss 6 Zoll mächtiges Lager von Brauneisenstein,
das hora 5 streicht und mit 14° nach N. fällt. Con-
centrisch schalige, ovale Geoden und unregelmässig
gebildete. Knallen: ‘won Brauneisenstein, : in denen En-
A
) vorkommen,
senschüssigem Sand und Thon. Man hat in der Strei-
chunglinie viele kleine Pingen angelegt und sie mit-
telst einer horizontalen, unterirdischen Strecke un-
ter einander verbunden. Auch hier geg pur im Win-
ter gefördert.
Auf unserer Weiterreise nach Berdänsk-kamen wir
nun in das Pontische Tertiairgebiet hinein. Da ich
meine wenigen Beobachtungen in einem besonderen
Aufsatze über das Asowsche Meer mitzutheilen beab-
sichtige, will ich hier nur kurz über dasselbe hinweg-
gehn. Wir erreichten Mariupol in den letzten Tagen
des Juli, reisten sodann nach Berdünsk, wo ich die
angemeldete Ankunft des Generals v. Kotzebue, Ge-
neral-Gouverneurs von Neurussland abwarten wollte,
um demselben die Resultate meiner Uotenadhpte
mitzutheilen. Als aber die Nachricht eingelaufen war,
Hr. y. Kotzebue werde die beabsichtigte Reise- icht
liegen
dicht bei einander in einem lockern Gesiebge von ei- |
unternehmen, begab ich mich über Melitopol ung
Orechow nach Al drowsk und nach Jekaterinoslay.
So berührten wir das merkwürdige und leider. noch
so sehr mangelhaft und dürftig untersuchte Granitge-
biet des Dneprs, bei dessen näherer Erforschung man
gewiss viel Neues lernen würde. Wollen wir hoffen,
dass die Geologen und Mineralogen der bereits be-
stätigten und im Mai 1865 zu eróffnenden Odessaer
Universität eine monographische Erforschung dieses
eigenthümlichen Gebiets zu einer ihrer nächsten Auf-
gaben machen werden. "
Um vom Dnepr her wieder in das Donezgebirge zu `
gelangen, schlugen wir den Postweg über Nowomos-
kowsk und Pawlograd nach Bachmut ein. a
Im Vergleiche zu den dürren Stätten, die wir durch-
wandert hatten, erschien diese Gegend wasserreich
und fruchtbar, grüne Gärten und Wiesen wechseln
mit wohlbelaubten Wäldchen und Wäldern. Bei No-
womoskowsk fuhren wir zwei Werst weit durch einen
schön bestandenen Eichenwald. Aber nirgend sahen
wir an der Strasse anstehendes Gestein, bis wir nach
der Station Dmitrjewka kamen. Drei Werst von der:
selben, am hohen rechten Ufer der Samara gehn die _
sandigthonigen Gesteine der untern Kreideformation
zu Tage. Das ganz ime linke Ufer ist mit Eichen?
d) Wechsel von dünnen, weissen und >
RT — — :
ten
} TM
"të d
wald bestanden. 54 pd
a) Tschernosem. zu, UL ` gir 1F.—2.
b) Brauner Diluviallehm `... RE
c) Weisser, lockerer, geschichteter ^ ^.
Sand, oft zu feinkörnigem Sandsteine y nlt
erhärtet, der in Blöcke zerfällt, die ^"
dann zu Thale gleiten und Haufwerke tout
bilden. Es ist genau dieselbe Erschei- ^ ^ ^.
nung, die ich bei Jendowischtsche, "= =
15 Werst von Woronesh, beschrieben ^ — ^"
habe im 21. Bändchen der Beiträge ^^ ^^
zur Kenntniss des Russ. Reiches. . 4» — a
d) Fester, qitrdiger, feialehiger; hell. or
gelb und graugefärbter Sandstein, der
nach allen Richtungen von seiten La
schen, oft plattgedrückten Hóhlun- ^ ~
gen gen durchzogen ist, an deren Wände `
man von Pflanzenrinden `
dat, "OM TEE
513 des Sciences de Saint-Pétershourg. 514
zu erkennen glaubt. Die Hóhlungen
sind oft mit lockerem Sande angefüllt 1 F. 8 Z.
e) Wechsel bunterSandsteinlager, wie d 21 bis 25 F.
Obgleich wir in diesen Gesteinen keine bestimmba-
ren organischen. Reste fanden, stehe ich nicht an die
Schichten von c bis e inclusive der untern, sandigen
Kreideetage beizuzählen, wegen ihrer grossen litholo-
gischen Ähnlichkeit mit der in andern Gegenden Russ-
lands unter der weissen Kreide liegenden Sandstei-
nen. Da die Mächtigkeit dieser Etage in Russland nie
gross zu sein pflegt, so darf man glauben, dass die
Schichten des Steinkohlengebirges bei Dmitrijewka
nicht. sehr tief unter dem Tage liegen werden. Dabei
nehme ich freilich, nach der Analogie von Lissi-
tschansk, Slawänka und ähnlichen Orten an, dass zwi-
schen er unteren Kreideetage und den min der
Kohlenperiode : auch bei Dmitrijewka keine Juraschich-
ten ‚eingeschaltet sind.
In Slawänka sigah besuchten wir zunächst
einen LG Werst NO. davon entfernten 150 Fuss ho-
hen Thalabhang am rechten Ufer des Byk, (das linke
ist niedrig) und sahen am oberen Rande desselben die
bei Dmitrijewka unter lit. c, d, d und e beschriebenen
Sandsteine anstehn. Sie ziehen sich in óstlicher Rich-
tung fort und man kann sie bei dem 14 Werst NO.
von Slawünka liegenden Gute Sawidowa oder Chlopo-
wo des Fürsten Kudashew, so wie bei dem 1% W
SW. von Chlopowo belegenen Dorfe Kriworosbje wie-
der beobachten. An beiden Orten sind jedoch unter
ihnen, im Tiefsten der Thalsoble des Byk und i in a den
benachbart
der Steinkohlenperiode entblósst. In. der Nähe von
Chlopowo entdeckte vor einigen Jahren ein Bauer in
einer steilen, von der Frühlingsfluth unterwaschenen
Schieferthonwand ein Steinkohlenlager, verheimlichte
aber seinen Fund, bis der nachforschende Gutsver-
walter ihn zum Geständniss brachte. Dieser schürfte
das Flötz an mehreren Stellen auf. Später ward es
auf den Wunsch des Besitzers von dem Bergofficier |
keneen untersucht, wobei sich Folgendes
ergab:
Das 2 Fuss 11 Zoll mächtige Flötz guter, bitumi-
nóser Backkohle streicht hora 10°, von NW.—$0.
und fallt mit 45° bis 50° nach NO. In der Richtung
ward es 3 Werst weit verfolgt und auf
“ii
Tome VIII.
dieser Strecke, d. h. vom Byk bis zu dem in ihn mün-
denden Wodinaflüsschen, an mehreren Stellen aufge-
schürft, wobei man 600 Pud guter Backkohle erhielt.
Als man aber den Hauptschurf bis in 56 Fuss Tiefe
gebracht hatte, strömte das Wasser so heftig zu, dass
man es ohne Pumpen nicht mehr gewältigen konnte.
Der Besitzer besass aber die Geldmittel zu fortgesetz-
ten Arbeiten nicht und die unvollendete Untersuchung
ward unterbrochen. Nach Kotschershinsky’s An-
gabe sollen auch an anderen Stellen des Bykflusses
Gesteine der Kohlenperiode entblósst sein, und in der
That sahen wir sie 1'/, Werst S. von Sawidowo, am
rechten Ufer des Byk bei dem Dorfe Kriworoshje
gelbgraue, feinkórnige Sandsteine und hellgraueSchie-
ferthone mit 9^ nach OSO. fallen; sie sind unmittel-
bar von lockerem Sandstein der unteren Kreideetage
bedeckt, der bis an den hóchsten Thalrand aufsteigt.
Wenn man von Slawünka nach Bachmut reisend,
14 Werst von der Station Grischina zurückgelegt hat,
befindet man sich auf dem Gebiete des Domainendor-
fes Nowoekonomitscheskoie. Eine Werst N. von die-
ser Stelle der Poststrasse, auf einer Hóhe, hat man
unlüngst ein Steinkohlenlager entdeckt und mit zwei
Schachten angefahren. Es ist 3 Fuss 9 Zoll dick,
streicht hora 11 und fällt mit 12° nach NO. Bis in
40 Fuss Tiefe war die Kohle locker, zerstórt, tiefer
aber fest und von guter Beschaffenheit. Mittelst eines
.| 74 Fuss tiefen Schachtes und einer Strecke von 420
Fuss Länge hatte man ein Kohlenfeld von 1500 OSa-
shen aufgeschlossen, das ungeführ 300,000 Pud Hiie-
fern kann.
Da man die das Flótz bei cfa Gesteine in ih-
rem Streichen 12 Werst weit verfolgen kann, so darf
man annehmen, dass auch ersteres sich auf dieser gan-
zen Strecke werde auffinden lassen.-Die Richtung führt
aber gerade auf das Dorf Galyzinowka und es würe
wohl zu wünschen, dass diese Lokalität näher unter-
sucht. würde.
Das Domainenministerium hat den Abbau dieses
Lagers dem Gutsbesitzer Schabelsky auf 15 Jahre
für eine jáhrliche Zahlung von 80 Rubeln gestattet.
Es wiederholen sich also bei Sawidowo und Nowoeko-
nomitscheskoie die schon viel früher westlich von
Isium bei dem Dorfe Petrowskoie bekannt gewordenen
Verhältnisse, nur mit dem Unterschiede, dass bei Pe-
trowskoie auch noch Juraschichten die Gesteine der
33
515
Bulletin de l'Académie Impériale
516
Steinkohlenperiode bedecken. Bei Sawidowo und No-
woekonomitscheskoie fehlen sowohl diese, als auch die
Bachmuter Gesteine. Man darf daher annehmen, dass
die Bachmuter-Gesteine sich in einer Entfernung von
20 Werst westlich von ihrem sichtbaren Rande schon
ausgekeilt haben. Bei Staraia Torezkaia, das 5 Werst
von der Westgrenze der Bachmuter-Formation liegt,
ist das noch nicht der Fall, da hier zwischen den ent-
blössten Schichten der Kohlenperiode und denen der
Kreidesandsteine Bachmuter - Gesteine eingeschaltet
sind.
Ziehen wir Alles über diesen Gegenstand Gesagte
in Betracht, so geht daraus hervor, dass man auf dem
ganzen, zwischen den Flüssen Kriwoi Torez, Suchija
Jaly und Byk liegenden Raume in verhältuisunäkeig
geringer Tiefe unter der Kreidesandstein - Bedeckung
Schichten der Kohlenperiode werde erbohren können.
Die praktische Wichtigkeit dieses Umstandes für
eine künftige Südbahn am Dnepr ist gewiss gross ge-
nug, um eine genaue Durchmusterung und Anfnahme
dieser Gegend zu rechtfertigen.
Zum Theil nach meinen eigenen Messungen und
Schätzungen, zum Theil nach den Angaben Anderer,
glaube ich annehmen zu können, dass man die Ge-
steine der Kohlenperiode und mit ihnen auch Kohlen-
lager in 100 bis 150 Fuss Tiefe werde auffinden kön-
nen, wenn man die Plätze dazu in Thälern wählt, wel-
che die Kreidesandsteiue bis unter den Horizont
jenes harten Sandsteines aufdecken, dessen oben bei
Dmitrijewka und Slawänka erwähnt wurde.
Diesen Sandstein sahen wir nochmals bei dem 6
Werst westlich von Bachmut, an der Poststrasse be-
findlichen Gute Iwanowskoie, wo am hohen, steilen
Abhange der Stunka beide Etagen der Kreideperiode
zu Tage gehen: Oben weisser Kreidemergel mit Zxo-
gyra vesicularis und vielen Feuersteinknollen, unter
ihm lockere, gelbe, feinkórnige, thonige Sandsteine,
in deren oberen Horinzonten der feste Sandstein er-
scheint; man sieht ihn von weitem in losgetrenn-
ten Blócken am Abhange liegen. Das hier aufgeschlos-
sene Profil zeigt auch, dass die beiden Kreideetagen
hier nicht horizontal, sondern etwas nach Westen
geneigt sind. An der rechten Seite der Stunka sieht
man in einem tieferen Niveau als das der Kreidesand-
steine, rothe Thone und helle Mergel anstehn, welche
ich ihrer lithologischen Beschaffenheit zufolge der |
| eine Mächtigkeit von 3 bis 4 dmn und der Rest
Bachmuter-Formation beizühlen möchte. Ist diese An-
nahme richtig, so würden die Kreidesandsteine hier
eine Gesammtmächtigkeit von 120 Fuss nicht über.
steigen.
Hiermit schliesse ich meinen Bericht über das im
Donezgebirge Beobachtete. Aus Bachmut begab ich
mich nach Taganrog und reiste von hier zur See über
Kertsch nach Jalta, wo ich Hrn. von Kotzebue über
den Erfolg meiner Reise Mittheilungen machte. Den
Rückweg nach St. Petersburg nahm ich zur See bis
Taganrog und von hier über Lugansk, Bachmut, Char-
kow und Moskau. In Lugansk traf ich mit dem Direc-
tor des Bergdepartements General Rachette zusam-
men und besprach mit ihm vorläufig einige in Bezug `
auf die Uptersuchung des Gebirges nothwendige Mir
regeln. SH
Blicken wir nochmals auf das Gebirge zurück e
versuchen wir seine industrielle Bedeutung uns klar
zu machen.
Das Gebirge ist sehr reich an guten und iam
besten Steinkohlen und weist auch einen nicht unbe-
deutenden Vorrath guter Eisenerze auf, deren Metall-
gehalt, nach Le Play's und Iwanows Analysen nie
weniger als 24"/ beträgt, aber bis 45, 54 und 56),
steigt. Diesen Mineralreichthum bezeugt nicht nur
mein kurzer Bericht über die drei von mir besuchten,
an den äussersten Rändern des Gebirges liegenden Ge-
genden, sondern wir wissen seit langer Zeit von ihm
durch die Untersuchungen meiner Vorgünger und in-
sonderheit durch die vortreffliche, im Jahre 1845 pu
blicirte Arbeit des Hrn. Le Play. Dieser kannte und `
beschrieb in den obenerwühnten 8 Gruppen 225 Stein-
kohlenlager, jedes von 1 Fuss 9 Zoll mittlerer Mäch-
tigkeit. Ihre Gesammtmächtigkeit würde. also 390 F.
betragen. Die Mächtigkeit der 30 Le Play bekannten
Eisenerzlager giebt er leider nicht an. |
Seit dem Erscheinen dieses Werkes sind 20 Jahre
vergangen und in diesem Zeitraume so viele neue Koh-
len- und Eisensteinlager aufgedeckt worden, dass die
Anzahl der ersteren gegenwärtig 643, die der letzte-
ren 70 bis 80 betrügt. Von diesen 643 Kohlenflótzen
haben 74 eine Mächtigkeit von 1 bis 2 Fuss, und 75
22b
4 bis 7 Fuss mächtig. - pen
Die neuen Didis Él man den dur
. des Sciences de Saint-Pétersbourg.
agesat Kohleskoneiniich been Nachsuchun-
gen, also der Kunst, und auch dem energischen Denuda-
tionsprozesse der Natur. Die Schnee- und Regenwasser,
deren Arbeit weder durch Wald noch durch hohes Gras
abgeschwächt wird, wirken mit ihrer ganzen Kraft un-
mittelbar auf den kahlen, hügeligen Steppenboden und
schwemmen ihn alljährlich in kräftigster Weise ab,
wobei sie ihn, namentlich da, wo sie sich in Schluchten
zu wüthenden Bächen zusammendrängen, tief aufwüh-
len. So bringt jeder Frühling neue Lager an den Tag,
von denen manche schon ausgebeutet werden. Auf
pag. 381 seines Buches bemerkt Le Play, er kenne
im Donezgebirge keine einzige Lokalität, an welcher
zusammen mit den Kohlenflötzen auch Erzlager vor-
kommen, und man werde also bei der Anlage einer
Eisenhütte stets genöthigt sein das eine dieser Mate-
rialien mehr oder weniger weit heranzuführen. Dar-
auf aber erwidern wir, dass auch dieser Umstand sich
geändert hat. In Sophjewka, in Shelesnoie, in Gossu-
- darew Bujerak kommen Kohlen und Erze so nahe bei
einander vor, dass man sie sogar aus einem und dem-
selben Schachte würde zu Tage fördern können und
an vielen anderen Orten, wie z. B. am Bulawin würde
der Weg der Erze bis zu einem auf denKohlenflötzen
erbauten Ofen nur wenige Werst betragen, und könnte
Industrie die Dimensionen erhalten können, wie in
Grossbritannien, aber sie würde unsern Süden mit
Bahnschienen, mit Lokomotiven, Ackerbaumaschinen
mit eisernen Geräthen aller Art und Grösse und mit
Kohlen versorgen und den Staat von dem für die Fi-
nanzen desselben so drückenden Import dieser Gegen-
stände aus dem Auslande ‘befreien können. Odessa
verbraucht bis auf den heutigen Tag englische Stein-
kohle, welche als Ballast, daher sehr wohlfeil, von
den, russisches Korn begehrenden Schiffen gebracht
und um 14 bis 22 Copeken das Pud verkauft wird.
Und in Odessa und fast allen anderen Pontischen Hä-
fen laden fremde Schiffe jährlich die grössten Massen
englischer und belgischer Bahnschienen, Lokomoti-
ven, Dampfmaschinen und Ackerbaugerätlie aus, die
dann aufl 0 ihrem Be-
ti t werden, tobi sieein von Koh-
lenlagern und Eisenerzen strotzendes Land überschrei-
ten, das alle diese Bedürfnisse selbst erzeugen kónnte.
Und wie viele dieser Dinge, namentlich die Ackerbau-
maschinen, versagen nach kurzem Gebrauche ihren
Dienst in Folge einer Beschüdigung und bleiben oft
für immer liegen, weil sie, wegen Mangel an Mecha-
oO
A fanl
|
nikern und mechanischen Werkstätten nicht reparirt .
werden können. Die Gründung eigener Eisenhütten
also hier ebenfalls eine wohlfeile Eisenproduktion eta- | und Maschinenfabriken in unserem Süden würde auch
blirt werden. !
. Und wenn Le Play pag. 380 sagt:
diesem Übel abhelfen.
Will man bei der Anlage neuer Kohlen- und Eisen-
«Il est donc evident pour moi qu'on pourra parvenir, werke einen sicheren Weg gehen und jede etwanige
avec du temps de la perséverance, a fabriquer dans
la chaine du Donetz des fontes de qualité convenable
pour le moulage ou pour l'affinage; mais je n'oserais
affirmer que cette industrie soit appelée à y prendre
un grand développement; il n'est pas méme certain
qu'elle puisse y trouver des conditions économiques
assez avantageuses pour lutter avec succès contre les
produits des forges situées sur les bords de l'Oka ou
dans la chaine de l'Oural», und wenn er seine Meinung
auf der Wohlfeilheit des Uralschen Roheisens begrün-
det (pag. 382), so kónnen wir jetzt, auf den Grund
neuer Thatsachen und seit jener Zeit eingetretener
neuer Umstände behaupteu, dass das Donezgebirge bei
richtiger Benützung seines Minera Reichthums das
ganze südliche R und mit wohl-
feiem Eisen der wörschiedenstän Form und Bestim-
mung zu n würde. Nie wird diese
3. 1
Überschätzung des Mineralreichthums im Donezge-
birge vermeiden, so hat man vor allen Dingen Le
Plays schöne Arbeit in der Weise wie er und wo-
möglich noch umfassender fortzusetzen, das heisst
also alle seit seiner Zeit entdeckten Kohlen- und Erz-
lager genau zu vermessen, deren Beschaffenheit che-
misch zu untersuchen und vermittelst geodätischer
Operationen die genaue Lage derselben auf einer Karte
erossen Maassstabes zu verzeichnen.
Solche Karten, begleitet von einem während der
Vermessung angefertigten, alle nothwendigen geogra-
phischen und statistischen Details enthaltenden Texte,
würden eine mathematisch sichere Grundlage für alle
berg- und hüttenmännischen Unternehmungen in jener
Gegend bilden. Hätte man sie schon vor 10 Jahren
gehabt, so würde man vielleicht die Petroswskoier
Hütte an einen anderen Ort gestellt. rtm an dem
519
Bulletin de l’Académie Impériale
520
man den beschwerlichen Transport der Kohle und der
Erze zur Hütte vermeiden konnte.
Als ich das Donezgebirge 1863 besuchte, glaubte
man allgemein, der Bau der Sewastopoler Bahn werde
zu Stande kommen und ich wies daher auf die Noth-
wendigkeit hin, zuerst den an Kohlen und Erzen rei-
chen Westrand des Gebirges in jener Weise zu ver-
messen, um die dem Dnjepr zunächstliegenden pro-
duktiven Lager genau kennen zu lernen und zu ver-
werthen. Sie liegen in einer Entfernung von 160 bis
170 Werst von diesem schiffbaren Strome und haben
daher eine besondere Wichtigkeit, deren sich ihre Be-
sitzer auch vollkommen bewusst sind.
Als ich nach meiner Rückkehr nach St. Petersburg
dem Bergdepartement das motivirte Projekt zu einer
solchen Vermessung vorstellte, ward dasselbe von
dem Finanzminister Hrn. von Reutern bestätigt und
die Bergofficiere, Gebrüder Nossow, mit der Aus-
führung desselben beauftragt. Nach einer denselben
gegebenen Instruktion begannen sie ihre Arbeit im
Mai 1864 damit, dass sie den ganzen Raum bereis-
ten, auf welchem unter den bedeckenden Kreidesand-
steinen Schichten der Kohlenperiode inselartig auftau-
. chen.
So wenig war diese Gegend hakanak, dass die Ge-
brüder Nossow beider Besichti rselbe
den zwei Kohleninseln bei Sawidowo und bei Nowo-
ekonomitscheskoie, welche auch Le Play schon an-
giebt, neun andere entdeckten und in ihnen 11 neue
Kohlenflötze, von denen eines 1 Fuss 7 Zoll mächtig
ist; die übrigen sind geringer, aber vier von ihnen auch
bauwürdig. Nach der Rundreise schritten die Nos-
sows sogleich zur geodätischen Aufnahme der ent-
deckten Kohleninseln, und es liegt uns jetzt (Januar
1865) bereits der vollständige Bericht über die Ar-
beiten des ersten Jahres vor. Es sind denselben drei
vortreffliche Karten und viele geologische Durch-
schnitte beigelegt. Eine Karte, im Massstabe von 1
Werst im Zolle, enthält alle Details der Aufnahme;
eine zweite im Mäassstähe von 3 Werst im Zolle ist
besonders dazu bestimmt, die geologischen Verhält-
nisse zu zeigen. Man erkennt auf ihr unter anderem
auch sehr leicht, welche Entblössungen von Kohlen
zusammengehörig, das heisst Theile ein und desselben
Flötzes sind. So wird nicht nur die ganze Länge eines
Flötzes, sondern es werden auch leicht die Punkte er-
, ausser
kannt, wo man das durch Alluvium maskirte Flötzer-
schürfen kann. Die Nossows haben dann auch wäh-
rend der Vermessung mehrere Schürfungen und Boh-
rungen bis in geringe Tiefe mit gutem Erfolg ausführen
lassen. Wir werden seiner Zeit über diese, auf die
Dauer von vier Jahren festgesetzte Vermessung und
deren Resultate Bericht erstatten und wollen hier nur
noch erwähnen, dass sie zwei interessante Verhält-
nisse aufgeklärt hat. Es ist erstlich gelungen, die
Grenze des Dnjeprgranits im Osten und das äusserste
Vorrücken der Kohlenbildung nach Westen zu erken-
nen und dadurch für alle Zukunft die bei Einigen
sich regende Hoffnung zu zerstören, in der unmittel-
baren Nähe des Stromes Steinkohlen zu entdecken.
Zweitens hat die Vermessung jener Inseln ergeben,
dass die Schichten der Kohlenperiode auf dem genann-
ten Raume keine etwa von Süd nach Nord aufsteigende
Reihe bilden, sondern antiklinal und synklinal undu-
lirt sind. TT
Wir haben am Schlusse unserer Mittheilungen wë
eines Umstandes zu erwähnen, der bei der Anlage von
Hüttenwerken und Gruben von Wichtigkeit ist. Es ist
der oft bemerkte Wassermangel im Donezgebirge. .
Ich kenne in Europa kein anderes Land, wo wie
hier die Flüsse in nasse und trockene eingetheilt wer-
den, wie z. D. der nasse und trockene Jaly, i
Wolnowacha etc.
Und was man hier mit dem hihaisin Na-
men eines nassen Flusses belegt, würde bei uns im
Norden ein elendes, versiegendes Bächlein sein, das
ein Kind ohne Gefahr, ja ohne seine Knie zu netzen,
durchwaten kann. ET
Es sind in der That im Gebirge- grosse Strecken
anzutrefien, die keine Spur von Wasser an der Ober-
fläche haben. Seen kennt man hier garnicht, die Quel-
len sind selten und schwach, die Flüsse meist in trost-
loser Verfassung. Aber man grabe nur tiefe Brunnen,
und man wird überall reichliches, meist wohlschme-
ckendes Wasser finden. Solche Brunnen sind 150, 200
bis 280 Fuss tief und bisweilen mit Pferdegópeln zum
Heben des Wassers versehen. Diese tiefen Wasser
kónnen nur Schnee und Regenwasser sein, welche
durch die starkgeneigten klüftigen Gesteine der Koh-
lenperiode ins Innere drangen. Auf Hütten und Koh-
lenwerken würden diese Wasser leicht mit Dampf-
kraft zu heben und daher nicht theuer sein. Auch
des Sciences de Saint- Petersbourg.
kann das den Stollen entströmende oder aus den
Schachten gehobene Grubenwasser nützlich verwendet
werden, z. B. zum Speisen von Dampfmaschinen, wie
das in Lissitschansk bereits geschieht.
An anderen Orten, wie z. B. bei Petrowskoie, wo
ein Flüsschen fliesst, kann man Teiche anlegen. Und
endlich würde ich auch die Drainage empfehlen. Es
giebt an vielen Stellen des Gebirges feuchte, auch in
heissen Sommern nicht trocknende Thalgründe. Wenn
ihrer mehrere nahe beisammen liegen, so würe es der
Mühe werth Drainróhren in sie zu legen und das in
sie einfliessende Wasser nach dem Orte des Konsums
zuleiten. .
Die Wassbneicthéchaft liegt hier noch vollständig
im Argen und könnte, wenn sie rationell gehandhabt
würde, den grössten Nutzewstißten: In dieser Bezie-
hung sind uns die Türken und andere asiatische Völ-
ker weit voraus. Nehmen wir an ihnen ein Beispiel
und wenden wir mehr Sorgfalt und Arbeit auf die
Wasserversorgung, und es wird vieler Noth abgehol-
fen werden.
Nachschrift,
M: Ars
— M 10. (22.) Februar 1865.
Die Dakatar Bahn kam nicht zu Stande, weil
die englischen Kapitalisten, welche sie bauen wollten,
bei dem durch die polnische Insurrektion und ———
Umstände Kredit und Geldkours ihre Rech-
nung nicht mehr fanden.
Die Regierung hat in diesem Jahre die Eisenbahn-
linie von Odessa-Balta über Krementschug und Pol-
tawa nach Charkow bestätigt. Durch diese Änderung
tritt Lissitschansk für den ersten Augenblick vor der
westlichen Zone des Donezgebirges in den Vorder-
grund, nicht nur weil es in gerader Linie nur 190
bis 200 Werst von Charkow entfernt ist, sondern
auch deshalb, weil es einen wohleingerichteten Gru-
benbau mit einem Kohlenvorrath von 2000 Millionen
Pud hat, und also die Charkower Bahn sogleich, ohne
‚sehr bedeutende Anlagekapitalien mit Kohle versor-
gen kónnte. Dies ist in der Westzone des Gebirges
noch nicht der Fall, hier müsste eine bedeutende
Fórderung erst eingerichtet werden. Jedenfalls wird
man von Charkow eine Zweigbahn nach Lissitschansk
oder doch für's Erste nach Petrowskoje bei Isjum zu
bauen haben, wo fünf bauwürdige Flötze aufsetzen.
Diese Bahn würe aber mit der Zeit durch das Gebirge
zu verlängern und bis an die Gruschewka - Rostow-
Dahn zu führen, um die erzreichen Gegenden zugüng-
lich zu machen.
Lissitschansk hat leider keine Erze, und wenn man
hier eine Eisenhütte anlegte , so würde diese ihre
Erze aus der Westzone des Gebirges zu beziehen ha-
ben, ein Umstand, der das Produkt theuer machen
müsste. Eine Eisenhütte in Lissitschansk würe aber
als temporüre Einrichtung nicht nur gut, sondern viel-
leicht nothwendig. Die Hauptproduktion kann aber
nicht wohl anderswo etablirt werden, als da, wo Koh-
len, Erze und Kalksteine zusammen vorkommen, und
dieser Fall tritt am Westrande und am Ostrande, im
Lande der Donischen Kosaken ein. Eine Eisenbahn,
welche diese beiden Gegenden direkt verbünde und
auf der hohen Wasserscheide des Gebirges verliefe,
würde die reichsten Fundorte des letztern nahe be-
rühren und das Gebirge zu voller berg- und hütten-
männischer Thütigkeit aufschliessen..
Eine solche Bahnlinie ist durch. den Erbauer dir
Gruschewka-Aksajer-Bahn, Oberst Panajew, bereits
untersucht und vollkommen brauchbar befunden wor-
den. Wenn man ihr westliches Ende bis in die koh-
lenreiche, von den Nossow’s vermessene Gegend,
d. h. um volle 90 Werst westlich dem Dnepr näher
rückte, so würde sie zum Anschlusse an eine künf-
tige, diesen Strom bei Alexandrowsk oder Jekateri-
noslaw berührende Südbahn nur noch um etwa 100
oder 110 Werst zu verlängern sein. —
Wenn man uns, unerachtet nnserer Los nies: für
das Gegentheil, sach jetzt noch einwerfen wollte, dass
der Vorrath an Eisenerzen im Gebirge doch zu ge-
ring sei, um gróssere Dinge zu unternehmen, und
dass etwa ein Mangel an denselben eintreten kónnte,
so antworten wir darauf, dass man bei vermehrter
Nachfrage ohne allen Zweifel noch viel mehr Eisen-
steinlager auffinden wird, als die bisher entdeckten.
Le Play kannte zu seiner Zeit nur 20 Erzlager und
jn 20 Jahren sind, sogar ohne dringendes Suchen,
mehr als 40 neue aufgefunden worden. Welchen Grund
hätte man da wohl unsere gute Zuversicht mit Zwei-
feln anzustreiten? Viel natürlicher und passender als
solche Zweifel wäre der Ausruf des Erstaunens: wie
ist es denn möglich, 80 Jahre lang Ural'sches Roh-
523
Bulletin de l'Académie Impériale
eisen 2000 Werst weit nach einem an Steinkohlen
überreichen Gebirge zu schleppen — um es daselbst
mit Holzkohlen zu verarbeiten, zu deren Erzeugung
man die letzten Wälder niederhaut. Wie ist es denn
möglich, die Hände in den Schoos legend, ruhig dem
erstaunlichen Schauspiel zuzusehn, wie ausländisches
Eisen in allen Formen und Grössen jährlich für Mil-
lionen am Gestade des Pontus gelandet wird, und dann
im Schneckentempo seine langen Landreisen ins In-
nere des Reiches beginnt, durch eine Gegend, welche,
schon jetzt gegen 80 Eisenerzlager zu bieten hat.
Es ist hier wieder der alte Müller von Milenino vor
uns, der 20 Schritte von seiner Mühle (im Kaluga-
schen Gouvernement) ein schönes Steinkohlenlager
hat, aber theures von weitem hergebrachtes Holz ver-
braucht, weil er zu der schwarzen, brennenden Erde
kein Vertrauen fassen kann.
Die erste Zuerkennung des Rklizk y’schen Prei-
ses für Leistungen auf dem Gebiete mikro-
skopisch-anatomischer Erforschung des cen-
tralen Nervensystems, im Jahre 1864. (Lu le
1 décembre 1864.)
|. Der Rklizky’sche Preis wurde im Jahre 1860 vom
verstorbenen Dr. Leontij Leontjewitsch Rklizky ge-
stiftet, der der Kaiserlichen Akademie der Wissen-
schaften eine Summe von 3000 R. S. zu dem Zwecke
vermachte, damit die Zinsen von diesem Capital als
Preis für die besten Leistungen auf dem Gebiete der
mikroskopisch-anatomischen Erforschung des centra-
len Nervensystems verwendet würden. Auf Grund der
von der Akademie getroffenen und zur allgemeinen
Kenntniss gebrachten Bestimmungen findet die Ver-
theilung dieses Preises alle 4 Jahre, und zwar die
erste Zuerkennung im Jahre 1864 statt.
Als Preisbewerber meldeten sich zwei Autoren, die
ihre respectiven Schriften zum festgesetzten Termine
einsandten: 1) Dr. Stilling mit seinem Werke, beti-
telt: «Neue Untersuchungen über den Bau des Rücken-
marks, Cassel 1859» nebst Atlas, und 2) Dr. From-
mann: «Untersuchungen über die normale und patho-
logische Anatomie des Rückenmarks, Jena 1864, Thl. |
L» Zur Beurtheilung dieser Schriften und zur Ent-
scheidung über deren Ansprüche auf den Rklizky’-
schen Preis wurde von der physico-mathematischen
Klasse der Akademie in der Sitzung vom 3. Juni 1864
eine Commission ernannt, welche aus dem Ehrenmit-
gliede der Akademie K. E. v. Baer als Vorsitzendem
und den Akademikern Brandt, Schrenck und Ow-
sjannikow bestand. Diese Commission stattete der
Klasse in der Sitzung vom 1. December 1864 ihren
Bericht ab, dahin lautend, dass sie, auf Grundlage des
in Betreff des Rklizky’schen Preises bestehenden Sta-
tutes, auch die Arbeit des Prof. Reissner in Dorpat,
unter dem Titel: «Der Bau des centralen Nerven-
systems der ungescl ten Batrachier, Dorpat 1864»,
in die Zahl der Concursschriften aufgenommen habe
und nach gewissenhafter und sorgfältiger Prüfung der
drei genannten Schriften und vergleichender Schätzung
ihrer respectiven Werthe, zu dem Schlusse gelangt
sei, dass der Preis dem Werke Reissner’s zuerkannt
werden müsse. Gleichzeitig legte die Commission eine
ausführliche Analyse sowohl der Reissner'schen
Schrift, als auch der Werke der anderen zwei Bewer-
ber, Stilling und Frommann, vor. Die Klasse pflich-
tete dem Ausspruche der Commission bei und be-
schloss, dem Werke Reissner's den Rklizky’schen
Preis zuzuerkennen, den Bericht aber über die erste
Zuerkennung dieses Preises sowohl im Bulletin der
Akademie, als auch in den pus Akajewiu zu -—
Feuer
E" m
Der Bau des centralen Nervensystems der unge-
schwänzten Batrachier, von Dr. E. Reissner,
Prof. der Anatomie in Dorpat. (Mit einem At-
las von 12 Tafeln.) "T TT
Die Untersuchungen Reissner's (110 Quariseiten
stark) sind am centralen Nervensysteme der Batra-
chier (Rana temporaria, R. esculenta, Bufo cinereus,
B. variabilis) und zwar an Prüparaten, die in einer
schwachen Chromsäurelösung erhürtet waren, ange-
stellt. Der Verfasser stellte sich zur Aufgabe, an Schnit-
ten das Rückenmark, das verlängerte Mark und das
ganze Hirn zu — um deren Structur, so wie die
Vertheilung der weissen und grauen Substanz und die
Ursprüngsstellen der Kopfnerven genauer zu ermitteln.
Wie schwer auch diese Aufgabe sein mag, so ist
doch zu erwähnen, dass der Verfasser sich bereits seit
einer Reihe von Jahren mit diesen Fragen befasst;
seine hier einschlagenden Arbeiten haben allgemeine
des Sciences de Saint- Petersbourg.
526
Anerkennung verdient, und liess sich daher erwar-
ten, dass er eine befriedigende Lösung vorbringen
werde.
Wir schreiten nun zur Übersicht der vom Verfas-
ser erlangten: Hauptresultate, die weniger wichtigen
Detailfragen, so wie die grob-anatomischen Data vor-
läufig bei Seite lassend.
-Der Verf. unterscheidet am Rückenmark des Fro-
sches vordere, hintere und Seitenstränge. An Quer-
schnitten bietet das Rückenmark des Frosches im Cen-
trum die graue Substanz dar, welche nach vorn die
vorderen, nach hinten die hinteren Hórner bildet, ganz
wie bei den hóheren Thieren. Nach aussen ist die
su Substanz von der weissen umgeben.
In der Mitte der grauen Substanz liegt der Cen-
udidnal; dessen. Gestalt wechselnd ist. Das diesen
kanal ausklei thelium rechnet der Verf. zum
Flimmerepithel. In der grauen Substanz befinden sich
grosse und kleine Nervenzellen sammt ihren Kernen.
Die grossen Zellen sind spindel- oder birnförmig,
drei-, vier- bis fünfeckig.
Der Verf. statuirt keine Membranen, weder an den
Zellen selbst, noch an ihren Ausläufern, gesteht aber,
dass der Inhalt der einen wie der anderen von einer
feinen Linie umsäumt ist.
In manchen Geweben ist es in der That schwer,
eine selbständige Membran an den Zellen nachzuwei-
sen, weshalb auch die Existenz derselben an den Zel-
len überhaupt, vorzüglich aber an den Nervenzellen,
immer mehr und mehr angezweifelt wird. ;
Die grossen Nervenzellen liegen haufenweise im
äusseren Winkel der vorderen Hórner oder kommen
in zwei von einander durch einen freien Zwischen-
raum getrennten Gruppen vor, ganz wie wir es ge-
wöhnlich in den vorderen Hórnern der höheren Thiere
und des Menschen treffen. Meistens findet man sie
hier mit ihrer Längsachse dem unteren Rande der
peciit Hórner parallel.
-Die von den Zellen ausgehenden Fortsätze lassen
mmm vier Richtungen hin verfolgen: nach oben,
unten, innen und aussen. Der Verf. macht die Be-
merkung, dass er von einer und derselben Zelle
wohl nie Fortsütze nach allen vier Richtungen hin
beobachtet habe; dessenungeachtet ist es für uns von
Wichtigkeit, dass auch er Fortsätze nach verschie-
denen Richtungen hin wahrgenommen zu haben an-
giebt, Diese Angabe bestätigt eines der wichtigsten
Facta, die über die Construction des Rückenmarkes
zu Tage gefördert worden sind.
Die kleinen Zellen befinden sich zumeist in den
hinteren Hórnern, etwas nach vorn hin sich er-
streckend. Der Form nach sind sie meist spindelfór-
mig, obgleich sie manchmal auch 3 — 4 Fortsätze be-
sitzen. An einem seiner Prüparate gelang es Reissner,
eine Verbindung zwischen einer grossen und einer
kleinen Zelle nachzuweisen.
Für uns ist dieses Factum von ganz hervorragen-
der Bedeutung. Wir schreiben nümlich diesen beiden
Formen von Nervenzellen einen tieferen, functionel-
len Werth zu und halten die einen für die Empfin-
dung, die anderen für die Bewegung bedingend. Thre
Verbindung unter einander wurde in der Wissenschaft
schon lüngst vorausgesetzt, und zwar auf Grund einer
Reihe von physiologischen Thatsachen, die deutlich
auf einen ühnlichen Zusammenhang hinweisen. Die
Ansichten sind bloss darüber getheilt, wo und auf
welche Weise dieser Zusammenhang bewerkstelligt
werde. |
Ausser den Zellen beschreibt der Verf. in der grauen
Substanz noch Kerne, die er jedoch gern als zellige
Elemente betrachten möchte. In der That lässt sich
an der Peripherie der Kerne an manchen Stellen so
deutlich ein Saum wahrnehmen, dass derselbe durch
nichts von dem Inhalte der Nervenzellen sich unter-
scheidet. Was die Commissuren des Rückenmarkes
betrifft, so nimmt der Verf. deren drei an: zwei vor-
dere und eine hintere.
Eine von den vorderen, die dem Centralkanal näher
gelegen ist, wird von ihm die graue Commissur ge-
nannt. Einzelne Fäden dieser Commissur lassen sich
bis in die vorderen Stränge hinein verfolgen.
Im verlängerten Mark finden wir das Auffallende,
dass die graue Substanz hier nach aussen zu liegt,
d. h. von der weissen Substanz unbedeckt bleibt. Nach
Reissner verschwinden die oberen Stränge an den-
jenigen Stellen, wo die graue Substanz entblösst ist,
günzlich.
Eine Varolsbrücke giebt es bei den Fröschen nicht.
Die grossen Zellen kommen stets gruppenweise vor.
Die Menge der kleinen Zellen ist hier betrüchtlicher
e
als im Rückenmark; besonders häufig finden sie sich
527
Bulletin de l’Académie Impériale
328
unter der rautenförmigen Grube, wo sie eine dicke
Lage bilden.
Die Beschreibung des Ursprunges sämmtlicher Kopf-
nerven: des vagus, acusticus , trigeminus, abducens,
oculomotorius, opticus und olfactorius ist sehr ansführe
lich. Der Verf. verfolgte diese Nerven bis zu den hau-
fenweise gruppirten Zellen.
Leider geht Reissner, aus Scheu vor gewagten
Schlüssen, mit seinem Urtheile so vorsichtig zu Werke,
dass er aus seinen Beobachtungen gar keine Folge-
rungen macht und dieses gänzlich dem Leser anheim-
stellt.
Die dem Texte beigegebenen Zeichnungen, die pho-
tographisch von den Präparaten abgenommen und dann
lithographisch wiedergegeben sind, tragen wesentlich
zum Verständniss der Beschreibung bei.
Am Ursprunge der, unserer Ansicht nach, rein sen-
siblen Fäden finden wir nicht selten Haufen grosser
Zellen. Ziehen wir jedoch die geringe Quantität der-
selben im Verhältniss zur grossen Faserzahl des Ner-
venbündels in Betracht, so können wir diesen grossen
Zellen keinen zu hohen Werth beimessen.
Bei der Beschreibung des Hörnerven finden wir,
dass ein Theil seiner Fasern bis zu den Haufen der
grossen, ein anderer Theil bis zu den Haufen der
kleinen Zellen sich verfolgen lässt. Die Zeichnung auf
Tafel III, Fig. V. A, stellt den Ursprung des Hörner-
ven dar, vorzüglich aus der Gruppe der grossen Ner-
venzellen. Betrachten wir die Umrisse dieser Figur
genauer, so drüngt sich uns die Überzeugung auf, dass
es, zur klareren Darstellung der Ursprungsstelle die-
ses Nerven, vortheilhafter gewesen würe, den Schnitt
nüher dem Rückenmarke zu führen. Wir würen dort
zweifelsohne auf eine grössere Menge kleiner Zellen
gestossen.
Die Vertheilung der Nervenelemente in beiden He-
misphären, im kleinen Hirn, in den Sehhügeln und den
anderen Theilen des Grosshirns ist genau und klar
angegeben. Auf das Detail dieser Angaben ist es uns
Grenzen eines Berichtes nicht überschreiten wollen.
Indem wir hiermit unsern Bericht über die Arbeit
des Hrn. Prof. Reissner schliessen, wollen wir noch
Zeichnungen verweilen.
Tafel VII, Fig. XI und XV, Tafel VIII, Fig. XII und
1
| | sich darstellt.
einen "Augenblick bei den der Arbeit beigegebenen |
de
XIII, Tafel IX, Fig. XVI etc. stellen Schnitte durch
die Sehhügel und andere Hirntheile dar: Alle diese
Schnitte sind mit Kernen angefüllt. Vergleichen wir
diese Schnitte mit Schnitten an entsprechenden Stel-
len der Neunauge, so finden wir unter ihnen eine frap-
pante Ähnlichkeit, sowohl in ihrer äusseren Begren-
zung, als auch in der Vertheilung des Epithels, der
Nervenfasern und der anderen Elemente. Beischwacher
Vergrösserung bemerken wir dieselben Kerne zwischen
den Fasern, ganz in derselben Vertheilung und fast
ganz in derselben Menge, wie in den Zeichnungen
von Reissner. Bei stärkerer Vergrösserung jedoch
überzeugen wir uns, dass wir es hier nicht mit Ker-
nen, sondern mit Zellen zu thun haben.
Darauf hin kann man den Schluss ziehen, ed alle
Kerne, die sich in Reissner's iki und Be-
schzeibaugen finden, als ächte Nervenzellen von ge-
ringer Dimension aufzufassen sind. Dass sie jedoch von
Reissner als Kerne und nicht als Zellen angesehen
worden sind, machen wir ihm keinesweges zum Vor-
wurf, da dois Elemente gerade beim Frosch am deep
testen ihre Zellenform einbüssen.
Die Reissner’schen Untersuchungen sait be-
sondere Beachtung in der Hinsicht, dass sie uns eine
vollständige, systematische Übersicht des Baues aller
Theile sowohl des Hirnes, als des Rückenmarkes beim
Frosche geben. Diese Untersuchungen sind ganz selbst-
ständig, denn ausser Reissner hat sich niemand An-
deres mit solch’ einer Genauigkeit und Sachkenntniss
dem Studium des Nervensystems des Frosches gewid-
met. Alles über das Froschhirn bisher Bekannte war
höchst unvollständig und fragmentarisch. — =
Dass die Untersuchungen gerade am Frosche und
nicht an einem höher organisirten Thiere angestellt
worden sind, schmälert den Werth der Beobachtungen
nicht im Geringsten. Wir wissen nämlich, dass bei den
Wirbelthieren fast alle Organe in ihren Hauptzügen
nach einem und demselben Plane construirt sind, und
| zwar mit sehr geringen Modificationen. Die Ermitte-
nicht móglich hier tiefer einzugehen, wenn wir die.
lung dieser Construction ist jedoch bei den niederen
Thieren leichter als bei den höheren, weil sie bei je
nen viel einfacher und bei weitem nicht so complieirt
i +474
Dies der Grund, (ssa iii der Zu centralen |
| Nervensystems erst an Thieren studirt werden muss,
ehe man ihn beim Menschen erforschen will. Niemand
529 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 530
bestreitet mehr, dass das Nervensystem im Organis-
mus die hóchste Stelle einnimmt, dass es ebensowohl
den vegetativen, wie den animalen Functionen unsrer
Organe vorsteht und dass auf dem Gebiete der Ner-
venanatomie und Physiologie die glünzendsten Ent-
deckungen noch zu erwarten sind. Kommen diese einst
zu Tage, so kónnen wir hoffen, in die verborgensten Ge-
heimnisse unserer Organisation einen Blick werfen zu
kónnen, und die erlangten Resultate werden ohne Zwei-
fel ebenso vielbedeutend als praktisch verwerthbar
sein. Dies kann jedoch nur eine Frucht langjühriger,
mühevoller und genauer Untersuchungen sein, ühnlich
denjenigen, die von Reissner ausgeführt worden sind.
Ziehen wir alles über die Untersuchungen Reiss-
ner's Gesagte in Betracht, erwägen wir den Umstand,
dass diese Studien sich über das ganze centrale Ner-
vensystem des Frosches erstrecken, dass sie mit selt-
ner Sachkenntniss und grosser Gewissenhaftigkeit an-
gestellt worden sind, dass der Verfasser sich hierbei
aller neuen Untersuchungsmethoden bedient, und we-
der Zeit, noch Mühe gespart hat, eine Untersuchungs-
Messung der Oberflüche der grauen und weissen Sub-
stanz am Rückenmarke, in der ganzen Ausdehnung
dieses Organs beim Menschen und beim Kalbe, und
eine Messung der vorderen und hinteren Wurzeln und
Stränge. Ganz besondere Beachtung verdienen des
Verfassers mikroskopische Untersuchungen über den
Bau der Nervenzellen und Nervenfasern.
Das Werk Stilling’s bietet nach seinem Umfange,
der Reichhaltigkeit an literarischem Material, das vom
Verfasser mit seltner Sachkenntniss und Geyissenhaf-
tigkeit kritisch gesichtet und verarbeitet worden ist,
und der Fülle selbständiger Beobachtungen eine in der
Literatur höchst seltne Erscheinung dar. Eine so voll-
ständige Bearbeitung des fraglichen Gegenstandes, wie
die von Stilling, gab es bis jetzt nicht, und wird es
wahrscheinlich nicht sobald wieder geben.
Dies sind ohne Zweifel die Gründe, welche vor ei-
nigen Jahren die Pariser Akademie bewogen haben,
das Werk Stilling’s mit dem vollen Monthyon’-
schen Preise zu krönen. |
Heutzutage vermag man jedoch im genannten Werke
reihe durchzuführen, die mit so grossen Schwierig- | kaum irgend welche neue Thatsache zu finden, am
keiten verknüpft ist, so wie endlich und hauptsächlich,
dass die Ergebnisse reich an neuen Thatsachen sind;
so können wir nicht umhin, die Arbeit desselben des
Rklizky’schen Preises für vollkommen würdig zu er-
klären. — y ji
Neue Untersuchungen über den Bau des Rücken-
marks von Dr. B. Stilling. Cassel 1859.
"Das Werk Stilling’s über den Bau des Rücken-
marks frappirt durch seine Massenhaftigkeit: es be-
steht aus einem 1190 eng gedruckte Quartseiten star-
ken Bande (die Erklärungen der Zeichnungen und 31
Tafeln dieser Zeichnungen selbst nicht mit eingerech-
net). Wir finden darin eine Beschreibung des grob-ana-
tomischen Baues des Rückenmarks, eine Schilderung*
der bei Erforschung dieses Organs gebräuchlichen Me-
thoden, eine kritische Analyse aller über diesen Ge-
genstand in den letzten Jahren erschienenen Arbeiten
und die eigenen mikroskopischen Untersuchungen des
Verfassers, die sämmtlich am Rückenmark, und zwar
nicht bloss eines einzelnen Thieres, sondern einer
ganzen Reihe sowohl hóherer als niederer Thiere, aus-
geführt worden sind.
wenigsten eine solche, die als Ausgangspunkt für eine
Reihe neuer Untersuchungen, oder aber zur Verwer-
thung der schon ermittelten Thatsachen für die noth-
wendigsten Bedürfnisse der Physiologie dienen kónnte.
Am meisten hervorstechend ist die Untersuchung
der Nervenzellen und Nervenfasern. |
Der Verf. glaubt, dass in der Hülle der Nervenele-
mente eine zahllose Menge hóchst feiner, nur bei
starker Vergrósserung sichtbarer Róhrchen sich fin-
det. Diese Röhrchen verfl@hten sich angeblich unter
einander, verschmelzen und erstrecken sich auf den
Inhalt der Nervenelemente.
Ähnliche Beobachtungen sind übrigens schon vor
Stilling gemacht worden. Abgesehen davon, ist je-
doch bis jetzt kein Grund vorhanden, die bei star-
ker Vergrösserung an den Zellen und Fasern wahr-
nehmbaren Linien, die in verschiedenen Richtungen
sich unter einander verschlingen und verschmelzen,
für ein System feiner Kanäle anzusehen, wie dies von
Stilling geschieht. Diese Linien können vielmehr ent-
weder von der Gerinnung eines Theiles des Inhalts,
oder aber von Rissen und Spalten, die in dem Inhalte
sich bilden, herrühren, Solche Risse können selbst an
+ Ausserdem finden wir bei Stilling eine sorgfältige
Tome VIII.
frischen Präparaten entstehen, da die Nervenelemente
34
531
Bulletin de l'Académie Impériale
ausserhalb des Zusammenhanges mit dem lebenden
Organismus sehr rasch sich verändern. So z. B. wis-
sen wir, dass eine lebende Nervenprimitivfaser durch-
sichtig ist; ihr Mark besteht aus einer vollkommen
hellen, halbflüssigen Substanz. Im absterbenden Ner-
ven dagegen gerinnt der Inhalt sehr bald, trübt sich,
zerfällt in mehrere Theile und büsst die Faser "m
Durchsichtigkeit vollständig ein.
Das grossartige Werk Stilling’s, das ihm 16 Jahre
gekostet bat, beweist wohl am schlagendsten, mit
welch’ unüberwindlichen Schwierigkeiten der Histo-
loge zu kämpfen hat, wenn er dem feineren Bau des
centralen Nervensystems auf die Spur kommen will.
Stilling hat unendliche Mühe und Zeit auf die
anatomische Erforschung des Rückenmarks verwen-
det, er war mit den besten Untersuchungsmethoden,
wie auch mit allen vor ihm erschienenen literarischen
Leistungen vollständig vertraut, er hat ferner mit ei-
nem der besten Mikroskope der damaligen Jahre ge-
arbeitet, und dennoch gelang es ihm kaum, die Zahl
der bekannten Thatsachen um irgend eine neue, we-
sentliche zu bereichern. Die Schuld liegt nicht an ihm,
sie liegt vielmehr an der Mangelhaftigkeit unserer Un-
tersuchungsmethoden und an der — un-
serer optischen Hülfsmittel.
Seit der Veröffentlichung des Stilling’ schen Wer-
kes sind im Ganzen nur wenige Jahre verflossen, und
doch sind während derselben die Untersuchungsme-
thoden bedeutend vermehrt, die Mikroskope vervoll-
kommnet worden. Wir besitzen jetzt die ausgezeich-
neten Immersionssysteme von Hartnack und die treff-
lichen Objective von PoWell und Lealand. Diesen
Verbesserungen in der Construction der Mikroskope
haben wir viele neue Resultate zu verdanken. Seit-
dem ist auch das Fürben der Präparate zur allgemei-
nen Anwendung gelangt. Zu den färbenden Substan-
zen ist neuerdings das Anilin hinzugekommen. Zur
Aufbewahrung der Práparate hat sich der Damarlack
als vortrefflich erwiesen.
Seit Stillingnun hat sich die Vereinigungsweise der
Nervenfasern mit den Nervenzellen viel klarer heraus-
gestellt, als ihm bekannt war. Die Annahme einer
freien Endigung der Nervenfortsätze in der Substanz
des Rückenmarks hat jeden Halt verloren; gleiches
Schicksal hat die Lehre von dem feineren Bau der
erfahren. Im Rücl k der Neun-
ded WA
auge sind die kleinen Nervenzellen ermittelt worden;
es wurde eine besondere Aufmerksamkeit den dicken
Fäden in der weissen Rückenmarkssubstanz gewidmet;
es wurde die Bildung derselben durch Verschmelzung
der dünnen, von den Nervenzellen auslaufenden Fa-
sern dargethan; endlich wurde eine überaus wichtige,
genaue Beschreibung der ———— P:
geliefert.
Ziehen wir die Schriften in Betracht, die nach dn
Erscheinen des Stilling'schen Werkes veróffentlicht
worden sind, vorzüglich die Forschungen von Beale,
Reissner, Mauthner, Stieda, Kutschin und An-
deren, die sämmtlich neue und wesentliche Bereiche-
rungen enthalten, so gelangen wir nothwendig zu dem
Schluss, dass Stilling's Werk, ungeachtet seines ho-
hen Werthes und trotz dem dass es, vorzüglich was
die kritische Verarbeitung aller früheren Leistungen
betrifft, einzig in seiner Art dasteht, doch nicht mehr
vollkommen den wissenschaftlichen Forderungen en
Jetzzeit entspricht.
Untersuchungen über die normale und pathologi-
sche Anatomie des Rückenmarks von: Dr
Frommann. Jena 1864.
Die Untersuchungen Fromman’s sind in einem
Bande von 125 Quartseiten niedergelegt, welchem 4
Tafeln beigefügt sind, und beziehen sich vorzüglich
auf die krankhaften Veränderungen des menschlichen
Rückenmarkes. Im Beginne giebt der Verfasser die
von ihm gebrauchten Untersuchungsmethoden an, die
jedoch in nichts Wesentlichem von den bekannten ab-
weichen. Um die Präparate heller und durchsichtiger
zu erhalten, wendete er das etwas — -——
fahren von Clarke an.
Die Hauptergebnisse dieser -— sind — fa
tende:
Der Verfasser statuirt keine Membranen, rd
den Nervenzellen,noch an den Nervenfasern der gra
Substanz, worin ihm nicht leicht beizupflichten ist.
Ganz besotidere Beachtung wurde dem Bindegewebe
des Rückenmarks, als dessen Grundlage, gewidmet.
Nach einem historischen Überblicke und einer kri-
tischen Auseinandersetzung der Ansichten verschie-
dener Forscher über das Bindegewebe beschreibt der
£9 12793
Verfasser die Elemente desselben, die Zellen, Fasern
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
und die intercellulare Substanz, dann ihre Vertheilung
in der grauen und weissen Substanz des Rücken-
marks, die Structur der pia mater und die Lagerung
der Furchen. Die Vertheilung des Bindegewebes im
Rückenmark ist sehr ausführlich geschildert, und hätte
Manches davon, vom rein wissenschaftlichen Stand-
punkte, ohne Nachtheil wegbleiben können. Doch wird
diese Ausführlichkeit andrerseits dadurch gerechtfer-
tigt, dass der Verfasser mehr die Pathologie des
Rückenmarks im Auge hatte, und in pathologischen
Processen das Bindegewebe in der That eine Haupt-
rolle spielt. . . er
Leider ist zu bemerken, dass der Verfasser den
Nervenelementen eine verhältnissmässig sehr geringe
Beachtung gewidmet hat, und die Beschreibung der-
selben allzu kurz ist. Die Schi Iderung des Centralka-
nals, der Amyloidkörner und der Vertheilung der Ner-
venfasern bietet wenig. wissenschaftliches Interesse
Der zweite Theil der Arbeit, der sich mit der pa-
thologischen Anatomie des Rückenmarks befasst, ist
schon bedeutend interessanter als der erste.
Im Beginne finden wir hóchst wissenswerthe Anga-
ben über die Veründerungen des Rückenmarks bei
der «Myelitis in puerperio». Die betreffende Patientin
verschied kurz nach der Geburt in Folge eines star-
ken Blutverlustes aus der Gebürmutter. Die Bindege-
webszellen der weissen Substanz erwiesen sich gröss-
tentheils von vermehrtem Volumen; sie enthielten ent-
weder einen verhältnissmässig grossen Kern, oder
mehre kleinere Kerne. Die Fortsätze in der Nähe der
Zellen waren erweitert. Zellen sowohl als Fortsätze
wurden durch Carmin viel intensiver gefärbt, als dies
gewöhnlich der Fall ist. Es scheint jedoch, dass diese
Veränderung in den Bindegewebszellen erst kurz vor
dem Tode erfolgt ist, und zwar in Folge eines ver-
mehrten Eiudringens von parenchymatöser Ernäh-
rungsflüssigkeit in dieselben, was bei starken Blutver-
lusten fast immer eintritt.
. Ein zweiter Fall von pathologischer Veränderung
der Rückenmarksháute und der Substanz des Rücken-
marks selbst, an denen deutliche Entzündungsspuren
wahrzunehmen waren, ist vom Autor unter dem Na-
men Myelomeningitis chronica ausführlich beschrieben.
Der Verf. schildert zuerst die Krankheitsgeschichte
und geht dann zu. den Veründerungen in den Hüuten
und der Substanz des Rückenmarks über, die mikro-
skopiseh von ihm beobachtet wurden.
Wir wollen dabei nicht unerwühnt lassen, dass
Frommann vor der Untersuchung das Rückenmark
sammt seinen Häuten in eine verdünnte Chromsäure-
lósung hineinzuthun pflegte. Es scheint aber, dass
hierbei weder die harte, noch die weiche Rückenmarks-
haut gehórig angeschnitten waren, was jedenfalls sehr
zu beachten ist. Der Verf. bemerkt nämlich, dass einige
Rückenmarksstücke, nachdem sie einige Zeitin Chrom-
säure gelegen hatten, sehr brüchig und in Folge des-
sen zu mikroskopischer Untersuchung ganz untaug-
lich wurden. Unserem Dafürhalten nach konnte dies
nur bei unversehrten oder mangelhaft angeschnitte-
nen Häuten geschehen. In der That werden die Mem-
branen in Folge der Chromsäure ziemlich hart und
derb; indem sie sich hierbei zugleich zusammenziehen,
üben sie einen beträchtlichen Druck auf die zarte
Substanz des Rückenmarks aus und zerstóren dessen
Structur in hohem Grade. |
Die Veründerungen im Bindegewebe der Arachnoi-
dea, vorzüglich an den äusseren Rückenmarksschich-
ten und im Bindegewebe der äusseren Blutgefässhülle,
bestehen meist in einer Erweiterung der Bindegewebs-
zellen. Man findet in ihnen dann einen oder mehrere
grosse Kerne. Die Kerne sowohl als die Zellen sind
stellenweise mit kleinen Fetttröpfchen angefüllt, was
natürlich auf eine in ihnen beginnende Fettmetamor-
phose hinweist. Alle Veränderungen waren besonders
deutlich im Lendentheile des Rückenmarks ausge-
prägt. E $
Die Bindegewebszellen der weissen Substanz wa-
ren gleichfalls an diesen pathologischen Veränderun-
gen betheiligt. Ihr Volumen war beträchtlich vergrös-
sert; ihre Fortsätze, die zahlreicher als im Normal-
zustande sich vorfanden, waren ebenfalls erweitert;
hie und da waren einzelne, unter einander verschmol-
zene Zellen wahrzunehmen. . äh
An denjenigen Stellen, wo der krankhafte Process
weiter vorgeschritten war, erreichten die Zellen eine
noch beträchtlichere Grösse und waren die sie verbin-
denden Ausläufer noch deutlicher; in den Zellen selbst
aren mehrere Kerne wahrzunehmen, in manchen so-
gar bis nahe an zehn. Endlich bildeten die von Ker-
nen überfüllten Zellen ganze Kanäle, die um die Ner-
venfasern herum gelagert waren, =
| 34*
535
Bulletin de l'Académie Impériale
Wie man sich leicht denken kann, waren die Ner-
venfasern der weissen Substanz in Folge dieses patho-
logischen Herganges von allen Seiten einem starken
Drucke ausgesetzt. Die Folgen dieses Druckes waren
an den Nervenfasern selbst leicht zu erkennen. Man
fand sie nämlich stellenweise verdickt, stellenweise da-
gegen sehr verschmälert. Das Nervenmark war in grös-
sere oder kleinere Fetttröpfehen verwandelt. Sogar die
Cylinderaxen blieben nicht ohne Veränderung. Ihre
Breite zeigte sich nicht mehr gleichmässig: an den
Rändern waren Unebenheiten in Form von Fransen
und in der Substanz kleine Fetttrópfchen und Längs-
. streifen wahrzunehmen. Hie und da gab es doppelt, ja
dreifach so dicke Cylinderaxen als im Normalzustande.
An einigen Stellen waren Nervenfasern zu sehen, die
der Fettmetamorphose ganz anheimfielen; sie stellten
dann nur leere Scheiden dar, in denen selbst von Cy-
linderaxen nichts mehr übriggeblieben war. `
Frommann schliesst seine Untersuchungen mit der
Anwendung der Recklinghausen'schen Methode zur
Erforschung des Bindegewebes im Rückenmark.
Als Hauptergebniss der Frommann’schen Beobach-
tungen stellen sich der grosse Reichthum des Rücken-
marks an Bindegewebe, die grosse Betheiligung des-
selben in pathologischen Processen und die Verände-
rungen der Nervenelemente selbst heraus.
Gern zollen wir dem wissenschaftlichen Werthe
der Frommann’schen Untersuchungen unsre Aner-
kennung. Auch lässt sich von ihnen mit der Zeit eine
grosse-praktische Nutzanwendung, vorzüglieh im In-
teresse der leidenden Menschheit, erwarten und wün-
schen wir daher, dass der Verfasser seine Untersu-
chungen auch fernerhin mit demselben — -—
setzen móge.
Bericht über eine Abhandlung: Bemerkungen
über die Classification der kaltblütigen Rük-
kenmarkthiere zur Beantwortung der Frage:
Was ist ein Fisch, von J. F. Brandt. (Lu le 4
mai 1865.)
Ich habe die Ehre der parena eine Pätter für |
die Memoiren zu überreichen, welche sich auf die ge-
nauere Charakteristik der Classe der Fische in Bezug
auf die näher mit ihnen verwandten Thierclassen be-
zieht. Sie wurde dadurch hervorgerufen, dass der mit
Recht gefeierte englische Naturforscher, R.Owen, neu-
erdings wieder die schon früher von Pallas ausgespro-
chene Ansicht geltend zu machen suchte: die Fische lies-
sen sich von den Amphibien und Reptilien nicht trennen,
Meine auf diesen Gegenstand bezügliche Abhandlung
erürtert, von Aristoteles beginnend, die verschiede-
nen Vorstellungen, welche man mit dem Begriffe Fisch
verband, nebst den Merkmalen, welche man zur Cha-
rakteristik der Fische aufstellte, wenn man sie als eine
gesonderte Abtheilung (Classe) von Thieren ansah.
Hierauf folgen die Einwendungen, welche gegen die
Ansicht, dass die Fische eine besondere Classe zu bil-
den hütten, von Pallas und Owen erhoben wurden.
Der zweite Theil meiner Abhandlung enthält zur wei-
tern Beweisführung, dass für jetzt noch keine genügen-
den Gründe vorliegen, die Fische mit den Reptilien
und Amphibien zu vereinen: 1) eine ausführliche Cha-
rakteristik der warm- und 2) kaltblütigen Thiere; 3)
eine Würdigung der Einwendungen, welche Pallas
und Owen gegen die Sonderung der kaltblütigen
Thiere in Fische und Amphibien gemacht haben; 4)
eine Charakteristik der Reptilien; 5) eine Charakteri-
stik der Amphibien und 6) eine Charakteristik der
Fische. Den umständlichen Charakteristiken der er-
wühnten drei Thierclassen reihen sich Definitionen
an, welche die wesentlichsten Kennzeichen derselben
enthalten. Schliesslich werden dann nochmals die
Gründe zusammengefasst, welche nach Maassgabe der
bisherigen Materialien und des Standpunktes der sy-
stematischen Zoologie eine Vereinigung der Fische
mit den Amphibien und Reptilien nicht annehmbar
erscheinen lassen. Es wird indessen zugegeben, dass
möglicherweise künftige Entdeckungen noch innigere
Beziehungen zwischen diesen Thierclassen nachweisen
kónnten, als dieselben für jetzt bestehen. DM
Bericht über den ersten Theil meiner Beitráge
zur Kenntniss der Entwickelungsstufen der
ganoiden Fischformen von J.F. Brandt. (Lu
le 18 mai 1865.) | EGT
Zur Beantwortung der beiden Fragen: wie Platz
den störartigen Formen in der Classe der Fische an-
zuweisen sei, und wann sie auf unserem Planeten, 80
viel sich bisher ermitteln liess, zuerst aufgetreten
seien, unternahm ich es, genauere Untersuchungen
über die Ganoiden anzustellen, um die Hauptresultate
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
— in meiner P— der Stóre Russlands,
wovon bereits mehrere Bogen gedruckt sind, aufneh-
men zu können. So entstanden zwei éolien
wovon die eine: «Bemerkungen über die Entwicke-
lungsstufen und die Gruppirung der Ganoiden, mit be-
sonderer Beziehung auf den Typus der störartigen
Antacaei (von avraxato; Acipenser bei Herodot)» ent-
hält, während die andere, gleichsam einen theilweisen
Commentar zur zweiten bildende, speziell sich auf
die mit einem Panzer bekleideten ganoiden Formen
bezieht. In der ersten Abhandlung, welche den Gegen-
stand des heutigen Berichtes bildet, suche ich den
Platz, welcher den Antacaeen unter den Fischen ge-
bührt, näher festzustellen und vergleiche ihre Bezie-
hungen - zu den j , Holocephalen und den
ern Ganoiden , , welchen letztern ich auch aus
angeführten Gründen die bisher so isolirt stehenden
Lepidosirenen (J. Müller’s Dipnoi) einreihe, so wie
auch zu manchen Familien der Knochenfische (Silu-
riden, Loricariden, Ostraceonten und Aspidophoren).
Den Anfang der Abhandlung machen Bemerkungen
über die den stórartigen Fischen, besonders durch
den Skeletbau, zunüchst stehenden, vorweltlichen
Panzerganoiden, welche ich in zwei Typen, 1) Arthro-
thoraces (mit den Familien Pterichtydes, Heterosteides
und Coccosteides) und 2) Aspidocephali (mit den Fami-
lien. Cephalaspides und Menaspides) zerfülle. Ausser
dem Skelet wird besonders der Bepanzerung Auí-
merksamkeit geschenkt und gezeigt, dass auch hierin
die Antacaeen, welche den dritten Typus der mit einem
störartigen Skelet versch iden zu bil-
den haben, im Wesentlichen mit den beiden oben
genannten Typen der vorweltlichen gepanzerten Ga-
noiden im Einklange stehen. Man braucht daher
nicht erst, selbst hinsichtlich der Bepanzerung, die
nächsten Verwandten der Störe unter den Knochen-
fischen, namentlich unter den Loricariden , Siluri-
den und Ostraceonten zu suchen, obgleich nicht zu
läugnen ist, dass die eben genannten Familien in
manchen Beziehungen an die vorweltlichen Panzerga-
noiden erinnern; diess fällt indessen weniger ins
Gewicht, weil die genannten Familien der Knochen-
fische einerseits so manche Beziehungen zu den An-
tacaeen besitzen, während andererseits die letztern
den Knochenfischen sich schon in einigen Beziehun-
Sen mehr nähern, als die alten Panzerganoiden.
Hierauf werden speziellere Bemerkungen über den
Typus der Störe (Antacaei) mitgetheilt, die sich haupt-
sächlich auf das Verhältniss der untergegangenen
Formen, namentlich die im Lias gefundenen Reste
der Gattung Chondrosteus Agass. beziehen. Der ge-
naueren Charakteristik dieser von Egerton näher be-
schriebenen Gattung ist eine besondere Aufmerksam-
keit geschenkt, da sie nach meiner Ansicht den Typus
einer eigenen, ausgestorbenen Familie darstellt, die
ich als Antacaeopsides bezeichnet habe. Dieselbe nä-
hert sich durch die Körper- und Schädelform den
Acipenseriden , durch den nackten Rumpf und das
Vorkommen von radii membranae branchiostegae aber
den Spatulariden, weicht jedoch von beiden durch den
zusammengesetztern Opercular-Apparat, den Bau des
Zungenbeins, eine andere Flossenstellung und die
mehrzähligen membranae branchiostegae ab, so dass sie
einerseits als Mittelglied zwischen den Acipenseriden
und Spatulariden angesehen werden kann, anderer-
seits aber, wegen der Zahl der radii membranae bran-
chiostegae und der Gegenwart mancher Knochen am
Kopfe etwas zu den Knochenganoiden, ja selbst den
Knochenfischen hinneigt. Den eben angedeuteten
Erórterungen folgen Blicke auf die Verwandtschaften
der Antacaeen mit den andern Ganoiden , namentlich
wird die Möglichkeit der Verwandtschaft des Typus
der Stóre mit den in Bezug auf die Art der Beschil-
derung und Flossenbildung Störähnlichkeiten bieten-
den, aber osteospondylen Dercetiden erörtert.
Li
x our Là Wes
Hierauf werden Vorschlüge zu einer Classification
der lebenden und näher bekannten fossilen
gemacht und in einer Tabelle zusammengestellt, wor-
in der Skeletbau, dann die Hautbedeckung und Flos-
senbildung als Hauptmomente für die Gruppirung er-
Scheinen. Die auf der Tabelle mitgetheilte Gruppi-
rung erhält durch einen Anhang noch mehrfache auf
die Morphologie und Ver
men bezügliche Zusätze.
Ein diesen Zusätzen ope Abschnitt erörtert
die Frage, in welcher Erdperiode zuerst wahre stör-
artige Fische (Antacaei) aufgetreten pd moran sich
als Schluss der Arbeit einige all
über das Auftreten mier niederer oder höhe-
rer — niei
4 A , RE
539
Bulletin de l'Académie Impériale
540
Über die Phenylchlorüre, von N. Sokoloff, stud.
med. (Lu le 1 juin 1865.) :
Die vorliegende Arbeit ist durch die widersprechen-
den Angaben hervorgerufen, welche sich bei verschie-
denen Autoren über die beiden Phenylchlorüre finden,
deren eines durch Einwirkung von Fünffachchlor-
phosphor auf Phenylalcohol (Laurent u. Gerhardt,
Aun. d. Ch. u. Ph. 75, 79), das andere aber durch
Einwirkung von Chlorjod auf Benzol entsteht (H. Mül-
ler, Zeitsch. für Chem. u. Pharm. VII. 65).
Laurent und Gerhardt geben nämlich an, dass
ihr Phenylchlorür schon durch Wasser und schneller
durch Kali allmählich eine Zersetzung erleide, wobei
Phenol wieder auftrete und Chlorkalium gebildet werde.
Riche dagegen sagt in seinen Beiträgen zur Geschichte
des Phenols und Benzols (Zeitschr. f. Chem. u. Pharm.
IV. 639), dass er das Phenylchlorür von Laurent
und Gerhardt auf keine Weise durch Kali zersetzen
konnte, und Church endlich (Ann. d. Ch. u. Ph. 128,
216) erklürt die beiden Phenylehlorüre in allen von
ihm untersuchten Beziehungen für identisch und zer-
setzbar durch Kali in alkoholischer Lösung. `
So widersprechende Angaben führen aber nothwen-
dig zu dem Schlusse, dass die Natur der beiden Phe-
nylehlorüre noch nicht hinreichend erkannt sei, und
ich habe es daher unternommen auszumitteln, ob diese
beiden Kórper in der That identisch, oder nur isomer
seien.
Die Materialien zu meinen n Unférvsisipon wurden
auf — Weise dargestellt.
Das Produkt der Einwirkung von Fünffachchlor-
phosphor auf Phenol wurde fractionirt und nur das
unter 145? C. siedende angewendet. Nach der Be-
handlung mit starker Kalilauge wurde es mit Wasser
gewaschen, und da es sich noch mit Spuren einer
fremdartigen Substanz verunreinigt zeigte, über Ätz-
kali in Stücken destillirt.
Phenylchlorür aus Benzol wurde nach der von
Müller angegebenen Methode dargestellt, welche sehr
gute Ausbeute giebt, wenn man mit dem Einleiten von
Chlor aufhórt, sobald eine herausgenommene Probe
in schwacher Kalilósung zu Boden sinkt. Das Produkt
wurde fractionirt und ebenfalls nur das unter 145° C.
siedende in Arbeit genommen. Um die letzten Spuren
von Jod daraus abzusondern, wurde das Geste über
Âtzkali in Stücken destillirt.
Bei der Analyse dieser Körper wurden folgende
Resultate erhalten. |
0,268 grm. Phenylchlorür aus Phenol gaben
CO, = 0,626 grm.,entsp. C— 0,1706 grm. od. 63,677,
H,0— 0,110grm. » H—0,013 grm.od. 4 3”,
Die Formel C,H,Cl verlangt C = 64%
H— 4,44
0,205 grm. Phenylchlorür aus Benzol gaben
CO, — 0,480grm., entsp. C—0,1308grm.od. 63,8‘) -
H, 0= 0,088grm. » H—0,0097grm.od. 4 Ki
Die Formel C,H,Cl verlangt 64, C. und 4,44 H.
Nachdem ich mich auf diese Weise von der Rein-
heit der Körper überzeugt hatte, untersuchte ich
ihre physikalischen Eigenschaften. "erde sind klare,
bewegliche Flüssigkeiten von angenehmem, aromati-
schen Geruche, welcher jedoch bei beiden nicht ganz
derselbe ist. Beim Erkalten bis zu — 15° C. werden
sie nicht fest. Der Siedepunkt des Chlorürs aus Ben-
zol liegt bei 13275 C., der des Chlorürs aus Phenol
bei 136^ C., beide bei 767" Barometerstand bestimmt,
Die as Gewichte der beiden Körper sind be-
deutend verschieden, denn ich fand für:
Chlorür aus Benzol. | Chlorür aus Phenol, ás
bei 0? C. — 1,1499. 1,1199... 200
+ 10° C. = 1,1347. 1,108b adl
+ 20? C. = 1,1258. 1,099.
+ 30° C. — 1,1188. 1,092.
In ihren chemischen Eigenschaften sind beide Kör-
per hinsichtlich mehrerer Reactionen ganz ähnlich:
Aus der Beschreibung der Reinigung derselben ergiebt
sich schon, dass sie von Ätzkali weder in wässriger
Lösung, noch in Stücken zersetzt werden, und, wie
folgende Versuche beweisen, verhält auch eine der
holische Kalilösung sich ganz ebenso.
10 grm. der Phenylchlorüre wurden in einem Kölb-
chen eine halbe Stunde lang mit starker alcoholischer
Kalilauge gekocht; es bildete sich hierbei keine Spur
von Chlorkalium, die Flüssigkeiten waren immer klar
und theilten sich nach dem Erkalten in zwei Schich-
ten. Nach dem Zusatze von Wasser sank die obere,
aus unverändertem Phenylchlorür bestehende Schicht
zu Boden, und bei der Wägung wurden davon 9,5
grm. erhalten: Auf "e Weise — - EE
action nicht.
541
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
512
- Es wurden nun je 5 grm. der Phenylchlorüre mit
alcoholischer Kalilósung in Róhren eingeschmolzen
und diese drei Tage lang bis 170? C. erhitzt, worauf
sie geöffnet und die in Kólbchen ausgegossenen Flüs-
sigkeiten mit Wasser vermischt wurden. Die gebilde-
ten öligen Schichten waren unveränderte Phenylchlo-
rüre, und ihre Mengen betrugen 5 grm. Ferner wur-
den je 5 grm. der beiden Phenylchlorüre mit essig-
saurem Silber in Röhren eingeschmolzen und die Röh-
ren während 24 Stunden bis 170° C. erhitzt. Im Ver-
laufe dieser Zeit konnte ich keine Spur einer Reac-
tion bemerken, und das Gewicht der Phenylchlorüre
fand ich unverändert.
Nach diesen Reactionen ist es klar, dass das Phe-
nylchlorür aus Phenol, obgleich es durch Einwirkung
von PhCl, entsteht, kein Chloranhydrid, sondern ein
wahres inetaleptisches Chlorprodukt des Benzols st.
Die Reaction von Salpetersäure auf diese Körper
ist ungleichartig. Die Salpetersüure, welche ich bei
meinen Untersuchungen gebrauchte, war yon 1,49
sp. G. Auf 1 Volum Phenylchlorür nahm ich 1°, Vo-
lum Sáure und untersuchte die Einwirkung derselben
sowohl bei gewóhnlicher, als auch bei erhóhter Tem-
peratur. Die Reaction bei gewöhnlicher Temperatur
wurde so angestellt, dass die kalte Säure in Kölbchen
gegossen und dann eine entsprechende Menge von
Phenylchlorür zugesetzt wurde, so dass sie zwei
Schichten bildeten, worauf die Kölbchen mit einem
Kühlapparate in Verbindung gebracht und alles 24
Stunden lang der Ruhe überlassen wurde. Bei dieser
Reaction fand keine merkliche Temperaturerhóhung
ünd keine Bildung von rothen Dämpfen statt. Die
Versuche wurden mehrmals wiederholt und dabei na-
hezu gleiche Resultate erhalten.
21 grm. Phenylehlorür aus Benzol und eine ent-
sprechende Menge Salpetersäure bildeten nach 24Stun-
den noch zwei Schichten, beim Umschütteln aber lösten
sie sich ohne Temperaturerhóhung zu einer klaren
Flüssigkeit. Als diese nun in kaltes Wasser gegossen
wurde, schied sich eine schwere Schicht gelben Óles
aus, welches nach einigen Minuten zum grossen Theile
erstarrte. Das Gewicht dieses festen, aus langen, weis-
sen Krystallnadeln bestehenden Produktes betrug 21
grm. und die Menge des flüssigen, aus dem festen
abgepressten 9 grm. Das bei dieser Reaction entste-
hende Öl ist eine gelbe, dicke Flüssigkett von ange-
nehmem, sehr an Nitrobenzid erinnerndem Geruche.
Das relative Verhältniss der festen und öligen Pro-
dukte war bei allen Versuchen sehr beständig.
10 grm. Phenylchlorür aus Phenylalcohol und eine
entsprechende Menge Säure bildeten nach Verlauf von
24 Stunden ebenfalls noch zwei Schichten, welche
beim Umschütteln sich ohne Erwärmung klar in ein-
ander lösten; diese Flüssigkeit wurde ebenfalls in kal-
tes Wasser gegossen, das dadurch ausgeschiedene
dicke, gelbe Öl gab aber bei langem Stehen nur wenig
krystallinisches Produkt, dessen Gewicht nur 0,5 grm.
betrug, während das flüssige Produkt 15 grm. wog.
Letzteres ist ein gelbes, diekes Öl von angenehmem,
an Phenylchlorür und Nitrobenzid erinnerndem Ge-
‘ruche.
Wenn man das Öl, welches man aus Phenylchlorür
aus Benzol erhält, zu Salpetersäure sowohl von ge-
wöhnlicher als auch erhöhter Temperatur giesst, so
löst es sich darin leicht auf, ohne rothe Dämpfe zu
entwickeln, und nach Zusatz von Wasser scheidet es
sich unverändert aus, was ich aus der unveränderten
Quantität desselben schloss. Wenn man aber das Öl
aus Phenylchlorür aus Phenol zu gelinde erhitzter
Salpetersäure giesst, so entwickeln sich rothe Dämpfe
und auf Zusatz von Wasser schlägt sich nun ein gel-
bes Öl nieder, welches nach einigen Stunden gröss-
tentheils krystallinisch erstarrt. Die so gebildeten Kry-
stalle entsprechen ganz denjenigen, die aus Phenyl-
chlorür bei directer Einwirkung von Salpetersäure ent-
stehen, und diese Reaction veranlasste mich, jenes Öl
nicht als ein reines Produkt, sondern als ein Gemisch
von enges Phenylchlorür und Pon FE cU
zu betrachten. Frakti estill b
Meinung, indem das Öl sich dabei in n Phenyleblorür,
in festes und in flüssiges Nitroprodukt trennen liess.
Wenn man 1 Theil Phenylchlorür aus Phenol vorsich-
tig und in kleinen Portionen in 3 Theile warmer, star-
ker Salpetersäure von 1,49 sp. Gew. einträgt, nach voll-
ständigem Auflösen bis zum Kochen erhitzt und dar-
auf in kaltes Wasser giesst, so bekommt man ein Öl,
das nach dem Erkalten beinahe zur Hälfte seines Ge-
wichts zu krystallinischen Nadeln erstarrt; das Flüs-
sigbleibende verändert sich bei fortgesetzter Einwir-
kung von Salpetersäure nicht weiter.
Dieses letztere Verfahren giebt demnach ein bes-
seres Mittel zur Erhaltung von festem Nitroprodukte
543
Bulletin de l'Académie Impériale
>44
aus Phenylchlorür aus Phenol, wenigstens wenn man
Salpetersäure von der angegebenen Stärke nimmt.
15 grm. Phenylchlorür gaben auf diese Weise 11 grm.
flüssiges und 7 grm. festes Produkt.
Nach diesen Untersuchungen ist es klar, dass das
Phenylchlorür aus Benzol schon bei der gewöhnlichen
Temperatur von Salpetersäure vollständig nitrirt wird;
Phenylchlorür aus Phenol hingegen widersteht unter
denselben Umständen energisch der Einwirkung von
Salpetersäure, und nur ein höchst kleiner Theil des-
selben wird nitrirt, während der grösste Theil davon
unverändert bleibt.
Die festen Nitroprodukte sind in kaltem Alkohol
und Äther fast unlöslich, in heissem Alkohol aber lösen
sie sich leicht auf, und nach dem Erkalten scheiden
sie sich vollständig in Form von zolllangen, weissen
krystallinischen Nadeln aus. Sie wurden mehrmals
aus Alkohol umkrystallisirt und dann zur Analyse ver-
wendet.
0,615 Nitroprodukt aus Phenol gaben:
CO, — 1,041 grm., entsprechend C — 0,2838 grm.
H,0 = 0,1515 grm., » H = 0,0168 grm.
Dieses Resultat entspricht der Formel
C,H, (N0,) Cl.
berechnet gefnnden
€, — 45,71, : C — 46,16),
H 2,54 1 H— 32,735,
0,286 grm. Nitroprodukt aus Benzol gaben:
CO, — 0,482 grm., entsprechend C — 0,1314 grm.
H,0 — 0,078 grm., » H — 0,0087 grm.
Dieses Resultat entspricht also ebenfalls der obi-
gen Formel
berechnet gefunden
C, et 45,04 din ee 45,949
H,— 2,547 H= 3,04),
0,465 grm. Nitroprodukt aus Phenol gaben 31,8
C. c. Stickstoff bei 0? C. und 760"" Barometerstand,
entsprechend 8,58", Stickstoff. Die Formel
pe € H,(N0 CI
verlangt = 8,89"/.
0,458 grm. Nitroprodukt aus Benzol gaben 31,8
C. c. Stickstoff bei 0? C. und 760"" Barometerstand,
entsprechend 0,0399 grm. oder 8,71%, Stickstoff.
0,167 grm. Nitroprodukt aus Benzol gaben bei der
Verbrennung mit Ätzkalk 0,152 grm. Chlorsilber, ent-
sprechend 0,0378 grm. oder 22,63°/, Chlor. Die For-
mel verlangt 22,54.
0,297 grm. Nitroprodukt aus Phenol gaben 0,271
erm. Chlorsilber, entsprechend 0,0667 grm. oder
22,47°/, Chlor. |
Die beiden Mononitrophenylchlorüre destilliren
ohne Zersetzung. Die Schmelz- und Erstarrungspunkte
derselben sind einander ganz ühnlich. Sie schmelzen
bei 85? C. und bei 75? C. fangen sie an zu erstarren.
(Riche giebt für den Schmelzpunkt von Mononitro-
phenylchlorür aus Phenol 78? C., und für den Erst
rungspunkt 74^ C. an.)
Die óligen Produkte, welche gleichzeitig mit den
krystallinischen Nitrokórpern entstehen, habe ich noch
nicht untersucht. Die Resultate ihrer genauen Unter-
suchung sowohl, als meiner weiteren Arbeit über die
festen Mohönitropreikikte werde ich binnen —
mittheilen.
Die Einwirkung von kochender Salpetersäure auf
die Phenylehlorüre wurde in mit Kühlvorrichtungen
versehenen Retorten vorgenommen. Auf einen Theil
Phenylchlorür wurden zwei Theile Salpetersäure von
1,49 sp. Gew. genommen und die Chlorüre vorsich-
tig und in kleinen Portionen zu der erwürmten Säure
gegossen. Nachdem die abdestillirte Flüssigkeit drei
mal in die Retorte zurückgegossen worden war, ging
nur Salpetersäure allein ohne Phenylchlorür in die
Vorlage über, und nun wurde der Inhalt der Retorte
in kaltes Wasser gegossen.
Aus dem Produkte von 20 grm. Phenylehlorür a aus
Benzol schied sich durch Wasser eine gelbe, ólige
Schicht auf dem Boden aus, welche nach dem Erkal-
ten krystallinisch erstarrte. Die Menge des krystal-
linischen Produktes, welches nichts anderes als das
Mononitroprodukt ist, betrug 9 grm.; die des flüssi-
gen Produktes war aber bei dieser Reaction viel grös-
ser ausgefallen, als bei der nine denn sie
betrug 20 grm. hr
Aus 20 grm. Phenylchlorür aus Phenol Ze yidi
auf dieselbe Weise keine Spur von krystallisirendem
Nitroprodukte erhalten; das ganze Produkt dieser
Reaction ist ein gelbes, nach Nitrobenzid riechendes
Öl, dessen Menge 28 grm. betrug. Diese Operationen
wurden vier mal wiederholt und gaben stets beinahe
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
gleiche Resultate. Es verhalten sich also die Phenyl-
chlorüre auch gegen kochende Salpetersäure nicht
gleichartig.
Die bei dieser Reaction erhaltenen flüssigen Pro-
dukte konnte ich ebenfalls noch nicht untersuchen;
wahrscheinlich sind sie aber mit den vorher beschrie-
benen identisch.
Wenn man die oben beschriebenen Eigenschaften
der Phenyichlorüre aufmerksam in Erwägung zieht,
kann man weder Laurent's und Gerhardt's, noch
A. H. Church's Meinungen von der Constitution die-
ser Kórper theilen, sondern kann. diese Substanzen,
ihren Reactionen zufolge, nur als wahre metaleptische
Chlorprodukte des Benzols betrachten. Endlich wird
man zugeben müssen, dass diese Kürper wegen der
Verschiedenheiten ihres Kochpunktes, ihres specifi-
schen Gewichtes und ihres Verhaltens gegen Salpe-
'tersáure nicht identisch, sondern nur isomer. sind.
Wenn aber die Gruppe NO, in diese isomeren Kürper
eingeführt wird, so erhält man aus beiden ein und
dasselbe krystallinische Nitroprodukt.
Die Wirkung des Lichts auf das Wachsen der
„.Keimenden Kresse, von A. Famintzin, Do-
cent an der Universität zu St. Petersburg.
… (Extrait) (Lu le 15 juin 1865.)
„Alles, was man bis jetzt über das Wachsen der kei-
menden Kresse kennt, lässt sich folgendermassen zu-
sammenfassen: oar asia 4 Ki Am
Bei den am Tageslichte keimenden Kressen bleibt
das hypocotyle Glied kurz; die Saamenlappen ergrü-
nen bald, richten sich auf und klappen auseinander.
| Durch .Krümmung des hypocotylen Gliedes werden
sie gegen das Licht. gerichtet. Sie nehmen bedeutend
an Grösse zu. Nach 4 bis 5 Tagen schwellt das Knösp-
chen an und wächst bald in eine Blattrosette aus.
Die weitere Entwickelung der Pflanze gehórt nicht
mehr der Keimung an. Im Dunkeln dagegen geht die
Keimung ganz anders vor. Das hypocotyle Glied wird
um das drei- bis sechsfache länger als am Licht. Die
Saamenlappen. behalten wührend 4 bis 5 Tagen die
rümmung nach unten und bleiben zusammengelegt;
sie entfernen sich von einander nur gegen das Ende
der Keimung. Die Saamenlappen und das hypocotyle
Glied bleiben vollkommen bleich; das Knóspchen zeigt |
Tome VIII.
546
kaum eine Spur der Entfaltung. Damit schliesst das
Wachsen der Kresse im Dunkeln. Die Pflanzen blei-
ben mehrere Tage unveründert und sterben dann ab.
Ich stellte mir zur Aufgabe, diese Verhältnisse nä-
her zu untersuchen und verglich die Keimung der
Kresse am Licht, im Dunkeln und untersuchte dabei
auch die Wurzeln, über deren Verhalten zum Licht
gar keine Untersuchungen vorliegen. Dann liess ich
Kresse theilweise am Licht, theilweise im Dunkeln
ihre Keimung durchmachen und verglich durch Mes-
sungen die im Wachsthume hervorgerufenen Verän-
derungen.
Ich führte eine ganze Reihe von Versuchen aus,
um auf das Keimen der Kresse die Wirkung des Ke-
rasin-Lampen-Lichts zu studiren, welches es mir so
stark zu concentriren gelang, dass ich darunter, dem
Ansehen nach vollkommen normale Keimung erzielt
habe. Ich setzte die Kressen dem vollen Lampen-
Lichte aus, oder beleuchtete sie mit farbigem, indem
ich das Lampen-Licht durch Lösungen von Kupfer-
Oxyd-Ammoniak und saurem-chromsauren Kali hin-
durchgehen liess.
Resultate meiner Untersuchungen sind folgende:
1) Das hypocotyle Glied der auf die Oberfläche der
Erde gesäeten Kressen zeigt, am Licht und im Dun-
keln, alle Eigenschaften eines ächten Stengelinterno-
diums.
2) Das hypocotyle Glied wächst nur im Anfange
der Keimung seiner ganzen Länge nach. Sehr bald be-
schränkt sich das ganze Wachsthum auf seine obere
Hälfte, hauptsächlich unter seiner Spitze,
3) Ausser den schon bekannten Unterschieden,
welche zwischen den am Tageslichte und im Dunkeln
keimenden Kressen angeführt werden, lässt sich noch
folgender zufügen: Das Licht beeinflusst auch das
Wachsthum der Wurzel und zwar in einer entgegen-
gesetzten Weise, als bei dem hypocotylen Gliede.
Bei den am Tageslichte keimenden Kressen wird die
Hauptwurzel sehr lang (150—180 mm.), indem sie
bei den im Dunkeln gekeimten, kaum 60—90 mm.
erreicht. Das Eigenthümliche dabei besteht noch dar-
in, dass, wenn man die entsprechenden Lüngen des
hypocotylen Gliedes und der Wurzel zusammenaddirt,
man fast gleiche Summen bekommt, so dass im Gan-
zen genommen, die Streckung der axilen Theile in
beiden Fällen sich fast gleich bleibt, mit dem Un-
35
547
Bulletin de l'Académie Impériale
348
terschiede aber, dass am Licht vorzugsweise der un-
terirdische Theil, im Dunkeln aber der oberirdische
in die Länge wächst.
4) Die Entwickelung der Nebenwurzeln erwies sich
in einem eben so grossen Grade vom Licht beeinflusst
wie die Entfaltung des Knöspchens. Die Hauptwurzel
treibt bei den am Licht keimenden Kressen eine
Menge Seitenwurzeln, deren Entwickelung immer
gleichzeitig mit der Entfaltung des Knöspchens statt-
findet und der letzteren immer proportionell. Im Dun-
keln, wo das Knöspchen fast nicht zur Entwickelung
gelangt, habe ich auch fast nie Seitenwurzeln gefun-
den. Als sehr seltene Ausnahmen kann ich nur we-
nige Fälle anführen, wo sich im völligen Dunkel,
aber nur 1 bis 2 Seitenwurzeln gebildet hatten, die
immer so klein waren, dass ihre Länge kaum 1 bis 2
mm. erreichte.
Dieses Verhalten der Seitenwurzeln ist desto merk-
würdiger, da in allen Kressen am Licht und im Dun-
keln schon seit den ersten Tagen der Keimung eine
Menge von Rudimenten der Seitenwurzel- Anlagen,
unter der Rinde der Hauptwurzel durch das Mikroskop
sich nachweisen lassen. : I.
5) Wenn man Kresse, die am Tageslichte -keimt,
ins Dunkle versetzt, so hórt bald das Wachsthum des
hypocotylen Gliedes und des Knóspchens auf. Bei den
Kressen, die in den ersten Tagen der Keimung ins
Finstere gebracht werden, lässt sich noch ein bedeu-
tendes Nachwachsen während mehrerer Tage beobach-
ten. Bei denjenigen, die später ins Dunkle kommen,
beobachtete ich ein geringes: Nachwachsen in den
ersten 24—48 Stunden, worauf sie sich nicht weiter
entwickelten, während bei den am Tageslichte geblie-
benen die Keimung noch mehrere Tage fortdauerte.
Diese Versuche bestätigen den schon durch andere
Methoden entdeckten Unterschied zweier Perioden in
der Keimung der Kresse: während der ersten entwi-
ckelt sich das Pflänzchen auf Kosten des im Saamen
aufgespeicherten Materials; in der zweiten dagegen
findet eine Assimilation der Nahrung durch die Ver-
mittelung der Saamenlappen statt.
6) Wenn man Kressen, die im Dunkeln den An-
fang der Keimung durchgemacht haben, ans Licht
bringt, so wird sogleich das Wachsthum des hypoco-
tylen Gliedes verändert; in der ersten Periode der
Keimung nur stark vermindert, in der letzten, am
ersten Tage vollkommen aufgehoben. Die Hemmung
scheint besonders während des Ergrünens der Saa-
menlappen stark hervorzutreten, indem das Wachs-
thum des hypocotylen Gliedes an folgenden Tagen be-
deutender wird. WI
7) Das hypocotyle Glied der Kresse wird im Dun-
keln sehr lang; am Lichte bleibt es kurz. Wenn man
Kresse einige Tage lang am Licht keimen lässt und
| dann ins Dunkle versetzt, so wird, wie ich es schon
erwähnt, das Wachsen der Kresse binnen 24 bis 48
Stunden vollkommen gehemmt. Wenn man das hypo-
cotyle Glied allein dem Licht-Einflusse entzieht, die
Saamenlappen aber fortfährt bis zu Ende der Keimung
zu beleuchten, so nehmen die Saamenlappen rasch an
Umfang zu; das hypocotyle Glied wächst rasch in die
Länge fort, so dass es fast die Länge der etiolirten
im Dunkeln gekeimten Kressen erreicht. Dieser Nach-
wuchs geschieht aber immer auf Kosten der durch die
Saamenlappen assimilirten Stoffe.
8) Die Intensität der Krümmung zum Licht und
des Ergrünens ist in den verschiedenen Perioden der
Keimung verschieden. Lässt man Kresse am Tages-
lichte aufkeimen, so krümmt sich das hypocotyle Glied
zum Licht schon in den ersten Stunden der Keimung;
es ergrünt zu dieser Zeit auch schon bis zur Basis;
bleibt daher immer seiner ganzen Länge nach gerade,
indem seine Beugung zum Licht durch die Krümmung
seiner Basis allein zu Stande gebracht wird. Bringt
man aber die im Dunkeln aufgekeimte Kresse äns
Licht, so krümmt sich das hypocotyle Glied, wenn es
gewachsen ist, aber seine definitive Grösse noch nicht
erreicht hat, anfangs nur dicht unter seiner Spitze;
von da aus pflanzt sich allmählig die Krümmung näch
unten, indem dabei der zum Lichte gebeugte Theil
ergrünt, der übrige aber ganz bleich bleibt. Die Krüm-
mung erreicht endlich die Basis des hypocotylen Glie- -
des, das zu dieser Zeit auch seiner ganzen Länge mach `
grün geworden ist. Hat aber das hypocotyle Glied
im Dunkeln sein Wachsen beendet, so bleibt es gegen
das Licht vollkommen unempfindlich und stirbt sehr
bald ab, oder es ergrünt etwas und beugt sich in sei-
nem oberen Theile zum Licht. Die Saamenlappen zei-
gen ein dem hypocotylen Gliede analoges Verhalten,
indem sie in der ersten Zeit der Keimung rasch ergrü-
nen und sich zum Lichte stark beugen; je mehr aber
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
350
die Keimung fortschreitet, desto unempfindlicher ge-
gen das Licht werden sie.
9) Im Lampen-Lichte lässt sich eine dem Ansehen
nach vollkommen normale Keimung der Kresse er-
zielen.
10) Die Wirkung des durch Kupferoxyd-Ammoniak
hindurch gegangenen Lichtes auf keimende Kresse ist
gänzlich verschieden von der Wirkung des durch sau-
res chromsaures Kali durchgelassenen Lichtes:
Im gelben Lichte — eine Keimung und Assimilation
analog der im vollen Lampen-Lichte, nur schwächer;
ein günzlicher Mangel der Beugung zum Licht. Im
blauen — dagegen ein Wachsen wie im Dunkeln;
eine stärkere Beugung zum Lichte, als beim vollen
pom sg pe von Assimilation.
Ee des Géorgiens et des Armé-
niens, par M. Brosset. (Lu le 8 juin 1865.)
(V. N° 1, Bulletin de l'Acad. des Sc. V, 393 — 398; N° 2, ibid. VII,
p. 45 — 48.)
N° 3. $ 1° Livres georgiens,
1. Parmi les livres nouvellement reçus au Musée
asiatique il s'est rencontré, sans doute par erreur, un
Abécédaire géorgien, en caractères vulgaires et ecclé-
siastiques, imprimé à Mozdok, en 1797, chez Roma-
nos Zoubachwili, qui porte le nom de feu M. Sjögren,
écrit de sa main, 8°.
-9. Abécédaire géorgien, en car. vulgaires, par
Dav. Phourtzéladzé 8°; Tiflis, 1863, 360 p. C'est un
vrai livre de lecture, fort bien imprimé, renfermant
des extraits d'ouvrages agréables à lire et instructifs.
Toutefois on peut à bon droit s'étonner d'y trouver,
m des choses Vë sont loin de convenir à la
18. anija par Plat. Iosélian; Tiflis, 1863, 38 p.
nv s anonyme, Tiflis, 1864, 50 p.
<5, 0» e parSergeMdiwanbégof; 1863, Tiflis;
on y trouve les noms de nombre écrits en géorgien
et en russe, transcrit en. géorgien, ainsi que la valeur
numérale des lettres iiem ‚chez Melkoumiants
et A. Enfiadjiants. 3
-.:6. Calendrier des Georgiens et des arr
pour 1864, par Serge Mdiwanbégof, in 39°; Tiflis,
chez A. Enfiadjiants. Il y a des prédictions nn
logiques et, à la fin, l'instruction historique sur les
fêtes, précédemment signalée.
7. Calendrier, ut sup., avec prédictions, sans l'in-
struction susdite, remplacée par une liste chronolo-
gique d'événements depuis l'origine du monde jusqu'à
nos jours, in-32*.
8. Prières à l'usage des catholiques de Géorgie,
en car. vulgaires, recueillies par J. Maïsouradzé; Im-
primerie de Kérésélidzé; Tiflis, 1864, in-32*.
9. Éléments de la Grammaire géorgienne, par Plat.
Iosélian, 3° éd.; Tiflis, 1863, 128 p. 8°, chez Mel-
koumiants et A. Enfiadjiants.
10. La Lyre, recueil de Poésies, par N. Baratha-
chwili, Il. Dchawdchawadzé et Ac. Tséréthel, éd. par
C. Lorthkiphanidzé; S.-Pétersbourg, 1864, in- 18*.
Joli volume, sur beau papier, Typogr. de l'Acad. des
Sciences.
11. Le Nouvelliste géorgien a cessé de paraître
depuis 1863.
12. Dans le N. de septembre 1864, de l'Aurore,
on lit une poésie intitulée Zahl H E
une belle Géorgienne;» cet adjectif et ce substantif
féminins, de nouvelle création, n'auront pas, je les-
père, l'approbation des vrais Géorgiens, ils sont trop
opposés à l'esprit de la langue. Là méme, p. 75 —
121,ily a un article passablement hardi, mais trés
curieux, sur les terters ou prêtres arméniens, tra-
duit de «la Grue de l'Arménie,» en un langage géor-
gien trés vulgaire, peut-étre méme trop vulgaire, au
point de vue de la pureté de la langue et en opposi- .
tion aux régles fondamentales de l'orthographe.
13. «La Charrue» a continué de paraitre.
14. En 1863 a été fondé le /Iyxosnerit l'pysunckiii
Pbermuk», par moitié russe et géorgien, journal men-
suel, dont le rédacteur est le prétre Giorgi Khélidzé.
$ 2. Livres arméniens. `
1. Almanach, avec indications météorologianes
pour l'an 1313, arm. — dest; Tiflis, Séminaire de
Nersés.
2, Autre, pour 2 org, Lie, répétition de celui
mentionné Bull. de VAc. VII, 45, avec les mêmes
prédictions et les mêmes erreurs chronologiques si-
gnalées là: la date du 2" concile nm celui de
551
Bulletin de l’Académie Impériale
Constantinople, 431 au lieu de 380; l'apparition de
la croix en 362, au lieu de 352.
3. Almanach pour 1314 arm. — 1865, avec pré-
dictions météorologiques; à la fin, annonce d’une so-
ciété philanthropique, de S.-Gregoire-l’Illuminateur;
Typogr. Enfiadjiants.
4. Nouvel Abécédaire arménien-russe par Zar-
mair Msériants, Moscou, 1863; nouv. éd.
5. Abécédaire, reimpression; Chémakha, chez Ski-
binski, 1864: le lieu d'impression est digne d’être
noté.
6. L. Gignoux de Ziby, Alphabet, lecture et con-
versation, en français et en arménien; Tiflis, 1862, 8°.
7. L’instruction, les écoles et les élèves de la na-
tion arménienne, par Verdch-Kimanak (pseudonyme);
S.-Pétersbourg, Impr. de R. Patcanian, en arménien
vulgaire, in-18°. 128 p.
8. Méditation sur les grâces, sur les miracles et
sacrements de l’église chrétienne, par le catholicos
Matthéos. Tiflis, 1863, in-12°, chez Melkoumiants et
Enfiadjiants.
9. Examen des vérités de Lanvin par le ca-
tholicos Matthéos; Tiflis, 1863, 8°. 44 p., chez Mel-
koumiants et doute
10. Psaumes de David, 1° canon; Chamakhi, 1864,
8°, chez Aphanasi Constantinovitch.
1 1. Fables allemandes des frères Grimm, trad. du
français en arm. vulgaire, par Ter Esai. rirorio]
S.-Pétersbourg, 1864, Typogr. de R. Patcanian. P. 24
on lit le mot usw yp grand-père, au lieu de Swe
avus, ou uun papa, qui est le mot propre.
12. Le médecin domestique, par Car. Khochariants;
Tifis, 1863, 8°, chez Melkoumiants et Enfiadjiants.
13. Eghiché, Guerre de Vardan et des Armé-
niens, mis en arménien vulgaire, par Martiros Si-
méoniants; Moscou, 1863, in-12°.
14. Histoire de la nation arménienne,en arm.-vul-
gaire, 8°, 282 p., imprimée chez R: Patcanian, à St.-
Pétersbourg, aux frais d'Agha Carapet, échevin des
marchands de Nor-Nakhidchévan, marchand de 1"
guilde et chevalier; par Verdch-Kimanak.
15. Vie intérieure de l'ancienne Arménie, par G.
Ezof, maitre és-littératures orientales, trad. en arm.
vulgaire par Perdj Prhochiants et dédié à Stéphan-
nos, archévéque d'Artsakh; Chouchi, impr. donnée à
l'école ecclésiastique par Hovhannés Hovhannésian.
C'est, je crois, la thèse pour la licence soutenue il
y a quelque 10 ans par l’auteur, thèse fort instruc-
tive.
16. Le brave Vardan Mamiconian, poème bibo:
rique en treize chants, avec gravures; chaque chant
contient 24 quatrains de grands vers de 15 syllabes,
sur deux rimes; S.-Pétersbourg, 1863, 8°. dimi
17. Recueil de poésies par Mser Msérianta pour
la plupart sur des sujets historiques et à la louange
de la famille Lazaref, en langue littérale; Moscou,
1864.
18. Nouveau chansonnier, édité par Ter Miké-
liants; Tiflis, 1864, en bibas vulgaire. |
19. Loisirs et distractions, poésies légères, pir
Khatchatour Aboviàn, Tiflis, 1864; à la fin il y a une
petite comédie, Féodora ou l'Amour filial, en prose.
20. Poésies de Ghamar-Katiba (pseudonyme), éd.
par Ter Mikéliants et C^; Moscou, 1864, un joli vo-
lume in-18°.
21. Les chagrins de Léon, récits contemporains,
et poésies diverses de Sembat Chahazizian; Moscou,
1865, 8°, »
22. Le Trovator, tragedie, ou plutöt opéra de
Verdi, trad. en arménien et mis en musique pour le
nie par Hovhannés Sahradian; St.-Pétersbourg,
1864, 8°. Un beau volume, dédié à S. A. I. Nicolas
Nicolatéviteh le père.
: 23. Les journaux l'Aurore boréale, le Ess
russe, continuent de paraître à Moscou; le Nord, A
St-Pétersbourg; l'Arc-en-ciel et la Colombe du Ma-
sis, à Théodosie; la Grue de l'Arménie et VA heillé
de DAnpésin à Tiflis. ES
24. Catalogue des manuscrits de la à bibliothèque
du 8.-Siége d’Edchmiadzin, imprimé aux frais du
professeur Hacob Caréniants; Tiflis, 1863, 4°, 230 p.
Cet ouvrage, le plus important pour les we.
mérite bien une notice particulière.
Les plus riches collections de manuscrits me
dont j'aie eu connaissance sont celles: de St.-Lazare,
à Venise; du Nouveau-Djoulfa, à Ispahan; de Paris,
des Mékhitharistes de Vienne; de feu Mgr. Carapet,
à Tiflis; notre Académie, l'Institut Lazaref, à Mos-
cou, et ce que je sais de la bibliothéque du Vatican
n'arrivent qu'à un nombre fort peu considérable. En
fait de catalogues je posséde celui du Noüveau-
Djoulfa, 208 NN., et une liste de plus de 200 ou-
553
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
554
vrages manuscrits, formée par un Arménien zélé, M.
Galoust Chermazanian, durant 30 années de voyages*):
une notice intéressante sur 29 des ouvrages de cette
dernière liste a été publiée par l’honorable M. Adolphe
Berger, dans les NN. 29 — 31 du Kaskas», pour
1856. C’est aussi à l'obligeance de ce méme fonction-
naire, que je dois le catalogue de Djoulfa, rédigé
avec beaucoup de soin et avec une grande connais-
sance du sujet par M. Galoust; on y trouve, outre
le titre abrégé de l'ouvrage et les autres indications,
du nom de l'auteur, du lieu, de la date arménienne
et de l'áge de la copie, la transcription des mémentos
des copistes: ce qui en fait réellement un trésor de
renseignements littéraires. Les religieux de Venise
ont bien voulu me communiquer la liste des ouvrages
historiques manuscrits de leur collection, se montant
à une quarantaine. Des manuscrits de la grande Bi-
bliothèque de Paris, il existe un ancien Catalogue,
imprimé au siècle dernier; mais depuis les nouvelles
acquisitions, l'administration a confié à un savant mé-
khithariste du collége de Morat, le P. Soukias, la ré-
daction, que l’on dit entièrement achevée, d’un Cata-
logue, qui répondra à toutes les exigences de la
science: Enfin le Catalogue de la bibliothèque d’Ech-
miadzin, aujourd'hui publié, surpasse en richesse
tous ce qui est connu d'ailleurs.
En 1840, M. le baron de Hahn avait obtenu et
transmis à l'Académie, qui en fit le sujet d'une publi-
cation séparée, une liste de 481 ouvrages manuscrits,
du couvent d’Edehmiadzin, qui fut accueillie d'une re-
marque peu bienveillante pour les religieux, de la
part d'un voyageur naturaliste, M. Wagner. Au-
jourd'hui cette remarque sera sans objet, ainsi que
le feront voir les quelques détails dans lesquels je
. vais entrer.
- Le nouveau Catalogue commence par une lettre,
où le professeur H. Caréniants nous apprend que
beaucoup de livres de la bibliothèque d’Edchmiadzin
s'étant égarés, nonobstant l'estampille du couvent, —
ce qui arrive malheureusement dans plus d'une des
capitales européennes — le 30 septembre 1860, le
vartabied Daniel Chahnazarian fut chargé de la sur-
veillance du dépót littéraire dont il sagit. Lorsque
M. npe le visita en 1861, celui-ci se compo-
(09 Ce Catalogue sera l'objet d'un travail particulier.
sait de deux chambres parfaitement appropriées, une
pour les imprimés, l'autre pour les manuscrits. Une
commission de cinq personnes avait été organisée
pour procéder à la confection d'un catalogue, travail
non moins pénible qu'intéressant, dont le P. Daniel
s'occupa avec tant de zèle, que le 10 janvier 1862
il put Poffrir, entièrement terminé, au catholicos ac-
tuel, Matthéos. Le 29 mai 1863, son Eminence re-
mettait à M. Caréniants le manuscrit, pour l'impri-
mer, sans changements: on en fit donc une copie,
qui fut livrée aux compositeurs, et les épreuves
furent lues par le prétre Harouthioun Solaghiants.
En terminant ces notices, l'éditeur exprime l'espoir
que les manuserits égarés d'Edchmiadzin y seront
réintégrés, et fait appel à ses compatriotes, pour qu'ils
s'empressent d'enrichir par leurs offrandes le dépót
des produits de l'intelligence nationale. Fasse le ciel
que ces deux souhaits se réalisent!
Le nouveau Catalogue compte 2340 numéros; il
est rangé dans l'ordre alphabétique, non pas des
noms propres d'auteurs, maís des sujets, c'est-à-dire
tout à la fois systématique et alphabétique, mais, non
précisément raisonné, à ce qu'il semble. On y trouve
deux ordres de numéros: une série générale, de 1 à
2340, et autant de séries particulières qu'il y a d'ou-
vrages de même titre, et d’exemplaires du méme écrit.
Le nom de l'auteur est mis sur une ligne particuliére,
en caracteres cursifs; les divers articles contenus dans
chaque manuscrit sont enrégistrés séparément; tel
volume, comme par exemple les Djarhentirs ou Re-
cueils, fournit: le N. 888, 87 piéces; le N. 892, 129
piéces; le N. 917, 152; le N. 914, 157; le N. 894,
180; le N. 918, 195; le N. 920, 414 piéces, dont
le eontenu est indiqué avec soin. Quant aux sujets
traités dans ces divers ouvrages, je n'ai pas la pré-
tention de les faire connaitre en détail, il suffit de
dire que l'on y trouve tous les objets sur lesquels
s’est exercée l'intelligence des auteurs arméniens:
grammaire et littérature, en prose et en vers; An-
cien et Nouveau T'estiménfs * en nombre considériblt,
ainsi que l'exégése; sciences et comput, histoire et
hagiographie, théologie, droit canon et polémique,
prieres et liturgie. La matière, parchemin où pa-
pier; le format; le genre d'écriture, majuscule, ronde
ou cursive; le lieu de transcription, la date, le nom
du copiste, sont indiqués, quand il y a lieu; les mé-
555
Bulletin de l’Académie Impériale
556
mentos sont simplement mentionnés, et jamais donnés
in extenso; l’absence en est également signalée. Sans
doute l’auteur du Catalogue est excusable, à quelques
égards, de n’avoir pas transcrit en entier ce genre de
documents, si intéressants, si instructifs pour l’histoire
littéraire; il a craint d’être amené à décupler le vo-
lume de son travail, mais aussi il prive le lectur de
précieux renseignements fournis par la lecture de
pièces historiques contemporaines, où les noms pro-
pres, la forme des dates, les formules historiques four-
nissent à la critique tant de riches matériaux. Du
moins, tel qu'il est, le présent Catalogue servira de
fil conducteur aux arménistes, et s'il se trouve un
amateur de la belle littérature arménienne qui veuille
s’ensevelir pour quelques années dans la poussière
de la bibliothéque d'Edchmiadzin, il en sortira riche
de trésors qu'aucun savant n'a encore mis en oeuvre.
Pour mettre quelque ordre dans mes recherches,
j'ai noté et rangé sous certains titres les objets qui
ont plus particuliérement attiré mon attention, comme
se rapportant de plus prés à mes études ordinaires.
Pour le reste, je renvoie le lecteur à ma notice de
1840, sur Edchmiadzin, et au 3* Rapport sur mon
voyage archéologique.
1) Ouvrages remarquables.
N. 1. Livre d'Adam, — dont la composition est attri-
buée par l’historien Mkhithar d'Airivank, à un
St. Siméon, inconnu, sous l'année 1001.
N. 914. 16. Pénitence d'Adam et d'Éve. — Le se-
cond chiffre est le N. de la piéce en question, dans
un Recueil. ;
N. 922. 36. Les actions et la mort de la bienheu-
reuse Vierge Marie et de son pére Evgéni; à la
fin se trouvent l'Évangile de St. Joseph d'Arima-
thie, et celui de Cléopas.
N. 920. 70. Lettre de Pilate à Tibére, au sujet de
J.-C.
N. 1619. 3, et 1682, Histoire ecclésiast. d'Eusóbe.
N5996;1, » » PEL i
N. 917. 148, » » M4 e 2,
N.920. 105, » » ». ok 3.
Ibid. et 925. 8, » » l. 8.
N. 1619. 14, et 1628, Histoire ehdbipsfiqu: de So-
- crate, traduite par le vartabied Tiracatsi.
N. 1429, Explication du discours commençant par
le mot ewpäpwgnugkp, par le vartabied Courion,
qui fut supérieur spirituel des Arméniens de Géor-
gie et sépara les Géorgiens des anie — au
V* s.
| N. 516. 4; 517. 2, Lettre de Photius, petii de
C. P., au catholicos arménien Zakaria.
N. 901. 6, 12. Discours de l’évêque Sibios, sur la
descente de St. Jean aux enfers; sur la trahison de
Judas. — Je pense qu'il s'agit ici de Sébéos, l'his-
torien méme des campagnes d'Héraclius en Perse.
N. 1736. Histoire de Nadir-chah, par le catholicos
Abraham.
2) Faits curieux.
N. 1330. Histoire du doigt de St. Pierre et de son
apport de Rome en Arménie.
N. 1667. 2. Histoire de l'invention du doigt de 8t
Pierre. — J'ai noté ce livre, parce que Mkhithar
d'Airivank parle du fait en 7 91 et attribue la dé-
couverte de cette Histoire au prêtre Pantaléon. -
N. 919. S9. Invention des reliques de St. Thaddée et
de Se. Sandoukht. Là méme, Martyre de Se. Hé-
ghandoukhft dans la ville des Thétaslik (lis. des Thé-
tals ou Hephtalites), au pays des Germains, sic. cf.
916. 46.
N. 901. 15. Translation des reliques de St, Chryso-
stome.
N. 894; 923. 35, 37. Histoire de la croix du cathe:
licos Pétros Gétadartz, — au XT s.
1435. Explication des anciennes lettres armé-
niennes.
N. 1658. Des anciennes lettres arméniennes.
N. 1734. Histoire de Télameph et de Sodrlon, —
sans doute un roman de fiction, comme celui de La
ville de cuivre, N. 1748, dob la rt E
possède deux eXeihileireh;
3) Histoire religieuse.
N. 914. 8. Martyre de St. Vahan de Goghthn, yo
ordre de l’empereur Théodose. |
N. 920. 69. Élégie sur les maux arrivés en Arménie
par l'incendie allumé par les peuples du sud, et
martyre de Vahan, fils de Khosro, seigneur de
Goghthn, qui eut lieu en 150 arm. — = (701 de
J. C.). Vut
N. 914. 28; 918. 50; 920. 108; 923. 87; 925. 23.
Sur les martyrs Soukiasians, surnommés Köchk;
cf. Tcham. I, 599.
N. 915. 19; 1714. 1. Sur l'émir Abdélaziz, e
N.
357
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
au christianisme en 801, d'aprés Mkhithar d'Ai-
'rivank.
N. 539. 4; 1594. Sur la fausse-päque; encyclique,
en langue vulgaire. — Je ne mentionne pas di-
vers traités de comput, parce que ce sont tous des
ouvrages connus des arménistes.
N. 926. 82. Martyre de St. Khareth et compagnons
au pays des Homérites «du côté de l'Inde,» à Asba,
qui est Ningran. Ce fait se rapporte à l'an 523,
sous Justin 1°; Mkhithar d’Airivank le place Sous
le synchronisme 565.
4) Notions diverses.
N. 916. 46, 69. Lettre de Gite Supérieur —
bat, sur l'histoire du martyre de St. Serge, à Ner-
= sès, frère du catholicos Grigoris, et réponse de
Nersès; ef. 925. 19.
N. 920. 407. Hamazasp, supérieur d'Haghbat.
N. 516. 1, 2; 922. 36. Haghbat et Sanahin, lettre
^. des religieux au catholicos Grigoris, et réponse.
N. 1442. Lettre écrite au couvent de Kobair, au
temps du catholicos Hacob de Djoulfa (1655 —
1660), et de Chah-Ismail; — cette lettre prouve
qu'au XVII’ s. le couvent de Kober était encore
en exercice.
N. 252. Évangile copié au couvent de Scoulound,
dans le Vaio-Tzor, en Siounie, sous le catholicos
Sargis, en 924 arm. — 1415 (lis. 1475): cf. N. 889.
N. 1533. Éloge en vers, en l'honneur de l'Exalta-
tion de la s° croix, par Nersès-Chnorhali, à l'Er-
mitage de Tantzapharakh, village de Khncank, can-
ton d'Adjanan, en Siounie, sous le supérieur Mov-
. sès Raboun; sans autre indication.
5) Personnages syriens jacobites.
N. 916. 4, 60. Mention et martyre de St. Maroutha;
cf. 919. 7, 755; 920. 90, 303.
N. 916. 81. Martyre de St. Parsam, sous Marcien;
920. 78, id. sous Théodose; cf. 919. 75.
N. 918.32, 36. SS. Maroutha et Parsam, mentionnés.
N. 1620. 2. Histoire de l'impie Barzouma. — Ces
.. personnages sont nommés plusieurs fois dans l'His-
toire de Mkhithar d'Airivank.
6) Personnages siouniens célébres etc.
N. 917. 65. Lettre du bienheureux Pétros, évéque
de Siounie, sur la foi, — V* et VP s.
N. 920. 38. Du méme, éloge de la Se.-Vierge.
N. 920. 408. Sur les évéques de Siounie, aprés Ma-
thousagha (T vers 643).
N. 519. 6. Lettre de Stéphannos, évéque de Siounie,
en réponse à celle de Germain, patriarche de C. P.;
cf. 901.20; 916. 98; 920. 146; 1594. 2 et passim.
N. 531. 4. Réponse de Stéphannos, évéque de Siou-
nie, au patriarche d'Antioche, sic.
N. 222. Évangile en majuscules, sur parchemin, re-
liure d'ivoire, copié pour Stéphannos, construc-
teur et réparateur du couvent de Noravank; «sous
le principat d'Athabac Achtkétsi;» sous le supé-
rieur Grigor Gourdjéordi, Vahram l'a acheté et
donné au couvent de St.- Étienne Protomartyr; de
Maghartha; copié par Hovhannés, en 438 arm. —
989.
N. 511. 2. Discours de controverse, en matière de
foi, 12 chap., par Stéphannos, évéque de Siounie;
3, Manuel, adressé au catholicos Grigor d'Ana-
varza — (1294 — 1307).
N. 1475. Élégie sur Edchmiadzin, par le méme.
N. 1492. Controverse contre les diphysites, id. —
ces trois ouvrages sont de l'auteur de l'Histoire de
Siounie.
N. 1311. Analyse abrégée de l'Évangile de S.-Jean,
par un Stéphannos, év. de Siounie; cf. 1643, une
explication des prières de l'église.
N. 643. 1. Oeuvres et explication des écrits de Denys
(l'Aréopagite), par Stéphannos, évêque de Siounie.
N. 867. 1. Discours sur les anges, — de Denys l’A-
réopagite — traduits par Stéphannos, de Lvof
(Lemberg), et un ouvrage de Proclus, traduit du
géorgien en arménien, «au couvent géorgien de
Pghntzahank, par Simon, évéque de Garhni.
N. 1750. Le Coran de Mahomet, trad. du latin en
arménien par le vartabied polonais Stéphannos de
Lvof; — ce Stéphannos, Arménien, descendant des
émigrés d'Ani, vivait au XVII" s.
N. 361. Évangile avec figures en ivoire, exécutées
par l'écrivain Avag, à la priére du baron Pechki-
nian, à Tathev, sous le supérieur Ter Sargis, en
788 arm. — 1349. |
7) Faits et personnages douteux.
N. 18, 3. Crus des prières, par Mara év. de
Siounie.
N. 18. 2. Vision FA vartabied. Bénic, scaticlicok
559
Bulletin de l’Académie Impériale
d'Aghovanie,» inconnu et ne se trouvant dans au-
cune liste.
N. 254. Évangile copié dans l'ile d'Aghthamar, sous
le catholicos Antoni, en 1497.
N. 894. 41. Venue de Mahomet en Arménie; le ca-
tholicos Sahac va à sa rencontre; le prince des
Ardzrouni, Théodose Rhechtouni. — Il n'est pas
question ici du fondateur de l'islamisme, et le pa-
triarche Sahac, le III" du nom, siégeait en 677 —
703 de J.-C. cf. 923. 42: Récit de la venue de
Mahomet; Sahac, évéque des Rhechtouni va à sa
rencontre. Pour expliquer cet imbroglio, il fau-
drait un long commentaire.
N. 1686. 6. Lettre et narration du saint concile, en-
voyée par le généralissime Pachlat — personnage
entièrement inconnu.
Par ces exemples assez nombreux, choisis pour un
but déterminé, on peut voir quelle est la richesse,
quels les défauts du Catalogue d'Edchmiadzin, qui
ne peut guére servir, dans son état actuel, que comme
guide et comme recueil de renseignements, jusqu'à
critique détaillée.
$ 3. Publications récentes,
Il ne me reste plus qu’à mentionner les publica-
tions récentes dont l Arménie a été l'objet, et celles
qui se préparent.
1) Dans le périodique, Revue de VOrient, pour
1863, juin, juillet, tirage à-part, 1864, on trouve
une béta traduction, annotée, de l'Histoire d'Arista- |
kès Lastiverdtsi, tant suite à celle d'Asolic, entre
1004 et 1071, par M. Évariste Prudhomme. Comme
cet auteur est excessivement diffus dans ses tirades
élégiaques sur les maux de son pays, le traducteur
n'a pas jugé à-propos, — est-il louable en cela? —
de mettre en francais les passages dont je parle. Il
y à ici un chapitre trés intéressant, le XXIT^, sur la
secte des Thondrakians ou fils du soleil, les acolythes
des Pauliciens.
2) Dans le Journal asiatique, pour 1863, novem-
bre, décembre, une traduction par le méme, de l'His-
toire du Taron — province de Mouch — par Zé-
nob Glac, Syrien, venu en Arménie au IN" siècle,
renfermant le récit des efforts faits par le roi Trdat
et par St. Grégoire pour répandre le christianisme en
Arménie, méme par les armes. M. Prudhomme pré-
pare également, à ce que j'ai appris, une traduction
de l'histoire des guerres religieuses de l'Arménie, au
V° s., par l'élégant Lazare de Pharbe.
3, 4) Deux excellentes dissertations de M. P. Patea-
nian, l'une pour obtenir le degré de licencié: Onsırz
ncropiu Aumacrim CaccammA0B5, no CBEABHIAMB, C006-
maewbMb APMAHCKUMH mnucaTeJawHu, 8°. 90 crp. m 6
emp. ra6amm», 1863. L'autre, thèse du méme pour
le doctorat, Hscrbaosanie o cocraBb ApMAHCKATO A3BIKa;
C'est l'examen de toutes les formes grammaticales de
la langue arménienne, à partir des plus archaiques,
et la comparaison de ces formes avec ce que mous
apprennent les plus habiles philologues de ce sieele
au sujet des anciennes langues indo-iraniennes; 8°,
110 crp. |
5) Traduction russe de l'ouvrage historique d'Aso-
lic, sous le titre: Bceoómaa ncropia Crenanoca Ta-
ponckaro, Acoxaka no npoasaniio, nncarena XIro sbra.
Cet excellent ouvrage, qui se termine en 1004, mais
qui renferme, à ce que je crois, quelques interpola-
tions postérieures, a été traduit et annoté par le sa-
vant et consciencieux Arménien et arméniste N. Emin,
qui l'a augmenté de deux chapitres, faisant partie
d'un manuscrit de Venise, et qui manquent dans la
plupart des manuscrits connus, communiqués par M.
Langlois. La 14* Addition, très curieuse «sur l'an-
cienne religion des dE païens,» a été traduite
et imprimée en français, Paris, 1864, par M. A. de
Stadler, 57 p. 8°.
6) L’auteur des Recherches sur la chronologie ar-
ménienne, M. Ed. Dulaurier s’occupe en ce moment
d’une publication, qui ne tardera pas à paraître, le
Recueil des historiens arméniens des croisades, qui
contiendra le texte de 16 auteurs, en entier ou par
extraits, depuis l'an 1097, jusqu’à l'extinction de la
dynastie des Roubéniens, et à l'avénement de celle
des Lusignan, au milieu du XIV* s. Ce sera un in-fol.
de plus de 800 p.
7, 8, 9) Le laborieux M. Vict. Langlois a publié en
1863 le Trésor des chartes d'Arménie, ou cartu
de la dynastie des Roupéniens, 4°, Venise 1863,
242 p. Ici l'auteur a réimprimé et — ses pré-
cédentes notices sur le royaume arménien de Cilicie,
et donné le texte et la traduction, le cas échéant, de
93 chartes arméniennes, latines, arabes, eg:
tant inédites que déjà connues. |
361
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Le méme savant prépare l'édition de la belle et in-
téressante chronique de Michel-le-Syrien, avec l'ad-
dition allant jusqu'en 1224: Je texte arménien, revu
“sur plusieurs manuscrits, la traduction francaise et
de nombreuses notes sont déjà remis aux presses des
Mékhitharistes de Venise.
Enfin M. Langlois s'est chargé pour M. Didot d'un
recueil de fragments d'auteurs grecs se retrouvant
chez les écrivains arméniens, et j'apprends qu'à ce
travail M. Emin joindra la traduction francaise de
l'Histoire de Fauste de Byzance, qui mérite bien un
tel honneur.
10) Les Mékhitharistes de St.-Lazare ont en vue
de publier, comme ouvrage séparé, le voyage archéo-
logique du P. Nersès Sargisian en Arménie, que
jusqu'à présent leur périodique pittoresque le Baz-
mavep imprimait par extraits mensuels. Le public
savant n'a qu’à se féliciter de cette résolution, qui
bátera la mise en lumière d'un vaste recueil d’anti-
quités et permettra d'en mieux apprécier l'ensemble.
Tels sont, dans ces deux derniéres années, les pro-
duits des littératures géorgienne et arménienne, ve-
nus à ma connaissance.
Zur Histologie der Blutkörperchen, von Ph. Ow-
sjannikow. (Lu le 13 mai 1865.)
(Mit einer Tafel.)
In der neueren Zeit hat man angefangen, die Ver-
änderungen zu studiren, welche die Blutkörperchen
in verschiedenen Krankheiten oder durch verschie-
dene Arzneistoffe oder chemische Reagentien erleiden
— unstreitig eine grosse Aufgabe, die mit der Zeit auch
reiche Früchte tragen wird. Bis jetzt waren aber alle
derartigen Untersuchungen von keiner hohen Bedeu-
tung. Die Ursache davon war, dass man sich keine
Rechenschaft geben konnte, was durch chemische
Reagentien hervorgebracht, was nur blosse Folge des
Wasserzusatzes, oder was auf Rechnung einer natür-
lichen Veränderung der aus dem Kreislaufe entnom-
menen Blutkörperchen zu setzen ist.
Die Literatur über diesen Gegenstand zeigt uns
viele solche Gestaltveränderungen der Blutkörperchen,
welche der Einwirkung chemischer Stoffe zugeschrie-
ben werden und welche nichts Anderes als Folgen der
Tome VIII.
Wassereinwirkung oder der im Blute enthaltenen
Salze sind.
Sollen solche Beobachtungen Nutzen bringen, so
darf weder Wasser zu dem untersuchten Blute hinzu-
gefügt, noch zugelassen werden, dass das in demsel-
ben enthaltene verdunste,
In Betreff sowohl der normalen Struktur der Blut-
körperchen, als auch der Bedeutung einzelner Theile
derselben herrschen noch vielfache Zweifel.
50 kann man in den Blutkórperchen mancher Thiere
mit Bestimmtheit einen Kern nachweisen, in denje-
nigen anderer dagegen nicht. Der letztere Fall führte
dazu, dass man dem Kerne eine untergeordnete Stel-
lung im Blutkórperchen angewiesen hat.
Früher wurde allgemein eine Zellenmembran an
den Blutkórperchen angenommen, jetzt haben sich ge-
wichtige Stimmen dagegen erhoben. Nach den Unter-
suchungen von Brücke, Rollet, Biel und andern
existirt keine Zellenmembran.
Diese Meinung, die durch die neueren Arbeiten
über die Zelle unterstützt wird, fand einen allgemei-
nen Anklang.
In den folgenden Zeilen werde ich die Beobachtungen
mittheilen, die ich an normalen Blutkórperchen ver-
schiedener Thiere gemacht habe, und die Veründerun-
gen angeben, welche die Blutkórperchen durch Wasser-
zusatz und einige andere Einflüsse erleiden. Die Unter-
suchungen sind mit dem englischen Mikroskop von P o-
well und Lealand angestellt, meistens mit dem Ob-
jectiv Y,, und dem Ocular 2, welche eine 1184-ma-
lige Vergrösserung geben. Zuweilen benutzte ich
auch das Objectiv '/, und Stärkere Oculare. Man kann
sich aber auch des Hartnack’schen Immersionssy-
stems zu diesem Zwecke bedienen.
Blutkörperchen des Frosches,
Die Körperchen aus dem Blute eines lebenden Fro-
sches haben eine elliptische Form und einen bleichen,
undeutlich umgrenzten Kern (Fig I, a), welcher aber
schon nach einigen Augenblicken schärfer hervortritt
(b). Die Blutkörperchen sind platte Scheiben, welche
an den Rändern und in der Mitte am dünnsten, in der
Umgebung der mittleren Concavität dagegen am dick-
sten sind. Die weitere Veränderung hängt davon ab,
ob die Körperchen einzeln oder in Gruppen liegen.
Im ersteren Falle erhalten sie ihre Form längere Zeit
36
563
Bulletin dé l’Académie Impériale
364
hindurch. Allmählich werden sie jedoch rund. Man
bemerkt an ihnen weisse glänzende Punkte, welche in
vielen Fällen als spitze, kurze Fortsätze sich erweisen
(b). Zuweilen wird die Zelle an einem Pole sehr
lang und spitz, retortenartig (d). Entweder sie be-
hält làngere Zeit hindurch diese Form, oder es tritt
aus ihrer Spitze der Inhalt in Form eines runden,
mehr oder weniger grossen, gelblichen Tropfens (e)
heraus. Dieser spitze Ausläufer kann wieder eingezo-
gen werden. Der Kern, der deutlicher geworden ist,
wird gekórnt. In einigen Zellen gehen vom Kern aus
Fortsätze durch den ganzen Inhalt, selbst bis zur
Membran. Nach solchen Präparaten könnte leicht
die Meinung entstehen, dass die Kürperchen von
feinen Kanälen durchzogen werden, die ihren An-
fang vom Kern nehmen. Solche Fortsátze oder Röhr-
chen werden in den Körperchen, deren Inhalt ganz
oder zum Theil ausgetreten ist, noch deutlicher. Ich
berichte diese Erscheinung so, wie sie sich darbietet,
und will keineswegs behaupten, dass es nicht viel-
leicht ein nach dem Tode enitstatidenes Kunstpro-
dukt sei.
Die Sternform nehmen die Blutkörperchen des
Frosches selten an. Eben so selten kommt es vor, dass
der ganze Inhalt in feine Trópfchen zerfällt, welche
besonders regelmässig an der Membran gelagert sind.
Bei andern Blutkörperchen wieder tritt der Inhalt
an verschiedenen Stellen hervor, zuweilen an der gan-
zen Oberfläche, in Form von kleinen staubförmigen
Tröpfchen, die sich entweder bald auflösen, oder zu
grösseren Tröpfchen verschmelzen und eine Zeit lang
der Auflösung widerstehen. Die einzeln liegenden
Körperchen behalten, wie gesagt, ziemlich lange ihre
Form bei; die in Gruppen liegenden hingegen gehen viel
schneller zu Grunde. Dadurch dass die Blutkörperchen
sich gegenseitig comprimiren, platzen sie, und tritt ihr
Inhalt in Tröpfchen von verschiedener Grösse heraus.
Die Contouren der einzelnen Zellen verschwinden ganz,
man sieht einen gelben Fleck mit sehr unebenem, ge-
zahntem Rande. Waren es wenige Zellen und befanden
sie sich nur kurze Zeit in einem solchen Zustande,
so gelingt es nicht selten, die Contouren der Zellen
durch Zufügen einer schwachen Zuckerlösung zu dem
Präparate wieder herzustellen.
Der Inhalt der Blutkörperchen besitzt nicht in allen:
Zellen dieselbe Consistenz. Meistens ist er flüssig und | ı
viel zu zerstörend ein,
‘tritt heraus, selbst durch die Umhüllung der Zelle;
zuweilen aber hat er eine festere Beschaffenheit, so dass
man ihn ungeführ mit weichem Wachse vergleichen
kaun. Auf diese Weise begegnet man einigen Blutkór-
'perchen, aus denen, trotz dem dass die Membran deut-
lich geplatzt ist, der Inhalt doch nicht heraustritt,
sondern durch allmähliches, längeres Einwirken e
Wassers in der Zelle aufgelöst wird.
Membran der Blutkörperchen. i
Die Existenz der Membran sicher nachzuweisen,
ist keine leichte Aufgabe. Daher kommt es, dass
über ihr Vorhandensein ein solcher Zweifel herrscht,
Auch kommen solche Präparate et nach denen man
Membran existire gar nicht. Ein andres Mal dagegen
ist sie auch ohne jeden Zusatz zu sehen. Der Inhalt
zieht sich von ihr zurück und zwischen ihr und dem.
gelblich gefärbten Inhalte bleibt ein weisser leerer
Raum (4) zurück. Noch deutlicher wird sie sichtbar,
wenn man zum Tropfen Blut eine schwache, reine
oder mit etwas Spiritus vermischte Zuckerlósung zu-
fügt. Alsdann tritt sie deutlich hervor, zuweilen au
vielen, ja den meisten Blutkörperchen, selbst an sol-
chen, welche schon ein sehr unregelmässiges, verzerr-
tes oder sternförmiges Aussehen angenommen haben.
Das Wasser für sich wirkt auf die Blutkörperchen
während dieselben in einer
schwachen, mit Spiritus versetzten Zuckerlösung viel
langsamer ihrem Ende entgegengehen. Immer bleibt
es aber eine beachtenswerthe Thatsache, dass auch
in der letzteren Lösung nicht. alle Blutkórperchen
gleichmässig sich verhalten. Während einige gleich-
sam erstarren und ihre Membran auf's deutlichste
zu sehen ist, werden andere rund oder an beiden ent-
gegengesetzten Enden. zugespitzt und verkleinern
sich immer mehr und mehr, An den beiden Spitzen
bemerkt man den herausgetretenen Inhalt in Form von
kleinen Tröpfchen. apii
Hier ist es am Ort, der in vieler Hinsicht sehr
beachtenswerthen Untersuchungen von Dr. Eduard
Rindfleisch ') zu erwähnen, Indem er (pag. 9) die
| Blutkórperchen des Frosches Rue wurde i
Án mpeg ie
es Experimental. Studien über die Histologie des Blutes. Leipzig,
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Rad ee, el e
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————
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565
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
auf das verschiedene Verhalten des Inhaltes in den
elliptischen und in den runden Kórperchen aufmerksam.
In den letzteren tritt der Inhalt in kleinen Tröpfchen
heraus und bildet perlschnurartige Fäden, die von der
Zelle ausgehen. Ganz solche Bilder, wie er Fig. 1, eab-
gebildet hat, habe ich an den runden Blutkörperchen
im frischem Zustande oder nach Zusatz von einer Zu-
ekerlösung mit Spiritus gesehen. Die verzerrten Blut-
körperchen, die er Fig. 1, e abbildet, habe ich aus ganz
frischem Blute unter meinen Augen entstehen sehen.
Sehr richtig ist von ihm das Heraustreten des ganzen
Zelleninhalts nach Zusatz von Anilinblau wiederge-
geben. Ich habe eben solche Bilder gehabt nach Zu-
satz von einer Zuckerlósung mit Spiritus zu ganz fri-
schem Blute. Man kann an solchen Präparaten auf's
schönste die ihrer Hülle entblössten Zellen von den
normalen unterscheiden.
Kehren wir zu unserem Präparate zurück, so be-
merken wir, dass von den Blutkörperchen nur Kerne
und Membranen zurückgeblieben sind, —die letzteren
so verändert und eingeschrumpft, dass man sie schwer-
lich für solche halten würde, wenn es nicht oftmals
gelänge, alle Stufen der Veränderung an einem
fens an einzutrocknen, so legt man einDeckgläschen auf.
An der Stelle, wo das Blut durch’s Eintrocknen ver-
dickt ist, bemerkt man bald die Bildung der Krystalle.
Doch sind die ersten Krystalle sehr klein, und ist
man genöthigt, sie einige mal sich umkrystallisiren zu
lassen. Man thut es am besten, indem man das Deck-
gläschen abhebt, auf den eingetrockneten Rand ei-
nen frischen Tropfen bringt und ihn dann wieder be-
deckt. Die Krystalle sind lang, stäbehenförmig und
liegen. selten einzeln, häufiger bündelweis. Ihre Lage-
rung ist eine höchst mannichfaltige. Bald durch-
kreuzen sich einzelne Krystalle, bald ganze Bündel;
im letzteren Falle bekommt man schöne Sternfiguren
zur Ansicht. Zuweilen sieht man an der Spitze eines
Krystalls ein ganzes Bündel fücherfórmig gelager-
ter kleiner Krystalle. An grösseren Krystallen erkennt
man deutlich die prismatische Form (Fig. I, i).
Die Häminkrystalle aus dem Froschblut sind noch
leichter darzustellen. Man trocknet einen Bluttropfen
auf einem Objectglase über einer Spiritusflamme, setzt
ein paar Trop gsä und trock-
net es wieder über der Flamme. Die Krystalle sind
meistens prismatisch und klein, ähnlich den Hämin-
und demselben Blutkörperchen zu studiren. Endlich
lösen sich die Membranen und die Kerne auf, die er-
steren übrigens viel schneller als die letzteren. Die
Kerne erfahren vor der Auflösung mehrfache Verän-
derungen. Anfangs sind sie oval und haben eine gleich-
mässige Struktur; später sehen sie gekernt aus; zuletzt
verschwindet auch dieses Aussehen und ist nur
eine äussere, dünne Schicht zu bemerken, die man als
Membran auffassen kann, ein gleichmässiger Inhalt
und in demselben 1 oder 2 Nucleoli.
Krystalle aus dem Blute des Frosches.
Die Hämatinkrystalle aus dem Froschblut sind we-
nig bekannt, weil dieses Blut weniger leicht krystalli-
sirt, als andere Blutarten. Auf folgende Weise habe
ich sie jedoch immer leicht bekommen. Aus einem ent-
haupteten Frosche wurde das Blut in eine kleine
Glasschale gesammelt, etwas mit Wasser und Spiritus
versetzt und auf 24 Stunden in einen kalten Raum
gestellt. Nimmt man am andern Tage einige Tropfen
davon und bringt sie unter das Mikroskop, so bemerkt
man in der Flüssigkeit sehr viele, mehr oder weniger
veränderte Blutkörperchen. Fängt der Rand des Trop-
krystallen bei andern Thieren. Jedoch gelang es mir
zuweilen durch Umkrystallisiren, indem ich mehrmals
wieder concentrirte Essigsäure zufügte und das Prä-
parat über einer Spirituslampe hielt, einzelne recht
grosse Krystalle zu bekommen. Unter solchen Umstän-
den waren die Krystalle häufig Zwillinge und boten
eine von den gewühnlichen verschiedene Form dar,
die ich in der Zeichnung wiedergegeben habe (k).
= Das Umkrystallisiren darf nicht lange fortgesetzt
werden, sonst zerfallen meistens die schönen grossen
Krystalle in Stücke, oder es setzen sich sehr viele
kleine Krystalle an, so dass die ursprüngliche Form
der grösseren fast ganz verschwindet.
Blutkörperchen der Fische
Die Blutkörperchen der Fische sind länglich, oval,
verhältnismässig länger als bei den Batrachiern. Ganz
frisch erscheinen sie schwach gelblich gefärbt und an-
scheinend ohne Kern. Ist der Kern deutlich gewor-
den und steht das Körperchen auf der Kante, so er-
scheint es in der Mitte biconvex. Um den Kern ist
aber eine Concavität zu bemerken. Nicht alle Blutkör-
E A E ch: Ze amadalhon Gra da nnd E
36*
567
Bulletin de l’Académie Impériale
selben Geschwindigkeit. Die meisten erhalten sich ziem-
lich lange im Blutserum oder ir einer Zuckerlösung.
Eine der ersten und gewöhnlichsten Veränderungen
auch in diesen Medien ist das deutlichere Hervortreten
des Kernes und der Contouren, das Anschwellen der
Körperchen und das Erscheinen von schwachen, kurzen
Zacken auf ihrer ganzen Oberfläche, die sich als kleine,
regelmässig stehende Punkte ausnehmen (Fig. II, c).
Fügt man zu einem ganz frischen Bluttropfen (die
Untersuchung machte ich an Osmerus eperlanus,
Perca fluviatilis und andern) eine schwache Zuckerló-
sung mitSpiritus zu und legt ein Deckgláschen auf's Prá-
parat, so behalten auch dann die Kórperchen oft lange
Zeit hindurch ihre Form. Bald aber sieht man die Flüs-
sigkeit in das Innere einiger Blutkórperchen dringen.
Während bei frischen Kórperchen der Zelleninhalt
die Membran ganz ausfüllte, so dass man denselben
gar nicht von ihr unterscheiden konnte, bildet sich
nun eine Schicht zwischen der Membran und dem Zel-
leninhalt (d). Diese Erscheinung ist derjenigen ähn-
lich, die man bemerkt, wenn frische Fischeier in's Was-
ser gelegt werden. Es dringt eine Wasserschicht durch
die Membran und lagert sich zwischen derselben und
dem Dotter.:
Zuerst ist die Wasserschicht, die zwischen dem In-
halte und der Membran der Blutkórperchen sich be-
findet, sehr unbedeutend. Die Oberfläche des Zellenin-
halts ist in solchen Fällen gewöhnlich regelmässig.
Bald darauf findet man einige Zellen, in denen der In-
halt zuweilen von allen Seiten, häufiger aber nur von
der einen sehr bedeutend sich zurückgezogen hat; zwi-
schen ihm und der Membran hat sich ein grosser Zwi-
schenraum gebildet. Der Inhalt ist weniger durch-
sichtig, tritt aber deshalb schärfer hervor. Es scheint
als ob er geronnen sei, während er früher flüssig war.
Der Kern ist ebenfalls sehr deutlich, anfangs läng-
lich, wenn aber die Zellen eine mehr runde Form ange-
nommen haben, wird er ebenfalls rund und zeigt oft ein
Kernkörperchen. Eine höchst interessante Erschei-
nung war mir die Verwandlung des ganzen Inhalts
der Blutkörperchen in Hämatinkrystalle, Die ersten
Beobachtungen, die sich darauf beziehen, haben wir
Funke und Kölliker zu verdanken.
Diese Verwandlung geschieht auf folgende Weise:
Die elliptische Form der Blutkörperchen schwin-
det, man sieht an ihnen einen, zuweilen auch zwei
spitze Fortsätze. Diese Fortsätze sind den Krystal:
len durchaus nicht ähnlich, und dennoch kann man
sie häufig als den Anfang der Krystallisation betrach-
ten. Nach einiger Zeit bemerkt man im Blutkörper-
chen eine oder zwei einander parallel, von einem For-
satz zum andern gehende Linien. Zuerst sind sie sehr
undeutlich, werden aber allmählich sichtbarer, Bald
darauf sieht man, dass es Krystalle sind. Die Farbe
derselben ist hellgelblich, zuweilen so hell, dass sie
farblos erscheinen. Während des Wachsthums der
Krystalle verändert sich das Blutkörperchen immer
mehr und mehr, indem die Krystalle mit ihren bei-
den Enden an die Zellenmembran stossen und ee
in die Länge ziehen (f).
Hat der Hämatinkrystall schon eine etai
Länge erlangt, so liegt die Zellenmembran von einer
Seite so fest an demselben an, dass sie schwer für
eine besondere Haut zu halten ist. An der andern
Fläche des Krystalls, wo sich der Zellenkern befindet,
sieht man die Membran deutlich als eine durchsich-
tige, glashelle Haut vom Kern auf den pav über-
gehen (g). Ft
Zuweilen ist die Membran so durchsichtig veli legt |. 1
sich so dicht an den Krystall an, dass sie bei gewóhnli-
cher Vergrósserung gar nicht zu sehen ist. Ín diesem
Falle scheint der Kern neben dem Krystall zu liegen.
Wendet man aber eine starke Vergrösserung an (ich
habe oft eine Vergrósserung von 3000 — 4800 be-
nutzt), oder fügt man etwas Wasser zum Präparat, so tritt
die Membran deutlicher hervor: man sieht, dass der
Krystall in derselben liegt und ganz den Raum aus-
füllt, welchen früher der Inhalt einnahm. Ist der Kry-
stall dünn und lang, länger als das Blutkörperchen,
‚so fängt er an sich zu biegen und nimmt eine mehr
oder weniger deutlich ausgeprügte bogenfórmige Ge-
stalt an. Zwischen den Schenkeln des Bogens wird
die Membran besonders gut sichtbar (i). Manchmial
bricht der Krystall beim Biegen an einer oder zwei
Stellen entzwei. Diese letzteren Präparate, weiche gar
nicht selten vorkommen, zeigen, welche bedeutende
Festigkeit die Membran benitzt, Die Krystalle biegen
sich und zerbrechen, und die Membran reisst nieht-
einmal (k). Unter Umständen findet man in einer Mem-
bran zwei oder drei Krystalle, die alle neben einan-
der liegen und zuweilen ein Kreuz bilden (A, m). Zu-
letzt lösen sich die Krystalle vollkommen auf, ebenso
des Sciené
"A
AERE ue ~ 2 mie a
A: LLLE 2
wie die Membran. Der Kern widersteht noch eine
Zeit lang, unterliegt aber zuletzt demselben Schick-
paro Blutkörperchen des Menschen. -
Die Körperchen aus ganz frischem Blate sigd stark
gelb, scheibenfórmig, platt: am stärksten ist die gelbe
Farbe an den Rändern, zur Mitte hin wirdsie schwächer,
bis zuletzt das Centrum des Körperchens vollkommen
weiss erscheint (Fig. III, a). Dies deutet darauf hin,
dass die Körperchen in der Mitte concav sind. Sie
stellen sich häufig auf ihren Rand und bilden leicht
die sogenannten Geldrollenfiguren. Betrachtet man
die wenigen einzeln liegenden Körperchen bei star-
ker Vergrösserung, so nimmt man wahr, dass die-
selben recht bald mit schwachen, kaum sichtbaren
Punkten sich bedecken, die übrigens ziemlich regel-
mässig von einander entfernt sind. Auf diese Weise
sind sie den ungefürbten Körperchen ähnlich, Bald
sind sie mit ganz feinen Spitzen, gleichsam mit Härchen
besetzt (0; dann werden die feinen Spitzen gróber, und
ihre Zahl nimmt ab (b, d, €); endlich verwandeln sich
die Kórperchen in kleine stachlige Kugeln (f) und
werden immer kleiner und kleiner. Die Ursache da-
von ist hóchst wahrscheinlich das Heraustreten des
Zelleninhalts.
kung des Wassers die Kórperchen alle die Veründerun-
gen annehmen, welche Dr. W. Erb an dem Blute eines
mit picrinsaurem Natron vergifteten Hundes gesehen
und in Fig. 1 abgebildet hat"). Schliesslich lösen sich
auch die Hüllen im Wasser auf; doch kann man sie
vermittelst guter Instrumente und starker Vergrüs-
serung oft auch dann noch sehen, wenn keine Spur
mehr von ihnen vorhanden zu sein schien. Er-
wärmt man das Objectglas, auf dem die Körperchen
liegen, bis 40 und 50° Cels. und bringt es unter
das Mikroskop, so sieht man, besonders an ein-
zeln liegenden Kügelchen, dass der Inhalt grössten-
theils aus der Membran herausgetreten ist und diesel-
be von allen Seiten umgiebt (9). Die Krystallisation
in den Blutkörperchen des Menschen habe ich zwar
beobachtet, aber sehr selten und immer erst mehrere
Tage nach dem Tode. Nie ist es mir gelungen, in
frischen Blutkörperchen Krystalle zu sehen, selbst
wenn ich dieselbe Zuckerlösung mit Spiritus anwandte,
welche mir die schönsten Krystalle in den Blutkörper-
chen der Fische gab. Dieselben Veränderungen, welche
ich an den Blutkörperchen des Menschen im Blutse-
rum, Wasser und in einer Zuckerlösung mit Spiritus
gesehen habe, sind mir auch an den Blutkörperchen des
Kaninchens, des Hundes, der Katze und des Meer-
Sind wenig Körperchen im Präparat id mehr
Blutflüssigkeit, so geht die Veränderung der erste-
ren viel rascher vor sich als im entgegengesetzten
Falle. Die einzeln liegenden Blutzellen werden sehr
klein: sie bestehen aus Kórnchen, an denen bei star-
ker Vergrüsserung nicht selten eine Membran bemerkt
werden kann. Diese ist sehr aa = en endlich
sich ganz aufzulösen.»
Auch die ne Meade Kürpérchen
bobos an den Kanten stachelfürmige Fortsätze. Durch
Zusatz von Wasser schwellen die Kôrperchen an.
Einige unter, ihnen, erscheinen ebenfalls mit feinen
Spitzen, gleichsam mit Härchen bedeckt (c). Die Zel-
len werden blasser, wogegen das sie umgebende Was-
ser eine hellgelbliche Farbe annimmt. Dies deutet
darauf hin, dass der Zelleninhalt herausgetreten ist.
Einzelne Körperchen werden sehr klein, andere be-
halten noch einige Zeit hindurch ihre Kugelform bei.
Der Inhalt ist zuletzt ganz verschwunden, und es
schwimmen leere, blasse Hüllen: umher, die sich als
kleine Ringe ausnehmen. Ich finde, dass durch Einwir-
schweinchens begegnet. Bei all’ diesen Thieren habe
ich bei Zusatz von einer Zuckerlösung mit Spiritus
Krystalle innerhalb der Membran beobachtet, im-
mer jedoch in solchem Blute, welches ein oder meh-
rere Tage alt war. Am frühesten treten dieselben beim
Mason auf, tes — nach‘ n
Stunden.
Fassen wir nun die Hauptresnltate zusammen, so
sind es folgende:
Man kann an den Blutkörperchen der meisten Thiere
eine selbständige Membran nachweisen, welche sich
gegen Blutserum, Wasser u. s. w. anders als der Zel-
leninbalt verhält und unter eme eine bedeu-
tende Festigkeit besitzt.
Die Blutkörperchen \ von einem und ` gëlteg
Thiere sind einander nicht vollkommen gleich und
verhalten sich verschieden zu Blatplasma, Wasser und
andern Reagentien. `
9) Die Picrinsäure, ihre "Physiologischen und therapeutischen
Wirkungen, von Dr. W. Erb. Würzburg, 1865.
571
Bulletin de l'Académie Impériale
372
Der Blutkörpercheninhalt krystallisirt mehr oder
weniger leicht innerhalb der Membran.
Die Gestaltveränderungen der Blutkörper chen, die
inan der Einwirkung verschiedener Reagentien zuge-
schrieben hat, kommen an den normalen, im Blutserum
schwimmenden Körperchen vor.
Alle Bestandtheile der Blutkórperchen, die Mem-
bran, der Inhalt, der Kern, wo er vorhanden ist, lósen
sich in Blutserum, Wasser, Zuckerlósung, Zuckerlö-
sung mit Spiritus und andern Flüssigkeiten cu
men auf.
Aus diesen Hauptsätzen lassen sich mehrere an-
dere Schlüsse ziehen.
Erklärung der Tafel.
Auf der Tafel sind die Blutkörperchen verschie-
dener Thiere meistens bei 800 — 1600-facher Ver-
grösserung dargestellt.
Fig. I. Blutkörperchen des Frosches.
a. Ein ganz frisches Blutkörperchen.
b. Ein Blutkörperchen, welches sich zu verändern
anfängt: der Kern ist deutlicher geworden, und es
zeigt sich ein Fortsatz an der Zelle.
c, Der Inhalt verändert sich.
d. Ein Blutkörperchen, welches eine Amoeben-ähnli-
che Gestalt angenommen hat.
e. Eine an einem der Pole zugespitzte Blutzelle. An
der Spitze tritt der Inhalt in kleinen Tröpfchen
heraus. Am Kerne ist ein kleiner vom Inhalt freier
Raum entstanden,
f. Der Inhalt tritt aus der Blutzelle in Form eines
Tropfens heraus.
g. Leere Hülle mit dem Kerne.
h. Der Inhalt hat sich nach einer Seite hingezogen,
so dass zwischen ihm und der Hülle ein freier
Raum entstanden ist.
i. Globulinkrystalle aus frischem Froschblute. -
k. Häminkrystalle aus demselben Blute.
Fig. II. Körperchen und Krystalle aus dem Blute der
... Fische.
a. Frisches Blutkörperchen.
b. Ein etwas verändertes Blutkörperchen, an welchen
schon eine Andeutung eines Kernes vorhanden ist.
c. Der Kern ist deutlich, an der ganzen Oberfläche
^ sind schwache Punkte zu bemerken.
Der Inhalt hat sich von der Membran entfernt.
Der Blutkórpercheninhalt bildet innerhalb der
Membran eine sternförmige Figur.
Ein Globulinkrystal innerhalb der Zellenmem-
bran.
: Ebenfalls ein Globulinkrystall, aber bei stärkerer
Vergrösserung. Von der ganzen Blutzelle ist nur
der Kern nachgeblieben. Die Membran geht vom
Krystall auf den Kern über.
. Zwei Globulinkrystalle innerhalb einer Membran.
Ein Globulinkrystall, der sehr lang geworden ist
und sich in der Membran gebogen hat.
Ein eben solcher Krystall, der beim Biegen an 2
oder 3 Stellen zerbrochen ist. Dieses Prüparat
und das vorige deuten auf die grosse Festigkeit
der Membran hin.
l. Ebenfalls ein Blutkörperchenkrystall innerhalb ei-
ner Membran, bei stärkerer Vergrösserung.
m. Drei Krystalle in einer Membran.
Fig. III. Blutkörperchen des Menschen.
a. Frisches Blutkörperchen. i
b — f. Veränderte Blutkörperchen aus normalem Blute.
g. Ein erwärmtes Blutkörperchen. Der Inhalt ist
herausgetreten und hat sich um die Membran ge-
lagert. |
. Leere Blutkörperchenhülle.
Ein Blutkörperchen, welches in einer mit Spiritus
versetzten Zuckerlösung etwas kleiner und runder
geworden ist. In der Mitte zeigt sich ein hel-
ler Punkt.
. Bildung eines Krystalls im Blutkörperchen des
Menschen.
Blutkörperchenkrystall einer Katze.
. Blutkörperchenkrystall cines Meerschweinchens.
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S
f.
La
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BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a reçu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Schédo-Ferroti, D. K. Etudes sur l'avenir de la Rus-
sie. 7° et 8° études. Berlin 1863 — 1864. 8.
Bergé, Adolphe. Voyage en Mingrélie. Paris 1864. 8.
Langlois, Victor. Hérat, Dost-Mohammed et les influences
politiques de la Russie et de l'Angleterre dans l'Asie
centrale. Paris 1864. 8.
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